Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 01 septembre 2013

Manifestation hier à Paris contre les menaces d'agressions contre la Syrie

18:03 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 29 août 2013

Manif du 14 septembre : le Cercle Franco-Hispanique apporte son soutien à Esteban...

imagesCABTXLNX.jpgUn communiqué d'Olivier Grimaldi, Président du Cercle Franco-Hispanique :

Depuis près de trois mois, le jeune nationaliste Esteban Morillo est en prison. Son crime ? S'être défendu contre une bande d'activistes gauchistes mondialistes qui l’agressait, lui et quelques-uns de ses amis, rue Caumartin à Paris.

En Espagne, une véritable campagne de solidarité a aussitôt débuté pour informer les Espagnols de l’état actuel de la « justice » française. Nos camarades ont effectué de nombreux bombages sur les murs et les ponts, ainsi que des tractages dans plusieurs villes du pays. Esteban, ne l’oublions pas, est d’origines espagnoles.

Comme la Lettre des Amitiés franco-espagnoles l'a appelé dans sa dernière livraison, début août, nous demandons à nos adhérents du Cercle Franco-Hispanique et à nos sympathisants, en particulier aux Espagnols qui résident en Ile-de-France, de se rendre nombreux à la manifestation du samedi 14 septembre, à 14 heures à Paris, pour exiger la libération d'Esteban Morillo et défendre les libertés publiques tant menacées par la « justice » socialiste française, « justice » critiquée à juste titre par la Communauté Européenne.

12:19 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 28 août 2013

Manif du samedi 14 septembre : la campagne a démaré !

IMG_0077.JPG

IMG_0074.JPG

IMG_0078.JPG

Bientôt, des affiches partout dans Paris !

 

11:29 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 27 août 2013

Marignane : fumer tue ? L’héroïsme aussi !

1188351298.4.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Boulevard Voltaire

L’été aura donc été meurtrier à Marignane… et le sang qui y a coulé aussi, dans un minable fait divers à l’issue tragique.

Jeudi soir, deux voyous braquent un débit de tabac avant de prendre la fuite en scooter. Leur butin ? Des paquets de « Fumer tue », un fonds de caisse de quelques billets et de beaucoup de monnaie.

Témoin de leur mauvais coup, Jacques Blondel, un sexagénaire de retour de la plage avec femme et petite-fille, les poursuit, percute leur scooter, puis sort de son véhicule pour les « finir » à la lacrymo.

Mauvaise pioche : l’un des voyous braque son fusil et l’abat avant de reprendre la fuite avec son complice, sans oublier leur « précieux » butin. L’un d’eux, déjà connu des services de police pour des délits similaires, est arrêté peu après. L’autre est en cavale… S’il n’y avait mort d’homme, ce fait divers n’aurait sans doute eu droit qu’à dix lignes dans le journal local, voire à quelques mots blasés des présentateurs de JT pour meubler l’antenne, faute d’actualités plus excitantes.

Mais là, un homme – ni « tête brûlée », ni « chevalier blanc », selon ses anciens collègues de travail – est mort parce que, explique son épouse, « déjà braqué par le passé à Marseille, il ne supportait pas l’injustice »… Les commentaires, toutefois, ne sont pas unanimes : pour les uns, c’est un héros ; pour les autres, un irresponsable qui a non seulement perdu sa vie à vouloir jouer les justiciers, mais a mis également en danger son épouse et sa petite-fille dans son « coup de folie ».

C’est vrai, en quoi est-ce que cela le regardait ? Peut-être bien qu’il ne fumait même pas !

Il fut une époque que les moins de 20 (ou 30 ou 40) ans n’ont pas connue, où seule l’admiration pour son initiative aurait prévalu… Autre temps, autre conception de la citoyenneté.

Cela dit, il est également possible que le drapeau de l’hôtel de ville n’ait pas été mis en berne pour lui rendre hommage, ni qu’une marche silencieuse, ainsi qu’un geste en faveur de la famille, ne soit envisagé par le maire, si son acte de bravoure n’avait eu lieu en pleine polémique médiatique entre Manuel Valls et Christiane Taubira ; le premier s’est immédiatement emparé du cadavre encore chaud pour évoquer « un acte de bravoure qui doit imposer le respect », dénoncer « ce crime lâche et intolérable », dire qu’« il fallait faire preuve d’une grande fermeté, dire que ça suffit » et réaffirmer « la détermination des services de police et de gendarmerie », tandis que la seconde grognait : « Nous n’allons pas céder face aux discours, aux airs martiaux et à la virilité intimidante », propos destinés à l’ancienne majorité de droite, mais plus encore à son collègue si détesté. C’est bien d’ailleurs ainsi que la quasi-totalité des médias l’ont compris et en ont rendu compte.

Grâce à cette bisbille ministérielle, opposant utopie laxiste et ambition personnelle, le courageux retraité aura au moins bénéficié de quelques hommages. C’était bien le moins.

08:42 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 26 août 2013

Le ministre de l'Intérieur appelle à combattre Alain Soral et Dieudonné

by-default-2013-08-24-at-17.jpg

Source Parti de la France Calvados

Aux universités d'été du PS, Manuel Valls s'est livré à une charge contre Alain Soral et Dieudonné, en les nommant et en appelant, au nom de la république, bien sûr, à les combattre. Le hic, c'est que Manuel Valls est le ministre de l'Intérieur, le chef de tous les flics de France. Quand on occupe ce poste, et qu'on dénonce publiquement deux individus en les nommant, c'est qu'on a franchi un pas de plus dans ce qui sépare l'Etat militant, qui est déjà une horreur, de l'Etat assassin, qui est la suite logique pour une clique politique d'adorateurs de la république et de sa Terreur.

Ce qui est comique, c'est que cet appel à "combattre" Alain Soral et Dieudonné a été lancé dans le cadre... d'une défense de Frédéric Haziza ! Un journaliste quelconque et médiocre, qui plus est servile. On se rappelle qu'il s'est servi de son poste à la télévision pour humilier Jacques Cheminade, être "fort" avec les "petits" et servile avec les "forts" étant le propre des individus abjects. On se rappelle également qu'il avait gratifié d'un doigt d'honneur des manifestants contre le mariage des sodomites.

Que le premier flic de France attaque nommément deux personnes pour soutenir ce type de personnage est la preuve, s'il en faut encore une, du niveau zéro de nos élites politiques qui, impuissantes à agir sur le réel, se focalisent et focalisent tous leurs moyens sur la seule lutte contre un soi-disant "antisémitisme" dont on nous dit chaque année qu'il augmente, mais dont on n'a encore jamais vu une seule (vraie) victime...

12:27 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lannion (22), ce matin : Moscovici n'était pas le bienvenu !

IMG01133-20130826-1011.jpg

Ce lundi matin le ministre Moscovici envisageait sans doute parader à Lannion dans les Côtes d'Armor. Mais, dès son arrivée à l'aéroport, une cinquantaine de militants anti-mariage gay l'attendait de pied ferme. En guise de comité d'accueil, ce furent sifflets, slogans et banderoles qui interpelèrent le dernier soutien de DSK.

Parmi les courageux Lannionais présents, nous pouvions reconnaitre notre ami Raymond Blanc, ancien Conseiller régional de Bretagne. Cette manifestation s'inscrit dans le cadre de la campagne que mènent depuis le début de l'été les organisations liées à La Manif pour Tous et au Printemps français. Vous pouvez régulièrement suivre leurs activités sur notre confrère Le Salon beige.

 

sans-titre.png

IMG01128-20130826-1002.jpg

 

12:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 23 août 2013

Samedi 31 août et dimanche 1er septembre : JOURNEES CHOUANNES DE CHIRE-EN-MONTREUIL (86)

journees-chouannes-2013-les-31-aout-et-1er-septembre_net.jpg

Notre ami Jean-Claude Rolinat sera présent et il dédicacera son livre Salazar le regretté...

 

2025845835_2.jpg

20:47 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 21 août 2013

"Bardèche et l'Europe" sur Metamag...

bardeche%20images%20(1).jpg

Pierre Le Vigan

Metamag cliquez ici

Maurice Bardèche est l’un des écrivains politiques majeurs – voire le premier d’entre eux - que l’on peut rattacher au « nationalisme européen » des quarante années qui ont suivi la dernière guerre mondiale. Comment voyait-il l’Europe ? Quelle Europe espérait-il ? Le sujet est universitaire, il est aussi  politique. Maurice Bardèche ayant arrêté la publication de sa revue Défense de l’Occident en 1982, tous ses écrits ont été marqués par la division de l’Europe entre une partie occupée par la Russie communiste et une autre partie sous protectorat américain. L’intérêt de l’enquête de Feltin-Tracol sur la vision de l’Europe par Bardèche est de montrer que, malgré ce contexte, Bardèche a toujours refusé toute idée de guerre préventive contre la Russie, a toujours expliqué qu’il était normal que la Russie ne supporte pas que des armes soient braquées contre elle depuis la Pologne, et que le communisme devait être éradiqué en luttant d’abord « contre le capitalisme international ».

Bardèche soutenait l’idée d’une Europe cuirassée et sanctuarisée, d’une « Europe-citadelle ». Il voulait un neutralisme armé, et une indépendance totale de l’Europe vis-à-vis des blocs. Si Bardèche n’était pas un théoricien politique il voyait néanmoins fort bien que l’essentiel c’est, pour les nations d’Europe, d’avoir une politique étrangère commune, une défense commune, et une mise en commun de leurs moyens. « L’essentiel, c’est l’esprit et la volonté » expliquait-il dès les années cinquante. C’est pourquoi il ne lui paraissait pas essentiel de défendre telle ou telle forme institutionnelle précise. S’il évoquait parfois une fédération européenne, il parait clair qu’il s’agissait pour lui d’une fédération de nations – une  sorte d’ « alliance perpétuelle », à l’image de la Suisse et telle que l’avait évoquée aussi Pierre Drieu La Rochelle.

Maurice Bardèche ne souhaitait aucunement la disparition des nations mais voulait au contraire leur assurer la pérennité par la création d’un cadre protecteur plus large, précisément cette Europe indépendante et sanctuarisée qu’il appelait de ses vœux et de ses écrits.

L'Europe, un projet de civilisation

S’il y a un élément qui reste tout à fait pertinent dans la conception de l’Europe de Maurice Bardèche c’est que cette Europe indépendante, il la voit au service d’un projet de civilisation, lui-même différent du matérialisme consumériste et du règne des trusts, côté américain, et du matérialisme caporalisé et gris de la termitière communiste, côté russe (la Russie d’alors). La convergence des deux systèmes qui additionnent leurs défauts dans la Chine d’aujourd’hui, à la fois dictature du Parti communiste et dictature du Capital, rend encore plus actuel cette nécessaire démarcation. 

Bardèche définissait ses écrits d’abord comme « une protestation contre l’invasion de l’économique dans notre vie. » Il refusait que notre destin soit de « voir toujours plus grand, exporter toujours davantage, baisser de quelques centimes le prix de revient final, pour ‘’battre’’ les autres, être ‘’mieux placé’’ qu’eux, enfin ‘’vendre, vendre, vendre’’, vendre ou mourir, vendre ou être asphyxié. » (on croirait lire Günther Anders).  Sa conception de l’Europe est, affirmait-il « le contraire d’une conception mercantile qui ne veut réaliser l’union entre les nations que pour ‘’américaniser’’ l’Europe, rivaliser avec l’Amérique sur son propre terrain, et la devancer en somme par le gigantisme et l’éternelle compétition, c’est-à-dire en définitive sur une route au bout de laquelle on n’aperçoit que des crises dues à cette concurrence à mort, et, au-delà de ces crises ou dans ces crises mêmes, la catastrophe et l’anarchie. Mais on oublie ou on feint de ne pas voir que l’unité économique et politique de l’Europe peut se traduire par une ambition beaucoup plus féconde que celle de participer, difficilement, on nous en avertit, à une course insensée. »

bardeche%20defense%20images%20(1).jpgA l’économie de profit, Maurice Bardèche opposait une économie de puissance et d’indépendance, dans un marché fermé européen (sans doute à rapprocher de l’Etat commercial fermé de Fichte, le même qui écrivait que l’homme « doit travailler sans angoisse, avec plaisir et joie, et avoir du temps de reste pour élever son esprit et son regard au ciel pour la contemplation duquel il est formé. »). 

Bardèche insistait sur le fait qu’il ne s’agit pas d’être une puissance pour imiter les Etats-Unis mais pour préserver autre chose, pour mettre la société à l’abri du système de l’argent. Bardèche pensait que l’Europe devait dire aux Américains : « Nous n’avons pas la même idée que vous de l’économie mondiale, nous n’avons pas la même idée que vous du bonheur de l’homme et de son avenir, nous n’avons pas la même idée du progrès, ni la même idée de la justice et nous agissons conformément à notre idée. » C’est l’Europe sanctuarisée, y compris du point de vue économique, qui devait, selon Maurice Bardèche, nous protéger de l’invasion et de la dépossession produites par le libéralisme mondial. « La mission de l’Europe, disait-il, est de construire les digues qui canaliseront la société de consommation. » Cette idée lui tenait profondément à cœur. Selon lui, « la véritable mission de l’Europe (…) n’est pas seulement d’être une troisième force, c’est aussi, c’est surtout, d’être une troisième civilisation. (…) Or, toute civilisation a besoin d’un berceau. (…) Si la vieille Europe peut encore dégager une idée neuve de l’avenir, elle ne peut faire autrement que d’affirmer cette idée, la réaliser et la mettre en lumière sur son sol même et par ses propres moyens. Qu’elle le veuille ou non, elle se pliera sur elle-même pour être elle-même. Si elle s’y refuse, si elle renonce à porter et à représenter une idée de l’homme qui lui soit propre, son histoire et non plus seulement l’histoire de nos propres pays, est terminée : elle [l’Europe] ne sera plus qu’une péninsule ou une tête de pont » (Sparte et les Sudistes, 1969). 

Georges Feltin-Tracol souligne aussi la position particulière qui fut celle de Bardèche à propos de la question algérienne. Son sentiment était que  l’indépendance de l’Algérie était inéluctable et qu’il convenait d’essayer non de pérenniser un statut de colonie mais de créer une forme d’association entre deux nations indépendantes, la France et l’Algérie.

L’ouvrage bienvenu de G. Feltin-Tracol appelle quelques remarques : l’auteur ne disposait pas de tous les textes de Maurice Bardèche, notamment de la collection complète de Défense de l’Occident. Il resterait par ailleurs à écrire une étude sur cette revue elle-même, durant ses trente années d’existence (1952-1982). Enfin, une dizaine d’années avant les interrogations de Maurice Bardèche sur l’improbable avenir de l’Algérie française, des membres du Mouvement Social Européen, qu’il avait cofondé avec Per Engdahl, avaient proposé une décolonisation immédiate et totale et (tel l’autrichien Wilhelm Landig) une collaboration entre les peuples européens et les peuples de couleur. Des propositions que Bardèche avait jugé démagogiques. Bien des points restent donc à approfondir. C’est dire que cet ouvrage met en appétit.

bardeche_images.jpgGeorges Feltin-Tracol, Bardèche et l’Europe, Les bouquins de Synthèse nationale, 112 p., 18 €.

17:30 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 19 août 2013

Samedi 14 septembre : pour soutenir Esteban et Samuel, patriotes emprisonnés, TOUS A PARIS !

manifesteban.png

Esteban et Samuel passent l'été en prison. Leur crime ? S'être défendus face à une violente attaque de militants d'extrême gauche.

Partout en France, les persécutions judiciaires et financières se multiplient à l'encontre des patriotes, pendant que d'autres populations semblent bénéficier d'une impunité totale lorsqu'ils commettent leurs méfaits.

Afin de dénoncer cette dictature qui se met en place depuis plusieurs mois déjà, le Collectif pour la défense des libertés publiques a décidé de réagir en invitant tous les patriotes et les personnes attachés à leurs libertés individuelles et collectives à venir manifester, samedi 14 septembre, à Paris, à 14h.

Des bus partent de toute la France, et vous avez la possibilité de vous inscrire dès à présent, directement par Internet, via la billetterie en ligne mise en place pour l'occasion, ou par mail, en laissant vos coordonnées à :

manif14septembre@gmail.com.

Samuel, Esteban, Pierre, Pascal, Nicolas et tous les autres comptent sur votre présence !

Pour vous inscrire, cliquez ici 

12:10 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 14 août 2013

Manif du samedi 14 septembre pour la libération d'Esteban : DES CARS DE TOUTE LA FRANCE !

1150282_203506956480643_1541735031_n.jpg

Pour vous inscrire clique ici

11:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 12 août 2013

INSUPPORTABLE !

Bluj_Taubira-Pourriture-61f47-72f79.jpg

Source Contreinfo.com

11:22 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 10 août 2013

Disparition de l'abbé Bruno Schaeffer

abbé shaeffer.pngC'est avec tristesse que nous venons d'apprendre le décès, au cours de la nuit de jeudi à vendredi, de l'abbé Bruno Scheaffer. Homme d'Eglise, mais aussi homme de conviction nationale et fin connaisseur de la Droite nationaliste, l'abbé Schaeffer était toujours aux côtés de ceux qui se battent pour que vive la France française.

Depuis quelques années il était atteint d'une grave maladie qui l'affaiblissait considérablement. Néanmoins il continuait à suivre de prêt le combat national et bien sûr le combat traditionaliste. Nous l'avions d'ailleurs rencontré pour la dernière fois, il y a quelques mois, à Villepreux lors du congrès du Renouveau français.

Nous nous souviendrons de lui comme étant un homme d'une grande culture et d'une grande amabilité. Saluons sa mémoire.

Pour information : les funérailles de Monsieur l’abbé Bruno Schaeffer seront célébrées mardi 13 août 2013 à 10 H 30 en l’abbaye de Bellaigue (63) par M. l’abbé Régis de Cacqueray, Supérieur du District de France.

00:45 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 06 août 2013

Dimanche 6 octobre : fête nationale du Cercle national des combattants

CNC2-300x225.jpg

Dimanche 6 Octobre 2013 – Fête du Cercle National des Combattants sur le thème « Hommage à l’Armée française d’hier et d’Aujourd’hui »

Au Château de LA CHAPELLE D’ANGILLON
Route Jacques Cœur – 18380 LA CHAPELLE D’ANGILLON

Voir le site du chateau d’Angillon

Entrée 5€ – Parking gratuit

Transport : Un autocar est prévu. Départ 06h45, Porte Maillot (PARIS) devant l’entrée principale du Palais des Congrès – 30€ par personne aller-retour – Inscription au 01.40.59.07.66

Nombreux stands variés – Programme de cette journée auprès du CNC – Tel : 01.40.59.07.66 (Repas sur inscription) – Buvette – stand casse-croûte.
e-mail : cerclenationalcombattants@orange.fr
Lien : cncombattants.org/22

- A cette occasion, le film de Robert SAUCOURT, président de l’Association pour la Mémoire de l’Empire Français : « Tu te souviens ? C’était Alger… », sera projeté.

Dans le cadre de cette manifestation, une conférence sera donnée à 15h précise par José CASTANO sur le thème : « LES SEIGNEURS DE LA GUERRE »

DISCOURS DE ROGER HOLEINDRE 

10:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 04 août 2013

La minute de gloire de Frédéric Haziza : Serge Ayoub n'aurait-il plus le droit de signer une pétition ?

arton19370-2fcfd.jpg

À défaut de briller par son professionnalisme et sa compétence, Fréderic Haziza a trouvé une nouvelle idée pour faire parler de lui et s’attirer la sympathie, à peu de frais, d’une partie des nos « élites » : s’en prendre, via Twitter, à Serge Ayoub, fondateur de l’organisation nationaliste révolutionnaire Troisième Voie (auto-dissoute en juin 2013), coupable d’avoir relayé la pétition demandant la démission du journaliste de La Chaîne parlementaire.

Un échange houleux a eu lieu entre les deux protagonistes : cliquez ici

Source Egalité et réconciliation

02:09 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 02 août 2013

Samedi 14 septembre, par milliers, TOUS A PARIS !

944254_155476037971650_147186554_n.jpg

Plus d'infos très bientôt...

11:43 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 01 août 2013

Jean Madiran vient de nous quitter...

madiran.pngJean Madiran était, avec François Brigneau, Barnard Antony, Georges-Paul Wagner et quelques autres, l'un des fondateurs du quotidien Présent. Nous ne partagions pas, loin s'en faut, toutes ses options. Cependant, il y avait aussi beaucoup de choses qui pouvaient nous rapprocher. Suffisament de choses en tout cas pour considérer que nous appartenions à la même famille politique.

En novembre 1981, dans le contexte qui était celui de cette année-là, la petite équipe qui entourait Madiran fit preuve d'un certain courage et d'une grande témérité en lançant Présent. Ce journal joua en effet un rôle important dans le retour de la Droite nationale dans la vie politique de notre pays.

Jean Madiran vient de nous quitter à l'age de 93 ans. Saluons sa mémoire.

Roland Hélie

Lire dans Présent d'aujourd'hui cliquez ici

19:22 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 31 juillet 2013

La gigantesque arnaque du Livret A...

1444772571.jpgArnaud Raffard de Brienne

Au 1er août, le rendement du Livret A, l'épargne chouchou des Français, nous dit-on, passera de 1,75 à 1,25%, poursuivant ainsi la dégringolade qui l'avait fait chuter de 2,25 à 1,75% en février dernier. Motif officiel, la baisse de l'inflation. Un homme politique de premier plan ose quand même affirmer qu'"en dépit des apparences, le Livret A bénéficie d'un coup de pouce par dérogation à la formule du taux prenant en compte les taux d'intérêt du marché monétaire, dont le taux est très bas en ce moment". Sûrement un énarque... Le respect de la formule évoquée aurait en effet abouti à l'application d'un taux ramené à 1%, soit le plus faible jamais atteint depuis 1818, date de la création du livret. Il n'empêche qu'à un pareil coup de pouce nous ne saurions répondre décemment que par la présentation d'un solide majeur.

Concrètement, avec une inflation à 2% en 2012 et qui situera à environ 1,50% en 2013, l'épargnant sur Livret A ne parviendra pas même à maintenir ses économies. Quant à les faire fructifier, n'en parlons même plus. A partir du premier août, un Livret A au plafond (22 950 €) rapportera 286,90 € par an au lieu de 401,60 €. L'appauvrissement, c'est toujours maintenant... La récente augmentation du plafond du Livret A était d'ailleurs d'une colossale finesse : savoir qui possède quoi, capter les bas de laine et gonfler les livrets pour, au final, en baisser les taux.
 
Il s'agit donc d'une spoliation, tout à fait officielle, de 63,3 millions de livrets au profit de la Caisse des Dépôts (CDC) et des banques. La CDC perçoit environ 65% de la collecte, ce qui lui permettra de prêter aux bailleurs sociaux à moindre coût, autrement dit, l'appauvrissement généré par le fameux livret contribuera à financer le logement social - environ 30 000 logements -, ce qui est quand même un peu fort de café, quant aux banques, elle profiteront d'une manne d'environ 50 milliards d'euros. Le CDC accordera par ailleurs aux collectivités locales, déjà lourdement endettées, des prêts à long terme, plus de vingt ans, au taux de 2,25% (contre 3,05% actuellement). Prêts que nous rembourserons forcément par des hausses de la fiscalité locale. L'épargnant guignard pourra toujours taper dans son livret pour payer ses impôts locaux. La devise c'est "cocu un jour, cocu toujours".
 
Cette énième spoliation des épargnants au profit du système financier dispensera par ailleurs les banques d'accroître les rendements de leurs autres produits à court terme et leur permettra de se refinancer au moindre coût. Espérons qu'elles apprécieront à sa juste valeur le geste. En résumé, comme a pu l'affirmer un observateur, les banques vont gagner de l'argent en prêtant notre argent qui ne leur coûtera rien. CQFD.
 
Quant à la Caisse des Dépôts, qui perdit 4 milliards dans la faillite douteuse de Dexia dont elle était le premier actionnaire, on sait qu'au moins un milliard provenait du Livret A. La CDC remercie chaleureusement les Français et leur épargne préférée. Et bien le bonjour chez vous M'sieur-dame.
 
En synthèse, le meilleur placement consiste à vider au plus vite son Livret A, d'autant plus que l’État, en cas d'urgence, risquerait fort de procéder à sa confiscation pure et simple, comme en Argentine il y a moins de dix ans.

 

Dans le dernier numéro de Synthèse nationale, un article de Arnaud Raffard de Brienne sur la nécessaire dissolution du Syndicat de la magistrature. cliquez là

15:46 Publié dans Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 30 juillet 2013

Il y a 15 ans, le 30 juillet 1998 : Maurice Bardèche nous quittait

bardeche_0001-150x150.jpgMaurice Bardèche est né le 1er octobre 1907 à Dun-sur-Auron.

Son intelligence et son travail lui permettent d’obtenir une bourse grâce à laquelle il poursuit de brillantes études. Il est admis en hypokhâgne au lycée Louis le Grand où il rencontre celui qui deviendra son meilleur ami : Robert Brasillach. Ils intègrent tous deux, en 1928, le célèbre établissement de la rue d’Ulm, l’Ecole normale supérieure, dans une promotion qui regroupe notamment Jacques Soustelle, Thierry Maulnier et Roger Vaillant.

Ses études se terminent avec l’agrégation de lettres qu’il obtient en 1932. Il est désormais professeur. Il assurera des cours à la Sorbonne avant d’être titularisé à l’Université de Lille en 1942.

Il se mari en juillet 1934 avec Suzanne, la sœur de Robert Brasillach. Les époux partent en voyage de noce pour l’Espagne en compagnie de Robert qui vivra avec eux jusqu’en 1944 ! Au cours de ce voyage, Maurice Bardèche faillit mourir dans un accident de la route. Bardèche fut trépané et conserva sur le front un « enfoncement dans le crâne ».

Dans les années 1930, il collabore aux revues qu’animent Brasillach et Maulnier, où il assure la chronique picturale et littéraire. De 1936 à 1939, il se rend plusieurs fois en Espagne et écrit avec Brasillach une Histoire de la guerre d’Espagne. Séduit par la Phalange espagnole de José Antonio Primo de Rivera, il prend parti pour le fascisme.

Durant la guerre, hormis quelques articles sur l’art dans Je suis partout, il se consacre essentiellement à son œuvre littéraire, étant spécialiste des écrivains du XIXe siècle. À la Libération, arrêté car proche de Brasillach, il est vite relâché.

Radié de l’enseignement national, il ne peut plus donner de cours que dans des écoles privées, jusqu’à l’intervention de Georges Pompidou dès son élection en 1969.

Il ne se remettra jamais de l’exécution de l’homme auquel il voue une admiration sans bornes. Son seul regret sera de ne s’être pas engagé d’avantage à ses côtés. Il le fera en se proscrivant d’un monde qui avait voulu la mort d’un «être aussi pur».  Désormais, il s’attachera à réhabiliter l’œuvre et diffuser les écrits de Brasillach.

Dans sa Lettre à François Mauriac(1947), pamphlet vendu à 80 000 exemplaires, s’il défend l’idée de « collaboration» et les fonctionnaires nommés par Vichy, remet en cause la légalité de la Résistance et critique les excès de l’épuration permanente.

Dans Nuremberg ou la Terre promise, publié en octobre 1948 et tiré à 25 000 exemplaires, il plaide en faveur de l’Allemagne, contestant aux Alliés le droit légal et moral de juger les dirigeants du IIIe Reich pour des actes qu’ils avaient « peut-être » commis, et exprime le premier les thèses révisionnistes.

Ce livre lui vaut saisie et procès : Bardèche est condamné à un an de prison ferme et 50 000 francs d’amende pour « apologie de crimes de guerre », et le livre est interdit à la vente. Il récidive dès 1950 avec Nuremberg II ou les Faux-Monnayeurs, où il s’appuie sur les thèses de Paul Rassinier. Incarcéré à Fresnes pendant trois semaines en juillet 1954, il est amnistié par le président de la République René Coty.

 Il racontera les difficultés de sa famille et son incarcération (ainsi que celle de sa femme, Suzanne Brasillach, avec qui il aura cinq enfants dont l’avocat Bruno Bardèche), sur un ton mi-humoristique, mi-dramatique, dans Suzanne et le taudis (1957).

Il participe au Mouvement social européen. A Malmö, en mai 1951, au congrès de ce mouvement, qui réunit entre autres, à l’initiative des Suédois et notamment de Per Engdahl, l’Anglais Oswald Mosley, l’Italien Ernesto Massi, l’Allemand (ancien Waffen) Karl Ernst Priester et le Français René Binet, il conduit la délégation française et reçoit pour tâche de fédérer les divers groupes français.

Après avoir fondé Les Sept Couleurs, maison d’édition publiant ses livres et ceux d’autres auteurs, il fonde Défense de l’Occident, qui sera un « lieu de rencontre » des nationalistes de 1952 à 1982.

Il meurt à Paris, le 30 juillet 1998.

Le 12 septembre 1998, une messe est célébrée à sa mémoire selon le rite tridentin en l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris, messe qui réunit les  figures du nationalisme  français : Pierre Sidos et Henry Coston.

Jean-Marie Le Pen salue, dans Français d’abord, le journal du front National, le « prophète d’une renaissance européenne qu’il espéra longtemps », « un grand écrivain et un historien d’avant-garde ».

Source La Flamme cliquez là

09:25 Publié dans Nous avions un camarade..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 29 juillet 2013

Manif du 14 septembre à Paris : la mobilisation s'organise

esteban.jpgCommuniqué du Front Nationaliste :  

Face à la répression socialiste qui frappe l'ensemble des patriotes français et les nationalistes en  particulier depuis plusieurs semaines, à travers des emprisonnements et des dissolutions injustifiées, tous les Français enracinés, militants ou non, doivent se sentir solidaires de leurs camarades embastillés et dissous.

Nous sommes de tout cœur avec Esteban, Samuel et tous ceux victimes de la répression socialiste ; nous sommes en esprit tous de Troisième Voie et des JNR, principales organisations visées, et tous derrière Serge, Hugo, Richard, Roland et les autres leaders nationaux unis dans notre combat salvateur.

C'est pourquoi le CEPE et le Comité de Défense des Libertés Publiques organisent le samedi 14 septembre à Paris une manifestation de soutien à tous les prisonniers politiques patriotes ET pour le respect des Libertés publiques et d'association face à ce Régime inique de pantins mondialistes et corrompus, qui n'a d'autre ressource que de manier la trique contre les français révoltés !

Des bus partiront de villes de province, veuillez réserver dès maintenant vos places par mail ou SMS auprès de vos orgas ou par les coordonnées sur l'affiche générale. Unité ! Action ! Solidarité ! FRONT NATIONALISTE - FJN - GNR

23:11 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

31 août, 1er septembre : université d'été du MNR en Avignon...

3-mnr.JPGUniversité d'été du MNR
les 31 août et 1er septembre 2013 en Provence
dans une manade près de Châteaurenard et d'Avignon

Hollande la décadence !
Et comment l'arrêter ?

Au moment où Hollande et les socialistes organisent la décadence de notre civilisation, appauvrissent notre pays et soumettent les Français à une invasion en règle, participer à cette manifestation importante du MNR, c'est vous affirmer comme des Français fiers, courageux et déterminés. A un moment où beaucoup de nos compatriotes baissent les bras et se soumettent être présent au MNR cet été en Provence, c'est dire non à l'inversion des valeurs, non à 'islamisation, non à la mondialisation et à la décadence. C'est dire non à Hollande, non aux socialistes, à la classe politique et au système.

Participer à notre Université d'été et à notre AG c'est soutenir le MNR qui maintient le flambeau et prépare la relève pour le rassemblement de la droite nationale et la défense de nos valeurs. C'est aussi se retrouver ensemble, entre Français authentiques pour une rencontre amicale et chaleureuse de résistance et de convictions.

En savoir plus cliquez là

00:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 28 juillet 2013

Les Bouquins de Synthèse nationale :

Bardèche et l'europe GFT.jpg

Commandez-le cliquez ici

SN 32 Liv Trotsk Gofman pub.jpg

Commandez-le cliquez ici

doriot.jpg

Commandez-le cliquez ici

SN polémistes RS 2.jpg

Commandez-le cliquez ici

Salazar flyer.jpg

Commandez-le cliquez ici

09:59 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 26 juillet 2013

Samedi 7 septembre : université d'été de Jeune Bretagne... en Bretagne.

223022_10151503260002038_1519484195_n.png

Renseignements cliquez ici

13:17 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 25 juillet 2013

Après la dissolution de l'OEuvre française et des Jeunesses nationalistes

AutocFin-225x300.jpgUn communiqué d'Yvan Benedetti et de Alaxandre Gabriac :

A l’issue du conseil des Ministres du mercredi 24 juillet, Manuel Valls a annoncé la dissolution de l’Œuvre française et des Jeunesses Nationalistes, actée par voie de décret présidentiel. Nous faisons donc un recours en référé suspensif devant le Conseil d’Etat afin d’obtenir l’annulation de cette forfaiture. On ne dissout pas l’Œuvre française, ni les Jeunesses Nationalistes, pas plus qu’on ne peut dissoudre la France ou les Français. Car ce ne sont pas des partis, des syndicats d’intérêts avec leurs belles permanences, leurs créances, leurs employés, leurs prébendes, leurs mandats… ce sont des mouvements qui prennent leur origine dans la France, c’est le souffle de vie de cette Patrie irrévocable, qui s’incarne en chacun de nous. Un mouvement ne s’arrête pas, c’est son essence même.

L’Œuvre française vit en nous et c’est dans nos cœurs, dans nos âmes qu’il faudrait que l’illégitime, le Hollande, vienne la chercher. Car si notre mouvement vieux d’un demi-siècle, trouve sa légitimité dans la France historique, ceux qui prétendent la dissoudre en sont dénués. Leur République assoit sa légitimité sur le peuple. Or le peuple n’a plus ni confiance, ni même respect pour ce Président fantoche qui n’a eu de cesse de souiller notre France. Et que dire d’un Valls pas même encore français quand l’Œuvre française voyait le jour, lui le larbin des lobbys communautaristes, l’otage des racailles de Trappes, lui le yorkshire de garde aux ordres et abois. Pour aboyer il aboie ! Et même il mord ! Il n’y a pas plus agressif que ces petits roquets qui se prennent pour de grandes montures ! Mais combien il faut être petit pour prendre d’aussi grands airs ! Devant les caméras, il est là. Dans les salons feutrés de l’Elysée, il est là. Mais où était-il quand les cadavres étaient dépouillés à Brétigny, pas même fichu de faire arrêter ceux qui ont commis ces actes innommables au nez des forces de l’ordre, le Zorro des salons bobos, armé de son micro et de sa plume.

C’est dans la répression qu’une nouvelle aristocratie révolutionnaire voit déjà le jour. Notre Mère Patrie n’a pas fini d’enfanter des nationalistes ! Le gouvernement passera que nous serons toujours là, nous, fils et filles de France. Nous ne vivons pas aujourd’hui dans l’attente de la mort symbolique qu’il voudrait nous donner, nous portons la vie, toujours debouts et fiers de ce que nous sommes. Nous ne renierons rien.

L’Œuvre française comme les Jeunesses Nationalistes sont plus qu’un nom, ils sont une éthique de vie, et nous continuerons à vivre, ils sont une famille, et nous resterons soudés, ils sont une doctrine, et nous continuerons à penser, ils sont porteurs d’amour pour notre France et nous continuerons à aimer. Que Hollande le sache, que Valls le sache, car nous l’affirmons haut et fort : les Nationalistes vivront ! Et si ça n’est plus demain à notre bannière que vous nous reconnaîtrez, vous nous reconnaîtrez car nous serons toujours là, derrière vous, anonymes, dans vos déplacements, dans vos représentations, et demain dans votre défaite. Vous valserez avant nous et selon les règles de votre propre système.

Dissoudre l’Œuvre française et les Jeunesses Nationalistes ? Foutaise !

Une seule réponse claire et définitive : N-O-N ! 

Dissolution ? NON !

Alexandre Gabriac, Président des Jeunesses Nationalistes

Yvan Benedetti, Président de l’Œuvre française, envers et contre tout.

08:28 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 24 juillet 2013

« Dissolutions » : le feuilleton de l’été signé Manuel Valls…

imagesCAASDS64.jpgUn communiqué de Roland Hélie,

Directeur de Synthèse nationale :

« Dissolutions » : le feuilleton de l’été signé Manuel Valls…

Après avoir dissout, il y a 15 jours, sous des prétextes plus que fallacieux, les mouvements (déjà auto-dissous) 3e Voie et JNR ainsi que l’association « Envie de rêver », l’apprenti dictateur Manuel Valls vient de nous pondre un nouvel épisode de sa série de l’été, à savoir la dissolution par ce que l’on appelle encore un « Conseil des ministres » de l’œuvre française (institution nationaliste créée il y a 45 ans par Pierre Sidos) et des Jeunesses nationalistes. Là aussi les raisons de cette décision sont pour le moins discutables.

Quoi qu’il en soit, de telles mesures révèlent l’incapacité totale du gouvernement à gérer la crise qu’il a lui-même engendrée. Au moment où la terreur issue de masses importées s’impose partout dans le pays, au moment où la révolte sociale se développe, au moment où une partie de plus en plus grande de la jeunesse française bascule aux côtés de la résistance nationale, au moment où le pouvoir maintient en prison des jeunes patriotes, tels Esteban et Samuel, et fait preuve d’un laxisme scandaleux à l’égard des émeutiers de Trappes et d’ailleurs, le ministricule incapable de la Place Beauvau, celui que l’histoire retiendra sous le sobriquet peu flatteur de Manuel Gaz, multiplie les provocations liberticides.

Hier 3e Voie et les JNR, aujourd’hui l’œuvre française et les Jeunesses nationalistes… Demain, à qui le tour ? Au Printemps français ? Au Front national ? Pourquoi pas à  l’UMP pendant qu’on y est ?

Mais, hélas pour cette clique d’incapables qui constitue le gouvernement, le prochain épisode de cette funeste série estivale pourrait bien être, à la rentrée, celui du retour de bâton. Le printemps dernier risque fort de n’avoir été que la répétition générale de ce que sera l’automne prochain...

13:07 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 18 juillet 2013

Synthèse nationale dans les bons endroits...

SN 32 vente en librairie.jpg

ABONNEZ-VOUS A LA REVUE

SYNTHESE NATIONALE cliquez ici

19:20 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les belles causeries dominicales de Philippe d'Hugues...

th.jpgGeorges Feltin-Tracol

Europe maxima cliquez là

On connaît Philippe d’Hugues amateur de cinéma qui anime, un jeudi sur quatre, sur Radio Courtoisie un « Libre-Journal du cinéma ». Cet amoureux du septième art en est aussi l’historien qui a écrit à La Nouvelle Revue d’Histoire et sur Arletty (1978), Le Cinéma français (1986) ou Les Écrans de la guerre (2005). On pourrait par conséquent supposer que ces Causeries du dimanche portent sur sa passion. Pas du tout ! Enfin, pas exactement, puisque le grand écran n’y est jamais absent.

L’auteur réputé de biographies dédiées à Brasillach en 2005 et à Roger Nimier, l’année dernière, a réussi sous ce titre – clin d’œil au critique littéraire français du XIXe siècle, Sainte-Beuve – trente-trois articles parus entre 1957 et 1991 dans diverses publications (Revue des Deux Mondes, Revue de Paris, Cahiers de la Cinémathèque, Commentaire, Archives diplomatiques, etc.). On relève toutefois que vingt-trois d’entre-eux proviennent de La Nation française de Pierre Boutang.

Originaire de Saint-Étienne, Pierre Boutang était un philosophe royaliste, formé à L’Action française, et ancien résistant giraudiste. Considéré après-guerre comme le successeur intellectuel de Maurras, il rompt avec la Restauration nationale et crée un hebdomadaire nationaliste et royaliste, La Nation française. En avant-propos, Philippe d’Hugues rappelle que la rédaction comprenait le philosophe paysan ardéchois Gustave Thibon, l’historien Philippe Ariès, Pierre Andreu, Paul Sérant, l’universitaire Raoul Girardet, l’éditeur Roland Laudenbach, l’Auvergnat Alexandre Vialatte, Georges Laffly et Bernard George.

Philippe d’Hugues commença à y collaborer (bénévolement faut-il le  préciser ?) en 1960 « pour succéder à Pierre-André Boutang, fils aîné [du fondateur], et qui était un ami. Titulaire de la rubrique cinéma qu’il abandonnait pour devenir lui-même assistant du metteur en scène Léo Joannon, il me proposa de l’y remplacer (p. 9) ». Quand on lit ses contributions dans le journal de Boutang, on est surpris par la tolérance de son directeur. Ce fidèle maurrassien dans l’invective aurait pu exiger de ses rédacteurs une unité de vue nationaliste intégrale complète. Au contraire, Boutang ne se formalise ni des thèses évoquées par Ariès, ni des sujets traités par Philippe d’Hugues. Ce dernier souligne qu’il proposait « aussi parfois des sujets à Boutang qui n’en refusa jamais aucun, même quand ils étaient fort éloignés de lui. Tel était en effet le libéralisme vrai et au bon sens du terme, de celui que beaucoup dépeignaient comme une féroce autocrate… (p. 10) ».

Cette liberté de ton et d’approche parcourt tout le recueil avec une maestria remarquable. Selon l’humeur et les circonstances, les analyses de Philippe d’Hugues sont plus ou moins fouillées, mais elles tombent souvent justes. De temps en temps apparaît le cinéma avec des articles sur François Vineuil alias Lucien Rebatet ou « François Truffaut épistolier ». Cependant, il ne monopolise pas tout le livre.

La littérature ou – plus exactement – les littératures occupent l’essentiel du volume. Le pluriel s’impose, car Philippe d’Hugues ne se contente pas des classiques. Il témoigne de son intérêt pour la littérature dite populaire en saluant Fantômas. Il loue Robert Brasillach l’écrivain et vante aussi bien Roger Nimier que Jean-René Huguenin. Quand Philippe d’Hugues participe à La Nation française, la mode est encore aux « Hussards », cet ensemble hétéroclite de jeunes plumes talentueuses qui bravent avec panache le conformisme sartrien. En publiant ces Causeries du dimanche, Philippe d’Hugues permet aux jeunes générations de découvrir des écrivains au style racé très éloignés des actuels scribouillards primés grâce à de coupables complaisances éditoriales…

Outre la littérature, Philippe d’Hugues n’hésite pas à non plus à traiter de l’histoire, y compris celle de l’avenir. Avec le recul, on a l’impression que ses papiers portent un sens prédictif certain. Serait-il inconsciemment un devin ? Il faut le croire. En effet, dans « Louis Chevalier et l’histoire de Paris », on lit que « ce Parisien, si fort conscient de sa singularité, ne serait que le produit résiduel de toute métropole, l’animal des grandes cités, le monstre passe-partout que caressent certains sociologues, bref cette interchangeable et anonyme entité : le mégapolitain (p. 188) ». Écrit en 1963, ce texte présente une savoureuse actualité à l’heure des projets métropolitains du « Grand Paris ».

En esprit curieux, Philippe d’Hugues s’intéresse à une étude d’Émile Faguet (1847 – 1916). Avant Bertrand de Jouvenel, Faguet œuvra à la futurologie en réfléchissant en 1899 sur le XXe siècle bientôt naissant. Faguet pressent que ce nouveau siècle s’organisera autour de la démocratie, des grandes agglomérations politiques et de la ploutocratie. Sous ce dernier terme quelque peu désuet, Faguet évoque l’avènement d’une société capitaliste dominée par la spéculation… Philippe d’Hugues pense en 1962 aux temps des « Trente Glorieuses » que Faguet s’est trompé parce que ce dernier envisageait que « la ploutocratie en haut et la misère en bas augmenteront et le fossé s’élargira entre ceux d’en bas et ceux d’en haut ». L’auteur estime que « Faguet n’a pas deviné ce qui est sans doute le phénomène majeur de son évolution : les classes moyennes et tout ce que cela entraîne pour une humanité ainsi façonnée (p. 59) ». Or cinquante ans plus tard, force est d’observer au contraire l’extraordinaire lucidité de Faguet. Celui-ci prévoit en effet la formation sur les décombres des classes moyennes d’une société en sablier… Par ailleurs, Faguet croît aux grandes agglomérations politiques, c’est-à-dire aux constructions politiques continentales. Philippe d’Hugues juge que Faguet s’est trompé, car les deux conflits mondiaux « ont mis fin à ces grandes “ agglomérations politiques ” dont il prévoyait la pérennité (p. 61) ». Or, un demi-siècle plus tard, c’est la vision de Faguet qui l’emporte avec la prolifération d’ensembles géopolitiques continentaux tels que l’Union européenne, le Mercosur sud-américain, l’A.L.E.N.A. nord-américain, l’Union africaine, le Marché commun eurasien, l’A.S.E.A.N. extrême-orientale…

Philippe d’Hugues fait enfin des incursions en politique ou, plutôt, dans le champ des idées politiques. Familier de Maurice Bardèche, il chronique son Qu’est-ce que le fascisme ? et considère, la crise algérienne aidant, que « l’antifascisme a encore une belle carrière devant lui (p. 237) ». Il a très tôt compris qu’il s’agissait là de la pierre angulaire du Système.

Le goût sûr de Philippe d’Hugues pour les « réprouvés » se retrouve dans ce recueil avec de magnifiques recensions sur les écrits orientaux de Jacques Benoist-Méchin, sur ce « rebelle pour l’ordre » nommé Ernst Jünger ou sur l’activiste devenu écrivain Ernst von Salomon. Paru en 1966 dans une revue intitulée L’Intérêt européen, « L’Europe médiatrice » parachève l’ouvrage d’une brillante façon. « Nous ne voulons pas être de vagues Américains en moins riches, non plus que des sortes de Russes de l’Ouest. Nous voulons être des Européens : Français d’abord, Européen ensuite (p. 273). » Cette profession de foi très bardéchienne, l’auteur l’assume complètement. Il affirme même que « l’Europe doit se faire pour tous, mais au début, elle ne peut être que les écrits de quelques uns plus conscients et plus avisés (p. 277) ». Là encore, l’auteur frappe fort ! C’est à se demander que plutôt intituler ce livre Causeries du dimanche, il n’aurait pas mieux valu l’appeler en référence à l’Historien du dimanche de son compère Ariès Des divinations dominicales ?

Philippe d’Hugues, Causeries du dimanche, Auda Isarn, 2013, 282 p., 23 €.

10:32 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 17 juillet 2013

Point de vue : "Contre l'Europe de Bruxelles, fonder un Etat européen" un essai de Gérard Dussouy...

dussouy.jpg« Bien entendu, on peut sauter sur sa chaise comme un cabri en disant " l’Europe ! ", " l’Europe ! ", " l’Europe ! ", mais cela n’aboutit à rien et cela ne signifie rien. »  Charles De Gaulle, Discours et messages 

L’Europe n’appartient-elle pas d’abord aux Européens ? Comment, dans le même temps, peut-on laisser certains expliquer que l’Europe est la cause de tous nos maux alors que l’idée européenne est la solution face à la mondialisation ? 

Des Thermopyles au Traité de Rome, des tranchées de Verdun aux travées du Parlement Européen à Strasbourg, les Européens ont su résister, dépasser leurs querelles, créer, et innover. 

Et si la prochaine innovation était institutionnelle ? 

Et si l’on construisait enfin l’Europe, une autre Europe, notre Europe ? 

Face à la crise, et contre les fauteurs de décadence. 

Naturellement engluée dans un brouillard libéral et mondialiste, l’Europe navigue à vue. Face au monde multipolaire qui se dessine, et comme à chaque rendez-vous avec l’Histoire, l’Europe devra choisir entre la puissance ou la mort. 

La mort, c’est subir la crise, accepter le déclin, décourager ses forces vives et laisser fuir sa jeunesse pour ne devenir qu’une ombre de ce que les Américains appellent déjà « la vieille Europe », celle des musées, des maisons de retraite et des souvenirs. 

La puissance, c’est envisager le renouveau, le dépassement des États-Nations, la construction d’un État européen volontariste et pragmatique. Fédéral et régional, afin de respecter et de protéger la diversité culturelle des peuples européens, il se doit d’être en mesure de répondre aux attentes sociales des populations. Fort et puissant afin de promouvoir et de défendre, au-delà de toute idéologie, les intérêts matériels et immatériels, les valeurs et les traditions culturelles des Européens, il doit oser rayonner à travers le monde. 

Cri d’alarme et cri du coeur, ce livre appelle à un élan collectif vers un État européen, un Etat d’urgence ! Il est temps que le cabri se fasse loup !

Fonder un Etat européen, Gérard Dussouy, professeur émérite à l'Université de Bordeaux, préfacé par Dominique Venner, 2013, 190 pages, 10,00 €

Pour le commander : cliquez ici

20:12 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 15 juillet 2013

Journalistes de Libé : la toile est leur épouvante...

matrixy-565x252.jpg

Eric Miné

Boulevard Voltaire

Du pouvoir retors qui englue notre pauvre pays dans un climat délétère, Libération est, à n’en pas douter, l’agent zélé. Ainsi apprend-on dans ses colonnes qu’à « Brétigny : les sauveteurs n’ont vu ni pillage, ni caillassage ». Diantre ! Peu chaut à ces increvables bobardiers que des témoins dignes de foi contredisent leur péremptoire assertion. Minimiser, déformer ou escamoter les nouvelles ne sont pour cette presse que l’expression correcte d’une information maîtrisée.

Mais nonobstant les prochains développements qui pourraient venir contrarier la jolie fable, cette posture cache mal la panique qui s’empare de ce petit monde inquisitorial, rompu pourtant à condamner férocement tout contrevenant à la pensée autorisée. Ainsi, dans un précédent libelle en date du 5 juillet dernier et intitulé « L’histoire d’un foyer de Laon échauffe les sites identitaires », le même Libération nous dévoilait ingénument la cause du brusque changement d’atmosphère qui met à mal sa crâne assurance.

L’histoire en question ? Évincés d’un foyer de jeunes travailleurs au profit d’infortunés demandeurs d’asile, une poignée de franchouillards en délicatesse avec les picaillons se retrouvaient derechef à la cloche. Pas de quoi fouetter un chat au regard du quotidien bobo qui soigne son humanisme très sélectif. Mais le gardien du dogme de s’émouvoir, courroucé, de l’hydre rebelle engendrée par une armada d’internautes scandalisés et hurlant à la préférence étrangère.

Et nous y voilà ! On apprend que l’obscure feuille de province qui a débusqué le lièvre s’est vue gratifier de 15.000 « J’aime » sur Facebook, que les téléphones de l’association gestionnaire du foyer ont dû être débranchés parce qu’assaillis d’insultes et que le préfet du coin s’embrouille dorénavant dans un salmigondis d’arguties plus foireuses les unes que les autres. Bref, que le raffut réticulaire a payé.

Pour nous tous qui, sur Boulevard Voltaire ou ailleurs sur la toile, nous échinons du clavier à dénoncer les petites et grandes turpitudes du système dans la dédaigneuse indifférence de cette « grande presse », voilà un rayon de soleil bien revigorant qui perce la touffeur ambiante. Car ces manifestations impromptues de citoyens en colère qui maillent maintenant quotidiennement notre territoire ne sont-elles pas le fruit de l’inlassable travail de ré-information des sites, blogs et réseaux sociaux alimentés par des petites mains patriotes et bien souvent bénévoles ?

Loi Taubira, maltraitance rituelle des animaux, destructions d’églises, délinquance importée ou autres malveillances qu’il subissait hier en silence, le peuple de France s’instruit dorénavant en ligne, gronde et crie son désaccord. Interloqué devant l’ampleur du soulèvement, Libération, qui pourtant se garde bien d’ordinaire de toucher mot du rejet que ces sujets suscitent, n’a plus que le brocard ou l’invective pour arguments.

Mais avec des ventes en chute libre – moins 40 % cette année –, ces beaux messieurs de Libé, grassement rémunérés pour leur fatuité servile, ont du mouron à se faire. Ce ne seront bientôt plus quelques réactions indignées que ces plumitifs autistes auront à redouter, mais le tsunami qui les emportera.

Et la catastrophe, ils le pressentent dans l’effroi, viendra de la fin de leur monopole. Tels les dinosaures qui n’avaient pas vu venir le changement de climat, le Web, avec la nouvelle liberté qu’il induit, sera leur tombeau. Et dire que ces gens-là ne juraient qu’en l’évolution. La toile est désormais leur épouvante…

12:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 14 juillet 2013

Hollande la honte a descendu les Champs-Elysée sous les huées et les sifflets des Parisiens...

mmmm.jpg

Coup de maître du Printemps français dans le cielau moment du défilé.

HOLLANDE DEMISSION !

Nous étions des milliers, des dizaines de milliers peut être, ce matin sur toute la longueur des Champs-Elysée à attendre que Hollande la honte s'engage sur la plus belle avenue du monde. Tout à coup, les sifflements commencent à retentir, de plus en plus forts, de plus en plus stridents. Puis, les slogans se font entendre : "HOLLANDE DEMISSION !", "HOLLANDE DICTATEUR !", ou encore "LIBEREZ ESTEBAN !"... Tel un fugitif essayant d'échapper à la collère de son peuple, Hollande la honte, entouré de plusieurs rangées de gardes républicains à cheval, alla regagner la tribune "présidentielle"... Pitoyable personnage, pauvre fête nationale...

cccc.png


Ha ! J'allais oublier les flics : ils ne savaient pas où donner de la tête... Trop drôle. 

Les péroraisons journalistiques ne suffisent plus à étouffer les cris de la révolte populaire tout au long du cortège... 

13:20 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 14 septembre, TOUS A PARIS !

1004776_667907256557310_674139235_n.png

07:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |