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lundi, 02 juillet 2018

Refonder la citoyenneté

Wicht.jpgGeorges Feltin-Tracol

Dans nos sociétés ultra-modernes, hyper-individualistes et fortement travaillées par le numérique et le médiatique, la citoyenneté est devenue un mot galvaudé. S’en référer implique dorénavant à bénéficier des aides sociales, à (sur)consommer et à s’endetter. Deux Suisses, Bernard Wicht, philosophe en stratégie, et le lieutenant-colonel de l’infanterie de montagne Alain Baeriswyl, s’élèvent avec force contre cette conception pervertie dans un court essai ô combien riche et stimulant publié par les remarquables Éditions Astrée, Citoyen-soldat 2.0. Mode d’emploi (2017, 89 p., 12 €).

Les auteurs observent que la stratégie clauswitzienne n’opère plus à l’heure des cyberconflits et de la « guerre moléculaire ». La lourdeur administrative des forces armées professionnelles (ou de conscription), leur verticalité bureaucratique, leurs réticences à l’innovation technique et intellectuelle rendent les États occidentaux vulnérables aux assauts terroristes répétés. Alors que l’Union pseudo-européenne veut désarmer les honnêtes gens, les auteurs proposent « une tentative de réponse à l’affaissement de l’État-nation et à l’inadaptation de la démocratie libérale (p. 40) », soit le réarmement moral et matériel des citoyens du Vieux Monde.

Parce que nous entrons dans un nouveau Moyen Âge qui se caractérise par « une mutation des formes d’organisation socio-politiques (p. 33) », nos contemporains doivent se préparer à de futures situations conflictuelles. « Le territoire national se fracture et se zèbre sous la pression de ces nouvelles féodalités que sont les gangs, les mafias, les narco-terroristes et les diasporas militairement encadrées (p. 32). » Dans ce contexte troublé surgit le citoyen-soldat. Il « est là pour maintenir les valeurs civiques nécessaires à la survie de la cité. Par conséquent, lorsqu’il tend à disparaître, lorsqu’il est remplacé par des militaires professionnels ou des contractors, alors c’est toute la cité qui, à terme, est menacée d’effondrement (p. 35) ».

Le citoyen-soldat « dispose d’un permis de port d’arme et de la formation nécessaire pour s’en servir le cas échéant (p. 46) ». Il ne remplace pas le militaire de métier, il l’épaule en cas d’urgence dans son quartier ou dans son village. Nullement combattant solitaire, le citoyen-soldat agit en réseau avec ses voisins. Ce n’est plus un simple contribuable, vraie vache à lait de l’assistanat et potentielle victime, mais un être prêt à défendre farouchement sa terre et les siens.

Bonjour chez vous !

• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°84. sur Radio Libertés et sur Europe Maxima cliquez ici

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Une année de règne macronien : Stop ou encore ! ? !

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Bernard Plouvier

Élu par une (forte) minorité d’électeurs français, Macron a très vite imposé son style : lui et sa ravissante épouse occupent le devant de la scène médiatique. Tels des stars du show-business ou de la jet-set, ils voyagent beaucoup et causent davantage encore devant une nuée de journalistes, jouant les paparazzi. 

Au bout de treize mois de règne, on sait que Grand Président Macron aime énormément les immigrés (même les si utiles baladins homosexuels), qu’il hait les populistes (porteurs de germes infectieux, croit-il savoir) et qu’il n’aime pas les Bretons (rien que des mafiosi… d’un autre côté, si le distingué Président ne fréquente que des élus socialistes, on peut comprendre sa nausée).

On sait aussi qu’il réduit très courageusement les dépenses de l’État, même s’il a besoin d’une piscine privée – ce qui a forcément un coût, même dans un Fort situé à deux pas de la Méditerranée. Assurément, l’on comprend bien que s’il se baignait dans cette Mer, il risquerait de côtoyer des réfugiés immigrés, moins « propres sur eux » que ceux reçus en grande pompe à l’Élysée. Il faut tout faire pour éviter à Génial Président les contacts avec la réalité & la plèbe, contacts qui ne peuvent être que déplaisants, voire gênants pour son (très discret) égo.

Au moins, notre vedette – grande donneuse de leçons à l’étranger - a-t-elle relancé l’économie : la croissance fait des bonds de cabri, le chômage baisse à vitesse Grand V, la Dette se réduit, l’immigration légale est contenue et l’illégale annulée, nos universités sont redevenues des centres de formation de très haut niveau, où l’on forme la jeunesse plutôt que de la politiser, quand aux transports en commun du secteur public, ils atteignent un degré de performance et de régularité inconnus jusqu’alors.

Évidemment, avec un tel bilan, Grand Président peut se permettre de menus écarts de langage. Seul un pygmée cérébral, seul un infâme populiste pourraient contester Génial Président, phare de l’économie politique, l’homme aux succès prodigieux et aux panthéonisations glorieuses.

En revanche, si l’incontinence verbale n’était pas corrélée à une efficacité toute particulière, elle serait pure jactance, soit une manifestation puérile intolérable de la part d’un chef d’État. Après-tout un gamin grossier aux résultats minables mérite une bonne fessée… en version « démocratique » : une déculottée électorale.    

08:53 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 01 juillet 2018

JEAN-MARIE LE PEN, ENTOURÉ DE 400 INVITÉS, A FÊTÉ SAMEDI SOIR SES 90 ANS

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Près de 400 invités, un Jean-Marie Le Pen visiblement heureux de voir rassemblée autour de lui toute la droite nationale, un concert formidable des Brigandes, les ingrédients étaient tous réunis samedi soir à Saint Cloud pour la réussite de la soirée d'anniversaire du fondateur du Front national.

Nous espérons avoir très bientôt l'occasion de tous nous retrouver pour un pareil spectacle...

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samedi, 30 juin 2018

Journal du chaos

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vendredi, 29 juin 2018

Affaire des « dix membres de l’ultradroite » : la montagne accouche d’une souris

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Source Contre-info cliquez ici

C’est désormais officiel, le tapage médiatique qui a duré une demi-semaine pour expliquer au bon peuple que : « tout comme les jihadistes (qui ne sont pas de vrais musulmans), les grands méchants de l’extrême-droite (qui sont de bons Français), peuvent commettre des meurtres de masse au nom d’une l’idéologie mortifère », était un bourrage de crâne journalistico-judiciaire.

Finalement, on apprend par le procureur que le fameux passage à l’acte violent « demeurait toutefois imprécis à ce stade » (cf France Info). En clair, il n’y avait aucun passage à l’acte de prévu… Et les fameuses craintes de la DGSI ? Du flan…

Le danger selon le procureur, est que l’AFO « proposait à ses membres des formations, notamment au combat et au secourisme, et des stages de survivalisme »… D’ailleurs la mise en examen des 10 militants pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » est un indice. Ce motif est qualifié de flou par nombre de juristes français (...)

Le véritable crime de ces Français ne serait-il pas d’avoir anticipé les violences ethniques qui risquent d’éclater un jour dans notre pays, en se préparant à se défendre ?

13:50 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Du dérapage verbal d’un Président qui joue un peu trop à l’enfant terrible

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Bernard Plouvier

Génial Président Macron – vous savez bien : celui qui est en train de réduire le chômage des Français à la vitesse de l’éclair, celui qui donne des leçons de politique et de courtoisie à Poutine et à Trump, celui à quila notion de populisme donne de l’urticaire – se permet de parler de « Mafia bretonne ».

Bien sûr, Emmanuel Macron n’a nullement voulu « offenser les Bretons ». On peut toutefois parier que jamais il n’aurait osé parler de Mafia juive qui pourtant existe bien, elle, ni de Mafia tchétchène, qui existe aussi, ni du sectarisme de certaine officine maçonnique… pourtant la notion d’influence politique d’une secte participe du même esprit mafieux : secret et coups fourrés, pouvant aller fort loin dans la canaillerie voire dans l’action directe, utilisation des titulaires de postes publics comme des agents d’influence, virtuosité dans la pratique de la corruption etc.

Les comportements mafieux avérés, quotidiennement pratiqués dans notre beau pays :  trafics d’objets d’art volés, trafic de stupéfiants, traite des jeunes filles et de femmes vénales, voire d’individus de sexe indéterminable, certaines spéculations mobilières et immobilières, jeux et sports truqués, élimination des adversaires etc., tous ces comportements mafieux ne semblent guère interpeller la conscience de notre Grand Président.

Non, il est plus simple pour lui de salir auprès d’un pape fin connaisseur – c’est un démagogue d’exception que le jésuite Bergoglio – une partie hautement estimable de la Nation française.

Mafia bretonne ! Combien de milliardaires chez les agriculteurs bretons ? Combien de riches parrains de la drogue chez les Bretons ? Combien de canailles politiciennes, combien de trafiquants de « chair fraîche », combien de racketteurs, combien de tueurs à gages en Bretagne ?

Génialissime Président a énormément d’excuses à présenter à la Nation française pour avoir sali à l’étranger une partie de notre Nation et une partie qui a joué un grand rôle dans l’histoire de France. Mais qu’est-ce que peut bien représenter l’Histoire de France pour un globalo-mondialiste ?

Les marins, les paysans, les soldats, les artisans, les industriels bretons ont joué un plus beau et plus grand rôle dans notre histoire que bien des financiers d’origine cosmopolite au comportement de mafieux, ou que les importateurs de haschisch, cocaïne, morphine, héroïne, ecstasy ou les autres merveilles de la chimie « bizarre », pas vraiment bretonne.

Génialissime Président ferait bien d’apprendre à se taire lorsqu’il tient absolument à briller en public et surtout à l’étranger. Faire rire aux dépens de la Nation française, même un De Gaulle, général de guerre civile, n’avait pas osé le faire. Ce qui fait rire les courtisans et l’épouse de Super-Macron fait grincer des dents le « Bon Peuple » qui commence à être excédé.

Si Grand Président veut laisser un nom dans l’histoire de France, c’est en agissant, non en faveur des riches, mais en faveur des nombreux chômeurs autochtones qu’il doit le faire, en luttant contre l’insécurité et le racisme anti-Blancs, mais en aucun cas en continuant d’importer inutilement des laissés pour compte d’autres continents.

Au lieu de jouer au potache en goguette, qu’il nous montre s’il est capable de diriger le pays. Sinon, qu’il s’en aille.   

11:25 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conjoncture internationale brouillée, croissance en baisse, camouflage du chômage en hausse...

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Jean-François Touzé 

Membre du Bureau politique du Parti de la France

Après la Banque de France, l’Insee vient de revoir à la baisse ses prévisions de croissance pour 2018 : selon l’Institut d'études économiques, le ralentissement du PIB au 1er et 2e trimestre (- 0,2 et - 0,1 point) devrait conduire à une croissance de 1,7 % en fin d’année après 2,3 % en 2017. C’est 0,1 point de moins que les récentes prévisions de la Banque de France et - surtout - bien en deçà de celle du gouvernement (2 %) inscrite dans le programme de stabilité envoyé au printemps à la Commission européenne. Si les chiffres de l’Insee se confirment, c’est toute la trajectoire budgétaire de l’exécutif qui sera donc à revoir. On comprend mieux, dans ces conditions, la misérable volonté du pouvoir de trouver de nouvelles recettes en multipliant les taxes, et de faire des économies, non pas sur le train de vie de l’État comme il se devrait (hors devoirs régaliens et politique de santé), pas plus que sur les prestations indues accordées aux étrangers, mais en rognant sur les aides sociales légitimement accordées aux Français les plus modestes.

Investissements des entreprises à l’arrêt, consommation des ménages « atones » (-0,6), repli des échanges extérieurs… Tous les moteurs de la croissance française semblent s’être mis à l’arrêt au premier semestre, dans un contexte économique mondial et européen qui, selon l’institut, se « voile ». « La forte remontée du prix du pétrole, alimentée entre autres par les tensions géopolitiques au Moyen-Orient, fait sans conteste partie de ces facteurs », note l’Insee qui cite aussi, comme causes de cette mauvaise passe, « la forte appréciation de l’euro », « les tensions protectionnistes [aux] États-Unis », ou encore « la crainte d’une remontée de l’inflation plus vive que prévu » sur fond de hausse mondiale des taux d’intérêt. Résultat, la croissance de la zone euro serait de 2,1 % en 2018 après 2,6 % l’an dernier.

Si l’alignement des planètes a accompagné – sans qu'il sache, pour autant, en tirer profit  –, le quinquennat de François Hollande, un dangereux désalignement est en train de s’installer pour l’an II de Macron. Des signes de ralentissement et de fin de cycle semblent apparaître en Europe, tandis que le litre de gazole a grimpé, en France, en un an, de 1,16 euro à 1,48 euro, soit une hausse de 28 % (tendance lourde que ne viendra pas inverser la timide et modeste hausse de la production pétrolière décidée le 22 juin par les pays de l'OPEP), que les taux d’intérêt remontent, que les pays émergents sont frappés de plein fouet par la baisse des matières premières ou la remontée de l'inflation, et que les sanctions contre la Russie et l’Iran comme les débuts de guerre commerciale initiés par Trump ne peuvent que contribuer à la dégradation du climat économique mondial.

La France est, une fois de plus davantage touchée que la plupart de ses voisins, du fait de ses archaïsmes structurels et de l'ampleur de ses déficits. Le gouvernement ne peut cependant pas mettre ce ralentissement sur le dos des cheminots. « Les grèves ôteraient ainsi tout au plus 0,1 point à la croissance trimestrielle du PIB, tout en sachant qu’un retour à la normale au troisième trimestre 2018 entraînerait alors un contrecoup positif du même ordre », estime l’Insee pour qui le calendrier « intermittent » de la grève a permis aux entreprises d’adapter leurs approvisionnements. Et si le secteur de l’hôtellerie et de la restauration a vu des touristes annuler leurs réservations, il connaît des difficultés depuis le mois de février, soit avant la grève.

L’exécutif voudrait se consoler avec un indicateur : celui de la baisse du chômage. Malgré le ralentissement économique du premier semestre et une moindre création d’emplois  – 183.000 contre 340.000 en 2017 –, le taux de chômage au sens du Bureau international du travail (BIT) devrait descendre à 8,8 % fin 2018, soit - 0,2 point par rapport à la fin 2017. Mais il ne s'agit là que d'une manipulation comptable, le « plan d’investissement dans les compétences », gadget gouvernemental visant au camouflage statistique entrera, en effet, en pleine activité au deuxième trimestre, avec pour conséquence de faire disparaître du nombre de chômeurs des dizaines de milliers de personnes toujours sans emploi mais entrées en « formation ». Sans parler des radiations de plus en plus nombreuses encouragées par le gouvernement. Avec à la clé une baisse mécanique mais de seule apparence du chômage.

Rien de nouveau sous le ciel macronien.

Parti de la France cliquez ici

10:58 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bastion social : des militants inquiétés à Marseilles et un nouveau local à Clermont-Ferrand

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10:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Michel Klen, auteur de "La tragédie de l'Algérie française"

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Ecoutez l'émission

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10:04 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 28 juin 2018

Les deux grands rendez-vous politiques de la rentrée :

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17:25 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Porter le destin collectif de la nation au-delà des droits et obligations des individus

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Ligne Droite cliquez ici

Contrairement à ce qu’on peut penser, la politique ne consiste pas à s’occuper prioritairement de la vie quotidienne des gens, à définir les avantages qu’on se propose de leur accorder et les obligations qu’on prévoit de leur imposer. Car la politique au sens noble du terme ne porte pas d’abord sur le sort des individus mais sur le destin de la communauté qu’ils forment. Aussi Ligne droite estime-t-elle essentiel de remettre la communauté nationale au cœur de la vie politique, qu’il s’agisse du comportement des dirigeants, des objectifs qu’ils poursuivent, des règles qu’ils appliquent à leur action ou de la vision qu’ils doivent porter.

Des débats politiques tirés vers le bas par les médias

Il est vrai qu’aujourd’hui l’image des membres de la classe politique étant de plus en plus dégradée par les affaires de corruption qui les frappent et par leur impuissance à résoudre les problèmes, beaucoup d’électeurs ramènent spontanément le débat public au rang trivial d’un échange de services teinté d’envie et de rancœur : « Une fois élu, vous vous servirez, alors si je vote pour vous, à quoi me servirez-vous ?»

Quant aux médias, qui prétendent se faire les interprètes des électeurs et croient le faire en ramenant tout à des considérations pratiques, ils n’ont cessé de tirer les débats vers le bas. « Concrètement, que proposez-vous à ce monsieur ? » demandent-ils souvent en désignant sur leur plateau un invité quadragénaire qui vient de perdre son emploi à la suite d’une opération de délocalisation. La réalité est que l’homme politique interrogé ne peut rien faire qui change radicalement la situation de son interlocuteur. En revanche, s’il est au pouvoir, il peut s’opposer au libre-échangisme sauvage et instaurer une régulation des échanges commerciaux qui mettrait un terme aux délocalisations et au chômage de masse. En clair, il ne peut rien faire pour l’individu, mais il peut agir sur l’organisation de la société pour qu’elle assure un cadre qui lui soit plus profitable.

La communauté nationale, une réalité dont les Français et leurs dirigeants doivent reprendre conscience

Aujourd’hui, tout le monde paraît cependant avoir perdu de vue cette réalité essentielle. Les politiques, comme nos concitoyens, considèrent leur appartenance à la communauté nationale comme une donnée accessoire purement administrative et la plupart des Français vivent au sein de la nation un peu comme des locataires dans leur résidence immobilière. Aussi Ligne droite estime-t-elle primordial que nos compatriotes et leurs dirigeants se préoccupent à nouveau de la communauté qu’ils forment. Il est temps qu’ils reprennent conscience que la nation vient de loin et continuera après eux. Elle est porteuse de valeurs exceptionnelles qui transcendent le temps présent de même qu’elle existe à travers un patrimoine d’une grande richesse hérité de nos ancêtres. Si la France a une existence propre, elle doit continuer à tracer le chemin qui est le sien et c’est à cet impératif que les politiques doivent se consacrer prioritairement.

Faire vivre la communauté nationale et celle de notre civilisation

Afin de redonner corps à cette réalité, il faut que le comportement des responsables du pouvoir et tout particulièrement du président de la République soit à la hauteur de la mission qui est la leur d’incarner la communauté. La réserve, la hauteur de vue, la distance, devraient être de rigueur. De même que leurs paroles et leurs actions devraient amener les Français à s’intéresser, au-delà de leurs problèmes quotidiens, à la vie de la nation et de la civilisation auxquelles ils appartiennent. Pour cela, les manifestations publiques, les commémorations symboliques, les fêtes nationales, les discours et les inaugurations devraient être conçus comme des moments de communion collective permettant aux Français de se retrouver autour de leur même appartenance. L’art et l’architecture devraient aussi être mis à contribution pour inscrire la pérennité de la nation dans des œuvres capables de traverser les siècles à l’image de ce qu’ont fait nos prédécesseurs.

Poursuivre des objectifs au service de la nation et non des individus

Au-delà de cette dimension affective, ce sont par ailleurs les objectifs de l’action gouvernementale qui doivent être consacrés à la nation et à sa civilisation plus qu’à leurs membres. C’est en effet à ce niveau que les problèmes peuvent trouver des solutions, comme le montre l’exemple du chômeur victime des délocalisations. Vouloir améliorer la situation des Français par des mesures qui les visent directement revient à soigner les symptômes. Si l’on veut s’attaquer aux causes, ce sont des actions portant sur la nation qu’il faut entreprendre.

Utiliser les règles qui régissent les nations et non celles qui concernent les individus

Il convient ensuite de prendre conscience que les règles qui s’appliquent au niveau collectif ne sont pas les mêmes que celles qui prévalent à l’échelon individuel. Ainsi, en est-il par exemple de l’immigration. Vu sous l’angle des personnes, il peut paraître légitime au nom de la solidarité humaine d’être accueillant. Quel honnête homme au demeurant refuserait de venir en aide à une personne en difficulté fût-elle étrangère ? Pour autant, sous l’angle national, l’immigration constitue une menace à laquelle il faut faire face car, pour préserver la nation et assurer sa pérennité, il est essentiel de sauvegarder son identité et son intégrité et donc de stopper toute nouvelle immigration. Il y a les droits et les libertés des personnes mais il y a aussi les droits et les libertés des nations et des civilisations qui sont d’un autre ordre et qui doivent s’imposer à ceux qui gouvernent.

Porter une vision pour notre nation et notre civilisation

Les dirigeants du pays et plus particulièrement le chef de l’État doivent aussi être porteurs d’une vision pour la nation. Ce dernier doit ainsi expliciter à quel avenir elle peut prétendre et quel projet elle poursuit dans le monde d’aujourd’hui. La droite nouvelle est à cet égard porteuse d’une telle vision. Dans le monde multipolaire, face au choc des civilisations, elle propose d’ériger l’Europe en un pôle de puissance qui lui permette de se protéger à la fois de l’ultralibéralisme économique et du mondialisme migratoire et qui lui rende indépendance et souveraineté.

Pour Ligne droite, c’est ce projet qui peut redonner sa place à la dimension communautaire de la politique. En rétablissant ainsi la réalité de notre existence collective, la droite nouvelle permettra à la France de retrouver une place et un rôle de tout premier plan et de nourrir de grandes ambitions dont les effets bénéfiques rejailliront sur tous les Français.

17:15 Publié dans Ligne Droite, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un numéro hors-série de Présent sur la bande dessinée...

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5 €, chez votre marchand de journaux

17:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 27 juin 2018

Pseudo terrorisme "d'ultra droite" : le criminologue Xavier Raufer remet les choses à leur place

19:04 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Parution prochaine du Guide sulfureux du Paris "réac et facho"...

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Voici une histoire des rues de Paris qu’une France en proie aux Droits de l’homme aimerait en grande partie effacer. On est d’abord partie à la recherche des lieux de résidence des écrivains que nous aimons, pas seulement de droite, et dont certains, pas les moins talentueux d’ailleurs, furent ce que l’on appelle des « collabos » alors qu’ils cherchaient une issue à une France démocratique qui s’enfonçait – et s’enfonce toujours -, dans la décadence. Dans un deuxième temps, on s’est penché sur ces lieux emblématiques occupés par les Allemands durant l’Occupation – et ils ont eu la main lourde -, dont beaucoup sont toujours le témoignage d’une grandeur passée.

On ne pouvait pas non plus passer à côté des hauts lieux de cette Révolution dont se gargarisent nos intellos de gauche dont une guillotine aveugle est venue alimenter de trop nombreux charniers, transformés dans le meilleur des cas en cimetières. Leur France des Lumières sent passablement le roussi.

Enfin Paris est un livre d’architecture passionnant. On a noté quelques ouvrages remarquables. Car il n’est pas sûr que les chapitres d’aujourd’hui et à venir témoignent de la même grandeur que ceux d’hier.

On n’a pas oublié les hauts lieux – mais c’est loin d’être exhaustif -  de tous ces militants dits d’extrême-droite qui s’obstinent à transmettre le flambeau, de génération en génération, d’une France patriote qui plante ses racines en Grèce dans le doux murmure de l’Iliade et l’Odyssée.

L'auteur : Patrick Parment

Editorialiste aux éditions Atlas, a commencé sa carrière de journaliste avec la création du Figaro Magazine ; rédacteur en chef du supplément de l’hebdomadaire Femme d’Aujourd’hui ; chef du service politique de Votre dimanche ; rédacteur en chef d’une lettre numérique hebdomadaire, Le Journal du chaos, collaborateur régulier à Synthèse nationale.  

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15:19 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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15:06 Publié dans Pour un Ordre nouveau | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Immigration, encore et toujours...

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Par Patrick Parment

L’une des raisons majeures pour lesquelles Jean-Marie Le Pen n’a jamais quitté la bouglionesque scène politique française – outre sa volonté de ne pas disparaitre des écrans – c’est bien en raison de la pérennité du thème migratoire en France d’une part, en Europe d’autre part. De l’émergence du Front national en 1986 à aujourd’hui, l’immigration est le sujet dominant au regard de tous les dysfonctionnements qu’elle provoque dans tous les États européens et notamment en matière de sécurité. Mais pas que.

Longtemps les politiques de la bien-pensance ont caché le sujet sous le tapis. De Mitterrand à Hollande, tous nos présidents se sont défilés du plus calamiteux d’entre eux, Jacques Chirac, et de son clone Sarkozy. Aujourd’hui, grâce aux Italiens le sujet éclate à la figure de Macon et mieux encore, de Bruxelles.

Au niveau européen, deux blocs se dessinent. Côté occidental, nos impuissantes démocraties aux mains d’une classe politique vendue à l’idéologie mondialiste ; côté oriental, une Europe saine qui refuse une immigration qui viendrait mettre en danger ses fondamentaux raciaux et culturels.

Sauf qu’en Europe de l’Ouest, les peuples ne semblent plus l’entendre de la même oreille depuis qu’on les a couillonnés avec le traité de Lisbonne. Les parti populistes comme ils disent, ne cessent de progresser. On voit d’ailleurs que les plus laxistes, hier encore, en matière d’accueil, le Danemark et la Suède, sont aujourd’hui les plus radicaux en matière d’expulsion. Quid de l’Allemagne et du million d’immigrés accueillis par l’irresponsable Angela Merkel ?

Emmanuel Macron est dans une nasse. Il aimerait passer pour le grand réformateur de l’Europe et ambitionne de constituer un groupe au Parlement européen sur lequel s’appuyer. Et jouir de cette « aura » pour rebondir à la présidentielle de 2020. Il risque quelque déconvenue. Tout ce qu’il a fait en matière d’immigration, malgré les efforts de son ministre de l’intérieur, Gérard Collomb, c’est de coller à cette « part obscure » de l’Europe bienveillante à l’égard des migrants.

Le débat sur l’immigration est par ailleurs en train de se « nationaliser » au sein des tous les pays européens. Auquel il convient d‘ajouter l’apparent désintéressement des Américains pour l’Europe qui déstabilise sa gouvernance actuelle et cet idiot utile de Jean-Claude Juncker.

Comme le rappelait un auteur anglais récemment*, à l’heure où la Chine, l’Inde, le Japon et la Russie contrôlent leur immigration, on ne voit pas à quel titre l’Europe se devrait d’accueillir toute la misère du monde !

(*) Douglas Murray, Le suicide de l’Europe, 2018, L’Artilleur.

10:11 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 26 juin 2018

D’après le docteur Micron, je serais un lépreux…

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Pieter Kerstens

Tel est le diagnostic établit par le Président de la République Française, au constat que de plus en plus d’électeurs en Europe donnent leur voix aux partis « populistes » et qu’ils tournent le dos aux forces « progressistes » et aux bienfaits du mondialisme.

Et la vindicte présidentielle s’est abattue sur le ministre italien de l’Intérieur quand Matteo Salvini avait déclaré que l’Aquarius, transportant 630 immigrés clandestins, ne pourrait en aucun cas accoster dans un port italien. Quelques jours plus tard on entendait un discours élyséen nauséabond reprenant l’image de « la lèpre nationaliste », réel danger pour nos enfants.

Sous la VRépublique, les ministres de l’Intérieur successifs, de Raymond Marcellin à Brice Hortefeux, de Gaston Defferre à Gérard Collomb, en passant par Pierre Joxe ou Nicolas Sarközy (2 fois), TOUS ont combattu les mouvements nationalistes coupables à leurs yeux de défendre les racines de notre civilisation, notre identité européenne, nos coutumes, nos lois et nos traditions.

Depuis fort longtemps, les procès multiples et les interdictions ont accablé notre famille politique alors que les fauteurs de troubles gauchistes ont été curieusement épargnés, à quelques organisations près…

Mes camarades d’Ordre Nouveau et moi-même avions organisé le meeting du 21 juin 1973 à la Mutualité sur le thème « Halte à l’immigration sauvage ». Et les médias, les pourriticards de tous bords nous ont traités de « racistes », de « fascistes » et de « nazis ». Pourtant, les inspecteurs des R.G présents dans la salle ont tous confirmé au ministre de l’Intérieur, Raymond Marcellin, qu’ils n’avaient jamais entendu un propos raciste dans les différents discours. 

C’est après une campagne de presse haineuse et mensongère contre Ordre Nouveau, par les laquais du mondialisme comme Thierry Pfister du « Monde » ou comme Maurice Clavel dans « le Nouvel Obs », soutenus par les ministres Pierre Messmer, Jean Taittinger et Bernard Stasi, que la dissolution d’O.N est prononcée le 28 juin 1973.

Le Régime n’a pas changé de stratégie quatre décennies plus tard : « Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage ».

Alors OUI, nationalistes de tous les pays, unissez -vous, afin de combattre les collaborateurs du Nouvel Ordre Mondial et réels complices de l’immigration sauvage.

A la longue, il est quand même délicieux de constater que la réalité dépasse aujourd’hui les utopies et les rêves de tous ceux qui nous ont imposé les mythes de la société « multiculturelle » et « pluriethnique », que ce soit à Stockholm avec Olof Palme, où à Madrid avec Felipe Gonzales, ou encore à Bruxelles avec Wilfried Martens et à Paris sous la présidence de François Mitterrand.

Comme l’ont reconnu Merkel, Cameron et Sarközy depuis septembre 2010, cette idéologie du melting-pot à tous les étages a été un véritable échec (« le multikulti a échoué, totalement échoué ») et le commun des mortels peut aujourd’hui contempler le désastre et la réelle catastrophe engendrée par cette immigration/colonisation, imaginée, planifiée et imposée par les laquais du mondialisme au prétexte fallacieux d’être l’unique recours et la seule solution au déclin démographique européen. Comme s’il n’existait aucun stimulant à la relance de la natalité…

La médiocratie a pris le pas sur le mérite et la corruption gangrène tous les esprits.

En mars 2000, des technocrates imbéciles avaient rédigé un rapport de l’ONU intitulé « migrations de remplacement : une solution aux populations en déclin et vieillissantes ».

Joseph Chamie, directeur de la population de l’ONU, avait déclaré que la seule solution pour maintenir les grands équilibres socio-économiques, à commencer par le financement des retraites, était un appel massif à la main d’œuvre immigrée et que les besoins globaux des pays européens se chiffraient à 160 millions d’étrangers supplémentaires à l’horizon 2025.

18 ans plus tard, on peut en tirer les conclusions et affirmer que les chefs d’Etat et de gouvernement de notre continent sont les responsables d’une invasion d’individus qui ne s’intègrent pas dans notre société et ne souhaitent nullement s’assimiler à nos coutumes, nos traditions et nos valeurs. Leur principale motivation, à part quelques exceptions, était de pouvoir gagner chez nous sans travailler, 10 fois plus que dans leur pays d’origine en travaillant ; et que l’on ne me raconte pas que les immigrés maghrébins de la 3ou 4génération sont un exemple de conscience professionnelle, d’assiduité aux études ou d’honnêteté. Et s’ils ne sont pas contents, qu’ils s’en aillent... tous !

Mais quels exemples les Etats (du Nord au Sud de l’Europe) ont-ils donc montré à ces immigrés venus d’ailleurs ? Partout, nos pourriticards ont fait preuve de laxisme, d’angélisme, de lâcheté et de décadence, face aux forces du capitalisme apatride et aux lobbies du libéralisme cosmopolite.

Ils ont tout cassé et tout abandonné. La corruption et le vice se sont partout infiltrés. Ils livrent nos citoyens à la décadence et à la ruine de notre civilisation. Il n’y a plus de morale. Alors pourquoi faudrait-il s’étonner des bataillons de volontaires fanatiques qui partent sur les fronts du Djihad ? Lorsqu’une société accepte les ukases d’une minorité, sans protestations ni manifestations alors, comme à Paris c’est « vélo pour tous et voiture pour personne ».

Idem pour les motivations des 18-25 ans : le drapeau français et les valeurs qui s’y rattachent ?

Le courage, la fidélité, la famille, l’abnégation, la patrie, l’honneur ou encore la ténacité ?

Et si le petit prof arrogant de l’Elysée me considère comme un nationaliste lépreux, il va falloir qu’il me fournisse une crécelle… alors qu’il y a déjà 45 ans, mes camarades et moi avions sonné le tocsin !

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13:24 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 25 juin 2018

Is fecit cui prodest

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Bernard Plouvier

Cela fait plus de deux millénaires que magistrats et policiers appliquent – même ceux qui ignorent la langue latine – ce proverbe, qui n’est qu’un truisme. Lorsqu’on cherche un coupable, il est bon de réfléchir à cette simple question : À qui profite le crime ?

En fouillant bien, on peut toujours trouver et monter en épingle une histoire d’abrutis amateurs de scandale et, cerise sur le gâteau, ça permet de détourner le bon peuple des vrais problèmes (le chômage & l’insécurité), des vrais fléaux (la corruption et l’effarante nullité intellectuelle et physique de la jeunesse autochtone) et des vrais dangers publics (les djihadistes ou les nervis gauchistes).

À partir de 1990, il parut opportun de faire mousser durant des années une enquête sur la profanation d’un cimetière juif – alors même que l’organisateur avait été arrêté le lendemain, puis relâché, ce qui permit de faire durer six années la campagne médiatique de diabolisation d’un Front National en plein essor et sans la moindre relation avec l’affaire.

On accoucha d’une souris : 4 « néo-nazis », qui ignoraient probablement que les cimetières juifs avaient fonctionné normalement durant le IIIe Reich, même à Berlin jusqu’en avril 1945, et que seuls les bombardements de terreur alliés avaient déterré des cadavres, confondant juifs et goyim dans la même horreur. À force d’écrire des insanités historiques, il arrive qu’on transforme des esprits faibles en satanistes de pacotille et en violateurs de sépultures.

De nos jours, après cinq années d’attentats terroristes mahométans, dont certains furent très sanglants, et alors que partout en Europe occidentale les populations autochtones, pourtant si molles et si longues à émouvoir, commencent à grogner (oh ! très discrètement) contre l’invasion du continent  par des cohues de gens qui n’ont rien à y faire (d’autant moins qu’il y règne un chômage structural énorme), on lance un gram tam-tam médiatique sur un « vaste complot anti-mahométan »…chacun sait l’amour de nos excellences pour le vacarme africain.

Il y aurait de quoi rire s’il ne fallait s’attendre à une nouvelle vague d’attentats meurtriers des fous d’allah, par mesure de rétorsion. Car la « pensée-poubelle », chère à nos preux chevaliers de l’antiracisme, est plutôt une spécialité de nos merveilleux envahisseurs. Après tout, qui viole et qui tue de parfaits innocents en énormes quantités en Europe occidentale : les rarissimes excités de « l’ultra-droite » ou les fous d’allah ? Qui saccage depuis des mois, en France, écoles et universités : les nervis fils-à-papa de l’ultragauche trotskiste ou les jeunes de la mouvance populiste ?

L’on veut bien admettre qu’il existe des Européens n’ayant pas encore compris qu’une Libération, ça se prépare et ça n’a de chance de triompher qu’au bon moment. Mais l’unique réalité sanglante depuis 2014, ce sont les tueries organisées par les mahométans djihadistes.

N’inversons pas les rôles dans la comédie politico-médiatique. Il est évident que la Nation française commence à trouver un peu trop cynique la politique « jeune et dynamique » du Président, largement acquis aux charmes de l’économie globale et de l’invasion migratoire. C’est en informant constamment l’électorat que pour l’instant, l’on doit agir. Et la triste réalité de notre Europe occidentale est telle que le simple exposé des faits suffit à ébranler une partie de plus en plus grande des citoyens.

C’est d’ailleurs ce qui effraie les hommes et les femmes implantés à la direction des États européens pour y faire passer la pilule de l’invasion et du brassage des races et des pensées. Si le slogan : « Tous métis », métis culturels ou métis raciaux, pouvait devenir la réalité de l’Europe occidentale et scandinave, cela enchanterait les tireurs de ficelles des pantins qui font semblant de nous gouverner.

Ne leur donnons pas la joie, à ces joueurs de flûte et à ces richards qui veulent jouer aux démiurges, de gagner trop facilement leur partie de Monopoly vicieux. Informer et préparer en toute légalité les conditions de la Libération sont les seuls objectifs utiles pour le moment. Ce ne sera pas facile et l’on peut faire confiance à nos ennemis pour multiplier les coups bas.

L’essentiel est d’obtenir en tout pays européen meurtri, avili, envahi, une majorité d’électeurs qui se prononcent pour une solution politique favorable à la Nation autochtone. D’abord s’unir contre la folle arrogance des maîtres du fric, s’unir contre l’envahisseur non désiré. Ensuite, quand la majorité de chaque Nation sera éveillée, on agira en établissant de nouvelles lois, l’on organisera méthodiquement la nécessaire re-migration des non-Européens vers leurs terres d’origine, et l’on en reviendra, logiquement, aux valeurs fondamentales : Honneur, Travail, Famille, Patrie.

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Suite à un incident technique : modification de la programmation de l'émission "Synthèse" sur Radio Libertés

L'émission initialement prévue jeudi dernier avec Michel Klen passera jeudi prochain 28 juin :

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L'émission avec Serge Ayoub est désormais programmée pour le jeudi 5 juillet : 

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Nous sommes désolés pour ces changements indépendants de notre volonté et remercions nos invités et nos auditeurs pour leur compréhension...

 

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16:21 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 23 juin 2018

Grand Président, il a raison

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Bernard Plouvier

Passant par la Bretagne, Grand Président, qui semble succomber à la magie de la musique noire, a évoqué la « lèpre populiste ». Et comme à son habitude, Grand Président se moque de la Nation.

Il est exact que dans le continent d’un Vivaldi, d’un Mozart, d’un Brahms ou d’un Wagner, nous avons besoin de recevoir des leçons de joueurs de tam-tam. Il en faut pour tous les goûts, même pour le mauvais.

Grand Président n’aime pas les populistes. Il oublie qu’on peut être populiste sans être raciste (mais pour un môssieur sorti de l’ENA, Antonio Salazar ou Juan Péron doivent être des inconnus).

De fait, nos merveilleux immigrationnistes oublient qu’en favorisant l’afflux d’une délirante quantité d’individus provenant d’autres continents, ils importent du racisme antiblancs, celui là même que les citadins Français de souche doivent affronter quotidiennement depuis les années 1980… qui a passé sa jeunesse à Roubaix, puis exercé à Lille et à Douai en connait un rayon en matière de racisme antiblancs. Mais Grand Président et sa suite ne sont jamais qu’au contact de « gentils z’immigrés », qui brossent les puissants dans le sens du poil.

Car Grand Président, s’il se penchait trois minutes sur les réalités triviales de la vie quotidienne des Blancs de la région parisienne, ou de la région de Marseille, de la Lyonnaise, ou du triangle Lille-Roubaix-Tourcoing, saurait que le « Bon Peuple » est quelque peu excédé.

Si Grand Président a peur de la lèpre (il a tort : dans une société comme la nôtre, c’est une maladie qui se diagnostique tôt et se traite bien ; la lèpre mutilante, ça n’existe plus que chez les sous-évolués, les populations à la traîne), la Nation française, elle, ne veut pas mourir du cancer aux noms multiples : substitution de population (rappelez-vous ce que les Britanniques ont fait en Amérique du Nord, en Australie et en Nouvelle-Zélande), métissage universel, islam djihadiste, violences urbaines quotidiennes.

La vie en France, dans les années qui ont précédé le décret de regroupement familial des Giscard et Chirac, n’était peut-être pas idyllique – dans ce que les théologiens juifs et chrétiens nomment une « vallée de larmes », on aimerait savoir où et quand la vie a été une idylle entre doux humains et bonne nature -, mais nous étions chez nous et entre nous.

Pour changer de statut, c’est-à-dire pour passer d’un pays d’Europe occidentale à un gourbi africain ou proche-oriental, il faut au moins consulter le bon peuple. Il est possible qu’une majorité de Français veuillent vivre dans un État régi par la Charî’a et se fondre dans une espèce de race globale, mais il faut au moins, Grand Président, leur demander leur avis. C’est cela que l’on nomme démocratie.

Et il est probable que le bon peuple de France ne puisse connaitre de démocratie que grâce au Populisme.

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Journal du chaos

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jeudi, 21 juin 2018

POUR UNE DROITE DE LA RECONQUÊTE !

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Vincent Vauclin

Président de la Dissidence française cliquez ici

Aux grands maux les grands remèdes. À l’hégémonie morale et culturelle de la gauche, il est nécessaire d’opposer les principes d’une droite structurée et décomplexée qui ne transige pas, qui ose affronter la tyrannie du politiquement correct et braver la médiacratie libérale-libertaire. Loin des chimères de la dédiabolisation, ce n’est qu’en brusquant le conformisme et l’inertie ambiante, en affirmant une nouvelle radicalité et en assumant sa volonté de rupture que la droite pourra devenir autre chose qu’une machine à perdre.

L’enjeu, pour la droite, est donc de se réinventer ou de disparaître, phagocytée par la gauche et ses nouveaux avatars. À contre-courant de l’idéologie dominante, la droite de la reconquête doit se doter d’une colonne vertébrale idéologique et formuler le projet d’une véritable révolution conservatrice, en considérant la racine des enjeux et non en naviguant à vue au gré des sondages et des tendances du moment. Nous ne pourrons faire l’économie d’un diagnostic sans concession et d’une thérapie de choc si nous voulons véritablement redresser notre pays.

Quatre orientations fondamentales doivent ainsi être intégrées au logiciel de la droite nouvelle :

1) La question identitaire est incontournable. Face aux problématiques du Grand Remplacement et de la sédition communautariste, l’enjeu n’est plus seulement migratoire : il est démographique. C’est un enjeu de civilisation. L’organisation d’une politique de remigration, c’est-à-dire d’inversion des flux migratoires et de retour des immigrés dans leur pays d’origine, est une nécessité impérieuse qui, tôt ou tard, sera rendue nécessaire par les circonstances. Les sociétés multiculturelles et multiethniques sont toujours des sociétés multiviolentes.

2) Opposer l’identité et la souveraineté relève de l’hémiplégie. La nation ne se peut concevoir que comme une communauté de destin consciente de ses racines charnelles et historiques, de ses ancrages linguistiques et culturels, et aspirant à l’indépendance et à la puissance. Ainsi l’affirmation identitaire et la légitimité à prétendre à la souveraineté dépendent l’une de l’autre. Là où l’identité est bafouée, la souveraineté est menacée. Là où la souveraineté est niée, l’identité est en péril.

3) La « république » ne constitue pas la solution mais bien une partie du problème. Le fétichisme de la « lutte contre les discriminations » et le recours systématique aux « valeurs républicaines » dissimule, en réalité, un projet idéologique qui n’est autre que celui de l’effacement de la France et de son remplacement par une entité post-nationale et communautariste, livrée pieds et poings liés à la prédation de tout ce que compte le monde d’intérêts étrangers et mercantiles.

4) La subversion morale précède toujours l’hégémonie du capital. Chaque offensive « progressiste », chaque coup porté aux institutions séculaires et à l’ordre traditionnel de la société correspond à une nouvelle percée matérialiste et à une extension du monde marchand. La contestation du libéralisme-libertaire doit donc s’opérer d’une part au nom de la défense des valeurs traditionnelles de notre civilisation et de son héritage millénaire et, d’autre part, au nom du refus de la réification intégrale des rapports sociaux et de l’assujettissement des individus à l’utilitarisme et l’uniformisation de la société libérale.

Face au cartel des médias, des juges et des lobbies, ce n’est pas d’une énième coalition électorale de revanchards carriéristes et de calculateurs versatiles que nous avons besoin. À l’orée d’années décisives pour l’avenir de la France, la droite de la reconquête doit se construire en dehors des bornes de la pensée unique, s’appuyer sur une nouvelle génération affranchie des utopies soixante-huitardes et formuler une vision du monde à la hauteur des enjeux et des défis que pose ce siècle.

20:17 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEUDI 21 JUIN : MICHEL KLEN, AUTEUR DE "LA TRAGÉDIE DE L'ALGÉRIE FRANÇAISE" INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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10:00 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand Benetton fait sa pelote sur le dos des "migrants"...

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Nicolas Gauthier

De tous les bizness, le malheur est finalement le plus rentable. Celui de ces immigrés clandestins, qu’on les appelle « réfugiés » ou « migrants », par exemple. Pour le crime organisé, c’est une aubaine : le trafic d’êtres humains rapporte plus que celui de la drogue et coûte moins cher devant les tribunaux. Pour les ONG, c’est un autre jackpot, avec subventions d’État et flatteuse réputation auprès des médias.

Mais il y a encore une autre race de vautours qui se mêle désormais au grand bal des hypocrites : les aigrefins de la publicité, ceux de Benetton, comme généralement, et leur grand gourou Oliviero Toscani, plus précisément. Quel génie que cet homme, qui a inventé le lainage antiraciste et humanitaire, le cache-nez subversif. « United Colors of Benetton », pour reprendre le slogan de la maison, mantra servi, resservi jusqu’à la nausée et accommodé à toutes les sauces.

Ainsi, placardés sur les artères de toutes les capitales du monde libre, le curé roulait naguère une pelle au rabbin, le militant de l’OLP tripotait celui du Likoud, le séropositif étreignait le séro-négatif, la bonne sœur se retrouvait dans les bras de la strip-teaseuse, en une inénarrable partouze de scrofuleux plus ou moins photogéniques. Au siècle dernier, le tout a fait le bonheur des Inconnus, célèbre trio comique.

On pensait que Luciano Benetton (des tricots du même nom), qu’Oliviero Toscani et autres communicants avaient raccroché les gants, mais non. Comme quoi la connerie, au même titre que le quinoa, conserve aussi. D’où les publicités en question, dans lesquelles sont exhibés des nomades à si faibles revenus qu’ils doivent se contenter de gilets de sauvetage d’un vulgaire sans nom – cet orange flashy ne va avec rien, vous en conviendrez – plutôt que de ces nippes qui, à l’unité, valent autant que ces barcasses dont on voit bien qu’elles ne sont pas destinées aux croisières traditionnellement réservées aux lecteurs du Figaro ou de L’Obs. Tout cela est d’un commun, nous en conviendrons.

Du coup, posons la question que tout esprit normalement constitué est en droit de se poser : pourquoi les actionnaires de Benetton n’ont-ils pas exilé plus tôt Oliviero Toscani dans les déserts de Libye ? Car pour évoquer la question du seul point de vue boutiquier, ce n’est pas une maille à l’endroit et l’autre à l’envers, mais toutes de traviole. Pour les « humanitaires » de SOS Méditerranée : « La tragédie humaine qui se déroule en Méditerranée ne doit jamais être utilisée à des fins commerciales. » Pour Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur italien : « Tout cela est sordide. »

Ainsi, il est un fait que les pulls en question connaissent aujourd’hui un indéniable retour en grâce médiatique. Il en est un autre que, du point de vue de l’image publique, les résultats puissent être plus contestables. Un peu comme si d’autres brillants cerveaux de la communication avaient chargé Harvey Weinstein d’enseigner au Couvent des Oiseaux.

Source Boulevard Voltaire cliquez là

09:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 20 juin 2018

Bon anniversaire à Jean-Marie Le Pen

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" Quand les automobilistes français vont ralentir à 80, moi, j'accélère à 90. "

Jean-Marie Le Pen

19:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 22 juin : conférence d'Alain Escada à Paris

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18:58 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LETTRE D’AMERIQUE

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Jean-Claude Rolinat

Je viens d’achever mon 12e voyage aux Etats-Unis d’Amérique, ce pays-continent d’où nous vient le pire comme le meilleur, toujours avec quelques années de décalage. 

Les temps ont changé

Mais les temps ont changé. Depuis 1989,  le mur de Berlin est tombé et, un à un, les pays captifs de l’Europe de l’Est ont recouvré la liberté. Aujourd’hui l’OTAN, l’outil militaire de l’Alliance Atlantique,  apparait bien  plus comme une camisole de force  que comme une assurance-vie.

La menace soviétique n’existe plus et la Russie, sous la houlette de Vladimir Poutine, aspire à redevenir la Russie de toujours, une grande puissance continentale avec laquelle, naturellement, nous devrions commercer et coopérer au lieu de la considérer comme une pestiférée, et lui appliquer un embargo contraire à nos intérêts bien compris. Il est d’ailleurs étonnant, à ce sujet, de constater que certains talentueux  journalistes de notre famille de pensée au sens large du terme, aient les yeux de Chimène pour Washington, et que leur tropisme pro-américain obscurcisse leur jugement. Car enfin, la donne a changé, et les Américains sous la conduite de Donald Trump, redeviennent des Américains, c’est-à-dire une puissance consciente de sa force, leader autoproclamé et imposé du « monde libre », en un mot, une nation « impériale », voire impérialiste. On peut aimer le cinéma américain, parcourir avec jubilation l’immensité du pays, s’intéresser à l’originalité de ses institutions, sans pour autant adouber sa politique étrangère, essentiellement égoïste. Mais là, quoi d’étonnant, quoi de plus naturel ? Trump fait ce qu’il a dit et il défend les intérêts de son pays, - « America first » -, ce dont devraient s’inspirer nos propres dirigeants et tous les eurocrates de la galaxie Bruxelloise.

Des constantes et des variables

Des constantes dans l’attitude des Américains à l’égard du touriste étranger ? Oui, leur gentillesse et leur promptitude désintéressée, en général, à aider et à renseigner le visiteur, à s’efforcer même de balbutier  parfois quelques mots de français. Une main-mise japonaise confirmée sur le parc automobile et la domination des SUV et autres 4 x 4.

Et puis, tout y est toujours plus grand, tout est toujours excessif, voire extravagant. Le football américain comme le base-ball, me sont toujours aussi hermétiques et ces sports continuent de déchainer, dans les gradins des  stades, des grandes comme des petites villes, l’enthousiasme des locaux,  à grands renforts de démonstrations de « pom-pomgirls ». Les chaines de télévision sont toujours aussi nombreuses et les coupures de pub obsédantes. Le lent changement de population, comme chez nous, se poursuit et les villes, les grosses métropoles en tout cas, sont de plus en plus cosmopolites.

San-Francisco, par exemple, a un tiers de ses habitants  d’origine asiatique, et New-York comme Los Angeles sont des « villes-monde ». A la moitié du siècle, les Blancs ne seront plus que  49 % de la population, une population vieillissante. On comprend, dans ces conditions, les velléités de Trump à vouloir réguler sinon stopper, l’immigration. Un mur, comme le démontre celui réalisé en Hongrie, n’est pas une chimère quant à son efficacité. Qu’attend le congrès pour voter son financement ? Ce pays qui fut un creuset de peuples européens, le célèbre melting-pot, est aujourd’hui très largement multiracial, et les communautés ne  se retrouvent que sur les plus petits dénominateurs communs, le drapeau étoilé et le passeport bleu. Les variables s’observent dans la rue. La tendance à l’obésité, cette fois,  semble irréversible, frappant surtout la communauté noire,  mais pas que: les « belles du Sud » de jadis ont parfois tendance à avoir un bassin aussi large que celui du Mississippi ! L’économie repart à la hausse et le taux de chômage est de 3,8 %, hausse  également du salaire horaire moyen  à 26,92 dollars, baisse des impôts sur les sociétés, un « cadeau » du milliardaire américain qui a permis à celles-ci d’augmenter leurs salariés….

Contrairement aux tracasseries françaises, c’est simple comme « bonjour » pour créer son entreprise. Mais  si les clignotants économiques sont au beau fixe, il ne faudrait pas pour autant oublier qu’il existe une Amérique pauvre, qui habite dans des caravanes, des mobil home, et qui ne se soigne pas, faute de mutuelle. A San-Francisco encore, les homeless pulullent dans les rues comme les détraqués mentaux d’ailleurs, phénomène qui s’explique par l’insuffisance ou l’absence d’investissements sociaux. Le pays n’est pas homogène, ni culturellement, ni géographiquement bien sûr, encore moins ethniquement parlant.

Nos intérêts divergent

C’est un pays fascinant auquel nous devons beaucoup, certes. Mais l’inverse est aussi vrai : sans la politique d’aide de Louis XVI aux insurgents, - et Louisville dans le Kentucky, par exemple, rend hommage à notre souverain par une belle statue-, les treize colonies anglaises initiales, auraient pu avoir un autre destin. Mais il ne faudrait pas oublier que les USA d’aujourd’hui ont des intérêts qui divergent des nôtres : sur l’Iran, - et là l’Europe aurait une occasion unique de démontrer son utilité -, sur nos relations avec la Russie, sur la défense etc… Les Etats-Unis veulent appliquer un protectionnisme économique, droit  qu’ils refusent de reconnaitre  aux autres. Céder à leur pression, c’est se tirer une balle dans le pied ! Ne raisonnons plus comme si les Russes étaient toujours de méchants bolcheviks, les Iraniens chiites des « vilains » infréquentables, et les Saoudiens sunnites de« gentils » businessmen. Cessons d’être tétanisés par les menaces washingtoniennes, entamons le bras de fer avec Trump, cet homme-là ne connait que les rapports de force. Il a été élu par l’immense majorité de « petits blancs » contrel’establishment : c’est peut-être sympathique, mais cela ne doit pas nous dissuader, nous Français et Européens, de privilégier NOS intérêts.

Quand on voit que la BNP a dû payer une colossale amende pour pouvoir continuer ses activités dans les cinquante Etats, que Peugeot semble reculer sur le marché iranien, et que la vente des Airbus à ce pays est menacée, nous ne sommes pas rassurés !

18:50 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lyon : LE BASTION SOCIAL OCCUPE LE TOIT DE FORUM RÉFUGIÉS !

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Un communiqué du Bastion social :
 
Les militants du Bastion Social occupent ce mercredi le toit de l'immeuble abritant Forum Réfugiés, rue Garibaldi, à Lyon afin de dénoncer cette association subventionnée sans-frontièriste qui sert d'appel d'air à l'immigration clandestine.
 
Des millions de français vivent sous le seuil de pauvreté, fermons les complices de l'immigration afin que les aides sociales, l'accès au logement, l'emploi, la santé soient réservés uniquement à nos compatriotes !
 
Exigeons la préférence nationale pour que les nationaux redeviennent maîtres de leur destin et maîtres chez eux ! 

11:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Italie : UNE NOUVELLE REVUE D'HISTOIRE EST NÉE

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PRÉSENTATION DE STORIA RIVISTA

A l'origine de cette heureuse initiative, un groupe d'hommes et de femmes de convictions dont certains sont issus du MSI, le Mouvement social italien. Parmi eux, notre ami Massimo Magliaro que les lecteurs de Synthèse nationale connaissent bien. Nous lui avons posé quelques questions...

Massimo bonjour, présentez-nous cette revue qui était en gestation depuis quelques temps et qui vient de sortir.

Cette nouvelle revue voit le jour en Italie veut être une revue à la fois de divulgation et d’approfondissement. C'est un projet ambitieuse et unitaire.

Son nom : Storia Revista (Histoire Revue) et sa publication bimestrielle. Elle compte un peu moins de deux cents pages.

Le "chemin de fer" de chaque numéro sera le suivant : la première partie est un recueil d’articles sur des hommes, des idées des faits qui concernent la droite en Italie et dans le monde ; la deuxième est un dossier monothématique consacré à un évènement, une célébration, un contexte raconté et analysé d’un point de vue de droite.

Pourquoi ambitieuse ?

Parce que la droite italienne (NDLR : comme partout en Europe) doit avoir l’ambition de retrouver ses valeurs, ses idées et son histoires qui l’ont maintenue unie et vivante pendant si longtemps. La droite doit aujourd’hui demander à l’Histoire, avant tout à son Histoire, les réponses nécessaires pour retrouver le langage perdu de sa propre unité et les raisons profondes de la convivialité, langage et raisons qui lui ont permis d’affronter avec dignité le monde qui continuait à l’assiéger impitoyablement.

Et tout ceci est fort ambitieux.

Mais il s’agit également d’un projet unitaire. Dès lors que ce ne sera pas uniquement la voix d’une « petite partie » de notre famille. Ce sera  la voix de toutes les expériences idéales qui ont rempli la vie, les rêves, les projets de ce milieu, qui lui ont donné la force et qui lui ont permis de vivre son propre temps avec fierté et orgueil alors que tout lui était âprement hostile.

Cette cohérence idéale, ce sens très fort d’appartenance enraciné dans ses gens constituent précisément aujourd’hui le patrimoine principal à récupérer et dans lequel puiser pour construire les routes de l’avenir.

Pourquoi le nom Histoire Revue ?

Revue signifie relue, étudiée de nouveau, analysée de nouveau, revisitée. Nous ne nous contentons pas des jugements codifiés, des stéréotypes moraux imposés par le «culturellement correct». L’Histoire, l’histoire avec un H majuscule, ne cesse jamais de parler, de fournir des éléments, des suggestions, du matériel varié. Elle ne cesse jamais d’être interprétée, comprise, jugée. C’est un livre qu’il faut ouvrir et rouvrir, toujours, qu’il ne faut jamais mettre de côté. C’est un terrain qu’il faut sans cesse labourer car il donne toujours ses fruits.

L’Histoire n’est pas seulement le passé; elle est le présent et aussi l’avenir.

Un présent qui n’a pas de passé n’aura jamais de futur, lit-on dans la présentation.

L’horizon dans lequel s’inscrit la revue est vaste, il part naturellement de l’Italie mais il se dilate dans le monde, là où il y a une droite à raconter.

Massimo, vous assurez la direction de la revue, mais qui sont les autres promoteurs de cette aventure éditorialiste ?

Histoire Revue s'est dotée d’un Comité directeur composé, outre moi-même, d’Alessandro Amorese, Adalbelto Baldoni, Mario Bozzi Sentieri, Roberto Rosseti et Marco Valle.

Nombreux sont les collaborateurs, surtout des jeunes. Même des étrangers.

C’est la jeune et aguerrie maison d’édition Eclettica Edizioni, de Massa, en Touscanie, déjà connue en Italie pour avoir fait publier des textes très intéressants et qui ont remporté un grand succès, qui en a assuré la publication. Il s’agit entre autres de la maison d’édition qui d’ici la fin de l’année publiera en exclusivité l’édition italienne des « Mémoires » de Jean Marie Le Pen.

Le premier numéro, qui sera présenté dans quelques jours à Rome et puis au fur et à mesure dans le reste de l’Italie, s’ouvre précisément sur la publication en exclusivité (NDLR : rédigée par le directeur, Magliaro) du chapitre des « Mémoires » de Le Pen consacré à la naissance du Front national (auquel sa fille, Marine, vient de changer le nom) et continue avec le premier fascicule d’une histoire ultra-documentée du Msi écrite par Baldoni, un texte inédit d’Amorese sur la monnaie clandestine frappée dans l’après-guerre par le Msi d’Apuania, le portrait du premier «federale» du Msi de Cagliari, Marigo, rédigé par Giuseppe Serra, le récit, signé par Bozzi Santieri, du rôle joué à droite par le quotidien milanais du soir La Notte, un essai de Nazzareno Mollicone sur la politique démographique du Fascisme, une analyse de la droite hongroise d’hier et d’aujourd’hui conduite par Marco Valle, et un inédit sur le jeune Johnny Halliday lorsqu'il était militant de la droite radicale française.

La deuxième partie de la revue est entièrement consacrée aux années ‘68. Le dossier a pour titre «Le singe de ’68. Cinquante ans après l’Italie paye encore le compte».

On y trouve des essais et des articles de Baldoni, Gennaccari, Amorese, Rossetti, Volante, Barbetti et Magliaro. Le dossier est enrichi de témoignages de certains des protagonistes de ces faits (entre les quels Jack Marchal), une anthologie de philosophes, d’historiens, d’économistes, de sociologues, d’essayistes, (Spirito, D’Eramo, Rasi, Ginsborg, Bedeschi, Vulpitta, Gnerre, Cipriani, Veneziani, De Mattei, Corrêa de Oliveira, Del Noce, De Turris, Bardèche, Duprat, Evola) et enfin une table ronde avec la participation de Pietro Cerullo, Gennaro Malgieri, Bozzi Sentieri et Adriano Scianca.

Chaque numéro deStoria.Revue coûtera 13 euros. L’abonnement annuel par contre 60 euros.

Le dossier du deuxième numéro, dont la sortie est imminente, sera consacré à Giorgio Almirante et à Pino Romualdi à l’occasion du trentenaire de leur mort.

Rappelons que nous devons à Massimo Magliaro la rédaction d'un Cahier d'Histoire du nationalisme (n°11) consacré à l'histoire du Mouvement social italien cliquez ici. Ce Cahier de 220 pages est sorti en février 2017 à l'occasion du 70e anniversaire du MSI fêter, à Paris à l'initiative des Amis de Synthèse nationale cliquez ici.

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mardi, 19 juin 2018

Réinfo, le mag du Parti de la France

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18:39 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |