dimanche, 17 mars 2019
La France brassée ou le Grand Débat occulté par Génial Président
Bernard Plouvier
Samedi 16 mars 2019, vers 22h25, sur France Ô (TNT-19, pour les amateurs de sigles), dans un spot publicitaire annonçant une émission branchée de la semaine à venir, une actrice noire vient se plaindre de n’avoir pas assez de grands rôles et dit : « Dans un pays métissé comme la France, Y en a marre ».
Effectivement, il y en a marre des macroneries, après les Hollandouilleries et le cirque bling-bling de Sarkozy, qui faisait suite à la France Black-Beur de l’écœurant Chirac !
Où, quand, comment nos politicards ont-ils pris l’avis de la Nation quant à cette arrivée massive d’extra-européens sur notre terre, arrivée massive qui aboutit à cette « France métissée », dont parle l’obscure comédienne ?
Cessons d’enfiler les lieux communs sur la charge fiscale, qui ne baissera jamais sauf pour les amis et sponsors du titulaire provisoire du Pouvoir, ou sur des problèmes écologiques qui se poseront de moins en moins en une France devenue un Désert industriel. Que l’on cesse de nous casser les pieds (pour rester courtois) avec la pollution industrielle : il n’y a pratiquement plus d’industrie en France, ce qui est d’ailleurs la principale cause structurelle du chômage de longue durée qui atteint désormais 6 millions de Français.
Commençons par le seul vrai problème, celui qui met en cause l’avenir de notre Nation et son intégrité : ce brassage par apport massif de populations non-européennes, dont a parlé l’actrice noire. Avant de poursuivre cette politique, anthropologiquement suicidaire, il est absolument indispensable de prendre l’avis du peuple souverain, car ni Macron ni son successeur ne sont ni ne seront jamais les maîtres de la République française : seul le corps électoral est souverain-maître de l’État.
Une fois ce referendum réalisé, soit notre Nation aura décidé sa mort par brassage généralisé, soit elle l’aura repoussé et l’on pourra commencer le grand rembarquement des nouveaux arrivants vers leur continent d’origine.
C’est cela et cela seul, le vrai Grand Débat, le vrai problème à résoudre de façon démocratique. En cas de refus persistant des politiciens de la faction dominante à organiser ce plébiscite, la Nation – se sentant en danger de mort et se proclamant victime d’une tyrannie – sera autorisée à déclencher une Révolution... ce qui est toujours la pire éventualité à envisager, à l’exception de celle de la mort de la Nation : c’est l’amputation du membre gangrené pour éviter l’issue fatale du malade.
L’alternative est simple, comme très souvent dans les cas de force majeure : ou l’on prend enfin l’avis de la Nation souveraine sur l’unique menace qui obère son avenir ou la Nation se révolte.
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samedi, 16 mars 2019
Quand le Défenseur des droits lève le doigt, les élus locaux se couchent
Thomas Bertin Boulevard Voltaire cliquez ici
Le 16 août 2016, deux femmes de confession islamique se montrent aux abords d’un aqua-club – celui de Belle Dune, près de Fort-Mahon (Somme), pour ne pas le citer – entièrement revêtues d’un maillot de bain les recouvrant des pieds à la tête, autrement appelé « burkini », depuis que ce singulier vêtement a fait son apparition récente sur les plages du sud de la France. Refus net du directeur de l’établissement qui se retranche derrière le règlement intérieur : « D’autres demandes ont été refusées comme l’utilisation de combinaisons de plongée, de venir surveiller des enfants, habillé au bord du bassin, les shorts de bain pour les hommes… Il est précisé au règlement que toute tenue habillée est refusée, et pas précisément un burkini », « pour des raisons d’hygiène », s’est-il alors défendu (Courrier picard, 14 mars).
Les deux femmes n’en sont pas restées là et ont porté leur réclamation devant le Défenseur des droits, alléguant avoir été victimes d’une discrimination, à raison de leurs convictions religieuses. Par une décision du 27 décembre 2018, le Défenseur des droits a fait droit à leur demande en soulignant, d’une part, que « le port du burkini n’est pas interdit, en tant que tel, par la loi française », d’autre part, que « le refus d’accès [des requérantes] à l’aqua-club […] fondé sur le port du burkini caractérise une discrimination fondée sur la religion et le genre ».
Ce 13 mars, le conseil syndical, l’assemblée délibérante du Syndicat mixte Baie de Somme-Grand Littoral Picard, établissement public assurant la gestion de l’aqua-club, a décidé d’entériner la décision du Défenseur des droits (donc de procéder, comme ce dernier l’y incite, à la modification du règlement intérieur de l’aqua-club), d’indemniser les deux musulmanes « de leur entier préjudice pour s’être vu refuser l’accès à l’aqua-club sans aucune justification et avoir ainsi dû renoncer à leur séjour de vacances », sans aucunement chercher à contester devant les tribunaux ad hoc cette décision rendue, rappelons-le, par une simple autorité administrative indépendante, créée sous Nicolas Sarkozy en 2008 et intégrant, entre autres, des institutions comme la HALDE (anciennement Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité) ou l’ex-Médiateur de la République.
Deux observations s’imposent. La première a trait au zèle d’une institution dont le président, l’ancien ministre chiraquien Jacques Toubon, fait preuve d’un activisme sans bornes. En juin 2018, il déclarait, par exemple, à propos de l’Aquarius, « qu’il aurait fallu accueillir d’abord les migrants et étudier leur situation administrative ensuite ». (JDD, 23 juin 2018). S’il se montre légitimement attentif au sort réservé aux gilets jaunes, victimes de violences physiques inouïes de la part du pouvoir, il manifeste « en même temps » une xénophilie des plus militantes.
La seconde observation tient à l’insoutenable veulerie d’une majorité d’élus locaux, préférant subir des décisions qu’ils considèrent pourtant comme injustifiables plutôt que de se battre, y compris sur le plan judiciaire, pour défendre ces « territoires » dont ils n’ont de cesse de vanter – notamment en zone rurale – les atouts patrimoniaux, paysagers, culturels et touristiques. La vérité vécue oblige à dire qu’ils sont bien les premiers artisans d’un certain « Grand Remplacement » qu’ils sont nombreux à honnir dans les coulisses des conseils communaux et intercommunaux, mais bien trop couards à dénoncer publiquement dans ces mêmes enceintes, de peur du qu’en-dira-t-on politico-médiatique.
On a coutume de prêter à saint Augustin cette formule apocryphe : « À force de tout voir, on finit par tout supporter… À force de tout supporter, on finit par tout tolérer… À force de tout tolérer, on finit par tout accepter… À force de tout accepter, on finit par tout approuver. » CQFD.
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Stop à l'émotivité. Les Français ne veulent pas d'eux.
Jean-François Touzé, directeur de Confrontation
Cinq enfants de djihadistes sont de retour sur notre sol national après un séjour en Syrie.
Quel que soit leur âge, qu'ils soient orphelins ou non, qu'ils aient tué et participé à des exactions ou pas, qu'ils fassent des risettes, des grimaces ou la moue, ces enfants ne sont plus français, si tant est qu'il l'aient jamais été, au delà des papiers que détenaient leurs parents coupables d'avoir pris les armes contre la civilisation.
La France n'a aucune responsabilité à assumer quant à leur sort et le terme de "rapatriement" ne peut être utilisé.
Stop à l'émotivité. Les Français ne veulent pas d'eux.
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L’hydre libérale
Marcel Gaillard Présent,
la chronique de Livr'arbitres cliquez ici
Le dernier ouvrage d’Alain de Benoist, Contre le libéralisme, vient de paraître. Ce recueil de textes est une synthèse magistrale, sérieuse et rigoureuse, érudite parfois, mais toujours claire et bien servie par un pur style classique, sobre et précis. L’originalité de cet essai, c’est son angle d’approche. De Benoist mène moins une analyse verticale, creusant les origines et l’essence du libéralisme, qu’une analyse horizontale. Il s’agit davantage de saisir toute l’étendue du libéralisme, de cartographier l’ampleur de son emprise sur la société. Le cancer libéral est en pleine métastase : quels sont les organes touchés ?
De Benoist rappelle avec force que libéralisme de droite (économique) va nécessairement de pair avec le libéralisme de gauche (sociétal). Mais l’analyse va bien plus loin : pour résister au libéralisme, on ne peut se contenter de s’opposer à la finance et au mariage pour tous, parce que le libéralisme n’est pas seulement de l’économique et du sociétal, mais un formatage total de la société, des hommes et du monde.
En effet, le libéralisme est une doctrine économique, le capitalisme. La racine et le dieu, c’est l’argent, et cette adoration de l’argent conduit les libéraux à construire et imposer par tous les moyens une société qui permet de maximiser les profits de quelques-uns. Des choses qui paraissent évidentes, comme l’Etat de droit, sont des constructions récentes, imposées en vue du profit. L’économie de marché génère une société de marché, un homme de marché, une politique de marché.
Ce libéralisme global est donc une idéologie qui tend à la domination totale. Pour cela, il produit l’écosystème qui lui est le plus favorable, et élimine tout ce qui pourrait l’entraver. Il produit en masse un homme à son image, producteur et consommateur servile : le bourgeois. Les communautés, y compris la famille, sont démantelées au profit d’une société cosmopolite et individualiste. La politique est remplacée par la gouvernance mondiale ; les démocraties deviennent libérales, représentatives et encadrées par le droit, ce qui permet de museler les opposants. Même le sens et la réalité du travail sont corrompus, lorsque le libéralisme remplace les métiers par des emplois salariés, et les objets par des marchandises. Le libéralisme est bel et bien un Système, complet, cohérent, organisé.
Alain de Benoist fait ainsi tomber bien des masques ; il permet d’y voir plus clair et de ne pas être dupe. Le libéralisme apparaît tel qu’il est : un monstre dévorant, protéiforme et tentaculaire ; une hydre aux têtes multiples, solidaires les unes des autres. Il faut toutes les trancher, ou se soumettre : tout ou rien, pour ou contre, sans demi-mesure possible.
Alain de Benoist, Contre le libéralisme, Editions du Rocher, 2019, 344 pages, 19,90 euros.
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30 mars, à Bruxelles, un meeting européen
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Journal du chaos
Pour télécharger la lettre, cliquez ICI
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vendredi, 15 mars 2019
Samedi 16 mars : Martin Peltier à la Librairie française
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Dix raisons pour venir dimanche aux Assises de la France des Gilets jaunes, à Rungis
Le prochain week-end sera très chargé pour quiconque suit l’actualité qui, depuis 4 mois, tourne autour des Gilets jaunes. La guerre des chiffres continue, Castaner n’a vu que 30 000 manifestants samedi dernier, continuant sa stratégie de mensonges pour dénigrer un mouvement qui menace ce régime, depuis le 17 novembre.
Ce samedi 16 mars, les porte-paroles des Gilets jaunes, que par ailleurs nous n’apprécions guère, Drouet, Nicolle et Ludosky, appellent l’ensemble des Français à monter sur Paris, et à entamer une épreuve de force avec ce régime, dans des formes qui ne paraissent pas avoir été encore définies. Tout au long de la semaine, nous y reviendrons.
Certains patriotes, écœurés par l’évolution du mouvement, et sa récupération par la gauche et l’extrême gauche, ne veulent plus entendre parler de lui, et s’éloignent en silence, désabusés. D’autres choisissent d’y rester, parce qu’ils savent que notamment sur les ronds-points, nombre de Gilets jaunes restent fidèles aux idées originales du mouvement : la baisse des taxes et des impôts, et la demande du départ de Macron.
Aujourd’hui, alors que nous avons annoncé cette initiative depuis plusieurs semaines, nous appelons toute notre mouvance, qu’elle se retrouve dans le premier exemple ou dans le deuxième, à s’inscrire pour ces Assises de la France des Gilets jaunes, et nous expliquons les dix raisons qui justifient cet appel cliquez là.
1 - Il y a 18 mois, à l’occasion des 10 ans de Riposte Laïque, que nous n’avons pas donné rendez-vous à nos amis. À chaque initiative de ce type, que cela ait été les Assises internationales contre l’islamisation de nos pays, les Assises de la Liberté d’expression, les Assises « Sauvons notre pays », notre public nous a toujours remercié de l’excellente journée qu’ils avaient passée. Ils y ont toujours trouvé une ambiance fraternelle exceptionnelle, un bon esprit gaulois, le plaisir de côtoyer des gens qui pensent comme eux sur l’essentiel. La disponibilité de Pierre et Christine pour discuter avec nos amis (malgré le poids de l’organisation), leur simplicité est également toujours appréciée. On y mange bien et on boit bien, si on le souhaite, et on rigole avec finesse, ensemble. Enfin, et c’est là l’essentiel, les organisateurs ont toujours invité des intervenants d’une qualité très au-dessus de la moyenne, parfois exceptionnels, qui délivrent un message aux antipodes de ce que les Français entendent à longueur de journée sur les médias de propagande.
2 - Ces Assises rendent fous les gauchistes, qui, sur les réseaux sociaux, hurlent à la récupération de l’extrême droite. Cela ne manque pas d’air de la part de ceux qui, au début, insultaient le mouvement, avant, au service de Macron, de multiplier les actes de vandalisme et les agressions contre les policiers pour mieux le discréditer. Certains ont même menacé de venir nous apporter la contradiction à Rungis, avec les méthodes démocratiques qu’on connaît. Nous rassurons nos amis, nous avons toujours fait ce qu’il fallait pour assurer leur protection, et la police sera dans les alentours, des fois que…
3 - Ces Assises auront lieu le lendemain de l’Acte XVIII, où tout paraît possible, le pire comme le meilleur. Elles seront également l’occasion de faire le point, le jour anniversaire des 4 mois des Gilets jaunes, sur les perspectives, s’il y en a, à donner à ce mouvement, aujourd’hui gangrené par des récupérations politiciennes qui visent à le détruire de l’intérieur.
4 - Vous entendrez des témoignages de Gilets jaunes authentiques, venus de différents endroits de France, présents dans le mouvement depuis le 17 novembre. Lors d’une table ronde qui leur sera consacré, Thomas Joly, secrétaire du Parti de la France, Gilet jaune de la première heure, apportera, en complément, son témoignage et sa vision politique. Dans la foulée, Richard Roudier, président de la Ligue du Midi (dont la sympathique Muriel Ressiguier, surnommée Miss Goulag, demande la dissolution) apportera un témoignage d’Occitanie sur l’histoire de ce mouvement, depuis 4 mois, et l’implantation que les patriotes ont su gagner, sur le terrain.
5 - Le débat sur l’immigration, que Macron et la direction auto-proclamée des Gilets jaunes veulent interdire, sera abordé sans tabou, avec deux interventions complémentaires. D’abord, en fin de matinée, Gérard Pince, économiste, auteur du livre « La France ruinée par l’immigration » expliquera ce qu’aucun des porte-paroles officiels GJ n’a été capable de faire : le réel prix payé par la France des Gilets jaunes pour l’immigration, et ses conséquences dans le quotidien des classes populaires, les plus vulnérables. Et dans l’après-midi, Jean-Yves Le Gallou, infatigable animateur de Polemia, expliquera que les deux axes révolutionnaires, pour les Gilets jaunes, sont les médias de propagande et l’immigration. Une intervention qui sera sans doute un des temps forts de cette journée.
6 - Ce régime a mobilisé son appareil d’État pour briser, par tous les moyens, ce mouvement. La police, la justice et les médias ont été instrumentalisés au-delà de tout ce que nous avons déjà connu. Qui mieux que le syndicaliste policier Michel Thooris (qui interviendra pour la première fois lors d’une de nos initiatives), notre avocat, maître Frédéric Pichon, qui a défendu des dizaines de Gilets jaunes devant des tribunaux d’exception, et Martial Bild, directeur des programmes de TV-Libertés, pourront expliquer aux spectateurs présents l’ampleur de la répression et de la désinformation quotidienne et agressive qu’a subie « La France des Gilets jaunes ».
7 - Ce mouvement a été très suivi dans toute l’Europe, et particulièrement par nos voisins les plus proches, les Suisses et les Italiens. Uli Windisch, notre ami, président et fondateur du site helvétique « Les Observateurs.ch » viendra donner son avis sur la revendication du Ric, lui qui vient d’un pays où les votations citoyennes, à trois niveaux, permettent aux électeurs de donner leur avis, quand ils le veulent, et de faire savoir à leurs dirigeants ce qu’ils veulent, et ce qu’ils ne veulent pas. Et côté italien, Mario Borghezio, député européen de la Lega. Un parti dont le leader charismatique, Matteo Salvini, est la bête noire du président de la République Macron. Bien sûr, il n’a pu que se réjouir que celui qui donne des leçons au monde entier se voit contesté à l’intérieur de son pays. Quand Macron ne peut plus se déplacer nulle part sans se faire siffler et insulter, le ministre de l’Intérieur italien reçoit des marques d’amour de son peuple, partout où il passe. C’est ce que Mario – par ailleurs orateur hors pair, qui parle un français parfait, et n’a pas son pareil pour transmettre son enthousiasme à un public – viendra nous dire.
8 - Vous pourrez faire connaissance de trois intervenants (outre Michel Thooris) qui ne sont jamais intervenus à nos initiatives. Franck Buhler est le vrai fondateur des Gilets jaunes, et il connaît tous les dessous du fonctionnement passé et présent d’une nébuleuse parfois complexe à décoder. Il nous en dira beaucoup, et surtout nous parlera de la suite du mouvement, telle qu’il la voit, sans langue de bois. Nicolas Miguet, président du Rassemblement des Contribuables, avait monté, en visionnaire, une liste aux européennes, en 1999, sur le thème « Moins d’impôts, moins de taxes », que les Gilets jaunes ont reprise, au début du mouvement. Il expliquera ce que recouvre le terrible gaspillage, par l’État français et ceux qui le dirigent, des impôts payés par les Français. Enfin, Emmanuel Crenne, conseiller régional apparenté RN en Occitanie, par ailleurs passionné d’Histoire, expliquera les similitudes qu’il voit entre la France de 1789 et celle de 2019, et sa conviction que les revendications des Gilets jaunes sont porteuses d’une nouvelle révolution française.
9 - Sans doute un des grands moments de cette journée sera la présence du major Alain Bonte, que Pierre Cassen interrogera sur le message contenu dans son livre « L’espérance, notre rêve pour la France », où un militaire prend le pouvoir en France, et se met à diriger le pays dans l’intérêt des Français, en menant une guerre impitoyable à tous les traîtres qui ont coulé le pays depuis quarante ans. Il nous dira s’il croit possible, actuellement, le scénario de son livre, disponible sur les tables, qui fera rêver nombre de nos compatriotes.
10 - Partisans acharnés de l’Union des patriotes, au-delà de nos différences, bien sûr vous aurez l’occasion de voir, sur les tables, tous nos amis qui ont réservé leur place pour exposer leur matériel militant, et vendre leurs livres : nos amis de TV-Libertés, de Présent, de Synthèse nationale, Philippe Randa, les éditions Daniel Conversano, le Parti de la France, le Siel, Vigilance Halal, la Ligue du Midi, le Rucher Patriote, Deux temps d’avance, et quelques autres compagnons de route.
Les occasions sont trop rares pour la famille patriote de se réunir, et la situation politique est trop exceptionnelle, à deux mois des élections européennes, pour que vous laissiez passer une telle occasion de passer une belle journée. Nous comptons sur vous.
NDLR SN : Pour notre part, nous nous permettons d'en ajouter une onzième : celle d'avoir le plaisir de vous recevoir sur le stand de Synthèse nationale.
19:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre Drieu la Rochelle (3 janvier 1893 - 15 mars 1945)
18:13 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean-Marie Le Pen a reçu une délégation du Bastion social
Comme nous l'annoncions mardi dernier sur Synthèse nationale, suite à l'appel que nous avons lancé contre la menace macronienne de dissolution du Bastion social cliquez ici, appel auquel a immédiatement répondu Jean-Marie Le Pen, une délégation du BS a été reçue à Strasbourg où il siège actuellement au Parlement européen par le président d'honneur du Front national.
Ce fut l'occasion pour nos jeunes camarades de présenter à Jean-Marie Le Pen le sens de leur combat et les actions qu'ils mènent à travers la France.
Les nombreux soutiens que cet Appel reçoit quotidiennement prouvent que, au-delà des sensibilités diverses, lorsque l'on s'en prend à l'une des composantes de la famille, chez les nationaux, les nationalistes et les identitaires la fraternité et la solidarité militantes ne sont pas de vains mots.
Vous aussi, rejoignez les signataires, cliquez ici
ou écrivez à roland.helie@sfr.fr
ou imprimez et retournez ce bulletin cliquez là
16:14 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Grand débat...grande arnaque
Le billet de Patrick Parment
Côté Grand débat, ça y est, on ferme la boutique. Cette initiative macronienne s’étalait du 15 janvier au 15 mars, en réponse aux revendications des Gilets jaunes. C’était aussi une manière pour le pouvoir de calmer le jeu. Il n’en a rien été. Le combat continue, car comme nous l’annoncions déjà ici, les revendications premières des Gilets jaunes n’ont pas été entendues. A savoir, pour faire court, une meilleure répartition des richesses nationales – par la refonte de la fiscalité -, d’avoir voix au chapitre quant à leur mode de vie et leur avenir via le référendum d’initiative populaire (RIC). Or, on n’a guère entendu Macron sur ces sujets.
Car ce grand débat qui va lui servir de prétexte à de pseudo réformes est une arnaque. Pourquoi ?
Parce que ceux qui ont contribué à rédiger ces « cahiers de doléances » à la mode 2019 ne sont pas ceux qui manifestaient aux ronds-points et ailleurs, à savoir les vrais gilets jaunes. Ce n’est pas nous qui avons inventé cela, mais la constatation effectuée par le Centre d’études de la vie politique française (Cevipof), un bazar qui dépend de Sciences-Po Paris et qui s’est livré à une enquête sur le sujet. Or, le Cevipof est un repère de collabos libéral-macroniens. Reconnaissons que cet organisme n’a pas manqué de courage (tout est relatif) en nous apprenant que les contributeurs sont majoritairement des hommes (55%), âgés (60 ans en moyenne), retraités (50%), et actifs de plus de 50 ans (34%), dotés d’un fort capital humain (64% déclarent détenir un diplôme de l’enseignement supérieur) et propriétaire de leur logement (75%°).
Autrement dit une population qui se sent menacé par les Gilets jaunes et leurs revendications. Ce n’est pas le moindre des paradoxes de ce grand débat où il n’est guère question, par ailleurs, d’immigration. Car, là encore, on est dans l’arnaque. Dans la France suburbaine et rurale, là où l’on a imposé des quotas d’immigrés, les Français n’en veulent plus. Il y a saturation sur le sujet et ce n’est pas un hasard si nos pseudo élites ripoublicaines de gauche en général mais pas que, clament sur tous les toits qu’il n’est pas question de rouvrir le débat sur l’identité français.
Au final, ce que révèle cette crise systémique des Gilets jaunes, c’est que nous sommes entrés dans une nouvelle (re)composition de la société française, plus fracturée que jamais, en voie de communautarisation comme vient de le mettre en lumière Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion et stratégies d’entreprises de l’institut de sondages Ifop, l’Archipel français (le Seuil). Nous aurons l’occasion d’y revenir., car ce débat n’est pas clos.
11:45 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DIMANCHE PROCHAIN, 17 MARS, TOUS À RUNGIS AUX ASSISES DE LA FRANCE DES GILETS JAUNES
PLUS DE RENSEIGNEMENTS CLIQUEZ ICI
10:54 Publié dans Gilets Jaunes | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A Rouen, des étudiants identitaires interviennent au cours d'une réunion de repentants shizophrénes
Jeudi après-midi des étudiants identitaires de Rouen ont perturbé une conférence Race(s) sur le thème "Pourquoi l’homme blanc se prend t’il toujours pour le maître du monde ?"
Ces jeunes étudiants, indignés par la tenue d'une telle réunion provocatrice et ethno-masochiste dans leur ville, refusent la culpabilisation perpétuelle des Européens. Ils ne pouvaient donc pas rester sans régir. Rappelons que l’Histoire de l’Europe est riche de 30 000 ans d’identité, et ne se résume pas qu’à certaines courtes périodes qui sont en permanence insultées par les détracteurs de notre civilisation. Voilà pourquoi cette action méritoire a été pacifiquement menée.
10:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Avez-vous pensé à réserver votre place au 3e dîner des Amis de Synthèse nationale qui se tiendra samedi 6 avril prochain ?
01:00 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 14 mars 2019
Le nouveau livre de Gabriele Adinolfi est sorti
Pour le commander, cliquez ici
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De l’utilisation scandaleuse des « forces de l’ordre » en notre triste République
Bernard Plouvier
Selon la définition même du Pacte social, l’État est le dépositaire de la violence légitime : celle qu’il est nécessaire d’employer pour neutraliser une crapule dangereuse (assassin, violeur ou auteur de brutalités indues) et, bien sûr, pour calmer des émeutiers.
Encore faut-il que les situations soit réellement périlleuses, pour éviter que les agents de la force publique ne soient lancés un peu trop vite et trop légèrement à l’assaut de simples râleurs. Encore faut-il, au contraire, que ces agents ne soient pas retenus, empêchés d’agir en dépit d’une situation d’insurrection, par des raisons de basse politique.
Or, dans la France de Grand Président Macron, l’homme qui parle beaucoup et partout, l’homme qui cause plus vite qu’il ne pense, le Lucky Luke du discours omniscient, l’on observe, de façon parallèle, un usage scandaleux de la force dans certains cas et un laxisme ahurissant autant que coûteux dans d’autres situations.
Les Gilets Jaunes ont beaucoup râlé, contesté, conspué Génial Président, ternissant une image de marque que notre Jeune et Dynamique Premier Magistrat voulait imposer à l’admiration européenne.
Certes, nos grognards autochtones l’ont fait sans finesse, ni même discernement : la désertification industrielle du pays, la scandaleuse inefficacité de l’enseignement public et - par-dessus tout – les risques monstrueux à long terme que fait courir à notre Nation l’immigration-invasion d’origine extra-européenne, sont des sujets infiniment plus importants que les impôts, les taxes et les attributions, parfois scandaleuses, de logements sociaux.
Que quelques psychopathes violents et des alcooliques dangereux se soient invités aux cortèges, on veut bien le croire. Mais chacun sait que le ministre de l’Intérieur et ses sbires financent des groupuscules d’agitateurs ultra-violents, auxquels une étiquette de « gauchistes » donne bonne conscience... on se demande d’ailleurs pourquoi.
Trop heureux de pouvoir compter sur leurs vandales stipendiés, et vite relâchés si par hasard ils se font alpaguer par erreur, les grands hommes de l’Intérieur ont ordonné d’utiliser des armes vulnérantes. Et l’on a hélas assisté à la polka des éborgnés, des amputés, des contus, faute de pouvoir rejouer le Bal des pendus... mais compte-tenu de la haine manifeste de Grand Président pour notre peuple, il n’est pas impossible qu’on y vienne un jour. La violence fut, à l’évidence, disproportionnée.
Il est bon de rappeler à nos pandores – les donneurs d’ordre et les robots-exécutants - que la Loi est faite pour eux comme pour tout autre citoyen. L’article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (celle du « machin » ayant pour sigle : ONU) et l’art. 9 de la Convention Européenne ont reconnu une Liberté de Conscience, soit – entre autres choses – le droit pour un militaire ou un policier de s’opposer à certains ordres, notamment ceux dont l’exécution est une flagrante violation de la Loi, comme le fait de tirer avec une arme potentiellement léthale, en tous cas vulnérante, sur des individus désarmés. Il faudra s’en souvenir le jour où Grand Président et ses ministres sortiront de fonction.
De façon opposée, il faudra lui reprocher sa criminelle abstention lors des émeutes raciales de Grenoble, en ce mois de mars 2019, perpétrées après la mort de deux voyous maghrébins qui, montés sur une moto volée, ont grillé vifs lors d’une prise en chasse par des policiers auxquels ils avaient refusé d’obéir.
Alors que l’on mutile des Gilets Jaunes et qu’à leur propos tous les media bon-chic bon-genre hurlent les appels au lynchage, l’on fut fort anodin, chez nos aimables informateurs, sur le saccage de quartiers entiers de Grenoble, sur les dizaines de véhicules incendiés. Et très curieusement, face aux émeutiers d’origine extra-européenne, les forces de l’ordre se sont faites petites, discrètes, anodines. La force publique macronienne était devenue faiblesse !
Résumons : d’un côté l’on mutile de l’autochtone ; de l’autre, on laisse des étrangers à notre culture et à notre continent saccager, incendier, détruire pour « venger » des voyous dont on aurait dû éviter la très indésirable présence sur notre sol national.
La conclusion s’impose d’elle-même.
Il faut d’urgence organiser un plébiscite sur l’immigration extra-européenne et sur le retour à l’envoyeur des parasites, des sociopathes violents, des djihadistes haineux.
Grand Président doit comprendre qu’il est payé pour respecter et faire respecter le Pacte social. La violence n’est légitime que si elle est proportionnée au risque encouru par l’État ou la Nation. Mais, parallèlement, l’ordre doit être rétabli en cas d’émeute véritable.
Car la notion de Démocratie implique que la loi soit appliquée à tous de façon indistincte, sans ségrégation entre les citoyens, et que l’on prenne l’avis de la Nation sur les grandes questions, celles qui engagent son avenir.
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RAPPEL : samedi prochain, Forum de la Nation à Lyon
Plus d'informations cliquez ici
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La nouvelle affiche de la Dissidence française
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Marion Sigaut, invitée par Cuvitas au Parlement européen, revient sur les massacres commis à Lyon "au nom de la République"
Source Médias presse info cliquez ici
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UN NOUVEAU "HISTOIRE-ACTU" DE PRÉSENT CONSACRÉ AUX EUROPÉENNES DE MAI PROCHAIN
22:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'émission "Synthèse" de jeudi avec Gilles Cosson, écrivain
21:55 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
UN NOUVEAU RECUEIL DES "CHRONIQUES BARBARES" DE PHILIPPE RANDA
Préface de Richard Dessens au 16e Chroniques barbares de Philippe Randa : Quand la peine le dispute à la colère (Éditions Dualpha).
L’année 2018 passée au crible et par le stylet acéré de Philippe Randa, ça vaut le détour pour quiconque a su conserver, contre les vents et marées de la pensée unique obligatoire, au moins une once d’esprit critique et de liberté d’examen des choses publiques. Consommateur, passe ton chemin ; citoyen, délecte-toi des lignes de Philippe Randa !
Philippe Randa dont la devise pourrait être : « Je suis un auteur censuré extrêmement diffusé », comme il l’affirme lui-même. Un clin d’œil, une boutade, un regret, une frustration ? Non : l’engagement sincère d’un homme libre. De ces hommes libres qui doivent être donc enchaînés ou, comme l’a écrit Guy Béart en substance dans une célèbre chanson : « celui qui dit la vérité doit être exécuté ». Mais un homme libre en effet extrêmement diffusé : auteur de 119 livres, romans policiers, essais, études historiques, dictionnaires ; mais aussi chroniqueur politique, directeur de trois maisons d’éditions, animateur d’émissions sur Radio Libertés et TVLibertés, pour ne signaler que l’essentiel d’une vie riche en diversité et en expériences.
Pour les Chinois, 2018 est l’année du Chien et ce dernier recueil aurait pu s’appeler : « 2018, une année de Chien » ! tant les évènements qui se sont succédés ont été surprenants, inattendus, violents, choquants parfois, improbables souvent. C’est cette actualité qui est traitée à travers les 71 saillies de l’indignation parfois, de l’analyse toujours, de l’humeur encore, de l’humour mordant enfin, de Philippe Randa : 49 chroniques pour le journal Présent, là c’est le journaliste et l’observateur politique qui parle ; 15 « Entretiens avec Philippe Randa » quand l’homme laisse aller son humeur ; 7 « Chroniques Barbares », dans lesquelles l’éclectisme le dispute à l’agacement d’une actualité agressive… et c’est peut-être pour cela que ces chroniques sont « barbares » comme ceux que l’Église appelait les « Barbares », c’est-à-dire des hommes pour lesquels la liberté était leur bien suprême. Être « barbare » c’est être libre et peut-être trop le proclamer au risque d’être anathèmisé ! Dans ces « Chroniques Barbares » le ton est celui de cette liberté qui s’indigne et qui laisse aussi pointer la générosité du cœur.
La galerie de l’année 2018 de Philippe Randa est variée, de Jeanne d’Arc et son avatar black à Johnny Hallyday et sa famille des Atrides, en passant par Bertrand Canta, Michel Onfray ou nos plus beaux spécimens de la vie politique, Gérald Darmanin ou le sacro-saint Nicolas Hulot. Il y en a pour tout le monde ! Mais il y en a qui retiennent plus l’attention par leur caractère poignant. Je pense à ces 13 enfants martyrisés pendant des années aux USA qui ont touchés l’émotion des plus caparaçonnés ; je pense aussi à Samuel Dufour et Esteban Morillo condamnés à des peines iniques (7 ans et 11 ans de prison) par une juridiction dont la politisation atteste le « deux poids deux mesures » d’une partie de la justice française. Là, la peine le dispute à la colère.
La colère justement, mais celle des Gilets Jaunes qui ont éclairé notre fin d’année 2018 d’une lumière improbable, mais pleine d’espoir dans la capacité à résister à l’anesthésie de notre doucereuse et terrible démocratie. Philippe Randa en profite pour aborder le thème d’un antagonisme « Polytechniciens versus les autres, Gilets Jaunes » avec beaucoup d’humour persiflant, pointant d’un doigt vengeur le fossé qui peut exister entre les préoccupations et les modes de pensée des uns et des autres. La froideur technocratique qui ne sait raisonner que sur des statistiques s’oppose à la spontanéité humaine avec ses atermoiements, ses outrances parfois, mais son humanité et sa soif de vivre ensemble surtout.
Cet article m’évoque cette vieille histoire qui remonte aux débuts de l’École Polytechnique révolutionnaire d’abord en 1794, puis militarisée sous le Premier Empire. Un Polytechnicien attrape une mouche, lui arrache un balancier (une mouche a deux ailes et deux balanciers) et lui dit : « Vole ! ». Et la mouche vole. Il lui arrache le second balancier et lui dit : « Vole ! ». Et la mouche vole… un peu de travers toutefois. Le Polytechnicien poursuit son expérience et arrache une aile à la mouche. Il lui dit : « Vole ! ». La mouche vole en rond difficilement, mais elle vole. Il arrache enfin la seconde aile et dit : « Vole ! ». La mouche ne bouge pas. Conclusion de l’expérience pour un Polytechnicien : une mouche sans ailes devient sourde. CQFD. Comment faire confiance à de tels cerveaux qui constituent notre « élite ».
Mais il y a aussi le boycott de Michel Onfray qui n’est plus en odeur de sainteté politico-médiatique depuis qu’il a attaqué la mémoire sacrée de Freud et affirmé une liberté de penser insoutenable pour un establishment, comme le nommait jadis Jean-Marie Le Pen, qui a lâché Onfray pourtant porté aux nues lorsqu’il s’était fait connaître pour son combat contre ce même Jean-Marie Le Pen en 2002. Onfray rejoint le carré des pestiférés avec Éric Zemmour et beaucoup d’autres ! « Ô tempora Ô Mores ». Les limites de la liberté sont vraiment de plus en plus étendues.
Et puis on parle aussi de sujets plus légers, mais toujours avec une – ou deux – pointe d’acidité : la famille Hallyday et ses déboires post mortem. C’est alors la grande presse de référence absolue dont se moque Philippe Randa en constatant que toute la presse est devenue une presse à scandales qui n’est plus limitée à quelques titres spécialisés dans le voyeurisme, voyeurisme qui est devenu ainsi le moteur de notre grande presse si intelligente.
Pour finir Philippe Randa ose – crime de lèse-majesté – un coup de griffe iconoclaste au grand homme disparu. Là ce n’est plus du courage, c’est de la folie !
Et puis il y a Jeanne d’Arc et l’affaire de son incarnation humaine sous les traits d’une jeune métisse. Pourquoi pas ! puisque les Droits de l’Homme ne reconnaissent pas les races humaines et interdisent même d’en faire mention au nom de l’égalité et de l’interchangeabilité parfaites des êtres humains. Certains s’indignent de ce « rôle » inattendu, d’autres applaudissent. La question que pose alors Philippe Randa est intéressante même si elle n’aura jamais de réponse… et pour cause : et si, dit-il, on faisait incarner Anne Franck par une métisse ? Les mêmes qui soutiennent l’avatar de Jeanne d’Arc soutiendraient-ils celui d’Anne Franck ?
Le problème avec Philippe Randa c’est qu’il pose toujours des questions dérangeantes, qu’il apporte des commentaires impertinents et qu’il fournit des analyses à contre-courants. Si cela réjouit les uns, cela indispose beaucoup d’autres. Ce sont des hommes comme lui qui nous attirent les foudres du pouvoir politico-médiatique des élites auto-proclamées ; qui poussent un État aux abois à faire une loi contre les fake news. Car une fake news, telle que presse et politiques la définissent est une information, ou un commentaire, ou une analyse, contraires à leurs propres interprétations réputées « officielles » et revêtues du sceau de la vérité absolue et incontestable !
L’« excellent » journaliste déchu David Pujadas, sur LCI, passe tous les jours en revue ce qu’il nomme lui-même des fake news. C’est effarant de primarité et de parti pris. Il affirme que commenter et analyser « faussement » un texte de traité (c’était le Traité d’Aix La Chapelle en janvier 2019) constitue une fake news, se demandant s’il ne serait pas possible de judiciariser de tels propos !
Plus encore, en soutenant les Gilets Jaunes, Philippe Randa contribue à pousser le Pouvoir à régenter et quasiment interdire de manifester, procéder à des arrestations préventives, dissuader à manifester.
Philippe Randa est ainsi un homme dangereux qui incarne par tous ses propos ce que notre pouvoir politico-médiatique nomme les fake news. La réinformation n’est qu’un ensemble de fake news. Commenter différemment de David Pujadas et des chroniqueurs officiels, c’est diffuser des fake news. La liberté d’analyse est une fake news. Tiens ! ce recueil devrait s’appeler : Vive les fake news 2018 ! Comme ça on serait fixé !
Amis lecteurs, trouvez ici l’expression de mon amitié pour Philippe Randa, mais aussi la lucidité de l’homme sain de corps et d’esprit que je suis et le bol d’air frais dont vous avez besoin pour reconsidérer l’actualité triée, bidouillée, orientée de la grande presse officielle écrite, radio et télévision.
Philippe, on ne lâche rien en 2019 !
Enseignant depuis plusieurs années, Docteur en droit, DEA de philosophie et licencié en histoire, Richard Dessens est l’auteur d’ouvrages d’histoire des idées politiques, de relations internationales, d’essais politiques et d’une biographie du grand journaliste du XIXe siècle Henri Rochefort. Il collabore au site de la réinformation européenne EuroLibertés.
Quand la peine le dispute à la colère, Philippe Randa, préface de Richard Dessens, Éditions Dualpha, collection « Patrimoine des héritages », 212 pages, 25 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.
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CE JEUDI SUR RADIO LIBERTÉS : L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" AVEC LE ROMANCIER GILLES COSSON
LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI
09:02 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 13 mars 2019
ALAIN ESCADA, PRÉSIDENT DE CIVITAS, RÉPOND À L'APPEL CONTRE LA DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL
De jour en jour le nombre des réponses à l'appel lancé par Synthèse nationale contre la menace de dissolution du Bastion social proférée par Emmanuel Macron lors du dîner du Crif augmente. Les dernières reçues sont :
Alain Escada, Président de l'Institut Civitas
Pierre Gillieth, écrivain, directeur de Réfléchir & agir
Clotaire De La Rue, journaliste à Nous Sommes Partout
Gérard Letailleur, écrivain
Jean-Claude Rolinat, écrivain, grand voyageur.
Vous aussi, signez cet appel cliquez ici
19:18 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
SUITE AUX ATTAQUES CONTRE LA NOUVELLE LIBRAIRIE
16:11 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lucien Cerise en conférence à Carhaix (29) le 24 mars...
14:46 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Hommage de Pierre Vial à Guillaume Faye
Pierre Vial, Président de Terre & peuple
Eté 1973, en forêt bourguignonne. Le camp d’été d’Europe Jeunesse se termine par un raid destiné à initier nos jeunes camarades, tous citadins, à la magie de la forêt. En fin de journée je fais le compte des troupes, arrivées échelonnées au point de rendez-vous. Il manque un homme. J’épluche la liste des effectifs et fais l’appel. Le manquant est un certain Guillaume Faye. Alors que la consigne, stricte, que j’avais donnée à chaque patrouille était qu’on ne laisse, jamais, quelqu’un derrière soi, il a disparu sans que personne ne le remarque, comme un feu follet. L’image me restera ensuite en tête : Guillaume, un feu follet.
Je suis parti à sa recherche, craignant qu’il ait eu un accident l’immobilisant en terrain isolé. Rien. Pas une trace. Je m’apprêtais à mobiliser un maximum d’effectifs pour organiser les recherches quand j’ai vu arriver au point de rendez-vous un gars épuisé, hirsute. Il m’a dit avoir voulu prendre un raccourci et s’être perdu… Je l’ai envoyé manger et dormir car il en avait grand besoin. J’ai voulu, le lendemain, mieux connaître cet étrange gars. Et j’ai découvert quelqu’un dont les paroles ont révélé un esprit curieux de tout, d’une intelligence aigüe. J’ai donc fait en sorte, fidèle à ma vocation de pêcheur d’âmes, qu’il travaille, très vite, dans le cadre du Secrétariat Etudes et Recherches du GRECE, où ses talents ont fait merveille. Peut-être trop au goût de certains egos surdimensionnés, à qui il faisait (sans le vouloir) de l’ombre. Lesquels ont fini par écoeurer Guillaume, qui a pris le large, à peu près au moment où j’en fis autant, en 1986.
Mais tout au long de son passage au GRECE Guillaume avait donné toute la mesure de son talent, qui était grand. Agitateur d’idées, créateur de concepts originaux et dérangeants, animateur hors pair alliant de solides connaissances et un humour dévastateur, Guillaume a été, pour beaucoup de jeunes camarades, un éveilleur au plein sens du terme. Et il avait un sens de l’amitié toujours prêt à se manifester.
Mais, derrière la façade du blagueur génial, auteur de farces mémorables quand il était devenu Skyman, il y avait un homme en fait très sensible. Et donc fragile. Quand le divorce avec certains hiérarques de la Nouvelle Droite est devenu inévitable, il a été touché au plus profond de son être et nous avons été peu nombreux à nous en rendre compte. Il y avait en lui des blessures qui ne se sont jamais refermées. Les dérives dans lesquelles il s’est noyé, ensuite, ont largement là leur explication, j’en suis persuadé.
Je ne veux garder de lui que l’image de l’homme brillantissime qu’il fut pendant un pan de sa vie, l’auteur de livres-clefs comme « Le Système à tuer les peuples », qui resteront des balises. Alors, il faut oublier le reste.
Salut Guillaume !
14:42 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi, sera dimanche aux assises de la France des Gilets jaunes à Rungis
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09:53 Publié dans Gilets Jaunes | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dans Rivarol de cette semaine Robert Spieler appelle à soutenir la campagne contre la menace de dissolution du Bastion social
Le 20 février, au dîner du Crif, Emmanuel Macron avait annoncé qu'il allait dissoudre le Bastion social, une organisation hautement sulfureuse puisqu'elle consacre la majeure partie de ses activités à la défense de la civilisation européenne et à l'aide aux SDF français. Malgré les fermetures de leurs locaux, souvent sous couvert de normes administratives, le Bastion social avait courageusement résisté.
Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale a, dans un esprit unitaire et trans-courants, pris l'initiative de lancer une pétition demandant au Président de la République de ne pas prendre une "décision injuste, partisane etgravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles." On lit en introduction de cet appel : "Les signataires, qui ne partagent pas forcément les idées du Bastion social sur de nombreux points, s'inquiètent de ce lynchage démocratique d'une association qui n'a comme réel tort que d'aimer son peuple et sa patrie et demandent au Président de la République de revenir sur ses intentions".
De nombreuses personnalités de la mouvance nationale, nationaliste et identitaire, dont Jean-Marie Le Pen, ont d'ores et déjà signé cet appel contre la dissolution du Bastion social. Rivarol, bien entendu, s'y associe. Manifestez vous aussi votre soutien en envoyant un courrier avec vos coordonnées à Synthèse nationale 9, rue Parrot (CS 72809) 75012 Paris.
Rivarol, n°3368, du 13 mars 2019
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09:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Algériens pro-fellouzes : dégagez… de chez nous !
Par Alain Sanders
Jean Madiran disait (et il l’a même écrit dans Présent) : « La France ne peut plus rien en Algérie, la France ne peut plus rien pour l’Algérie. » Il avait raison. Une page est tournée. Ils sont – de satrapes en satrapes – indépendants depuis près de soixante ans. Pour réussir à transformer un pays moderne, qui leur fut remis clefs en main, en un champ d’épandage que des centaines de milliers de jeunes rêvent de quitter. A tout prix.
On entend les manifestants d’Alger scander : « FLN dégage » (sans oublier d’y associer son complice de gouvernement, le RND). Ils auront mis le temps à se réveiller. Mais bon... Qu’ils s’arrangent entre eux, ça ne nous regarde pas. Mais ça commence à nous concerner quand ce même slogan est lancé dans des manifestations organisées en France. Par des « Algériens » dont on ne sait pas s’ils sont Algériens, Français, Algériano-Français ou Franco-Algériens.
Dimanche dernier, ils étaient très nombreux à manifester, youyous à l’appui, place de la République à Paris. Imaginez-vous une manifestation politique de ressortissants français au cœur d’ Alger ? Ils brandissaient des centaines de drapeaux algériens. C’est le cœur serré et la rabia au ventre que j’ai regardé ça. Car ce drapeau algérien, c’est la souquenille FLN. Celle qui a flotté sur les massacres des nôtres. A Oran, en juin 1962, tandis qu’éclataient les youyous stridents des femmes, les dépeceurs, les égorgeurs, les écorcheurs d’Européens, de Juifs, de Français musulmans, arboraient ce même emblème.
Les avez-vous entendus, ces « Algériens » de la place de la République dire leur attachement à l’Algérie (« J’ai l’Algérie au cœur », dira notamment une femme qui, pourtant, excluait d’y retourner, mais embrassait son drapeau comme une kesra sortie du four...) ? Les avez- vous entendus en rajouter avec des trémolos comme là-bas, dis... Des déclarations d’allégeance qui n’auraient rien d’anormal en Algérie. Mais incongrues, indécentes et même inquiétantes, en France.
Vous l’aimez tant que ça, votre pays de fellouzes ? Bravo. Mais que faites-vous en France ? Qu’attendez-vous pour retourner là-bas prendre part à cette (r)évolution politique annoncée et souhaitée ? Ce n’est pas place de la République, à Paris, qu’il faut rouler des mécaniques mais – où vous voulez, zenqet, blasa, berra, fi wast lamdina, charie, l’ baladiya – au bled !
Aussi, Algériens pro-fellouzes (car ce n’est pas le FLN fellagha que vous rejetez, mais ce qu’en ont fait vos politicards corrompus) qui vivez et prospérez en France, un conseil : dégagez de chez nous ! Vous pourrez ainsi manifester sur place et, à l’occasion, voter in situ plutôt que dans les officines « bouteflikesques » de Paris, Marseille, Lille, Roubaix, Mulhouse, Saint-Denis, etc. Je suis oiseau, voyez mes ailes, je suis souris, vive les rats, y’a un moment où ça va bien comme ça... Quand on veut se réconcilier, il faut être deux à le vouloir. On ne peut avoir, d’un côté une France qui se prosterne devant la doxa FLN (par soumission, « femmelitude », diplomatie, business, peu importe), et de l’autre une Algérie qui, dans ses livres scolaires, son enseignement universitaire, les articles de presse, les émissions télé, les diatribes de ses hommes politiques (qui utilisent ce truc depuis 1962 pour juguler tous opposants dès lors considérés comme traîtres aux moudjahidin des années de braise), distille une haine cuite et recuite. Une Algérie arabo-musulmane qui persécute les chrétiens, détruit leurs églises et leurs temples, tient les Kabyles sous le joug. FLN historique ou FLN relooké, c’est kif-kif bourricot finalement. Ce qui va se passer en Algérie ? C’est leur affaire. Et, pour tout vous dire, mâshi souqi ! (« Je m’en fous. »)
Source : Présent 13/03/2019
09:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |