jeudi, 12 juillet 2018
Samedi 30 juin, Jean-Marie Le Pen fêtait, entouré de ses amis, ses 90 ans
À cette occasion, il a invité Les Brigandes a se produire...
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mercredi, 11 juillet 2018
Samedi 14 juillet, près de Soissons
09:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 10 juillet 2018
JEUDI 12 JUILLET : JEAN-FRANÇOIS TOUZÉ, DIRECTEUR DE "CONFRONTATION" INVITÉ À L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS
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Mercredi 25 juillet, à Bordeaux : conférence de Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, et de Boris Le Lay
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lundi, 09 juillet 2018
Double victoire énergétique de Poutine en Europe et en Turquie !
Marc Rousset
Lors de la récente réélection d’Erdoğan, Poutine, adepte de la « Real Politik », a été un des premiers à le féliciter, en insistant sur le classement prioritaire des grands projets énergétiques avec la Turquie. La Russie aura fini de construire en 2023 la première centrale nucléaire turque d’Akkuyu, soit quatre réacteurs d’une capacité de 4.800 MW avec une durée de vie de 60 ans, d’une valeur de 20 milliards de dollars. Tout cela alors qu’elle aura avancé à la barbe des États-Unis, le déploiement, inopérable dans le cadre de l’OTAN, du redoutable système anti-missile russe S-400.
La Russie continuera de construire également le gazoduc « Turkish Stream », lancé en juin 2017, qui livrera sous la mer Noire le gaz russe à la Turquie. Divisé en deux branches, il livrera du gaz aux consommateurs turcs, mais en acheminera aussi vers les pays du sud et du sud-est de l’Europe tels que la Bulgarie. Ce projet avait été annoncé en septembre 2014 en remplacement du gazoduc russo-européen « South Stream » sous la mer Noire, empêché par Bruxelles, qui devait alimenter le Sud-Ouest européen jusqu’en Italie et vers l’Europe Centrale.
Bruxelles et les États-Unis étaient, en effet, fous de rage de voir que le projet européen concurrent Nabucco, qui devait relier l’Iran et l’Europe centrale en passant par la Syrie et la Turquie, avait dû être annulé suite à la guerre en Syrie ! L’itinéraire des gazoducs et des oléoducs est un facteur important de la géopolitique, une autre raison cachée de la guerre en Syrie. De plus, Poutine, habile stratège et tacticien a réussi à faire du sultan d’Ankara son obligé. Si les Américains, comme ultimes représailles, se refusent à livrer les chasseurs F-35 déjà commandés par la Turquie, Erdoğan leur a déjà fait savoir qu’il a d’autres fournisseurs intéressés pour les remplacer.
Vainqueur en Turquie et dans le Sud-Est européen, Poutine semble aussi avoir déjà remporté la bataille pour la construction du gazoduc Nord Stream 2, qui doit relier directement, via la mer Baltique, la Russie et l’Europe. Les travaux préparatoires dans la baie de Greifswald en Allemagne ont déjà commencé. Trump, avec sa politique « Amérique d’abord » est de plus en mal placé pour donner des conseils désintéressés à l’Europe sur sa sécurité énergétique, alors qu’il veut vendre en fait égoïstement du gaz naturel liquéfié américain. Malheureusement, comme l’a rappelé Poutine, 25 % à 30 % plus cher que le gaz russe. Le projet Nord Stream 2 devrait donc aboutir en 2019 et permettre d’augmenter les capacités de livraison de gaz russe par la route baltique de 50 milliards de mètres cubes. Afin de calmer l’Ukraine, la Russie pourrait s’engager à livrer 20 à 30 milliards de m3 par les tuyaux ukrainiens, mais seulement « si c’est économiquement pertinent », a précisé Poutine.
Les États-Unis ont même envisagé de renoncer à leurs taxes sur l’acier et l’aluminium européen contre l’abandon par l’Allemagne du projet Nord Stream 2. Le projet est, en effet, considéré par l’OTAN comme une menace pour l’Ukraine et la Pologne, cette dernière le comparant au Pacte germano-soviétique de 1939 ! Comme ultime tentative, les États-Unis ont été amenés à lancer l’ITM, l’Initiative des Trois Mers (Baltique, Mer Noire, Adriatique) qui consiste tout simplement à vendre leur gaz de schiste liquéfié à la Pologne. Ils ont ameuté tout un ensemble hétéroclite de pays : la Pologne, la Slovaquie, la Hongrie, la Roumanie, la Bulgarie et la Croatie, qui représentent 22 % de la population de l’UE, mais seulement 10 % du PIB.
La Pologne vient donc de signer deux gros contrats d’une durée de 20 ans, pour couvrir un quart de ses besoins en gaz, soit 5,5 milliards de m3, avec du GNL américain après 2022, date de la fin des contrats russes actuels, à partir de terminaux gaziers au Texas et en Louisiane, à destination du port polonais de Świnoujście, en mer Baltique.
L’heureuse réalité, nonobstant les efforts de l’Amérique, c’est que la consommation de gaz russe en Europe ne cesse de croître, sa part de marché représentant, en 2017, 35 % dans l’UE et 60 % en Allemagne !
16:37 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ile d'Yeu (Vendée) : MERCREDI 25 JUILLET, 67e ANNIVERSAIRE DE LA DISPARITION DU MARÉCHAL PHILIPPE PÉTAIN
16:31 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
IMPOTS 2019 : A VOS RANGS, FISC !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Une fois de plus, une fois de trop, Macron et son gouvernement, confondant sans doute autorité et autoritarisme, quasiment sans concertation, ont arbitrairement décidé d’imposer aux entreprises et aux contribuables le prélèvement à la source et ce, dès janvier 2019.
Outre le fait que transformer les entreprises en collecteurs d’impôts devrait mener le Conseil constitutionnel à sanctionner cette mesure en raison d’une dangereuse confusion des genres, - comme d’ailleurs le transfert à des sociétés privées de la mission d’observation et de sanction par l’amende des comportements dangereux sur la route -, le prélèvement à la source va bouleverser le « ronrons » des ménages qui ne sont pas mensualisés.
Premier inconvénient, premier scandale : les employeurs, qu’ils soient de grandes entreprises transnationales, des PME ou des TPE, auront la lourde tâche de prélever l’impôt sur le revenu de leurs salariés. Conséquence immédiate, elles devront embaucher du personnel pour cette mission ou la déléguer à des cabinets comptables, avec les frais supplémentaires correspondants. Et rien ne nous dit qu’elles auront , par ailleurs, des compensations, ni que Bercy diminuera dans la France entière ses effectifs. Sans compter que l’employeur aura une petite idée des ressources annexes de son salarié, prétexte peut-être pour lui refuser une augmentation. On nous dit qu’il n’en sera rien, mais quelles garanties auront nous sur l’étanchéité de ce système ? D’autre part, l’employé, psychologiquement, en voudra à son patron lorsque, à la fin du mois, ce dernier lui servira, forcément, un salaire amputé de l’impôt mensualisé même si, bien évidemment, ce n’est pas de sa faute. Malaises dans les relations sociales et… revendications salariales à terme !
« Pas folle la guêpe ! »
Cette révolution fiscale est tout bénéfice pour l’État qui disposera ainsi d’une alimentation monétaire continue et régulière, une avance substantielle par rapport à l’actuel système, d’autant que les erreurs, si erreurs il y a, ne seront rectifiées et compensées qu’en fin d’année. « Pas folle la guêpe ! ». Nombre de citoyens-contribuables ont plusieurs sources de revenus, comme les retraités notamment, « quel casse-tête pour y retrouver ses petits ! ».
Autre inconvénient collatéral à cette réforme, un frein à l’embauche, surtout pour les petites « boites ». Comme pour les seuils à franchir, ou pas, dans les effectifs en matière d’élection de délégué du personnel ou de comité d’entreprise, certains petits patrons rechigneront à prendre un employé de plus si la facture de ce transfert de charge est trop élevée, et nous savons que c’est chez les artisans/commerçants et autres TPE/PME que gisent les potentiels emplois à pourvoir dans la lutte contre le chômage.
Une infecte « tambouille » fiscale
Macron, faute de pouvoir asseoir l’autorité de l’État dans les banlieues, d’arrêter l’immigration et de donner une image respectable de la fonction présidentielle autre que celle offerte à l’Élysée le jour de la fête de la musique, veut repeindre la façade de la maison « France » de bas en haut, sans demander l’avis des occupants sur le choix des couleurs !
Il révolutionne la fiscalité locale en supprimant la taxe d’habitation sans prévoir, initialement, une source de remplacement pour les communes. On nous annonce un transfert total vers ces dernières de la taxe foncière sans que les départements, partie prenante, aient eux-aussi, une compensation. Au menu ces prochains mois, une infecte tambouille dont la pénalisation des retraités, avec « le coup » de la CSG, n’est qu’un avant-goût de cette « nouvelle cuisine ». Un micmac fiscal mitonné par les cuistots de Bercy qui ne sont pas avares d’idées lorsqu’il s’agit toujours et toujours, de prendre et de prendre encore de la monnaie dans la poche des Français. Il est vrai qu’il en faut de l’argent, pour entretenir un État pléthorique, un mille-feuille territorial indigeste et nourrir et loger « toute la misère » du monde qui franchit nos frontières.
Espérons que les entreprises, les grosses comme les petites, se mobiliseront « vent debout » contre cette « nouveauté » arbitrairement assénée sur la tête des travailleurs comme sur celles de leurs patrons. IRPP 2019 ? Non, non et non à la retenue à la source !
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dimanche, 08 juillet 2018
Dangereuse menace !
Bernard Plouvier
Il est des moments où l’on se prend à douter de l’intelligence des journalistes de France. En se souvenant qu’il est de moins en moins assuré qu’une majorité de « journalistes de France » soient de véritables Français, intéressés à la survie, au bonheur et à l’expansion de la Nation française, l’on comprend mieux leur degré incommensurable de crétinisme.
Car il y a de quoi être estomaqués, éblouis, étonnés par autant de sottise crasse.
Alors que nous sommes victimes depuis 2015 d’un terrorisme mahométan, meurtrier autant qu’immonde, et toujours menaçant, puisqu’il n’est guère de semaine que les hyper-vigilants services du merveilleux ministre de l’Intérieur et des Cultes nous apprennent qu’ils viennent d’éviter un nouvel attentat terroriste
Alors que Nantes est en flammes depuis cinq jours, ce qui ne réalise jamais que la énième émeute raciale du pays depuis le début du nouveau millénaire.
Alors que les chiffres de la délinquance contre les personnes culminent au hit-parade des statistiques de l’État macronien,
Alors que l’on recense plus de 2000 cités de non-droit en ce qui fut notre beau pays et que certaines rues de Paris exhibent un tel nombre de clochards exotiques que l’on croit circuler dans un bidonville du tiers-monde.
L’alarme que claironnent les media qui font dans le politiquement correct a effectivement de quoi faire frémir les Margottons, qui doivent former la majorité de l’électorat de M. Macron (qui n’a plus vraiment la confiance des humbles et des vrais pauvres, des retraités, des paysans, des artisans, des ouvriers ; on laissera de côté les fonctionnaires qui ne s’intéressent qu’à leurs privilèges d’un autre âge) : nous sommes à la veille d’une invasion de méduses géantes, bien sûr liée au « réchauffement climatique » (histoire de faire d’une pierre deux coups).
Avec un nombre d’extra-européens non précisé (car il est démocratiquement interdit de révéler les statistiques ethniques), mais que l’on peut estimer entre 10 et 14 millions, nous n’aurions à redouter, en fait d’invasion, que des méduses !
Nous savions déjà qu’une bonne partie du personnel politique était d’une corruption et d’une inefficacité prodigieuses. Il nous manquait de savoir à quel point l’on prend les Français pour des andouilles. Nous sommes désormais fixés.
09:13 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sortie prochaine du n°14 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Oswald Mosley : commandez-le dès maintenant
Oswald Mosley (1896-1980), issu d’une vieille famille anglaise, avait commencé une brillante carrière politique dans les années 1920. Il fut d’abord élu député conservateur. Cependant, sensible à la question sociale, il rejoignit deux ans plus tard le Parti travailliste pensant que celui-ci répondrait plus a ses aspirations.
Mais il fut rapidement déçu et irrité par la mascarade démocratique entre les deux partis dominants qui caractérisent le système politique outre-Manche. Cela d’autant plus que, un peu partout en Europe, et en particulier en Italie et en Allemagne, une nouvelle conception révolutionnaire de l’Etat ne le laissait pas indifférent. C’est ainsi qu’en 1931, il créa l’Union fasciste britannique, un mouvement qui allait vite faire parler de lui et secouer la Grande Bretagne…
Dans cette nouvelle livraison des Cahiers d’Histoire du nationalisme, Rémi Tremblay, a qui nous devons déjà un précédent numéro (le n°12) consacré à Adrien Arcand et au fascisme canadien, nous raconte l’histoire de cet homme au destin extraordinaire qui fit trembler l’oligarchie britannique.
Avec une présentation de Franck Buleux.
Le commander en ligne cliquez ici
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samedi, 07 juillet 2018
À PARTIR DE CETTE FIN DE SEMAINE, NOUS LANÇONS UN APPEL AUX DONS POUR SOUTENIR SYNTHÈSE NATIONALE
Les mois d'été sont toujours les plus difficiles à franchir pour une structure comme Synthèse nationale (ralentissement des ventes, démobilisation estivale compréhensible, éloignement de son lieu de résidence...). Or, c'est justement la période au cours de laquelle nous engageons les investissements pour la rentrée (entre autres, notre 12e journée nationale et identitaire du dimanche 14 octobre prochain).
Pour palier à ce déficit conjoncturel, nous lançons un appel à nos lecteurs car, rappelons-le, nous sommes subventionnés par personne, ni stipendiés par un quelconque groupement d'intérêts. Nous ne pouvons compter que sur l'attachement de nos lecteurs au combat national.
Par avance, nous remercions nos amis pour leur générosité et leur fidélité.
PS : Faire un don en ligne cliquez là
20:01 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
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Le nouveau numéro de Réfléchir & Agir
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Durant l’été 2018, les représentations du Macron-Circus se poursuivent
Bernard Plouvier
Ah que notre mois de juillet 2018 est joli, en Macronie où tout n’est que joie, lumière et paix, du moins pour les immigrés clandestins.
Pour « notre sécurité » et alors que la mortalité routière a baissé en 2017, si on la compare à celle de 2016, on diminue la vitesse sur route, ce qui fera du bien au Trésor Public. Et la raison mise en avant : Notre Sécurité ne peut en aucun cas être considérée comme une Fake New, à la différence de la motivation fiscale à laquelle pense immédiatement tout Français.
Car c’en est fini du droit à connaître certaines informations. Nos députés, en dépit de leur surmenage, ont voté le 3 juillet la Loi permettant à l’Exécutif (notre distingué Président et ses ministres à l’incomparable omniscience) de déterminer à coup sûr quelle information est bonne et quelle est la mauvaise.
Prenons un exemple. Le même jour, Grand Président part en Afrique Noire offrir des millions d’euros (tirés du Trésor Public français) pour y installer des stades, et des Africains incendient et vandalisent la ville de Nantes pour venger un délinquant noir abattu lorsqu’il tentait d’écraser un policier – ou abattu volontairement et sans raison selon d’honorables immigrés « qui ont tout vu ».
L’on saura bientôt, grâce à l’État macronien, quelle est la vérité et quelle est la Fake New dans cette histoire. En attendant, l’argent file en Afrique Noire et des quartiers de Nantes ont été ravagés. Quelle que soit la façon de Génial Président de présenter l’affaire – et nul ne met en doute ses prodigieuses capacités de rhéteur – la réalité des faits est indéniable : des quartiers de Nantes ont connu leur émeute raciale… à moins d’inaugurer une nouvelle variété de négationnisme, reconnue d’utilité publique celle-là, à la différence d’autres variétés, plus suspectes.
En outre – car dans l’État macronien, on vit dans le survoltage permanent -, si les bobos trotskistes-gauchistes- fils à papa et à maman friqués et les dirigeants syndicalistes qui ont égayé la vie des Français durant le printemps (ravages dans les universités & grèves dans les transports « publics ») partent en vacances, les magistrats ne chôment guère.
Ils ont arrêté des super-terroristes « d’ultra-droite » (certains Français ignoraient cet adjectif composé, fort heureusement l’État de Grand Président les en a instruits). Ces super-terroristes semblent faire trembler de peur une communauté mahométane apparemment très émotive.
Bon ! Fake New semble avoir encore frappé. Ces patriotes ne possèdent ni explosif, ni AK-47 (la « Kala » bien connue, qui n’est d’ailleurs que la version robuste et de médiocre qualité balistique du fusil d’assaut allemand de 1943), ni gaz de combat, ni mortier etc. et ils ne semblent pas des adeptes de la voiture bélier : toutes caractéristiques qui les différencient des merveilleux djihadistes,
Il a donc fallu relâcher ces Français qui possédaient des armes de chasse et des armes anciennes. De fait, un pistolet à rouet, c’est quand même moins efficace que ces « Kala » dont les Nantais ont entendu les tirs en ce beau mois de juillet.
Pour le vote établissant une nouvelle censure journalistique, sur 577 députés élus, 78 étaient présents, ce grandiose 3 juillet. 54 ont voté pour le projet gouvernemental qui permet de « dire l’information », 21 ont voté contre et 3 se sont frileusement abstenus. Il ne s’agit, soyons honnêtes, que d’une première lecture : il faudra encore quelques votes pour que la comédie parlementaire soit respectée et la Loi définitivement adoptée.
De même qu’il existe une Loi du 13 juillet 1990 qui règlemente l’écriture historique de certains aspects de la Seconde Guerre mondiale, rendant notamment obligatoire l’acceptation des attendus du Tribunal Militaire Interallié de Nuremberg, nous aurons bientôt une Loi qui permettra de différencier à coup sûr le Vrai du Faux, du moins en matière d’information du Jour.
Génial Novateur veut atteindre des hauteurs stratosphériques… ce que l’on nommait les Nuées, du temps d’Aristophane. D’autres Français – de vilains souchiens mal embouchés – s’interrogent sur la notion de descente aux Enfers.
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Le foot pour conditionner les masses
Vincent Vauclin La Dissidence française
Le foot est aujourd’hui l’un des leviers principaux du soft-power mondialiste.
Les équipes européennes, et l’équipe de France tout particulièrement, sont majoritairement composées de joueurs africains ou maghrébins. Vous imaginez bien que ce n’est pas par hasard.
Il s’agit évidemment d’une opération d’ingénierie sociale destinée à associer l’image de la France aux visages de l’immigration, d’abord aux yeux du monde mais surtout aux yeux des français. Tous les spécialistes en marketing savent pertinemment qu’un conditionnement réussi s’appuie essentiellement sur l’association inconsciente entre une idée, un produit, et un état émotionnel propice à la suggestion. Quoi de mieux que l’émulation du sport, le sentiment d’unanimité médiatique, et l’engouement collectif autour de l’équipe nationale pour générer cet état émotionnel ?
Le sport a toujours été un outil de diversion et un levier d’action politique et psychologique.
D’ailleurs, les commentateurs occidentaux ne s’y trompent pas lorsqu’il s’agit des Jeux Olympiques organisés par la Russie de Poutine, où ils n’hésitent pas à pointer leur instrumentalisation à des fins politiques. Mais ce qui est vrai en Russie l’est aussi en Europe, et très curieusement nul ne s’aventurera à prétendre que le sport revêt aussi en Europe une dimension politique et sert essentiellement à la légitimation de la société multiculturelle.
C’est pourtant une évidence, et l’on se souviendra d’ailleurs de l’épisode de 1998 où la victoire de l’équipe de France fut largement associée à celle de la « France Black Blanc Beur », formule qui marquera durablement le langage médiatico-politique, synonyme de « métissage », de « vivre-ensemble », de « mixité » et d’autres conneries du même genre qui font le lit de la dissolution de la France.
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Réaction de Bruno Gollnisch suite à sas mise en examen
Avec ma mise en examen signifiée aujourd’hui par Mme Thépaut, juge d’instruction français, le Parlement européen a ajouté à la persécution politique et au mépris du contradictoire, le délit d’escroquerie au jugement.
Par une procédure arbitraire interne, dirigée exclusivement contre des députés d’opposition, son administration hostile et politisée tente de me ruiner malgré la production de preuves surabondantes du travail effectif et considérable de mes collaborateurs, travail conforme en tous points à la législation et aux usages de la vie parlementaire.
Il s’agit en fait d’une tentative d’assassinat politique qui vise à ruiner nos formations politiques et leurs dirigeants en leur extorquant des sommes pharamineuses avant tout jugement et au mépris de toutes les règles de droit.
Devant le tribunal du Luxembourg que j’avais saisi, l’administration parlementaire européenne avait affirmé n’avoir entamé aucune procédure contre moi, ni au civil, ni pénal. Son mensonge éclate au grand jour.
Je continue bien sûr à formuler tous les recours possibles en France et à Luxembourg pour faire valoir mon bon droit et me rendre justice. En outre j’envisage de porter plainte contre les responsables européens concussionnaires qui sont à l’origine de cette persécution parfaitement relayée.
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Serge Ayoub invité de l'émission "Synthèse" sur Radio Libertés
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vendredi, 06 juillet 2018
Désunion européenne
Georges Feltin-Tracol
Au début des années 2010, on aurait pu imaginer que la dislocation de la soi-disant Union européenne proviendrait du défaut de paiement de la Grèce, voire de Chypre, de l’Espagne, de l’Irlande et du Portugal en pleine crise de la dette de la monnaie unique. Ce ne fut pas le cas. L’éclatement de cette union supposée européenne pourrait-il être provoqué par la crise des « migrants » ?
L’arrivée d’un gouvernement Jaune – Vert (5 étoiles-La Ligue - NDLR) à Rome rebat en effet les cartes de l’équilibre politique intra-européen. Par des actes forts, le nouveau ministre de l’Intérieur et second vice-président du Conseil Matteo Salvini démontre qu’une ferme détermination peut endiguer une part, certes modeste, de la déferlante migratoire. Il y a un an, les cadres européens de Génération Identitaire affrétaientun navire, le C-Star, naviguaient au large des côtes libyennes et lançaient la campagne « Defend Europe » en suivant l’excellent exemple australien. Matteo Salvini s’inspire de leur démarche en lui donnant un caractère régalien incontestable.
L’attitude italienne déplaît à l’Espagne, à Paris et à Merkel. Cependant, si à la fracture Nord – Sud sur le sort de l’euro s’ajoute dorénavant une opposition Est – Ouest, il serait impropre de spéculer sur la formation rapide d’un « bloc mitteleuropéen ». En effet, cet ensemble se trouve par ailleurs divisé. L’accord de coalition Mouvement Cinq Étoiles – Ligue stipule une répartition obligatoire des immigrés dans tous les États-membres de l’Union pseudo-européenne. Or la Hongrie vient de rendre cette mesure inconstitutionnelle. Les États du Groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, République tchèque, Slovaquie) ne veulent pas être solidaires des États en première ligne du flot migratoire (Italie, Grèce, Malte, Espagne) comme l’Allemagne, les Pays-Bas, la Finlande et les pays baltes rejettent toute solidarité monétaire, économique et financière avec leurs partenaires méridionaux.
L’« axe Berlin – Vienne – Rome » évoqué par le chancelier autrichien Sebastian Kurz et le ministre fédéral allemand de l’Intérieur, le conservateur bavarois Horst Seehofer, reste une simple intention tandis que le moteur franco-allemand s’enlise vraiment malgré les tentatives répétées d’Emmanuel Macron de relancer le « Machin » eurocratique. Les élections européennes du printemps 2019 pourraient confirmer un phénomène déjà visible sur tout le continent. Le « dégagisme » anti-Système atteindra bientôt Bruxelles !
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°85. cliquez ici
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Revue de presse : ET EMMANUEL MACRON DANSA AU NIGERIA
Jean-Charles Mignard Boulevard Voltaire cliquez ici
En promenade au Nigeria, Macron a célébré la « créativité africaine » en s’exhibant sur la piste d’une boîte de nuit de Lagos au son des tambours, comme aurait dit Rose Laurens. Sans grâce ni rythme, il bouge vaguement et tape des mains. Bof ! C’est moins branché que la désormais célébrissime fête de la Musique à l’Elysée, mais tout aussi déplacé et ridicule. Et surtout plus immature encore.
Imagine-t-on un autre président de la République française – même Hollande, même Sarkozy – dans de tels dévoiements de la fonction présidentielle ? Le scooter de Hollande était involontaire. La teuf africaine de Macron, elle, se veut, avec la suffisance habituelle de son auteur, un acte de communication doté d’une signification profonde.
En fait, ce comportement révèle un manque de maturité étonnant et un goût prononcé de l’exhibition personnelle. L’impression de malaise devant un comportement si marqué par l’adolescence incite à la réflexion. À quel Président les Français ont-ils confié leur destin ? À quelle personnalité ? Et dire que certains croyaient que Macron incarnerait avec sérieux et dignité le renouveau de la fonction présidentielle !
Mais si, voyons, l’autorité est bien au rendez-vous. L’autorité ? Non, l’autoritarisme !
Autoritarisme. Le « Je suis votre chef » rappelé maladroitement aux militaires, comme si ces hommes et femmes capables du sacrifice suprême avaient besoin de cette inutile et obscène piqûre de rappel. Un vrai chef n’a nul besoin de préciser qu’il est le chef. Hélas, sa scolarité à l’ENA n’a pas appris au jeune Macron cette évidence humaine.
Autoritarisme quand on met à pied, au mépris de toutes les règles, un ambassadeur respecté et efficace, coupable de dire ce qu’il pense d’un gouvernement brillamment réélu. Ah, mais le gouvernement hongrois de Viktor Orbán fait partie de ce que l’on qualifie hypocritement de « vent mauvais ». Éric Fournier, ambassadeur de France, a juste commis un délit d’opinion, si curieusement révélé par Mediapart.
Toutefois, mettons au défi Macron d’être aussi brillamment réélu qu’Orbán dans quatre ans. Et mettons-le au défi de se remettre en cause à mi-mandat, comme l’a annoncé le nouveau président mexicain Andrés Manuel López Obrador.
Ces défis-là ne seront jamais relevés. Car les autoritaristes sont des faibles ; seule leur inconscience les protège de leur propre ridicule.
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Lieutenant Roger Degueldre, fusillé a 37 ans le 6 juillet 1962
09:26 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 05 juillet 2018
Si vous passez à La Salvétat-sur-Agout (34), ne manquez pas l'exposition Viking
23:30 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Carl Lang s'adresse aux Nantais "qui ne comprennent pas ce qui se passe" :
Carl Lang,
Président du Parti de la France
Après une nouvelle nuit d'émeutes et d'incendies dans leur ville, on voit défiler sur les médias des Nantais qui déclarent ne pas comprendre toute cette violence. En regardant un peu mieux à quoi ressemblent les casseurs, cela devrait les aider à comprendre...
23:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Une plaquette envoyée par Synthèse nationale à 5000 lecteurs dans les jours qui viennent...
Message de Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Un an après l’arrivée à l’Elysée d’Emmanuel Macron, les choses vont de mal en pis.
Alors qu’on nous annonçait une ère nouvelle, débarrassée de la pesanteur des partis et reposant sur le renouveau et l’efficacité, force est de reconnaître que rien ne s’est arrangé. La France reste soumise aux diktats des lobbys mondialistes et les Français continuent à subir les effets dramatiques de la récession et de l’immigration.
A vrai dire, cette situation ne nous étonne pas vraiment, nous autres nationalistes et identitaires. Macron a été propulsé au printemps 2017 pour être la roue de secours du Système. Après la calamiteuse gouvernance hollandesque, consciente que le peuple français était de moins en moins réceptif à ses injonctions, l’hyper-classe aux affaires a lancé le « gadget Macron » pour sauver ses prébendes en l’imposant comme étant le seul « rempart » face à une hypothétique « menace » mariniste.
Macron, en bon transfuge de la Banque Rothschild et en tant qu’ancien ministre d’un gouvernement socialiste, était le meilleur garant de la continuité pour ceux qui veulent instaurer un vaste marché aux dimensions planétaires dans lequel l’homme ne serait plus qu’un consommateur docile. Ce projet passe bien entendu par la destruction des nations, des civilisations et des identités. Quant à la « menace » mariniste, celle-ci relevait, hélas, plus du phantasme collectif que d’autre chose…
Quelle supercherie !
Quoiqu’il en soit, un an après, les Français se réveillent confrontés à une série de problèmes dont ils se seraient bien passés. La précarité augmente de jour en jour, l’insécurité due en grande partie à l’immigration prend des proportions jamais atteintes, la soumission de la France à Bruxelles et à la politique étrangère américaine, en particulier au Proche et au Moyen-Orient, est la même et notre indépendance nationale relève aujourd’hui du passé. Et pour tenter d’amadouer ceux qui seraient tentés de s’opposer, le pouvoir laisse s’agiter le pantin Mélenchon et ses gauchistes de pacotille qui se croient encore en Mai 1968… Face au mondialisme libéral, rien de tel que l’internationalisme marxiste pour faire illusion.
Ce qui semble paradoxal dans tout cela, c’est que, malgré la puissance du Système pour broyer la dissidence et le formatage du prêt à penser institutionnel, jamais les idées de la Droite nationale, sociale, populaire et identitaire ont été aussi partagées par nos compatriotes. Ceux-ci sont de plus en plus nombreux, et on le voit tous autour de nous, à admettre la clairvoyance de nos analyses et à souhaiter l’application de nos propositions. De même, un peu partout en Europe, les peuples reprennent en main leurs destins. Ce n’est donc pas le moment pour nous de flancher, l’espérance doit guider notre combat.
Depuis 12 ans, un seul objectif
Synthèse nationale est, depuis sa création il y a douze ans et comme son nom l’indique, le point de rencontre des différentes forces politiques, militantes et associatives de la Droite nationale. En multipliant les rencontres, que ce soit dans notre revue ou à l’occasion de nos Journées annuelles (la prochaine aura lieu le dimanche 14 octobre à Rungis), nous œuvrons pour que l’ensemble des forces qui constituent notre famille agissent et combattent dans le même sens.
Et, justement, pour agir et combattre nous avons besoin de vous. Les revues, le site quotidien, les réunions et les campagnes militantes, tout cela a un prix. Synthèse nationaleexiste et agit que grâce à l’aide de ses lecteurs et amis. Pour défendre la France française dans une Europe européenne il faut beaucoup de moyens. Or, nous ne som-mes pas stipendiés par la finance apatride ni par les subventions publiques. Nous ne pouvons compter que sur vous tous.
Ne vous laissez plus manipuler, réfléchissez librement, agissez efficacement. Aidez-nous à nous battre contre le mondialisme et contre la dictature de la pensée unique. La survie de notre nation, de notre civilisation et de notre identité en valent bien la peine. Merci d’avance pour votre fidélité.
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mercredi, 04 juillet 2018
Le prétendu "complot de l'ultra droite" : les suspects remis en liberté
Le chef de file présumé d'un groupe d'"ultradroite", dont les autorités redoutaient "un passage à l'acte violent" contre des musulmans, a finalement été remis en liberté (sous contrôle judiciaire) tout comme un autre suspect. Une fois de plus, nous avons donc là une affaire qui accouche d'un pêt de lapin.
Le "terrible groupe" intitulé "Action des forces opérationnelles" (AFO), dont personne dans notre milieu n'avait jamais entendu parler jusqu'aux arrestations ultra-médiatisées, il y a quelques jours, de ses membres présumés est donc hors d'état de nuire aux Système. Ouf ! Les bobos peuvent partir en vacances tranquillisés...
En fait de "dangereux groupe terroriste", il s'agissait de neuf hommes et d'une femme, âgés de 32 à 69 ans, dispersés dans toute la France, auxquels on prêtait l'ambition de lutter les armes à la main contre l'islamisation de notre pays. Pour confirmer sa thèse, le Pouvoir s'appuyait sur quelques armes (anciennes pour la plupart) retrouvées, fort opportunément, chez quelques-uns des suspects. Rien que du classique...
Evidemment, après ces arrestations, des responsables religieux et associatifs musulmans en France avaient exprimé leur "profonde préoccupation".
Il serait peut-être temps d'arrêter de délirer sur ces prétendus complots terroristes d'extrême droite. Chacun sait que la réalité est toute autre. Depuis trois ans les vrais terroristes, ceux qui tuent vraiment, ne sont pas bretons, ni poitevins, ni berrichons. Il n'y pas besoin d'être un fin limier pour s'en rendre compte. Et même si parfois certains illuminés de chez nous se répandent de manière débile sur les réseaux sociaux, cela ne justifie en rien l'arrestation arbitraire de patriotes sincères...
La vérité, c'est que pendant que l'on s'égosille sur un prétendu "terrorisme" nationaliste, on laisse s'installer en France des hordes de vrais terroristes islamistes qui un jour ou l'autre, eux, n'hésiteront pas à passer à l'acte comme ils l'ont d'ailleurs déjà fait à plusieurs reprises. Et cela, ce n'est pas du bidon... Hélas.
Synthèse nationale
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Un CD édité par Diffusia rend hommage à l'Armée
Alors que deux soldats ont été tués en opération extérieure, un chœur d’anciens parachutistes vient d’enregistrer un CD d’Hommage à nos soldats avec des chants militaires, deux Marches funèbres règlementaires et la création d’une messe militaire.
Renouant avec une ancienne tradition (de Guillaume de Machaut en passant par Bach et Mozart, jusqu’à Gounod ou Rossini), cette messe adapte les paroles de la liturgie sur des mélodies de chants parachutistes. L’assistance peut donc participer plus facilement à l’office.
La quarantaine de choristes, l’accompagnement à l’orgue et au clairon donnent une sonorité à la fois solennelle et recueillie à cet enregistrement hors normes qui veut honorer ceux qui se sacrifient pour la communauté nationale. Un témoignage de solidarité original et bienvenu.
Plus d'infos cliquez ici
20:14 Publié dans CD | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sur le site EuroLibertés, un grand entretien avec Jean-François Touzé, directeur de la revue "Confrontation"
Source cliquez ici
L’histoire n’est pas écrite et les jeux ne sont pas faits […]
C’est pour cette raison que, plus que jamais,
le combat politique est nécessaire.
Vous le voyez, nous sommes tous des lépreux européens ». L’Union européenne semble depuis quelques semaines au bord de la crise de nerfs. Comment jugez-vous les réactions de ses dirigeants confrontés à la fois à la déferlante migratoire et à la montée en puissance de ceux qui s’y opposent ?
La multiplication des « sommets européens », du tête à tête franco-allemand de Heidelberg à la réunion en urgence convoquée par la Commission à Bruxelles en attendant le Conseil des 28 et 29 juin, témoigne de la panique qui a saisi l’UE confrontée au risque d’une dislocation définitive par les effets conjugués du Brexit que le Premier ministre anglais, Theresa May, envisage désormais complet, intégral et brutal, et du réveil des peuples face à la déferlante migratoire.
Une Union Européenne contrainte de réagir dans l’urgence, non contre les causes du mal mais contre ses conséquences thérapeutiques, et surtout bien décidée à tout faire pour assurer les conditions de sa survie en s’opposant à ce qu’elle considère comme le vrai danger qui la menace, cette « terrifiante » montée en puissance des droites nationales qualifiées par l’apprenti Raoul Follereau de l’Élysée, Emmanuel Macron, de « lèpre populiste ».
Le même Macron qui, recevant le Premier ministre socialiste espagnol, Pedro Sanchez, a réclamé des sanctions financières contre les pays réfractaires au « Bienvenue chez nous », et proposé « l’européisation de l’accueil, de l’asile et de la reconduite des migrants », montrant ainsi on ne peut plus clairement où est sa priorité : l’accueil.
En prononçant ces mots « lèpre populiste », Emmanuel Macron ne tente-t-il pas de s’imposer comme le leader de la résistance aux mouvements nationaux qui s’imposent dans plusieurs pays européens ?
Sans nul doute. Constatant l’affaiblissement de Madame Merkel, le président de la République française se voit en sauveur de la technostructure mondialo-européiste.
Se dessine ainsi un autre visage d’Emmanuel Macron. Non plus celui de l’homme de la (très relative) rigueur de la loi Collomb, mais celui de l’immigrationniste en chef de l’Europe, ouvreur en 2018 des voies maritimes, comme Merkel le fut en 2015 des voies terrestres.
À Heidelberg, l’essentiel était d’afficher l’unité franco-allemande. Unité factice d’un couple artificiel que les sourires de circonstances, les déclarations pathétiques d’intention et les annonces dérisoires n’auront pas suffi à rendre plus crédible, tout cela relève du traitement de la gangrène par un cautère sur une jambe de bois.
Mais on l’aura compris : aucune de ces réunions n’a pour but de répondre au défi immense que représente pour l’Europe le traitement réel du tsunami migratoire qui déferle sur elle. Il s’agit seulement de mettre en œuvre les moyens de juguler la colère des peuples et de casser la dynamique identitaire qui se fait jour en usant, en particulier à l’encontre des Pays de l’axe de la résistance (Vienne/Rome/Munich) ajouté au Groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, République Tchèque et Slovaquie) – auxquels Macron voudrait opposer l’axe de l’abdication (Paris/Berlin/Madrid) –, de toutes les méthodes et de toutes les armes que l’union européenne pense nécessaires à sa pérennisation : le mensonge, les promesses, la ruse, la séduction, l’intimidation, le chantage, la diffamation, l’illusion, la menace et la corruption.
La coalition qui dirige désormais l’Italie ouvre-t-elle, d’une certaine manière, une voie à suivre ?
Les déclarations du nouveau ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini, par ailleurs, comme on le sait, leader de la Lega, ne peuvent que nous réjouir et ses positions ne peuvent que susciter notre plein assentiment. Je ne suis, pour autant, pas sûr qu’il ait choisi la voie juste. Le caractère hétéroclite, voire contre nature, de l’alliance gouvernementale conclue entre la Ligue et le Mouvement Cinq étoiles porte en effet les germes d’un possible échec à moyen terme.
On peut, en effet compter sur le Système pour enfoncer les coins en jouant Guiseppe Conte, le très propre sur lui Président du Conseil, contre Matteo Salvini marqué du signe indélébile de la bête immonde.
Ma conviction est que les droites nationales doivent s’imposer en position de force pour ne laisser aux manœuvres de l’Union que le moins de prises possible. Je pense que de nouvelles élections auront lieu en Italie à plus ou moins brève échéance. Rien ne dit que la Ligue ne l’emportera pas seule.
Vous restez donc optimiste ?
Raisonnablement. L’Europe peut disparaître, submergée par la déferlante migratoire. Je rappelle qu’en 2050, c’est-à-dire demain, l’Afrique comptera 3 milliards d’habitants, l’Asie 4,7 milliards et L’Union européenne seulement cinq cent millions dont 7 % de « néo-Européens » si je puis m’exprimer ainsi, tandis que la Russie ne cesse de reculer démographiquement.
Le nombre de musulmans présents sur notre continent devrait tripler dans le même temps et, selon la Banque mondiale, le chiffre potentiel de « réfugiés climatiques » dans les cinquante ans à venir peut être évalué à 400 millions.
Et pourtant je garde l’espoir. L’histoire n’est pas écrite et les jeux ne sont pas faits. La vraie réponse européenne, celle par laquelle nos vieilles nations et notre civilisation sortiront victorieuses de la confrontation mortelle dans laquelle nous sommes engagés, c’est l’union des droites nationales et leur arrivée aux responsabilités du Pouvoir dans chacun des États de notre continent. C’est pour cette raison que, plus que jamais, le combat politique est nécessaire. Vous le voyez, nous sommes tous des lépreux européens.
La revue qui dénonce l’islamisation de l’Europe
Eté 2018 – 80 pages – 12 € (+ 4 € de port)
Pour commander cette revue, cliquez ici.
Jean-François Touzé, délégué national du Parti de la France aux études et argumentaires, est également le rédacteur en chef de la revue « Confrontation »
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Après la fermeture contrainte de Facta : LA NOUVELLE LIBRAIRIE OUVRE À PARIS
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En Espagne, le gouvernement insulte le pays en prétendant souiller la Vallée des morts
00:22 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi 5 juillet, Serge Ayoub invité de l'émission "Synthèse" sur Radio Libertés
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mardi, 03 juillet 2018
La crise de la zone euro se répandra en 2019 comme une traînée de poudre dans le monde entier surendetté…
Il est très probable que l’étincelle première du krach mondial de 2019 apparaîtra en Italie, qui cumule tous les dangers d’un défaut de paiement de l’État (dette publique de 130 % du PIB) et de krach bancaire que j’ai analysés dans une précédente chronique sur Boulevard Voltaire. Pour deux raisons : 11 % de créances douteuses et 20 % d’obligations de l’État dans les actifs des banques italiennes.
Si l’alliance populiste a tout juste pour l’immigration, elle a tout faux pour l’économie et augmente dangereusement le risque de faillite de l’État italien : baisse de l’impôt avec mise en place d’une « flat tax » de 15 à 20 %, hausse des dépenses sociales (revenu de citoyenneté de 780 euros, réforme trop généreuse des retraites), embauche de fonctionnaires, soit une augmentation possible du déficit public de 115 milliards d’euros qui pourrait alors s’élever, nonobstant l’augmentation des taux d’intérêt, au chiffre fatidique de 7 % du PIB.
En cas de menace de défaut de paiement de l’État ou de krach bancaire, suite également à l’augmentation des taux d’intérêt, l’Union européenne et la BCE seront dans l’incapacité d’aider l’Italie, comme cela a été fait pour la dette publique de 300 milliards d’euros de la Grèce. La dette italienne s’élève à 2.300 milliards d’euros, soit huit fois plus que celle de la Grèce, avec un PIB de 15,4 % de la zone euro (France 20,5 %). Le Mécanisme européen de stabilité ne dispose pas des moyens suffisants.
Quant à la BCE, elle doit mettre fin au « QE » (Quantitative Easing) monétaire fin décembre 2018, après l’avoir rabaissé à nouveau à 15 milliards en septembre (80 milliards à l’origine). Ses rachats d’obligations ont contribué à abaisser le « spread » jusqu’en avril 2018 (l’écart entre les taux d’emprunt italien et allemand) à 1,15 % ; il est déjà remonté à 2,45 %. Cela promet donc pour 2019, l’année de tous les dangers.
En théorie, la BCE pourrait utiliser en 2019 l’arme stratégique de l’OMT (Opérations monétaires sur titres) avec un programme d’achat illimité de la dette souveraine de l’Italie, mais cela correspondrait, en fait, à l’explosion de la zone euro. De plus, la BCE n’en a pas le droit car l’Italie doit passer préalablement par la case « Mécanisme européen de stabilité de l’Union européenne » en acceptant un programme de redressement sous tutelle, ce qui est inacceptable par principe pour l’Alliance populiste. La Coalition a déjà envisagé la possibilité d’émettre des bons du Trésor italien pour payer en monnaie de singe (tout comme les assignats de la République française) les entreprises et les ménages.
Suite à la théorie des dominos, la Grèce, le Portugal, l’Espagne et la France exploseront à leur tour. La BNP et le Crédit agricole sont particulièrement exposés. Les banques françaises possèdent 280 milliards de créances italiennes et 50 milliards de dettes souveraines. En France, l’illusionniste Macron ne réforme que pour la galerie à pas de fourmi ; les économies sur les dépenses publiques sont en fait inexistantes, comme le remarque la Cour des comptes, tandis que les prélèvements augmentent (CSG, carburants, cigarettes, taxe foncière, électricité, gaz…).
La Deutsche Bank vient de supprimer 10.000 emplois et de fermer 200 agences en Allemagne. Ses trois derniers exercices sont déficitaires, avec une perte de 497 millions d’euros en 2017. Son bilan est de 1.700 milliards de dollars, soit trois fois celui de Lehman Brothers en 2008.
Quant à la Grèce, la campagne médiatique sur la renaissance grecque est indigne et machiavélique ! « La crise grecque s’achève ici cette nuit », nous dit sans rire le cynique arriviste socialiste Pierre Moscovici. Le FMI, lui, a eu le courage d’affirmer que seul un effacement partiel de la dette grecque pouvait régler le problème à long terme. L’Union européenne n’a fait que reporter l’échéance en accordant un délai de grâce de dix ans et en allongeant de dix ans les délais de remboursement des 96 milliards de prêts du MES, à 2069 – autrement dit, aux calendes grecques ! Entre-temps, la zone euro aura explosé et la Grèce sera depuis longtemps en défaut de paiement !
La crise de la zone euro se répandra en 2019 comme une traînée de poudre dans le monde entier surendetté (Chine, Japon, États-Unis, pays émergents). Français, Françaises, achetez de l’or avant que tout n’explose et que tout ne s’effondre !
22:10 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 02 juillet 2018
Simone se casse au Panthéon
Le billet de Patrick Parment
C’est tout de même bizarre cet engouement de nos présidents de la Ve République à vouloir remplir ce monument hideux qu’est le Panthéon de personnages hier encore – et pour certains toujours – célèbres. On notera toutefois que le présent est nettement plus douteux que le passé dans cette église défroquée arraisonnée par les franc-macs. De Gaulle a fait entrer Jean Moulin dont le rôle dans la Résistance n’a guère eu le temps de s’affirmer, balancé qu’il fut aux Allemands par un petit camarade bien intentionné. Et, c’est un André Malraux, vraisemblablement shooté à l’opium qui prononça l’éloge funèbre de ce bon franc-mac sur un scénar digne du Jeanne d’Arc de Carl Dreyer.
Georges Pompidou et Valéry Giscard d’Estaing ne se prêtèrent pas au jeu.
François Mitterrand était avide de symboles et il fut frappé d’herpès républicain pour faire oublier qu’il était un digne bénéficiaire de la Francisque. Il fit entrer pas moins de cinq pékins qui ne demandaient rien. Chirac se montra presque raisonnable vu qu’il s’en foutait complètement avant qu’on ne lui suggère que ça ferait bien dans le paysage. Il en nomma trois, dont André Malraux qu’il détestait et Alexandre Dumas comme symbole d’une France métissée. Pauvre Alexandre à cent lieues d’une telle idée.
Enfin Hollande vint et il a eu la main lourde en nommant cinq personnes dont l’histoire ne retiendra pas grand-chose.
Et vint Simone Veil et son mari, histoire de ne pas séparer le couple aux yeux d’Emmanuel Macron. Encore une nomination « air du temps ». La dame a été beaucoup critiqué pour sa loi sur l’IVG alors que celle-ci était nettement plus restrictive que ce qu’elle est devenue. Simone Veil n’a jamais prôné l’avortement, elle a simplement voulu éviter aux femmes d’avoir recours aux « faiseuses d’anges » comme l’on disait à l’époque et qui ont mutilé tant de jeunes femmes. Il faut rendre à César ce qui lui revient. On est plus réservé pour son mari dont la carrière doit beaucoup à l’entregent de sa femme eu égard à ses compétences limitées. Au final, on s’aperçoit que ce claque républicain est surtout destiné au marketing des présidents de la République.
17:48 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |