Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 29 octobre 2012

ATTENTION, dernière minute : la manifestation de Pacé (35) est annulée.

ANNULATION.jpg

Un communiqué de Jeune Bretagne :

L’association Jeune Bretagne, principale organisatrice du rassemblement du mercredi 7 novembre, à Pacé, appelle ses militants, ses sympathisants ainsi que les autres organisations ou collectifs à ne pas se rendre à Pacé le mercredi 7 novembre, le rassemblement étant annulé.

Ce rassemblement était prévu afin de réclamer l’expulsion des clandestins du squat de Pacé et afin de dénoncer les coups de force totalement illégaux de l’association DAL35 .Nous remercions les militants et sympathisants qui se sont mobilisés en nombre durant plusieurs semaines. Aujourd’hui, la situation évolue favorablement.

Sur ordonnance de la justice et sans aucun doute grâce à la mobilisation et à la pression populaire (et notamment à la pétition réunissant plusieurs milliers de signatures mise en ligne sur le site Jeune Bretagne), les clandestins devraient être expulsés du squat de Pacé d’ici la fin novembre. Le problème risque néanmoins de n’être que reporté, les autorités n’ayant manifestement pas l’intention de les rapatrier dans leur pays d’origine, cédant à la pression d’organisations ultras minoritaires, mais très agitées. C’est pourquoi nous restons vigilants sur ce dossier.

Nous rappelons enfin que les principaux responsables de l’immigration massive qui arrive sur notre sol aujourd’hui ne sont pas les immigrés, mais ceux qui, quotidiennement, font tout pour leur promettre un eldorado qui n’existe pas.

Plus que jamais, l’association Jeune Bretagne appelle ses militants et ses sympathisants à rester mobiliser au quotidien afin de préparer l’alternative à la dictature socialiste qui se met en place de façon quotidienne depuis le mois de mai.

Lire aussi cliquez là

 

“Vous êtes inhumains” qu’ils disaient...

Une tribune libre de Yann Vallérie,

Président de Jeune Bretagne :

Depuis la pétition et l’annonce d’un rassemblement le 7 novembre réclamant l’expulsion des clandestins du squat de Pacé (près de Rennes) et les sanctions contre le principal fauteur de trouble, le Dal35, médias et associations au service de la pensée unique et du politiquement correct cherchent à dépeindre Jeune Bretagne et ses militants comme un ramassis de monstres, inhumains, n’ayant aucune sensibilité pour toute la misère du monde, etc.

Il est temps de remettre les pendules à l’heure :

Oui, nous sommes pour l’instauration d’un droit au logement (mais surtout à la propriété, le droit d’être locataire toute sa vie n’étant pas une fin en soi) pour tous, c’est à dire pour toutes les personnes qui font partie intégrante de notre société, des personnes qui sont nées ici et qui ont un héritage régional, national ou civilisationnel commun.

Oui, nous souhaitons que les gens de notre peuple aient, avant les autres, les possibilités de se loger et d’être propriétaires. Car c’est leur terre, c’est la terre de leurs ancêtres et ils n’ont pas « d’ailleurs » où aller. Oui, nous souhaitons que la jeunesse de Bretagne tout comme la jeunesse d’Europe ait un avenir qui ne soit pas entravé par des apprentis sorciers mondialistes.

Oui, nous accepterions volontiers d’accueillir des vrais réfugiés politiques, des vrais demandeurs d’asile si nous le pouvions. Ce n’est pas le cas aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Et encore faudrait-il que le peuple, celui qu’on n’interroge jamais, ait son mot à dire en matière d’accueil et d’immigration. Ce n’est pas le cas et ça ne l’a jamais été, les bienpensants se basant uniquement sur « la tradition humaniste » (vous savez, ces mots qu’on répète à chaque phrase afin de s’auto-persuader de quelque chose qui n’existe pas)

Il y a des guerres, de la famine, des persécutions sur une grosse partie du globe.

Pour ces raisons, devons nous accueillir un flot de réfugiés à nombre inderminé, toujours plus important chaque année ? Est-ce inhumain de dire que nous n’avons pas la place ni les possibilités humaines de les accueillir ? Pourquoi absolument vouloir leur faire vivre une misère ici, loin de chez eux ? Et surtout, plus important encore, pourquoi vouloir l’imposer de force à un peuple sans lui demander son avis ? Pourquoi les associations qui nous qualifient de monstres ne réclament-elles pas, comme nous le souhaitons, un référendum sur l’immigration ? Ont-elles peur du peuple et de son instinct de survie ?

Le taux de chômage élevé, les difficultés à trouver un logement, à se former, à se nourrir, constituent des défis qu’il faut permettre en priorité à la jeunesse bretonne de relever.

Nous refusons le « droit au logement universel » tout comme nous refusons la disparition des frontières, la domination des banques et des bourses mondiales, l’ultralibéralisme et tous ces fléaux de la mondialisation.

Car c’est bien là où toutes ces associations prétendues « de gauche » deviennent contradictoires : en faisant systématiquement l’apologie de l’ouverture des frontières, des « droits pour tout et pour tous », du métissage généralisé, elles constituent un des bras armés de la mondialisation qu’elles prétendent condamner quand il s’agit d’économie.

Sur ce point, notre position de rejet de la mondialisation, qu’elle soit économique, sociale ou humaine, est cohérente, puisqu’elle englobe justement l’ensemble des règles d’une société.

Car entendons-nous bien ; ceux qui prônent l’ouverture des frontières et les régularisations pour tous, en Europe, n’auront que leurs yeux pour pleurer lorsque le géant chinois ou d’autres puissances émergentes viendront imposer, au monde entier, leur droit social, leur conception des échanges et de la vie économique et sociale. Et ils pourront se mettre à regretter nos propositions de protectionnisme européen, au sein d’un vrai bloc civilisationnel fort.

Et il faut être bien fanfaron (ou avoir une nostalgie d’une Europe coloniale qui s’est effondrée il y a bientôt un siècle) pour imaginer qu’une poignée d’Européens réussira à imposer un monde sans frontières, sans cultures, sans économie de marché, façon « bisounours » (7 milliards d’humains travaillant 28 ou 35h/semaine ?) à un milliard de chinois, d’Africains ou d’Indiens qui leur riront au nez avant de leur donner le coup de grâce.

Car d’Inde en Chine, du Maroc au Sénégal ou en Afrique du Sud, du Mexique au Pérou, la notion d’identité, de frontières, de protection, de sauvegarde ne de discute même pas. Il n’y a qu’en Europe où des groupes d’illuminés cherchent à faire disparaitre ce qui est au plus profond de l’homme, ce qui est dans son instinct.

Il n’y a qu’en Europe où l’on peut trouver un nombre conséquent de personnes détestant à ce point leur propre histoire, leurs ancêtres, leurs traditions et leur façon originale de vivre. Ils aiment chez les autres ce qu’ils se refusent à aimer chez eux. Cela pourrait relever de la psychanalyse.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous pouvons regarder un jeune mongol ou un jeune ghanéen de 12 ans droit dans les yeux en lui expliquant que des gens lui ont menti, qu’on lui a promis quelque chose qui n’existait pas et qu’il ne trouverait ici que misère, insécurité, chômage et précarité.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous dirons à ces deux jeunes asiatiques et africains qu’il est désormais temps de repartir, sur leur terre, au pays de leurs ancêtres, afin de construire leur avenir et d’aider leurs pays, leurs clans, leurs nations.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous expliquerons là encore, avec fermeté, mais respect et compréhension, à leurs parents, qu’il faut qu’ils repartent ensemble, tous ensemble, vers leur destinée qui ne peut pas être ici.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous leur expliquerons que demain, s’ils restaient là, et sans doute sans qu’ils le souhaitent vraiment, le territoire d’Europe risquerait d’être transformé en jungle multiethnique où des groupes violents et ethniques feraient la loi, les États finissant par être dépassés par la situation d’insurrection généralisée qui vient.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous leur rappellerons les Balkan, l’Afrique du Sud, le Brésil, preuve par l’exemple que toute société multiraciale de grande échelle est une société multiraciste.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous refuserons désormais que les médecins d’Afrique refusent de retourner aider leur continent en souffrance après avoir été formés en Europe.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous interdirons à nos propres peuples d’aller exploiter, attaquer et tenter de coloniser des régions du monde qui ne leur appartiennent pas, de Guyane en Guinée, de Syrie en Afghanistan, d’Irak au Mali.

C’est parce que nous sommes profondément humains que nous ne comprenons pas cet acharnement qu’ont ces associations, ces ligues de vertus qui cherchent au quotidien à détruire de l’intérieur notre civilisation. Hier, ces individus utilisaient le prolétariat d’Europe pour accomplir leurs basses besognes, aujourd’hui, ce prolétariat leur ayant échappé, ils en ont adopté un autre.

Les colons, les exploiteurs, les marchands de sommeil, les marchands de misère, ce sont eux. Et au même titre que le prolétariat d’Europe leur a tourné le dos, le prolétariat d’Afrique ou d’Asie leur tournera également le dos un jour, n’adhérent aucunement à leur rêve fou d’une société de robots métis, sans âmes, sans conscience, sans faculté de penser ou de se révolter, simplement au service des banques et des multinationales.

Quant à nous, militants de Jeune Bretagne, c’est notre amour pour notre peuple, mais également notre amour pour la diversité dans l’enracinement des peuples du monde, des civilisations, qui nous donne toute légitimité dans notre combat.

Nous avons raison et cette certitude nous rend chaque jour un peu plus fort, un peu plus volontaire afin d’empêcher la lente agonie que vous nous proposez.

Jeune Bretagne cliquez ici

08:58 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 16 novembre prochain, Tours rendra hommage à Charles Maurras...

maurras-2.jpg

Le 16 novembre 1952, Charles Maurras partait rejoindre l’autre monde. C’est à la Clinique Saint Symphorien lès Tours qu’il poussera son dernier souffle après avoir reçu l’absolution du Chanoine Cormier.

Aujourd’hui les fils de la mémoire veulent saluer la personnalité ainsi que l’oeuvre de ce Provençal devenu le maître à penser de toute une génération d’insoumis.

Nous invitons donc ceux qui ne veulent pas oublier à venir commémorer les soixante ans du départ de cette figure emblématique de l’Action Française le 16 novembre prochain à Tours (20h00).

La clinique Saint Symphorien ayant été rasée pour les besoins de Bouygues Immobilier, le lieu de rendez-vous est donc fixé à l’entrée du pont Saint Symphorien (pont de fil) sur la rive gauche de la ville. Nous vous attendons devant le monument aux morts de 1870 pour saluer encore une fois, à notre manière, celui qui nous a rendu « politique d’abord » !

Source Vox Populi cliquez ici

08:38 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hellemmes (Nord) : émotion populaire pour dire non au village d'insertion pour nomades !

1164879102.jpg

Yves Darchicourt

Evidemment il ne peut pas comprendre Frédéric Marchand (en photo - NDLR). Passé directement de la fac de droit aux lambris dorés et feutrés du petit monde propret de la politique professionnelle sauce socialo-bobo, il ne peut pas comprendre que son projet humaniste d'installation d'un village d'insertion pour nomades dans la commune d'Hellemmes dont il est (encore) le maire ne fasse pas l'unanimité et suscite même une émotion populaire. Alors il est choqué le petit bonhomme d'avoir été entouré de mécontents vociférants qui ont même eu le front du lui proposer d'accueillir les nomades dans son propre jardin, on comprend que le scandale l'ait ému au point de le faire donner dans le grossissement épique " j'ai failli me faire lapider " a t-il hoqueté face aux caméras de FR3 Lille toutes acquises à la cause du nécessaire accueil des nomades...près de chez les autres de préférence.

Lapidé de mots le Marchand, car aucune pierre n'a volé, du moins pour l'instant. C'est que l'édile persiste dans son entêtement dont on peut espérer qu'il est suicidaire dans la perspective des prochaines municipales. Mais en attendant, ce n'est ni Marchand, ni ses complices de la municipalité collabo du mondialisme et du brassage obligé des peuples qui subiront la promiscuité enthousiasmante de clans nomades installés à portée de voix et de mains des malheureux riverains et aux frais des contribuables.

Prochaine réunion publique organisée par les collabos mardi prochain à la salle des sports de Hellemmes : on peut y espérer une chaude ambiance de contestation.

00:30 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Naturalisation : ce n’est pas un quelconque bien de consommation, M. Valls...

3-mnr.JPGUn communiqué du MNR :
 
Le journal Le Monde du 18/10/2012 indique que « Manuel Valls veut faciliter l'acquisition de la nationalité française »

Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls (lui-même naturalisé français à l’âge de 20 ans), vient d’envoyer aux préfets une circulaire révisant les critères en vigueur pour les naturalisations. M. Valls dit ne "pas avoir d'objectif chiffré", mais explique au Monde vouloir "retrouver le rythme d'avant". Soit celui d'avant le passage de Claude Guéant Place Beauvau, entre février 2011 et mai 2012.

Ainsi, alors qu’un certain nombre de «Français» d’origine étrangère ne montrent aucun attachement à notre pays, sauf en ce qui concerne les avantages qu’ils en reçoivent, notre gouvernement cherche à augmenter leur nombre en facilitant les naturalisations. En revanche, il n’est jamais question de mener une véritable politique nataliste, qui préserverait notre identité et contribuerait, à terme, à résoudre le problème des retraites.
Il n’y a aucune raison de faciliter l’acquisition de la nationalité française, sous peine de la dévaloriser.

Avec le MNR, refusons le bradage de la nationalité française.

00:30 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Résistance totale !

528928_206010712860838_136597089_n.jpg

00:12 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 28 octobre 2012

Elections américaines : enchères fabuleuses pour le poste de Président !

3805355653.jpgYves Darchicourt

Barak "Kenya" Obama aurait engrangé un milliard de $ pour financer sa campagne électorale. L'organisme "Obama For America" et le Comité Démocrate auraient mobilisé plus de 4 millions de personnes sur le territoire des USA pour draguer des fonds auprès des particuliers, des entreprises, des fondations, des syndicats, des églises et des lobbies de toute sorte. Mitt Romney, le rival républicain, devrait avoir pu disposer quand même de 920 millions$, un pactole dont il ne s'est pas donné le ridicule de trouver l'usage électoraliste "mauvais pour la démocratie" comme a osé le déclarer Obama style bobo friqué de la côte Est que l'argent répugne. C'est que, quasi au moment même où ces chiffres étaient révélés dans les médias US, drapé de probité candide à défaut de lin blanc Barack - la main sur le coeur - regrettait l'énormité des sommes engagées dans la campagne électorale et dénonçait "pour le renom de la démocratie" l'arrêt "Citizen United" pris par la Cour Suprême en 2010 et autorisant à nouveau l'apport financier des acteurs financiers, économiques et sociétaux. Belle hypocrisie de l'afro-américain qui n'a pas hésité depuis 4 ans à brosser certaines multinationales dans le sens du poil pour du donnant-donnant, par exemple dans le secteur bancaire (Goldman&Sachs qui pourtant vient de l'abandonner) et agro-chimique comme la firme Monsanto qui a profité largement de l'administration obamesque: autorisations des cultures ogm pour la luzerne, la betterave sucrière, le soja, le maïs doux et promesses de futures autorisations ogm pour le coton, le papayer et des variétés de pommes et de saumons... comme le relève le dernier Rivarol !

Cette année, les enchères pour l'acquisition du mobilier du bureau ovale de Washington battent tous les records faisant du futur Président des Etats-Unis d'Amérique l'élu le plus couteux du monde. Mais c'est bien connu : quand on aime on ne compte pas !

11:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Libye un an plus tard… Point de situation

libya_bani_walid_clashes_october_22_2012.jpg

Bernard Lugan
L'Afrique réelle cliquez ici
 
Un an après la fin du régime du colonel Kadhafi, laLibye est coupée en trois :

- En Cyrénaïque où deux guerres se déroulent, les fondamentalistes musulmans dont le fief est la ville de Derna s’opposent aux « traditionalistes » rassemblés derrière les confréries soufi cependant que les partisans d’une Libye bicéphale, fédérale ou confédérale refusent l’autorité de Tripoli.

- En Tripolitaine, la ville de Misrata dont est originaire le général Youssef al-Mangouch, à la fois chef de l’armée et coordinateur des milices « ralliées » au pouvoir de Tripoli, tente de prendre le contrôle de toute la région. Auréolées par la capture de l’ancien guide, ses forces viennent de s’emparer de la ville de Bani Walid, « capitale » de la tribu des Warfalla (1). Dans la lutte traditionnelle contre ses rivaux du sud, Misrata a doncmarqué un point.
 
Dans l’ouest de la Tripolitaine, les milices berbères (berbérophones ou arabophones) du jebel Nefusa jouent une carte clairement régionale cependant que le «pouvoir central» de Tripoli doit négocier avec les diverses milices pour tenter d’exister.

- Le grand sud est devenu une zone grise où le « pouvoir », ancré sur le littoral méditerranéen n’est obéi ni des Touareg, ni des Toubou, ces derniers devant périodiquement faire face à des raids lancés contre eux par des tribus arabes.

L’attaque contre Bani Walid était destinée à conforter la domination de Misrata sur la Libye centrale tout en affaiblissant les forces de l’ouest de la Tripolitaine en faisant tomber leur « allié » warfalla. Le prétexte de ce rezzou tribal fut la mort d’Omran Ben Chaaban Osman, un des assassins du colonel Kadhafi. Blessé à Bani Walid lors d’une précédente tentative de prise de la ville par les miliciens de Misrata, il y fut fait prisonnieret longuement torturé. Finalement libéré aux termes de ténébreuses tractations, c’est aux frais du contribuable français qu’il fut transporté à Paris par avion sanitaire pour y être soigné. Il y mourut dès son arrivée.
 
Désormais, dépendant totalement de Misrata, la seule marge de manœuvre du « gouvernement » de Tripoli va être de louvoyer entre ses puissants soutiens et les autres milices…jusqu’au prochain épisode car les différentes composantes tribalo miliciennes de Libye sont unies dans une commune détestation des habitants de Misrata…
 
Dans un proche avenir nous allons assister à une crispation sur le front ouest où l’armée gouvernementale - lire les milices de Misrata -, va tenter de mettre au pas les forces du jebel Nefusa et de Zenten. Le prétexte de la guerre tribale qui s’annonce sera le sort de Seif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi que les miliciens de l’ouest refusent de remettre aux autorités de Tripoli. Cette question sera un test permettant de mesurer le véritable rapport de force sur le terrain.
 
Notes

(1) Le numéro de novembre de l’Afrique Réelle que les abonnés recevront la semaine prochaine contient une étude sur les milices libyennes.

11:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 27 octobre 2012

Pour le Président tunisien, c'est clair : "Il est temps que les Français apprennent l'Arabe"...

Marzouki.png

« Il est temps que les Français apprennent l’arabe ». Tel est le conseil prodigué par Moncef Marzouki, à l’heure où son pays, la Tunisie, entame un grand bond en arrière suite à la chute de Ben Ali et à la ré-islamisation dont il est la proie.

En marge du Sommet de la francophonie qui se tenait à Kinshasa (Congo), le président de la Tunisie islamiste, Moncef Marzouki, invité de TV5Monde, réagissant à une remarque du journaliste de la chaîne qui décrivait une Tunisie métamorphosée sous l’influence des islamistes au pouvoir, privilégiant l’emploi de la langue arabe à celle du français, a lancé : « Moi aussi je préfère la langue arabe. Il est normal qu’en tant qu’Arabe, nous préférions notre langue ».

« Un peuple qui ne possède pas deux, trois langues n’est pas bien dans le monde. Et je pense que les Français aussi feraient mieux d’apprendre d’autres langues que le français »; a insisté le président tunisien.

Source cliquez ici

16:56 Publié dans Banalisation... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :

6 JNI Baland L.jpg

14:54 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sciences Po : grandeur et décadence...

2072433876.jpgPierre Vial

Sciences Po Paris fut longtemps une grande école cultivant le goût de l’excellence, où furent formés nombre d’hommes  et de femmes politiques, ainsi que de grands fonctionnaires cultivant la tradition du service de l’Etat. Ce temps est révolu. Car un homme, par aveuglement idéologique mais aussi goût de l’argent, a tout fait pour qu’il en fût ainsi.

Cet homme s’appelait Richard Descoing.  Il a trouvé la mort dans une chambre d’hôtel à New York, son décès ayant eu lieu dans des conditions assez glauques, liées semble-t-il à ses goûts homosexuels (mais les enquêteurs ont été d’une grande discrétion sur cette affaire, évidemment sur ordre, car elle faisait mauvais genre…). Les autorités officielles, les milieux intellos, les media, en une touchante unanimité, ont dit leur regret de voir disparaître un homme aussi exceptionnel. C’est que le directeur de Sciences Po, qui faisait partie du sérail, avait réalisé le vieux rêve de certains : casser le bel outil – et aussi le symbole – qu’était cette école, en supprimant le recrutement sélectif des étudiants, basé sur l’excellence, fruit de l’intelligence et du travail, pour mettre à la place un système démagogique, dont la base était l’accueil, sans concours ni examen (c’est traumatisant et carrément réactionnaire) de « jeunes » issus de la « diversité », venant  des banlieues les plus pourries (pardon : des « cités en difficultés »).

Mais la Cour des comptes a remis les pendules à l’heure : elle « dénonce la gabegie de Sciences Po Paris » (titre d’un article sur six colonnes dans Le Monde du 9 octobre 2012) et « fustige la gestion dispendieuse de l’ex-directeur » tout en réclamant « des réformes profondes de structure ». Ceci dans le cadre d’un rapport de 210 pages qui, dixit Le Monde, est « un long réquisitoire » décrivant « une fuite en avant financière » et « une gestion peu scrupuleuse des deniers publics » dont s’est rendu coupable feu Richard Descoing et ses petits copains qu’il avait invités à la table du festin, aux frais de la République (c'est-à-dire du contribuable, le ministère de l’enseignement supérieur ayant augmenté de 33,3 % en cinq ans sa subvention à Sciences Po). Ainsi, les dirigeants de Sciences Po s’octroyaient de très grosses primes, en dehors de tout circuit administratif normal (qui aurait pu se montrer trop curieux). Ces « petits arrangements entre amis » (nous citons toujours Le Monde…) ont permis au patron de Sciences Po d’augmenter sa rémunération annuelle de 60,4 % entre 2005 et 2011, pour atteindre 537 246 euros en 2010 (n’importe quel prof de fac pourra faire la différence avec son traitement…). Jean-Claude Casanova, président de la Fondation nationale des sciences politiques (FNSP, qui gère Sciences Po), en a profité pour porter sa prime, en 2009, à 69 000 euros. Quant aux enseignants-chercheurs, ils n’effectuaient que 30% de leur service… tout en étant payés à 100% pour un travail aux deux tiers non effectué. La Cour des comptes dénonce aussi des avantages en nature : par exemple, un directeur de centre de recherche a bénéficié gracieusement pendant cinq ans d’un logement de fonction situé rue d’Ulm. C’est pas du beau monde, tout ça ?

11:51 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Aïd : la France ensanglantée !

 2651091979.2.jpg

Yves Darchicourt

Il paraît que nous sommes le 10e jour du mois de Dhou al Hijja; depuis 09h00 ce matin le sang ovin ruisselle et le bêlement affolé des agneaux se meut en un atroce gargouillis de gorge tranchée par les sacrificateurs agréés ou clandestins. Des milliers de pauvres bêtes couchées sur le flan, la tête tournée vers La Mecque et obligatoirement en pleine conscience vont se vider de leur sang ad maiorem prophetae gloriam. Seuls, théoriquement, les bêtes borgnes, à la queue coupée ou de plus d'un an vont s'en tirer pour cette fois.

La fête du sacrifice (aïd al adha) ou la grande fête (aïd el kebir) commémore un mythe vétéro-testamentaire, récupéré par l'Islam, illustrant la dévotion d'Ibrahim (Abraham) à qui Allah (Yahweh) a demandé de sacrifier son fils Ismaël (Isaac) : innocente victime d'une obéissance religieuse absolue et à qui au dernier moment fut substitué un mouton par l'Archange Gabriel. Légende qui n'est ni plus ni moins invraisemblable finalement que celle de la biche remplaçant in extremis Iphigénie sous le couteau du sacrificateur gràce à l'intervention de la déesse Artemis, un mythe grec, européen, sublimé dans la littérature (Euripide, Racine, Goethe) et la musique (Gluck) mais qui n'a pas donné lieu à survivances barbares. 

Le problème n'est pas la croyance de certains en cet épisode mythologique mais - outre le fait que sa matérialisation est inacceptable en France au regard de la législation sur la torture animale - réside dans le nombre exponentiel de ses adeptes dans notre pays. La France n'est pas terre d'Islam, l'Europe toute entière non plus et notre millénaire civilisation lui est totalement étrangère. Après avoir tenté de soumettre les terres européennes par les armes, les mahométans - bénéficiant de façon ahurissante de l'assistance de collabos à l'esprit tordu (voir les dithyrambes médiatiques béats sur cette sanglante célébration) - venus dans les fourgons de l'immigration sont en train d'installer une véritable colonisation de peuplement chez nous... où ils ne devraient pas être chez eux ! L'islamisation de notre environnement civilisationnel se généralise, s'amplifie, alors vite : Rassemblement Résistance Reconquête !

01:51 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Disparition de Jean-Claude Jacquard...

6714561.jpgNous venons d'apprendre avec tristesse le décés, à l'age de 70 ans, ce vendredi, de Jean-Claude Jacquard. Depuis quelques mois, Jean-Claude souffrait d'un cancer, celui-ci a fini par l'emporter.

Jean-Claude Jacquard, depuis le début des années 60, avait été de tous les combats du camp nationaliste. D'Europe-Action à la présidence du GRECE, qu'il assumait depuis plusieurs années, en passant par le Parti des Forces nouvelles dans les années 70, il avait toujours répondu "présent" lorsqu'il s'agissait de défendre les idées qui lui étaient chères.

Apprécié de tous pour sa courtoisie et sa grande connaissance de l'histoire du mouvement nationaliste, Jean-Claude était toujours prêt à aider les initiatives militantes de notre famille politique.

Nous ne l'oublierons pas.

01:32 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 26 octobre 2012

Halte au rituel barbare annuel de l'Aïd-El-Kébir !

200318_179466075433304_100001097374056_398650_7814714_n.jpgUn communiqué du Parti de la France :

Comme chaque année, partout en France, des millions de musulmans égorgeront à partir d'aujourd'hui de pauvres bêtes dans des conditions souvent ignobles. En effet, les abattoirs légaux, pourtant installés avec déférence par des pouvoirs publics zélés, ne suffisent pas aux égorgeurs de moutons qui, pour beaucoup, préfèrent effectuer la boucherie dans la baignoire de leur logement ou bien en pleine nature, au détriment de toutes les règles élémentaires d'hygiène.

L'animal (tourné vers la Mecque) n'est bien sûr pas étourdi avant qu'on lui coupe la gorge avec plus ou moins de dextérité, les "sacrificateurs" homologués n'étant pas suffisamment nombreux ; il agonise et se vide de son sang durant de longues minutes.

Le Parti de la France, scandalisé par les souffrances inutiles dont les animaux de boucherie sont victimes pour satisfaire des exigences religieuses et communautaristes d'un autre âge, réclame l'application sans dérogation de l'étourdissement préalable avant la mise à mort et l'interdiction des cruels abattages rituels, comme l'Aïd-El-Kébir, complètement étrangers aux traditions françaises.

12:01 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Belgique : fermeture de l'Usine Ford de Genk

images.jpg

Un communiqué de l'ABCD (Alliance bruxelloise contre la décadence) :

 

Après CITROEN, MICHELIN, BRITISH LEYLAND, RENAULT, et OPEL à Anvers hier, c’est aujourd’hui FORD à Genk la victime de la concurrence mondiale. A qui le tour demain ?

 

Lors de l’adoption du traité de Maastricht, tous les responsables politiques de gauche et de droite nous ont clairement affirmé que cette Europe « sociale » serait la garante d’un nouveau développement économique et facteur de richesses nouvelles.

 

A.B.C.D en conclu que ce n’était que de la poudre aux yeux, répandue par les lobbies de la gauche caviar et de la droite cosmopolite, destinée à mettre en place le Nouvel Ordre Mondial. Nous nous sommes toujours opposés aux docteurs honoris causa du mondialisme qui dévastera tous les secteurs économiques européens pour le plus grand bénéfice des pays sous-développés qui nous submergent de leurs productions à prix bradés et de qualité médiocre.

 

A.B.C.D constate que selon une comparaison internationale (publiée par l’administration suisse en avril 2012), le coût horaire de la main-d’œuvre est de 41€ en Suisse, 38€ en Belgique, 33€ en France, 29€ en Allemagne, 20 € en Espagne, 12€ au Portugal, 8€ en Pologne, 4€ en Roumanie, et que le salaire horaire en Chine n’est que de 1€ et au Bengladesh de 0,30 € !

 

Il y a plus de six ans le sénateur démocrate U.S, Byron DORGAN  déclarait :

 

« Les travailleurs américains perdent leur boulot qui va en Chine. Car là-bas, on peut payer les gens 0,30 USD/heure et les faire travailler 7 jours sur 7 » !

 

En Belgique apparemment, alors que les VERHOFSTAD, LETERME et DI RUPO sont aux commandes depuis bientôt 20 ans, tous les princes qui nous gouvernent se montrent « surpris » et « choqués » par le départ des autos qui demain seront fabriquées en Allemagne par des allemands… avec l’accord du syndicat IG METAL.

 

A.B.C.D avait en son temps déjà très largement distribué un tract en Région Bruxelloise, dans lequel nous mettions en cause la politique de mobilité durable avec ses néfastes conséquences. Nous avions critiqué la clique des libéro-socialauds-écolo-humaniste qui diabolisait les automobilistes comme étant les responsables des embouteillages et de la pollution, alors même que les bourgmestres et les ministres régionaux ont tout fait pour chasser la voiture de nos cités : de quoi se plaignent-ils donc maintenant que l’industrie automobile quitte la Belgique, allégeant ainsi la pression des véhicules à moteurs dans leur cité respective ?

 

L’incompétence et l’incurie des partis traditionnels les disqualifient pour relever le défi de la guerre économique mondiale déclarée par les pays asiatiques depuis 40 ans.

 

Alain PEYREFITTE avait écrit un livre prémonitoire à cette époque : «  Quand la Chine s’éveillera, le monde tremblera ». Nous y sommes et nous constatons que les gourous du Nouvel Ordre Mondial et les laquais du mondialisme ne proposent aucun remède aux délocalisations industrielles, responsables de coûts sociaux exorbitants, de chômage structurel et de déficits publics. Bien au contraire, ils se font les complices de l’invasion étrangère : textile, sidérurgie, automobile, drogues, aliments, immigration de peuplement, électronique grand public et services de toutes sortes. C’est totalement grotesque et suicidaire !

 

Au printemps 2014, nos concitoyens pourront à nouveau exprimer leur suffrage pour désigner ceux qui dirigeront les affaires de notre pays.   Devra-t-on s’attendre à de nouvelles surprises ?

10:01 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Poitiers 25 octobre 732 : une date, un haut fait, un symbole !

1042692027.jpgYves Darchicourt

C'était un repère chronologique, une des grandes dates de l'Histoire de France que tous les écoliers français devaient connaître : 732 Charles Martel bat les arabes à Poitiers ! L'évènement est aujourd'hui déformé, minimisé à outrance quand il n'est pas censuré de l'enseignement de l'Histoire - ou plutôt de ce qui en reste - dans nos écoles et tout spécialement dans celles - de plus en plus nombreuses - où les "chères têtes blondes" sont minoritaires au milieu de condisciples issus pour une bonne part de ces peuplades qui formaient les gros bataillons des pillards mahométans étrillés par les guerriers francs et wisigoths menés par Charles de Herstal et Eudes d'Aquitaine.

Dix jours d'escarmouches près de Moussais, entre Tours et Poitiers, une journée de combats et une grande victoire européenne et chrétienne dont le retentissement gagna jusqu'aux lointains monatères d'Ecosse. Une victoire qui est aujourd'hui un symbole national et identitaire alors que les allogènes mahométans sont en passe de réussir par l'immigration ce qu'ils n'ont pas été capables de faire par les armes : coloniser et islamiser nos terres ancestrales ! Alors plus que jamais, guidés par les mânes de ces guerriers d'Europe qui se sont battus, ont souffert et sont morts à Poitiers il y a 1080 années : Rassemblement ! Résistance ! Reconquête !

02:17 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien des Non-alignés avec Gabriele Adinolfi : l'Occident contre l'Europe...

01:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Recrudescence de vols de troupeaux à l’approche de l’aïd des musulmans

vols_d_agneaux.jpg

Les vols d'agneaux se multiplient à l'approche de la fête musulmane de l'Aïd, qui sera célébrée vendredi, « en raison d'une offre légale largement insuffisante », note la fédération des éleveurs d'ovins. La belle excuse !
 
"L'arrivée prochaine de l'Aïd stimule les appétits: c'est comme pour les huitres à l'approche de Noël", constate le président de la Fédération nationale ovine (FNO) Serge Préveraud joint par l'AFP, sans être en mesure de chiffrer le nombre de larcins. "D'autant plus cette année", renchérit le responsable de la fédération dans le Vaucluse, Julien Bonnet, que "la fête tombe à une période de faible disponibilité en agneaux: en ce moment, ce sont plutôt des mises bas et les agneaux du printemps ont déjà été vendus".

Un troupeau de 130 agneaux parqués dans un champ isolé en Isère a ainsi été volé de nuit, la semaine dernière, et le préjudice estimé à 20.000 euros. Pour Rémy Bensson, secrétaire général adjoint de la FNO et responsable des Bouches-du-Rhône, le grand sud-est, région Provence-Alpes-Côte d'Azur en tête, est le plus touché.

LES ÉLEVAGES DU VAUCLUSE MIEUX PROTÉGÉS

"Sur les 50 sites d'abattages temporaires autorisés, 24 se trouvent en PACA", relève-t-il, évoquant "des réseaux de contrebande organisés". "C'est une période propice avec des débouchés extrêmement rapides", ajoute-t-il, précisant que "ce qui intéresse les voleurs, ce sont surtout les agneaux mâles". L'Aïd-el-Kébir ou Aïd-el-Adha est la plus grande fête de l'islam. Elle commémore le sacrifice d'Abraham.

Un agneau de 40 kilos se négocie entre 150 et 160 euros au prix du marché, et peut atteindre jusqu'à 200 euros au marché noir, précise M. Bensson. Ce dernier invite les "éleveurs à signaler les vols". Deux d'entre eux l'ont fait dernièrement dans sa région, dépouillés chaque fois d'une quarantaine de têtes. Même si la parade est difficile. "Nos élevages sont extensifs: (...) les brebis ne sont pas rentrées la nuit et les bergeries sont parfois excentrées".
 
C'est d'ailleurs dans des régions comme le Vaucluse où sévit un prédateur naturel comme le loup que les éleveurs sont le mieux organisés pour protéger leurs troupeaux, parqués et gardés par des chiens. Le phénomène des vols est généralement conjoncturel, insiste enfin Serge Préveraud. "Le reste de l'année, il reste anecdotique".

Le gouvernement et la gauche en général se sont-ils émus de ces atteintes à des biens privés ?... Une enquête approfondie est-elle diligentée en direction des milieux musulmans ?... Des dissolutions sont-elles à l'étude visant les organisations qui célèbrent cette fête responsable de tous ces vols ?...
 
Source France presse infos cliquez là

01:04 Publié dans Banalisation... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'assassin africain de la jeune Marion déclaré pénalement irresponsable par deux « experts »

Rousset-Marion.jpgPar Thomas Joly

Le blog de Thomas Joly cliquez là

Il y a 7 mois, Marion était retrouvée morte en banlieue nantaise dans des toilettes publiques, victime de 40 coups de couteau et le crâne fracassé contre la cuvette après avoir été violée.

L'auteur de ce crime ignoble est un Angolais de 25 ans, Yannick Bothélo, qui avait fait l’objet d’une condamnation à 8 mois de prison avec sursis en 2009 et à 5 ans de prison en 2010, mais qui bien sûr était toujours présent sur le territoire français..

La famille de Marion vient d'apprendre que le meurtrier de leur fille est décrit par un collège d’experts comme pénalement irresponsable. Les termes sont précis : « L’examen met en évidence une pathologie grave répondant au diagnostic de schizophrénie paranoïde. » La famille va demander une contre-expertise. Car le risque est grand qu’il n’y ait pas de procès.

Le concept d'irresponsabilité pénale est absolument insupportable. En quoi un cinglé, un drogué ou un mineur serait-il moins responsable qu'un autre de l'acte horrible qu'il a commis ? Pourquoi alors l'automobiliste ivre est-il lui responsable mais pas le violeur-tueur compulsif et névrosé ? Le « trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli le discernement ou le contrôle des actes » (article 122-1 du Code pénal) prime-t-il sur la souffrance des victimes et de leurs familles ? Le plus important est-il de soigner la bête malfaisante et détraquée ou de la mettre hors d'état de nuire et de lui appliquer une juste sanction ?

Taré ou non, cet infâme criminel africain ne mérite qu'une chose : être exécuté au nom de la justice humaine !

00:53 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Seulement 18% des Français favorables à l'édification de mosquées...

image_61238500.jpgLa communauté musulmane de France s'apprête à fêter (cliquez là), vendredi, Aïd-el-Kébir. Selon un sondage de l'Ifop pour Le Figaro (cliquez ici) 43 % des sondés considèrent l'islam comme une «menace». 60 % pensent que cette religion a désormais «trop d'importance» contre 55 % il y a seulement deux ans.

En 1989, 33 % des sondés se disaient favorables à la construction des mosquées. Ils ne sont plus que 18 %. Pour le voile dans la rue, et sur la même période, les personnes opposées passent de 31 % à 63 %. Quant au voile à l'école, on passe sur la même période de 75 % opposés à 89 % !

Source Le Salon beige cliquez ici via PdF cliquez là

00:44 Publié dans Banalisation..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 25 octobre 2012

Nouvelles révélations sur Che Guevara : quand il voulait détruire New York !

t-shirt-anti-guevara.jpgCet article dévoile la face cachée d'Ernesto Guevara :

L’icône « rebelle », bien que communiste (1), dont les bourgeois boutonneux et les ados attardés occidentaux aiment à arborer le portrait sur leurs t-shirts, révèle encore davantage sa haine homicide, 50 ans après sa mort.

En effet, on apprend (2) que peu après la crise des missiles à Cuba, alors que le monde avait échappé à la guerre nucléaire (3), Guevara demandait (cliquez là) encore la possibilité de récupérer secrètement des missiles russes et déclarait en secret à l’ambassadeur de Yougoslavie à La Havane : « Si nous, les Cubains, avions le contrôle de [ces] armes nucléaires, nous les installerions sur chaque centimètre de Cuba et n’hésiterions pas, si nécessaire, à les tirer dans le coeur de l’adversaire : New York. »

Voilà qui complète le portrait du « Che », dont Fidel Castro vantait la « qualité d’agressivité excessive ». Et c’est le moins qu’on puisse dire, quand on sait comme Guevara aimait à torturer et exécuter lui-même les condamnations à mort qu’il décrétait abondamment.

Il relatait ainsi, dans un passage de son journal de la guérilla censuré par les autorités cubaines, qu’il s’était porté volontaire pour réaliser la première exécution décidée par les guérilleros, et décrivait lui-même avec complaisance la scène : « J’ai résolu le problème en lui tirant dans l’hémisphère droit du cerveau une balle de calibre 32, qui est ressortie par la tempe gauche. Il gémit quelques instants puis mourut. »

Castro lui confia le commandement du tribunal révolutionnaire de la Cabaña chargé de juger les responsables du régime de Batista, car il savait que Guevara ne montrerait aucune clémence. Ce dernier ne s’en cachait d’ailleurs pas et s’en justifia officiellement le 11 décembre 1964, devant l’Assemblée générale des Nations unies : « Nous avons fusillé, nous fusillons et nous continuerons à fusiller tant que cela sera nécessaire. Notre lutte est une lutte à mort ». Avec, comme moteur, la haine. Comme il l’écrivit dans son message d’avril 1967 à la Tricontinentale, elle était selon lui indispensable : « la haine comme facteur de lutte ; la haine intransigeante de l’ennemi, qui permet à l’être humain de dépasser ses limites, et le transforme en une efficace, violente, sélective et froide machine à tuer »…

Luciano Medina, l’ancien facteur personnel de Castro pendant la guerre cubaine, raconte : « Mais surtout, il tuait comme on avale un verre d’eau. Avec lui, c’était vite vu, vite réglé. Un matin, vers 9 heures, nous déboulons au Rancho Claro, une petite exploitation de café appartenant à un certain Juan Perez. Aussitôt, le Che accuse le fermier d’être un mouchard à la solde de la dictature de Batista. En réalité, le seul tort de ce pauvre homme était de dire haut et fort qu’il n’adhérait pas à la révolution. Une heure plus tard, le malheureux caféiculteur est passé par les armes devant sa femme et ses trois enfants de 1, 3 et 4 ans. Les voisins étaient traumatisés, indignés. Et nous, la troupe, nous étions écoeurés. Avec trois autres compañeros, nous avons ensuite quitté le Che pour rejoindre un autre campement

Dans la prison de la Cabaña, que gère Guevara en cette année 59 et où l’on fusille tous les jours, il fait volontiers preuve de sadisme. « Lorsque les familles rendent visite à leurs proches, Guevara va jusqu’à exiger qu’on les fasse passer devant le mur d’exécution, maculé de sang frais… » relate un membre du personnel.

On ne peut pas non plus ne pas évoquer cette affaire emblématique, où Guevara fait immédiatement exécuter un gamin affamé, un jeune guérillero membre de sa colonne, qui avait… volé du pain.

On ne souhaite pas non plus aux jeunes admirateurs modernes de Guevara, généralement libertaires, d’avoir connu les « camps de travail correctif » que leur héros a inventé en 1960, dans la péninsule de Guanaha…

Notes

(1) « J’appartiens, de par ma formation idéologique, à ceux qui croient que la solution des problèmes de ce monde est derrière ce qu’on appelle le rideau de fer » écrit-il à un ami en 1957

(2) Dans le dernier numéro du « Cold War International History Project Bulletin », sous la direction de James Hershberg, octobre 2012

(3) (et que Castro, qui voulait absolument que les Russes lancent en premier l’attaque nucléaire, n’avait pu convaincre ces derniers).

Source Contreinfo.com cliquez là

14:31 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

Le billet de Patrick Parment

 caricature-francois-hollande.jpg« Vous avez raison de vous demander s’il y a un président à l’Elysée ». Cette phrase n’est pas de nous, mais de Jean Peyrelevade, économiste de gauche, ex-directeur de cabinet de Pierre Mauroy, président de diverses banques (Suez, Stern, Crédit lyonnais). A défaut d’être Madame Soleil, Peyrelevade a quelques compétences en matière économique. C’est dire si la situation est plus que préoccupante quant à la capacité de Flanby – François Hollande – à agir et à sortir la France du marasme dans lequel l’a plongée des années de libéralisme débridé. De son côté, un membre d’un cabinet ministériel avoue : « On est vraiment dans l’angoisse, on a compris la gravité de la situation, mais on n’a pas de solution. »

 Une fois de plus les socialistes  démontre leur laxisme en matière de dépenses qui ne relevent pas de l’urgence mais bien de l’impératif idéologique : le retour partiel à la retraite à 60 ans ; l’augmentation  de 25 % de l’allocation de rentrée scolaire ; l’embauche d’une première vague de 65 000 postes d’enseignants ; la confirmation de la création à venir de 150 000 emplois d’avenir, etc. Et le financement de tout ça ? Mystère.

Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif – un titre qui rappelle la Révolution nationale de 1940, l’imagination en moins – tente autant que faire se peut, d’arrêter l’hémorragie ininterrompue des fermetures d’usines. Alors, il en appelle aux industries innovantes que l’on retrouve dans les pôles de compétitivité, et tente de se substituer aux banques qui ne font pas leur boulot en créant une Banque d’investissement pour les PME alors que l’on dispose d’un outil équivalent avec Oséo.

A défaut d’innover, on s’en remet donc aux vieilles recettes socialistes : on augmente les impôts, on taxe les riches et sous peu on taxera un peu plus la classe moyenne, ce qui ne risque pas de relancer la consommation et donc l’activité économique. « Achetez français », nous dit Montebourg, reprenant un vieux slogan du camarade Marchais … on aimerait bien, mais ça devient difficile avec la mondialisation et plus encore cette engeance qu’est la grande distribution.

Près de 900 usines ont fermé entre 2009 et 2011. En dix ans, la France a perdu  800 000 emplois  industriels : merci Mitterrand, Chirac, Sarko ! Enfin, l’Insee nous apprend que la rentabilité des entreprises n’a jamais été aussi faible. Pas étonnant, dès lors, que notre déficit commercial soit abyssal : 70 milliards d’euros.

Face à cet immobilisme, la sous-ministre « bobo » Touraine amuse le bon peuple avec le mariage homosexuel, la Guyanaise Taubira entend vider les prisons quand la délinquance quotidienne augmente, que dans les banlieues on s’en prend maintenant directement aux forces de l’ordre et qu’il ne se passe pas un jour sans que l’on n’arrête des Roms condamnés à l’errance faute de solution. La liste est trop longue d’une société française en pleine dissociation.

On laissera le mot de la fin à Ségolène Royal, lucide pour une fois : « Maintenant, il faut passer à une nouvelle phase, celle des réformes de structures promises dans le programme présidentiel : réforme du système financier, réforme fiscale, révolution écologique, avenir de la jeunesse… » A priori on est pas contre...

Sauf que l’Elysée est aux abonnés absents.

12:30 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :

6 JNI Randa Ph.jpg

12:14 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les étrangers de Franco... un livre de Sylvain Roussillon

les-brigades-internationales-de-franco-sylvain-roussillon.jpgGeorges Feltin-Tracole

Le titre est paradoxal. Voilà un ouvrage qui relate l’histoire des volontaires étrangers combattant aux côtés des nationalistes pendant la Guerre d’Espagne (1936 – 1939). On sait que le camp républicain bénéficia jusqu’en 1938 du soutien des Brigades internationales voulues et constituées par Moscou et le Komintern. « Si l’histoire de ces 35 000, 45 000, 55 000, 65 000 ou 75 000 “ volontaires de la Liberté ” est bien connue, il en va bien autrement des autres combattants volontaires étrangers qui servirent, avec le même dévouement, le même courage et la même abnégation, une cause qui, par bien des aspects, fut tout aussi respectable que celle de leurs adversaires (p. 59) ».

Avec ce livre novateur dans le domaine francophone, l’auteur, Sylvain Roussillon, examine les motivations, le parcours et l’action et dresse le bilan des quelque 179 068 étrangers qui rejoignirent le camp national au sein du Tercio de la Légion étrangère, de la Phalange, des Requetès carlistes, etc. Il figure même des pages 338 à 341 un remarquable tableau consacré à leur répartition précise.

Les « Brigades internationales » de Franco est à faire impérativement lire aux jeunes militants, aux lycéens, voire aux collégiens les plus mûrs, afin qu’ils comprennent toute la complexité de l’histoire au-delà des clichés habituels professés par des enseignants souvent ignares. Outre quelques mises au point qui rectifient des lieux communs (la propagande autour de Guernica cache la tragédie du Santuario de Nuestra Senora de la Cabeza et le massacre de 800 personnes par les « Rouges »), l’auteur rappelle quelques évidences. Ainsi les combattants étrangers de Franco étaient-ils des volontaires, y compris les Allemands et les Italiens. La Légion Condor, symbole de l’intervention germanique dans le conflit, joua principalement une fonction d’intendance. « Les troupes de l’armée d’Afrique franchirent le détroit de Gibraltar pratiquement sans l’aide des avions allemands. L’apport de cette légion fut en grande partie logistique et technique. Ses faibles pertes démontrent d’ailleurs qu’elle fut peu engagée militairement (p. 86). »

Assez méfiants envers ces volontaires en raison d’un sentiment national incandescent, « les Espagnols, quel que soit leur camp auquel ils aient appartenu, avaient davantage besoin de matériels et d’armements que d’hommes (p. 330) ». Les seuls à être vraiment acceptés furent les Regulares, les troupes indigènes recrutées au Maroc espagnol auxquelles s’ajoutèrent des militants nationalistes arabes et nord-africains. Ces musulmans s’élevaient contre le discours athée et anti-religieux du gouvernement du Front populaire. On y apprend que 80 Juifs combattirent aussi du côté national parce que l’irreligion de la gauche espagnole les insupportait !

Sylvain Roussillon ne cache pas les dissensions entre ces volontaires étrangers et les autorités franquistes. Face à l’Italie mussolinienne qui projette d’annexer les Baléares et de coloniser l’Espagne, « il semble même que dans certaines unités nationalistes certains officiers nationalistes aient fêté la bataille de Guadalajara comme… une victoire espagnole sur des troupes étrangères !… (pp. 104 – 105) », les Républicains repoussant les Italiens du Corpo di truppe volontarie.

On rencontre dans les armées de Franco des Russes blancs qui poursuivent leur croisade contre le communisme, des nationalistes ukrainiens, des Asiatiques, des Sud-Américains… Les Roumains de la Garde de fer de Codreanu ne forment qu’une modeste délégation symbolique mais dont l’impact en Roumanie sera spectaculaire grâce à une formidable mise en scène funèbre… Régulièrement, Roussillon est contraint de faire des digressions significatives pour évoquer l’histoire particulière de l’engagement nationaliste. En démystifiant les Viriatos, il explique la situation du Portugal sous Salazar qui entend se débarrasser de l’intégralisme lusitanien. On retrouve une démarche similaire chez Vargas confronté à l’intégralisme brésilien. D’où proviennent les 798 Irlandais « Chemises bleues » d’Eoin O’Duffy partis pour l’Hispanie ? L’auteur y répond en mentionnant les suites des « Pâques sanglantes » de 1916 et la guerre civile de 1921. Il remarque d’ailleurs que « 24 de ces volontaires viennent d’Ulster et que l’un d’entre eux, preuve de l’extrême hétérogénéité de ce continent, sort des rangs des forces de l’ordre unionistes et protestantes de la Royal Ulster Constabulary (R.U.C.) (p. 177) ». Il n’oublie pas de signaler la grande efficacité du groupe de pression irlandais avec Joseph Kennedy auprès du Congrès des États-Unis qui maintint l’embargo sur les armes en destination de l’Espagne républicaine.

Sylvain Roussillon étudie enfin la fameuse Bandera Jeanne d’Arc et en déconstruit le mythe. Il relate les dissensions permanentes au-delà des Pyrénées entre les membres de l’Action française, des Croix-de-Feu, de la Cagoule, etc., d’où une certaine inefficacité militaire… C’est aussi l’occasion pour lui d’évoquer quelques figures. Il en profite pour récuser tout déterminisme politique avec les événements ultérieurs dont la Seconde Guerre mondiale. Si le Britannique John Amery créa en 1943 la Waffen S.S. British Free Corps, deux anciens brigadistes internationaux issus de l’I.R.A., Frank Ryan et Sean Russell, travaillèrent – eux – pour l’Abwehr ! A contrario, les Français des forces carlistes, Michel de Camaret et Auguste-Pierre Combe, se retrouveront ensuite dans la Résistance et la France libre ! Le Camelot du Roi Luc Robert estime, lui, que « son engagement aux côtés des Nationaux espagnols contre le communisme, puis dans la Résistance contre les nazis, relevait de la même logique, celle d’un homme engagé contre la barbarie, d’où qu’elle vienne (p. 252) ».

L’auteur s’intéresse aussi au Sud-Africain Roy Campbell qui se convertit au catholicisme et lutta aux côtés des carlistes de Séville avant de servir Sa Gracieuse Majesté contre le Reich entre 1940 et 1945. « En octobre 1944, Campbell fait la connaissance de C.S. Lewis [auteur de la série Le monde de Narnia - N.D.L.R.] et J.R.R. Tolkien. Le futur auteur du Seigneur des Anneaux, qui avait lui aussi pris parti pour les Nationaux lors de la guerre civile, est enthousiasmé par cette rencontre au point que l’on peut même se demander si la personnalité de Roy Campbell n’a pas en partie inspiré Tolkien pour le personnage d’Aragorn, comme en témoigne une lettre envoyée au lendemain de ce dîner à Christopher Tolkien par son père (p. 199) ». Le plus surprenant des destins est peut-être celui d’Egbert von Frankenberg und Proschlitz. Après 1945, il vivra en R.D.A., co-fondera le N.D.P.D., le Parti national-démocratique d’Allemagne nationaliste, et instruira la jeune armée est-allemande. « L’ironie de l’histoire voudra qu’il côtoie, au sein de la Nationale Volksarmee, d’autres anciens d’Espagne, engagés eux dans les Brigades internationaux (p. 80). »

L’ouvrage de Sylvain Roussillon ne tombe ni dans le manichéisme grotesque, ni dans le moralisme de pacotille; il apporte au contraire une somme de renseignements ignorés. C’est fort heureux !

 

• Sylvain Roussillon, Les « Brigades internationales » de Franco. Les volontaires étrangers du côté national, préface de Pascal Le Pautremat, Via Romana, Versailles, 2012, 362 p., 24 €. cliquez là

01:15 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nancy, samedi 27 octobre : conférence de Franck Abed...

ABED-ROYALISTE-CONFERENCE-NANCY.jpg

00:47 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 24 octobre 2012

Éloge de l’uchronie

France-bonaparte-alpes1.jpgDominique Venner

Source cliquez ici

La proximité de l’élection présidentielle américaine me remet en mémoire les prévisions faites sur l’avenir des États-Unis par Raymond Aron, l’un des analystes les plus cotés de son temps. C’était durant l’année universitaire 1975-1976. Raymond Aron donnait un cours au Collège de France sur « La Décadence de l’Occident », en soi déjà tout un programme. Il concluait : « L’abaissement des Etats-Unis de 1945 à 1975 découlait de forces irrésistibles ». Retenons « irrésistibles ». Revenant sur cette réflexion dans ses Mémoires (1983), Aron écrivait : « Ce que j’observais dès 1975, c’était la menace de désagrégation de la zone impériale américaine… » Pour nous qui relisons ces lignes aujourd’hui, dans un monde dominé par l’empire américain, cette anticipation ferait douter de la lucidité de leur auteur. Et pourtant, nul n’a jamais mis en doute la lucidité de Raymond Aron. Simplement, entre-temps, l’histoire avait bifurqué de façon imprévue.

Alors ? Eh bien, quand on tente d’imaginer l’avenir, il serait bon de se reporter à ce que nous montre l’expérience historique. Par hygiène intellectuelle, on devrait toujours pratiquer l’uchronie, c’est-à-dire l’histoire avec des « si ». Si Napoléon avait été vainqueur à Waterloo… Si Constantin avait été vaincu par Maxence sur le pont Milvius en 312… Si Martin Luther avait été occis par des brigands en se rendant à Rome en 1510, etc. Ajoutons encore, dans un autre registre : si Alexandre Fleming n’était pas parti en vacances en 1928, des moisissures inhabituelles ne se seraient pas produites dans ses cultures de staphylocoques au laboratoire de Saint-Mary’s Hospital de Londres, et il n’aurait découvert la pénicilline avec les gigantesques conséquences que nous connaissons… Conclusion : dès que l’on pratique l’uchronie, on découvre que les causes généralement invoquées pour les grands événements n’étaient pas nécessaires ou pas suffisantes.

Imaginant le roi Louis XV renonçant à l’acquisition de la Corse en 1767, Jean Dutourd a écrit la plus savoureuse des uchronies sous le titre Le Feld-Maréchal von Bonaparte (Flammarion, 1996). Dans une Corse restée génoise, donc dans l’orbite des Habsbourg, c’est au service de ces derniers qu’eut logiquement fait carrière un certain personnage prénommé Napoléon, doué pour l’action militaire et politique. D’autres exemples se précipitent à l’esprit. Louis XIV, par exemple, n’aurait certainement pas marqué l’histoire française et européenne comme il l’a fait si le hasard l’avait doté du tempérament de Louis XVI, son descendant.

L’historien du XXe siècle admettra sans peine que l’époque eût été toute différente si le caporal Hitler, n’avait pas survécu aux gaz de combats, dans sa tranchée au sud d’Ypres, au cours de la nuit du 13 au 14 octobre 1918. Celui qui étudie l’histoire des États-Unis, sait que l’évolution de cette grande puissance et celle du monde entier, aurait été toute différente si le général Robert Lee avait été vainqueur à Gettysburg, en juillet 1863, et si un compromis avait permis une certaine indépendance de la Confédération des États du Sud pour parvenir à la paix.

Autrement dit, l’uchronie est le complément utile d’une réflexion critique sur l’histoire, la seule qui vaille pour éveiller les esprits. Les grandes évolutions historiques, politiques, religieuses ou sociales n’ont jamais répondu à une nécessité. La « nécessité historique » est une invention a posteriori, venant de la lecture peu réfléchie de l’histoire connue. Inversement, sauf à rester dans des généralités imprécises, on observe que les penseurs les plus savants, à l’image de Marx ou de Fukuyama, se sont le plus souvent trompés quand ils s’aventuraient sur le terrain des anticipations.

09:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LE « SCANDALE » RICHARD MILLET

imagesCAL8ZXPZ.jpg

Francis Bergeron

Article publié dans

Synthèse nationale n°29 (sept. -oct; 2012)

En 2009, les lecteurs de Synthèse nationale avaient eu leur attention attirée sur l’œuvre de l’écrivain Richard Millet. De ce point de vue, Synthèse nationale était tout à fait précurseur, à une époque où personne, dans le camp national, ne semblait avoir entendu parler de Richard Millet. L’homme – gros bonnet chez Gallimard – venait de publier La Confession négative, un récit largement autobiographique sur ses engagements politiques, contre les gauchistes et les communistes, au lycée, puis dans les rangs des phalangistes chrétiens, au Liban, à la fin des années soixante-dix.

A l’époque, quelques critiques (mais seulement quelques uns) avaient pincé le nez devant cette « littérature nauséabonde » (d’autant que Millet signalait avec une certaine jouissance qu’un membre de sa famille s’était engagé dans la Charlemagne !). Mais c’est surtout par le silence que le petit monde qui fait les réputations littéraires avait traité l’ouvrage. Pourtant Millet, déjà, apparaissait comme un écrivain majeur de l’époque : un style proche de celui de Proust, mais une violence dans les mots et les scènes, et une crudité, qui le situaient du côté de Céline.

Trois ans plus tard (et dix-sept livres plus tard, car notre écrivain a une redoutable production), Millet se retrouve au centre des débats de cette rentrée littéraire. Il vient en effet de publier deux petits pamphlets, qui, là encore, le rapprochent de ceux de Céline, quant au contenu, mais dans une France officielle qui n’admet plus, précisément, que l’on s’exprime comme Céline. Les objets de ce « scandale » sont les deux textes suivants : De l’antiracisme comme terreur littéraire, et Langue fantôme suivi de Eloge littéraire d’Anders Breivik. Dés la parution de ces textes, des voix ont commencé à s’élever pour que Millet soit renvoyé de chez Gallimard.

Chez cet éditeur (qui est l’éditeur de Céline, soit dit en passant), Millet est chargé de découvrir des talents, de travailler avec les auteurs, et éventuellement de les accompagner jusqu’à l’obtention de ces prix prestigieux qui transforment un livre en évènement et apportent parfois fortune à l’auteur et… à l’éditeur. Or il se trouve que Millet a découvert, partiellement réécrit, et accompagné Les Bienveillantes de Jonathan Littell prix Goncourt 2006), ainsi que L’Art français de guerre d’Alexis Jenni (prix Goncourt 2011). Gallimard est donc à présent sommé de se débarrasser de ce « fâcheux » d’extrême droite, accusé même de racisme et d’antipathie à l’égard de l’immigration extra-européenne. Mais en même temps Richard Millet est en quelque sorte le meilleur salarié de chez Gallimard. Et puis, côté talent, personne ne met le sien en doute, même ses pires persécuteurs. Chasser Millet de la maison Gallimard, cela ne risque-t-il pas de faire tâche, sur le plan de la littérature, alors même qu’en 1932, déjà, un Gallimard était passé à côté de Céline, publié alors par Denoël ? C’est seulement après guerre que « le plus grand éditeur de littérature » avait réussi à intégrer dans son écurie celui qui fait à présent figure de « plus grand écrivain du XXe siècle ».

Quel est le crime commis par Richard Millet ? Dans ses deux textes, aux titres, certes, provocateurs,  il s’en prend au multiculturalisme. Il explique notamment que « Breivik est un enfant (…) de la fracture idéologico-raciale que l’immigration extra-européenne a introduite en Europe depuis une vingtaine d’années, et dont l’avènement avait été préparé de longue date par la sous-culture de masse américaine (…) ». Pas si mal vu, non ? Et, plus loin, il écrit encore : « Breivik est, comme tant d’autres individus, jeunes ou non, exemplaire d’une population devant qui la constante dévalorisation de l’idée de nation, l’opprobre jeté sur l’amour de son pays, voire la criminalisation du patriotisme, ouvrent un abîme identitaire ».

Le Nouvel Observateur, Le Monde, les écrivains Laclavetine, Tahar ben Jelloul, Annie Ernaux en appellent au lynchage en place publique. Invité à s’expliquer chez Taddéî, sur France 3, début septembre, Richard Millet s’est retrouvé devant une sorte de jury, que présidait le cacochyme ex-communiste Edgar Morin. Malheureusement Millet est un homme de cabinet, un homme de plume. Devant cet aréopage de salopards, il lui a manqué la verve et le talent dialectique d’un Zemmour, la facilité d’élocution d’un Robert Ménard, et sa prestation fut quelque peu lamentable. Mais peu importe : Millet, c’est d’abord une langue, c’est une pensée qui trouve toute sa force quand elle est couchée sur le papier.

En conséquence, outre les deux pamphlets précédemment cités, précipitez-vous sur Ma vie parmi les ombres et sa suite, La Confession négative, sur L’Opprobre, sur La Fiancée libanaise (ouvrages parus chez Gallimard), mais aussi sur Le Sentiment de la langue (La Table ronde et Champ Vallon), ou Fatigue du sens (éditions Pierre-Guillaume de Roux). Soit vous n’aimerez pas du tout  ce style dense et pointilliste, soit vous vous direz que vous venez de rencontrer l’Ecrivain de ce XXIe siècle. Et pas seulement pour les idées. Mais dans un cas comme dans l’autre, vous rangerez ses livres, dans votre bibliothèque, du côté d’autres auteurs Gallimard, comme Céline ou encore Drieu la Rochelle. C’est d’ailleurs une citation de Drieu qui ouvre son Eloge littéraire d’Anders Breivik…

De Richard Millet (cette année) :

De l’antiracisme comme terreur littéraire, Ed. Pierre-Guillaume de Roux, 2012.

Langue fantôme suivi de Eloge littéraire d’Anders Breivik, Ed. Pierre-Guillaume de Roux, 2012.

Synthèse nationale n°29 cliquez ici

01:09 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fdesouche momentanément hors-service...

a23434b4.jpgLe plus célèbre site de la «réinfosphère» n’est actuellement plus accessible. Ce n’est pas du à un piratage, mais au fait que son hébergeur suédois connait des problèmes avec la justice, indépendamment de fdesouche (et peut-être pour des questions de copyright), et qu’il vient même d’être perquisitionné.

Le blog spécialisé dans la surveillance de l’immigration et l’islamisation risque pour sa part de ne pas être rétabli avant quelques jours.

Source Contreinfo.com

01:04 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 23 octobre 2012

Communistes : assassins ! Dissolution du Parti communiste !

hongaria.jpg

« L’insurrection nationale hongroise fut la première révolution anti-totalitaire de l’après guerre. Cette révolution ne fut pas préparée mais spontanée. C’est en effet le discours d’un dirigeant hongrois qui a provoqué ce grand soulèvement. D’un seul coup, le peuple tout entier des grandes villes et de toutes les provinces se leva [le 23 octobre 1956]. Le gouvernement, pris de panique fit alors appel aux troupes et aux chars soviétiques. Ce fut le carnage » sans que le monde libre n’intervint d’aucune manière . Le Parti Communiste « français » approuvait sans réserve l’intervention soviétique ; la Hongrie ne connut que quatre jours de liberté. »

« C’est un soir d’octobre qu’une grande manifestation fut organisée sous l’Arc de triomphe. De nombreux mouvements et partis politiques (à l’exception du PC) s’étaient donnés rendez-vous pour manifester leur indignation contre le massacre du peuple hongrois et l’attitude du PC « F ». Nous étions 20 à 30 000 sur les Champs Élysées à crier « Moscou assassin ! », « Communistes assassins ! », « Libérez la Hongrie ! », « PC dissolution ! » quand tout à coup, après le dépôt de gerbes et la minute de silence, un mot d’ordre circula dans la foule : « Tous au carrefour Châteaudun ! » C’est donc au pas de course qu’une partie du cortège s’ébranla en direction du siège du PC.

Les forces de l’ordre ne purent rien contre notre nombre et notre détermination ce soir là. En tête des assaillants contre l’immeuble du PC se trouvaient « les troupes de choc » habituelles de l’activisme anti-communiste : les militants de Jeune Nation, des étudiants nationalistes, les combattants d’Indochine. Retranchés au premier étage de l’immeuble, les Cocos nous accueillirent avec des cocktails Molotov. Beaucoup de nos camarades durent se replier les vêtements en flammes. C’est alors qu’un petit groupe réussi à s’emparer des échelles accrochées au candélabre de l’angle gauche de l’immeuble, s’en servi comme béliers pour enfoncer la porte blindée du rez-de-chaussée et pénétrer dans l’immeuble. Malheureusement, l’accès aux étages étant bloqué, ils durent se replier d’autant que les cocktails Molotov lancés des étages supérieurs avaient aussi contribué à mettre le feu à l’immeuble (un incendie que les pompiers mirent plus d’une heure à maîtriser).

2872-10.jpg

C’est alors qu’un autre mot d’ordre circula parmi les assaillants : "Tous à l’imprimerie de l’Huma" qui se trouvait à quelques centaines de mètres, boulevard Poissonnière.

Là aussi nous étions attendus, mais faisant place aux cocktails Molotov, ce sont les pavés d’imprimerie en plomb qui se mirent à) pleuvoir sur nous. Un jeune étudiant courageux qui avait réussi à atteindre de manière audacieuse les locaux du Journal fut surpris par les Rouges et jeté du deuxième étage sur une verrière du rez-de-chaussée. Durant ce laps de temps, toutes les communes communistes de la banlieue avaient mobilisé leurs troupes et affrété des cars entiers de militants appelés à la rescousse pour nous faire face. Le grand affrontement eu lieu à l’angle du boulevard Poissonnière et de la rue Montmartre. Une bagarre violente et sanglante qui dura plusieurs heures, qui fit de nombreux blessés des deux côtés mais qui nous laissa finalement maîtres du terrain, les Cosaques ayant dû déguerpir. Ce soir là, Paris était vainqueur mais Budapest vaincue ! »

(Cité dans « Ma vie pour la Patrie », par vitéz Lajos Marton. Les Amis du Livre Européen, 2012 cliquez ici)

Source cliquez ici, via TP Poitiers cliquez là

15:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alexandre Gabriac relaxé !

6 JNI Gabriac A.jpg

Le conseiller régional d’extrême droite Alexandre Gabriac a été relaxé ce lundi 22 octobre. Le jeune élu âgé de 22 ans était accusé d’avoir proféré des menaces de mort à l’endroit d’un employé d’un bar du vieux Lyon qui lui refusait l’entrée de l’établissement.

La présidente du tribunal correctionnel de Lyon a estimé que les gestes de simulation d’égorgement et de tir qu’avaient rapporté l’employé du bar ne peuvent pas être confirmés par le visionnage du film réalisé par la caméra de vidéosurveillance. Alexandre Gabriac est donc reparti libre.

Source Lyon capitale cliquez ici

09:50 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

France 2012 : demander un référendum équivaut à être comparé à des terroristes

blog-magistrat-anti-france_konk.jpgLe ministère de l’Intérieur étudie une dissolution du mouvement d’extrême droite Génération identitaire après son coup d’éclat samedi à Poitiers, indique aujourd’hui Le Parisien/Aujourd’hui en France. « Une étude juridique est en cours. Il faut être très attentif à ces identitaires et lutter contre leurs agissements », a confié hier soir Manuel Valls au quotidien.

 

Hier, quatre militants de ce groupuscule ont été mis en examen, notamment pour provocation à la haine, et placés sous contrôle judiciaire. Ils avaient été arrêtés samedi après l’occupation du chantier de la Grande mosquée en construction à Poitiers. La police doit encore vérifier que les membres de ce mouvement ont bien tenu des propos incitant à la haine raciale. « La liberté d’association est aussi un droit à protéger. Il faut donc des éléments tangibles pour conduire à l’interdiction », a expliqué un conseiller politique au journal.

 

Toutefois, seul le président de la République a le pouvoir d’ordonner la dissolution d’un groupe propageant une idéologie de haine. Le chef de l’État a en effet le pouvoir, depuis la loi relative à la lutte contre le racisme, dite loi Pleven (1972), d’interdire toute association ou groupement prônant une idéologie de haine, de violence ou de discrimination envers un groupe ethnique, une nation ou une religion. Cette disposition législative est un amendement de la loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et milices privées, qui visaient à l’origine les ligues d’extrême droite.

 

Source Le Figaro cliquez ici via 3e Voie cliquez là

 

Deux nouveaux types d’associations ont été ajoutés à la loi en 1972 et 1986: les organisations propageant la haine raciale et les organisations terroristes. Ce dernier amendement a permis la dissolution d’Action directe (1982), du FLNC (1983), d’Iparretarrak (1987) et récemment de Forsane Alizza (2012).

09:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |