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lundi, 04 mars 2013

Jeudi soir, Nicolas Tandler nous parlera de Marx au Local...

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Mali : François Hollande fait tuer un troisième soldat français...

Yves Darchicourt

Le caporal Cédric Charenton du 1er Régiment de Chasseurs Parachutistes de Pamiers vient d'être tué au Mali. Après Damien Boiteux pilote d'un hélicoptère Gazelle et Harold Vormezeele sous-officier au 2e Régiment Etranger Parachutiste, c'est le troisième militaire français à mourir pour rien à la frontière du Sahel et du Sahara. Ou plutôt à mourir pour les intérêts biens sentis d'Areva et de ses actionnaires : la multinationale qui exploite intensément l'uranium du Niger, pays frontalier, ayant en effet tout à craindre d'une contagion de la rebellion du peuple touareg réclamant l'independance de l'Azawad. Une rebellion à forte connotation identitaire - ce qui ne peut qu'hérisser le socialiste Hollande- mais soutenue par un mouvement islamiste, ce qui servira de prétexte à l'intervention. Prétexte bien sûr, car si François le Normal voulait combattre l'islamisme, il ne favoriserait pas l'invasion migratoire de notre pays, une immigration de peuplement allogène à majorité mahométane où les islamistes radicaux peuvent se couler, recruter et agir, anonymes dans la masse de leurs congénères.

Pendant que nos soldats meurent pour assurer des dividendes ploutocratiques, pour garantir la sécurité et les fins de mois d'un politicien africain, de ses généraux d'opérette et de son administration corrompue et accessoirement pour la gloriole d'un "chef des armées" qui joue à la guéguerre et se marre dans les cimetières militaires (cliquez ici), les mahométans rigoristes tiennent des "quartiers" autour de la quasi totalité de nos grandes villes, contrôlent des banlieues entières et envisagent de se lancer dans la conquête de municipalités qu'ils seront à même de contrôler dès que les collabos auront fait obtenir le droit de vote aux étrangers.

Que les communiqués et les cérémonies aussi bâclées que lacrymogènes ne nous trompent pas, le Normal et ses sbires gouvernementaux se contrefichent des soldats gaulois, et puis ils préfèrent sans doute les envoyer se faire trouer la peau au loin, le plus loin possible, on ne sait jamais...après tout ce sont aussi des citoyens qui pourraient se mettre à penser mal ! Allende l'avait appris à ses dépens !

20:25 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 02 mars 2013

C'est en Belgique que cela se passe...

Merci Hubert

15:01 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Suède une mosquée autorisée à diffuser l'appel à la prière par haut-parleur...

La municipalité de Botkyrka, dans le sud de Stockholm, en Suède, vient d’autoriser la mosquée à faire l’appel à la prière via les hauts parleurs des minarets.  La municipalité qui a franchi le pas est celle de la commune de Botkyrka.

Cette décision fait suite à une demande du centre culturel islamique de la commune quelques mois plus tôt qui avait sollicité les autorités locales. Il avait alors obtenu un premier feu vert du Comité de planification le 25 septembre 2012, suite au vote à la majorité en faveur de l’abrogation d’une loi interdisant l’appel depuis 1994. Il ne restait plus qu’à obtenir l’autorisation du conseil exécutif du Conseil municipal. Le conseil s’est prononcé en faveur de l’appel à la prière de manière publique, le vendredi.

Selon un responsable de la mosquée de la commune, Ismail Okur, le premier adhan aura lieu au mois mars, une fois les préparatifs techniques mis au point. La mosquée Fittja où s’effectuera l’appel à la prière se situe dans une commune où le nombre de fidèles est important.

Cette décision encouragera peut être d’autres mosquées à effectuer cette requête auprès de leur municipalité. La mosquée Fittja est cependant la seule de Suède à détenir un minaret.


Source PdF Limoges cliquez ici

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Russie : Hollande a fini de faire le comique…

Nicolas Gauthier

Boulevard Voltaire cliquez ici

François Hollande en visite officielle en Russie ou la quadrature du cercle. Comme Nicolas Sarkozy avant lui, en campagne électorale, il a succombé aux mêmes postures avantageuses : droits de l’homme et leçons de morale à tous les étages. François Mitterrand et Jacques Chirac n’avaient pas ces pudeurs ; normal, ils faisaient de la politique, de la realpolitik, dira-t-on.

Car la Russie pèse lourd. Sur le Vieux continent comme en Orient. Sans elle, moins de pétrole et encore moins de gaz. Sans compter les débouchés commerciaux sur lesquels les Allemands se sont déjà rués ; il n’est pas anodin que l’ancien Chancelier Gerhard Schroder, au terme de deux mandats, soit devenu une sorte de VIP de Gazprom, le complexe énergétique russe.

Certes, avant, c’était plus simple. Pour les gens de droite, la Russie était l’URSS, inéluctablement réduite au goulag. Pour leurs homologues de gauche, c’était l’espoir d’un monde meilleur : ils n’ont finalement jamais pardonné aux Soviétiques d’êtres redevenus Russes. Après la chute du Mur de Berlin, précipitée par l’incurie des dignitaires soviétiques, et un peu aidée par les services secrets américains, il y eut une longue période de déshérence, durant laquelle les voyous du KGB et les voyous tout court firent main basse sur les richesses du pays.

Les Russes, après les terribles années Boris Eltsine, eurent donc la chance d’avoir un Vladimir Poutine aux manettes dont le premier acte fondateur fut de faire accrocher, dans son bureau du Kremlin, le portrait grandeur nature du Tsar Pierre Le Grand. Cela, François Hollande, ou tout au moins ses conseillers du Quai d’Orsay le savent. Mais savent aussi qu’il y a une posture à défendre. D’où le premier acte public de François Hollande ayant consisté à accorder la primeur de la parole de la France à une radio d’opposition. Un peu comme si Vladimir Poutine, en cas de voyage en nos contrées, réservait ses premières mondanités à une Marine Le Pen et à un Jean-Luc Mélenchon tout en accordant son premier entretien médiatique à… Boulevard Voltaire !

Voilà pour rassurer Saint-Germain-des-Prés. Et d’enfoncer le clou en stigmatisant les tricheries électorales en Russie. Ah bon ? Les primaires au PS ou à l’UMP, c’était de la guerre en dentelles ? Sans oublier l’entre-deux tours de l’élection présidentielle de 2002… On pourrait même rappeler la réélection pour la moins contestée du jeune Bush, en 2004. Mais, histoire de complaire aux exigences sociétales de l’hyper-classe française, François Hollande en a remis une autre couche sur le sort des Pussy Riot, sorte de Femen locales, et de faire les gros yeux quant aux velléités de la Sainte Russie « d’interdire la propagande homosexuelle »

Ce numéro de comique n’ayant évidemment fait rire personne, François Hollande a fini par entrer dans le vif du sujet : les contrats que quémandaient les patrons qu’il avait emmenés dans ses bagages et la Syrie. Pour les premiers, ce n’était pas forcément gagné et ça l’est sûrement moins aujourd’hui : on ne mord pas la main qui tient le stylo sur le chéquier. Quant à la seconde, notre Président normal ne paraît pas plus à l’aise. Disputant la palme de l’atlantisme à son prédécesseur, il va lui être délicat de faire avaler à Vladimir Poutine qu’il ne porte que la seule voix de la France et de l’Europe, surtout en exigeant des demandes que la Russie ne veut ou même ne peut satisfaire, soit l’éviction définitive du président syrien Bachar Al Assad, pour préalable à d’éventuelles négociations à venir.

Cela, la Russie ne peut l’accepter, pas plus la Chine que l’Iran, pays ne comprenant pas bien pourquoi ils devraient baisser culotte devant des USA étant en train de déstabiliser Proche et Moyen-Orient. En la circonstance, Bachar Al Assad, s’il fait partie du problème, est aussi partie prenante de la solution. Qui devra être finement négociée tout en ne froissant pas la Turquie et en évitant trop de frictions entre chiites, chrétiens et sunnites. Bref, cela s’appelle de la politique. Ce que manifestement, on n’enseigne pas forcément à l’ENA.

12:10 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 01 mars 2013

Pour Hessel au Panthéon ou contre le "mariage" homo : les pétitions ne se valent pas !

panthéon.jpgYves Darchicourt

On l'attendait, c'est fait ! Les citoyens effondrés peuvent entre deux sanglots signer une pétition demandant l'entrée de Stéphane Hessel au Panthéon ! Un beau coup de surenchère dans le pathétique dont l'initiative revient à une belle brochette de députés umps, vite soutenus par les inestimables Eva Joly et Jean-Luc Mélenchon. Il paraît qu'à ce jour, 7 000 signatures ont été recueillies...un déferlement d'enthousiasme énorme, fantastique, tsunamiesque !

On voit mal comment François le Normal pourrait ne pas tenir compte d'une telle mobilisation citoyenne. Et sont bien mauvais esprits ceux qui feront remarquer qu'il a fait jeter à l'incinérateur les 700 000 signatures demandant une saisine sur la loi relative au "mariage pour tous". C'est que dans la patrie des "droits de l'homme", il est des pétitions comme des votes que l'on considère et d'autres que l'on entache d'emblée de nullité, comme il est des causes citoyennes dignes et des élucubrations suspectes.

Brisons là sur les chiffres et les conmparaisons douteuses ! Que valent 700 000 suspects d'homophobie face à 7 000 humanistes ? Même à cent contre un il n'y a pas photo ! Alors l'indigné au Panthéon et fi des aigris qui osent dire que l'édifice risque de perdre son aura en devenant petit à petit une HLM pour les mânes de toutes les grandes consciences qui ruminent le prêt à penser politiquement correct sauce mondialiste.

14:16 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Stéphane Hessel : à Médrano plutôt qu’au Panthéon !

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Nicolas Gauthier

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Saint Hessel est mort. Vive Stéphane ! Danube bleu de la pensée, phare indépassable en matière de vers de mirliton, et dont le célèbre Indignez-vous ! a bien failli faire détrôner Vincent Delerm dans la catégorie librairies de centre-villes friqués, tenues par des ébouriffés, redoublants en fac de lettres, à destination d’étudiants boutonneux à la recherche d’une première gorgée de bière ou d’un semblant de rébellion.

Bref, Stéphane Hessel n’est plus. Et Libération de ce 28 février d’en faire tout un fromage sur 30 pages. Il était « indigné » ; certes. Mais à peu près autant que les deux croulants du Muppet Show, Waldorf et Statler.

Stéphane Hessel résistait donc. À tout, hormis l’air du temps. Il avait choisi le camp du « Bien » contre celui du « Mal » : c’était un juste. Il avait résisté, à un peu près autant qu’un François Mitterrand et guère plus qu’un Eugène Deloncle. Il avait été déporté et s’était évadé. Tout comme le premier, mais pas flingué comme le second, sous les balles gestapistes. Peu importe… c’était un « Juste ».

Stéphane Hessel, plus célèbre inconnu de France, juste avant son best-seller plus haut évoqué, était donc surtout connu de sa concierge et de son proche voisinage.

Stéphane Hessel avait un logiciel de prêt-à-penser fort bien rodé. Il était pour les faibles contre les forts. Et racontait ses guerres passées, un peu comme ces anciens combattants qui n’en finissent plus de ruiner l’ambiance des fins de banquets.

Seule note discordante dans la Symphonie fantastique de Libération, le discret petit coup de flute de Ronny Brauman, stigmatisant chez lui une « vision du monde partagée entre victimes et oppresseurs ». Et l’ancien président de Médecins sans frontières de rappeler : « J’avais du mal à trouver des accords profonds avec ses derniers engagements. Et notamment avec la façon dont il envisageait le monde, comme marqué de droits auxquels il fallait impérativement accéder… »

Voilà un homme qui parle d’or. Parce qu’assimiler la « lutte » pour les sans-papiers à la Résistance, voilà qui a dû se faire retourner nombre de maquisards autrement plus crédibles dans leurs tombes, nos bastions de francs-tireurs n’ayant jamais été que de saines résistances xénophobes contre l’envahisseur d’alors. Idem pour la cause palestinienne, mais que Stéphane Hessel, en perpétuel ahuri, a toujours résumée à la lutte du sempiternel opprimé contre l’éternel oppresseur, alors qu’il ne s’agit jamais que d’une lutte de libération nationale ; un peu à la manière des Serbes de Yougoslavie qui, pourtant oppresseurs vis-à-vis des opprimés bosniaques et kosovars, ne faisaient jamais que revendiquer leur droit à la souveraineté sur la mère patrie. Une véritable résistance, celle-là.

Au fait, il paraît que des voix se lèveraient afin que la dépouille du grand homme soit transférée au Panthéon. Médrano ou Bouglione nous sembleraient être des sépultures autrement plus indiquées.

10:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Demain samedi à Paris : le pot de Rivarol...

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10:35 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Solidarité des Français va fêter ses 10 ans !

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Solidarité des Français, cliquez ici

 

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Vendredi, c'est le jour de Rivarol...

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 3,50 €, chez votre marchand de journaux...

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jeudi, 28 février 2013

Les eurosceptiques ne sont que des salauds de pauvres !

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Nicolas Gauthier

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Un homme politique peut mentir un temps, mais pas tout le temps. À quelques-uns, mais pas à tout le monde non plus. Et il est un fait que ceux qui ont « fait » l’Europe nous ont menti au-delà du raisonnable. La preuve, c’est que ça finit même par se voir.

Ainsi, ce sondage du 14 février dernier, commandé par l’Iris (Institut de relations internationales et stratégiques) et dont les résultats n’ont été que très chichement répercutés par les médias, à l’exception du Parisien, quelques jours plus tard.

Résultats : quand, en 2003, 61 % des Français considéraient encore l’Europe « comme une source d’espoir », ils ne sont plus que 38 % à le penser aujourd’hui, alors que 37 % la tiennent pour « source de crainte ». Du point de vue de l’efficacité des instances européennes, le verdict est plus cruel encore : 0 % des sondés la jugent « très efficace », 25 % « assez efficace », 56 % « peu efficace » et 19 % « pas efficace du tout ».

Évidemment, comme toujours, les commentateurs y vont… de leurs commentaires. Insistant bien sur le fait que les « eurosceptiques » ne sont jamais rien d’autre que des « salauds de pauvres », « ouvriers, employés aux revenus modestes, ruraux ». Bref, des cons, alors que les thuriféraires de la construction européenne seraient, eux des « cadres, seniors, urbains et hauts revenus »… Un tel racisme de classe, si crânement assumé, est décidément à dégueuler.

Mais, sans sacraliser on ne sait quel « bon sens populaire », le « peuple » ayant tout autant le droit de se tromper que des « élites » auto-proclamées faisant mine de le représenter, il n’est pas incongru de constater qu’il y aurait comme conjonction entre le ressenti de la France « d’en bas » et certaines analyses dissidentes de celle « d’en haut ».

Car c’est une Europe concoctée dans les dos de tous qui se mijote depuis tant d’années. Dirigée par des technocrates dépourvus de la plus élémentaire légitimité démocratique. Et dont le droit par eux pondu prime sur le nôtre. On nous aura donc vendu une Europe protectrice et source de mille futures félicités, alors que le machin se trouve de longue date ouvert aux quatre vents. D’autres encore nous ont refourgué une Europe politique, ce que le général de Gaulle voulait, lui, et c’est justement parce qu’il l’appelait de ses vœux qu’il refusa que l’Angleterre y entre.

Éternelle joute entre la thalassocratie, l’empire des mers, celui des Anglo-Saxons, et la tellurocratie, celui de notre Vieux continent. De Louis XIV à Napoléon, en passant même par Hitler et les califats ottomans, toute velléité « d’Europe puissance », aura été étouffée dans l’œuf.

Naguère, peu nombreux étaient les Français à ne pas s’en rendre compte. Maintenant, il semblerait que l’évidence s’impose à tout un chacun. Trop tard ? Peut-être… Ou peut-être pas, tout en sachant qu’en politique, l’expression « trop tard » peut parfois avoir valeur d’épitaphe.

11:39 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le matraquage des automobilistes va s'accélérer...

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De nouveaux radars embarqués... sus aux automobilistes!

Installés à bord d'un véhicule banalisé, ils viseront les grands excès de vitesse.

L’info. C’est la nouvelle arme anti-chauffard des pouvoirs publics. Les radars mobiles de nouvelle génération, destinés à lutter contre les grands excès de vitesse, vont entrer en vigueur à partir du 15 mars dans une vingtaine de départements. Particularité de ces nouveaux modèles : ils sont invisibles et quasiment indétectables.

La nouveauté. Ces nouveaux radars embarqués à bord d'un véhicule banalisé qui se mêle à la circulation seront capables de photographier, sans flash et en roulant, tous les véhicules en grand excès de vitesse. Ils ont vocation à remplacer progressivement les radars ancienne génération déployés entre 2004 et 2005.

Traquer les chauffards. Depuis 2003, les radars automatiques ont contribué à une baisse des vitesses moyennes de plus de 10 km/h. "Cela représente 45 à 50% de morts en moins à cause de la vitesse. Mais certaines personnes n'ont pas évolué autant que la plupart des usagers, donc on est là pour cibler cette population", argumente Aurélien Wattez, chef du département du contrôle automatisé à la Sécurité routière.

"Il reste une minorité de gens qui ne respectent les limitations que là où il y a un radar fixe. Ce système est là pour leur rappeler qu'il faut respecter les vitesses partout et pas uniquement là où c'est signalé", ajoute-t-il. La vitesse excessive est une cause majeure de la mortalité routière, responsable de 26% des accidents mortels en 2012, soit près de 1.000 décès.

Une subtilité. Sur ce nouveau dispositif, l'antenne radar est cachée derrière la plaque d'immatriculation du véhicule, conduit par deux officiers qui seront malgré tout identifiables puisqu'en uniforme. La marge technique de ce nouveau dispositif étant plus importante que sur les anciens radars, seuls les grands excès de vitesse seront détectés.

Ainsi sur autoroute, une voie limitée à 130 km/h, un automobiliste qui roule à 138 km/h ne sera pas verbalisé, car la vitesse retenue (138 moins 10%) est égale à 124 km/h, en dessous de la vitesse autorisée. En revanche, le même automobiliste photographié à 146 km/h sera verbalisé avec une vitesse retenue de 131 km/h (146 moins 10%).

300 véhicules équipés sur trois ans. Les premières verbalisations commenceront le 15 mars mais dans un premier temps, seuls les véhicules qui doublent la voiture banalisée seront contrôlés. A l'été, les voitures contrôleront également la vitesse des véhicules roulant en sens inverse. Au total, 300 véhicules équipés de ces nouveaux radars devraient être déployés d'ici à trois ans, sur un rythme de 100 par an.

Source Europe 1, via Parti de la France cliquez là

09:43 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nice, dimanche 10 mars : débat Soral/Adinolfi

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09:35 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lisez la presse nationale...

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..et les autres !

09:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un imam dans la promotion 2013 de la légion d'honneur : la trahison continue...

3-mnr.JPGUn communiqué du MNR :
 
Dans la promotion du 1er janvier 2013 de la légion d'honneur, pour le grade de chevalier, on note le nom de '' M. Oubrou (Tareq), recteur d'une mosquée ; 32 ans de services. ''

Sur le site de le grande chancellerie de la Légion d'honneur, on lit que " La Légion d'honneur est la plus haute décoration française. Elle récompense, en un grand brassage national, les mérites acquis par les citoyens, en dehors de toute considération sociale ou héréditaire et ce, dans tous les secteurs d'activité du pays. ''

Voici un extrait des déclarations qu'il a faites à la suite des tueries de Montauban et Toulouse par Mohammed Merah : " Quand on parle des valeurs morales et éthiques, je ne pense pas que l'Occident soit plus évolué. Il faut éviter la confusion dans la sémantique. D'abord, l'islam n'est pas une civilisation, c'est une religion. Et la religion musulmane fait partie de la civilisation occidentale. Certains politiques semblent en être restés au Moyen Age. '' (interview dans Libération)

Comment, dans ces conditions, justifier sa présence dans la dernière promotion de la Légion d'honneur ?

Avec le MNR, luttons sans relâche contre l'islamisation de notre pays.

01:41 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 27 février 2013

Franck Abed revient sur le livre d'Anne Kling consacré au CRIF...

Pour se procurer ce livre cliquez ici

17:57 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Stéphane Hessel : république en émoi et lamentations médiatiques !

ste esse.jpgYves Darchicourt

Il paraît que le temps vient de s'arrêter : Stéphane Hessel est mort ! Pour les indifférents qui se tiennent scandaleusement à l'écart des grandes vagues de la pensée humaniste, on précisera que l'ancien et éphémère sujet du Kaiser Guillaume II, d'une famille juive germanisée, devenu français et diplomate est surtout connu pour avoir rédigé un opuscule intitulé "Indignez vous" porté à bout de bras par les médias au point de devenir un best-seller éminemment conseillé à la jeunesse plurielle de France et du monde entier.

Ancien résistant-déporté (un temps stigmatisé par sa communauté pour s'être indigné du traitement infligé aux palestiniens par Israël... errare humanum est sed perseverare in errore diabolicum), le coeur politique à gauche, européen sauce mondialiste dans l'âme, apôtre du creuset universel, grand'pa des sans-papier et père-grand des bobos indignés, l'homme va connaître une apothéose programmée. On a sorti la nécrologie du congélateur, déjà grincent les plumes des thuriféraires, cortèges et délégations se préparent, des drapeaux se mettent en berne et les déclarations pleuvent qui donnent dans la louange hagiographique, le dithyrambe byzantin ou le panégyrique panthéonesque. Funérailles nationales ? Pourquoi pas tant qu'on y est, bien que le mot "national" désormais sente autant l'interdit que le mot "race", disons alors des adieux dans le majestueux républicain, des obsèques style grandiose, un cérémonial pluriel associant Te Deum progressiste, récitations de frères trois points et ronflement des shofars.

Pendant ce temps là personne n'osera évoquer la récession, le chômage, la misère, la poigne du fisc ou le coût de la gueguerre au Mali et encore moins l'insécurité, l'invasion migratoire ou l'islamisation des terres d'Europe. Jusqu'au bout Stéphane Hessel aura bien servi le Système ! Cela dit, il est toujours fort dommage de mourir, même à 95 ans.

16:07 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

On achève bien les truies...

Randa Philippe août 2010 Portrait.jpgLa chronique de Philippe Randa

À force d’être capable de tout, les médiacrates(1) finiront-ils par rendre sympathique Dominique Strauss-Kahn ? Impossible ? Voire… Lorsqu’ils avaient affaire à l’ex-patron du FMI, ex-prétendant à la Fonction Suprême et ex-mari de la richissime Anne Sinclair, combien d’entre eux ont-ils jamais osé une ligne ou une parole désagréable à son encontre ? C’est un euphémisme de dire « bien peu »…(2)

Aujourd’hui, pas un média auto-proclamé d’informations n’est en reste pour brocarder ses frasques sexuelles, réelles ou fantasmées, quelle que soit l’heure d’écoute…

L’énième péripétie judiciaire de DSK, cette fois en tant que victime d’atteinte à sa vie privée, prouve à nouveau l’abjection de certains médiacrates. Non pas pour les révélations scabreuses – fictives pour la plupart – contenues dans le livre Belle et Bête, mais pour la personnalité de son auteur, Marcela Iacub, soit une « juriste », « principalement connue pour sa défense d’idées à contre-courant du féminisme dans ses expressions socialement majoritaires », tel que présentée par le Who’s who le plus lu à notre époque, soit l’encyclopédie sur internet Wikipédia.

On ne savait pas qu’une liaison avec un obsédé sexuel soit « socialement majoritaire » chez les représentantes d’un sexe qu’on imagine bien peu faible en l’occurence… surtout quand l’obsédé en question, dixit Marcela Iacub, n’a qu’un très lointain rapport avec le Casanova historique de Venise, mais bien davantage avec le personnage d’Edmond le cochon.(3)

Un tel livre promis aux latrines de l’édition n’aurait sans doute pas bénéficié d’un tel battage médiatique s’il n’avait été annoncé en Une du Nouvel Observateur, l’hebdomadaire de prédilection de la gauche dite intellectuelle… ce qui ne peux surprendre que ceux qui ignorent qu’« en 1985, pour renflouer les caisses du Nouvel Observateur en difficulté, Claude Perdriel (lança) le 3615 JANE et ALINE, deux services de “messageries roses”. »(4)

Rien d’étonnant donc à ce que ce fleuron de la presse progressiste assure à Marcela Iacub une telle promotion… et pour ne pas être en reste avec celle du quotidien Libération auquel elle collabore régulièrement…

A ce sujet, toutefois, la Société civile des personnels de Libération (SCPL) a publié un texte de réprobation suite à la publication de plusieurs pages « Événement » consacrées au livre Belle et bête qui « dérogeait à la règle déontologique longtemps en usage à Libération, selon laquelle on réserve un traitement minimal aux ouvrages de (ses) collaborateurs. »

Comme quoi, même chez les gauchistes salariés d’Édouard de Rotschild, certaines pratiques soulèvent le cœur et font déborder le pot de chambre du copinage promotionnel.

On sait ce matin que les avocats de DSK ont obtenu ce qu’ils espéraient… Outre 50 000 euros de l’auteur et de l’éditeur – ce qui n’est pas chère la publicité faite au lancement du livre – il y a l’obligation, bien plus grave, de faire figurer un « encart » sur la moitié de la une du Nouvel Obs, qui en avait publié les bonnes feuilles – humiliation dont l’hebdomadaire n’a guère l’habitude – et surtout dans chaque exemplaire du livre controversé, alors qu’à « l’audience mardi matin, l’avocat des éditions Stock Me Christophe Bigot avait prévenu qu’il était “matériellement impossible” d’insérer un encart dans les 40 000 premiers exemplaires déjà mis en place dans les librairies. »(5)

La note risque donc d’être conséquente pour l’éditeur.

Après l’admiration (pour certains), la fascination (pour quelques-uns), le dégoût (pour la plupart), Dominique Strauss-Kahn est-il en passe de susciter la pitié (pour beaucoup) face à l’acharnement démentiel que certains déploient à son encontre ? Acharnement qui n’a plus rien de politique, encore moins de moral, mais répondant uniquement à des motivations « sonnantes et trébuchantes ».

En exploitant sur la place publique sa coucherie avec DSK, Marcela Iacub aura en tout cas prouvé que si tous les hommes ne sont pas des gentlemen, ce qu’on savait, toutes les femmes ne sont pas non plus des « gentlewomen », ce que beaucoup découvrent sans doute avec stupéfaction. Seul(e)s les inconditionnel(le)s de la parité apprécieront. Peut-être…

Notes

(1) « Le terme médiacratie est une expression récente utilisée pour décrire un régime politique ou une organisation de la société où le pouvoir serait détenu par les médias (télévision, radio, presse écrite, Internet…) » (www.toupie.org).

(2) En dehors des journaux d’opinions hostiles à l’étiquette politique de DSK qui ne pourfendaient l’intéressé, comme il se devait, que par rapport à son action publique, citons, puisqu’il le mérite bien, Jean Quatremer, correspondant de Libération à Bruxelles qui « le premier, en 2007, écrivit sur son blog, le tout premier chapitre du roman vrai de la vie de l’ancien patron du FMI. Au nom d’une transparence revendiquée, Jean Quatremer s’est battu pour que tombe l’omerta, ce tabou qui voit la presse française protéger la vie privée d’une classe politique prompte à l’instrumentaliser quand le besoin s’en ressent. Sexe, mensonges et médias (Éditions Plon), se veut ainsi un regard critique sur les réflexes d’une classe journalistique qui aura protégé DSK comme un seul homme, quand il était au pinacle. Avant de le broyer une fois sur le banc des accusés, de New York à Lille » (http://blogs.lexpress.fr).

(3) « Bande dessinée animalière humoristique, créée en 1978 par Jean-Marc Rochette et scénarisée dès 1979 par Martin Veyron. Roi de la loose, Edmond est avant tout terrifié par l’idée de finir en saucisson. Et ce ne serait que justice pour cet animal pervers, vénal, profondément lâche, jaloux, lubrique et on en passe… Farce d’une puissance humoristique exceptionnelle, cet avatar français du Fritz the cat de Crumb est un monument de contre-culture trash et décadente » (http://fr.wikipedia.org).

(4) www.lanouvellerepublique.fr.

(5) www.franceinfo.fr.

12:44 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 24 mars à Paris, SUR LES CHAMPS-ELYSEES...

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CCI Nord de France : changer la couleur des entreprises !

cci.jpgYves Darchicourt

Les Chambres de Commerce et d'Industrie du "Nord de France" se mettent au goût et à la couleur du jour : dans son dernier numéro, le "Mag" de l'édition "Grand Lille" s'intéresse aux transmissions d'entreprises, une nécessité économique majeure en ces temps de récession.

A hauteur de son importance, la chose a été illustrée avec soin pour faire passer un message essentiel : par la poignée de main aussi confiante que chaleureuse entre un senior déplumé, un peu rougeaud et cravatté strict- qu'on imagine sans peine issu d'une vieille et industrieuse famille flamande, hennuyère ou artésienne - et un fringant jeune personnage chemisé façon BHL, à la carnation ambigüe genre "Dora l'Exploratrice" et coiffé brushing ébouriffé style Noah qui se serait lavé les cheveux, on comprend sans peine que l'avenir franc et joyeux de l'économie régionale - et nationale - dépend de la faculté qu'auront les gaulois à céder la place aux représentants de la France d'après la France.

Pas une occasion de perdue pour le bourrage de crâne mondialiste : pour les CCI - comme pour d'autres organismes tenus au politiquement correct cosmopolite dans la France plurielle - le passé est blanc, l'avenir est métis. Ségrégation positive et united color à tous les niveaux ! Lamentable carpetterie !

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mardi, 26 février 2013

Elections italiennes : Gabriele Adinolfi répond à Synthèse nationale...

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Notre camarade et ami Gabriele Adinolfi, directeur de l’Institut Polaris, est un témoin privilégié de la vie politique italienne. Il nous livre ici ses premières impressions au lendemain des élections qui viennent de se dérouler dans son pays.

Gabriele Adinolfi, pouvez-vous nous livrer vos premières impressions sur les résultats des élections italiennes ?

Un premier constat plutôt rassurant, les Italiens n'ont pas voté pour la Trilatérale, ni pour la BCE, ni pour la Goldman&Sachs.

Le Parlement qui vient d'être renouvellé a obtenu une majorité de centre-gauche grâce à la “prime à la majorté” prévue par la loi élèctorale italienne qui donne un nombre important de députés supplémentaires à la coalition arrivée en tête, en l’occurence celle de centre gauche. Toutefois, cette coalition gagnante dépasse Berlusconi seulement de 80.000 voix.

Constatons aussi que le Mouvement 5 étoiles de l'acteur populiste Beppe Grillo est devenu le premier parti italien avec 8.689.168 de voix (25,55%) élisant ainsi 108 députés.

Enfin, la coalition de Mario Monti, l’euro-technocrate centriste intronisé par Bruxelles l’an passé, dépasse à peine les 10% et compte en tout 45 élus. L'ancien patron du Mouvement social italien (MSI), Gianfranco Fini, qui soutenait la coalition de Monti, est tout simplement éliminé.

Les électeurs opposés au gouvernement euro-technocrate, toutes listes confondues, dépassent donc les 65%.

Au Sénat aucune majorité n'est mathématiquement possible.

L'Italie se présente comme impossible de gouverner. Alors, que faire ?

Voter à nouveau ? Impensable pour l'establishment car Grillo et Berlusconi renforceraient encore leur audience.

Mais nous avons deux jeux possibles auxquels il est licite de s'attendre.

Soit une nouvelle coalition centredroite/centregauche avec un  téchnicien comme premier ministre (Giuliano Amato c'est le plus pobable), soit une coalition nationale autour d'un personnage qui  donne l'impression de répresenter le renouveau et la société civile. Il s'agit de Matteo Renzi, le jeune maire de Florence appartenant au Parti democrate mais très aprécié par la droite modérée. C’est un chrétien de gauche bon teint, fils, semble-t-il, d'un grand maître de la franc-maçonnerie. Il serait l'homme parfait pour pousuivre la politique des grands capitaux spéculatifs en la rendant “populaire”. Nous verrons bien.

Une chose est sûre : c'est que la volonté des électeurs italiens, qui rejettent clairement la politique des sacrifices dictée par les usuriers, ne sera pas respectée.

Et les nationalistes, ils semblent être les grands perdants de ces élections ?

Il est  intéressant aussi d’analyser le suicide des nationalistes qui, une fois qu'ils ont cru possible de pouvoir s’émanciper de la tutelle de Berlusconi, ont démontré leur incapacité à exister réellement.

Rappelons que le MSI, avant de rentrer dans une majorité gouvernamentale, pendant quarante-huit ans, de 1946 à 1994, avait toujours ressemblé des scores oscillant entre le 5 et 9%. Habitualement son score était en moyenne de 6,5%.

Cette fois-ci les “missinis” (nom donnés aux militants du MSI – NDLR) se sont presentés en sept formations différentes. Fratelli d'Italia et La Destra ont appuyé Berlusconi. Une composante du MSI est restée dans le Peuple des Libertés de Berlusconi. D'autres, avec Fini, ont soutenu Monti avec la liste Futuro e Libertà. Trois autres listes y sont allées de manière autonome : Forza Nuova, Casapound Italia et Fiamma Tricolore.

Et voici le scores :

Fratelli d'Italia, 666.035 voix (1,95%)

La Destra, 219.816 voix (0,64%)

Futuro & Libertà (G. Fini), 159.429 voix (0,46%)

Forza Nuova,  89.826 voix (0,26%)

Casapound Italia, 47.691 voix  (0,14%)

Fiamma Tricolore, 44.753 voix (0,13%)

Le total est de 1.317.376 voix éparpillées donnant un pourcentage global de 3,58%. Il faudra ajouter à cela les voix passées directement à Berlusconi et celles qui sont allées à Grillo pour retrouver, mais dispersés, les scores passés du MSI (6% - 6,5%).

Fratelli d'Italia obtient 9 députés, les autres cinq formations n'élisent personne. Des anciens “missinis” seront èlus sur les listes du PdL ; on ne sait pas encore qui et combien, mais il s'agira seulement d'une patrouille.

Rien à faire, il y a une malédiction, les nationalistes n'arrivent jamais, nulle part, même dans des conditions des plus favorables, à avoir une vraie maturité politique et à être enfin efficaces.

19:00 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lyon, samedi 9 mars : concert de soutien aux victimes de la répression antinationaliste

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Bouffemont (Val d'Oise), dimanche prochain : commémoration par France Action Jeunesse du 220e anniversaire du génocide vendéen...

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11:35 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mosquée de Nice : Estrosi se couche, la NDP réagit...

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Christian Estrosi a confirmé ce mercredi soir qu'une salle de prières musulmane ouvrira bien dans le quartier HLM de Roquebillière, à Nice-Est.

Le maire a choisi pour la gérer l'association cultuelle "Alliance des musulmans de l'est niçois". L'AMEN, membre de l'Union des musulmans des Alpes-Maritimes (UMAM), lui a été suggérée par le Comité de suivi du culte musulman, instance consultative qu'il a créée et qui réunit des élus et des représentants musulmans.

Un bail doit maintenant être signé entre l'association et le bailleur social Côte d'Azur Habitat, propriétaire des locaux. L'AMEN disposera de 500 m², dont 200 pour le culte musulman et 300 pour des activités scolaires et culturelles, dont l'apprentissage de l'arabe.

La ville conservera 300 m² contigus "entièrement dédiés à des activités sociales, comme la petite enfance ou les seniors".

"On ne peut pas se plaindre des prières de rues si, par ailleurs, on n'offre pas des solutions aux musulmans pour qu'ils pratiquent leur culte dans les meilleures conditions" a expliqué Christian Estrosi : "Mais il ne s'agit pas de soutenir une démarche communautariste."


AFFICHE NDP06.jpgCommuniqué de la Nouvelle Droite Populaire :

Encore une fois le maire de Nice a cédé devant les pressions communautaristes !

Cette ouverture de "salle de prières" cache en fait la main-mise des musulmans sur tout un quartier de Nice.

Car, il y aura, en plus du lieu de culte, des "activités culturelles et scolaires" et même des "cours d'arabe" !

On assiste à une libanisation de notre territoire qui se découpe désormais en zones Halal, ou non Halal…

L'UMP local se fait complice de cette politique, et l'encourage. Les Azuréens doivent le savoir !

C'est le message que veut faire passer la NOUVELLE DROITE POPULAIRE DES ALPES MARITIMES. Si vous voulez vraiment lutter contre l'islamisation de votre région, rejoignez-nous !

Pour défendre votre identité, votre sécurité, et vos libertés, IL N'Y A QUE LA NDP.

NDP 06 cliquez ici

10:02 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse : L'Italie submergée par une vague populiste...

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Source le Nouvel Observateur cliquez ici

Submergée par la vague populiste, voilà l’Italie telle qu’elle se présente d’après les résultats du dépouillement au Sénat. Les voix des berlusconiens et des « grillini » - les partisans de l'ancien comique Beppe Grillo - atteignent ensemble plus de 50% des suffrages. Ils prônent l’un et l’autre la sortie de l’euro. Il faudra bien sûr attendre les résultats de la Chambre pour avoir une idée définitive mais on devine d’ores et déjà que la situation italienne ne pourra qu’être jugée inquiétante par le reste de l’Europe.

Le pays a vécu un moment de temps suspendu, lundi vers 16 heures 30, lorsque le dépouillement des bulletins de vote a fait émerger avec une certitude de plus en plus claire que le Movimento5Stelle du comique Beppe Grillo se situait autour de 25%, et qu’il représentait donc un électeur sur quatre au moins au Sénat.

Dans la ville de Rome, tout semblait immobile dans cet après midi pluvieux et froid, comme pour un match de foot. Même si de nombreux Romains s’étaient rendus compte depuis déjà deux semaines que les tendances annoncées par les sondages (la victoire du centre-gauche) commençait à changer de direction.

Les leçons de cette élection ont été vite tirées par la bourse de Milan qui avait grimpé de 3,6% en début d’après midi avec la victoire annoncée du centre gauche et qui plongeait à moins 0,7% vers 17 heures, tandis que le « spread » des bons du Trésor italien avec les bons allemands passait de 261 à 275.

Les trois leçons du scrutin

Mais il y a d’autres leçons. Et d’abord l’échec des sondeurs qui avaient tous prédit une indéniable victoire du centre gauche, en sous-évaluant la récupération opérée par Silvio Berlusconi à travers une campagne sans scrupules et en sous-estimant l’attraction exercée par Grillo, un vote pas facile à avouer, exactement comme le vote pour Le Pen en France.

Deuxième leçon : l’échec des partis traditionnels avec des électeurs qui expriment désormais une haine viscérale pour la partitocratie. Une haine qui a favorisé d’abord l’habile Cavaliere qui a toujours l’art de se présenter comme un éternel outsider et n’a jamais hésité à ce titre à faire des promesses insensées comme le remboursement immédiat des sommes versées en 2012 au titre de l’IMU, l’impôt sur la résidence principale.

Sans penser un instant aux problèmes d’équilibre budgétaire.

La troisième leçon : avec le score faible de Mario Monti – autour de 10% - il se confirme que les démocraties occidentales sont de plus en plus bipolaires et que le centre a du mal à exister, en Italie comme ailleurs.

Un gouvernement compliqué à former

Les conséquences ? Dans l’immédiat une situation pour le moins complexe pour la formation du gouvernement, étant bien entendu qu’il sera impossible de faire un gouvernement de centre gauche; ni un gouvernement des « populistes », car Grillo n’est pas intéressé par une implication directe dans la politique; ni un gouvernement d’union nationale.

Certains observateurs se demandaient en fin d’après midi s’il ne faudrait pas aller voter à nouveau dans les prochains mois . Comme en Grèce lors des dernières législatives. Oui, l’Italie risque de se rapprocher de plus en plus dangereusement de la Grèce, et pas seulement pour des raisons d’instabilité politique.

Marcelle Padovani - correspondante à Rome pour le "Nouvel Observateur"

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Les complicités journalistiques des Femen...

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Un communiqué de l'Institut Civitas :

Cartes de presse pour la milice antichrétienne FEMEN ?

Hier, dimanche, la milice antichrétienne Femen avait envoyé trois de ses furies en Italie. Pas à Rome pour perturber l’Angelus prononcé par Benoît XVI, cela avait déjà été fait le 13 janvier dernier. Cette fois, elles intervenaient à Milan, au moment où Silvio Berlusconi se présentait à son bureau de vote.

Ci-dessous, les cartes de presse qui leur ont permis d’attendre Berlusconi au milieu des journalistes. Voilà qui pose une fois de plus la question de la collusion entre les FEMEN et certains journalistes aux accents très militants.

Quand le ministre de l’Intérieur va-t-il enfin sévir contre ce mouvement FEMEN connu pour une longue liste de délits et une pathologie antireligieuse inquiétante ?

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Elections italiennes : la surprise Berlusconi

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Résultats des élections italiennes :

Législatives : cliquez ici

Sénatoriales : cliquez là

Notez que malgré l'acharnement des médias à vouloir enterrer Silvio Berlusconi, celui-ci, à la surprise générale, ne s'en tire pas si mal que cela. Les chiens de garde du Système devront donc revoir leur copie...

Source des résultats Lionel Baland cliquez ici

00:17 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 25 février 2013

Chronique de la France asservie et résistante...

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RIVAROL

N° 3082 du 22 février 2013

 

LES activistes de Femen ont à nouveau pratiqué une scandaleuse provocation, cette fois-ci dans la nef de Notre-Dame de Paris. Huit féministes ont manifesté seins nus, faisant tinter trois des nouvelles cloches, criant en anglais « Pope no more » (plus de pape), « In gay we trust » ou « dégage homophobe ». Sur leurs corps dénudés, on lisait ces slogans : « No homophobe », « Crise de la foi », « Bye bye Benoît ». On attend avec impatience qu’elles mènent ce type d’action dans une mosquée ou une synagogue… Dans une récente chronique sur RTL (« À la bonne heure »), Charlotte des Georges collectionne les piques idiotes (« à mon avis, Benoît XVI ne prie pas assez », etc.) avant de s’en prendre très violemment à Josef Ratzinger : « Engagé dans les jeunesses hitlériennes à 14 ans », commence-t-elle avant que Stéphane Bern ne la coupe : « De force. De force. » Elle reprend : « Endosse l’uniforme de la Wehrmacht à 16 ans » et interroge, ironiquement : « De force, aussi ? » « Assiste à l’exécution de juifs hongrois, de force », continue-t-elle, « édulcore les horreurs de la Shoah… de force. Manifestement, tous les chemins mènent à Rome. » Selon elle, Benoît XVI « a des problèmes de capacité de réflexion » (!) parce qu’il ne ferait pas l’apologie du préservatif. Charlotte des Georges achève sa chronique en sous-entendant que Benoît XVI aurait pu violer un ou plusieurs enfants mineurs…

 

IGNOBLE PROVOCATION DES FEMEN (ET D’AUTRES…)

 

Cette provocation a suscité l’indignation. Même des responsables de gauche, tels Delanoë et Manuel Valls, ont exprimé (mollement) leur désaccord, le ministre de l’Intérieur parlant seulement de « provocation inutile ». L’AGRIF a, par la voix de Bernard Antony, exigé la dissolution de cette organisation « propagatrice d’une haine incitatrice à la guerre civile rappelant les heures les plus noires des hystéries anti-religieuses ». Mais qui sont les Femen ? Comment fonctionne cette organisation ? Une jeune journaliste de télévision avait infiltré les Femen et filmé en caméra cachée. Édifiant… Le voyage à Paris des filles était offert (la plupart viennent d’Ukraine). Le billet d’avion, la chambre d’hôtel, les voyages en taxi et la nourriture coûtaient un millier d’euros par jour pour chacune des participantes. La journaliste a aussi découvert que les activistes sont payées 1 000 dollars par mois, le triple du salaire moyen en Ukraine. Elles disposent de bureaux à Kiev (loyer : 2 500 dollars par mois) et à Paris (plusieurs milliers d’euros). Mais qui finance ces manipulations ? La journaliste pense qu’il s’agirait notamment du milliardaire allemand Helmut Geier, de la femme d’affaires allemande Beat Scober et de l’homme d’affaires américain Jed Sunden. Dans quel but ? On croit le deviner…

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 LELLOUCHE : UNE AMUSANTE GIROUETTE

 

Pierre Lellouche, député UMP, a de solides convictions. N’avait-il pas déclaré au sujet du mariage homosexuel : « Je suis un homme de conviction, et l’abstention n’est pas ma tasse de thé. » Ces puissantes considérations n’auront duré que ce que durent les roses un peu fanées. Car Lellouche a réfléchi, beaucoup réfléchi… Sa réflexion fut, paraît-il, longue et difficile.

 

Conclusion ? Il s’est abstenu. Avec des arguments qui tirent les larmes, tant c’est beau : « Je respecte la liberté de deux adultes de même sexe, liés par des sentiments amoureux, de construire leur vie ensemble et de voir leur union pleinement reconnue par la société. » Il pratique aussi une émouvante auto-flagellation : « Je confesse que sur ce point (le mariage traditionnel), j’ai personnellement évolué au fil de ces dernières années, comme d’ailleurs beaucoup de nos concitoyens ». « J’avais en effet voté contre le PACS en 1999, au nom de la préservation du mariage. » Et le reste à l’avenant… Rappelons-nous cette citation de Henry de Montherlant, dans La Reine Morte. « En prison, en prison, pour médiocrité. »

 

BARTELONE EST UN “ABRUTI”

 

Dans le ridicule cirque parlementaire, nous avons assisté à quelques moments consternants.

 

Les députés UDI avaient quitté l’hémicycle, faisant semblant d’être furieux car c’est le ministre délégué aux Affaires européennes, et non le Premier ministre, qui répondait à une importante, forcément importante question sur le budget européen. Quel mépris ! Les nains, à vrai dire, se sentent assez aisément humiliés. Les députés UMP sont venus derechef au secours des nains de l’UDI centriste de Borloo, scandant : « Ayrault, Ayrault ». Du coup, le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, a tenté de ramener le calme. Peine perdue. Les clowns du Système étaient excités comme des poux. Bartelone a fini par s’énerver, les traitant d’“abrutis”. Avant que le scandale n’éclate, Bartelone s’est vite rattrapé aux branches, dans une position, certes, des plus hasardeuses, déclarant : « Je parlais de moi, comme le dit Maupassant : il demeurait immobile, abruti d’étonnement et de souffrance ».

 

LA RIDICULE PANTALONNADE QU’EST CETTE PSEUDO-DÉMOCRATIE

 

C’est une proposition de loi déposée le 6 février par dix députés UMP, dont Thierry Mariani. Des députés qui n’ont sans doute rien d’autre à faire. Le texte propose de faire du droit de vote « une obligation ». Les sanctions pour les abstentionnistes ? Une amende de quinze euros, 45 euros en cas de récidive « dans les cinq ans ». Leur argument d’une puissance inouïe : « Si le vote est un droit, il doit aussi être un devoir en l’honneur et en mémoire de celles et ceux qui ont versé leur sang pour notre Patrie. » C’est ce qui s’appelle se moquer du peuple, quand on considère les manipulations permanentes des scrutins électoraux et le refus de permettre au Peuple de s’exprimer via le référendum. Au fait, Bartelone s’est déclaré favorable à l’obligation de voter…

 

LE LÉGIONNAIRE AU FOULARD À TÊTE DE MORT

 

La photo d’un légionnaire en service au Mali et portant un foulard représentant une tête de mort avait été largement diffusée dans les media, suscitant quelques émois. La hiérarchie militaire, d’un héroïsme époustouflant, a décidé de prendre les choses en main. Pas question de laisser salir l’honneur de l’armée française. Du coup le légionnaire a été rapatrié en France (par un vol dit “bleu”, c’est à dire un retour prématuré pour indiscipline) et puni de 40 jours d’arrêts de rigueur. Il a eu la chance de ne pas être fusillé…

 

L’HOMME, LE CANICHE ET LE CANARI

 

Un homme de 38 ans vient de débarquer il y a quelques jours dans l’appartement de son ex-femme dans la cité La Solidarité à Marseille. Il n’était apparemment pas tout à fait frais et exhibait une machette. On ignore évidemment son origine ethnique. Selon plusieurs témoignages, il se serait montré extrêmement menaçant. Il aurait notamment reproché au chien de son ex-femme, un caniche, un pelage trop long. A l’aide d’un cordage, il aurait alors attaché les pattes de l’animal, avant de le menacer de l’exterminer avec son arme blanche. Dieu merci, il lui restait un soupçon d’humanité et il s’est contenté de le jeter dans le vide, depuis le cinquième étage. Mais tout ceci ne l’a pas calmé pour autant. Peu respectueux de la vie animale, il a fini par ouvrir la cage des canaris, s’est saisi d’un oiseau, et l’a écrasé avec son talon sur le sol. Dans la foulée, il a kidnappé les canaris restants et s’est enfui avec leur cage. La police recherche activement les canaris.

 

VLAAMS BELANG : UNE “TAUPE” DE LA SÛRETÉ DE L’ETAT

 

Bart Debie est un ancien commissaire de police et “conseiller” de Filip Dewinter au sein du Vlaams Belang. Il pilota la visite des mosquées d’Anvers, il y a quelques années. Plusieurs délégations européennes étaient présentes. J’y étais. Il vient d’avouer avoir fourni durant trois ans des informations sur le fonctionnement interne du Vlaams Belang à la Sureté de l’Etat. Il déclare : « J’ai été recruté comme informateur en 2007. Jusqu’à ma démission du parti en 2010 (en réalité, il en fut viré), j’ai rencontré presque tous les mois une personne des services de renseignement. » Il aurait notamment fourni des informations concernant les soutiens financiers du Vlaams Belang. Filip Dewinter estime que de telles pratiques relèvent du totalitarisme. Au lieu de protéger la sécurité de la Belgique, la Sureté de l’Etat protège l’existence du régime…

 

L’ÉTRANGE PETITE ANNONCE DE COPÉ

 

La petite annonce n’est pas encore rédigée, mais elle devrait avoir la tournure suivante : « Parti d’opposition cherche hommes et femmes motivés, jeunes de préférence, pour le représenter aux élections municipales de 2014. » Cela a toutes les apparences d’une plaisanterie, mais cela semble très sérieux. Copé a demandé aux secrétaires départementaux de son mouvement de publier des avis de recrutement dans toutes les villes. Le parti, il est vrai souffre, car des pans entiers du territoire lui échappent, faute de représentants. L’idée d’une petite annonce pour recruter ses candidats semble tout de même assez bizarroïde et paraît difficilement couronnable de succès…

 

SÉPHARADES D’ESPAGNE : LA LOI DU RETOUR

 

Un million et demi de “sépharades”, ces descendants de Juifs espagnols bannis à la fin du Moyen Age pourraient acquérir la nationalité espagnole même s’ils résident à l’étranger. La condition ? Un serment : « Je jure fidélité à la Constitution et au Roi ». La mesure était en fait inscrite dans la loi depuis 1988. Mais le gouvernement socialiste de Jose Luis Zapatero avait imposé comme règle que les impétrants aient résidé dans le pays pendant deux ans au moins. Cette restriction vient d’être levée par le gouvernement conservateur de Mariano Rajoy…

 

POURQUOI LA VIANDE DE CHEVAL EST-ELLE UN TABOU EN GRANDE-BRETAGNE ?

 

L’hippophagie (le fait de manger du cheval) est un tabou au Royaume-Uni, contrairement à des pays comme la France, la Belgique, l’Italie ou la Suisse. Pourquoi ? En fait le cheval a été très tôt associé aux loisirs, notamment aux courses, alors qu’il était perçu comme un animal de labeur sur le continent. Pour les Britanniques, le cheval ne saurait être considéré comme de la nourriture. Ces Britanniques sont tout de même bizarres : les lapins font aussi partie des tabous depuis les années 1960. 30 000 tonnes de viande de cheval ont été consommées dans l’Hexagone en 2009, essentiellement en Ile-de-France et dans le Nord-Pas-de-Calais. Mais on observera que la viande n’est jamais vendue avec des os apparents. Toute référence concrète à l’animal est effacée. En fait, l’hippophagie n’a jamais été officiellement interdite, sauf en Scandinavie. Le pape Grégoire III, la jugeait “répugnante”, au VIIIe siècle. Il était, il est vrai, originaire de Syrie où le cheval n’était pas consommé. Le développement de la chevalerie a aussi beaucoup contribué à ce que l’hippophagie apparaisse comme un reste de barbarie. Et pourtant, à partir de la seconde moitié du 19e siècle, ce tabou s’affaiblit. Pour les hygiénistes, le cheval passait pour une viande saine, pauvre en matières grasses et riche en fer et en protéines, qui plus est, moins chère que le bœuf. Sa consommation se développa fortement chez les ouvriers. Curieusement, les défenseurs des droits des animaux ont aussi beaucoup agi pour la réintroduction de l’hippophagie. Ils militaient contre la maltraitance des vieux animaux et estimaient qu’il valait mieux qu’un cheval finisse en boucherie plutôt qu’exploité…

 

VANDALISME ET ART

 

La toile de Delacroix, « la Liberté guidant le peuple » a été taguée, il y a quelques jours dans le musée du Louvre-Lens, par une visiteuse qui, paraît-il, alternait périodes de lucidité et bouffées délirantes. Ce n’est pas la première fois que des œuvres d’art sont attaquées. En 2009, « La Joconde » s’était pris une tasse en pleine tête. Dieu merci, une vitre blindée la protégeait. La vitre avait été installée après une agression, au Japon, en 1974. Une femme lui avait jeté de la peinture rouge… Monet, quant à lui, avait eu droit à un tableau troué par un coup de poing en 2007. « La ronde ne nuit », le tableau le plus imposant de Rembrandt, a été attaqué plusieurs fois. En 1975, un prof au chômage le poignarde au couteau de cuisine… En 1990, un autre visiteur lui jette de l’acide. La “Piéta” de Michel-Ange a été, quant à elle, attaquée à coups de marteau au début des années 1970. La sculpture fut démembrée, des morceaux tombèrent par terre. Certains demandèrent la peine de mort pour l’agresseur, qui fut condamné à huit ans de prison. Quand à Duchamp, et son fameux urinoir, présenté comme une supposée œuvre d’art, un artiste contemporain s’était amusé à uriner dans son urinoir, avant de lui mettre un coup de marteau. Au nom de l’Art, bien entendu…

 

UNE LISTE DE… CROUPIERS À MONACO

 

Dans cette monarchie héréditaire, les 6 824 électeurs ont le droit de voter tous les cinq ans afin de choisir les 24 représentants du Conseil national. Trois listes étaient en lice, dont une composée de… croupiers.

14:31 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse. Ouest-France censure : le magazine "Bretons" retiré des kiosques

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Yann Goap (depuis la Bretagne)

Le numéro de Février du magazine Bretons, qui comportait une manchette "autonomiste" en une, a été retiré des kiosques. Pour la CFDT d'Ouest-France, il s'agit d'un acte de censure.

Depuis des lustres le jacobinisme triomphe en France, suite à un fâcheux quiproquo datant du 13 juillet 1793 lorsque les courageux girondins s’enfuirent à toutes jambes devant les montagnards de Vernay à la « bataille » de Pacy-sur-Eure, qui ne fit aucun mort. De nos jours ce centralisme est très légèrement écorné par un pseudo-régionalisme qui fait rigoler toute l’Europe très en avance sur ce point.

À l’Ouest, rien de nouveau : la Bretagne s’est depuis longtemps endormie dans la quiétude de l’annexion française de 1532, c’est vous dire. De temps en temps, d’un côté comme de l’autre quelques exaltés frémissent en évoquant l’indépendance, l’autonomie et autre rêverie celtique, puis l’on revient aux choses sérieuses, à savoir les fins de mois à assurer. Les Bretons sont contents, leur « fest-noz » est classé patrimoine de l’Humanité, il n’y a jamais eu autant de sonneurs et de cercles celtiques, tout le monde trouve sympa la celtitude, les Parisiens connaissent le festival des Vieilles Charrues, la langue bretonne se meurt au milieu de mille soupirs de compassion.

MAIS ! Faut pas pousser trop loin, le feu couve, la braise de Breizh rougeoie. Le mensuel Bretons, société, culture, politique, économie, branché et de bon ton affiche à sa une de février 2013 « un résultat surprenant : 18% des Bretons pour l’indépendance ! » Le sondage est commenté, entre autres, par Romain Pasquier, en couverture, talentueux chercheur en gouvernance régionale et décentralisation, habitué des médias et des séminaires internationaux. On commence à en parler sur le Net mais l’Affaire débute avec la disparition des étalages de la revue en question…

Explication officielle de son directeur : des malfaçons l’ont contraint à retirer les exemplaires (tirage 10 000 ex.) précipitamment pour les remplacer par un nouveau tirage de qualité. Ben non, c’est pas vrai, hou, le menteur ! Parce que de suite il y a le buzz sur Internet. Vous pensez : un magazine qui titre sur l’indépendance et qui s’évapore dans la brume ouest-francienne… Mais Merlin intervient, le magazine reparaît en kiosque… avec une légère différence pour l’œil du lecteur averti. Toujours le beau gosse en couverture, mais le titre est devenu « 69% des Bretons ignorent leur histoire »… Ce qui est exact. D’autant qu’on leur cache la chose avec soin dans l’éducation « nationale ».

Alors un petit peu d’histoire locale pour comprendre. L’Ouest de la France est entre les pages du quotidien Ouest-France, premier de France avec un tirage qui tutoie parfois le million d’exemplaires. C’est la face émergée d’un empire de presse qui a fait main basse sur toutes les « petites » parutions régionales : 4 journaux régionaux, 58 parutions diverses, une maison d’édition puissante « Edilarge », etc. (avec, tout de même, un déficit du journal O-F de 5 millions en 2012 !) ET 30% de participation du magazine Bretons. À la tête François-Régis Hutin, sa famille, ses amis regroupés dans l’Association pour le soutien des principes de la démocratie humaniste, qui est une association française de type loi 1901, fondée en avril 1990, qui chapeaute le groupe Ouest-France (cliquez ici).

Sans rire, Hutin a fait adopter une charte de déontologie intitulée « Dire sans nuire, montrer sans choquer, témoigner sans agresser, dénoncer sans condamner ». Serait-ce lui qui, avalant de travers son hostie en lisant le titre autonomiste, a fait retirer, dans les deux sens du terme, la revue blasphématoire ? Pour la CFDT d’Ouest-France, pas de doute, il s’agit “d’un acte de censure inadmissible de la part du patron d’un journal qui ne cesse de plaider pour la liberté d’informer”. Dans un tract, publié mardi 29 janvier et dont des extraits sont relayés par le site du Mensuel de Rennes, le syndicat dénonce le retrait de la vente du magazine Bretons et pointe un doigt accusateur sur François-Régis Hutin, démocrate-chrétien humaniste sourcilleux propre sur lui.

À Paris, on s’en fout, ce n’est qu’une anecdote de bouseux, mais en Bretagne, il y a une censure. Personne ne peut s’en prendre à la toute-puissance du groupe monopolistique. Il y en a qui ont essayé, personne n’en a jamais rien su, vu que ce n’était pas dans le journal.

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