vendredi, 24 février 2012
Dimanche soir, sur Méridien zéro...
Méridien zéro RBN cliquez là
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Une lettre ouverte de Jean-Claude Rolinat à Yves Calvi, journaliste à France 5 :
Emission « C DANS L’AIR »
du mercredi soir 22 février relative
à la guerre d’Espagne
Monsieur Calvi,
Vous animez généralement des émissions d’une très bonne tenue portant sur l’actualité : les intervenants sont souvent des spécialistes reconnus ou talentueux. On ne se coupe pas la parole, on est loin des « basse-cours » de certaines émissions proposées par vos confrères. Sous la baguette…magique ( ?) d’Yves Calvi, ça fonctionne plutôt bien pour le plus grand confort d’écoute du téléspectateur. Après tout, « bon sang ne saurait mentir »…
Quelle ne fut pas ma surprise en regardant ce mercredi soir 22 courant une émission consacrée au juge B. Garzon et, partant de là, à la Guerre d’Espagne (1936-1939).
Tout de suite, j’eus une impression de malaise ; je n’avais pas en face de moi des spécialistes devisant techniquement de faits historiques discutables, mais des procureurs s’acharnant à salir unilatéralement quatre décennies de franquisme sans prendre la moindre hauteur. Une attitude qui permettrait de voir les choses avec beaucoup de nuances, tant l’histoire avec un grand « H » n’est jamais blanche ou noire, mais toujours grise, sujette au fil des ans et à la lumière de nouveaux témoignages identifiables, à une certaine révision. Il existe des historiens honnêtes et des perroquets indignes. On aurait cru entendre de la « propagandastaffel » contemporaine. Et ces gens-là peuvent avoir un gentil minois, ils n’en sont que plus dangereux. Rien n’est venu balancer, nuancer ce réquisitoire totalitaire, je n’hésite pas à utiliser le mot, à l’encontre du Franquisme. Et pourtant, pour faire la guerre, il faut être deux et si des crimes de guerre furent commis en Ibérie entre 36 et 39, le camp des « rouges » en a une très belle part. Ce n’est pas moi qui le dit, mais l’écrivain espagnol de renom Michel del Castillo qui fut contemporain de cette guerre et dont la maman était plutôt dans le camp de ceux que l’on nomme improprement « républicains ». On parle beaucoup du bombardement de Guernica où s’illustra d’une façon tragique la Luftwaffe, mais on ne parle jamais des massacres de Paracuellos commis par les bolchéviques. Page 255 de son ouvrage, « Le Temps de Franco », Fayard 2008, l’auteur précité écrit :-« …Un plan exécuté de sang-froid. On s’étonne en 2008, de ne trouver que de brèves allusions à cette « évacuation définitive » dans les biographies les plus épaisses, si riches en considérations psychologiques, par ailleurs, sur la personnalité du Caudillo. Comment expliquer cette pudeur ? Tout se passe comme si les victimes de ces purges sanglantes méritaient à peine une mention. » Tout cela pour vous dire que 10 500 personnes sont passées, si j’ose dire, par « pertes et profits ». Quand on évoque la Guerre d’Espagne, c’est très simpliste : d’un côté il y a les « bons », les républicains-démocrates qui assassinaient à tour de bras leurs adversaires politiques, allant jusqu’à exhumer les corps de religieux et de religieuses -, photos à votre disposition -, et les mauvais, forcément les défenseurs des classes aisées et des piliers d’église. Mais l’histoire espagnole de cette période est un peu plus compliquée, elle n’est pas si manichéenne. Si le soulèvement militaire du 18 juillet 1936 a eu lieu, c’est qu’il avait été précédé de nombreuses violences anticléricales, certes, mais pas seulement, de l’assassinat du leader de droite Calvo Sotelo et, dès les toutes premières heures du conflit, de l’exécution de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange. La République espagnole, « bourgeoise » et modérée dans un premier temps, bascula dans l’horreur du communisme, ce qui entraina bien évidemment l’intervention de l’armée, garante de l’ordre public et comptable de l’intégrité nationale. Si les nationalistes,- Phalange, Carlistes, militaires, Chrétiens engagés-, gagnèrent au bout de trois années de terribles combats, ils le durent à leur courage et, objectivement, à l’aide des forces de l’Axe. Mais, dans le camp « d’en face », Moscou déploya tout son arsenal pour sauver cette « République » à la sauce soviétique et mit à sa disposition ses « brigades internationales » qu’un certain Monsieur Jacques Chirac a voulu faire reconnaitre comme « anciens combattants », tout au moins pour ce qui était des ressortissants français. Cette terrible guerre civile, comme celle qui divisa au XIXe siècle les Etats-Unis a fait près de 600 000 morts ! Au lendemain de ce conflit, la répression a été impitoyable, je vous l’accorde. Mais pendant les 36 années de règne du général Franco l’Espagne s’est apaisée, elle s’est reconstruite dans l’ordre et la paix, s’est ouverte au progrès. Ses institutions politiques inspirées de la démocratie organique pouvaient passer pour un Etat totalitaire : rien n’était plus faux. L’Espagne franquiste était un Etat autoritaire mais en aucun cas de « type fasciste » : on ne régentait pas la vie d’un homme de zéro heure à 24 h, on ne le prenait pas en main du berceau au cercueil comme dans les tyrannies théocratiques ou communistes. Il pouvait y avoir quelques ressemblances à l’occasion des grands rassemblements de foules, place d’Orient, mais personne n’était contraint d’y assister. Le régime franquiste a été institué par référendum populaire et le « Caudillo » n’était que le fondé de pouvoir de la monarchie, règne monarchique seulement mis entre-parenthèses pendant les trois années de guerre civile. À la mort de Franco, justement pleuré par une immense partie du peuple, une page s’est tournée et la monarchie constitutionnelle s’est tranquillement mise en route sur les rails forgés par le généralissime. Qu’il y ait eu des massacres, des fusillades arbitraires, des disparitions, nul ne le nie. Mais toutes ces horreurs ont été le fait des DEUX CAMPS. Or, il semble bien que le juge Garzon, par préjugé idéologique, ne se soit occupé que des victimes des armées nationalistes.
La Grande Croix qui s’élève majestueusement au Val de Los Caïdos veut être justement le symbole, par-delà la mort de tant de valeureux combattants des deux camps enterrés là, d’un certain apaisement, d’une réconciliation, d’une Espagne enfin pacifiée, voulant tourner la page sans oublier ceux des siens qui sont restés dans cette terrible guerre contemporaine.
Eh bien, aimant tellement votre émission et appréciant votre talent d’animateur, ce rôle d’arbitre cultivant l’humour, je tenais à vous faire part de ma déception après cette lamentable prestation.
En espérant échapper dans l’avenir à ce type d’émission partisane, je vous prie de croire, Monsieur Yves Calvi, à l’assurance de mes sentiments les meilleurs.
Jean-Claude Rolinat
Ecrivain
Elu local en Ile-de-France
Membre du Bureau de la NDP
22:00 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le retour de la pasionaria
La chasseresse de nazis Beate Klarsfeld, 73 piges au compteur, reprendrait du service. Le parti Die Linke l’aurait pressentie pour être sa candidate contre Joachim Glauck lorsque les deux chambres du Parlement fédéral se réuniront pour élire un nouveau Président fédéral allemand. Sacrée famille : à Paris, on est chiraquien enthousiaste, à Jérusalem on est pro-Likoud, à Berlin on est pire que simplement coco : on se porte candidat pour les héritiers du parti de l’érection du mur le long duquel des centaines d’Allemands qui aimaient trop la liberté ont été abattus. Ce n’est pas la 1ère fois que Beate porte les couleurs du parti des assassins : en 1969, toute jeune trentenaire, elle s’est portée candidate depuis la rue de la Boétie à Paris dans la circonscription de Waldshut (pays de Bade) pour le parti communiste allemand qui venait d’être ré-autorisé à l’Ouest.
Source Altermedia cliquez ici
21:59 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
06:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 23 février 2012
Roger Holleindre avec Carl Lang, samedi 3 mars, à Paris...
18:40 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dijon, Nancy, Nice, Quimper, Valence... partout en France, les Amis de Rivarol se réunissent et ils sont de plus en plus nombreux.
13:38 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
American way of Internet
La Chronique
de Philippe Randa
Il est difficile aujourd’hui d’échapper à Internet, tous les moins de 80 ans le reconnaîtront… Et encore ! Qui ne connaît pas quelques nonagénaires surfant sur la toile ? À leur rythme ? Même pas ! Au même rythme que les millions d’autres internautes… Tout comme on trouvera bien, de-ci, de-là quelques réfractaires sexa ou septuagénaires pour rester étrangers à ce mode de communication. Souvent par posture. Mais il faut de tout pour faire un monde, n’est-ce pas ?
Pour le faire, sans doute, mais pas pour le gouverner, selon les États-Unis d’Amérique très sourcilleux sur la question.
Car les organismes contrôlant la gestion du réseau internet sont actuellement basés chez l’Oncle Sam…
« (La) gouvernance est aujourd’hui l’affaire de plusieurs organisations à but non lucratif, essentiellement américaines, mais indépendantes des États-Unis comme l’Icann, l’IETF ou l’Internet Society. Ces instances régulent notamment les noms de domaine, les adresses IP et déterminent les évolutions techniques du réseau », apprend-on à la lecture du Figaro.(1)
Cette indépendance, toutefois, laisse sceptique bien des pays qui, parlant davantage de « gouvernance à domination américaine », entendent remettre en cause cette dernière en proposant que les Nations unies récupèrent la gestion du réseau Internet : « La Russie, la Chine, l’Ouzbékistan et le Tajikistan ont déposé, en septembre dernier, une résolution à l’Assemblée générale de l’ONU afin d’instaurer un "code de conduite (cliquez là)” en matière d’échange d’informations dans le monde. Ils estiment que “l’autorité politique pour les problèmes publics liés à Internet est le droit souverain des États” », lit-on encore dans Le Figaro qui rapporte également les inquiétudes de Vladimir Poutine : « Si nous parlons de la démocratisation des relations internationales, je pense qu’il est essentiel qu’il y ait un contrôle mondial sur les échanges d’informations. C’est certainement une priorité dans l’agenda international. »
Depuis, le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud ont appalé (cliquez ici), eux aussi, en septembre dernier, à la création d’un organisme mondial pour contrôler Internet.
Les USA ne l’entendent évidemment pas ainsi, arguant de la menace d’une remise en cause de la « neutralité » de la Toile.
Pour Robert McDowell, membre de la Commission fédérale des communications (FCC), « toute tentative d’étendre les pouvoirs intergouvernementaux à Internet devrait être rejetée (…) le transfert de compétences à l’ONU risque de porter atteinte à la liberté d’Internet (…) le fonctionnement actuel “sans entraves”, né d’un consensus multipartite, a accompagné les révoltes des peuples contre des régimes dictatoriaux. »(2)
Qu’en termes choisis les choses sont dites… ou avouées, c’est-à-dire qu’Internet a joué un rôle d’importance dans les révolutions arabes de l’an passé, ce que tout à chacun a pu remarquer, mais le terme de “liberté d’Internet” est semble-t-il des plus mal choisi, puisque celle-ci est exclusivement entre les mains de la Première Puissance militaire mondiale… Imagine-t-on un instant qu’un pouvoir, quel qu’il soit, américain ou autre, hésite à utiliser un tel monopole pour servir ses intérêts et les siens seuls, du moins prioritairement ?
Car ces fameuses « révoltes des peuples » – en Égypte, Tunisie et Lybie l’année dernière et en Syrie actuellement – ne se sont produites que contre des « régimes dictatoriaux » hostiles aux États-Unis d’Amérique.(3)
On attend encore d’identiques « révoltes des peuples » contre les régimes « hautement démocratiques » dont Washington a initié les systèmes de défense : soit aux Émirats arabes unis, au Qatar, au Koweït et encore au Bahreïn où un chantier, qui prévoit le doublement de la taille d’une base navale, a commencé en 2010(4)… Sans parler de l’Arabie saoudite, monarchie islamique de type absolue contrôlée par la famille Saoud dont les États-Unis sont très officiellement le protecteur armé de cette dynastie.
La révolte risque de s’y faire attendre…
Notes
(1) Le Figaro.fr (cliquez là), 23 février 2012.
(2) Tribune publiée mardi sur le site du Wall Street Journal.
(3) À l’exception peut-être du cas égyptien, mais rien n’est parfait en ce bas monde, pas même les révolutions populaires.
(4) Des révoltes ont bien eu lieu au Bahreïn et semble-t-il en Arabie Saoudite, mais étrangement on en a très peu, voire pas du tout, parlée… surtout après que les forces armées locales aient « tiré dans le tas »…
10:54 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Francis Bergeron nous parle d'Hergé...
Source Nouvelles de France cliquez ici
Sur la biographie d'Hergé de Francis Bergeron cliquez là
Pour se la procurer cliquez ici
10:36 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Frédéric Nihous abandonne et soutient Nicolas Sarkozy
Source Le Salon beige cliquez ici
Frédéric Nihous, le président de Chasse, pêche, nature et traditions, a renoncé à se présenter à l’élection présidentielle et annoncé son soutien à Nicolas Sarkozy. Dans un communiqué, le président de CPNT évoque ses «difficultés à réunir les 500 parrainages», ainsi que «le blocage des banques qui privilégient les candidats placés haut dans les sondages». «L’ostracisme des médias et des sondeurs évincent la ruralité dans le débat public».
10:11 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LA FRANCE QUI BOUGE...
Par Jean-Yves Métayer-Robbes
Source France Libres Infos cliquez ici
La campagne des présidentielles change de ton depuis l’entrée officielle de Nicolas SARKOZY. Hervé MORIN et Christine BOUTIN ont rejoint le président de la république, avec des circonscriptions réservées pour les législatives, un scénario bien connu qui n’étonne plus personne. Marine LE PEN n’a pas obtenu gain de cause avec le Conseil Constitutionnel et doit compter sur ses troupes pour trouver ses 500 signatures. Nicolas DUPONT-AIGNAN dit les avoir et veut faire entendre la voie du Gaullisme social dans cette campagne, alors que Carl LANG progresse dans sa recherche des signatures, ce qui pose sans doute aussi un problème pour Marine LE PEN qui ne peut plus compter sur d’anciens maires, qui signaient hier pour son père, mais qui soutiennent Carl LANG aujourd’hui.
Le clivage gauche-droite existe toujours mais le paysage politique français connait néanmoins plusieurs évolutions. La presse de gauche parle de la droitisation de la vie politique française, avec un Nicolas SARKOZY plus à droite qu’en 2007. Face à François HOLLANDE qui se démarque d’une gauche trop à gauche et de ce fait du Parti Communiste et du Front de Gauche de Jean-Luc MELENCHON, il est inévitable que Nicolas SARKOZY se rapproche de certains thèmes propres à la droite et même à la droite de la droite.Par exemple celui des civilisations, jadis réservés à la droite nationale. Même si Claude GUEANT est resté très mesuré sur ce sujet, n’en déplaise à la caste de la pensée unique, le fait de parler des valeurs des civilisations donne une certaine orientation. En revanche, Marine LE PEN laisse le terrain de la droite nationale à Carl LANG qui semble vouloir occuper cet espace pleinement. Marine LE PEN préfère se dire proche du peuple, ni droite-ni gauche. Nicolas DUPONT-AIGNAN revendique l’héritage gaulliste. Est-il de droite ou de gauche aujourd’hui ? Les deux mon capitaine. Pour qui voteront les gaullistes de gauche ? et les gaullistes de droite ? NDA aura-t-il la capacité de les rassembler ? Tout dépend si Dominique DE VILLEPIN obtient ses signatures. La droite française devrait connaitre encore une évolution dans les mois à venir. Nous suivrons par exemple la candidature de Jacques PEYRAT à Nice qui devrait réussir à rassembler autour de lui plusieurs courants. Il y a ceux qui font bouger les lignes et ceux qui suivent derrière eux. Jacques PEYRAT compte bien les faire bouger. Nous verrons aussi ce que va faire Christian VANNESTE pour les prochaines législatives. Reste françois BAYROU que nous n’arrivons plus à situer à droite, bien qu’il ne soit pas “encore” passé à gauche. Il est du Centre François BAYROU me direz-vous, ah oui, du centre, mais pas du même centre que Monsieur MORIN. Le MODEM peut-il rassembler au centre comme Giscard l’avait fait ? C’est le pari de François BAYROU.
Nous aurions donc une Gauche avec les communistes menée par Jean-Luc MELENCHON, la gauche socialiste de François HOLLANDE puis le centre de François BAYROU. Ensuite commencerait la droite avec le Nouveau Centre d’hervé MORIN, les Radicaux de Jean-Louis BORLOO, l’UMP, Debout la République de Nicolas DUPONT-AIGNAN puis le Front National de Marine LE PEN et enfin Le Parti de la France de Carl LANG regroupé dans l’Union de la Droite Nationale avec le MNR et la NDP.
Où se trouve aujourd’hui l’électorat de Nicolas SARKOZY de 2007 ? est-il toujours derrière l’UMP ? est-il aussi chez Marine LE PEN et Nicolas DUPONT-AIGNAN ?
Marine LE PEN a-t-elle gardé tout l’électorat de Jean-Marie LE PEN ? Carl LANG réussira-t-il à refonder un grand courant de la droite nationale ?
François BAYROU sera-t-il ouvert à travailler avec le PS ou l’UMP en cas de victoire de l’un des deux grands partis ?
Voila une série de questions que les Français se posent et qui devraient trouver des réponses dans les semaines et mois à venir.
09:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Suisse, net et sans bavure...
09:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce jeudi soir, conférence sur Céline au Local...
07:18 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 22 février 2012
Comment survivre en République islamique française ?
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12:28 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le MNR avec Carl Lang, samedi 3 mars à Paris...
09:43 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 21 février 2012
CARTON ROUGE POUR... MARINE LE PEN !
Source La Flamme cliquez ici
Dans son discours à Lille ce week-end, Marine le Pen a déclaré « Il n’y a, mes chers compatriotes, pas de différences entre un Français immigré et un Français de souche. »
Cette phrase de la présidente du Front National est triplement scandaleuse.
Le premier scandale est qu’en mettant à égalité les Français dits « de souche » et les Français d’origine étrangère, elle nie que la construction de la France fut une longue et parfois douloureuse Histoire pour laquelle les Français – dont on qualifie aujourd’hui les descendants de « de souche » – ont donné leur génie et leur sang. Ainsi, la vérité veut qu’objectivement, il y aura toujours au moins cette différence fondamentale entre les Français de longue souche et les autres.
Le second scandale est qu’en mettant dans le même sac « immigré » les Français d’origine extra-européenne et les Français d’origine européenne, Marine le Pen nie que la France c’est avant tout une terre de chrétiens, de blancs, qui ont en commun une même culture et les mêmes valeurs de civilisation.
Le troisième scandale est que depuis plusieurs décennies, devenir Français n’est qu’une formalité administrative, nombre d’enfants d’étrangers recevant même la nationalité française sans l’avoir demandée, et ces Français de papier sont bien souvent hostiles à la France et à ses valeurs ancestrales. Les mettre ainsi sur le même plan que les « autres » Français est non seulement une erreur intellectuelle mais une stupidité sas nom.
La sortie politiquement correcte de Marine le Pen est finalement révélatrice de tout ce que la « dédiabolisation » peut engendrer comme reniements et comme destruction des principes les plus élémentaires sur lesquels a toujours reposé et reposera toujours la droite nationale, aujourd’hui définitivement représentée par le seul Parti de la France de Carl Lang.
23:13 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cette Hongrie qui fait tomber les masques démocratiques...
Par Olrik
La Droite strasbourgeoise
Depuis quelques mois, l’Union européenne révèle enfin son vrai visage. Il ne s’agit pas de la face lugubre et inexpressive d’alias Von Rompuy, parfait spécimen technocratique à sang froid et accessoirement président du Conseil européen. Non ! Ici nous évoquerons plutôt la façon avec laquelle le cas hongrois a été traité. Viktor Orban, ministre-président de Hongrie, a entrepris l’idée folle de réformer une constitution obsolète, décrétée en 1949 dans le fracas des bruits de bottes et le cliquetis menaçant des blindés soviétiques. 20 ans après la chute du communisme, l’initiative pouvait somme toute paraître opportune. Eh bien, il semblerait que non !
Les révisions apportées sont pourtant mineures et, pour beaucoup, symboliques. La « République de Hongrie », vestige suranné de la ronflante « République populaire de Hongrie », redevient simplement « Hongrie » avec en épigraphe : « Dieu bénisse les Hongrois ». En aparté, il est fait mention que l’embryon est un être humain dès le début de la grossesse et que le mariage ne peut avoir lieu qu’entre un homme et une femme. C’en est trop ! Toute la gauche journalistique trésaille et, Cohn Bendit en tête, bat le rappel pour déclencher un pilonnage médiatique intensif, reléguant en comparaison les bombardements de Dresde au rang du joyeux feu de Bengale !
On nous annonce alors que le parlement hongrois a commis la folie de voter des impôts exceptionnels, dits « de crise », visant les multinationales à capitaux étrangers des secteurs de l’agroalimentaire, des télécommunications et de la grande distribution. Les compagnies Véolia ou Suez pourraient en pâtir, Alain Juppé sursaute et invoque pêle-mêle la démocratie, les Droits de l’homme, la liberté et moult autres grands principes ! Puis on nous apprend qu’une loi qui fixe la retraite des juges à 62 ans a été adoptée ! Là, ce sont les Commissaires de Bruxelles qui s’énervent. Ils hurlent que cette disposition est discriminatoire et contraire au principe d’indépendance des juges, pas moins ! Enfin, on nous dit que d’autres dispositions légales créent en Hongrie une instance qui ressemble à notre CSA français et regroupent les télés et radios publiques sous une même structure, à l’instar de ce qui existe déjà en France. Cette fois, c’est Hyllary Clinton en personne qui monte au créneau. La liberté de la presse est gravement menacée, nous dit-elle en fronçant les sourcils et en insistant lourdement, mâchoire serrée, sur le « gravement » ! En bonne chienne de garde, elle veille attentivement à ce que les médias œuvrent au formatage consumériste des populations, et à rien d’autres.
Mais tout ceci n’aurait pas eu lieu si Orban n’avait franchi la ligne jaune, celle qui délimite la loi d’airain de la finance planétaire. Car le cœur du problème est ailleurs et toute cette agitation n’est qu’une préparation à l’offensive finale, celle qui vise la seule réforme qui dérange. En limitant l’indépendance de la Banque centrale hongroise par des dispositions qui revenaient grosso-modo à augmenter le nombre de ses conseillers, Orban commet la faute impardonnable, l’erreur suprême. En punition, il essuiera un feu nucléaire nourri ! La guerre totale est décrétée ! L’attaque sera groupée, croisée, massive et concentrée. De face, le FMI menace de ne plus verser un prêt vital pour le pays. Sur les flancs, l’agence Fitch dégrade d’un nouveau cran la note souveraine de la Hongrie en catégorie spéculative. Sur les arrières, l’ancien maoïste et président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, par une missive adressée au président démocratiquement élu de la Hongrie « recommande instamment de retirer les deux projets de loi fondamentale qui pourraient être en contradiction avec le traité de l’Union ». Vous noterez le « instamment », fortement impératif, immédiatement suivi du conditionnel « pourraient être ». Ce mélange de fermeté dans l’injonction et d’incertitude quant aux motifs laisse songeur…
De leur côté, les marchés s’affolent et attaquent le florint, les banquiers s’emballent et augmentent le taux des obligations hongroises, les journalistes s’étranglent de furie et saoulent l’Occident de bobards ! Olli Rehn, le commissaire aux affaires économiques, enfonce le clou en rappelant que les fonds de cohésion pourraient être gelés. Même les stars godiches de la chanson pop et les acteurs de seconde zone des sitcoms pour ados analphabètes seront mis à contribution au nom de l’effort de guerre ; avec en fond sonore et monocorde toujours ces éternelles autorités morales qui déroulent, inlassablement, leur lancinant catéchisme des Droits de l’homme… La Hongrie sera assommée à coup de marteau pilon, lynchée rageusement, piétinée par des troupeaux de zébus jusqu’à ce qu’elle cède !
Dans cette affaire, on a vu se liguer ensemble dans une cordiale ingérence des instances supranationales, des institutions internationales, des grandes puissances ainsi que les incontournables marchés. Lois, décrets, ordonnances ont été épluchés sans vergogne… et surtout sans se poser la question de savoir sur quelle légitimité était fondée cette ingérence ? Tous ces traités qu’on nous jette à la figure, ont-ils été dûment ratifiés par référendum ? Faut-il rappeler dans quelle circonstance le traité de Lisbonne, dont l’article 123 est invoqué contre la Hongrie, fut voté ? Au nom de quel mandat Hillary Clinton commande-t-elle à Orban ? Qu’importe ! Après cela, les lyncheurs en chef viendront nous expliquer doctement qu’ils ont évité à la Hongrie une dictature et que la démocratie a, une nouvelle fois, été sauvée in-extremis.
Il nous sera pourtant permis d’en douter… Les réformes entreprises par Victor Orban, légitime élu d’une démocratie parlementaire, ne sont en rien en contradiction avec les principes démocratiques ! En cherchant à reprendre le contrôle de sa monnaie, Viktor Orban accomplit au contraire l’acte démocratique absolu, celui qui consiste à restaurer la souveraineté monétaire en calant sur les intérêts du peuple, et non plus sur celui des banquiers et financiers, les orientations stratégiques de la Banque centrale hongroise. La Hongrie vient d’annoncer qu’elle répondra favorablement aux injonctions de Bruxelles. La Hongrie s’apprête donc à reculer et avec elle, la démocratie en Europe !
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Carl Lang sera en Picardie le mardi 6 mars...
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Revue de presse : Carl Lang cherche des signatures sur les terres du FN
Source Le Figaro.fr cliquez ici
L'arrivée de l'ancien cadre du Front National dans la course à la présidentielle serait en partie à l'origine des problèmes de signatures de Marine Le Pen.
Carl Lang, ancien secrétaire général du Front National, parti en 2009 fondé le Parti de la France, est certain d'avoir ses 500 signatures le vendredi 16 mars afin d'être candidat à la présidentielle. Au nom du PdF, il démarche des centaines d'élus. Le PdF, formé principalement d'anciens piliers du Front National qui ont quitté le navire après que Marine Le Pen en soit devenue vice-présidente, chasse les signatures sur les mêmes terres que le FN. Carl Lang sait y faire: c'est lui qui était responsable de la centralisation des signatures en 2007 pour Jean-Marie Le Pen. À ses côtés se trouve un vieux routier de la collecte des parrainages. Fernand Le Rachinel, imprimeur, est un ancien soutien de Jean-Marie Le Pen. Il se targue d'avoir déjà fait «cinq campagnes électorales»?
La présence de ses spécialistes permet au PdF d'avoir déjà «300 promesses»,affirme la porte-parole Martine Lehideux. Cette ancienne figure historique du FN ne cache pas néanmoins les «grandes difficultés» que représente le démarchage d'élus pour Carl Lang. «Mais nous sommes en pleine action», explique-t-elle. Elle confirme rencontrer les mêmes élus que le FN : «On voit les maires qu'on estime devoir contacter, nous avons bien sûr des listes. En 2002, et aussi en 2007, je me suis occupée de récupérer les signatures pour le FN.» Autre point commun avec Marine Le Pen : elle aussi est favorable à l'anonymat, «qui changerait tout», dit-elle.
Dupont-Aignan chasse aussi sur les terres du FN
Au FN, on reste mesuré sur le poids de Carl Lang dans les difficultés de Marine Le Pen : «C'est logique qu'il cherche sur les mêmes terres», explique Michel Guiniot, responsable des parrainages de la candidate, «mais j'ai eu peu d'écho ou de retour sur le terrain». La concurrence pour Marine Le Pen ne vient pas que de sa droite. Selon Michel Guiniot, «Nicolas Dupont-Aignan aussi va voir les maires qui ont déjà signé pour le Front National». Il reste confiant dans la capacité à recueillir les formulaires, même si cela ne va pas assez vite à son goût: «Cela avance à un train de sénateur. On ne fait que ça toute la journée».
Les déclarations de François Bayrou, qui proposait d'aider le FN à obtenir ses parrainages, est un coup de pouce, reconnaît-il : «Tout contribue à ce qu'un certain nombre de maires s'occupent de la situation», confie Michel Guiniot. Ce mardi, le Conseil constitutionnel doit se prononcer sur la question prioritaire de constitutionnalité déposée par Marine Le Pen et qui réclame l'anonymat des parrainages.
11:46 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 3 mars, à Paris, Fernand Le Rachinel avec Carl Lang...
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L'ASSASSINAT DU PEUPLE GREC...
Par Michel de Poncins
C'est à un véritable assassinat auquel le monde entier assiste médusé, accompagné d’une véritable humiliation pour ce peuple, la police anti-émeute le matraquant sans pitié. Le meurtre est organisé et, même, célébré par un groupe de gens hétéroclites, sous le vocable imprécis et abusif de « communauté internationale ». Ses membres ont toutefois des points communs, le plus important étant leur adhésion à la démocratie, ce qui ne les gêne pas du tout pour bafouer la démocratie grecque à l'occasion de ces terribles évènements.
Il s’ensuit qu'une fois encore, une rallonge, peut-être pas la dernière, va être accordée par l'Europe qui a déjà déversé beaucoup de milliards dans ce trou sans fond. Personne ne connaît exactement les chiffres qui bougent tous les jours au hasard des négociations. Il est question, pourtant, de 130 milliards s’ajoutant à bien d'autres qui ont déjà été prêtés. C’est en fait une inondation d'argent qui n'existe pas et est créé ex nihilo pour les besoins de la cause.
Ces milliards quels qu'ils soient sont des prêts ; le pays exsangue se ficelle donc par des intérêts condamnant tout effort de redressement. Les prêteurs, États ou Europe, auront de faux bilans avec à leur actif des créances pourries aussitôt que nées
.
Les coupables
En premier lieu se trouvent les politiques grecs qui au sommet appartiennent à quelques familles ennemies-amies se partageant le pouvoir depuis des lustres et exploitant le pays au profit de leur clan. Les privilégiés qui bénéficient de leur soutien échappent à l'impôt et placent leurs actifs dans des paradis administratifs et fiscaux. Le résultat est que l'État n'obtient pas d'impôts des riches et doit frapper les classes moyennes. Le pays est, simultanément, soumis à un socialisme extrêmement tatillon quelle que soit la couleur apparente des gouvernements. Le produit de ces deux facteurs est que l'économie grecque se traîne depuis longtemps alors que l'ingéniosité des Grecs est célèbre dans le monde entier et ne peut s'épanouir normalement. Il en est résulté l'océan de dettes qui justement conduit au drame actuel.
Le FMI est largement responsable. Ce FMI, sous la direction de DSK, a bâti une méthode d'intervention qui a eu des effets médiocres et parfois désastreux dans beaucoup de pays faisant appel à lui. Christine Lagarde a suivi sans barguigner les mauvaises pratiques de DSK !
L'Europe avec, à sa tête, le couple franco-allemand porte une lourde responsabilité. N'oublions pas que les acteurs principaux de cette Europe ont l'œil rivé sur leurs échéances électorales, le sort cruel du peuple grec ne leur important guère.
Les prétextes
Les prétextes invoqués n'ont pas manqué. Le principal était que l'Europe ne puisse admettre qu'un pays de la zone euro et membre de la CEE fasse défaut, quelque soit l'immensité des dettes créés par les prédateurs locaux. Se trouvait aussi affiché le souci de protéger les banques européennes. Ces banques, qui ont accordé des prêts d'une façon aventureuse, ont, d'ailleurs, reconnu leur faute, ayant provisionné les mauvaises créances grecques. Ce raisonnement ne pourrait qu'encourager les mêmes à prêter avec légèreté à d'autres pays en danger.
Autre prétexte, la fausse idéologie européenne. La doctrine officielle est qu'il faut sauver l'euro, lequel n'est qu'un appendice de l'édifice européen ; lors de la création de cette monnaie unique maints analystes avaient prévu qu'elle était vouée à l'éclatement et nous n'en sommes pas loin.
Derrière l'euro se profile l'objectif fondamental de sauver l'Europe. Selon la propagande, l'édifice européen, qui n'en finit pas de se bâtir, serait l'horizon indépassable d'un continent de 500 millions d'habitants. C'est vraiment de la propagande, car maints signe, s'exprimant parfois dans les urnes, montrent que les peuples sont très réticents.
Nous avons souvent montré que l'hydre européenne et son extension permanente ne s'expliquent que par la voracité financière des eurocrates, leur nombre est si grand qu'il est impossible de les dénombrer vraiment. Le prix à payer pour cette cupidité est la ruine pour le continent par les impôts nécessaires et le déluge de lois imposées par l'Europe. Cette ruine se manifeste par la panne de croissance, même si de temps à autre une amélioration survient, ce qui est le cas pour l'année 2011 en France.
Un autre prétexte invoqué est le jugement des marchés. Ceux-ci ne supporteraient pas que la Grèce fasse défaut. Le plus surprenant dans ces péripéties est que les marchés saluent en général favorablement les actions engagées pour sauver la Grèce, comme les « hauts » et les « bas » quotidiens le montrent. Les politiques du sommet ne s'aperçoivent pas ou ne veulent pas voir que les marchés commencent toujours par porter un jugement hâtif. Plus tard vient le jugement définitif et il risque d'être dramatique au vu du champ de ruines qui va en résulter.
Des effets dévastateurs
Les effets dévastateurs ne vont pas tarder à émerger.
Indépendamment de l'assassinat programmé du peuple grec, se trouve la destruction de sa propre richesse : or, industrieux comme il est, il n'y a aucune raison que l'économie de l'Europe se prive de ses potentialités.
Derrière se profile le risque que d'autres pays comme le Portugal et l'Espagne soient à leur tour emportés dans la tourmente. Quant à la France, le premier ministre, François Fillon, a dit qu'elle était en faillite ; la charge insupportable de la Grèce ne peut qu'aggraver sa situation.
Pour prétendument l'aider, les politiques creusent la ruine de l'Europe par les impôts ou l'endettement qui en résulteront.
L'Europe est jugée dans la planète économique mondiale comme un « homme malade », sans d'ailleurs que les analystes en perçoivent bien les raisons profondes. Or, dans des marchés de plus en plus élargis, la pauvreté relative des uns nuit à la richesse des autres. Le capitalisme veut que la richesse ne soit nullement un gâteau fini que l'on se dispute pour avoir une plus grande part : la richesse globale est une construction et la richesse des uns rejaillit sur celle des autres ; la pauvreté fait de même dans l'autre sens.
Enfin, la Grèce affectant surtout l'Europe, nous observons avec tristesse que la Chine, pourtant encore communiste, vient à notre secours.
La conclusion est qu'il ne fallait surtout pas aider la Grèce. En l'aidant les politiques européens ont enfoncé et la Grèce et l'Europe. Si elle n'avait pas été aidée, elle aurait fait défaut depuis longtemps. C'est arrivé à d'autres pays lesquels ont brillamment rejaillit de leurs cendres.
10:03 Publié dans Tribunes de Michel de Poncins | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 20 février 2012
Perpignan, samedi 25 février, soirée irlandaise à la Casal Europa...
+ d'infos : Terraipoble@yahoo.fr
22:58 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
NDP INFORMATIONS n°23 (février - mars 2012) est sorti :
NDP INFORMATIONS
22:31 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante...
Chronique de Robert Spieler
publiée dans Rivarol
(n°3034 du 17 février 2012)
« Le peuple juif ne se définit pas par la haine des autres. Il se définit par ses valeurs. Nous sommes le peuple qui a apporté au monde deux choses : l’idée de Dieu et l’idée de l’argent. »
Si c’est Attali qui le dit…
L’ancien conseiller de François Mitterrand poursuit de façon grandiose: « L’antisémitisme, c’est l’ingratitude. La grandeur du peuple juif, c’est d’avoir apporté aux autres, même à ceux qui ne veulent pas entendre. C’est un altruisme, non pas intéressé (apparemment il y a des altruismes intéressés… Passons…) mais désintéressé… C’est cette mission qui fait que l’apport de la Loi, de cette générosité, créera une humanité qui survivra, dont le peuple juif sera toujours l’avant-garde. » Atchoum !
Dieu merci, Soljenitsyne est mort
Il est mort, sinon il aurait fini comme Dieudonné. « Il était clairement antisémite et nostalgique de la monarchie tsariste », déclare Alain Corbière, maire adjoint (PG) du XIIème arrondissement, durant la délibération du Conseil de Paris qui vient de décider d’attribuer le nom d’Alexandre Soljenitsyne à une place du XVIe arrondissement. Crime abominable, il est vrai, Soljenitsyne avait écrit un livre « Deux siècles ensemble », qui narre la difficile cohabitation entre le peuple russe et la communauté juive. A lire en Pdf sur le site www.barruel.com. Curieusement, ce livre n’a jamais paru aux Etats-Unis.
Lire la suite de cette chronique
sur le site de Robert Spieler cliquez ici
18:41 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 19 février 2012
Ainsi parlait Europe-Action n°31-32...
“Nous nous révoltons contre la falsification du réel, contre la castration de l’Occident. Nous en appelons à l’esprit total de l’Europe, symbolisé par le mythe de Prométhée, le titan qui déroba aux dieux le feu du ciel, pour donner aux hommes la connaissance et la domination du monde”.
Dominique Venner, Europe-Action, juin-juillet 1965, n°31-32.
“Pour nous, l’Europe est un coeur dont le sang bat à Johannesburg et à Québec, à Sidney et à Budapest, à bord des blanches caravelles et des vaisseaux spatiaux, sur toutes les mers et dans tous les déserts du globe”.
Jean Mabire, Europe-Action, juin-juillet 1965, n°31-32.
Source Terre et peuple Provence cliquez ici
15:48 Publié dans Ainsi parlait Europe-Action..., Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Au-delà de la Présidentielle : la bataille finale…
Directeur de Synthèse nationale
Editorial du n°26 de Synthèse nationale (janvier - février 2012)
Dans l’éditorial de la précédente livraison de Synthèse nationale (n°25 - novembre décembre 2011), j’évoquais l’éventualité de l’arrivée à l’Elysée du candidat socialiste François Hollande et les conséquences catastrophiques pour notre identité et notre liberté qu’auraient l’application de son programme en particulier sur l’attribution du droit de vote aux étrangers. En effet Hollande s’est ouvertement prononcé en faveur de cette mesure suicidaire qui donnerait, dans un premier temps lors des élections locales et régionales mais aussi très rapidement, n’en doutons pas, lors des élections nationales, la possibilité aux partis islamistes qui commencent à s’organiser sur le territoire français de rentrer dans les conseils municipaux, régionaux ou territoriaux et à terme, à l’Assemblée nationale. Quelle aubaine pour ces partis, qui au mieux méprisent et au pire haïssent notre civilisation, que celle de voir la gauche revenir aux affaires.
Si la gauche socialiste et son candidat ont au moins le mérite d’annoncer clairement leurs intentions dans ce domaine, nous ne pouvons que rester dubitatifs sur celles du président sortant. Certes, la perspective de la non candidature (essentiellement faute de militants suffisamment déterminés pour aller à la chasse aux parrainages en sa faveur) de Marine Le Pen, semble redonner des ailes à Nicolas Sarkozy. Son équipe de campagne, Claude Guéant en tête, multiplie les petites phrases afin de draguer l’électorat droitier qui, depuis quelques mois, se donne des frayeurs en lorgnant du côté de l’héritière du Front national. Mais, ne soyons pas dupes, tout cela n’est que mascarade pour endormir les naïfs qui se laissent encore bercer par l’illusion démocratique… N’oublions pas qu’en 2007 Sarkozy promettait à qui voulait l’entendre qu’il allait utiliser le Kärcher pour nettoyer la France de la racaille majoritairement issue de l’immigration, se donnant ainsi l’image du chantre de l’identité nationale. Finalement, ce sont des ministères qu’il octroya à quelques représentants des minorités issues de cette même immigration qu’il comptait ainsi amadouer à son profit. On voit les résultats : en cinq ans l’islam s’est imposée partout en France comme une force conquérante. Merci qui ? Merci M. Sarkozy…
En réalité Hollande et Sarkozy sont tout les deux des représentants des mêmes intérêts dans cette pseudo compétition électorale. Ils préconisent la même politique, à savoir celle que leur dicte l’hyper classe mondialiste dont le seul objectif est l’instauration d’une gouvernance planétaire. Une gouvernance qui dirigerait un monde devenu unicolore, sans ses nations ni ses civilisations, sans ses races et sans ses particularismes, un monde terne et sans saveur dans lequel chaque humain serait réduit à l’état de simple consommateur bien dressé dont la seule raison d’être serait de se laisser gaver afin d’enrichir les comptes des multinationales apatrides. Pour couronner le tout, certains, comme le ministricule UMP Luc Chatel (de l’Education encore appelée « nationale »), vont encore plus loin puisqu’ils remettent en cause l’existence des sexes (fallait y penser…) en faisant la promotion de la théorie dite du gender qui s’attaque à l’identité biologique et sociologique des individus. Bref, le PS comme l’UMP, et leurs candidats interchangeables, n’ont qu’un seul objectif, celui de détruire les fondements de notre civilisation au profit de l’avènement d’une société uniformisée et mondialisée. L’enfer quoi… La première étape vers la réalisation de ce projet funeste étant d’intensifier les mouvements migratoires afin d’accélérer le métissage généralisé.
Cette élection présidentielle est donc une péripétie sans intérêts puisque les antagonismes entre les candidats qui caracolent en tête des sondages n’existent pas. Quant à Marine Le Pen, qu’elle soit candidate ou pas ne change pas grand-chose à la donne puisque son mouvement, à force de rechercher une illusoire respectabilité en édulcorant totalement son programme, a totalement rompu avec sa vocation « révolutionnaire » (si toutefois il en a eu un jour une… cf. l’entretien entre Anne Kling et Robert Spieler réalisé pour Rivarol et repris dans ce numéro de Synthèse nationale), qui faisait jusque là sa force et son originalité.
Face à cette imposture, nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes. La tâche sera rude, mais elle en vaut la peine. Le choix est simple : soit la France se laisse embobiner dans le projet mondialiste décrit ci-dessus et elle disparaîtra définitivement, soit une force déterminée et conséquente se lève afin de s’opposer réellement et sans concession à cette aventure génocidaire en redonnant à notre nation et à notre civilisation leur grandeur et leur splendeur passées… Vous l’avez deviné, pour notre part, nous optons pour la seconde solution. C’est pour cela que Synthèse nationale et la Nouvelle Droite Populaire, avec nos amis du Parti de la France et du MNR au sein de l’Union de la Droite nationale, et aussi avec l’ensemble des mouvements, journaux et associations qui partagent avec nous cette volonté inébranlable de combattre l’hydre mondialiste nous nous mobilisons dès maintenant pour la grande bataille finale !
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13:32 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 18 février 2012
Ainsi parlait Europe-Action n°30...
“Le véritable sens de notre lutte apparaît de plus en plus clairement : c’est la défense de l’individu contre les robots et, par conséquent, celle des patries contre l’universalisme. Pour nous, chaque homme et chaque nation possèdent une personnalité irréductible (…) Le nationalisme, c’est d’abord reconnaître ce caractère sacré que possède chaque homme et chaque femme de notre pays et de notre sang. Notre amitié doit préfigurer cette unanimité populaire qui reste le but final de notre action, une prise de conscience de notre solidarité héréditaire et inaliénable. C’est cela notre socialisme”.
Jean Mabire, Europe-Action, juin 1965, n°30.
Source Terre et peuple Provence cliquez ici
17:09 Publié dans Ainsi parlait Europe-Action... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche soir, sur Méridien zéro...
Ecoutez RBN Méridien zéro cliquez ici
12:41 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 16 février 2012
SALAZAR LE REGRETTE... Un nouveau livre de Jean-Claude Rolinat publié par Les Bouquins de Synthèse nationale...
Antonio de Oliveira Salazar, chef du Portugal nationaliste, l’Etat nouveau, de 1926 à 1968. Peu connu des nationalistes français il transforma ce petit pays, fort d’un empire gigantesque que beaucoup trouvaient anachronique et que certains convoitaient, en une nation moderne. Et, 40 ans après sa mort, 41% des Portugais le considèrent comme le plus grand de leurs compatriotes, devant le navigateur Vasco de Gama… Loin des clichés véhiculés par les tenants de la pensée unique, cette biographie que nous propose Jean-Claude Rolinat remet les choses à leur place.
SALAZAR, le regretté… Jean-Claude Rolinat, Les Bouquins de Synthèse nationale, 164 pages, 18,00 €
Préfacé par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et postfacé par Duarte Branquinho, directeur de l'hebdomadaire nationaliste portugais O Diablo.
Bulletin de commande cliquez ici
Vous pouvez aussi le commander à La Librairie française (rubrique biographies) cliquez là
18:45 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 15 février 2012
Les Blancs et les Rouges, livre indispensable de Dominique Venner, est en vente à la Librairie française...
La seule histoire complète de la révolution et de la guerre civile russe.
C'est là, entre 1917 et 1921, que tout a commencé.
Dominique Venner fait commencer cette histoire à ses origines : la Première Guerre mondiale. Puis, après les improbables révolutions de Février et Octobre 1917, il retrace ce que fut la plus délirante et sanglante des guerres civiles. Pendant trente mois, jusqu'en 1921, elle opposa les Blancs et les Rouges du Caucase à la Sibérie, dans le pays le plus grand de la Terre, sillonné par les trains blindés, les sinistres commissaires bolcheviques et les cosaques ivres de sang. Plusieurs fois, les Blancs auraient pu l'emporter. À lire Dominique Venner, tout devient limpide. Et là encore, les inattendus de l'histoire nous prennent à la gorge.
Certes, le régime communiste né entre 1917 et 1921 n'existe plus, englouti par son propre échec. Mais on ne peut rien comprendre à la Russie d'aujourd'hui si l'on ne sait pas d'où elle a procédé.
Les Blancs et les Rouges, Dominique Venner, Histoire de la guerre civile russe 1917 1921, Editions du Rocher, 520 pages, 2007, 26,50 €, pour l'acheter, cliquez ici
19:46 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 14 février 2012
Dimanche prochain, 17 février, Anne Kling sera l'invitée du Libre TeamSpeak...
Le dimanche 19 février à 21h nous recevrons Anne Kling, auteure de plusieurs livres traitant des lobbys communautaires, notamment La France LICRAtisée, préfacé par Alain Soral, dans lequel elle démonte complètement cette organisation crée de toutes pièces par des militants communistes dans les années 1920.
Elle viendra nous présenter son nouvel ouvrage à travers une conférence éponyme intitulée FN... Tout ça pour ça ! cliquez ici
Vous pouvez découvrir le travail d'Anne Kling en écoutant son intervention lors de la dernière Table ronde de Terre et peuple cliquez ici
Plus d'informations : cliquez là
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