Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 26 novembre 2012

Tribune libre / Mariage gay : à bas le libre-échange, vive le libre-échangisme !

84a5cc8eb0681dcfca827324151dccaa.jpegEric Miné

Ecrivain, homo et patriote

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

Que le projet de « mariage gay » soit un faux nez pour un changement autrement plus profond de notre société, cela n’étonnera que les naïfs.

Qui s’intéresse peu ou prou au grand chambardement des valeurs qu’a subi la France ces dernières décennies sait bien que l’acharnement de ses dirigeants à promouvoir des « réformes sociétales » serait bien incongru si celles-ci ne s’inscrivaient pas dans cette planification niveleuse, planétaire, qui vise à imposer à tous des règles prétendument égalitaires afin d’engendrer un consumérisme effréné.

Le « mariage pour tous » n’y échappe pas. En dépossédant les « gays » de leur histoire qui les affranchissait d’un certain conformisme bourgeois, on les réduit à une part de marché bien identifiée ; ils rentrent dans le rang des petits soldats de la croissance, censée assurer bonheur et prospérité.

Que la France ne soit pas seule dans cette voie baroque, c’est logique et c’est même un des arguments avancés par les soutiens du projet de loi : regardez autour de nous tous ces pays qui ont franchi le pas !

Notons bien que ces États qui veulent obsessionnellement « marier les gays » sont aussi les mêmes qui voient la proportion des couples mariés y décroître significativement au profit d’unions libres. Chez nous, l’exemple vient d’en haut.

Car qu’en est-il au juste ? On nous explique qu’après avoir signifié l’union des familles et l’assurance de leur pérennité, le mariage consacre aujourd’hui l’amour. Mais, vidé ainsi de toute substance sociale, il est tel l’électroménager chinois : programmé pour tomber en panne. Qu’un couple s’aime, c’est tout naturel. Mais on entend par là dorénavant que le mari concilie avec son épouse le respect dû à la mère des enfants, la passion que suscite une maîtresse, et les cabrioles sexuelles qu’il n’aurait pratiquées autrefois qu’au bordel. Le mariage moderne, donc, c’est comme le café soluble, du « trois en un ». Et l’on argutie sur l’explosion des divorces ! La saveur de cette mixture s’altère bien vite décidément.

Et c’est ça qu’on nous présente comme un modèle à suivre ? C’est pour cette cause dégradée et dans un but mercantile que nous devrions pasticher l’hétérosexualité, qu’il nous faudrait nous aussi devenir pourvoyeurs de foyers fiscaux ? Du vagabondage libre-échangiste, nous voilà donc recadrés dans la grande marche civilisatrice du libre-échange !

Et si l’on élève la voix contre cette supercherie, on nous assène du poids des médias unanimes qu’on le « revendique » ce mariage, que nous aussi nous réclamons à grands cris le droit aux scènes conjugales, aux cris des bambins et au divorce. La preuve ? Les mots d’ordre de la dernière « Gay Pride ».

Vous êtes-vous déjà rendus à cette manifestation ? L’immense majorité des participants n’en attendent qu’un moment festif, quand ce n’est pas tout simplement jouissif par l’opportunité des rencontres qu’elle peut procurer. Quand on y va, ce n’est pas pour écouter s’époumoner des bobos crédules ou stipendiés d’organisations autoproclamées représentatives, c’est pour s’amuser et draguer.

Et la drague, voilà bien ce qui n’est plus sexuellement correct aux yeux de nos protecteurs-moralisateurs qui veulent nous mettre la bague au doigt ! Les « pédés » se fricotant dans les buissons, à l’affût dans les gares des appelés du contingent – ou, à défaut, de nos jours, des migrants en déshérence –, louant à l’occasion les services d’éphèbes compréhensifs, cela commençait à faire désordre. Ramenons vite tous ces homos en rut dans la voie sereine d’un foyer marital, nous aboient-ils dans les oreilles avec leur projet de loi !

Sous ce régime, Montherlant et Peyrefitte auraient fini leurs jours en prison, les lendemains de Gide ou de Genet n’auraient guère mieux valu et Pasolini aurait croupi dans une arrière-salle de MJC pour n’avoir jamais trouvé de producteur.

Alors, s’il vous plaît, législateurs du burlesque, occupez-vous plutôt de votre CAC40 et du défunt triple A et laissez en paix nos poches et nos braguettes. Restituez à Paris ses vespasiennes si vous voulez vous rendre utiles et, surtout, laissez-nous jouir de la vie à notre gré !

11:40 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 25 novembre 2012

Chloé : victime de Kamel, du laxisme judiaire et de l'incurie administrative !

2822583163.jpgYves Darchicourt

 

La brute qui a enlevé, séquestré et violé la jeune Chloé est donc bien un récidiviste chevronné. Emblématique chance pour la France, Kamel Bousselat - le maghrébin à qui une législation aussi imbécile que criminelle permet de se dire français et que les journaleux présentent comme un gardois- a un palmarès éblouissant : à 32 ans il cumule 13 condamnations pour vol aggravé, port d'armes, violence avec préméditation, menace de mort, exhibition sexuelle, agressions sexuelles avec tentative d'enlèvement à la suite desquelles il écope de...5 ans dont 3 ans fermes d'emprisonnement seulement, alors que le Code prévoit 15 ans pour la seule tentative de viol ! Merci les robins ! Cerise sur le gâteau, les services (in)compétents du petit monde judiciaire n'ont pas renseigné le FIJAIS (fichier des auteurs d'infractions sexuelles) lors de sa libération en septembre dernier, ce qui a permis au nuisible de ne pas respecter de suivi judiciaire ni même de contacter son contrôleur attitré et de disparaître dans la nature sans que police ou gendarmerie ne soit au courant de cette évaporation.

 

On sait quelles ont été les conséquences de cette chaîne de laxisme, d'incurie et de j’menfoutisme : Chloé (15ans) marquée à vie par la violence de son enlèvement, l'angoisse de sa séquestration et les brutalités sexuelles auxquelles l'ignoble s'est livré sur elle pendant une semaine. Il est vrai que ce n'est qu'une souchienne et qu'après tout qu'est-ce qu'une souchienne pour un Kamel qui descend peut-être en droite ligne de ces barbaresques qui durant des siècles ont enlevé femmes, fillettes et garçonnets de Provence pour les livrer aux turpitudes de poussahs libidineux.

 

Le calvaire de la malheureuse adolescente n'est pas terminé, après les psys il lui faudra affronter le procès et les sous-entendus aussi graveleux que nauséabonds des défenseurs du salopard : ce n'est pas un peu de sa faute ? elle a essayé de s'enfuir ? elle n'y aurait pas trouvé un peu de plaisir ? Les ronds de cuir de l'a-justice eux n'ont pas à s'en faire : rien de ce qui est arrivé n'est de leur faute et puis la Taubira va pondre une circulaire pour faciliter les communications entre les services, ce qui ne les empêchera pas de somnoler pendant les longues journées de travail. Quant à Kamel, sa maman (qui a eu droit à un entretien dans Le Parisien) espère qu'il va enfin faire un effort pour s'en sortir et son avocat le présente déjà une victime de la traditionnelle madame pulsion.

 

Bref tout va bien dans le meilleur des mondes ! Une jeune fille française n'oubliera jamais le martyre qu'elle a subi, son tortionnaire maghrébin va être engraissé un temps aux frais du contribuable gaulois avant de retrouver la liberté et de recommencer. La décollation de l'immonde ne consolerait sans doute pas sa victime, elle aurait au moins le mérite de rendre impossible toute récidive. La bascule à charlot avait du bon !

12:22 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La rubrique littéraire du Journal du Chaos de cette semaine...

3035113426.jpgFace à la crise, une autre Europe,

ouvrage collectif,

Les Bouquins de Synthèse nationale, 165 pages, 18,00 €.

 

Trente participations à cet ouvrage collectif qui tente de répondre à la question générique : de quelle crise s’agit-il et quelle Europe pour y répondre ? Une belle brochette d’écrivains et de journalistes, à droite plutôt que de droite, donnent leur avis et la diversité des regards fait toute la richesse de l’ouvrage.

 

A commander auprès de Synthèse nationale, 116 rue de Charenton, 75012 Paris.

  

643980673_2.jpgJacques Doriot et le PPF,

par Bernard-Henri Lejeune,

Les Bouquins de Synthèse nationale, 160 pages, 18,00 €

 

A l’heure où l’on parle de populisme, il n’est pas incongru de se pencher sur ce personnage étonnant que fut Jacques Doriot, vrai prolétaire et vrai déçu du communisme. C’est alors qu’il fonda le Parti populaire français (PPF) que rallièrent non seulement les communistes – vidant le PCF de sa substance -, mais encore les classes moyennes et de nombreux intellectuels, dont Drieu la Rochelle. Ce recueil n’est pas une biographie au sens propre du terme mais plutôt un recueil de textes sur Doriot par des témoins de l’époque tels Drieu la Rochelle, Claude Popelin, Pierre Pucheu, etc. Et, in fine, un cahier photos.

 

Pour commander ces deux ouvrages cliquez ici

 

Le Journal du Chaos de cette semaine cliquez là

 

Pour recevoir gratuitement chaque semaine Le Journal du Chaos, il vous suffit d'en faire la demande à lesanars@orange.fr 

12:06 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les intellectuels français au pays des Soviets droits de l’hommistes...

rousset.pngMarc Rousset

 

L’exposition « Intelligentsia. Entre France et Russie, archives inédites du XXe siècle » se tient du 28 novembre  2012 au 11 janvier 2013 à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts, dans le cadre de l’année « France-Russie 2012 ». Cette exposition témoigne de la profusion des échanges littéraires entre la France et la Russie au siècle dernier, mais surtout de l’aveuglement et de la manipulation par une petite élite dont le rôle fut de brouiller les cartes sur les horreurs du communisme. On ne peut pas ne pas penser à ce qu’il en est aujourd’hui avec la pensée unique et les intellectuels  droits  de l’hommistes.

 

Les intellectuels français au pays réel des Soviets

 

André Gide, Romain Rolland, Henri Barbusse, André Breton, Jean Paul Sartre furent des militants de l’Union soviétique. En 1935, Romain Rolland et son épouse Maria Koudacheva se rendent en URSS à l’invitation du poète Maxime Gorki et sont reçus par Staline.

 

Henri Barbusse, admirateur de la révolution russe, fit plusieurs voyages en URSS, écrivit une biographie de Staline (1935) et décède à Moscou le 30 août 1935.

 

L’anti-fasciste André Gide  finira cependant par ouvrir les yeux  et reviendra  en juin 1936, désillusionné avec ses compagnons d’un voyage en URSS. Au lieu de l’homme nouveau, il ne trouve que le totalitarisme. Il ira même jusqu’à écrire : « Que le peuple des travailleurs comprenne qu’il est dupé par les communistes, comme ceux-ci  le sont aujourd’hui par Moscou ».

 

Le 27 janvier 1953, Elsa Triolet, épingle la médaille du Prix Staline au revers de la veste de l’écrivain Ilya Ehrenbourg sous le regard de son mari, Louis Aragon. Ce dernier avait déjà  écrit « Hourra l’Oural » et un poème « Vive le Guépéou » en 1931 à la gloire du Guépéou, prédécesseur du KGB ! Ce poème confondant de niaiseries faisait l’apologie d’une organisation méga-criminelle, l’appareil de répression du parti bolchevique contre les peuples.

 

En 1955, année où Raymond Aron publie L’Opium des Intellectuels, le couple Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir est en URSS.

 

L’exposition retrace ce phénomène de sidération collective tout à fait comparable à l’inconscience, à l’avachissement, à l’abrutissement droit de l’hommiste et mondialiste que nous vivons aujourd’hui.

 

En 1949, David Rousset, ancien déporté, avait déjà adressé un appel dans Le Figaro littéraire aux survivants des camps nazis afin qu’ils enquêtent sur « le goulag stalinien ». Il fallut 1956, période de l’insurrection de Budapest, puis le printemps de Prague en 1968, et surtout la publication de L’Archipel du Goulag par Alexandre Soljenitsyne pour commencer à ébranler un peu les consciences. Vingt ans après l’effondrement du monde soviétique, les archives de cette exposition montrent l’aveuglement incroyable de ces intellectuels et la très difficile résistance de la poignée d’opposants dont Raymond Aron, face à la pensée dominante de l’époque tout à fait semblable à la pensée unique d’aujourd’hui !

 

La Vérité selon Jean-Jacques Rousseau

 

La gauche a déjà bel et bien  perdu la bataille intellectuelle et culturelle. François Hollande et les socialistes, suite à 90% du  vote immigré qui, comme pour Obama aux Etats-Unis, les a portés au pouvoir, ont de plus  bénéficié d’un dernier effet d’hystérésis idéologique, d’un mensonge médiatique outrancier, irresponsable, irréaliste, délibéré pour les naïfs et les décérébrés. Mais nous vivons en France  le dernier chant du cygne socialiste et droit de l’hommiste.

 

Il suffit de penser à tous ces intellectuels courageux qui osent braver les foudres des médias, exprimer  une  pensée sacrilège, en fait   la Vérité que voit tous les jours l’homme de la rue. Nous songeons par exemple  à  Richard Millet, Renaud Camus, Guillaume Faye, Dominique Venner, à tous les  pionniers de la  Nouvelle Droite ! Le monopole commence à se fissurer, les doutes à s’exprimer ; les injures gratuites des adversaires du « Travail, de la Famille et de la Patrie » ne portent plus ! Debout les Hommes !

 

La Vérité philosophique, c’est Jean Jacques Rousseau lui même qui  nous la donne, en soulignant l’opposition entre la citoyenneté et l’illusoire société générale du droit humain, dès l’ouverture de l’Emile, en 1762, avant même la révolution de 1789 : « Défiez vous de ces cosmopolites qui vont chercher au loin dans leurs livres les devoirs qu’ils dédaignent de remplir autour d’eux » (1). Jean Marie Le Pen, d’une façon beaucoup plus prosaïque, a pu dire que nous vivons dans un monde où nous voulons faire un cheval d’une chèvre née dans une écurie.

 

Ras le bol de Bernard Henri Levy et de sa clique droit de l’hommiste qui fait penser à celle de Jean-Paul Sartre, adorateur des Soviets, avec son aussi  stupide que  célèbre maxime : « Tout anti-communiste est un chien ! ».

 

Richard Millet, chantre de l’anti-droit de l’hommisme, n’est rien d’autre que le Raymond Aron de l’anti-communisme !

 

« Ne pas savoir dire non est le début de la servitude » écrivait Montaigne. « Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais » a pu dire le héros  vendéen  François-Anathase Charette de la Contrie. La France, depuis les lois Pleven et Gayssot, est devenue le  pays des Soviets droits de l’hommistes.  Le Mur de Berlin est tombé le 9 Novembre 1989. Le « Mur de la honte droit de l’hommiste », le Mur déjà très fissuré des Traitres à la Nation française et de la civilisation européenne  va  lui aussi bientôt s’écrouler ! Les héros de Verdun ne seront pas morts pour rien !

                                                                                                    

(1)   (1) Œuvres complètes de Jean Jacques Rousseau, Gallimard, Pléiade, Vol 4, pp428-429.

11:44 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Suggestion avisée d'un lecteur résistant :

sans-titre.pngBonjour à toutes et à tous,

 

Si vous souhaitez répondre aux appels aux dons de nourriture qui se multiplient en cette période hivernale et si vous souhaitez le faire en joignant l'utile à l'agréable, pourquoi ne choisiriez-vous pas des produits alimentaires en sélectionnant principalement ceux où le mot "PORC" est écrit de la manière la plus voyante possible ? Vous saisissez l'idée ?...

 

Voici quelques suggestions de produits à déposer dans les chariots de collecte : choucroute garnie, petit salé, pâté de campagne, pâté de jambon, pâté de porc, rillettes, soupe de légumes au lard, lard paysan, jambon blanc ou de campagne, cassoulet, saucisson, saucisses, etc., etc., notre très riche gastronomie française (un des piliers de notre culture occidentale et chrétienne...) regorge de mets divers et variés réalisés grâce au porc... Comme qui dirait, ma brave dame, dans l'cochon, tout est bon !

 

Vous n'en pouvez PLUS de l'invasion du "halal" (corollaire d'une autre invasion...), REAGISSEZ !

 

Faites-le et on verra bien ce que nos "biens" pensants et médias gauchistes (c'est presque un pléonasme...) trouveront à redire...

 

FAITES CIRCULER CE MAIL ET L'HIVER SERA PEUT ÊTRE MOINS RUDE POUR CERTAINS !

 

LA SOLIDARITE, CA MARCHE AUSSI COMME CA !

11:27 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 24 novembre 2012

Le bal des guignols...

1859526564.jpg

Le billet de Patrick Parment

La droite ripoux…blicaine, vous savez celle qui ne serre pas la louche des nationaux et qui perd systématiquement les élections depuis l’ère Chirac (aujourd’hui réduit à l’état de légume sans même un regard de Bernie, sa légitime) est en train de montrer son vrai visage, celui du vide. Car, cette pantalonnade pseudo démocratique se réduit en fait au combat de deux ambitieux qui ont les yeux rivés sur 2017, au mépris des militants d’ailleurs, puisque les deux candidats se sont chargés de bien bourrer les urnes. Souvenir, sans doute, du stalinisme qui régnait à la belle époque du gaullisme de pacotille, étiqueté RPR. Le peuple comme prétexte à des intérêts particuliers !

Car, l’un comme l’autre des protagonistes n’a de droite que l’intitulé, manière pour eux d’affirmer qu’ils ne sont pas de gauche alors qu’ils en ont adopté depuis longtemps les idéaux. « Travail, famille, patrie », n’appartiennent pas à leur vocabulaire, pas plus que je n’ai entendu l’autre « droit dans ses bottes » , alias Juppé le Bordelais, agrégé de lettres classiques pourtant, nous parler, un jour, de la culture française. Au RPR, Chirac lui faisait corriger les fautes d’orthographe. Dans cette droite-là, tout le côté charnel du rapport à la mère patrie a été gommé au profit d’un discours formaté, appris par cœur dans les Loges et à l’Ena.

Il n’en reste pas moins que le Fillon du 7e arrondissement et le Copé des banlieues, sont prêts à l’adoption de tous les « éléments de langage » pouvant booster leur notoriété – bien entamé il est vrai -, sauf à enfreindre les ordres qu’ils ont reçus des loges maçonniques laïcardes et juives (B’nai B’rith) : pas d’alliance avec le Front national ou équivalent, respect strict des droits de l’homme, maintien de la sociale démocratie et surtout allégeance totale au libéralisme.

Certains font état d’une fracture au sein de l’UMP. Elle sera de courte durée, du moins de la part des élus, pour la bonne raison que tous ont besoin de l’étiquette d’un parti pour exister et se présenter aux élections. Donc, on peut d’ores et déjà titrer : Bal tragique à l’UMP, un mort !

Et il y a de fortes chances pour que Copé confirme son élection. La grande inconnue, à l’issue de cette mascarade, reste les militants et les électeurs. Comment réagiront-ils lors des futures échéances ? Mystère.

On peut faire confiance à Copé pour remonter un bazar qui sera une pure machine électorale, tout aussi impuissante d’ailleurs à réduire cette crise que les socialistes actuellement au pouvoir. Au PS aussi il y fracture entre le parti d’un côté et l’équipe gouvernementale de l’autre avec Flanby à sa tête.

Un François Hollande qui navigue à vue et dont la boussole idéologique est en train de semer la pagaille dans une société française largement meurtrie par l’immigration, l’islam et la crise économique. Sa gestion du « mariage pour tous » est une catastrophe dans la mesure où il a cédé à un lobby homosexuel largement minoritaire dans ce pays. Les manifestations des « anti » ne sont que la partie émergée d’un iceberg plus important qu’il n’y paraît. Hollande nie là tout à la fois sa culture et la nature humaine. Le mariage n’est pas une affaire de sentiment, mais marque la volonté du couple – et de l’espèce - à se reproduire. Le mariage sentimental est une idée très récente dans la culture européenne et sujette à caution au regard du nombre de divorces.

Bref, Hollande n’est pas du tout dans la fonction de chef d’Etat. Il ne maîtrise pas les sujets de société, est indécis sur le plan économique et aligne sa politique étrangère sur celle des Etats-Unis, comme on a pu le constater avec l’affaire syrienne. On est franchement mal barré !

10:48 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le nouveau « Big Brother »

orwell.jpgDominique Venner

Source cliquez ici

Dans un nouvel essai à contre-courant, Jean-Claude Michéa décrit l’étonnante alliance qui s’est peu à peu formée au-delà des années 1980 entre l’intelligentsia de gauche et le capitalisme mondialisé. Cette convergence, difficilement imaginable trente ans plus tôt, en pleine guerre froide, dans les années 1950, avait déjà été étudiée de façon précoce par la philosophe Flora Montcorbier (Le Communisme de marché. De l’utopie marxiste à l’utopie mondialiste, L’Âge d’Homme, 2000). Ce phénomène n’avait pas échappé non plus à La Nouvelle Revue d’Histoire qui l’avait analysé dans son n°44 (septembre-octobre 2009) à l’occasion d’un article intitulé Violence et “doux commerce” (1).

La description foisonnante faite par Michéa commence par une réflexion qui justifie le titre un peu mystérieux de son essai. Ce titre se rapporte au mythe d’Orphée qu’il faut rappeler. Descendu au royaume des morts pour retrouver sa jeune épouse, la belle Eurydice, mordue par un serpent, Orphée parvient à convaincre Hadès de la laisser repartir avec lui. À une condition toutefois. Jamais Orphée ne devra « tourner ses regards en arrière ». Bien entendu, au moment où ils vont franchir la limite imposée par Hadès, Orphée ne peut s’empêcher de se retourner vers sa bien-aimée, perdant celle-ci pour toujours… S’appuyant sur ce mythe conté par Ovide, à la façon de Freud avec Œdipe, Michéa désigne par le « complexe d’Orphée » le faisceau de postures qui définit depuis deux siècles l’imaginaire d’une gauche adoratrice du Progrès. « Semblable au pauvre Orphée, l’homme de gauche est en effet condamné à gravir le sentier escarpé du “Progrès”, censé nous éloigner, chaque jour un peu plus, du monde infernal de la tradition et de l’enracinement, sans jamais s’autoriser le moindre regard en arrière ». Inutile de faire de gros efforts pour comprendre que ce parti pris de l’intelligentsia rejoint celui du capitalisme mondialiste. Ils ont en commun l’adoration du “Progrès” et le rejet de tout enracinement. Ils communient également dans la religion de l’Humanité, du cache-sexe humanitaire, du nomadisme et du métissage. Parmi une moisson d’autre faits révélateurs, Michéa rappelle qu’au début de l’année 2011, « on a pu voir coup sur coup Christine Lagarde, Laurence Parisot et Jean-François Copé (autrement dit, les véritables gardiens du temple libéral) venir discrètement reprocher au ministre de l’Intérieur [de l’époque] d’avoir joué avec le feu et lui rappeler fermement “que ses déclarations sur la diminution de l’immigration ne tenaient pas debout d’un point de vue économique” [souligné]. Que si, par conséquent, de tels propos improvisés venaient à être pris à la lettre par l’électorat populaire, on risquerait de compromettre les bases mêmes d’un économie capitaliste compétitive » (Le Canard enchaîné, 13 avril 2011). Cette question était devenue si évidente pour la survie du capitalisme globalisé, que, dès le 17 avril 2011, ainsi que le note Michéa, Le Monde offrait une page entière à Laurence Parisot (présidente du Medef) pour lui permettre de lancer un appel à « rester un pays ouvert, qui tire profit du métissage ». Est-il nécessaire d’en dire plus ? Oui, naturellement, et Michéa ne s’en prive pas. Chacun pourra donc se reporter à la masse de faits et de réflexions de son livre qui fait toute sa place au rôle de la police de la pensée.

Il faut noter au passage que Michéa n’est pas un populiste de droite. Il se dit « socialiste » à la façon de Pierre Leroux, inventeur en 1834 de ce mot aujourd’hui un peu carbonisé. Il conserve même une certaine tendresse pour le jeune Karl Marx, avant le tournant du socialisme « scientifique ». Il se sent surtout proche de George Orwell, auteur célèbre de 1984, qui se disait volontiers « anarchist tory », c’est-à-dire « anarchiste-conservateur », ce qui est plutôt sympathique et fait penser à ce qu’Ernst Jünger entendait par l’anarque. Cette attitude autorise Michéa à démolir joyeusement l’idéologie progressiste commune à l’intelligentsia de gauche et au capitalisme nomade. Le sens du passé, écrit-il, n’est pas seulement ce qui nous donne le pouvoir de méditer sur les civilisations disparues. Il est surtout ce qui permet à chaque individu et à chaque peuple « de s’inscrire dans une continuité historique et dans une somme de filiations et de fidélités », échappant ainsi à l’illusion adolescente d’un perpétuel recommencement, l’île déserte de Robinson ou l’an I de la Révolution.

Notes

(1) Réflexion développée dans mon livre Le Choc de l’Histoire (Via Romana, 2011).
(2) Jean-Claude Michéa, Le complexe d’Orphée (Climats, 358 p., 20 €).

10:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"La droite impossible", le dernier livre d'Yves-Marie Adeline, commenté par Franck Abed...


Pour se procurer ce livre cliquez ici

10:09 Publié dans Livres, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 23 novembre 2012

Pour vos cadeaux de fin d'année : consultez le catalogue Diffusia...

Diffusia-Catalogue-couv.Jpg

Le catalogue Diffusia cliquez ici

Le site Diffusia cliquez là

14:47 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Paris : le Parc des Princes va t-il devenir le Parc des Emirs ?

3057775182.pngYves Darchicourt

Selon Le Figaro, le parisien Parc des Princes pourrait changer de nom en vertu de considérations financières qui ne semblent pas rebuter Jean Vuillermoz, l'adjoint au maire communiste chargé des sports à la municialité delanoesque. (cliquez ici). Déjà propriétaires du PSG, les chameliers qataris enrichis au naphte pourraient voir apparaître le nom de la Qatar National Bank au fronton du bâtiment - qui appartient à la municipalité de Paris - ainsi que sur le maillot des joueurs du PSG pour 400 millions d'euros (sur 4 ans). L'argent, paraît-il, n'a pas d'odeur ! A quand le stade rebaptisé Parc des Emirs et les maillots des joueurs du PSG en vert islam ?


Cette sordide opération dite de "naming" consacrerait la main-mise des émirs de la péninsule arabique sur ce qui était un club sportif emblématique de Paris. Une perspective qui vient d'amener l'association Paris Fierté à lancer une vaste pétition qui devrait être suivie d'actions de sensibilisation (voir ici). 

11:56 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Demain samedi 24 novembre : les Romains dans les rues de Rome contre l'hyperclasse apatride à l'appel de Casa Pound...

affiche-manif-653x915.png

Changement du lieu de rassemblement : 16 h, Piazza Mazzini

11:49 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

C'était Serge de Beketch...

tumblr_mdu4ooKQ2I1r5ed6h.jpg

Serge de Beketch

Source Zentropa cliquez ici

"Et l’on croit que je vais céder à cette nouvelle intimidation ? Je n’accepte pas la gestapo stalino-talmudique qui assimile à la haine raciste tout refus de la submersion démographique mais absout les insulteurs des Français, de la France et du catholicisme. Avec humilité, je me considère comme un Résistant dans mon pays occupé.

Pupille de la Nation, j’aime la France comme ma mère (pas la république, qui est sa caricature en putain). Pour défendre sa mère, on a tous les droits et si on ne les a pas, on les prend.

Au surplus, j’ai été élevé dans une famille et un milieu où l’on n’est pas très impressionnable. Mon père, sous-officier de Légion Etrangère, est mort pour la France il y a cinquante ans.

Quand les pourris qui livrent aujourd’hui notre pays apprenaient, à l’Ena, à Sciences Po ou à l’École de la Magistrature, à faire et à appliquer les lois dictées par leurs maîtres ténébreux, il donnait sa vie pour garder à la France un empire.

Et l’on prétend aujourd’hui m’interdire de défendre l’ultime pré-carré que n’ont pas bradé les Mendès, DeGueulle et autres salauds ?

Mes deux grands-pères ont versé leur sang au feu. L’un, jeune officier de l’Armée impériale, aide de camp du général Dénikine, a tout perdu dans une guerre sans merci contre le communisme : parents, frères et soeurs, propriétés, biens. Arrivé en France avec sa jeune épouse, ruinée elle aussi, et un enfant né pendant l’exil, il a poursuivi son combat jusqu’au jour où il est mort pauvre.

Et un Gauberg espère me bâillonner à coups d’amendes, comme il a juré de le faire pour toute la presse nationale ? Il n’y a que dans les contes talmudiques qu’on tire du lait en pressant une pierre.

Mon autre grand-père était à Verdun à vingt ans. A quarante-cinq ans, il participait à la Résistance. La vraie, pas celle des maquereaux qui ont mis leurs médailles usurpées au tapin.

Et l’on voudrait m’interdire d’appeler à libérer, aujourd’hui comme hier, notre pays envahi, occupé, humilié ?

Mon enfance a été peuplée de récits de batailles, de prises d’armes, de saluts aux couleurs, de défilés, de remises de médailles, de célébrations du 8-Mai, du 11-Novembre. En famille, nous vivions sous le regard de nos héros.

L’école militaire où j’ai passé mon adolescence porte le nom d’un ancien, tombé à 15 ans dans les combats de la Libération : Jacques Lorenzi. Aujourd’hui encore, j’écris entouré de photos de combattants de toutes les résistances. Aux occupants d’hier et d’aujourd’hui, mais aussi aux flics de la pensée, au lobby, au communisme et à la connerie.

Et on voudrait que j’obéisse aux gestapettes de la pensée ?

Jeanne d’Arc est omniprésente chez nous et l’on espère me forcer à aimer les étrangers chez moi plus que chez eux, et à respecter des cultes imbéciles qui sont autant de célébrations de la Mort ?

N’ayant ni l’argent, ni l’entregent des Imbert, éditorialiste au Point, Houellebcq, écrivain couronné, ou Oriana Fallaci, journaliste internationale, fous islamophobes proclamés mais épargnés par une Justice aussi indulgente aux puissants que dure aux humbles, je suis, je le sais, condamné d’avance. Cela ne me fera pas taire. Je continuerai à dire et à écrire que l’immigration est une colonisation de peuplement et l’islamisme un totalitarisme dont les Français ont le droit de se libérer.” 

11:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La démocratie totalitaire...

th.jpgPieter Kerstens

Etes-vous réellement démocrate ?

 

Non pas simplement démocrate, mais très profondément démocrate, au point d’être illuminé par la révélation, comme Moïse sur le Mont Sinaï lorsque Dieu lui dit : « Tu seras démocrate et tu enseigneras les nations ».

 

Nous devons prendre conscience en effet que nous vivons des temps extraordinaires où culmine une lueur fondamentale : le voile nocturne dont l’humanité souffrait depuis des siècles s’est brusquement déchiré, tel le voile du Temple, pour que les rayons de la Vérité puissent caresser à nouveau nos esprits endormis.

 

Pourtant, la sagesse populaire semble bien éclairée quand elle affirme : « qui trop embrasse, mal étreint », car le trop-plein de conviction démocratique fait douter, à terme, de la sincérité des chantres, dont le but n’est pas nécessairement la qualité du principe, mais très probablement l’efficacité idéologique, la manipulation des valeurs permettant d’occulter la réalité d’un régime et de tromper in fine l’électeur.

 

De réalité vécue, le principe démocratique s’est progressivement transformé en un épouvantail dérisoire pour protéger le pré carré du Système contre les contradicteurs dont la pertinence des critiques et la justesse des vues ne cessent d’inquiéter.

 

Il y aurait ainsi les bons et les mauvais ; le bien total et le mal absolu, ainsi que des échelons intermédiaires étant mesurés à l’aune d’un bonus malus politicien déterminant le degré de religiosité démocratique des différents protagonistes.

 

Ainsi, dans un Etat phagocyté par des clans, se développe l’idée saugrenue selon laquelle des partis -en place depuis trop longtemps- représenteraient seuls et jalousement l’Idéal tant convoité, alors que d’autres le mettraient en péril, ces autres qui ne doivent surtout pas accéder au pouvoir, car l’observatoire qui veille au bon fonctionnement de cet état de choses, et qui n’est pas nécessairement composé d’élus du peuple, en a décidé ainsi. Mais la réalité démocratique est toute autre.  La démocratie est un système où le peuple exerce une souveraineté qui s’établit entre autres par le passage aux urnes.

 

Une démocratie forte et fondée par la conviction, la diversité et la volonté d’un peuple, et la santé de ce type de régime, se mesure à l’ouverture du débat et à la liberté de contradiction.

 

L’absence de volonté populaire, l’indifférence et la cécité souhaitées de l’électeur, induisent a contrario l’inévitable dérive vers la partitocratie, les querelles de palais et son corollaire dramatique, la corruption.

 

Pensée Unique, langage stéréotypé, conformisme dans l’attitude concourent à faire glisser dangereusement notre système dans la réalité d’un totalitarisme mou gardant une forme rassurante et acceptable : l’emballage démocratique.

 

Le Peuple ne doit pas se faire d’illusions : son absence et son silence continueront à consolider cette dérive, et la volonté populaire exprimée aux élections sera manipulée à nouveau -comme elle l’a déjà été lors des scrutins passés- si les voix se dirigent encore et toujours vers les partis adoubés par le régime.

 

Dans cet esprit, l’émergence de partis neufs, neutres, blancs ou « indignés » pouvait sembler encourageante car elle affaiblissait inévitablement cet édifice, mais le vide de l’imagination politique en l’alignement sur les grands principes éculés de la vitrine politique, les a conduit au néant.

 

Si vide il y a, il sera vite comblé, soit par le pouvoir ce qui est mauvais, soit par de nouvelles forces ce qui est bon ; car on ne peut fonder une politique sur l’unique thème des dysfonctionnements, des disparitions ou viols d’enfants, des conséquences du mondialisme ou des crises financières et économiques, aussi dramatiques fussent-ils.

 

Les voies sont tracées, le peuple doit en prendre conscience car il devra choisir demain démocratiquement ceux qu’il chargera d’assumer son destin.

 

Pour nous nationalistes, nos choix sont faits et nous serons à l’écoute de toutes celles et de tous ceux qui s’inquiètent et s’interrogent.

 

00:06 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 22 novembre 2012

La Commission Européenne aux petits soins pour les Romanichels !

2561818390.jpgYves Darchicourt

La Commission européenne en général et la Commissaire à la Justice Viviane Reding en particulier s'inquièteraient vivement du manque d'effort de la France pour l'intégration des "roms" vivant sur son territoire. C'est ce qui ressort d'un article paru dans le dernier numéro de "l'Europe en France", organe propagandiste de la représentation de la commission européenne dans notre pays et intitulé "Intégration des roms, l'Europe accélère le pas"

Il est vrai que les eurocrates n'ont rien de plus urgent à faire que de se pencher sur le sort de 6 millions de Romanichels qui errent sur les territoires de l'Union européenne (sur les 10 à 12 millions que comptabiliseraient ces tribus dont des historiens - incontestablement aigris - ont pu dire qu'elles descendent des lambeaux des supplétifs de la grande horde d'Attila) C'est que tout va bien en eurocratie : l'économie est florissante, les finances sont saines, le paupérisme est éteint, partout règnent abondance, sécurité, bonne santé, joie et allégresse...un bonheur général qu'il convient de partager.

Dans sa grande et généreuse sagesse, la Commission européenne a donc décidé dès 2008 d'imposer une stratégie générale d'intégration des fils du vent en la dotant en 2010 d'une task force pour en contrôler l'efficacité dans chaque état-membre notamment en matière de logement, santé, éducation et emploi. Et il faut croire que les résultats n'ont pas été jugés suffisants par la dame Reding surtout qui s'était permis de tancer vertement la France après le démantèlement de campements illégaux. Un froncement de sourcils qui a amené le gouvernement socialiste à s'engager fermement à faciliter l'intégration des nomades et à lutter contre toute discrimination à leur égard : ainsi le marché du travail va leur être largement ouvert. Les français au chômage apprécieront. Et puis la France roudoudesque vient d'intégrer le groupe pionnier des états chargé de diffuser les bonnes pratiques à adopter vis à vis des romanichels...une belle pompe aspirante pour tous les nomades du continent. Comme l'a clamé la Reding cet été : les roms sont chez eux en Europe. Pour faire bref : contribuables européens à vos poches ! Grandeur et générosité de l'Eurocratie : quittons là, vite !

16:26 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Alain Escada, Président de Civitas, remet les pendules à l'heure :

th.jpgSource Le nouveau NH cliquez ici

Alain Escada le Président de Civitas face à l’avalanche de dépêches tronquées qui n’ont à quelques exceptions près donné de l’agression dont la manifestation contre le mariage homosexuel du 18 novembre a été la cible par les militantes de Femen, qu’une version falsifiée contraire à la réalité des faits, a décidé de réagir et d’attaquer en justice le mouvement Féministe Femen. Alain Escada, s’en est expliqué sur le site de l’association Civitas en rapportant les faits tels qu’ils se sont passés devant des dizaines de témoins. (1).

Désinformation institutionnelle sur la manifestation de CIVITAS et poursuites engagées par CIVITAS contre les FEMEN

Depuis dimanche soir, les dépêches tombent les unes après les autres se recopiant les unes les autres : « dérapages » en marge de la manifestation de CIVITAS alors que près de 20.000 personnes de tous horizons ont manifesté dans le calme, la sérénité et la bonne humeur.

« Dérapages verbaux », au motif que les arguments ou les slogans entendus ne conviendraient pas à certains journalistes et politiques, sourcilleux gardiens de la liberté d’expression à sens unique. Cette première désinformation est inquiétante pour les vrais défenseurs de la liberté : il s’agit en réalité d’une tentative d’intimidation visant à n’approuver la liberté d’expression que lorsqu’elle est conforme aux diktats des faiseurs d’opinion et du gouvernement socialiste. A cet égard, il est inquiétant que, dans une démocratie digne de ce nom, un ministre en exercice, en l’espèce Madame Najat VALLAUD-BELKACEM, distribue par voie de communiqués successifs, les brevets de conformité à ce qui doit être dit par les opposants à son projet funeste, que ce soient ceux des manifestations de samedi ou de dimanche.

De nombreux politiciens osent même réclamer une dissolution de CIVITAS pour on ne sait quels motifs : il est certain qu’il est plus simple d’empêcher un opposant de parler, ce qui en dit long sur l’état d’esprit de ceux qui n’admettent la liberté d’expression que définie par eux. Il s’agit de pures agitations politiciennes.

« Dérapages physiques » : la quasi-unanimité journalistique, à de rares exceptions, a titré sur les dérapages physiques et la violence dont auraient fait preuve des « intégristes » « en marge de la manifestation de CIVITAS ». Les médias ont également repris sans discernement les propos de la militante homosexuelle Caroline FOUREST qui tweetait depuis le fourgon dans lequel elle semble avoir été interpellée. A l’entendre, les jeunes filles victimes de la « violence intégriste » étaient juste venues contremanifester gentiment déguisées en nonnes.

La réalité est radicalement différente :

- Les jeunes filles en questions appartiennent au groupe les FEMEN d’origine ukrainienne, groupe interdit en Ukraine, financé par un milliardaire allemand ; elles sont venues contre-manifester illégalement puisque sans déclaration préalable, avec virulence, en portant un voile de religieuse sur la tête, les seins nus, certaines en porte-jarretelles, avec des expressions injurieuses écrites sur la poitrine (« fuck God », « fuck church », « Saint-esprit étroit », « Marie marions-nous », « occupe-toi de ton cul »), pour attaquer les manifestants de CIVITAS -dont des enfants qui ont été extrêmement choqués- en les aspergeant de gazs fumigènes contenus dans des aérosols mentionnant en Anglais « Saint sperme » et « sperme de Jésus » ! Une photo en témoigne : un enfant dans sa poussette a été directement visé par un jet de gaz de l’une des FEMEN !

- Contrairement à ce que prétendent certains médias et politiques, aucun membre de l’organisation de CIVITAS ne s’est rendu coupable de la moindre violence envers ces FEMEN. Les policiers ont informé les responsables de CIVITAS que seuls avaient été interpellés quatre individus sans rapport avec CIVITAS et que rien ne pouvait être reproché à CIVITAS. A l’inverse, le service d’ordre de CIVITAS a été exemplaire puisqu’il a pu bloquer les FEMEN sans user de violence pour les empêcher d’avancer plus avant dans la manifestation et continuer à agresser les participants et à s’exhiber notamment devant des enfants. Les FEMEN font malheureusement peu de cas de l’innocence des nombreux enfants qui ont été violentés et qui ont été très choqués par leur attaque, leurs tenues et leurs slogans.

Aucune violence ni provocation n’est acceptable et c’est pourquoi CIVITAS annonce que son avocat est en train de porter plainte auprès du procureur de la république contre les membres parfaitement identifiables des FEMEN, qui se sont rendus coupables d’exhibitions sexuelles notamment à la vue d’enfants (article 222-32 du code pénal), diffusion de message à caractère violent ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine et susceptibles d’être vus par des mineurs (article 227-24 du code pénal), violences en réunion et avec armes (article 222-13 du code pénal) y compris contre des enfants, entrave concertée à la liberté de manifestation par menaces, violences et voies de fait (article 431-1 du code pénal) ainsi que pour injures envers CIVITAS et les manifestants en raison de leur appartenance à la religion catholique ainsi que les messages écrits sur leur poitrine et les aérosols utilisés le démontrent aisément (article 33 alinéa 3 de la loi du 29 juillet 1881).

Que les positions de CIVITAS soient discutées, c’est la liberté d’expression qui le veut. Mais que pour éluder le débat de fond sur un sujet aussi grave que le mariage et l’adoption homosexuels et que pour éclipser la formidable mobilisation des Français de samedi et dimanche, il soit procédé aux habituels procédés dialectiques de désinformation, de diabolisation et d’amalgame, cela n’est pas acceptable. CIVITAS indique donc qu’elle entendra poursuivre devant les tribunaux tout propos diffamatoire, injurieux ou provocant à la discrimination, à la haine ou à la violence à son endroit ou à l’encontre de ses membres.

(1) Voir la vidéo diffusé sur Boulevard Voltaire cliquez là.

11:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 21 novembre 2012

UMP'Circus : le duo de clowns continue !

2956775316.jpgYves Darchicourt

De rebondissement en rebondissement l'UMP sombre lentement dans le ridicule qui, heureusement ou malheureusement, ne tue plus ! C'est maintenant Fillon qui revendique la victoire sur Copé par 88 004 voix contre 87 978, et ce paraît-il après comptage des bulletins des fédérations umpesques de Nouvelle-Calédonie, Mayotte et Wallis&Futuna que la Cocoe avait malignement ignorées!

Angoissant duel pour le bien futur de la nation : il n'y a que les aigris pour prétendre que l'acharnement des compétiteurs tient surtout à ce que la place est particulièrement bonne! En attendant que le Conseil de Sécurité de l'ONU se saisisse de l'affaire et tranche définitivement, l'affrontement clownesque des deux candidats passionne les médias...le gaulois moyen c'est beaucoup moins certain ! Pauvre France !

23:11 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« La France a un incroyable talent »: le groupe Burn the Rubber dans le collimateur de SOS Racisme

256095BurnTheRubber.jpg

Source F Desouche cliquez ici

 

Le télé-crochet de M6 est rattrapé par la polémique. SOS Racisme Besançon (Doubs) envisage d’engager des poursuites après le passage dans l’émission « La France a un incroyable talent » d’un groupe auteur d’une chanson aux relents racistes, rapporte France Info mardi 20 novembre.

 

Le groupe Burn the Rubber, originaire de Morteau, est constitué de trois frères et sœurs âgés de 14, 16 et 18 ans et de leur père. Sélectionné pour les demi-finales de l’émission, mi-décembre, il est l’auteur d’une chanson, Hauts les cœurs, écrite, selon France Info, par un parolier âgé de 70 ans. Ce dernier indique au micro de la radio l’avoir écrite comme « un coup de gueule » après le match France-Tunisie en octobre 2008, avant lequel LaMarseillaise avait été sifflée.

 

En voici quelques paroles : »Si vous êtes si malheureux en France/Vous et vos petites bandes armées/Arrêtez d’hurler que vous n’êtes pas intégrés. » Ou encore : « Un jour prochain le vieux coq gaulois renaîtra de ses cendres/Et enfin vous fera respecter nos lois. »

 

Cette chanson n’a pas été reprise sur le plateau de M6, Burn the Rubber ayant seulement interprété un titre de U2. Pour la chaîne, citée par France Info, « la polémique n’existe pas ».

07:46 Publié dans Débat sur l'identité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 20 novembre 2012

Si vous croisez Caroline Fourest avec vos enfants, changez de trottoir : à mauvaise foi, mauvaise foi et demi...

18:35 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le bulletin télévisé mensuel de 3e voie :

16:57 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hénin-Beaumont : le baiser de l'hôtel de ville a fait flop !

3893088528.jpgYves Darchicourt

Il y a parfois des nouvelles à vous laisser pantois : il existe des "jeunes écologistes du Bassin Minier du Pas de Calais" ! Qui plus est, ils organisent des manifestations de masse sur la voie publique ! Ainsi pour affirmer leur solidarité avec les lesb/gay/bi/trans - fort scandaleusement exclus du mariage qui devrait être accessible à tous - ils ont suivi leurs consignes nationales et organisé samedi dernier un kiss-in géant sur les marches du perron de l'Hôtel de Ville de ma bonne ville d'Hénin-Beaumont...c'est à dire en singeant en groupe le traditionnel baiser des mariés pour la photo-souvenir. Mais un baiser sans exclusion, entre elle et lui mais aussi et surtout entre elle et elle et lui et lui !

Ils avaient donc rappelé le ban et l'arrière-ban de leurs militants cht'is et ainsi réunis 8 (huit) protagonistes (quand même) pour célébrer la chose devant MM.Eugène Binaisse (maire), Philippe Kemel (député) - tous deux du PS - et un journaliste local... mais d'héninois tremblant d'émotion devant la beauté du geste point. Four et flop ! Cruelle indifférence sans doute reflet d'une sourde hostilité à la fricassée de museau invertie !

Le journal local n'a curieusement publié que le baiser hétéro...à la différence de son homologue lillois qui avait tenu à immortaliser la soupe de langue lesbo-pédérastique. Il est vrai que dans les grandes métropoles on est plus évolué... ou plus décadent. Au choix !

13:11 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : avez-vous pensé à vous abonner à la revue Synthèse nationale ?

Couv SN 29.jpg

Sommaire :

 

● Editorial de ROLAND HÉLIE La piteuse attitude d’un maire tombé en dhimmitude

 

● PIETER KERSTENS Ensemble contre le nouveau totalitarisme…

 

● ARNAUD RAFFARD DE BRIENNE Jean-François Copé découvre le « racisme anti-blanc »

 

● LUC PÉCHARMAN Vive la Reine !

 

● GEORGES DILLINGER Le dilemme de Cassandre

 

● PHILIPPE RANDA Et mes CRS, tu les aimes mes SS ?

 

● ROGER HOLEINDRE Devoir de vacances…

 

● MARTIAL BILD La France effondrée…

 

● BERNARD BRES L’Esclavage moderne

 

● PATRICK PARMENT Croissance : la fin d’une illusion…

 

● MARC ROUSSET Les délires droit-de-l’hommistes de BHL en Libye et en Syrie !

 

● LIONEL BALAND Le livre La nouvelle colonisation de Filip Dewinter

 

● JEAN-CLAUDE ROLINAT Images de Buenos Aires et mémoire d’Évita

 

● JEAN-PAUL CHAYRIGUES DE OLMETTA Les pages du Marquis…

 

● FRANCIS BERGERON Le « scandale » Richard Millet

 

Et bien d’autres rubriques…

 

130 pages, 12 €

 

ABONNEZ-VOUS !

 

1 an (6 numéros) : 50 €, soutien 100 €

 

Bulletin d'abonnement cliquez ici

13:05 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Faire face à la répression avec sérénité...

blog-magistrat-anti-france_konk.jpgUn communiqué de l’OEuvre française :

Le dix-neuf novembre 2012, à 9h00, comparaissait devant la 29e chambre du Tribunal de Grande Instance de Paris, Yvan Benedetti, président de l’Œuvre française, pour y répondre, à la suite de son interpellation, le 29 septembre dernier, le jour de la manifestation sur le thème « Maîtres chez nous » à l’appel des Jeunesses Nationalistes, des chefs de poursuites suivants : rébellion, participation à une manifestation interdite.

Le Parquet ayant commis l’erreur de désigner, pour juger Yvan Benedetti, une chambre composée d’un seul magistrat, c’est-à-dire une juridiction incompétente pour les délits visés, le procès a été reporté au jeudi 28 mars 2012 à 13h30.

L’acharnement judiciaire à l’encontre des vrais patriotes français connaît un point d’orgue puisque, au même moment, Alexandre Gabriac, président des Jeunesses Nationalistes, subit de nouveau les affres de la garde à vue, pour avoir déployé sur le toit d’un immeuble lyonnais une banderole « Adoption, mariage ? Pas question ! », à l’occasion d’une manifestation nationale contre le mariage homosexuel. La procédure diligentée, de façon abusive, pour attroupement armé à l’encontre d’Alexandre Gabriac et huit de ses amis, en possession seulement de fumigènes et prétendument de casques de chantier, traduit bien la nature arbitraire de la répression mise en œuvre par le système et l’extrême nervosité de celui-ci face au réveil de notre nation.

Au terme de 48 heures de garde à vue, en dépit de tous ses efforts qui confinent à la persécution, le Procureur de la République n’a pu réunir assez d’éléments pour traduire notre jeune ami devant quelque juridiction que ce fût ou même faire ouvrir une information judiciaire à son encontre. Ce magistrat très zélé a donc été obligé de rendre à Gabriac ce bien précieux dont il semble faire si peu de cas à notre égard : la liberté ! Il nous reste à attendre, résolus à faire face et sereins, les suites qui pourraient être données à ces dérives judiciaires dignes d’une tyrannie.

12:07 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse : Femen : j’ai le bûcher qui me démange

femen.jpg

Denis Cheyrouze

Boulevard Voltaire cliquez ici 

Les sorcières de 2012 ont beaucoup de chance par rapport à leurs consœurs d’il y a un millier d’années : au pire, elles se prennent quelques baffes. Et en matière de baffes, les possédées hystériques qui sont venues se confronter à la manif de Civitas de dimanche n’ont pas encore reçu le quota qui leur revient.

Dans la vidéo ci-dessous que s’est procurée Boulevard Voltaire, le déroulement des faits est limpide.

 

 

 

 

Étape 1 : des jeunes femmes — équipées d’un couvre-chef de nonne — font irruption au milieu de la manifestation, en hurlant des slogans débiles en anglais dont l’extraordinaire « In Gay we trust ». Aucune réaction des familles catholiques, probablement pas très aguerries aux subtilités américano-philosophiques dudit slogan.


Étape 2 : déçues de ne pas avoir déclenché la sainte ire des familles, les névrotiques nues passent à l’attaque physique, en aspergeant la foule de poudre blanche sortant d’extincteurs marqués « sperm ». Là, évidemment, même les moins anglophones des membres de Civitas auront compris.


Étape 3 : quelques mâles du cortège tentent de protéger enfants et familles en repoussant les assaillantes. Bref, ils font leur devoir, ce qui n’est plus vraiment à la mode.


Évidemment, les flashes crépitent, la presse étant comme par hasard rassemblée exactement à l’endroit de l’intervention.

 

A la guerre comme à la guerre...

 

Sur leur site web, les Femen posent en guerrières. Leur slogan est clair : « Sextremism », accompagné du mot « War » — la guerre.

 

boulevard-voltaire-terroristes.jpg

 

Or, petites choses pleurnichardes, lorsqu’on prétend aller à la guerre et qu’on s’étiquette soi-même extrémiste, il ne faut pas s’étonner de recevoir — au minimum — quelques gifles bien senties. Vous l’avez peut-être oublié, mais lorsqu’on va à la guerre, la vraie — comme vous le préconisez et l’affichez sur votre site — on risque une balle dans la tête, pas des torgnoles. Considérez-vous donc comme diablement chanceuses.


« …comme on peut imaginer les militants d’extrême droite tabasser des Arabes et des Noirs… »


Le plus amusant dans tout ça, c’est évidemment Caroline Fourest. Dans les interviews (1) qu’elle donne depuis dimanche soir, elle réussit à expliquer : "On m’a tirée par les cheveux, tabassée, comme on peut imaginer les militants d’extrême droite tabasser des Arabes et des Noirs ou des femmes".

 

Ce faisant, la Fourest choisit bien son verbe : imaginer.

 

Car, petite madame, le peuple de France qui vous lit — ou vous ignore, pardonnez-le — a les yeux grands ouverts. Et lorsqu’il « imagine » en France des personnes en tabasser d’autres, il tend à inverser vos sujets et vos compléments.


Vous devriez prendre plus souvent le RER, petite madame.

 

(1) Le Figaro cliquez là

11:37 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

20 novembre 1936 - 20 novembre 2012 : Jose-Antonio Primo de Rivera...

20043_274585771812_3987354_n.jpg

José Antonio Primo de Rivera y Saénz de Heredia est né à Madrid le 24 avril 1903, mais ses racines familiales sont en Andalousie, plus précisément dans les terres de Jerez de la Frontera (Province de Cádiz). Il est l’aîné de cinq enfants qui, très tôt, perdront leur mère en 1908. Bien que sa famille soit de tradition militaire, il choisit la profession d’avocat après avoir étudié le droit à l’Université Centrale de Madrid, où il obtient sa licence en 1922.

Fils du général Miguel Primo de Rivera, dictateur qui gouverne l’Espagne de 1923 à 1930, il demeure résolument à l’écart de toute activité politique jusqu’au décès de son père. Celui-ci meurt en exil, à Paris, quelques semaines après avoir renoncé à sa charge. José Antonio hérite de lui le titre de marquis d’Estella. Dans le seul but de défendre la mémoire de son père, durement attaquée par ses adversaires après sa mort, il adhère à l’Union Monarchique Nationale, une organisation politique dont la vie est éphémère. Le respect filial conduit José Antonio à présenter sa candidature aux Cortés, à Madrid en 1931. Après avoir subi un échec, ses interventions publiques, pour revendiquer l’action de son père, se limitent à des plaidoiries dans une série de procès. En 1932, il est soupçonné d’avoir collaboré au soulèvement du général Sanjurjo. Arrêté, il est finalement relâché faute d’éléments à charge.

Son rejet des vieilles formules politiciennes l’amène à s’intéresser au phénomène fasciste. Il participe, en 1933, au seul numéro du journal El Fascio. Il y publie un article préconisant un nouveau modèle d’État social. Peu de temps après, avec le prestigieux aviateur Julio Ruiz de Alda, il fonde le Mouvement Espagnol Syndicaliste (MES). Son organisation entre immédiatement en contact avec plusieurs membres du Front Espagnol (FE), groupement qui a été créé par des disciples du philosophe José Ortega y Gasset. Le projet politique de José Antonio mûrit peu à peu au cours des mois suivants. Il est finalement présenté au public à l’occasion d’un meeting au Théâtre de la Comédie, à Madrid, le 29 octobre 1933. Quelques jours plus tard, le nouveau mouvement est enregistré sous le nom de Phalange Espagnole (FE).C’est le début d’une activité politique intense pendant laquelle José Antonio mène de front la consolidation du mouvement et la charge de député. Candidat indépendant aux élections de 1933, il obtient en effet un siège dans la circonscription de Cadiz. En février 1934, FE fusionne avec les Juntas de Ofensiva Nacional-Sindicalista (JONS) et devient FE de las JONS. L’organisation est alors dirigée par un Comité Directeur, qui prend la forme d’un triumvirat constitué par José Antonio Primo de Rivera, Ramiro Ledesma et Julio Ruiz de Alda ; ce dernier étant également le président. Mais la renommée attachée au nom de Primo de Rivera, la qualité de député et la personnalité hors du commun de José Antonio font immédiatement de lui le principal représentant de FE de las JONS dont il devient chef national en octobre 1934.

À mesure que le mouvement se développe, les rangs de la Phalange se libèrent de l’emprise des illustres personnalités monarchiques qui au début altèrent le projet politique de José Antonio. Mais c’est la défection de Ramiro Ledesma qui marque le point d’inflexion le plus important dans l’évolution politique de la pensée josé-antonienne. Celle-ci s’éloigne désormais tous les jours davantage du corporatisme fasciste.

Depuis son siège aux Cortés, José Antonio dénonce les véritables causes de la Révolution d’Octobre 1934, analyse le problème du sentimentalisme catalan, s’oppose à la contre-réforme agraire projetée par les conservateurs et critique durement la corruption des politiciens radicaux. Sa proposition de Front National, pour faire face au danger marxiste qui se profile en Espagne, reste sans écho parmi les partis de droite. Les candidats phalangistes sont alors conduits à se présenter seuls aux élections de février 1936 et n’obtiennent aucun siège.

José Antonio est arrêté, en même temps que la majeure partie du Comité Politique de la FE de las JONS, le 14 mars 1936, pour constitution et appartenance à « association illégale ». Cette accusation est finalement écartée par les tribunaux, mais José Antonio n’en reste pas moins incarcéré sur ordre des autorités gouvernementales du Front Populaire. Il ne recouvrera plus jamais la liberté. Alors que ses camarades sont poursuivis - emprisonnés ou assassinés -, il doit affronter plusieurs procès judiciaires. Le 5 juin 1936, José Antonio est transféré à la prison d’Alicante, lieu où il se trouve lors du soulèvement du 18 juillet. Désireux de mettre fin à la tragédie de la guerre civile, il offre sa médiation dans l’espoir de constituer un gouvernement de concentration nationale. Mais le Gouvernement républicain ne retient pas sa proposition. Jugé pour rébellion, il est condamné à mort et fusillé le matin du 20 novembre 1936. Quelques heures avant de mourir, il écrit dans son testament : « Dieu veuille que mon sang soit le dernier sang espagnol versé dans des discordes civiles ».

Dès la fin de la guerre, son corps est transféré au Monastère de Saint-Laurent de l’Escurial. Il y restera jusqu’au 30 mars 1959, date à laquelle il recevra une sépulture définitive devant l’autel majeur de la basilique de la Sainte Croix de la Vallée des Morts au Combat, après avoir été porté à dos d’hommes par des camarades qui souvent n’ont pas eu l’opportunité de le connaître de son vivant. Sur la simple pierre tombale de granit qui le recouvre figure le nom avec lequel il est entré dans l’Histoire : José Antonio.

Source Fondation Jose-Antonio cliquez ici

Un autre 20 novembre :

imagesCAJ81B1K.jpgC'est aussi un 20 novembre, le 20 novembre 1975, que disparaissait à Madrid le Général Francisco Franco Bahamonde, chef de l'Etat espagnol, qui, durant 40 ans, fit de l'Espagne une nation forte et prospère. Il aura fallu aussi à peine 40 ans à la démocratie parlementaire instaurée après sa mort pour la mener à la ruine...

01:15 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 19 novembre 2012

La haine et le mépris antifrançais d'Houria Bouteldja impunis...

195467622_e548a4c2a2.jpgUn communiqué de Bernard Antony, Président de l'AGRIF :

Rejetant la plainte en appel de l‘AGRIF et ne suivant les sévères réquisitions du Parquet, la Cour d’Appel de Toulouse, présidée par le juge Bastié, a prononcé la relaxe d’Houria Bouteldja, acceptant de la croire quand elle affirme n’avoir pas traité de « sous-chiens » « ces blancs qu’il faut bien nommer » et qu’il faut « éduquer », mais de souchiens.

L’islamo-gauchiste Houria Bouteldja, et son PIR (« parti des indigènes de la république » !) et son idéologue Saïd Bouamama, l’auteur du livre « Nique la France » ont de quoi être satisfaits. Et avec eux, ils ont de quoi hurler leur joie, ceux de leur bande qui les accompagnaient, comme les rappeurs de la haine, devant le tribunal de Toulouse et éructaient « On nique la France ».

Houria Bouteldja pourra allègrement continuer à exalter la victoire sur notre armée du Viet-minh communiste à Dien-Bien-Phu. Et les fils et petits-fils rescapés de cette tragédie où moururent au combat ou dans les camps d’extermination tels que le camp 113 du tortionnaire Boudarel, ces enfants des soldats de la boue, d’origine métropolitaine, indochinoise ou africaine, doivent se persuader – lavage de cerveau oblige ! – qu’ils sont des « enfants de salauds ».

Président de l’AGRIF, j’exprime, la rage au cœur, ma grande tristesse devant l’impunité accordée au racisme d’Houria Bouteldja à Toulouse, la ville hélas de Mohamed Merah. Cet arrêt de la Cour d’Appel de Toulouse est un dur revers pour ceux qui veulent épargner à leur peuple la montée du racisme et des terribles épreuves de guerre civile et peut-être sa réduction finale dans une soumission honteuse.

20:48 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Varsovie, 11 novembre 2012, 100 000 patriotes dans les rues pour défendre la Pologne polonaise :

19:50 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A l'attention des adeptes de la repentance :

19:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Qui finance les Femen qui montrent leurs seins pour du pain ?

 

3.jpg

Source : La voix de la Russie

 

La journaliste d’une chaîne de télévision ayant infiltré l’organisation féministe ukrainienne a découvert des détails intéressants concernant le fonctionnement de l’organisation. Sa conclusion : les militantes ont pour objectif de se faire de la publicité et sont financées par des représentants des milieux d'affaires européens et américains.

 

Pour comprendre le fonctionnement de l’association FEMEN, une jeune journaliste de la télévision ukrainienne a intégré l’organisation et a participé à ses actions « seins nus » en filmant ce qui se produisait avec une caméra cachée. Elle a suivi pendant plusieurs semaines une initiation professionnelle à l’art de la scène et aux relations publiques, apprenant à se comporter agressivement pour attirer l’attention des journalistes et se présenter comme une victime innocente. Le plus important – c’est d'être à l’aise en montrant ses seins au public lors des manifestations.

 

Diaporama : Les membres de l’organisation FEMEN sont descendues dans les rues de Paris

 

La nouvelle recrue de FEMEN a fait ses débuts lors de l’action à Paris, où l’association a ouvert récemment un bureau. Les filles de FEMEN sont venues à Paris pour manifester devant le Centre culturel islamique de la capitale française. Selon la journaliste, elle ressentait littéralement sur sa peau les regards chargés de colère des gens, dont les sentiments religieux ont été délibérément offensés.

 

« L'action se déroule près du Centre culturel islamique et nous sentons que la foule est prête à nous déchirer en morceaux. Seuls les appareils photo de mes confrères nous ont sauvés du lynchage », a-t-elle dit après la manifestation.

 

Le voyage à Paris était offert à la journaliste par l’organisation FEMEN. Le billet d'avion, la chambre d'hôtel, les voyages en taxi et la nourriture coûtaient un millier d’euros par jour pour chacune des participantes, sans compter les frais de costumes, les services des maquilleurs et des stylistes.

 

La journaliste a également découvert que les activistes de FEMEN sont payées pas moins de 1 000 dollars par mois, le triple du salaire moyen en Ukraine. En outre, le loyer que l’association verse pour son bureau de Kiev s’élève à 2500 dollars par mois, alors que le loyer mensuel du bureau parisien se monte à plusieurs milliers d’euros.

 

Malheureusement la nouvelle activiste n’a pas pu découvrir qui sponsorise le mouvement, ni découvrir la personne qui appelle les militantes à mener telle ou telle action de protestation. La journaliste suppose qu’il s’agit certainement de personnes qui apparaissent souvent aux côtés des militantes du mouvement. Il s'agirait notamment du milliardaire allemand Helmut Geier, de la femme d’affaires allemande Beat Schober, et de l’homme d'affaires américain Jed Sunden.

 

Wikipédia soutient également la version selon laquelle ce dernier financerait les actions de FEMEN.

 

Via Hervé Ryssen cliquez là

16:33 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante...

P1020934.JPGRobert Spieler

RIVAROL N° 3069 du 16/11/2012

 

APRÈS la polémique sur « Un bon juif » sur internet, laissant, paraît-il, les pires dérives s’exprimer, voici « Un bon antisémite » qui tient la corde : avec des centaines de commentaires supposés être plus drôles les uns que les autres. Dieu merci, Hollande et Netanyahu, Premier ministre d’Israël, étaient là, récemment à Toulouse, pour clarifier les choses. François Hollande en a profité pour reconnaître que l’antisémitisme existait en France, ce que nous ignorions, et a assuré sa détermination à « pourchasser, poursuivre, éradiquer ce fléau. » La présidente en Midi-Pyrénées du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), Nicole Yardeni, a eu des propos forts, saluant « un message d’unité contre cette menace qui pèse sur toute l’humanité. » Toute l’humanité, faut quand même pas exagérer… Elle a déclaré : « Le pire cauchemar, pour un Juif, c’est qu’il n’y ait plus Israël pour l’accueillir. » Mais combien de Juifs français veulent-ils s’installer en Israël ? En attendant, le Grand rabbin de France, Gilles Bernheim, a rappelé la promesse du président de la République d’assurer la sécurité de la communauté juive de France en la déclarant « cause nationale ». « Cause nationale »… Les petits blancs des banlieues, qui subissent les agressions des allogènes aimeraient eux aussi être une « cause nationale ». Passons…

 

ÇA NE FINIRA JAMAIS…

 

Le Grand rabbin, disert en diable, appelle les autorités religieuses musulmanes à « s’ouvrir à la communauté juive et à rejeter les courants fanatiques. » Y croit-il ou se moque-t-il du monde ? On ne sait pas… Mais lisez quelques extraits de l’éditorial de Xavier Panon, à propos de la cérémonie souvenir de Toulouse, parus dans le journal L’Yonne. C’est vraiment trop émouvant : « Une émotion rare. Des gestes libérés du protocole. Des discours forts. Il reviendra comme toujours aux historiens d’en saisir le sens profond et d’en mesurer l’importance avec le recul nécessaire ». Ce n’est absolument pas fini, car chez ces gens-là, ça ne finit jamais : « Il saute aux yeux que la cérémonie de Toulouse en hommage aux victimes de Mohamed Merah marquera une page singulière de la relation souvent tumultueuse entre la France et Israël (Mais où est-il allé chercher cela ?) ». Et le journaliste de conclure, des trémolos dans son stylo : « Et peut-être aussi entre la France et les Juifs de France ». Mais ce n’est toujours pas fini… Accrochez-vous. Le Président de l’Assemblée nationale recevait lors d’une brillante soirée à l’Hôtel de Lassay, pour son premier dîner de gala, le « Projet Aladin ». L’objet de cette jeune institution qui œuvre en partenariat étroit avec la Fondation pour la Mémoire de la Shoah ? Un dialogue entre Juifs et Musulmans, afin de mener ensemble le combat contre le négationnisme, l’islamophobie et toutes les formes de racisme et de discrimination. Trop fort… Ils osent tout, et c’est à ça qu’on les reconnaît.

 

UN NOUVEL ATTENTAT ANTISÉMITE “LA VICTIME ÉTAIT DE DOS”

 

Quelques semaines après l’agression d’une boutique casher dans la ville de Sarcelles (95), un homme de confession juive a été agressé, il y a dix jours, par sept inconnus alors qu’il se rendait à la synagogue. Selon le site du Crif, les “inconnus”, on ne saura pas qui sont ces « inconnus », ont « lancé des œufs sur son manteau avant de lui porter un coup au niveau des jambes, alors que la victime était de dos ». « La victime était de dos » : voici une précision d’une extrême importance qui méritait d’être portée à la connaissance des lecteurs de RIVAROL.

 

ROSELYNE BACHELOT, C’EST LA CASTAFIORE

 

Roselyne Bachelot, ancienne ministre et désormais animatrice de l’émission archinulle, tendance hystérique et piapiateuse de D8, qu’elle présente aux côtés de Laurence Ferrari, raconte sa passion pour l’opéra. Elle adore, ce qui est tout à fait à son honneur, cette phrase de Nietzsche, qu’elle cite : « La vie sans musique est une erreur. » Elle se souvient avec fierté d’avoir su jouer J’ai du bon tabac à l’âge de 4 ans. Amusant pour la future ministre de la Santé… Elle explique qu’elle a toujours rêvé être Maria Callas, « la plus grande, le fantasme absolu » (qu’Hergé avait représentée, dans Tintin, sous les traits de la Castafiore). Et elle conclut par ces puissants propos : « En écoutant “La Walkyrie”, je me sens “moi” ». Houlà ! Attention, terrain glissant ! Adolf Hitler aimait aussi Wagner… Mais Roselyne Bachelot se rattrape, en précisant : « Mais je vous rassure, j’aime aussi écouter Brel et Amy Winehouse. Je ne suis pas une intégriste. » Nous voici soulagés… Gott sei dank (Dieu merci). Patrick Balkany, le maire de Levallois ; s’autorise quant à lui ce petit commentaire légèrement misogyne : « Bachelot n’est pas à son avantage dans des robes qui la boudinent. Pour le reste », dit-il « c’est du babillage de petites snobinardes. Son émission n’a aucun intérêt. » Celle qui disait « J’ai l’air d’une pute », perchée sur de hauts talons, alors qu’elle choisissait son déguisement dans la perspective de l’émission appréciera le compliment de Balkany à sa juste valeur…

 

LES LE PEN, SANS PITIÉ POUR LE BLOC IDENTITAIRE

 

Le Bloc Identitaire, qui a pourtant tenté de multiples entreprises de séduction en direction du FN mariniste est Grosjean comme devant. Pour Marine Le Pen, le Bloc « est un parti d’agit-prop. » Elle s’autorise cette considération d’une haute humanité : « Je ne crois pas qu’ils désirent la violence, mais s’ils la désiraient, ils me trouveraient sur leur route pour les en empêcher. » En voici de fortes paroles ! Marine Le Pen défend une démocratie au demeurant nullement menacée par le Bloc Identitaire. Si le Bloc était fasciste, ça se saurait… Les sites ultra-sionistes disent le plus grand bien de ses actions. Alors ? Marine Le Pen enfonce cependant le clou : « Il n’y aura pas d’accord avec le Bloc Identitaire, nous avons trop de différences de fond. » Elle ajoute : « Si certains considèrent qu’ils sont plus proches de nos options, ils peuvent nous rejoindre. » Elle exclut évidemment toute double appartenance. Concrètement, elle dit que la condition sine qua non de l’adhésion de Philippe Vardon au FN est l’abandon de ses engagements à Nissa Rebela, dont il est président, et du Bloc Identitaire, qu’il dirige. Le vice-président du FN, Louis Aliot, fait mine de s’interroger gravement : « Philippe Vardon partage-t-il notre idéal national ? » Houlà, pas bon, voici de très, très lourds sous-entendus… Jean-Marie Le Pen, connu pour être un très grand humaniste, déclare, quant à lui : « Si M. Vardon a envie d’aller à Canossa et de nous rejoindre, pourquoi pas ? » Quelle cruauté ! Quel mépris abyssal ! Le pauvre Vardon avait pourtant déclaré, il y a quelques jours : « Je prendrai aussi sur moi d’aller taper aux portes, et même une seconde et même une troisième fois si on me les referme au nez, et même de les enfoncer ces portes s’il le faut, les portes de nos partenaires éventuels. » C’est vraiment trop mignon. Traduction : « Je suis prêt à me coucher, je me couche, je demande pardon, pardon pour je ne sais quoi, mais pardon quand même. Mea culpa, mea maxima culpa. J’ai tant péché, tant péché. Je ne suis qu’un misérable vermisseau qui va à résipiscence… » Allez, passons à autre chose…

Spieler.jpg

 

 

MARCHÉ DE NOËL ? NON ! MARCHÉ D’HIVER !

 

Le marché de Noël d’Amiens est, ou plutôt était le plus grand de France, attirant plus d’un million de personnes. Il avait été rebaptisé « Parfums d’Hiver » en 2008. La raison poussive exprimée par la mairie ? C’était pour « se démarquer de tous les marchés de Noël qui foisonnent désormais dans nos villes et nos villages. » Désormais la mairie socialiste a trouvé une autre dénomination, d’une beauté fulgurante : « Marché d’hiver ». Sans commentaires...

 

ERSTEIN (ALSACE) : LE MAIRE N’AURA PAS SA BELLE MOSQUÉE

 

Le maire d’Erstein, Jean-Marc Willer, conseiller régional socialiste, est malheureux. Il n’aura pas sa belle mosquée. Et pourtant, il n’avait pas ménagé sa peine, ni lésiné sur les manœuvres dilatoires et les mesures autoritaires pour imposer aux habitants de ce quartier résidentiel l’installation d’une mosquée et d’un centre culturel turcs. Contre l’opinion quasi unanime de ses administrés, le maire a voulu passer en force et avait délivré en octobre 2010 un permis de construire des plus hasardeux. Mal lui en a pris. L’énergumène socialiste et islamophile n’avait respecté ni les règles des Etablissements recevant du public (ERP), ni le Plan d’occupation du sol. Du coup, la Cour administrative d’appel de Nancy vient d’annuler le permis de construire, arguant notamment d’un manque manifeste de places de parking. Mais qu’à cela ne tienne. Le maire a accordé un nouveau permis à l’association turque qui avait déposé la demande. Par quel tour de passe-passe les parkings qui se révélaient insuffisants pour le premier permis seraient-ils suffisants pour le second ? La réponse, comme le note Jacques Cordonnier sur le blog Alsace d’Abord, relève du gag. Les Turcs ont découvert, un peu tardivement, qu’il y aura en fait moins de fidèles qu’ils ne l’avaient déclaré deux ans plus tôt. Il apparaît en effet qu’un musulman qui prie à genoux occupe plus de place qu’un fidèle qui prie debout. On divise la superficie de la pièce par la surface d’un tapis de prière, et hop, le nombre de personnes fréquentant la mosquée diminue d’un coup. Et le tour est joué… Sauf que l’avocat des indigènes, Me Bonneau, a déposé un nouveau recours, et qu’il n’est absolument pas certain que les magistrats acceptent d’être pris pour des imbéciles. En attendant, le maire (qui ne le restera pas longtemps, rassurez-vous), avait fait voter une subvention de 65 000 euros en faveur de l’association turque et le Conseil général du Bas-Rhin (supposé être de droite) avait accordé une misérable aumône de 30 000 euros. Raus ! (Dehors !)

 

SALAUDS D’ENFANTS !

 

Le Dictionnaire numérique des écoliers, qui comprend 17.000 définitions écrites et illustrées par des enfants de la grande section de maternelle au CM2, avait été lancé en septembre 2010 par la Direction générale de l’enseignement scolaire, dans le cadre du plan national contre l’illettrisme. Ce site sera « provisoirement fermé » dans l’attente d’une « révision » et de la « relecture et réécriture » de certaines définitions. Il est vrai que les crétins cosmoplanétaires du ministère avaient de quoi être choqués, d’autant que la vérité sort de la bouche des enfants. Exemples : « Une femme est une maman, une mamie ou une jeune fille. Elle peut porter des bijoux, des jupes ou des robes. Elle a de la poitrine. » Ou encore : « Le père est le mari de la maman. Sans lui la maman ne pourrait pas avoir d’enfants. C’est le chef de famille parce qu’il protège ses enfants et sa femme. » Quant au mot “mère”, un épouvantable enfant provocateur n’a pas hésité à écrire : « Ma mère repasse les affaires de toute la famille. »

 

SOCIALISTE ET NATIONAL-SOCIALISTE

 

Nisrine Zaïbi, 24 ans, est vice-présidente du conseil régional de Bourgogne. Elle est, paraît-il, issue de la “diversité” et est brillamment intervenue au congrès du parti national-socialiste, pardon, du parti socialiste, à Toulouse. Quelques minutes après le début de son intervention, elle a exprimé sa joie de « pouvoir s’exprimer au congrès du parti national-socialiste ». La pauvrette a tenté de se rattraper en disant combien elle avait « pleuré en voyant arriver Jean-Marie Le Pen en finale en 2002. » Dans la foulée, sans doute émue aux larmes par l’impeccable agencement des cohortes de SA et de SS, elle a commis un second lapsus, évoquant « notre président de la République, François Patriat ». Mais qui est François Patriat ? Eh bien, il s’agit du président de la région Bourgogne, où elle siège. Remarquez qu’elle aurait pu évoquer « notre président de la République, Adolf Hitler. » Nul doute que les ovations eussent été interminables…

 

HOLLANDE EST RIGOLO

 

Hollande n’a pas manqué d’adresser un mot de félicitations à Obama pour sa réélection. Histoire de témoigner de son intense amitié pour le président réélu, il a écrit au stylo le mot “friendly” à côté de sa signature. Problème : “Friendly” ne signifie pas, en anglais “amicalement” mais, accolé à la signature de Hollande, « sympathique François Hollande ». Du moment qu’il se trouve lui-même sympathique, pourquoi pas, après tout… En attendant, ça ironise sec sur Internet.

 

LA ROTTWEILER MORD

 

La première concubine de France a attaqué le livre La Frondeuse, qui a révélé sa relation supposée avec l’ex-ministre UMP Patrick Devedjian. Le procès devrait se tenir le 10 décembre devant la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris. La concubine réclame 85 000 euros de dommages et intérêts aux deux auteurs, Alix Bouilhaguet et Christophe Jakubyszyn : 40 000 euros pour atteinte à la vie privée, 40 000 euros pour diffamation (à la place de Devedjian, je n’apprécierai que modérément), et 5 000 euros pour frais de justice. Valérie Trierweiler a déjà fait savoir qu’en cas de victoire, elle reverserait les sommes à des associations. Lesquelles ? On l’ignore. Peut-être à l’Association de concubines de France ? Madame est vraiment trop bonne…

16:10 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Caroline Fourest ira-t-elle coller des affiches pour Marine Le Pen ?

Comme chacun sait, Caroline Fourest est une journaliste consciencieuse... (on ne rigole pas). A tel point que lorsqu'elle vient faire un reportage sur une manifestation, comme elle prétend que c'est le cas (film ci-dessus), elle n'hésite pas à s'investir (sans doute navrée de l'ampleur sommes-toutes limitée, pour ne pas dire ridicule, de la contre-manif - une douzaine d'excitées exibitionnistes contre 20 000 manifestants...) dans ladite manifestation comme le prouve la photo ci-dessous. 

483046_547093145304776_98490526_n.jpg

Suggestion : la prochaine fois que Caroline Fourest écrira un livre sur Marine Le Pen, celle-ci aura qu'à lui demander d'aller coller des affiches du FN dans les quartiers sensibles... Histoire de rester "pro" jusqu'au bout comme elle prétend l'être...

14:37 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |