mardi, 24 décembre 2013
Hollande, Bayrou et les clowneries de fin d'année !
La course au grotesque s'accélère, c'est à se demander lequel de nos politiciens va emporter le pompon du genre! Quasiment dans le même temps, Hollande donne sans le vouloir dans le rigolard politiquement incorrect avant de baisser son pantalon et Bayrou fait dans le resquilleur maladroit.
Décidément Pépère devrait se limiter à la saillie d'alcôve au lieu de jouer les amuseurs de fin de banquet. Car si effectivement, même pour un plénipotentiaire au dos rond et les mains pleines de visas et de subsides, un séjour en Barbarie n'est pas sans risque et que le faire remarquer ironiquement est un plouf diplomatique surtout avec des prétentieux, s'excuser de ses propos confine au lamentable. Que le Normal ne sorte pas grandi d'avoir derechef baissé son pantalon au premier froncement de sourcil de l'ancien garçon de bain qui dirige l'Algérie ne serait finalement pas grand-chose vu l'acabit du personnage, si cela n'était à nouveau appeler le mépris, permettre l'arrogance, inciter aux exigences des maghrébins installés désormais des deux côte de la Méditerranée.
De son côté le "grave de Pau" n'en est pas non plus à une pantalonnade près. Après en son temps avoir fort justement envoyé une mornifle à la face d'une racaille exotique débutante qui lui faisait les poches, la flèche du "centre mou" vient de s'essayer au passe-barrière. Pénétrer en fraude et en force dans un stade parce qu'on est en retard...un bel exemple de civisme et un encouragement certain pour tous les resquilleurs et les velléitaires du passe-droit qui sont déjà pléthore dans notre beau pays. On se consolera en pensant que le valdingue du piteux amènera peut-être certains asociaux à croire aux foudres d'une justice immanente.
Tout cela finalement a au moins l'avantage de faire quand même sourire en ces temps de morosité mais surtout de discréditer encore un peu plus les politicaillons de la ripoublique.
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Les troisièmes adieux définitifs de Guy Bedos...
de Philippe Randa
Boulevard Voltaire
Cette fois, craché, juré : Guy Bedos arrête ! Enfin, presque ! Enfin, en partie ! Enfin, seulement la scène !
Comme le « point final » que l’humoriste et pamphlétaire avait annoncé en 2007 ?
Comme, il y a deux ans, lorsqu’il avait annoncé avoir donné son dernier show au théâtre du Rond-Point ?
Non, cette fois (la troisième, donc), c’est « la der des der » : « Je vais arrêter le one-man-show le cœur en miettes. J’adore ce métier. Tout va bien malgré tout : je suis plutôt en forme pour mon âge. Je gambade, je saute sur scène, mais je ne veux pas attendre de ne plus pouvoir faire tout ce que je viens de vous dire, et que le public s’en aperçoive. »
Louable intention, n’est-il pas ? Même les plus menteurs peuvent avoir leur instant de vérité. Peut-être bien que l’autoproclamé « poil à gratter » de la vie politique française et perpétuel vomisseur de fiel politique croit dans ce qu’il dit… Et s’il ne devait y en avoir qu’un, pourquoi pas lui ?
On ne peut que s’en réjouir, pas par méchanceté ou rancune politique vis-à-vis de cet obsédé antiraciste et antifasciste, par simple lucidité : à près de 80 ans, ne serait-il pas temps, effectivement, qu’il réalise que son disque est rayé ? Car quel rapport y a-t-il entre le Bedos jeune qui connaissait alors l’amour et le succès aux côtés de Sophie Daumier et ses sketchs magnifiques d’autodérision (La Drague, Bonne fête, Paulette !) et le Bedos aigri et pontifiant, conspuant la droite et insultant Marine Le Pen (« qui fait la campagne d’Hitler ») et Nadine Morano en particulier (qu’il traite de « conne » et de « salope »). Aucun rapport, non, absolument aucun durant un demi-siècle d’une lente transformation d’un indéniable talent artistique en minables vomissures…
On ne peut qu’apprécier qu’il y mette un terme et craindre le pire qu’il veuille « porter la parole autrement » : « Je pense que je vais utiliser l’instrument à la mode qu’est Internet. J’ai déjà un site, un blog… Je vais publier des livres, je pense. Peut-être certains journaux me donneront l’hospitalité de temps en temps. Je vais faire du théâtre et du cinéma, mon premier métier : acteur. »
Un premier métier qu’il n’aurait sans doute pas dû négliger car, tout de même, lorsqu’il interprétait le rôle – certes taillé sur mesure – d’un « médecin étouffé par sa mère juive pied-noir très possessive » dans les deux films d’Yves Robert Un éléphant, ça trompe énormément (1976) et Nous irons tous au paradis (1977), c’était tout de même autre chose !
Une époque sans doute où, réellement, il ne « se prenait pas au sérieux » car c’étaient eux, alors, les spectateurs, qui le prenaient « un peu au sérieux »… bien plus qu’ensuite, lorsqu’il se prit à croire et à dire, avec une insupportable morgue : « Les politiques, aussi, me prennent au sérieux. Ils me surveillent, tous ! »
Est-ce un ultime numéro ? Une dernière posture de vieux clown triste qui ne peut s’empêcher d’ajouter, tout de même, qu’il « continuera à donner son avis », mais – et on ne demande qu’à le croire ! – qu’il ne se présentera pas à des élections, « ça c’est sûr ! »
Quant à une place de ministre, il ne se prononce pas, des fois que… Car avec François Hollande, on n’est jamais certain de rien. Ça c’est sûr, aussi !
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Femen : nouvelle profanation en l'Eglise de La Madeleine à Paris
Vendredi dernier au matin, une des roulures du groupe des "Femen" hébergé en France s'est livrée à une scandaleuse exhibition en lEglise de La Madeleine à Paris soit disant en hommage aux signataires du manifeste pour la dépénalisation de l'avortement en 1971.
Prétexte bien évidemment ! Il s'agissait surtout de profaner un lieu de culte chrétien spécialement en cette période où les fidèles célèbrent la Nativité. Ainsi la drôlesse, à poil comme à l'habitude, a mimé un avortement et déposé un foie de veau sur l'autel avant de se mettre à uriner sur les marches de celui-ci et de quitter les lieux.
L'ignominie s'est déroulée devant une dizaine de personnes et les membres d'une chorale en répétition. Il faut croire que l'assistance était tétanisée puisqu'il ne s'est trouvé personne pour rosser d'importance la raclure avant de l'expédier hors les murs manu militari.
Le curé de la Madeleine a déposé une plainte en bonne et due forme, l'AGRIF va se constituer partie civile et le laïcard Delanoë s'est cru obligé de se fendre d'un communiqué hypocritement désolé. Cela ne suffit pas ! Il faut désormais exiger la dissolution de ce groupe d'activistes psychopathes femelles et si Manuel "Gaz" Valls se refuse à l'envisager, il faudra bien les faire taire d'une façon ou d'une autre !
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lundi, 23 décembre 2013
Entendez-vous en Françafrique, mugir ce féroce "néo"-nazi…
La chronique de Philippe Randa
Boulevard Voltaire
Décidément, la lutte contre la Bête immonde dont le ventre est – de tous les temps et de tous les monstres – le plus fécond, n’a pas de répit. Pas de trêve des confiseurs pour les chasseurs de nazis. « Néo », les nazis !
Ainsi, avec toute l’émotion obligatoire et républicaine que l’on peut, avons-nous appris qu’un enfant spirituel d’Adolf Hitler se trouve sinon au fin fond de l’Afrique, en tout cas en son centre. Et en la République du même nom.
Certes, ce nazi-là, qui met en émoi tous les auto-proclamés, éternels et rémunérés comme tel, défenseurs du Bien contre le Mal, est français, trouffion de son état ! Et donc, aux armes, citoyens…
Entendez-vous dans nos rangs
Mugir ce féroce soldat ?
etc., etc.
À défaut de mugir, ce guerrier-néo-nazi-là s’est simplement contenté d’arborer sur la manche de son uniforme un macaron velcro avec la devise : « Meine Ehre heisst Treue », (en français : Mon honneur s’appelle fidélité) et, nous apprend le site BFMTV, « dans le cercle, la devise et la mention RCA (Centrafrique, ndlr) 2013. Au milieu, un drapeau français frappé d’un énigmatique “32”. »
Depuis que sa photo a été publiée sur la page Facebook des opérations extérieures de l’armée, les inspecteurs Clouzeau de la bien-pensance sont sur les dents, comme on peut le lire sur le même site : « Sur ce chiffre, plusieurs interprétations sont possibles. Il pourrait s’agir de la 32e division des SS, mais elle n’a rien de significatif. Fondée sur le tard, en 1945, elle n’a duré que quelques semaines avant d’être anéantie. Il se pourrait aussi, selon une source proche de l’armée, que le chiffre fasse référence à la compagnie et à la section en question, par exemple : “3e compagnie, 2e section”. »
On devine le sort qui attend le bidasse indélicat : l’éjection des rangs de notre glorieuse armée, sinon manu militari, du moins très officiellement afin de sauver la République, 5e du nom !
À moins, évidemment, que ce monstre-là ne soit d’ici là envoyé ad patres, ce qui satisferait bien du monde.
Car pendant l’enquête, la guerre continue… et il ne faudrait pas oublier, tout de même, que ce soldat encore inconnu – mais sans doute plus pour très longtemps – est parti là-bas risquer sa vie pour être fidèle, déjà, en son engagement. On pourrait, ne serait-ce qu’à ce titre, lui accorder quelques circonstances atténuantes pour sa bêtise (pour rester poli). Car il faut être vraiment stupide pour ne pas avoir compris qu’en ce début de XXIe siècle, on ne badine pas avec les heures les plus sombres d’une partie de l’Humanité. Même, voire surtout, à travers des mots tels qu’« honneur » et « fidélité » qu’il est interdit, depuis près de soixante-dix ans, d’accoler l’un avec l’autre. Tout comme les termes « Travail », « Famille » et « Patrie », soit dit en passant : au risque d’une mort citoyenne dans le civil, d’une cour martiale (pourquoi pas !) lorsqu’on sert sous les drapeaux…
C’est vrai que si l’« honneur » a peu à voir dans l’affaire, il est pourtant évident que la « fidélité » à la Françafrique est tout de même la raison d’être de notre intervention militaire en RCA… depuis Charles De Gaulle jusqu’à François Hollande !
Un François Hollande qui, de son côté, a salué l’amitié franco-algérienne en se félicitant, devant le Conseil représentatif des institutions juives de France, que Manuels Valls soit rentré d'Algérie « sain et sauf », car « c’est déjà beaucoup »… paroles autrement moins graves pour les intérêts de la patrie, on en conviendra.
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dimanche, 22 décembre 2013
En prévision d’un prochain effondrement systémique
À l’occasion de la 7e Journée nationale et identitaire organisée à Rungis en banlieue parisienne par Synthèse nationale, le 11 novembre 2013, Roland Hélie a sorti aux Éditions Les Bouquins de Synthèse nationale le premier volume d’une collection « Droit de regard. Regards de Droite » dédié à L’effondrement du Système. Si Roland Hélie a sollicité de nombreux contributeurs, la justesse des délais impartis explique que seules six auteurs ont répondu à ses sollicitations.
Ainsi, Pieter Kerstens, chef d’entreprise bruxellois, retrace-t-il l’effondrement du système capitaliste mondialisé depuis 2008. Reprenant ses articles économiques parus dans les différentes livraisons de Synthèse nationale et les réactualisant, il dresse un gigantesque et passionnant panorama sur les causes et le déroulement d’une crise économique générale prévisible. Il rappelle que « le pourcentage de la dette par rapport au revenu disponible des ménages américains était de 60 % du revenu disponible en 1973, pour atteindre 135 % en 2007 ». Et d’expliquer que loin d’être derrière nous, la crise est toujours devant nous, plus dévastatrice que jamais.
Embraye alors Arnaud Raffard de Brienne pour qui la crise actuelle prépare « Le désastre social annoncé… ». Si Pieter Kerstens s’intéressait aux phénomènes financiers planétaires et macro-économiques, Arnaud Raffard de Brienne dénonce, lui, le « modèle social français » et explique que c’est « un système social condamné par la mondialisation économique et l’immigration ». S’il en constate l’échec, l’auteur ne se rallie pas une quelconque alternative libérale, car il sait que le libéralisme est en fait le meilleur fourrier du métissage et du multiculturalisme marchand. L’avalanche d’impôts et de taxes, déjà commencée sous Chirac, poursuivie par Sarkozy et accrue sous Hollande, confirme le lent naufrage d’un modèle révolu. Oui, « les lendemains ne chanteront pas si ce n’est une lugubre complainte sur l’inconséquence voire la trahison des deux générations qui les précèdent ». Et l’auteur de rapporter que depuis quelques années, « l’État a décidé de “ siphonner ” les sommes collectées par Action Logement afin de financer l’Agence nationale de l’habitat (A.N.H.) et l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (A.N.R.U.) et par conséquent de détourner sans scrupule ce fonds de l’objet pour lequel il a été créé ». Il en appelle par conséquent « à un véritable changement politique qu’il urge aujourd’hui de s’atteler, à un bouleversement radical qui écartera du pouvoir l’ensemble de la classe politique aux manettes depuis plusieurs décennies, véritables co-gestionnaires du désastre annoncé ».
La contribution de Patrick Parment porte aussi sur l’économie. Mais sous un angle perspicace et novateur puisqu’il examine le rôle quasi-ontologique de la croissance. Lecteur attentif du Guy Debord et de Jean Baudrillard, Patrick Parment affirme que l’individualisme favorise et résulte de la société de consommation comprise « comme étant un ordre social et économique fondé sur la création et la stimulation systématique d’un désir d’acheter des biens de consommation et des services dans des quantités toujours plus importantes. Les biens consumés sont souvent peu durables et sont vendus dans la perspective d’une obsolescence programmée ». Parallèlement, la fin de la Guerre froide a stimulé la mondialisation qui « est la généralisation dans le monde entier de la libre circulation des marchandises, des services, des capitaux et des hommes. Autrement dit, l’essence même du commerce ». Une course effrénée à la possession de ressources limitées, car épuisables dans le temps, rend possible comme vison alternative complète le projet global de décroissance surtout si cette décroissance se comprend comme une catastrophe bénéfique, voire salutaire pour les peuples natifs d’Europe.
Enseignant francilien, Maurice Bernard dresse, quant à lui, le constat de la ruine de l’Éducation nationale. Victime d’un État « obèse, pléthorique à la base, mais sans vision, ni volonté, ni courage au sommet », l’école souffre de « cet État omniprésent mais impotent, qui étouffe le corps national sous le poids de ses erreurs, de ses échecs, de ses abandons, de ses prélèvements… » Il oublie en revanche d’évoquer la large responsabilité du marché qui considère les écoliers comme de futurs consommateurs - producteurs. Cependant, l’auteur retrace l’échec édifiant d’un système scolaire qui préfère aujourd’hui concevoir des méthodes conformistes et inutiles. Par rapport aux efforts réels de la IIIe République, la régression est incontestable !
Romancier et spécialiste de l’Extrême-Orient indochinois, Éric Miné analyse l’effondrement des médias français. De nos jours, les journalistes, petits mercenaires du Système, mentent ouvertement, manipulent volontiers l’opinion et pratiquent une information-spectacle à forte charge émotionnelle. Or le temps de ces bonimenteurs est désormais révolu grâce à Internet qui bouscule et pulvérise leur monopole. Pseudo-comique experte dans l’insulte contre les électeurs du F.N., Sophia Aram a assisté en direct au plantage quotidien de son émission télévisée. Chantre de l’insécurité pour les autres, le quotidien déficitaire Libération traverse une grave crise qui crispe les rapports entre les salariés et leur direction. A contrario, l’hebdomadaire conservateur, libéral, atlantiste et sarkozyste Valeurs actuelles voit ses ventes s’envoler ! Chaînes d’information en continu et Internet dérangent les vieilles habitudes installées et politiquement correctes. Pendant que les médias officiels saluaient le civisme des « jeunes » au moment de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge, blogues et sites dissidents rapportaient, eux, une toute autre réalité, celle de vol sur les victimes par cette racaille si « citoyenne »… Hier tenus en silence, « les Français s’instruisent maintenant en ligne, grondent et crient leur désaccord. Sur le terrain, les manifestations prennent le relais. Le chahut et les huées ne sont jamais loin ». Ce fut d’ailleurs le cas, le 11 novembre, aux Champs-Élysées contre Hollande…
L’effondrement du Système se manifeste enfin en politique et en géopolitique. Éminent rédacteur en chef d’Europe Maxima, Georges Feltin-Tracol s’attaque à un « quatuor » incongru et ultra-moderne dont il pense la chute prochaine : la partitocratie, la Ve République française, l’Union européenne et les États-Unis d’Amérique. Avec une rare ingéniosité, il arrive à unir ces quatre sujets dans un ensemble critique cohérent. Non seulement il s’en prend avec virulence aux partis politiques qu’il juge « nuisibles », mais il attaque la Ve République dont il dénonce les incessantes révisions constitutionnelles et le déplorable unanimisme « cohabitationnaire ». Il ne souhaite ni la rénover, ni la sauver et affiche au contraire sa claire intention de fonder une nouvelle Res Publica identitaire, intégrée dans un cadre alternatif européen distinct d’une pseudo-Union européenne mortifère. Cette Alter-Europe sera possible si dans le même temps échoue le modèle des États-Unis. Il émet ainsi le vœu radical que les forces séparatistes en Amérique du Nord s’affirment afin de déchirer définitivement la bannière étoilée.
Dans une seconde partie, Georges Feltin-Tracol suggère une nouvelle configuration institutionnelle. Se référant à Platon, à Aristote, à Julius Evola et au tirage au sort (l’un de ses thèmes de prédilection), il expose l’ébauche d’une Europe impériale dans laquelle existerait une république française des régions authentiques animées, maintenues et protégées par un ordre ascétique politico-mystique : l’Ordre des Gardiens. « Le principe politique de l’Ordre tend à concilier, pour le plus grand effroi des modernes, le populisme et l’élitisme afin de susciter un populisme élitiste ou un élitisme populiste parce que les seules élites authentiques proviennent de leur peuple qu’elles mettent dans le même temps en forme. »
La diversité des contributions de ce recueil démontre la grande richesse des opinions exprimées. Sont-elles toutes de « droite » ? Impossible de répondre ! On est en tout cas certain que leurs auteurs ne se soumettent pas à la pensée dominante et attendent avec impatience l’effondrement de ce Système dément.
• Collectif, L’effondrement du Système, coll. « Droit de regard. Regards de Droite », volume I, Éditions Les Bouquins de Synthèse nationale (116, rue de Charenton, 75012 Paris) , 2013, 173 p., 18 € (+ 3 € de port).
• Mis en ligne sur Europe Maxima, le 22 décembre 2013.cliquez ici
NDLR : pour commander cet ouvrage cliquez là
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Tribune libre à la Confédération nationale des automobilistes : Les automobilistes traités comme des délinquants ou des vaches à lait. Assez !
Odile Wenger
Présidente de la CNA cliquez ici
« Ras le bol d’être une « vache à lait » ! »
« Ras le bol d’avoir, continuellement, la sensation d’être racketté, rançonné, agressé, … ! »
« Ras le bol de l’injustice ! »
« Ras le bol d’être montré du doigt comme étant le coupable, le responsable de tous les maux de notre Société ! »
« Le déficit, la pollution, les excès, …, tout m’est imputé ! »
« J’en ai assez d’être poursuivi, humilié, condamné … »
« Marre des Taxes ! »
« Payer, toujours payer, et en plus on me vole des points … »
« La double peine, la triple peine, ce n’est pas pour les truands, c’est pour moi ! »
« Et si le rôle de la Police et de la Gendarmerie c’était de lutter plus contre la criminalité et la délinquance que de remplir les caisses du Ministère des Finances avec nos sous ! »
« Le racket institutionnel du stationnement payant ! »
« Le prix de l’essence rendu excessif par toujours plus de taxes ! »
Ces sensations, ces réflexions, ces certitudes, ces injustices je les partage avec plus de quarante millions d’automobilistes, de conducteurs vivant en France. Il n’est plus que temps de se relever et d’adresser à nos édiles un message fort, clair et net.
C’est le rôle que s’est imposé la CONFEDERATION NATIONALE DES AUTOMOBILISTES : « défendre et servir » les automobilistes contre tous ceux qui les considèrent comme une réserve infinie d’argent.
Il y a de nombreuses questions à poser, des interrogations légitimes à formuler et des réponses claires à obtenir.
Nous, nous comptons les exprimer, faire affirmer des évidences et communiquer les réponses obtenues.
Comment se fait-il que dans un pays au bord de la banqueroute on passe son temps à attaquer une des rares industries qui fonctionne encore ?
Devons-nous réellement croire que l’objectif de nos dirigeants soit de suicider l’industrie automobile Française qui fait vivre et travailler, directement et indirectement des millions de travailleurs Français pour les remplacer par une production famélique de vélos fabriqués à quatre vingt dix neuf pour cent en Chine ?
Comment devons-nous considérer des responsables politiques qui n’ont de cesse de nous ponctionner avec des taxes, des amendes, des procès-verbaux, des procès ?
N’ont-ils pas d’autre solution pour remplir leurs caisses que de s’en prendre prioritairement à nous, citoyens modèles, qui achetons, en payant des taxes, des véhicules
– pour lesquels nous devrons ensuite payer de l’essence ou du diésel,
– pour lesquels nous acquitterons la TICPE (Taxe Intérieure de Consommation sur les Produits Energétiques) qui se monte à près de 60% du prix de l’essence,
– pour lesquels nous devrons payer encore et toujours des frais liés aux stationnements,
– des frais pour rouler avec des péages censés à l’origine servir à rembourser leur construction et que les Automobilistes ont déjà payé plus de dix fois…,
– des PV pour chaque infraction à une réglementation tatillonne et de plus en plus restrictive,
– des amendes auxquels s’ajouteront en double peine la suppression de points sur un permis de conduire qui devient ainsi friable et précaire et quelque fois, en triple peine, avec des condamnations de justice.
L’Etat, les régions, les Communes n’ont de cesse de nous ponctionner. Les taxes, les amendes, les PV, sont là, non pour nous sauver mais pour nous appauvrir.
Aujourd’hui, nous réclamons un retour sur les investissements que nous et nos prédécesseurs avons payé depuis le début du siècle précédant, à savoir :
– Le droit au stationnement gratuit dans les villes.
– Le droit de pouvoir rouler.
– Le droit de pouvoir travailler avec nos véhicules.
– Le droit de pouvoir aller travailler avec nos véhicules sans que des obstacles soient systématiquement mis en place pour nous en dissuader.
– La suppression des blocages routiers.
– La suppression du permis à point ou… des amendes.
– Le contrôle gratuit des véhicules.
– Le permis de conduire est un diplôme d’état, en tant que tel on ne peut le perdre ou se le voir retiré pour de petites infractions, même cumulées. Seule des fautes très importantes avec décision de justice peuvent justifier une telle sanction.
– La gratuité des autoroutes ou la mise en place d’une carte annuelle, dont le montant ne devrait pas excéder 50€, qui autoriserait une utilisation illimitée des autoroutes sur l’ensemble du territoire (Cf. la Suisse).
– La baisse du montant des PV et la limitation du nombre que l’on peut recevoir par jour.
– La baisse substantielle des taxes sur l’essence et le diésel.
– etc.
Pour ce faire nous avons besoin de vous.
Nous sommes plus de quarante millions d’automobilistes.
Près de quarante millions d’électeurs.
Nous pouvons faire pression sur le politique pour que les choses changent et nous voulons les faire changer.
L’automobiliste n’est pas un coupable, il est un citoyen qui a le pouvoir de faire bouger les choses et de les faire avancer.
C’est ce que nous voulons faire et avec vous.
Tous unis nous ferons plier les soit-disantes bonnes consciences et nous ferons évoluer ce regard porté sur les automobilistes.
Rejoignez-nous. Adhérez !
Nous avons besoin de vous.
Le combat ne fait que commencer.
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Qu’est-ce que 18.161 euros pour un élu de la République ? Un peu de monnaie au fond de la poche...
de Philippe Randa
Jean-Vincent Placé, ex-conseiller régional et sénateur écologiste, est donc aussi un chauffard !
Chauffard ? C’est bien ainsi que les écologistes nomment tout automobiliste qui transgresse les lois sur les routes de nos (pas assez) vertes campagnes ou de nos (trop) bétonnées agglomérations, non ?
Le chef de file d’Europe Écologie Les Verts au Sénat jure qu’il « ne veut pas que quiconque doute de (son) honnêteté » et reconnaît sans barguigner les infractions au Code de la route dont il est responsable… Et quelles infractions : « Beaucoup de stationnements gênants, mais aussi un certain nombre d’excès de vitesse… », précise Le Canard enchaîné, qui a levé le lièvre.
Beaucoup, oui, c’est le moins qu’on puisse dire puisque le montant total des infractions commises se monte à 18.161 euros… depuis 2010 !
18.161 euros de prunes, ça laisse tout de même songeur et nous classe indubitablement, vous, moi (et la quasi-totalité de nos connaissances respectives) qui tenons un volant, dans cette catégorie qu’on nomme avec mépris les « petits joueurs »…
18.161 euros de mauvais stationnements et de vitesses excessives… Il est vrai que nos 12 malheureux points de permis de conduire auraient eu bien du mal à résister à la répression policière avant d’avoir pu atteindre un tel score ! Mais nous, c’est nous !
Si les intempestifs coups de pédale ou le dédain des stationnements gênants du sieur Placé en sont venus à être rendus publics – ce que l’intéressé déplore d’ailleurs et ce qui l’énerve passablement (« la rançon de la notoriété »), trouvant par ailleurs le délit médiatique fait à sa personne « un peu agaçant » –, c’est que les infractions ont été commises au volant d’un véhicule du conseil régional d’Île-de-France.
Ayant reçu la douloureuse des contributions directes, ce dernier a menacé l’élu de poursuites devant le tribunal de police.
« Je suis prêt à payer depuis le début [...] C’est bien sûr de ma faute, je n’ai jamais cherché à fuir mes responsabilités, je ne demande aucun passe-droit, j’assume et je paie, je ne veux pas que quiconque doute de mon honnêteté. » Mais l’honnêteté, est-ce finir par payer, contraint et forcé, le plus tard possible et parce qu’on ne peut plus faire autrement… ou est-ce mettre en accord ses principes et ses actes ?
Comment Jean-Vincent Placé peut-il décemment vouloir réduire la vitesse au nom de la lutte contre la pollution, alors qu’il est le premier à s’en moquer ? Comment peut-il vilipender les nuisances des automobilistes en ville alors que lui-même fait fi des règles de la circulation ? Comment peut-il s’indigner que ses infractions soient révélées à ses électeurs (pour ce qu’il en reste…) ? Et surtout, comment peut-il afficher comme il le fait un tel mépris vis-à-vis de ses concitoyens en martelant « OK, je paie, je paie, foutez-moi la paix… » à hauteur de 18.161 euros, sans sourciller ?
Mais au fait, qu’est-ce que 18.161 euros pour un élu de la République ? Un peu de monnaie au fond de la poche… et celle de Jean-Vincent Placé semble être bien profonde ! Quoique jusqu’ici pleine d’oursins !
15:42 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La France, 4e pays le plus condamné par la Cour européenne des droits de l’homme
Arnaud Raffard de Brienne
La France est le 4e pays le plus condamné par la Cour européenne des droits de l’homme pour violation de l’article 10 de la Constitution, relatif à la liberté d’expression, comme le révèle le magazine Le Point en date du 19 décembre dans un article au titre explicite : "Et si la France n’était plus le pays des libertés ?". Une prise de conscience bien tardive et assortie d’un prudent point d’interrogation mais, après tout, mieux vaut tard que jamais.
Aucune consolation à espérer par ailleurs si l’on regarde les principaux classements internationaux relatifs aux libertés individuelles. Que ce soit Democracy Index dans lequel la France arrive 28e dans la catégorie des « démocraties imparfaites », l’expression est élégante ; Press Freedom Index où nous nous situons à la 37e place entre le Ghana et le Salvador ; en ce qui concerne l’ Index of Economic Freedom, c’est le bouquet : la France se positionne piteusement à la 62e place, entre la Thaïlande et le Rwanda.
Ajoutons que notre patrie des droits de l’homme se situe lamentablement à la 37e place du classement 2013 de Reporters sans frontières pour ce qui concerne la liberté de la presse. Loin derrière la Namibie, le Costa Rica, la Slovénie et le Ghana. Un peu devant El Salvador, le Burkina Faso et la Roumanie. Pas de quoi pavoiser. L’Afrique du Sud, modèle indépassable de la "nation arc-en-ciel" selon nos médias stipendiés, se trouve relégué à la 52e place.
13:59 Publié dans Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Conférence de Serge Ayoub à Bruxelles samedi 7 décembre dernier :
13:45 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Robert Ménard répond à Philippe Bilger
13:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 21 décembre 2013
Solstice d'hiver : un cycle nouveau commence !
Yves Darchicourt
Solstice ! Solstice d'hiver ! Ce 21 décembre sera le jour le plus court de l'année. Le soleil paraît vaincu, la lumière qui est espoir, chaleur et vie semble avoir succombé devant l'obscurité qui est résignation, froid et mort. Durant la prochaine nuit pourtant, l'astre du jour va concentrer ses forces et se préparer à reprendre sa course ascendante dans le ciel. C'est la "nuit suprême", la "Mère des Nuits", qui précède la renaissance flamboyante du Soleil Invaincu et au cours de laquelle, depuis des temps immémoriaux, les hommes d'Europe ont aidé la lumière vacillante à vaincre les ténèbres par les grands feux, les bûches gravées de l'âtre et les chandelles qui brûlent dans les demeures ornées des branches de l'arbre toujours vert.. C'est aussi la longue nuit durant laquelle on partage la joie festive avec ceux en qui on se reconnaît, ceux de la race, du clan, de la famille, ceux de la même terre, des mêmes racines, de la même mémoire, du même imaginaire. La nuit où l'on sait que rien ne meurt tout à fait, que la lumière "blondeur spirituelle" est en germe dans l'obscurité comme les jeunes pousses le sont dans la terre gelée, que les aïeux revivent en nous comme nous revivront par ceux qui nous suivent et que le crépuscule des Dieux lui-même sera suivi de la naissance d'un monde nouveau et d'un renouvellement de la puissance divine.
Nous, Européens, vivons un crépuscule. Celui des idéologies mortifères destructrices des peuples et des nations, celui de la décadence programmée, de la "bienpensance" obligatoire, de la haine de soi, du renoncement et du reniement. Celui du règne des élites auto-proclamées, des corrompus et des fortunes anonymes et vagabonde. Celui de l'anormalité érigée en mode de vie, du métissage, de l'Histoire instrumentée, des traditions bafouées. Celui de l'arasement, de l'indifférenciation, des espèces humaines en voie de disparition et de la dissémination de "l'homme gris". Un crépuscule qui ne peut qu'aboutir à la nuit sombre et glacée du chaos mondial. Mais une nuit où, comme autant d'étoiles du Destin, brilleront encore les petites flammes que, nous européens, nous devons de faire naître et d'entretenir, les petites flammes de la résistance identitaire à l'obscurantisme mondialiste qui finiront par susciter l'immense brasier qui dévorera les ténèbres. Et nos peuples qui sont d'un âge immense repartiront pour un cycle nouveau.
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
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Agatha Christie, « la plus belle enquête » Une biographie merveilleusement incorrecte de Camille Galic
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L’excellente collection « Qui suis-je ?» des éditions Pardés, qui aux côtés de la collection BA-BA conforte une approche encyclopédique non conformiste thématique et biographique, vient de s’enrichir d’un titre qui fera date, l’Agatha Christie de Camille Galic. « L’indétrônable impératrice du crime » a trouvé en fait sa biographe sœur. En effet il y a bien des points communs entre « la duchesse de la mort » et la grande dame de la presse qu’est Camille Galic.
Cette dernière a toujours traité l’actualité comme on mène une enquête. Elle a toujours cherché la vérité derrière les apparences et le vrai criminel derrière la présentation officielle. Un style impeccable, une plume affinée comme un scalpel, Camille Galic a été la référence d’un journalisme de l’investigation de l’intelligence, la référence des journalistes de combat, et elle continue à exercer ses talents sur le site Polémia qui dénonce avec force et pertinence le « totalitarisme médiatique ».
On peut facilement l’imaginer d’ailleurs, dégustant un thé aux côtés d’Agatha dans un lodge de cette Rhodésie où « les anglais étaient heureux » devisant autour d’une intrigue de la fin annoncée d’un certain ordre du monde. Comme Agatha, Galic analyse avec un esprit de déduction rationaliste les passions humaines criminelles ou politiques. C’est ce qui fait de cette biographie, une biographie de référence, classique dans la forme mais à jamais unique dans le fond. Elle va au delà de l’œuvre, elle dévoile les secrets de la pensée d Agatha. Alors bien sûr il y a tout, sa vie privée, ses maris, sa disparition mystérieuse, un événement people parmi les premiers médiatisés, ses livres bien sûr, sa passion pour l’archéologie, ses enquêteurs Miss Marple ou Hercule Poirot, son théâtre, etc.
Agatha Christie est en effet, l'un des écrivains les plus connus au monde si l'on considère le nombre de langues dans lesquelles son œuvre a été traduite (plus de 7 135 traductions, ce qui en fait l'auteur le plus traduit en langues étrangères selon l'Index Translationum), et l'importance des tirages de ses romans qui en fait la romancière la plus vendue au monde selon le Livre Guinness des records.
Agatha Christie a écrit 67 romans (dont 6 romances sous le pseudonyme de Mary Westmacott qui correspond à ses écrits les plus personnels), 190 nouvelles réunies en une quinzaine de recueils, 18 pièces de théâtre (+ 5 adaptations par d'autres auteurs), quelques poèmes et une autobiographie. Une grande partie de ses romans et nouvelles a été adaptée au cinéma ou à la télévision (20 films et plus de 100 téléfilms ,en particulier Le Crime de l'Orient-Express, Dix petits nègres, Mort sur le Nil et Le Train de 16 h 50. La BBC a également produit des téléfilms et des émissions radiophoniques de la plupart des histoires qui mettent en scène Hercule Poirot et Miss Marple. L'une de ses pièces de théâtre, The Mouse Trap (La Souricière), a été présentée pour la première fois à Londres en 1952 au St Martin's Theatre, et détient, depuis, le record de la pièce jouée le plus longtemps sans interruption.
Le 3 décembre 1926, très affectée par la mort de sa mère et l'infidélité de son mari (amoureux de Nancy Neele, dactylo dans la compagnie d'assurance pour laquelle il travaille, il lui a annoncé son intention de divorcer), Agatha Christie disparaît. Le lendemain, la police retrouve sa voiture, abandonnée près de l'étang de Silent Pool. La presse britannique s'empare alors de l'affaire : suicide d'une femme délaissée, meurtre commandité par son époux voulant retrouver sa liberté, coup de publicité d'une romancière voulant renforcer le succès de ses livres...Les hypothèses ne manquent pas. Elle est retrouvée douze jours plus tard dans le Swan Hydropathic Hotel, hôtel de la station balnéaire, ayant tout oublié. Agatha devait en retirer à jamais une aversion pour la presse, une crainte panique des journalistes et de la foule telle « un renard traqué dans son terrier par une meute de chiens hurlant sans cesse à ses trousses ». Elle avait bien décrit la chasse à cour médiatique, avant l’heure.
Dans cette biographie de Camille Galic, on est aux sources des inspirations de l’auteur et on a les explications pour tout comprendre de son œuvre restituée magistralement dans sa diversité.
Mais il y a plus, bien plus. Derrière une petite jeune fille à la jeunesse dorée d’un autre temps, jusqu’à l’écrivain britannique la plus connue au monde et anoblie par la reine, il y a une vision du monde qui, pour les tenants du politiquement correct, la classerait dans les vielles dames indignes. Galic a su le comprendre et le révéler.
Agatha est une suprématiste anglaise. Traditionaliste mais libre, femme la plus connue du monde mais anti féministe, elle est une femme de velours au mental de fer. Elle est un produit de la fierté impériale d’un pays qui devait gouverner le monde. Elle éprouvera pour le nazisme une fascination-répulsion partagée par bien plus d’anglais que la version officielle de l’histoire ne le laisse entendre. C’est un volcan maitrisé cette femme… une criminelle née devenue enquêtrice pour peut-être dominer ses pulsions.
Agatha n’a pas toujours été une vieille lady, elle a été une femme amoureuse, jalouse et exceptionnelle. Cela, on le retrouve dans ses romans. Elle n’a aucun complexe du colonisateur bien au contraire. Elle met l’anglais au sommet de la chaîne de la civilisation. On tente maintenant de dénaturer parfois son œuvre dans des adaptations pour la faire coller avec le monde d’aujourd’hui, qu’elle aurait méprisé au-delà de l’imaginable. Quand on pense que son livre le plus connu « Les 10 petits nègres » a vu son titre changé en « S’il n'en restait qu’un » on voit en effet qu’il ne reste pas grand-chose de l’univers qui a inspiré Agatha ni de ses valeurs hiérarchisées, un univers où la cruauté et le crime cheminent avec la classe en habits de soirées, où l’on tue en restant un gentleman et une lady dans la fierté de l’empire. La gentry n’est jamais bien loin, l’exotisme non plus, ni l’insolite. L’échec de son premier mariage et la passion réussie avec son second mari font croire qu’un long calme a succédé à une tempête, mais cette biographie montre que l’on peut être l’image de la dignité en étant une rebelle jamais vraiment apaisée.
C’est une criminelle de papier qui reste d’actualité, jamais démodée, un style qui ne prend pas d'âge tout en nous parlant d’un autre monde ou les choses étaient à leurs vraies places, même les armes du crime. Il y avait de l’aventurière dans cette femme des salons « cosis » bien ordonnés. Ses voyages, sa passion de l’archéologie en sont des exemples frappants. Avant Indiana Jones, il y eut « Meurtre en Mésopotamie » et « La mort n’est pas une fin », une curiosité d’enquête historique qui nous a donné la passion des romans historiques dans l’Egypte antique.
Demain l’œuvre d’Agatha sera sans doute récupérée et transformée dans des adaptions couleur de notre époque. La récupération chemine avec la trahison. Heureusement il restera ce « Qui suis-je » de Camille Galic pour ceux qui veulent connaître la vraie personnalité à travers l’œuvre incomparable de l’indétrônable Agatha Christie. Toute vie est une intrigue, toute biographie est une enquête et celle de Camille Galic est fidèle à la lettre et surtout à l’esprit de la Kipling du crime.
Agatha Christie de Camille Galic, Editions Pardès, Collection "Qui suis-je ?"
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A Lille, pour vos cadeaux de fin d'année, n'oubiez-pas de passer à l'Espace Tribann
Espace Tribann cliquez ici
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TOUS A PARIS LE DIMANCHE 26 JANVIER !
● Vous êtes en colère contre la pression fiscale devenue insupportable ?
● Vous êtes en colère contre le projet de loi « équitaxe » qui menace votre club ?
● Vous êtes en colère contre la volonté gouvernementale de détruire la famille ?
● Vous êtes en colère contre les conditions de travail devenue insupportables à l’hôpital ?
● Vous êtes en colère contre les délocalisations qui s’accélèrent et le chômage qui augmente ?
● Vous êtes en colère contre la destruction programmée des Classes Préparatoires ?
● Vous êtes en colère contre l’amateurisme idéologique qui fait office de gouvernance ?
● Vous êtes en colère contre l’abandon de notre souveraineté face à la Finance, l’Europe ou l’Otan ?
● Vous êtes en colère contre mille et une choses, petites ou grandes ?
Venez le dire à Hollande le dimanche 26 janvier !
Hollande n’écoute pas son peuple ? Alors le dimanche 26 janvier, nous ferons en sorte qu’il nous entende !
Dimanche 26 janvier Jour de colère cliquez là
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Le « rapport sur l’Intégration » : texte raciste
Guillaume Faye
J'ai tout compris cliquez ici
Remis au Premier ministre à sa demande, ce rapport effarant, rédigé en novlangue par des Trissotins, publié en ligne par Matignon et qui a créé le scandale est en fait inspiré des idées du groupe de pression et de ”réflexion” gauchiste chic lié au PS Terra Nova. L’objectif est la destruction pure et simple de l’identité française. Il vise à substituer à l’assimilation et à l’intégration une forme de communautarisme où les Français de souche seraient objectivement infériorisés, sommés de s’adapter aux mœurs des nouveaux arrivants, et où il faudrait « assumer la dimension arabe-orientale de la France ».
Inutile d’énumérer les axes politiques proposés par ce rapport ethnomasochiste et culpabiliste qui vise non seulement à défranciser, déseuropéaniser la société mais à accentuer encore la pression migratoire en instaurant une véritable préférence étrangère.
Il est plus intéressant de s’attarder sur deux passages qui relèvent du sectarisme de la police de la pensée de gauche et de ce racisme implicite si souvent observé dans la vulgate antiraciste. Tout d’abord, il est recommandé d’interdire et de sanctionner judiciairement, notamment dans les médias, toute mention (« description stigmatisante ») de l’origine des personnes, notamment en cas de délit (1) (« nationalité, origine, couleur de peau, religion, culture… »). Cette interdiction est étendue aux « partis politiques et institutions publiques » dans bien d’autres circonstances.
Admirons la contradiction : l’origine ethno-culturelle est niée mais en même temps la France doit devenir « arabe-orientale ». Mais implicitement, le fait d’être qualifié par son nom et son prénom d’origine africaine ou arabe, par exemple, serait subrepticement une insulte. Inconsciemment, les auteurs (vieux gauchistes) du rapport considèrent que de dire à/de quelqu’un qu’il est ”Arabe” est une « stigmatisation », un « délit de harcèlement racial ». Or, ne pas mentionner l’origine des gens, par pseudo-respect, c’est dévaloriser cette origine. On nage dans une contradiction totale, la bêtise raciste/antiraciste de cette gauche à la fois gouvernementale, soixante-huitarde et intellectuellement à gaz pauvre. (2)
Le second passage fait allusion à la ”race blanche”, alors qu’officiellement les races n’existent pas. Il est en effet proposé de ne plus se référer dans l’enseignement de l’histoire à « des figures incarnées qui demeurent très largement des grands hommes, mâles, blancs et hétérosexuels ». (3) Évident racisme anti-Blancs et aversion contre les hétérosexuels de la part de personnes qui sont elles-mêmes majoritairement des Blancs hétérosexuels. Ça relève de la psychiatrie – ou de la psychanalyse.
Cette gauche antiraciste est complètement obsédée par l’idée de ”race”, comme les puritains étaient obsédés par l’idée de sexe. Le paradigme racial est obsessionnel dans la gauche ”antiraciste”.
Une telle idéologie à la fois xénophile, pétrie de bêtise et/ou de mauvaises intentions, est la porte ouverte à la guerre civile ethnique, lot endémique du Maghreb et du Proche-Orient arabe, et de toute société hétérogène et pluri-ethnique.
Mais hélas, ce rapport tire en réalité la conclusion dramatique, cynique et souriante de quarante ans d’immigration incontrôlée, au terme de laquelle s’opère un bouleversement démographique, où toute ”intégration” ou ”assimilation” de minorités qui n’en sont plus est devenue une chimère et où le petit peuple de souche est prié par ses élites grasses et protégées (”socialistes”) de se plier à la loi des colonisateurs présentés comme des victimes, est sommé de se taire et de devenir Invisible. Devant l’histoire, les politiciens, parfaitement antidémocrates et antirépublicains, responsables de ce fait, devront répondre d’une tragédie annoncée.
Notes
(1) C’est implicitement reconnaître l’origine immigrée très majoritaire de la criminalité.
(2) La pensée de gauche, intellectualiste et déconnectée du réel, héritière inconsciente en fait de l’idéalisme platonicien (auquel s’oppose le réalisme aristotélicien) souffre moins de bêtise que de pathologie, d’origine psychologique. Vouloir construire un méta-monde contre la réalité, une utopie, c’est à dire, étymologiquement, un lieu qui n’existe nulle part, un rêve.
(3) Il faudra donc trouver dans les figures de l’histoire de France des personnes de couleur, féminines, bisexuelles ou homosexuelles ? Vous en connaissez ?
10:20 Publié dans Débat sur l'identité, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 20 décembre 2013
Non à l'intégration !
Ceux qui, du PS à l’UMP – mais aussi à l’extrême-droite – préconisent ou simplement acceptent l’intégration trahissent leur peuple et devront en rendre compte le moment venu. Car la minute de vérité approche.
18:57 Publié dans Débat sur l'identité, Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Rapport sur l'intégration : la trahison au sommet...
Le rapport sur la «Refondation de la politique d'intégration », présenté sur le site du premier ministre, a soulevé une tempête médiatique et politique . Il apparaît comme une remise en cause totale de l'identité française. Même s'il ne s'agit pas là de décisions effectives, il faut noter que le Premier ministre « salue la grande qualité de ces travaux et remercie l’ensemble des personnes qui y ont contribué » (site du gouvernement).
Les cinq documents qu'il comprend, rédigés dans un langage très indigeste, et parfois incorrect, présentent un modèle « républicain » qui n'est en aucune façon un modèle de l'identité française : on y lit, par exemple que La France devrait assumer la dimension « arabe-orientale »... de son identité ...
Certes, le séminaire interministériel sur le sujet,qui devait avoir lieu en janvier 2014, a finalement été annulé. Mais la présentation sur le site de Matignon a bien été faite.
Avec tous les patriotes, travaillons à la mise au pouvoir de dirigeants qui défendent vraiment notre nation.
13:28 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Bernard Lugan : le vrai Nelson Mandela
12:41 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tous à Paris le dimanche 26 janvier :
Le site de Jour de colère cliquez ici
00:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 19 décembre 2013
Une nouvelle Librairie française à Paris...
14:15 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les Blancs dans l'Afrique du Sud arc-en-ciel...
11:13 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Décés de Jean-Pierre Dellac, responsable du Service de sécurité du Parti de la France
Carl Lang et Le Parti de la France ont la tristesse de vous informer du décès de Jean-Pierre Dellac, fondateur et directeur national du Service d'Encadrement et de Protection (SEP).
Longtemps responsable du DPS du grand Est Jean-Pierre Dellac était une figure de notre combat de résistance nationale et une personnalité exceptionnelle, toujours au service de la sécurité des militants patriotes.
Ses obsèques auront lieu en présence des dirigeants du Parti de la France le lundi 23 décembre à Auxerre à 10h30 (cliquez ici).
10:38 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
07:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 18 décembre 2013
Heurs et malheurs du trotskysme
Source Breizh info cliquez ici
L’écrivain Patrick Gofman était à Nantes le 13 décembre pour présenter à la librairie Dobrée son dernier essai intitulé « Le trotskysme dégénéré » (cliquez ici NDLR).
Les trotskystes se revendiquent de l’héritage de Marx et de Lénine et de la Révolution russe d’Octobre 1917 et bien sûr de Léon Trotsky. Pendant 60 ans, après avoir été persécutés par Staline, ils ont continué à se réclamer du communisme révolutionnaire et à prôner la révolution permanente, sans remettre en cause les méthodes du « petit père des peuples » en particulier le système concentrationnaire du Goulag pour leurs adversaires appelés « ennemis du peuple ». Ce qui démontre, selon P. Gofman, qu’ils étaient bien à la remorque du stalinisme.
Divisés en une kyrielle de groupuscules multipliant les scissions et se déchirant sur l’interprétation des textes sacrés de Lénine et de Trotsky, les militants trotskystes ont longtemps eu une activité politique confidentielle.
C’est après 1968 qu’ils sont apparus en plein jour en France, autour de 3 groupes principaux : Lutte ouvrière de l’inoxydable Arlette Laguiller véritable secte vivant dans une semi clandestinité ; la ligue communiste révolutionnaire d’Alain Krivine, devenue aujourd’hui le NPA de Besancenot ; et enfin le discret courant « lambertiste » qui a changé dix fois de nom pour s’appeler aujourd’hui le Parti ouvrier indépendant (POI).
Pendant 30 ans ces groupes ont pratiqué avec succès un « entrisme » dans les partis de gauche comme le PS – l’origine politique de certains dirigeants socialistes et de plusieurs ministres est à cet égard significative – et les syndicats CFDT et Force Ouvrière. En 2002 le trotskysme français paraissait à son apogée électorale avec 10 % des suffrages. Ne profitant pas de la crise économique et sociale que traverse la France, il est redescendu depuis à son étage traditionnel qui est de 1 à 2% du corps électoral.
Les nombreux trotskystes « infiltrés » dans le système ont en réalité été amenés à le gérer. P.Gofman considère, preuve à l’appui, qu’ils ont été « digérés » par celui-ci. C’est en réalité sur le plan culturel et dans la société civile que les trotskystes ont connu leurs plus grandes réussites. Si aujourd’hui le féminisme, l’homosexualisme, l’antimilitarisme, immigrationnisme etc., connaissent un tel succès, c’est incontestablement grâce à eux.
Animés d’une véritable haine contre toute notion d’identité, qu’elle soit nationale ou européenne, les disciples de Trotsky se sont faits de facto les propagateurs de tous les communautarismes.
En Bretagne, en particulier en Loire atlantique, ils ont réussi à s’implanter durablement dans les syndicats comme la CFDT et surtout, pour ce qui est des lambertistes, Force ouvrière. Ils ont aussi pratiqué un entrisme tous azimuts dans la classe politique nantaise. Des fichiers, des contacts, des soutiens financiers surtout : c’est ce qui est recherché.
Pour quoi faire ? Les syndicats sont devenus des bureaucraties défendant plus leurs propres intérêts que ceux de leurs adhérents. Ironie de l’histoire, les « antifas », souvent considérés comme des analphabètes politiques recrutant chez les marginaux, tendent de plus en plus à se comporter comme les « bandes armées » du capital.
C’est finalement dans le domaine des médias que leur réussite aura été la plus éclatante. Comme le souligne la Fondation Polémia, « derrière une façade de diversité, les grands médias scénarisent l’actualité selon la même grille de lecture, celle de l’idéologie unique qu’ils partagent : laisser-fairisme et libre-échangisme économique, cosmopolitisme et sans-frontiérisme, rupture de la tradition et révolution des mœurs. C’est la sainte alliance du trotskysme de salles de rédaction et du capitalisme financier. L’union des milliardaires et de la médiaklatura. ». Une fin que le fondateur de l’Armée rouge n’avait sans doute pas prévue.
Quelques photos de la tournée de Patrick Gofman en Pays de la Loire :
Nantes, jeudi 13 décembre
Angers, vendredi 14 décembre
17:18 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Les discours consensuels lancés contre le peuple"
Les Libres propos de Jacques-Yves Rossignol
Il est très important de bien comprendre le rôle de tous ces endroits où, sous les prétextes les plus divers, se rencontrent et se confortent les gens du mondialisme et leurs idéologues. Leurs idéologues, c'est à dire les gens qui sont chargés de justifier les pouvoirs en place et les décisions qu'ils prennent.
Il est très difficile d'appliquer ouvertement une politique cruelle et glacée ; les propriétaires du monde doivent envelopper, enrober leurs interventions, dans un petit peu de discours humaniste, humanitaire. Ils doivent donner des raisons relativement plausibles et cohérentes à tout ce qu'ils font.
Tous ces discours doivent bien sûr être servis avec beaucoup d'assurance : on ne doit pas percevoir qu'il y a d'autres options.
Les gens de gros argent et leurs conseillers proches savent surtout ce qu'il ne faut pas dire : ils invitent donc des gens qui parleront sans franchir les dangereuses limites entre le bavardage mondain et l'analyse politique.
On invite donc des gens de religion, des gens de morale, des universitaires que l'on sait acquis ou inoffensifs, ou carrément gâteux.
On ne peut pas parler de tromperie ou de mensonge puisque la plupart de ces gens ont été formés d'une façon telle qu'ils n'imaginent même pas que l'on puisse dire quelque chose de fort et de vrai sur la société.
C'est dans ces lieux que se forment les discours consensuels qui sont répétés partout. Dans ces lieux et pas du tout dans les médias comme on le dit très souvent sans réfléchir. Réfléchissons donc un peu ! Les médias n'inventent pas d'idéologie, ils ne font que répéter et diffuser des discours qui se forment ailleurs et qui s'imposent effectivement parce qu'ils occupent tout le terrain ! Les journalistes "vendus" ne font que répéter des sortes de petites théories consensuelles qu'ils n'inventent pas du tout ! Or, tout le monde gémit contre les médias et presque personne n'essaie d'étudier comment se forment ces petites théories consensuelles qui occupent tout le terrain !
Pour élaborer ces discours consensuels à large diffusion, on s'éloigne des lieux de pouvoir proprement dit. On dira le même chose que dans les lieux de pouvoir purs et durs (une seule chose à vrai dire : le profit est sacré) mais sous des formes plus discrètes, plus enrobées. On met des distances, des intermédiaires et aussi des références spirituelles, artistiques. On se réunit dans un couvent ou un centre d'art contemporain. Là, on est entre soi, on est à l'abri du peuple et des gêneurs.
Il s'agit donc bien d'éviter que l'on puisse dire des choses solides, des choses vraies sur les conflits dans la société. Dans tous les cas, l'essentiel, c'est de ne pas parler de la réalité sociale.
Parfois on a chaud : il y a quand même dans le public des questions qui abordent la réalité contemporaine mais on est rodé : on réussit à répondre à coté ou à ne pas répondre du tout.
Quels que soient les sujets, on élude, on distancie, on euphémise. C'est cela le métier d'idéologue.
Des banalités religieuses, morale ou philosophiques, un petit stock de citations tiennent lieu d'analyses. Tout cela est accueilli par des sourires convenus.
A la fin, on est soulagé : on a réussi une fois encore à parler pour ne rien dire devant un public acquis d'avance qui est venu pour entendre précisément un discours qui ne dit absolument rien. Rien, sauf ceci : notre hypocrisie fonctionne à merveille !
Il serait bien utile et formateur de pénétrer, de fréquenter enfin ces lieux, d'apprendre à les connaître, de comprendre la véritable manière dont la bourgeoisie mondialiste méprise le peuple. Et d'apprendre à contrer enfin ces discours, essentiellement par l'invention d'autres discours consensuels mais ironiques et surplombants.
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Sur le rapport en cinq volets remis au Premier ministre à propos de l’intégration
Un communiqué de Renaud Camus et du Parti de l'In-nocence :
Le parti de l’In-nocence remarque qu’avec le rapport en cinq volets remis au Premier ministre à propos de la politique d‘intégration (qui justement devrait changer de nom, car il n’y a rien à intégrer à rien, sinon la France à ses conquérants...), toute ambiguïté est levée. Les colonisateurs islamistes expriment leurs desiderata (guichets de la Sécurité sociale où l’on parle arabe, arabisation de l’enseignement, généralisation du voile, etc.), desiderata que des commissions ou des groupes de travail ad hoc étayent sur des bases idéologiques remplacistes. Bien entendu il ne s’agit pas (encore) de la politique officielle du gouvernement, mais on est habitués à ces coups de sonde médiatiques, destinés à préparer le peuple indigène au parachèvement du Grand Remplacement dont lui et sa civilisation font l’objet, désormais tout à fait ouvertement et officiellement. Traîtres, remplacistes, collaborateurs et promoteurs du changement de peuple ne se cachent même plus, ce qui n’empêche M. Jean-Marc Ayrault de les féliciter de « la grande qualité de [leurs] travaux ».
Le parti de l’In-nocence constate au passage que le lien évident et maintes fois signalé par lui entre Grande Déculturation et Grande Remplacement est exemplairement attesté par ce rapport en cinq volets. Ces bradeurs stipendiés de la patrie, qui proposent de mettre sur le même plan et de traiter pareillement, en France, la culture et la langue françaises, d’une part, les cultures, traditions et langues de nos colonisateurs d’autre part, le font dans le pire charabia administratif, déshumanisé et déculturé, scandé par une ponctuation fautive presque à chaque ligne, et souvent plusieurs fois par ligne : « Faire des politiques d’intégration un mode de gouvernance de la collectivité locale, en menant des actions agissant contre les effets de spécialisation par l’espace », « Cela suppose de clarifier, à quels publics, ces différentes politiques s’adressent et, quel est le mode de gouvernance approprié pour ordonner, organiser ces différentes politiques ».
Source cliquez ici
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3120
du 12 décembre 2013
LE ROTTWEILER n’est pas seulement détesté par les Français. Même à l’Elysée, beaucoup commencent à s’agacer sérieusement de ses comportements. En cause : sa tendance à influencer le président de la République. Alors que sa cote de popularité ne cessait de chuter, la compagne du chef de l’Etat avait d’ailleurs confié : « Je l’avais dit au départ : je voulais qu’on me laisse le temps, on ne me l’a pas laissé (…) il m’a fallu le temps de prendre mes marques ». Elle prétend aujourd’hui avoir « pris ses marques ». Voire…
L’INFLUENCE DU DRAGON DE L’ELYSÉE SUR HOLLANDE EXASPÈRE SON ENTOURAGE
Selon les informations de Challenges qui cite un proche de François Hollande, « l’influence de Valérie sur le président s’accroît à mesure que les difficultés s’accumulent ». Ainsi, l’hebdomadaire déplore que « bien qu’elle s’en défende, c’est bien elle qui a poussé le président de la République à intervenir à la télévision pour proposer à Léonarda de revenir en France sans sa famille ». Une brillante intervention qui avait ridiculisé le chef de l’Etat… Mais, paraît-il, le président ne serait pas seul à subir les tocades et les avanies du rottweiler. Elle a pris en grippe Claude Sérillon, le conseiller en communication de l’Elyséen. Il se serait en effet « mêlé de sa vie intime ». Du coup les propositions de Claude Sérillon se retrouvent presque systématiquement retoquées par Valérie Trierweiler, qui se mêle de tout, assistée dans ses sulfatages par un ancien paparazzi, Stéphane Ruet, qu’elle a fait nommer à l’Elysée. Dis-moi qui tu hantes, et je te dirai qui tu es…
AUDACIEUSE DÉCLARATION DE MALEK BOUTIH
« Christiane Taubira n’est pas la femme qui souffre le plus de racisme en France. Mobilisons-nous pour ceux qui souffrent réellement » a déclaré Malek Boutih sur RMC dans les Grandes Gueules. Evoquait-il les blancs, les catholiques ? On ne sait pas. Toujours est-il que l’Observatoire de la christianophobie a recensé en 2012 250 actes de christianophobie, dont 8 agressions de prêtres, 17 tentatives d’incendies et incendies d’églises, 25 cas de profanations et actes de vandalisme de cimetières chrétiens, et 70 cas de profanations d’églises. Notons que le catholicisme est devenu la seconde religion la plus pratiquée en France après l’islam, qui lui, n’a subi que 157 actes supposés islamophobes, concernant essentiellement des critiques de la religion islamique.
MARINE LE PEN MÈNE LA “MÊME CAMPAGNE QU’ADOLF HITLER”
L’octogénaire Guy Bedos ne sait plus quoi dire pour faire parler de lui. Présent au gala contre le racisme organisé le 2 décembre au soir à Paris, ce piètre humoriste qui ne fait plus rire personne a accusé la présidente du Front national de faire la même campagne qu’Hitler, en ayant « remplacé les Juifs par les Arabes et les Nègres ». Guy Bedos, qui est un grand intellectuel, enfonce le clou : « Elle dit à tous ces gens qui vont mal, car nous sommes dans la même crise que dans les années hitlériennes, les années 30, si vous êtes au chômage, si vous souffrez, c’est parce qu’il y a trop d’Arabes, trop de Noirs. Si on fout les Arabes à la mer, vous aurez du travail ». Comme quoi, la dédiabolisation, c’est pas facile. Allez, Marine, Louis et Florian, courage, il y a encore du travail à faire !
“L’IMPORTANT, C’EST DE DÉDIABOLISER L’ÉTIQUETTE DU FRONT NATIONAL”
Le concubin de Marine Le Pen a encore frappé. « L’important, c’est de dédiaboliser l’étiquette Front national » a-t-il expliqué avec sa puissante intelligence sur les ondes de Sud Radio. Du coup, le FN va sans doute changer de nom, probablement à l’automne 2014, mais, attention, en toute démocratie. Ce très proche de la présidente du FN avec laquelle il a acheté sous forme de SCI (société civile immobilière) une superbe propriété près de Perpignan, bien loin des masses laborieuses d’Hénin-Beaumont (on veut bien les voix des pauvres et des chômeurs mais sûrement pas les côtoyer au quotidien), déclare : « Les adhérents discuteront de toutes ces choses-là si l’ordre du jour le prévoit ». Bon, si l’ordre du jour ne le prévoit pas, ils n’en discuteront pas. Jean- Marie Le Pen, le fondateur du parti, a toujours considéré que ce serait une grave erreur de changer de nom, ce en quoi il a parfaitement raison. Remarquez que si le nouveau FN portait le doux nom d’Aube Dorée, ce ne serait pas mal. Encore que certains y verraient des relents ésotériques. Evidemment, s’ils choisissaient « Front National-Sioniste », ce serait beaucoup moins bien…
AMUSANT, CE MAIRE UMP…
Luc Jousse, maire UMP de Roquebrune-sur-Argens (Var), s’est exprimé lors d’un conseil de quartier au sujet des gens du voyage : « Les Rroms, c’est un cauchemar, c’est un cauchemar ». Evoquant un incendie qui menaçait un de leurs camps, il déclara : « Ce qui est presque dommage, c’est qu’on a appelé trop tôt les secours », ce qui fit s’esclaffer la salle. Oui, mais ça ne fait pas du tout rire l’UMP qui dénonce des « propos inacceptables ». Le parti présidé par Jean-François Copé que feu ADG surnommait « l’étoile jaune montante de la Chiraquie » prévient que l’élu peut « s’attendre à des sanctions appropriées ». On ignore encore lesquelles, mais on peut s’attendre à quelques abominables tortures, voire plus, si affinités. Remarquez que si l’édile avait été membre du FN mariniste, il aurait été exécuté sur-le-champ. Ah le politiquement correct, quand tu nous tiens !
HORREUR : DU ZYKLON B AU PARLEMENT EUROPÉEN !
La société brestoise IPC, spécialisée dans l’hygiène, vient de sortir un nouveau détergent nommé « Cyclone B ». Mais, abomination, Cyclone B, ça fait Zyklon B ! L’affaire, le scandale, a débuté à Bruxelles, au Parlement européen, où le produit avait été utilisé par le personnel d’entretien. Du coup, l’Association juive européenne s’en est lourdement émue. Son directeur, le rabbin Menachem Margolin, a déclaré : « C’est sûrement le pire nom que l’on peut donner à un produit d’hygiène. Au mieux, c’est une horrible ignorance, au pire un record du monde de cynisme malveillant ». L’entreprise se défend, plaidant pour « l’horrible ignorance » et précisant, information importante, que « l’entreprise compte des salariés juifs qui n’ont eux-mêmes pas fait le lien ». Ouf, on respire !
ALLEMAGNE : CONDAMNÉS À 3 900 EUROS D’AMENDE POUR AVOIR DÉPASSÉ LEUR TEMPS DE PAROLE !
J’avais déjà évoqué dans ces chroniques les étonnants délires que s’autorisent les autorités allemandes pour museler leur opposition. Là c’est en Bavière, à Munich, que cela se passe. Le parti Die Freiheit récolte des signatures afin de voir organiser une consultation du peuple à propos de la construction d’un centre islamique au sein de la capitale bavaroise. Il s’est vu imposer par une juridiction de Munich de ne pouvoir prendre la parole que durant des périodes de dix minutes maximum séparées de pauses de dix minutes minimum. Même Orwell n’avait pas imaginé un tel délire. La police criminelle (une police qui, comme je l’ai déjà raconté, porte volontiers cheveux longs et boucles d’oreilles) a constaté, lors d’un rassemblement qui s’est déroulé le 27 juillet 2013 durant plusieurs heures, que par deux fois Die Freiheit a dépassé le temps de parole et que par deux fois la pause a été trop courte. Les mêmes faits ont été constatés lors d’un rassemblement le 1er août 2013 (le temps de parole a été aussi dépassé ce jour-là à deux reprises et deux pauses ont été trop courtes). Pour avoir enfreint la règle édictée par le tribunal, les responsables de Die Freiheit à Munich se voient condamnés à payer une amende de 3 900 euros. Des malades, de grands malades…
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16:01 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 17 décembre 2013
Jospin et Juppé à Qunu !
Yves Darchicourt
On va rarement à un enterrement pour se marrer, même si on s'y rend par pures convenances ou en délégation et en règle générale on y adopte l'air attristé de circonstance ou tout au plus un pâle sourire aussi solidaire que tristounet. Et pourtant il se trouve parfois dans l'assistance obligée un quidam pour être atteint d'un fou-rire déclenché par une broutille tout au plus amusante et qui -allez savoir pourquoi- est ressentie comme le summum du désopilant; une hilarité d'autant plus inextinguible qu'elle s'alimente des sursauts indignés et des regards courroucés des voisins de travées.
Un impair qui aurait pris des proportions himalayennes lors du dernier raout funèbre autour de la dépouille de Mandela à Qunu. A simplement penser que durant la fastidieuse cérémonie, un de ses représentants laisse son esprit divaguer et en vienne à se gondoler par exemple à l'évocation de Qunu prononcé autrement que "kounou", Pépère a dû en avoir des sueurs froides. Et c'est sans doute pourquoi il a choisi Alain Juppé et Lionel Jospin pour représenter la France à l'enterrement du tatamkhulu Nelson.
Avec cette belle paire sortie de l'UMPS rassemblée autour des valeurs "arc en ciel", Pépère a donné certes dans le ridicule mais s'est garanti du risque odieux de la Bérézina diplomatique et du gravissime incident sulfureux. Juppé-Jospin c'était du sûr dans le morose, du certain dans le lugubre, de l'exemplaire dans le sinistre, un duo de pisse-froid aux antipodes du goguenard, des insensibles chroniques au drolatique, des réfractaires à la bouffonnerie qu'on n'imagine même pas pouffer. Une belle image de la ripoublique officiellement concernée et consternée par la disparition du "grand homme" Mais finalement, pour le gaulois moyen, l'essentiel est que la prestation à rendre neurasthénique des deux tristus annonce le clap de fin d'une décade de mandelamania effrénée.
20:19 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
APRES LA FLAMME OLYMPIQUE, VOICI LA TORCHE DES JEUX ISLAMIQUES
De G.H.W Bush à Barack Hussein Obama (prix Nobel de la Paix 2009), les Etats-Unis ont mis l’Orient à feu et à sang.
Notre devoir de mémoire nous rappelle que pour contrer l’invasion communiste en Afghanistan (1979-1989), les américains ont recruté toutes sortes d’alliés et de mercenaires, dont Oussama Ben Laden et ses sbires salafistes, via le prince Turki al-Faycal –chef des services de renseignements saoudiens- et vieil ami des Ben Laden, famille richissime. La libération de l’Afghanistan devient pour Oussama son djihad personnel, sa croisade anticommuniste, pour laquelle il recrute, sur les fonds saoudiens et américains, des centaines de moudjahidines, affluant de tous les pays arabes.
Après la déroute des armées russes venues en aide au régime communiste afghan de Najibullah et l’effondrement de l’URSS en décembre 1991, Ben Laden s’alliera finalement à la cause des talibans du mollah Omar, pour revenir au centre du « Grand Jeu ».
En guise de représailles à l’effondrement des 3 tours du WTC (1,2 &7) le 11/9/2001, les USA interviennent militairement en Afghanistan contre Al-Qaïda (la Base) en février 2002.
Guerre du Golfe. Irak acte I.
En 1990, l’ONU condamne l’invasion du Koweït et son annexion par l’Irak. Une coalition de diverses armées envahit l’Irak en 1991 pour attaquer Saddam Hussein, désigné comme responsable de la mystification des couveuses de Koweït-City. Souvenons-nous quand même que c’est l’Irak qui est entrée en guerre contre l’Iran en 1979 (après la chute du Shah, valet des intérêts américains) pour tenter de faire tomber l’ayatollah Khomeiny et les gardiens de la révolution (pasdaran) auteurs de la prise d’otages à l’ambassade US de Téhéran. Jusqu’au cessez-le-feu en 1988, l’Irak n’a pas pu se développer socialement et économiquement, alors que dans la région d’Abadan, le Koweït lui pompait ignominieusement son pétrole !
Irak acte II.
Sans doute pour mettre main basse sur les richesses pétrolifères de l’ancienne Mésopotamie, une offensive militaire anglo-américaine (hors mandat de l’ONU) et sur base de mensonges grotesques (armes de destruction massives, 4ème armée mondiale) lancée le 20 mars 2003, conduit à l’effondrement du régime le 9 avril et portent les USA à l’administration de l’Irak. Après une parodie de procès, Saddam Hussein est pendu le 30 décembre 2006. Le tyran éliminé, le pays s’en porterait beaucoup mieux …
Stabilité, pacification ou développement économique ?
Bien au contraire : la bête immonde du Nouvel Ordre Mondial a semé le désordre, la misère et le chaos dans tous les pays orientaux depuis plus de 30 ans, pour le plus grand bénéfice du complexe militaro-industriel américain et avec l’appui des gnomes de Wall Street. Il suffit de lire la rubrique « International » des grands quotidiens pour apprendre qu’en Irak ou en Afghanistan la situation est catastrophique.
Qui peut prétendre, par ailleurs, que le « Printemps arabe » a été bénéfique pour la population en Tunisie, en Egypte ou en Libye ? Ces pays n’ont en aucune façon prospéré après la destitution de Ben Ali, l’emprisonnement de Moubarak et l’assassinat de Kadhafi. Au contraire : ils se sont inexorablement enfoncés dans l’obscurantisme le plus démentiel, accompagné d’un désastre institutionnel.
Et de grandes âmes, intellos de gauche comme de droite, voudraient impérativement que l’on soutienne les euros-mondialistes belliqueux dans une sombre machination pour écraser la Syrie et renverser Bachar al-Assad, afin de le « punir » comme l’exigeait Hollandouille ? Au contraire : il faut défendre le soldat Bachar !
Que la communauté internationale envoie plutôt ses missiles « Tomahawk » sur Tel-Aviv et Jérusalem pour que l’Etat hébreu respecte in fine les résolutions 181 et 242 restées inappliquées depuis des décennies et sur lesquelles les sionistes s’assoient ! L’exemple des bombardements de Belgrade en 1999 et de Bagdad en 2003, devrait leur servir de leçon. Mais il est vrai que ni les Yougoslaves, ni les Irakiens ne possédaient de missiles nucléaires « Jéricho », ni d’un centre de recherches comme celui de Dimona !
20:13 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |