jeudi, 25 octobre 2012
Nouvelles révélations sur Che Guevara : quand il voulait détruire New York !
Cet article dévoile la face cachée d'Ernesto Guevara :
L’icône « rebelle », bien que communiste (1), dont les bourgeois boutonneux et les ados attardés occidentaux aiment à arborer le portrait sur leurs t-shirts, révèle encore davantage sa haine homicide, 50 ans après sa mort.
En effet, on apprend (2) que peu après la crise des missiles à Cuba, alors que le monde avait échappé à la guerre nucléaire (3), Guevara demandait (cliquez là) encore la possibilité de récupérer secrètement des missiles russes et déclarait en secret à l’ambassadeur de Yougoslavie à La Havane : « Si nous, les Cubains, avions le contrôle de [ces] armes nucléaires, nous les installerions sur chaque centimètre de Cuba et n’hésiterions pas, si nécessaire, à les tirer dans le coeur de l’adversaire : New York. »
Voilà qui complète le portrait du « Che », dont Fidel Castro vantait la « qualité d’agressivité excessive ». Et c’est le moins qu’on puisse dire, quand on sait comme Guevara aimait à torturer et exécuter lui-même les condamnations à mort qu’il décrétait abondamment.
Il relatait ainsi, dans un passage de son journal de la guérilla censuré par les autorités cubaines, qu’il s’était porté volontaire pour réaliser la première exécution décidée par les guérilleros, et décrivait lui-même avec complaisance la scène : « J’ai résolu le problème en lui tirant dans l’hémisphère droit du cerveau une balle de calibre 32, qui est ressortie par la tempe gauche. Il gémit quelques instants puis mourut. »
Castro lui confia le commandement du tribunal révolutionnaire de la Cabaña chargé de juger les responsables du régime de Batista, car il savait que Guevara ne montrerait aucune clémence. Ce dernier ne s’en cachait d’ailleurs pas et s’en justifia officiellement le 11 décembre 1964, devant l’Assemblée générale des Nations unies : « Nous avons fusillé, nous fusillons et nous continuerons à fusiller tant que cela sera nécessaire. Notre lutte est une lutte à mort ». Avec, comme moteur, la haine. Comme il l’écrivit dans son message d’avril 1967 à la Tricontinentale, elle était selon lui indispensable : « la haine comme facteur de lutte ; la haine intransigeante de l’ennemi, qui permet à l’être humain de dépasser ses limites, et le transforme en une efficace, violente, sélective et froide machine à tuer »…
Luciano Medina, l’ancien facteur personnel de Castro pendant la guerre cubaine, raconte : « Mais surtout, il tuait comme on avale un verre d’eau. Avec lui, c’était vite vu, vite réglé. Un matin, vers 9 heures, nous déboulons au Rancho Claro, une petite exploitation de café appartenant à un certain Juan Perez. Aussitôt, le Che accuse le fermier d’être un mouchard à la solde de la dictature de Batista. En réalité, le seul tort de ce pauvre homme était de dire haut et fort qu’il n’adhérait pas à la révolution. Une heure plus tard, le malheureux caféiculteur est passé par les armes devant sa femme et ses trois enfants de 1, 3 et 4 ans. Les voisins étaient traumatisés, indignés. Et nous, la troupe, nous étions écoeurés. Avec trois autres compañeros, nous avons ensuite quitté le Che pour rejoindre un autre campement.»
Dans la prison de la Cabaña, que gère Guevara en cette année 59 et où l’on fusille tous les jours, il fait volontiers preuve de sadisme. « Lorsque les familles rendent visite à leurs proches, Guevara va jusqu’à exiger qu’on les fasse passer devant le mur d’exécution, maculé de sang frais… » relate un membre du personnel.
On ne peut pas non plus ne pas évoquer cette affaire emblématique, où Guevara fait immédiatement exécuter un gamin affamé, un jeune guérillero membre de sa colonne, qui avait… volé du pain.
On ne souhaite pas non plus aux jeunes admirateurs modernes de Guevara, généralement libertaires, d’avoir connu les « camps de travail correctif » que leur héros a inventé en 1960, dans la péninsule de Guanaha…
Notes
(1) « J’appartiens, de par ma formation idéologique, à ceux qui croient que la solution des problèmes de ce monde est derrière ce qu’on appelle le rideau de fer » écrit-il à un ami en 1957 ↩
(2) Dans le dernier numéro du « Cold War International History Project Bulletin », sous la direction de James Hershberg, octobre 2012 ↩
(3) (et que Castro, qui voulait absolument que les Russes lancent en premier l’attaque nucléaire, n’avait pu convaincre ces derniers).
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Y a-t-il un pilote dans l’avion ?
Le billet de Patrick Parment
« Vous avez raison de vous demander s’il y a un président à l’Elysée ». Cette phrase n’est pas de nous, mais de Jean Peyrelevade, économiste de gauche, ex-directeur de cabinet de Pierre Mauroy, président de diverses banques (Suez, Stern, Crédit lyonnais). A défaut d’être Madame Soleil, Peyrelevade a quelques compétences en matière économique. C’est dire si la situation est plus que préoccupante quant à la capacité de Flanby – François Hollande – à agir et à sortir la France du marasme dans lequel l’a plongée des années de libéralisme débridé. De son côté, un membre d’un cabinet ministériel avoue : « On est vraiment dans l’angoisse, on a compris la gravité de la situation, mais on n’a pas de solution. »
Une fois de plus les socialistes démontre leur laxisme en matière de dépenses qui ne relevent pas de l’urgence mais bien de l’impératif idéologique : le retour partiel à la retraite à 60 ans ; l’augmentation de 25 % de l’allocation de rentrée scolaire ; l’embauche d’une première vague de 65 000 postes d’enseignants ; la confirmation de la création à venir de 150 000 emplois d’avenir, etc. Et le financement de tout ça ? Mystère.
Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif – un titre qui rappelle la Révolution nationale de 1940, l’imagination en moins – tente autant que faire se peut, d’arrêter l’hémorragie ininterrompue des fermetures d’usines. Alors, il en appelle aux industries innovantes que l’on retrouve dans les pôles de compétitivité, et tente de se substituer aux banques qui ne font pas leur boulot en créant une Banque d’investissement pour les PME alors que l’on dispose d’un outil équivalent avec Oséo.
A défaut d’innover, on s’en remet donc aux vieilles recettes socialistes : on augmente les impôts, on taxe les riches et sous peu on taxera un peu plus la classe moyenne, ce qui ne risque pas de relancer la consommation et donc l’activité économique. « Achetez français », nous dit Montebourg, reprenant un vieux slogan du camarade Marchais … on aimerait bien, mais ça devient difficile avec la mondialisation et plus encore cette engeance qu’est la grande distribution.
Près de 900 usines ont fermé entre 2009 et 2011. En dix ans, la France a perdu 800 000 emplois industriels : merci Mitterrand, Chirac, Sarko ! Enfin, l’Insee nous apprend que la rentabilité des entreprises n’a jamais été aussi faible. Pas étonnant, dès lors, que notre déficit commercial soit abyssal : 70 milliards d’euros.
Face à cet immobilisme, la sous-ministre « bobo » Touraine amuse le bon peuple avec le mariage homosexuel, la Guyanaise Taubira entend vider les prisons quand la délinquance quotidienne augmente, que dans les banlieues on s’en prend maintenant directement aux forces de l’ordre et qu’il ne se passe pas un jour sans que l’on n’arrête des Roms condamnés à l’errance faute de solution. La liste est trop longue d’une société française en pleine dissociation.
On laissera le mot de la fin à Ségolène Royal, lucide pour une fois : « Maintenant, il faut passer à une nouvelle phase, celle des réformes de structures promises dans le programme présidentiel : réforme du système financier, réforme fiscale, révolution écologique, avenir de la jeunesse… » A priori on est pas contre...
Sauf que l’Elysée est aux abonnés absents.
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Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :
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Les étrangers de Franco... un livre de Sylvain Roussillon
Le titre est paradoxal. Voilà un ouvrage qui relate l’histoire des volontaires étrangers combattant aux côtés des nationalistes pendant la Guerre d’Espagne (1936 – 1939). On sait que le camp républicain bénéficia jusqu’en 1938 du soutien des Brigades internationales voulues et constituées par Moscou et le Komintern. « Si l’histoire de ces 35 000, 45 000, 55 000, 65 000 ou 75 000 “ volontaires de la Liberté ” est bien connue, il en va bien autrement des autres combattants volontaires étrangers qui servirent, avec le même dévouement, le même courage et la même abnégation, une cause qui, par bien des aspects, fut tout aussi respectable que celle de leurs adversaires (p. 59) ».
Avec ce livre novateur dans le domaine francophone, l’auteur, Sylvain Roussillon, examine les motivations, le parcours et l’action et dresse le bilan des quelque 179 068 étrangers qui rejoignirent le camp national au sein du Tercio de la Légion étrangère, de la Phalange, des Requetès carlistes, etc. Il figure même des pages 338 à 341 un remarquable tableau consacré à leur répartition précise.
Les « Brigades internationales » de Franco est à faire impérativement lire aux jeunes militants, aux lycéens, voire aux collégiens les plus mûrs, afin qu’ils comprennent toute la complexité de l’histoire au-delà des clichés habituels professés par des enseignants souvent ignares. Outre quelques mises au point qui rectifient des lieux communs (la propagande autour de Guernica cache la tragédie du Santuario de Nuestra Senora de la Cabeza et le massacre de 800 personnes par les « Rouges »), l’auteur rappelle quelques évidences. Ainsi les combattants étrangers de Franco étaient-ils des volontaires, y compris les Allemands et les Italiens. La Légion Condor, symbole de l’intervention germanique dans le conflit, joua principalement une fonction d’intendance. « Les troupes de l’armée d’Afrique franchirent le détroit de Gibraltar pratiquement sans l’aide des avions allemands. L’apport de cette légion fut en grande partie logistique et technique. Ses faibles pertes démontrent d’ailleurs qu’elle fut peu engagée militairement (p. 86). »
Assez méfiants envers ces volontaires en raison d’un sentiment national incandescent, « les Espagnols, quel que soit leur camp auquel ils aient appartenu, avaient davantage besoin de matériels et d’armements que d’hommes (p. 330) ». Les seuls à être vraiment acceptés furent les Regulares, les troupes indigènes recrutées au Maroc espagnol auxquelles s’ajoutèrent des militants nationalistes arabes et nord-africains. Ces musulmans s’élevaient contre le discours athée et anti-religieux du gouvernement du Front populaire. On y apprend que 80 Juifs combattirent aussi du côté national parce que l’irreligion de la gauche espagnole les insupportait !
Sylvain Roussillon ne cache pas les dissensions entre ces volontaires étrangers et les autorités franquistes. Face à l’Italie mussolinienne qui projette d’annexer les Baléares et de coloniser l’Espagne, « il semble même que dans certaines unités nationalistes certains officiers nationalistes aient fêté la bataille de Guadalajara comme… une victoire espagnole sur des troupes étrangères !… (pp. 104 – 105) », les Républicains repoussant les Italiens du Corpo di truppe volontarie.
On rencontre dans les armées de Franco des Russes blancs qui poursuivent leur croisade contre le communisme, des nationalistes ukrainiens, des Asiatiques, des Sud-Américains… Les Roumains de la Garde de fer de Codreanu ne forment qu’une modeste délégation symbolique mais dont l’impact en Roumanie sera spectaculaire grâce à une formidable mise en scène funèbre… Régulièrement, Roussillon est contraint de faire des digressions significatives pour évoquer l’histoire particulière de l’engagement nationaliste. En démystifiant les Viriatos, il explique la situation du Portugal sous Salazar qui entend se débarrasser de l’intégralisme lusitanien. On retrouve une démarche similaire chez Vargas confronté à l’intégralisme brésilien. D’où proviennent les 798 Irlandais « Chemises bleues » d’Eoin O’Duffy partis pour l’Hispanie ? L’auteur y répond en mentionnant les suites des « Pâques sanglantes » de 1916 et la guerre civile de 1921. Il remarque d’ailleurs que « 24 de ces volontaires viennent d’Ulster et que l’un d’entre eux, preuve de l’extrême hétérogénéité de ce continent, sort des rangs des forces de l’ordre unionistes et protestantes de la Royal Ulster Constabulary (R.U.C.) (p. 177) ». Il n’oublie pas de signaler la grande efficacité du groupe de pression irlandais avec Joseph Kennedy auprès du Congrès des États-Unis qui maintint l’embargo sur les armes en destination de l’Espagne républicaine.
Sylvain Roussillon étudie enfin la fameuse Bandera Jeanne d’Arc et en déconstruit le mythe. Il relate les dissensions permanentes au-delà des Pyrénées entre les membres de l’Action française, des Croix-de-Feu, de la Cagoule, etc., d’où une certaine inefficacité militaire… C’est aussi l’occasion pour lui d’évoquer quelques figures. Il en profite pour récuser tout déterminisme politique avec les événements ultérieurs dont la Seconde Guerre mondiale. Si le Britannique John Amery créa en 1943 la Waffen S.S. British Free Corps, deux anciens brigadistes internationaux issus de l’I.R.A., Frank Ryan et Sean Russell, travaillèrent – eux – pour l’Abwehr ! A contrario, les Français des forces carlistes, Michel de Camaret et Auguste-Pierre Combe, se retrouveront ensuite dans la Résistance et la France libre ! Le Camelot du Roi Luc Robert estime, lui, que « son engagement aux côtés des Nationaux espagnols contre le communisme, puis dans la Résistance contre les nazis, relevait de la même logique, celle d’un homme engagé contre la barbarie, d’où qu’elle vienne (p. 252) ».
L’auteur s’intéresse aussi au Sud-Africain Roy Campbell qui se convertit au catholicisme et lutta aux côtés des carlistes de Séville avant de servir Sa Gracieuse Majesté contre le Reich entre 1940 et 1945. « En octobre 1944, Campbell fait la connaissance de C.S. Lewis [auteur de la série Le monde de Narnia - N.D.L.R.] et J.R.R. Tolkien. Le futur auteur du Seigneur des Anneaux, qui avait lui aussi pris parti pour les Nationaux lors de la guerre civile, est enthousiasmé par cette rencontre au point que l’on peut même se demander si la personnalité de Roy Campbell n’a pas en partie inspiré Tolkien pour le personnage d’Aragorn, comme en témoigne une lettre envoyée au lendemain de ce dîner à Christopher Tolkien par son père (p. 199) ». Le plus surprenant des destins est peut-être celui d’Egbert von Frankenberg und Proschlitz. Après 1945, il vivra en R.D.A., co-fondera le N.D.P.D., le Parti national-démocratique d’Allemagne nationaliste, et instruira la jeune armée est-allemande. « L’ironie de l’histoire voudra qu’il côtoie, au sein de la Nationale Volksarmee, d’autres anciens d’Espagne, engagés eux dans les Brigades internationaux (p. 80). »
L’ouvrage de Sylvain Roussillon ne tombe ni dans le manichéisme grotesque, ni dans le moralisme de pacotille; il apporte au contraire une somme de renseignements ignorés. C’est fort heureux !
• Sylvain Roussillon, Les « Brigades internationales » de Franco. Les volontaires étrangers du côté national, préface de Pascal Le Pautremat, Via Romana, Versailles, 2012, 362 p., 24 €. cliquez là
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Nancy, samedi 27 octobre : conférence de Franck Abed...
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mercredi, 24 octobre 2012
Éloge de l’uchronie
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La proximité de l’élection présidentielle américaine me remet en mémoire les prévisions faites sur l’avenir des États-Unis par Raymond Aron, l’un des analystes les plus cotés de son temps. C’était durant l’année universitaire 1975-1976. Raymond Aron donnait un cours au Collège de France sur « La Décadence de l’Occident », en soi déjà tout un programme. Il concluait : « L’abaissement des Etats-Unis de 1945 à 1975 découlait de forces irrésistibles ». Retenons « irrésistibles ». Revenant sur cette réflexion dans ses Mémoires (1983), Aron écrivait : « Ce que j’observais dès 1975, c’était la menace de désagrégation de la zone impériale américaine… » Pour nous qui relisons ces lignes aujourd’hui, dans un monde dominé par l’empire américain, cette anticipation ferait douter de la lucidité de leur auteur. Et pourtant, nul n’a jamais mis en doute la lucidité de Raymond Aron. Simplement, entre-temps, l’histoire avait bifurqué de façon imprévue.
Alors ? Eh bien, quand on tente d’imaginer l’avenir, il serait bon de se reporter à ce que nous montre l’expérience historique. Par hygiène intellectuelle, on devrait toujours pratiquer l’uchronie, c’est-à-dire l’histoire avec des « si ». Si Napoléon avait été vainqueur à Waterloo… Si Constantin avait été vaincu par Maxence sur le pont Milvius en 312… Si Martin Luther avait été occis par des brigands en se rendant à Rome en 1510, etc. Ajoutons encore, dans un autre registre : si Alexandre Fleming n’était pas parti en vacances en 1928, des moisissures inhabituelles ne se seraient pas produites dans ses cultures de staphylocoques au laboratoire de Saint-Mary’s Hospital de Londres, et il n’aurait découvert la pénicilline avec les gigantesques conséquences que nous connaissons… Conclusion : dès que l’on pratique l’uchronie, on découvre que les causes généralement invoquées pour les grands événements n’étaient pas nécessaires ou pas suffisantes.
Imaginant le roi Louis XV renonçant à l’acquisition de la Corse en 1767, Jean Dutourd a écrit la plus savoureuse des uchronies sous le titre Le Feld-Maréchal von Bonaparte (Flammarion, 1996). Dans une Corse restée génoise, donc dans l’orbite des Habsbourg, c’est au service de ces derniers qu’eut logiquement fait carrière un certain personnage prénommé Napoléon, doué pour l’action militaire et politique. D’autres exemples se précipitent à l’esprit. Louis XIV, par exemple, n’aurait certainement pas marqué l’histoire française et européenne comme il l’a fait si le hasard l’avait doté du tempérament de Louis XVI, son descendant.
L’historien du XXe siècle admettra sans peine que l’époque eût été toute différente si le caporal Hitler, n’avait pas survécu aux gaz de combats, dans sa tranchée au sud d’Ypres, au cours de la nuit du 13 au 14 octobre 1918. Celui qui étudie l’histoire des États-Unis, sait que l’évolution de cette grande puissance et celle du monde entier, aurait été toute différente si le général Robert Lee avait été vainqueur à Gettysburg, en juillet 1863, et si un compromis avait permis une certaine indépendance de la Confédération des États du Sud pour parvenir à la paix.
Autrement dit, l’uchronie est le complément utile d’une réflexion critique sur l’histoire, la seule qui vaille pour éveiller les esprits. Les grandes évolutions historiques, politiques, religieuses ou sociales n’ont jamais répondu à une nécessité. La « nécessité historique » est une invention a posteriori, venant de la lecture peu réfléchie de l’histoire connue. Inversement, sauf à rester dans des généralités imprécises, on observe que les penseurs les plus savants, à l’image de Marx ou de Fukuyama, se sont le plus souvent trompés quand ils s’aventuraient sur le terrain des anticipations.
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LE « SCANDALE » RICHARD MILLET
Francis Bergeron
Article publié dans
Synthèse nationale n°29 (sept. -oct; 2012)
En 2009, les lecteurs de Synthèse nationale avaient eu leur attention attirée sur l’œuvre de l’écrivain Richard Millet. De ce point de vue, Synthèse nationale était tout à fait précurseur, à une époque où personne, dans le camp national, ne semblait avoir entendu parler de Richard Millet. L’homme – gros bonnet chez Gallimard – venait de publier La Confession négative, un récit largement autobiographique sur ses engagements politiques, contre les gauchistes et les communistes, au lycée, puis dans les rangs des phalangistes chrétiens, au Liban, à la fin des années soixante-dix.
A l’époque, quelques critiques (mais seulement quelques uns) avaient pincé le nez devant cette « littérature nauséabonde » (d’autant que Millet signalait avec une certaine jouissance qu’un membre de sa famille s’était engagé dans la Charlemagne !). Mais c’est surtout par le silence que le petit monde qui fait les réputations littéraires avait traité l’ouvrage. Pourtant Millet, déjà, apparaissait comme un écrivain majeur de l’époque : un style proche de celui de Proust, mais une violence dans les mots et les scènes, et une crudité, qui le situaient du côté de Céline.
Trois ans plus tard (et dix-sept livres plus tard, car notre écrivain a une redoutable production), Millet se retrouve au centre des débats de cette rentrée littéraire. Il vient en effet de publier deux petits pamphlets, qui, là encore, le rapprochent de ceux de Céline, quant au contenu, mais dans une France officielle qui n’admet plus, précisément, que l’on s’exprime comme Céline. Les objets de ce « scandale » sont les deux textes suivants : De l’antiracisme comme terreur littéraire, et Langue fantôme suivi de Eloge littéraire d’Anders Breivik. Dés la parution de ces textes, des voix ont commencé à s’élever pour que Millet soit renvoyé de chez Gallimard.
Chez cet éditeur (qui est l’éditeur de Céline, soit dit en passant), Millet est chargé de découvrir des talents, de travailler avec les auteurs, et éventuellement de les accompagner jusqu’à l’obtention de ces prix prestigieux qui transforment un livre en évènement et apportent parfois fortune à l’auteur et… à l’éditeur. Or il se trouve que Millet a découvert, partiellement réécrit, et accompagné Les Bienveillantes de Jonathan Littell prix Goncourt 2006), ainsi que L’Art français de guerre d’Alexis Jenni (prix Goncourt 2011). Gallimard est donc à présent sommé de se débarrasser de ce « fâcheux » d’extrême droite, accusé même de racisme et d’antipathie à l’égard de l’immigration extra-européenne. Mais en même temps Richard Millet est en quelque sorte le meilleur salarié de chez Gallimard. Et puis, côté talent, personne ne met le sien en doute, même ses pires persécuteurs. Chasser Millet de la maison Gallimard, cela ne risque-t-il pas de faire tâche, sur le plan de la littérature, alors même qu’en 1932, déjà, un Gallimard était passé à côté de Céline, publié alors par Denoël ? C’est seulement après guerre que « le plus grand éditeur de littérature » avait réussi à intégrer dans son écurie celui qui fait à présent figure de « plus grand écrivain du XXe siècle ».
Quel est le crime commis par Richard Millet ? Dans ses deux textes, aux titres, certes, provocateurs, il s’en prend au multiculturalisme. Il explique notamment que « Breivik est un enfant (…) de la fracture idéologico-raciale que l’immigration extra-européenne a introduite en Europe depuis une vingtaine d’années, et dont l’avènement avait été préparé de longue date par la sous-culture de masse américaine (…) ». Pas si mal vu, non ? Et, plus loin, il écrit encore : « Breivik est, comme tant d’autres individus, jeunes ou non, exemplaire d’une population devant qui la constante dévalorisation de l’idée de nation, l’opprobre jeté sur l’amour de son pays, voire la criminalisation du patriotisme, ouvrent un abîme identitaire ».
Le Nouvel Observateur, Le Monde, les écrivains Laclavetine, Tahar ben Jelloul, Annie Ernaux en appellent au lynchage en place publique. Invité à s’expliquer chez Taddéî, sur France 3, début septembre, Richard Millet s’est retrouvé devant une sorte de jury, que présidait le cacochyme ex-communiste Edgar Morin. Malheureusement Millet est un homme de cabinet, un homme de plume. Devant cet aréopage de salopards, il lui a manqué la verve et le talent dialectique d’un Zemmour, la facilité d’élocution d’un Robert Ménard, et sa prestation fut quelque peu lamentable. Mais peu importe : Millet, c’est d’abord une langue, c’est une pensée qui trouve toute sa force quand elle est couchée sur le papier.
En conséquence, outre les deux pamphlets précédemment cités, précipitez-vous sur Ma vie parmi les ombres et sa suite, La Confession négative, sur L’Opprobre, sur La Fiancée libanaise (ouvrages parus chez Gallimard), mais aussi sur Le Sentiment de la langue (La Table ronde et Champ Vallon), ou Fatigue du sens (éditions Pierre-Guillaume de Roux). Soit vous n’aimerez pas du tout ce style dense et pointilliste, soit vous vous direz que vous venez de rencontrer l’Ecrivain de ce XXIe siècle. Et pas seulement pour les idées. Mais dans un cas comme dans l’autre, vous rangerez ses livres, dans votre bibliothèque, du côté d’autres auteurs Gallimard, comme Céline ou encore Drieu la Rochelle. C’est d’ailleurs une citation de Drieu qui ouvre son Eloge littéraire d’Anders Breivik…
De Richard Millet (cette année) :
De l’antiracisme comme terreur littéraire, Ed. Pierre-Guillaume de Roux, 2012.
Langue fantôme suivi de Eloge littéraire d’Anders Breivik, Ed. Pierre-Guillaume de Roux, 2012.
Synthèse nationale n°29 cliquez ici
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Fdesouche momentanément hors-service...
Le plus célèbre site de la «réinfosphère» n’est actuellement plus accessible. Ce n’est pas du à un piratage, mais au fait que son hébergeur suédois connait des problèmes avec la justice, indépendamment de fdesouche (et peut-être pour des questions de copyright), et qu’il vient même d’être perquisitionné.
Le blog spécialisé dans la surveillance de l’immigration et l’islamisation risque pour sa part de ne pas être rétabli avant quelques jours.
Source Contreinfo.com
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mardi, 23 octobre 2012
Communistes : assassins ! Dissolution du Parti communiste !
« L’insurrection nationale hongroise fut la première révolution anti-totalitaire de l’après guerre. Cette révolution ne fut pas préparée mais spontanée. C’est en effet le discours d’un dirigeant hongrois qui a provoqué ce grand soulèvement. D’un seul coup, le peuple tout entier des grandes villes et de toutes les provinces se leva [le 23 octobre 1956]. Le gouvernement, pris de panique fit alors appel aux troupes et aux chars soviétiques. Ce fut le carnage » sans que le monde libre n’intervint d’aucune manière . Le Parti Communiste « français » approuvait sans réserve l’intervention soviétique ; la Hongrie ne connut que quatre jours de liberté. »
« C’est un soir d’octobre qu’une grande manifestation fut organisée sous l’Arc de triomphe. De nombreux mouvements et partis politiques (à l’exception du PC) s’étaient donnés rendez-vous pour manifester leur indignation contre le massacre du peuple hongrois et l’attitude du PC « F ». Nous étions 20 à 30 000 sur les Champs Élysées à crier « Moscou assassin ! », « Communistes assassins ! », « Libérez la Hongrie ! », « PC dissolution ! » quand tout à coup, après le dépôt de gerbes et la minute de silence, un mot d’ordre circula dans la foule : « Tous au carrefour Châteaudun ! » C’est donc au pas de course qu’une partie du cortège s’ébranla en direction du siège du PC.
Les forces de l’ordre ne purent rien contre notre nombre et notre détermination ce soir là. En tête des assaillants contre l’immeuble du PC se trouvaient « les troupes de choc » habituelles de l’activisme anti-communiste : les militants de Jeune Nation, des étudiants nationalistes, les combattants d’Indochine. Retranchés au premier étage de l’immeuble, les Cocos nous accueillirent avec des cocktails Molotov. Beaucoup de nos camarades durent se replier les vêtements en flammes. C’est alors qu’un petit groupe réussi à s’emparer des échelles accrochées au candélabre de l’angle gauche de l’immeuble, s’en servi comme béliers pour enfoncer la porte blindée du rez-de-chaussée et pénétrer dans l’immeuble. Malheureusement, l’accès aux étages étant bloqué, ils durent se replier d’autant que les cocktails Molotov lancés des étages supérieurs avaient aussi contribué à mettre le feu à l’immeuble (un incendie que les pompiers mirent plus d’une heure à maîtriser).
C’est alors qu’un autre mot d’ordre circula parmi les assaillants : "Tous à l’imprimerie de l’Huma" qui se trouvait à quelques centaines de mètres, boulevard Poissonnière.
Là aussi nous étions attendus, mais faisant place aux cocktails Molotov, ce sont les pavés d’imprimerie en plomb qui se mirent à) pleuvoir sur nous. Un jeune étudiant courageux qui avait réussi à atteindre de manière audacieuse les locaux du Journal fut surpris par les Rouges et jeté du deuxième étage sur une verrière du rez-de-chaussée. Durant ce laps de temps, toutes les communes communistes de la banlieue avaient mobilisé leurs troupes et affrété des cars entiers de militants appelés à la rescousse pour nous faire face. Le grand affrontement eu lieu à l’angle du boulevard Poissonnière et de la rue Montmartre. Une bagarre violente et sanglante qui dura plusieurs heures, qui fit de nombreux blessés des deux côtés mais qui nous laissa finalement maîtres du terrain, les Cosaques ayant dû déguerpir. Ce soir là, Paris était vainqueur mais Budapest vaincue ! »
(Cité dans « Ma vie pour la Patrie », par vitéz Lajos Marton. Les Amis du Livre Européen, 2012 cliquez ici)
Source cliquez ici, via TP Poitiers cliquez là
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Alexandre Gabriac relaxé !
Le conseiller régional d’extrême droite Alexandre Gabriac a été relaxé ce lundi 22 octobre. Le jeune élu âgé de 22 ans était accusé d’avoir proféré des menaces de mort à l’endroit d’un employé d’un bar du vieux Lyon qui lui refusait l’entrée de l’établissement.
La présidente du tribunal correctionnel de Lyon a estimé que les gestes de simulation d’égorgement et de tir qu’avaient rapporté l’employé du bar ne peuvent pas être confirmés par le visionnage du film réalisé par la caméra de vidéosurveillance. Alexandre Gabriac est donc reparti libre.
Source Lyon capitale cliquez ici
09:50 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
France 2012 : demander un référendum équivaut à être comparé à des terroristes
Le ministère de l’Intérieur étudie une dissolution du mouvement d’extrême droite Génération identitaire après son coup d’éclat samedi à Poitiers, indique aujourd’hui Le Parisien/Aujourd’hui en France. « Une étude juridique est en cours. Il faut être très attentif à ces identitaires et lutter contre leurs agissements », a confié hier soir Manuel Valls au quotidien.
Hier, quatre militants de ce groupuscule ont été mis en examen, notamment pour provocation à la haine, et placés sous contrôle judiciaire. Ils avaient été arrêtés samedi après l’occupation du chantier de la Grande mosquée en construction à Poitiers. La police doit encore vérifier que les membres de ce mouvement ont bien tenu des propos incitant à la haine raciale. « La liberté d’association est aussi un droit à protéger. Il faut donc des éléments tangibles pour conduire à l’interdiction », a expliqué un conseiller politique au journal.
Toutefois, seul le président de la République a le pouvoir d’ordonner la dissolution d’un groupe propageant une idéologie de haine. Le chef de l’État a en effet le pouvoir, depuis la loi relative à la lutte contre le racisme, dite loi Pleven (1972), d’interdire toute association ou groupement prônant une idéologie de haine, de violence ou de discrimination envers un groupe ethnique, une nation ou une religion. Cette disposition législative est un amendement de la loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et milices privées, qui visaient à l’origine les ligues d’extrême droite.
Source Le Figaro cliquez ici via 3e Voie cliquez là
Deux nouveaux types d’associations ont été ajoutés à la loi en 1972 et 1986: les organisations propageant la haine raciale et les organisations terroristes. Ce dernier amendement a permis la dissolution d’Action directe (1982), du FLNC (1983), d’Iparretarrak (1987) et récemment de Forsane Alizza (2012).
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lundi, 22 octobre 2012
Samedi prochain, 27 octobre, Le Local fête ses 5 ans...
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Chronique de la France asservie et résistante...
Robert Spieler
RIVAROL N° 3065 du 19/10/2012
CES quelques anecdotes, très parisiennes, ont été livrées récemment en tout petit comité par un écrivain connu, de droite, grand ami de Jacques Chirac mais aussi proche de Hollande. Elles m’ont parues assez amusantes pour les soumettre à mes lecteurs. Première anecdote : Hollande qui explique : « Je n’aime que les femmes chiantes. » Bon, ça, on l’avait deviné… Deuxième : Sarkozy, qui n’a aucune estime ni sympathie pour Copé, souhaite cependant sa victoire à l’élection du président de l’UMP. Pourquoi ? Il espère en fait ardemment revenir dans le jeu, et Copé lui parait être un adversaire infiniment moins dangereux que Fillon. Troisième : quel lien entre Patrick Devedjian, député UMP et ancien du mouvement d’“extrême-droite” Occident, et Valérie Trierweiler ? Réponse : cinq ans… Pas de commentaires : respect de la vie privée… (Cette information a depuis l’écriture de ce texte paru dans un livre qui suscite la fureur de la mégère…) Quatrième : Une devinette : quelle est l’épouse d’un ancien président de la République qui a dit (en très privé) que sa fille était une “conne” ?
CHIRAC INTERDIT DE SORTIE
Cinquième : C’est la plus amusante, même s’il n’est évidemment pas question de se moquer des problèmes de santé de l’ancien président de la République. Chirac s’était fait apprécier en tant que ministre de l’Agriculture. Il savait « tâter le cul des vaches ». Il lui en reste apparemment quelques restes… Il paraît qu’aux carrefours, il baissait, encore récemment, la vitre de sa voiture, et s’adressant à des jeunes femmes, il leur disait : « T’as un beau cul ! ». Du coup, Bernadette l’a interdit de sortie, et quand on l’autorise à sortir, les vitres et portières sont bloquées, histoire qu’il ne dérape pas trop.
DEVEDJIAN N’EN FINIT PAS DE TRAHIR
Patrick Devedjian, ex-militant d’extrême droite du mouvement Occident, filloniste à ses heures, n’a pas apprécié que Jean-François Copé dénonce le « racisme anti-Blanc » dans son dernier livre, Manifeste pour une droite décomplexée. Il faut rappeler que, très anti-Sarko, il n’a pas aimé la campagne supposée très droitière de l’ancien président. L’influence de Trierweiler ? On ne sait pas. Selon Devedjian : « La France est un pays très mélangé, et si l’on veut que l’intégration réussisse, il ne faut pas stigmatiser la différence. » Il est vrai que Devedjian ne vit pas dans une banlieue occupée. Il est vrai que pour lui, le « racisme anti-Blanc est marginal ». Il est vrai que Devedjian a beaucoup, beaucoup de choses à se faire pardonner. Pauvre homme…
UN PETIT CONTE, LE CONTE DES DEUX POULES
C’est un conte que certains de nos lecteurs connaissent sans doute déjà. Mais il mérite d’être rappelé :
— Camarade, si tu avais deux maisons, tu en donnerais une à la révolution ?
— Oui ! répond le camarade
— Et si tu avais deux voitures de luxe, tu en donnerais une à la révolution ?
— Oui ! répond de nouveau le camarade.
— Et si tu avais un million sur ton compte en banque, tu en donnerais la moitié à la révolution ?
— Bien sûr que je le donnerais ! répond le fier camarade.
— Et si tu avais deux poules, tu en donnerais une à la révolution ?
— Non ! répond le camarade. Mais pourquoi, non ? Réponse : « Parce que les deux poules, je les ai… »
Moralité : il est facile d’être socialiste avec la propriété et le travail des autres…
HUMOUR POLITIQUE
« Etre ancien ministre, c’est s’assoir à l’arrière d’une voiture et s’apercevoir qu’elle ne démarre pas. » Ce commentaire de l’ancien ministre UMP de l’Enseignement supérieur, François Goulard, lui a valu de recevoir le grand prix « Humour et politique », décerné par le Press Club. Jean-Pierre Raffarin a, quant à lui, été récompensé pour « l’ensemble de son œuvre. » Il est vrai que les raffarinades de l’ex-Premier ministre valent le détour et sont souvent somptueuses: Le terme raffarinade est un néologisme politique utilisé pour qualifier certaines citations de Jean-Pierre Raffarin, en particulier certaines phrases imagées, mais totalement creuses, dont le Poitevin est friand dans ses interventions publiques. Quelques exemples : « Notre route est droite, mais la pente est forte » ; « Le “oui” a besoin du “non” pour l’emporter contre le “non” (au sujet du référendum sur le Traité établissant une constitution pour l’Europe) » ; « Il est curieux de constater en France que les veuves vivent plus longtemps que leurs maris ». (Grandiose !) A Bernadette Chirac : « Merci de nous montrer que la victoire n’est pas facile, qu’elle se gagne étable par étable, commune par commune » ; « L’avenir est une suite de quotidiens » ; « La route est faite pour bouger, pas pour mourir » et enfin, cette phrase sublime : « Si on met la voiture France à l’envers, nous n’aurons plus la capacité de rebondir. » Allez, encore une : « Les jeunes sont destinés à devenir des adultes. » Raffarin est vraiment rigolo…
MARTINE AUBRY, BIENTÔT EN PRISON ?
Martine Aubry est convoquée, début novembre, par la juge d’instruction Marie-Odile Bertella-Geffroy dans l’affaire de l’amiante, pour une très probable mise en examen. Il est reproché à la maire de Lille d’avoir, dans ce dossier, totalement mésestimé les dangers de l’amiante, alors qu’elle était directrice des relations du travail. Des directives européennes avaient interdit l’utilisation de l’amiante, dès 1983. Martine Aubry n’en avait tenu aucun compte. Des milliers, des dizaines de vies auraient pu être sauvées, si Martine Aubry s’était réveillée de ses vapeurs. Les experts considèrent que les maladies causées par la fibre d’amiante pourraient faire 100 000 morts d’ici 2025… Mais quelle a été son influence dans la création d’un Comité permanent amiante, dirigé par un de ses collaborateurs, noyauté par les industriels de l’amiante et évidemment d’une inefficacité abyssale ? Comment ? Pardon ? Qui ? Quoi ? Elle n’en a jamais entendu parler… Mais elle a beau chercher à se défausser, son inculpation est inévitable dès lors que son proche collaborateur a été mis en examen. Du coup, elle a pris un ton grave, comme elle sait le prendre. Elle déclare, les sourcils en accent circonflexe (très important, les sourcils, ça fait profond et sincère), qu’elle « apportera évidemment tout son concours à l’enquête judiciaire », déclarant qu’elle « n’a eu de cesse de renforcer la protection des travailleurs de l’amiante. » Les 100 000 morts apprécieront son humour. Martine Aubry en taule ? Mais vous plaisantez !
ROSELYNE BACHELOT : “J’AI UN PEU L’AIR D’UNE PUTE”
Ministre de la Santé des gouvernements Fillon I et II (de mai 2007 à novembre 2010) sous la présidence de Nicolas Sarkozy, Roselyne Bachelot avait été nommée ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale, le 14 novembre 2010, dans le gouvernement François Fillon III. En 2009-2010, elle se retrouvait au centre d’une importante controverse au sujet de la commande par le gouvernement français de 95 millions de doses de vaccin pour lutter contre la grippe A et du coût global de la campagne de vaccination mise en place par le gouvernement : des dépenses colossalement inutiles. Mais Roselyne a su rebondir. L’ex-ministre est devenue chroniqueuse pour l’émission quotidienne « Le Grand 8 » de la nouvelle chaîne D8 du groupe Canal+. Elle présentera l’émission aux côtés d’Audrey Pulvar, la concubine d’Arnaud Montebourg, et de Laurence Ferrari. Elle essayait récemment plusieurs chaussures, pour présenter son émission.
L’une d’elles, avec un talon de 12 centimètres, lui amènera ce commentaire qui fera le tour de la Toile : « J’ai un peu l’air d’une pute. » Les prostituées apprécieront… Au fait, il paraît que son salaire mensuel est de 20 000 euros. On en connaît des plus malheureuses.
DIEUDONNÉ PERSÉCUTÉ
Dieudonné est poursuivi par la justice, qui lui réclame plus de 887 000 euros. Il n’aurait pas payé tous ses impôts depuis quinze ans. Du coup, la justice a ordonné la vente d’un ensemble immobilier lui appartenant, situé près de Dreux. La vente aux enchères, dont la mise à prix a été arrêtée à 500 000 euros, devait avoir lieu ce jeudi 18 octobre. Cet ensemble, situé sur une surface de 1,46 ha, comprend notamment une salle polyvalente, un studio d’enregistrement et des appartements. Un porte-parole de l’artiste a expliqué qu’il était dans une « situation financière très délicate du fait de la multiplication des annulations de ses spectacles. » Dieudonné, quant à lui, a déclaré : « Le pouvoir politico-médiatique ne sait plus quoi faire pour me faire taire et m’étouffer financièrement. » Mais pourquoi Dieudonné ne s’était-il pas couché, face aux lobbys ? Il n’aurait certes pas tous ces ennuis aujourd’hui. J’avais croisé l’humoriste, un mois avant les élections européennes de 2009, au restaurant Le Doux raisin. Il m’avait raconté qu’“ils” étaient venus le voir. La raison ? Dieudonné présentait une liste antisioniste en Ile-de-France. “Ils” lui ont tenu ce langage : « Dieudo, bon d’accord, tu as poussé le bouchon un peu loin, nous aussi, d’ailleurs. Alors, tu arrêtes, et on recommence à travailler ensemble. On oublie tout. » Dieudonné n’avait pas plié…
NATHALIE KOSCUISKO-MORIZET ATTAQUE À TOUT-VA
NKM, qui fut porte-parole de Nicolas Sarkozy et qui n’avait pas hésité à s’en prendre au FN, sur un ton fort peu amène, semble être une grande humaniste. La voici qui incendie, dans Le Figaro, la présidence de Hollande, la qualifiant de « règne d’amateur, fade et triste. » Et elle ajoute : « Etre inaudible, colporteur d’une politique du vide […] ne peut que rendre vaine une présidence déjà fruit du hasard. » Elle poursuit, atteignant des sommets dignes de Léon Bloy : « Ces bourgeois de la politique qui se sont déguisés, bedaines effacées, sourires patelins, se révèlent arrogants, menteurs, tricheurs. Ils ont l’esprit de clan et veulent mettre l’Etat en coupe réglée et se servir. » Fureur, bien entendu, des socialistes, qui dénoncent, tel le maire de Dijon, François Rebsamen, une charge « violente et outrageante » contre l’exécutif, y voyant une conception du débat « au niveau du caniveau. » Bruno Lemaire, ancien ministre sarkoziste, s’est amusé des propos de NKM, affirmant : « La bedaine malheureusement n’est ni de droite ni de gauche, c’est une question d’âge… »
LES JÉRÉMIADES INDÉCENTES DE PRASQUIER
Richard Prasquier, président du CRIF, a estimé que la société n’avait pas « pris la mesure du mal ». « Il faut prendre la mesure de ce type d’idéologie, je dis que l’islamisme radical c’est du nazisme », a-t-il déclaré. Le président du CRIF avait déjà établi un parallèle entre l’islam radical et le nazisme le 7 octobre, à l’issue d’une réunion à l’Élysée avec le président François Hollande. « L’islam radical compare ses ennemis à des animaux : les juifs sont des fils de singe, les chrétiens sont des fils de porcs, tous sont des fils de chiens. De la même façon que les nazis comparaient les juifs à des bactéries, à des rats, à des animaux… », a-t-il expliqué. « Deuxième point : je ne connais pas une autre idéologie qui permette à quelqu’un de tuer un enfant à bout portant, à bout touchant tout simplement parce qu’il est né juif », a-t-il ajouté. Selon lui, « être fier » d’exterminer ses ennemis, «que ce soit des enfants ou des adultes, ça c’est caractéristique des nazis». A qui la faute ? Qui a pendant des décennies persécuté la résistance nationaliste ? Qui a traîné devant les tribunaux ceux qui désignaient l’envahisseur ?
ERIC RAOULT ACCUSÉ D’AVOIR TABASSÉ SA FEMME
L’ex-ministre et ex-député UMP Eric Raoult, grand renégat devant l’Eternel (Il avait flirté avec les milieux droitistes, avant de se ranger totalement dans le camp du politiquement correct), vient d’être entendu, il y a quelques jours, dans le cadre d’une enquête pour violences conjugales. Cette garde à vue fait suite à des plaintes de sa femme avec laquelle il est en instance de divorce. Le maire du Raincy se défend : « Elle a porté plainte pour insultes, c’est vrai, mais dire que je l’ai frappée, c’est faux… » Et il ajoute : « Je l’ai insultée, c’est vrai. Mais dire à son épouse, qui a 15 ans de moins que vous, “Tu t’habilles comme une salope”, ce n’est pas une violence conjugale », s’est justifié le maire UMP du Raincy (Seine-Saint-Denis). Eric Raoult est le président de l’Association des élus amis d’Israël (ADELMAD), qui regroupe 800 élus français et qui organise des voyages d’élus français dans l’Etat hébreu. Le 5 mars 2004, alors vice-président de l’Assemblée nationale, il avait soutenu le gouvernement d’Ariel Sharon dans la construction du mur de séparation entre Israël et les territoires palestiniens. On se souvient de cet étonnant épisode que j’avais évoqué dans RIVAROL. Raoult quitte, très pressé, une importante réunion interne à l’UMP, où il est question du régime des retraites. On lui fait la remarque que sa présence est souhaitable. Le grand ami d’Israël s’apprêtait à se rendre à la manifestation, au Trocadéro, pour soutenir Gilad Shalit. Il eut ce cri du cœur : « Pour moi, Israël, c’est plus important que les retraites ». Nous ne pleurerons donc pas sur les malheurs de ce sioniste patenté.
Chaque vendredi, retrouvez la chronique de Robert Spieler dans Rivarol...
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Le numéro 9 (octobre 2012) de Salut Public est sorti :
Edito : Vive Cambronne, par Serge Ayoub
LE THEME DU MOIS : L’AUSTÉRITÉ Les zigzags de la rigueur, par Hugo Lesimple
Crever pour Bruxelles, par Jean-Yves Dufour
Ce qui nous attends avec le TSCG, par Michel Drac
Le silence, par Anthonin Lamoureux
ET AUSSI : Intelligence avec l’ami, par Serge Ayoub. Du mythe à la réalité : CasaPound, par Lionel Placet. La troisième voie biélorusse, par Georges Feltin-Tracol. Syrie : autopsie d’une tentative de meurtre, par Claude Bourrinet. Bernard Arnault, l’origine du mal par Daniel Besson. S’associer n’est pas jouer, par J-C Rivière. Rousseau l’irrécupérable, par David l’Épée. La plèbe contre Batman, par Hugo Lesimple. Quand le parti communiste était français, par Nicolas Tandler.
Plus de renseignements cliquez ici
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Jeudi soir, Philippe Randa, écrivain, au Local :
12:24 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 11 novembre : TOUS A PARIS ! 6e Journée de Synthèse nationale...
Chers Amis,
Depuis septembre 2008 une crise, sans doute aussi grave que celle de 1929, asphyxie l’Europe. La France n’échappe pas à cette situation de plus en plus préoccupante. Aucun gouvernement, ni aucun parti du Système, ne semble capable d’apporter des solutions efficaces pour sortir de ce marasme. Les peuples européens ne croient plus en leurs dirigeants, pire encore, ils ne croient plus dans leur avenir…
En réalité, cette crise remonte à beaucoup plus longtemps. Depuis une soixantaine d’années, l’Europe que l’on nous propose, ou plutôt que l’on nous impose, n’est qu’un ersatz imaginé et réalisé par des technocrates serviles, dénués de toutes conscience nationale ou identitaire, dont la seule raison d’être est de servir, sur notre continent, les intérêts de l’hyper-classe mondialiste. Ils ont livré l’Europe, et les nations qui la composent, au bon vouloir des prédateurs de la Goldman & Sachs et autres banques apatrides…
Alors, un autre destin pour l’Europe est-il possible ? Certainement, mais celle-ci devra vite rompre avec les carcans qui lui sont jusqu’à présent imposés. Tout est une question de volonté.
C’est de tout cela dont il sera question lors de notre 6e Journée nationale et identitaire que nous organisons le Dimanche 11 novembre prochain (de 11 h à 18 h) à Paris, au Centre de conférences Eurosites (8 bis, rue de la Fontaine au Roi Paris XIe – métros République ou Goncourt).
Cette 6e Journée de Synthèse nationale, qui marquera le 6e anniversaire de notre revue, a la volonté d’ouvrir des pistes nouvelles pour une autre Europe, des pistes aussi éloignées les unes que les autres du libéralisme et du socialisme…
De nombreux orateurs interviendront au cours des différentes tables-rondes (Arnaud Raffard de Brienne, écrivain, Philippe Randa, écrivain, Luc Pécharman, du Bureau de la Nouvelle Droite Populaire, Hugo Lesimple, directeur de Salut public, Jean-Claude Rolinat, écrivain et membre du Bureau de la NDP, Serge Ayoub, porte-parole de 3e voie, Francis Bergeron, écrivain et journaliste, Lionel Baland, spécialiste des droites nationales et identitaires en Europe, Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, Alexandre Gabriac, Président des Jeunesses nationalistes, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, André Gandillon, du journal Militant...), ainsi que lors de la séance de clôture à partir de 16 h. (Pierre Vial, Robert Spieler, Roland Hélie et Carl Lang)…
De plus, à l’occasion de ce grand rendez-vous nationaliste et identitaire, nous éditerons un ouvrage collectif, auquel a contribué une vingtaine de personnalités, tant françaises qu’européennes, de notre famille d’idée. Ce livre de 150 pages reprendra la thématique de la journée « Face à la crise, une autre Europe ». Il vous sera proposé sur place le dimanche 11 novembre, mais vous pouvez aussi le commander dès maintenant.
Depuis 6 ans maintenant, Synthèse nationale, à travers sa revue (29 numéros sortis + 3 numéros hors-série), ses réunions, conférences, colloques, journées nationales et identitaires, ses éditions (Les Bouquins de Synthèse nationale, créées au mois de février dernier, déjà 4 ouvrages édités), grâce à son influence au sein de la Nouvelle Droite Populaire et son rôle dans la création de l’Union de la Droite Nationale, de par ses relations de confiance qu’elle a établie avec les formations actives de notre famille politique, par ses campagnes militantes (diffusion – à 6 000 exemplaires - du Guide de survie en société islamique a cours de l’été dernier), contribue activement au développement du combat national dans notre pays. Notre revue a répondu ainsi à la mission qu’elle s’était fixée lors de son lancement, en novembre 2006, à savoir remobiliser la Droite nationaliste, populaire, sociale et identitaire. Tout cela a été possible grâce à la fidélité et à la générosité de nos abonnés qui sont, soit dit en passant, de plus en plus nombreux. Aujourd’hui, compte tenu de la situation catastrophique dans laquelle plonge notre pays et les menaces de plus en plus pressantes qui pèsent sur notre identité, nous devons amplifier notre action. Pour cela, nous avons besoins de votre aide. Et le meilleur moyen de nous aider, c’est de s’abonner à la revue Synthèse nationale. En vous abonnant, non seulement vous recevrez tous les deux mois notre revue politique et culturelle (120 pages en moyenne), mais, en plus, vous aiderez notre organisation à se développer et à diffuser vos idées…
En espérant que nous nous retrouverons encore plus nombreux le dimanche 11 novembre prochain à Paris lors de notre 6e Journée nationale et identitaire, recevez, Chers Amis, l’expression de nos sentiments nationalistes les plus dévoués.
Roland Hélie
Lettre adressée aux amis de SN cliquez ici
Invitation à la 6e JNI cliquez là
Bulletin réponse cliquez ici
11:22 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La future mosquée de Poitiers occupée : vive la Résistance identitaire !
Yves Darchicourt
Le MRAP, SOS Racisme, le RMF (rassemblement des musulmans de france), le Front de Gauche par son habituel Mélenchon, le PS par Jean-Philippe "Harlem" Désir, le PC"F" par les mânes de Georges "messerschmitt" Marchais, deux ou trois grenouilles de bénitier et un raton-laveur convoqué pour faire "diversité" demandent avec fermeté l'interdiction de "Génération Identitaire" dont une centaine de garçons et filles a occupé ce dernier samedi - sans aucun incident ni dégradation - les toits de la future grande mosquée de Poitiers... c'est à dire pas bien loin de là où il y a 1280 ans nos lointains aïeux ont étrillé d'importance une armée de mahométans venus inconsidérément sur nos terres se livrer à leurs occupations favorites : le massacre, le pillage, l'incendie et la profanation au nom de leur religion de tolérance et d'amour.
C'est un acte symbolique de Résistance à la politique criminelle de substitution de population qui croît et embellie depuis des décénies, un réflexe de survie au véritable génocide programmé du peuple indigène de France submergé qu'il risque d'être par une immigration de peuplement exotique, fortement islamisée, installée sur nos terres ancestrales au nom du mondialisme. C'est un acte de Résistance et un crachat symbolique à la face des collabos, des traîtres et de leurs idiots utiles qui se font les valets de cette entreprise génocidaire. C'est un acte de Résistance et un avertissement sans frais pour ceux qui croient déjà que tous les souchiens vont accepter sans se battre de se soumettre et de tomber en dhimmitude ad maiorem prophetae gloriam. C'est un appel aux Français, aux Européens de France pour leur faire comprendre qu'il n'est plus temps d'attendre des jours meilleurs qui ne viendront pas des urnes s'ils ne prennent pas leur destin en main et ne réagissent pas à l'invasion en se regroupant et en manifestant leur détermination. C'est un appel à la levée en masse des gaulois qui entendent rester maîtres chez eux.
Les glapissements des indignés amèneront peut-être Roudoudou et le fatras de son gouvernement à en arriver à des mesures de persécution. Qu'ils y réfléchissent ! La Résistance qui se regroupe et s'organise n'est encore que symbolique, elle ne le sera plus seulement si elle devient clandestine !
00:50 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 21 octobre 2012
Voir ce que l'on veut voir....
09:19 Publié dans Banalisation... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La France est en guerre et personne ne veut le dire
L'écrivain engagé Renaud Camus dit clairement que la France est en guerre et que ce que les médias appellent actes de violences ou incivilités sont en fait des actes de guerre menés contre la France et sa civilisation.
Où voyez-vous des actes de guerre en France qui rappellent le début de la guerre d'Algérie ?
Ce qui rappelle le début de la guerre d’Algérie c'est l’extrême euphémisation du discours imposé par le complexe médiatico-politique. On disait « les évènements », on dit « les affrontements ». Le caractère de conflit territorial est totalement nié.
Pourquoi êtes-vous en colère contre les médias ?
Parce qu’ils imposent (presque) unanimement un système de lecture du monde qui est une formidable machine à ne pas voir, à ne pas dire, à ne pas comprendre. L’antiracisme, car c’est de lui qu’il s'agit, depuis qu’il a cessé d’être une morale pour se transformer en idéologie, en endoctrinement, en instrument de pouvoir et de répression, est devenu ce que j’ai appelé, empruntant l’expression à Alain Finkielkraut, Le Communisme du XXIe siècle (éditions Xénia). Il sert, menaces à l’appui, à dissimuler ce qui survient : à savoir le changement de peuple, le Grand Remplacement, la contre-colonisation.
Pourquoi avoir fondé un parti politique ?
Parce qu’il n’en existait aucun qui répondît à l’urgence de la situation et nommât ce qui arrive, la conquête du territoire. Il y avait bien le Front national, qui au moins paraissait conscient de la réalité des choses, mais la présence à sa tête de Jean-Marie Le Pen, à l’époque, empêchait de s'en rapprocher, a fortiori d’y adhérer.
Pourquoi vos maisons d'édition ont arrêté votre contrat ?
Ça, c’est plutôt à elles qu’il faut le demander…
Est-ce que la France est une terre d'immigration depuis des siècles ?
Absolument pas. C’est l'une des plus cyniques inventions de l’historiographie collaborationniste, au service du parti dévot. Entre le VIe et le XXe siècle, la France a eu une population aux composantes stables. Une première vague d'immigration se manifeste à partir de la fin du XIXe siècle, mais c’est encore une immigration d'individus, et facilement assimilables en une ou deux générations parce que de même civilisation, chrétienne et européenne : Belges, Italiens, Polonais. L’immigration de masse ne commence qu’avec le dernier tiers du XXe siècle et très vite il n’est plus question d’intégration car si la France a toujours su et pu intégrer des individus, elle ne peut pas intégrer des peuples, surtout s’ils appartiennent à des civilisations totalement étrangères à la nôtre et souvent hostiles.
Faut-il créer comme sous le modèle de De Gaulle un gouvernement des Forces françaises libres ?
Nous n’en sommes pas là. De vastes parties du territoire sont encore sous le contrôle du gouvernement national. Le problème est qu’il est lui-même largement entre les mains d'inconscients ou de cyniques, qui s’accommodent très bien de la colonisation en cours ou qui la favorisent.
Assistons-nous à la réécriture de l'Histoire de France ?
Ah ça, totalement. Elle est grandement favorisée par la Grande Déculturation, l’effondrement du système d'éducation, l’enseignement de l’oubli, l’industrie de l’hébétude.
Pourquoi les populations maghrébines veulent à tout prix venir en France alors qu'elles ont chassé la France de leurs pays ?
Quand les Russes ont chassé les Français de Russie, en 1812, ils les ont poursuivis jusqu’à Paris. Mais ils ne sont restés que deux ou trois ans. Et ils n’étaient qu’une armée, pas un peuple.
Est-ce que la France est comme le Kosovo avec des zones musulmanes, africaines et chrétiennes ?
La France moderne s’ingénie à devenir ce que la France classique s’est évertuée des siècles durant à ne pas être, une ex-Yougoslavie, des Balkans, un autre Liban, un panier de crabes.
Puisque nous parlons de populations différentes. Parlez-nous du traitement des statistiques sur la démographie !
Statistiques et sociologie sont au parti dévot ce que la biologie de Lyssenko était au stalinisme.
Avez-vous lu « Les Yeux grands fermés » de Michèle Tribalat? Votre avis ?
Une des rares voix clamant dans le désert, comme celle de Richard Millet en littérature.
Les immigrés disent être plus français que les Français et nomment les Français «souchiens ou sous-chiens». Cela vous choque ?
C’est peut-être vrai de quelques milliers d’entre eux, qui aiment plus la France que ne l’aiment ses indigènes déculturés. De la part des autres, ce n'est qu'une revendication territoriale — cela ne fait que me confirmer dans ce que je pense : qu'une conquête est en cours, par colonisation de peuplement.
Que pensez-vous du rôle des organisations humanitaires qui comme le Mrap interdisent de parler des faits ?
Qu’elles sont les auxiliaires intéressées du Grand Remplacement.
Le fait que Poutine interdise de telles organisations en Russie est donc une bonne idée ?
Il n’est pas nécessaire de les interdire. Il suffit de ne pas les subventionner.
Source cliquez ici
09:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 20 octobre 2012
La piteuse attitude d’un maire tombé en dhimmitude…
Directeur de Synthèse nationale
L’affaire se passe à Brou, petite commune de l’Eure-et-Loir située aux confins du Perche. Depuis des décennies, sans que personne jusqu’à présent n’est rien trouvé à redire, une petite croix ornait la grille du cimetière communal. Jusque-là, rien de bien extraordinaire. Cela doit être le cas dans la majorité des cimetières de France. Même les « pires laïcards » du cru ne s’en étaient jamais plaint. D’ailleurs, s’en étaient-ils même seulement aperçus ? En France, une croix à l’entrée d’un cimetière, jusqu’à présent, quoi de plus banal ?
Mais l’été dernier, à Brou, tout a changé. Des « citoyens » venus d’ailleurs ont fait part à une conseillère municipale du trouble que causait pour leur conscience la présence de cette croix provocatrice à l’entrée du cimetière. La conseillère zélée alla de suite alerter le maire qui, se référant à la sacrosainte laïcité, s’empressa d’ordonner l’enlèvement de la malheureuse croix. Cet imbécile de maire ne se rendant probablement pas compte qu’en procédant de la sorte (sans doute pour séduire une poignée d’allogènes qu’il espère - il peut toujours espérer… - compter parmi ses électeurs lors d’un prochain scrutin), il venait tout simplement de tomber en dhimmitude… En se couchant devant les désidératas de ceux qui veulent imposer sur notre terre de France une religion et une civilisation qui n’ont rien à y faire, le maire de Brou, se conduit en véritable collabo de l’islamisation de notre pays et de notre continent.
Cette histoire pourrait paraître bien insignifiante si elle ne révélait un état d’esprit qui se développe depuis quelques temps chez bon nombre de nos compatriotes. Aveuglés qu’ils sont par la propagande permanente du Système en faveur de l’instauration d’une société multiculturelle, et ne se rendant pas compte du danger que cette société multiculturelle ferait peser sur leur identité, beaucoup de Français, y compris au sein de notre famille politique, pensent trouver dans la laïcité un rempart efficace pour limiter les velléités de l’islam conquérant. Fadaises que tout cela ! Loin d’être un rempart, ni même un paravent, la laïcité est, bien au contraire, un véritable tremplin pour l’islam en France. En remettant en cause les traditions religieuses européennes qui, depuis des millénaires, sont le ciment de notre civilisation, la laïcité simplifie, encourage même, le développement de n’importe quelle autre religion sur notre sol. Qu’on le veuille ou non, et quoiqu’en pense la municipalité de Brou, la France et l’Europe sont des terres de traditions pagano-chrétiennes, elles ne sont pas des terres d’islam. Aujourd’hui, au nom de la laïcité on enlève une croix, demain, toujours au nom de la laïcité, on laissera le croissant musulman s’imposer partout chez nous…
En dénonçant l’attitude méprisable de ces édiles percherons, nous dénonçons en fait tout un Système qui a engendré, au nom du mondialisme, une telle situation. Ceux-ci ne font qu’appliquer scrupuleusement les principes de ce Système qui veut réduire à zéro la conscience identitaire de notre peuple qui risquerait de freiner la marche en avant vers la globalisation totale. La présence symbolique de cette petite croix à l’entrée d’un cimetière rappelant aux Français de souches, ne serait-ce que les jours d’enterrements (tout un symbole), qu’ils font encore parti d’un peuple enraciné. Or, des peuples enracinés, le mondialisme n’en veut plus… Et, pour diluer les peuples enracinés, rien de tel que le grand brassage des populations, des races, des religions et des civilisations qu’est l’immigration. Et pour faciliter ce grand brassage, jusqu’à présent, on a rien trouvé de mieux que la laïcité. Celle-ci mettant au même rang les religions ancestrales et les religions importées. Ajouté à cette laïcité une pointe de culpabilisation et quelques séances d’auto-flagellation télévisuelle et, croyez-moi, l’effet est garanti…
Que les choses soient claires, en écrivant ces lignes, je ne me livre pas à un quelconque prosélytisme religieux. Cela est l’affaire de chacun d’entre nous. Je veux simplement rappeler que les peuples ont des racines et une histoire, comme ils ont un territoire. Nier ces faits, c’est contribuer à l’anéantissement des peuples en tant que tels au profit d’un vaste magma constitué d’humanoïdes totalement décérébrés et juste bon à consommer. Cela pour le plus grand profit des multinationales apatrides.
Face au processus de destruction des identités voulu par les mondialistes, face à l’islamisation de notre continent encouragée par les mêmes mondialistes, seule une véritable prise de conscience nationale et ethnique de nos peuples permettra de sauver à la fois nos nations et notre civilisation européennes. Cette prise de conscience sera possible que grâce au travail acharné de chacun d’entre nous, responsables, militants, sympathisants de la cause nationaliste. Aucun effort allant dans ce sens n’est superflu. Synthèse nationale, à son modeste niveau, participe activement à ce combat salvateur. Grâce à la fidélité de ses lecteurs et à l’arrivée constante de nouveaux abonnés nous développons années après années l’esprit de résistance. Là est notre devoir et là est notre fierté. Nous savons qu’un jour viendra où nos peuples se rendront enfin compte de la situation tragique dans laquelle le Système mondialiste les a conduit. Tout peut changer rapidement. Nul ne sait de quoi demain sera fait. N’oubliez jamais qu’au début des années 80 du siècle dernier, nous étions bien peu nombreux à combattre la barbarie communiste. Les bien-pensants de l’époque nous affirmaient, avec leur morgue habituelle, que celui-ci allait dans le « sens de l’Histoire »…Et pourtant, le communisme finit par s’effondrer. De la même façon, nous devons maintenant combattre le mondialisme, conjonction d’intérêts entre l’ultra-libéralisme, le socialisme internationaliste et l’islamisme conquérant, afin d'instaurer un Ordre nouveau, nationaliste, populaire, social et identitaire, seul garant de la survie de notre belle civilisation européenne.
Quelques mots sur Synthèse nationale :
Le dimanche 11 novembre prochain, de 11 h à 18 h, se déroulera à Paris (au Centre de conférences Eurosites, 8 bis, rue de la Fontaine au Roi dans le XIe arrondissement – métro République ou Goncourt) notre 6e Journée nationale et identitaire. Celle-ci marquera d’ailleurs le 6e anniversaire de notre revue. Le thème de cette réunion : « Face à la crise : une autre Europe ». Tout un programme. A la crise dans laquelle semble avoir définitivement sombré le Système, nous opposerons les solutions nationalistes et identitaires.
Conférences, tables ronde, interventions de personnalitésde notre famille politique, présence de nombreux stands d’associations, de mouvements et de journaux… maqueront le bon déroulement de cette journée. Ce sera aussi l’occasion pour nous de vous présenter nos réalisations récentes (le lancement au mois de février des éditions Les Bouquins de Synthèse nationale ou l’édition, en juin, du Guide de survie en société islamique qui a rencontré un franc succès - 6 000 exemplaires diffusés en trois mois - par exemple) et nos projets futurs.
L’an dernier, près d’un milliers d’amis de Synthèse nationale a participé à cette journée qui, à chaque édition, rassemble de plus en plus de monde. Nous espérons donc vous retrouver nombreux le dimanche 11 novembre prochain…
Editorial de Roland Hélie publié dans le n°29 de la revue Synthèse nationale cliquez ici
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C'était un certain samedi d'octobre 732...
17:57 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Cergy (Val d'Oise) : les militants de France Action Jeunesse mettent de l'ambiance au "Cercle du silence" (une bande de collabos) local
17:39 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La mosquée de Poitiers occupée...
16:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"La France au risque de l'islam", un nouveau livre de Thierry Bouclier...
Une certaine forme d'islamisation est-elle en train de gagner la société française ? Thierry Bouclier a enquêté. Témoignages et textes législatifs à l’appui, il décrit, au détour d'une loi, de nouvelles pratiques ou d'un projet municipal, comment la société se transforme dans des domaines aussi divers que l’école, l’alimentation, les hôpitaux, le droit civil, la banque ou les prisons.
• Par quel artifice des mosquées sont-elles édifiées à l'aide de fonds publics ?
• Comment la nourriture halal arrive-t-elle dans nos assiettes ?
• Quelles sont les décisions du juge administratif influencées par le Coran ?
• Les hommes politiques ont-ils des arguments pour favoriser de tels changements ?
Ce livre permet de répondre à ces questions, et à beaucoup d'autres, sur un débat qu'il n'est plus possible d'occulter.
À lire avant que le muezzin ne chante...
Avocat à la Cour, Thierry Bouclier est aussi l'auteur d'un essai historique intitulé La République amnésique (2008) ainsi que d'une biographie de Tixier-Vignancour (2003).
La France au risque de l'islam, Thierry Bouclier, éditions Via Romana, 2012, 184 pages, 19,00 €
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Vendredi 26 octobre, à Paris, conférence de Patrick Gofman sur le trotskysme...
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Vierzon : contre la transformation de l'église St Eloi en mosquée, les catholiques s'organisent...
Les catholiques du Berry ont monté un comité pour préserver l’église saint Eloi, menacée d’être transformée en mosquée.
Le comité lance une pétition contre la transformation de l'église St Eloi de Vierzon en mosquée cliquez là.
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vendredi, 19 octobre 2012
La démondialisation ou l’appauvrissement...
Bruno Mégret
La crise, tout le monde a ce mot à la bouche. Les politiques et les médias ne parlent que de ça et pour les socialistes au pouvoir c’est la contrainte ou l’excuse qui détermine toutes leurs actions. Pourtant personne ne semble poser la vraie question, celle qui devrait nourrir les analyses et alimenter les propositions : de quelle crise s’agit-il ? Pourquoi une crise ? On nous parle d’une crise de l’euro, d’une crise de la dette, d’une crise économique, cependant, dans cette abondance de débats rien de clair n’émerge, ni sur la nature réelle du problème ni sur les remèdes à y apporter.
La crise de la dette : un symptôme
On nous parle d’une crise de l’euro. Or, il n’y a pas de crise de l’euro. Certes, la monnaie européenne gêne aujourd’hui des pays comme la Grèce ou l’Espagne qui ne peuvent plus dévaluer pour redresser leur économie. Mais l’euro en tant que tel reste une monnaie forte. Si l’euro n’inspirait plus confiance, personne n’en voudrait plus et son cours s’effondrerait. Ce qui est loin d’être le cas.
En revanche, il y a bien une crise de la dette due à des niveaux d’endettement auxquels beaucoup d’États européens ne peuvent plus faire face. Mais cette situation n’est que le symptôme d’un mal plus profond, et rares sont ceux qui avancent des explications convaincantes sur les causes de cet endettement. On laisse entendre que le laxisme de nos dirigeants serait à l’origine de ces errements. Sans doute y a-t-il là une part de vérité, mais peut-on réellement expliquer un phénomène aussi généralisé et aussi continu par une simple dérive des comportements politiques ?
Endettement et mondialisation
En réalité, l’endettement massif des pays européens est principalement la conséquence de la mondialisation sauvage et du soutien idéologique indéfectible qu’elle reçoit des dirigeants du système. La mondialisation a en effet provoqué, avec la désindustrialisation, un transfert de richesse des pays européens vers les pays émergents qui se traduit par un appauvrissement relatif de l’Europe. Or, nos gouvernants, qui n’ont cessé de vanter les mérites de cette mondialisation, n’ont jamais voulu admettre cette terrible vérité. Et pour supprimer les effets désastreux qui en résultent, ils ont cherché, malgré l’appauvrissement de notre nation, à maintenir le niveau de vie et de protection des citoyens en recourant massivement à l’emprunt. Pour ne pas avoir à réduire les prestations sociales, le service public et le pouvoir d’achat, ils ont fait vivre notre pays au-dessus de ses moyens.
Il faut donc le dire haut et fort : la crise actuelle est la conséquence directe de la mondialisation sauvage. Comment expliquer autrement que l’endettement débute dans les années soixante-dix et aille croissant à mesure que les droits de douane sont supprimés et que la dérégulation commerciale se généralise ? Comment expliquer autrement que les pays européens soient tous largement endettés alors que les pays émergents disposent tous de larges excédents ?
C’est donc clair, la crise que nous connaissons aujourd’hui vient du fait que la politique de camouflage des effets néfastes de la mondialisation est devenue impossible dès lors que le niveau d’endettement a atteint son seuil maximum.
La croisée des chemins
Si l’on comprend cela, on comprend pourquoi aucun gouvernement n’a jamais pu apporter une solution véritable à ce problème et pourquoi aucun des partis en présence ne peut résoudre cette crise. Attachés aveuglément à l’idéologie de la mondialisation, liés par les propos euphoriques qu’ils tenaient il y a peu de temps encore sur ses supposés bienfaits, ils ne voudront jamais se déjuger et, en refusant de s’attaquer aux causes profondes de la crise, ils ne pourront qu’en développer les conséquences funestes.
Nous sommes donc à la croisée des chemins, car quel que soit le discours de nos dirigeants il nous faut maintenant revenir à la réalité. Dès lors, deux voies et deux voies seulement nous sont ouvertes. Ou bien on remet en cause la mondialisation sauvage par une régulation réelle aux frontières de l’Europe qui permettrait de réindustrialiser notre continent et de retrouver une prospérité suffisante pour résorber nos dettes. Ou bien on laisse les frontières grandes ouvertes et il faut alors contraint et forcé réduire le niveau de vie et de protection de nos compatriotes et organiser l’appauvrissement et donc la régression inexorable de notre pays.
A l’évidence c’est à cette tâche que les socialistes au pouvoir semblent vouloir se consacrer.
Source Le Chêne n°70 cliquez ici
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Demain samedi, à midi, sur Radio Courtoisie...
Radio Courtoisie cliquez ici
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Naturalisations : Manuel Valls veut accélérer la substitution du peuple français...
Communiqué du Parti de la France :
Le Ministre de l'Intérieur, le calamiteux Manuel Valls, lui-même naturalisé français en 1982, souhaite assouplir encore plus les critères pour obtenir la nationalité française. Se lamentant d'une baisse dérisoire des naturalisations massives sous le gouvernement précédent (87.000 en 2011 au lieu de 116.000 en 2010), ce fanatique de la submersion migratoire a décidé, avec ses amis socialistes, d'accélérer le processus de colonisation de notre pays.
Bien plus facile à mettre en œuvre que le droit de vote pour les étrangers qui entraîne une révision constitutionnelle (et l'accord des 3/5ème des parlementaires ou un référendum populaire), la facilitation de l'acquisition de la nationalité française ne nécessite qu'un simple décret du Ministre de l'Intérieur.
Espérant une manne électorale à court terme grâce aux Français de papier, le gouvernement de l'internationale socialiste commet un nouveau crime contre l'identité du peuple français en accordant massivement la nationalité française à des populations extra-européennes inassimilables, islamisées pour la plupart, et souvent hostiles au pays d'accueil.
Le Parti de la France défend, à l'inverse, une refonte du code de la nationalité qui doit être basé sur la transmission de la nationalité par la filiation et par le seul mérite, une inversion des flux migratoires extra-européens et une grande politique nataliste afin que la France reste française.
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GOLDMAN & SACHS : LE BANQUIER QUI DIRIGE LE MONDE...
09:56 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |