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samedi, 21 avril 2012

Présidentielle : et pan dans les urnes !

437895657.pngPar Yves Darchicourt

La distinction spécifique du politique, à laquelle peuvent se ramener les actes et les mobiles politiques, c'est la discrimination de l'ami et de l'ennemi." Ainsi disait ce grand juriste et philisophe qu'était Carl Schmitt que nous suivrons ici en soutenant que le politique est bien le domaine où il convient d'identifier, de nommer et de combattre l'ennemi, sans concession aucune au pragmatisme, au ralliement conditionnel, au soutien du bout des lèvres, au "oui mais" ou au "non toutefois".

 

Or en France, pour les tenants de la droite nationale et identitaire, l'ennemi est le Système, la dyarchie UMPS, ses satellites et ses ralliés opportunistes tels que représentés par les dix candidats à l'élection présidentielle française et qu'il a autorisé à faire acte de candidature. Il est emblématique que Carl Lang, représentant l'Union de la Droite Nationale, ait été empêché d'être le seul candidat prônant une rupture totale et radicale avec ce Système.

 

Tous les candidats en lice sont peu ou prou alignés sur les "valeurs" de la République (ou de la Ripoublic), la laïcité militante, le "droit" à l'avortement, le "Pacs" ; tous sont soumis au lobby homosexuel, au lobby juif (qui pourtant n'existe pas) ou franc'mac ; ils s'entendent à sublimer la tolérance partout sauf dans les maisons éponymes, à ne pas considérer l'Islam comme un et indivisible et à soutenir qu'il est un Islam "modéré", "français", tout prêt à être digéré par une belle société ouverte; ils envisagent soit d'ouvrir encore plus les vannes de l'immigration -sans d'ailleurs dissocier l'immigration européenne de l'immigration allogène- soit de réguler "drastiquement" celle-ci alors que notre survie civilisationnelle exige non seulement l'arrêt total de l'immigration allogène mais aussi le départ massif, volontaire ou non, des colons de peuplement exotique qui croissent et embellissent sur notre sol.

 

En fin de compte, ces dix candidats nous offrent le choix entre la dissolution dans le métissage universel, laïc et obligatoire sous l'égide de la démocratie mondialiste made in USA cornaquée par l'oligarchie des fortunes anonymes et vagabondes ou la survie en tant que minorité raciale et culturelle dans un espace submergé par les barbaresques de l'Islam conquérant. Ce n'est que le choix du mode de disparition de nos identités régionales, nationale et européenne; ce n'est que le choix entre la lèpre ou le choléra, le billot ou la corde.

 

Nous refusons ici ce choix parce que nous avons choisi le combat non la servitude ou l'anéantissement et que de la Gauche extrème et verdâtre au Front Marinien en passant par le centre mou et l'UMPS, tous sont nos ennemis et qu'il n'en est pas un qui n'utiliserait pas contre nous ses médias, ses zassos, ses délateurs, sa police et ses juges. Le combat continuera demain quel que soit l'élyséen à venir qui n'aura pas été choisi par nous. N'allons pas danser au bal des cocus ! Abstention !

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POURQUOI JE N'IRAI PAS VOTER !

images.jpgOpstaan (cliquez ici)

Les jeunes de la

Maison flamande (Lille)

 

Le choix de l'abstention lors de grands rendez-vous électoraux est souvent très mal compris, il est souvent suivi de critiques fortes et de reproches plus ou moins houleux. Pourtant, je vais vous expliquer ce choix que j'ai pris de manière bien réfléchie.

Je ne choisis pas cela par plaisir de rester confortablement chez soi devant la télévision, mais bien parce que je ne crois pas ou plus aux élections comme moyen de changer le monde qui m'entoure.

Je ne crois en aucune manière en ces candidats pourris, qui usent de tous stratagèmes pour ne vouloir être que "khalife à la place du khalife"et qu'ainsi dans leurs intérêts se perdent nos voix.

Je ne crois pas non plus en leurs programmes, véritables fourre-tout de promesses irréalisables qui ne peuvent guère aboutir en quelque chose de concret.

Je ne crois plus au pouvoir des gouvernements aux prises de marchés financiers et autres lobbys de tous genres, qui n'acceptent les résultats électoraux que lorsqu'ils conviennent à leurs intérêts.

Je ne crois pas au vote blanc, qui n'est guère pris en compte dans les résultats finaux, il a d'ailleurs trop peu de considération et d'importance par rapport au taux d'abstention, c'est d'ailleurs ce qui inquiète le plus tous ces candidats de pacotille.

Je crois surtout que si les élections avaient le moyen de changer quoi que ce soit, elles seraient interdites... Car, seule l'action aux dépens des élections est la seule solution pour lutter efficacement contre un système pourri.

Ainsi, je voudrais dire à tout cet électorat modèle qui méprise l'abstention de se regarder en face et de cesser de jouer aux hypocrites ! Ce n'est pas en attendant les périodes électorales, qu'il faut se bouger tel un troupeau de moutons guidé par le berger « Devoir du citoyen » pour exprimer votre mécontentement, camouflés derrière un isoloir en masquant votre désaccord dans une enveloppe qui s'en ira dans une urne comme tant d'autres, mais qui comme toutes les autres, elles n'auront aucune importance ! Il est ainsi facile d'exprimer sa révolte quand il ne s'agit pas de descendre dans la rue pour le faire ! Les morts de la lutte pour l'obtention du droit de vote doivent se retourner dans leurs tombes...

De cette façon, le système se nourrit des élections pour repousser toujours plus le moment où le peuple se révoltera.

Enfin, je tiens à préciser que cet article n'est pas un appel au vote abstentionniste, il est là pour expliquer un choix personnel qui est et qui restera assez incompris.

Sur ce, je vous laisse vous méditer sur cette citation :

"Gouverner n'a jamais été autre chose que repousser par mille subterfuges le moment où la foule vous pendra, et tout acte de gouvernement rien qu'une façon de ne pas perdre le contrôle de la population."
Comité invisible - L'insurrection qui vient.

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vendredi, 20 avril 2012

UNE MAUVAISE HISTOIRE BELGE...

index.jpegLe bloc notes de

Jean-Claude Rolinat

On l’aura compris, Nicolas Sarkozy n’est pas ma tasse de thé, même si je considère que le « Hollandais », c’est Sarkozy en pire. Toutefois, une campagne électorale mérite une certaine équité  dans son traitement, surtout vue par l’étranger, fut-il proche. Etranger qui doit marquer d’une façon ostensible sa neutralité. Pour l’instant, la chancelière allemande, en dépit des sympathies qu’on lui prête pour le sortant français, s’est abstenue d’intervenir publiquement en faveur de son poulain. Tel n’est pas le cas du Premier  ministre belge,- si, si, ça existe encore ! -, qui a assisté au premier rang des spectateurs de marque au meeting lillois de soutien à François Hollande le mardi  17 avril.

Solidarité idéologique ? Certes, le belge est aussi socialiste que peut l’être « Flamby ». Mais, en tant que personnalité de premier rang d’un Etat voisin et ami, il s’immisce dans un débat électoral qui ne le concerne pas et viole délibérément la neutralité diplomatique qu’il devrait afficher en pareille circonstance. Bien sûr, Monsieur Elio di Rupo n’est pas un chef charismatique, il n’est pas une personnalité de premier plan en dépit de son look à la Buster Keaton affublé d’un inséparable nœud papillon qui le fait repérer entre mille spectateurs… S’est-il  posé la question ce chef de gouvernement dont l’administration ministérielle a été accouchée aux forceps, de savoir ce que peuvent penser des français de son  inacceptable présence à une réunion électorale dans leur pays pour soutenir l’un des candidats principaux dans la course présidentielle ?

Et si demain nous nous mettions en devoir d’intervenir dans les incessantes querelles linguistiques et communautaires qui rongent le Royaume d’outre Quiévrain, si, par exemple, nous prenions parti en faveur de la création d’une République flamande et du rattachement de la Wallonie à  la France, - ce qu’à Dieu ne plaise, car ce n’est qu’un repaire de socialistes ! -, en déclarant que Bruxelles, la pseudo capitale européenne n’est qu’un  nœud musulman et islamiste au cœur de notre vieux continent ?

Elio Di Rupo n’est qu’un… rigolo !

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RESTONS NATIONALISTES !

homepage_logo.jpgPar Jérôme Bourbon

Directeur de Rivarol

 

Les jeux semblent faits. Sauf énorme surprise François Hollande sera le prochain président de la République française de sorte que la gauche concentrera tous les pouvoirs, tant au niveau national que local : l’Elysée, Matignon, le Sénat, le Palais-Bourbon (après les législatives de juin), la plupart des régions, des départements et des grandes villes, sans même parler de sa domination quasiment absolue dans les media, le monde syndical, culturel et associatif. Alors que Nicolas Sarkozy semblait avoir comblé une partie de son retard sur son concurrent socialiste, voilà qu’il paraît dévisser dans les dernières enquêtes d’opinion, l’ex-concubin de Ségolène Royal arrivant devant le chef de l’Etat sortant, le plus souvent dès le premier tour (selon le dernier sondage CSA Hollande serait à 29 % et Sarkozy à 24 % !) et de plus en plus largement au second où le différentiel entre les deux hommes serait de 10 à 16 points, alors qu’il s’était réduit à 6 au cours de la campagne. Certes, il ne s’agit là que de sondages et l’opinion peut encore fluctuer d’ici dimanche (un quart des personnes interrogées précisent qu’elles peuvent encore changer d’avis) d’autant que nous ne savons pas quel sera le taux d’abstention qui pourrait être élevé (le précédent record date du 21 avril 2002 avec 28,4 %, ce qui avait permis l’accession de Jean-Marie Le Pen en finale de la présidentielle) compte tenu des vacances scolaires qui concernent les trois zones et du manque d’attrait des dix candidats en lice.

 

Néanmoins le président semble bel et bien pâtir du recentrage de sa campagne où, ces dernières semaines et contrairement à ce qu’il avait fait auparavant, il a davantage cherché à séduire l’électorat de François Bayrou (que le ministre des Affaires étrangères Alain Juppé a publiquement pressenti comme un possible Premier ministre d’un Sarkozy réélu) que celui tenté par la candidate du Front national. Plus personne ou presque dans la majorité ne semble croire encore aux chances de l’Elyséen de se succéder à lui-même. C’est si vrai que plusieurs ministres ayant appartenu à des gouvernements dits de droite ont déjà franchi le Rubicon. C’est le cas de l’écologiste Corinne Lévy-Lepage qui fut ministre du gouvernement Juppé, d’Azouz Begag et de Brigitte Girardin qui sévirent sous Villepin et surtout de la fondatrice de l’association féministe Ni putes ni soumises Fadela Amara que Sarkozy avait propulsée comme ministre dès son élection en 2002. Le voilà bien mal récompensé de cette ouverture à gauche. Amara retourne chez les socialistes, sa famille naturelle, comme le chien de l’Ecriture revient à ses vomissures. On sait par ailleurs que Jacques Chirac votera dès le premier tour pour Hollande, tout autant par haine à l’égard de son ancien ministre de l’Intérieur que par sympathie radical-socialiste envers l’homme qui lui a succédé à la présidence du conseil général de Corrèze. La plume de Chirac, Jean-Luc Barré, a en effet confirmé dans Le Parisien que le ci-devant maire de Paris se prononcera en faveur de l’ex-premier secrétaire du Parti socialiste. Issu de la gauche communiste (il vendait L’Humanité et a signé l’appel de Stockholm), Chirac revient à ses premières amours.

 

Cette année RIVAROL ne donne aucune consigne de vote et laisse une totale liberté d’appréciation à ses lecteurs. Chacun se déterminera en son âme et conscience. Les rivaroliens sont en effet assez grands pour savoir ce qu’ils ont à faire. Certains s’abstiendront (c’est ce que nous ferons à titre personnel aux deux tours du scrutin), d’autres voteront blanc ou nul, d’autres enfin, engageant leur seule responsabilité, voteront en faveur du candidat qui leur paraît le moins éloigné de leurs idées ou le plus apte à leurs yeux à assumer la magistrature suprême. Quel que soit le choix fait par les uns et par les autres, évitons de nous anathématiser, de nous excommunier réciproquement pour des questions purement électorales et donc tout à fait secondaires. De toute façon aucune révolution salvatrice ne sortira des urnes. Les dés sont pipés, le système est verrouillé, l’électoralisme est la tare et la sauvegarde du régime. De plus, les dix candidats en lice qui ont été présélectionnés (ce n’est pas un hasard que Poutou, Arthaud et Cheminade aient eu leurs signatures au contraire de Carl Lang !) sont tous pour la déesse laïcité, les valeurs de la République, le droit à l’avortement, le Pacs. Tous sont soumis au lobby gay et au lobby juif. L’affaire Vanneste et la mort de Raymond Samuel-Aubrac l’ont amplement montré. Si le Front national était resté fidèle à ce qu’il fut naguère nous l’aurions évidemment soutenu, fût-ce de manière critique, mais le Front mariniste n’a plus à rien à voir avec le FN canal historique que nous avons aimé, soutenu, servi avec sincérité et enthousiasme, même si en quarante ans d’existence force est de reconnaître qu’il n’a rien pu empêcher, ni l’invasion de notre pays, ni le démembrement de notre souveraineté, ni le délitement de notre civilisation. Une dernière preuve parmi tant d’autres de la triste mutation de ce parti : Marine Le Pen a exigé de Bruno Gollnisch qu’il retire immédiatement l’éloge de François Brigneau que ce dernier avait posté sur son blog à l’annonce de sa disparition. En revanche, la présidente du FN a rendu un vibrant hommage à Raymond Aubrac, « un grand homme et un grand résistant » tandis qu’elle compare l’islamisme à « un fascisme vert » (sic !)

 

Par fidélité à François Brigneau qui fut le plus talentueux journaliste de l’équipe fondatrice de RIVAROL, qui ne renia jamais aucune de ses convictions, qui n’était pas homme à mettre de l’eau dans son vin, il nous est impossible aujourd’hui de soutenir publiquement Mme Le Pen qui a abandonné les fondamentaux du nationalisme (renonciation au chèque scolaire qui permettait aux parents de choisir l’école de leurs enfants, refus de la pourtant nécessaire inversion des flux migratoires, abandon de la suppression de l’impôt sur le revenu et des droits de succession, fin d’une politique familiale et d’accueil de la vie, soumission au sionisme international, condamnation du révisionnisme, etc.). Appuyer sa candidature, ce serait cautionner ses purges, ses reniements, ses trahisons, son effrayant vide moral et doctrinal, les poursuites judiciaires qu’elle intente contre tous les nationalistes qui ne lui font pas allégeance. Chacun agira selon son bon vouloir mais pour notre part nous ne participerons pas à ce système frelaté dont rien de bon ne peut sortir. Restons résolument et plus que jamais nationalistes !

 

Editorial du n°3043 de Rivarol en vente chez votre marchand de journaux (3,50 €) ou en cliquant ici.

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Présidentielle : un communiqué de l'Oeuvre française

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L’élection présidentielle de ce printemps 2012, comme les élections législatives qui vont suivre, sont de l’énergie et du temps perdus pour la France. En dépit d’une apparente diversité, les candidats qui ont passé le filtre des parrainages imposé par le régime lui sont tous inféodés à des degrés divers.

 

Tous ont, d’une manière ou d’une autre, fait allégeance au mondialisme et à la « communauté internationale » qui n’est que le syndicat de défense de la finance mondialisée et de l’entité sioniste de Palestine.

 

Bien sûr, les rôles sont intelligemment distribués : il y a les candidats officiels du régime, Sarkozy et Hollande et leur roue de secours, Bayrou, dont la mission est de poursuivre la dissolution de la France dans le cosmopolitisme financier. A leur côté, les Eva Joly, Poutou, Arthaud et Mélenchon représentent en surnombre les altermondialistes, partisans d’un mondialisme d’esprit marxiste, qui, tout en fustigeant les puissances financières, prônent le métissage et l’immigration, tout autant que l’interruption de la vie à la naissance et dans la vieillesse, soit l’avortement et l’euthanasie, de même que les unions contre-nature des invertis sexuels. Un « souverainiste » comme Dupont-Aignan ou un Cheminade acquiescent d’une manière ou d’une autre à la déviance des mœurs et des principes naturels sans lesquels aucune société ne peut exister sainement. Quant à Marine Le Pen, campée dans le rôle du diable, elle constitue en fait la voie de garage que le système a aménagée pour la partie de la population qui, sainement, refuse de voir la France mourir : en effet, le Front National souscrit à la démocratie qui est pourtant à l’origine de tous nos maux et fait tout ce qu’il peut pour se « dédiaboliser » en donnant toujours plus de gages au système, notamment en recherchant l’aval des magistères sioniste, franc-maçon voire homosexuel.

 

Pas plus qu’hier et pas plus que demain, rien de bon pour la France ne sortira du processus électoral. Le système démocratique qui affaiblit la France depuis plus de deux siècles et gangrène notre civilisation est verrouillé et irréformable. C’est pourquoi l’OEuvre Française appelle à préparer et à conduire une deuxième Révolution nationale qui seule peut rendre la France à son destin en la nettoyant des parasites qui la détruisent avec une virulence accrue depuis plus de 60 ans.

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jeudi, 19 avril 2012

Présidentielle : un communiqué du Parti de la France

2637521918_2(1).jpgLe Parti de la France ne donne aucune consigne de vote pour le 1er tour de l'élection présidentielle

 

Constatant qu'aucun représentant de la droite nationale ne concourt à l'élection présidentielle, le Parti de la France laisse à ses militants, ses adhérents et ses sympathisants l'entière liberté de choisir ou de ne pas choisir dimanche prochain.

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mercredi, 18 avril 2012

Mardi 24 avril : 1ère conférence de Synthèse nationale à Nancy avec comme invité Lajos Marton...

SN Lorraine L Marton Nancy.jpg

Invitation : cliquez ici

Présidentielle : QUE FAIRE ?

P1010959.jpgRoland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Quel que soit le résultat de la Présidentielle, une chose est sûre, le grand perdant sera le Peuple français.

En effet, si l’on regarde la liste des candidats, aucun ne représente la Droite nationaliste et identitaire. La candidature de Carl Lang ayant, hélas, échoué faute d’avoir obtenu le nombre nécessaire de parrainages. Nous ne nous étendrons pas ici sur la candidature de Marine Le Pen : ses renonce­ments successifs et sa soif de respectabilité l’ayant définiti­vement rangée, selon sa propre volonté, parmi les zélateurs du Système. Dans ces conditions l’hyper-classe  peut dormir sur ses deux oreilles : le futur Président, qu’il s’agisse de Nicolas Sarkozy ou de François Hollande, sera l’un de ses serviteurs bien dressé.

La droite libérale et la gauche sociale-démocrate, incarnées par l’UMP et le PS, continueront à mener la même politique au service de ceux qui veulent détruire les nations, les iden­tités, les racines et les traditions, au profit d’un vaste cloaque mondialisé dans lequel l’homme ne serait plus qu’un gentil consommateur servile et abruti par les médias juste bon à gaver les comptes des actionnaires des multinationales apatrides.

Du passé faisons table rase (sauf lorsqu’il sert à culpabiliser, donc à affaiblir, les peuples européens bien entendu…) et broyons les identités, tels sont les projets de ceux qui diri­gent le monde aujourd’hui.

La mondialisation entraine la paupérisation comme l’immigration entraine l’islamisation.

Le problème, c’est que cette vision, à la fois angélique et barbare, de l’avenir de l’humanité se heurte par la force des choses à un obstacle de taille : la paupérisation grandissante des classes moyennes. En termes clairs : les riches sont de plus en plus riches et les moins riches deviennent de plus en plus pauvres. En France, et en Europe, la consommation moyenne des ménages commence à baisser sérieusement et les prix ne cessent d’augmenter. Le nombre des chô­meurs augmente malgré tous les artifices imaginés pour masquer la réalité et l’immigration continue comme si de rien n’était, entraînant au passage une islamisation rampante de notre continent. Et ce n’est pas la demi-douzaine d’expulsions décidée par le gouvernement à la suite de la triste affaire de Toulouse et Montauban qui changera le cours des choses.

Entre une pseudo-droite qui fronce gaillardement les sourcils pendant les campagnes et qui reste pleutre à souhait entre elles, une gauche démago qui propose l’instauration du droit de vote aux étrangers, un centre intrinsèquement pathétique et une Marine Le Pen en mal de dédiabolisation (?) et d’affection médiatique qui trahie sans vergogne son camp, reconnaissons que nous sommes plutôt « mal barrés »…

Cette situation est d’autant plus grave qu’aucun candidat n’apporte à ce défi des mondialistes une réponse authenti­quement nationaliste. Chacun cherchant à rester dans les normes imposées et surtout à ne pas apparaître comme étant hors-système. Un exemple parmi tant d’autres : la présence déplacée, pour ne pas dire hypocrite (si les crimes de Mohamed Merah s’étaient produits trois mois après les élections, seraient-ils tous venus ?), aux obsèques des mili­taires assassinés de quatre candidats (le seul qui était à sa place étant l’actuel président de la République) prouve la soumission de ceux-ci au politiquement correct et l’absence de leur part de toute volonté de rupture avec le Système. Quant aux gesticulations du sinistre fanfaron Mélenchon, elles ne nous feront pas oublier qu’il est le candidat de l’idéologie la plus criminogène de tous les temps, à savoir l’internationalisme communiste… Et au mondialisme, on n’oppose pas l’internationalisme, fut-il communiste.

En 2007, le leurre du moment s’appelait Sarkozy (l’avenir a confirmé nos appréhensions), et même si la campagne du FN nous semblait prendre des tournures inquiétantes (Valmy, Argenteuil…) nous avions appelé, sans hésitation aucune, à voter pour Jean-Marie Le Pen (cf. Synthèse natio­nale n°2 et 3). Cette année, nous l’avons vu, les choses sont différentes.  Alors, me dire-vous, dans ces conditions que faire le 22 avril ? Ma réponse est simple et elle n’engage que moi : faites ce que vous voulez… vous êtes prévenus. Pour ma part, je resterai chez moi.

Le combat continue

L’Ordre nouveau, nationaliste, social et identitaire auquel nous aspirons n’est donc, semble-t-il, pas pour demain si l’on s’en tient au calendrier électoral. Nous le savons et cela n’entame en rien notre détermination. Les événements peu­vent, nous le savons bien, se précipiter et l’essentiel, c’est d’être prêt.

L’objectif que nous nous sommes fixés depuis la création, en octobre 2006, de Synthèse nationale est de contribuer à l’émergence d’un vaste mouvement de rassemblement po­pulaire capable d’imposer la seule alternative crédible au Système destructeur des peuples : l’alternative nationaliste. Une fois les leurres écartés, le travail sera plus facile. Déjà les premiers résultats sont là : la constitution au mois de novembre dernier de l’Union de la Droite nationale qui réunit les principales formations politiques (Parti de la France, MNR, Nouvelle Droite Populaire) restées fidèles aux fonda­mentaux de notre famille politique et qui a obtenu les sou­tiens de nombreux mouvements, journaux et associations autour de la campagne de Carl Lang, ou encore l’organisation, le dimanche 13 mai prochain (10 h, Place de la Madeleine) d’une grande manifestation unitaire contre le mondialisme à Paris. La première manif qui viendra troubler la quiétude mortifère du futur gouvernement.

Bref, les nationalistes, même s’ils sont absents de cette péripétie présidentielle, n’ont pas dit leur dernier mot. Bien au contraire…

Editorial du n°27 de la revue Synthèse nationale (cliquez ici)

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lundi, 16 avril 2012

L'Union Européenne finance l'Enseignement supérieur algérien !

2854912896.jpgPar Yves Darchicourt

On a appris que l'Union Européenne - celle dont il importe de sortir au plus tôt - s'est engagée à soutenir financièrement un vaste programme de renforcement de la qualité de l'enseignement supérieur et de la recherche... en Algérie ! D'ici à 2016, c'est ainsi quelques 21,50 millions € qui seront octroyés généreusement par les contribuables européens au ministère algérien de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Mustapha Haoucine, représentant du dit ministère s'est bien évidemment félicité de cette manne céleste et de la coopération pérenne avec des universitaires et des experts européens qui va suivre.

Encore un bel exemple de la politique mondialiste des eurocrates qui détournent vers les pays allogènes des fonds qui devraient servir exclusivement au développement de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique en Europe. Les ressources de l'Europe doivent profiter aux européens et en aucun servir comme dans ce cas précis à développer la formation de futurs cadres scientifiques qui feront de leur pays un concurrent et non plus un client de l'Europe.

"On n'a pas de pétrole mais on a des idées"... gardons-nous d'aider à créer des générateurs d'idées à ceux qui ont déjà le pétrole !

Source cliquez ici

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Présidentielle : un communiqué du MNR...

3-mnr.JPGLe MNR regrette que Carl Lang, à qui il avait apporté son soutien pour l’élection présidentielle, n’ait pas recueilli les 500 signatures nécessaires.

A la veille du 1er tour, le MNR s’inquiète des menaces majeures qui continuent de peser sur l’avenir de notre pays : islamisation de la France, immigration massive, mondialisation économique et destruction de notre civilisation.

Il invite en conséquence ses adhérents et sympathisants à émettre le vote le plus efficace pour faire progresser les valeurs qu’ils défendent ou pour faire reculer les idées qu’ils combattent.

23:03 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LES BANKSTERS S’OCTROIENT LES PLEINS POUVOIRS...

Photo 003.jpgPar Pieter Kerstens

Et durant la période électorale, les affaires continuent !  Parce que contrairement aux affirmations mensongères des uns et des autres : la crise,  on est en plein dedans !

Souvenons-nous de François Baroin qui assénait sur France 3 en septembre 2010 : « la croissance est au rendez-vous et la crise est derrière nous ». De Christine Lagarde qui, le 29 janvier 2011 affirmait devant les décideurs du monde entier, réunis au Forum Economique de Davos, « l’euro a franchi le cap et la zone euro a désormais le pire de la crise de la dette derrière elle ». Et de B. Obama qui déclarait le 30 août 2011 que « nous venons de traverser la pire crise financière depuis la Grande Dépression (crise de 1929) et après les récessions et les crises financières que nous venons de vivre, le patient met du temps à guérir. Notre économie a eu une crise cardiaque, le patient vit toujours, il va mieux, mais guérit trop lentement ».

Et pour Joerg Asmussen, membre du conseil de la Banque Centrale Européenne (BCE) « Le pire de la crise semble passé. La balle est à présent dans le camp des gouvernements. C’est à eux d’agir», in l’Echo du 16.avril 2012.

Chacun d’entre nous peut effectivement se rendre compte de la situation réelle que nous vivons.

Les eurocrates à la manœuvre.

Et pendant ces 4 dernières années où  les politicards au Pouvoir se sont ingéniés à coller des rustines sur les fuites financières, la D.G.S.I (la Davos–Goldman-Sachs-Idéologie, comme l’appelle le criminologue Xavier Raufer) a diffusé ses métastases dans tous les rouages de la mondialisation. A tel point que les crânes d’œufs qui s’agitent dans les bureaux du Caprice des Dieux bruxellois et leurs complices banksters ont imaginé de remplacer le Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF, créé en urgence en mai 2010 à cause de la faillite grecque et doté de 1.000 milliards €), par une autre usine à gaz dénommée Mécanisme Européen de Stabilité   (M.E.S)... Et ici, on touche au grandiose !

Jugez-en : le Conseil européen de mars 2011 a modifié l’article 136 du traité de Lisbonne, sans tambours ni trompettes. Le cadre légal du M.E.S assujetti les peuples de la zone euro à être garants et cautions des dettes auprès des banques.

On vous en a parlé ? Expliqué les implications ? Vous êtes d’accord ? Eh bien… pas moi !!!

Extravagant : parce que l’article 9 du traité instituant le M.E.S précise que « les membres du M.E.S s’engagent de manière irrévocable et inconditionnelle à verser sur demande les fonds demandés par le directeur général en vertu du présent paragraphe dans les 7 jours suivants la réception de ladite demande ».

Très fort : les articles 27 et 30 octroient la personnalité juridique au M.E.S, qui pourra engager des poursuites judiciaires (par exemple envers un Etat qui ne lui verse pas la somme exigée), mais jouira (ainsi que les membres de la direction et du personnel) de l’immunité diplomatique. De plus, les documents du M.E.S ne seront pas disponibles pour le grand public, car « les archives du M.E.S et tous les documents qui lui appartiennent ou qu’il détient sont inviolables ». C’est clair : personne ne pourra demander des comptes détaillés sur les décisions ou les options prises et imposées par cette institution. Démocratie ? Connaît pas !

Encore mieux : d’après l’accord de décembre 2011, le M.E.S sera géré suivant la règle de la majorité qualifiée. Une décision devra recueillir au moins 85% des droits de vote pour être valide, alors que c’était l’unanimité qui était prévue auparavant. Cela confère maintenant un droit de veto de fait à trois pays qui ont plus de 15% des voix : l’Allemagne (27,1%), la France (20,4%) et l’Italie (17,9%). Cela fleure bon les arrangements entre coquins...

Toujours plus fort : un des autres pays ne pourra pas seul s’opposer à une décision du M.E.S, comme ce fut le cas à l’automne 2010 pour la Finlande ou la Slovaquie. En réalité, voilà une institution qui sera permanente, antidémocratique, inattaquable sur le plan juridique, occulte, et qui pourra exiger de n’importe quel pays de la zone euro, dans un délai d’une semaine, des milliards d’euros de manière inconditionnelle et irrévocable !

On assiste ici et en catimini, avec le silence complice des médias, à une prise de pleins pouvoirs financiers par une caste cosmopolite qui prétexte la crise et le problème de la dette publique ! L’austérité, la rigueur et la bonne gestion ne concernent ni les socialauds, ni les écolos, ni les banksters et leurs laquais libéros-démocrates : seul le peuple paiera !

Mais ce qui est consternant est le fait que PAS UN des partis ou mouvements nationalistes en Europe -dont certains sont en campagne électorale- n’aie jugé bon d’étaler sur la place publique ce véritable hold-up de la souveraineté des pays concernés et la mise sous tutelle des citoyens européens ! Exit les libertés fondamentales.

Le poids des maux, le choc des impôts.

A l’inverse des déclarations lénifiantes et soporifiques des chefs d’Etats européens, de nombreux pays sont en récession et bien malin sera celui qui pourra prédire la reprise réelle de nos économies, la réduction effective du déficit public, la diminution de la dette publique nominale et le retour au plein emploi.

Parce que durant les 4 dernières années et encore actuellement, les pourriticards de gauche comme de droite ont menti et caché la réalité calamiteuse de leur gestion des affaires. Le réveil sera terrible et on ne pourra pas échapper à une réduction de notre pouvoir d’achat et de notre train de vie (pour 80% de la population), car les dépenses publiques devront être fortement diminuées. Pour la France cela représentera 30 milliards € par an et durant 5 ans, y compris des privatisations et des cessions d’immobiliers, selon un rapport publié par la Fondation pour la Recherche sur les Administrations et les Politiques Publiques (iFRAP) publié en mars.

Par ailleurs la croissance sera absente dans la plupart des pays d’Europe en 2012 : Grèce -4,5% ; Portugal -3,3% ; Italie – 1,5% ; Espagne -1% ; Belgique -0,5% ; France 0%. Et ce n’est pas en augmentant les impôts et les taxes que l’on ranimera la confiance des entrepreneurs et des ménages. Il faut prendre des mesures structurelles et sur le long terme.

OUI, il faudra rapidement supprimer les aberrations de l’Etat Providence, sous peine de sombrer dans le désespoir que connait maintenant la Grèce…

22:56 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Magnifique succés pour les Amis de Rivarol à Nice vendredi dernier...

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La conférence a fait salle comble (certaines personnes ont même dû rester debout faute de chaises disponibles, ou s'asseoir sur les stands de Rivarol ou des brochures National Social Radical). Des figures de la mouvance nationaliste locale et même nationale avaient fait le déplacement.

André Gandillon, directeur de Militant et des amis de Rivarol, a traité de l'actualité internationale, faisant un panorama, dans le monde entier, de la lutte entre les l'axe israélo-américain, dont l'objectif, fondé sur un certain nombre de théories géopolitiques du XXème siècle, est de contrôler une bande qui va de la Russie à l'Inde, et ses adversaires, chinois, russes ou musulmans, notamment au moyen des "révolutions colorées" lancées par des agents provocateurs formées par les organismes financés par Wall Street et les bases américaines. Toujours précis, mentionnant beaucoup de références (par exemple le mouvement subversif serbe Otpor! dont les agents ont aidé entre autres à lancer la révolution en Egypte, via son organisme Canvas) et d'aspects méconnus de la lutte souterraine entre les grandes puissances mondiales (comme l'investissement de la Chine en Afrique). On peut néanmoins regretter qu'il n'ait pas, pour éviter le confusionnisme, fait également la critique de ces "adversaires" du Nouvel ordre mondial, notamment de Poutine dont on sait bien qu'il réprime le nationalisme et que les oligarques qu'il a installé en remplacement des anciens sont aussi inuits que leurs prédécesseurs.

Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, a évoqué l'actualité nationale, notamment au travers de la présente campagne présidentielle, et plus largement en exposant les grandes tendances que prendra l'involution de la France dans les années à venir, que ce soit sur les plans raciaux, familiaux, moraux... Nous dressant le portrait d'une France malade, décrépie, dirigé par des pseudo-"élites" écœurantes au dernier degré et où le jeu démocratique n'est qu'un des avatars de la société du spectacle, il sut fait preuve d'un grand humour, provoquant les rires de la salle avec ses petites piques cinglantes lancées contre Dominique Strauss-Kahn ou la mafia rose, par exemple. Son intervention, initiée par un hommage solennel à François Brigneau, captiva l'attention de l'auditoire du début à la fin.

Les conférences furent suivies d'un repas convivial entre les nationalistes présents. Ces conférences, qui s'inscrivent dans une tournée à l'échelle de toute la France, destinée à faire vivre le mouvement nationaliste, placent une fois de plus Rivarol et Militant à la pointe du combat pour la défense de la France et des valeurs du sang contre celles de l'or.

Source : le forum National social et radical cliquez ici

Prochaine conférence de Jérôme Bourbon : le samedi 21 avril à Nîmes, à 18h à l'hôtel-restaurant L'orangerie.

Lire Le blog des Rivaroliens cliquez là

10:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand le rêve est un cauchemar...

2794590666.jpgLe billet de

Patrick Parment

 

Les jeux semblent à peu près faits et François Hollande est assuré de passer le premier tour. Ce qui reste en suspens, c’est le score des suivants. Rien n’affirme que Sarkozy passe la rampe, décapité par une conjuration Lepéno-Mélanchonesque ! Souvenez-vous de Jospin en 2002 ! Du coup Pierre Arditi était remonté dans sa Jaguar pour entrer en résistance.

 

Non, le grand gag serait que Mélenchon talonne François Hollande au premier tour et que l’on assiste à un duel entre gauche libérale et extrême gauche version programme commun.

 

Vous imaginez le dilemme pour ce peuple de gauche perpétuellement cocu – Mitterrand était vichyssois et ils ont guillotiné Jospin.

 

Alors Mélenchon ! Mélenchon, à n’en pas douter, incarne une gauche de conviction et la foule qu’il draine dans ses mitinges le prouve.Il s’est même payé le luxe de réveiller les cocos qui étaient moribonds. Malheureusement ses propos justifiés contre le capitalisme et la finance apatride se heurtent à sa vision multiraciale d’une France encore franchouillarde et qui en a marre des immigrés. Ces immigrés qui sont autant de pauvres bougres exploités par le patronat et qui n’ont, dans la majorité des cas, d’autres ressources que les généreuses aides sociales. Il y a là tout un lumpenprolétariat qui devrait tout de même inquiéter les candidats à la présidentielle. Mélenchon en tête. Cet ardent défenseur des damnés de la terre. Ben non !

 

L’autre pierre d’achoppement, c’est le consensus sur la réforme scolaire où l’on remplace l’instruction par le gardiennage. L'aboutissement du plan coco Langevin Wallon. Demain, tous les mômes seront amnésiques ! La France avec.

 

Les ânes votent, les porcs gouvernent disent les gauchistes allemands. Rien de nouveau sous le soleil.

09:58 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 14 avril 2012

François Brigneau a été enterré hier à Saint Cloud...

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François Brigneau, journaliste, polémiste, militant historique de la cause nationale, a été enterré hier après-midi à Saint Cloud (92) en présence de sa famille et de nombreux amis et admirateurs. Un hommage particulièrement émouvant lui a été rendu par l'un de ses fils, deux petites filles, et par notre ami Aramis, le tatentueux déssinateur très proche du défunt.

Article publié hier sur le nouveau N H  (cliquez ici) :

Pour le Front national de Marine Pen, François Brigneau est plus grand mort que vivant…

Avec François Brigneau, c’est le Front national des années Le Pen père que l’on a enterré hier vendredi au cimetière de Saint-Cloud. Ni Jean-Marie Le Pen, ni aucun représentant du parti, qui d’ailleurs s’apprête à changer de nom, n’ont cru devoir se déplacer pour accompagner le corps de François Brigneau à sa dernière demeure.

A une semaine du premier tour de l’élection présidentielle, ordre a été donné aux cadres du parti de ne pas se montrer, ni de rendre un hommage à celui qui pendant de longues années a mis son talent de journaliste et de polémiste au service de ses idées et de Jean-Marie Le Pen.

Lire aussi l'article de Patrick Gofman cliquez là

Lire la lettre au Bon Dieu de François Brigneau publiée sur le site Jeune Nation cliquez là

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vendredi, 13 avril 2012

Sortie du nouveau livre de Bernard Lugan : Histoire des Berbères, des origines à nos jours. Un combat identitaire pluri-millénaire.

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Les Berbères ou Imazighen (Amazigh au singulier) constituent le fond ancien de la population de l’Afrique du Nord. Ils formaient à l’origine un seul Peuple peu à peu fragmenté par une histoire à la fois riche, complexe et mouvementée. Des dynasties berbères régnèrent  sur le Maghreb jusqu’au XVI° siècle.

Les partisans de l’arabo-islamisme affirment que les Berbères sont sortis de l’histoire, leur conversion à l’Islam les ayant inscrits de façon irréversible dans l’aire politico-culturelle de l’arabité. Dans les années 1950, la revue Al Maghrib alla ainsi jusqu’à écrire qu’ils ne peuvent accéder au Paradis que s’ils se rattachent à des lignées arabes. Quant au ministre algérien de l’Education nationale, il déclara en 1962 qu’ils « sont une invention des Pères Blancs ».

 Aujourd’hui, les dirigeants arabo-islamiques nord africains doivent faire face au réveil berbère si fortement exprimé en 2004 par Mohammed Chafik au travers de sa célèbre question réponse: « Au fait, pourquoi le Maghreb arabe n’arrive-t-il pas à se former ? C’est précisément parce qu’il n’est pas Arabe ». Cette phrase était incluse dans un article dont le titre explosif était : « Et si l’on décolonisait l’Afrique du Nord pour de bon ! », intitulé signifiant qu’après avoir chassé les Français, il convenait désormais pour les Berbères d’en faire de même avec les Arabes…

Qui sont donc les Berbères ? Quelle est leur origine ? Comment furent-ils islamisés ? Quelle est leur longue histoire ? Comment se fait aujourd’hui la renaissance de la berbérité? Peut-elle être une alternative au fondamentalisme islamique ?

C’est à ces questions qu’est consacré ce livre qui n’a pas d’équivalent. Son approche est ethno historique et couvre une période de 10 000 ans. Il est illustré par de nombreuses cartes en couleur et par des photographies.

Ce livre est édité par L'Afrique réelle : 29,00 € cliquez ici

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jeudi, 12 avril 2012

Disparition de François Brigneau : un communiqué du MNR

img_4f859e8ca79c4.jpgUne grande figure de la droite nationale nous a quitté.

Le journaliste François Brigneau vient de nous quitter dans sa 93ème année. Il avait été l'un des fondateurs du Front National, mais n’avait pas voulu prendre parti, lors de la scission de 1998, entre Bruno Mégret et JM Le Pen. Ses articles et ses ouvrages se distinguaient par un style d'une verve remarquable. Il s'était retiré de la vie politique depuis plusieurs années.

Le MNR rend hommage à ce grand serviteur des idées nationales.

 

Sur la disparition de François Brigneau cliquez ici

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Mélenchon, boute-en-train de la politique...

Randa 2011.jpgLa chronique

de Philippe Randa

 

Constater que cette campagne présidentielle est la plus ennuyeuse de toutes celles qu’ont eu à subir les Français n’est guère une révélation…

 

Quel que soit son résultat final, Jean-Luc Mélenchon en aura été le candidat qui a percé et grimpé, grimpé, grimpé inexorablement. Dans les sondages tout au moins. Comme avant lui Jean-Pierre Chevènement (2002) ou François Bayrou (2007)… ou encore Marine Le Pen au début de cette campagne-ci, lorsque certains sondeurs l’avait catapultée – peu de temps, certes – en tête au Premier tour…

 

Qu’importe si, une fois de plus, le score final n’est pas celui annoncé… Les sondages sont passés maîtres pour faire oublier leurs mauvaises prédictions par de nouvelles, toujours plus surprenantes… Parfois même, réelles.

On peut toutefois s’interroger sur l’empathie dont Jean-Luc Mélenchon bénéficie de la part des medias…

 

Certains y décèlent une manipulation de la droite parlementaire, favorisant l’émergence d’une force politique dont les surenchères permanentes diviseraient durablement l’électorat de gauche, empêchant ainsi le Parti socialiste de revenir « aux Affaires », dans le même temps qu’elle concurrencerait, par son populisme, celui du Front national. Pourquoi pas !

 

Une autre explication est peut-être plus bassement mercantile : celui de medias devant susciter coûte que coûte, quotidiennement, un intérêt pour une campagne électorale dont les protagonistes assurent depuis des mois un spectacle affligeant.

 

De l’effondrement électoral annoncé de la candidate écologiste Eva Joly, à la brusque montée et au recul tout aussi brutal de François Bayrou aux figurants que sont Nathalie Artaud, Philippe Poutou, ou Nicolas Dupont-Aignan en passant par l’OVNI Jacques Cheminade, les journalistes n’ont effectivement rien de palpitant à se mettre sous les touches de leur clavier d’ordinateur…

 

Et pas davantage avec les deux candidats en tête des sondages, soit Nicolas Sarkozy, Président sortant, et François Hollande, vainqueur de la primaire socialiste qui peinent l’un comme l’autre à se singulariser… Le premier a lâché que son rival était « nul » – redoutable perspicacité ! – et le second rabâche qu’il doit « être président à la place du Président ». Pourquoi ? Parce que !

 

Cela explique sans doute l’embellie médiatique du candidat du Front de gauche dont les déclarations tonitruantes, ses appels au lynchage des riches, à une quasi-dictature annoncée en cas de victoire ou ses insultes à répétition contre les journalistes, sont chaque fois rapportés avec gourmandise par ceux-là même qu’il fustige.

 

Mélenchon, boute-en-train de la campagne électorale ? Incontestablement.

 

Toutefois, rappelons que ce terme de haras signifie, selon la définition qu’en donne le Dictionnaire de français Littré : « Cheval entier placé au voisinage des femelles à l’effet de les mettre en chaleur et de les disposer à l’accouplement. »

 

Malheureusement, on ne sent pas vraiment que ça vienne tant que ça !

00:54 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 07 avril 2012

Le livre d'Anne Kling, "FN... tout ça pour ça !", remporte un franc succès : lisez-le !

aaas.jpgAnne Kling fait incontestablement partie de ces rares auteurs d'aujourd'hui, courageux et radicaux qui, par esprit révolutionnaire, n'hésitent pas à attaquer de front le Système en s'emparant à bras-le-corps des sujets les plus politiquement "sensibles" pour mieux les disséquer, les analyser et mettre à jour leurs origines et leur fonctionnement. Les titres de ses précédents ouvrages sont déjà, par eux-mêmes, suffisamment éloquents : La France LICRAtisée, Révolutionnaires juifs, Le CRIF, un lobby au coeur de la République... Autant de livres explosifs et ô combien édifiants, parfaitement documentés, qui permettent d'ouvrir grands les yeux sur la véritable nature de ceux qui détiennent vraiment le pouvoir et sur les ploutocraties qui nous gouvernent.

Cette fois-ci, Anne Kling consacre sa nouvelle étude au Front National, de sa création en 1972-73 par un rassemblement hétéroclite de divers groupes et personnalités nationalistes qui avait décidé de placer Jean-Marie Le Pen à sa tête, jusqu'à la fameuse parodie de campagne pour la succession du chef en 2010 qui a abouti au sacre de l'héritière Marine Le Pen lors du Congrès de Tours de janvier 2011, désignée nouvelle présidente du parti par plus de 60% de ceux des adhérents qui ont pu voter.

Il faut dire qu'imposée par son père comme vice-présidente du FN depuis déjà plusieurs années, Marion Le Pen et son entourage interlope avait rapidement pris soin de vérouiller l'appareil politique du mouvement, de chasser ou de pousser à la démission ses éventuels concurrents, pourtant fidèles compagnons de route de son père depuis des décennies et cadres historiques hautement compétents du parti, pour pouvoir mettre en place sa fameuse stratégie de "dédiabolisation", laquelle allait donner ses premiers résultats électoraux concrets - et catastrophiques ! - en 2007 lors de l'élection présidentielle où Jean-Marie Le Pen, guidé par sa fille nommée directrice stratégique de la campagne, allait franchir à grande peine le seuil des 10 %...

"FN... tout ça pour ça !"
... Combien de centaines de militants frontistes historiques, anonymes, bénévoles, ont du le penser au moins une fois en voyant ce qu'était finalement devenu leur parti... si jamais ils n'en avaient pas été déjà eux-mêmes exclus par la nouvelle direction !

Anne Kling nous livre ici une immersion inédite et passionnante au sein d'un parti qui s'est toujours proclamé "anti-système" mais qui, pour seul résultat concret, à défaut de rendre la France aux Français comme l'ont espéré durant des années ses électeurs ainsi que ses militants qui ont tout sacrifié pour lui, aura en tout cas permis à un clan familial de profiter des nombreux bienfaits et largesses financières et matérielles que la démocratie sait si bien distribuer à ceux se laissent tenter et acceptent alors de jouer le jeu au sein de son théâtre de guignols...

 

Source Jeune nation cliquez ici

 

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11:09 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 06 avril 2012

DSK, Descoings... la malédiction de la Grosse Pomme !

2282835649.jpgPar Yves Darchicourt

 

On va finir par croire que Big Apple est hantée par des entités démoniaques vouées par les Forces du Mal à persécuter les élites intellectuelles françaises, stipendiées par l'oligarchie mondialiste, qui se hasarderaient sur son territoire.

 

Il y a eu Dominique Strauss-Kahn, le si grand économiste, le présidentiable préféré des médias du Système, ensorcelé sans doute par un Astaroth yankee et poussé à jaillir de sa salle de bain sabre au clair pour charger une malheureuse chambrière avec la frénésie d'un incube, brisant ainsi sa carrière et les espoirs de certain lobby qui n'existe pas.

 

Et c'est maintenant, l'étrange cas de Richard Descoings, le très ambigu directeur de Sciences-Po, l'âpre au gain cérébral, le gender fan effréné, le chantre de la discrimination positive et du métissage tous azimuts ( dont notre ami Thomas Joly publie un fort beau portrait sur son blog : cliquez ici ) retrouvé si mystérieusement mort et nu dans sa chambre de Manhattan que l'on ne peut s'empêcher d'évoquer l'acte satanique de quelque succube de Coney Island.

 

A moins bien sûr qu'il ne s'agisse d'un vaste complot organisé par les tenants de la droite extrème raciste, antisémite et homophobe ! Ce serait tellement plus simple !

17:16 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 04 avril 2012

Ottawa, Paris, l'Unesco... l'obsession holocaustique!

3351425170_2.jpgPar Yves Darchicourt

 

C'est impensable : il n'y a pas encore de Monument de l'Holocauste à Ottawa et surtout, horresco referens, les canadiens ne semblaient guère se soucier de la chose puisqu'il a fallu que les "Amis du Cente Simon Wisenthal" (FSWC) titillent quelque peu leur gouvernement pour qu'il consente à débloquer 4 millions€ pour faire son offrande à la construction de la chose. Avi Benlolo, le président du FSWC s'est réjouit de cette entreprise méritoire visant à reconnaître l'un des événements les plus horribles de l'histoire moderne... surtout en cette période inquiétante de négationnisme rampant. On ignore si les contribuables canadiens qui n'ont d'ailleurs pas été consultés sur l'oppurtunité de la chose en ces temps de difficultés financières mondiales, se sont réjouis autant que M.Benlolo.

 

En tous les cas, ces édicules à vocation quasi cultuelle ne devraient pas manquer d'être érigés en nombre un peu partout dans le monde sous le patronage de l'Unesco qui envisage de prôner la "mondialisation de l'enseignement de l'Holocauste", en postulant que le "génocide du peuple juif est une référence globale pour parler de crimes de masse" C'est dans cette optique que l'honorable institution organise un raout à Paris le 27 avril prochain pour permettre à des "spécialistes" internationaux de l'Innomable de se pencher avec ferveur sur "l'enseignement de l'Holocauste dans un contexte globalisé" et notamment dans les régions du monde où le génocide n'a pas eu lieu. Autrement dit personne, nulle part et jamais plus, n'échappera aux missionnaires de la religion mémorielle : la mondialisation par la Shoah en quelque sorte !

16:22 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le saviez-vous ? LA 2e GUERRE MONDIALE EST (RE)COMMENCEE !

ghu.jpgLe bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

 

La semaine dernière, en même temps que le feuilleton annuel « Un village français »,-la vie d’une petite cité française sous l’occupation avec ses faiblesses, ses bassesses et ses grandeurs-,  nous eûmes droit, également sur France 3, à une dramatique sur le jeune Guy Mocquet. Rappelons pour les amnésiques que ce jeune homme, fils d’un député communiste arrêté par le pouvoir sous la IIIe République pour atteinte à la sûreté de l’Etat, fut détenu comme otage et fusillé en compagnie d’autres malheureux à Châteaubriant. Sarkozy voulut en faire un héros de la Résistance. Il n’en était rien, il fut un martyre, car on n’exécute pas un adolescent innocent de 17 ans ! Il faut dire que ses copains communistes, un peu à la manière de Mohamed Merah, avaient froidement abattu d’un coup de pistolet dans le dos un officier allemand, une façon sans doute « efficace » de lutter contre la domination géostratégique allemande de l’époque ! En tout cas, un moyen pour le parti, à peine remis de sa léthargie jusqu’à l’invasion de l’URSS par son ancien allié allemand, de se refaire « une santé » et d’embrayer le pays sur le monstrueux cycle attentats/répression.  Mais, comme si la  piqûre de rappel ne suffisait pas, la même chaine publique propose à ses  téléspectateurs  la rediffusion le jeudi 5 avril de « l’Armée du crime »,  l’histoire de l’arménien Manouchian et de sa bande des FTP-MOI, essentiellement composée d’étrangers, qui s’engagea en 1942 dans l’action violente et désordonnée contre les troupes nazies. Tous ces films ont été plus ou moins tournés en région Limousin (socialo-communiste) et de proches amis m’ont informé du tournage d’un futur téléfilm à la gloire du « colonel » Guingouin, la terreur rouge des années quarante-trois, quarante-quatre dans cette belle province que l’Intendant Turgot gouverna au XVIIIe siècle. Et si l’on veut encore illustrer la cruauté des troupes  allemandes de l’époque, il faudrait d’urgence  filmer des fictions sur les horreurs d’Oradour sur Glanes et les pendaisons de Tulles ! Mais, s’il est toujours intéressant d’avoir présente à l’esprit l’histoire d’une tragique époque où tout n’était pas  si tranché, noir ou blanc, près de sept décennies après les faits, à l’heure où, en haut lieu, on nous vente la réconciliation franco-allemande et l’exemplarité du modèle économique allemand, est-il si nécessaire de rajouter du sel sur des plaies qui ne sont  pas complètement cicatrisées ? En juin on nous repassera l’inusable « Jour le plus long », film que j’avais vu le jour de mon conseil de révision  et, fin août, « Paris brûle-t-il  » ?

 

Pour le cinquantième anniversaire de  « l’indépendance » algérienne, nous sommes rassasiés de « chienneries » anti-françaises avec la complicité d’une association d’anciens combattants, la FNACA, mais silence radio sur le massacre de la rue d’Isly perpétré le 26 mars 1962 contre de pacifiques pieds-noirs qui manifestaient leur soutien au quartier encerclé de Bab-El-Oued. Des tirailleurs de l’Armée françaises de souche nord-africaine avaient été ramenés du bled pour assurer, avec les classiques CRS et Gardes Mobiles, le maintien de l’ordre. Curieux, non ?

 

Idem pour le génocide franco-français de Vendée, passée quasiment à la trappe  des programmes, cette  autre tragique séquence de notre histoire devant se contenter d’une émission  diffusée sur FR3à une heure d’écoute où les enfants sages et les ados moins tranquilles font déjà dodo.

 

Ras l’bol de leur « propagandastaffel » télévisuelle financée avec notre fric !

12:52 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 03 avril 2012

L'HIstoire des Fascismes, reprise des études publiées dans La Revue d'Histoire du fascisme dirigée par François Duprat...

Histoire-Fascismes-e.jpgPréfacée par Alain Renault

« Des leçons très précises peuvent être tirées de l’histoire du mouvement nationaliste-révolutionnaire dans le Monde », écrivait François Duprat.

C’est dans cette optique qu’il s’est livré à de nombreuses études de ce mouvement et notamment de la période historique où diverses de ses variantes ont été qualifiées de fascismes.

Les textes retenus, extraits de diverses revues et notamment de la Revue d’Histoire du Fascisme, permettent toujours d’éclairer les luttes politiques d’aujourd’hui malgré les changements de contexte et les évolutions sémantiques...

Cette Histoire des Fascismes concerne le Fascisme et le national-socialisme en Autriche – La naissance et développement des mouvements antisémites allemands– Les « trotskistes » du national-socialisme – Le Fascisme aux Pays-Bas – Le destin de Quisling – La naissance, le développement et l’échec d’un fascisme roumain – la naissance et le développement du fascisme hongrois…

François Duprat (1940-1978) : militant et responsable nationaliste de Jeune Nation, Occident, Ordre Nouveau et du Front National. Collaborateur de Rivarol et Défense de l’Occident. Historien, auteur de nombreux ouvrages. Créateur et principal animateur des Cahiers Européens et de la Revue d’Histoire du Fascisme (RHF) dont Alain Renault a été un collaborateur.

 

Editions Déterna, 310 pages, 25,00 €. Commandez cliquer là

 

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Anne Lauvergeon s'en va avec 1 500 000 €...

Source Le Figaro cliquez ici

 

Suite et fin dans le dossier des indemnités d'Anne Lauvergeon. Sauf contre-ordre de dernière minute, l'ancienne présidente du directoire d'Areva touchera mardi les sommes liées à son départ du groupe nucléaire: soit un million d'euros - l'équivalent d'une année de salaire brut hors primes - auxquels s'ajoutent 500.000 euros, contrepartie financière à une clause de non-concurrence. Jean-Cyril Spinetta, le président du conseil de surveillance d'Areva, a demandé à l'entreprise d'effectuer ce règlement d'1,5 million d'euros en tout.

 

Fin mars, le ministre de l'Économie, François Baroin, avait indiqué par écrit que «la mise en œuvre des propositions du conseil de surveillance faisant l'objet du protocole transactionnel n'appelait pas d'opposition de (sa) part». Il appartenait alors à Jean-Cyril Spinetta d'appliquer - ou non - ce protocole. Il a tranché.

 

NDLR : Anne Lauvergeons, vous vous souvenez ? C'était cette collabo qui paradait, fin 2009, en annonçant qu'elle préférait embaucher dans son entreprise, AREVA, du personnel issu de l'immigration plutôt que des Français de souches. A ce prix là, on peut...

 

Afin de protester contre ces prétentions racistes anti-françaises, les nationalistes de la NDP, du PdF et du MNR avaient organisé, le 19 novembre 2009, une manifestation devant le siège d'AREVA à La Défense.

 

Intervention de Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire :

00:38 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 02 avril 2012

A lire : le n°3 de Salut public...

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Le mensuel solidariste de Troisième voie.

A lire : un article remarquable sur la dédiabolisation (piège à cons)

Dans le prochain numéro de Synthèse nationale :

un entretien avec Serge Ayoub, directeur de Salut public

Salut public est en vente dans les kiosques : 3,00 €

Abonnement : cliquez ici

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FN... tout ça pour ça ! le dernier livre d'Anne Kling commenté dans le Journal du Chaos

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Il y a une abondante littérature sur le Front national. La plupart des ouvrages, il faut bien le dire, sont farfelus ou à charge. Il manquait un oeil clinique, bien informé, lucide et non moins critique sur l’aventure du Front et de son leader Jean-Marie Le Pen. Et bien c’est fait avec l’ouvrage plus que pertinent d’Anne Kling. Elle démonte toute la machine mise en place par un Le Pen nettement plus près de son portefeuille que de la prise du pouvoir. Elle montre bien que si le Front national a suscité bien des espoirs, il a fait aussi beaucoup de cocus. Le passage du flambeau à sa fille Marine ne change rien au destin de ce mouvement qui demeure d’abord une bonne affaire financière pour la famille et ses affidés. Les idées ? Quelles idées ? Ajoutons que cet ouvrage, bien écrit et sans forfanterie, se lit comme un polar.

 

FN... tout ça pour ça !, d’Anne Kling, Ed. Mithra, 253 p., 18 €

 

Lisez chaque semaine Le Journal du Chaos cliquez ici

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Les 3 facteurs clé de notre décadence ne sont pas clairement abordés par les candidats à la Présidentielle...

Marc Rousset.jpgMarc Rousset

 

De même que la Vérité sort souvent de la bouche des enfants, l’hebdomadaire britannique The Economist a le mérite d’attirer notre attention sur le caractère peu sérieux en France de la campagne présidentielle en cours. Le titre de son dernier numéro s’intitule : « La France en déni. L’élection la plus frivole d’Occident » en parodiant comme illustration le tableau d’Edouard Manet « Déjeuner sur l’herbe » où l’on voit Nicolas Sarkozy et François Hollande assis à même le sol dans une clairière avec une femme totalement nue. Malheureusement le réquisitoire de l’hebdomadaire ne porte que sur le thème de notre compétitivité déficiente et l’hypertrophie paralysante de nos dépenses publiques  qui sont pratiquement passés sous silence par tous les candidats ! Mais The Economist oublie les deux autres facteurs clé de la décadence morale, sociale et économique française, à savoir le libre échange mondialiste à la source de notre désindustrialisation et l’immigration avec son coût économique annuel monstrueux, soit 73 milliards d’euros, pratiquement le déficit budgétaire de la France!

 

Le réquisitoire juste de The Economist sur l’hypertrophie des dépenses publiques françaises

 

Le Président Sarkozy illusionne avec ses rodomontades et François Hollande nous prépare le sort de la Grèce tandis que Mario Monti réforme l’Italie pour de bon ! L’Espagne, l’Italie adoptent des politiques et des attitudes envers les réformes et la dépense publique infiniment plus courageuses que  ce qu’envisagent les candidats actuels. La France détient cependant déjà le record d’Europe pour les dépenses publiques (Etat, Collectivités locales, Sécurité Sociale) qui s’élèvent en 2011 à 55,9% du PIB ! Les mesures adoptées jusqu’à présent, même pour les retraites, relèvent beaucoup plus de la démagogie et de la poudre aux yeux que de réformes structurelles sérieuses à long terme redressant effectivement la situation. Quant à la croissance, elle doit venir de l’offre nouvelle de nouvelles entreprises compétitives avec la retraite à 65 ans, la suppression effective des scandaleux régimes spéciaux publics de retraite et non pas de l’entretien illusoire d’un trop grand nombre de  fonctionnaires ainsi que d’un laxisme social ou de gestion. Il est facile pour l’oligarchie politique de se donner bonne conscience en ne faisant rien pour réduire les dépenses  et en prenant pour prétexte que l’on entretient la consommation et donc la croissance ! Depuis le temps qu’elle pratique cette folie démagogique, la France devrait avoir aujourd’hui le PIB par tête le plus élevé du monde !

 

Nous ne répéterons jamais assez que de 1991 à 2008, le nombre de fonctionnaires en Allemagne qui faisait face au problème des fonctionnaires trop nombreux de l’ancienne DDR a baissé de 6 737 000 à 4 505 000. Dans le même temps, la France passait de 4 258 000 à  5 200 000 fonctionnaires. Avec près de 20 millions d’habitants de moins, la France a réussi la triste performance de dépasser l’Allemagne en 2002. Compte tenu de la différence des populations  de l’ordre de 3 pour 4 entre la France et l’Allemagne, le nombre de fonctionnaires  français,  en partant du chiffre allemand de 4 505 000 devrait donc être de 3 Millions ! Puisqu’il est de 5 200 000, il y a donc  bien en France 2 000 000 de fonctionnaires en trop !

 

Le deuxième facteur clé de notre décadence économique : la France le pays le plus désindustrialisé de la zone euro en raison du libre-échange mondialiste

 

Nous avons déjà écrit de nombreuses chroniques sur ce thème. Cette fois-ci nous nous bornerons à citer plusieurs passages du Prix Nobel Maurice Allais qui expliquait pourquoi en suivant la politique libre-échangiste de Bruxelles, la France se suicide !

 

« La mondialisation de l’économie est certainement très profitable pour quelques groupes privilégiés. Mais les intérêts de ces groupes ne sauraient s’identifier avec ceux de l’humanité toute entière. Elle ne peut que se révéler finalement désavantageuse pour tous les peuples» (1) 

 

« En fait, ce que l’on a constaté, c’est que la politique de libre échange mondialiste poursuivie par l’organisation de Bruxelles a entraîné (en France) à partir de 1974 la destruction des emplois, la destruction de l’industrie, la destruction de l’agriculture et la destruction de la croissance » (2)

 

« Si la politique libre-échangiste de l’organisation de Bruxelles n’avait pas été appliquée, le PIB réel par habitant en France serait aujourd’hui  d’au moins 30% plus élevé qu’il ne l’est actuellement et il serait certainement au moins égal au PIB réel par habitant aux Etats-Unis » (3)

 

Il importe en effet de réaliser que ce que la France gagne en baisse de prix, elle le perd en  chômage (3 millions d’emplois industriels disparus en 30 ans)  et en diminution de revenus. Le recul du pouvoir d’achat affecte les chômeurs  mais aussi les non chômeurs qui subissent des prélèvements fiscaux et sociaux  croissants pour aider leurs compatriotes et les immigrés sans emploi. Voici ce qu’écrivait  également  Maurice Allais : « Les partisans du libre-échange mondialiste soulignent que grâce aux délocalisations et aux importations en provenance des pays à bas salaires, jamais les prix dans les hypermarchés n’ont été aussi bas ».

 

« Mais c’est oublier que les consommateurs  ne sont pas seulement des acheteurs. Ils sont également des producteurs qui gagnent leur vie et qui paient des impôts »

 

« En tant que consommateurs ils peuvent acheter des produits meilleur marché. Mais pour ces consommateurs la contrepartie de ces importations à bas prix est finalement la perte de leur emploi  ou la baisse de leurs salaires, et des impôts accrus  pour couvrir le coût social du chômage et de la politique de l’emploi. Dès lors les avantages apparents des produits bon marché sont plus que contrebalancés par leurs coûts économiques et sociaux réels de toutes sortes » (4)

 

Le résultat à ce jour, avant la désertification industrielle totale si rien ne change, c’est que, selon une étude  de COE-Rexecode de mars 2012 (5), la France est désormais le pays de la zone euro dont  la part de la valeur ajoutée de l’industrie manufacturière dans le PIB est la plus faible (9,33% en 2010) . A titre de comparaison, le poids de l’industrie atteint 12,1% en Espagne et 11,8% au Portugal, 13,1% en Belgique et 11,9% aux Pays Bas. Quant à l’Allemagne, elle fait la course en tête avec une industrie qui représente 18,7% de son PIB.

 

Le troisième facteur clé de notre décadence économique, sociologique et morale : la folle immigration extra-européenne

 

Là encore nous citerons le brillant major de Polytechnique Maurice Allais, peu suspect de racisme maladif ou congénital qui, déjà en 1992, écrivait : « L’immigration tout à fait excessive  qui s’est constatée en France  depuis les années soixante a constitué par ses conséquences de toutes sortes un intolérable fardeau… dont le seul résultat tangible  a été de déprimer profondément les salaires réels français... » (6)

 

Nous ne nous étendrons pas  sur les thèmes de la perte de l’identité française, européenne et du risque évident  de guerre civile pour nos enfants et petits-enfants. Renaud Camus  souligne à juste titre « qu’aucun épisode depuis quinze siècles, ni la Guerre de Cent ans, ni l’occupation allemande n’ont constitué pour la patrie une menace aussi grave, aussi fatale, aussi virtuellement définitive en ses conséquences que le changement de peuple »(7). Nous assistons en quelque sorte à un véritable génocide culturel de la France...

 

Selon Yves-Marie Laulan, dans son étude du 19 Février 2012 (8), les coûts nets directs ou indirects de l’immigration s’élèvent à 73,3 milliards d’euros .Ils  sont donc  non  financés par un déficit budgétaire de 85 milliards d’euros qui alimentent l’endettement actuel de la France de 1717 milliards d’euros. L’immigration en France peut être évaluée à 250 000 (9) personnes par an dont 50 000 clandestins, soit une agglomération lilloise tous les 3 ans !

 

Comme nous le rappelle  Marc Aurèle « l’objet de la Vie  n’est pas de se trouver du côté de la majorité, mais d’éviter d’être du côté des imbéciles ». Des dix candidats qui se présentent avec  leurs 500 signatures, aucun n’a  la stature d’un De Gaulle ou d’un Poutine pour redresser d’une façon urgente une France qui part à vau-l’eau ! Les problèmes fondamentaux de défense  ne sont même  pas abordés. Il n’est donc pas étonnant que les thèmes de la campagne présidentielle  ne soient pas à la hauteur  de la faillite d’un Etat, d’une invasion migratoire programmée, des enjeux pour la France de sa survie économique, politique,  militaire, démographique, linguistique et civilisationnelle.

 

Notes

 

(1) Maurice Allais, Erreurs et impasses de la construction européenne. Editions Clément, 1992, page 217

(2) Maurice Allais, L’Europe en crise,que faire ? Editions Clément Juglar, 2005, page 71

(3 ) Maurice Allais, op cit, page 71

(4) Maurice Allais, La Mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance Editions Clément Juglar, 1999,  page 309

(5) COE-Rexecode,  « Faiblesses  et atouts de la France dans la zone euro », mars 2012

(6) Maurice Allais, L’Europe en crise, que faire ? op cit, page 77

(7) Renaud Camus, Le Grand Remplacement, Editions David Reinharc, novembre 2011,

(8) Yves-Marie Laulan, L’impact macro-économique de l’immigration, 19 février 2012

(9) Yves-Marie Laulan, Tableau de bord de l’immigration-Chiffres clefs des flux migratoires, Décembre 2011

00:06 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 28 mars 2012

Synthèse nationale n°26, abonnez-vous...

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N°26 - 134 pages - 12,00 €

Au sommaire :

Au-delà de la Présidentielle : la bataille finale…

  l’éditorial de Roland Hélie

■ Le capitalisme en crise…


  la chronique de Patrick Parment

■ Focus sur Najat Vallaud-Belkacem…

  par Luc Pécharman

■ GUIDE DE SURVIE DANS UNE SOCIÉTÉ ISLAMIQUE

  présenté par Robert Spieler

■ La surpopulation : mythe ou réalité ?

  par Arnaud Raffard de Brienne

■ LA SOCIETE OUVERTE NOUS AMENE AU NIHILISME 

  par Georges Dillinger

■ FN… Tout ça pour ça ! Un grand entretien avec Anne Kling

En 2012, l’Oncle Sam hors de danger ?

  par Pieter Kerstens

■ Le handicap structurel France /Allemagne

  face à l’euro et l’Europe Puissance…

  par Marc  Rousset

■ Les racines brunes du Parti socialiste autrichien… 

  par Lionel Baland

Pour défendre un peuple persécuté :

  l’acte ultime du Colonel Robert Jambon…

  par Paul Vigne

DEFENSE DE L’OCCIDENT :

  HISTOIRE D’UNE REVUE NATIONALISTE…

  par Francis Bergeron

■ Les rubriques du Marquis, par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, de Jean-Claude Rolinat, de Patrick Gofman, de Philippe Randa…


ABONNEZ-VOUS !

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Synthèse nationale est en vente à Primatice (Bad street shop), 10 rue Primatice 75013 Paris (métro Place d'Italie)

23:26 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un nouveau livre d'Hervé Ryssen...

Ryssen-comrendre-le-judaisme.jpgTout le monde entend parler des juifs, mais bien peu de gens les connaissent vraiment. Qui sont-ils ? En quoi se distinguent-ils du reste de la population ?

 

Ces questions sont d’autant plus importantes que le peuple juif joue un rôle central dans l’évolution de l’humanité. On cite souvent Marx, Freud et Einstein, qui ont personnifié un temps le génie du judaïsme.

 

Aujourd’hui, l’apport des juifs à la culture mondiale est d’une richesse extraordinaire. Leur amour de la paix, de l’égalité et de la tolérance, leur combat inlassable pour les droits de l’homme, font d’eux les meilleurs défenseurs de l’idéal démocratique. Alors comment expliquer l’antisémitisme ?

 

Ce petit livre est une synthèse des six livres d’Hervé Ryssen parus sur le sujet et publiés entre 2005 et 2010. Ils sont indispensables pour comprendre le monde contemporain.

 

Format poche (10,5 x 15 cm). 144 pages, 8 € + 2 € de port. Chèque à l'ordre de LALIN, 14 rue Brossolette, 92300 Levallois (ce n'est qu'une boîte aux lettres).

 

Source cliquez ici

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mardi, 27 mars 2012

Mercredi à 18 h 00 : Roland Hélie invité par Martial Bild sur Radio Courtoisie...

imagesCA9JOSDT.jpgMercredi 28 mars, à 18 h 00, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, sera invité par Martial Bild à son libre journal sur Radio Courtoisie. Thème de cet entretien : l'histoire de la Droite nationaliste sous la Ve République. Thème qui sera aussi traité jeudi soir lors d'une conférence au Local (92, rue de Javel 75015 Paris).

Pour écouter Radio courtoisie cliquez là

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dimanche, 25 mars 2012

"Les brigades internationales de Franco", un livre de Sylvain Roussillon...

1284-1207-large.jpgSujet sensible, douloureux, profondément ancré dans l'histoire collective de la péninsule ibérique, la guerre d'Espagne a été relatée de multiples manières au gré des décennies. Les historiens ont beaucoup insisté sur l'aide des Brigades internationales aux Républicains, mais jamais inventorié dans leur ensemble les forces internationales dont bénéficia le général Fransisco Franco. Et si l'on sait l'importance de la légion Condor et des combattants italiens, l'on ignore encore l'engagement non moins décisifs de volontaires irlandais, français, anglo-saxons, russes, portugais, nord-africains, marocains, asiatiques, juifs et même musulmans.

Sylvain Roussilon comble ici cette lacune, loin des clichés réducteurs et des visions partisanes, au terme d'une enquête auprès des témoins et de fonds d'archives encore inconnus du grand public.

Préface de Pascal Le Pautremat, 362 pages, Editions Via Romana, 2012, 24,00 €

En vente à la Librairie française : cliquez ici

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