dimanche, 13 janvier 2019
Un ouragan politique pour 2019 ?
Georges Feltin-Tracol
Le Chroniqueur hebdomadaire du Village planétaire vous présente tous ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année. La période est propice tant pour dresser le bilan de l’année achevée que pour se lancer dans l’exercice périlleux des prévisions concernant les 358 prochains jours. Au risque de la banalité, 2019 sera une année cruciale comme 2018 le fut et comme le sera 2020.
Moins de deux ans après son élection, Emmanuel Macron se trouve au tournant de sa présidence. Le mouvement inédit des « Gilets jaunes » qui marquera 2018 bien mieux que la victoire sportive des Français à la Coupe du Monde à Moscou couronne un impressionnant effondrement, rapide et continu, commencé à la mi-juillet avec l’extravagante affaire Benalla. Il est probable que les jours d’Édouard Philippe en tant que Premier ministre soient dorénavant comptés. François Bayrou rêverait de le remplacer, mais Emmanuel Macron qui se méfie du maire centriste de Pau, n’aime pas se faire forcer la main.
Vu l’étroitesse extrême du vivier dans lequel il pourrait puiser un nouveau chef du gouvernement, l’actuel locataire de l’Élysée pourrait désigner Jean-Michel Blanquer ou, si la situation sociale s’envenime vraiment, Nicolas Sarközy avec qui il entretient des relations cordiales. Heureux de revenir aux affaires et malgré plusieurs enquêtes judiciaires qui le ciblent, l’ancien chef de l’État serait aussi ravi d’écarter Laurent Wauquiez qu’il n’apprécie pas et dont le message tout en tiédeur ne parvient pas à imprimer dans l’opinion. Choisir l’ancien président (ou l’un de ses lieutenants) présenterait pour Emmanuel Macron l’avantage de dynamiter la droite mollasse après s’être débarrassé d’une gauche aujourd’hui en ruines, éclatée entre La France insoumise, un PCF ectoplasmique, l’éco-socialisme bobo inclusif de Benoît Hamon, les Verts et des restes sociaux-démocrates prêts à se donner aux Thénardier du social-libéralisme, Ségolène Royal et François Hollande.
L’agitation sociale qui secoue la France inquiète l’hyper-classe cosmopolite. Elle s’interroge désormais sur la fiabilité de son poulain présidentiel. Les modestes et médiocres concessions qu’il a accordées aux « Gilets jaunes » indisposent Wall Street, la City, Francfort et l’incompétente classe politique allemande bornée. Certains cénacles mondialistes recherchent dès à présent son successeur, non pas pour 2022, mais pour les prochains mois. Dans sa livraison du 15 au 31 octobre 2018, l’excellente lettre d’informations confidentielles Faits & Documents annonçait que plusieurs dirigeants européens envisagent dans leur entourage le plus proche l’éventualité d’« une élection présidentielle anticipée en France dans la foulée des élections européennes (p. 4) », suite à la démission d’Emmanuel Macron.
Le président démissionnaire pourrait alors tenter de se représenter afin que les électeurs reconfirment leur choix de mai 2017. Il n’est toutefois pas certain que Emmanuel Macron obtienne cette fois-ci les 500 parrainages requis en raison de l’immense déception qu’il a provoquée auprès des élus locaux… Des coteries atlantistes et/ou mondialistes miseraient dans ces circonstances exceptionnelles sur une candidature de François Hollande, de Nicolas Sarközy, voire de Ségolène Royal (en attendant peut-être celle de Jacques Chirac, de Valéry Giscard d’Estaing et de Georges Pompidou…). D’autres cénacles pencheraient plutôt pour une personnalité plus consensuelle. L’actuel président du Sénat, le Républicain des Yvelines Gérard Larcher, fait figure de favori. Son élection permettrait la constitution d’un gouvernement d’« union nationale », comprendre d’alignement inconditionnel sur l’Occident globalitaire financiariste. En revanche, en cas de reprise – une fois les fêtes passées – et d’aggravation de la crise des « Gilets jaunes » qui virerait en une « insurrection de basse intensité », le général Pierre de Villiers constituerait un recours possible acceptable aux yeux de l’opinion et pour le petit milieu conservateur-libéral atlantiste et sécuritaire.
Quand bien même ces spéculations se révéleraient erronées, il est indéniable que la recomposition du paysage politique français va se poursuivre et même s’accélérer. L’Hexagone reste dans le « grand échiquier planétaire » un acteur majeur qui ne doit pas être négligé.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°107, mise en ligne sur TVLibertés, le 7 janvier 2018.
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CONSEIL DE SECURITE DES NATIONS-UNIES : PARIS VA-T-IL CEDER A BERLIN ?
Le bloc-notes de Jean-Claude. Rolinat
Pendant que les « gilets jaunes » défilent et captent l’attention des médias et du public, le pouvoir orchestre, en douce, dans ses arrières boutiques, quelques mauvais coups contre la France. La signature du pacte onusien de Marrakech en est une illustration. Mais il y a une autre affaire qui pourrait se tramer dans le dos des citoyens français.
Depuis la fondation des Nations Unies au lendemain de la deuxième Guerre mondiale, la France est avec les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’ex-URSS et la Chine, membre permanent du Conseil de sécurité, l’organe exécutif du « machin », comme disait De Gaulle. Une prime aux vainqueurs, en quelque sorte. Le siège onusien de la Chine changea, passant des mains du gouvernement du maréchal Tchang-Kaï-Tchek ,- celui de la Chine nationaliste réfugié dans l’ile de Formose (Taiwan) -, à celle de la Chine rouge, le gouvernement de Pékin. Après la reconnaissance du régime de Mao par, notamment, le Royaume-Uni, la France en 1964 et, surtout les USA du Président Nixon, Pékin devint aux yeux du monde la « seule Chine » au grand dam du gouvernement de Taipeh. Aujourd’hui, il semblerait que nos bons alliés allemands, faute de pouvoir accéder eux-mêmes à titre permanent au Conseil de sécurité, mènent une activité de lobbying pour éjecter, semble-t-il, leur partenaire d’outre Rhin, c’est-à-dire… nous !
Prétexte, l’équilibre européen. C’est ainsi que le vice-chancelier de la République fédérale, Olaf Scholz, a déclaré, « Si nous prenons l’Union européenne au sérieux, l’U-E devrait également parler d’une seule voix au Conseil de sécurité des Nations unies (…) A moyen terme, le siège de la France pourrait être transformé en siège de l’Union européenne ». Et ceci est exprimé au moment même où l’administration Trump ne semble plus accorder de statut diplomatique au représentant de cette Union européenne à Washington, au prétexte, tout à fait justifié, que l’U-E « n’est pas un Etat » !
Une réforme, oui, un abandon, non
La France propose une réforme du fonctionnement du Conseil de sécurité, en avançant l’idée d’un élargissement aux puissances montantes, une par continent, Inde, Nigéria ou Afrique du Sud, Brésil. Russes comme Américains estiment quant à eux, que l’institution onusienne est régulièrement bloquée par le fameux « droit de veto », dont les deux compères usent et abusent réciproquement sans vergogne !
Que va faire Paris alors que des voix s’élèvent, encore bien timides et isolées, pour suggérer que la France devrait se retirer au profit d’un partenaire européen ? Le Quai d’Orsay, par l’intermédiaire de son porte-parole a déclaré :
« La France est favorable à l’élargissement du Conseil de sécurité (…) pour faire entrer comme membres permanents l’Allemagne, mais aussi le Japon, le Brésil, l’Inde ainsi que deux pays africains ».
Un avocat des intérêts d’Outre-Rhin ?
Paris qui, pour l’instant n’a officiellement rien choisi, s’efforce de cacher sa gêne derrière le paravent de sa bonne conscience européenne en disant qu’au-delà de son propre discours, la France s’efforce toujours d’exprimer le « consensus » européen tel qu’il ressortirait des décisions de son Conseil. Que fera Macron, européiste convaincu ? Voilà une bonne question à soumettre à un référendum : « Voulez-vous que la France abandonne son siège au Conseil de sécurité des Nations unies au profit de l’Union européenne ? ». Prenons tout de suite les paris ! Mais attention, il y a des voix étranges qui s’élèvent au sein de La République en Marche, - en marche arrière ? -, favorables à la « Grosse Germania », telle celle de cet Aurélien Taché, député du Val d’Oise, qui n’hésite pas à déclarer : « Le fait de transférer une grande partie de la souveraineté nationale au niveau européen, c’est le cœur de ce que l’on va proposer aux élections européennes ».
Ce jeune homme ferait mieux de lire et relire l’histoire s’il veut sauver en 2022 ou avant, son siège éjectable de parlementaire !
19:41 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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CHAQUE SEMAINE, EDOUARD PHILIPPE NOUS ENFUME AVEC SES MESURETTES LIBÉRALES...
10:49 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 12 janvier 2019
CARL LANG S'EXPRIME
18:27 Publié dans Gilets Jaunes, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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CHAQUE SEMAINE, IL ORDONNE À LA POLICE DE TABASSER LES GILETS JAUNES
17:07 Publié dans Gilets Jaunes, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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COMME CHAQUE SAMEDI, ON NOUS ANNONÇAIT UN "ESSOUFFLEMENT" DU SOULÈVEMENT POPULAIRE...
14:35 Publié dans Gilets Jaunes, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le local parisien des jeunes identitaires attaqué
Jeudi soir dans le XVe arrondissement de Paris, 10 nervis de l'officine terroriste intitulée "antifas" ont essayé de détruire le local où se réunissent les jeunes de Génération identitaire. Heureusement, les dégâts se limitent à l'extérieur du bâtiment.
Face aux agissements criminels de ces miliciens à la botte des intérêts du Parti de la Finance mondiale que sont les "antifas", petits valets de Castaner et de Mélenchon, il est temps d'envisager une véritable riposte patriotique d'envergure afin d'exiger la mise hors la loi de ces bandes ultra violentes.
De plus, nous sommes (relativement) étonnés que ni Madame Hidalgo, ni Madame Pécresse, se soient rendues sur le lieu de l'attentat pour s'indigner face à de tels agissements.
S.N.
Quoiqu'il en soit rappelons que l'association identitaire Paris fierté organise aujourd'hui :
En savoir plus cliquez là
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Journal du chaos
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vendredi, 11 janvier 2019
Quelques réflexions de bon sens de notre ami Pierre Cassen...
16:21 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un peu d'Histoire...
15:17 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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RAPPEL : samedi 12 janvier, conférence de Robert Steuckers et de Georges Feltin-Tracol dans les Landes
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Ni grand ni débat ni national
Jean-Gilles Malliarakis L'Insolent cliquez ici
La consultation des Français dont le gouvernement a prévu le commencement au 15 janvier s'annonce sous de mauvais auspices. Elle est qualifiée de grand débat national. Trois mots, trois mensonges.
Benjamin Griveaux (NDLR : en photo ci-dessus derrière Macron) fait toujours office de porte-parole du pouvoir. Responsable à ce titre d'une part de son impopularité, cette insupportable tête à claques tente de le délimiter d'une manière étroite en contradiction avec le propos de son maître le 10 décembre. On ne peut que constater une chose : la volonté de restreindre à quatre sujets cet ersatz de démocratie participative.
Si l'on compare en effet la liste des têtes de chapitres, l'un au moins excède largement la compétence que l'on pourrait prêter à de telles assemblées informelles, avec le sujet de la fiscalité.
La procédure envisagée n'existant nulle part sous la forme qui semble se dessiner, on se contentera de comparer les pratiques de la démocratie directe telle qu'elle fonctionne, de façon correcte dans un pays de taille et de structure(1) analogue au nôtre : l'Italie, où la constitution organise l'initiative citoyenne de façon raisonnable, en écartant précisément la fiscalité.
En France le débat politique quotidien sur ce sujet tourne, surtout, autour de quelques impôts seulement : l'indétrônable impôt sur le revenu et l'ancien ISF. La popularité posthume incroyable dont jouit ce dernier se révèle inversement proportionnelle au nombre de ses contributeurs. Il en va de même pour l'IR que moins de la moitié des citoyens supportent mais pour lequel tout le monde vote.
On sait donc très bien que le fiscalisme emportera toujours l'adhésion de ceux qui, précisément, ne payent pas. Il en allait déjà de même au Moyen Âge où les clercs théorisaient la taille, alors qu'ils ne la subissaient pas. Il en ira ainsi, au terme de la réforme chaotique de la taxe d'habitation : elle sera infligée aux seuls propriétaires de résidences secondaires qui, par définition, ne votent pas dans les communes, où ils consomment beaucoup moins de services municipaux, où leurs enfants ne sont pas scolarisés, etc. Les exempts des contributions jugent normal, juste, égalitaire et quelque part sans doute évangélique de faire payer les autres.
Rappelons que les deux impôts qui coûtent le plus cher aux Français, ce qui permet de les louer de ce qu'ils rapportent le plus à l'État central parisien, sont moins souvent évoqués : il s'agit de la Taxe à la valeur ajoutée et de la Taxe sur les produits pétroliers, encore qu'elle a servi indirectement de détonateur à la protestation initiale des Gilets jaunes.
Dans les débats forcés et biaisés on prétend ajouter la fameuse et fumeuse notion de transition énergétique. Un chapitre du Deutéronome, jusqu'ici mal connu, fait sans doute figurer cet impératif dans les commandements dictés à Moïse sur le mont Sinaï. Mais, au pays de Voltaire, on ne semble guère s'en préoccuper.
On dédaigne en haut lieu la simple lutte contre la pollution, celle des océans par les sacs plastiques, celle des cours d'eau que l'on empoisonne, celle de nos villes de plus en plus sales, sous l'effet de dégradations impunies. On débat plus volontiers de ce contre quoi nous ne pouvons pas grand-chose, le climat, la planète, etc.
Ce faux débat pourra-t-il être qualifié de national ? Il semble résolument que non. On pourrait entendre par là qu'il doit s'ouvrir aux questions relatives à l'identité de la nation, de la France, de l'Europe. Parmi ces sujets, figurerait l'immigration, murmurée timidement par Jupiter lors de son allocution de décembre. Il s'agit de la préoccupation lancinante des Français. Mais cela implique aussi certains sujets liés. Or, Benjamin Griveaux a tranché, les classant comme irrecevables.
Si l'on pense que la souveraineté réside dans le peuple entier elle ne saurait se déléguer à des assemblées générales. Curieusement d'ailleurs c'est le parti de la France Insoumise dont les partisans, à plus de 53 %, s'apprêtent plus que les autres à participer, ou le disent, contre 20 ou 30 % pour les sympathisants d'autres courants d'opinion. On peut leur faire confiance, à eux et aux gens de la CGT, pour crier plus fort que les autres. Mais la direction de ce parti, Mélenchon en tête récuse par avance la procédure.
Cela devrait nous rappeler le sanglant souvenir des soviets de 1917 en Russie. Ils furent noyautés par les bolcheviks. Mais ils se virent réduits au silence en 1918 par Lénine, Trotski et Staline dès qu'ils accédèrent au pouvoir.
(1) Le cas souvent évoqué de la votation en Suisse, outre son caractère traditionnel, peut difficilement se transposer dans un pays centralisé, où, de plus, le référendum fait l'objet d'une dramatisation et d'une personnalisation. On vote en France pour ou contre celui qui pose la question.
12:59 Publié dans Gilets Jaunes, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
11:30 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un nouveau numéro hors-série de Présent consacré à François Brigneau et à Jean Madiran
Chez votre marchand de journaux
ou sur le site de Présent cliquez ici
Vous pouvez aussi commander le précédent hors-série
de Présent consacré au procès Méric cliquez là
11:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Après la Libération, il faudra procéder à une Épuration
Bernard Plouvier
... et cela aura un petit air de « déjà vu » !
Non seulement, il faudra punir les traîtres à la patrie qui auront favorisé l’essai de destruction de notre Nation par une immigration-invasion d’une ampleur incommensurablement plus grande que les tentatives perpétrées par les hordes de Huns ou de mahométans, jusqu’à ce que ces derniers reçoivent deux déculottées, près de Bordeaux et de Poitiers.
Mais aussi, il faudra se souvenir du traitement honteux infligé au peuple de France par Grand Président Macron, son joueur de poker favori, le sieur Castaner, et leurs hordes de flics déchaînés.
Dans l’article de Claude Janvier – excellent comme toujours, avec ce rédacteur enthousiasmant –, paru in Eurolibertés du 11 janvier 2019 cliquez ici, on lit une déclaration issue d’un syndiqué de France Police, exprimée fin décembre, où le zélé fonctionnaire se retranche derrière « les ordres des ministre, préfets et commissaires », pour justifier les yeux et les membres perdus de manifestants dits « Gilets jaunes », les centaines de personnes tabassées ou intoxiquées par les gaz projetés.
Il est bon de rappeler à nos pandores que, si certains d’entre eux sont de redoutables carriéristes sans conscience, ils ne sont pas des robots et que la Loi est faite pour eux comme pour tout autre citoyen.
L’article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (ONU) et l’art. 9 de la Convention Européenne des susdits ont reconnu une Liberté de Conscience (encore faut-il en avoir une !), soit – entre autres choses – le droit pour un militaire ou un policier de s’opposer à certains ordres, notamment ceux dont l’exécution est une flagrante violation de la Loi, comme le fait de tirer avec une arme potentiellement léthale (ou tueuse, comme on voudra) sur des individus désarmés.
Comme le Bon Peuple ne doit pas trop espérer de ses « forces de l’ordre », censées le protéger, puisque ses membres sont soldés par le produit des impôts et des taxes, le Bon Peuple doit, pour l’heure, faire un effort de mémoire et se préparer à l’apurement des comptes... qui suivra l’inévitable période de Libération.
Nous avons connu Philippe Le Bel (Homme) et le Grand Charles (le Général de TSF bien connu). De nos jours, il faut compter avec Emmanuel Le Pétochard et ses sbires. C’est assez dire notre déchéance. Toutefois, même chez une Nation en déclin, le réveil des pauvres – forcément plus nombreux que les riches – est toujours dangereux. Macron and Co., manifestement ignares en matière d’histoire, risquent de l’apprendre à leurs dépens.
11:25 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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7 janvier 2019 : Rome a rendu un vibrant hommage aux militants du Front de la Jeunesse assassinés en 1978
Lire aussi cliquez ici
11:14 Publié dans En Europe et ailleurs..., TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 10 janvier 2019
RAPPEL lundi 14 janvier : un dîner-débat avec Jean-Yves Le Gallou et Gabriele Adinolfi à Paris
21:18 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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RAPPEL samedi 12 janvier : Paris Fierté honore Sainte Geneviève
Un communiqué de Paris Fierté :
L’association Paris Fierté vous donne rendez-vous le 12 janvier pour sa traditionnelle Journée de la Fierté Parisienne, suivie d’une marche aux flambeaux en l’honneur de Sainte-Geneviève, patronne de Paris.
Cette année, la Journée de la Fierté Parisienne honorera celles qui sont tout à la foi saintes, mères et guerrières, celles sans qui Paris ne serait rien : les Parisiennes.
Samedi 12 janvier
13 h : Journée de la Fierté Parisienne
La Journée de la Fierté parisienne se tiendra dans une péniche. Vous pourrez profiter d'un bistrot Guinguette à la parisienne dans une ambiance familiale. Un espace dédié sera prévu pour les enfants.
Le lieu d’amarrage exact de la péniche sera communiqué ultérieurement.
18 h : Marche en l'honneur de Sainte-Geneviève
La Marche en l’honneur de Sainte Geneviève débutera au pont de la Tournelle au niveau de la statue de Sainte-Geneviève (Paris V, métro Pont Marie, près de l’Île Saint Louis). Cette marche aux flambeaux, festive et animée, se terminera par un spectacle surprise.
A la journée ou à la marche, ne fut-ce qu’un moment, seuls, en couple ou en famille... le 12 janvier 2019, vous êtes pris !
La sécurité du public sera garantie pendant l'intégralité de la journée par un service d'ordre professionnel, en lien avec la Préfecture de Police.
21:17 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mercredi, 09 janvier 2019
Hystérie médiatique ou dérapage d’un philosophe professionnel ?
Bernard Plouvier
Si j’en crois l’excellent blog d’informations Breizh Info, que je consulte deux fois/jour, un philosophe-politicien aurait conseillé aux forces de l’ordre d’utiliser leur(s) arme(s) face à des émeutiers violents.
Je n’ai lu qu’une demi-douzaine de pages de Luc Ferry (en revanche j’ai apprécié les deux ouvrages, publiés de façon posthume, de son grandiose parent prénommé Abel, mort au combat en 1918), mais je reste ébahi devant l’absence de nuances que sous-entend son conseil, donné il est vrai dans une émission où l’on cherche à toute force ce scandale qui « fait le buzz » !
Qu’un policier attaqué par des émeutiers armés (qu’il s’agisse d’une arme à feu ou d’une arme blanche menaçante – ce qui exclut le petit canif avec lequel se battaient certains trotskistes en 1968 ; mon coude gauche porte encore la trace d’un contact, mais il avait suffi d’un coup de poing bien placé pour assommer le voyou marxiste après son passage à l’acte) riposte avec son arme de service, c’est la stricte application du principe universel de la « Légitime défense » et l’on ne pourrait qu’approuver M. Ferry s’il en avait fait mention.
En revanche, face à des excités – quelle que puisse être leur motivation – armés de leurs seuls poings, en aucun cas, un policier ne peut tirer autrement qu’en « sommation ». J’ose imaginer que notre distingué philosophe professionnel aurait exprimé ce distinguo si l’animateur-baladin lui en avait laissé le temps.
On reproche semble-t-il à un ex-boxeur professionnel d’avoir affronté à poings nus un policier armé d’une matraque. Je n’y vois qu’un délit d’outrage à agent de l’ordre dans l’exercice de ses fonctions, à moduler en fonction du contexte, car il serait bon de savoir si l’agent avait fait preuve de retenue dans ses actes et si l’ex-pugiliste tentait ou non de dégager un civil.
Il est exact qu’un boxeur ne frappe jamais un homme à terre... sauf s’il est un spécialiste du MMA (Mixed Martial Arts), où le combat à terre fait suite à l’affrontement en position debout, comme au judo ou au jiu-jitsu. Avant de reprocher son manque d’esprit sportif au boxeur, il convient d’étudier de près sa carrière (le passage d’un sport de combat à un autre étant très fréquent).
En outre, il paraît assez curieux d’évoquer les règles sportives à l’occasion d’une émeute, soit un déchaînement de passion – non pas violente, comme l’écrivent les journalistes macroniens -, mais haineuse. La haine est plutôt une spécialité des marxistes et autres gauchistes qu’une caractéristique des Français de base, ceux-là mêmes que j’ai soignés durant 41 années dans divers hôpitaux publics... combien de doctes philosophes, de ministres et de journalistes parisiens ont-ils fréquenté du « Français de base » ?
Après tout, si Grand Président Macron faisait correctement son travail, s’il nous évitait le pénible spectacle des clowneries de sa ravissante épouse, les émeutes des Français autochtones n’auraient pas raison d’être et l’on en reviendrait à notre lot annuel d’émeutes raciales dans les cités saturées d’immigrés... parfaitement indésirables, tant qu’un referendum n’aura pas autorisé leur entrée en masse sur le sol national !
11:47 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 08 janvier 2019
Économie : ce ne sera pas une correction mais un krach !
Marc Rousset
Étienne Lefebvre, rédacteur en chef des Échos, vient de déclarer : « Il n’y aura pas de krach, mais une correction en 2019. » En fait, les Français, avec à leur tête Macron, « barreur de petit temps »selon Nicolas Sarkozy, doivent bel et bien s’attendre à un krach en 2019 ou 2020 au plus tard. Les raisons sont multiples : hyper-endettement démentiel (mondial, public et privé), signes de ralentissement de la croissance, incertitudes en janvier 2019 liées au Brexit, restriction des liquidités car fin des politiques monétaires non conventionnelles des banques centrales, remontée inéluctable des taux d’intérêt, fin de la trêve commerciale Chine/États-Unis le 1er mars 2019, élections en mai 2019 et risques populistes salvateurs en Europe, fragilité des pays émergents endettés en dollars, bulles spéculatives boursières et immobilières partout dans le monde, implosion à venir des produits dérivés bancaires.
En Espagne, on assiste à la descente aux enfers de l’entreprise de distribution Dia, tandis que le Premier ministre socialiste Pedro Sánchez relève de 22 %, par décret, le SMIC avec une perte de compétitivité du pays à la clé. En Allemagne, même une entreprise comme Volkswagen doit emprunter, depuis 2018, à 1 % au-dessus du taux du Bund allemand. Aux États-Unis, le président de la Fed Jerome Powell, contrairement aux précédentes déclarations sur les hausses à venir des taux d’intérêt en 2019, face à la chute de Wall Street, aux plaintes des boursiers et aux pressions de Donald Trump, déclare d’une façon très opportuniste que la politique monétaire n’est pas sur une trajectoire préconçue, que la stratégie de réduction automatique du bilan de la Fed à 50 milliards de dollars par mois pourrait être modulée .
Les hausses de taux d’intérêt qui se profilent risquent de faire de nombreuses victimes, étouffées par la charge de la dette. En zone euro, la prime de risque sur les marchés obligataires va augmenter, suite aux incertitudes politiques, en même temps que la volatilité boursière. Natixis, dans une étude économique récente, souligne que, pour les pays de l’Europe du Sud et la France souhaitant corriger leurs stupides réévaluations internes provoquées par le laxisme socialiste (35 h, régimes spéciaux, abaissement de l’âge de la retraite), dévaluer d’une façon interne est maintenant impossible socialement et politiquement : « sortir de l’euro serait catastrophique, mais rester dans l’euro peut être catastrophique aussi ».
Aux États-Unis, Apple, la première société à avoir dépassé les 1.000 milliards de dollars de capitalisation boursière, a perdu plus d’un tiers de sa valeur et fait trembler les marchés, suite au ralentissement de la croissance chinoise et à la guerre commerciale sino-américaine avec les entreprises Huawei et Qualcomm.
En Italie, après Monte dei Paschi di Siena, c’est sauve qui peut à la banque génoise Carige, créée en 1483. La BCE va intervenir directement car les administrateurs de la dixième banque du pays ont démissionné, faute de pouvoir lever les fonds indispensables à son sauvetage. Le titre a perdu 90 % de sa valeur en trois mois. Carige affiche 1,5 milliard d’euros de pertes depuis 2014, suite aux créances douteuses et à des difficultés dans le secteur maritime. Le titre ne vaut plus que 0,0015 euro.
L’Italie, c’est une dette publique de 132 % du PIB, des banques avec 11 % de créances douteuses et 20 % d’obligations risquées d’État à leur actif, 20 % d’entreprises « zombies » alors que la moyenne européenne est de 9 %, des dettes « Target 2 » de la Banque d’Italie à la BCE pour 432 milliards d’euros. La hausse des taux d’intérêt et le ralentissement de la croissance mènent l’Italie à la banqueroute.
Tandis que les économies européennes s’écroulent et s’hyper-endettent, que les classes moyennes fondent, en raison du laxisme socialiste généralisé, du coût de l’invasion migratoire ainsi que de l’insécurité, du mortifère libre-échange mondialiste, la croissance du Vietnam, avec 95 millions d’habitants, a atteint 7 % en 2018. Selon une étude de l’Agence française du développement, les classes moyennes représentent 72,5 % des ménages vietnamiens et le PIB par habitant a été multiplié par dix en trente ans.
17:25 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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RIP pour le RIC ?
Georges Feltin-Tracol
Sociologues, analystes de l’opinion et politologues se réjouissent de cette fin d’année : les « Gilets jaunes » leur fournissent de longues heures d’études supplémentaires. Hétérogène tant par sa composition sociale que par sa structuration par âge, le sexe et les origines géographiques, ce mouvement inédit de contestation politico-sociale valide l’avertissement sur la « fracture sociale » énoncée en 1994 – 1995 par Marcel Gauchet dans une note devenue célèbre de la Fondation Saint-Simon.
Outre l’hostilité à la hausse de la taxe carbone, à l’augmentation des carburants, à la multiplication répressive des radars routiers et au refus de la cherté de la vie courante, les « Gilets jaunes », quasi unanimes, réclament le RIC, le référendum d’initiative citoyenne. Une consultation serait organisée à partir du dépôt d’un nombre précis de signatures de citoyens selon le principe du voisin suisse. Loin de souhaiter un quelconque pouvoir autoritaire charismatique, les « Gilets jaunes » veulent l’extension du domaine démocratique à leur quotidien. Ainsi se rapprochent-ils d’une formation, transalpine celle-là, dont la couleur emblématique est aussi le jaune, le Mouvement Cinq Étoiles.
Il est ironique d’entendre les « Gilets jaunes » réclamer plus de démocratie directe quand un mois avant le début de leur action disparaissait, le 10 octobre dernier, Yvan Blot. Haut-fonctionnaire en retraite, collaborateur aux premiers numéros de Nouvelle École, co-fondateur du Club de l’Horloge et ancien élu du RPR chiraquien et du FN de Jean-Marie Le Pen avant de rallier les Républicains, cet essayiste se passionnait pour les modes de démocratie participative au point d’en devenir un spécialiste éminent. Il n’hésitait pas à assister aux assemblées populaires cantonales dans les Alpes suisses et observait l’emploi du référendum en Allemagne à l’échelle des communes et des Länder, en Italie et aux États-Unis, en particulier en Californie. Par-delà un abord assez froid et distant, il aurait pu donner son point de vue pertinent aux « Gilets jaunes ». Vedette sur Internet depuis un excellent examen du Traité constitutionnel européen en 2005, Étienne Chouard soutient lui aussi le recours référendaire comme facteur de redynamisation de la démocratie et de réaffirmation de l’implication politique des citoyens. On retrouve chez les « Gilets jaunes » une aspiration démocratique radicale très similaire aux discussions un temps exprimées par le phénomène – urbain et bo-bo – « Nuit Debout ».
Il faut reconnaître que le référendum d’initiative populaire (RIP) ne représente pas la panacée. Dans le cadre actuel d’institutions biaisées, l’exécutif, les tribunaux, les médiats et le Conseil constitutionnel en limiteraient la pratique. Le RIP peut même parfois desservir le bien commun. L’interdiction référendaire des minarets en Suisse en 2009 masque d’autres consultations plus ou moins récentes qui ligotent la souveraineté helvétique dans les mailles des traités internationaux ou entérinent des lois liberticides.
Certains « Gilets jaunes » l’ont compris puisqu’ils ajoutent en outre la révocation permanente des élus. Inscrite dans la constitution bolivarienne du Venezuela de feu Hugo Chavez et proposée par La France insoumise, cette procédure existe depuis longtemps en Californie. On oublie que si l’acteur Arnold Schwarzenegger fut pendant sept années gouverneur républicain de cet État, il le dut en 2003 à une pétition révocatoire qui destitua par un vote populaire le gouverneur démocrate Gray Davis et désigna à la majorité relative son successeur pour achever le mandat en cours.
Le référendum d’initiative populaire (ou citoyenne) et la révocation des élus compléteraient la proposition législative d’initiative populaire, la fin des subventions publiques aux partis politiques, aux syndicats et aux associations mémorielles tronquées ainsi que le tirage au sort d’une partie non négligeable des assemblées locales. Ces mesures pourraient dans un premier temps ne concerner que le cadre local, ce qui renforcerait le localisme. Il va de soi que ces innovations institutionnelles ne régleront pas la crise profonde de la « démocratie » occidentale, car sa résolution ne peut passer que par une remise en question intérieure des préoccupations souvent matérialistes de chacun d’entre nous.
Bonjour chez vous et à l’année prochaine !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°106, mise en ligne sur TV Libertés, le 31 décembre 2018.
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lundi, 07 janvier 2019
Les assassins de l’Europe et leur arme de destruction massive
Bernard Plouvier
Comme chacun sait un assassinat est un meurtre commis avec préméditation.
Le Pacte de Marrakech, approuvé par un pape et des prélats catholiques délirants, par la Merkel qui reste en place bien qu’elle ait été désavouée par ses électeurs, par Grand Président Macron qui est sur une sellette éjectable, ne fait que reprendre, en l’étendant, le génocide initié en 1976 par les Deux Immondes : Giscard et Chirac, qui, rattrapés par la sénilité, mourront impunis pour leur décret 76-383 du 29 avril, paru au Journal Officiel de la Ripoublique le 2 mai 1976.
Quel dommage de ne pouvoir croire raisonnablement en un Enfer ! On aimerait que ces êtres vils, vendus stricto sensu à la Finance anonyme et vagabonde – il n’est pas besoin de cultiver la fleur royaliste en France pour adopter cette phrase prononcée par un prétendant au trône il y a près de 120 années -, subissent des tourments jusqu’à la fin des temps.
Une autre fin est programmée, celle des Nations européennes, amenant inévitablement leur remplacement par les sous-doués massivement importés et leurs produits de métissage... sauf réaction puissante des Européens, encore majoritaires sur un continent qui n’appartient qu’à eux.
Rien qu’en France, en additionnant aux adultes les rejetons nés sur le sol réputé français et devenus citoyens « par droit du sol », on compte environ 15 millions de sujets d’origine africaine. On sait que dans de nombreuses régions, plus du tiers des naissances sont à risque de tare drépanocytaire, soit un marqueur génétique d’origine africaine.
En Allemagne, on sait que depuis 2015, la folle a importé 50% d’illettrés – il n’existe pas de statistique disponible de ce type dans la très démocratique Ripoublique franchouillarde. En revanche, l’INSEE nous apprend que chez les « immigrés de première génération », le taux de chômage des sujets en âge et en état de travailler est de 35%... on a importé des non-valeurs, analphabètes et sans qualification autre que l’intense désir de participer à la féérie de consommation qui est le fondement de l’économie actuelle.
Consommer sans Produire ou sans avoir produit, c’est aussi le slogan des immigrés âgés importés inutilement et auxquels l’État français offre une retraite... parfaitement illégale, puisque non ouverte par des cotisations antérieures. Que ceux des retraités français autochtones qui ont travaillé et cotisé 41 années pour gagner à peine de quoi survivre soient heureux : leurs cotisations servent à payer des retraites aux vieillards importés !
Lorsque, durant les années 1980-2000, des toqué(e)s écrivaient qu’il fallait importer des immigrés pour « payer les retraites », ils ou elles (sans compter les personnes de sexe-genre à géométrie variable) ne croyaient pas si bien dire : on a importé un tiers de chômeurs et un nombre imprécis, mais fort grand si l’on en croit les statistiques allemandes et scandinaves, de sous-doués en plus de vieux inutilisables.
Il est évident qu’il existe, au sein de la très composite immigration, des techniciens, voire des savants, mais cette élite africaine ou moyen-orientale devrait retourner dans son continent ou son sous-continent d’origine, pour l’amener au même degré de civilisation que les Européens ont haussé l’Occident.
Le gouffre financier de la SS (Sécurité Sociale, bien sûr !) a pleinement bénéficié de l’immigration : on soigne – pour quelques milliards d’euros de plus – toutes les smalas importées, dont certaines utilisent abusivement de façon collective une seule carte individuelle d’accès aux soins. Et l’on soigne bien évidemment aussi les clandestins dits « sans papier », sans existence légale, mais néanmoins pourvus d’allocations spécifiques et de droits
Car l’on a inventé un droit des clandestins, un droit des illégaux ! Nos politicards ignorent jusqu’à la sémantique, mais ils sont servis par une armée de juristes oubliant sur commande les fondements du Droit... en quelle que sorte des parjures. Ils font partie de cette triste « élite » européenne à qui il faudra bien un jour appliquer le châtiment dû aux Traîtres et aux Collaborateurs.
La réaction nécessaire des Européens est à l’évidence double. D’abord et de façon urgente, il leur incombe de se révolter et de chasser les guignols irresponsables et corrompus qui ont trompé leurs électorats et qui ruinent le continent pour le seul profit des financiers cosmopolites, des producteurs exotiques et des distributeurs, en principe européens. Ensuite, il faut stimuler la natalité autochtone en combattant le féminisme délirant des folles du « droit à la non-grossesse ».
Les Nations européennes menacées dans leur survie n’ont pas besoin de ringards de la politique atteints par la limite d’âge, ni même de « penseurs ». Elles ont besoin d’hommes d’action qui sont prêts à se battre pour assurer l’avenir de leur peuple et le dynamisme de leur patrie. Elles ont besoin de femmes décidées à mettre au monde de véritables enfants d’Europe.
16:10 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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2019 : cette année décisive qui commence
16:03 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Niort : Houellebecq a perdu une occasion de fermer son bec
Il nous avait parfois habitués à des réflexions plus pertinentes ce Houellebecq. Son côté déganté avait même quelque chose de séduisant. Mais patatras, tout s'effondre... l'attribution de la Légion d'honneur fait tomber les mythes et Houellebecq se retrouve dans le même sac que n'importe quel politicard avide de breloques ou n'importe quel lèche-bottes du Système.
Mais, plus grave encore, il se croit obligé dans son dernier livre, Sérotonine, de dénigrer la ville de Niort... en la qualifiant de "ville laide". Quelle déchéance ! On peut sans doute reprocher bien des choses à la préfecture des Deux-Sèvres, en particulier d'être restée soumise des décennies durant à un clan socialiste dogmatique qui ne l'a certes pas arrangée, mais le jugement de Houellebecq est pour le moins arbitraire.
La ville de Niort, aujourd'hui libérée de la camarilla socialo-communiste et qui a l'honneur d'avoir parmi ses édiles notre ami Jean-Romé Charbonneau, est loin d'être aussi laide que l'auteur des Particules élémentaires le prétend. Pour s'en convaincre, il suffit de grimper en haut du Donjon et de la contempler à ses pieds. Mais je doute que Houellebecq se soit donné cette peine. Au juste... a-t-il d'ailleurs mis une fois les pieds à Niort ?
Roland Hélie (natif de Niort)
10:56 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Métainfos, un nouveau dans la galaxie non-conformiste
Il y a quelques semaines, nous vous faisions part de la regrettable disparition du site Métamag cliquez là. Celle-ci témoignait de la difficulté d'entretenir par les réseaux militants dissidents un site quotidien de qualité. Beaucoup ignorent le travail que représente une telle entreprise. Nous en savons quelque chose...
Mais, heureusement, il en faut plus que cela pour décourager les bonnes volontés. Et, grâce à la ténacité de quelques rédacteurs de Métamag regroupés autour de notre camarade Michel Lhomme, un nouveau site vient de naître.
L'esprit est le même et il s'intitule Métainfos. Vous pouvez le consulter en cliquant ici
S.N.
10:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Rome, 7 janvier 1978 : trois militants du Front de la Jeunesse étaient assassinés par la police
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Le 7 janvier 1978, trois militants nationalistes tombent sous les balles de terroristes et de la police.
Les trois jeunes Italiens militaient au Front de la Jeunesse (FGD-Fronte della Gioventù). La première fusillade se déroula quand les militants sortaient alors d’une réunion du Mouvement social italien (MSI-Movimento sociale italiano). Ils furent mitraillés par cinq ou six extrémistes de gauche qui attaquèrent avec des armes automatiques.
Franco Bigonzetti, un étudiant en médecine de 20 ans est tué. Francesco Ciavatta, 18 ans, est blessé ; il parvint à quitter les lieux, pendant que trois autres militants réussissent à revenir au local du MSI, dont Vincenzo Segneri, également blessé par balles.
Les lâches criminels poursuivent Francesco et l’abattent, dans le dos. Il décèdera dans l’ambulance qui le conduit à l’hôpital. Une manifestation spontanée s’organise alors contre ce crime ignoble. Dans une atmosphère tendue, un journaliste de la RAI se livre à un acte tout aussi ignoble : il va éteindre sa cigarette dans le sang de l’une des victimes. Un mouvement de protestation gronde dans la foule ; la police intervient alors est le capitaine de police Edward Sivori abat Stephen Recchini. L’intention de tuer est certaine puisqu’il tire en pleine tête, entre les deux yeux du jeune militant de 19 ans, par ailleurs guitariste du groupe Janus.
Stephano Recchioni décède après deux jours d’agonie.
L’action criminelle des marxistes fera une quatrième victime : le père de Francesco Ciavatta se suicide quelques mois plus tard.
Un cinquième militant nationaliste sera assassiné suite à cette affaire. Un an après le massacres, les organisations nationalistes italiennes veulent démontrer publiquement en souvenir de leurs camarades et pour protester contre l’inaction de la police et de la justice. La marche est interdite par les autorités. Une manifestation spontanée aura pourtant lieu et se déroulera sans le moindre incident.
Alors qu’il rentre chez lui avec un camarade, Alberto Giaquinto est approché par une voiture de police banalisée. Des policiers finissent par en descendre est l’un d’eux tire une balle dans la nuque d’Alberto. Grièvement blessé, il tombe à terre ; les policiers s’enfuient, laissant leur victime mourir. Il demeure plus de 20 minutes dans la rue sans qu’aucun secours n’arrive. Transporté à l’hôpital, il y décède peu après.
Alors qu’il meure, sa famille à ses côtés, le domicile de ses parents est vandalisé par des policiers qui veulent se couvrir et cherchent des preuves – mais agissent sans mandat. Ils prétendirent en effet qu’Alberto était armé, ce qui était faux.
Albert Giaquinto avait 17 ans. La justice n’a jamais condamné les assassins. Plusieurs criminels rouges ont été identifiés : Mario Scrocca, Fulvio Turrini, Cesare Cavallari, Francesco de Martiis e Daniela Dolce. Sans aucun doute coupables, le premier s’est suicidé, le dernier s’est enfui. Les autres seront finalement acquittés.
Les flics tueurs ont également été acquittés.
Trente ans après, aucun des criminels n’a été condamné.
Depuis, nos camarades italiens commémorent la mort de leurs camarades sur les lieux du drame.
09:50 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 06 janvier 2019
Entretien avec Pierre Vial sur Vive l'Europe
20:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Réunion nationaliste à Paris le 19 janvier
20:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jean-Jacques Goldman, pourquoi pas. Mais pourquoi ?
La chronique de Philippe Randa
À nouveau, et pour la huitième fois (mais pas consécutive), le chanteur Jean-Jacques Goldman sort gagnant dans la 66e édition du Top 50 Ifop-JDD, avec, note le JDD, un cru marqué, cette année « par la percée des Bleus, le recul des femmes et la disparition des politiques. »
Bon, pourquoi pas ! Loin de nous l’idée de contester ce sacre dont personne non plus nous empêchera néanmoins de songer : Oui, pourquoi pas ! Mais pourquoi ?
Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop, donne bien un début d’explications qui en vaut d’autres : « Il n’a pas d’actualité, mais il fait résolument partie de la vie des Français »… Ah bon ? De quel Français précisément, on ne le précise pas… Pas davantage que de savoir si 9 autres suivant (Omar Sy, Dany Boon, Kylian MBappé, Thomas Pesquet, Zinédine Zidane, Michel Cymes, Jean Reno, Jean-Paul Belmondo, Soprano) en font donc moins, un peu moins ou beaucoup moins « résolument partie »…
Et pas davantage sur quels critères s’est joué cette préférence, s’agissant pour 7 d’entre eux de saltimbanques ; le spationaute Thomas Pesquet et le médecin-chirurgien Michel Cymes faisant dès lors quelque peu figure de faire-valoir…
Il en va donc des personnalités préférées des Français comme des vœux de Nouvel An : l’un et l’autre sont inévitables chaque année… Mais si les seconds, en général, sont plaisants, même si un peu « obligés », les premiers ne cessent de nous laisser quelque peu perplexe…
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19:50 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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