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mardi, 28 mai 2013

En Hommage à Dominique Venner...

imagesCA81S50O.jpgGilbert Sincyr

Ecrivain

 

Le sacrifice de sa vie que vient d’accomplir Dominique Venner, dans l’espoir de susciter  un sursaut de défense identitaire dans notre peuple, est à la hauteur de ce que fut l’homme. C’est l’acte d’un chevalier qui a mené toute sa vie un combat, au service de valeurs qu’il plaçait au plus haut. Lui qui disait » Le choc de l’histoire, nous le vivons sans vraiment le savoir ni le comprendre », lui l’avait compris, et le définissait par un terme : Le mondialisme.

 

Mondialisme des requins de la finance, mondialisme d’une immigration-invasion, mondialisme d’une religion de « fraternité » entre tous les hommes, mondialisme de « valeurs » occidentales destinées à unifier le monde sous ses références « démocratiques » que sont le fric, le sexe et la religion. Et c’est contre cela que Dominique se battait, car il avait trop de respect pour les autres civilisations, les autres cultures, pour les voir, elles aussi, disparaître au profit d’un universalisme réducteur, faux et dangereux.

Et son combat nous concernait évidemment au premier chef. Tout comme il comprenait la révolte des autres peuples, refusant de disparaître dans le maelström mondialiste, il animait la révolte des européens qui voulaient sauver leur propre civilisation. Ce combat était le centre de sa pensée, son exaltation, sa mission. Il voulait nous faire prendre conscience de notre héritage culturel, de nos traditions, fondatrices de notre civilisation multi millénaire, du danger mortel qui les menace, et donc de notre devoir impérieux de les défendre si nous voulons garder notre identité.

Et, en décidant de se donner la mort dans la cathédrale de Paris, il a voulu une dernière fois défier le symbole même du mondialisme, à savoir la religion chrétienne. En faisant le choix de son sacrifice, il a voulu montrer l’indépendance, et la liberté de l’âme humaine, face à la loi du Dieu universel de la religion universaliste, qui se veut seul détenteur de la vie des hommes. Il nous a donné l’exemple absolu de la liberté de l’homme, celui du choix de sa fin.

Dominique Venner a voulu par son acte dramatique et symbolique, nous réveiller. Il a voulu nous faire prendre conscience du gouffre dans lequel nous allons sombrer si nous ne nous arrachons pas à cette somnolence consumériste mondialiste. Il a choisi de donner sa vie, pour que vive notre héritage qu’il appelait « L’ordre d’Homère ». Ce faisant il nous met devant nos responsabilités. Non seulement celles de poursuivre un combat que nous menions avec lui depuis bien longtemps, et les récentes manifs-pour-tous s’inscrivent dans ce combat, mais aussi, et surtout, celles d’amplifier et de gagner ce combat.

Comme il le disait : « Je suis un Français d’Europe, et je n’existe que par mes racines, une tradition, une histoire, un territoire ». Aussi Dominique je peux t’assurer qu’à ton exemple, tous les Français qui se sentent européens par l’histoire et la culture, tous, garderont au cœur le formidable exemple que tu fus, et tous te remercient d’avoir été, toujours, à la tête du combat commun, le symbole même de la droiture et de la force de caractère, en un mot de l’âme européenne.

Note

Dominique Venner et Gilbert Sincyr ont très souvent emprunté les mêmes chemins: Tous les deux en Algérie, dans les commandos. Puis Dominique avec l’OAS, et Gilbert avec Salan pour sauver ses camarades Harkis. Aussi en Politique, contre le communisme, dans des mouvements nationalistes. Enfin dans le culturel, Gilbert avec la Nouvelle Droite et la production de plusieurs livres d’histoire, Dominique avec la direction de plusieurs revues et une importante  production littéraire de très haute tenue. Tous deux dans un combat commun, contre le mondialisme économique, culturel et religieux, et pour la défense des valeurs européennes rassemblées sous le vocable de Tradition. 

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ASSEZ DE DELIRES ! Dimanche, il n'y a eu qu'une seule violence : celle des larbins du Système !

2409503886.JPGRoland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Depuis lundi la presse aux ordres ne cesse de nous rabâcher que, dimanche soir, des scènes de violence ont ponctué la grande manifestation populaire contre le gouvernement et contre ses lois antifamiliales. Il est temps de remettre les pendules à l'heure.

Dimanche soir, afin de satisfaire les fantasmes de celui que l'histoire retiendra sous le nom de Manuel Gaz, les miliciens du Système ont dégagé, avec une violence inouïe, les milliers de jeunes patriotes qui avaient la suffisance de se livrer à des actes inqualifiables pour les tenants du pouvoir, à savoir : chanter la Marseillaise et brandir des drapeaux tricolores. Ce sont en effet les flics qui se sont livrés eux-mêmes, comme les films qui commencent à circuler sur la toile l'attestent (cliquez ici), à des provocations sans nom afin de légitimer la violence de la répression. Sans ces provocs, il est clair que la soirée se serait terminée, comme lors de chacune des précédentes manifs, dans le calme et la bonne humeur.

Combien de voitures incendiées ? Combien de vitrines brisées ? Aucune ! Dimanche soir, il n’y avait, à la grande déception des "autorités", ni casseurs, ni racailles parmi les manifestants présents. Il y avait là juste une jeunesse qui est en train de prendre conscience que le Système mondialiste l'exploite et que le combat contre la loi Taubira n’est qu’une étape, une jeunesse qui commence à crier sa révolte. Cette prise de conscience, à juste titre, Hollande, Valls le gazeur, Taubira l'anti-France et leur clique en ont peur. Ils savent jusqu'où cela peut mener. Cela peut en effet mener à une véritable révolution. Une révolution nationale et conservatrice qui remettrait en cause les pseudo valeurs mondialistes et soixante-huitardes auxquelles ils sont tant attachés et qui, à petit feu, tuent notre nation et anéantissent notre identité.

Oui, dimanche la seule provocation, c'était la présence surdimensionnée des forces de police qui ont tout fait pour que la manif dégénère. Il y a des précédants. Rappelez-vous, dimanche 12 mai dernier, lors de la manifestation contre le mondialisme organisée par les forces nationalistes devant la statue de Ste Jeanne d'Arc, les flics, avec la collaboration de leurs auxiliaires les Femen, ont aussi tenté une provoc similaire afin de nous discréditer. Sans l'intervention opportune du Service d'ordre des JNR (cliquez là), Manuel Gaz aurait alors plastronné en dénonçant les "violences d'extrême droite"... Manque de chance pour lui, le 12 mai, l'"extrême droite" a été plus maline et plus réactive que prévu et les flics n'ont pu embarquer... qu'un seul manifestant.

En fait, dimanche soir, afin de ne pas désavouer le pouvoir moribond qu’ils sont sensés défendre, pouvoir qui avait tant claironné auprès de qui voulait l'entendre que cette manif, qui a rassemblé plus d'un million de Français dans une ambiance bon enfant, devait inévitablement déborder à un moment ou à un autre, les flics se sont comportés en véritables larbins d’un Système qui les méprise tout autant que les manifestants. Alors, oui, arrêtons les délires et remettons les pendules à l’heure…  

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Revue de presse. Exclusif : une infiltrée chez les Femen

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Source Valeurs actuelles cliquez ici

Exclusif. Iseul fait partie des "Antigones". Cette jeune étudiante en droit a infiltré le mouvement des Femen pendant deux mois. Récit d’une immersion dans un système qui tient de la secte et de l’agence de com.

« Beaucoup de personnes dans mon entourage désapprouvaient les actions des Femen, mais personne ne faisait rien. J’ai voulu m’engager. Les voir de près, pouvoir en parler ». Jeune étudiante en droit de 21 ans, Iseul – un prénom d’emprunt – a rejoint les Femen début avril. « Je les ai d’abord contactées pour leur dire que je voulais participer à leur lutte. Pas de réponse. J’ai alors décidé d’aller les voir, en prétextant une demande d’autographe. Je me suis présentée au Lavoir Moderne Parisien, un ancien squat qu’elles occupent, dans le quartier de la Goutte-d’Or. Quand Oksana, l’une des Ukrainiennes fondatrices du mouvement, m’a signé mon autographe, je me suis lancée, je lui ai dit que je voulais les rejoindre. Elle ne m’a pas posé de questions, elle m’a simplement répondu : "Viens demain à l’entraînement". »

Car les Femen s’entraînent. Tous les samedis, les « soldates » - une vingtaine de jeunes filles –passent plus de deux heures à améliorer leur résistance physique et à intégrer les modes d’actions des féministes ukrainiennes. Iseul a participé à six de ces séances. « On court en rond en criant des slogans comme « Pope no more », « In gay we trust » ou « Topless Jihad ! », raconte-t-elle. On fait des pompes, des abdos. On apprend aussi comment obtenir des photos spectaculaires : comment tomber au sol, comment disposer les bras, comment se comporter avec les policiers… » Sur le terrain, l’intervention de la police est un moment-clé. Les militantes ont ordre de demeurer sur le « théâtre d’opération » jusqu’à l’arrivée des forces de l’ordre. « Inna [Chevtchenko, la fondatrice] le répète sans cesse : la police n’est pas notre ennemi mais un partenaire, un moyen de faire des images, du bruit médiatique. »

Cette obsession de l’image est depuis le départ, en Ukraine, au cœur de la  mécanique des Femen. Leurs entraînements hebdomadaires au Lavoir Moderne sont toujours filmés et ouverts aux journalistes. « Alors que je venais de participer à mon premier entraînement, que je ne connaissais donc personne, et que personne ou presque ne me connaissait, j’ai dû m’exprimer face à une télévision flamande voir la vidéo, dire pourquoi je menais ce combat, etc. C’était insensé », raconte Iseul. Être prête à parler, à se montrer, à se dénuder. « Elles ont besoin de visages et de paires de seins. Comme ce n’est pas facile de se mettre nues, une sélection s’installe entre les filles qui sont prêtes à le faire, qui pourront donc participer aux actions, et les autres, qui quittent alors le mouvement ou sont cantonnées à des tâches administratives. »

Comme de nombreuses organisations militantes, les Femen fonctionnent sur le principe des cercles concentriques. Il y a d’abord les milliers de sympathisantes, essentiellement actives sur les réseaux sociaux, outil indispensable à tout mouvement de ce type, mais sans réelle proximité. Les militantes actives constituent le deuxième cercle, beaucoup plus restreint : une vingtaine de jeunes femmes.  Enfin, au cœur du dispositif, se trouve le premier cercle, formé par deux des fondatrices ukrainiennes, Inna et Oksana, et trois Françaises. Ces cinq personnes maintiennent un contact permanent avec la "base" restée en Ukraine, qui constitue encore la tête pensante du mouvement, mais elles communiquent très peu avec le second cercle. « Il n’y a pas de dialogue, ni d’échanges d’infos, explique Iseul. Pour une militante, c’est presque angoissant. On ne sait pas ce qui se prépare, ou seulement au dernier moment. Le mouvement est très hiérarchisé et très opaque. »

Un combat pour quelles idées ? « Ce qui m’a le plus surpris, raconte Iseul, c’est précisément qu’on ne parle pas beaucoup d’idées. Rien à voir avec le féminisme intello auquel on est habitué en France. Elles sont beaucoup plus dans l’action. » Et de décrire une ambiance où le narcissisme, amplifié par la nécessité d’exposer son corps et le désir d’être à l’affiche, les querelles d’ego et l’autoritarisme presque militaire des meneuses supplantent largement tout débat. Du reste certaines idées vont de soi ; elles font partie du manifeste du groupe ou des questions systématiquement posées aux nouvelles candidates : êtes-vous prêtes à lutter contre la prostitution, contre les dictatures, contre l’Église ? « Les fondatrices reprochent aux Françaises d’être trop bourgeoises. Elles éprouvent une véritable haine pour ceux qu’elles considèrent comme leurs ennemis », explique Iseul qui pense que cette violence, théâtrale, peut aussi s’expliquer par l’histoire personnelle de certaines de ces Femen.

Pour les approcher, Iseul s’était créé sur Facebook un profil de féministe plus vrai que nature, y glissant notamment des photos où elle posait, seins nus, avec sur son ventre un message de soutien à Amina, une militante tunisienne. Un passeport presque suffisant. Hormis un chèque d’inscription (« que par chance j’ai pu régler en liquide ») et un entretien sommaire, on ne lui a pas demandé de prouver son identité. « En fait, on ne pose pas de questions sur le passé, sur les parcours. On est dans le présent, dans la préparation des actions à venir ou le débriefing des actions menées. ». Des militantes françaises elle a pu dessiner le profil. « Il y avait des profs, une pigiste, des intermittentes, des filles qui avaient connu la prostitution, aussi…  Mues par un désir d’un engagement un peu nouveau, un peu punk, avec une prise de risque. Des filles qui cherchent une certaine reconnaissance, ou qui s’ennuient », analyse-t-elle. Dans cet état d’esprit, le lien de confiance établi, ou pas, avec les leaders du mouvement, joue un rôle décisif. L’organisation du mouvement repose plus sur l’affect, le don de soi (« On demande aux militantes les plus actives d’emménager au Lavoir, de tout quitter ») que sur une organisation rationnelle.

Se définissant comme « une catholique normale », rentrée dans le mouvement précisément en réaction au « traitement médiatique trop indulgent », de l’épisode des Femen à Notre-Dame, Iseul a pu juger de près la complaisance de la majorité des médias. « Ce qui est significatif, raconte-t-elle, c’est que la cote médiatique des Femen a grimpé après les actions anti-Civitas ou anti-catho, mais a subi un coup d’arrêt après l’affaire du drapeau brûlé devant la Grande Mosquée de Paris ». 

Pour Iseul, l’infiltration a pris fin ce samedi, à 15 heures. « J’étais sur le point de participer à une action sur le terrain, explique-t-elle. Éthiquement, je ne voulais pas. On n’a que sa personne à offrir aux Femen. J’y ai passé près de deux mois, parce que je voulais voir. Cela suffit. » Alors qu’elle participait à l’entraînement ce samedi, Iseul a quitté le groupe et décidé de faire connaître sa démarche au public : elle a révélé son appartenance aux "Antigones", un rassemblement de jeunes femmes qui ont conduit cet après-midi une première action spectaculaire contre les Femen, devant le Lavoir moderne. Un mouvement qui affirme que « la femme a sa dignité [qui] ne passe ni par l’exhibitionnisme, ni par l’hystérie » .

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lundi, 27 mai 2013

Manuel Valls : la farce tranquille !

1169430085.jpgYves Darchicourt

Allure martiale, machoire volontaire, regard déterminé... Manuel Valls dans toute la splendeur de l'infléxible et irremplaçable serviteur de l'Etat, un dur, un vrai, un tatoué des valeurs républicaines, des minorités visibles, des lobbies ambigus, de la religion franc-maçonne et accessoirement de la sécurité publique.

L'homme aime poser style gommeux sapé en costaud des batignolles endimanché ou parader genre demi-sel jouant les affranchis, de la franche rigolade pour les flics de terrain et du grandiose pour les magazines "people". Le bellâtre, qui se la joue viril mais n'ose pas sortir à l'air libre sans une escouade de porte-flingues à la puissance de feu d'un destroyer, vient en trois semaines de se prendre des claques retentissantes dignes de l'Auguste de chez Barnum. Son quarteron de putes surexcitées ne s'attire que du mépris de la part de manifestants nationalistes, ses robocops ne parviennent pas à juguler un rezzou de racailles tropicales, ses insinuations fielleuses n'empêchent pas les familles françaises de venir manifester en masse à Paris et ses flicaillons infiltrés et encagoulés - aussi reconnaissables que s'ils portaient le chapeau melon et les chaussures à clou des Dupont(d) - tentent vainement de transformer les manifestants en casseurs et en pillards. 

Pépère doit commencer à la trouver saumâtre l'inefficacité budgétivore du Manuel. D'autant, que sur un plan plus général, il n'a guère brillé par ses résultats : on n'a jamais tant tué à Marseille ni trafiqué, extorqué, violé dans les "quartiers", ni vu de clandestins se la jouer arrogants. Une seule réussite : transformer encore plus de policiers en percepteurs et faire rentrer encore plus de sous par radars interposés...allez expliquer au citoyen que c'est pour son bien. Qu'il profite encore des ors de la Ripoublique le Manuel, d'une façon ou d'une autre cela ne durera guère et il redeviendra un citoyen "ordinaire". Et alors là...

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Jeudi soir, au Local :

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Dominique Venner ou la fondation de l’avenir...

Dominique Venner-.pngGeorges Feltin-Tracol

Le 21 septembre 1972, jour de l’équinoxe d’automne, se suicidait Henry de Montherlant. C’est au lendemain de la Pentecôte chrétienne qui marque la montée du Christ au Ciel, un mardi – jour de Mars – et au mois de la Vierge Marie – mai -, que Dominique Venner s’est donné la mort dans « un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre Dame de Paris que je respecte et admire », précise-t-il dans son testament politique.

À 78 ans, Dominique Venner a librement choisi de se retirer définitivement de ce monde dont il voyait poindre l’avènement du nihilisme triomphant. Il est mort comme il a toujours vécu : en homme debout qui ne plia jamais face à l’adversité. Toute sa vie, il a montré, il a été l’exemple même de la virilité, et pratiqué cette virtu chère à Machiavel et aux vieux Romains. La verticalité faisait sens en lui et a ordonné son existence jusqu’à la fin.

Le jeune parachutiste volontaire qui traquait le fellagha dans le djebel, l’expert renommé des armes, l’activiste pro-Algérie française qui rêvait de renverser par l’opération « Gerfaut » la Ve République naissante, le militant politique qui sut renouer et réinscrire la tradition française dans la continuité européenne, le chasseur réputé dont le patronyme se rapproche si symboliquement de la vénerie, l’écrivain et l’historien à la riche bibliographie, le fondateur et responsable d’Enquête sur l’Histoire, puis de La Nouvelle Revue d’Histoire, l’homme privé, père et grand-père heureux, représentent diverses facettes qui, loin de se contredire, expriment en réalité une cohérence intérieure d’une rare intensité.

En observateur attentif de la longue durée des peuples, Dominique Venner s’inquiétait des signes chaque jour plus visibles de la langueur mortifère de ses compatriotes autochtones. Ce guetteur de l’imprévu historique désirait les voir se réveiller le moment venu. C’est dans cette perspective salvatrice qu’il commit en pleine lucidité un acte ultime.

Par cette action sacrificielle, il a voulu secouer la psyché des Européens, car toute guerre est d’abord psychologique, culturelle, idéologique. Il savait que ce serait le don de soi absolu, l’affranchissement total des siens, de leur amour et de leur amitié, et l’acceptation sereine que son sang vienne, tel un nouveau Saint Chrême, oindre une mémoire collective pas encore amnésique.

« Dans toute guerre, des hommes sont volontaires pour des missions sacrifiées, note-t-il dans Le cœur rebelle (p. 85) ». Cette décision héroïque, Dominique Venner l’a nourrie, méditée, réfléchie patiemment. Dans son billet du 23 avril 2013, « Salut à toi, rebelle Chevalier ! », interrogeant, après Jean Cau, la superbe gravure d’Albrecht Dürer Le Chevalier, la Mort et le Diable, il conclut que « l’image du stoïque chevalier m’a souvent accompagné dans mes révoltes. Il est vrai que je suis un cœur rebelle et que je n’ai pas cessé de m’insurger contre la laideur envahissante, contre la bassesse promue en vertu et contre les mensonges élevés au rang de vérités. Je n’ai pas cessé de m’insurger contre ceux qui, sous nos yeux, ont voulu la mort de l’Europe, notre civilisation millénaire, sans laquelle je ne serais rien ». Il comprend que, au-delà de l’adoption du mariage contre-nature, s’opère un changement d’essence civilisationnelle contre lequel seule peut contrecarrer une ardente et ferme résolution.

S’il a commis le geste irréparable devant l’autel de Notre Dame de Paris, lui le païen qui ne se sentait aucune affinité avec le monothéisme, c’est peut-être parce qu’il a saisi l’urgence du Katékhon, cette figure eschatologique qui retient l’Antéchrist afin de maintenir l’ordre normal du cosmos.

« Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. » Il ajoute dans son ultime billet, « La manif du 26 mai et Heidegger », mis en ligne sur son blogue ce mardi 21 mai dans la matinée qu’« il faudra certainement des gestes nouveaux, spectaculaires et symboliques pour ébranler les somnolences, secouer les consciences anesthésiées et réveiller la mémoire de nos origines. Nous entrons dans un temps où les paroles doivent être authentifiées par des actes ». Il y souligne en outre qu’on trouvera « dans mes écrits récents la préfiguration et les explications de mon geste ».

Dominique Venner n’était pas un désespéré. Il en était même aux antipodes. Déjà, dans Le cœur rebelle, il insistait, lui l’admirateur de Maurice Pinguet, auteur de La mort volontaire au Japon, sur la haute figure du samouraï et de sa dernière métamorphose historique, le kamikaze, le combattant d’assaut qui, au nom de ses principes, se dépasse une dernière fois. « Mourir en soldat, avec la loi pour soi, exige moins d’imagination et d’audace morale que de mourir en rebelle solitaire, dans une opération suicide, sans autre justification intime que l’orgueilleuse certitude qu’on est le seul à pouvoir accomplir ce qui doit être fait (Le cœur rebelle, p. 85) ». Dans des circonstances qu’il a estimées propices, il a proclamé qu’« il faudrait nous souvenir aussi, comme l’a génialement formulé Heidegger (Être et Temps) que l’essence de l’homme est dans son existence et non dans un “ autre monde ”. C’est ici et maintenant que se joue notre destin jusqu’à la dernière seconde. Et cette seconde ultime a autant d’importance que le reste d’une vie. C’est pourquoi il faut être soi-même jusqu’au dernier instant. C’est en décidant soi-même, en voulant vraiment son destin que l’on est vainqueur du néant. Et il n’y a pas d’échappatoire à cette exigence puisque nous n’avons que cette vie dans laquelle il nous appartient d’être entièrement nous-mêmes ou de n’être rien ». « Je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable », répond-il par avance à tous ses détracteurs.

« On ne meurt pas chacun pour soi, mais les uns pour les autres, ou même les uns à la place des autres (p. 57) » rappelle Georges Bernanos dans Le Dialogues des Carmélites. L’altruisme héroïque, combattant et radical défendu par Dominique Venner se concrétise par un acte décisif qui transcende toute une œuvre d’écriture et de réflexions pour rejoindre les antiques préceptes des vieux Romains, en particulier ceux du stoïcien Sénèque pour qui « bien mourir, c’est échapper au danger de mal vivre ». Or, ce mal vivre, par-delà la simple condition personnelle, affecte toute la société française et européenne. Arrive le temps que, « le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences. À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes ». Dans ce contexte mortel pour l’esprit et pour les âmes, « apprendre aux gens à bien mourir est la grande affaire du stoïcisme, écrit Gabriel Matzneff (« La mort volontaire chez les Romains » dans Le Défi, p. 147) ».

Gabriel Matzneff distingue par ailleurs qu’« il y a ceux qui se tuent au nom d’une certaine idée qu’ils se font de la morale privée et publique, au nom d’une certaine idée qu’ils se font de l’homme : ils quittent un monde où les valeurs à quoi ils sont attachés n’ont plus cours et où partout triomphent celles qu’ils méprisent (pp. 164 – 165) ». Dominique Venner appartient à ces derniers. Il récuse en effet avec vigueur l’antagonisme artificiel et fallacieux entre le postmodernisme sociétal hyper-individualiste et le holisme conquérant de communautés allogènes, parfois musulmanes, sur notre continent. Il s’élève contre cette submersion migratoire qui bouleverse la physionomie européenne habituelle. « Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge contre le crime visant au remplacement de nos populations. »

En mettant fin à ses jours, Dominique Venner témoigne qu’une troisième voie autochtone identitaire française et européenne est la seule apte à préserver nos traditions plurimillénaires. Non, ce n’est pas en entérinant l’institution de l’homosexualité, de la famille monoparentale et de l’avortement de masse qu’on fera reculer l’islam et l’immigration extra-européenne. Et ce n’est pas en acceptant l’implantation de minorités étrangères aux mœurs exotiques qu’on rétablira les principes traditionnels de l’Être européen. C’est en les affrontant simultanément que les Européens ne sombreront pas dans le néant de l’histoire. Mais il faudra beaucoup de force morale pour mener de front ce double combat.

Dominique Venner n’a pas manqué de force morale. En allant, une arme à la main, jusqu’au chœur d’un espace consacré, depuis longtemps profané par des masses de touristes, il a resacralisé le lieu. Avait-il en ses derniers instants le souvenir du seppuku du Japonais Yukio Mishima en novembre 1970, et des immolations anti-communistes du Tchèque Jan Palach en janvier 1969 et du militant solidariste français Alain Escoffier en février 1977 ? Plus que marquer l’opinion, Dominique Venner qui savait que toute fondation pérenne exige un sacrifice préalable a surtout semé par sa disparition assumée les germes d’un renouveau continental et poser les assises d’un nouveau cycle boréen au XXIe siècle.

Source Europe Maxima cliquez ici

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Face aux Femen, ANTIGONE EST LA !

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BON SANG, MAIS C'EST BIEN SUR !

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Manuel : 1 MILLION !

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dimanche, 26 mai 2013

La manifestation de Civitas, soutenue par plusieurs mouvements nationalistes dont la NDP, a rassemblé plusieurs milliers de personnes...

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Les manifestants près de l'Opéra

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Alain Escada, Président de Civitas, en tête de cortège

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Carl Lang, Président du Parti de la France, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et membre du Bureau national de la Nouvelle Droite populaire

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Pendant la manifestation, les militants ont distribué des milliers de tracts de Synthèse nationale précisant notre position cliquez ici

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Qui agressent qui ? Les sbires de Manuel gaz ou la jeunesse française ?

 

23:30 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le provocateur en chef Manuel Gaz prend ses désirs pour des réalités...

23:27 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les sbires de Manuel Gaz s'en prennent à la Jeunesse française...

 19 h 00, quartier des Invalides

23:16 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Plus aveugle que jamais, la Préfecture de police de Paris a compté 150 000 personnes....

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Vue partielle de l'esplanade des Invalides, 2 heures avant l'ariivée des derniers manifestants.

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Manifestation patriotique et populaire : le gouvernement a la trouille !

sn 26 mai.jpgYves Darchicourt

Le pouvoir socialiste s'affole ! L'importance croissante du sursaut populaire, non seulement contre les réformes sociétales du Normal et de la Taubira mais plus généralement contre la Ripoublique et ses profiteurs, inquiète les caciques écolo-socialistes à la veille du grand rassemblement patriotique de demain à Paris.

Manuel "Prosper" Valls - celui qui utilise les services de prostituées pour faire perturber les rassemblements nationalistes - vient ainsi de tenter une basse manoeuvre visant à inquiéter et à dissuader les éventuels participants à la manifestation de demain. En visite à la "fête du boudhisme" au bois de Vincennes,il en a profité pour déclarer : " La vérité m'oblige à dire mon inquiétude face aux menaces de débordements de groupes extrémistes" ajoutant que par conséquent, il "déconseille effectivement aux familles avec des enfants de se rendre à cette manifestation".

Pauvre minable réduit à de telles extrémités ! Plusieurs énormes manifestations, des centaines et des centaines de milliers de français dans la rue...pas de voitures brûlées, pas de passants molestés et dévalisés, pas de magasins pillés, les seules violences étant le fait des robocops chargés de gazer des enfants, de renverser des landaus et de matraquer des femmes. Parallèlement, le piteux n'ose pas envoyer ces mêmes robocops mettre fin aux exactions de quelques centaines de racailles exotiques qui fêtaient à leur manière la victoire du PSG chamellisé.

La vérité est que Valls - comme ses comparses gouvernementaux - commence à avoir la trouille. La trouille d'être balayé par le populaire qui pourrait bien, demain ou après-demain et en tous les cas bientôt, le jeter bas de son piedestal, lui demander des comptes et le faire payer -cher- sa perversion politique et sa collaboration à une idéologie mortifère acharnée à détruire notre civilisation. Valls et ses complices collabos ont la trouille, la pétoche, les foies, les grelots, les jetons...il paraît que la peur donne des ailes, alors qu'ils en profitent pour s'en aller, loin et vite !

11:53 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 25 mai 2013

Hommage à Dominique Venner des militants nationalistes de Paris ce matin devant la Cathédrale Notre-Dame...

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Ce samedi matin (cliquez ici), près de 150 militants nationalistes se sont retrouvés, malgré la présence dissuasive de nombreuses forces de police, au pied de la statue de Charlemagne, symbole de l'Europe combattante, sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame de Paris où mardi dernier Dominique Venner s'est sacrifié pour réveiller notre peuple.

Christian Van den Bruck, de la bannière francilienne de Terre et peuple, Francis Bergeron, écrivain et journaliste, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, ont pris la parole afin d'évoquer le sens militant de l'acte ultime de Venner, à savoir la nécessité d’amplifier le combat pour sauver notre civilisation plus menacée que jamais.

Après avoir observé une minute de silence, les participants ont répondu à l’unisson à l’évocation du nom de Dominique Venner : PRESENT !

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Le Printemps français a manifesté vendredi soir devant le siège du Grand Orient :

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DIMANCHE 26 MAI : TOUS DANS LA RUE !

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Samedi, 10 h 30, devant Notre-Dame de Paris : hommage militant à Dominique Venner

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Zone saharienne : quel changement ?

Photo 003.jpgPieter Kerstens

Durant des siècles, les populations nomades ont circulé en permanence de l’Atlantique à la mer Rouge et ces tribus considéraient le Sahara libre d’entraves.

Durant la colonisation  dans toute l’Afrique Occidentale Française les cheiks restaient fidèles à l’Islam primitif des confréries, rempli de superstitions, de pratiques magiques, de saints douteux et de survivances d’un passé fétichiste, y mêlant seulement quelques notions « modernistes ».

L’armée française en Algérie avait la charge de territoires immenses et sauvages. Les unités méharistes, composées de Chaomba notamment, patrouillaient jusqu’à la boucle du Niger au sud, durant de longs mois.

Dans l’extrême sud du Sahara  les harratins, noirs établis dans les oasis avant la conquête arabe, étaient considérés comme des sous-hommes par les commerçants musulmans enrichis par le trafic des esclaves du Soudan.

Dès le début de la rébellion de l’ALN et du FLN, l’immensité du Sahara a servi de labyrinthe aux insurgés. Partout des caches, des points d’accueil et des relais radios furent aménagés en secret. Des armes et des hommes arrivaient de tous les horizons. Des caravanes de chameaux ou de véhicules, entassèrent à certains points du désert, en dehors des puits, des touques d’eau, des « guerbas » et des jerricans de carburant, des armes et des munitions, des vivres et des médicaments.

Seules les unités parachutistes avaient réussi, au bout de longues années,  à vaincre les unités rebelles sur le terrain, mais malgré les sacrifices des « Prétoriens », le 11 décembre 1960 à 16h45, le drapeau  du FLN flottera sur Alger.

De nos jours les terroristes  islamistes occupent les contrées sillonnées autrefois par leurs ainés du FLN. Ils pourraient se cacher dans le Tassili des Ajjers, et pourquoi pas dans le Tibesti, se réfugier dans l’Adrar des Iforas, passer dans l’Aïr Ou Azbine et aussi sur le plateau du Djao ?

Pour les armées présentes ou à venir au Mali, il s’agira de retrouver une aiguille dans une meule de foin et les drones n’y suffiront peut-être  pas. Mais bon courage à la Légion étrangère et aux unités d’élite de l’Armée Française chargées de mettre les « fous de Dieu » hors d’état de nuire !

09:49 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nationalistes européens...

images.jpgJean-Marc Brissaud

Au cœur même de cette Lutèce chère à l’empereur Julien, dans un monde qui n’avait su étancher sa soif d’absolu, il a vécu comme un Spartiate et est mort comme un Romain. On a tant écrit, depuis lors, sur le geste héroïque de Dominique Venner que je n’ose y ajouter. Juste un témoignage.

En 1962, les jeunes gens de ma génération désespéraient de la France. Nous refusions désormais d’intégrer le peloton lors de nos services militaires dans une armée dont nous dénions aux officiers toute légitimité à nous commander. Nous montrions de la répugnance à saluer le drapeau français et à chanter la Marseillaise : deux symboles de l’abandon de notre Algérie par nos aînés. Il nous aura fallu vingt ans et la rencontre de Jean-Marie Le Pen pour de nouveau chanter l’hymne national. A ce dernier nous préférions à tout prendre entonner Les Lansquenets.

À nous qui ne croyions plus en rien, qui n’espérions plus rien, qui désespérions de notre jeunesse, il nous a donné, à cette époque, Pour une critique positive, d’abord, puis la collection des Europe Action. Précieux viatiques ! Nous avons, depuis, aimé et apprécié ce qu’il a écrit : ses livres et ses revues. Mais ce que lui, et d’autres d’ailleurs, ont accompli à ce moment-là fut décisif. Ce que nous lisions dans ses écrits, dans Europe Action, dans Les Cahiers Universitaires, fit de nous des nationalistes européens, oxymore (le mot n’était pas alors à la mode) qui orienta tout notre engagement politique futur.

Nous avions communié dans la défaite de Diên Biên Phu, écouté les récits de jungles et de rizières, nous avions rêvé du soleil algérien, des combats dans les djebels, et de Cette haine qui ressemble à l’amour… Certains mêmes rêvaient d’une autre Afrique, Au pays des lions fidèles. Il nous montra Sparte et Rome. Soudain, Lisbonne et Budapest étaient plus près de Paris que Saigon et Alger. Comme le disait un auteur que nous n’avions pas encore lu, nous pensions « en terme de continent ». L’empire n’était plus au sud mais au nord. Nous avions retrouvé un but, un espoir, un combat : celui de notre plus longue mémoire… Et nous n’allions pas nous arrêter en si bon chemin, Nietzsche et Evola devinrent nos compagnons de route. Ernst Jünger et beaucoup d’autres, aussi.

Certes, beaucoup de ceux que nous étions alors ont empruntés des voies différentes. Il cessa le combat politique. Il nous léga l’amour de la grande Europe, l’Europe impériale de nos rêves.

Et voilà, que le geste tragique qu’a accompli notre camarade va donner à une autre génération, le désir de croire, d’espérer, de combattre… Pour la France d’abord mais, nous l’espérons, demain, pour et avec l’Europe.

Nous avions eu Drieu parmi nous, ils auront « Venner parmi nous »… Grâce à lui, ni eux ni nous, ne sommes désormais plus seuls « au milieu des ruines » !

09:41 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 24 mai 2013

Ce soir, sur Méridien zéro :

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Méridien zéro cliquez ici

09:12 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi, c'est le jour de Rivarol...

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Chez votre marchand de journaux, 3,50 €

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jeudi, 23 mai 2013

Dimanche prochain, la NDP appelle à participer à la manifestation contre la clique Hollande-Valls-Taubira !

sn 26 mai.jpgUn communiqué de la Nouvelle Droite Populaire :

Dimanche prochain, 26 mai, se déroulera à Paris une nouvelle grande mobilisation contre la Loi Taubira. Certains espèrent encore que cette ultime manifestation changera les choses. Que leurs vœux soient exaucés…

Pour notre part, nous pensons que le seul moyen de combattre la Loi Taubira, c’est d’abattre le Système mondialiste dont l’objectif final est l’anéantissement des identités, nationales, ethniques, spirituelles et sexuelles au profit d’un vaste cloaque planétaire uniformisé dans lequel l’être humain ne serait plus qu’un consommateur indifférenciable, docile et juste bon à enrichir les multinationales. La loi Taubira, si ardemment soutenue par l’hyper-classe apatride, n’étant qu’une étape vers la réalisation de ce projet monstrueux.

Voilà pourquoi, au-delà du seul combat contre cette loi, c’est une véritable révolution contre ce Système, dont Hollande, Valls et leur clique ne sont que les petits serviteurs zélés, que nous devons préparer.

Oui, un grand coup de balais est nécessaire.

Parce que nous savons aussi que nous n'avons rien à attendre de la pseudo-opposition parlementaire qui, après avoir joué les fiers-à-bras pour épater les gogos, se raccroche maintenant à un prétendu contrat d'union civile, Dimanche prochain, 26 mai, la Nouvelle Droite Populaire appelle les nationalistes et les patriotes à participer à la manifestation organisée par l’Institut Civitas, à 14 h 30, place du Général Catroux à Paris XVIIe (métro Malesherbes).

Source NDP INFOS Cliquez ici

17:56 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dominique Venner : c'était mardi soir, devant Notre-Dame de Paris...

17:54 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Londres : deux mahométans massacrent un soldat britannique !

2219336051.jpgYves Darchicourt

Hier après-midi à Londres, deux noirs musulmans repèrent un soldat britannique, se jettent sur lui et hurlant "Allah akbar" le massacrent à coups de machette, de couteau de boucher et de hachoir, essayant même de lui trancher la tête avant d'être neutralisés ( hélas seulement blessés) par la police. Ces deux islamistes nigerians - que les Anglais ont l'immense chance d'accueillir chez eux - ont même eu le temps de parader devant les témoins horrifiés et d'expliciter leur geste en arborant armes et mains ensanglantées : "les seules raisons pour lesquelles nous avons fait ceci c'est que des musulmans meurent chaque jour, ce soldat britannique c'est oeil pour oeil dent pour dent (...) vous peuple, ne serez jamais à 'abri".

Haine religieuse, haine raciale ou les deux à la fois peut-être... et bien non ! Pour le maire de Londre, Boris Johnson, "il serait erroné d'accuser l'Islam d'être responsable de ce meurtre... la responsabilité en incombe entièrement et exclusivement à l'esprit tordu et dérangé des auteurs"; quant au premier ministre David Cameron, si (quand même) il y voit "une attaque contre la Grande-Bretagne et le mode de vie britannique", il considère "que c'est une trahison de l'Islam et des communautés musulmanes qui apportent tant à notre pays". Il faut quand même oser pour donner à ce point dans l'hypocrisie, la lâcheté et la veulerie ! Mais que ne feraient pas les collabos du mondialisme pour préserver leur politique et juguler tout sursaut populaire de légitime défense face à l'invasion migratoire et à l'islamisation... d'ailleurs, une centaine de militants de la Ligue de Défense Anglaise (EDL) qui protestaient de cette tuerie devant une mosquée ont été violemment dispersés par la police et deux d'entre-eux arrêtés pour "agression raciste". Sempiternel refrain : le sanguinaire exotique et musulman est une erreur de la nature, le protestataire blanc est une racaille raciste.

Quant aux responsables du Conseil Musulman Britannique ils ont compris le message et condamnent un acte barbare qui n'a aucune justification dans l'Islam...ils devraient relire le Coran ! En attendant, le Royaume-Uni - comme la France, comme l'Europe - crève de l'immigration allogène et de l'islamisation. Que vienne le printemps de l'Europe et le coup de balai salvateur ! Rassemblement - Résistance - Reconquête !

17:40 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante...

P1020980.JPGRobert SPIELER

RIVAROL N° 3094

du 17 mai 2013

 

ÇA S’ÉTRIPE allègrement dans le landerneau politico-médiatique, tendance hystérique. Christine (Boutin) s’est énervée après avoir subi la vidéo de Roselyne Bachelot et d’Audrey Pulvar, sur Canal+, où les deux intellectuelles singeaient un couple lesbien, histoire de se moquer de Cricri.

 

BOUTIN, PULVAR, MONTEBOURG, BACHELOT ET GUÉANT

 

Christine s’est énervée tout en prétendant garder son calme. Elle a déclaré : « Existe-t-il plus homophobe qu’un ancien ministre et une journaliste qui singent des lesbiennes pour m’offenser ? », ajoutant : « Moi je m’en fous de leur niaiserie ». L’ancien ministre UMP, Roselyne Bachelot, ne se sent plus depuis qu’elle passe à la télé. Elle vient de déclarer, car maintenant elle a un avis sur tout, au sujet des très hypothétiques primes de cabinet perçues par Guéant : « Guéant est un menteur ou un voleur ». Dieu, qu’ils s’aiment à l’UMP ! Presque autant que dans l’ex-couple Pulvar/ Montebourg. Si l’on en croit les séries de télé et les films de catégorie C, les femmes blessées sont absolument redoutables. On sait qu’Audrey Pulvar avait été la compagne du ministre du Redressement productif, avant d’annoncer par Twitter (c’est décidément une mode chez ces gens-là), leur séparation. Voici ce qu’elle vient de déclarer : « S’il y a un remaniement avec un gouvernement resserré et que Jean-Marc Ayrault reste Premier ministre, il me semble difficilement compatible qu’Arnaud Montebourg reste. Il fait partie de ceux qui gênent l’action de François Hollande. » Mais qu’a fait Montebourg très précisément pour susciter une telle fureur chez la mégère ? Désolé, je n’ai pas la réponse. Mes recherches dans Voici, France Dimanche, Ici Paris et RIVAROL ont été pour l’instant vaines.

 

HOLLANDE, UN PINGOUIN QUI DÉSHONORE LA FRANCE

 

Les sites internet se sont régalés de cette photo montrant François Hollande déambuler, la braguette ouverte. Très élégant… Pépère était récemment en Chine, pour une visite officielle. Rebelote. Une nouvelle photo suscite l’hilarité des internautes chinois. Toujours la braguette ouverte. Sauf que, pour être objectif, il s’agissait d’un montage que ces coquins de Chinois s’étaient amusés à réaliser. Cela ne montre pas moins l’incroyable discrédit du Président sur la scène internationale. Il est vrai qu’il a fait très fort, ces derniers mois. Recevant à l’Elysée Lakshmi Mittal, Président d’Arcelor Mittal, 62 ans (mais en paraissant moins, à vrai dire), pour évoquer l’avenir des hauts-fourneaux de Florange, il l’avait, après une heure d’entretien, raccompagné sur le perron de l’Elysée, lui lançant cette formule des plus polies : « Best regards to your father » (Toutes mes salutations à votre père). A ce moment-là, Laksmi Mittal se rend compte que le pingouin le prend depuis plus d’une heure pour son fils, et lui réplique froidement : « I’m the father » (Je suis le père). La presse internationale se fait des gorges chaudes des bourdes de François Hollande qui rend hommage aux « dizaines de milliers de Russes » morts durant la Seconde Guerre Mondiale. Il n’y en a eu guère que 22 millions. Et puis, Hollande qui envoie un ministre aux obsèques de Chavez, mais pas à celles de Margaret Thatcher. Et puis, le président qui s’autorisait, au lendemain de l’élection d’Obama, à conclure sa lettre de félicitation par une formule de politesse manuscrite, des plus hasardeuses, “friendly”, ce qui ne signifie pas “cordialement”, mais “sympathique”. Et voici pourquoi la France est la risée du monde.

 

TRIERWEILER AU MALI !

 

Mais que va faire Trierweiler au Mali ? Elle est, paraît-il, en mission (interdit de rire), à l’invitation de l’épouse du président malien par intérim, Diacounda Traoré. Un important déplacement préparé dans le plus grand secret par les diplomates et les responsables de la sécurité, qui n’ont sans doute rien d’autre à faire de leurs journées. Ira-telle se recueillir sur la tombe du chameau de Hollande qui fut, comme nos lecteurs le savent, mangé par sa famille d’accueil ? Ira-t-elle se recueillir sur la tombe du chameau inconnu ? Peut-être pas. Il s’agit, paraît-il, d’un voyage à tonalité humanitaire. Le Rottweiler pourrait notamment œuvrer pour des actions en faveur de l’adoption d’enfants maliens. Que voulez-vous que je vous dise sans tomber sous le coup de la loi ?

 

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NON, CARLA BRUNI NE DIVORCE PAS

 

C’est l’importante information que Carla Bruni vient de délivrer dans une interview au magazine américain Vanity Fair. Elle fait ainsi taire les mauvaises langues qui évoquent depuis des mois l’éventualité d’une séparation d’avec son “Raymond”, comme elle surnomme Nicolas Sarkozy dans une de ses récentes chansons. Elle évoque aussi la période douloureuse de sa grossesse, où des journalistes, méchants en diable, avaient commenté : « Elle est grosse ». Elle pleurniche d’importance : « C’est arrivé à un moment de ma vie où j’étais particulièrement fragile. Je suis plutôt grande avec de bonnes épaules et quand j’avais mes 18 kilos de trop, je ne semblais même pas grosse, j’étais juste horrible. » Carla Bruni suit aujourd’hui une thérapie qui devrait lui permettre de se reconstruire après ces années de souffrance où, pensez, elle se levait toutes les deux heures, la nuit, pour allaiter son enfant. Et elle accompagnait son mari. Elle était photographiée par des journalistes sadiques alors qu’« elle aurait supplié qu’on ne (la) photographie pas ». Elle déclare, l’air grave « C’est comme mener une guerre ». Que ne faut-il pas entendre et lire…

 

MAIS QUI EST VRAIMENT CLÉMENT WEILL-RAYNAL ?

 

Clément Weill-Raynal est ce journaliste de France 3 par lequel le scandale du « mur des cons » est arrivé. C’est lui qui avait filmé et diffusé les images des “cons” désignés comme tels par le syndicat de la Magistrature. Weill-Raynal se présente, dans une interview à Canal+, comme « un pauvre chroniqueur judiciaire » qui n’a pas « l’habitude de (se) mettre en avant. » France 3 a annoncé l’ouverture d’une procédure disciplinaire, à la demande de la CGT. Le journaliste dénonce « une collusion de la CGT et du syndicat de la Magistrature » et déclare : « Si je suis sanctionné, je le vivrais comme une grande injustice mais pas comme un déshonneur ». Très bien. Oui, mais encore ? Il avait déjà eu quelques problèmes et avait été condamné à une amende de 1 000 euros avec sursis et à 1 000 euros de dommages et intérêts, et 6 000 euros de frais de justice pour avoir « diffamé publiquement » Jamal Al-Dural, le père de ce petit enfant palestinien, mort le 20 septembre 2000 lors d’un échange de tirs dans la bande de Gaza. Une affaire qui fit grand bruit et des images qui firent le tour de la terre. Il avait interviewé, sous pseudo, le chirurgien israélien Yehuda David, qui niait, contre toute vraisemblance la réalité des faits. Il avait aussi écrit une « réponse » à un « droit de réponse » de Charles Enderlin, journaliste soupçonné de complaisance ou d’objectivité, si l’on préfère, pour les Palestiniens, dans l’hebdomadaire Actualité juive en septembre 2008. Le jugement avait dénoncé son ton « péremptoire » et « l’absence de mesure ». Son avocat avait été Gilles-William Goldnadel, proche de l’extrême droite israélienne.

 

UN AMUSANT IMAM

 

Hassen Chalghoumi est très connu. Imam de Drancy, présenté comme un modèle de vertu républicaine tant par les autorités que par les journalistes, Président de la conférence des imams de France, il a même été qualifié d’ « imam des Lumières » par une journaliste de Libération, qui fut conseillère culturelle à l’ambassade d’Israël. Une référence. Le 13 janvier 2013, il fit un discours lors de la convention du CRIF dévolue à l’antisémitisme. Le 4 mars, il était l’invité d’honneur du Bnaï Brith. Le 10 mars, il rencontrait Shimon Peres, le président israélien, et le 19 mars, c’était Claude Goasguen, député-maire UMP et ancien d’Occident, ultra-sioniste, qui le côtoyait, en compagnie de membres de la Ligue de défense juive, lors d’une commémoration. Etc. On apprend avec amusement que Hassen Chalghoumi a cinq enfants scolarisés dans une école catholique. Et pourquoi donc ? Voici sa réponse, d’une incroyable candeur : « Quand on a vu sur sa première photo de classe que ma fille n’était entourée que de Blacks et de Beurs, on s’est dit avec ma femme qu’elle ne devait pas rester dans cette école… »

 

“DERRICK”, C’EST FINI

 

Horst Trapper, alias l’inspecteur Derrick, est mort en 2008, mais son cadavre bouge encore. J’évoquais dans une précédente chronique son appartenance à la Waffen SS lors de la dernière guerre. Il avait beau n’avoir que le grade le plus bas dans cette division d’élite, la révélation de son passé a semé la consternation et le scandale chez les monomaniaques de la croix gammée. Du coup, France 3 renonce à diffuser les épisodes qui restaient programmés. L’Allemagne, jamais avare d’une repentance masochiste, idem. Le ministre de l’Intérieur de Bavière envisage, quant à lui, de retirer au dangereux cadavre nazi, le titre de « commissaire honoraire de la police bavaroise », qui lui avait été décerné en 1980. La télévision britannique vit aussi à l’heure de terribles révélations concernant ses animateurs. Enfin, pas si terribles que cela si l’on compare avec les abominables turpitudes de Horst Trapper. Stuart Hill, 83 ans, célèbre présentateur de la BBC, vient de reconnaître de multiples attentats à la pudeur sur des jeunes filles. Suspendu d’antenne, son jugement sera rendu le 17 juin. Quant à l’acteur William Roache, 81 ans, on lui reproche le viol d’une mineure de 15 ans, en 1967. Mais il est infiniment moins grave d’être violeur et pédophile que d’avoir été un soldat de la Waffen SS.

« Je ne suis pas de couleur. Je suis noire ». Ce sont les propos que vient de tenir Cécile Kyenge, ministre de l’Intégration du nouveau gouvernement italien. Première ministre noire d’Italie, originaire de la République démocratique du Congo, elle fait face à une avalanche d’insultes. Certains la traitent de « guenon noire », d’autres de “zouloue”. Mario Borghezio, député européen de la Ligue du Nord, évoque quant à lui un gouvernement bonga bonga, en référence aux soirées « bunga bunga » organisées par Silvio Berlusconi. Cécile Kyenge a tenu à défendre les Italiens, en précisant : « L’Italie n’est pas un pays raciste ». Certes, tout n’est pas toujours simple non plus dans le monde du football. L’attaquant d’origine ghanéenne Mario Balotelli a eu droit aux moqueries de supporters mimant des singes dans les tribunes…

 

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SALAUDS DE COCHONS

 

C’est un petit chef-d’œuvre d’humour involontaire que commet le quotidien Aujourd’hui, sous le titre « Le cochon rend sourd ». Serge Personeni est un habitant du Jura qui affirme que la fréquentation intensive des cochons lors de sa vie professionnelle l’a rendu sourd et soumis à des problèmes d’équilibre. Il explique : « J’ai travaillé pendant vingt ans dans des porcheries du Doubs et du Jura. C’étaient des cris très forts en permanence ». Du coup, il demande que son handicap soit officiellement reconnu. Son épouse vient à sa rescousse, déclarant : « Je voyais bien les dernières années quand il rentrait, qu’il mettait la télé de plus en plus fort, maintenant il dort beaucoup, il est toujours très fatigué. » Certes, le cri de détresse du cochon peut atteindre 115 décibels, à peine moins que le seuil de douleur (120 décibels). Mais est-ce le cri du cochon ou la consommation excessive de sirop de cochon qui entraîne son handicap ? On ne sait pas…

En attendant, les Juifs et les Musulmans, qui, comme chacun le sait, ont l’ouïe sensible, ont trouvé la solution, en éradiquant ces salauds de cochons.

 

COHN-BENDIT DANS LE COLLIMATEUR (SUITE)

 

Cohn Bendit n’en finit pas de traîner sa casserole. Invité il y a quelques jours à participer à un débat sur l’Europe à l’Institut de Politologie de l’université de Wroclav en Pologne, il a suscité une telle vague de protestation qu’il a préféré annuler sa participation. Les Polonais, qui défendent encore quelques valeurs se sont souvenus des propos que ce maniaque avait tenus dans l’émission Apostrophe du 23 avril 1982 : « Vous savez, quand une petite fille de 5 ans commence à vous déshabiller, c’est fantastique. C’est fantastique, parce que c’est un jeu absolument érotico-maniaque ».

 

LES CHIFFRES DU SIDA

 

34 millions de personnes vivaient avec le VIH dans le monde fin 2011. La moitié ignorait sa séropositivité. Rien qu’en 2011, 2,5 millions de nouveaux cas se sont déclarés. En France, 6 100 personnes ont découvert leur séropositivité en 2011 : 40 % étaient des hommes homosexuels et 40 % des hétérosexuels d’origine étrangère. Ces chiffres confirment ce que l’on savait déjà : le virus du sida est à la fois raciste et homophobe…

17:28 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les apprentis-sorciers du mondialisme…

Randa Philippe août 2010 Portrait.jpgLa chronique de Philippe Randa

Voilà, la loi autorisant le mariage homosexuel est votée ! On s’y attendait. Reste maintenant à savoir qui a gagné quoi, finalement… Et qui sont réellement les perdants du bras-de-fer des « pour » et des « contre ».

Car au-delà de cette incontestable victoire législative des partisans du « Mariage pour tous », que constate-t-on ?

D’abord, une formidable mobilisation populaire à travers la France à laquelle personne ne s’attendait… On n’avait rien connu de tel dans les pays qui avaient déjà autorisés ce type de législation. En Belgique, notamment, où « ils » et « elles » peuvent s’unir entre eux et entre elles depuis dix ans, tous les outre-quiévrains s’en tamponnent le coquillard de leur conjoint(e) comme de leur première frite.

En France, c’est plus d’un million de manifestants, non seulement de papa et maman (sans bonne, mais avec enfants), côtoyant nombre d’homosexuels hostiles au chamboulement du mariage traditionnel… Ce sont des chrétiens aux coudes-à-coudes avec des musulmans et des juifs tout aussi choqués qu’eux… C’est la France d’en bas – prolétaires, smicards et demandeurs d’emplois – et celle du milieu – cadres, commerçants et professions libérales – accompagnant quelques « nantis » aux fins de mois assurées… Ce sont les jeunes et les moins jeunes des banlieues parisiennes – de l’Est comme de l’Ouest – qui déambulaient au même rythme que ceux venus de Navarre… et c’est, comble de l’abomination, des élus du Front national à quelques enjambées d’élus de l’UMP, qui plus est dépassés par ces derniers dans la surenchère anti-mariage pour tous !

Sans compter un « peuple de gauche » qui pour avoir été peu remarqué dans les medias, n’en était pas moins fort présent.

Et très rapidement, au fil des mois, les manifestations se sont poursuivies sans jamais faiblir ; la détermination des participants fut plus assurée de jours en jours, tandis que les hérauts médiatiques habitués à se pavaner avec tapis rouge devant micros et caméras, se sont vus conspués, quand ce ne fut pas coursés dans les gares à l’exemple de la journaliste femelle et passionaria homosexuelle Caroline Fourest… Ce qui restera toujours assez plaisant à se rappeler.

Ce qui l’est moins, ce sont les agressions d’homosexuels, quasiment éradiquées ces dernières années, qui ont réapparues… et que nombre de Français ayant bien d’autres préoccupations que les bouffonneries d’une coterie en mal de médiatisation, se sont mis à trouver que, quand même ! Ça commençait à bien faire et que « les pédés les em… »… Retour en force d’une homophobie physique et d’une homophobie spirituelle : la totale, quoi !

Le gouvernement, voyant la tournure que prenait ce projet de loi dans l’opinion, accéléra alors la procédure pour en finir le plus vite possible, ce qui renforça, quand ce ne la fit pas naître, la conviction que les tenants du « mariage pour tous » n’étaient sans doute pas si majoritaire que cela en France… Pas très rassurés qu’elles étaient, les troupes de dame Taubira !

Et ce projet de loi qui n’avait d’autre finalité que de détourner l’attention des Français des échecs économiques et sécuritaires du gouvernement, n’a réussi, finalement, qu’à canaliser tous les mécontentements.

C’est dire si messieurs Hollande et Ayrault n’ont obtenu là qu’une victoire à la Pyrrhus avec la perspective des dommages collatéraux à venir…

Au-delà d’ailleurs des conséquences douloureuses pour les socialistes de cette affaire qui ne leur sera en tout cas pas d’un grand profit électoral, il en est une autre qu’on a rarement évoqué ; elle est pourtant significative : la prise de conscience qu’après la perte des emplois – délocalisations effrénées – la perte des frontières – tout le monde a le droit d’être chez lui chez nous – il ne restait plus que l’image de la famille à faire voler définitivement en éclat pour imposer aux citoyens de nouvelles valeurs…

Ces nouvelles valeurs des partisans de la mondialisation pour qui les frontières d’un État souverain et les emplois sauvegardés d’un peuple ne sont en aucun cas compatibles avec de rapides et insatiables profits… La cellule familiale leur posait encore un problème. Il leur fallait sa disparition pour avoir le champ totalement libre.

Les apprentis-sorciers du mondialisme ont obtenu une loi, mais ont ravivé du même coup chez nombre de nos compatriotes un indéniable sentiment d’identité… qui ne demandait sans doute qu’une occasion pour se manifester au grand jour.

Ils furent plus d’un million à sortir ces derniers temps d’une dramatique léthargie… S’il y a des boîtes de pandores qu’il est dangereux d’ouvrir, il y a des pays qu’il est plus imprudent encore de réveiller…

Chronique publiée dans Salut public de ce mois cliquez ici

17:18 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Au-delà de la vulgarité : l'obscénité...

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J'évoquais ici même mardi soir l'immensité de la vulgarité des plumitifs qui, sur les ondes en particulier, s'égosillaient en commentaires fielleux sur le geste fatal de Dominique Venner. Je dois avouer que j'ai sous-estimé cette capacité. En matière de vulgarité, les valets serviles du Système, toutes catégories confondues, peuvent toujours faire plus. Ils peuvent même aller jusqu'à l'obscénité morbide...

C'est ainsi qu'hier, en la Cathédrale Notre-Dame de Paris, à l'endroit même où Dominique Venner s'est donné la mort, une Femen (vous savez cette officine stipendiée de domestiques zelées du capitalisme apatride et de supplétives des basses oeuvres de la police de Manuel Gaz qui, lors de la manifestation patriotique du 12 mai dernier, a collaboré à une provocation grotesque) s'est livrée à une macabre parodie du sacrifice de Dominique Venner. Que les Femen et leurs commanditaires le sachent : leurs simagrées ne nous feront jamais reculer. Au contraire, chacune de leurs actions nous prouve la justesse et la légitimité du combat que nous menons pour notre peuple et pour notre nation.

Pour le reste, et comme le dit la chanson : "L'heure des comptes sonnera bientôt..."

Roland Hélie

10:36 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mort de Dominique Venner : hommage du MNR

img_519cf52d02c5b.jpgDominique Venner s’est donné la mort.

Il l’a fait en un haut-lieu de la civilisation française, européenne et chrétienne.

Il l’a fait également pour protester contre le « péril qu’est l’immigration afro-maghrébine » qu’il assimilait à un « grand remplacement de la population de la France et de l’Europe »

Nous ne l’oublierons pas.

Le MNR lui rend hommage.

Hubert Savon,

secrétaire général du MNR

10:35 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |