jeudi, 05 décembre 2013
Harcèlement scolaire : mais qui harcèle qui ?
Secrétaire général
du Parti de la France
Depuis quelques semaines, suite à de sordides faits divers, médias, autorités, « experts » et autres psychologues se répandent en lamentations et tentatives d'analyse foireuses du « harcèlement à l'école » présenté comme une fatalité.
Les causes réelles de ce fléau, de plus en plus répandu, ne sont évidemment pas abordées. Car il s'agit bien sûr d'un échec patent de l'idéologie marxiste soixante-huitarde qui a fait du laxisme la règle et a banni toute forme de respect de l'autorité du professeur dans les établissements scolaires. N'ayant que bien peu de possibilités pour venir à bout d'élèves de plus en plus dissipés, arrogants, violents et sans repères, beaucoup de professeurs assurent le service minimum, ont comme priorité leur propre tranquillité et évitent bien souvent d'interférer dans les conflits entre élèves.
Mais une question pourtant fondamentale n'est évidemment pas posée par toutes les bonnes âmes qui tentent de l'éluder : qui harcèle qui ? Les harceleurs auraient-ils, dans la majorité des cas, une particularité aisément identifiable, tout comme la victime ?
Ne tournons pas autour du pot : dans la plupart des affaires de harcèlement scolaire, la victime est quasi-exclusivement un(e) Français(e) de souche et les persécuteurs très souvent d'origine nord-africaine ou subsaharienne.
Aborder le problème de cette manière serait extrêmement périlleux pour les médias au service de l'État socialiste, pour la classe politique dite « républicaine » et pour les autorités éducatives puisque le racisme anti-blanc dont ils nient rageusement l'existence serait alors exposé au grand jour.
Et pourtant, la responsabilité du déferlement migratoire est indéniable dans ce type d'affaire de harcèlement où la proie est presque toujours un(e) « babtou » et les agresseurs des racailles étrangères. Comme pour le racket, les agressions, les vols avec violence, les viols, les tournantes,...
Alors oui, il faut stigmatiser, amalgamer, montrer du doigt, dénoncer cette immigration extra-européenne génératrice de délinquance et de criminalité sur fond de haine anti-française. Il n'est plus question de se laisser endormir par les discours angéliques et culpabilisateurs des collabos de la colonisation migratoire. Il est l'heure de rendre la France aux Français, de libérer notre pays de l'immigration, de renvoyer chez eux ces étrangers conquérants qui s'en prennent à nos enfants ; mais aussi de faire payer ceux qui ont fomenté la disparition de l'Europe et des Européens en organisant son invasion et son métissage.
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JEUDI, C'EST LE JOUR DE RIVAROL...

Chez votre marchand de journaux, 3,50 €
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mercredi, 04 décembre 2013
Lille, 14 décembre : conférence du Cercle non conforme

Le 14 décembre 2013, le Cercle Non Conforme et Terre et Peuple organisent dans le Nord à partir de 18h30 une conférence ayant pour thème: Crise ou offensive du capital ? Nos invités seront Roberto Fiorini, secrétaire général de Terre et Peuple, grand connaisseur des questions socio-économiques, et Xavier Eman, journaliste non-conforme et militant associatif.
Ils aborderont autant les aspects théoriques que pratiques de cette question.
Pour vous inscrire envoyez IMPÉRATIVEMENT un mail à reservation.cnc@gmail.com avec vos coordonnées pour signaler votre inscription, connaître l'adresse de paiement et obtenir le lieu.
14:03 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Pierre Hillard commente la situation en Ukraine
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Esteban "fête" ses 21 ans en taule...
Esteban Morillo, emprisonné depuis plus de 5 mois pour s'être défendu contre des agresseurs d'extrême gauche, fête aujourd'hui son 21e anniversaire en prison. Ayons une pensée pour cette victime expiatoire du gouvernement socialiste qui préfère enfermer un jeune Français qui a agi en état de légitime défense plutôt que les racailles d'extrême gauche qui multiplient agressions et exactions.
10:57 | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Cyclone B : la société brestoise IPC-SA accusée de « cynisme malveillant »

Comment passer d’un fait divers insolite à une quasi affaire d’Etat ? La recette, la société brestoise IPC-SA, qui vend de nombreux produits d’hygiène à destination des professionnels est en train de l’apprendre à ses dépens. En cause ? Un produit détergent appelé « Cyclone B ». Cyclone étant le nom du produit, B indiquant sa contenance biologique.
Quand elle a lancé ce produit, l’entreprise bretonne n’imaginait pas la réaction de l’Etat d’Israël ou de sites comme le Jewish chronicle qui y ont vu là « le pire nom que l’on peut donner à un produit d’hygiène » trouvant une proximité avec le Zyklon B, ce gaz utilisé notamment par les nazis pendant la seconde guerre mondiale. « C’est, au mieux, une horrible ignorance et au pire un record du monde de cynisme malveillant. » affirme le rabbin Menachem Margolin, de l’association juive européenne.
Au sein de l’entreprise brestoise, on est tout simplement K.O : « on est abasourdi. Il fallait vraiment aller chercher loin. Qu’un simple détergent prenne des proportions politiques, c’est incompréhensible » nous confie un commercial.
Le produit incriminé a visiblement été retiré depuis du site Internet, IPC-SA ne souhaitant pas être prise dans une spirale qui pourrait nuire fortement à son image.
A noter que la République africaine du Cap-Vert ne s’est pas encore officiellement indignée que la société IPC-SA ait donné son nom à des produits de traitement des odeurs et d’hygiène des mains. Au train où vont les choses, ça ne saurait tarder.
Source Breizh Info cliquez là
10:46 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Lundi soir à Paris : Taubira huée à son arrivée au Théâtre du Rond Point
Lundi soir avait lieu au théâtre du rond point des Champs Elysées une soirée organisée par Jean-Michel Ribes « contre la haine ». L’invitée d’honneur de cette soirée très select était le Ministre de la justice, Christiane Taubira. Participaient aussi Aurélie Filipetti, Caroline Fourest, François Morel, et un tout un aréopage de célébrités bien-pensantes.
Plusieurs dizaines de personnes choquées par les déclarations récentes de ces personnalités voulant assimiler les sympathisants LMPT à de dangereux extrémistes ou à des racistes s’étaient spontanément rassemblées pour faire part de leur mécontentement face à de tels amalgames. Les propos totalement excessifs de Jean-Michel Ribes sur BFM TV avant la soirée en sont l’illustration. Il n’a pas hésité à qualifier les membres de Civitas de « neo-nazis. » Tout ce qui est excessif est insignifiant…
A l’arrivée de Christiane Taubira à 19h40 un concert de sifflets, de huées et de « Taubira ta loi on en veut pas » se sont fait entendre. Ont alors surgi des dizaines de policiers en uniforme qui ont immédiatement encerclés et repoussés avec violence les auteurs de ces sifflets. Sont aussi apparus une quinzaine de policiers en civil qui se sont éparpillés autour du théâtre pour arrêter tout autre présumé opposant et en ont capturés trois qu’ils ont ensuite relâchés après un contrôle d’identité.
Sous les cameras de télévision, dont BFM TV, les personnes encerclées ont été privées de leur liberté sans aucune explication pendant une heure à 50 mètres environ du théâtre. Un policier a pris à chacune des personnes du groupe sa pièce d’identité et est parti avec.
Vers 20h40 les personnes du groupe, chacune escortée plus ou moins fermement par un policier, ont été conduites le long du tristement célèbre GAV bus pour subir une palpation et une fouille des sacs, poches, etc. A 20h45 le GAV bus dans lequel avait été placé 21 personnes a démarré vers une destination inconnue. Escorté par quatre fourgons de CRS, le GAV bus a traversé Paris en faisant résonner sa sirène à de nombreuses reprises.
A 20h57 le groupe a été débarqué trois par trois pour ses rendre dans le commissariat du 5eme arrondissement (rue de la Montagne Sainte Geneviève). Chacune des personnes à une nouvelle fois été palpé et requis de vider ses poches, les effets personnels ont confisqués puis l’ensemble des personnes a été placé en cellule sans distinction de sexe ni de genre… Malgré les demandes d’explication répétées aucune explication n’a été donnée.
L’une des personnes plus insistantes s’est vu répondre par un policier « participation à une manifestation non déclarée. » Après 22h30 la première personne a été libérée, puis les autres ont suivi un par un. A 22h54 le dernier était libéré sans qu’aucune explication n’ait été fournie. A la sortie de la cellule, un policier était chargé de restituer à chacun ses effets personnels (dont téléphone) et de noter la profession pour compléter les fiches qu’il remplissait. Aucun document n’a été remis aux personnes illégalement arrêtées et détenues.
Plusieurs personnes déposeront plainte dans les jours qui viennent pour privation illégale de leurs libertés et exécution d’ordres illégaux.
Source La Salon beige cliquez là
10:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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La marche : Debouzze fait un flop !
Ce devait être l’évènement cinématographique de la semaine, du mois, de l’année, la sortie du film tant attendu (par qui?) » la marche », réalisé par Nabil Ben Yadir et le propagandiste vedette Djamel Debouzze. Profitant d’un battage médiatique promotionnel digne d’une méga production hollywoodienne, le chef d’œuvre n’a pas déplacé les foules et risque fort de se retrouver en promotion dans les bacs des stations services très vite.
Quand le landernau bobo-gaucho finira par comprendre que le peuple a un cerveau qui fonctionne aussi bien sinon mieux que ceux des chroniqueurs de Canal chiotte ou France Telebidon, il s’évitera des déconvenues financières en produisant des tels navets de propagande grossière.
Les ficelles sont tellement grosses que cela devient ridicule. Je vous résume le film, tout ce qui est non-européen ethniquement est gentil, drôle plein de sensibilité…etc. Tout ce qui est européen est raciste, haineux, pas drôle…etc. SAUF si cet européen ethno-masochiste est encarté au PS, PCF, bref toute les officines qui représentent la future France universaliste.
J’ai vu le film et me suis forcé à le regarder jusqu’au bout (je vous rassure j’avais une invitation), c’est un tract politique transposé en film, pitoyable.
Bien sur le film ne fera pas date malgré le soutient sans faille des « élites »et je crois que l’effet escompté par ses auteurs sera exactement l’inverse, radicaliser un peu plus une France qui en a marre qu’on la traite de conne ou de raciste a tout propos, en quelque sorte l’histoire de l’arroseur arrosé.
Source 24 h actu cliquez ici
via Parti de la France cliquez là
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La Thaïlande tournera-t-elle la page de la démocratie « à l’occidentale » ?

Eric Miné
La Thaïlande tournera-t-elle la page de la démocratie « à l’occidentale » ? C’est la question qui se pose au regard des récents développements de l’épreuve de force engagée depuis plusieurs semaines déjà dans le royaume par l’ancien vice-premier ministre Suthep Thaugsuban et ses alliés – les « jaunes » – contre le gouvernement de Yingluck Shinawatra, sœur du milliardaire en exil Thaksin, déposé lui-même par un coup d’État militaire en 2006. La radicalisation des dernières heures, qui ont vu les opposants prendre le contrôle à Bangkok de plusieurs ministères et de la télévision publique, ainsi que les premiers morts et les heurts violents qui ont eu lieu entre les affidés de la famille Shinawatra – les « rouges » – et les étudiants de l’université Ramkhamhaeng qui n’ont dû leur salut qu’à l’intervention de l’armée, pourraient bien faire basculer celle-ci en faveur d’un mouvement qui tourne à l’insurrection générale. La porte serait dès lors ouverte à une modification substantielle du régime. Là est le véritable enjeu.
Du complexe gouvernemental de Changwathana qu’occupent les chefs de la rébellion réunis sous la bannière du « Comité du Peuple pour la démocratie absolue thaïlandaise sous la monarchie constitutionnelle », Suthep Thaugsuban, avec le soutien du principal parti d’opposition parlementaire, a en effet clairement indiqué son objectif. Constatant que les élections étaient de plus en plus biaisées par les pratiques corruptives d’un capitalisme international sans scrupules abusant de populations naïves – les Shinawatra en étant l’avatar local –, il entend suspendre la démocratie électorale au profit d’institutions plus représentatives de la nation, reprenant en cela pour partie les revendications insatisfaites des ultra-royalistes du Pad qui avaient bloqué en 2010 les aéroports de la capitale et provoqué la chute d’un précédent gouvernement pro-Thaksin. Si ceux-ci voulaient alors tempérer le pouvoir des députés issus du vote par l’instauration à la chambre de corps désignés pérennes – aristocratique, militaire et religieux –, il semble que Suthep inclinerait davantage vers une expression plus corporatiste des volontés du peuple, mais dégagée tout autant d’une contrainte des urnes jugée aujourd’hui sous ces cieux fauteuse de troubles.
Si l’on en juge par l’élan général et l’enthousiasme suscité, nonobstant les médias occidentaux qui ne voudraient voir dans ces événements que la répétition d’une crise sociale récurrente qui verrait s’opposer des « élites citadines gravitant autour du palais » à des « masses rurales défavorisées du nord-est », il s’agit bien là d’une révolte populaire visant à sauver les intérêts vitaux et les valeurs fondatrices d’un pays qui a su jusque là s’accommoder de la mondialisation tout en préservant ses traditions et ses règles. Ce qui est condamné là-bas, c’est précisément notre modèle démocratique prétendument universel, mais de fait idéologique, daté et occidental.
Si l’entreprise de Suthep Thaugsuban devait être couronnée de succès, elle pourrait ainsi donner des idées à d’autres qui souffrent tout autant ailleurs d’un système n’engendrant plus qu’une représentation collective erronée des peuples pour mieux les soumettre à ses dérives financières, consuméristes et totalitaires.
La portée de ce qui se joue aujourd’hui à Bangkok va donc bien au-delà des frontières d’un royaume tropical prisé des touristes pour ses cocotiers et son sourire.
Article publié sur Breizh info cliquez ici
Le blog d'Eric Miné cliquez là
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SE REPENTIR ? VOUS POUVEZ TOUJOURS COURIR !
Parce que mon devoir de mémoire ne commence pas en 1789, ni ne s’arrête au 11 septembre 2001 à la Grande Pomme…
J’assume tout l’héritage de mes ancêtres, depuis 40 siècles, quand les premiers celtes développèrent un art exceptionnel dans le travail des métaux. Et, avec le témoignage de l’historien grec Polybe, c’est avec détermination que je défends la remarquable culture celte qui englobait pratiquement toute l’Europe occidentale.
NON, je ne renie en rien l’œuvre de civilisation que mes aïeux ont réalisé en 4.000 ans et qui, au travers des siècles et de par le monde a contribué à la diffusion des valeurs et de la grandeur de l’Europe. C’est bien grâce à Werner Von Braun, un ingénieur allemand, que les américains ont pu, en 1969, marcher sur la lune. En 2013, nous marchons sur la tête !
A l’opposée des laquais de la Police de la Pensée et des cloportes du « politiquement correct », j’affirme que le bilan des colonisations européennes dans d’autres continents et sous d’autres latitudes est très positif et que nombre de gouvernements exotiques en tirent toujours profit, 50 ans après leur indépendance. Il suffit de se rendre sur place pour s’en rendre compte, comme je l’ai fait en Asie, en Afrique et en Amérique du Sud.
Les incompétents qui nous dirigent, et les journalistes à leurs bottes, doivent cesser d’occulter la réalité, stopper ce révisionnisme de l’Histoire version marxiste et arrêter de nous rendre responsables ou coupables des maux qui accablent la Terre entière.
Cependant avons-nous encore la possibilité de dire ou d’écrire librement ce que nous estimons être notre conviction ?
Devra-t-on toujours être d’accord avec les Gouvernants ?
Ne sommes-nous plus un pays où la liberté d’expression serait garantie ?
Y aurait-il des anathèmes ? Une police de la pensée ?
Des tabous ? Une Nouvelle Inquisition ? Un terrorisme « intellectuel » ?
Sans être raciste ou xénophobe, peut-on encore critiquer et combattre le laxisme des gouvernements et la générosité de notre législation sociale qui dépasse certaines bornes ?
N’est-il plus toléré de fustiger la politique des autorités concernant la drogue, l’insécurité, la violence dans les écoles, le droit de vote des étrangers, les goulags communistes au XXe siècle ou la dictature des mondialistes et l’arrogance sioniste ?
Parce que, franchement, depuis 60 ans, les pays sous-développés et « indépendants » devraient chacun ériger un monument en guise de remerciements aux acquis légués par la présence européenne sur leurs territoires : exploitations forestières ; plantations de café, thé, bananes, hévéas, etc.; industries diverses (papeteries, cimenteries, tissages, brasseries, etc.) ; mines (charbon, zinc, cuivre, tungstène, diamant, coltran, uranium, phosphate, etc.) ; exploitations pétrolières et gazières ; agriculture variée et élevage divers ; réseaux de communications (voies ferrées, ponts, routes, ports, aérodromes, canaux d’irrigation, barrages, etc.) ; systèmes éducatifs et sanitaires (écoles, lycées, universités, cliniques et hôpitaux ) ; éradication du choléra, du tétanos et autres maladies tropicales ; mais surtout : autosuffisance alimentaire, chassant le spectre de la famine ! Que reste-il de tout cela aujourd’hui ?
Des souvenirs, remplacés en 2013 par l’insoutenable présence des néo-colonialistes chinois qui pressurent sans vergogne l’Afrique (et d’autres pays, ailleurs).
OUI, ce que les Européens en général et les Français, en particulier, ont accompli dans les colonies durant plusieurs décennies (et souvent des siècles) mérite le respect et force l’admiration.
Il est intolérable que certains négationnistes prétendent aujourd’hui que les Occidentaux sont seuls à la source des calamités qui touchent nombre de pays en voie de régression.
A écouter ces saltimbanques de l’humanitarisme, avant l’arrivée des européens (au XVIe siècle) dans les pays tropicaux, tous les clans, tribus et peuplades auraient vécu dans un cadre paradisiaque avec une cohabitation pacifique chargée de relations conviviales, alors même que l’esclavage des noirs par les arabes dominait l’Afrique et qu’en Asie la Chine imposait sa culture, son administration et sa spiritualité !
Arrêtons de croire ces bonimenteurs socialo-marxistes
Il est grand temps, de rétorquer à tous les pays quémandeurs : « Avant de tendre la main, prenez-vous en main ! »,
Et qu’ils prennent donc exemple sur d’autres pays qui l’ont mis en pratique depuis longtemps et ont pu ainsi accéder au mieux-vivre (Thaïlande, Mexique, Argentine, Corée du Sud, Philippines, Malaisie, Formose etc.)
NON, l’homme blanc n’est pas responsable ni coupable « du-trou-de-l’ozone-qui-va-tous-nous-carboniser », de la faim dans le monde, du prétendu réchauffement de la planète, ni de la concentration de CO2 dans l’atmosphère ou encore de la misère africaine qui pousse les immigrés hors-la-loi à embarquer sur des bateaux pourris, traverser les mers et venir s’installer clandestinement dans nos églises, à la recherche d’aides sociales inexistantes chez eux !
La volonté progressiste de métissage à tout prix et l’obligation de « société multiculturelle » imposée par les mondialistes depuis 40 ans, n’a plus rien à voir avec l’immigration des années 60 et constitue LE véritable danger pour l’équilibre et l’identité de notre société, confrontée à l’Islam conquérant.
Les lois liberticides de 1974, 1981, 1989, 2000 et 2003 confirment une dérive totalitaire du Régime et ouvrent de nouveaux horizons aux ennemis de la Liberté. C’est pourquoi il faudra punir les responsables de ces législations et combattre les collaborateurs de l’invasion musulmane, qui par leur propagande et leur volonté d’imposer la Turquie en Europe nous conduisent vers un choc sanglant de civilisations.
Il faut le répéter sans cesses : LE danger pour notre civilisation et notre identité européennes, ce n’est pas la séparation, le confédéralisme ou l’indépendance des uns ou des autres, le vrai cancer qui menace l’avenir de nos enfants, c’est l’islamisation de nos quartiers, de notre mode de vie, de notre administration et de nos lois. Vidons les ordures politiques qui nous gouvernent.
02:58 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) |
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La Voix de la Russie de cette semaine :
01:58 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) |
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mardi, 03 décembre 2013
Pauvre Mélenchon ! Il n’y a pas d’âge pour découvrir la vie…

Gabrielle Cluzel
Boulevard Voltaire
Bon. Pour la révolution fiscale, il semblerait qu’il faille attendre un peu. Au box-office des manifs, les écharpes rouges seraient aux bonnets de la même couleur ce qu’un film d’auteur tchèque est à Hunger Games. Les prolos, de nos jours, n’en font qu’à leur tête, et Jean-Luc Mélenchon va devoir se résigner à rester un grand leader charismatique incompris. Il a beau courir comme un fou, s’accrocher au dernier wagon, remonter toute la rame en engueulant au passage les voyageurs qui traînent dans les couloirs, impossible de rejoindre la locomotive. Il a définitivement raté le train de la contestation.
Pour lui rendre justice, faut dire que les gens sont spécialement vaches. Il y a ce journaliste de France 24, qui regardait malencontreusement par la fenêtre et a pris aussi sec une photo quand, dans une rue quasi déserte, quelques figurants amateurs se sont gentiment dévoués pour se serrer derrière Mélenchon en agitant des drapeaux, laissant imaginer une foule monstre pour l’interview de TF1. Et pourquoi pas, aussi, un décor de carton-pâte, avec un trou pour que Jean-Luc passe sa tête ? Souris, le petit oiseau va sortir ! La photo, on s’en doute, a fait sournoisement le tour des réseaux sociaux.
Et puis, il y a la police. La police qui ne le gratifie que de… 7.000 manifestants. Quand il en revendique lui-même sans vergogne 100.000, et que les journalistes rompus à ce genre d’exercice évaluent quand même les effectifs à 15 ou 20.000 personnes.
Mélenchon dénonce des chiffres « farfelus » de la préfecture de police, « dictés » par le ministère de l’Intérieur. Preuve qu’il n’y a pas d’âge pour découvrir la vie, et les petits trucs et astuces du gouvernement. C’est Frigide Barjot qui doit se tenir les côtes. Toi aussi, viens offrir des lunettes à la police.
Et « Vis ma vie » peut ne pas s’arrêter là. Dans la boîte à outils, il y a bien d’autres instruments de torture, largement éprouvés eux aussi. Dont Mélenchon risque de tâter s’il n’y prend pas garde. Ici et là, on commence à s’émouvoir d’une de ses récentes déclarations sur France 5, évoquant Hollande et son équipe de « rastaquouères »… terme péjoratif et xénophobe, s’il en est, désignant, selon le Larousse, un « étranger menant grand train et dont on ne connaît pas les moyens d’existence ».
Bien sûr, le même mot dans la bouche d’un homme de droite aurait fait l’effet d’une bombe atomique, et le coupable se promènerait déjà pieds nus dans les rues de Paris en se répandant des cendres sur la tête et en se frappant la poitrine pour clamer sa contrition.
Naturellement, un homme de gauche peut s’autoriser bien des privautés de langage. Mais à condition de ne pas trop balancer les copains. Mélenchon ferait bien de s’en souvenir…
10:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Depuis quelques semaines un journal très incisif est distribué dans les rues :
Année zéro cliquez ici
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lundi, 02 décembre 2013
N'oubliez jamais que le Kosovo est serbe...
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Terre et peuple a fait le plein...
Grande affluence hier à Rungis pour la traditionnelle table ronde de Terre et peuple. Beaucoup plus de monde que l'an passé et cela trois semaines après la 7e journée de Synthèse nationale qui s'était déroulée au même endroit le 11 novembre dernier. Synthèse nationale qui était bien sûr, comme chaque année, présente à cette table ronde et qui a vu de nombreux amis passer sur son stand et en profiter pour s'abonner ou acheter les Bouquins proposés.
Le thème de la journée, "Sommes-nous en 1788 ?", correspondait parfaitement à l'actualité et Pierre Vial et ses invités n'eurent aucun mal à convaincre l'assistance de la nécessité de se préparer à la grande bataille qui s'annonce contre ce Système déjà en voie de décomposition. Nous reviendrons dans les jours qui viennent sur cette journée réussie dès que TP mettra en ligne les interventions.
Félicitons Jean-Paul Baron, efficace organisateur des tables rondes de TP, et Michel Cols, responsable francilien, pour leur accueil toujours aussi sympathique, ainsi que Pierre Vial pour le combat qu'il mène sans relâche pour sauver notre identité européenne.
10:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Dimanche prochain, à Paris :
10:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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"Les démons du bien", un nouveau livre d'Alain de Benoist
Les démons du bien ? C’est d’abord le nouvel ordre moral qui, sous prétexte de créer une « société plus juste », a entrepris de normer les conduites des citoyens, désormais soumis à l’hygiénisme dispensé par un Etat « maternel » qui cherche à mettre en place une société de surveillance totale. C’est aussi la « bêtification contemporaine » qui rabat le politique sur la sphère privée, promeut l’inculture patronnée par la raison marchande, et aboutit à instaurer le degré zéro de la vie sociale.
C’est enfin l’idéologie du genre qui, fondée sur un fantasme d’auto-engendrement, prétend que la différence des sexes n’est qu’une illusion. Que devient alors la « différence des différences » (Michel Schneider), cette dualité des sexes sans laquelle il ne saurait y avoir de construction de soi ? Elle s’efface dans un vaste mouvement de mélangisme généralisé abolissant d’un même mouvement le masculin et le féminin. L’idéologie du genre, c’est le grand retour du cache-sexe. Le rêve d’une postmodernité post-sexuelle où, faute d’avoir créé une société sans classes, on aurait une société sans sexes. Une société où la « libération du désir » signifierait, non plus qu’il faut libérer le désir, mais qu’il faut s’en libérer. Un rêve d’indistinction, un rêve de mort.
Alain de Benoist, écrivain, philosophe, est le directeur des revues « Krisis » et « Nouvelle Ecole ». Il a publié ses mémoires en 2012 : « Mémoire vive », chez Bernard de Fallois.
Les démons du bien, Alain de Benoist, Editions Pierre-Guillaume de Roux, novembre 2013, 288 pages, 23,00 €
Source cliquez ici
10:14 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Piss Femen : il va falloir leur apprendre le caniveau !
Après avoir convoqué les médias ce matin devant l'ambassade d'Ukraine à Paris, cinq activistes de la nébuleuse "femen" ont tenu à manifester à leur façon contre le refus du président ukrainien Viktor Ianoukovitch de se soumettre aux pressions de l'Union européenne et d'adopter le démocrasseux "modèle européen" plutôt que de se rapprocher de Vladimir Poutine.
Connues surtout pour se mettre à poil en toute occasion, les cinq drôlesses ont cette fois innové. Toujours évidemment mamelles à l'air et couvertes d'inscriptions - comme Yanukovych piss off (dégage) - elles se sont mises à croupetons en rang d'oignon et sont parvenues à s'émouvoir suffisamment le rognon en harmonie pour ouvrir les vannes de concert sur des portraits du président ukrainien au cri de "l'Ukraine en Europe".
Rien que du distingué dans une belle illustration de politique de pissotière. Il leur reste quand même à apprendre le caniveau ! Tirons la chasse !
Avez-vous lu le numéro 33 de Synthèse nationale consacré en partie aux Femen ?
Pour l'acheter, cliquez ici
01:07 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Deux réunions nationalistes à Lyon et à Paris :
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samedi, 30 novembre 2013
Sézanne : la truanderie diminue ses effectifs !

Yves Darchicourt
C'est la poisse, la guigne, la scoumoune... Deuxième jour de deuil pour le petit monde de la bobocratie médiacratique. Après le tirailleur fou "de type européen" qui finalement s'avère être Abdelhakim Dekhar, un "mosellan" gauchiste très exotique, le braqueur qui vient fort justement d'être expédié par un commerçant de Sézanne et dont le nom a été caché le plus longtemps possible est ou plutôt était Fatihe Mehenni, une indéniable "chance pour la France" du Val de Marne qui plus est une sorte d'artiste issu de la "planète rap" !
Le nuisible était un multirécidiviste de 36 ans, déjà condamné 10 fois dont 2 fois pour vol avec arme. L'obstiné avait été surnommé dans les médias "le braqueur de Noël" pour sa prestation dans un centre commercial le 24 décembre 2000 où il avait tiré en l'air pour se dégager avec son butin avant d'être piteusement alpagué par la police. Condamné à 10 ans de réclusion en octobre 2003, le truand avait été bénéficié d'une libération conditionnelle en juin 2010. Cerise sur le gâteau, pas moyen cette fois d'inquiéter l'honnête commerçant qui était autorisé à détenir un Glock 9mm et dont la défense légitime est avérée puisqu'il ne pouvait pas savoir que le malfrat le menaçait avec une arme de type gomme-cogne parfaitement ressemblante à une arme à feu réelle.
On atteint là le sublime dans la malchance pour le politiquement correct : un multirécidiviste issu de la diversité, grand amateur de rap, fort légitimement abattu par un commerçant gaulois. C'est la Taubira qui va être contente !
16:25 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) |
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HALLUCINANT ! Cela se passe à Paris en... 2013 !
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Dimanche 1er décembre, venez acheter Les Bouquins de Synthèse nationale à la Table ronde de Terre et peuple à Rungis...
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Dimanche 1er décembre, à Rungis : TOUS A LA TABLE RONDE DE TERRE & PEUPLE
XVIIIe Table Ronde : SOMMES-NOUS EN 1788 ?
Demain la Révolution ?
Dimanche 1er décembre 2013
Jean Haudry : « La Révolution française : un modèle pour la nôtre ? »
Alain Cagnat : « Demain, les guerres »
Lajos Marton : « Itinéraire d’un révolutionnaire »
Pierre Krebs : « L’état d’esprit révolutionnaire »
Pierre Vial : « Notre espérance et notre volonté : la révolution identitaire »
Débat « Notre socialisme identitaire » avec Fiorini, Krampon, Feltin-Tracol, JP Lorrain, animé par Vial
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(accès RER : station La Fraternelle) vastes parkings
A partir de 10 heures. Entrée : 8 euros
Restauration sur place à petits prix
Nombreux stands : livres, revues, disques, insignes, drapeaux, tee-shirts, artisanat identitaire enraciné
Terre et Peuple BP 38 04300 Forcalquier
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vendredi, 29 novembre 2013
De la paroisse catho à la paroisse bobo

Jacques-Yves Rossignol
On observe au quotidien une appropriation des églises par une nouvelle bourgeoisie activiste, hystérique, bavarde. Elle use d’idéologies diversifiées pour accompagner et justifier sa progression subreptice et conquérante. Faisons un bref inventaire de ces idéologies liguées contre le catholicisme populaire :
- l’esthétique du dépouillement (c’est-à-dire : remplacement du mobilier, des ornements, de l’éclairage, de l’autel même par des produits de designers et d’artistes, glacés, ruineux, et interdisant, dans la mesure du possible, le recueillement et les pratiques de dévotion) ;
- l’esthétique de type « art contemporain », esthétique de la distance, de la provocation et du choc (c’est-à-dire introduction de la mentalité du masochisme chic, de la dérision généralisée et de la haine des vertus simples, transformation discrète et progressive des églises en lieux d’exposition pour artistes névrosés) ;
- l’idéologie du mépris du peuple, sot et grossier, et surtout esthétiquement ringard (c’est-à-dire : chasse active au buis bénit, aux cierges, aux statues, aux reliques, lamentables fétiches, heureusement très vite remplacés par des crottes d’art contemporain gravement commentées) ;
- l’idéologie scientiste de la « vie » (par exemple : les obsessions bizarres autour de l’embryon et des cellules embryonnaires permettant de toiser et de mépriser à bon compte les croyants ayant une morale normale et sachant reconnaître et aimer la vie vraie et sensible) ;
- l’idéologie de la communication, du dialogue (c’est-à-dire papotage, exubérance et agitation permanentes entre complices bobos excluant implicitement les non bobos du jeu) ;
- l’idéologie de la communauté, de la convivialité (par exemple : celles de la paroisse parisienne bobo chic et arty ayant chassé à grand renfort de ricanements tous les braves gens du quartier) ;
- l’idéologie de la tolérance et de l’accueil d’autrui (c’est-à-dire : applaudissement frénétique de tout massacre mental et moral de la population enracinée non encore convertie au masochisme chic, ébahissement et pâmoison devant les divers gangsters et racailles chargés de ces tâches, sans doute prochainement canonisés par l’Eglise bobo).
15:26 Publié dans Jacques-Yves Rossignol | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Hausse de la TVA : à quand le ras le bol des tartuffes UMPS ?

La chronique de Philippe Randa
La gauche augmente l’impôt, la droite le baisserait. Ah bon ?
À quelques semaines de la mise en œuvre de la hausse de la TVA prévue au 1er janvier 2014, il est tout de même nécessaire de remettre les pendules de la fiscalité politique à l’heure.
Les Français ont la mémoire courte, mais quand même… L’ancienne majorité UMP n’avait-elle pas voté une hausse de la TVA à 21,2 % avec une entrée en vigueur dès septembre 2012 si Nicolas Sarkozy avait trompé une seconde fois les électeurs ?
« Aujourd’hui, les entreprises n’en peuvent plus de l’impôt, il faut savoir arrêter de matraquer », martèle avec culot Christian Jacob, chef de file de l’opposition à l’Assemblée, qui rappelle à François Hollande son engagement de campagne de marquer une pause fiscale.
L’UMP qui a soutenu les Bonnets rouges bretons refusant l’écotaxe, se moque du monde, car si cette taxe n’est pas juste, c’est un peu tard pour le découvrir, puisqu’issue du Grenelle de l’environnement en 2009, ses parlementaires l’ont adoubé… Sa condamnation en 2013 sous prétexte que le gouvernement Ayrault a trop alourdi par ailleurs la fiscalité des Français, c’est reconnaître que ce n’était finalement qu’un impôt de plus, sans légitimité particulière, décidé sous un quinquennat précédent déjà fort aux abois… N’est-ce pas le Premier ministre d’alors, François Fillon, qui avait reconnu que les « caisses étaient vides »… déjà ?
Quant à la hausse prochaine des taux de TVA, elle serait différent de celle du quinquennat précédent, a précisé le ministre du Travail, Michel Sapin sur Europe 1 « La précédente TVA sociale ne touchait qu’au taux principal de TVA, qui passait de 19,6 % à 21,2 %. La TVA “socialiste” augmente ce taux à 20 %, le taux intermédiaire passe de 7 % à 10 %, et diminue le taux réduit, qui concerne les biens et services de première nécessité de 5,5 % à 5 %… »
C’est dit : la TVA socialiste ne touchera pas les ménages les plus modestes, comme il est convenu désormais de nommer les très pauvres de nos concitoyens.
Dommage pour les milliers de cavaliers (et de poneys) qui défilaient dimanche dernier à Paris qui n’entrent pas les critères socialistes de pauvreté… Tant pis alors, si, comme le dénonce un dirigeant de centre équestre, la « hausse socialiste » de 7 à 20 % qui concerne (entre autres) cette activité « va entraîner la fermeture de 2 000 centres équestres sur 7 000, la perte de 6 000 emplois directs et envoyer 80 000 chevaux à l’abattoir ».
Diantre ! Si cette prédiction n’est pas exagérée, ça laissera presqu’autant de nos concitoyens sur le tapis que le dépôt de bilan du transporteur Mory Duclos dont on a tant parlé ces derniers jours. Quelques milliers de futurs « ménages des plus modestes » supplémentaires, en quelques sortes !
Mais heureusement, le gouvernement a assuré qu’il comptait « sauver la filière ». Pour cela, Valérie Fourneyron, ministre des Sports, se dit prête à « activer tous les leviers » pour : « que l’on puisse réviser cette directive (européenne) TVA et pouvoir emmener d’autres pays qui n’y sont pas favorables à ouvrir légalement un taux de TVA réduit pour les centres équestres. »
Après l’exception culturelle française, voici envisagée l’exception équestre française ! Et combien d’autres exceptions encore seront-elles envisagées avant que l’UMP ne revienne aux Affaires ? Afin de lever de nouvelles taxes que les socialistes, revenus dans l’opposition, ne manqueront pas de combattre sans être le moins du monde gêné.
Le ras le bol fiscal est d’actualité, à l’évidence. Mais ne serait-il pas grand temps d’assister enfin au ras le bol des tartuffes ?
15:03 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Un instant de calme...
14:57 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) |
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Lettre ouverte aux Bonnets rouges
Serge Ayoub
Solidarisme cliquez ici
La crise a rattrapé la Bretagne. La riche Armorique connaît à son tour la pression des marchés internationaux et les effets du dumping social. Par dessus cette précarisation économique, il a fallu que la gauche, qui gouverne aussi bien qu’un capitaine de paquebot aveugle au milieu d’une forêt d’icebergs, rajoute l’écotaxe. De l’iceberg, c’est la face émergée, le symbole d’une gouvernance économique antipopulaire, anti-française, et suicidaire. Jadis la gauche luttait contre la violence du capitalisme. Elle s’est ensuite contentée d’en atténuer les effets, puis s’est résignée à s’excuser de ne pouvoir le faire, sous Mitterrand et Jospin. Aujourd’hui, tout au contraire elle accentue cette violence, et espère s’en sortir en souriant bêtement. L’écotaxe est à l’image de nos socialistes : une stupidité et une honte.
Celle-ci découle initialement du principe de la taxation du réseau routier secondaire dans une perspective écologique. De prime abord il est difficile de concevoir qu’une taxe puisse être écologique, mais les gouvernements successifs de la France n’ont trouvé que cette option pour renflouer les caisses de l’État chroniquement vides. Pour se faire ils réclament toujours plus aux mêmes, les travailleurs français, au point d’épuiser encore davantage leur base fiscale. Cette nouvelle taxe, officiellement, à pour premier objectif de « responsabiliser » les Français en les incitant par le porte-monnaie à moins se servir de leurs véhicules polluants. De plus l’écotaxe devrait financer l’entretien et le développement du réseau routier. Elle devrait encourager l’usage de transports alternatifs via les réseaux ferroviaires et fluviaux nationaux pour substituer au « tout camion » qui règne en France l’instauration d’autoroutes ferroviaires et fluviales. Malheureusement, ce projet généreux qui veut réduire le taux de pollution et la facture énergétique de la France se heurte au principe de réalité. En effet, il paraît difficile techniquement de demander à un transporteur routier de déposer son camion sur un wagon plat et d’engager un autre camionneur à la réception ou de payer le billet au premier pour suivre son camion. Les coûts seraient plus élevés, et malgré la réduction de la facture énergétique, les habitudes actuelles semblent réticentes à ce projet.
Plus que les belles et grandes déclarations d’intentions qui cachent mal l’alourdissement de la fiscalité sur les transporteurs et les producteurs, il faut saisir l’impact de cette taxe sur la France et les Français.
Tout d’abord il s’agit d’un double mensonge fait à nos concitoyens. En effet, les impôts et le Service des ponts et chaussées (la DDE) sont déjà destinés à payer et à entretenir nos routes. Cela fonctionne depuis toujours plutôt bien, et de ce point de vue l’écotaxe apparaît comme un impôt-doublon imposé aux professionnels. Ensuite, contrairement à ce que les Français croient, ce doublon ne sera pas assumé uniquement par les transporteurs et les producteurs. Il est évident que cette nouvelle taxe sera inévitablement répercutée sur le consommateur dans le prix de revient des marchandises. C’est une taxe qui coûtera de toute manière une fortune aux entreprises, à cause des multiples passages sous les fameux portiques qui augmenteront d’autant la facture à régler pour les consommateurs que nous sommes. Le doublon est même un « triplon » ! Lorsque l’on pénètre un peu plus les raisons financières de cette écotaxe, c’est-à-dire l’entretien et le développement du réseau routier, on s’aperçoit que les péages des autoroutes et les taxes sur le carburant remplissent également cette fonction. Il s’agit donc ouvertement d’une surtaxe sur des taxes ! De surcroît, cette taxe carbone nouvelle version se rajoute aux 80 nouvelles taxes et sur-taxations créées en 18 mois par le gouvernement Hollande. On comprend mieux l’énervement des contribuables qui assimilent en une même « pompe à fric » cette écotaxe et les radars. Fait révélateur de cette fronde antifiscale, et encore plus inquiétant pour notre gouvernement, les agences de notations ont récemment pris en compte ce phénomène de ras-le-bol des Français, considérés jusqu’à ce jour comme d’excellents payeurs d’impôts, en dégradant la note du pays AA+ à AA. Ce qui signifie que le malaise français est palpable jusque de l’autre côté de l’Atlantique. L’incompréhension et l’écœurement pour nos concitoyens sont d’autant plus vifs que cette écotaxe est perçue par une société privée, étrangère de surcroît, qui empoche 20% de cette taxe pour son propre compte. On comprend que les révoltés de Bretagne aient choisi le nom de Bonnets rouges, car ce système de perception privée des impôts nous replonge des siècles en arrière, sous l’Ancien régime et le règne des fermiers généraux honnis. Ancien régime est un mot bien choisi car il ne faut pas se leurrer, le système de perception par portique va s’étendre rapidement à l’entrée des grandes villes où tous les véhicules, professionnels et privés, seront soumis à un octroi, un péage. Puis, dès que la pilule sera avalée, le régime se déploiera sur tout le territoire et les Français devront systématiquement payer pour se déplacer. Ce jour-là, notre pays sera sous surveillance totale et tous seront tracés par les cartes de crédits, réseaux sociaux, Smartphones, GPS, et maintenant ces portiques vidéo.
Voilà donc toutes les bonnes raisons de refuser cette écotaxe et de soutenir la lutte des Bonnets rouges.
Mais s’il est important de soutenir, il est surtout urgent de proposer. Nos Bonnets rouges, assez forts par eux-mêmes, n’ont pas besoin de soutiens extérieurs mais de solutions pour arrêter ce conflit. Aussi inique que soit cette taxe, il est néanmoins évident que le gouvernement ne lâchera rien qu’il ne pourrait récupérer ailleurs, autrement, car il est aux abois et cherche de l’argent partout où sa récolte ne gène pas les intérêts des grands groupes qui ont financé son élection. Il serait bon de rappeler à l’UMPS qu’il est responsable de cet état lamentable de nos finances. En ce qui concerne le réseau routier, ce sont notamment Jospin et Fillon qui l’ont bradé aux grands groupes comme Vinci, Eiffage et Albertis. Ce sont eux qui ont vendus pour une misère les autoroutes que les Français avaient payées de leurs poches. Il est temps de prendre des mesures de salut public et d’intérêt général. Il faut renationaliser les autoroutes françaises, d’abord parce qu’elles appartiennent aux Français qui les ont financées, ensuite parce qu’il est inadmissible que des intérêts privés s’arrogent le pouvoir de contrôler les moyens de communications nationaux. Surtout, les autoroutes ont institué un péage dans le cadre de l’entretien et du développement de ce réseau. Les milliards de bénéfices engendrés seraient donc les bienvenus dans les caisses de l’État plus que dans celles des actionnaires. Au lieu de taxer le réseau secondaire, il faut redistribuer les revenus des autoroutes. C’est là que le terme de solidarité prendrait tout son sens, en l’appliquant aux grands groupes et pas seulement aux petites gens. Je ne parle pas d’une expropriation mais d’une réappropriation. Étrangement, Ayrault, Premier ministre, décide au même moment de prolonger d’encore trois ans les concessions d’autoroutes à ces organismes privés alors que leurs bénéfices seraient estimés à plus de dix milliards par an. On est en droit de se demander pour qui travaille Ayrault. En faisant un pont d’or au grand capital, il roule sur l’autoroute de la colère du peuple qui travaille.
Mais le point de fixation qu’est l’écotaxe ne doit pas cacher les raisons du désarroi breton et du malaise national. La Bretagne allait déjà mal avant cette mauvaise idée. La composition des bonnets rouges est révélatrice de l’ampleur de la crise. Des pêcheurs, des ouvriers, des entrepreneurs, des artisans, des commerçants, des producteurs et des agriculteurs. C’est cette foule hétéroclite et « contradictoire » pour Mélenchon qui lui fait déclarer avec mépris qu’à Quimper « les esclaves manifesteront pour les droits de leurs maîtres ». Le chef du Front de gauche est d’une mauvaise foi qui dépasse le supportable. Il ne comprend pas (ou fait semblant de ne pas comprendre) que la lutte des classes a évolué depuis la fin du XIXe siècle, et que les petits patrons sont tout aussi précarisés que leurs employés par l’exploitation du capitalisme global. En Bretagne s’opère une autre solidarité que l’hermétique et obsolète communauté de classe, comprise au sens stricte. Ces nouvelles solidarités privilégient l’humain et son environnement régional, et transgressent les lois du marché international. Ces Bretons veulent travailler chez eux, avec leurs familles, leurs habitudes et refusent de se délocaliser comme leurs entreprises, d’être aussi flexibles que les cours de la bourse et aussi mobiles que les marchandises.
Mais à cette revendication populaire qui unit petits patrons et ouvriers dans une défense de leur identité commune de travailleurs, de Bretons et de Français, il faut en ajouter d’autres, plus strictement économiques. En effet Bruxelles, Paris, les banques et les marchés ont demandé des investissements considérables ces dernières années aux producteurs et éleveurs de Bretagne comme à ceux de toute la France. Traçabilité, modernisation, conditions moins stressantes et meilleure alimentation pour les animaux ont coûté une fortune aux éleveurs français. Pour pouvoir suivre, ceux-ci ont dû emprunter massivement. Les banques ont accepté parce que les contrats pris avec les grands groupes industriels garantissaient la vente totale de la production. C’est une réalité économique : les éleveurs français ont souvent un seul client, un grand groupe industriel qui fournit la marchandise, les œufs fécondés, les poussins, qui sortent tout droit de leurs usines ou coqs et poules se reproduisent. Les éleveurs français sont donc complètement dépendants de leur unique client. Simultanément la pression de la concurrence étrangère et européenne s’est accrue sur le marché national. Par exemple, de manière tout à fait légale, l’Allemagne importait des poulets élevés en Europe de l’Est. Les poulets de ces élevages aux conditions d’exploitation plus que douteuses, sans contrôle ni traçabilité, étaient vendus en Europe à des prix défiant toute concurrence. Ainsi, aujourd’hui nous avons peut-être dans nos assiettes un poulet élevé à Tchernobyl… Une fois en Allemagne ils sont transformés dans des abattoirs où des employés qualifiés se voient payer des salaires inférieurs à 400€ par mois. Pour terminer la production est acheminée en France par des transporteurs qui contrairement à nous ne connaissent ni Smic, ni 35 heures, ni charges sociales. Ultime coup de grâce : l’inégale taxation des carburants qui renforce encore l’effet dumping dont ces pays bénéficient.
La conséquence de cette concurrence faussée et que le marché national de Rungis n’a aucune raison de se fournir en France. Les grands groupes qui fournissent la production à nos éleveurs n’y trouvent plus le moindre intérêt et rompent tout partenariat avec eux. Les éleveurs français n’ont, comme je l’ai écrit plus haut, souvent qu’un seul client, ce grand groupe, et si celui-ci les lâche, ces éleveurs ne peuvent plus payer leurs crédits et se retrouvent en cessation de paiement. Il en est de même pour la filière porcine, céréalière et pour la pêche.
Pour cette dernière, la solution ne peut venir que d’une véritable volonté politique nationale et européenne. Il faut, lorsque le marché est en situation de surpêche, interdire l’achat de production étrangère qui inonde le marché et dilue les prix. C’est cette situation de monopole qu’ont instituée les grands groupes de distribution que l’on doit briser. Il faut une loi antitrust à la française. Quoiqu’il en soit se contenter de détaxer le gasoil comme le fait le gouvernement ne saurait suffire. Il faut structurer un réseau de petits et moyens producteurs, recréer un réseau de distribution alternatif, de véritables centrales d’achats indépendantes, et aider le commerce indépendant qui pourra se fournir sur ce second marché.
D’une manière générale, pour lutter contre cette concurrence déloyale qui détruit nos entreprises et nos emplois, nous proposons de créer au niveau européen une taxe sociale sur les produits de provenance extra-européenne. Cette taxe prendra en compte toutes nos exigences en matière de production et de qualité. Au niveau national il faut réorganiser notre marché avec un différentiel par estampillage d’un label made in France véritable qui garantisse et encadre la production, l’élevage, l’abattage et la transformation. Ce label fixera les normes françaises de production et de traçabilité et s’appuiera sur une charte qui tiendra compte des obligations qui sont imposées à nos entrepreneurs et éleveurs. Cette charte de qualité devra à terme se généraliser sur toute l’Europe et deviendra l’étalon de la taxe sociale instaurée à l’entrée de notre espace européen.
Pour terminer et donner un second souffle aux petits et moyens producteurs de l’agriculture, de la pêche ou de l’élevage, il sera institué des coopératives de production et de distribution des Indépendants sous contrôle de l’État. Utopie, me direz-vous ? Non, ce n’est que la reformation de l’ancien marché national avant qu’il ne soit dévoyé par les grands groupes industriels mondiaux. Mieux, ce grand projet prend en compte ce qui a fait la fortune de la France, les coopératives de productions agricoles et de distribution. Ironie de l’histoire, ce sont celles-ci, victimes de leurs succès, qui furent rachetées par les grands groupes. L’éthique initiale de l’esprit des coopératives se vit détournée vers une logique de profit maximum.
Ce que nous voulons, nous solidaristes, c’est l’instauration d’un marché français équitable pour le producteur comme pour le consommateur. Ce second marché n’exclura pas le premier, bien au contraire il en ouvrira un nouveau, il permettra aux consommateurs un choix différent, responsable. Quel libéral pourra nous accuser de bafouer le principe de la concurrence, puisque ce projet la renforce ! L’arbitrage de l’État garantira le respect des grands principes défendus par ce second marché. Stratégiquement et de manière planifiée, il investira vers les différents secteurs de ce marché pour lui permettre de s’épanouir. C’est tout le contraire de cette fuite en avant fiscale qu’on veut nous faire passer pour une politique de redressement national. Pour accomplir cet effort, il ne faut pas se contenter de changer les hommes, il faut aussi de nouvelles règles. Ces règles, je les ai décrites : coopération, libre concurrence maîtrisée et un État capable d’assumer son rôle d’arbitre. Ces règles ont un principe : l’esprit de solidarité nationale.
10:23 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) |
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"Orchestre rouge", le nouveau livre de Gabriele Adinolfi
Orchestre rouge,
Gabriele Adinolfi,
Avatar éditions, 2013,
166 pages,
19 € (+ 3 € de port)
Préface de Michel Drac
Presque dix ans après Nos belles années de plomb, Gabriele Adinolfi, figure historique de la droite radicale italienne, revient sur cette tragique période qui a secoué son pays, avec un ouvrage choc longuement mûri qui intègre les apports de nombreux travaux ayant vu le jour depuis lors et constitue un gros pavé dans la mare du politiquement correct et des mensonges de l’historiographie officielle.
Gabriele Adinolfi à Paris mardi 10 décembre cliquez là
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Les bonnets rouges sauce Troadec ne font pas l'unanimité

Richard Roudier, Président du Réseau Identités, nous a accordé un entretien pour parler de son livre le Glaive et la Charrue paru début novembre mais aussi pour donner son avis sur les bonnets rouges qui doivent se réunir à Carhaix sur le site des Vieilles Charrues le 30 novembre dans une ambiance festive et musicale.
Richard Roudier, militant du mouvement identitaire, rejoint aussi de nombreux bretons, mais aussi de Carhaix, qui émettent des réserves sur Christian Troadec. La phrase la plus courante à revenir dans la bouche de bretons est « Troadec est un opportuniste. Le mouvement des bonnets rouges ne va pas tenir ». Des Français se définissant politiquement au centre partagent la pensée de Richard Roudier. Une déception face à l'attitude de Christian Troadec a pris forme.
La Voix de la Russie : C'est vous qui avez acheté la marque bonnet rouge ?
Richard Roudier : On a été les premiers à acheter le nom bonnet rouge, aussi pour les noms de domaine internet. On a aussi fondé une revue mensuelle qui porte le nom Le bonnet rouge et qui marche bien. Elle est vendue en Bretagne, dans le Finistère. On a vu un véritable mouvement populaire s'implanter en Bretagne. On a pensé qu'il fallait éviter que ce terme soit pris par des sectaires et des mercantiles et on avait eu raison. On ne veut pas faire de la concurrence à Armor Lux. On n'a pas acheté la marque bonnet rouge en bonneterie. On aurait pu le faire. C'est une démarche politique pour nous.
LVdlR : Comment pensez-vous que Christian Troadec a été informé ?
R.R. : C'est Armor Lux qui a décidé de poser la marque et c'est ainsi que Troadec aurait été averti. Nous ne voulons pas faire de la concurrence à Armor Lux, ce qui prouve l'honnêteté de notre démarche.
LVdlR : Déçu par Christian Troadec ?
R.R. : Les choses ont avancé très rapidement. On sent que dès le début c'est un très grand navigateur. C'est un breton, c'est normal. A la suite de la grande manifestation, il a commencé à virer, à dénoncer l'extrême droite. Ce n'est pas digne d'un homme qui a été porté par tout un mouvement. Je ne comprends pas qu'on puisse exclure un nombre de gens. Christian Troadec a fait des avancées intéressantes puis il a commencé à vilipender les idées identitaires.
LVdlR : Pensez-vous que Christian Troadec ait des intérêts économiques ?
R.R. : Je ne peux pas vous le dire.
LVdlR : D'où vient votre doute sur les bonnets rouges récupérés par le maire de Carhaix ?
R.R. : La FNSEA se retrouve dans ce type de mouvement. C'est incroyable car c'est le premier syndicat de France et ce sont eux qui ont distribué les bonnets rouges. Surtout que c’est président de la FNSEA du Finistère qui a prononcé le mot « révolution ». Des tas d'événements nous laissent pantois. Par exemple, quand on a entendu parler du tireur fou, j'ai trouvé ça énorme avec sa fiche de recherche de type européen. Cela me rappelle l'affaire Merah qui ne devait qu'être un militant d'extrême droite.
LVdlR : Vous êtes allé à Quimper ?
R.R. : Je ne suis pas allé aux manifestations des bonnets rouges en Bretagne mais au viaduc de Millau, où j'étais avec les bonnets rouges il y a 20 jours. A Nice aussi, car je suis syndicaliste agricole et je suis allé soutenir les agriculteurs dans les Alpes-Maritimes.
LVdlR : Vous êtes agriculteur ?
R.R. : Je fais du cochon bio et des gîtes. Mais mon métier d'origine est celui de juriste. Cela fait 20 ans que je suis agriculteur. J'ai été à la communication, à la formation professionnelle.
LVdlR : Manipulation ?
R.R. : Je pense qu'il y a des cellules proches du pouvoir et qui sont chargées d'instrumentaliser. Lors de l'incendie d'une borne écotaxe, les gendarmes ont regardé passivement alors que des dizaines de personnes sont restées à côté des feux de joie. Quand je vois ce genre d'éléments, je suis un peu étonné. Ou alors les pouvoirs publics n'ont plus les moyens. Dans ce cas, je leur demande de faire autre chose, surtout que ça se passe en plein jour.
LVdlR : Votre avis sur les syndicats ?
R.R. : Les syndicats sont manipulés par le pouvoir. Ils sont payés par l’État à 90 %. Dès le lendemain de la grandiose manifestation, le front a éclaté et on a vu les syndicats dire qu'ils étaient intéressés par la défense des salariés et pas des petits patrons. Une partie du front syndical a quitté le bateau. Une autre force a été fondée à côté. On assiste à une manipulation par des forces qui sont derrière. Je connais très bien la question. On sait qu'il y a des forces qui manipulent à coups de billets. Je connais le droit privé et le droit du travail et le milieu des syndicats et les relations avec le patronat.
LVdlR : Le mouvement des bonnets rouges est tué dans l’œuf ?
R.R. : Je ne crois pas. Quand on plante une greffe, elle finit par germer mais il y a des forces occultes qui font tout pour arrêter le mouvement. Il y a une hargne, une colère où les gens ne croient plus à rien. Les gens n'ont plus confiance dans les médias et dans les organisations politiques. Le pouvoir allume des contre-feux.
LVdlR : Pourquoi votre livre le Glaive et la Charrue?
R.R. : C'est un titre que j'ai emprunté à un consul romain qui a concilié toute sa vie entre sa charrue et son militantisme en prenant le glaive pour se défendre. C'est un symbole. Dans la révolte d'un pays, les agriculteurs représentent la base. Dans mon livre, je retrace 50 ans d'activité militante. J'ai voulu faire part de mon vécu aux jeunes générations. J'ai accueilli les pieds noirs d'Algérie à Béziers en 1963. J'avais 16 ans. J'ai pris conscience des dangers pour notre pays avec l'immigration très tôt. Les fils de bourgeois, de notaires nous traitaient de fou et disaient qu'il n'y aurait jamais de voile en France, de cuisine halal. C'est la politique de l'autruche traditionnelle des petits bourgeois de ne pas vouloir voir. Dans mon livre, je donne des pistes. On doit passer à la re-migration. L'intérêt des multinationales, c'est le grand marché mondial. C'est ce qu'ils ont voulu faire avec Maastricht pour baisser les salaires. On doit forcer nos dirigeants à la re-migration. L'immigré est déraciné en France. On va avoir un large mouvement populiste en Europe et ça leur fait très peur.
La Voix de la Russie cliquez ici
Pour se procurer le livre de Richard Roudier cliquez là
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jeudi, 28 novembre 2013
Petite phrases révélatrice à propos de la viande halal pour taulards !

Yves Darchicourt
Le récent arrêt du Tribunal Administratif de Grenoble imposant à l'administration de la maison d'arrêt de Saint Quentin-Fallavier la distribution de repas assortis de viande halal aux détenus mahométans va-t-il faire jurisprudence ?
C'est en tous les cas ce que souhaite Me Alexandre Ciaudo, un des bavards associés du cabinet DGK Avocats à l'origine de l'affaire. Interrogé sur France Info -dont on connaît la ferveur collaboratrice pour l'invasion migratoire et l'islamisation de la France et de l'Europe- par une animatrice de service frétillante d'émotion et de joie contenue, le babillard voit dans cet arrêt une avancée majeure conciliant laïcité et liberté de religion mais surtout un progrès en matière de santé publique, des taulards coraniques souffrant de carence alimentaire faute de n'avoir pas de viande halal à se mettre sous la dent. Une belle envolée de mirliton du Barreau à faire glousser de plaisir la donzelle chargée de diriger l'entretien et puis patatras, la gaffe...emporté par l'épique du propos le baveux se laisse aller à dire que les détenus musulmans sont très nombreux en France ! La petite phrase malheureuse qui, répercutée par des malfaisants, pourrait corroborer les propos intolérables de certains ignobles qui prétendent que les adeptes de cette belle religion de paix et d'amour forment les plus gros bataillons de cellulards qui sur peuplent les prisons françaises aux frais des contribuables gaulois. De là à ce que l'on renifle des relents de racisme pur et dur et des fragrances islamophobes sous la robe d'un humaniste du Prétoire... navrant !
18:21 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) |
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