mercredi, 16 janvier 2013
Le Renouveau français à la manif de dimanche dernier...
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mardi, 15 janvier 2013
Jeudi soir : concert de Dr Merlin au Local...
12:11 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
En marge de la Manif': le Champ de Mars qui rétrécit et le Normal qui nous gonfle !
Yves Darchicourt
14 juillet 2009 : grand concert gratuit de Johnny Halliday au Champ de Mars à l'occasion des 120 ans de la Tour Eiffel, nos braves médias s'extasient, avec "au moins 700 000 spectateurs" (cliquez là). Jojo a fait mieux que Michel Polnareff deux ans auparavant et au même endroit (600 000 personnes seulement). Dans les deux cas, photos à l'appui, les journaleux évoquent un Champ de Mars entièrement couvert par la multitude. 13 janvier 2013 : les mêmes Champs de Mars, photos à l'appui, sont identiquement couverts par une multitude... ne dépassant pas 340 000 personnes ! Insondable mystère ! Comme il est totalement exclu que la Préfecture soit malhonnête et les médias désinformateurs, c'est donc que - en un peu plus de 3 ans - le Champ de Mars parisien a rétréci ! Tout comme la calotte glaciaire ! Encore une dramatique conséquence du réchauffement climatique !
On sait déjà que la déferlante populaire qui a inondé le Champ de Mars n'a -officiellement- pas entamé la détermination de François le Normal à porter au pinacle ce qui n'était après tout que sa 31e proposition. C'est qu'il est des lobbies qui ne lui pardonneraient pas de céder à la pression populaire censée ne représenter que " la France blanche et catholique " selon les propos imprudemment lâchés par un conseiller élyséen et repris dans Le Point hier (cliquez ici) Au moins c'est net, Hollande et sa clique, gangrénés par les frères trois points et les invertis baignent dans un quotidien de racisme anti-blanc et anti-français et dans la cathophobie digne des ultras du petit père Combes.
Son air niais ne doit pas nous tromper, François le Normal est bien le tyranneau dénoncé par notre camarade Robert Spieler en marge de la manifestation de dimanche dernier (cliquez ici). Pour les indigènes de France, pour les citoyens gaulois, il n'y a rien à attendre de lui que mépris, matracage fiscal, lavage de cerveau, oppression, persécution... François le Normal n'est plus seulement l'adversaire politique, il est l'Ennemi, clairement dénommé comme tel.
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lundi, 14 janvier 2013
Énorme succès de la manif pour la famille traditionnelle !
Un communiqué de Liberté Pour la France :
La manifestation du dimanche 13 janvier 2013 contre le "mariage" homosexuel fût un énorme et incontestable succès : 1 million de personnes dans la rue.
Malgré l'opposition farouche du peuple au "mariage pour quelques-uns imposé à tous" (car c'est bien cela la vérité), le gouvernement socialiste préfère ignorer, s'acharner, ne pas écouter, déformer, bref, ces gens du gouvernement et les associations extrémistes comme LGBT se fichent de nous. La mobilisation de dimanche n'est qu'un début, ce n'est que l'apéritif. Après le 13 janvier, le grand silence ? Jamais, ne commettons pas cette erreur ! Écrivez à vos élus, signez les pétitions, faites de la veille sur les médias pour poster des commentaires constructifs, collez, tractez, bref, maintenez la pression ! Une prochaine grande manifestation se déroulera prochainement... nous serons là. La décadence morale qu'incarne très bien cette histoire de "mariage" homosexuel ne passera pas ! Liberté Pour la France est très heureux du soulèvement de dimanche, Liberté Pour la France ne baissera pas les bras pour contrer ces pantins aux commandes.
23:47 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Robert Spieler (NDP) à la manif de dimanche...
18:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Carl Lang, Président du Parti de la France, était présent hier à la manifestation contre le "mariage" homo :
18:09 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Contre le "mariage" homo : une déferlante populaire "consistante" !
Yves Darchicourt
Il suffit de voir les images! La manifestation d'hier contre le projet de la Taubira visant à dénaturer le mariage en l'octroyant aux paires homosexuelles - premier pas vers la possibilité de laisser adopter des enfants par des lesbiennes et des pédérastes - a été une énorme mobilisation. De toute évidence, l'immense rassemblement allait bien au-delà du nombre de 340 000 personnes annoncé par la police d'Etat, même les "grands" médias - pourtant largement sous influence du lobby gay-lesb-bi-trans - laissent entrevoir une déferlante proche de 800 000 français, de tous âges et de toutes conditions, venus pour dire non à cette réforme sociétale qu'on veut lui imposer sous couvert de bons sentiments et de "justice" , alors qu'ils ne s'agit que d'une hypocrite offensive contre la famille et les lois naturelles qui régissent notre civilisation européenne depuis des millénaires.
Fourvoyé dans l'aventure pour plaire à une partie de son électorat bobo, François le Normal doit se mordre les doigts d'avoir promis la chose, comme il en a promis d'autres qu'ils ne tiendra pas d'ailleurs faute d'en être capable, comme en matière de sécurité, de niveau de vie ou d'emploi. Mais cette réforme - qui ne coûtera rien en matière budgétaire - il semble parti pour s'obstiner à l'imposer par godillots interposés. Officiellement, la formidable déferlante populaire ne l'aurait guère impressionné, c'est tout juste s'il aurait reconnu que la manifestation était consistante...donnant là - et probablement sans le savoir - dans le doux euphémisme.
Il reste aux français qui sont "normaux" comme leur Président est "normal" de rester mobilisés pour faire pression sur le Gouvernement et surtout sur ses godillots parlementaires en agitant le spectre du ressemelage électoral : ces gens là n'ont sans doute ni âme ni conscience mais ils ont un portefeuille et ils tiennent à leur sinécure. Et puis une loi se défait comme elle se fait, une loi inique surtout qui par ailleurs n'a pas vocation à être respectée, en tous les cas pas dans la paix civile. François le Normal aura été prévenu !
12:52 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pour une Europe iconoclaste...
Europe maxima cliquez ici
Depuis octobre 2006 paraît tous les deux mois la revue politique et culturelle, nationale et identitaire, Synthèse nationale dirigée par Roland Hélie. Disposant d’un site Internet et tenant une manifestation annuelle de rencontres, d’échanges, de discussions et de réflexions dans la capitale, voilà qu’elle dispose dorénavant d’une maison d’éditions. Celle-ci vient de publier un ouvrage collectif d’auteurs français, espagnols, belges et hongrois. « Ce livre, écrit Roland Hélie, publié à l’occasion de la VIe Journée nationale et identitaire organisée par Synthèse nationale le 11 novembre 2012 à Paris » rassemble les réponses à quatre principales questions que leur pose le directeur du bimestriel.
La palette des intervenants est large. Elle témoigne de la diversité, de l’hétérogénéité même, du courant national et identitaire. On a la surprise de ne compter que 28 signatures, mais trente est un nombre rond plus satisfaisant. En plus, il faut prendre en compte l’introduction de Roland Hélie et le trentième point de vue est nécessairement celui du lecteur. Si l’on établit une typologie – sommaire et un peu grossière – des tendances qui s’y expriment, on remarque que le royalisme n’a qu’un seul représentant : Franck Abed. Les nationaux sont cinq (Francis Bergeron, Pierre Descaves, Bruno Mégret, Martin Peltier et Jean-Claude Rolinat), huit proviennent de la « nébuleuse néo-droitiste » (Gabriele Adinolfi, Patrick Parment, Philippe Randa, Gilbert Sincyr, Robert Spieler, Pierre Vial et deux rédacteurs réputés d’Europe Maxima, Pierre Le Vigan et Georges Feltin-Tracol), neuf du nationalisme sous toutes ses facettes (Serge Ayoub, Thibaut de Chassey, André Gandillon, Olivier Grimaldi, Pieter Kerstens, Luc Pécharman, Alain Renault, Hervé Van Laethem et Gabor Vona, le président du Jobbik hongrois) et cinq sont hors-catégorie (Lionel Baland, Nicolas Gauthier, Dr Bernard Plouvier, Enrique Ravello) ainsi qu’un conservateur naïf, Marc Rousset, qui plaide pour l’espéranto comme langue de la construction européenne !
Comme il est habituel dans ce genre de livre, les réponses sont variées et inégales tant par leur pertinence que par leur qualité. On est en revanche heureusement surpris par la volonté de tous de remédier à la panne (à l’impasse ?) européenne. Si, pour Alain Renault, « la question “ européenne ” n’est plus seulement géographique mais avant tout biologique » du fait de l’immigration de peuplement, Patrick Parment constate que « les partis sont des gestionnaires de carrière », donc les premiers responsables de la nullité politique, alors que Franck Abed affirme avec justesse que « la République en France est le parti de l’étranger ».
Immigration et domination des formations politiciennes favorisent dans les faits un « désarmement moral, énonce Francis Bergeron, [qui] se juxtapose ou se confronte à l’expansionnisme idéologique (islam), territorial (immigration extra-européenne), démographique (forte natalité d’un côté, valorisation de l’avortement et de l’homosexualité de l’autre), moral (vision optimiste et dynamique, volonté entrepreneuriale d’un côté, et le “ tous fonctionnaires ”, de l’autre) ». Plus qu’économique, le mal qui frappe l’Europe est surtout existentiel. Notre continent « se trouve aujourd’hui au bas de l’échelle, dominée par n’importe quel État d’Asie, tout juste bonne à servir de musée et de parc d’entertainment aux touristes du monde, s’indigne Martin Peltier ». « Une civilisation meurt, ajoute Pierre Le Vigan, quand ses élites ne comprennent pas la nature d’un processus en cours, ou quand elles en sont complices – ce qui est le cas. Les élites sont le moteur du productivisme effréné, de la mondialisation capitaliste, de la consommation et consumation de la planète par l’homme. »
Par ailleurs, « l’Europe de Bruxelles, qu’il faut considérer comme illégitime car elle ne correspond pas à la volonté des peuples européens, bernés et domestiqués par un conditionnement mental permanent, subit les conséquences de sa dépendance à l’égard des forces mondialistes, estime Pierre Vial. Elle paie le prix de la perte de sa liberté ». Plus définitif encore, Enrique Ravello affirme que « l’actuelle Union européenne est le plus grand ennemi de l’Europe ainsi que des peuples et des pays qui la constituent : elle est mondialiste, néo-libérale et soumise aux États-Unis ». Cette américanisation des esprits lobotomisés fait dire à Nicolas Gauthier qu’« en tant qu’Européen de l’espèce maurrassienne, je me sens plus chez moi à Téhéran qu’à New York ».
Paradoxalement pourtant, la crise actuelle de l’Europe est plus que nécessaire, elle est même salutaire. « Par “ crise ”, rappelle Gabriele Adinolfi, nous entendons ce que le mot signifie au sens étymologique, c’est-à-dire passage, transformation, ou si vous voulez, un changement radical guidé du haut. » Le sursaut réclamé se traduira par une « Reconquête, prévient Robert Spieler, [qui] sera, sur tous les plans, européenne ou ne sera pas ». « L’Europe que nous voulons, déclare pour sa part Gilbert Sincyr, pourrait se définir en trois mots : identitaire, autonome et solidaire. » Le Vigan confirme le propos en prévenant qu’« il est temps de réhabiliter le local car l’universel qui prétendrait se passer du local tuerait la vie elle-même de sa chair ». « La fin de l’État-nation et de la démocratie (Adinolfi) » favorise la renaissance du local. « Face à la restructuration dirigiste, mondialiste, esclavagiste, classiste, supranationale, il est possible seulement de recréer l’organicité sociale à la base et d’agir pour que le changement en cours soit ancrée dans le local et encore pour que le local fasse aussi fonction de freinage dans la course culturelle et politique permettant qu’une souveraineté continentale, expression d’identités locales, surgisse à la place de la dimension cosmopolite (Adinolfi). »
Les contraintes du réel invitent à procéder par paliers successifs. « Le souverainisme national ne me paraît pas tenable à long terme, mais il peut être une étape avant de construire une Europe autocentrée, un protectionnisme européen, une maîtrise européenne des frontières, un souverainisme européen en d’autres termes, pense Le Vigan. » Si le cadre de l’État-nation fait défaut, agissons autrement. Pour Serge Ayoub, « Troisième Voie se concentre essentiellement sur la formation d’une communauté des travailleurs aptes à faire face à la crise. La B.A.D. (Base autonome durable), la pénétration syndicale, l’autonomisation économique par rapport au système, voilà des réponses adéquates à la situation économique que la France va affronter ».
L’action doit prendre de nouvelles formes. Gabriele Adinolfi nous suggère de « procéder dans un esprit néo-sorelien, mais aussi néo-gibelin, à la création de coopératives liées à des territoires donnés et aux catégories sociales. Il faut envisager la création de caisses d’épargne ou de banques de secours mutuel qui financent la production par les investissements des classes productives elles-mêmes. » L’objectif doit tendre vers « une Europe identitaire et solidariste (aux bons sens des termes) [qui] est la seule solution pour pouvoir sortir de cette crise », affirme Hervé Van Laethem qui juge que « seule une troisième voie économique entre le libéralisme sauvage et le dirigisme socialiste pourra nous sauver de ce qui s’annonce comme une tragédie sociale. Et seule une idéologie profondément anticapitaliste, comme l’est le solidarisme, permettra de mettre en place une telle politique ». Cette troisième voie est aussi défendue par Georges Feltin-Tracol qui assure que « notre Europe saura concilier la puissance et la décroissance et s’inspirera de l’expérience de Fiume avec Gabriele d’Annunzio, du modèle suisse et de l’exemple de la Corée du Nord ! ».
Ce livre impose finalement une « certitude, croit Roland Hélie : la fin de notre civilisation et de notre identité ne sont pas une fatalité ». Espérons que nos compatriotes européens prendront conscience des périls et riposterons le moment venu.
• Sous la direction de Roland Hélie, Face à la crise : une autre Europe ! 30 points de vue iconoclastes, Les Bouquins de Synthèse nationale (116, rue de Charenton, F – 75012 Paris), 2012, 163 p., 18 €.
Pour le commander cliquez là
11:56 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'écrivain Eric Miné nous raconte la victoire française de Koh Chang (17 janvier 1941)...
Entretien de Daniel Dubois (asiatélévision cliquez ici) avec Eric Miné sur son dernier livre Koh Chang la victoire perdue. Un éclairage haut en couleur et non conformiste sur une bataille entre la France et la Thaïlande et sur le dernier conflit mondial vu d'Asie du Sud-Est.
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Il faut se méfier de la France bien élevée...
Gabrielle Cluzel
Boulevard Voltaire cliquez ici
Tout le monde s’accorde à le dire, et même, du bout des lèvres, certains membres du gouvernement : la manif de ce 13 janvier est un immense, un inespéré succès.
Un succès d’autant plus grand qu’elle a fait descendre dans la rue la France des taiseux, la France qui ne fait pas de bruit, la France bien élevée qui ne veut pas déranger, celle qui bosse et paie sans moufeter ses impôts, celle qui n’a jamais commis plus gros délit que de dépasser le temps imparti par un horodateur, celle qui cède sa place dans les transports en commun et aide les vieilles dames à monter leurs bagages dans le train.
La France dont on ne parle pas au 20 heures, parce que ses enfants ne dealent pas, ne squattent pas, ne brûlent pas les voitures et ne cassent pas la gueule aux profs, la France qu’aucun gouvernement ne cherche à ménager tant on la sait docile, respectueuse des lois et de l’ordre établi. La gentille France familiale, catholique ou pas, qu’on prend quelquefois, il faut bien le dire, pour toutes ces raisons-là, au choix, pour une bonne poire ou pour une vache à lait.
Et c’est cette France-là qui est venue manifester en masse, avec ses poussettes surchargées, ses innombrables jeunes perchés sur les chars, ses enfants ravis pour une fois d’échapper aux devoirs du dimanche, cette France-là qui est venue protester, crier, tempêter : « François, ta loi on n’en veut pas ! », « Taubira, t’es foutue, les familles sont dans la rue !»
Fallait-il, pour que ces gens-là sortent de leurs gonds, que la cause les ait scandalisés, touchés, indignés.
Parmi eux, pas de professionnels de la manif, de vieux routards syndicalistes que l’on voit fondre sur Paris comme les oiseaux migrateurs dès que la saison des conflits sociaux arrive et qui, entre grèves et cortèges, vous bloquent et vous prennent en otage un pays. Si innocents, ces manifestants du dimanche, qu’il a fallu leur expliquer quelques vieilles ficelles : que, pour le comptage de la police, par exemple, il fallait se déployer sur tout le boulevard, et ne pas rester scotchés les uns aux autres, ou que malgré le nombre, il ne fallait pas céder à la tentation d’envahir le trottoir qui, lui, ne serait pas considéré comme « manifestant ».
Les CRS eux-mêmes, d’ailleurs, n’avaient pas leur tête tendue habituelle, conscients sans doute que gaz lacrymogènes et vitrines brisées étaient hautement improbables avec ces manifestants placides dont les longues heures d’attente à faire le pied de grue, non plus les affiches provocatrices sur les balcons ici et là n’arrivaient à entamer la bonne humeur. On vit même l’un d’eux sourire lorsqu’un appel au micro signala à quelques minutes d’intervalle la perte d’un iPhone, puis sa restitution. Dans une foule si compacte, un objet si prisé sagement rapporté aux objets trouvés, cela ne s’était jamais vu.
Pour être honnêtes, ces manifestants-là ne sont cependant pas complètement abrutis. Et quand ils entendent parler du chiffre officiel de 340 000 manifestants quand certains d’entre eux, pour avoir organisé les JMJ par exemple, savent pertinemment que le Champ de Mars, très vite saturé ce dimanche et dans lequel nombre de manifestants n’ont pu entrer, peut contenir plus de 800 000 personnes, ils sentent bien « comme une embrouille ».
Il faut se méfier de la France bien élevée et de son côté « diesel » : un peu longue à chauffer, mais lorsqu’elle est lancée, son moteur est increvable.
Et là, c’est le gouvernement qui risque bien d’en baver un peu.
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Manif contre le "mariage" homo : réaction de Civitas
Un communiqué d'Alain Escada, Président de Civitas :
Cette journée du 13 janvier a été un immense succès. Jamais l'Institut Civitas n'avait réuni autant de monde autour de lui. Près de 50.000 personnes se sont retrouvées place Pinel pour prier pour la France et pour dénoncer l'épouvantable projet de loi que les gouvernants, tels des apprentis sorciers, ont tenté de présenter. Nous tenons à remercier les nombreuses associations amies qui se sont jointes à nous.Dans la capitale ce dimanche, le million de manifestants a été frôlé. Ils venaient de tous horizons et de toutes les régions. La conséquence apparaît clairement. Si le président de la République, ne veut pas que son quinquennat tourne à la catastrophe, il devrait rapidement se mettre à l’écoute des Français qui ne l’ont visiblement pas élu pour sa proposition N° 31.
La démonstration de Civitas s’est déroulée de manière très sereine, malgré la longue attente qu’a imposée l’écoulement du flot de marcheurs de l’une des parties de la « Manif pour Tous » qui utilisait le même itinéraire. Notre colonne n’a pu s’ébranler qu’au bout de trois heures et avant de pouvoir battre le pavé, les chants et les prières ont ranimé tous les cœurs. Les médias auront peut-être l’honnêteté de reconnaître que lorsqu’une manipulation de quelques « femen »n’est pas orchestrée par une journaliste d’extrême gauche, c’est l’ambiance bon enfant qui caractérise nos activités. Quant à ces activistes, elles ont achevé de se ridiculiser ce matin sous les fenêtres du souverain pontife lors de l’Angelus. Nous condamnons fermement cette provocation supplémentaire et remercions les carabineri d’avoir rétabli l’ordre à Rome, comme nous saluons le courage des forces de police française qui ont assuré notre sécurité.
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dimanche, 13 janvier 2013
MANIFESTATION CONTRE LE "MARIAGE" HOMO : UN SUCCES ENORME !
23:24 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les socialistes sont masochistes et le pouvoir les rend fous...
Nul n’ignorait en 2012 que l’après Sarkozy, avec ou sans lui, avec ou sans Hollande, serait une succession difficile. La France est prise dans la tourmente d’une immense crise financière qui met à mal ses finances et donc ses emplois. Plus grave encore, la France se désindustrialise et trop de ses usines ferment ou dégraissent comme l’on dit. Bref, le libéralisme qui devait nous apporter la prospérité, forge notre misère. On n’entrera pas ici dans le pourquoi du comment, ce qu’il faut faire ou non et tout le tralala des docteurs miracles (ce qui ne veut pas dire que nous n’avons pas quelques idées !)
Donc, François Hollande savait de quoi il retournait car, pour une fois, le transfert des pouvoirs s’effectuait sans surprises et sans coups fourrés (mais non sans quelques petites mesquineries). L’urgence était simple qui consistait à mettre des pare-feux, dans un premier temps, stabiliser la situation et réfléchir à l’avenir. Les pistes ne manquent pas, notamment en matière de transition énergétique, grande source d’emplois et de technologies d’avenir.
Ne plus avoir à subir l’agitation maladive de Sarkozy ne pouvait que nous permettre de souffler, d’autant que ses beaux discours, parfois justes dans leur appréciation de la situation, ne furent que peu suivis d’effets.
Sauf que Hollande a commencé par ne rien faire. Sauf une chose : donner à Arnaud Montebourg l’un des dossiers les plus intéressants : stopper l’hémorragie industrielle et réindustrialiser ce pays. Montebourg, ça nous interpellait assez parce qu’il avait commis un petit opuscule sur la démondialisation. Pas libéral pour deux sous, prônant une autre économie et surtout adepte d’un protectionnisme comme le pratiquent si bien les Américains ou les Chinois ! Bref, quelques idées susceptibles de nous séduire dans ce monde pourri du mondialisme à dominante américano-occidentale. On se doutait bien que ce brave Montebourg n’allait pas faire de miracles du jour au lendemain. Mais, il a foncé tête baissée dans la fournaise quand ses petits camarades, qui ne foutent rien et donnent dans l’esbroufe à l’image d’une Taubira, Touraine et autres Moscovici, se sont mis à le tataner sévère ! Même Hollande. Alors, désormais, il fait avec les moyens du bord. Hollande ne l’a pas viré, car il en a la trouille. Il faut bien dire que Montebourg, c’est une grenade dégoupillée comme Mélenchon. De surcroît, tous les deux tirent à gauche et pas à droite. Evidemment, la droite n’existe pas (Copé, Fillon ? des traîne-savates !).
Alors que Hollande ne faisait déjà pas grand chose (il semble totalement dépassé par la fonction et les problèmes conjugaux), le voilà qui nous ressort du placard, un thème de sa campagne, l’impôt à 75% pour tous ceux qui déclarent plus d’un million d’euros de revenus. Pure mesure idéologique, car cet impôt médiatique ne rapporte rien. Tout juste 200 millions d’euros, c’est-à-dire une misère. Dans la foulée, Gérard Depardieu déclare qu’il se barre en Belgique. Le Premier ministre monte au créneau et considère cette attitude « minable ». A partir de là, nous entrons dans un feuilleton digne de Mickey. Et Vladimir Poutine saute sur l’occasion et accorde la nationalité russe à notre Gégé-Obélix national. Manière de rappeler aux autorités françaises que la Russie, c’est aussi l’Europe. N’en déplaise à tous les américanophiles sarkozistes autant que Hollandistes qui ne sont jamais que les valets du libéralisme anglo-saxon. Le sieur Hollande, qui paie l’ISF ce me semble, entendait faire la guerre aux banques avant de se raviser et d’être désormais à leur botte. On aurait pu s’en tenir là. Que nenni !
Dans cette France meurtrie par le chômage et l’immigration, voici que les socialistes nous sortent le projet d’un « mariage pour tous » qui concerne les homosexuels, assorti de l’adoption et de la procréation médicale assistée (PMA). Du mariage des homos, tout le monde s’en fout. S’ils veulent les mêmes emmerdements que les couples qui divorcent souvent dans la douleur, c’est leur problème. Mais que l’on vienne modifier le code civil en remettant en question la notion même de père et mère et la filiation qui en découle, voici qui est inacceptable et une atteinte irresponsable à notre culture et à ses traditions. Sans compter que cette PMA est la porte ouverte sur le trafic humain. Faudrait qu’elle réfléchisse la mère Taubira, surréaliste garde des Sceaux.
On ne voit pas du tout l’intérêt d’un tel bouleversement. Si ce n’est de satisfaire une minorité homosexuelle fortement agissante au sein de la gauche et qui regroupe, de surcroît, un ramassis de cinglés.
Cela ne vous rappelle rien ? Si, si, la loi sur les 35 heures de la mère Aubry qui a foutu une pagaille sans nom dans les entreprises (sauf les grosses) et dont la société française ne s’est toujours pas remise. Et, cette droite de couilles molles s’est bien gardée de tailler dans le vif en réduisant tout ça à néant. Mais, là encore, on a pu voir combien les syndicats étaient les complices du patronat. Et les politiques de tout ce petit monde !
Les socialistes marchent complètement à côté de leurs pompes et leur vision purement idéologique de la société française est dangereuse. Ce qui est gênant à l’heure même où notre monde est en train de basculer non pas vers une humanité meilleure mais esclavagiste, car tel est la figure même du mondialisme libéral.
23:23 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Aujourd'hui, dimanche 13 janvier, nous serons Place Pinel à la manifestation contre la loi Taubira...
Dimanche prochain, 13 janvier 2013, sera marqué par des manifestations qui s’annoncent impressionnantes contre la pitoyable prétention du gouvernement et de sa ministre Taubira d’imposer le « mariage pour tous ».
Cela amène à quelques réflexions. Tout d’abord, pour que les choses soient claires, considérons que les relations amoureuses, fussent-elles homosexuelles, sont l’affaire de chacun et que les jugements, souvent moqueurs et parfois teintés d’une certaine dose d’hypocrisie, portés par les autres n’ont pas à entrer dans le débat actuel. L’homosexualité a toujours existé et existera toujours. On peut peut-être le déplorer, mais il en est ainsi. D’ailleurs, le problème n’est pas là.
Le vrai problème, c’est lorsque celle-ci commence à être facilitée, voire promotionnée, par le pouvoir en place comme c’est le cas en ce moment avec l’instauration programmée d’une parodie de mariage (que personne à part quelques agités ne demandait vraiment…) qui relève plus du ridicule absolu que d’autre chose.
Ce projet, qui tombe à pic pour masquer l’incompétence gouvernementale à gérer la crise actuelle, relève en fait de la volonté de l’hyper-classe mondialiste, dont Hollande et sa clique ne sont que les larbins, de détruire les piliers de notre civilisation ancestrale au premier rang desquels figure la conception traditionnelle et logique de la famille. De plus, derrière le "mariage" homo se profile déjà la sordide "théorie du genre" dont, rappelons-le au passage, on doit au précédent gouvernement (Fillon) l'introduction à l'Ecole. Une fois les repères supprimés et les racines détruites, il sera encore plus aisé pour les tenants de la haute-finance apatride de manipuler notre peuple afin de le transformer en un troupeau docile de consommateurs faciles à exploiter.
Toutefois, les prétentions génocidaires des prétendus maîtres du monde se heurtent à la volonté populaire. La réussite de la riposte à la légalisation du « mariage » gay, et au-delà au droit à l’adoption, en sera la preuve flagrante.
Mais, quoiqu’en pensent certain(e)s, cette riposte est avant tout une riposte politique, spirituelle et identitaire, elle ne doit pas se résumer un carnaval de bonnes intentions limites politiquement correct. Voilà pourquoi nous appelons les nationalistes à se joindre massivement au cortège organisé par l’Institut Civitas, dimanche 13 janvier, Place Pinel à Paris XIIIe (Métro Nationale), à 13 h.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Membre du Bureau de la
Nouvelle Droite Populaire
12:21 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mariage, Manif et « Affaire » pour tous !
La chronique de
Philippe Randa
Décidément, on n’est jamais à l’abri d’une surprise en politique. Bonne ou mauvaise, c’est selon… Qui eût crû que le projet de loi autorisant le mariage entre homosexuels provoquerait autant de divisions dans l’opinion ?
On se croirait revenu à l’époque de « L’Affaire », soit entre 1894 à 1906, une douzaine d’année qui bouleversèrent la société française… Alors en cause, Alfred Dreyfus, capitaine de l’armée française condamné pour haute trahison dont l’innocence est désormais sinon admise par tous, du moins jugée obligatoire pour tous sous peine de subir les foudres du politiquement correct.
Gageons que le barouf du passage autorisé devant monsieur le maire de « deux messieurs ou de deux madames » ne durent pas autant. L’époque a changé et, audimat oblige, il faut toujours du nouveau pour capter l’attention du citoyen et engranger les recettes publicitaires.
Le « mariage pour tous » sera donc sinon digéré par tous, du moins quasiment oublié par le plus grand nombre d’ici l’été, voire même le printemps, sans doute.
Mais pour l’heure, il chauffe l’opinion qui a en a bien besoin en ce week-end où la température a brusquement chuté et rappelé que nous sommes tout de même en hiver.
Oui, c’est étonnant comment un tel projet de loi, censé ne concerner qu’à peine 6 % d’environ 6 % de la population(1) si l’on se fie aux chiffres des couples homosexuels actuellement « pacsés »(2) a pris une telle ampleur.
Mais le cœur a ses raisons que la raison ignore, dit l’adage populaire… Quoique le cœur, en l’occurrence…
Quoiqu’il en soit, remarquons tout de même que si, pour certains, c’est l’heure de la gloire médiatique, pour d’autres, c’est le taux d’emmerdements maximums qu’ils n’avaient pas vu venir.
Il y a d’abord ceux que « l’Affaire » du mariage pour tous a projeté sur les devants de la scène…
Frigide Bardot, jusqu’alors connue des seuls lecteurs des facétieuses publications du groupe Jalons et apprécié pour cela à juste titre, se retrouve figure de proue du mouvement, du moins dans la rue… Nouvelle Jeanne d’Arc moderne dont l’incontestable dynamisme déjanté entraîne derrière son étendard une foule aussi impressionnante que fort disparate d’homosexuels, de musulmans… et de catholiques, religion dont elle se revendique elle-même, mais de stricte obédience vaticane.
Les catholiques plus méfiants à l’égard de l’actuel successeur de Pierre et de ses derniers prédécesseurs, se regroupent, eux, au sein de l’association Civitas… dont on n’a jamais tant parlé qu’à cette occasion et pour cause : il faut un épouvantail aux médias qui ne se gênent pas pour les accuser de tous les maux possibles et fantasmés, notamment d’avoir l’outrecuidance de ne pas se laisser insulter et perturber par les hystériques en petites culottes du mouvement Femen.
Assistera-t-on d’ailleurs, en ce dimanche très froid de janvier, à un lâcher de Femen ? Cela prouverait alors que ces dames n’auraient pas froid aux nichons…
Mais à part Jeanne Frigide, Civitas et les Femen, il est clair que « l’Affaire » embarrasse plutôt tout le monde…
En premier lieu l’actuel gouvernement qui doit être obsédé par le précédent de 1984 et la mobilisation du projet de loi Savary qui avaient vu 1 million trois cent milles Français battre le pavé et faire reculer François Mitterrand qui, échaudé, retira le projet de loi.
Certes, le gouvernement Ayrault est revenu sur la quasi-totalité des promesses du candidat Hollande à la présidence de la République… Reste ce projet de loi dont il semblerait que tout le monde ne se foute pas… Si même ça, il n’était pas capable de le faire passer, il courait certainement le risque de rester pour la postérité un authentique gouvernement de… enfin, de gens comme ça, quoi ! Même et surtout aux yeux de leurs électeurs ! La honte !
Mais l’opposition UMP n’en tire pas pour autant avantage. Au contraire !… Déjà divisée par un combat de sous-cheffaillons et des élections internes où le ridicule l’a disputé au grotesque, il apparaît que même sur ce sujet de société, une fracture existe…
Tout comme au Front national où sa présidente n’a pas vu plus loin que le simple bon sens en déclarant que « l’Affaire » était « … devenue une grossière tentative de récupération politicienne et d’enfumage sociétal de la part de l’UMP et du PS », affirmant que cette manœuvre était avant tout « destinée à détourner l’attention des Français des questions urgentes ».
C’était oublier qu’il y a des évidences dont tout le monde se moque et qui semblent même dangereuses à énoncer lorsque la passion l’emporte.
Il semblerait donc que la majorité de la classe politique souhaite ardemment que l’on passe à autre chose… et rapidement.
Reste à savoir ce qu’une majorité de Français en pense désormais… On en aura sans doute un petit aperçu ce dimanche soir avec la comptabilisation des manifestants.
Sinon, il y a quoi à la télé ce soir ?
Notes
(1) « Une certaine littérature pro-homosexuelle affirme qu’entre 3 et 10 % de la population sont gays, alors que les statistiques les plus récentes et les plus fiables aux États-Unis aujourd’hui atteignent à peine le chiffre inférieur du pourcentage précédent. Pendant ce temps, les derniers chiffres les plus fiables en Grande-Bretagne montrent que seulement 1 % des hommes et moins d’une femme sur 200 ont eu une expérience homosexuelle quelconque, alors que seulement 0,4 % des hommes et 0,1 % des femmes revendiquent être exclusivement homosexuels dans leur pratique », Wellings, K. et al Sexual Behaviour in Britain, p.183.
(2) Rappelons que les homosexuel(le)s représentent à peine 6 % de la population et qu’il n’y a pas 1 % de ces 6 % qui envisage aujourd’hui ou demain, de s’enfiler… une bague au doigt ; pour preuve les statistiques du Pacte civil de solidarité (Pacs) depuis qu’il a été voté en 1999 : sur un million de pacsés en France au 1er janvier 2010, les couples homosexuels ne représentaient que 6 % du nombre total de pacsés début 2009. Tout ça pour ça ! (Sources : www.lefigaro.fr, 8 février 2011)
12:17 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 12 janvier 2013
“MARIAGE” GAY : LE FN CONTRE LA FAMILLE !
Rivarol cliquez ici
LE moins que l’on puisse dire, c’est que le nouveau FN de Marine Le Pen est incapable de se positionner clairement contre le “mariage” homosexuel. Après avoir répété pendant des semaines qu’il s’agissait d’un sujet secondaire, bien moins important que le chômage — comme si la destruction de la famille, de la filiation, de la parenté, ce qu’aucune civilisation n’a fait jusque-là, était un sujet mineur —, Marine Le Pen a annoncé qu’elle ne participerait pas à la manifestation du 13 janvier contre le projet de loi Taubira car il s’agirait, selon elle, d’un sujet « d’instrumentalisation de la part su PS et de l’UMP » et de diversion pour « faire oublier […] la politique d’austérité, de saccage social ». Le FN aura une délégation au sein de la manifestation mais les principaux dirigeants du mouvement, dont sa présidente, seront volontairement absents. Pour la présidente du FN, la manifestation du 13 janvier n’est qu’une « tentative grossière de récupération politicienne et d’enfumage sociétal ». Si tel est le cas, on ne comprend pas pourquoi le FN aura quand même une délégation, fût-elle squelettique. La ligne du parti est illisible. Quant au vice-président, le falot Florian Philippot, venu de chez Chevènement, et qui s’était déjà illustré en allant déposer une gerbe sur le tombeau de De Gaulle à Colombey, il a précisé à l’issue du bureau politique du 6 janvier que « le parti n’appelle pas à manifester ». C’est dire à quel point le nouveau FN est embarrassé par cette question pourtant capitale. Il craint en effet lors de la manifestation des « débordements homophobes » (sic !)
ILS SONT DEVENUS “FOLLES”
C’est que le FN a bien changé en quelques années. Le parti est divisé entre la vieille garde, aujourd’hui hélas ultra-minoritaire dans les cercles dirigeants, autour de Bruno Gollnisch qui rappelle sur son blog que ce sujet est « tout sauf anecdotique », et l’entourage de Marine Le Pen qui est composé en grande partie d’homosexuels. Notre confrère Minute ose poser la question cette semaine : « Existe-t-il un lobby gay au FN ? » Et l’hebdomadaire de donner la parole à un certain Jérémy qui rapporte qu’un militant travaillant au “Carré”, siège national du FN, expliquait lors des journées d’été de Marine Le Pen à Nice en septembre 2011 que 60 % des cadres du FN étaient gays, « dont un qui est une folle furieuse » ! Et Jérémy d’ajouter, à propos de l’assemblée présente au dîner de gala à Nice : « C’était la Gay Pride au FN ! Version soft, mais il n’y avait que des gays ! »
Dans le livre Dans l’ombre des Le Pen. Une histoire des numéros 2 du FN, Nicolas Lebourg et Joseph Beauregard racontent par le menu les raisons du départ de Roger Holeindre du Front. Ce fidèle des fidèles de Jean-Marie Le Pen, avant de quitter le mouvement, était allé voir le Menhir à Montretout. Nous garantissons l’authenticité de la scène qui va suivre car “Popeye”, qui est la sincérité même, nous l’a racontée personnellement plusieurs fois. « Pourquoi tu t’en vas ? » lui a demandé le fondateur du FN. « Parce que ta fille à qui tu as donné le parti ne représente plus mes idées, pas plus d’ailleurs que les tiennes. En plus, elle s’est entourée de pédés et ça ne me plaît pas. » Et Holeindre d’ajouter : « Moi, je suis pour les quotas dans la vie, et là, le quota a été dépassé puisque dans son entourage direct, il y a quinze ou vingt types homosexuels dont beaucoup sont en ménage entre eux ». Le Pen trouvant que Popeye y allait fort, ce dernier a sorti une feuille : « Voilà, il y en a vingt-deux. Voilà la liste. » Haussement d’épaules de Le Pen : « Il faut savoir vivre avec son temps ! ». Nous ne pouvons pas donner de noms (sinon celui de son directeur de cabinet Eric Domard qui a avoué sur France 3 son homosexualité) car nous serions immédiatement poursuivis et lourdement condamnés pour atteinte à la vie privée mais nous pouvons croire Holeindre sur parole. Voilà où en est le nouveau FN !
UNE ÉVOLUTION QUE NOUS AVIONS PRÉVUE
Lorsque, dès 2010, nous avions déclaré lors d’un entretien à un site traditionaliste e-deo que l’entourage de Marine Le Pen n’était composé que d’arrivistes sans scrupule, de juifs patentés et d’invertis notoires, que d’attaques véhémentes n’avons-nous pas reçues ! Cela nous a même valu des poursuites de la part de Marine Le Pen, encore plus procédurière que son géniteur. Et pourtant nous ne faisions que dire la vérité. Tout simplement. Mais, comme dit la chanson, il a dit la vérité, il doit être exécuté. Nous ne regrettons rien de nos prises de position à l’époque. Elles étaient totalement fondées et nullement exagérées contrairement à ce que l’on a dit ici ou là tant la réalité est effroyable. Encore faut-il avoir l’honnêteté de la regarder en face. Car, comme l’écrit Bossuet, il n’est pire dérèglement de l’esprit que de voir la réalité non telle qu’elle est mais telle qu’on voudrait qu’elle soit. Las, plus nous avançons en âge, plus nous nous rendons compte que lorsque les gens ont envie de croire en quelque chose ou en quelqu’un, vous avez beau leur donner les arguments les plus imparables, les preuves les plus irréfutables qu’ils s’illusionnent, il n’y a généralement rien à faire. L’homme moderne aime qu’on lui mente, pourvu seulement que le mensonge soit bien enveloppé. C’est pourquoi d’ailleurs le révisionnisme a si peu de succès.
Le problème de Marine Le Pen et de sa clique, c’est qu’ils n’ont aucune ligne politique, aucune conviction, aucune idée, sinon celles du monde, celles à la mode dans les discothèques et salons parisiens. Ce n’est pas un hasard si leurs opposants en interne les appelaient « les night-clubbers ». Ils ne sont pas seulement incultes et arrogants, ils sont aussi profondément décadents. Le nouveau FN est un parti aussi pourri que les autres. En lui accordant sa voix, on participe à son financement public, engraissant ainsi des invertis, des soutiens actifs de la vomitive Gay Pride, des folles dégénérées qui prennent Marine Le Pen pour Dalida !
UN CHANGEMENT DE PARADIGME
Qu’il est loin le temps où le programme du Front national défendait la famille traditionnelle, exaltait le mariage, se prononçait pour l’abrogation de la loi Veil et du Pacs ! Les programmes législatifs frontistes de 1985 Pour La France, de 1992 300 mesures pour la renaissance de la France, de 2001 Pour un avenir français contenaient tous un chapitre très développé sur la famille et globalement remarquable dans son contenu. Depuis la montée en puissance de Marine Le Pen au sein du parti et plus encore depuis son accession à la présidence à l’issue d’une campagne interne dont les rivaroliens savent ce qu’il faut penser, le Front national ne défend plus l’institution familiale. Dans son discours d’investiture au congrès de Tours en janvier 2011, la nouvelle présidente du FN n’a pas prononcé une seule fois le mot “famille” (et quasiment jamais le mot “immigration”). Lors de son allocution pour la fête du Travail et de Jeanne d’Arc le 1er mai à l’issue du défilé du FN, elle s’est exclamée : « Qu’on soit homme ou femme, hétérosexuel ou homosexuel, chrétien, juif, musulman ou non-croyant, on est d’abord Français ! » Lorsque l’on tient publiquement ce genre de propos, il n’y a plus qu’à tirer l’échelle !
DANS LE SILLAGE DE GEERT WILDERS
En réalité, Marine Le Pen s’inscrit dans le sillage des partis populistes européens qui, comme le Vlaams Belang en Flandre, le mouvement de Geert Wilders aux Pays-Bas voire le FPÖ en Autriche, promeuvent la modernité décadente, les droits des homosexuels, le droit des femmes à l’avortement pour lutter contre l’islam qui menacerait ces “conquêtes” et se montrent logiquement très israélophiles. Nous n’avons rien à voir avec ces gens-là car pour nous la défense de la famille, de la filiation, de la morale naturelle ne sont pas des sujets secondaires. D’ailleurs, comme le dit très justement Hannibal dans sa chronique, l’immigration de masse, le métissage généralisé, la promotion de l’avortement, de la pornographie, de l’euthanasie, du mariage homosexuel participent d’une même volonté de destruction de la civilisation européenne, blanche et chrétienne. Ce n’est pas un hasard si tous ces projets de loi sont déjà votés ou en préparation dans la plupart des pays occidentaux. Il y a manifestement une volonté satanique de la part des mêmes cénacles mondialistes de procéder à la submersion du monde blanc, à la destruction de l’Occident par l’élimination de la famille traditionnelle, de la race blanche et des nations du Vieux Continent. De même qu’il faut être résolument contre l’invasion de nos pays européens, l’on doit s’opposer tout aussi fermement aux tentatives mortifères de destruction de la famille traditionnelle.
Le mariage homosexuel est d’ailleurs l’étape ultime d’attaques récurrentes contre l’institution familiale : depuis la loi Naquet légalisant le divorce à la fin du XIXe siècle en passant par la loi Neuwirth en 1967 libéralisant la pilule contraceptive, la loi Veil en 1975 dépénalisant l’avortement, la loi Roudy en 1982 le faisant rembourser à 80 % par la Sécurité sociale (et aujourd’hui à 100 %, merci Hollande !), la loi Neiertz en 1993 créant un délit d’entrave à l’IVG, le Pacs en 1999, l’institution d’un ahurissant délit d’homophobie en 2004 jusqu’à l’actuel projet de loi Taubira, la République laïque, maçonnique et antichrétienne n’a eu de cesse de détruire la famille comme elle s’en est également pris avec une redoutable efficacité à la nation, à l’armée, à la religion, aux corps intermédiaires.
Que l’on ne s’y méprenne pas : le mariage homosexuel est l’aboutissement logique de l’idéologie et de la déclaration des droits de l’homme qui postulent qu’il n’y a pas de nature humaine, pas de morale naturelle, pas de Créateur, pas de vérités immuables et intangibles, que tout est en mouvement et que l’homme s’invente, se transforme chaque jour. Bernanos a magnifiquement expliqué dans ses écrits de combat que la civilisation des machines, le paradis des robots était une contre-Incarnation, une contre-civilisation, une entreprise sans précédent de déspiritualisation et de déshumanisation de l’homme. Que ne dirait-il aujourd’hui où l’homme est devenu l’appendice de la technique, où l’on considère comme tout à fait légitime de créer des bébés en laboratoire, des bébés éprouvette, où la techno-science alliée à la finance internationale est devenue complètement folle ? Nous vivons dans un monde de barbares, mais de barbares pianotant sur le clavier de leur ordinateur !
LA SOUMISION AU SYSTÈME, A SES VALEURS ET A SES CODES
De cela Marine Le Pen et sa bande n’ont même pas conscience. Ce qui fit longtemps la grandeur de Jean-Marie Le Pen, même si hélas sous l’influence de sa fille il s’est beaucoup amolli ces dernières années, c’est qu’il savait dire non et résister à la pression du Système politico-médiatique. Pendant longtemps, essentiellement jusqu’à la campagne présidentielle de 2007, il a tenu la ligne sur l’avortement, sur l’homosexualité (avec sur ce dernier point, reconnaissons-le, certaines déclarations ambiguës dès 1995), sur l’inversion des flux migratoires. De même, quand il s’est agi de défendre Papon ou le maréchal Pétain, de dénoncer fortement la loi Gayssot, quand il a toujours refusé de se rétracter pour ses propos sur les chambres à gaz, il a fait preuve d’un incontestable courage, d’une vraie force d’âme. On ne peut hélas en dire autant de sa fille. Si elle a hérité de lui sa santé et sa verve, elle n’a ni ses références culturelles ni sa capacité à résister au Système, ni ses idées nationales. Malgré ses défauts et son évolution fâcheuse ces dernières années dans un certain nombre de domaines, même s’il a commis à notre sens une grave faute politique et morale en donnant le parti à sa fille sans d’ailleurs aucune contrepartie, aucun contre-pouvoir, il fait indubitablement partie de la famille nationale et n’a jamais renié idéologiquement ses amis politiques, y compris les plus médiatiquement compromettants. Rien de tel avec Marine Le Pen. Le nouveau FN qu’elle préside (elle rêverait d’ailleurs de se débarrasser de ce nom et de ce sigle si connotés !) n’a rien trouvé de mieux depuis deux ans que de condamner Vanneste pour ses propos pourtant de bon sens sur l’homosexualité, de reprocher à Mitterrand d’avoir fleuri la tombe du maréchal Pétain à l’île d’Yeu, de participer à la commémoration officielle de la mort du fossoyeur de l’Algérie française, d’approuver « le droit à l’avortement » et le Pacs, d’adhérer à la religion de la Shoah en condamnant fermement le révisionnisme et l’antisémitisme, d’aller comme Louis Aliot, le concubin sépharade de Marine Le Pen, en Israël dire tout le bien qu’il faut penser de l’entité sioniste, etc, etc. Et en 2007, alors que Marine Le Pen était directrice stratégique de la campagne présidentielle de son père, nous avions eu droit à la Beurette en string et aux immigrés, « branche de l’arbre France », sur la dalle d’Argenteuil. Que faut-il de plus aux nationaux pour qu’ils ouvrent les yeux ?
MONOPOLE MÉDIATIQUE
On comprend pourquoi depuis dix ans le Système accorde le monopole médiatique à Marine Le Pen au sein de la droite nationale. Pendant trente ans et plus, grâce à son patronyme, au financement public, à ses invitations régulières dans les grandes émissions audiovisuelles, elle va continuer à neutraliser, vitrifier le mouvement national, le conduire non seulement dans une impasse mais en trahir les convictions, les unes après les autres, en diluer voire en supprimer tous les “fondamentaux” comme l’on dit aujourd’hui. Parviendrait-elle un jour au pouvoir, ce qui à l’heure actuelle relève de la politique-fiction, cela ne changerait rien. Le Système se reconstituerait aussitôt sur ses bases. Les millions d’allogènes resteraient en France, l’avortement libre et le mariage homosexuel demeureraient en place, la décadence et l’inversion des mœurs se poursuivraient dans tous les domaines.
Etre nationaliste, antirégimiste aujourd’hui, c’est refuser les mots d’ordre, le vocabulaire, les principes, les valeurs, les codes de l’ennemi. Le néo-Front national les a tous adoptés dans son langage, dans sa mentalité, dans ses mœurs. Il n’est donc plus rien à attendre de lui, sinon le pire. Dire cela n’est pas céder à quelque rancœur ou à un quelconque ressentiment. Nous avons soutenu naguère avec enthousiasme et ferveur le Front national (même si nous avons à l’occasion émis quelques critiques constructives). Cela ne nous est plus possible aujourd’hui. Ni politiquement, ni moralement, ni intellectuellement. Et l’on se demande comment les derniers nationalistes et catholiques qui sont encore au Front s’arrangent avec leur conscience devant une évolution aussi lamentable. Mais cela est une autre histoire.
14:44 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 11 janvier 2013
Les Syriens de Paris participeront à la manifestation du samedi 02 02 prochain...
21:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mariage homo : la Taubira n'écoutera pas le peuple français !
Yves Darchicourt
Le Gouvernement s'affole ! L'ampleur annoncée et probable de la manifestation de dimanche prochain à Paris contre le projet de Loi sur le mariage homosexuel - sans doute conforté par les rapports des "services" spécialisés dans le renseignement - commence à inquièter Ayrault et sa clique. Témoin la sortie de Christiane Taubira sur Canal+ ce jour où elle a éructé la détermination gouvernementale à porter le projet de loi délétère à son terme quelle que soit l'ampleur de la manifestation.
On ne sait pas si la Taubira s'exprimait au nom de son Roudoudou de Président, mais elle s'est dite infléxible sur cette réforme présentée comme oeuvre de justice impliquant pour le Gouvernement la responsabilité politique et éthique la défendre et de la promouvoir. L' afro-française semble compter sur les élus des deux assemblées qui, certes, pourront estimer que la manifestation justifie qu'ils révoquent le texte mais où il se trouvera sans doute assez de godillots pour que l'on ne s'oriente pas vers cette hypothèse. Quant à un référendum sur le sujet, pas question ! C'est comme pour la peine de mort ou l'immigration, à quoi bon un référendum quand on est certain que le résultat n'ira pas dans le sens voulu par les "élites".
Il est vrai que pour la caste qui nous dirige, le citoyen de base au front bas n'a pas la hauteur de vue nécessaire pour juger des réformes sociétales, même -et surtout- s'il s'agit de porter atteinte à la famille naturelle, cellule de base millénaire de notre civilisation. Il restera à faire comprendre à ces gens là que faire voter une loi aussi capitale sans consulter directement le peuple citoyen est une chose, mais que faire appliquer et respecter cette loi en préservant la paix sociale est toute autre chose...et que c'est infiniment plus difficile ! Rassemlement - Résistance - Reconquête !
21:17 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Rendez-vous NDP, PdF, MNR, Synthèse nationale :
DIMANCHE 13 JANVIER 2013
13 H 00
PLACE PINEL
(METRO NATIONALE)
PARIS XIIIe
Cortège Civitas
19:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le droit aux armes...
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La fusillade de Newton dans le Connecticut aux États-Unis, le 14 décembre 2012, a montré, une nouvelle fois, que les distributeurs patentés de panurgisme hexagonal versent facilement dans l’indignation et l’émotion. Excellents perroquets de leurs confrères yankees, ces médiats-là n’ont pas cessé de critiquer la liberté étatsunienne de porter des armes. Cette garantie due au deuxième amendement de la Constitution mettrait la société en péril. Or nos étincelants folliculaires n’ont pas remarqué qu’une telle interdiction n’empêche pas des meurtres à moins que la ville de Marseille, plus connue maintenant pour son festival sanglant de tir permanent à l’AK47 que pour sa Canebière et sa Bonne Mère, ne soit devenue une city des States…
Les médiats veulent faire croire que la possession de fusils d’assaut, voire de canons ou de blindés, ferait de leurs détenteurs de très probables psychopathes – tueurs de masse. Une fois encore, le système médiatique témoigne de son ignorance. Un voisin de la France, la Suisse, permet à ses citoyens de garder chez l’armement nécessaire aux différentes périodes de service national actif. À notre connaissance, la Confédération n’a pas la réputation d’être l’endroit préféré des cinglés de la gâchette… Si l’on suivait le raisonnement médiatique ambiant, le moindre accident mortel de la route exigerait le retrait de tous les véhicules potentiellement meurtriers. Et puis une fourchette peut aussi tuer… Faut-il l’interdire ? « Les armes ne “ créent ” pas de crimes. Les pays dans lesquels circulent le plus d’armes à feu ne présentent pas de taux de criminalité particulièrement élevés, écrit Paul Lycurgues dans un sympathique opuscule intitulé Aux Armes Citoyens ! Plaidoyer pour l’autodéfense et publié par un éditeur proche de Robert Ménard, ce journaliste tombé au champ d’honneur de la liberté d’expression. Plus ennuyeux pour nous autres Français : le contrôle strict des armes à feu ne réduit pas la criminalité, pas plus qu’il n’empêche les criminels et psychopathes violents de se procurer les armes nécessaires à leurs forfaits (p. 20). » Iconoclaste et provocateur, le propos sonne juste.
Les médiats n’expliquent jamais que les fréquentes tueries qui ensanglantent les États-Unis seraient survenues quand bien même la détention de n’importe quelle arme aurait été proscrite. Le problème de ce pays n’est pas le nombre d’armes en circulation, mais leur usage qui témoigne de la profonde névrose de la société. Modèle planétaire de la modernité tardive, les États-Unis pressurent ses habitants au nom d’une quête à la rentabilité effrénée au point que certains voient leur psychisme flanché. La pratique dès le plus jeune âge de jeux vidéos ultra-violents, la sortie de milliers de films parsemés de scènes sanglantes et la consommation de plus en plus répandue de drogues et de produits pharmaceutiques éclairent le passage à l’acte. Entre aussi en ligne de compte la cohabitation toujours plus difficile d’une société en voie de métissage avancé fondée sur le génocide amérindien et les vagues successives d’immigration de peuplement. Enfin, le mode de vie totalitaire doux avec sa technolâtrie, son vide existentiel, son individualisme outrancier et sa compétition féroce de tous contre tous cher au libéralisme perturbe le cerveau de millions d’individus fragiles. Ce qui est arrivé, le 3 janvier 2013, à Daillon en Suisse dans le canton du Valais confirme le diagnostic : le tueur, un assisté social, alcoolique et fumeur de marijuana âgé de 33 ans, était suivi pour des troubles psychiatriques. En tant que société ouverte, la Suisse pâtit, elle aussi, de tels phénomènes qui seraient quasi-inexistants dans une société vraiment fermée.
À rebours du prêt-à-penser médiatique fallacieux, Paul Lycurgues soutient le droit des citoyens français à être armés. « Le peuple français […] doit exercer son droit, et assumer son devoir de peuple libre, à reconquérir les armes qui lui ont été dérobées, et à restaurer en France un ordre naturel fondé sur le respect que se doivent des citoyens libres et armés (p. 9). » Ce que Lycurgues oublie d’ajouter est que cette philia entre citoyens responsables n’est possible que dans un cadre communautaire ethniquement homogène comme le constatait déjà Aristote. L’hétérogénéité ethno-culturelle désordonnée n’engendre que de fortes tensions comme le prouvent les États-Unis (et le Brésil !).
Aux belles âmes hexagonales qui crachent qu’un pareil projet ne correspond pas aux « valeurs républicaines », Paul Lycurgues leur rétorque qu’« en France, les armes furent consubstantielles à la conquête des libertés (p. 10) ». En 1885, la loi Farcy autorisait la libre détention d’une arme, voire de plusieurs, sinon comment Manufrance, premier vendeur de cycles et… d’armes, aurait-il connu une audience nationale, européenne et même internationale ? Rappelons que son catalogue annuel offrait une vaste gamme d’armes de point et de fusils de chasse. On a oublié qu’« au début du XXe siècle, […] tout Français avait le droit de porter des armes apparentes, s’il n’en avait pas été privé par jugement (p. 14) ». C’est par un décret-loi liberticide du 23 octobre 1935 signé par Pierre Laval qui commence le désarmement de la population. Cinq ans plus tard, l’État français et l’occupant allemand généralisent la procédure : posséder une simple arme vaut désormais à son propriétaire la peine capitale ! Depuis cette période, quelque soit le régime en place, de nouvelles lois restreignent cette liberté indispensable. Sous prétexte d’idéologie sécuritaire, les autorités hexagonales aux ordres de l’hyper-classe mondialiste et des banksters, cherchent à ôter leurs administrés toute envie de résistance. « Infantilisation, dévirilisation, passivité et conformisme : voilà les véritables raisons de la servitude volontaire dans laquelle vivent nos compatriotes (p. 29). » Et gare à l’honnête homme en état de légitime défense ! « Notre système judiciaire applique désormais une véritable présomption de culpabilité à ceux d’entre nous qui osent encore se défendre (p. 24). » La triste affaire en 2010 de « Papy » Galinier incarcéré tel un assassin par des juges qui préfèrent respecter le droit des voyous est encore dans les mémoires.
Paul Lycurgues est pessimiste parce que « les Français se retrouvent pris entre le marteau et l’enclume – c’est-à-dire entre une criminalité brutale et omniprésente et un État d’autant plus répressif qu’il est en situation de quasi-faillite -, [il] apparaît de plus en plus clairement ce risque terrible : n’avoir plus le choix entre le chaos criminel et l’état policier (pp. 8 – 9) ». Les lecteurs attentifs d’Éric Werner objecteront avec raison que ce choix est en fait impossible puisque la société ultra-moderne fracassée est dorénavant et sciemment chaotique et policière.
Cette situation étrange se vérifie par une incroyable inflation législative. Depuis 2002, le Parlement français a voté une quarantaine de lois sécuritaires pour des résultats quasi-nuls, mais qui renforcent le carcan étatique envers nos concitoyens. La République hexagonale ne privilégie pas la sûreté de ses membres, mais leur surveillance, si bien que les spécialistes évoquent sans fard « l’échec, incontestable […], de toutes les politiques publiques de sécurité menées depuis trente ans (p. 5) ». Loin d’être plus sûr, l’Hexagone tricolore l’est moins, en particulier pour les petites gens. En effet, outre les pertes financières considérables, « nos concitoyens en payent aussi le coût caché, celui de l’érosion de leurs libertés fondamentales face à l’appareil judiciaire et policier, ainsi que la systématisation d’une véritable culture de répression (pp. 6 – 7) ». Ainsi, est-il plus facile à une petite frappe des banlieues de l’immigration de vendre son shit ou de racketter des gamins qu’à un militant identitaire d’occuper le toit d’une mosquée en construction ou de réagir à l’agression de pétasses féministes à moitié dénudées…
Aux détracteurs qui citent constamment le contre-exemple d’outre-Atlantique pour maintenir le désarmement généralisé de la population, Paul Lycurgues commente la riche étude du professeur John Jr. Lott. Celui-ci a démontré que la criminalité est plus basse dans les États fédérés qui autorisent le port d’arme que dans les États plus restrictifs. Cette étude serait aussi intéressante à corréler avec l’application de la peine de mort qui démotive la racaille. Lycurgues estime par conséquent que « la sécurité de tous, en France, doit redevenir l’affaire de chacun (p. 30) ». Que veut-il dire ? L’auteur soutient l’autodéfense et la légitime défense. Pour lui, « chaque innocent qui prend les armes fait reculer le crime partout; ce n’est pas tant une balle que craint fondamentalement le criminel, mais plutôt la possibilité d’une balle. Le devoir de fuite imposé par la jurisprudence, quoique légal par définition, n’est donc pas seulement injuste : il est aussi immoral (p. 27) ». C’est sur cet immoralisme que s’appuie le Moloch étatique, broyeur des personnes et des peuples et nullement des malfrats.
Si les Français – et les Européens – ne veulent ni l’anarchie sociale, ni le désordre sécuritaire anxiogène, ils doivent renoncer à la religion délétère des droits de l’homme et accepter de se réarmer, ce qui suppose de leur part de ne plus tout attendre de l’État tutélaire. Le réarmement du peuple implique de manière inévitable la réduction inévitable des effectifs de policiers, de militaires et de magistrats. Ces professions sont pour l’heure gangrenées par l’humanitarisme dévot.
Il faut donc aller plus loin que le modèle helvétique du citoyen-soldat prêt à défendre sa commune, son canton et sa patrie. « Le XXIe siècle sera celui de la fin d’un monde : le consumérisme, le mondialisme économique, la dilapidation des ressources et la gabegie énergétique ne sont plus tenables. […] La perspective de troubles sociaux, politiques et économiques majeurs est devenue crédible, certains diraient même inévitable. Dans un tel contexte, un peuple désarmé sera plus vulnérable face au chaos, à la prédation et à la violence qu’un peuple en armes (pp. 30 – 31). » Déjà, en Corse, dans la Camargue gardoise ou dans certains coins reculés du Velay et de l’Aubrac, les populations locales conservent leurs armes et répliquent avec virilité aux intrus allochtones.
L’existence de milices populaires d’autodéfense locale, communale et régionale, ouvertes aux femmes, redonnerait à la France son sens originel de « Terre des Francs », c’est-à-dire de « pays des hommes libres » parce que nos lointains ancêtres avaient le droit et le devoir de porter l’épée !
Paul Lycurgues, Aux Armes Citoyens ! Plaidoyer pour l’autodéfense, Éditions Mordicus, coll. « Coups de colère », Paris, 2012, 32 p., 4,95 €.
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Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
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jeudi, 10 janvier 2013
Dimanche 13 janvier, 13 h, Place Pinel, Paris XIIIe...
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Fin de la récréation
Jean-Gilles Malliarakis
L'Insolent cliquez ici
À l’issue de cette longue trêve hivernale, de ces fêtes de Noël et de la Théophanie comme des messages traditionnels de Nouvel An, jamais l'impopularité du pouvoir ne s'est révélée aussi profonde. Car François Hollande et Jean-Marc Ayrault atteignent en ce mois de janvier un nouvel étiage négatif, un record, avec respectivement 63 % (+5) et 59 % (+8) des sondés désapprouvant leur action. (1)
Depuis plusieurs jours, il semble ainsi que la situation se clarifie. Et l'on observe en effet que le temps de la récréation vient à son terme pour le gouvernement central parisien.
Divers indices nous le suggèrent par ailleurs.
Dès le 31 décembre les vœux insignifiants formulés par le chef de l'État pour la nouvelle année prouvaient que le doute l'habite sérieusement.
Le débat Cahuzac contre Mélenchon du 7 janvier a souligné combien les ambiguïtés se dissipent. Celle d'une alliance purement électorale, artificiellement victorieuse le 6 mai 2012, se trouve, huit mois plus tard complètement levée. L'appareil des nostalgiques du communisme, dont l'habillage appelé front de gauche ne trompe plus personne, ne mise plus que sur l'échec des sociaux-démocrates et sur l'exacerbation de la lutte des classes. Le candidat battu des élections présidentielles et du scrutin d’Hénin-Beaumont l'a explicitement reconnu facilitant, sans le vouloir, la tâche de son interlocuteur et ministre du Budget.
Les passes d'armes autour de la manifestation du 13 janvier organisée contre l'extension du domaine du mariage viennent à point nommé pour nous éclairer. Les dernières polémiques ne cherchent plus qu'à préparer une esquive du pouvoir en cas de succès de masse de ce rassemblement. On tend désormais en effet à minimiser le dossier de ce projet de loi. On le qualifie savamment de "sociétal". Et cette appellation même rappelle la marginalité des forces sur lesquelles une certaine gauche dorée entend désormais fonder son assise.
Certes, la proposition figurait, de façon subreptice, dans la plate-forme du président mal élu. Elle doit donc précisément être mise en échec. Il s'agit dès lors de contraindre la prétendue majorité à se reconnaître pour telle : une minorité victorieuse par la division de ses adversaires. Et ceux-ci peuvent et doivent précisément retrouver leur unité dans le rejet de telles mesures.
Certains font encore la fine bouche. Leur argument central repose sur le fait qu'un arbre ne doit pas cacher la forêt. Et pour éviter la dissimulation de l'ensemble par le détail, les sophistes prétendent ne pas vouloir que cette question symbolique tende à esquiver les graves problèmes matériels que se pose la société française, etc.
C'est oublier toute l'histoire des protestations de masse. Les foules ne se rassemblent jamais contre un système global mais contre l'une ou l'autre de ses conséquences.
Certaines sirènes de la division critiquent, avec plus ou moins de talent le caractère unificateur lui-même, contre le pouvoir socialiste et fiscaliste, de l'appel à manifester pour le retrait de ce texte ponctuel. Les mêmes aimaient à dire "tout sauf" le précédent président. Et ces gens n'ont pas peu contribué à la victoire au bonneteau de la gauche en mai au deuxième tour, puis aux législatives en juin 2012.
En 2013 ces manœuvres délétères recommencent, pour le plus grand profit, doit-on le répéter de cet étatisme qui tue la France jusqu'à empoisonner la notion même de famille, en attendant sans doute l'institution légale de la polygamie. (2)
Quand donc cette imposture trop visible prendra-t-elle fin ?
Quand donc ce jeu pervers cessera-t-il d'être appelé "populisme" ?
Quand donc les officines bien repérables qui depuis quelque 30 ou 40 ans trahissent la droite et mettent en péril les libertés recevront-elles leur vrai nom de machines à perdre ?
Sur un point à vrai dire, on peut faire confiance au p. de la r.
Il saura trahir les siens, si la manifestation du 13 janvier tourne au succès que l'on doit souhaiter. Gondolier de la Seine, il ne manquera pas de se livrer à son exercice préféré, la godille. Il y excelle à la suite de son maître et initiateur, le funeste Mitterrand. Il s'emploiera encore à inventer quelque vieille recette d'astuce destructrice et ruineuse.
Ce ne sont pas en effet seulement la Bible et les mythes de l'Antiquité qui condamnent le mariage "pour tous" – "pour tous" sauf pour le chef de l'État, un cas unique dans les annales. Ne doutons pas dès lors que le principal intéressé saura invoquer le code civil de 1804, utiliser le dictionnaire Littré de 1877, et réveiller les promoteurs du PACS de 1999 pour convenir que le mot mariage, l'adoption ou la procréation procèdent nécessairement d'un père et d'une mère.
On arrivera bien en haut lieu à trouver les mots pour le dire en langage républicain et en charabia technocratique.
N'est-ce pas pour cela, pour rémunérer les princes qui nous gouvernent, que nous payons des impôts ? Tout le monde en France en paye trop (3). C'est pour cela que trop de gens préfèrent hélas un exil incivique ne soulageant ainsi que leur portefeuille.
Au contraire le rassemblement de centaines de milliers de Français de toutes confessions, de toutes conditions et de toutes sensibilités ne peut être considéré que sous un angle civique et solidaire.
Notes
(1) cf. le "tableau de bord" mensuel – établi par l'Ifop et publié par Paris-Match du 8 octobre 2013
(2) celle-ci est déjà subventionnée dans les faits par les caisses sociales quoiqu'elle soit réservée à ceux qui la pratiquent dans le cadre de législations étrangères.
(3) C'est par ce constat que commence mon petit livre "pour une Libération fiscale".⇑
15:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 19 janvier, dans le Finistère, réunion du Parti de la France avec Martine Lehideux...
12:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Rendez-vous NDP, PdF, MNR, Synthèse nationale :
DIMANCHE 13 JANVIER 2013
13 H 00
PLACE PINEL
(METRO NATIONALE)
PARIS XIIIe
07:55 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Préférence Etrangère : approchez, c'est l'Etat qui régale !
Un communiqué de Jeune Bretagne :
Lundi 7 janvier, 5h du matin. Le TGV Quimper-Paris s’apprêtait à partir avec à son bord, deux familles de clandestins débarquées mercredi dernier en Bretagne, et dormant depuis dans des hôtels de Lorient, logées et nourries, aux frais du contribuable puisque les hôtels sont indemnisés par l’Etat.
Afin de gaspiller un peu plus l’argent public, la préfecture de Bretagne a même payé aux deux familles les billets de TGV nécessaires afin de pouvoir aller se faire enregistrer en préfecture, à Rennes, en vue de leur régularisation.
Les militants de Jeune Bretagne, présents sur place depuis 4h ce lundi matin, ont donc décidé, au nom de l’égalité pour tous, de permettre à tous les passagers du train de bénéficier de nuits d’hôtels et de billets de train payés par l’Etat.
Un tract avec coupon réponse a été distribué, afin de proposer à chacun de demander à la préfecture le remboursement de son loyer, de son billet de train, de ses amendes ou encore de ses courses.
La seule condition à remplir étant de renoncer immédiatement à sa nationalité française, ces remboursements payés par le contribuable ne pouvant être effectué qu’à des clandestins.
Vous pouvez donc, vous aussi, profiter de la générosité de la région Bretagne en imprimant et en nous retournons ce bon, disponible sur cette page.
En pleine crise économique, en pleine crise sociale, en pleine crise du logement, l’Etat français préfère nourrir et loger des clandestins plutôt que de venir en aide à sa propre population.
Quand l’Etat n’est plus en mesure de garantir un traitement juste pour ses citoyens, il est du devoir de chacun de se révolter.
C’est pourquoi nous incitons également l’ensemble de la population à imprimer, à diffuser et à remplir ce tract que nous acheminerons massivement vers la préfecture d’Ille et Vilaine, haut lieu de la préférence étrangère.
« Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir »
07:47 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 09 janvier 2013
RAPPEL : Jeudi soir, Pierre Vial au Local !
17:25 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lille : les romanichels perturbent la circulation ferroviaire !
Yves Darchicourt
Un mois que cela dure ! Après les clandestins de tous poils qui engorgent les services des urgences du CHU et de l'Hôpiltal St-Vincent en venant systématiquement s'y échouer chaque soir au prétexte fallacieux de pseudo grève de la faim pour obtenir leur régularisation, ce sont maintenant les romanichels qui pertubent gravement la circulation ferroviaire sur la ligne Lille-Sainghin-Béthune.
D'une part les nomades du camp de Lille-Sud se permettent de traverser les voies à toute heure et sans aucune précaution nonobstant l'intensité du trafic; cet incroyable sans-gêne a obligé la Direction ( fort peu désireuse d'affronter l'émeute qui ne manquerait pas de suivre d'éventuels tronçonnements de romanichels ) à imposer aux conducteurs une vitesse maximale de 15km/h sur tout un large secteur aux alentours du campement - au lieu des 100 km/h prévus - entraînant ainsi des retards systématiques de 10 à 30 minutes pour les voyageurs. D'autre part, dans un large secteur ferroviaire, les vols de câbles croissent et embellissent ( un "fils du vent" du même campement a été arrêté en flag lundi dernier au niveau de la porte d'Arras : il faut bien vivre clameront les associations collaborationnistes ! ) ce qui a amené la Direction à programmer un enfouissement à un mètre : des travaux qui débuteront ce jour et qui seront eux-même générateurs de fortes perturbations sur le trafic.
Bref du beau et du tout bon tant pour la SNCF, que pour ses employés et pour sa clientèle. Et tout cela gràce à Martine Aubry et sa clique qui persévèrent dans leur politique d'accueil, d'installation et d'incrustation des tribus de romanichels ( on les estime près de 3500 autour de la métropole lilloise ) dont personne ne veut, surtout pas les citoyens des petites communes flamandes de la communauté urbaine à qui des maires collabos de la fumeuse idéologie mondialiste du brassage des peuples tentent d'imposer l'implantation par clans entiers. Des clans qu'il serait fort nécessaire d'inciter fermement à partir de Flandre et à retourner dans leurs contrées d'origine. Rassemblement -Résistance - Reconquête !
Source cliquez ici
17:21 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Collectif France-Russie sera dimanche prochain à la manif...
Un communiqué du Collectif France-Russie :
Face aux différents coups de boutoir du gouvernement français dont l’objectif prioritaire est de nous imposer ce nouvel ordre mondial ultra libéral, le Collectif France Russie a décidé de réagir en se joignant à la manifestation du 13 Janvier.
A un moment où il serait plus opportun de rassembler et de fédérer notre pays à la dérive, le régime actuel a, résolument pris l’option de fracturer et de déstabiliser. Le projet de loi visant à officialiser le mariage des personnes de même sexe est une révolution sociétale dont nous ne voulons pas.
Nous nous référons à ce qui se fait de bien chez nos amis russes et ce type de glissement n’a pas droit de cité là-bas. La famille est un monolithe auquel les politiques, personnes élues par une partie de l’électorat de manière ponctuelle, n’ont pas à modifier de tels fondements de notre société d’une manière aussi désinvolte.
Le libéralisme, partout où il sévit applique les mêmes méthodes de nivellement et d’abandon de nos fondamentaux, les uns après les autres tous les pans de ce qui constituait notre colonne vertébrale sont abattus de manière vigoureuse.
Le climat détestable qui règne désormais dans nos pays occidentaux est celui de l’autoritarisme d’une caste qui prétend nous imposer ce qui lui est étranger à titre privé (car, n’oublions pas que l’intelligentsia socialiste a toujours été opposée au mariage et notre président de la République, entre autres, en est la preuve vivante).
Dans ce souci de constance, nous sommes résolus à exprimer notre force et notre réprobation aux côtés de ceux qui osent dénoncer cette vaste opération de délitage. Nous ne sommes pas encore prêts à mettre un genou à terre face à ces nouveaux maîtres de l’univers qu’ils soient à Washington, Paris, Londres ou Berlin, nous nous joindrons à chaque fois à ceux qui auront pour objectif de lutter pour que nos valeurs reprennent de leurs couleurs et nous permettent de nous distinguer dan ce monde gris clair qu’ils veulent nous imposer..
Par respect envers nos aïeux qui n’auraient pas accepté un tel diktat, nous appelons nos amis russes et français à se regrouper avec des drapeaux russes et français angle Rue Jeanne d’Arc et Bd Vincent Auriol Dimanche 13 Janvier à 12h.30 précises (métro Nationale), nous irons ensuite en délégation nous joindre à la manifestation.
09:20 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’immigration, cheval de Troie des puissances étrangères...
Jean-Yves Le Gallou
Boulevard Voltaire cliquez ici
L’immigration est un boulet. Un boulet pour l’économie : elle pèse sur les déficits, elle aggrave le chômage. Un boulet social : elle tire les salaires à la baisse. Un boulet sécuritaire : inutile d’en dire plus… L’immigration est aussi devenue un vecteur d’influence pour les puissances étrangères.
Les grandes métropoles régionales et les principales villes moyennes se couvrent de minarets coiffant de grandes mosquées. Cet islam conquérant n’est en rien spontané. Derrière chaque construction et chaque imam, il y a l’argent et l’influence d’une puissance étrangère : Maroc, Algérie, Turquie, pétromonarchies du Golfe persique.
Le petit Qatar – peuplé à plus de 80 % d’immigrés sans le moindre droit — est encore allé plus loin : il s’est engagé à financer le développement d’entreprises ethniques en Seine-Saint-Denis.
Mais les pays musulmans ne sont pas les seuls à jouer à ce petit jeu. L’hyperpuissance américaine est aussi omniprésente dans les banlieues françaises. Nommé à Paris, en 2009, par Obama, l’ambassadeur Rivkin s’est donné pour priorité d’exercer l’influence des États-Unis sur les banlieues de l’immigration. Les sites islamiques Oummah et Saphir ont reconnu leurs bonnes relations avec l’ambassade américaine. Le Bondy blog, qui bénéficie d’une notoriété médiatique parfaitement artificielle, a reçu la visite médiatisée de l’ambassadeur américain accompagné de l’acteur noir Samuel Johnson. Les voyages transatlantiques payés par le département d’État ou les agences américaines se multiplient : rappeurs américains venant en banlieue, jeunes pousses économiques et politiques invitées aux États-Unis. La ministre Najat-Belkacem est elle-même un produit de la French american foundation.
Dans son activité d’influence en direction des milieux immigrés, l’ambassadeur est assisté par Mark Taplin : un diplomate d’expérience spécialiste du soft power qui a exercé ses talents en Russie (à l’époque d’Eltsine) puis en Ukraine, Moldavie et Biélorussie de 1999 à 2004 (à l’époque de la « révolution de couleur » en Ukraine). Voilà qui est clair !
08:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |