jeudi, 11 avril 2013
LILLE, DIMANCHE 28 AVRIL :
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Jérôme Stavisky, le menteur errant...
La chronique
de Philippe Randa
Le Français le plus célèbre de ces derniers jours, Jérôme Cahuzac, est désormais le « menteur errant » le plus recherché des médias. En attendant que la Justice ne le rattrape… si tant est qu’elle y parvienne au-delà d’une simple mise en examen pour blanchiment de fraude fiscale.
Ainsi donc, l’ex-ministre du Budget joue à cache-cache avec les fins limiers de l’Information. Obligé de changer de « planques » tous les deux jours, voire même de passer la nuit sinon à la Belle Étoile, du moins dans son automobile, faute d’autre refuge.
Finalement, sa décision de retrouver peut-être – le suspense est insoutenable – son siège à l’Assemblée nationale comme le droit politique à défaut de la moralité publique, l’y autorise, pourrait s’avérer pour lui le repaire idéal pour contrer les fâcheux. Combien d’élus de la République pourraient-ils lui reprocher ses indélicatesses sans qu’il éclate de rire :
— Ah non, pas toi !… Pas vous !
Certains de ses proches le disaient abattu. Il n’est finalement, et pour le moment, qu’un sans domicile fixe, victime de la pression, comme il dit… telle la première star du showbiz ou du sport venue.
Tous ceux qui furent écœurés, moins par la révélation de la canaille qu’il est, que par son minable aveu dès la première audition – imagine-t-on un Bernard Tapie ou un Charles Pasqua se déballonner de la sorte au premier froncement de sourcils d’un Juge ? – doivent reconnaître que la Bête est loin d’être morte et qu’elle a repris, outre son arrogance naturelle qui ne l’a guère quitté, toute sa combativité.
Combativité exercée désormais non pour arrondir son magot ou nier ses fraudes, mais pour tenir le crachoir aux plus hautes instances politiques du pays.
Car qui pourrait douter que ses déclarations publiées ce jour dans La Dépêche du Midi sur son retour à l’Assemblée nationale (« C’est trop tôt, je n’ai pas encore pris ma décision »), sur son avenir (« Je n’imagine rien ») ou sur ses possibilités (« Je possède quand même quelques amis fidèles » – entendre par là sans doute quelques informations précieuses, quelques dossiers explosifs, quelques cacahuètes pour les singes des médias) ne sont que d’agressifs appels à l’aide, sinon à la complicité, lourds de chantage, de tous ceux qui seraient ses pairs en prévarications ? Au Parti socialiste, certes, mais pas seulement…
Jérôme Cahuzac a tout de même été Ministre du Budget plusieurs mois. Ça laisse le temps de découvrir, photocopier et archiver quelques provisions pour ne pas se trouver « fort dépourvu » au cas où la « bise viendrait », ce qui lui permettrait de crier « À l’aide ! » en priant quelques copains-coquins de lui prêter assistance pour subsister dans un monde de brutes médiatiques et d’hypocrites fiscaux.
Pure délire ? Oui, c’est sans doute ce qu’on a pu penser aussi des soucis qu’ont eus en leur temps deux autres ex-ministres cités précédemment… Aujourd’hui, le premier a retrouvé ses millions, le deuxième était encore sénateur voilà moins de deux ans, bien que « mis en cause dans plusieurs affaires politico-financières depuis les années 2000. (Charles Pasqua) a été relaxé dans six d’entre elles et condamné à de la prison avec sursis deux fois. »
À moins, évidemment, qu’on ne retrouve Jérôme Cahuzac « suicidé d’un coup de revolver qui lui serait tiré à bout portant. »(1)
Philippe Henriot, un des grands orateurs politiques du XXe siècle, député, puis secrétaire d’État à l’Information et à la Propagande pendant la guerre, avait écrit quelques lignes qu’il est sans doute bon de rappeler en cette époque fâcheusement semblable à 1934, année de l’Affaire Stavisky qui faillit emporter le régime parlementaire d’alors : « Ah ! qu’il faudrait presque bénir les scandales s’ils avaient servi à nous révéler enfin l’immensité de la tâche et la gravité de nos responsabilités !
Il ne suffit pas d’écrire en tête d’un programme : Autorité. Il faut se souvenir que l’autorité se mérite et que, si, elle s’est perdue chez nous, c’est que ceux-là même qui la détenaient l’ont avilie ; il faut se souvenir qu’il est vain de prétendre l’imposer si l’on n’est pas digne de la faire accepter ; il faut enfin ne pas oublier qu’elle s’éteint faute d’être exercée et que la révolte de ceux qui devraient obéir est souvent la conséquence directe de l’abdication de ceux qui n’ont pas osé commander. »(2)
Notes
1) Allusion au suicide d’Alexandre Stravisky en 1934… Le Canard enchaîné de l’époque titra « Stavisky se suicide d’un coup de revolver qui lui a été tiré à bout portant » ou encore « Stavisky s’est suicidé d’une balle tirée à 3 mètres. Voilà ce que c’est que d’avoir le bras long »..
(2) Les Émeutes du 6 février 1934 et la mort de la Trève (À bas les voleurs !), de Philippe Henriot, présentation de Jean Mabire, éditions Déterna, 2013 (réédition en un seul volume des deux livres Le 6 février et Mort de la trêve)… en vente sur www.francephi.com (http://francephi.com/boutique/les-emeutes-du-6-fevrier-1934-et-la-mort-de-la-treve/
20:51 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Tribune libre : Assez de querelles !
Par Marc Noé*
C’était trop beau ! Cela marchait trop bien ! Frigide Barjot cherche-t-elle maintenant à diviser les opposants au mariage gay ? En vertu de quoi s’arroge-t-elle aujourd’hui le droit de dire qui sont « les gentils » et qui sont « les méchants » dans ceux qui s’opposent à la dénaturation du mariage ?
La mégalomanie est-elle en train de monter à la tête de celle qui, à une époque, travaillait à la communication du RPR et participait à la rédaction des discours de Pasqua ? Alors, pour qui Frigide Barjot -alias Virginie Tellenne, née Virginie Merle- roule-t-elle réellement ? Après plusieurs de ses déclarations, il est effectivement permis de se poser la question.
Elle vient encore d’appeler à une nouvelle manifestation le 26 mai mais, cette fois-ci, en excluant le « Printemps français ». Ce mouvement est à l'origine d'actions médiatiques ces derniers jours comme, par exemple, porter le petit déjeuner à certains élus (voir l’article du 05/04/2013). Il a pour porte-parole Béatrice Bourges (NDLR SN - en médaillon), par ailleurs présidente du Collectif contre le mariage et l’adoption homo qui regroupe 79 associations. Ce qui n’est tout de même pas négligeable… (voir les vidéos en fin d’article - cliquez là).
Déjà, lors de la manifestation du 24 mars à Paris, de nombreux participants avaient été surpris par certains propos de Frigide Barjot, notamment lorsqu’elle évoquait « des fachos qui n’ont rien à voir avec nous » en parlant des personnes dont beaucoup venaient d’être « gazées » par les forces de l’ordre : des Familles, des personnes âgées, des enfants, des élus… et pas nécessairement encartés dans des formations politiques. Beaucoup également n’avaient pas du tout apprécié que, parmi les élus invités à prendre le micro sur la tribune, toutes les tendances politiques soient représentées, de l’UMP à l’extrême gauche en passant par des socialistes, mais pas le Front National –ni les mouvements nationaux/nationalistes- dont les élus étaient pourtant en nombre devant l’estrade.
Récemment encore, comme on lui demandait si le mouvement le « Printemps français » participerait à cette manifestation du 26 mai, Frigide Barjot a répondu: « Certainement pas ! Ils n'ont rien à voir avec nous. Le Printemps français n'existe pas. Nous allons les poursuivre pour vol de pancartes, vol d'affiches, vol de slogan, actes illégitimes et illégaux. Nous ne voulons pas de violence. Nous dénonçons cette violence et les exactions, nous n'avons rien à voir avec les intégristes, ni avec les extrémistes ».
En d’autres termes, pour elle, aller cueillir des élus et leur porter le petit déjeuner à domicile équivaut donc à une « action violente commise par des intégristes et des extrémistes » !... Il est vrai que, pour d’autres commentateurs, le fait que « Printemps français » ait collé des affiches à l’entrée d’une réunion LGBT est déjà qualifié de « saccage de la façade ». Là, on est carrément dans le propos mensonger et la déformation de la réalité. Ça promet.
Finalement, on distingue deux tendances néanmoins complémentaires au sein des opposants au « mariage pour tous » : la tendance Bisounours de Frigide Barjot d’une part et la tendance réaliste avec Béatrice Bourges et le Printemps français d’autre part. D’ailleurs, les médias ne s’y sont pas trompés : pour eux, « les gentils » sont les Bisounours, et « les méchants », les autres… Forcément !
Il serait quand même dommage que la dynamique de mobilisation soit cassée à cause des déclarations immodérées de Frigide Barjot. Les querelles, ça suffit !
* Marc Noé, ancien conseiller général et maire (RPR) de Seine-et-Marne, est directeur du site Le Gaulois cliquez ici
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mercredi, 10 avril 2013
Pour le dimanche 12 mai : ils ont dores et déjà répondu PRESENT !
23:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Chronique de la France asservie et résistante...
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3088 du 5 avril 2013
C’EST une horreur absolue. Ma Christine (Boutin), dont je n’avais plus de nouvelles depuis quelques temps, et qui me faisait sans doute la tête, suite à mes articles dans RIVAROL, a été gazée. Pas à Auschwitz, pas à Buchenwald, non, à Paris, près des Champs-Elysées.
HORREUR ! MA CHRISTINE A ÉTÉ GAZÉE !
Lorsque les forces de l’ordre ont employé des gaz lacrymogènes pour empêcher les manifestants d’accéder aux Champs-Elysées, elle a été victime d’un malaise... Une photo émouvante la montre, gisant à terre. N’écoutant que son courage, elle était en première ligne, lors de la manifestation contre le mariage pour tous, le dimanche des Rameaux. Du coup, elle demande désormais la démission du ministre de l’Intérieur : Elle déclare : « La façon dont la police a traité les manifestants est inacceptable. C’étaient des gens calmes. » D’autres élus de l’UMP, dont Hervé Mariton, mais aussi des enfants et même des bébés, ont été gazés. Et puis, et puis, il y a surtout ma Christine, qui a réussi à survivre, mais qui sans doute en gardera de multiples séquelles, ce qui ne l’arrangera pas. CRS, SS ! Bon, ce n’est pas très sympa de ma part de me moquer d’elle. Elle annonce, convertie à la nécessaire Révolution, que « ça va péter » et que la prochaine fois, même moins nombreux, les manifestants seront là, sans poussettes, sans bébés, afin de mieux résister à la répression du système… Acceptons-en l’augure. En attendant, la Toile se déchaîne avec de multiples parodies amusantes de la scène d’évanouissement de Christine. Mais elle le prend avec humour. Elle est finalement sympa, ma Christine !
FRIGIDE BARJOT EST DÉCIDÉMENT BARJOT
Frigide Barjot n’a rien trouvé de mieux, concernant les incidents en marge de la manif anti-mariage pour tous, où des enfants, des bébés furent gazés par les policiers, que de déclarer que les familles gazées « ont pris la responsabilité d’aller sur une allée interdite ». Cette grande révolutionnaire dénonce devant les caméras du système les skinheads infiltrés dans la manif, et planqués dans les landaus. Elle déclara : « Arrêtons avec les violences, c’est un épiphénomène avec des excités ! » Les “excités” qui défendaient simplement leur droit à s’exprimer ont apprécié. Béatrice Bourges, présidente du « collectif pour l’enfant » regroupant 79 associations familiales, vient de déclarer fort justement : « En se désolidarisant de ces familles qui ont reçu des gaz lacrymogènes, elle a lâché ses troupes. Elle oublie que sans toutes ces associations, Frigide Barjot n’est plus personne. » Les lecteurs de RIVAROL qui ont suivi la manifestation sur BFM TV ont pu apprécier le discours final de la Barjot, appelant à la dispersion. En fait de discours, elle entonna un chant des plus improbables, dont les paroles étaient parfaitement incompréhensibles,
tant elles étaient bafouillées.
UNE HISTOIRE : CELLE DE LA GRENOUILLE
C’est Olivier Clerc, écrivain et philosophe, qui nous raconte ce petit conte, qui a déjà circulé sur Internet, dont le titre est « La grenouille qui ne savait pas qu’elle était cuite ». Un conte digne de Gripari, écrivain évoqué dans la rubrique des « écrivains rebelles ». Une marmite remplie d’eau froide. Une grenouille y nage tranquillement. Le feu est allumé sous la marmite. L’eau chauffe doucement. C’est agréable pour la grenouille. L’eau est tiède : le bonheur. La température continue à monter. Cela n’est pas trop agréable, mais ça va. Houlà, là l’eau devient vraiment chaude ! Cela devient carrément désagréable. La grenouille se sent complètement abrutie et affaiblie. Elle ne bouge plus. Elle va finir par cuire et par mourir. Si la même grenouille avait été plongée directement dans une eau à 50 degrés, elle aurait donné immédiatement le coup de patte qui l’aurait éjecté aussitôt de la marmite. La morale de cette histoire est limpide. Rappelons- nous ce que disait Saint Augustin : « A force de tout voir, on finit par tout supporter. A force de tout supporter, on finit par tout tolérer. A force de tout tolérer, on finit par tout accepter ; A force de tout accepter, on finit par tout approuver… » Et c’est ainsi que notre civilisation est mortelle
LE POISSON D’AVRIL DE CARAMBAR
La plupart des lecteurs de RIVAROL ont été un jour des enfants et connaissent les friandises Carambar. Chaque friandise proposait une blague, qui certes ne volait pas très haut, mais était appréciée des gamins. Or voici que Carambar vient de diffuser un dossier de presse annonçant la fin des mythiques histoires drôles sur l’emballage, supposées être remplacées « à partir du 15 avril par des exercices ludo-éducatifs ». Emoi des journalistes qui ont, à un moment ou un autre, été des enfants, et qui n’avaient sans doute pas d’information plus essentielle à diffuser. Le buzz a été considérable. Toutes les télévisions, les radios, les journaux en ont parlé. Des milliers de fans ont manifesté leur tristesse à coups de pages de protestation sur Facebook et de pétitions sur la toile. Une formidable campagne de pub pour cette PME de 180 salariés. Sauf qu’il s’agissait d’un poisson d’avril élaboré par le service marketing de l’entreprise. Les journalistes victimes du canular, qui adorent se moquer du monde et truquer leurs informations, rient jaune, très jaune, et même, en réalité, ne rient absolument pas. Enfin une blague Carambar drôle !
MÉLENCHON DÉTESTE LES “BLONDS AUX YEUX BLEUS”
Interviewé par une télévision marocaine, il raconte qu’il a vécu ses premières onze années à Tanger, avant de venir s’installer, avec ses parents, en France. Il explique : « Je ne supporte plus de vivre autrement que dans un endroit où les gens sont mélangés. Je ne peux pas survivre là où il n’y a que des blonds aux yeux bleus. C’est au-delà de mes forces. Quand on est arrivés en France, c’était l’horreur pour nous. On a découvert un coin perdu de Normandie, le pays de Caux, où, hélas pour eux, les gens souffraient d’un alcoolisme épouvantable. La France des campagnes était extraordinairement arriérée par rapport au Maroc des villes. Casablanca était une ville plus moderne que Clermont-Ferrand ». Mais pourquoi n’est-il pas resté au Maroc ?
MÉLENCHON DÉTESTE-T-IL AUSSI LES JUIFS ?
Mélenchon, qui est un grand sentimental, vient de déclarer avec humanisme, à propos de Moscovici, le ministre PS de l’économie qui est d’origine juive roumaine : « Il a le comportement de quelqu’un qui ne pense pas français mais qui pense finance internationale. » Mais c’est du Drumont ! Harlem Désir a cru entendre un « vocabulaire des années 1930 ». Emoi considérable.
Mais Mélenchon se défend, déclarant : « La finance internationale a fait son cahier de brouillon en Grèce, elle en fait un deuxième à Chypre, c’est nous les suivants ! » Et Mélenchon de poursuivre : « Et dire cela serait de l’antisémitisme ! Plus aucune discussion n’est possible dans ces conditions ! » Incroyable, nous ne le savions pas… Son bras droit, François Delapierre, a quant à lui expliqué dans son discours de Bordeaux, où sa formation tenait congrès : « Dans les 17 salopards de l’Eurogroupe, il y a un Français : Pierre Moscovici ». En attendant, ce dernier a répliqué vigoureusement : « Non, je ne suis pas un salopard ». Nous voici rassurés.
L’HUMOUR DE BALKANY
Patrick Balkany, le député-maire de Levallois-Perret, qui est le clone de Chirac (même voix, mêmes intonations, et qui eut quelques soucis avec la justice, comme l’ex-président, pour, certes, une broutille : deux ans d’inéligibilité et quinze mois de prison avec sursis), est un personnage assez amusant, dans son genre. Il était récemment face à l’avocat Antoine Gillot, invité de l’émission « Bourdin and co » sur RMC. Il y jugeait “scandaleuse” et « pas dénuée d’arrière-pensées politiques » la mise en examen de Nicolas Sarkozy. L’avocat de l’ex-majordome de la famille Bettencourt s’en était offusqué, déclarant : « Vous avez tout à fait le droit de défendre un copain, mais je trouve inacceptables vos déclarations sur la justice de notre pays. » Réponse de Balkany, dans le brouhaha de la fin de l’émission : « Je vous emmerde ! » Bourdin, l’animateur de l’émission, se réveille d’un long sommeil : « Qui a dit “je vous emmerde” ? » Ce sournois de Balkany répond d’une petite voix : « Ah, pas moi ! J’ai dit “je vous remercie” ». Il faut reconnaître que Patrick Balkany est assez surprenant. Il s’en était pris à Roselyne Bachelot, ancienne ministre et aujourd’hui animatrice, aux côtés de Laurence Ferrari et d’Audrey Pulvar, du « Grand 8 » sur la chaîne D8, déclarant : « Elle n’est pas mise en avantage dans ses robes où elle est boudinée sur son petit banc où on voit toutes ses formes. » Une terrible humiliation pour l’ancienne ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale. Elle avait pourtant fait l’effort de perdre une vingtaine de kilos, l’an dernier. Ça ne suffit pas à ce sadique. Il ose commenter le niveau intellectuel de l’émission : « C’est du babillage, du babillage de petites snobinardes, ça n’a aucun intérêt ». Balkany n’a, certes, pas tort… Mais Bachelot est folle de rage, on se demande pourquoi. Elle dénonce « la vulgarité de Patrick Balkany. C’est le beauf dans toute sa splendeur. A mon avis, il vient d’avoir un repas un peu arrosé. Il n’a pas sucé que des glaçons, le gars ». Audrey Pulvar, bonne copine, vint à la rescousse de Bachelot : « Il s’imagine que lui-même est un éphèbe d’une minceur totale et qu’à côté de lui, Brad Pitt est un cageot. » Finalement, on en vient à apprécier ce beauf caricatural de grande envergure…
ITALIE : “VITE, FUYONS EN ISRAËL” !
La situation est grave. Riccardo Pacifici, président de la communauté juive de Rome, sait de quoi il parle. Il avait déjà dénoncé le mouvement Casa Pound, qui, à l’en croire, constituait « un danger non seulement à Rome, mais dans toute l’Italie et même en Europe. » Et puis, « Und morgen, die ganze Welt (Et demain, la terre entière » ?, comme l’évoque le chant nationaliste allemand ? Et il y a Beppe Grillo, qui dit « que les partis politiques ne sont pas importants ». Commentaire de Pacifici : « c’est exactement ce que disait Hitler avant d’arriver au pouvoir ». Tout en nuances, ces gens-là… Pacifici évoque évidemment les « meurtres de Juifs à Toulouse l’année dernière » et sème la terreur dans les synagogues, déclarant : « Le parti de Grillo est plus dangereux que les fascistes : nous ne savons pas quelles sont les limites. Nous ne connaissons pas la plupart des gens qui sont dans ces mouvements (en d’autres termes : nous ne les contrôlons pas), mais nous savons qu’il y a des extrémistes à la fois de gauche et de droite, des fascistes et des radicaux. »
Et Pacifici d’expliquer que les juifs italiens « doivent commencer à se préparer lentement à émigrer en Israël. » Il paraît que « la population a (encore) du respect pour les Juifs, et qu’il y a des lois contre l’antisémitisme. » Oui, mais cela risque de ne pas durer. D’après le président de la communauté juive d’Italie, « le meilleur est passé ». Pourquoi ? Dans dix ou vingt ans, la démographie aura changé en Europe, du fait de l’immigration musulmane. Mais Pacifici, pas à une contradiction près, tient à souligner que les Juifs sont favorables à l’immigration, déclarant : « En tant que Juifs, à cause de notre mémoire historique, nous devons soutenir l’intégration des immigrés en Italie et dans toute l’Europe. Nous devons tout faire pour les soutenir ». Et voici qu’il se met à pleurnicher : « Mais leur sentiment à l’égard des juifs et des chrétiens n’est pas positif… » Pas longtemps, car dans un immense élan, il déclare : « Pendant de nombreux siècles, nous avons eu de très mauvaises relations avec le Vatican, mais maintenant nous travaillons ensemble pour favoriser l’intégration des musulmans. » Et il ajoute : « Ce n’est qu’en travaillant ensemble que nous pouvons maintenir l’identité juive-chrétienne de l’Europe. » L’identité juive-chrétienne de l’Europe : qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre…
COHN-BENDIT RATTRAPÉ PAR SON PASSÉ
Daniel Cohn-Bendit est un grand démocrate, comme chacun le sait, dans le genre donneur de leçons. Il devait recevoir, en Allemagne, un prix de la Fondation Theodore Heuss, pour couronner « son combat pour la démocratie et les droits fondamentaux. » Il était prévu que le président de la Cour constitutionnelle fédérale allemande lui remette le prix et prononce un discours. Las, ce dernier a refusé. Pourquoi ? D’après son service de presse, « le président ne pouvait associer la Cour de Karlsruhe avec des écrits parlant de la sexualité entre les adultes et les enfants. » Référence au livre de Cohn-Bendit, paru en 1975, Le grand bazar, où l’icône de 1968 racontait : « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. S’ils insistaient, je les caressais. »
12:48 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Gilles Bernheim avoue mais veut rester Grand Rabbin !
Yves Darchicourt
Grand Rabbin il est, Grand Rabbin il veut rester ! C'est que la place doit être bonne et surtout fort satisfaisante pour l'ego. Gilles Bernheim a fini par avouer radiophoniquement n'être pas agrégé de philosophie comme il le laissait dire et - outre d'utiliser les services d'un "nègre" - avoir donné dans le plagiat à répétition. Mais tout cela n'est pas de sa faute, en tous les cas pas entièrement : l'agrégation il ne l'a pas obtenue mais c'est tout comme, il le méritait, le prestigieux diplôme était à portée de main et serait encadré dans son bureau sans un évènement dramatique personnel qui l'a tétanisé; la folie du copier-coller, c'est son nègre ou alors la conséquence malheureuse de sa façon brouillonne de prendre des notes. Il n'y aurait là de plus rien qui puisse mettre en doute sa crédibilité comme haute autorité morale des juifs de France.
Bref rien que du véniel qui ne devrait pas conduire les membres du Consistoire à se couvrir la tête de cendres et à le virer comme un vulgaire bouc émissaire. D'autant qu'il paraît que le diplôme fantôme et la kleptomanie littéraire du Grand Rabbin étaient secrets de Polichinel dans la Communauté comme chez les journalistes... un peu comme la manie de la fraude fiscale chez les politiques ripoublicains !
Politiciens, autorités morales, affairistes, médiacrates...tout un petit monde qui se croyait intouchable et qui commence à tomber de haut. Et cela n'est sans doute pas fini, d'autres non-dits vont sans doute remonter l'information et exploser à l'air libre, un peu comme viennent crever des bulles méphitiques à la surface d'une fosse d'aisance : il est grand temps de vidanger !
12:43 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Jeudi soir, Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, au Local :
08:59 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Europe Identité sera le dimanche 12 mai à Paris pour la grande manifestation contre le mondialisme...
02:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 09 avril 2013
Les morts de Belfast... Eux aussi, ils se battaient pour leur indépendance et leur identité...
16:21 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LIBRAIRIE DUQUESNE (Paris) SAMEDI PROCHAIN :
14:58 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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L'Alsace restera une nation interdite...
José Meidinger
Boulevard Voltaire cliquez ici
Malgré les idées reçues – et elles sont nombreuses –, il fait le plus souvent beau en Alsace et la météo était en ce dimanche l’alliée des adversaires du projet de fusion des assemblées départementales et régionale en un seul et unique Conseil d’Alsace. Certes, le temps printanier n’explique pas, à lui seul, l’échec de ce référendum marqué par une abstention importante qui n’aura pas permis au « oui » d’atteindre le seuil des 25 % des inscrits requis pour la ratification du projet.
Le Haut-Rhin, lui, a carrément dit « non » alors que le Bas-Rhin s’est largement prononcé pour le oui. On en revient au vieux clivage entre Alsaciens du Sud et ceux du Nord, les « sudistes » se méfiant depuis toujours de l’emprise de Strasbourg.
C’est aussi la victoire de Hansi, natif de Colmar, dont l’ultra-patriotisme semble avoir déteint sur le président du conseil général haut-rhinois : tout en ayant appelé à voter oui, il jubilait hier soir devant la victoire du non. Un échec qu’il espérait secrètement pour préserver son duché haut-rhinois…
L’Alsace, comme la Corse il y a dix ans, la Martinique et la Guyane en 2010, comme le Québec en 1980 et en 1995, n’a pas voulu saisir l’occasion de son autonomie face au pouvoir central. La Bretagne, la Normandie, les deux Savoies, qui comptaient sur l’exemple alsacien, en sont pour leurs frais. Le verdict des urnes est un désaveu et une humiliation pour le président du conseil régional d’Alsace, Philippe Richert qui, depuis dix ans, militait pour ce projet.
Quelque part, l’Alsace sera à n’en pas douter la risée de la France. Et les souverainistes de tout poil pourront s’en donner à cœur joie. Annexée en 1648 par la France, l’Alsace restera ce « beau jardin » salué par Louis XIV du haut du col de Saverne. Un beau jardin dont les « mauvaises herbes » régionalistes auront été extirpées.
L’Alsace restera une « nation interdite ».
NDLR SN : lire aussi la réaction du mouvement régionaliste Alsace d'abord cliquez ici
14:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Adieu Madame Thatcher...
Le billet de Patrick Parment
Il est des morts qui sont aussi des libérations. Madame Thatcher, qui vient de mourir, était absente à elle-même depuis 2001, rongée par une terrible maladie. Sa mort permet un retour en arrière, car, par son action, elle a participé du désordre financier mondial que nous connaissons aujourd’hui.
Reste, pour la petite histoire, qu'elle vient grossir la longue liste de ces femmes qui ont marqué l’histoire de l’Angleterre (je vous renvoie à vos livres d’histoire).
Margaret Thatcher, Premier ministre d’un empire déchu de 1979 à 1990, dont le surnom de « dame de fer » lui fut donné par les médias soviétiques, est un paradoxe à elle toute seule. Car, d’un côté, elle a fait de la politique au sens le plus noble et le plus entier du terme (tel que l’entendait Carl Schmitt), quand de l’autre, elle a plongé l’Angleterre dans le marasme en appliquant froidement les principes du libéralisme le plus dur.
Si l’on doit résumer l’action de la dame, quelques mots suffisent : privatisation à tout va, libéralisation des marchés financiers, démantèlement de pans entiers de l’industrie, écrasement des syndicats, intransigeance à l’égard de l’armée irlandaise (IRA) et de l’Europe (d’où ce mot de Chirac : « Elle veut quoi la ménagère ? Mes couilles sur un plateau ? »), et une bien inutile guerre des Malouines au nom d’un nationalisme plutôt mal placé.
Le bilan est donc loin d’être positif. Et l’Angleterre d’aujourd’hui ne s’en porte guère mieux à l’heure où le capitalisme financier continue de faire des ravages. Il y a des leçons qui ne sont pas retenues.
So long, madame Thatcher.
13:22 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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FRIGIDE BARJOT FAIT-ELLE MARCHER LES ANTI MARIAGE POUR TOUS ?
Michel Dantan
Le nouveau NH cliquez ici
Pour Frigide Barjot, l’égérie du mouvement contre le mariage homosexuel, l’UOIF n’a rien à voir avec les FM. « Non, pas proche des Frères Musulmans », a ainsi rétorqué Frigide Barjot sur BFMTV à la journaliste Ruth El Krief (1) qui au lendemain de sa prestation devant les musulmans rassemblés au Bourget à l’appel de l’UOIF, lui faisait remarquer que l’UOIF était proche des Frères Musulmans. A la question posée par la journaliste de savoir si le statut de la femme voilée, qui de surcroît « peut être soumise à une certaine loi rigoriste » la choquait autant que le mariage entre les homosexuels, Frigide Barjot a répondu avoir apprécié l’ambiance qui régnait au Bourget et s’être sentie en parfaite convergence d’opinion avec les discours qui s’y étaient tenus, précisant « Non… Tous les discours allaient dans le même sens qu’en France nous voulons la paix, la sécurité, le vivre ensemble, et ces femmes qui sont voilées aujourd’hui, c’est leur choix,… » , ajoutant, ce qui devrait résonner aux oreilles de ceux qui auront eu l’occasion de l’écouter sur BFMTV, comme un détournement de sens de leur engagement, « à la Manif Pour Tous, nous sommes en train de travailler au-delà de la loi Taubira, à ce que nous retrouvions tous ensemble en France, quelque soient nos origines culturelles, quelque soient nos opinions politiques, une façon de nous respecter et de savoir quel est la place pour chacun… Je vous assure, à l’UOIF, je suis venu délivrer un message de paix, d’accueil et justement de lutte contre l’homophobie… ». Se déclarant ainsi ouvertement favorable à l’avènement du communautarisme en tant que projet de société pour la France, Frigide Barjot est sorti des clous tout en donnant l’impression de se servir de la Manif Pour Tous comme marche pied pour assurer la promotion d’ambitions politiques personnelles. Il n’est pas certain dans ces conditions que les manifestants des 13 janvier et 24 mars se reconnaissent dans ce nouveau message que vient de délivrer la principale porte parole du mouvement contestataire de la Manif Pour Tous.
BFM télé cliquez là
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Tribune libre : Et maintenant ? On plonge dans l’illégalité ?
Jean-Pierre Fabre*
Jamais, le 17 novembre, Frigide Barjot n’aurait pensé réunir 70.000 personnes. Jamais elle n’aurait songé le 13 janvier arriver jusqu’au million. Quant au 24 mars, jamais elle n’aurait imaginé doubler la mise. Chapeau bas, madame, pour avoir conduit la lutte avec autant de ténacité et de courage (même si j’apprécie peu vos réactions du 24).
La question essentielle maintenant est : que faire ?
Elle et les dirigeants de la « Manif pour tous » se trouvent aujourd’hui devant un impératif et un dilemme.
L’impératif, c’est le temps. Celui-ci leur est compté. Il reste moins de deux mois aux organisateurs avant que la loi ne soit votée. Car les socialistes feront tout pour que le mariage pour tous soit adopté aussi vite que les barrages de CRS se sont mis en place sur les Champs. C’est l’État qui tient le sablier et il sait très bien qu’une fois la loi votée, la substance même de la revendication disparaîtra. N’oublions pas que le lobby gay est puissant et bien financé. Or, les socialistes ne peuvent se passer d’une part importante de cet électorat pour les échéances prochaines. De plus, 2013 n’est pas une année d’élection et le gouvernement table sur la « mémoire courte » bien connue des Français pour se refaire dans les sondages.
Le dilemme, maintenant : faut-il une manif respectant la légalité ou tabler sur des occupations et sit-in et basculer alors dans l’illégalité ?
Tordons le cou d’abord à l’idée qu’en payant l’impôt avec un euro de plus ou en modifiant le Livret A, on pourrait changer le cours des événements. De la même manière, de grandes mobilisations régionales fixées au même moment et étendues à tout le territoire n’auront qu’un impact limité dans les médias. Paris reste le seul point amplificateur et les télévisions ne parleront d’actions en province que deux minutes au 20 heures puis s’empresseront de passer à autre chose.
Non, il ne reste que deux cas d’école :
- un nouveau rassemblement dans la légalité en comptant sur le nombre. Mais ceci ne sera que du réchauffé, du déjà vu. Un parcours pédestre de plus ne pourra changer la donne. Le pouvoir fera le dos rond et laissera braire en regardant sa montre.
- une nouvelle manif débouchant sur un sit-in, des occupations puis des heurts et là, nous basculons dans l’illégal. Finie alors la mobilisation des familles et de leurs enfants, fini le million de participants. En revanche, l’impact sera plus fort car il s’appuiera sur l’exaspération actuelle des trois quarts de nos concitoyens. De plus, la répression, si elle est aussi stupide que celle du 24 mars, entraînera une réprobation de la majorité des Français. Tout, alors, sera possible. Dans une telle perspective, notre Jeanne d’Arc — pardon, notre Frigide nationale — risque de se retrouver à l’ombre ou… au gouvernement.
Le printemps sera-t-il chaud ? Frigide va-t-elle ou non franchir le Rubicon ? Nous devrions le savoir très vite.
* J.-P. Fabre Bernadac est ancien officier de Gendarmerie, diplômé de criminologie et de criminalistique.
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Conférence de Synthèse nationale ce soir à Paris :
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lundi, 08 avril 2013
Ce que Cahuzac révèle...
Le billet de Patrick Parment
On va encore nous accuser de faire de l’antiparlementarisme primaire, mais l’affaire Cahuzac montre bien dans quelles turpitudes se vautrent nos élus. Si vous prenez le nombre d’élus mis en examen ces dix dernières années, ça va faire du monde. Et l’affaire des Guérini, dans les Bouches-du-Rhône, ne m’apparaît pas moins importante que celle de Cahuzac.
Certes, me direz-vous, il faut faire le tri, car les juges, comme me le confiait un jour Pierre Mazeaud, ont la mise en examen un peu facile, là où il n’y a pas volonté affichée de mettre la main dans le pot de confiture. Le problème vient surtout du fait que les élus vivent dans une bulle, même quand ils viennent vous baratiner qu’ils sont proches de leurs électeurs. Je ne parle pas des ministres et de leurs entourages, ils naviguent sur le petit nuage d’un éphémère pouvoir.
Certes, si l’on jette un œil sur nos amis députés ou ministres du Nord de l’Europe, on s’aperçoit qu’ils vivent comme les citoyens qu’ils sont, bouffent à la cantine et se déplacent en transports en commun. Au moindre écart, c’est la porte.
Mais voilà, nous sommes une démocratie latine où le président est un monarque et son personnel des petits marquis. En France, on ne s’est jamais remis d’avoir coupé la tête à ce bon roi Louis XVI. Et tous nos zozos socialistes abonnés à la Révolution s’empressent de s’offrir un train de vie d’Ancien Régime. Allez fouiller dans la génétique familiale de nos ministres socialistes et vous serez étonnés de n’y point trouver un seul vrai travailleur de chez Messerschmitt.
Aussi, quand le camarade Hollande laisse entendre qu’il va moraliser tout ça, on se marre illico. Qu’ils commencent, tous ces guignols, par réduire le train de vie de l’Etat. Des économies, on va en faire : reprenez les dix derniers rapports de la Cour des comptes et appliquez. Ce sera déjà un bon début. Ce ne sont pas les idées qui manquent. Ce qui manque dans ce pays, c’est la volonté politique de faire bouger les choses. Je n’ai pas dit de tout bouleverser. Mais d’affirmer une vraie volonté réformatrice. Notamment en direction de l’administration, pléthorique, des banques et de cette Europe bruxelloise qui joue désormais contre les nations. Et de rappeler au passage à la mère Merkel que c’est en Europe d’abord que l’industrie allemande fait son beurre !
L’économie est toute puissante quand la volonté politique est faible. On est passé d’une grande gueule sans effets à un gras double qui se perdrait dans le métro avec le plan dans la main.
Contrairement à ce que pense toute cette nomenklatura d’hier et d’aujourd’hui, le peuple n’est ni sourd, ni aveugle. Et, il se pourrait, comme le disait la mère Boutin, que les prochaines manifs aient lieu sans les gosses et sans les poussettes !
12:30 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Printemps français s'invite chez les LGBT...
Ce dimanche 7 avril, à l’heure du laitier, le Printemps français s’est fait un plaisir d’aller contrarier la LGBT au cœur même de son fief ghettoïsé parisien. Sans arme, ni haine, ni violence.
Notre espérance est dans cette jeunesse de France (et non pas dans l’UOIF). Pour le droit des enfants à avoir un père et une mère, on ne lâchera rien.
Info Altermedia cliquez ici
10:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La Voix de la Russie de cette semaine :
10:14 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Cahuzac, Guérini, politiciens et affairistes... l'UMPS déraille !
Yves Darchicourt
Totale inconscience ou scandaleuse provocation ? On apprend que Jérôme Cahuzac entendrait bien récupérer son siège de député du Lot&Garonne; un siège abandonné à son suppléant dès sa nomination comme ministre et qui lui revient sauf s'il y renonçait. Sans vergogne aucune, le politicien n'envisage pas de renoncer à la manne qui nourrit grassement les élus de la ripoublique même s'il se ferait alors très discret...au point de ne pas mettre les pieds à l'Assemblée Nationale ! Présumé fraudeur fiscal et faussaire, Cahuzac veut maintenant être payé à ne rien foutre aux frais du contribuable !
Il en va de la même inconscience - ou de la même provocation du populaire - pour les 20 députés de l'UMP qui viennent de juger bon de proposer une loi d'amnistie fiscale; et ce au prétexte d'inciter les fraudeurs à rapatrier discrètement et sans risque de retombées fiscales ou judiciaires leurs fonds planqués à l'étranger, des fraudeurs où ils savent sans doute qu'il y a nombre de leurs amis et relations !
Enfin dans le même registre on appréciera le geste de la majorité socialiste du Conseil Général des Bouches du Rhône qui a fait inscrire dans le budget départemental voté le 29 mars dernier la prise en charge des frais de justice de leur président Jean-Noël Guérini dans une affaire de licenciement abusif. Une décision dans le pur style copains-coquins qui fait hurler les contribuables provençaux quand on sait que l'individu, après avoir été mis en examen en septembre 2011 pour "prise illégale d'intérêts, trafic d'influence et recel de trafic, association de malfaiteurs en vue de trafic d'influence et recel de trafic", vient d'être derechef mis en examen pour "détournements de fonds publics" le 05 mars dernier. On ne sait pas trop si les élus départementaux socialistes osent ainsi cracher à la figure des contribuables par pur copinage ou par obéissance apeurée des frères Guérini - le politicien et l'affairiste - lesquels font penser aux frères Volfoni des Tontons Flingueurs, l'humour et le capital de sympathie en moins !
Décidément la ripoublique est fort obstinée dans ses turpitudes, son inconscience, son mépris des humbles et ses provocations envers les vaches à lait de contribuables. Le Peuple a désormais le droit et le devoir de résistance contre un régime discrédité, voire de rebellion ouverte !
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Emmanuel Ratier nous parle de l'affaire Cahuzac :
01:55 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 07 avril 2013
Les Editions Soukha rééditent "A la barre de l'Indochine", les mémoires de l'Amiral Decoux, dernier gouverneur français en Indochine...
Eric Miné
Alors que l’Amiral Jean Decoux était la cible d’un procès « d’épuration » – qui se conclurait par un non-lieu –, le Roi du Cambodge, Norodom Sihanouk, lui écrivit le 20 juin 1946 : « … je dirai avec quelle abnégation vous avez, en Indochine, servi les intérêts supérieurs de la France et avec quelle noblesse de cœur vous avez assuré, pendant quatre ans, la protection des peuples indochinois contre l’ennemi. Je suis certain que justice vous sera rendue et que la France vous considérera comme un des meilleurs parmi ses fils ».
Ainsi va l’Histoire. Selon ses aléas, le héros devient bien vite le « traître » aux yeux d’une opinion désinformée par des intérêts qui la dépassent ou, à tout le moins, est-il « effacé » d’une mémoire qui dérange. L’Amiral Decoux, malheureusement, n’a pas échappé à cette règle.
À la barre de l’Indochine – le récit de son gouvernorat – était introuvable depuis de nombreuses années. Et pourtant… quel témoignage exceptionnel !
D’une écriture élégante et avec un soin extrême des détails, l’Amiral nous explique comment il tint le « navire Indochine » hors de l’eau au milieu de la tempête de la Seconde Guerre mondiale. Il nous décrit l’enchaînement des événements et les défis qui s’amoncellent, auxquels il doit faire face avec pour unique objectif l’accomplissement de sa mission : maintenir l’Indochine dans le giron français.
Mais la portée de son action va bien au-delà. L’énergie de Jean Decoux était aussi tendue pour construire les fondations profondes d’un avenir commun librement décidé entre la France, les royaumes du Laos et du Cambodge, et le « Vietnam ». L’Amiral Decoux fut ainsi le premier haut responsable français à employer le mot Vietnam pour ce qu’on nommait encore le Tonkin, l’Annam et la Cochinchine.
Le coup de force nippon du 9 mars 1945 et ses funestes conséquences fracasseront l’espoir de l’Amiral d’une indépendance pacifique de ces pays en association avec la France. Toujours est-il qu’À la barre de l’Indochine pose clairement les bases de ce que pourraient encore être demain ces rapports fraternels et privilégiés avec des peuples qui nous sont si proches à tant d’égards. Si nous voulions bien un jour assumer aussi les bienfaits de notre histoire coloniale…
En ce sens, À la barre de l’Indochine n’est pas seulement un extraordinaire document historique. Il est aussi un livre terriblement actuel.
A la barre de l'Indochine, Amiral Jean Decoux, édition Soukha, 2013, présenté par Eric Miné et préfacé par Jacques Decoux, 21,00 €. Plus d'infos cliquez ici
13:25 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Les politiciens ne sont que des parasites !
Sylvain Banducci
Boulevard Voltaire cliquez ici
Le système parlementaire actuel a atteint ses limites. La quasi-totalité des « élites » de la politique, de la finance, de l’économie ou des médias sortent des mêmes écoles, se fréquentent, se mélangent et se cooptent entre elles.
Il serait d’ailleurs amusant de faire la liste des unions entre ces trois castes qui n’en forment qu’une… Untel, politique a épousé un(e) journaliste, untel, financier a épousé un(e) politique, etc. Il y a donc forcément conflit d’intérêts. Ceux-là même qui sont censés nous représenter ne représentent désormais plus qu’eux-mêmes, leur caste et leurs privilèges.
Pas étonnant qu’il y ait un tel décalage entre la souffrance d’un peuple et les déclarations des politiques, le lavage de cerveau médiatique et les actions des financiers.
Dès lors, un tel système représentatif est faussé et n’est plus à même de gouverner un peuple. Il est donc temps d’en changer. Avons-nous encore besoin de représentants ? Ne sommes-nous pas à même de prendre notre destin en main ? Sommes-nous incapables de prendre de bonnes décisions (et parfois, de mauvaises) ? Sommes-nous des enfants incapables d’assumer nos choix, bons ou mauvais ?
Et si la solution était une démocratie directe, à la mode helvétique, avec ses référendums d’initiative populaire qui peuvent intervenir pour tous les aspects de la res publica ?
Cela signifiera, à terme, la fin d’une profession parasite : le métier de politique.
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Dimanche 12 mai, 10 h, Paris : MOBILISATION !
01:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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République bananière : la fête continue...
Le Billet de
Patrick Parment
L’affaire Cahuzac ne peut étonner que les naïfs ou les gogos pour la bonne raison que c’est le système lui-même qui se charge d’instruire les escrocs. Et puis, à côté des casseroles de Chirac, Cahuzac est un gagne petit et ne fait jamais partie que de la longue liste des élus pris la main dans le sac, toujours en liberté quand ils ne sont pas carrément réélus.
Tenez, en ce moment, ça chauffe pour Jean-Noël Guérini, toujours président du conseil général des Bouches-du-Rhône – ce qui est quand même un comble – qui a, semble-t-il, largement servi ses intérêts mais aussi – et grassement – ceux de son frangin. Hormis un Montebourg, personne ne l’a sommé de démissionner, surtout pas la rue de Solférino et encore moins la mère Aubry dont il avait servi les intérêts quand elle dirigeait le parti.
Combien d’élus, arrivés avec une valise en carton sont repartis avec un joli patrimoine ?
Le côté marrant de l’affaire Cahuzac, c’est qu’il était aux finances depuis longtemps et qu’il donnait des leçons de bonne conduite à tout le monde alors qu’il n’était jamais qu’un petit escroc (le mot est un mot fort, car après tout, c'était son pognon qu'il planquait) parmi d’autres. Et Hollande qui nous joue les vierges effarouchées ! Lui aussi, parti de rien et qui n’a jamais bossé d’ailleurs, est à la tête d’un joli patrimoine (avec Ségolène, il est vrai, autre branleuse professionnelle). Sur le fond, c’est le système qui veut ça puisqu’en démocratie, on sert d’abord son clan et que l’on profite du pouvoir pour le faire prospérer. Les intérêts de la nation viennent après. Fatal donc que les mecs mettent les deux mains dans le pot de confiture. Ledit pot qui n’est jamais que la cagnotte du contribuable.
Pas étonnant, dès lors, qu’ils veuillent tous faire de la politique, c’est quand même moins fatigant que de bosser à Florange. Le problème est que cette classe politique est un repère d’incompétents, surtout depuis que ces couilles molles d’énarques s’en sont mêlées. Tout ce petit monde a perdu ses repaires.
Quelle vision a le sieur Hollande de la France, de l’Europe, du monde ? Aucune. Est-il au fait des problèmes des Français en matière d’insécurité, d’immigration ? Guère plus. En revanche, il s’amuse à foutre le bazar dans la société avec son mariage pour tous, d’envoyer valdinguer le socialisme (paraît que ça existe quand même) pour donner à fond dans l’américano-libéralisme. L’avenir ? Quel avenir ? Quel avenir quand, comme sous Chirac ou Sarko, on ne fait que coller des rustines en espérant, bon an mal an, que le système tiendra encore un bon bout de temps faute d'avoir d’autres solutions à proposer.
La seule annonce qui nous a bien fait rigoler, c’est l’application de la taxe de 75% aux footeux dont on espère qu’ils vont tous se barrer. On n’a rien à foutre de cette bande de débiles au QI James bondesque (007).
Que pourrait-on inventer qui fasse se barrer la classe politique ?
01:39 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Affaire du grand rabbin Bernheim : une autorité morale à l'image de la ripoublique !
Yves Darchicourt
Décidément dans notre belle ripoublique on ne sait plus à quel saint se vouer... si l'on ose dire ! Dans la foulée de l'affaire Cahuzac, voilà maintenant qu' une "grande autorité morale" est convaincue de basses et éhontées menteries.
Il y a peu, Gilles Bernheim - la plus haute autorité religieuse de la communauté juive de France depuis son élection comme Grand Rabbin en juin 2008 - avait fini par avouer avoir utilisé les services d'un "étudiant" lors de la rédaction de son livre " 40 méditations juives " et d'avoir donné - ou d'avoir laissé donné - amplement et grossièrement dans le plagiat (sur au moins quatre auteurs identifiés comme révélé sur Archéologie du Copié-Collé cliquez ici) : c’est la seule et unique fois que je me suis livré à un tel arrangement, dans un contexte, en 2011, où ma charge de travail et mes obligations ne me permettaient pas de porter toute l’attention nécessaire à la rédaction d’un livre avait déclaré l'homme - les yeux dans les yeux comme n'importe quel Cahuzac - pour se justifier.
Et voilà que maintenant, outre de forts soupçons de plagiat aussi pour la rédaction d'un ouvrage antérieur " Le souci des autres au fondement de la loi juive ", on découvre que le rabbin Bernheim n'a jamais été agrégé de philosophie comme mentionné sur quasiment toutes les biographies qui le concernent, sur le site de son éditeur, dans des articles de presse et notamment dans le communiqué annonçant la sortie des ses "40 méditations juives", dans le Who's who (où les notices sont rédigées et actualisées chaque année par les intéressés eux-mêmes) et à 2 reprises dans l'allocution de Nicolas Sarkozy lorsqu'il lui a épinglé sa légion d'honneur en mars 2010. Bernheim, qui certes n'a pas fait figurer le diplôme sur son site internet, se serait contenté de continuellement mentir par omission à ce sujet !
Il est fort probable que le Gaulois moyen se contrefiche des menteries de Bernheim, on notera simplement que c'est en général ce genre d'autorité "morale" qui se permet de juger, critiquer voire condamner les comportements, les opinions ou les pensées des Français dès lors qu'ils s'éloignent un tant soit peu du politiquement correct. Elles sont belles les autorités morales de la ripoublique !
01:28 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 06 avril 2013
Salut Public : le numéro d'avril (cliquez sur l'image)...
13:09 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le vautour de Bruxelles lorgne sur notre fric...
Eric Miné
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À Chypre, une vieille légende affirme qu’une main céleste arracha le haut d’une montagne de l’île pour le jeter à la mer, et que de l’écume projetée sur l’océan par la chute de cet énorme rocher naquit Aphrodite, la déesse de l’Amour.
Difficile de dire si l’amour prévaut toujours chez nos amis chypriotes, mais on peut prétendre sans trop se tromper que cette noble inclination est fort éloignée du sentiment qu’ils nourrissent dorénavant envers leurs partenaires européens.
« Nous n’avons plus d’amis en Europe », clamait récemment un homme d’affaires lésé sur France 2. Six ans pourtant que la moitié hellénique de l’île s’est mariée à l’euro. On dirait que les noces de Chypre tournent là-bas au vinaigre !
Notons que l’ingrat qui s’exprimait ainsi semblait plutôt d’aspect local, et qu’on aurait été bien en peine d’en établir quelque filiation avec le mafieux russe, paraît-il omniprésent à Chypre et dont on nous rebat les oreilles sur les ondes. Vous savez, ce grossier blanchisseur qui pollue de ses pattes grasses la belle lessiveuse high-tech des petits amis de Goldman Sachs, la géniale entreprise qui, avec ses Draghi et autres franchisés, lave plus blanc que blanc aux fins louables de nous rendre transparents. Transparents comme le vent qu’ils troquent contre le fruit du travail des Européens, sans doute.
Mais depuis que le tabou de la sécurité des avoirs bancaires a été levé, le vent vire maintenant à la tempête et l’écume du rocher de Chypre au tsunami.
Dans la même séquence de France 2, une brave insulaire se révoltait : « Je ne vais plus mettre un sou en banque, je n’ai plus confiance. » Las, il apparaîtrait que la bonne dame sur sa moitié d’île ne soit pas la seule à remâcher cette vilaine pensée. Rien qu’en France, 40 % de nos compatriotes sont déjà convaincus qu’on fondra sur leurs économies si la situation venait à s’aggraver. Et comme pour enfoncer le clou, le président de l’Eurogroupe, monsieur Dijsselbloem, s’applique à bien nous faire comprendre que la ponction directe sur les comptes des particuliers est un modèle à suivre pour les prochaines crises. Il est vrai qu’il s’est depuis rétracté et qu’on l’appelle maintenant « Dijssel-bourdes ».
Car c’est bien beau de fourguer son vent contre la dette des États. D’aucuns, parmi les petits génies de notre nouvelle hyper-classe, semblent se dire que la solvabilité de ces entités autrefois nationales commence sérieusement à battre de l’aile. Alors que le pactole qu’ils ont là sous leur nez, dispo, le vrai argent des Européens, ça pèse. Et pour ces prédateurs qui ratissent en meute, il y a belle lurette qu’ils savent que leur mauvaise monnaie chasse la bonne, celle des autres. Leur rabatteur stipendié ne leur ménagera pas non plus son aide, Marine Le Pen très lucidement nous met en garde : « Le vautour de Bruxelles lorgne désormais ouvertement sur l’épargne. »
Car l’épargne française est à portée de leurs griffes. Vous avez déjà essayé de vivre en France sans compte bancaire ? Dans la nasse donc, jusqu’au dernier picaillon. Suffit de remonter les casiers.
Mais le Président lui-même vient encore de nous le répéter : les avoirs en Europe sont garantis jusqu’à 100.000 euros ! Croix de bois, croix de fer…
Allo… Il y a encore quelqu’un ici qui croit en la parole de nos dirigeants ? Les premiers intéressés peut-être ? Avec tout cet argent qui n’existe pas se baladant vers Singapour, on finirait presque par avoir des doutes. Singapour, le temple de la finance internationale, pas un mauvais choix somme toute. Tant qu’à vivre la grande bastonnade qui s’annonce, autant être du côté du manche.
Ou alors, on la joue comme Depardieu. On place tout en roubles, on change en euros quand on a des petits achats à faire, par bonnes liasses de 15.000 parce qu’on est non-résident, on fait la nique aux banquiers, et le manche… on ne vous dira pas ce que Gégé pourrait en faire.
12:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un sénateur mahorais pro "mariage homo" courroucé par Civitas!
Yves Darchicourt
Thani Mohamed Soilihi - sénateur socialiste de Mayotte et partisan du mariage homo - s'est indigné à la tribune sénatoriale de l'intitiative prise par Civitas d'organiser des prières publiques aux abords du Palais du Luxembourg dans le cadre de la confrontation citoyenne sur la loi Taubira au prétexte qu'en France le principe de laïcité s'opposerait aux manifestations religieuses publiques de ce genre.
L'homme est un sommaire et pour réfutation de ses arguments il suffira d'inviter à consulter l'article excellent de Jean de Rouen sur Contre-Info.com et qui tacle le politicien d'importante (cliquez ici). On se contentera ici de lui rappeler que s'il est l'un des deux sénateurs de Mayotte (avec son congénère Abdourahamane Soilihi de l'UMP) c'est parce que la population de l'archipel a été consultée à trois reprises (1974 puis 1976 pour rester dans le giron de la France et 2009 pour que Mayotte devienne un département français) sans que les français eux puissent donner leur avis et l'exprimer par un vote.
Quant on sait que Mayotte est un gouffre financier pour la France, qu'elle est fortement islamisée et qu'elle compte plus de 30% d'immigrés clandestins (essentiellement comoriens), on peut penser que nombre de nos compatriotes ne verraient pas le définitif largage des amarres d'un mauvais oeil. Mayotte devenue indépendante ou rattachée à l'Union des Comores permettrait alors à Thani Mohamed de s'occuper de son île et de ses habitants au lieu de venir gloser à Paris et aux frais du contribuable sur des manifestations civilisationnelles qui lui sont étrangères.
10:59 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dimanche 21 avril : la Catalogne fête la Sant Jordi
Infos complémentaires cliquez ici
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Dimanche soir sur Méridien zéro :
Méridien zéro RBN cliquez ici
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