jeudi, 21 mars 2013
Bobards d’or : cette année, il y avait du lourd…
Gabrielle Cluzel
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Dans la catégorie mieux vaut en rire qu’en pleurer, salle comble et grosse partie de rigolade, mardi soir, rue d’Athènes, pour la quatrième édition des « Bobards d’or ». Pour cette cérémonie solennelle (organisée par le think tank Polémia, sous la houlette de Jean-Yves Le Gallou), qui vient décerner à un journaliste le trophée du plus gros mensonge médiatique, le jury — ambiance smoking et robe de soirée — a dû faire des arbitrages cornéliens. Parce que, cette année, chapeau bas, il y avait du lourd. Rien que des craques soignées, du pipeau de qualité, du bidon supérieur made in France.
Pour prétendre au titre de Mister Bobard 2013, les heureux nominés ne défilent pas sur l’estrade en maillot de bain et talons aiguille, mais ont le privilège de voir leur petite mystification (qui, pensaient-ils certainement, était passée, ni vu ni connu j’t’embrouille, comme une lettre à la poste) affichée sur grand écran, preuves du délit à l’appui. Énorme fou rire du public.
Las, Les Bobards d’or, comme tous les concours, sont bien injustes : quand il y a pléthore de candidats, il ne suffit pas d’être bon, il faut être excellent. Certains menteurs travailleurs et méritants ont été recalés, et il faut quand même reconnaître leurs efforts. Ainsi, par exemple, la copie « bobard du mythomane » de l’AFP qui, en troquant adroitement sa traduction, a tout bonnement inversé le sens d’une conversation entre Chávez et Ahmadinejad dont elle prétendait rendre compte, n’a pas trouvé grâce aux yeux du jury ; le « bobard par détournement d’image » (pourtant assez osé), de Morandini, illustrant le prétendu succès de la manifestation pour le mariage version Taubira par la photographie d’une foule compacte… prise le jour de la manifestation du camp adverse, n’a pas non plus remporté assez de suffrages pour prétendre au titre convoité. Pauvre Jean-Marc ! S’il s’accroche, persévère dans ses efforts, il pourra toujours se représenter l’an prochain, car il a du potentiel, le petit. Exit aussi, en même temps que quelques autres, le « bobard calculette » relatif aux décomptes respectifs de ces mêmes manifestations.
La barre est haute, les winners sont de vrais orfèvres. Le palmarès final ? Bobard de bronze pour Jean-Jacques Bourdin (RMC) qui, en traficotant quelques petits chiffres de l’INSEE, a pu prétendre qu’il y avait moins d’immigration en France en 2012 qu’en 1931, ce qui saute vraiment aux yeux.
Bobard d’argent pour Serge Le Luyer (Ouest France, Le Monde) qui, dans un article, a changé, comme il se doit, le prénom du meurtrier lui-même mineur d’un collégien. « Souleymane » est ainsi devenu sous sa plume… « Vladimir ». Un choix anodin qui ne peut être que le fruit du hasard, on s’en doute.
Mais la plus grosse des statuettes, le Pinocchio d’or, a été attribuée à Philippe Manière (France 3), dont la docte prestation dans l’émission « C dans l’air » a été littéralement plébiscitée par le public tant elle constitue un morceau d’anthologie digne d’être conservé dans votre cinémathèque pour égayer les dimanches pluvieux : « Nos flux migratoires en France sont extrêmement ténus », explique-t-il longuement, avec beaucoup de conviction. 200 000 arrivants par an, l’équivalent peu ou prou d’une ville comme Le Havre ou Reims, hein, pas de quoi en faire un fromage.
À cru exceptionnel, récompense exceptionnelle : cette année, eu égard à la très belle prestation occasionnée en mars 2012 par l’affaire Merah, un prix spécial du jury, un magnifique « mouton d’or » (en référence aux qualités d’indépendance et de réflexion bien connues de cet animal), a été attribué à l’ensemble des médias : Jean-Yves Le Gallou a ainsi rendu un vibrant hommage aux journalistes français qui sont sans doute les plus forts du monde, puisqu’ils sont capables de voir, malgré un casque intégral et une visière, le teint blanc et les yeux bleus d’un motard. D’où la « piste néonazie » privilégiée : quel flair mes amis ! Des qualités d’investigation et puis aussi des qualités de cœur : car sitôt la véritable identité du tueur connue, ces messieurs ont mis un point d’honneur à ne pas flétrir la mémoire de ce pauvre garçon. Une belle unité jusque dans le choix des mots (repris sans doute d’une dépêche AFP ?) : calme, gentil, respectueux, c’était ce qu’on disait de lui dans son quartier. Libération et Le Monde parlent même de « beauté sans nom », de « beauté fascinante », de « visage d’ange ». Une sorte de chérubin ?
À ce mouton d’or, s’est rajoutée in extremis une « muselière d’or », une distinction un peu hors concours pour une candidature arrivée très récemment, après la clôture officielle des dépôts. Mais le dossier justifie la dérogation : il s’agit de la réponse en trois lettres de Patrick Cohen (matinale de France Inter) face à Taddeï, à la question de l’animatrice « On a le droit de penser ce qu’on veut ? » : « Non ». Au moins, c’est clair. Celle-là, en dehors des films de science-fiction, aucun dictateur ne l’avait osée.
L’humour est l’ironie du désespoir dit-on, mais le discours d’accueil de Jean-Yves Le Gallou était pourtant plein d’espérance. Grâce à Internet et aux médias alternatifs, le mur érigé par « la tyrannie médiatique », comme il la nomme, est en train de se fissurer. Il finira, prédit-il, par s’effondrer d’un coup comme l’autre, à Berlin. Et l’heure est peut-être plus proche qu’on ne l’imagine.
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Affaire Cahuzac : jusqu'où va descendre le gouvernement socialiste ?
Un comminiqué du Parti de la France :
Déjà miné par des couacs de communication incessants, un amateurisme consternant de ses membres et une - ô combien méritée - impopularité historique, le gouvernement d'Ayrault et du président François Hollande voit son ministre du budget, Jérôme Cahuzac , dans l'obligation de démissionner suite à l'ouverture d'une information judiciaire à son encontre par le parquet de Paris pour blanchiment de fraude fiscale.
Paradoxalement, celui qui était chargé de mettre en place la persécution fiscale des Français pour financer la politique anti-nationale de la gauche au pouvoir est fortement soupçonné par la justice française d'avoir frauder lui-même le fisc ! Après l'affaire Éric Woerth , ministre du budget de Nicolas Sarkozy , qui avait du également démissionner suite à sa mise en examen pour trafic d'influence, recel et financement illicite de parti politique, le gouvernement actuel poursuit la longue tradition d'une classe politique corrompue et habituée aux comptes cachés en Suisse.
Le Parti de la France estime que les différents partis du Système et leurs faux-opposants n'ont plus aucune crédibilité, légitimité ni même intégrité. Il est grand temps que les Français aient la possibilité d'opter pour un projet de reconquête nationale, économique, culturelle et identitaire afin de balayer les fossoyeurs de la France française et souveraine
En outre, le Parti de la France est favorable à des condamnations exemplaires et extrêmement sévères des élus du peuple français reconnus coupables de malversations avec notamment, une inéligibilité à vie pour ceux qui ont volé ou détourné de l'argent public.
Dimanche prochain, à Paris :
Synthèse nationale donne rendez-vous dimanche à 15 h à ses lecteurs et à ses amis au même endroit, aux côtés de nos camarades du Parti de la France.
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mercredi, 20 mars 2013
Attaque du RER : il est temps de remettre de l’ordre !
Joris Karl
Boulevard Voltaire
Mes amis, je vous préviens tout de suite : ne stigmatisons pas ! Bon d’accord, une vingtaine de jeunes, sans doute en grande difficulté sociale, a attaqué le RER D à hauteur de Grigny, dans l’Essonne. Toute la presse affirme qu’ils sont « jeunes », ces encagoulés… Peut-être un groupe d’étudiants polonais, il faut se méfier de ceux-là. Ou des touristes norvégiens en mal de sensations ? En tout cas, sûrement pas des néo-nazis : des manifs auraient été organisées le soir même dans tout le pays, et dans nos écoles, on aurait observé une minute de silence…
Moi je penche plutôt pour des « sensibles » comme les appelle si joliment Renaud Camus. Des « sensibles » qui viennent des zones du même nom.
On imagine la scène, samedi soir vers 22 heures. Des loups dans une bergerie. Ils ont pour eux l’assurance de l’impunité, ils sont forts, agiles, vivent en meute. Face à eux, des individus isolés, la gorge nouée par la violence de l’assaut, paralysés dès les premières secondes. Des moutons sans réactions attendant que l’égorgement se passe le plus vite possible. Certains passagers lobotomisés par la télé ont, qui sait, pensé à ce que dit Aymeric Caron à longueur d’antenne : pas d’amalgames, surtout pas d’amalgames !!!
« Après ça, tout le monde avait peur de sortir, on ne savait pas s’ils étaient partis ou pas. Ils s’en sont pris à tout le monde. Un vieil homme pleurait. Ils lui avaient volé ses clés et il ne savait pas où dormir. J’ai aussi vu une étudiante qui avait la main en sang. » raconte un témoin.
Selon un policier, « Cela ressemble à une attaque de diligence de l’époque moderne. Mais de cette ampleur, ce n’est pas habituel. » Pas « habituel » ? T’inquiète, ça va le devenir. Et pour le moment, que les victimes ne la ramènent pas trop, elles ont survécu. Faut pas non plus faire sa chochotte, du gaz lacrymo dans les yeux, des pains dans la tronche, des arrachages d’iPhone ou de sacs, une ponction de pognon, c’est pas la fin du monde ! Les « agresseurs » — encore que je trouve que ce mot soit un peu stigmatisant — sont sûrement des jeunes qui ont beaucoup souffert, faut les comprendre, ces chérubins. Dans un futur « débat » télé, un curé comme Bruno Roger-Petit nous dira sans doute qu’il ne s’agissait pas d’un fait divers, mais d’un banal fait culturel. Faut pas stigmatiser je vous dis !
D’aucuns disent quand même que ça rappelle le Far-West. Sauf que, en ce temps-là, bien souvent, on retrouvait les voyous gigotant au bout d’un corde. Ce n’était pas encore l’époque de la réinsertion à répétition, de l’excuse à vie pour ces pauvres délinquants. Il y a quelques jours, deux crapules ont attaqué un bus au Guatemala. Ça a mal tourné pour un des deux lascars, lynché et brûlé vif par les passagers. Terrible retour de bâton. Stefan Zweig le disait en méditant sur le Berlin des années folles : au bout d’un moment, à force de laisser-aller, de déliquescence morale, le peuple voudra un retour à l’ordre….
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La France en danger : DEFENDS TON IDENTITE !
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lundi, 18 mars 2013
Chronique de la France asservie et résistante...
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3085 du 15 mars 2013
NICOLAS Sarkozy ne s’est certes jamais prononcé en faveur du mariage gay. Mais, campagne électorale oblige, il s’était montré des plus discrets et des plus nuancés sur le sujet, reconnaissant « qu’il existe de fait, des situations particulières avec des hommes et des femmes qui assument parfaitement leur rôle parental. » Que voulait-il dire par ces puissants propos ? On croit deviner un appel du pied au lobby homosexuel.
SARKOZY ET LE MARIAGE POUR TOUS
Comme Sarkozy cache à peine son désir de revenir dans le jeu politique, et que dans son esprit, c’est Patrick Buisson et sa ligne relativement droitière qui peuvent lui permettre de l’emporter à la prochaine élection, le voici qui modifie assez radicalement son propos, déclarant à Valeurs Actuelles : « Avec leur mariage pour tous, la PMA, la gestation pour autrui, bientôt, ils vont se mettre à quatre pour avoir un enfant. » Dans cette interview, Nicolas Sarkozy évoque son possible retour en politique, par devoir, bien sûr, pas par désir. Il ne se présenterait que s’il était « obligé d’y aller ». En fait Sarkozy éprouve un mépris abyssal pour les candidats potentiels, tel Fillon, qu’il considère comme incapables de battre la gauche.
LA FILLE DE SARKOZY EST UN GÉNIE PRÉCOCE
Il minaude, déclarant : « Il y aura malheureusement un moment où la question ne sera plus : “Avez-vous envie d’y aller ?” mais “aurez-vous le choix ?” », ajoutant : « Dans ce cas, je ne pourrai pas continuer à me dire : je suis heureux, j’emmène ma fille à l’école, et je fais des conférences partout dans le monde. Dans ce cas, effectivement, je serai obligé d’y aller. Pas par envie, par devoir. Uniquement parce qu’il s’agit de la France. » Un tel sens du sacrifice est proprement admirable, reconnaissons-le. Quelle souffrance de ne plus pouvoir emmener sa petite fille à l’école… Ses propos suscitent cependant l’ironie sur Twitter. Giulia est en effet née en octobre 2011 et est donc âgée de 17 mois, ce qui fait d’elle sans aucun doute l’enfant le plus précoce de France. Sacré Sarkozy : une fois de plus dans l’exagération.
“PÉPÈRE” À L’ELYSÉE
François Hollande, en visite au Salon de l’agriculture, interpellé par une petite fille qui lui demandait où était Sarkozy, lui avait répondu avec un grand sourire : « tu ne le reverras plus », ce qui en a irrité quelques-uns. Monsieur « petites-blagues », tel est le surnom que lui donnent ses amis socialistes, vient de connaître une promotion. C’est le Canard enchaîné qui le raconte. Les conseillers de l’Elysée lui ont trouvé un nouveau surnom, qui, selon eux, définit bien sa façon de gouverner : “Pépère”. Un haut fonctionnaire explique : « Il faut le reconnaître : le bordel gouvernemental bat tous les records et gagne maintenant tous les sujets : la retraite, le déficit budgétaire, le diesel, les hausses de TVA, les prestations sociales, et j’en oublie. » Et il ajoute : « Ce bordel, nous sommes nombreux à le trouver invivable, mais Hollande, lui, s’y complaît. On a l’impression qu’il ne peut vivre que dans le bordel. Comme à l’époque où il était premier secrétaire du PS. » D’ici à ce que Valérie Trierweiler se fasse surnommer “Mémère”, note perfidement le Canard…
VALÉRIE TRIERWEILER, UNE NOUVELLE “MARIE-ANTOINETTE”
Le Daily Telegraph n’y va pas de main morte. Il affirme que Valérie Trierweiler « a succombé au syndrome de Marie-Antoinette, caractérisé par la frivolité et le luxe ». VSD, quant à lui, l’accuse en toute simplicité d’être une ambassadrice de la gauche caviar. L’hebdomadaire n’hésite pas à affirmer qu’elle mène une vie de luxe alors que le pays sombre dans la crise. Il ironise sur le fait que Trierweiler, qui se définit comme « socialiste dans l’âme », « socialiste depuis toujours », soit apparue à la Fashion Week de Paris, temple du luxe, aux côtés de Bernard Arnault, le PDG de LVMH, ou encore de la princesse de Monaco. Il est certes plus confortable d’aller soutenir un secteur qui n’en a pas besoin, que d’aller apporter son appui aux ouvriers français de Florange. Mais Trierweiler sera vite pardonnée. Elle a apporté son soutien au mariage pour tous…
VÉRONIQUE GENEST, UN “ÉTRON LIBRE”
La comédienne et star de TF1 sera candidate comme suppléante du journaliste Jonathan-Simon Sellem, établi en Israël, lors de la prochaine législative partielle organisée suite à l’annulation par le Conseil constitutionnel de l’élection de la socialiste Daphna Poznanski-Benhamou. Elle sera candidate dans la circonscription Europe du Sud (Italie, Saint-Siège, Grèce, Turquie, Chypre, Malte et Israël). Elle prétend avoir des attaches affectives fortes avec la Grèce « qu’elle adore » et Israël, « un pays formidable » qu’elle a découvert cet hiver. Véronique Genest, qui se dit de “centre droit” explique : « Ça fait un bon moment que je suis intéressée par la politique, ça me titille ». En septembre, elle avait suscité un tollé après avoir affirmé : « Je suis islamophobe, et phobie veut dire peur ». Véronique Genest n’est pas franchement une professionnelle de la politique. Interrogée sur sa position politique dans l’émission C à vous, la comédienne a asséné avec force : « je suis un étron libre », voulant dire « un électron libre ». Son lapsus a suscité évidemment l’hilarité générale…
LE CHIEN DU MINISTRE MORD UN POLICIER MUNICIPAL
Michèle Delaunay est le ministre socialiste chargé des personnes âgées. Elle a un chien, un berger allemand qui porte le doux nom de Dixie. Elle emmène apparemment son chien dans ses déplacements. A Bordeaux, il y a quelques jours, ce dernier a reniflé un policier municipal qu’il a sans doute soupçonné d’être un adversaire politique de sa maîtresse. Ni une, ni deux, il lui a sauté dessus et l’a mordu à deux reprises. Dieu merci, grâce à l’épaisseur de ses vêtements, ce dernier n’a pas été blessé. Michèle Delaunay conteste la gravité de l’agression canine. Son chien se serait contenté d’aboyer et de sauter en direction du policier. Pas de quoi en faire un drame. Ni le chien, ni le policier municipal n’ont été euthanasiés. L’ancien ministre UMP Dominique Bussereau s’autorise un commentaire amusant sur Twitter : « Vu le caractère affirmé de Michèle Delaunay, c’est heureux que ce ne soit pas le ministre mais son chien qui ait mordu un policier municipal ! » Michèle Delaunay a son explication : il s’agirait « d’un complot politique à l’approche des élections municipales ». Un complot dans lequel son chien est probablement partie prenante. On n’est jamais trahi que par les siens…
LE CEAUSESCU DU PATRONAT FRANÇAIS
Laurence Parisot, la présidente du Medef, veut briguer un troisième mandat, ce que les statuts interdisent. Pas grave, il suffit de changer les statuts fût-ce à quelques jours du scrutin. Les autres prétendants commencent à s’énerver. Paris Match relaie la réflexion de l’un d’entre eux : « Faute de point de chute, Laurence Parisot veut s’incruster, garder ses officiers de sécurité qui l’entourent comme Madonna un soir de concert ». Parisot argumente. Elle se croit indispensable. A elle seule, elle sauvera les entreprises françaises. Elle déclare : « Ma motivation est liée à la situation de notre pays, à son avenir, et au rôle potentiellement décisif des entrepreneurs. » Elle défend certes les entrepreneurs, mais surtout les grands groupes transnationaux. Pour elle, les patrons de PME et de TPE (très petites entreprises) ne sont que du vulgum pecus, des vermisseaux qui n’ont qu’un seul droit : se taire et trimer. Non contente de se prendre pour le phare de la pensée entrepreneuriale française, elle se pique aussi de penser. Et quand elle pense au sujet de Marine Le Pen et de Mélenchon, qu’elle met dans le même sac, voilà ce que cela donne : « Ils défendent deux philosophies inacceptables et dangereuses. Ils entretiennent et aggravent les clivages. » Il est temps qu’elle prenne sa retraite celle-là !
LES FRÈRES DE LA LUMIÈRE S’ENTRE-TUENT
La loge Eugène-Varlin, de Villeurbanne, liée au Grand Orient de France, vient de déposer une plainte auprès des hautes instances du GODF, visant à obtenir l’exclusion du Frère Gérard Collomb, maire de Lyon et membre d’une loge parisienne. Son très grand crime ? Il s’est laissé, avec son conseil municipal, à subventionner des rencontres interreligieuses (inutile de faire un dessin), d’avoir subventionné l’église de Fourvières et d’avoir garanti un emprunt en faveur de l’Institut catholique. Ce qui est amusant chez les excités de la laïcité, c’est qu’ils trouveront toujours plus fanatiques qu’eux. On pense immanquablement à la Révolution française…
CAMPAGNE ÉLECTORALE EN FAVEUR D’UN PONTIFE GHANÉEN
Cela ne s’était jamais vu. Des affiches appelant à voter en faveur du cardinal ghanéen Peter Kodwo Turkson ont été placardées dans les rues de Rome. On voit sur ces affiches en couleur le cardinal, les yeux levés vers le ciel. Voici le cardinal en concurrence avec Silvio Berlusconi et Beppe Grillo… Par contre, pas d’affiches en faveur d’un cardinal français. Monsieur petites blagues, Hollande, il est vrai, l’avait annoncé: la France ne présentera pas de candidat.
DES MATIÈRES FÉCALES DANS LES TARTES AU CHOCOLAT D’IKEA
De mieux en mieux. On avait déjà les boulettes de bœuf d’Ikea, qui contenaient du cheval. Voici que des analyses démontrent que le “chokladkrokant” commercialisé par Ikea contient un niveau excessif de bactéries coliformes. Un microbiologiste de l’autorité de sécurité alimentaire suédoise explique, l’air quelque peu constipé : « Ces bactéries sont généralement une indication de contamination fécale. » Du coup, les tartes au chocolat ont été retirées par Ikea dans plus de 20 pays concernés. Bon appétit…
LE MRAP SOUTIENT LA FAMILLE DE JIHAD
La mère et l’oncle du petit Jihad viennent de comparaître devant le tribunal correctionnel d’Avignon pour « apologie de crime ». On se souvient que l’enfant était venu dans son école, vêtu d’un tee-shirt sur lequel était écrit : « Je suis une bombe. Jihad, né le 11-Septembre ». La mère, qui est « complètement occidentalisée » (sic), se défend, le sourire aux lèvres : « C’est un peu spécial, mais je me disais ça peut faire rire les gens ». Très drôle, en effet… Le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) est venu derechef à la rescousse de la mère, évoquant une “disproportion” entre les faits et la procédure engagée. Il a lancé une pétition, déjà signée par près de 200 personnes, demandant au maire de Sorgues de retirer sa plainte. Thierry Lagneau, le maire, se dit “choqué”. « J’aurais imaginé que le Mrap serait plus derrière nous », a-t-il plaintivement déclaré. En voici un qui a tout compris…
HARKIS : IGNOBLE ELKABBACH
Jean-Pierre Elkabach s’est surpassé dans l’ignoble, le 15 février sur Public Sénat. Il recevait Jeannette Bougrab, proche de Juppé, qui fut présidente de la Halde durant quelques mois en 2010. Jusque-là Elkabach n’avait rien à dire. Mais Jeannette Bougrab est aussi fille de Harki. Son père fut décoré de la Légion d’honneur à titre militaire. Et Elkabach de se surpasser dans l’odieux : « Les Harkis ont été scandaleusement traités en Algérie, mais il y avait quand même quelques raisons. On leur a fait faire de sinistres besognes. Et ils les ont faites ! ». Jeanette Bougrab a répliqué : « Comment osez-vous dire une telle chose ? » Elkabach : « Ils n’ont pas participé à la torture ? Avec l’armée française ? » Bougrab : « Mon grand-père a été égorgé en 1957, simplement parce qu’il était garde-champêtre. » Personne n’a évidemment réagi aux provocations scandaleuses d’Elkabach. Ni Le Drian, ministre de la Défense, ni Kader Arif, celui des Anciens combattants. Ce dernier, qui s’était singularisé récemment en annonçant à l’Assemblée nationale la fausse nouvelle de la libération des otages, est un fils de Harki. Il n’a évidemment jamais revendiqué sa filiation et n’avait pas hésité à serrer la main de Bouteflika lors de sa visite en France, en 2010. Rappelons que Bouteflika avait déclaré qu’il ne serrerait pas la main d’un ancien Harki, car ce serait comme, pour un Français, « serrer la main d’un collabo de l’armée d’occupation nazie en 1940 ». Un fils de Harki, Kader Hammiche, a décidé de porter plainte contre Jean-Pierre Elkabach et de lancer une pétition nationale pour qu’il soit viré du service public de télévision.
UNE INVASION DE “RATS MUTANTS” À TÉHÉRAN
Cela semble assez incroyable, mais c’est vrai. Des bataillons de tireurs d’élite ont été déployés à Téhéran pour faire face à une invasion de rats géants. Extrêmement résistants au poison, ils sont devenus tellement énormes que même les chats en ont peur. Le poids moyen de ces rats est passé en quelques décennies de 60 grammes à 5 kilogrammes. Il s’agit d’une mutation assez incompréhensible qui devrait normalement prendre des centaines de milliers, voire des millions d’années. Certains experts évoquent la possibilité d’une mutation génétique due aux radiations et aux produits chimiques. Toujours est-il que des équipes de snipers, armés de fusils à lunettes infrarouges chassent toutes les nuits ces monstres. 2 200 rongeurs ont déjà été exterminés ces dernières semaines. Il en reste encore 12 millions, soit davantage que le nombre d’habitants de Téhéran. Dans certains quartiers, ils dépassent même de six fois le nombre d’habitants…
19:35 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Kosovo : 9e anniversaire de l'agression musulmane, les terroristes toujours impunis !
Yves Darchicourt
Triste anniversaire en Serbie : il y a neuf ans, le 17 mars 2004, les terroristes musulmans albanais et leurs supplétifs "kovovars" s'attaquaient aux communautés serbes du Kosovo et aux monuments symboliques de la foi chrétienne orthodoxe. 19 serbes tués, 900 blessés, 5000 chassés de leurs maisons qui furent abattues, 34 églises ont été profanées et détruites.
Dans son dernier communiqué, l'Eglise Serbe a déploré que " les méfaits et les actes de violence commis à l'époque sont demeurés impunis et ont même été récompensés par la partition de la Serbie au mépris des conventions et des garanties internationales; aucun responsable n'a eu à répondre de la violence commise et des crimes perpétrées "
Indignation sélective et justice internationale à géométrie variable ! Le serbe, européen et chrétien, ne peut être qu'une victime suspecte, surtout si ses agresseurs sont musulmans. C'est sans doute pouquoi les serbes - qui s'accrochent à leurs terres ancestrales du Kosovo et survivent dans une atmosphère de haine palpable - sont toujours, et de plus en plus depuis le début de 2013, vicitimes d'intimidations, d'insultes, de vols répétés, de spoliation, d'humiliations et de violences, leurs églises sont saccagées, leurs cimetières profanés...
A une encablure de chez nous, un peuple-frère attaché à son identité et à sa Foi, lutte pour survivre dans l'indifférence des médias et des grandes consciences politiquement correctes. Et les co-religionnaires de ceux qui le persécute sont chez nous de plus en plus nombreux, de plus en plus puissants, installés et encouragés qu'ils sont pas d'inqualifiables collabos. Le martyre des serbes du Kosovo est un avertissement : Rassemblement Résistance Reconquête.
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Jeudi soir, Guillaume Faye au Local...
19:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 11 mai : Ve congrès nationaliste organisé à Villepreux par le Renouveau français
17:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
MARECHAL VOUS Y ETES
François Ferrier
BELRAIN rime avec PETAIN. Tel est le titre accrocheur de l’article paru le dimanche 10 mars 2013 dans le journal l’Est Républicain. Et tout cela pour nous apprendre que ce petit village du département de la Meuse – 48 habitants recensés en 2009 (contre 31 habitants en 1999) possède en France métropolitaine la dernière rue dédiée au Maréchal PETAIN. Pour les bien - pensants et autres lobbys en place, c’est une impensable situation à un an du début des cérémonies du centenaire devant commémorer la grande guerre de 1914 – 1918.
Pour les habitants de ce petit village se trouvant prés de la voie sacrée, le Maréchal PETAIN, c’est le héros de Verdun.
En 1945, chaque petit village de Meuse avait sa rue du Maréchal PETAIN. BELRAIN en est l’unique aujourd’hui (un peu à l’image du village gaulois d’une célèbre et populaire bande dessinée).
Jusqu’alors, le conseil municipal avait bien été saisi de cette particularité tentant à faire disparaître cette rue au caractère historique, mais aucune suite n’avait été donnée, la commune avait d’autres priorités pour ses administrés.
Mais voilà, le 07 mars 2013 le département de la Meuse a eu la visite du ministre des Anciens combattants en charge de la préparation des cérémonies de 2014. Alors il faut faire « place nette » pour les nouvelles générations et surtout ne pas rattacher la grande guerre au héros de Verdun, mondialement reconnu en la personne du Maréchal PETAIN.
Comme l’a rappelé KADER ARIF - Ministre des Anciens combattants – aux élus meusiens : « La Meuse ne doit pas être inquiète » !!!
Pas si sûr, quand on connaît la dernière du ministre « grosse bourde » dans l’affaire de la famille otage des islamistes au Cameroun. (Fausse libération annoncée à l’assemblée nationale. Rien que çà).
KADER ARIF, d’origine algérienne, qui fut chauffeur de JOSPIN de sainte gamelle (élu de Sainte Gabelle), est devenu au fil du temps ministre socialiste.
Aussi avec son Président HOLLANDE « Monsieur petites blagues » et leur entourage à la TERRA NOVA (Think thank socialiste) il leur est venu une idée. Dans le cadre de ce centenaire il était « indispensable » de rendre un hommage à l’homme de l’Union sacrée. Et devinez qui ? Raymond POINCARE, meusien qui fut le Président de la République française de 1913 à 1920. Quelle aubaine pour tenter de faire disparaître l’image glorieuse de Philippe PETAIN, l’homme de la Grande guerre. Et cerise sur le pétard mouillé en préparation : Raymond POINCARE était devenu par opportunisme politique dreyfusard. Quelle aubaine pour les tireurs de ficelles situés dans les allées du pouvoir socialiste !
Alors la grosse presse aux ordres du pouvoir mit en place une désinformation sélective pour « bricoler l’histoire de France » à des fins politiciennes. Ainsi dans un encart particulier l’ Est Républicain du 10 mars 2013 présente Raymond POINCARE comme « l’Homme du rassemblement national et de la mobilisation contre l’ennemi. L’homme de l’union sacrée ». Tous les poilus morts au champ d’honneur à Verdun doivent se retourner dans leurs tombes. Le héros de Verdun et de la grande Guerre c’est PETAIN.
Dans le registre repentance, et localement en Meuse on a sorti « un résistant de 1944 » avec toutes ses médailles et qui s’est indigné (oh pardon : plaint) de cette particularité à savoir que le village de BELRAIN ait encore une rue dédiée au Maréchal PETAIN. Ce militant socialiste a même écrit au ministre, Aurélie FILIPPETTI ministre de la Culture et d’origine Italienne se déclarant antifasciste. Il s’associe à la fédération socialiste meusienne pour saisir le ministre de l’intérieur Manuel VALLS, d’origine espagnole se déclarant antifasciste et « ami indéfectible d’Israël ». Que de références de l’anti – France pour réécrire l’histoire aux ordres des mondialistes !!!
Au château du village de BELRAIN, l’ancien maire de 1970 à 2008 (six mandats) trouvait cette particularité honorable d’avoir une Rue Maréchal PETAIN. Pensez donc, de nombreuses petites villes en Amérique ont des rues Maréchal PETAIN.
Mais le nouveau Maire de BELRAIN, soucieux probablement de sa réélection en 2014 et en quête de subventions à venir du Conseil général ou régional hésite à débaptiser la célèbre rue de son village de 49 âmes !!!
Voila où en est arrivée la France d’aujourd’hui.
Falsification de l’histoire, repentance du peuple qui ose encore se dire Français de toujours et qui sont les fils et les filles de ceux qui sont tombés à Verdun, au chemin des Dames, en Argonne et dans les autres lieux glorieux de cette grande guerre. La dernière gagnée par l’armée française, c’est à Verdun avec Philippe PETAIN. Comme l’a si bien rappelé le Colonel Antoine ARGOUD – Lorrain - dans son livre prémonitoire des futures défaites de la France : La décadence, l’imposture et la tragédie. Oui, Verdun où un certain capitaine, drapeau Blanc se rendit honteusement à l’ennemi en mars 1916 : Un certain De Gaulle Charles.
Non aux forfaitures historiques conduites par des politiciens soucieux de leurs intérêts particuliers et aux ordres des mondialistes apatrides.
Hollande et sa bande en sont les derniers exemples avec leur Francafrique au Mali pour finir d’épuiser nos valeureux soldats.
Oui, VERDUN c’est la FRANCE et PETAIN c’est VERDUN.
Non au mémoricide et aux valets de l’anti – France qui veulent détourner la réalité glorieuse de notre histoire.
Courrier publié dans Rivarol et dans La Voix du Maréchal
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La Voix de la Russie, une info à contre courant...
09:20 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 17 mars 2013
Un 5e soldat français tué au Mali : Hollande çà suffit !
Un caporal du 1er Régiment d'Infanterie de Marine d'Angoulème vient d'être tué au cours d'un accrochage dans le nord du Mali, trois de ses camarades étant dans le même temps grièvement blessés. C'est le 5e militaire français à mourir là-bas pour assurer le pouvoir d'un roi nègre sur des sables convoités par une mulltinationale et qui constituent les terrtoires ancestraux du peuple Touareg dont le seul tort est d'être appuyé dans sa résistance par des islamistes maghrébins.
Ubuesque politique de François le Normal qui prétend combattre l'islamisme au Mali et dans le même temps laisse le vampiresque Laurent Fabius - son ministricule des affaires étrangères - prêcher la croisade contre le gouvernement légal ( et laïc) de Syrie et jouer au futur "responsable pas coupable" du sur-armement des pseudos "révolutionnaires" syriens, en réalité miliciens islamistes déguisées en combattants des droits de l'homme pour le plus grand intérêt à terme des USA et d'Israël. Hypocrisie ou nullité crasse du Pépère élyséen qui fait semblant de pleurer sur les soldats français tués au Mali - ou sur ceux qui ont été assassinés en France par le terroriste mahométan Merah - tout se faisant le collabo actif de l'immigration de peuplement musulmane et de l'islamisation de notre pays.
Il est grand temps que tout cela s'arrête, d'une façon ou d'une autre !
18:19 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
People : démission des collaborateurs de Taubira excédés ?
Source 24 h actu cliquez ici
Selon L'Express (cliquez ici) plusieurs membres du cabinet de Christiane Taubira seraient sur le point de démissionner à cause du comportement de diva irresponsable de la garde des sceaux. Un membre du gouvernement socialiste qui s’intéresse d’avantage à son image et à sa communication qu’à son pays et à la politique, quelle surprise !
A force de squatter les plateaux de télévision et de se prendre pour la nouvelle égérie Chanel, Christiane Taubira en oublie qu’un poste de ministre implique un certain travaille assorti de quelques responsabilités.
C’est en tout cas ce qu’estime Christian Vigouroux, son directeur de cabinet, qui devrait donner sa démission cette semaine, tout comme plusieurs autres personnalités du cabinet de Christiane Taubira, selon les journalistes de l’Express, qui précisent que Vigouroux reproche à Taubira d’être « soucieuse en priorité de son image politique », de ne s’impliquer « plus assez dans le fonctionnement interne du ministère » et de le laisser « gérer des dossiers et des décisions incombant normalement à la garde des Sceaux ». Autrement dit, il en a marre de faire le travail de Taubira pendant que cette dernière fanfaronne et s’oublie dans les mondanités.
Une information confirmée par Le Figaro (cliquez là) pour qui « Vigouroux n’en pouvait plus » des ses relations « très ombrageuses » avec Taubira qui l’aurait « engueulé à plusieurs reprises et en public ».
Venant d’un parti pour qui toute forme de patriotisme est assimilée à l’extrême droite et au fascisme, c’est logique qu’ils n’aiment pas leur pays… Surtout Taubira qui restera (ou pas) dans l’histoire comme la femme ayant lutté pour que la France s’agenouille encore plus devant les communautarismes et s’auto-flagelle jusqu’à ce que les Français perdent la foi en la France.
On a pu éviter Joly, mais pas Taubira…
12:18 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Marseille : gesticulations de Vals, le vrai problème occulté !
Les truands marseillais réduisent leurs effectifs à coups de kalatchnikov ! Qui va s'en plaindre ? Certainement pas les policiers de terrain ou les honnêtes citoyens. Le Valls de l'intérieur lui de se satisfait pas de la chose et vient de dépêcher 240 hommes supplémentaires pour patrouiller dans la cité phocéenne...une présence éphémère qui n'aura de toute façon pas grande utillité faute de pouvoir quadriller finement la ville entière et notamment ses fameux "quartiers nord".
Des quartiers où continueront de sévir les petites frappes ordinaires, ces racailles en herbe comme le "jeune" de 14 ans qui vient de taillader le visage d'un conducteur de bus qui l'avait paraît-il mal regardé. Le petit salopard a usé d'un couteau à lame de 15 cm qu'il portait sur lui en permanence, un acte qui lui vaudra sans doute un peu plus qu'un rappel à la loi, mais pas beaucoup plus et dont il tirera gloire auprès des autres nuisibles de son entourage ordinaire. La loi et l'ordre ne règneront pas à Marseille tant que les couveuses à racailles que sont ces "quartiers" - dont on sait bien qu'ils sont désormais des enclaves étrangères exotiques - n'auront pas été nettoyés, épurés, vidés des indésirables (qui plus est budgétivores) qui y prolifèrent par familles entières dont il faudra bien organiser le retour massif au pays.
La gravissime menace permanente sur Marseille, ce n'est pas uniquement les ponctuels tirs croisés de truands en rivalité, c'est d'abord et surtout le risque de déferlement de cette masse croissante de boules de violence haineuses persuadées que le céfran doit baisser les yeux et raser les murs, leur refiler ses tunes et ses meufs (tout juste bonnes à égayer les tournantes )et à la fermer au risque de se faire égorger. Mais cela, les idéologues fumeux qui nous gouvernent, leurs lobbies et leurs idiots utiles de l'angélisme l'occultent totalement : écran noir sur des lendemains qui déchanteront gravement. Rassemblement Résistance Reconquête !
08:58 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Appel de Franck Abed pour la manif du dimanche 24 mars :
08:54 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 16 mars 2013
Lundi 18 mars : 35e anniversaire de l'assassinat de François Duprat...
Retour sur l'histoire cliquez ici
19:24 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
24 mars : et si on se retrouvait malgré tout sur les Champs ?
Gabrielle Cluzel
Boulevard Voltaire cliquez là
Même s’il n’y a pas encore d’arrêté préfectoral signifiant officiellement l’interdiction, la préfecture de police de Paris a tenu à faire savoir par communiqué de presse aux « éventuels » (sic) participants à la manifestation contre le mariage pour tous qu’ils ne pourraient pas, pour des raisons tenant à la préservation de l’ordre public, emprunter un itinéraire passant par les Champs-Élysées.
Mais la préfecture s’est-elle interrogée deux minutes sur les « éventuelles » conséquences du ton hautain de son avertissement sur les « éventuels » manifestants ? N’a-t-elle pas envisagé l’éventualité que cette posture intransigeante pourrait avoir un effet anabolisant sur des manifestants déjà dans les starting-blocks ? Aurait-elle oublié que la passion n’est rien d’autre, comme le disait Beaumarchais, qu’un désir irrité par la contradiction, et que cette posture coercitive peut, éventuellement, au lieu de dépassionner le débat, décupler le désir d’être entendu ?
Et si éventuellement, les « éventuels » manifestants commençaient à prendre ombrage d’être traités comme un camp de roms indésirables que l’on chasse d’ici parce qu’il a dégradé les espaces verts et de là parce qu’il va effrayer les touristes et les bourgeois ? Et si éventuellement, ces « éventuels » manifestants refusaient d’aller manifester sur la planète Mars, seul lieu, ou presque, que le gouvernement peut encore leur proposer pour éviter tout risque majeur d’endommager le revêtement au sol, de nuire au commerce et de rencontrer une caméra de télévision ?
Et si éventuellement certains, voire beaucoup, décidaient quand même, en ce premier week-end de printemps, d’aller prendre l’air à Paris et de déambuler en famille dans la plus belle avenue du monde, ordonnerait-on aux forces de l’ordre de charger des poussettes, de balancer des gaz lacrymogènes sur des femmes enceintes et des élèves de CM2, de disperser à la matraque des grands-mères à chignon blanc et des pères de famille portant enfant sur les épaules, de provoquer affolement et bousculade avec tous les risques de piétinement que l’on imagine dans une foule aussi compacte ?
Et dans l’éventualité où la politique du bras de fer intégral dans laquelle le gouvernement s’est lancé se révélait être une gaffe monumentale, le plan B de Hollande, ce serait quoi ?
12:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 24 mars, le Parti de la France sera présent...
12:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Alain de Benoist : Ils préfèrent les people au peuple…
Un entretien avec Alain de Benoist, réalisé par Nicolas Gauthier, publié sur Boulevard Voltaire (cliquez ici)
Le comique Beppe Grillo grand vainqueur des dernières élections législatives en Italie… Qu’est-ce que cela dit sur la réalité de la politique locale ? Peut-on le résumer à sa simple qualité de comique, tel un Coluche, chez nous, il y a quelques décennies ? Au fait, « populisme » est-il forcément un gros mot ?
Il y a longtemps que Beppe Grillo n’est plus un « comique », contrairement à ce que s’imaginent la plupart des journalistes français qui le traitent de « clown » ou d’« histrion » pour faire oublier qu’ils n’ont découvert son existence qu’au soir des élections. Il n’est pas plus comparable à Coluche qu’il ne l’est à Poujade ou à Dieudonné. Avec 25,5 % des voix et plus de 160 parlementaires, députés et sénateurs, sa formation, qui n’existait même pas lors du précédent scrutin, est devenue d’emblée le premier parti d’Italie. Cela donne la mesure de la vague de fond qui l’a portée. Et c’est sur celle-ci que doit porter la réflexion. L’Italie a certes été un pays pionnier en matière de « populisme » (on se souvient de l’« uomo qualunque » des années 1950), mais le populisme du Mouvement 5 Etoiles ne ressemble à rien de ce que l’on a vu. Ce n’est pas un populisme de la peur, mais un populisme de la colère et de la révolte. Ce n’est pas non plus, comme souvent en Europe, un populisme qui divise la droite, car il a surtout rassemblé des électeurs venus de la gauche. Enfin, c’est moins un populisme qui prétend parler au nom du peuple qu’un populisme qui s’efforce de créer les conditions dans lesquelles le peuple peut s’exprimer. Quant aux esprits paresseux qui pensent que Grillo n’a pas de programme, ils montrent par là même qu’ils ne l’ont pas lu.
Le « populisme » est aujourd’hui le terme péjoratif qu’utilise la Nouvelle Classe politico-médiatique, élue par la globalisation, pour désigner avec dédain ceux qui s’entêtent à penser que la démocratie repose sur la souveraineté du peuple. La Nouvelle Classe n’a que faire du peuple (elle lui préfère les « people ») et n’aspire qu’à gouverner sans lui. C’est ce qui la rend incapable de mesurer l’ampleur du fossé qui sépare désormais les classes populaires de l’oligarchie dominante. L’erreur classique que l’on fait à propos du populisme est d’y rechercher une idéologie, alors que le populisme n’a pas de contenu idéologique prédeterminé : ce n’est pas une doctrine, mais un style. L’autre erreur est de l’analyser simplement en termes de « démagogie ». C’est oublier que la démagogie des élites vaut bien celle des populistes. C’est surtout passer à côté de l’essentiel, qui est la notion même de peuple, défini comme un demos uni par une sociabilité commune. Vincent Coussedière n’a pas tort d’écrire que « l’être-ensemble populiste correspond à ce moment des démocraties où le peuple se met à contrecœur à faire de la politique parce qu’il désespère de l’attitude des gouvernants qui n’en font plus ».
Insubmersible Silvio Berlusconi. Détesté par nos médias – quoique nombre de ceux qui l’insultent aujourd’hui ont peut-être été ses salariés à l’époque de sa chaîne de télévision française, La Cinq, au siècle dernier –, mais manifestement pas si impopulaire que ça chez lui. Quelles réflexions un tel paradoxe peut-il vous inspirer ?
Berlusconi a principalement surfé sur le thème de la démagogie fiscale. Son populisme est un populisme droitier d’essence bourgeoise bien différent du populisme « chimiquement pur » de Beppe Grillo. En prenant position pour la décroissance, la démocratie participative et le mandat impératif, le Mouvement 5 Etoiles s’est aussi prononcé pour l’autonomie et le primat du politique vis-à-vis de la « gouvernance » économique, de la finance de marché et de l’expertocratie. Berlusconi est un grand « communicateur », mais Grillo a ouvert un nouveau chapitre de la communication politique en refusant d’apparaître à la télévision et en s’appuyant avant tout sur Internet (l’« incendie numérique ») et sur les meetings de rue. Berlusconi reste un homme de droite, quand le succès des « Grillini » montre que le clivage gauche-droite n’a plus de valeur opérationnelle pour analyser les phénomènes politiques nouveaux.
Dans ce scrutin, il y a trois disparus dont on a peu parlé. Mario Monti, l’ancien banquier de Goldman Sachs, et son allié Gianfranco Fini, de l’Alliance nationale. Sans oublier Umberto Bossi, de la Ligue du Nord, empêtré dans des scandales de corruption que lui, l’Italien du Nord, imputait aux seuls Italiens du Sud… Quel bilan tirer de tout cela ?
Le rejet de Monti par 90 % des Italiens montre à quel point l’arrogance des technocrates est devenue insupportable pour les classes populaires et les classes moyennes auxquelles la Forme-Capital veut faire payer le prix d’une crise provoquée par l’endettement public et la folle course à l’austérité engendrée par la désubstantialisation de la valeur et la suraccumulation du capital fictif. La Lega conserve quelques bastions, mais se trouve maintenant confrontée à une crise d’identité très profonde. Quant à Fini, il mérite plus que jamais son nom. Cela ne signifie pas que l’Italie est définitivement entrée dans l’« ère Grillo », mais que tout retour en arrière est exclu. Aux dernières élections, c’est toute la classe politique italienne qui s’est trouvée disqualifiée par une nouvelle secessio plebis. Un signe annonciateur pour d’autres pays européens ?
12:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La France veut armer les rebelles syriens le plus vite possible !
Source Contreinfo.com cliquez ici
La France et l’Angleterre ont décidé de faire un pas supplémentaire dans l’ingérence concernant la Syrie. Persuadées que leur grille de lecture idéologique doit s’imposer au monde entier, et sans considération poussée plus avant sur les enjeux géopolitiques et géostratégiques en présence, ni sur la fragile stabilité du Moyen Orient, Paris et Londres veulent armer les rebelles syriens contre l’État de droit d’un pays souverain et reconnu comme tel.
C’est ainsi que ces deux pays se sont accordés pour solliciter l’avancée de la prochaine réunion de l’Union européenne, afin de discuter de la levée de l’embargo sur les armes destinées la Syrie. Mais qu’à cela ne tienne, si l’Union européenne n’abondait pas dans leur sens, chacune des deux nations prendrait sur elle de livrer, à titre national, des armes aux rebelles. C’est ce qu’a annoncé en effet hier matin Laurent Fabius, chef de la diplomatie française -qui nourrit vraisemblablement une idée très singulière de la diplomatie.
La France et la Grande-Bretagne demandent « aux Européens, maintenant, de lever l’embargo pour que les résistants aient la possibilité de se défendre« , a ainsi déclaré le ministre français sur France Info. Et pour justifier la livraison d’armes, avec ou sans l’accord de l’Union, Laurent Fabius de déclarer que la France, de toute façon, « est une nation souveraine« . Grosse blague. Quand on sait que la quasi totalité de ses prérogatives régaliennes, expression de sa souveraineté, ont été abdiquées à Bruxelles.
« On ne peut pas accepter qu’il y ait ce déséquilibre actuel avec d’un côté l’Iran et la Russie qui livrent des armes à Bachar et de l’autre des résistants qui ne peuvent pas se défendre« , s’est défendu Laurent Fabius. « Lever l’embargo c’est un des seuls moyens qui restent pour faire bouger politiquement la situation« , a-t-il estimé. Il reste que l’idéologie, fut-elle couverte des meilleurs sentiments, est un critère de discernement un peu fragile dans le cas d’une déclaration de guerre : à quelle alternative aboutirait la victoire des rebelles ? Cette question a-t-elle seulement été posée ? Ont-ils donc déjà oublié l’épisode de la Libye ? N’ont-ils donc aucun écho, à Paris, sur la nature religieuse de la rébellion, sur ces massacres perpétrés par les islamistes armés par l’Occident contre les chrétiens ?
A l’idéologue, nous préférerons toujours l’homme prudent.
11:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Entretien avec le Dr Bernard Plouvier, auteur de Faux et usage de faux en histoire (éditions Dualpha)
À quoi peut bien servir l’histoire telle qu’on la raconte ?
De mauvais plaisants (et même quelques bons historiens, comme on peut le lire dans cet ouvrage) estiment qu’elle ne sert à rien ! Ce n’est toutefois pas aussi évident. Sinon, nos merveilleux politiciens ne s’en méfieraient pas tant, eux qui en ont pratiquement fait disparaître l’enseignement dans les classes du secondaire (où l’on n’évoque plus guère que les civilisations exotiques, comme si l’Europe était née en 1960, par le traité unissant ses économies nationales).
Il faut croire que la narration historique n’est pas seulement un plaisir d’esthète ou une activité de savant, mais qu’elle a aussi une certaine importance sociale, puisque de nos jours des parlementaires édictent des lois pour en réglementer l’écriture et que des juges ont à statuer sur le cas des contrevenants, ces chercheurs atypiques qui osent réviser les dogmes communément admis.
Donc la narration officielle est véridique ?
Que non pas ! Bien au contraire, la question mérite d’être posée : l’écriture historique estampillée d’État, c’est-à-dire celle de nos merveilleux savants universitaires, de nos brillants académiciens et de nos sémillants écrivains mondains est-elle digne de foi ? Dans mon livre Faux et usage de faux en histoire, j’ose prétendre le contraire. Et ce n’est pas pour rien que l’illustration retenue pour la couverture de cet ouvrage est faite de marottes pour bouffons de cour !
Quels sont les sujets que vous abordez et dans quel but ?
Dans une première partie, je tente de démonter une quinzaine de fables bâties pour édifier le bon peuple, de Ramsès II à Lénine, de Galilée à Einstein, de Constantin Ier à Paul Reynaud et Charles De Gaulle.
Il est évident que l’écriture de l’histoire contemporaine n’est trop souvent que de la propagande. J’ai tenté de le démontrer en épurant l’histoire d’Adolf Hitler des légendes et des mensonges les plus grotesques ; c’est la forme la deuxième partie du livre.
Dans une troisième partie, j’ai abordé le lieu symbolique du « Devoir de mémoire », Auschwitz et son complexe concentrationnaire, en essayant d’en ôter les scories qui ont donné naissance au négationnisme, puis l’ont nourri.
En guise de conclusion, sont proposés quelques aphorismes d’auteurs antiques, modernes et contemporains portant sur la narration historique, de façon à prouver que ce n’est pas d’aujourd’hui que l’on doute du bien-fondé de la narration communément admise, des Vulgates officielles !
La notion de vérité historique est, par essence, un idéal inaccessible. Cela ne signifie pas qu’il faille renoncer à s’en rapprocher et moins encore qu’on ait licence de la violer délibérément.
Car l’histoire a un intérêt certain. Étant le reflet des grandes réalisations aussi bien que des erreurs de nos ancêtres, elle doit servir d’exemples à imiter et de repoussoirs dont il faut éviter la reproduction. Après tout, elle participe à la sagesse des nations, faisant partie de leur culture propre… de ce fait, on reconnaît volontiers qu’elle ne peut guère être aimée des tenants du grand village mondial !
(propos recueillis par Fabrice Dutilleul)
Faux et usage de faux en histoire, Dr Bernard Plouvier, éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 386 pages, 35 euros. Pour se le procurer cliquez ici
11:50 Publié dans Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jean-Marie Curutchet nous a quitté...
Jean-Marie Curutchet. Basque. Né en 1930 à Toulon. Etudes secondaires aux collèges N.-D. d’Afrique (Alger) et Stanislas (Paris). Prytanée militaire (La Flèche). Saint-Cyr-Coëtquidan (Promotion Union Française). Sert dans les paras en Afrique du Nord (Tunisie, Algérie). Epouse une pied-noir, dont il a trois garçons. Passe dans la clandestinité en septembre 1961. Chef de la branche ORO (Organisation Renseignements-Opérations) de l’OAS-Métropole, puis adjoint au colonel Argoud. Co-fondateur du Conseil national de la Révolution. Echappe pendant près de deux ans aux recherches des polices françaises et étrangères. Est finalement enlevé à Dakar en 1963, ramené en France, jugé par la Cour de sûreté de l’Etat et condamné à la réclusion criminelle à perpétuité. Détenu dans l’ile de Ré, s’inscrit en Faculté et passe une licence d’histoire. Libéré et amnistié en juin 1968.
Source cliquez ici
00:39 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A propos d'Anthony
Serge Ayoub
Porte-parole de 3e Voie
Si la retenue et la décence nous interdisent de profiter d’un malheur pour essayer d’en faire notre promotion, nous comprenons l’inquiétude des camarades après l’agression du jeune Anthony, et leur désir d’avoir de ses nouvelles. Je peux comprendre le silence d’Anthony, le choc de la famille, leur refus de communiquer et je m’y plie. J’aurai compris la mauvaise foi des journalistes gauchistes de « Rue 89 » qui dénigrent jusqu’au sang des nôtres sur le bitume. Je me serai amusé de leurs déclarations fantaisistes affirmant sans rire qu’ils ont contacté tous les parents des Anthony de la région ! J’imagine le fichier secret des Anthony du monde entier détenu par ces mythomanes… Je souris de la révélation du retour au boulot d’un jeune homme qu’ils reconnaissent ne pas avoir contacté. Mais je comprends moins et n’admets plus que dans notre camp, toujours la même clique se serve de cet évènement pour encore, nous attaquer. Alors pour les amis et les salauds je vais expliquer ce que je sais : dans la nuit du 11 au 12 mars, Renaud m’annonce la sinistre nouvelle. Aussitôt je le contacte et lui demande confirmation du malheur. Il me renvoie vers le camarade d’infortune de cette soirée, un dénommé Greg. Ce dernier, agressé, lui aussi, avec Anthony me révèle qu’après s’être remis de ses commotions, est inquiet par le sang perdu d’Anthony, il contacte un ami commun qui lui annonce sa mort à l’hôpital. À plus de huit cent kilomètres de là, je demande que l’on contacte la compagne d’Anthony pour vérifier la mort du jeune homme, si cela est possible. On ne peut me reprocher d’avoir le tact de ne pas vouloir torturer plus la jeune fille. On me l’a dite en larmes, tout le monde le conçoit. Si je comprends l’amour, je ne peux m’imaginer qu’elle ment sciemment pour garder son Anthony près d’elle, loin de nous et des problèmes. Le reste n’est que bien normal, une police qui ne répond pas, des hôpitaux qui refusent d’en dire plus. A peine quelques heures plus tard et l’on apprend la bonne nouvelle de la bouche même de son camarade Greg. Il est est vivant, blessé, agressé mais vivant.
Les salauds douteront et la caravane passera. Le devoir nous intimait de nous associer publiquement à la douleur de sa famille. Notre mouvement travaille tous les jours pour notre cause, il n’a pas de temps a perdre en vaine publicité. De plus, tout le monde le sait, je ne suis pas adepte de la victimisation permanente, je n’ai pas le culte du martyr mais celui du héros.
En attendant de le voir ce 12 mai à la fête de Jeanne d’Arc parmi nous, je respecte la volonté de ses proches et me tais.
00:36 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 15 mars 2013
Assises de Douai : les racailles homicides s'en tirent bien !
Yves Darchicourt
Aux Assises de Douai le procès d' un trio de nuisibles vient de se terminer. Chakib Quarkouri, Sofiane Bacha et Romain Bonnet étaient jugés pour avoir attaqué et tué Henri Bouquignaud, bijoutier à Cambrai, il y a un peu plus d'un an. La malheureuse victime avait été neutralisée au taser avant d'être poignardée à six reprises... 40€ de butin pour les brutes homicides !
Le Procureur Général avait, courageusement, demandé 25 et 20 ans d'emprisonnement pour Quarkouri et Bacha en tant qu'auteurs principaux et 10 ans pour Bonnet pour complicité par fourniture de moyens notamment. Les jurés les ont, courageusement, condamnés respectivement à 20, 17 et 7 années de prison. Courageusement, parce que dès l'annonce de la tenue du procès, la presse régionale a fort scandaleusement entrepris un véritable matraquage médiatique en faveur des accusés systématiquement présentés comme des jeunes gens paumés... de jeunes cambraisiens marqués par la vie... trois gamins perdus... trois copains brisés par ce qu'ils ont fait... ils devaient de l'argent à leur dealer. Le réquisitoire du ministère public a été stigmatisé comme extrèmement sévère, le verdict des assises qui n'ont pas tremblé a été estimé lourd... 20 et 17 ans pour deux gamins et 7 ans pour leur copain.
C'est à se demander si la presse locale - que les jurés ou leurs proches lisent probablement - n'a pas été payée par les avocats des trois racailles suburbaines tant le parti pris d'indulgence était évident. La victime elle n'a pas eu de chance, le plumitif moyen regrette sa mort certes mais laisse entendre à demi mots qu'il n'aurait peut-être pas dû résister, donner son bien et contacter son assureur... Et puis la mort d'un bourgeois sexagénaire doit elle briser la vie de jeunes des "quartiers" tellement pleins de promesses ? Bref, les trois petites frappes homicides - qui risquaient perpétuité - sortiront rapidement un à un de prison et dans moins de dix ans le gang Quarkouri sera reconstitué à l'identique : trois canailles en pleine forme prêtes à voler et à tuer à nouveau. Un beau résultat !
12:49 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quand Frédéric Taddeï remet courtoisement Patrick Cohen à sa place :
12:07 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ah ! les p’tites femmes, les p’tites femmes de Paris…
La chronique de Philippe Randa
Plus l’abstention est forte aux élections, plus les citoyens – qu’ils soient écœurés, blasés ou préfèrent les plaisir d’une partie de pêche le jour du scrutin – se détournent de la politique… et plus on organise de consultations ! À l’évidence, les échéances électorales, pourtant quasi-annuelles, ne suffisent plus. À celles-ci, sensées donner une parfaite image de la démocratie parlementaire jusqu’au plus profond de nos campagnes, voilà l’UMP, après le PS, à désormais organiser des « primaires » avant toute échéance électorale.
Celle qui vit s’affronter à l’automne François Fillon et Jean-François Copé pour la présidence de ce parti, aurait pourtant dû faire réfléchir les leaders actuels de celui-ci : coup fourrés, contestations, invectives, menaces, procédures arbitraires, promesse d’un nouveau vote à l’automne suivant, puis consensus (enfin !) sur la difficulté à organiser ce dernier, surtout dans la période de vaches très maigres que traverse l’UMP, « endettée de chez endettée »… De plus, aucun des camps n’est vraiment certain que ne se rejoue pas la pantalonnade déjà douloureusement (euphémisme !) vécue par les militants sincères.
Mais décidément, quand on ne veut pas comprendre, on ne veut pas… et le spectre d’une nouvelle empoignade interne vient d’être programmée sur la place publique.
Cette fois, c’est pour désigner en juin prochain le candidat de la droite ou du centre pour les municipales à Paris en 2014. Avec promesse de « processus “transparent” pour éviter tout psychodrame. »
Juré, craché, voté ! Foi d’UMP ! Si je mens, je suis élu !
T’as qu’à croire ! À peine le coup d’envoi de cette primaire officiellement lancé, celle-ci est contestée par une partie des prétendant(e)s à l’investiture, à commencer par Rachida Dati… Maire de l’excessivement conservateur VIIe arrondissement et accessoirement députée qui s’ennuie au parlement européen, l’ancienne Garde des sceaux ne rêve en effet que de revenir au premier plan de la politique nationale. Via l’Hôtel de ville de la Capitale…
Sur sa route – outre Anne Hidalgo, actuelle première adjointe au maire de Paris qui portera les couleurs socialistes et sans doute l’écolo-ministrée Cécile Duflot – se dresse Nathalie Kosciusko-Morizet, ex-porte-parole de Nicolas Sarkozy lors de l’élection présidentielle de 2012, que l’on suspecterait facilement, à la voir et à l’entendre, de s’être échappée d’un troupeau de Femen… les nichons et la petite culotte à l’air en moins !
Gageons que la primaire UMP se jouera, médiatiquement en tout cas, entre ses deux représentantes d’un sexe qui ne saurait être faible pour l’occasion.
Citons pour mémoire, les autres candidats déjà déclarés – en attendant quelques retardataires avides d’un coup de promotion personnelle bon marché –, soit Jean-François Legaret, Pierre-Yves Bournazel, Franck Margain… et une autre dame, Douce de Franclieu, dont le programme s’annonce particulièrement captivant si l’on en croit sa déclaration de candidature : « Atterrée par la volonté de l’UMP de pousser la candidature de Mme NKM à la tête de la Primaire pour Paris, M. Fillon ayant décliné et Mme Dati et d’autres ayant dit vaguement oui, j’ai décidé de présenter la mienne… »(1) et qui a au moins le mérite d’annoncer la couleur de ses motivations : « ancienne mère de famille maintenant sans profession si ce n’est candidate. »(2)
On sent tout de suite que l’un des points de la Charte des primaires, demandant aux candidats de « se respecter », « ne pas tenir de propos offensants ou risquant d’amoindrir leurs chances de victoire à l’élection municipale » et surtout de « se rassembler derrière (le futur candidat) et faire campagne en sa faveur », peut faire sourire quelques esprits facétieux.
Si ce mode de désignation d’un candidat fonctionne aux États-Unis d’Amérique, à l’évidence, il est au mieux inutile, au pire désastreux, de vouloir et de continuer à vouloir l’appliquer en France… Inutile en 2007 où la candidate socialiste issue d’une telle désignation s’est fait largement battre alors par Nicolas Sarkozy… et désastreux pour l’UMP qui offre ainsi, en moins d’un an et à deux occasions différentes, une image de division suicidaire sur fond de rancunes, de jalousies, d’ambitions et plus encore, d’un vide absolu de propositions politiques innovantes.
Car si un(e) candidat(e) à cette primaire avait un tant soi peu de programme à proposer, soyons certain que celui-ci n’intéressera guère les médias qui préféreront toujours rapporter les bisbilles, noms d’oiseaux et psychodrames des intéressé(e)s… et ces dernier(e)s, ne serait-ce que pour tirer la couverture médiatique à eux(elles), n’hésiteront jamais à les approvisionner régulièrement en « petites phrases » toutes plus croustillantes, mesquines ou assassines les unes que les autres.
Et comme à l’UMP, on n’est jamais en reste d’un gag, ne boudons pas notre plaisir en rapportant que « par sa mère Bénédicte Treuille, (Nathalie Kosciusko-Morizet) serait une lointaine descendante de Lucrèce Borgia »…
Du moins à en croire l’encyclopédie en ligne wikipedia… et c’est sans doute trop beau pour ne pas être vrai !
Notes
(1) ladepeche.fr cliquez ici 13 mars 2013.
(2) Sources AFP, 14 mars 2013.
11:01 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Crimes sans chatiment", une enquête de Jean-Loup Izambert sur les dessous des guerres actuelles...
De la guerre économique à la guerre totale !
Afrique noire, Palestine, Yougoslavie, Irak, Afghanistan, pays du Caucase et du Maghreb, Iran… De François Mitterand à François Hollande, les dirigeants de l’État français pactisent en secret avec des organisations terroristes pour engager la France dans les guerres planifiées et commandées par Washington.
Dans cette enquête sans compromis sur les coulisses des guerres contre la Libye et la République arabe syrienne, riche en révélations surprenantes, en documents inédits et en témoignages accablants, Jean-Loup Izembert (cliquez ici) met à jour le puzzle de vingt années de complicités criminelles contre le monde arabo-perse, l’Eurasie et l’Afrique.
Crimes sans châtiment : un nouvel éclairage sur les guerres contemporaines…
Crimes sans chatiment, Jean-Loup Izembert, Editions 20 coeurs, février 2013, 328 pages, 22 €
Pour l'acheter : Editions 20 coeurs, cliquez ici
09:24 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche soir, 23 h 00, sur Méridien zéro :
RBN Méridien zéro cliquez ici
08:48 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Exit le vote des étrangers, reste la naturalisation au rabais...
Gabrielle Cluzel
Boulevard Voltaire cliquez ici
Le gouvernement français vient de présenter plusieurs projets de loi de révision constitutionnelle. Le droit de vote des étrangers aux élections locales, 50e promesse du candidat François Hollande dans son programme, n’en fait pas partie.
La raison ? Sur cette réforme-là, le gouvernement sait pertinemment qu’il ne parviendrait pas à réunir les 3/5e des deux assemblées. Alors hein, c’est un peu comme les concours des grandes écoles, quand on est sûr de se planter, on ne se présente pas, ça évite des humiliations et des justifications désagréables, n’est-ce pas ?
Et puis, comme l’a concédé encore récemment Manuel Valls dans les colonnes du Monde, il ne s’agit pas « d’une revendication forte » de la société. Tu m’étonnes. Une litote pour dire qu’une majorité de Français y est fermement opposée, comme tous les sondages successifs le montrent, le démontrent et le remontrent.
Allez hop, emballé c’est pesé, Hollande a réussi à glisser au fond de sa poche avec son mouchoir par-dessus cette patate chaude refilée par le grand François 1er lui-même (pas le pape, ni le roi, mais le mari de Danielle), qui avait déjà fait en son temps la même promesse sans la tenir. Jusqu’à la prochaine.
Car disons-le, ce coup du vote des étrangers, c’est un nid à embrouilles inextricable. Il y a d’un côté ceux qui lui bottent le train, comme ces 75 députés qui, dans les colonnes du Monde, au mois de septembre dernier, le sommaient de se presser, fantasmant sur ce fantastique gisement de voix inexploité, et de l’autre le peuple français. Le peuple français qui n’a pas voté pour lui, dont, pour survivre, il faut soigneusement cultiver et arroser tous les matins les antagonismes… et c’est tout un art : pour le moment, c’est sous contrôle, électeurs du FN et de l’UMP se regardent en chiens de faïence. Mais si on les enferme tous deux dans le loft de l’opposition au vote des étrangers, ils vont finir, c’est certain, par s’embrasser sur la bouche.
Mais aussi le peuple français qui a voté pour lui, dont la belle unité pourrait sur cette question-là voler d’un coup en éclat. Les sondages, encore eux, sont formels : si les cadres sont tout à fait favorables au vote des étrangers, les ouvriers eux tirent la gueule, et pas qu’un peu. Cela s’appelle le socialisme version Comtesse de Ségur, et cela ressort dès qu’il est question d’immigration. D’un côté, Madame de Fleurville made in 7e arrondissement, toujours prête à accueillir les gueux d’où qu’ils arrivent, pourvu qu’ils aillent installer leur paddock dans les masures des manants et qu’elle-même puisse vite regagner, la conscience en paix, son château équipé d’un digicode doublé d’un interphone. De l’autre côté, pauvre Blaise qui commence à en avoir sérieusement sa claque de partager sans fin son pain bis et son logement HLM collé au périphérique.
Hollande n’a pas tort. Pourquoi se presser pour faire passer en force cette loi à haute valeur symbolique, quand il existe déjà un moyen bien plus simple, bien plus doux, bien moins voyant de faire voter des étrangers — sinon administratifs, du moins de cœur —, un moyen qui a fait ses preuves et plus encore : la naturalisation au rabais.
08:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 14 mars 2013
Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
23:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pape François : Argentin d'origine italienne et déjà le persiflage médiatique...
Yves Darchicourt
L'élection du Pape François a cloué le bec à plus d'un des spécialistes auto-proclamés des affaires religieuses pérorant dans nos médias sur la personnalité à leurs yeux nécessaire du nouveau souverain pontife et surtout sur son origine. C'est qu'on aurait bien vu un noir sur le trône de Saint Pierre puisque le nouvel ordre mondial a déjà imposé un africain à la Maison Blanche... manque de pot pour les petits Nostradamus de la médiacratie, le Conclave a fort traditionnellement élu un blanc, un argentin italien d'origine.
C'est sans doute pourquoi plumitifs et animateurs odieux-visuel insistent sur le fait que le Pape François vient du continent sud-américain, oublieux du fait que l'Argentine est certainement beaucoup plus "européenne" que certains pays candidats à l'entrée dans l'Union Européenne comme la Turquie par exemple. Et sans doute pour cela aussi que les mêmes s'empressent d'évoquer une prétendue "face obscure" de Jorge Mario Bergoglio durant la dictature du général Videla devant lequel il "n'a pas été très courageux", laissant entendre qu'il aurait été même partisan feutré du "national-catholicisme" de la Junte... bref, François porterait une "soutane blanche entachée" par l'attitude de l'Eglise argentine complice tacite d'atteintes aux droites de l'homme ou au mieux indifférente aux "horreurs de la repression contre les libertés". Faute de pouvoir en faire un ancien des Jeunesses hitlériennes, on va sans doute faire de l'ancien cardinal de Buenos-Aires un complaisant de toutes les dictatures latino-américaines.
Il fallait bien trouver quelque chose à dire contre le Pape. Lequel d'ailleurs ne devrait pas se laisser impressionner par le politiquement correct, comme il en a déjà donné la preuve en 2010 à propos du projet d'autorisation du mariage homosexuel dans son pays : "Ne soyons pas naïfs : il ne s’agit pas d’un simple combat politique : c’est le projet de détruire le plan de Dieu. Il ne s’agit pas d’un simple projet législatif (celui-ci est seulement un instrument), mais une « movida » du père du mensonge qui prétend embrouiller et tromper les enfants de Dieu." Dont acte. En attendant, un Souverain Pontife qui suscite tant de méchanceté médiatique dès son avènement ne doit pas être un homme mauvais.
18:51 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |