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vendredi, 10 mai 2013

Vendredi, c'est le jour de Rivarol !

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Chez votre marchand de journaux 3,50 €

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jeudi, 09 mai 2013

Vendredi soir, sur Méridien zéro :

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Méridien zéro RBN

Avec Georges Feltin-Tracol

18:52 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un an que François Hollande veille sur la France et les Français !

2778009759.jpgYves Darchicourt

François le Normal règne depuis un an : la France en récession, 3.224.000 chômeurs (10,50% de la population active), le niveau de vie qui baisse, des millions de français de tous âges à la limite du seuil de pauvreté, une pression fiscale sans précédent, une insécurité galopante, des banlieues entières aux mains de la racaille allogène, une déferlante migratoire ininterrompue, budgétivore et criminogène, une maffia politicienne de copains-coquins aux ordres de la finance anonyme et vagabonde... et sans doute satisfait de son bilan économique et social, Pépère - qui a "sinécurisé" Mémère 1 à la Banque Publique d'Investissement - emmène Mémère 2 au Maroc aux frais du contribuable et - tel un gros loukoum dans son emballage doré - succombe à une douce somnolence gastro-hépatique aussi ridicule que peu diplomatique.

Evènement emblèmatique, le parangon des privilégiés du Système roupille, repu et embrumé, aux côtés de sa maîtresse tandis que le France crève et que des millions de français sont dans la misère. Le réveil risque d'être dur pour Hollande, sa cour et sa clique ! Le plus tôt sera le mieux !

18:28 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante...

2666464449.jpgRobert SPIELER 

RIVAROL N° 3092 du 3 mai 2013

 

LE SITE Atlantico a obtenu une vidéo tournée en cachette du « Mur des Cons » du Syndicat de la magistrature. Les photos des ennemis de ce syndicat, ennemis à abattre, sont exposées à la façon dont les maoïstes exposaient les portraits de leurs ennemis sur les murs d’infamie, avant de leur faire un sort. Parmi eux, de nombreux hommes politiques de droite, des intellectuels, des journalistes…

 

IL FAUT DISSOUDRE LE SYNDICAT DE LA MAGISTRATURE !

 

Le Syndicat de la Magistrature, créé en 1968, représente un tiers des magistrats de l’ordre judiciaire et avait appelé en 2012 à voter contre Nicolas Sarkozy. Christiane Taubira, la garde des Sceaux, avait d’ailleurs ouvert son 46e Congrès en novembre dernier. Sur le « Mur des Cons » sont exposées des dizaines de photos de personnalités classées à droite (du moins aux yeux du syndicat). On y retrouve Nicolas Sarkozy, mais aussi, Eric Woerth, Edouard Balladur, Nadine Morano, François Baroin, Luc Chatel, Michèle Alliot-Marie, Luc Ferry, Eric Besson, Christian Jacob, ou encore Patrick Balkany. Et puis, ma Christine y figure ! Mais pas Marine Le Pen… Certains sont cependant marqués d’un signe supplémentaire d’infamie : un autocollant du Front National. Le portrait de l’ancien ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux est souligné d’une mention qui se veut particulièrement injurieuse : « L’homme de Vichy ». Certains intellectuels, tels Jacques Attali, Alain Minc, Guy Sorman, ou encore Alexandre Adler, y figurent. On notera qu’ils sont tous juifs. D’où l’épouvantable question que les media n’ont pas osé poser : le Syndicat de la Magistrature ne serait-il pas antisémite ? Des journalistes ont aussi droit à l’opprobre : Eric Zemmour, bien entendu, l’ancien directeur du Figaro Etienne Mougeotte, et l’ancien patron de TF1, Patrick Le Lay ; l’éditorialiste du Figaro Yves Thréard, la journaliste Béatrice Schoenberg (épouse à la ville de Jean-Louis Borloo) ou encore le présentateur David Pujadas. Et… honneur à lui, Robert Ménard ! On se demande ce que fait là Pujadas, qui est un cireur de pompes de grande envergure. La liste n’est pas close. Le Mur des cons est d’ailleurs évolutif. Chaque magistrat syndiqué est invité à y placarder une prochaine victime : « Avant d’ajouter un con, vérifiez qu’il n’y est pas déjà ». L’ancien ministre de l’Education nationale, Luc Ferry, commente avec humour : « Je suis scotché. »

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LE GÉNÉRAL SCHMITT, PÈRE D’ANNE-LORRAINE EST UN “CON”

 

Philippe Schmitt, général en deuxième section, figure sur le Mur des cons du Syndicat de la Magistrature (SM). C’est Jean-Dominique Merchet, journaliste à Marianne (hebdo plutôt de gauche) qui le raconte. Philippe Schmitt a eu le désagréable surprise de s’y découvrir. Qu’a-t-il fait pour être ainsi jeté aux chiens ? Philippe Schmitt est le père d’Anne-Lorraine, assassinée de 34 coups de couteau dans le RER D, le 25 novembre 2007, par un récidiviste Thierry Devé-Oglou, condamné depuis lors à la réclusion à perpétuité. Anne-Lorraine se destinait au journalisme et se passionnait pour les questions de défense. Depuis sa mort, un prix portant son nom est décerné chaque année par l’Association des journalistes de défense (AJD). A la suite de ce drame, Philippe Schmitt a critiqué « les libérations irresponsables de violeurs récidivistes et le laxisme de certains juges d’application des peines » et s’est, avant de s’en éloigner, engagé au sein de l’Institut pour la Justice — un organisme plaidant pour une plus grande répression. Voilà, aux yeux du SM, les preuves de sa “connerie”. Constatant avec « stupeur et profond dégoût », sa présence sur le Mur des cons, Philippe Schmitt estime que « à travers cet acte, c’est la mémoire de notre fille qu’on insulte, ce sont aussi toutes les familles de victimes qui peuvent ainsi constater le mépris et la haine que ce syndicat de magistrats éprouve à leur égard ». Philippe Schmitt et son épouse ont chargé leur avocat « d’étudier les suites judiciaires à donner à cette lamentable affaire ». Félicitons le journaliste de Marianne pour son commentaire : « Si le Syndicat de la Magistrature conserve son Mur des cons, qu’il n’hésite pas à y faire figurer l’auteur de ces lignes. J’y serai, aux côtés de Philippe Schmitt notamment, en excellente compagnie. » Exigeons la dissolution du Syndicat de la Magistrature ! Guillaume Peltier et les représentants de la Droite forte proposent « d’interdire le syndicalisme dans la magistrature ». Interdisons en effet le syndicalisme dans la magistrature, mais aussi l’appartenance à la franc-maçonnerie !

 

JEAN-LUC MÉLENCHON PREMIER MINISTRE ?

 

Mélenchon, qui ne doute de rien, vient de déclarer sur Europe 1 qu’il se verrait bien à Matignon. La question qui lui était posée était : « François Hollande doit-il vous nommer Premier ministre ? » Mélenchon, a répondu, bravache : « Je travaille à cela. Bien sûr, c’est le but. François Hollande avait une chance de faire quelque chose de bien, il l’a ratée. Il peut se rattraper… Il peut me nommer Premier ministre. Je n’ai pas peur ! » Si Jean-Luc Mélenchon était nommé Premier ministre, j’en connais quelques-uns qui auraient intérêt à traverser le Rhin à la nage. Vite fait…

 

LES DERNIÈRES AVENTURES DE SÉGOLÈNE

 

Ségolène Royal vient d’être nommée vice-présidente de la Banque publique d’investissement (BPI). Un hochet, à vrai dire. Le vrai patron de la banque est Nicolas Dufourcq, le directeur général, avec lequel elle entretient des relations quelque peu tendues. Il y a une semaine, se tenait le deuxième conseil d’administration de la nouvelle entité. Une conférence de presse était programmée à l’issue du conseil. Que fit Ségolène ? Elle quitta précocement la réunion pour donner sa propre conférence de presse. Du coup, l’ambiance est curieusement exécrable au sein de la BPI…

 

LE COLOSSAL LAPSUS DE VALLS

 

Manuel Valls était interrogé, il y a quelques jours, au micro d’Europe 1, sur le mariage homosexuel. Il a commis cette déclaration grandiose : « Quand la droite reviendra au pouvoir, et j’espère que ce sera le plus longtemps possible, il n’y aura pas de remise en cause de la loi sur le mariage homosexuel. » Les Twitters se sont évidemment déchaînés, posant la question : « Manuel Valls, ministre d’ouverture ? ». Et que fit Europe 1 ? Il modifia les propos tenus par le ministre, écrivant sur son site : « Quand la droite reviendra au pouvoir, et j’espère que cela sera le plus tard possible ». Ils sont vraiment sympas, ces journalistes. En attendant, Manuel Valls n’en est pas à sa première gaffe. Récemment invité sur le plateau de France 2, au sujet de l’affaire Cahuzac, il avait déclaré : « Des ministres ont trahi ». Lesquels (en dehors de Cahuzac) ! Des noms !

 

LES “TÊTES DE NAZIS” DES MANIFESTANTS ANTI-MARIAGE HOMOSEXUEL

 

On n’avait pas trop fait attention, mais c’est vrai quand on y réfléchit. « La plupart des manifestants de la manif pour tous ont une tête de nazis ». C’est ce que vient d’écrire Sihem Souid, membre du cabinet du ministre de la Justice, Christiane Taubira, sur son compte tweeter. Et lui, il a une tête de quoi ? Manuel Valls, toujours lui, avait déjà évoqué Vichy pour diaboliser les manifestants opposés au mariage homosexuel. Alors qu’il avait fait gazer des enfants… Il fallait oser.

 

LA JUSTICE A PERDU LE DOSSIER VANNESTE

 

Christian Vanneste, ancien député, paraît-il de droite, avait, il y a un an, expliqué que le « lobby gay » disposait d’une puissance médiatique parfaitement disproportionnée. Il disait : « Fort de sa domination dans les media, il use d’une désinformation systématique, notamment fondée sur la victimisation des homosexuels ». Vanneste prenait en exemple la « légende de la déportation des homosexuels en France », propos confirmés par Serge Klarsfeld. Il déclara : « Je nie une politique de déportation des homosexuels français depuis le territoire national, par les Allemands, les collaborateurs ou les autorités de Vichy ». Il ajoutait assez perfidement que beaucoup d’homosexuels n’avaient pas eu à se plaindre de leur situation à cette époque, « à commencer par le ministre de Pétain, Abel Bonnard, et bien d’autres. » En effet. Abel Bonnard, ministre de ce qui deviendra l’« Education nationale » avait droit au beau surnom de “gestapette”… Quant à Benoist-Méchin, il eut l’insigne honneur de rencontrer le Führer à Berchtesgaden, sans que celui-ci ne lui impose le port du triangle rose. Mais revenons à Vanneste. Il avait assigné ceux qui osaient parler à son sujet de “négationnisme”. Prudent, il avait cependant déclaré n’avoir jamais « nié la déportation, ni les six millions de victimes de la Shoah », rappelant les propos très forts qu’il avait tenus à Auschwitz, au nom du groupe UMP. Oui, mais cela n’avait pas suffi… Le magazine L’Express avait cependant usé à son encontre de ce terme abominable : “négationniste”. Du coup, Vanneste, pas content, avait porté plainte. Le procès devait avoir lieu. Mais le procès n’aura pas lieu. Pourquoi ? Eh bien, le dossier, pardi, le dossier a disparu. Furieux, il écrit : « Lorsqu’une démocratie privilégie des minorités, elle n’est plus une démocratie. » Mais de quelles minorités parle-t-il ?

 

LE LOURD SOMMEIL DE MOSCOVICI

 

Les media internationaux en font des gorges chaudes. Pierre Moscovici s’est assoupi en pleines négociations européennes sur Chypre. Apparemment, ça ne passionnait pas plus que cela. Mais il s’en défend : « Non, je ne dors pas pendant les négociations », vient-il de tweeter. L’honneur de la France étant en jeu, nous voici rassurés… Au fait, à propos de Chypre : le ministre turc des Affaires européennes, Egemen Bagis, commentant avec ironie la crise financière à Nicosie, vient de déclarer : « La Turquie est prête à soutenir la partie grecque de Chypre si elle souhaite adopter la livre turque. » La partie nord de l’île grecque est occupée depuis 1974 par la Turquie. Mais peut-être Moscovici finira-t-il, comme la Belle au Bois dormant, par se réveiller au bout d’un siècle, d’un long, très long sommeil ?

 

LA “MORALE LAÏQUE” DE PEILLON

 

Le ministre de l’Education, Vincent Peillon, détaille la mise en place de cette nouvelle discipline, qui sera enseignée dans nos écoles dès 2015. Cet enseignement aura sa place, des programmes de CP jusqu’en terminale. Les auteurs de ce projet sont Alain Bergougnioux, secrétaire national à l’éducation du PS, un professeur féminin de philosophie de l’éducation (on craint, à raison, le pire) et le conseiller d’Etat Rémy Schwartz. Le but de cette nouvelle discipline ? « Enseigner et faire partager les valeurs de la République. » Elle inculquera aux élèves « des notions de morale universelle, et non religieuse, telles que le vivre ensemble (que c’est beau !) et l’égalité homme-femme en insistant sur le principe de laïcité. » Mais attention ! Les enseignants devront « veiller à ne blesser aucune conscience tout en transmettant des valeurs communes à tous les enfants, quelles que soient leurs croyances religieuses. » Mais ne s’agit-il pas d’un bourrage de crâne, digne des plus estimables dictatures ? Pas du tout ! Le Pingouin, qui a réponse à tout, comme tous les pingouins, démine le terrain : les cours de morale ne sont pas voués à enrégimenter les élèves, mais à « permettre à chacun de construire sa liberté dans le respect de celle des autres. » Il n’y a que les imbéciles pour se sentir obligés de le croire…

 

POURQUOI TANT DE HAINE À L’ENCONTRE DE FRIGIDE BARJOT ?

 

Le vote du projet de loi en faveur du mariage homosexuel a eu lieu, il y a quelques jours. Parmi ses opposants les plus déterminés, Henri Guaino a voté oui. Par erreur, il avait appuyé sur le faux bouton. Il est vrai que ce n’était pas si simple que cela. Il fallait choisir un des trois boutons : pour, contre et abstention, ce qui, dans le climat de coup d’Etat qui régnait à l’Assemblée, a considérablement ému Guaino, qui s’est trompé. Mais, rassurez-vous, il a corrigé son vote auprès des services. Pendant ce temps, Frigide Barjot était exfiltrée de l’Assemblée nationale sous les quolibets des pro-mariage gay, qui lui ont lancé : « Raciste, nazie, facho ! », ce qui est profondément injuste. Elle croisa, dans un état second, Jean-Luc Romero, conseiller régional homosexuel PS d’Ile-de-France, qui lui dit son fait. Frigide, après s’être extirpée de la foule, a tweeté plaintivement, dénonçant la “haine” et la “violence” dont elle avait été victime. Ça lui apprendra… Après tout, elle aurait pu se faire accompagner de quelques skinheads pour assurer sa protection.

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mercredi, 08 mai 2013

ATTENTION, cette semaine au Local : conférence vendredi 10 mai à 19 h 30, avec Serge Ayoub et Roland Hélie...

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17:06 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 07 mai 2013

Le 7 mai...

imagesCA9WSTNL.jpgPieter Kerstens

En 1919,  naissance de Eva Duarte de Peron à Los Toldos en Argentine.

Mais  le 7 mai  en 1954, c’était  la chute du camp retranché de Dien Bien Phu. Ni capitulation… Ni reddition !

Et pour ces milliers de vaincus commence une lente descente aux enfers, l’apprentissage du désespoir. Mais ce qu’ils ne savent pas, parce que personne ne leur a jamais dit, c’est que la liberté était en marche et venait à leur rencontre.

Car si la presse du monde entier annonce, en première page le 8 mai 1954, la défaite française et la perte irrémédiable de l’Indochine, les tribus montagnardes, elles, se soulèvent. Par milliers, les maquisards se mettent en route et libèrent des villes abandonnées précédemment par les Français et occupées par les troupes de Giap. Dien Bien Phu appartient au Viet Minh, mais tout l’arrière pays leur échappe ! Jamais les volontaires méos n’ont été aussi nombreux et enthousiastes dans la jungle, les vallées et les forêts du Nord Tonkin et du Nord Laos…alors que semble triompher l’ordre rouge. Ly Séo Nung et ses partisans ont repris Lao Kay à la frontière de Chine, ainsi que Laï Chau, et ses guerriers vêtus de noirs sont arrivés en vue d’Eliane 2, le 8 mai.

Ce même jour, le colonel Godard commandant la colonne Crèvecœur a reçu l’ordre de faire demi-tour pour rentrer au Laos alors qu’il ne restait plus que 50 kms pour aboutir à Dien Bien Phu. Il aurait rencontré les maquisards de « Malo » et « Servan », venus de la plaine des Jarres, plus de 2.000 méos autour de leur roi Touby Liphong, allié de la France dès l’invasion japonaise. Après des semaines de marches harassantes dans la jungle, des escalades de pitons calcaires, le franchissement d’innombrables rivières et vallées, ils sont sans doute partis trop tard. Mais qu’auraient-ils pu faire face aux 60.000 bo-doïs du Viet Minh ?

Et la France a délibérément ignoré le sort qui attendait les dizaines de milliers de montagnards qui attestaient les armes à la main dans les hautes vallées d’Indochine, leur refus d’être livrés, pieds et poings liés, aux Tonkinois, ces étrangers qu’ils avaient toujours combattus. Honte à Mendès France !

Et jamais cette question n’a été posée aux Vietnamiens « A Dien Bien Phu, vous avez capturé 11.721 soldats de l’Union française, valides ou blessés. Après les accords de Genève, vous nous en avez rendus 3.290. Ils en manquent 7.801. Que sont-ils devenus ? »

J’ai eu la chance de pouvoir parcourir, l’automne dernier, le nord du Tonkin sur plus de 3.000 km. Ce circuit en boucle, de Hanoi à Haiphong, en passant par Mai Chau, Son La, Dien Bien Phu, Cha Pa, Bao Ha , Yen Binh, Bac Quang, Quan Ba, Yen Minh, Coc Pan, Cao Bang, Dong Khe, Na Cham, Dong Dang, On, Bac Ninh, et Ha Long m’a permis de visualiser le cadre décrit dans les multiples ouvrages concernant la guerre d’Indochine (de 1945 à 1954).

Ce périple « sur les traces de la Légion Etrangère » était aussi l’accomplissement d’une promesse faite à deux anciens képis blancs -à des périodes différentes- si d’aventure j’allais au Viet Nam, je rechercherais les lieux historiques et j’irais aussi me recueillir, en mémoire du sacrifice des dizaines de milliers de soldats tombés pour la défense du drapeau français et des valeurs qui s’y rattachent (courage, fidélité, patrie, famille, honneur, abnégation ou ténacité).

A Dien Bien Phu se trouvent d’immenses monuments érigés à la gloire de l’Armée de Libération du Vietminh, commandée par le génial et illustre général GIAP au service de l’Oncle HO ; monuments qui écrasent les visiteurs étrangers par la hauteur de leur suffisance. Pour ma part j’ai ignoré la propagande marxiste (nous étions selon mon guide, mon épouse et moi, les seuls touristes étrangers à ne pas vouloir visiter le champ de batailles, le musée et le mausolée) et je me suis rendu au monument de l’armée française.

Ce petit obélisque se situe dans le quartier Thanh Truong, près de la reconstruction du tunnel De Castries. Très rares sont les visiteurs qui se recueillent là, dans ce carré chargé de symboles, de sang et de sacrifices, d’explosions et d’exploits, de victoires et d’humiliations.

Ce monument a été érigé grâce à l’obstination de Rolf Rodel, sous-officier de la Légion et ancien combattant du Front de l’Est. En effet selon certaines sources, la Légion Etrangère avait enrôlé 35.000 soldats allemands issus des camps de prisonniers, au lendemain de l’armistice, dont plusieurs dizaines de sous-officiers et certains officiers, très compétents et efficaces, pour un engagement de 5 ans. Partout ailleurs au Tonkin, à Lao Kay ou à Lay Chau, à Ha Giang ou à Dong Van, à Meo Vac ou à Bao Lac, à Cao Bang ou à Dong Khe, à That Khe, à Lang Son, Dong Trieu ou Haiphong,  RIEN ! Vae  Victis …Mais, « la gloire est le soleil des morts », R.I.P.

Au Tonkin, en novembre 2012, plus aucune trace d’un siècle de présence française. TOUT a été effacé, martelé, éradiqué. Subsistent encore les passerelles volantes au-dessus des rivières, des poteaux en béton portant les câbles électriques, quelques rares maisons coloniales et le chemin de fer qui n’a subi aucune amélioration ni modernisation ces 60 dernières années…

10:30 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lille : une Synthèse réussie...

timthumb.jpgFranck Abed cliquez ici

Une synthèse réussie, une diérèse pour nos ennemis

D’un côté, il y a la République, entité sûre d’elle et dominatrice, dont le projet connu et reconnu est la mise à mort de la fille aînée de la Maison de Dieu… De l’autre, il y a Synthèse Nationale, un groupe d’hommes de bonne volonté, courageux, dont l’antienne déjà ancienne est « vive la France »… Entre eux, le fossé est grand, presque insurmontable, et le dénouement incertain…  Clotho file et Atropos prépare ses ciseaux… Et aucun oracle n’est rendu…

Une synthèse réussie.

Le dimanche 28 avril 2013 s’est joué un nouvel acte de la tragédie républicaine qui oppose depuis plus de 200 ans les sectateurs du Grand Architecte aux fidèles de Saint Michel Archange, saint patron et protecteur de la France… En effet, furent réunis près de Lille, dans une ancienne bâtisse champêtre, sous l’égide bienveillante de Roland HELIE, Arnaud RAFFARD de BRIENNE (écrivain, spécialiste de la désinformation) – Lionel BALAND (un camarade belge spécialiste des droites nationalistes européennes) – Luc PECHARMAN (responsable régional de la Nouvelle Droite Populaire) – Thomas JOLY (secrétaire général du Parti de la France) – Serge AYOUB (porte-parole de 3e Voie ) – Robert SPIELER (délégué général de la NDP) – Filip DEWINTER (invité d’honneur, député et porte-parole du Vlaams Belang) – et Franck ABED, lors de la première journée régionale de Synthèse Nationale. Et cette grande première fut une réussite ! Car, malgré les pressions politiques, policières, journalistiques, malgré la lâcheté d’un élu républicain de « l’Union Militante Philosémite », et malgré les menaces et la corruption dont furent victimes les propriétaires qui louaient aimablement leur local, chacun d’entre nous a pu discourir librement et apporter sa pierre à l’édifice français, sapé continuellement depuis la révolution prétendument française. Et c’est cela que nous retenons !

Fi des divergences, des différences, des discordances, des dissonances, et rassemblons nous sous une même bannière, celle de la France éternelle, éducatrice et évangélisatrice des peuples !

Et en nom Dieu, que les hommes d’armes combattent, et Dieu donnera la victoire !

10:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 06 mai 2013

Cet homme est dangereux et son dernier livre encore plus... surtout pour les trotskistes !

Le Trotskisme dégénéré, Patrick Gofman cliquez ici

12:01 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Demain, fera-t-il jour ?

Le billet de Patrick Parment

Je ne suis pas en mesure, comme tous ces messieurs et dames « Soleil » journalistico-médiatiques, d’évaluer à sa juste mesure le bien fondé de la politique des sbires du sieur Hollande. Sauf, comme de bien entendu,  d’estimer l’immense désordre social qu’a instauré cette gauche à la morale tout aussi élastique que celle de la droite : Cahuzac, Guéant, fausses déclarations de patrimoine de nos élus, j’en passe et des meilleurs. J’en retiens surtout la casse sociale, les entreprises qui ferment et qui laissent sur le carreau des ouvriers et en suspend des savoir-faire qui nous distinguent, et de loin, des pays asiatiques et de toute leur quincaillerie.

Je n’oublie pas pour autant que nous sommes en pleine crise du capitalisme financier et que Hollande, pas plus que Sarkozy, ne cherchent ou n’ont cherché, à sortir d’une logique économique qui plombe non seulement notre pays mais encore l’Europe entière. Cette absence de volonté d’en sortir montre bien que nous sommes toujours en dépendance et sous perfusion. Le récent procès fait à l’Allemagne est stupide, Merkel défend ses intérêts au nom des principes mêmes de cet américano-libéralisme qui régit l’ensemble de nos économies.

Et, pour ne rien arranger, on a un patronat idiot, stupide et cupide. Sauf, qu’ici aussi, il faut distinguer entre les baltringues du CAC 40 qui jonglent avec les hommes et les salaires comme au casino et la majorité des petits patrons de nos PMI-PME qui font tourner la boutique.

Il y a une France de la connivence – grands patrons et classe politico-médiatique qui verrouillent tout et surtout la parole – et une France du travail où se côtoient petits patrons, artisans et commerçant. Sur ce terrain-là, on n’entend nullement les grandes gueules habituelles qui vont de Copé à Mélenchon en passant par tout le petit personnel qui vit peinard aux frais du contribuable (syndicalistes, élus, certains fonctionnaires, etc.)

Les grands discours, les promesses et le baratin habituel du politiquement correct de cette classe politico-médiatique, les Français n’en veulent plus. Ils en sont las. Ils veulent que l’on dresse d’autres perspectives qui redonnent à ce continent sa vigueur. Ils veulent retrouver la niaque  de leurs ancêtres. Au risque de casser le joujou démocratique qui n’engraisse que des porcs.

11:11 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 05 mai 2013

Dans l'Hexagone de François Hollande...

ps-hollande.jpgGeorges Feltin-Tracol

Europe Maxima

Dans l’Hexagone de François Hollande, il ne fait pas bon être opposant. Ce triste constat se vérifiait déjà au temps de l’atlantiste Nicolas Sarközy. À cette époque oubliée par quelques demeurés droitards sans cervelle, ni mémoire, désormais fans d’une véritable imposture appelée la « Droite forte », C.R.S. et gendarmes arrêtaient avec une violence certaine les manifestants hostiles aux pièces de théâtre blasphématoires, en particulier la pièce de Romeo Castellucci, Sur le concept du visage du fils de Dieu. Des manifestants courageux tentèrent d’interrompre certaines représentations et se firent arrêter. Prévenus d’entraves de manière concertée à la liberté d’expression, par voies de fait, destruction ou dégradation et violence, ces victimes du politiquement correct risquent d’après l’article 431 – 1 du Code pénal  45 000 € d’amende et trois ans d’emprisonnement. Qu’en pensent Amnesty International, la Ligue internationale des droits de l’homme et Human Rights Watch si prompts en général à dénoncer les législations iranienne, russe et bélarussienne ?

Pigiste à l’hebdomadaire bourgeois mondialiste Charlie Hebdo, Sigolène Vinson rapporte que « leur action se doublait d’actes subversifs constituant à balancer des poules puantes ou à souffler dans des sifflets à roulette (1) ». De vrais actes terroristes… « À l’audience, la présidente rappelle les termes de la commission rogatoire, faisant état de propos tenus par les manifestants : “ Le Seigneur vous pardonne ” “ Allez au diable ”, etc. (2) ». De pareils mots bafouent vraiment la sacro-sainte (sic !) laïcité républicaine et la dignité de policiers guère habitués à de telles « injures » probablement plus scandaleuses que les insultes proférées par la racaille des banlieues de l’immigration…

Ce « deux poids deux mesures » est une caractéristique constante de la part des pseudo-autorités ripoublicaines. Alors que quatre militants de Génération Identitaire pâtissent de conditions draconiennes inacceptables de contrôle judiciaire parce qu’ils ont osé organiser l’occupation pacifique du chantier de la future grande mosquée de Poitiers, les FemHaine qui investissent, seins nus, la nef de Notre-Dame de Paris, beuglent leur joie à l’abdication de Benoît XVI et saccagent les nouvelles cloches, n’ont qu’un simple contrôle d’identité…

Ces faits ne sont pas isolés; ils se répandent plutôt. Le 18 octobre 2012, le président d’Entraide-Solidarité, François Maris, fut placé en garde à vue pendant dix-sept heures. Pourquoi ? Parce qu’il défendait un couple de harkis à Gorniès dans l’Hérault. Les gendarmes l’accusèrent d’« installation en réunion sans autorisation d’un mobil-home » (un délit puni de six mois de prison !), et de… « génocide » ! Vite conscients de l’absurdité des accusations, les pandores enquêtèrent alors sur le « vol d’une banderole » ! Puis, comprenant que l’objet du délit avait été récupéré dans une décharge, ces Sherlock Holmes de bas-étage retinrent finalement une banale « installation d’une habitation légère en un lieu non autorisé ».

Le Régime aime terroriser. Outre des pressions psychologiques et sociales sur l’entourage de ses proies, il n’hésite pas à instrumentaliser le fisc contre ceux qui lui tiennent tête. Suite à un redressement fiscal, l’humoriste Dieudonné a été condamné à une amende d’un million d’euros. On cherche ainsi à museler les grandes gueules. À leur faire peur aussi. Le 18 novembre 2012, les FemHaine agressaient les paisibles manifestants de Civitas qui, voyant l’inaction des policiers, réagirent avec vigueur. Or, raconte Aurélien, l’une des victimes de ces hystériques, « le mercredi 28 novembre à six heures précise, j’ai été réveillé par les forces de l’ordre (le S.I.T. [Service d'investigation transversale, une unité de la police nationale hexagonale chargée des enquêtes pour motif politique] plus précisément) qui m’ont menotté dans mon lit, une arme à feu braquée sur ma tempe. J’ai ensuite fait quarante-huit heures de garde à vue et quinze heures de dépôt (une sorte de prison sous le tribunal de Paris) et je suis désormais sous contrôle judiciaire avec interdiction de sortir du territoire Français, et l’obligation de pointer tous les quinze jours au commissariat de ma ville, tant que le jugement ne sera pas rendu. J’ai un travail, je n’avais pas de casier judiciaire, j’ai été traité comme un terroriste, alors que c’est nous qui avons été agressés ! Il y a eu quatre autres interpellés ce même jour… […] Nous risquons 45 000 € d’amende et trois ans de prison, sans compter les dommages et intérêts (3) ».

L’action policière contre des personnes solvables et honnêtes a atteint son point culminant au moment des démonstrations de force de la « Manif pour tous ». Suite à des manœuvres provocatrices d’agents infiltrés parmi les manifestants, le 24 mars 2013, des enfants ont été gazés par les lacrymogènes des forces du « désordre » établi ! Conditionné à s’élever à la seconde près contre les soi-disant violences policières à l’Est ou ailleurs dans le monde, le Parlement européen, cette pétaudière inutile, a gardé un silence éloquent et n’a nullement protesté contre la centaine d’interpellations et les six gardes à vue ! La République a maintenant ses prisonniers politiques.

Quant aux prisonniers d’opinion, après l’historien dissident Vincent Reynouard, voici le président de l’Œuvre française, Yvan Benedetti, et le responsable des Jeunesses nationalistes, Alexandre Gabriac, d’être poursuivis pour des motifs futiles par une justice devenue par enchantement d’une rare intransigeance. Incapables d’empêcher les « nouvelles attaques de diligence » dans le R.E.R. D en Île-de-France ou des T.E.R. en Provence – Alpes – Côte d’Azur ou l’épidémie de kalachnikovite aiguë dans les quartiers marseillais, le Pouvoir préfère réprimer les « factieux ». Il faut dire que les risques sont souvent bien moindres face aux familles, aux jeunes gens sympathiques et aux « veilleurs » que devant la voyoucratie des banlieues lourdement armée.

Les responsables du désordre public légal ont en effet reçu des consignes précises, iniques et grotesques. Le 1er avril dernier, venu depuis l’Aisne pour passer quelques jours dans la capitale avec son épouse et leurs six enfants, Franck Talleu est arrêté par les agents du parc du Luxembourg, conduit une heure au poste et poursuivi par le ministère public. Qu’a donc commis cet honorable père de famille ? A-t-il agressé une personne âgée qui promenait son chien sous le contrôle vigilant des pervenches des caniveaux ? Entraîné ses enfants dans une salle de shoot ou bien payé son séjour parisien grâce au compte singapourien de Jérôme Cahuzac ? Non, Franck Talleu a fait pire. Il portait, ce jour-là, un maillot de corps sans slogan, ni inscription, de la « Manif pour tous ». Il a d’abord été verbalisé pour « port d’une tenue contraire aux bonnes mœurs ». On hallucine ! Voilà pourquoi la Gay Pride ne passe jamais par ces jardins… Devant l’énormité du motif, le procès-verbal a ensuite été modifié (4). Fort de ce précédent incroyable, les gendarmes ont ensuite réprimé une douzaine de personnes au même endroit pour le port de maillots semblables. « Interpellés, emmenés au poste, écrit Delphine de Mallevoüe, certains ont été fouillés et ont subi un interrogatoire de une à deux heures, avant de recevoir un P.V. [pour] organisation d’une manifestation ludique sans autorisation spéciale [ou] gêne à la tranquillité des promeneurs par affichage ostentatoire d’éléments relatifs à une manifestation interdite (5) ». Ces zélés fonctionnaires auraient-ils ainsi agi devant les solides gaillards des Jeunesses nationalistes, de Génération Identitaire, du Renouveau français ou du G.U.D. ?

Une telle entrave à la liberté d’expression réelle (on n’est pas dans un théâtre subventionné !) est somme tout cohérente venant d’un Système mortifère qui proscrit le voile intégral musulman. La police du vêtement et des tenues va de pair avec le flicage de la pensée. La peste du politiquement correct contamine tout. En raison d’un risque supposé de troubles à l’ordre public (toujours la même rengaine), la journée régionale de Synthèse nationale dans le Nord a été interdite, Synthèse nationale devant même payer un millier d’euros au maire U.M.P. de Marcq-en-Barœul. Fort heureusement, l’équipe nordiste a pu trouver une autre salle, ailleurs, et la réunion prévue du 28 avril s’est bien tenue. Elle a été un succès. Le fait est révélateur qu’il est maintenant difficile pour les résistants au Nouvel Ordre mondial d’organiser des réunions publiques et de trouver des salles.

Sous le prétexte fallacieux de maintenir la « légalité républicaine », le Régime entend frapper fort afin de contenir, voire d’étouffer, tout mouvement protestataire durable. Dans la nuit du 14 au 15 avril, soixante-sept « campeurs illégaux », les « veilleurs », âgés de 18 à 25 ans, ont été raflés et placés en garde à vue. Stéphane Kovacs évoque des gardes à vue de quarante-quatre heures ! Outre « la fouille – intégrale -, la prise d’empreintes, les photos de face et de profil, “ comme des criminels ” (6) », ces nouveaux prisonniers politiques « ont dû se soumettre à des tests A.D.N. et seront inscrits au fichier (7) ». Or le fichage génétique ne concernait à l’origine que les affaires de terrorisme et les crimes sexuels. « La Manif pour tous n’est pas du tout appréciée en haut lieu… » avance Amicie, une étudiante de 25 ans interpellée qui a eu droit à une confidence de policier (8). Sur la même place près du Palais-Bourbon se tiennent régulièrement des manifestations d’étrangers clandestins sous l’œil placide des policiers. « Les délinquants sont ici ceux qui ont le front de s’opposer au Pouvoir pour des raisons de conviction », écrit la philosophe Chantal Delsol (9). Taubira adore tellement les délinquants qu’elle en crée de nouveaux…

Les exactions policières témoignent de l’étroite connivence de l’appareil d’État aux mains de l’hyper-classe mondialiste avec les racailles allogènes des banlieues annoncée en son temps par Éric Werner qui voit son hypothèse validée. La protection des sites officiels implique pour l’heure « moins de sécurisation des cités et plus de mission pour protéger les palais nationaux (10) », affirme un officier des forces mobiles.

Un an après l’élection du « capitaine de pédalo (heureuse expression de Jean-Luc Mélenchon) » « Flamby le Pépère », une ambiance de fin de règne s’installe dans la population. Des comités de hués de ministres se lèvent partout dans le pays. Certes, les conditions de 1992 quand les membres du gouvernement socialiste ne pouvaient plus circuler ne sont pas encore réunies. En outre, parier sur une convergence des luttes entre les opposants de l’Ayraultport à Notre-Dame des Landes, la colère sociale incitée par la fermeture massive d’entreprises et l’Accord national interprofessionnel (A.N.I.) qui nie les droits des salariés, et le combat sociétal contre le mensonger « Mariage pour tous » relève de l’impossibilité tactique, faute d’investissements militants tangibles dans le syndicalisme et l’action écolo-agricole. Les tensions actuelles traduisent néanmoins un ras-le-bol patent du pays réel. Son réveil pourrait à terme provoquer un anti-Mai 68 ou un contre-4 Septembre 1870. On comprend que pour les hiérarques faillis du Pouvoir, la répression, c’est maintenant !

Notes

 

1 : dans Charlie Hebdo, 6 février 2013.

2 : Idem.

3 : entretien d’Aurélien avec Laurent Bayard, La Voix de la Russie, 13 décembre 2012.

4 : La contravention porte sur « organisation d’une manifestation ludique dans le jardin du Luxembourg sans autorisation spéciale », dans Emmanuel Ratier, Faits & Documents, du 15 au 30 avril 2013, p. 9.

5 : dans Le Figaro, 9 avril 2013.

6 : Stéphane Kovacs, dans Le Figaro, 24 avril 2013.

7 : Stéphane Kovacs et Jean-Marc Leclerc, dans Le Figaro, 16 avril 2013.

8 : Stéphane Kovacs, dans Le Figaro, 24 avril 2013.

9 : dans Le Figaro, 25 avril 2013.

10 : cité par Jean-Marc Leclerc, dans Le Figaro, 16 avril 2013.

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Bruxelles : des femen ridiculisées pour avoir voulu ridiculiser un archevêque !

518839005.jpgYves Darchicourt

Mgr André Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles participait le 26 avril dernier à un débat portant sur l'homoparentalité - une déviance sociétale qu'il pourfend avec assiduité - à l'Université libre de la capitale du royaume de Belgique. Un débat brutalement interrompu par l'irruption d'un groupe de "femen" dépoitraillées et vociférantes qui ont aspergé d'eau l'ecclésiastique, lequel est resté imperturbable...s'attirant ainsi - de l'aveu même de son contradicteur (Guy Haarscher, ancien enseignant de philosophie en cet établissement et "homoparentaliste" convaincu) - la sympathie de l'auditoire estudiantin qui ne lui était pourtant a priori pas favorable.

Par ailleurs, la présence inaccoutumée - pour ce genre de débat universitaire -  d'une dizaine de journalistes avec leurs photographes a clairement démontré que les médiacrates avaient été avertis de l'agression qui allait être commise sur le religieux (ou pourquoi pas l'avait planifiée avec ces "dames") d'autant que - toujours selon Guy Haarscher - les plumitifs et leurs acolytes sont repartis quasiment "bras dessus dessous" avec les folles-dingues. 

Quoi qu'il en soit la sarabande des hystériques, leurs gestes honteux sur un vieil homme et leurs criaillements auront eu comme résultat immédiat de déconsidérer les partisans de l'homoparentalité catalogués comme des agressifs et des sectaires. Un peu comme à Paris où tout un chacun peut mettre en parallèle la bonhommie des familles défilant pacifiquement contre le mariage "homo" avec la fureur des militants des lobbies ambigus et la brutalité de la police politique de l'état socialiste. Et puis ces pauvres bêtes aux mamelles peinturlurées  - dont on attend la même prestation sur un imam ou un rabbin, mais cette fois sous l'oeil obligatoirement courroucé des médias - ont finalement été ridiculisées par le flegme de Mgr Léonard, elles ont une fois de plus discrédité le féminisme sauce soixante-huitarde réchauffée et donné à penser que décidément monsieur Vladimir Poutine - embastilleur de femen et autres pussy riot - était bien sympathique.

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Derrick interdit : et si on fermait Volkswagen ?

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Philippe David

Boulevard Voltaire

Horst Tappert, le célèbre inspecteur Derrick, a donc appartenu à la Waffen-SS. Aussitôt l’information révélée, la ZDF, qui produisait la série, a décidé de suspendre toute rediffusion de cette série – vendue dans une centaine de pays -, ce qui en fait, semble-t-il, la série non américaine la plus diffusée au monde. Quant à la chaîne néerlandaise Omroep MAX, elle a décidé de déprogrammer la série, tout comme France 3

Reste quelques questions. Si Derrick doit disparaître des écrans de la chaîne publique allemande au nom de la dénazification, il faudrait que nos voisins d’outre-Rhin fassent plus. Ils devraient, par exemple, fermer Volkswagen, fondée sous l’impulsion de Hitler, et qui fournissait les Kübelwagen à la Wehrmacht et à la SS.

Ils devraient aussi exiger la fermeture de ThyssenKrupp, leader européen de l’acier, puisque les deux familles Thyssen et Krupp finançaient le parti nazi et fabriquaient l’acier des chars et des balles qui semaient la terreur partout en Europe.

Il faudrait également dissoudre BMW et Mercedes, ces deux sociétés ayant fabriqué, entre autres joyeuseries, les moteurs des Focke-Wulf Fw 190 et des Messerschmitt Bf 109, les deux chasseurs les plus produits par l’Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale.

Sans oublier, cela va de soi, la quasi-totalité de l’industrie chimique allemande qui fabriqua à cette époque une vaste gamme de produits, de l’essence synthétique au Zyklon B.

Enfin, si on bannit Horst Tappert des écrans, ne devrait-on pas également interdire la diffusion des « Carmina Burana » (Carl Orff ayant été le « compositeur officiel » du régime nazi), interdire les livres de Günther Grass (prix Nobel de littérature, qui fut lui aussi membre de la Waffen-SS), et bannir Heidegger des cours de philo de terminale (celui-ci ayant été adhérent au NSDAP) ?

Mais, peut-être qu’interdire Derrick d’écran cinq ans après sa mort devrait valoir à ceux qui pratiquent cette censure d’un nouveau genre la médaille de la Résistance…

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Dans Rivarol de cette semaine, un important article sur la réédition de "l'Historisme de Jacques Doriot et du PPF" édité par Les Bouquins de Synthèse nationale. Il y a quelques semaines, le Cercle Non Conforme de Lille consacrait un article à ce livre :

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Source Cercle Non Conforme de Lille cliquez ici

Bernard-Henri Lejeune, Historisme de Jacques Doriot et du Parti Populaire Français, Tome I : avant la défaite de 1940, Les bouquins de Synthèse Nationale, 2012

L’historisme de Jacques Doriot et du Parti Populaire Français est un recueil de documents paru en 1977 à l’initiative de Bernard-Henri Lejeune, qui fut militant de l’organisation de jeunesse du PPF et resta fidèle à son engagement toute sa vie. La première partie, préfacée par Roland Hélie, est parue en 2012 et la deuxième, inédite, va paraître courant 2013. Je vais porter une critique sur ce premier volet, qui présente la pensée de Jacques Doriot et de son parti jusqu’en 1940, année de la défaite française.

Les textes rassemblés permettent de mieux cerner la doctrine du PPF, mais également d’éclairer le contexte d’avant guerre, marqué par un ensemble de crises, politique, sociale, économique, géopolitique. Il m’est apparu à la lecture de ces 130 pages, qu’il est difficile de faire abstraction de notre temps présent, bien qu’il faille toujours se garder de diachronies simplificatrices.

Le livre présente de nombreux textes : le discours de fondation du mouvement, son programme, son organigramme, le chant du mouvement, et d’autres textes issus de meeting ainsi que quelques éclairages historiques postérieurs.

Le PPF porte une réflexion à la croisée des chemins. Le premier paragraphe du premier texte « Le rendez-vous de Saint-Denis », écrit par Pierre Drieu la Rochelle en est une parfaite illustration : « Ca ne marchera pas : il y avait des gens de droite dans la salle de la mairie de Saint-Denis qui regardaient des gens de gauche et qui leur souriaient. » assènent péremptoirement deux journalistes. « Erreur fondamentale, qui est dans chaque mot. » répond Drieu la Rochelle.

A la lecture de l’ouvrage nous sentons l’influence de la pensée socialiste (Proudhon, Fourier, Saint-Simon, …), malgré quelques freins à abattre totalement le capitalisme, ainsi qu’une très grande défiance face au communisme, incarné par l’URSS, ennemi numéro 1 d’après le PPF. Jacques Doriot, comme Drieu La Rochelle, dépeignent l’URSS comme une expérience socialiste ratée, qui a trahie la révolution ouvrière, où l’aristocratie bourgeoise a été supplantée par l’aristocratie soviétique. Le parti communiste français est présenté comme un mouvement piloté de l’extérieur par Staline, dépourvu de volonté propre et servant les intérêts de l’URSS avant ceux des travailleurs Français. Le chef du PPF parle même d’un « national-soviétisme » impérialiste. Il est utile de rappeler ici que Jacques Doriot fut un cadre du PCF, élu de la banlieue rouge à Saint-Denis et non un réactionnaire anti-communiste de droite. D’ailleurs le programme du PPF est clair, il veut combattre le « conservatisme social », favoriser l’émancipation des travailleurs, en permettant d’allier progrès technique avec progrès social tout en cherchant à éviter que l’homme soit au service de la technique. Autant de réflexions qui trouvent leur écho dans la pensée du XXe siècle.

Un autre thème du livre m’a semblé important, la position du PPF sur les colonies. A l’instar de la plupart des mouvements hexagonaux, le PPF est favorable aux colonies. Mais le PPF a une vision très intéressante à ce sujet. Particulièrement sur la situation de l’Algérie. Tout d’abord Victor Arrighi, ancien communiste, secrétaire du PPF et délégué à l’Algérie, s’oppose à l’assimilation, estimant que les « indigènes » doivent conserver leur culture propre et qu’ils ne deviendront jamais des Français, à quelques exceptions prêts. Il plaide en faveur de l’association (comme dans l’Empire britannique). Il en profite pour aborder le cas des Juifs, en particulier ceux d’Afrique du nord. D’après lui, l’antijudaïsme consistant à considérer que les Juifs sont tous des traîtres, des lâches, responsables de tous les malheurs est une erreur. En revanche, il pointe du doigt le décret Crémieux de 1871, qui a donné la citoyenneté française aux Juifs d’Algérie, estimant que ce fut ici une grave erreur, car les Musulmans refusaient d’être dirigés par des Juifs (révolte de El Mokrani) en plus de créer de nouvelles formes d’inégalités. Aussi, il n’hésite pas à dire que « le racisme, ce sont les Juifs qui l’ont inventé ». Ensuite, il s’insurge sur le fait que les gouvernements français successifs ont toujours favorisés le commerce extérieur au détriment du commerce des colonies. Ainsi, d’après l’auteur dont le discours fut prononcé au deuxième Congrès national du parti, la France achetait du vin Portugais ou Grec alors que les producteurs Marocains, Algériens et Tunisiens peinaient à vivre de leur production. Le raisonnement s’applique au commerce du coton ou du blé. Pour le PPF, la France, avec ses colonies, pouvait vivre de façon autarcique et favoriser en même temps le développement des territoires colonisés, les « indigènes » pouvant écouler leurs productions en métropole (en plus de créer à terme un marché intérieur aux colonies). Enfin, le PPF défendait la position selon laquelle les colonies devaient être la fierté de la France, ouvrir des perspectives à la jeunesse française et permettre de former l’élite de la nation. Le PPF avait aussi une idée claire sur le travail dans les colonies et s’insurgeait sur le fait que des métropolitains travaillent comme « composteurs de tickets de tramway » alors que les autochtones étaient en capacité d’occuper ses emplois sur leur propre sol. In fine, le parti avait la politique suivante, priorité aux emplois des Français puis priorité à celui des Musulmans face au travailleur étranger. Le PPF fut le principal parti d’Algérie et une bonne partie des élus du PPF le furent en Algérie. Des élus Français mais aussi Musulmans, selon la terminologie en vigueur à l’époque.

Un autre thème du livre, tout à fait d’actualité, a suscité mon attention. Il s’agit de la réflexion du PPF sur l’Etat. Le parti de Doriot n’hésite pas à trouver une filiation entre le Parti Jacobin de la révolution française et les états totalitaires* soviétique, allemand et italien, sur lesquels il exerce une critique. Le PPF, qu’on sent proche d’une certaine forme de fascisme, a pourtant une position sur l’état assez pondérée. L’état doit être fort et doit arbitrer les conflits sociaux et économiques. Nous percevons la vision d’un Etat régulateur, tellement honni par les libéraux. En revanche, le PPF est favorable à ce que les communes puissent avoir une certaine autonomie en matière sociale (proudhonisme ?) et à ce que les régions tiennent une place conformément à ce qu’était la tradition française d’Ancien Régime. L’Etat doit donc être fort, sans devenir « totalitaire », laisser une autonomie locale et séparer drastiquement les différents types d’élections. Drieu la Rochelle préconise ainsi dans un des textes proposé que le Président soit élu de façon indépendante des autres échelons et du Parlement. Toutes ses idées se retrouveront lors de la création de la Ve République… De fait le PPF ne se considère pas comme un « parti fasciste » mais comme un « Parti français » car, sans renier une certaine proximité avec le fascisme, il considère que chaque pays doit tracer sa voie selon sa propre tradition politique. Il fait le constat que les nationalismes se sont repliées sur eux-mêmes, au seul service de leur nation (Italie, Allemagne, Chine, URSS, etc…). Dans le programme politique déjà, une phrase courte, limpide, tranche la question comme un coup de poignard : « on ne peut pas faire d’internationalisme tout seul. »

A la lecture du livre, vous découvrirez bien d’autres aspects du parti, de la carrière politique et de la personnalité de Jacques Doriot, de son rapport avec les autres mouvements, de gauche comme de droite. La volonté de maintenir la paix, alors que le Traité de Versailles n’est plus respecté, que la SDN paraît impuissante et les politiques incapables de dialoguer avec l’Allemagne et d’empêcher l’ingérence du parti communiste. Mais en définitive, un chapitre m’aura particulièrement interpelé et m’apparaît comme une leçon de pensée politique française : « le mouvement et les hommes » (pp.65 à 74) où Jacques Doriot sur ces quelques pages donne sa vision sur ce que doit être un mouvement porteur d’idées et sur les hommes qui le compose. Il met en avant l’importance de l’idée et son maintien dans la durée sans céder aux turpitudes du temps. Le « Grand Jacques » délivre une pensée qui me semble particulièrement féconde et des principes sur lesquels un mouvement révolutionnaire se doit de reposer.

« La conquête d’un pays est plus difficile que la satisfaction d’ambitions personnelles. »

La lecture de cette première partie de l’historisme est donc particulièrement vivifiante et amène à se poser de nombreuses questions doctrinales autant qu’historiques. Le livre est enrichi d’un cahier photo noir et blanc présentant l’Emancipation nationale, journal dont Pierre Drieu La Rochelle était éditorialiste, ainsi que Jacques Doriot en tant que responsable politique, mais aussi dans sa vie personnelle. Nous regretterons juste le prix de l’ouvrage (18 euros), qui le rend peu accessible aux bourses des plus jeunes et des plus modestes.

* les discours du PPF utilisent le terme de totalitaire, je le reprends donc pour rester fidèle à la pensée du parti.

Jean

Note du C.N.C.: Toute reproduction éventuelle de ce contenu doit mentionner la source.

Le livre est en vente à Lille à la boutique Tribann cliquez là

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Roger Holeindre sera au Congrès nationaliste à Villepreux samedi 11 mai :

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1er mai solidariste à Bruxelles à l'initiative du Mouvement Nation

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Samedi 25 mai à Paris : la voie eurasiste...

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Samedi 25 mai, à Lyon : conférence de Tomislav Sunic

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09:55 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 04 mai 2013

Manifestation du dimanche 12 mai (10 h, Place de la Madeleine à Paris) : des cars de provinces sont organisés...

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11:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bouteflika exècre la France sauf… quand il est malade !

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Gabrielle Cluzel

Boulevard Voltaire cliquez ici

Nous venons de l’apprendre par Algérie Presse Service, Abdelaziz Bouteflika, hospitalisé au Val-de-Grâce depuis samedi, a rassuré et remercié les citoyens algériens. « Alors que je continue à recevoir des soins médicaux, je tiens à remercier Dieu tout-puissant de m’avoir permis de me rétablir et d’être à présent sur la voie de la guérison », a écrit le président de la République algérienne dans un message à l’occasion de la fête des travailleurs. « Je tiens également à rassurer mes chers compatriotes et à les remercier pour leurs prières et leurs messages de sympathie », a-t-il ajouté.

C’est drôlement gentil, ça, de penser à remercier tout ce monde-là. Mais l’agence algérienne de presse a sûrement oublié un petit paragraphe. Je ne vois nulle mention – comme c’est étrange – des médecins militaires français qui l’ont pris en charge, des contribuables français qui rémunèrent ces derniers, des pov’ soldats, dont certains revenaient peut-être blessés du Mali, que l’on a bien dû pousser un peu pour lui faire une place VIP, et de la République française toujours aussi bonne fille et hospitalière. Parce que, soyons clairs, si Abdelaziz n’avait réellement compté, pour sa guérison, que sur son Dieu tout-puissant et sur les prières et la sympathie de ses compatriotes, on ne voit pas bien pourquoi il aurait quitté son cher pays et se serait envolé fissa vers la France.

Il est vrai qu’étant mieux placé que personne pour connaître l’état des hôpitaux de son pays, il s’est peut-être dit que, pour lui aussi désormais, c’était la valise ou le cercueil. On peut aimer Allah et ne pas avoir envie de le rejoindre trop vite. Las, tout le monde n’a pas la latitude d’en faire autant. Car s’il peut remercier ses compatriotes d’avoir veillé sur sa santé, je ne sais si la réciproque est vraie. Quel que soit le regard que l’on puisse porter sur la colonisation en Algérie, il est néanmoins à peu près unanimement reconnu qu’il fut un temps où il n’était pas besoin d’être président de la République ni de faire partie de l’élite algérienne, pour être soigné, et bien soigné, par des médecins militaires français. Un temps où il n’était pas besoin de prendre l’avion pour cela. Enfin grâce à Dieu et à Bouteflika, tout cela est révolu.

Je ne sais du reste qui sort la plus humiliée de cette déclaration : la France, toujours cocue, toujours battue, toujours contente dès lors qu’il est question de près ou de loin de l’Algérie, s’empressant par la voix cauteleuse de son ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, de souhaiter un bon rétablissement à Bouteflika, « qui en tant que président de l’Algérie, est un ami de la France » (autant vous dire que si la France n’a que des amis comme ça…) et se prenant, en retour, ce camouflet… Ou l’Algérie, dont le Président, sitôt qu’il se sent en petite forme — il a déjà été opéré fin 2005 à —, fausse compagnie à ses compatriotes, déserte les hôpitaux locaux tout juste bons sans doute pour la plèbe (je vous aime bien les gars, merci pour « vos prières et vos messages de sympathie », mais il faut bien dire que question médecine, vous êtes quand même de vraies billes…), et vient toquer — pourquoi se gêner — à la porte de la France qu’il va arrêter d’exécrer et de conspuer cinq minutes, juste le temps du scanner. Enfin vous savez ce que c’est, la santé, ça prime sur tout, même sur l’idéologie et la décence.

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HYPERCLASSE : le fils Fabius se fait encore griller...

thumb_small_thomas_fabius_pics_390.jpgSerait-il moins doué que son père ? « Déjà condamné en 2011 pour une affaire d’ »abus de confiance » dans laquelle il avait opté pour une procédure de « plaider-coupable », Thomas Fabius est de nouveau dans le collimateur de la justice.

Cette fois, le parquet de Paris s’intéresse aux conditions d’achat d’un somptueux pied-à-terre acquis l’an passé pour sept millions d’euros. En juin 2012, le fils de Laurent Fabius, tout juste âgé de 31 ans, s’offre l’ancien appartement du réalisateur Claude Zidi. Un 280 mètres carrés situé au 199 bis d’une des artères les plus huppées de la capitale. Thomas Fabius a expliqué au Point avoir financé son achat par un emprunt bancaire assorti d’une mystérieuse garantie. D’autres sources impliquées dans la vente évoquent des gains de jeu…

Comment le fils du numéro deux du gouvernement, qui ne paie pas d’impôt sur le revenu alors qu’il est résident fiscal en France, a-t-il pu acquérir un bien de sept millions d’euros sans que les services de Bercy cherchent à en savoir plus ? À notre connaissance, Thomas Fabius n’a fait l’objet d’aucune enquête fiscale. Et cela, malgré un signalement de Tracfin, le service chargé de repérer les circuits financiers clandestins. »

 

Source Le Point, via PdF cliquez ici

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vendredi, 03 mai 2013

Un colloque sur les municipales avec Jacques Bompard les 8 et 9 juin à Orange...

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Samedi 11 mai, congrès nationaliste du Renouveau français à Villepreux...

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jeudi, 02 mai 2013

Journée Flandre - Artois - Hainaut de Synthèse nationale : la conférence politique (dimanche 28 avril, 16 h 00).


Robert Spieler, ancien député, fondateur de la NDP, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Filip Dewinter, député d'Anvers, porte-parole du Vlaams belang

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VENDREDI, C'EST LE JOUR DE RIVAROL...

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Samedi 25 mai, états-généraux contre le Hallal...

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Le samedi 25 mai 2013, à Paris, se dérouleront les Etats généraux du respect du consommateur et du bien être animal à l’abattoir.

Y seront abordés les thèmes de la production et distribution alimentaire de masse, du contrôle industriel et de la traçabilité, mais aussi de la dérogation halal et des risques sanitaires en découlant, ainsi que des absurdités gustatives. Tous ces thèmes formant un véritable enjeu de civilisation !


La journée est organisée par l’association Vigilance Halal, avec la participation de scientifiques, éleveurs, vétérinaires, associations de protection animale, journalistes, juristes et parlementaires dans un cadre pluridisciplinaire afin d’étudier toutes les facettes du problème.

Liste des premiers intervenants : (mise à jour au 30/04/2013)

Pr Sami Aldeeb, suisse d’origine palestinienne, professeur de droit arabe et musulman : "l'interdiction de l'abattage rituel en Suisse"

Dr Jean Louis Thillier, expert indépendant européen en toxicologie : "l'Escherichia Coli"

Dr Yves Lahiani, véterinaire praticien : étude comparative de l'abattage « moderne » et de l’abattage halal

Dr Alain Dubos, pédiatre,membre fondateur d’une association humanitaire (MSF) : "les risques du halal sur les enfants"

Me Dassa le Deist, avocat : "les recours juridiques".

Dr Jean Paul Richier, psychiatre : « souffrance animale : les traditions confrontées à la science, et leur influence sur la psychologie collective »

Nicolas Dhuicq, député de l’Aube : auteur d'un projet de loi sur l'étiquetage spécifique.

Pr Mouthon, de l'Ecole Veterinaire de Maisons Alfort

Denis Yvray, éleveur

Richard Roudier, syndicaliste agricole

Alain De Peretti, vétérinaire : bilan des actions menées par Vigilance Halal.

Prix d'entrée : 6 euros

Renseignements, inscriptions en ligne et pré-inscriptions cliquez ici

22:59 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 01 mai 2013

Journée Flandre - Artois - Hainaut de Synthèse nationale : la seconde table ronde (dimanche 28 avril, 14 h 30).

Luc Pécharman, NDP et organisateur de la réunion, Serge Ayoub, Porte-parole de 3e Voie, Roland Hélie, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France

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Lundi dernier à Paris : la manif du Printemps français contre la répression policière

23:30 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Recherche « plan cœur » désespérément...

Randa Philippe ao-t 2010 Portrait.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Pour s’aimer, rien ne vaut notre époque, parait-il…

Oui, c’est certain. Quoique… Dans le même temps où des voix s’élèvent pour qu’on en finisse avec ce qui a toujours été le plus vieux métier du monde (la prostitution), les sites de rencontres pour célibataires foisonnent. Certains sont des « géants » (Meetic, Attractive World, etc.), tandis que bien d’autres sont plus confidentiels (euphémisme !)… Et il y a ceux dont on ne se lasse pas de découvrir les noms : adopteunmec.com, quiportelaculotte.fr, hommepansement.fr, adultere.fr, amours-bio.com, etc. ; on en passe et des plus folkloriques encore !

Tous offrent la possibilité de cet amour tant espéré, tant désiré, tant réclamé et si difficile, si fragile, si délicat… tous les lecteurs de Delly, de la collection « Arlequin » et de Guillaume Musso vous le confirmeront.

Et dans un autre registre qui se confond pour beaucoup d’aventuriers du cœur ou du corps – c’est selon et pourquoi pas compatible à l’occasion – tous les lecteurs des romans Pierre Louÿs, des Onze mille verges de Guillaume Apollinaire ou des bandes dessinées de Manara ; ils vous le confirmeront itou.

Bref, de tous temps, les femmes et les hommes ont été confrontés au même soucis pour « pécho »… pendant une heure, quelques années, voire une vie entière, « l’autre » idéal(e) et disponible. Surtout idéal(e). Ou surtout disponible, c’est selon.

Aujourd’hui, pour beaucoup, la grande partie de chasse se fait sur internet… En clair, on drague sans bouger de chez soi, en pantoufles et à l’économie, grâce à ces fameux sites pour célibataires à la recherche de la grande sensation, sentimentale ou orgamisque, comme jadis à celle du temps perdu…

Quoiqu’il en soit, c’est toujours la même histoire : on cherche l’âme sœur pour une nuit ou pour toute la vie, si on décele dans les « tchats », plus ou moins rapidement, la seule perspective d’un « plan cul » ou la réelle aspiration à convoler en juste couple, voire en justes noces si pas moyen d’y échapper.

Stéphane Rose s’est penché sur l’envers de ces « clics amoureux » dans un livre(1) peu optimiste sur cette pratique contemporaine.

À l’en croire, les désillusions sont grandes. Plus grandes, en tout cas, que la réalisation de ce qu’on est venu y chercher. Et en tout cas, peu gratifiant pour l’amour-propre de ces aventuriers de l’union amoureuse. Car on ne se vante pas plus de courtiser l’âme sœur sur le net que de fréquenter les dames (ou les messieurs) de petites vertues.

« C’est fun de dire qu’on chope des plans cul en ligne mais, pour l’amour, c’est comme si c’était trop noble pour être trouvé via Internet. Des sites comme Meetic et consorts ont d’ailleurs conscience de cette gêne. Depuis peu, ces sites organisent des “soirées spéciales où l’on peut rencontrer pour de vrai des célibataires”, dans un bar. Pour faire plus réel », constate l’auteur.

Tout change pour que rien ne change, finalement… Autrefois, on organisait des rallyes pour marier sa progéniture dans son milieu naturel(2), mais ce n’était et ne reste réservé qu’à une certaine classe sociale, coût de la plaisanterie oblige… ou on allait au bordel pour satisfaire ses envies les plus pressantes ou supporter plus facilement le quotidien de son mariage.

La drague virtuelle n’est donc pas la solution à cette insatiable, incessante – et pour une grande part de l’humanité à jamais inaccessible – quête d’une réunion « de deux forces contraires, parallèles et de même intensité. »

Et dangereux avec ça… Figurez-vous, rapporte encore Stéphane Rose, qu’« à titre personnel, (il a) presque toujours rencontré des femmes qui mentaient sur leur âge, leur poids, leur métier ou leur ville. Leur photo du profil avait été prise il y a dix ans ou sous un angle avantageux… mais le mensonge le plus commun, c’est de faire croire que l’on est libre. Beaucoup de gens vendent des débuts d’histoires d’amour et une fois qu’ils ont tiré leur coup, disparaissent. »

Franchement, on a peine à le croire !

 

Notes

(1) Misère-sexuelle.com, le livre noir des sites de rencontres, Ed. La Musardine/Document, 15 euros à paraître ; demain 2 mai !

(2) « Aujourd’hui, ils servent surtout à créer un réseau social et professionnel futur » (http://news.madame.lefigaro.fr).

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Journée Flandre - Artois - Hainaut de Synthèse nationale : la première table ronde (dimanche 28 avril, 11 h 30).


Arnaud Raffard de Brienne, spécialiste de la désinformation, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Lionel Baland, spécialiste des Droites nationales en Europe, Franck Abed, écrivain monarchiste et catholique

00:19 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 30 avril 2013

« Il est indispensable de démonter pièce par pièce le véhicule funèbre du trotskisme. Il faut dresser son bilan historique,falsifié par lui-même avec le même cynisme crapuleux que le stalinisme, son frère ennemi »

couv2.jpgEntretien avec Patrick Gofman, auteur du livre Le Trotskisme dégénéré (éditions Les Bouquins de Synthèse nationale)

(propos recueillis par Fabrice Dutilleul).

 

Naufrage avec son concurrent stalinien

Pourquoi la chaloupe trotskiste coule-t-elle avec le Titanic stalinien ? Parce qu’elle est à sa remorque ! Depuis 1938, le trotskisme, dans ses mille et une chapelles, se présente comme la direction alternative du prolétariat révolutionnaire mondial. La disparition du pouvoir soviétique, l’effondrement électoral et moral du PCF devrait donc ouvrir un boulevard aux trotskistes ? Eh bien, non. Les remous de l’immense naufrage stalinien entraînent vers le fond les frêles esquifs de son opposition de gauche. Patrick Gofman décrit ici avec précision, brièveté, références, hu­mour et cruauté, les dégénérescences parallèles des staliniens et des stalinains, leur choc fatal avec l’iceberg de l’Histoire, leurs derniers gargouillis dans l’eau glaciale.

Eh bien, Monsieur Gofman, vous tirez sur les ambulances, à présent ?

Les corbillards, vous voulez dire ? Oui, c’est bien triste. Mais il est indispensable de démonter pièce par pièce le véhicule funèbre du trotskisme. Il faut dresser son bilan historique, falsifié par lui-même avec le même cynisme crapuleux que le stalinisme, son frère ennemi.

Mais quelle importance ?!

Le stalinisme et son appendice trotskiste se sont emparés d’un mythe – utopie ou uchronie, si vous préférez – permanent et fondamental de l’humanité : le communisme. « Partageons tout en frères ». Ils ont souillé, défiguré, empoisonné ce beau rêve. Il ne faut pas permettre que l’ultra-libéralisme mondialiste l’enterre pour mille ans avec ses falsificateurs.

De quoi vous mêlez-vous ?

De mes oignons. J’ai donné ma jeunesse (1967-79) au trotskisme, dans sa variante « lambertiste », la plus sectaire et dogmatique. Mon expérience et ma documentation m’autorisent à montrer la dégénérescence et la nature criminelle du bolchevisme intégriste. Du moins, je veux ouvrir la voie à des historiens plus compétents, tout comme mon roman Cœur-de-Cuir (Flammarion, 1998) a été suivi d’autres révélations.

Le trotskisme dégénéré de Patrick Gofman, 134 pages, 18 euros, éditions Les Bouquins de Synthèse nationale, dirigée par Roland Hélie. Cliquez ici ou cliquez là

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