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lundi, 14 mai 2012

«L'Aube dorée» se lève sur la Grèce...

imagesCAZP3PSH.jpgPar Fabien Collet

 

Le 6 mai dernier, une autre élection a eu lieu à l'extrémité est du continent européen. En effet, les Grecs étaient appelés à désigner les 300 députés du Parlement (la «Vouli»). Comme le système politique grec est infiniment plus démocratique que la Ve République française, il y a une chambre unique et le vote à lieu à un tour, à la proportionnelle. Pour avoir des députés, il faut réunir au moins 3% des voix au niveau national.

 

Dès 2009, les nationalistes ont fait leur entrée dans l'hémicycle parlementaire grec. En effet, le «Rassemblement Populaire Orthodoxe», désigné plus couramment par ses initiales (LAOS), avec 5,63% des voix, avait 15 députés. Pendant trois mois (11 novembre 2011 au 10 février 2012), ils ont fait partie de la coalition gouvernementale avec deux ministres, entérinant ainsi certaines mesures d'austérité. Finalement, en février dernier, devant un nouveau plan massif d'austérité, ils ont préféré ne plus être associés aux décisions gouvernementales, d'autant que des élections législatives étaient prévues. Une lourde faute politique aux yeux des Grecs puisque les électeurs ne lui ont accordé, le 6 mai, que 2,90% des voix, soit un score qui les a exclus du parlement.

 

A l'inverse, un parti, Chryssi Avyi («L'Autre Dorée») a pris sa place avec brio puisque, grâce à 6,97% des voix, il a obtenu 21 députés. D'orientation plutôt nationale-socialiste à ses débuts, le parti avait cessé ses activités en 1992, avant d'être relancé en 2003 par son dirigeant actuel, Nicolaos Michaloliakos.

 

L'Aube Dorée a pour emblème la figure géométrique du méandre (qui symbolise la bravoure et le combat sans fin, selon lui), figuré en noir sur un fond rouge, et la plupart de ses militants sont des jeunes gens. L'Aube Dorée cultive la nostalgie du «mouvement du 4 août», c'est-à-dire la dictature instaurée par le général Metaxas (1936-1941) qui était assez comparable au salazarisme. Une des caractéristiques de ce régime a été sa résistance farouche à l'attaque italienne de 1941, repoussant les troupes de Mussolini jusqu'au sud de l'Albanie, puis à l'attaque allemande. Le drapeau officiel grec de cette époque (croix blanche sur fond bleu ciel) figure souvent dans les manifestations organisées par L'Aube Dorée. Il a aussi une branche à Chypre (avec pour symbole une épée). Aux élections législatives de 2009, L'Aube Dorée n'avait obtenu que 0,28% des suffrages. Mais, en 2010, son dirigeant avait été élu conseiller municipal à Athènes.

 

Le tout récent succès électoral de L'Aube Dorée s'explique pour trois raisons. La première est que le parti s'est présenté comme patriote et nationaliste, stigmatisant l'attitude de l'Allemagne de Merkel. La deuxième explication tient au fait qu'il a concentré son action sociale sur les banlieues défavorisées des villes (comme Le Pirée, à Athènes). Ses jeunes militants ont distribué des sacs de nourriture et des vêtements aux Grecs nécessiteux, ils ont aidé les personnes âgées à aller chercher de l'argent à leur banque sans se faire détrousser dans la rue, et ils effectuent des rondes dans les quartiers à forte criminalité. Une activité sociale qui a été payante puisque c'est précisément dans ces quartiers que L'Aube Dorée a enregistré ses scores électoraux les plus élevés. Enfin, Nicolaos Michaloliakos a tenu à ce que les candidats viennent de toutes les couches de la société grecque pour que les électeurs puissent s'identifier à des gens proches de leurs préoccupations.

 

Le dirigeant de L'Aube Dorée a pour principe de ne jamais accorder d'interview aux journalistes. Une règle qu'il a enfreint le 7 mai en organisant une conférence de presse. Lors de celle-ci, il a précisé que «les traîtres qui ont mené le pays à la ruine doivent commencer à avoir peur» et que les 21 députés de L'Aube Dorée ne participeront à aucune coalition. Les deux mastodontes de la politique grecque, à savoir La Nouvelle Démocratie et les socialistes du PASOK se sont littéralement effondrés avec respectivement 18,85% des voix (108 députés) et 13,18% (41 députés). Tous les autres partis (dont de nombreuses et nouvelles dissidences anti-européennes de l'un des d'eux comme les Grecs indépendants ou les gauchistes de Syrija, sorte de NPA en version grecque) sont contre les mesures adoptées par le précédent gouvernement technocratique imposé par Bruxelles et Berlin. Aucun parti n'est dès lors en mesure d'avoir la majorité ou de former une coalition. Bizarrement, quand cela ne l'arrange pas, la «si démocratique» Union européenne, et ses relais mondialistes en France et ailleurs, ne se gênent pas pour estimer que les peuples ont mal voté (cf. le traité européen rejeté par les Français, le référendum néerlandais, celui en Irlande, Irlandais qui seront à nouveau consulté le 31 mai sur l'adoption ou non du Pacte budgétaire européen, etc). D'ores et déjà, des pressions (on devrait dire du chantage) s'exercent sur Athènes pour annuler ce si mauvais scrutin et en programmer un nouveau (deux élections législatives en six mois !) vers le 18 juin. Pas sûr que les Grecs apprécient ce énième chantage européen. En réaction, ils pourraient amplifier leurs choix du 6 mai dernier.

 

L'Aube Dorée : cliquez là (en grec) Mouvement du 4 août du général Metaxas : cliquez ici (en anglais)

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Manifestation nationaliste unitaire du 13 mai 2012 contre le mondialisme...

00:23 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 13 mai 2012

Le tract diffusé à 7 000 exemplaires dimanche matin à Paris par la Nouvelle Droite Populaire :

Présidentielle 2012

Un seul gagnant : le mondialisme…

Un seul perdant : le peuple français !

■ Qu’ils soient de gauche ou de « droite », les gouvernements qui se succèdent depuis des décennies mènent la même politique… à savoir une politique au service des intérêts supranationaux et mondialistes. Ils ont tous contribué à l’anéantissement de notre indépendance nationale et, à terme, de notre identité européenne.

■ Quel que fut le gagnant de la présidentielle de dimanche dernier, l’hyper-classe qui dirige le monde pouvait dormir sur ses deux oreilles, les deux finalistes étant, l’un comme l’autre, des petits valets serviles de sa volonté dominatrice. Elle veut transformer les peuples en ensembles de consommateurs déracinés juste bons à enrichir les comptes des multinationales apatrides. Pour détruire nos identités elle encourage l’immigration incontrôlée. Immigration qui engendre elle-même l’islamisation de notre société.

■ Face au mondialisme, nous opposons un ordre nouveau, nationaliste, populaire, social et identitaire. Au-delà des péripéties électorales, la Nouvelle Droite Populaire mène un combat sans concession contre ceux qui veulent la fin de notre nation et de notre civilisation.

■ Il n’y a rien à attendre des partis inféodés au Système. Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes pour redonner à la France sa liberté et sa grandeur et à l’Europe son identité et son rayonnement.

Aujourd’hui, 13 mai 2012, en cette année de 600e anniversaire de la naissance de Jeanne d’Arc, symbole de la France résistante, les nationalistes sont rassemblés et manifestent pour crier haut et fort :

LA France AUX FRANçAIS !

Nouvelle Droite Populaire

Le tract de la NDP cliquez ici

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RAPPEL : Dimanche 13 mai, 10 h, Place de la Madeleine à Paris, TOUS A LA MANIFESTATION NATIONALISTE UNITAIRE CONTRE LE MONDIALISME....

NDP 2012 06 05 manif.jpg

Ce n'est pas le tout de râler contre le résultat de dimanche dernier, voici une excellente occasion de montrer que l'on est un patriote conséquent... Dimanche prochain, à 10 h, rendez-vous Place de la Madeleine.

Jeanne-d-arc-2012-copie-1.jpg

00:35 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 11 mai 2012

CRIME DE LESE-MAJESTE...

sans-titre.pngPar Anne Kling

 

Eh bien, ça promet ! Le journaliste Pierre Salviac s’est fait virer sans tambour ni trompette par RTL pour avoir tenu les propos suivants sur la nouvelle « première dame » : «A toutes mes consoeurs, je dis « baisez utile, vous avez une chance de vous retrouver première Dame de France »)».

 

Bon, ce n’est pas très délicat, c’est même carrément machiste (encore que…), mais il n’y a quand même pas de quoi fouetter une chatte. Faudrait finalement savoir ce que c’est, la liberté d’expression, au pays de Voltaire. C’est bêler comme des moutons et ne dire que ce qui plaît aux puissants du moment ? Ou c’est pouvoir exprimer le fin fond de sa pensée, même - et surtout - si ça ne doit pas faire plaisir ?

 

Sa saillie ne tombait pas sous le coup de la loi, non ? Alors… Une engueulade aurait pu suffire, éventuellement. De là à carrément le virer... On se croirait vraiment sous Louis XIV.

 

Sans compter que je trouve cette réaction, vraisemblablement venue d’en haut, particulièrement dénuée de finesse, de recul et de tout sens de l'humour. Elle donne finalement à penser qu’il a tapé juste et/ou que la « première dame » de gauche et de la main gauche est décidée à mettre les journalistes au pas tout de suite.

 

La plupart ont déjà compris, qui passent la brosse à reluire à tour de bras avec des « première dame » au kilomètre. Or, que je sache, Hollande, quoique père de famille nombreuse, n’a jamais été marié. Trop bourgeois, sans doute. Et sa compagne d’aujourd’hui, qui est deux fois divorcée par contre, n’est justement que sa compagne, à ce jour. A proprement parler, il n’existe pas de « première dame » officielle.

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RAPPEL : samedi 12 mai, VIe Conseil national de la Nouvelle Droite Populaire à Paris...

NDP 2012 05 12 VI Conseil nat..jpg

Participez, inscrivez-vous : ndp@club-internet.fr

Prenez votre carte 2012 à la NDP cliquez ici

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jeudi, 10 mai 2012

RAPPEL : préparons le 13 mai nationaliste, conférence ce jeudi soir, au Local...

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Hier face à la Droite mondialiste,

aujourd'hui contre la gauche mondialiste :

organisons la résistance nationale !

mercredi, 09 mai 2012

Belgique : le beau droit d'asile !

30748454.jpgPar Yves Darchicourt

 

Cela c'est passé la semaine dernière dans un centre dit "d'accueil des migrants" géré par la Croix Rouge, à Bierset près de Liège. De malheureux "réfugiés" allogènes en provenance d'Afrique noire, paraissant au demeurant en fort bonne forme, se sont défoulés dans de furieuses danses tribales métissées "rap", brandissant des armes de poings et mimant des exécutions...le tout filmé puis diffusé sur le site de Sudpresse !

 

Grand émoi parmi les angéliques organisateurs de la déferlante exotique, dont le responsable local - un certain Billy Jungling - a regretté fort amèrement ces "comportements réduisant à néant les longs mois d'effort pour faire accepter ce centre de réfugiés par les riverains". On doutera que les indigènes belges aient eu leur mot à dire pour pouvoir bénéficier de cette promiscuité imposée par les collabos de l'immigration allogène et de la mixité raciale pour le meilleur et - en l'occurrence - surtout pour le pire.

 

Mais tout est bien qui finit bien : il paraît que la police n'a trouvé dans l'équatorial nid de chances pour la Belgique que des armes factices ! Ben voyons ! On l'aurait presque parié ! C'est tellement mieux ainsi pour l'image du brave migrant qui va devenir un citoyen modèle du Royaume : la preuve, aux prochaines élections communales c'est 1,3 millions d'immigrés allochtones de plus ou moins fraîche date, de nationalité belge ou non, qui vont participer au scrutin et qui représentent globalement 16% des votants (9,80% en Flandre, 18,10% en Wallonie et 62,30% en région de Bruxelles).

 

En Belgique et partout ailleurs en Europe : Rassemblement ! Résistance ! Reconquête !

07:18 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Véronique Bouzou : Je suis une prof réac et fière de l’être...

COVERPROFREACTOLEK%20OK.jpgSource Les Echos cliquez ici

 

La victoire de François Hollande à l’élection présidentielle coïncide avec la sortie officielle de mon nouveau livre, Je suis une prof réac et fière de l’être ! dans toutes les librairies de France. Simple hasard du calendrier ou volonté délibérée de retarder la sortie de ce pamphlet, initialement prévue début avril, afin qu’il ne puisse peser dans la campagne présidentielle ?

 

Je suis en droit de me poser la question car, pour ne rien vous cacher, je voulais que mon livre serve de plate-forme de propositions, notamment en matière d’éducation, à l’attention des différents candidats. J’y aborde sans complaisance les sujets tabous à l’école (autorité, violence, immigration, argent…) et appelle à libérer cette dernière de la mainmise de nombreux syndicats, associations antiracistes et lobbies communautaires qui, pendant la campagne électorale, ne se sont pas privés de soutenir publiquement le candidat PS.

 

Celui qui vient d’être élu Président de la République ne cesse de réclamer plus de justice et défend une politique qui se veut respectueuse de tous les Français, y compris ceux qui n’ont pas voté pour lui. Nous ne demandons qu’à le croire. Mais ce beau discours résistera-t-il à l’épreuve des faits ? Que vont devenir ceux qui se font régulièrement taxer de « réac » ? Va-t-il falloir, comme le suggère avec humour un article (cliquez ici) du portail libéral-conservateur Nouvelles de France, lancer dès maintenant une souscription à destination de ces futurs exilés afin qu’ils puissent « se présenter à l’accueil pour rencontrer leurs passeurs et récupérer leurs tickets de viande » ?

 

Plus sérieusement, la parole va-t-elle rester libre pour les propos jugés politiquement incorrects ? Ou bien est-ce que les procès pour « délit de pensée » vont se multiplier comme on peut le craindre ? En ce qui me concerne, les médias vont-ils annoncer la sortie de mon livre et m’inviter à débattre sur les plateaux TV comme ils l’avaient fait pour mon précédent ouvrage, Ces profs qu’on assassine ? Les libraires vont-ils le classer parmi les nouvelles parutions, comme cela se pratique habituellement, ou bien le reléguer au fond des rayons, comme j’ai déjà pu le remarquer de visu dans certaines librairies ?

 

Va-t-on enfin m’opposer, sous prétexte que je suis enseignante, le « devoir de réserve » pour me faire taire ? Il est vrai que les professeurs qui ne votent pas à gauche sont encore largement minoritaires, comme en témoigne ce commentaire d’un confrère récemment posté sur mon blog (cliquez là) : « Bonne chance pour votre livre que je ne manquerai pas d’acheter et de conseiller, j’aimerais beaucoup vous avoir pour collègue, je me sentirais moins seul, sur l’ensemble des professeurs de mon lycée, nous sommes trois à ne pas être de gauche... »

 

C’est pour tous ces enseignants quotidiennement ostracisés pour leurs convictions politiques que je continuerai à me battre. Mais aussi pour libérer l’école et surtout les élèves des tentatives de manipulations éhontées, qui s’échelonnent de la remise en cause de l’autorité du professeur jusqu’au détournement des programmes scolaires. Ce que j’ai compris en écrivant ce livre, c’est que l’école est un miroir de notre société et qu’il est illusoire de changer l’école comme la société sans une volonté politique forte. Proclamer « le changement, c’est maintenant ! » ne suffit pas. Encore faut-il être capable de faire le deuil des vielles lunes qui finissent en « isme » comme l’antiracisme, le communautarisme et l’égalitarisme au nom desquelles certains proclament par exemple que « nous sommes tous des sans-papiers » ou bien « nous sommes tous des citoyens du monde ». Alors à mon tour, je vais pour une fois faire une entorse à ma ligne de conduite et proclamer haut et fort : « Nous sommes tous réacs et fiers de l’être ! ». Un slogan qui pourrait inspirer celles et ceux qui vont faire campagne pour les législatives et ne se résignent pas à voir la gauche cinq ans au pouvoir…

 

Je suis une prof réac et fière de l’être…, Véronique Bouzou, Du Toucan Editions, La Boite à Pandore, 300 pages, 17,00 cliquez ici

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mardi, 08 mai 2012

Les procureurs de comptoirs...

ttt.jpgLa Chronique de Philippe Randa

Ainsi donc, c’est la fin du Monde. En tout cas du Monde de la Droite parlementaire à l’Élysée. Mais pour certains, c’est la même chose… Ainsi a-t-on vu, entendu ou reçu via internet ces derniers jours un nombre impressionnant d’appels à « faire barrage à Hollande », émanant tout aussi bien de personnes appelant à voter coûte que coûte pour Nicolas Sarkozy, menaçant, méprisant et insultant ceux qui choisiraient l’abstention ou le vote blanc, telle la première Marine Le Pen venue… et vouant aux gémonies ceux qui voteraient « contre » Nicolas Sarkozy, que ce soit par vengeance ou par tactique, l’une et l’autre tout aussi politique… que de personnes affublant le nouveau président, non pas de tous les noms d’oiseaux de la création, mais (entre autre) d’une célèbre pâtisserie, oubliant que tous les gourmands de 7 à 77 ans l’apprécient à juste titre et que ce n’était sans doute pas le meilleur moyen de faire barrage aux hordes mélenchono-hollandaises qui prirent d’un assaut somme toute fort mesuré les urnes de cette élection présidentielle. Il est connu que ce n’est jamais en période électorale que l’adage « il faut raison garder » est le plus appliqué, la preuve en est une fois encore.

Exit donc Nicolas Sarkozy qui n’aura pas réussi le pari d’être réélu… Le résultat 51,62 % pour son rival et 48,38 % pour lui est toutefois nettement plus serré qu’on ne l’avait prévu. À tel point qu’on peut légitimement penser que bien des choses, ces derniers mois, auraient pû inverser un tel résultat.

En ce jour où tous les commentateurs s’interrogent sur l’avenir de la France durant le quinquennat à venir, nul ne semble tout de même rappeler quelques « incidences » qui ont probablement été déterminantes dans le résultat final de ce scrutin.

Tout d’abord, l’élimination de Dominique Strauss-Kahn pour causes de dérives ancillaires contrariées… Le Parti socialiste, à l’époque, le voulait pour porter ses couleurs. Il n’est pas certain que cela aurait été le meilleur choix, au-delà des révélations ou non de ses frasques sexuelles.

Nicolas Sarkozy aurait peut-être affronté plus aisément un tel Grand manitou de la Finance internationale qui aurait été un « adversaire de connaissance » davantage à sa portée.

Un François Hollande au « charisme d’oursin », bien plus « normal » que lui – à tel point que l’élu de Corrèze n’avait pas manqué de s’en vanter –, labourant les sillons électoraux de la France avec la tranquille persévérance d’un cheval de labour, s’est avéré être bien plus dangereux. On l’a vu durant le débat d’entre-deux-tours : nombreux furent ceux qui s’attendaient à une mise à mort rapide et sans bavure, un effondrement annoncé de l’insignifiant socialiste… et qui en restèrent frustrés : les attaques du candidat sortant n’entamèrent en rien l’impassible posture du successeur de François Mitterrand en qui un nombre encore plus grand de spectateurs reconnurent une « force tranquille » dont ils gardaient la nostalgie.

Mais ce ne fut pas la seule incidence… Car il y a des « accidents politiques » comme il y a des « accidents industriels ». Telle s’avéra être la candidature d’Eva Joly. N’importe quel autre candidat(e) présenté(e) par le courant écologiste aurait pu faire sans trop de mal et au pire d’une campagne qui aurait été considérée comme un échec, 3 à 4 % de plus que les 2 qu’a péniblement réunis l’ex-talibane franco-norvégienne de nos tribunaux.

Ce qui aurait empêché François Hollande d’être en tête au Premier tour et l’aurait ainsi privé d’un avantage psychologique certain auprès des indécis dont beaucoup n’aiment rien tant que d’être certains de voter pour le vainqueur final afin de s’en glorifier auprès de leurs proches les jours suivants.

Et un score écologiste plus élevé n’aurait pas été non plus sans conséquence sur ceux de Jean-Luc Mélenchon et de François Bayrou. Le premier n’aurait alors sans doute pas franchi la barre des 10 %, le second aurait reculé plus dangereusement encore en direction de celle des 5 %, si tant est que la place de l’un et de l’autre n’en eut pas été inversée.

On ne refait évidemment pas l’Histoire et celle de cette élection présidentielle est désormais écrite. Considérer qu’elle aurait pu être somme toute bien différente n’a qu’une utilité : rappeler à tous les « procureurs de comptoirs » qu’il est souvent vain de chercher à passer leur colère, à calmer leur aigreur, à déverser leur bile ou à donner de furieuses leçons à « deux balles » en désignant tel bouc émissaire ou tel autre.

00:48 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 07 mai 2012

Présidentielle : un gagnant, le mondialisme, un perdant, le Peuple français, une réponse, la résistance nationaliste...

NDP Présidentielle.jpgPar Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale et membre du Bureau de la NDP

 

La campagne présidentielle est enfin terminée et le résultat de celle-ci est conforme à ce qui devait arriver. Cette élection relevait plus de la farce que d’autres chose puisque elle voyait s’opposer deux candidats qui peu ou prou défendaient finalement la même idéologie, à savoir le mondialisme. Or, que le mondialisme soit servi à la sauce libérale ou à la sauce sociale-démocrate, le résultat est toujours le même : la fin de notre indépendance nationale et la mort de notre identité européenne. Dans ce domaine les deux finalistes n’avaient rien à envier l’un à l’autre.

 

Sarkozy avait été élu, en 2007, en faisant croire aux Français qu’il allait faire une politique  résolument « de droite » guidée exclusivement par l’intérêt national. J’entends encore raisonner les éloges de certains amis nationaux éblouis alors par autant d’audace. Il fallait pourtant être bien naïf pour le croire. Rappelons à ceux qui ont la mémoire courte que durant ses 5 années de règne Sarkozy s’est conduit en parfait petit valet servile des intérêts supranationaux, de la pensée unique et du politiquement correct. En effet :

- qui a fait appliquer le traité européen malgré le « non » massif des Français au référendum de 2005 ?

- qui a nommé des gadgets de gauche style Frédéric Mitterrand, Bernard Kouchner, Fadela Amara, Rama Yade, Eric Besson etc. à des postes de secrétaires d’état ou de ministres ?

- qui a pris Bernard-Henri Lévy comme conseiller particulier ?

- qui a lancé la France dans une guerre en Lybie et y a installé la charia (à moins que ça ne soit pour détruire des preuves de financements occultes …) ?

- qui a mis en place un président musulman en Côte d’Ivoire ?

- qui a réintégré la France dans le commandement de l’OTAN ?

- qui a laissé des soldats français se faire tuer en Afghanistan dans une guerre qui n’est pas la nôtre ?

- qui a augmenté la dette française de plus de 500 milliards d’euros ?

- qui a créé plus d’une vingtaine de nouveaux impôts rien que ces 5 dernières années ?

- qui a laissé plus de 200 000 immigrés rentrer légalement en France chaque année ?

- qui a reconnu l’indépendance de l’état fantoche et musulman du Kosovo ?

- qui explose tous les records de chômage et aggrave la précarité dans notre pays ?

 

Il est facile de brandir le drapeau tricolore un mois durant avant les élections, mais il est plus difficile de faire oublier son triste bilan et de berner les Français deux fois de suite. Le résultat est là : un  mondialiste « de droite » est battu et un mondialiste de gauche est élu. Dans cette présidentielle il y a donc un gagnant : le mondialisme, et il y a un perdant : le peuple français.

 

Dans cette élection, la position de la Nouvelle Droite Populaire a été des plus claires. Sans se faire aucune illusion sur la politique qu’aurait continué à mener Sarkozy s’il avait été réélu nous avons refusé d’emblée d’être associés à l’arrivée de la gauche au pouvoir. Nous avons donc laissé le libre choix à nos adhérents entre ce que certains d’entre eux considéraient comme un moindre mal, le vote Sarkozy malgré tout, le vote blanc ou l’abstention. De même, au sein de l’Union de la Droite Nationale, certaines composantes ont fait un choix beaucoup moins nuancé que le nôtre. C’est leur strict droit. Une union implique des différences, c’est ce qui fait sa force. L’élection est passée nous ne reviendrons donc pas sur le choix de chacun. Ce qui compte maintenant, c’est l’avenir. Et avec tout ce que nous concoctent les socialistes, nous avons de bonnes raisons de penser que celui-ci ne sera pas vraiment rose.

 

Hollande et les siens l’ont d’ores et déjà annoncé : ils veulent donner le droit de vote aux immigrés, légitimant ainsi l’implantation sur notre sol de populations venues d’ailleurs  et dépeçant encore plus la France de son identité avec tout ce que cela peut impliquer. Rappelons qu’en 2007, Sarkozy était aussi favorable à cette mesure. Nous, nationalistes, nous avons toujours été contre ce droit de vote puisque nous sommes contre l’immigration. Lors des législatives qui se dérouleront les 10 et 17 juin prochains, nous présenterons des candidats à travers toute la France. Ceux-ci feront campagne pour rendre la France aux Français.

 

Face au mondialisme, il n’y a qu’une réponse à imposer : la résistance nationaliste. Et le premier rendez-vous de cette résistance nationaliste, ce sera dimanche prochain 13 mai, à 10 h, place de la Madeleine à Paris. 

10:49 Publié dans Editoriaux, Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La « France du changement » se défoule dans la violence

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Par Jean-Pierre Grunberg

Source Dreuz.info cliquez ici

Ce soir, l’élection de François Hollande est fêtée comme il se doit. Côté pile, on vous montre des jeunes qui brandissent des pancartes « Pour une France apaisée ». Et côté face, on ne vous montre pas la place du Capitol*, à Toulouse, ou des violences ont éclaté.

On ne vous montre pas non plus les drapeaux algériens, palestiniens, Place de la Bastille. Je me demande ce qu’ils faisaient là, mais je sais que si quelqu’un les avait brûlés, il y aurait eu une guerre civile.

On ne vous dira pas que dans le 93, le 77 et à Toulouse, dans le 91 et le 92, à Nanterre, ça caillasse et brule des poubelles, et que la police a ordre de pas intervenir.

L’Est Républicain rapporte qu’à Clichy-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, des voitures ont été brûlées, puis que "la police est passée et comme les jeunes n’aiment pas la police, ils ont commencé à caillasser avec des bouteilles", a raconté un fonctionnaire de la mairie, sous couvert d’anonymat.

Selon d’autres témoignages, des jeunes ont pris de l’essence et mis le feu sur un véhicule abandonné, puis sur un autre. Un cordon de sécurité a été déployé sur place, où une vingtaine de voitures des forces de l’ordre ont été déployées, interdisant l’accès à la mairie, a-t-on indiqué de même source.

« Les pompiers sont intervenus, un cordon policier a été mis en place de manière préventive et le préfet Christian Lambert s’est rendu sur place», a confirmé une source préfectorale… »

Vous ne saurez pas qu’à Marseille, un cocktail Molotov a été jeté sur le commissariat du 3ème arrondissement.

Ni que dans le 20e à Paris, c’est la guerre urbaine contre les policiers : avec des tirs de mortier et plusieurs agressions contre les policiers.

Sur l’ensemble des arrondissements parisiens, ce soir, les policiers en patrouille et en intervention se font insulter.

Dans le 93 ça brûle, et les policiers se font caillasser. Des effectifs de police du 92 ont essuyé des jets de projectiles.

Quelques villes du 93 brûlent, et à Saint Denis, la police se fait caillasser.

Sur les Champs Elysées, les boutiques ferment et les CRS chargent. Ça commence…

Plusieurs « jeunes » s’attaquent verbalement aux policiers à Paris, lesquels ne peuvent intervenir. Il y a des rodéos sauvages un peu partout.

Ordre a été donné aux policiers de quitter les secteurs sensibles.

* Hier soir, une source m’a indiqué avoir vu des drapeaux français brûler à Toulouse. Comme des drapeaux français avaient été brûlés, sur cette même place, en 2007, je n’ai pas été très surpris, et j’ai repris l’incident dans mon article. Et pour être totalement transparent, j’ai également illustré cela d’une photo d’archive.
Il y a quelques minutes, cependant, j’ai reçu un démenti, aussi ai-je décidé, en attendant d’en savoir plus, de retirer de mon texte les références à des drapeaux brûlés, hier soir, à Toulouse, place du Capitole.

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dimanche, 06 mai 2012

La mort en face...

 Dernier poème écrit par Robert Brasillach,

lu par Pierre Fresney.

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RAPPEL : second tour de l’élection présidentielle, la Nouvelle Droite Populaire ne choisira pas...

P1070072.jpgUn communiqué de Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire :

Voter Hollande ? Bien sûr que non. Voter Sarkozy ou s’abstenir ? C’est l’alternative à envisager.

Certains de nos amis militent ardemment pour le vote Sarkozy, évoquant le droit de vote des étrangers aux élections municipales, la légalisation du mariage homosexuel, et le matraquage financier des Français. Ils auraient pu aussi évoquer, ce qui nous semble tout aussi important, l’abandon de la filière nucléaire française et, de facto, un abandon de souveraineté. Ils évoquent avec effroi la perspective d’accrocher le portrait de Hollande dans leurs mairies et expliquent que la politique du pire est la pire des politiques, considérant que s’abstenir reviendrait à voter Hollande, et qu’il convient de voter utile. Soit. Mais avec ce type de raisonnement, nous serons amenés, demain, à voter aux élections législatives pour un candidat socialiste plutôt que communiste ou pour un candidat radical de gauche plutôt que socialiste, ou encore pour un candidat de l’UMP plutôt que pour un centriste. Et puis, après-demain, pour Mélenchon, un tout petit peu moins pire que Poutou, le candidat de l’extrême-gauche trotskiste. Le premier aurait guillotiné en 1792, le second dès 1789…

Qui sont les responsables majeurs de la situation identitaire dramatique que vit la France ? Les socialistes ? Absolument pas. Le regroupement familial fut décidé par Giscard d’Estaing et Chirac, pas par Mitterrand. Quelle fut l’action de Sarkozy, durant son mandat, pour protéger la France de l’invasion ? Juppé, maire de Bordeaux et Gaudin, maire de Marseille, encouragent la construction de grandes mosquées. Sont-ils socialistes ?  Quelle furent les mesures de Sarkozy pour lutter contre la fortune anonyme et vagabonde ? Et n’évoquons pas le fiasco de l’Education nationale. Quant à l’insécurité…Et puis la politique étrangère désastreuse menée en Libye, notamment sous les auspices du super-ministre des Affaires étrangères, Bernard-Henry Lévy… Passons… On pourrait multiplier les exemples. Le CRIF soutient Sarkozy, plutôt que Hollande, soupçonné d’avoir dans son entourage des personnes trop sensibles au drame que vivent les Palestiniens. C’est son droit, comme c’est celui de certains d’entre nous de voter Sarkozy, malgré tout, ou de ne pas voter Sarkozy, et donc de s’abstenir.

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Différence :

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La Ve République, 54 ans, voilà le résultat :

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Elections générales en Grèce : intolérables pressions sur le peuple hellène !

3174893620.jpgPar Yves Darchicourt

 

Si les électeurs grecs votent pour une majorité qui n'honore pas ces engagements [ ndlr : ceux de la dette ] la Grèce devra en supporter les conséquences vient d' éructer le ministre des Finances d'Angela Merkel ! Scandaleuse intrusion de l'Union Européenne par Allemagne interposée dans les élections générales qui vont se dérouler dans le pays qui a vu naître la démocratie. Une démocratie qui a été livrée pieds et mains liés à la finance internationale par les politicards grecs, sous couvert de l'Union Européenne et du FMI, eux-mêmes dévoués corps et âmes à la ploutocratie mondialiste qui s'engraisse sur le malheur des peuples.

 

C'est que tous ces gens-là s'inquiètent fort de ce qu'une majorité de grecs pourraient bien lâcher les partis "traditionnels" qui fournissent en grasses sinécures les politiciens conservateurs et sociaux-démocrates (une sorte d'UMPS hellène) qui prônent la drastique austérité pour le Peuple grec mais pas pour eux, leurs familles et leur clientèle. Vision d'apocalypse ripouplicaine, nombre d' électeurs grecs pourraient soutenir les candidats de la gauche extrême, et plus encore ceux de la droite nationale, radicale et identitaire : c'est à dire le LAOS (le Peuple) ou, horresco referens, le parti CHRYSI AVGHI (aube dorée) qualifié par nos "grands médias" de anti-européen, fascisant, xénophobe, raciste, ultra-nationaliste, religieux orthodoxe, violent (il a mis sur pied des groupes d'auto-défense fort appréciés dans les quartiers populaires submergés par la délinquance à forte composante allogène), anti-sémite et tant qu'à faire homophobe, de quoi faire trembler d'horreur dans tous les raouts de tout le fatras politiquement correct ! Et c'est ce séisme politique qui inquiète l'eurocratie, bien plus que le non-remboursement de la dette que les banksters récupéreront d'une façon ou de l'autre : une déferlante de la droite nationale radicale et identitaire en Grèce pourrait être exemplaire en Europe et marquer l'acte n°1 de la disparition de l'eurocratie mondialisante au profit d'une Europe des Peuples et des Nations !

 

Alors, sous le regard bienveillant du Christ Pantocrator ou avec l'aide de tous les Dieux de l'Olympe, bonne chance et bon courage à nos amis et camarades nationalistes et identitaires de Grèce !

14:36 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 05 mai 2012

Législatives / Vaucluse (4e) : Patrick Bassot, le seul conseiller général du FN, soutien Jacques Bompard...

patrick-bassot.pngSource PdF Franche-Comté cliquez ici

 

Patrick Bassot, l’unique Conseiller général frontiste de France (sur le canton de Carpentras Nord), est déjà plus qu’en délicatesse avec son parti et a apporté jeudi son soutien à Jacques Bompard, le candidat Ligue du Sud et maire d’Orange, candidat sur la 4e circonscription de Vaucluse aux élections législatives qui sera lui-même soutenu par l’Union de la Droite Nationale.

 

L’élu carpentrassien estime que « Jacques Bompard est le seul nationaliste du département à faire du bon boulot. Orange, sa ville, est nickel. Il y opère une gestion exemplaire que je souhaite voir étendue aux autres villes. C’est pour ça que je lui apporte mon soutien. Et ce n’est pas une attaque contre le candidat du Front National sur ce secteur » qui sera Annie-France Soulet.

 

Une prise de position qui fait grincer des dents au sein du Front National. Jean-Marie Le Pen, le chef de file du FN dans la région Paca, indiquait hier que si Patrick Bassot « déroge aux règles de discipline du mouvement, il en subira les conséquences ».

 

Rappelons que depuis son élection au Conseil général de Vaucluse, en mars 2011, Patrick Bassot n’a pas toujours entretenu de bonnes relations avec son parti. En mars dernier, c’est seul que l’élu frontiste s’était présenté devant les juges carpentrassiens qui l’avaient condamné pour « incitation à la haine, à la discrimination et à la violence ».

 

Plus récemment, le Front marinisé a préféré investir une arriviste en la personne de Martine Furioli, une ancienne du Mouvement pour la France (MPF) de Philippe de Villiers, plutôt que lui dans la 5e circonscription malgré le travail de terrain qu’il a toujours réalisé.

 

Décidément, la politique, c’est un peu comme la cuisine : on ne peut pas savoir qu’un plat est décevant (pour rester poli) ou ne réponde pas à nos attentes, nos espérances tant que l’on n’y a pas goûté…

10:18 Publié dans Législatives 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 04 mai 2012

Présidentielle : POUR L'OEUVRE FRANCAISE, PAS UNE VOIX POUR LE SYSTÈME

040512_184836_PEEL_ftkyp9.jpgUn communiqué d'Yvan Benedetti, président de l'Oeuvre française :

 

Le premier tour de l'élection présidentielle en France a montré une nouvelle fois à quel point les nationalistes ont raison de dire qu'il ne faut pas placer ses espérances dans les urnes.

 
Les deux principaux candidats du Système, Hollande et Sarkozy, ont réuni à eux deux plus de 55 % des suffrages exprimés, alors même que notre pays est dans une situation catastrophique dans tous les domaines. Quant à Mme Le Pen, si son score (17,90 %) est supérieur à celui de son père en 2007, elle réalise un score inférieur aux 19,2 % obtenus par Le Pen et Mégret en 2002 et aux 19,7 % réunis par Le Pen et Villiers en 1995 et ne réalise qu'un point de plus que Jean-Marie Le Pen le 21 avril 2002 (16,86 %). Pendant toute sa campagne elle affirmait pourtant qu'elle serait au second tour (elle finit en réalité dix points derrière Sarkozy) et qu'elle dépasserait la barre des 20 %. La dédiabolisation qui l'a conduit à renier l'essentiel du programme historique du mouvement national, à faire allégeance aux différents lobbys, à expulser ou écœurer les militants et cadres nationalistes n'a donc servi à rien. Tout ça pour ça !


Pour le second tour, l'Œuvre française invite les Français non reniés à refuser de choisir entre deux candidats qui sont les deux faces d'une même médaille mondialiste, européiste, antinationale et antichrétienne. Quel que soit l'élu, il sera au service de la finance internationale, de l'Union européenne, de l'ONU, de l'OTAN, de Bruxelles, de Washington et de Tel Aviv. Il poursuivra la destruction de l'indépendance et de la souveraineté nationales et sapera chaque jour davantage les fondements moraux, culturels et spirituels de notre civilisation européenne, blanche et chrétienne.


C'est à une seconde révolution nationale qu'il faut se préparer. L'exemple du mouvement Jobbik en Hongrie prouve qu'un mouvement nationaliste sans concession peut parfaitement emporter l'adhésion d'une grande partie du peuple. Ce n'est pas en s'alignant sur le Système ou en lui donnant des gages que l'on rend service au pays.

 
Voter pour un candidat du Système, c’est cautionner le Système.

22:57 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle : un communiqué du MNR...

3-mnr.JPGUn communiqué du MNR :

Alors que le destin de la France est en jeu, le Bureau national du MNR demande à ses adhérents et sympathisants de prendre leurs responsabilités pour le second tour de l'élection présidentielle.

Il les appelle à faire barrage au candidat socialiste dont l'idéologie et les propositions ne peuvent qu'accélérer le déclin de notre pays.

Il estime que si les actes de M. Sarkozy, lors de son premier mandat, ont été décevants, son discours récent sur l'identité nationale, la défense des frontières, le protectionnisme économique européen, la maîtrise de l'immigration, la promotion de l'effort et du travail mérite, en revanche, d'être encouragé.

09:44 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 03 mai 2012

Présidentielle : réponse de Thomas Joly à la tribune libre de Pieter Kerstens...

A la suite de la publication hier d'une tribune libre de notre cher ami Pieter Kerstens, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, nous adresse la réponse suivante. Rappelons à cette occasion que Synthèse nationale, comme son nom l'indique, est un site, et une revue, ouverte aux différentes sensibilités de la Droite nationale. Chacun peut avoir son opinion sur tel ou tel événement. Ce qui compte, c'est l'attachement de tous à l'idéal nationaliste et à notre identité européenne. Les tribunes libres n'engagent que leurs auteurs.

RH

Thomas Joly 55.pngLe message de Thomas Joly :

 

"Je ne vois pas trop le besoin qu'éprouve le camarade Pieter (tout comme d'autres qui s'enflamment) d'éructer de manière aussi agressive contre ceux qui vont faire le choix de faire barrage à Hollande. Comme si l'on risquait d'y perdre son âme. Que l'un ou l'autre passe, ce sera nocif pour la France, plus ou moins selon les avis. Pourquoi clouer au pilori ceux qui estiment qu'il est préférable d'opter pour un vote contre le retour de la gauche socialo-communiste au gouvernement ? Comment peut-on comparer ce choix pénible et non-partisan avec le 1er tour où tout le monde était bien d'accord pour admettre que le casting républicain ne comportait aucun candidat de droite nationale ? Qui peut croire sérieusement que Carl Lang et le PDF sont subitement devenus sarkozystes ? Et à quel titre, ne leur serait-il plus légitime de dénoncer le cirque boutiquier mariniste ? (...)


Je pense que chacun doit savoir raison garder. A titre de comparaison, Carl Lang et le PDF ont-ils émis la moindre critique ou condescendance à l'égard de ceux qui vont faire le choix de ne pas participer au second tour de la présidentielle ?


Jérôme Bourbon et Robert Spieler ont, je trouve, une attitude tout à fait mesurée et adéquate. L'édito du dernier
Rivarol (cliquez ici) est à ce titre excellent."

10:26 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 02 mai 2012

Dimanche 13 mai, à 10 h, les Jeunesses nationalistes seront au rendez-vous...

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23:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle : ne pas tomber dans le piège...

Pierre Vial 3.jpgUn communiqué de Pierre Vial :
Pas d’hypocrisie : appeler à « faire barrage à Hollande » c’est appeler à voter Sarkozy. Or Hollande et Sarkozy sont l’un et l’autre les hommes d’un Système que nous combattons, sans hésitation ni rémission. Croire ou affecter de croire que l’un est une menace mortifère plus que l’autre, c’est participer à un jeu de dupes que nous refusons car nous renvoyons dos à dos ces deux nuisibles. Voter Sarkozy ? C’est  se faire une fois de plus les harkis du capitalisme apatride, pleinement responsable de la présence des envahisseurs.

Plus que jamais il faut maintenir le cap : ni droite ni gauche, pour une troisième voie révolutionnaire, identitaire ethnique.

19:32 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Au-delà des tergiversations électorales : DES MILITANTS AGISSENT !

Dimanche, une trentaine de militants de la Maison du Peuple Flamand et d’Opstaan s’est rendue devant les supermarchés Match à Loos et Leclerc à Hallennes-lez-Haubourdin (près de Lille - NDLR) pour sensibiliser les clients sur la nourriture confessionnelle dissimulée.

Accompagnés du cochon du FLC (NDLR : entendez Front de libération du cochon qui avait fait, souvenez-vous, une forte impression lors de sa venue, en novembre 2010, à notre 4e journée de Synthèse nationale cliquez ici), ils ont déployé une banderole déclarant : « Halal dissimulé : racket organisé, Libertés bafoués »

Devant chaque établissement, les participants ont distribué des tracts expliquant comment les consommateurs achètent tous les jours des produits halal et casher sans le savoir ni le vouloir. Le cochon a pour sa part développé un argumentaire détaillant la part de l’abattage rituel dans le circuit conventionnel, dénonçant les produits de grandes marques détenteurs de certification halal et/ou casher (Coca-cola, Knorr, Liebig, etc.), démontrant le surcoût induit tant par ces certifications que par les mises aux normes nécessaires des outils de production. Il a poursuivi sa démonstration en réexpliquant qu’il ne fallait pas voir le phénomène religieux islamiste à travers nos habitudes occidentales, mais qu’il fallait bien être conscient du caractère politique de la revendication Halal.

Plusieurs manifestants arboraient des tee-shirts chocs proclamant « Contre l’inflation, mangez du cochon » et « un halal peut en casher un autre »

Au total ce sont plus de 500 tracts qui ont été distribués avec un accueil très favorable de la majorité des clients présents, sous les slogans divers et variés comme « Halal, cacher, toujours la même misère ! » ou encore « le halal, c’est tabou, on en viendra tous à bout ! »

Devant le succès de cette opération, et l’ignorance de beaucoup de consommateurs, les associations de la Maison du Peuple Flamand pérenniserons ce type d’actions-vérités sur les impôts religieux modernes.

Source cliquez ici

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La France halalisée !

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Par Yves Darchicourt

 

Une carte instructive : à chacun des points rouges répertoriés dans l'hexagone correspond un abattoir halal (ou dans une moindre mesure casher)! Ce qui donne un aperçu de l'importance et de l'étendue géographique de la colonisation de notre pays par l'immigration allogène islamique.

 

On peut en induire que cette immigration de peuplement ne concerne plus seulement les quartiers suburbains de quelques régions mais s'étend désormais à toutes nos provinces. Une dissémination soigneusement orchestrée par les collabos du mondialisme notamment par le jeu de l'attribution des logements "sociaux" et de la "carte scolaire" (même "adoucie") destinés non pas, comme prétendu officiellement, à favoriser la mixité sociale mais en réalité à imposer la mixité raciale. Un processus de "melting pot" aux forceps dont la finalité est le brassage universel des peuples, le métissage généralisé, laïc et obligatoire.

 

On constatera aussi sur cette carte que dans certains département le nombre d'abattoirs hallal est supérieur à celui des abattoirs traditionnels qui sont respectueux de la législation sur l'hygiène et la souffrance animale et qui ne collaborent pas à la ponction financière islamique par sacrificateurs agréés interposés. Ce qui d'ailleurs n'implique pas toujours une forte concentration allogène islamique dans leurs environs, mais témoigne aussi de ce que les viandes halalisées ne sont pas uniquement écoulées vers les dispensateurs officiels de produits halal mais qu'une partie est distribuée aux consommateurs "gaulois" qui mangent halal sans le savoir. Une tromperie qui simplifie la gestion de l'approvisionnement dans des restaurants d'entreprise, des mess administratifs ou militaires, des cantines scolaires ou chez des marchands de "nourriture rapide", voire même des restaurants proposant hypocritement au choix du client le halal ou le non halal. Et il en va probablement ainsi dans des entreprises de l'agro-alimentaire qui fournissent en produits identiques, mais différenciés religieusement sur les étiquettes, à la fois les musulmans et les roumis sans nécessairement vouloir investir dans le doublement de leurs chaînes de fabrication.

 

Avec la multiplication des lieux de culte dans son paysage traditionnel, la diffusion du halal dans ses habitudes alimentaires est un moyen insidieux d' habituer le gaulois à la disparition insidieuse de son identité et de le conduire, lentement mais sûrement, vers la dhimmitude. Il faut réveiller nos congénères, les informer, les sensibiliser, provoquer le sursaut salvateur de rassemblement et de résistance radicale, prélude obligé de la reconquête identitaire qui s'impose si nous ne voulons pas que notre Civilisation disparaisse.

 

Source cliquez ici

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Second tour : faut-il choisir ?

3045.jpgEditorial de Jérôme Bourbon

Directeur de Rivarol cliquez ici

 

Jamais depuis bientôt quinze ans que nous travaillons à RIVAROL nous n’avions reçu en l’espace de quelques jours un courrier aussi abondant qu’explosif. Exceptionnellement nous consacrons deux pages entières dans ce numéro au «droit aux lettres» pour permettre à la diversité des points de vue au sein de la famille nationale de s’exprimer librement. Les élections passionnent, elles rendent souvent déraisonnable comme le montrent les excès manifestes de certaines missives. Il est regrettable que la droite radicale soit aujourd’hui à ce point contaminée par le poison de l’électoralisme qui provoque des divisions fratricides, des incompréhensions majeures, des haines terribles et qui autorise tous les procès d’intention, fussent-ils les plus farfelus. Le Système sait ce qu’il fait en multipliant les consultations électorales. C’est la meilleure manière de diviser et de neutraliser ses adversaires. De Gaulle l’avait bien compris, lui qui, dès son retour aux affaires en 1958, s’empressa de faire voter les Français d’Algérie qui étaient jusque-là tous unis dans la volonté inébranlable de maintenir ce territoire à la France et qui, se présentant aux élections les uns contre les autres, commencèrent peu à se diviser, à s’émietter.

 

Avant le premier tour, nous avions appelé à éviter les anathèmes et les excommunications pour de simples divergences électorales. Las, nous n’avons guère été entendus. Pourtant, lorsque l’on a compris que les campagnes électorales ne sont que de gigantesques farces, des opérations de manipulation et de sidération des masses, l’on ne s’excite pas inutilement pour un scrutin qui ne changera rien quant à l’essentiel. Quel que soit le candidat élu (tout indique que ce sera Hollande), les choses iront plus mal, ce seront encore cinq ans de perdu pour la France, la dette et les déficits s’accroîtront, le chômage augmentera, les impôts et les taxes flamberont, la violence en tous genres s’aggravera, la colonisation de notre pays s’accélérera, la destruction de la famille, de la morale et de toutes les valeurs de civilisation se poursuivra, l’islamisation du pays s’amplifiera. Croire le contraire est s’illusionner. Hollande et Sarkozy qui feignent de s’opposer mais qui, en 2005, posaient complices sur un tabouret en une de Paris-Match pour appeler à voter oui à la Constitution européenne sont les deux faces d’une même médaille, européiste, mondialiste, antinationale, antinaturelle et antichrétienne. Sarkozy se dit tout à coup opposé au droit de vote des étrangers mais il y était favorable en 2001 dans son livre Libre et encore en octobre 2005 dans une tribune au Monde. Et s’il ne met pas en place cette réforme en effet détestable, c’est parce qu’il n’y a aucun intérêt électoral mais il la contourne par les naturalisations de masse qui sont pires encore que l’octroi du droit de vote aux non nationaux et par la promotion d’une France métissée. Il se dit favorable à la réduction de l’immigration légale mais elle n’a jamais été aussi importante que sous son quinquennat: 200000 immigrés supplémentaires par an contre 130000 du temps du gouvernement Jospin! Il se dit timidement contre le mariage homosexuel mais c’est lui qui a aggravé le Pacte civil de solidarité en accordant aux pacsés les mêmes droits fiscaux, successoraux et patrimoniaux qu’aux personnes mariées et, dans une récente interview à Têtu, il s’est dit favorable au fait de se pacser non plus au greffe du tribunal d’instance mais directement en mairie pour solenniser la chose ! Son gouvernement a introduit l’affreuse théorie du gender à l’école en septembre 2011 et donné son feu vert à la propagande homosexuelle dès l’école primaire avec Le Baiser de la lune alors qu’il aurait parfaitement pu s’y opposer. Enfin l’Elyséen se dit contre la légalisation de l’euthanasie mais, lors de sa campagne de 2007, il avait tenu à ce sujet des propos plus qu’ambigus, il est de plus un chaud partisan de la loi Leonetti qui est le premier pas vers l’institutionnalisation de cette monstruosité.

 

Que ce soit Hollande ou Sarkozy qui soit élu ce dimanche, ils seront les zélés serviteurs de l’Union européenne, de l’Otan, du Crif et de Tel Aviv. Ils seront soumis à la finance apatride et vagabonde, aux desiderata des grands banquiers, ils feront la guerre à l’Iran, ils persécuteront les révisionnistes et les nationalistes, ils poursuivront leurs attaques contre la famille, l’armée et la nation. Certes, avec Hollande et ses alliés, la destruction sera sans doute plus rapide, la mort plus brutale, avec Sarkozy le poison est plus insidieux, plus indolore, plus lent à produire ses effets mais à l’arrivée le résultat est le même: c’est la mort de la France et la fin du peuple français en tant qu’entité homogène sur le plan corporel, culturel et spirituel.

 

Pas plus qu’au premier tour, RIVAROL ne donne de consigne de vote pour le 6mai. Que chacun se détermine en son âme et conscience en posant l’acte qui lui paraît le plus favorable au bien commun, à l’intérêt national, à l’avenir de ses enfants. Si un camarade de combat fait un autre choix que soi-même le 6mai, pour des raisons prudentielles, stratégiques, familiales ou personnelles, ce n’est pas une raison pour le maudire, pour le considérer comme un imbécile, un traître ou un vendu. N’oublions pas que nous sommes tous Français et que nous voulons à tout prix le rester. Dans ces conditions les querelles électorales sont tout à fait subsidiaires. Alors que le pire est devant nous, que de graves événements se préparent, restons unis sur l’essentiel, favorisons entre nous la paix et la concorde. Le nationalisme est d’abord une amitié, ne l’oublions pas.

 

Pourquoi le cacher, à l’image de son lectorat, la rédaction de RIVAROL est divisée sur la question du second tour de la présidentielle, preuve de la difficulté du choix. A titre personnel, ainsi que nous l’avions déjà dit avant le premier tour, nous nous abstiendrons car nous refusons de participer à cette mascarade. Après avoir combattu Sarkozy pendant cinq ans, nous n’allons pas tout à coup appeler à le soutenir, fût-ce pour faire barrage à une gauche dont le retour au pouvoir sera en effet une catastrophe pour le pays. A cet égard, nous regrettons que beaucoup de ceux qui ont, à juste titre, dénoncé ces dernières années les dérives de Marine Le Pen et de son entourage, notamment sur les sujets de société, appellent aujourd’hui à voter, quasiment sans restriction, pour le candidat de l’UMP, qui est bien pire encore, au risque de brouiller leur image et de rendre illisible voire illégitime leur démarche. Dans la vie il faut savoir être cohérent. L’antimarinisme, pas plus d’ailleurs que l’antisarkozisme ou que l’antihollandisme, ne saurait tenir lieu de ligne politique. Nous sommes et devons rester nationalistes en toutes circonstances. Si nous nous battons, ce n’est pas d’abord contre le Système, même si c’est nécessaire, mais pour un idéal nationaliste, pour le rétablissement, le recouvrement d’une France souveraine, indépendante, blanche et chrétienne. Aujourd’hui cela semble relever du rêve mais ce qui se passe en Hongrie, notamment avec le mouvement Jobbik, prouve que rien n’est irrémédiablement perdu. Même si la Hongrie n’est pas la France et qu’elle est beaucoup moins corrompue et avilie, pourquoi ce qui réussit à Budapest échouerait-il forcément à Paris?

 

Editorial du n°3045 de Rivarol, en vente vendredi prochain chez votre marchand de journaux ou en cliquant ici

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Tribune libre : LES AMIS DE MES ENNEMIS SONT MES ENNEMIS !

Photo 009.jpgPar Pieter Kerstens

 

Depuis plusieurs années et très certainement depuis 1998, la droite nationaliste, identitaire et populaire a implosé.

 

On ne compte plus les mouvements, partis ou groupements dont les membres et dirigeants sont issus du Front National, entreprise qui a broyé des milliers de cadres et des dizaines de milliers de militants sincères, motivés, compétents et efficaces. On pouvait tout leur demander et ils le réalisaient par abnégation et avec enthousiasme, dans l’espoir de conquérir le Pouvoir.

 

Durant ces 15 dernières années, J-M LE PEN n’a pas échappé aux critiques et aux frondes de ses lieutenants et amis, surtout après la lamentable campagne de 2007 dirigée par sa fille Marine (discours de Valmy, beurette au slip rose, dalle d’Argenteuil et immigrés « branches de l’arbre France »…). Autant d’erreurs à 1 million d’électeurs chacune, qui se sont dirigés vers le berger Sarko dans l’espoir de jours meilleurs.

 

Malheureusement pour ces millions de brebis égarées, « les promesses n’engagent que ceux qui y croient ».

 

Mais ce qui est aujourd’hui inacceptable, incompréhensible et condamnable, c’est l’appel d’un bon nombre de responsables nationalistes à voter pour Nicolas SARKOZY le 6 mai prochain.

 

Un tel cynisme confine au crétinisme en phase terminale, car ceux-là même qui condamnaient les dérives de Marine LE PEN et critiquaient ses options en « abandonnant les fondamentaux du Parti » ou contestaient aussi le choix de ses conseillers et ses thèmes de campagne, ont ordonné à leurs ouailles de ne pas soutenir la vague bleu marine au 1er tour, afin de ne pas la qualifier en finale, au prétexte que « Marine faisait le lit du Pouvoir et préparerait son alliance avec la droite classique ».

 

Eh bien : MISSION ACCOMPLIE !

 

A ces Antony, Bompard, Gollnisch, Lang and C°, qui maintenant appellent à voter pour le nabot Sarko – laquais du capitalisme apatride, marionnette des eurocrates bruxellois, collaborateur de l’invasion islamiste et chantre de l’impérialisme américano-sioniste -, je rétorquerai que le vote d’un électeur nationaliste s’exprime avant toute chose selon ses convictions, elles-mêmes forgées sur une doctrine, un idéal et une volonté inébranlable.

 

NON, par une voix pour le charlatan Nicolas SARKOZY… MON HONNEUR S’APPELLE FIDELITE.

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lundi, 30 avril 2012

PRÉSIDENTIELLE : SUR LE POIDS DE MARINE LE PEN...

Source Pierre Pigace  Le nouveau NH

 

Au final, la déferlante bleu marine n’a pas eu lieu. La présidente du Front national retrouve en les améliorant les scores de son père. Avec moins de 20% des suffrages, et sans alliances, le FN peut tout juste espérer jouer les arbitres en attendant une hypothétique implosion de l’UMP aux législatives.

 

On ne peut pas dire que la chose soit inédite, pourtant à chaque nouvelle élection c’est le même psychodrame, la presse feint de découvrir ou de redécouvrir l’importance du vote Front national.

 

Déjà pour les élections européennes de 1999, le FN était crédité de 20 à 22 % des intentions de vote. La scission entre partisans de Bruno Mégret et partisans de Jean-Marie Le Pen mettra pour un temps un frein à cette tendance ascendante.

 

Trois ans plus tard et malgré le départ de plus de la moitié de ses cadres, le FN se qualifiera pour le second tour de la présidentielle en éliminant le candidat socialiste. Il faut dire que le 11 septembre est passé par là et que Jean-Marie Le Pen a pu faire campagne relativement tranquillement, du moins au premier tour…

 

En dépit d’un déchaînement totalement hystérique de tout le système (1) durant les quinze jours de l’entre-deux tours, le candidat du FN obtiendra 17,79% et 5 525 032 suffrages.

 

Les élections législatives qui suivront seront décevantes pour le parti de Jean-Marie Le Pen. Les dirigeants du mouvement tablaient, au vu des résultats de la présidentielle, sur 237 duels ou triangulaires, Jean-Marie Le Pen ayant même avancé le chiffre de 300 candidats au second tour. En fait avec ses 11,3% (2), le FN ne pourra se maintenir que dans 37 circonscriptions pour au final n’avoir aucun élu.

 

2007 : une erreur de casting !

 

L’élection présidentielle de 2007 est avant tout une erreur de casting et de scénario. Avec le départ de Jacques Chirac, une page se tourne. L’UMP et le PS investissent deux "jeunots" le sautillant Sarkozy et la rigide Ségolène Royal, à près de 80 ans, Le Pen pense pouvoir incarner "le sage", "le patriarche", "la force tranquille" face à la jeunesse et l"’inexpérience" de ses deux principaux adversaires. L’image d’un Le Pen "apaisé" est confiée à sa fille Marine qui devient sa directrice de campagne. Si Sarkozy a fait de la rupture son slogan de campagne, Marine Le Pen la met en œuvre. Les Le Pen abandonnent les thèmes traditionnels du FN au profit d’un discours jugé plus "fédérateur", plus "républicain" mais à "contre flots" de son électorat. Résultat : Le Pen arrive en quatrième position derrière François Bayrou avec 10,44%. Un mois plus tard aux législatives, le Front national enregistre ses plus mauvais résultats depuis les législatives de 1981 (3).

 

C’est pas Le Pen qui grimpe, c’est Sarkozy qui baisse…

 

L’édition 2012 des élections présidentielles est un mixte de celles de 2002 et 2007. Cette fois-ci, le casting est le bon et si Marine Le Pen, ne parvient pas à rééditer l’exploit de son père en se qualifiant pour le second tour, elle retrouve (17,90%) et dépasse même en voix le score de 2002. En revanche le scénario proposé par la candidate frontiste est lui toujours plus ou moins bancal. Les tueries de Toulouse et Montauban lui permettront de sortir sans en avoir l’air du discours sur l’abandon de l’Euro pour renouer avec les thèmes du FN sur l’immigration et la sécurité laissés jusque là sur la touche, mais toujours aussi porteurs auprès d’une large partie de son électorat.

 

Au final s’il n’y a pas eu de déferlante "bleu marine", sa troisième place et ses 6 421 426 électeurs lui permettent de jouer les prolongations et de faire entendre sa petite musique durant l’entre-deux tours. Comme en 2002, les "stratèges" du FN ont déjà fait des projections sur le nombre de circonscriptions (357) où un candidat FN serait en mesure de se maintenir au second tour, histoire sans doute de faire monter la pression du côté des députés UMP.

 

La stratégie du pire

 

La défaite annoncée de Nicolas Sarkozy, suscite bien des espoirs dans le camp de Marine Le Pen qui espère pouvoir profiter d’une hypothétique implosion de l’UMP dans la foulée des législatives pour se proposer comme la principale force de recomposition de la droite. Sur le papier, c’est peut-être possible, même si on voit mal le patron de l’UMP, Jean-François Copé, laisser filer son rêve de 2017 pour se ranger sous la bannière de l’" Alliance pour un rassemblement national". Aujourd’hui la "stratégie du pire" (4) fait le lit du socialiste François Hollande. En 1981, Jacques Chirac avait fait le choix de faire battre Giscard d’Estaing, pensant récupérer la mise en 1988… On sait ce qu’il en est, la parenthèse durera 14 ans…

 

Notes

 

(1)   (1) Seul le MNR de Bruno Mégret appellera à voter Le Pen pour le second tour. Arlette Laguiller et Lutte ouvrière appelant ses électeurs à ne pas choisir entre Chirac et Le Pen.

(2)   (2) Le FN participera à neuf triangulaires sur dix (contre 76 en 1997), à dix-neuf duels FN-droite et à huit duels gauche-FN.

(3)   (3) En 1981, Jean-Marie Le Pen n’avait pas pu se présenter à la présidentielle et aux législatives, le Front national avait réalisé les plus mauvais résultats de son histoire 0,18%. En 2007, sur la lancée de la présidentielle, le FN s’effondre à 4,3 % (moins 7 points par rapport au scrutin précédent).

(4)   (4) Au programme de François Hollande, le droit de vote des étrangers aux élections locales, la régularisation des clandestins, etc…

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dimanche, 29 avril 2012

Barrons la route à la Gauche socialo-communiste : Non à Hollande !

imagesCAHSFSK6.jpgUn communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :

 

Nous savons que notre projet de redressement national n’est porté par aucun des deux candidats présents au deuxième tour de cette élection présidentielle. Mais, quelque soient les intérêts tactiques des partis politiques et les plans de carrière ou les intérêts personnels de leurs dirigeants, le choix des électeurs de la famille nationale doit se déterminer en fonction de l’intérêt national. Il nous faut répondre à une seule question: que faire afin d’éviter le pire pour la France et le peuple français ?

 

Si le premier tour d’une élection permet, en général, de choisir son candidat, le second tour nous offre le droit d’éliminer le plus nuisible à la cause nationale et le plus hostile à nos idées. Il est parfaitement clair pour les patriotes que nous sommes que le pire serait le triomphe de la Gauche rose-verte-rouge et que le plus dommageable pour la France française serait la victoire de son candidat François Hollande.

 

Carl Lang et Le Parti de la France ne se lavent pas les mains de l’avenir des Français et ne seront pas complices de la victoire de la Gauche socialo-communiste qui annonce le droit de vote des étrangers aux élections municipales, la légalisation du mariage homosexuel et l’adoption d’enfants par les couples homosexuels, qui prépare une politique d’agression de l’école libre et de destruction aggravée du respect de la vie humaine, qui annonce un projet irresponsable et démagogique de gaspillages publics et se prépare à imposer un programme de répression fiscale et de matraquage financier des Français.

 

Carl Lang et Le Parti de la France ne seront pas complices du défilé de la victoire des drapeaux rouges et des poings levés.

 

Avec ces gens-là, demain sera encore pire qu’aujourd’hui.

 

Le 6 Mai, barrons leur la route !

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samedi, 28 avril 2012

Du « moindre mal, au « moins pire », en passant par le « pareil au même »…

ftyyy.jpgPar Jean-Claude Rolinat

Le peuple a parlé si tant est que le suffrage universel, le fameux « one man, one vote », soit l’horizon indépassable de la démocratie. Tout d’abord un mot sur les instituts de sondages et leurs résultats. Ils se sont magistralement plantés sur le nombre des abstentionnistes. Quant aux estimations de sorties d’urnes, elles ont été pour le moins fantaisistes, - sauf pour les tendances lourdes -, jusqu’à ce que les chiffres officiels figent  les scores des uns et des autres.

 

La presse dans son ensemble, use et abuse toujours de loupes grossissantes ou d’optiques déformantes. C’est ainsi que   si le vote « droite nationale » est en hausse par rapport à 2007 où Jean-Marie Le Pen avait fait une contre-performance, il est en baisse par rapport à 2002 où deux candidats qualifiés « d’extrême droite », Le Pen et Mégret, s’affrontaient tout en additionnant leurs suffrages : 16,86 % plus 2,34 %, soit  19,20 %, score supérieur aux 17,90  % recueillis par l’héritière de Saint-Cloud. (Même si le nombre des voix a augmenté, effet mécanique d’un plus grand nombre d’inscrits et donc de votants). Ensuite, le total des suffrages de droite au sens large du terme, -Sarkozy, Le Pen, Dupont-Aignan -, est supérieur à celui de toutes les gauches réunies,  les électeurs de Bayrou étant à retrancher des deux « camps ». Quant à l’étrange Cheminade, ses 89 572 voix iront sans doute vers la planète Mars…

 

Ceci étant dit, et ce n’est pas le moindre des paradoxes, Hollande est donné gagnant pour l’instant au deuxième tour. C’est sans doute l’un des objectifs de la Présidente du Front National qui croit naïvement  qu’avec sa politique de dédiabolisation, une UMP éclatée tomberait dans son escarcelle. Mais  pour réaliser ce scénario, il nous faudrait de ce côté-ci des Alpes, un Berlusconi, quoique l’on puisse penser du personnage, qui n’hésita pas, lui, à faire l’union des droites   italiennes avec la Ligue du Nord, Forza Italia et un ersatz de MSI sous la conduite d’un Gianfranco Fini « repenti ». (Mais, hélas, pour quels résultats ?) En France, je ne vois pas un Copé dont les dents râpent le parquet ni un Fillon au look de croque-mort, se lancer dans une telle démarche. Une fois que l’on a dit cela, reste l’attitude à avoir le 6 mai prochain. Comme dimanche dernier, les nationalistes, nationaux et autres identitaires se disperseront : les uns choisissant d’aller à la pêche, les autres glissant un bulletin blanc ou nul ou encore votant pour l’un des deux candidats restés en piste.

 

Pour moi, l’idée que le prétendant socialiste, terne comme un employé de banque proche de la retraite,  puisse accéder à l’Elysée, m’est totalement insupportable. Etre obligé d’accrocher son portrait dans ma mairie et de siéger au conseil municipal sous son regard  de taupe me donneraient, déjà des boutons (forcément roses…) ! Et s’il n’y avait que lui, mais il faudra supporter le retour des Guigou, Lang, Moscovici, Fabius et autres éléphants échappés de la ménagerie PS ! Imaginez une Effa Choly ministre de la justice ou Cécile Duflot secrétaire d’état à l’environnement : au secours ! Un Président de Conseil général qui a mis son département en faillite en dilapidant, par exemple, en gadgets pour collégiens l’argent public, est-il qualifié pour serrer les boulons de la Maison France ?

 

Je sais, je sais, j’entends les murmures désapprobateurs qui montent de nos rangs rien qu’à l’idée qu’il faille reconduire  l’ancien maire de Neuilly à la tête de l’Etat, un baratineur de foire qui  vendrait un réfrigérateur  à un esquimau. Mais comme l’écrit justement Bernard Antony de l’Institut du Pays Libre, il y a  « le moindre pire » que je qualifierai de « moindre mal ».  Si Hollande était élu, ce qu’à Dieu ne plaise, il y a gros à parier que le temps des persécutions, inéluctablement, sous la pression de ses alliés, reviendrait pour notre camp. C’est une grave illusion que de croire que la crise ou l’effondrement du système nous profiteraient. Convaincu, par mille « détails » comme dirait l’autre, que Hollande ou Sarkozy ce n’est pas du « pareil au même », que la « politique du pire est la pire  des politiques », c’est en me bouchant les narines et en fermant les yeux, que je glisserai dans l’urne de mon bureau de vote un bulletin au nom du sortant. Il y a péril dans la demeure. Avec Hollande c’est garanti, l’immigration et ses collabos feront la loi et nous n’aurons que trois alternatives : raser les  murs, entrer en résistance ou nous exiler ! Avec Sarkozy le doute est encore permis.

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