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mercredi, 27 mars 2013

Les "Chroniques radioactives" de Charles-Henri d'Elloy...

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Depuis plusieurs années, Charles-Henri d’Elloy déclame ses chroniques sur Radio Courtoisie, en particulier dans l'émission de Martial Bild.

Ecrit dans un style percutant et limpide, cet ouvrage contient un ensemble de textes sur des sujets variés traités avec ironie mais non dénués de convictions.

« J’irai cracher sur vos tongs », « A quoi sert l’Histoire ? » « L’homme de droite », « Illustration et défense du Parisien », « L’éloge de l’immobilité », « Apologie de l’uniforme » ou « Requiescat in pace » sont autant de textes qui ont marqué les auditeurs.

Chroniques radioactives, Editions Godefroy de Bouillon,172 pages,17,50 €.

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Débordements de la manif pour tous : ce que j'ai vu...

Mautin-Matthieu.jpgMatthieu Mautin

Délégué départemental du Parti de la France en Mayenne

Je compte personnellement parmi les 98 interpellés de la manif pour tous de dimanche. J’ai été retenu d’environ 16h à 20h35. Durant ces quelques heures, j’ai dû décliner trois fois mon identité mais on ne m’a signifié à aucun moment les faits qui m’étaient reprochés. Mes compagnons d’infortune étaient pour la plupart dans le même flou que moi : De braves manifestant qui s’étaient retrouvés pris au piège d’un cordon de sécurité qui craque et se referme. Hommes de tous âges et de toutes conditions sociales, paisibles et parfaitement courtois. Notre seule inquiétude à vrai dire était de savoir à quelle heure nous serions relâchés. Les policiers nous rassuraient sur ce sujet : « Ne vous en faites pas, nous ne vous garderons pas longtemps ». Pour ma part, j’ai parié qu’on ne nous relâcherait pas avant 20h pour pouvoir annoncer de nombreuses interpellations au JT. Cela n’a pas loupé : Un peu après 20h30, nous avons été relâchés sans même avoir été entendus. Seuls quelques-uns sont restés en garde à vue pour des faits sans gravité dont plusieurs mineurs.

A l’évidence, les gendarmes et policiers étaient tendus de se voir pareillement débordés, mais ils étaient sans aucune inquiétude quant à la réelle violence des personnes qu’ils avaient en face d’eux. Ce n’en était que plus frustrant d’être ainsi enfermés plutôt que d’être encore dans la rue, mais nous y retournerons.

Voilà ce que j'ai vécu et vu dimanche, loin des mensonges de monsieur Valls et des fantasmes de madame Barjot.

12:20 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 7 avril prochain, l'Alsace vote pour son avenir...

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Entretien avec Jacques Cordonnier, Président d'Alsace d'abord :

Le 7 avril prochain, un référendum d’initiative locale aura lieu dans les deux départements alsaciens, dans la perspective de fusionner le Conseil régional d’Alsace et les Conseils généraux du Haut-Rhin et du Bas-Rhin. Jacques Cordonnier, le mouvement régionaliste Alsace d’Abord que vous présidez est fortement engagé en faveur du Oui dans le campagne référendaire. Pourquoi ?

Parce que le projet de fusion des hautes collectivités alsaciennes et de créer un Conseil unique d’Alsace a été imaginé et conçu dès 1989 par le mouvement Alsace d’Abord. Avec Robert Spieler - avec qui j’ai fondé le mouvement et qui en a été le président jusqu’en 2008 – nous avions eu très tôt la conviction que la prospérité et le rayonnement de l’Alsace, la sauvegarde de ses particularismes et son développement économique passeraient nécessairement par une réforme institutionnelle. Nous défendions l’idée, audacieuse à l’époque, qu’une telle réforme pouvait très bien n’être conduite qu’en Alsace et ne pas s’appliquer à toutes les régions de France, dès lors que les autres régions de France n’en voulaient peut-être pas encore.

Pourquoi l’Alsace devrait-elle avoir un statut différent des autres régions ?

L’Alsace a une tradition régionaliste très ancienne. Elle est certes la plus petite région française, mais c’est une région frontalière à forte identité, ballotée pendant des siècles entre des autorités tutélaires différentes. Notre identité se fonde sur notre double culture, française et alémanique, héritage d’une histoire mouvementée. Les Alsaciens demeurent très attachés à leurs spécificités. En dépit des multiples tentatives de l’État de franciser à tout prix cette région des marches de l’Est, l’Alsace a su conserver presque intact son droit local. La « chance » de l’Alsace fut qu’elle ne fut pas française quand le petit  «  Père Combes » imposa en 1905 la séparation de l’Eglise et de l’Etat. En 1919, la France victorieuse voulut remettre en cause ce statut. La révolte fut telle, et développa tant les mouvements autonomistes, que le Régime recula. Ce droit local, qui fait partie du patrimoine alsacien, est régulièrement l’objet de remises en cause par le pouvoir central. Qu’il s’agisse du livre foncier, du régime local d’assurance-maladie, de la réglementation spécifique de l’apprentissage, du statut concordataire des cultes, des instances prud’homales paritaires, de l’organisation mutualiste de l’épargne et de bien d’autres domaines, notre droit local a fait la preuve de sa supériorité sur le régime commun.

C’est ce statut particulier que nous entendons préserver et renforcer. Quand les Alsaciens parleront d’une seule voix, nous serons plus à même de demander d’autres transferts de compétences et de ressources de l’État vers la Région. De même, l’Alsace deviendra plus crédible vis-à-vis de nos puissants voisins du Bade-Wurtemberg ou de Bâle lorsqu’il s’agira de coopération transfrontalière.

Votre projet date de 1989 ; comment se fait-il qu’il ait fallu attendre si longtemps pour voir les choses enfin se décanter ?

Avec Robert Spieler et les autres élus de notre mouvement, nous nous battions inlassablement au sein du Conseil régional pour faire progresser l’idée du Conseil unique d’Alsace. Mais nous nous sommes toujours heurtés aux réflexes jacobins et « républicains » aussi vivaces chez les élus de droite que de gauche. Il faut dire que les grands partis nationaux, UMP, PS, mais aussi FN, ne favorisaient pas, chez leurs élus et leurs dirigeants, l’éclosion d’idées nouvelles qui auraient pu remettre en cause le centralisme et le jacobinisme « républicain » dont la plupart des régions s’accommodaient. Élection après élection, nous placions le projet de fusion au cœur des campagnes électorales, et c’est ainsi que chez les électeurs, au bout de vingt ans, l’idée a fait son chemin.

Cette fusion, et la création du Conseil d’Alsace, suffiront-elles à endiguer les effets de la crise qui touchent l’Alsace autant que le reste du pays ?

Le Conseil unique d’Alsace sera un formidable outil pour mettre progressivement en œuvre des décisions prises par les Alsaciens, pour les Alsaciens. Mais il faudra encore l’améliorer, car le projet tel qu’il est présenté aux électeurs est imparfait et incomplet. Les responsables UMP prétendent vouloir simplifier le mille-feuille administratif, mais ils ont concocté une usine à gaz peu compréhensible. On sent bien que le projet est le produit d’âpres marchandages entre Haut-Rhinois et Bas-Rhinois, entre Strasbourgeois et non-Strasbourgeois, entre citadins et ruraux. Médiocrité, quand tu nous tiens… Mais je ne boude pas mon plaisir ; mieux vaut une fusion incomplète que pas de fusion du tout. L’occasion qui se présente est historique. Si nous ratons cette fenêtre de tir, il n’y aura plus de possibilité de créer le Conseil d’Alsace avant cinquante ans ou plus.

Ne craignez-vous pas que ce référendum en Alsace soit une réplique du référendum local du 6 juillet 2003 en Corse, où le Non l’a emporté ?

Non, les deux référendums sont bien différents. Le référendum en Corse a été conçu et organisé par le centralisme parisien, ce qui a quelque peu énervé les Corses. De même que pour tous les référendums organisés dans les DOM-TOM par le passé. Le référendum du 7 avril 2013 en Alsace a été quant à lui, voulu, imaginé et préparé par les Alsaciens. C’est d’ailleurs une grande première. C’est la première fois dans l’histoire de France que les habitants d’une région vont être consultés, à leur demande, sur leur avenir institutionnel. Les Alsaciens pourront prendre leur destin en mains.

Vous avez donc toutes les raisons d’êtes satisfait. Ce référendum sera probablement une simple formalité ?

Non, rien n’est joué. Le Oui, pour l’emporter, doit satisfaire à deux conditions : faire plus de 50 % des suffrages exprimés, mais le Oui doit aussi atteindre 25 % des électeurs inscrits dans chaque département. Or comme chacun le sait, l’abstention n’a fait que progresser au cours des dernières décennies. En outre, il s’agira là d’une consultation uniquement régionale, ce qui veut dire que les grandes chaînes de télévision et la presse nationale n’en parleront pas, ou très peu. Sachant que les présidents UMP des Conseils généraux vont perdre leur siège de président, vous pensez bien qu’ils font campagne à reculons. Quant aux conseillers UMP et PS de base, généraux ou régionaux, ils craignent confusément de perdre leurs prébendes ; ils ne sont donc pas très actifs sur le terrain. Les élus du Front National, eux, font carrément campagne pour le Non, mettant en garde contre le morcellement de la République issue du siècle des Lumières… Ils aiment, ils adorent les valeurs de la République… Ils rejoignent ainsi dans le camp des jacobins, les militants du Front de gauche, du NPA, d’une partie du PS et les Libres penseurs francs-maçons qui n’ont jamais supporté la survie du Concordat en terre alsacienne. C‘est navrant, mais aujourd’hui le Front national est devenu le meilleur défenseur des idées de la Révolution française et des idées jacobines en Alsace. Navrant, vraiment navrant…

Mais le référendum ne peut-il pas permettre de donner la parole au peuple ?  

Soyons lucides : Les Français n’ont pas la pratique ni l’habitude du référendum ou de la votation. De sorte que, lorsqu’ils sont enfin consultés, ils ne répondent pas à la question posée mais se livrent plutôt à un vote sanction, un vote de mauvaise humeur. Et en cette période de crise, les gens ont quelques raisons d’être de mauvaise humeur. Les responsables UMP seraient bien inspirés d’y penser et de détourner cette mauvaise humeur contre l’État socialiste. Mais ils n’osent pas, tant ils sont formatés pour s’incliner devant tout ce qui vient de Paris. Le mouvement régionaliste mène activement campagne, surtout dans le Haut-Rhin où l’on a agité depuis plus de trois ans le chiffon rouge de la domination strasbourgeoise. La domination strasbourgeoise ! Mais, que voulez-vous. Il est bien connu que les nains défendent leur pré carré. Ceci est vraiment profondément misérable et digne d’un nanisme cosmoplanétaire…

Ce sera sans doute difficile, mais j’ai la conviction que les Alsaciens choisiront de voter Oui. Oui à l’Alsace alsacienne, à la France française et à l’Europe européenne…

Un Parlement alsacien?

Quand il y a vingt-cinq ans nous demandions la création du Conseil d’Alsace, on nous traitait de fous. Il ne faut donc pas s’effrayer quand nous prédisons que dans quelques années, l’Alsace aura son Parlement. Dès aujourd’hui, nous devons demander des pouvoirs organiques et réglementaires afin d’obtenir sans délai la responsabilité du droit local, de sa sauvegarde et de sa modernisation. L’Alsace doit devenir maîtresse dans les domaines où son talent lui permettra de s’exprimer mieux, moins cher, plus efficacement que l’État. L’Alsace doit tirer le meilleur parti de sa situation dans l’espace rhénan et développer des relations étroites de partenariat avec ses voisins de la Suisse alémanique, du pays de Bade et du Sud-Palatinat.

Tout cela sera facilité avec l’installation du Conseil d’Alsace et la mise en œuvre d’un projet moderne de vraie décentralisation. La victoire du Oui le 7 avril prochain sera la victoire des Alsaciens et la chance de notre région.

Mais quand vous évoquez un Parlement alsacien, n’êtes-vous pas en pleine démarche indépendantiste ?

Ceci est une plaisanterie. L’Alsace est et restera française et européenne. Il n’est pas question pour nous de revendiquer une quelconque indépendance, idée ridicule, qui n’a aucun sens dans le cadre de la réflexion européenne et nationale qui est la nôtre. Il est consternant d’entendre des représentants de mouvements dits nationaux ou nationalistes reprendre les antiennes du jacobinisme révolutionnaire. Les meilleurs défenseurs de la Révolution française ne sont pas Mélenchon ni Buffet, mais Marine Le Pen et le Front national. Désespérant… Pardonnez-moi : Mais dire « merde » aux énarques parisien arrogants, ce n’est pas dire « merde » à la France.

Cet entretien a été publié dans Rivarol de la semaine dernière cliquez ici

Site d'Alsace d'abord cliquez là

12:09 Publié dans Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lille : Robert Ménard en liberté… surveillée !

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Robert Ménard n’est pas persona grata à la Skema, l’école de commerce de Lille. Alors que le cofondateur de Boulevard Voltaire devait y tenir, mardi 26 mars au soir, une conférence sur le thème de la liberté de la presse en France, la directrice du campus, Isabelle Morvan, a prévenu in extremis les organisateurs qu’ils devaient chercher ailleurs une autre salle.

La raison – ou le prétexte – de cette volte-face ? « Des appels de protestation », « des appels plus insistants » de personnes « qui disaient vouloir nous alerter sur des dérives sectaires probables », a déclaré Isabelle Morvan.

« Dérives sectaires » ? On ignorait que l’esprit voltairien de l’ancien président de Reporters sans frontières était justiciable de la Miviludes, cet organisme officiel chargé d’identifier et de dénoncer les adorateurs de Satan et autres lucifériens dangereux. Ce n’est donc pas seulement sur les ondes et les plateaux de France Inter que l’on s’emploie, sous la tutelle de Patrick Cohen, à traquer et à chasser les « cerveaux malades »

Plus sérieusement, on ne peut que regretter que la direction de la Skema ait cédé à la pression de censeurs anonymes alors même qu’elle avait donné son accord, connaissant le nom de l’intervenant, les organisateurs (le Cercle bourguignon a déjà tenu une conférence dans cette école) et le sujet retenu. La seule liberté que l’on enseigne à l’École de Lille serait-elle celle du commerce ?

L’histoire, heureusement, ne s’arrête pas là. Une autre salle a été trouvée. Robert Ménard pourra s’y exprimer. En toute liberté.

Source Boulevard Voltaire cliquez ici

09:19 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Retenez cette date : mardi 9 avril, 19 h 30, Paris, conférence de Synthèse nationale...

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Retenez la date, invitation sur demande :

synthesenationale@club-internet.fr

 

Autres dates à retenir :

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On en reparle...

09:18 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 26 mars 2013

Conférence de Gabriele Adinolfi et de Alain Soral à Nice le 10 mars dernier :

 

 

23:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante...

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RIVAROL

N° 3086 du 22 mars 2013

PÉPÈRE s’en était allé sur les routes de France et de Bourgogne. Histoire de redorer quelque peu son blason fort défraîchi, ces derniers temps. Il prétendait vouloir prendre le pouls des Français. Il a été servi...

 

PÉPÈRE FAIT UN FLOP

 

Comme nous le savons, “Pépère” est le surnom qui lui est donné par certains de ses collaborateurs élyséens. Dans un discours en Côte-d’Or, il a pris le costume de Monsieur « petites blagues » en évoquant l’éradication de la tuberculose bovine. Dans la salle, un participant lui avait suggéré d’éradiquer aussi les “blaireaux”. Le “blaireau” est, selon le dictionnaire un « individu conformiste, borné, niais. » Hollande a réagi avec cette réplique qui se voulait pleine d’humour : « Oui les blaireaux aussi, mais ça, il n’y a pas qu’ici, c’est une charge nationale ». Hollande ne croit pas si bien dire. Des blaireaux, il y en a même au sommet de l’État... En visite à Dijon, il a eu droit à un bain de foule entaché par plusieurs incidents. L’une des personnes présentes s’est montrée virulente, l’apostrophant : « Elles sont où vos promesses, monsieur Hollande. Elles sont où ? », avant d’être expulsé sans ménagement par le service d’ordre. Une femme, à qui Hollande proposait de poser à ses côtés lui a dit : « Non, pas de photo, On vous voit assez à la télé. » Un peu plus tard, une femme l’a apostrophé pour lui expliquer qu’elle n’appréciait pas Valérie Trierweiler, ajoutant : « Ne vous mariez pas, on ne l’aime pas en France ! » Hollande était paraît-il

quelque peu gêné…

 

PÉPÈRE ET SA NOUVELLE MAÎTRESSE

 

Selon des informations qui semblent sérieuses, Hollande aurait une nouvelle maîtresse. Elle s’appelle Julie Gayet et est une actrice de cinéma et de télévision, de 18 ans sa cadette. C’est le conseiller, chargé de la communication, de la stratégie et de la coordination avec Matignon, le journaliste Claude Sérillon qui bavarde quelque peu inconsidérément dans les dîners parisiens, qui le raconte : « C’est Valérie Trierweiler qui va être contente. Julie et François se sont connus pendant sa campagne électorale, mais hélas, ils ne peuvent pas se voir beaucoup parce que Valérie Trierweiler est très jalouse. » Pas sûr que Sérillon fasse de vieux os dans sa fonction… Paul Valéry disait qu’il y a trois sortes de femmes : les emmerdantes, les emmerdeuses et les emmerderesses. Tout le monde sait à quelles catégories appartiennent Ségolène Royal et le rottweiler. Pour ce qui est de Julie Gayet, attendons un peu.

 

VICTORIN LUREL, UN SACRÉ OISEAU

 

Personne ne connaissait Victorin Lurel, ministre de l’Outre-mer, ancien président du conseil régional de Guadeloupe et député de la Guadeloupe depuis 2002. Tout le monde le connaît aujourd’hui, du moins dans les milieux politiques et dans les media. Chargé de représenter la France aux obsèques d’Hugo Chavez, il a fait fort, très fort. Il a tout d’abord osé une comparaison politique des plus audacieuses : « Toute choses égales par ailleurs, Chavez, c’est De Gaulle plus Léon Blum », ajoutant : « Moi, je dis, et ça pourra m’être reproché, que le monde gagnerait à avoir beaucoup de dictateurs comme Hugo Chavez […] Il a pendant ces 14 ans respecté les droits de l’homme. » Rien que cela... Cette puissante pensée a fait bondir les associations de défense des droits de l’homme qui n’ont jamais reconnu Chavez comme un modèle de démocrate. Qu’à cela ne tienne. Lurel ne s’arrête pas en si bon chemin. Il a aussi des compétences en thanatopraxie (embaumement des corps). Impressionné par la préparation du corps, il a déclaré : « On avait l’impression qu’il y avait là une sorte d’opération, je pèse mes mots, de sanctification. » Pris dans son élan, il a ajouté : « Il était tout mignon, frais, apaisé comme peuvent l’être les traits de quelqu’un de mort, on avait un Hugo Chavez pas joufflu comme on le voyait après sa maladie. » L’opposition toussote, mais assez discrètement. Curieusement, c’est Mélenchon qui a dégainé et sulfaté à tout-va le pauvre Lurel. Quoi ? Oser dire du Conducator bolivariste qu’il est “mignon” ? Dit-on de Lénine ou de Fidel Castro qu’ils sont “mignons” ? Quel crime de lèse-révolution ! Du coup Mélenchon dénonce un « solférinien (sic) arrogant et méprisant ». Rien que çà. Le pauvre Lurel, qui se fait fusiller par la droite mais aussi par l’extrême-gauche aura-t-il droit à un cercueil de verre et sera-t-il lui aussi embaumé ? L’avenir nous le dira. On peut cependant prévoir qu’en cas de remaniement, il pourra prendre un vol direct en direction de la Guadeloupe…

 

DSK DIT “BONNES FÊTES À TOUTES

 

C’était au lendemain de la journée des femmes, lors du match de rugby Toulon-Biarritz. Le président du club toulonnais avait décidé de faire, en début de match, un petit clin d’œil sympathique aux femmes. Un écran géant a projeté dans le stade une image de DSK, souriant, accompagné de la phrase : « Bonne fête à toutes ». Cela n’a pas fait rire tout le monde. Le président du club assume totalement, évoquant DSK, « devenu un personnage humoristique et authentique ». Quant aux hommes politiques, il semble les avoir en haute considération, affirmant au quotidien La Provence : « Des tas d’hommes politiques nous ont fait croire qu’ils étaient axés sur leur travail, alors que ce qui intéresse 99% d’entre eux, quand ils ont fini leurs discours, c’est le cul, picoler et le pouvoir. » Face aux grincements de dents, il poursuit dans la provocation : « Quand j’arrive à choquer les cons, j’ai réussi ce que je voulais faire. » Le même, qui ne manque pas d’humour, avait fait projeter récemment l’image de Gérard Depardieu avec cette phrase : « Bons baisers de Russie »…

 

HOURIA BOUTELJAH MISE EN EXAMEN POUR RACISME ANTI-FRANÇAIS !

 

Sur plainte de l’AGRIF devant le tribunal de Toulouse, Houria Bouteljah, la très excitée présidente de l’association « Indigènes de la République » vient d’être mise en examen pour injure raciale à l’égard des Français. Elle avait évoqué en toute humanité les “souchiens” pour qualifier les Français de souche. Elle sera jugée prochainement par le tribunal correctionnel de Toulouse. La pasionaria anti-française hérite par ailleurs d’une autre procédure contre le livre « Nique la France » édité par son association. Le NPA d’Olivier Besancenot lui a, bien entendu, apporté son soutien. Lisons, pour la bonne bouche, ce que Charles Aznavour vient de déclarer le 23 février 2013 au micro de RTL : « Je suis devenu Français d’abord dans ma tête, dans mon cœur, dans ma manière d’être. Je suis devenu Français. C’est à dire que j’ai abandonné une grande partie de mon arménité pour être Français. » Et Aznavour de conclure : « Il faut le faire ou il faut partir ». Bravo !

 

SOCIALISME ET ANTISÉMITISME

 

L’affaire fait scandale en Belgique. La section PS de Molenbeck (banlieue de Bruxelles) avait organisé une réunion publique sur le thème : « Et si on parlait librement et sereinement du sionisme ? » L’illustration de l’affiche a suscité quelques remous. On y voit la caricature d’un juif orthodoxe, digne des outrances du journal antisémite nazi Der Stürmer. A la suite des protestations, la réunion a été annulée et reportée à une autre date. Comment un tel dessin a-t-il pu être choisi ? Le président de la section PS de Molenbeck est dans ses petits souliers. Il a des explications quelque peu alambiquées : il y aurait eu « une erreur avant validation »… Il paraît, si l’on en croit le site du CRIF, que « ce dessin est signé par un caricaturiste connu en Belgique pour ses opinions ouvertement fascistes, antisémites et négationnistes ». Les socialistes belges fonctionnent décidément dans la mesure et dans la modération. Il y a quelques jours, le député socialiste bruxellois Jamal Ikazkan, issu de la même section de Molenbeck, avait traité sur un tweet d’« ordure sioniste » le journaliste français Claude Moniquet, dont il n’avait pas apprécié l’analyse de la situation en Égypte, qu’il avait exposée sur RTL. Pourquoi cette série d’incidents antisémites ? Certains ont leur petite idée. Ils seraient la conséquence du « silence coupable » du PS belge face à la montée de l’islamisme… d’autant que le PS a fait élire un certain nombre de candidats issus de l’immigration musulmane. On s’en doutait un peu.

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VALLS ET L’“ANTISÉMITISME NOUVEAU, NÉ DANS NOS BANLIEUES”

 

Manuel Valls, le ministre de l’Intérieur, invité le dimanche 10 mars de la radio communautaire Radio J, semble découvrir cet « antisémitisme nouveau ». Voilà ses déclarations : « Il y a dans nos quartiers des jeunes et des moins jeunes qui, au nom d’une identité qui se sentirait attaquée (par qui ?), décident de la manière la plus imbécile, la plus dangereuse pour nos valeurs, de s’attaquer aux Juifs. Ils considèrent le Juif comme l’ennemi. » . Evoquant l’affaire Merah, il poursuit : « Sans doute malheureusement, chez les esprits faibles et qui revendiquent cette haine, ce qui s’est passé a pu peut-être libérer la parole ». Oui, mais attention, pas d’amalgame ! Valls appelle à « être prudent dans les termes. Il ne s’agit pas de stigmatiser d’autres Français, de jeter l’opprobre sur nos concitoyens notamment de confession musulmane. » Nous voici rassurés...

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CONCLAVE : LIBÉRATION RACONTE N’IMPORTE QUOI

 

Si le conclave avait duré plus de trois jours, les cardinaux n’auraient eu droit qu’à un repas par jour. Au-delà de huit jours, ils étaient au pain, à l’eau avec un peu de vin. C’est la quotidien de la gauche bobo, Libération, qui raconte cette fable. En fait, en 1268, le conclave avait duré 33 mois. Les habitants de Viterbe, commune du nord de l’Italie, excédés, avaient imposé aux prélats un régime de pain et d’eau et Grégoire X avait décrété en 1272 les mesures coercitives évoquées par Libé. Sauf que ces mesures ont été depuis longtemps abandonnées.

 

LA PSEUDO-MÈRE PORTEUSE TOTALEMENT MYTHOMANE

 

Tous les journaux, toutes les radios, toutes les télévisions en avaient abondamment parlé. Cette jeune habitante de Calais de 24 ans affirmait avoir été mère porteuse en 2011 pour aider un couple de Français ne pouvant plus avoir d’enfant. Or il s’avère que Raphaela a totalement inventé cette histoire. A noter que ses trois enfants lui avaient été retirés avant d’être confiés en 2011 aux services à l’enfance. Elle est totalement mythomane et, comme l’explique sa mère, « elle croit en ses mensonges ». Avec l’aide d’Internet, Raphaela avait concocté un faux témoignage comportant beaucoup de détails tout à fait crédibles, a priori. Sa mère raconte : « Ma fille ment tellement qu’elle cause énormément de dégâts autour d’elle, sans le vouloir. » Étonnants mythomanes... Toujours est-il que rares sont les media, qui s’étaient engouffrés dans cette affaire à scandale, à avoir poussé le professionnalisme jusqu’à rétablir la vérité. Silence radio. A l’exception d’Aujourd’hui qui y a consacré un vrai article informant avec exactitude ses lecteurs de cette tromperie à laquelle le quotidien avait participé, bien involontairement.

 

DES ŒUVRES QUI FONT FÜHRER

 

Charles Krafft, 65 ans, est un artiste céramiste renommé de Seattle, dont les œuvres sont très présentes chez les galeristes et les collectionneurs. Il « détournait les codes du nazisme et créait des œuvres à la fois dérangeantes et audacieuses » à découvrir sur le site Brain Magazine. Il a semé des swastikas sur du savon, des parfums, avec la mention “pardon” et même réalisé certaines céramiques avec des cendres humaines. En 2003, il avait créé une théière représentant la tête d’Hitler. Elle fut exposée en 2007 au musée de San Francisco, avec cette notice « l’œuvre ressuscite l’image d’Adolf Hitler pour critiquer le fascisme et le rôle du kitsch. Le bec et la poignée de la théière ressemblent aux cornes du Diable, suggérant que Hitler était un être démoniaque et mauvais.(...) le couvercle de la théière sert aussi de kippa, une référence aux révélations selon lesquelles plusieurs suprémacistes blancs étaient de descendance juive. » Ses œuvres sont (ont été ?) exposées partout y compris à la Halle Saint-Pierre (Paris XVIIIème) dans le cadre de l’exposition « Hey ! », dont le site de l’ex-trotskiste Edwy Plenel, Rue 89, est partenaire. Amusant... Krafft a eu droit à des articles dans des revues prestigieuses tel Harper’s Magazine. Bref, il était la coqueluche des bobos... Patatras ! Voici que l’on découvre que Charles Krafft est en réalité authentiquement raciste, suprémaciste de la race blanche, et négationniste.

 

Il a déclaré en juillet 2012 sur un site appelé The White Network (le réseau blanc) : « Je crois que l’Holocauste est un mythe ». A la question « Croyez-vous que le régime d’Hitler a systématiquement tué des millions de juifs ? », il vient de répondre : « Je ne doute pas que le régime d’Hitler a tué beaucoup de juifs, mais je ne crois pas qu’ils aient été amenés de force dans des chambres à gaz et tués. » Il paraît que quelques collectionneurs et galeristes l’ont saumâtre. Très calme, il les rassure : « J’aimerais préciser que je n’ai jamais essayé de duper les collectionneurs d’art et les commissaires d’expositions (...) Mon opinion sur les races et l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale n’a changé que récemment. » Après tout, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis...

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Il est sorti ! Le nouveau livre d'Anne Kling, l'auteur de "La France licratisée"...

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Au fil des années, la shoah s’est transformée en sujet totalement tabou et sacralisé dans nos sociétés occidentales. Echappant aux historiens qui risquaient de la « banaliser », crime suprême, elle a fini par quitter le domaine du rationnel et de la critique historique pour entrer de plain-pied dans celui du « mystère ». Pour ne pas dire de la religion.

Dans ces conditions, il n’est guère étonnant que des petits malins aient exploité à leur profit un filon qu’ils jugeaient prometteur. Cet ouvrage relate un certain nombre des tromperies avérées de ces menteurs de la shoah, récits d’imaginaires souffrances ou de tribulations présentées comme autobiographiques.


Il relate également les affabulations, exagérations, inventions ou récupérations d’autres personnages, y compris celles d’anciens déportés dont les récits soulèvent quelques questions.

256 pages, 18 €

Pour commander, adresser le bulletin de commande en PJ accompagné d'un chèque (à l'ordre de Synthèse nationale) de 21 € (18 € +3 € de frais d'envoi) à :

 

Synthèse nationale

116, rue de Charenton 75012 Paris

(correspondance uniquement)

 

Bulletin de commande : cliquez ici

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Frigide Barjot a-t-elle atteint son seuil d’incompétence ?

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Pierre Van Ommeslaeghe
Professeur de philosophie
Boulevard Voltaire cliquez ici

Ma Chère Frigide,

Vous avez de nouveau réussi, avec et grâce à d’autres, une mobilisation exceptionnelle ce dimanche. Mais cette puissance, vous la rendez impuissante et inutile par votre comportement et vos propos. Je vous ai entendue renier et traiter de fascistes ceux qui se sont confrontés à la police en haut des Champs-Élysées. J’étais parmi ces fascistes. Certes, j’y ai bien vu une vingtaine de militants du GUD. Mais surtout plusieurs centaines, quelques milliers, de jeunes Français, de moins jeunes aussi, sans doute un peu plus exaspérés par le mépris gouvernemental, peut-être un peu plus courageux et plus déterminés à ne pas voir disparaître l’antique civilisation française qui leur a tant donné que ceux, plus sages, de l’autre côté de l’Arc de triomphe. Mais pas différents.


Vous avez permis à la contestation populaire à la loi Taubira de se manifester. Mais une puissance dont on refuse de se servir, qu’on n’actualise jamais, ne sert à rien. On vous a frappée sur la joue droite en vous recevant en catimini suite au 13 janvier : vous avez tendu la joue gauche. On vous a frappée sur la joue gauche en jetant au panier 700.000 pétitions : vous avez tendu la joue droite. On vous a frappée la joue droite en vous refusant les Champs-Élysées : vous tendez la joue gauche…


Il vous suffisait pourtant d’un mot pour que la puissance du 24 mars devienne une force balayant le mépris d’un pouvoir arrogant. Vous aviez les troupes prêtes à se sacrifier pour ouvrir la brèche ; vous les avez insultées. Vous aviez la masse pour la maintenir ouverte ; vous l’avez maintenue dans une immobilité décourageante. 
Vous voulez une mobilisation pacifique et vous avez raison. Mais même Gandhi n’hésitait pas à guider le peuple hors de la légalité lorsque c’était légitime.

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HOLLANDE DEGAGE !

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Voilà comment l'hyper-classe socialo-mondialiste envisage notre avenir...

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lundi, 25 mars 2013

Il est plus que temps de passer du conservatisme à la révolution...

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Un communiqué du Renouveau français :
 
Le Renouveau français se réjouit du grand succès populaire de la manifestation de ce 24 mars contre le délirant projet de loi Taubira.
 
La forte mobilisation ne s’est pas essoufflée depuis janvier et l’immense foule, d’au moins un million de personnes, représente bien la colère de la France réelle face à une petite oligarchie, forte seulement de ses médias et de ses matraques.
 
Nous regrettons qu’à nouveau les discours et les mots d’ordre des organisateurs officiels aient trop souvent été des apologies des « valeurs républicaines » - qui nous ont pourtant menées là où nous en sommes- , ou aient été d’une mollesse et d’une naïveté déconcertantes face au cynisme du gouvernement.
 
Nous sommes choqués que la parole ait été donnée complaisamment à des pontes de la droite libérale, coresponsable depuis des dizaines d’années du pourrissement moral de notre société.
 
Quoiqu’il en soit, le RF a eu le plaisir de constater que des milliers de personnes ont bravé les consignes de soumission des organisateurs et les oukases de la préfecture, pour gagner les Champs-Elysées qui leur avaient été injustement et dédaigneusement refusés par les autorités.

Le RF félicite en particulier ses dizaines de jeunes – et moins jeunes – militants qui ont su courageusement résister et faire face à la violence policière, pendant plusieurs heures, en première ligne.
 
La rue nous appartient, nous sommes le peuple !
 
Le RF présente ses vœux de prompt rétablissement aux blessés.
 
Il est temps pour tout le monde de bien comprendre que face à l’extrémisme d’un gouvernement autiste et aveuglé par son idéologie, l’heure n’est plus au compromis ni à la mollesse.
 
Il doit désormais être clair pour le peuple que le gouvernement en place, sous des aspects de légalité, n’a aucune légitimité. En recourant injustement à la violence (en dépit des mensonges de Valls), il a dépassé toutes les bornes.
 
L’urgence pour notre pays est de se débarrasser de cette clique de malfaisants qui l’asservit !
 
Il est plus que temps de passer du conservatisme à la révolution.
 
Une révolution nationale, morale, sociale, économique et spirituelle que le RF s’engage à servir de son mieux et jusqu’au bout !

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Jeudi soir, Pierre Poujade (évoqué) au Local :

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Près des Champs, le GUD charge les CRS :

14:58 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Père Argouarc'h fait reculer les CRS !

14:54 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

HIER, LES LIMITES DE L'INSUPPORTABLE ONT ETE FRANCHIES : VALLS DOIT PAYER !

13:39 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La flicaille du régime est moins téméraire lorsqu'il s'agit de mater la racaille d'importation !

 A Paris, le Peuple crie "Liberté !", les socialistes aux aboies envoient la troupe gazer le Peuple ! 

Flic, n'oublie pas, celui que tu tabasses dimanche travaille lundi pour te payer...

13:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Contre la loi Taubira, contre Hollande et sa clique, la Droite nationale était présente...

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Le Parti de la France et son Président, Carl Lang, avaient appelé les nationaux et les nationalistes à se retrouver hier à l'angle de la rue Argentine et de l'avenue de la Grande Armée. Synthèse nationale avait aussi appelé ses lecteurs à se retrouver à ce point de rassemblement. Ce fut une sympathique occasion de se retrouver entre amis. Plusieurs dizaines de camarades étaient présents. Beaucoup cependant, compte tenu de la difficulté de traverser la foule compacte, eurent du mal à nous rejoindre. 

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Au-delà de la manif anti-mariage gay, organisons la lutte contre le mondialisme !

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Plus d’un million de Français, 1 million 400 000 selon les organisateurs, sont descendus dimanche dans les rues de Paris afin de manifester leur opposition à la loi Taubira accordant le droit au mariage pour les « couples » homosexuels. A peine quelques mois après son élection François Hollande a donc réussi le tour de force de mettre dans la rue une foule immense contre sa politique socialiste et mondialiste de destruction des valeurs qui sont celles de notre civilisation millénaire. Jamais un Président de la République française n’a été aussi vite déconsidéré aux yeux de notre peuple. A tel point que l’on peut aujourd’hui sérieusement s’interroger sur la légitimité du gouvernement socialiste.

Mais revenons à la manifestation de dimanche. L’immense succès de celle-ci amène à quelques réflexions. Tout d’abord, pour que les choses soient claires, considérons que les relations amoureuses, fussent-elles homosexuelles, sont l’affaire de chacun et que les jugements portés n’ont pas à entrer dans le débat actuel. L’homosexualité a toujours existé et existera toujours. On peut peut-être le déplorer, mais il en est ainsi. D’ailleurs, le problème n’est pas là.

Le vrai problème, c’est lorsque celle-ci commence à être facilitée, voire promotionnée, par le pouvoir en place comme c’est le cas en ce moment avec l’instauration programmée de cette parodie de mariage (que personne à part quelques agités ne demandait vraiment…) qui relève plus du ridicule absolu que d’autre chose.

Ce projet, qui tombe à pic pour masquer la faillite totale du gouvernement, relève en fait de la volonté de l’hyper-classe mondialiste, dont Hollande et sa clique ne sont que les larbins, de détruire les piliers de notre civilisation ancestrale au premier rang desquels figure la conception traditionnelle et logique de la famille. De plus, derrière le "mariage" homo se profile déjà la sordide "théorie du genre" dont, rappelons-le au passage, on doit au précédent gouvernement (Fillon) l'introduction à l'Ecole. Une fois les repères supprimés et les racines détruites, il sera encore plus aisé pour les tenants de la haute-finance apatride de manipuler notre peuple afin de le transformer en un troupeau docile de consommateurs faciles à exploiter.

Toutefois, les prétentions génocidaires des prétendus maîtres du monde se heurtent à la volonté populaire. La réussite de la riposte à la légalisation du « mariage » gay, et au-delà au droit à l’adoption, en est la preuve flagrante.

Cette riposte est avant tout une riposte politique, spirituelle et identitaire, elle ne doit pas se résumer au carnaval de bons sentiments « politiquement corrects » auquel nous avons eu droit dimanche après-midi.

Les manifestants attendaient autres choses que la diarrhée de lamentations larmoyantes déversée par les orateurs qui se sont succédés à la tribune, qu’il s’agisse des vieux barbons sur le retour de l’UMP ou des représentants d’associations gays dont la présence suscitait à elle seule la compassion des organisateurs, sans oublier les orphelins de toutes les couleurs venus des 4 coins de la planète pour se faire adopter en France, ou encore d’élus radicaux de gauches sans doute en indélicatesse avec Taubira, sans oublier l'indispensable trotskiste repenti de service…

Mais qu’importe, ne faisons pas les fines bouches. L’essentiel, c’est la réussite de cet immense rassemblement qui prouve à lui-seul que notre peuple, malgré des décennies d’anesthésie collective orchestrée par les différents pouvoirs, est encore capable de se réveiller lorsque son identité est menacée. Cela prouve que le combat que nous menons pour la renaissance d’une France française dans une Europe européenne est le bon combat. Nous donnons rendez-vous à celles et ceux qui veulent le mener à nos côtés dimanche 12 mai à 10 h 00 Place de la Madeleine à Paris pour la grande manifestation nationaliste et populaire contre le mondialisme.

 

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Membre du Bureau de la

Nouvelle Droite Populaire

 

 

Photos de la manif sur le site du Figaro cliquez là

02:58 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 24 mars 2013

VALLS DEMISSION !

200318_179466075433304_100001097374056_398650_7814714_n.jpgUn communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :

Le pouvoir socialiste vient une fois de plus de montrer son vrai visage, celui du sectarisme et de la violence politique. Refuser d’autorité l’accès des Champs-Elysées aux familles françaises qui souhaitaient manifester contre le projet de loi Taubira alors qu’ils sont ouverts à toutes occasions à n’importe quel sportif médaillé était déjà en soi une décision inique, scandaleuse et totalitaire.

Mais, non content d’avoir interdit les Champs-Elysées au peuple français à l’occasion d’une immense manifestation populaire qui a rassemblé aujourd’hui plus d’un million de personnes, le ministre de l’Intérieur a redoublé de zèle avec l’agression délibérée par les forces de l’ordre de familles totalement pacifiques qui se trouvaient aux abords de l’Arc de triomphe.

Il est plus facile à M. Valls de s’en prendre à de paisibles mères de famille avec leurs poussettes et leurs enfants que d’assurer la sécurité des citoyens dans les 3 000 zones de non droit livrées aux bandes ethniques et aux trafiquants.

A la violence politique antifamiliale de la loi Taubira s’ajoute aujourd’hui une violence policière socialiste délibérée et totalement injustifiée contre des familles qui manifestaient dans le calme.

Le Parti de la France s’insurge contre la violence politique socialiste et contre les violences policières ordonnées par le ministre de l’Intérieur et réclame la démission de M. Valls de ses fonctions gouvernementales.

20:34 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manif pour tous : le mépris affiché du Monde !

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Nicolas Gauthier

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Chez Jean-Luc Godard, Le Mépris peut être classieux, croupe de BB oblige ; au Monde, il est juste méprisable. Ainsi, en apprentis entomologistes, les tâcherons du fameux quotidien vespéral ont-ils entrepris de dresser une sociologie des associations formant le collectif de La Manif pour tous. Mépris, donc, qui évoque « La Grande Illusion », pour continuer de filer la métaphore cinéphilique.

Ces associations seraient donc au nombre de 37. Sous d’autres lieux et d’autres latitudes, cela serait tenu pour indéniable succès ; là, non : « En apparence, la Manif pour tous représente de larges pans de la population. En apparence seulement. Car en réalité, nombre de ces mouvements sont des coquilles vides qui n’ont aucune existence. Quant aux autres, ils sont presque tous liés à l’Église, soit directement, soit par les engagements de leurs responsables. » Ils attendaient quoi, les mecs, des adeptes de Raël, du Grand Orient de France ou de Riposte laïque ?

Et Le Monde de s’étonner, dans un graphique en forme de camembert, de ce tiers de « coquilles vides », les deux autres tiers étant le fait d’associations « religieuses ». Soit. Et alors ? Oui, la plupart de ces associations ont été montées dans l’urgence. Leurs sites Internet ne sont pas forcément quotidiennement remis à jour et certaines ont sûrement dû oublier de se faire enregistrer à la préfecture. Et alors, une fois de plus ? C’est du happening… Fait à la ramasse. Soit tout ce que Le Monde devrait aimer. Ras l’front, bidule antilepéniste, n’a jamais vraiment eu non plus, ni raison sociale officielle, ni pas-de-porte soumis à patente. Pas plus que les Femen, collectif inattendu, mais dont la légitimité administrative se limite à une seule page Facebook. Pourtant, ces deux « organisations » ont toujours eu table ouverte et ronds de serviette allant avec, dans le journal jadis fondé par un Hubert Beuve-Méry qui doit depuis se retourner dans sa tombe, façon centrifugeuse.

Les Femen, au fait, petites chéries de l’inénarrable Caroline Fourest, qui est un peu à l’homophilie ce que Riposte laïque est à l’islamophobie, déclarent ainsi, en forme de carnet de route intellectuel : « Nos seins sont nos armes. Sors, déshabille-toi et gagne ! » Bravo. C’est beau comme une vidéo de chez Marc Dorcel ; sauf que chez le pornocrate en question, les donzelles sont moins farouches qui, non contentes de dévoiler le haut, exhibent également le bas, tout en n’hésitant pas à s’en servir.

Il n’empêche que, pour les limiers du Monde, plus d’un million de Français de toutes origines, de toutes confessions et de toutes opinions, ce n’est rien. Élémentaire charité chrétienne, il est de notre devoir de leur rappeler que LGBT, c’est, par grand vent, 1 300 adhérents et Act Up, 150 seulement…

Dialoguer avec des cons participe immanquablement de l’exercice périlleux, sachant qu’on prend aussi le risque de les instruire. Nonobstant, ne barguignons pas et allons-y franco, tel qu’aurait dit le défunt général. Le Monde, toujours lui, s’étonne donc de la présence d’associations catholiques, protestantes et même musulmanes dans le collectif en question. Et se hérisse ensuite de la participation des Fils de France, association de Français de confession musulmane très en pointe dans l’affaire ; voire d’un autre collectif, Homovox, paraît-il composé d’homosexuels qui seraient catholiques de tradition. Et alors, être à la fois pédé et catho, ce ne serait pas une grande première.

Il y a encore un fait qui aurait pu faire figure d’étonnement d’enfant pour ces gens : la position des Français ultramarins. En effet, revenant juste de vacances martiniquaises, j’ai pu voir plusieurs camionnettes arborant le logo de la Manif pour tous, assorti de ce slogan : « La Martinique contre le mariage pour tous ». Après discussion autour d’un rhum vieux avec ces militants, cette simple réponse de bon sens : « Chez nous, il y en a autant qu’en métropole. On les appelle juste les “messieurs-dames”. Ils sont comme ils sont, personne ne les embête. Mais jamais ils n’auraient l’idée de fonder une famille. Parce que chez nous, la famille, c’est important. C’est papa dans maman… » Rhétorique un brin sommaire, certes. Mais qui ramène aux fondamentaux de ce qu’on peut appeler une civilisation. Après, allez seulement expliquer tout cela aux « journalistes » du Monde

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Jeudi 28 mars, à Paris :

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09:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 23 mars 2013

ATTENTION : CHANGEMENT DU POINT DE RENDEZ-VOUS DE LA DROITE NATIONALE DIMANCHE...

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17:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cahu, ce n’est déjà pas bien beau, mais Sarko...

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Nicolas Gauthier

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En cas de doute existentiel, de crise de foie ou de foi, il est des matins plus ou moins joyeux où l’on sait que Dieu existe. Quand, par exemple, DSK se fait choper, slip à peine remonté des chevilles dans son avion. Ou quand M. Bruni se fait mettre en examen pour une autre histoire de filles.

Sauf que là, c’est encore moins glorieux, car à Nafissatou Bettencourt, ce n’est pas la vertu qu’il entendait ravir ; juste le coffiot. Bref, l’argent de la vieille, comme dans un film italien en noir et blanc, où l’on parle haut et où les portes claquent fort.

« Allez, maman, cherche pas, signe juste là…
« Oui, jeune homme, mais vous êtes qui, au fait ?
« Fais pas chier la vioque et signe !
« Ah ben, si c’est demandé gentiment… »

Liliane Bettencourt, la pauvre, c’était Lady Gaga. Trois minutes de lucidité par jour, entre le maréchal Pétain à Sigmaringen et Johnny au Cedars-Sinai de Los Angeles. On imagine le défilé des gigolpinces, de François-Marie Banier à Nicolas Sarkozy…

Pauvre Liliane… Que devait-elle penser devant ce cortège de gargouilles venu lui éponger son oseille ?

Est-ce qu’on lui faisait payer le passé d’extrême droite de la famille de son époux, qui ne barguigna pas à financer le CSAR, Comité secret d’action révolutionnaire, plus connu sous le sobriquet de Cagoule ? Mais dont le chef, Eugène Deloncle, assez proche de François Mitterrand, tomba néanmoins sous les balles de la Gestapo, quelques mois avant la Libération.

Aujourd’hui, ces questions sont finalement sans importance. En revanche, plus intéressant est de constater que, de Cahuzac en Sarkozy, l’hyper-classe aux commandes n’en finit plus d’édicter des règles qu’elle est la première à ne pas respecter. Cahu, ce n’est déjà pas bien beau, mais Sarko… Quand on sait les deux autres enquêtes qui lui collent au valseur : comptes de campagne présidentielle de Balladur plus que douteux et trafics à Karachi…

Dis donc, pépère, comme on assurait naguère dans la Coloniale, quand on veut grimper au cocotier, il faut avoir la culotte propre… Et dire que des couillons de droite – pléonasme – ont cru un instant que Nicolas Sarkozy avait vocation à incarner les valeurs de la vieille France, discours inspirés d’Henri Guaino et réception vaticane en compagnie du révérend père de Burnes, ou un cureton au nom approchant, obligent. Bien fait. Mort aux cons et clémence pour les éternels naïfs !

Il paraît que l’objet du délit risquerait dans les trois ans de zonzon. Fort bien. Carla pourra martyriser sa guitare, tandis que Nicolas continuera à nous jouer du pipeau. Je ne saurais dire pourquoi, mais j’ai une de ces pêches, aujourd’hui…

16:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Claude Rolinat sera mercredi invité à l'émission de Martial Bild sur Radio Courtoisie

AvionTueur_A4.jpgJean-Claude Rolinat sera l’invité de Martial Bild sur les ondes de Radio Courtoisie le mercredi 27 mars à partir de 19 h pour évoquer son dernier livre paru à L’Atelier Fol’Fer, L’avion, cet étrange tueur de célébrités, édité chez Fol'fer.

Ce que la presse en dit : cliquez ici

Pour l'acheter : cliquez là

Radio Courtoisie : cliquez ici

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vendredi, 22 mars 2013

Dimanche 24 mars :

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Nouveau point de rendez-vous du Parti de la France :

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19:51 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche soir, sur Méridien zéro :

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Méridien zéro RBN cliquez ici

17:48 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Diviser par deux les allocations familiales des immigrés, doubler celles des Français de souche

caf-caisse-allocations-familiales.gifMarc Rousset

La France dépense 70 milliards d'euros par an pour les immigrés, payés essentiellement par les impôts des Français de souche !

Au lieu de diviser par deux les allocations familiales pour les Français de souche  au delà de 53 000  euros avec deux enfants et de 61 000 euros avec trois enfants, le gouvernement ferait mieux de faire des économies en passant à l'immigration zéro !

Afin d'encourager la natalité insuffisante des Français d'origine européenne (1,7 enfants par femme) contre 3,4 pour les Français d'origine immigrée, un gouvernement nationaliste, afin de préserver notre identité, ferait exactement l'inverse, c'est à dire qu'il  supprimerait les allocations familiales des immigrés, et  triplerait celle des Français de souche pour qu'ils aient davantage d'enfants.

Au nom de la justice sociale, on favorise la natalité immigrée et l’invasion migratoire en divisant par deux les allocations des Français de souche. Voilà la triste réalité et, une fois les lampions éteints, après les belles envolées et les beaux discours lénifiants, ce sont toujours les mêmes qui paient et que l’on ponctionne ou que l’on défavorise.

Une fois encore les socialistes décadents, la main sur le coeur, vont faire l'inverse de ce qui correspond à l'intérêt  profond et réel, à l'avenir du pays !

Les allocations familiales ont été crées en 1945 par le général De Gaulle pour favoriser la natalité française. Elles aboutissent dans la réalité à favoriser l'invasion, à créer un appel d'air pour les immigrés.

La triste réalité, c'est que les Français laborieux de souche  qui assurent l'avenir du pays en éduquant leurs enfants, payent en fait des impôts pour se faire davantage envahir, pour davantage entretenir la natalité élevée de familles extra-européennes. Leurs enfants attaqueront  ensuite les TGV à Marseille et les RER à Grigny Centre dans l'Essonne... afin, comme lors de l'attaque des diligences dans le Far-West, de finir par les dévaliser complètement !

11:01 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : LGBT, fausse culture et capitalisme financier...

images.jpgJacques-Yves Rossignol

J’ai mis longtemps à identifier clairement quelque chose qui me tracassait et qui « ne collait pas » tout à fait dans cette opposition apparemment frontale et clairement délimitée entre les partisans et les opposants à la légalisation de l’union homosexuelle.

1 - Je vais droit au but : c’est l’autosatisfaction béate de nombreux « catholiques sociologiques » (1) qui semblaient absolument persuadés de dominer moralement tous ces pêcheurs invertis qui sonnait très faux et qui me posait question.

En effet, qu’a été Vatican II si ce n’est l’introduction dans l’Église d’un humanisme relativiste, d’un moralisme invertébré ? Et comment cet humanisme si malléable permettait-il tout soudainement aux cathos bobos d’avoir des certitudes sur un sujet qui relève de la théologie morale la plus pointue, discipline à laquelle ils n’ont guère le temps de se frotter entre leurs séances de psychanalyse et leurs agapes charismatiques ? Pour aller encore un peu plus loin, j’avais parfois au fil des commentaires ou des « interviews », l’impression de voir des pharisiens frétillants d’aise d’avoir, enfin, trouvé des prostituées à flétrir. Ce n’est pas si simple mais je garde cette idée en réserve.

2 - Ces invertis, transgenres et autres (on ne sait jamais trop avec eux !) qui sont-ils donc ?

J’esquisse une classification. D’abord  les métiers traditionnellement efféminés. Rien de nouveau sous le soleil sauf qu’avec l’importance prise par l’esthétique, la mode ils sont plus nombreux, un peu plus exubérants et démonstratifs. Ce qui est nouveau par contre et beaucoup plus inquiétant à priori, ce sont les meneurs prosélytes, liés directement ou indirectement aux sphères mondialistes : politiciens, « décideurs », gens de médias. C’est « l’internationale rose ».

Mais, surtout, et cela on ne l’a pas assez vu, tout en bas de l’échelle sociale, une foultitude de jeunes garçons et filles dont l’identité, certes « invertie », apparaît fragile et précaire et semble avoir été comme fabriquée, comme construite directement sur commande pour et par cette société capitaliste mondialisée. J’irais jusqu’à dire : semble avoir été construite et fabriquée à l’insu de leur volonté.

3 - La généralisation assez stupéfiante de ces identités incertaines, dans l’ordre sexuel mais aussi indissociablement dans l’ordre du fonctionnement affectif et cognitif, n’est pas de l’ordre de la génération spontanée. On n’a pas assez remarqué que la caractéristique essentielle de la plupart de ces LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) n’est pas l’identité sexuelle déviante, mais bien la volubilité mentale, l’irrationalité dans l’ordre social et politique (qui n’est pas incompatible avec un sens pratique très développé), parfois le cynisme facile, l’irresponsabilité revendiquée.

4 -  On peut dire sans crainte d’être démenti qu’au cours du XXe siècle la recherche exacerbée et démentielle du profit capitaliste ne s’est pas arrêtée au seuil des atteintes à l’intégrité de la conscience humaine.

Pour assurer la poursuite de ce processus de production de profits réservés à ce qu’on a nommé l’hyper-classe, il n’y avait qu’un moyen : « domestiquer » les consommateurs solvables (seuls les consommateurs solvables intéressent les financiers) et s’assurer de leur docilité à consommer à outrance des productions superflues, voire aliénantes et infantilisantes.

On a reconnu ici l’immense domaine que l’on désigne classiquement sous le nom d’industrie culturelle : grosso modo on peut dire que c’est, aux antipodes de la culture qui suppose discernement et assimilation lente, une culture désamorcée, affadie et neutralisée qui n’est plus ni la culture supérieure, altière et éloquente, ni la culture populaire, vivante et drôle. Presque toute la production « médiatique » rentre dans cette catégorie, ainsi que l’art dit contemporain. Le concept d’industrie culturelle est beaucoup plus précis cependant que celui de « médias » : il évoque bien la quasi impossibilité d’échapper à cette immense emprise et surtout la mécanisation de l’esprit corrélative de cette domestication.

5 - Il n’est pas difficile alors de saisir que c’est bel et bien l’industrie culturelle qui a induit, qui a « téléguidé » si l’on veut, la « production » (il est difficile de parler autrement) de ces nouvelles identités : gays, bis, trans et ainsi de suite.

Les nouvelles identités sont comme « sculptées » à distance par les industries du cinéma, du disque, des magazines. Industries extrêmement lucratives en elles-mêmes, mais surtout industries de « fabrication » d’individus maintenus au niveau des problèmes interindividuels et du sensualisme, consommateurs non critiques, apathiques, amorphes de tout ce que proposera le marché.

6 - On sait évidemment que dans les établissements financiers les fonds des différents dépositaires sont mêlés et qu’ils sont investis dans les domaines qui apparaissent alors les plus rentables et qui peuvent être les plus divers. C’est l’une des différences essentielles entre le capitalisme industriel et le capitalisme financier ; entre l’argent investi dans une production repérable et identifiable et l’argent investi de manière obscure dans les productions les plus rentables quelles qu’elles soient. Il existe quelques exceptions et certaines charges assurent par exemple que les fonds placés ne seront investis dans le domaine de la recherche pharmaceutique que dans le capital des laboratoires utilisant et développant des méthodes substitutives à l’expérimentation animale. C’est très bien ainsi, mais de telles possibilités d’affecter des fonds d’une manière éthique sont rarissimes, infimes.

On n’exagère donc pas si l’on pose qu’au sein du capitalisme financier, les fonds de tout investisseur peuvent servir à tout, et à n’importe quoi.

7 - On voit maintenant  le paradoxe qu’il fallait parvenir à pointer : une « bourgeoisie  catholique moderniste » pleinement intégrée au capitalisme et pleinement autosatisfaite, imperturbablement souriante, se rengorge de sa haute moralité, plastronne, pontifie et finalement désigne du doigt une population de pêcheurs qui n’a pu être formée comme telle que par le truchement d’une industrie culturelle devenue indispensable au fonctionnement du capitalisme, et aux bénéfices de laquelle la dite bourgeoisie émarge d’une manière à la fois inévitable et insaisissable !

Industrie culturelle lointaine et anonyme mais d’une efficacité plombante qui n’existe, qui ne peux exister que par l’intermédiaire de mécanismes bancaires anonymes et glacés.

Ces cathos bobos qui ont de si jolies familles, de si beaux enfants, qui sont tellement à la mode et tellement branchés (y compris en théologie et mystique de pacotille) et qui paradent de leur normalité face à ces horribles dépravés, s’ils vivent aussi aisément, s’ils « bénéficient » de si bons « placements », c’est, inévitablement, pro parte, parce qu’il y a commercialisation industrielle de musiques et autres produits infra-culturels aliénants. Manifester contre les jeunes « dégénérés » « accros » à cette musique et à cette infra-culture, sur la commercialisation desquelles ils émargent discrètement, ne semble pas leur poser de problèmes de conscience.

Je suis sincèrement confus de venir gâcher ainsi les fêtes de famille de l’autosatisfaction niaise. Mais on se souvient peut être que la famille n’est malgré tout qu’une société imparfaite.

Et que le plus haut degré d’exercice de la charité est la charité politique.

8 - L’humanisme confusionniste qui a pris la place de la morale constituée permet, entre autres, de dissimuler sous un nuage de baratins creux à prétention morale l’actualisation et l’effectivité de pêchés d’ordre économique et usuraire, sans doute trop longtemps confinés dans la sphère judéo-protestante au goût de nos chers modernistes, et qui ont l’immense avantage de se commettre de manière anonyme. Je veux parler bien sûr de la participation aux mécanismes d’usure spécifiques au capitalisme libéral financier qui s’exercent par l’intermédiaire de structures ad hoc que les juristes voués à cette cause ont permis de diversifier à l’envi mais qui ont pour caractéristique commune de permettre de se livrer à des formes élaborées et très complexes d’usure injuste d’une manière on ne peut plus discrète et distanciée.
 
Mais, au-delà, on ne semble pas avoir remarqué que ces pêchés dans l’ordre usuraire apparaissent sous une toute autre perspective lorsqu’on ose les mettre en relation avec cette sombre nécessité du capitalisme mondialisme pourrissant : l’abrutissement, l’avilissement et le détraquement des individus par l’industrie culturelle.

J’évoquais plus haut les jeunes « invertis », ni méchants, ni prosélytes, plutôt emportés par un procès de déclension mondialiste qui les dépasse totalement. Que celui qui est convaincu de ne participer pas aux circuits financiers de l’industrie culturelle aliénante et décivilisatrice leur jette la première pierre !

Note

(1) Je rappelle que les sociologues ont dénommé ainsi dans les années 1960 les pratiquants occasionnels pour lesquels la religion est devenue une sorte de rituel mondain.

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