Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 14 septembre 2018

Notre distingué Président est-il ignorant, sectaire ou à la poursuite de l’islamo-pétrodollar ?

REPENTANCE-NON-MERCI-.png

Bernard Plouvier

Dans le cadre de sa très remarquée saga people, notre grandiose acteur présidentiel vient de franchir une nouvelle étape : celle de la repentance envers les traîtres à l’État français en temps de guerre. Il fallait oser ; il l’a fait !

Un communiste français travaille pour les rebelles algériens et se fait arrêter en 1957, en la ville d’Alger où, sur injonction du pouvoir socialiste, des soldats tentent de rétablir l’ordre. Après avoir été interrogé, le traître est abattu.

On rappelle à celles et ceux qui l’auraient oublié que, de février 1956 au joli mois de mai 1958, le gouverneur-général des trois départements algériens et du Sahara – omnipotent et avec rang de ministre – était un ex-cacique de la CGT et ponte de la SFIO (le Parti socialiste) : Robert Lacoste.

Si notre Grand Élyséen commence à lamenter le sort de tous ceux et de toutes celles (y compris des bébés) qui ont été illégalement tués durant notre belle histoire républicaine, il n’a pas fini de gémir, pleurer et « demander pardon ».

Par exemple, on estime entre 15 000 et 30 000 (c’est une fourchette intentionnellement réduite) le nombre de Français abattus, en 1944-45, par des « Vengeurs Résistants » - quelques-uns authentiques, la plupart étant des « Résistants à la Popaul ». Bien des sujets sommairement exécutés n’étaient nullement d’ex-collaborateurs de l’occupant, mais des victimes de règlements de comptes personnels. Grand Président a du grain à moudre s’il veut réduire les fractures récentes entre Français.

Si notre Glorieux Historien Présidentiel veut faire une grande œuvre de réconciliation nationale, il peut demander pardon aux descendants des 115 000 à 120 000 sujets exterminés de 1792 à 1794, dans les 773 communes du Maine-et-Loire, de Vendée, des Deux-Sèvres et de Loire-Inférieure (de nos jours : Loire Atlantique), soit la « race des Vendéens » exterminée sur ordre du gouvernement de la Ière République française.

Évidemment, il n’y a pas de gisement de pétrole ou de gaz dans le territoire de la « Vendée militaire », donc pas de millions d’islamo-pétrodollar à glaner pour financer une future réélection… qui paraît de plus en plus problématique à mesure que s’accumulent les gaffes, les bavures, les mesures en faveur des nantis & des immigrés-envahisseurs, de façon parallèle à l’appauvrissement continu des autres Français.

Un peu de décence s’impose. Il est des sujets plus urgents à régler que la glorification des traîtres au service des patrons de l’Internationale Communiste, très souvent criminels de masse, et moins encore celle des nervis de fellagas, dont beaucoup furent de répugnants tortionnaires et certains d’abjects terroristes.         

11:44 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les commentaires sont fermés.