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samedi, 11 janvier 2014

La Guerre de 2014...

sans-titre-23.jpgGeorges Feltin-Tracol

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Auteur en 2004 d’un ouvrage sur Le Fondateur de l’Aïkido, Morihei Veshiba et en 2007 de Constat d’Occident, Laurent Schang est un fana mili, un passionné du fait militaire, de l’armement et des questions tactiques. Il a un temps participé à la revue La voie stratégique et anime une maison d’édition au nom évocateur spécialisé dans ce domaine spécifique : Le Polémarque.

D’abord paru en 2009 chez un modeste éditeur disparu, Kriegspiel 2014 est un roman d’anticipation ou plus exactement de politique-fiction dans la lignée de Tom Clancy (en moins volumineux) et de Gérard de Villiers (sans les scènes pornographiques). Les éditions Le Retour aux Sources viennent de le republier dans une version actualisée et enrichie. Relevons par exemple l’absence du sous-titre présent dans la première édition, « Le livre dont Vladimir Poutine est le héros ».

Laurent Schang inscrit les événements qu’il nous décrit dans un schéma conceptuel tiré d’une lecture polémarchique de la philosophie de l’histoire. Il estime que « selon une loi non écrite bien connue des historiens militaires, l’avenir de la péninsule européenne […] se décide entre la dixième et la quinzième année du siècle courant (p. 7) ». 1914, 1815, 1715, 1610, 1515 etc. marquent le début ou la fin d’une conjoncture conflictuelle majeure.

L’auteur nous dépeint la déflagration survenue en 2014. Dans moins d’un an, le 12 décembre 2014, les tensions sino-japonais liées au sort des îlots Senkaku – Diaoyu débouchent en conflit armé ouvert. Parallèlement, des islamo-nationalistes turcs renversent le gouvernement islamo-conservateur d’Ankara, relancent le touranisme et soutiennent l’agitation ouïgoure au Xinjiang chinois. C’est l’explosion du monde de l’après-Guerre froide !

Pendant que la Chine envahit Taïwan et le Japon, les États-Unis d’Obama et l’Europe unie – car l’Union européenne est devenue une entité fédérale ambiguë et velléitaire – renâclent à intervenir, tergiversent et réclament surtout des négociations. Si Barack Obama a proclamé la neutralité de son pays, c’est parce plusieurs États fédérés menacent de faire sécession…

Les atermoiements occidentaux aiguisent les ambitions turques et le dessein russe. La Turquie envahit l’Arménie, occupe la partie grecque de Chypre et s’empare des Balkans qui replongent dans d’inextricables guerres civiles. Néanmoins, l’invasion néo-ottomane provoque la formation d’une Confédération panslaviste tandis que Moscou reconnaît l’indépendance de l’Adjarie, du Haut-Karabakh arménien et du Kurdistan du Nord, ses nouveaux protectorats.

Mieux, le 22 décembre, la Russie attaque l’Ukraine, la Pologne et les États baltes. Cette action violente tétanise une O.T.A.N. paralysée par le neutralisme affiché de Washington. Quant à l’Europe unifiée, désemparée, elle se révèle incapable d’agir. Ses États membres ne prennent aucune initiative. En effet, « leurs armées sont au régime sec, les pays européens ont réduit leurs budgets militaires au minimum et la plupart de leurs engagements sont au point mort, vecteurs aériens y compris, faute de crédits nécessaires. Conséquence, en dix ans l’Europe unifiée a vu sa puissance de feu diminuer du tiers (p. 84) ». Bref, les Européens « sont juste incapables de se défendre eux-mêmes (p. 85) ». Cela n’empêche pas de grandes métropoles européennes de sombrer dans une situation insurrectionnelle larvée. Échoue dans ce contexte tendu un 26 novembre à Bruxelles un coup d’État pro-européen.

Bien que se voulant neutre, la Belgique se déchire entre partisans de l’unité nationale et indépendantistes flamands. Ses voisins et ses partenaires s’interrogent sur une éventuelle réponse à donner aux événements. Tout démontre que « groggy, l’Europe unifiée chancelait sur sa base. Dans les premiers jours du conflit, les dirigeants européens avaient pu afficher une unité de façade devant les caméras. Au vrai, usés au physique, affaiblis au moral, les peuples ne manifestèrent à aucun moment l’envie de les suivre (p. 133) ». Le sursaut européen provient finalement de la réussite d’un second coup d’État. Perpétré par « les Fils de la Louve », un groupe clandestin de jeunes officiers paneuropéens, le putsch renverse les institutions continentales, écarte les politicards de l’Europe unifiée et impose un Saint-Empire fédéral paneuropéen confié au petit-fils d’Otto de Habsbourg : Ferdinand Zvonimir.

Disposant rapidement d’un siège de membre permanent au Conseil de sécurité de l’O.N.U., ce nouveau Saint-Empire rassemble 31 États dont le califat de Sarajevo. En revanche n’y appartiennent pas le Royaume-Uni, la Pologne et une Confédération balkano-danubienne constituée de la Serbie, de la République serbe de Bosnie, du Monténégro, de la Macédoine et de la Grèce. Favorable à la désoccidentalisation de l’Europe et au Grand Bloc Continental, le jeune souverain paneuropéen prend acte du monde accouché par cette brève et intense guerre eurasiatique (moins d’une année). Les États-Unis paient leur neutralité d’un net recul de leur influence planétaire. S’esquisse dès lors un siècle altaïque régi par la Chine, la Russie et la Turquie – Touran, prélude à un grand-espace géopolitique eurasien, voire eurasiste ? Ferdinand Zvonimir Ier ne déclare-t-il pas à ce sujet que « les civilisations ne sont pas des aires closes, des valeurs communes les relient et les unissent les unes aux autres (pp. 145 – 146) ».

Riche en considérations techniques précises sur les différents systèmes d’armement des belligérants, Kriegspiel 2014 se déroule dans le cadre d’une guerre conventionnelle classique, très éloignée des schémas prévus de la cyber-guerre, de la guérilla et des conflits méta-locaux. Ce roman n’en ouvre pas moins d’étonnantes perspectives géostratégiques même s’il faut largement minorer l’idée fallacieuse que la Russie serait prête à attaquer volontiers son étranger proche au Sud et à l’Ouest de ses frontières… Laurent Schang aurait-il trop lu les doctrines néo-conservatrices qui envisagent toujours l’Ours russe comme une forte menace potentielle ? En revanche, les contentieux dans le Caucase et entre Pékin, Tokyo, Séoul et Pyongyang sont plausibles et peuvent dégénérer en guerre. À moins que le principal neutre de ce « Jeu de guerre 2014 », les États-Unis, ne révèle sa dangerosité en se lançant dans des aventures militaires déstabilisatrices. Victimes d’une grave crise économique, sociale et financière seulement dissimulée par l’exploitation intensive du pétrole et du gaz de schiste, l’actuelle première puissance mondiale pourrait très vite devenir un État super-voyou qui met en péril la paix mondiale, surtout si en 2017 accède à la Maison Blanche un taré républicain ou un fanatique démocrate, éternels pantins de l’État profond yankee.

L’histoire est par essence tragique, inattendue et aléatoire. Verrons-nous donc cette année 2014 le retour d’Athéna et d’Arès, de Taranis et de Maponos, de Tyr et de Thor sur notre sol plusieurs fois millénaire ?

Laurent Schang, Kriegspiel 2014, Le Retour aux Sources (La Fenderie, F – 61 270 Aube), 2013, 155 p., 15 €.

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vendredi, 10 janvier 2014

Fin de la quenelle ou fin des haricots ?


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Dimanche 26 janvier : TOUS A PARIS !

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Samedi 11 janvier, Calais dans la rue pour défendre son identité française et européenne

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Yves Darchicourt

Le collectif "Sauvons Calais" maintient son appel à rassemblement demain samedi 11 janvier 2014 à 09 h 45 sur la Place d'Armes de la cité pour dénoncer la passivité des autorités face aux flux massifs de clandestins. Une véritable invasion qui défigure la ville et l'agglomération, y accroît les risques sanitaires et y fait régner une insécurité récurrente qui frappe d'abord les plus faibles et les plus démunis de nos concitoyens et congénères. Une véritable invasion voulue par le Système et scandaleusement soutenue par des associations et des politicards collabos.  

Source :  cliquez ici

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Gabriele Adinolfi s'exprimera au Parlement européen

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Gabriele Adinolfi qui était invité le 10 décembre par Synthèse nationale à Paris cliquez là donnera une conférence le janvier prochain au Parlement européen à Bruxelles. Il semble que cette réunion suscite déjà des réactions dans la presse française cliquez ici

Gabriele Adinolfi présente son dernier livre Orchestre rouge cliquez ici

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« La Haine » du Nouvel Obs…

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Arnaud Guyot-Jeannin

Boulevard Voltaire cliquez ici

Dieudonné les rend fous ! Depuis quinze jours, les paroles liberticides du président de la République François Hollande, les mots vengeurs du ministre de l’Intérieur Manuel Valls, les mantras policiers du ministre de la Culture Aurélie Filippetti et les expressions répressives d’une grande partie du système politico-médiatique ne permettent pas de bien comprendre l’humour engagé de Dieudonné et d’en débattre honnêtement.

Tous les jours, en regardant la télévision, en écoutant la radio et en lisant les journaux, la dictature du salut public post-moderne répète les mêmes antiennes hygiénistes, voire épuratrices : « comportement pathologique », « interdiction vitale », « éradication », etc. Guillaume Peltier, le Président de la Droite forte, au sein de l’UMP, a même exprimé son souhait que Dieudonné « aille en prison » (I>télé le mercredi 8 janvier 2014) en raison de ses factures impayées.

Hélas, la « sous-culture journalistique » – pour reprendre la formule de Jean-Edern Hallier – demeure prisonnière de ses malfaisances habituelles. En effet, le même jour que l’arrêt, Le Nouvel Observateur participait bêtement à la montée aux extrêmes. Sa une surréaliste est illustrée par les visages juxtaposés d’Alain Soral, Dieudonné et Éric Zemmour et porte le titre suivant : « La Haine ». Ces trois hommes publics, c’est bien connu, prêchent les mêmes idées, puisqu’elles sont haineuses. L’amalgame grossier ne fait pas peur à l’hebdomadaire ! Puis, à l’intérieur du numéro, figure le dossier central intitulé : « Voyage dans la France raciste », agrémenté d’une grande photo décrivant un pavillon et la porte fermée de son garage sur laquelle est dessinée une grande croix gammée rouge. L’ignorance crasse le dispute à un sectarisme navrant. Et à une mise en scène horrifique qui se veut représentative d’un climat post-nazi. Les SS sont de retour ! On finit par se demander qui appelle à la haine ? Les accusés ou les accusateurs ?

On en vient alors au premier article. Il est écrit par Doan Bui et Isabelle Monnin qui prouvent, sans s’en rendre compte, que le délire paranoïaque vient d’eux et non d’une fantasmatique galaxie raciste et antisémite : « [...] Ce sont bien eux, les néo-racistes, qui accaparent l’espace médiatique, formant une nébuleuse hétéroclite, unie dans une certitude, celle de lutter contre la bien-pensance. On y retrouve pêle-mêle des intellectuels obsédés par la perte d’identité française comme Alain Finkielkraut, des piliers du PAF comme Éric Zemmour, des politiciens pyromanes collectionnant les “dérapages” — Jean-François Copé et ses voleurs de pains au chocolat pendant le ramadan –, des humoristes comme Dieudonné, menacé d’interdiction, dont la “quenelle”, bras d’honneur au système (NDLR : ouf, à en croire la vulgate médiatique, on croyait qu’il s’agissait d’un “salut nazi inversé”), est reprise par une cohorte allant du Printemps français aux antisémites de tout bord, qui se nourrissent des saillies du polémiste Alain Soral. Prenez le tout, mettez le dans le chaudron d’Internet, ce grand forum où tout peut se dire, en un clic, le meilleur comme le pire, mélangez. Le brouet est amer, mais il faut le digérer : le racisme n’est plus “politiquement incorrect”, il est devenu la doxa des temps nouveaux. »

Jean-François Copé et Dieudonné seront heureux d’apprendre qu’ils appartiennent non seulement au même camp mal-pensant, mais qu’en outre ils sont évidemment racistes et antisémites, sans qu’aucune démonstration ne vienne étayer les assertions péjoratives de ces deux journalistes professionnels en raccourcis.

Doan Bui et Isabelle Monnin évoquent un mélange indigeste en mentionnant des personnes et des idées le plus souvent antagonistes. Ce sont donc les mélangistes, et non les mélangés, qui s’avèrent responsables du mélange. Et dire que Le Nouvel Observateur a longtemps été une référence dans l’histoire de la presse. Cela dit, l’affaire Dieudonné risque encore de susciter d’autres sottises et confusions intellectuelles. À quand un vrai débat ?

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Et maintenant, la peine de mort pour Dieudonné ?

DSC_0164-2.jpgUn communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :

Valls, le ministre de l’Intérieur, s’était déjà tristement illustré en 2013 lors des grandes manifestations des familles françaises hostiles au mariage des homosexuels et à l’adoption d’enfants par les couples homosexuels. Son mépris pour tous ceux qui contestent sa politique ainsi que le recours à la violence d’Etat et au gazage policier contre des manifestants pacifiques et de paisibles familles françaises démontraient déjà le comportement sectaire et haineux de ce personnage.

Les pauvres naïfs et habituels gogos qui pensaient encore que le socialisme portait les valeurs de tolérance et de respect des libertés d’expression, d’opinion et de conscience avaient déjà commencé à ouvrir les yeux.

Aujourd’hui, dans l’affaire Dieudonné, ce ministre se comporte ouvertement en chef de police politique du régime. Valls déclarait, sans rire, jeudi soir 9 janvier que la décision du Conseil d’Etat concernant l’interdiction du spectacle de Dieudonné était « une victoire de la République ». Rien que cela !

A la vérité, le ministre de l’Intérieur nous a fait entrer dans l’ère de la justice administrative d’exception établie par le Conseil d’Etat aux ordres du pouvoir exécutif.

Chacun est parfaitement libre d’apprécier ou non le contenu des spectacles de l’humoriste, mais réussir le tour de force politique de transformer Dieudonné en ennemi public n°1 de la République est non seulement grotesque mais encore tout à fait digne des méthodes les plus abjectes de manipulation et de propagande des régimes totalitaires.

Lorsque Valls, la Licra et SOS Racisme décident d’ouvrir la chasse à l’humoriste et de lâcher les médias à la botte, toujours attirés par l’odeur du sang, il ne s’agit pas d’un délire paranoïaque collectif relevant de la psychiatrie : c’est pire et beaucoup plus grave ! Il s’agit d’une dérive totalitaire du pouvoir et de l’établissement encore renforcé d’une véritable dictature de la pensée.

Ce n’est évidemment pas M. Dieudonné M’bala qui représente une menace pour la République, mais au contraire, M. Valls qui porte gravement atteinte aux libertés fondamentales du peuple français.

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Nantes a vibré hier soir pour la liberté d'expression...

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Quenelle inversée ?

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Manuel Valls lors de sa récente visité à Quimperlé…

(de notre correspondant permanent en Bretagne)

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LA HAINE CONTRE DIEUDONNE. De quoi est-elle le nom ?

13_2téléchargement.jpgPierre Le Vigan

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Pour Bertrand Delanoé, c’est un « criminel », pour le patron de L’Express, il faut « l’éradiquer ». C’est une sorte de virus, il relève de l’hygiène sociale. Il faut en tout cas interdire ses tournées, lui faire rendre gorge de ses dettes fiscales (on ne passe pas l’éponge comme pour L’Huma !). On est proche de l’appel au lynchage (il est vrai qu’il a le profil idéal). Il ne s’agit évidemment pas de Bertrand Cantat, mais de Dieudonné. 

Ses spectacles sont pourtant privés (il sera même privé de spectacles bientôt…), il ne vit pas de subventions publiques, les murs du métro ne sont pas inondés d’affiches vantant ses sketches. Ses vidéos ne sont accessibles qu’à ceux qui les cherchent. Bref, on peut apprécier ou pas l’humour de Dieudonné, y mettre des guillemets, voire trouver ses spectacles du plus mauvais goût (on peut même s’en contrefiche !) mais si le mauvais goût devient un critère, que penser de la diffusion de nombre de clips de rap ou de pseudo-comiques sur les chaines publiques. Et Philippe Val, et Nicolas Bedos c’est le bon goût pour tous ?

Le fond des choses c’est que l’humour a toujours quelque chose à voir avec la critique sociale. Par définition, l’humour ne peut pas faire l’unanimité. ‘’Dieudo’’ fait dans l’« hénaurme », le provoquant et le transgressif. Et alors ? Il n’a tué personne. Ce n’est pas Breivik, Youssouf Fofana, Mohammed Merah. 

De quoi la haine contre Dieudonné est-elle le nom ? De l’imposture de nos gouvernants. Car le monstrueux Fofana, de quoi était-il le fruit ? Du nihilisme de notre civilisation, du cynisme immigrationniste de nos dirigeants, de l’idéologie de l’argent-roi qu’ils ont tant contribué à répandre. Et l’atroce Merah, qui a tué des soldats français et des enfants français juifs ? Venait-il des « réseaux Dieudonné » ? Non. Il est le fruit de la politique de l’Occident. Il est le fruit du jeu américain en Afghanistan contre les Russes, puis des deux guerres contre l’Irak, puis de l’intervention française en Libye qui a fait sauter Kadhafi, barrière contre le terrorisme d’Al-Qaïda, il est le fruit de notre action belliciste visant à alimenter la guerre civile en Syrie, il est le fruit de notre destruction des frontières et des identités. Et les jeunes dépouillant morts et blessés à Brétigny sur Orge lors de l’accident ferroviaire ? Ils étaient inspirés par Dieudonné ? Non, là aussi, ils étaient le fruit de notre nihilisme, de l’inconscience de nos gouvernants, de leur court-termisme, de leur mépris de ce que, quand on bouscule l’équilibre toujours fragile des civilisations, on déclenche des catastrophes en chaîne. 

L’ « affaire » Dieudonné relève d’une stratégie de nos gouvernants : banaliser la vraie violence en créant un écran de fumée. Un de plus. 

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HAPPY HOUR AU BOULOT. Le management trendy, c’est la nouvelle tendance

bb_13076738-signe-happy-hour.jpgMichel Lhomme

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Les deux thèmes du concours commun de sciences-po 2012-2013 ont porté sur la culture et le travail. Du travail en France, il n’y en a plus. Aux Etats-Unis, il se fait rare mais il continue de consumer les jours. Depuis quelque temps, de nombreuses entreprises américaines organisent au bureau leur Happy Hour. Plus besoin ou plus question d’aller au café ou dans les bars du quartier. C’est le nouveau must du management trendy : éviter que les gens sortent et donc organiser des apéritifs, le vendredi soir, pour faire se rencontrer les employés des diverses branches de l’entreprise.

Le tonneau de bière est ainsi devenu la nouvelle machine à café américaine. C’est le cas dans la grande agence de publicité Arnold Worldwide de Boston. Les employés se rassemblent autour d’une machine à bière pression quand ils ont terminé leurs rendez-vous clients. Les employés sont heureux et conversent entre eux, les chefs se félicitent qu’ils restent encore tardivement dans l’immeuble. Toujours aux Etats-Unis, beaucoup d’entreprises offrent maintenant des menus « rapides » au déjeuner. Là encore, les secrétaires ne sortent plus et restent devant leur ordinateur en mangeant. Ces petits arrangements ne sont pas sans retour sur investissement. Les directeurs de ressources humaines ont constaté que, du coup, les employés ne rechignent plus à faire des heures supplémentaires non payées ! Ainsi, un peu partout aux Etats-Unis se développent des machines à glace, à bière pression et même à liqueurs fortes dans les sociétés commerciales.

Les managers affirment que cette solution offre de nombreux avantages. Elle aiderait à fomenter le talent dans les entreprises innovantes, à connecter les employés entre eux et surtout elle évite que les gens ne pensent qu’à partir et à quitter le bureau. La barrière entre le travail et la vie privée se réduit ainsi considérablement. Il n’y a en somme pour le capitalisme qu’une seule voie : l’associabilité, l’anomie sociale soit par la marginalisation et le chômage de masse soit par le travail envahissant, travail les jours fériés, le dimanche et maintenant même pour les sorties du soir.

Personne aux Etats-Unis n’a relevé que l’alcool  au travail peut aussi entraîner le départ au volant d’employés ivres ou même des sautes d’humeur violente dans les bureaux. Seul jusqu’alors, l’aspect convivial a été relevé. Pourtant, dans un pays aussi religieux que les Etats-Unis se pose aussi l’exclusion dans ces réunions improvisées d’alcoolémie des membres des sectes évangéliques qui interdisent toute consommation d’alcool.

Boire au travail n’est pas nouveau mais jusqu’alors cette activité n’était pas organisée par l’employeur. Au Japon, on trouve aussi très souvent toute une entreprise en réunion dans les bars à saké. Ce qui est nouveau c’est l’organisation ergonomique, sur le lieu de travail de la sortie boisson. Célébrer un Happy Hour au bureau, c’est transposer une activité de loisir dans l’espace professionnel. A New York, autre exemple dans le secteur des médias, Thrillist Media Group offre à ses employés de la bière pression après leur travail. Le fondateur de l’entreprise, Ben Lerer, dans un entretien à la télévision américaine affirme : « Mes employés sont des adultes. Je trouve bien qu’ils boivent une bière au boulot comme ça ils restent ici, ne quittent pas l’immeuble, ils travaillent plus et en même temps sont heureux ! ». Au journaliste qui lui demande ce qui se passerait si un employé avait un peu trop forcé sur la chope, Ben Lerer répond : «  Ah c’est simple, je lui demanderai simplement de rentrer à la maison ! »

Ce phénomène « boire au boulot » est apparu aux Etats-Unis depuis deux ans. Il a commencé à se propager aussi en Amérique latine, au Brésil et en Argentine. On l’a constaté de visu cet été dans une boîte innovante du Pérou. Sur la page en langue anglaise de l’entreprise de conservation des données Dropbox, on peut y lire qu’elle promeut des « vendredi whisky » à ses employés. Toutes ces pratiques visent à l’amélioration de la productivité ! C’est ce qu’on appelle les « nouvelles socialisations du travail ». Le Happy Hour en entreprise se passerait plutôt bien. Il y aurait moins de tensions entre collègues. De plus, les assurances de ces entreprises ont ajouté dans leurs clauses la prise en charge de tout incident qui se produirait lors de ces séances d’un nouveau genre. 

Le travailleur français, drogué aux antidépresseurs ou à la cafeïne au travail, après des heures de transport va-t-il se saouler au boulot ? Les Etats-Unis sont-ils vraiment un modèle pour l’Europe ?

12:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi soir, sur Méridien zéro...

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RBN Méridien zéro cliquez ici

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L'industrie culturelle et la fin d'un monde...

9782915830224_0.jpgJacques-Yves Rossignol

Le développement de l'industrie culturelle (tout ce qui diffuse n'importe quoi à n'importe qui pourvu que ce soit crétinisant et rentable : films, musiques) est nécessaire au capitalisme aux abois. Pour maintenir ses taux de profits en situation de crise chronique de surproduction et sous-consommation tout simplement

II n'est pas besoin d'être grand clerc pour percevoir que dans une société acquise à l'industrie culturelle, certaines facultés mentales ne pourront se développer comme ce fut le cas dans une société organique et spontanée. Dans l'enfer sonore du capitalisme culturel, des facultés mentales spécifiques ne se développeront pas. Par exemple, il y a des blagues que l'on ne comprendra plus et plus personne ne mourra de rire dans les bistrots de village.

L'exercice de certaines fonctions dans la cité, fonctions politiques notamment, mais aussi fonctions liées au droit, à la justice, supposait implicitement des hommes faits, matures, disposant de l'ensemble de leurs moyens mentaux.  

Des hommes capables d'user de leur raison et, au moins, de mettre en oeuvre les formes les plus élémentaires de la raison. Par exemple : distinguer, définir, comparer, ordonner, classer, comparer, hiérarchiser. Mais aussi nuancer, temporiser, moduler.

Il n'était pas besoin de porter cette affirmation à l'état explicite : un politique était évidemment un homme sachant user des formes élémentaires de la logique. Comme la plupart de ses concitoyens d'ailleurs, en particulier les mercières, les gardes champêtres, les anarchistes, les plombiers. Et même et surtout les idiots de village. Ce que j'ajoute là est vrai et n'est pas en contradiction avec le reste. Non, il y avait un fond commun de logique et de bon sens très largement partagé. Les gens simples était des malins auxquels "on ne le faisait pas". Le peuple était vivant.

Et puis le ciel bas des mentalités téléguidées par l'industrie culturelle est tombé sur le pays. Le peuple a du se taire. Des gens ont voulu avoir des mentalités tordues et compliquées, masochistes, nihilistes, tolérantes, culturelles, et pire encore : je n'ai pas retenu toutes ces horreurs !  Les enseignants ont fait connaître ces infamies jusqu'au au fin fond des campagnes et partout les jeunes, et les moins jeunes, ont voulu devenir des gens cultivés, et ils sont tous devenus des crétins culturels bavards et sentencieux directement téléguidés par le marché mondial.

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jeudi, 09 janvier 2014

Finalement, comme on pouvait s'y attendre, le Conseil d'Etat en bon supplétif du pouvoir liberticide interdit le spectacle de Dieudonné prévu ce soir à Nantes

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19:19 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une bonne idée de l'AGRIF :

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18:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Contre les diktats du pouvoir, la Justice nantaise donne raison à Dieudonné

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Leonarda : le retour médiatique... Ils vont nous emmerder encore longtemps !

7_couv_images.jpgJean Ansar

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Coucou, revoilà Leonarda, celle qui veut changer les lois françaises. Elle fait un retour en force dans les médias car, pour le reste, ça s’annonce tout de même plus difficile. Le droit administratif est en passe de priver la France de ces chances inestimables… ou en tout cas coûteuses.

Le rapporteur public conclut au rejet des requêtes de la famille de Leonarda Dibrani pour obtenir un titre de séjour en France. « L'émotion que cette affaire a provoquée est inversement proportionnelle à la complexité juridique effective » du dossier, a souligné le rapporteur public, Jérôme Charret. Le tribunal n'a « à juger que la légalité du refus de titre de séjour, portant obligation de quitter le territoire français », a souligné le magistrat, chargé de proposer au tribunal une solution à l'affaire. Encore un raciste français sans cœur.

Maître Brigitte Bertin, l'avocate de Leonarda réclamait l'annulation de la décision de la préfecture du Doubs qui obligeait la famille Dibrani à quitter le territoire français, ce qui avait été mis en œuvre le 9 octobre, déclenchant une polémique et une tempête politique. Expulsés au Kosovo, ils demandent aujourd'hui à revenir en France et réclament, devant la justice, un nouveau titre de séjour.

L'adolescente elle-même avait tenté de mettre la pression. « Si le recours échoue, je veux dire solennellement à la France qu'elle n'aura plus qu'à envoyer des fleurs au Kosovo. C'est simple, on va tous se tuer », menaçait-elle sur le site du Figaro. « Si Dieu existe, tout se passera bien. L'année dernière a été la plus difficile dans nos vies. J'espère que celle qui commence sera meilleure », avait ajouté Gemilja Dibrani, la mère de l'adolescente. Selon elle, la famille traverse de graves difficultés financières. « Nous avons fêté le Nouvel An en pleurs. On n'a plus que trois paquets de riz et nous sommes obligés d'emprunter de la nourriture dans des épiceries. L'aide qu'on reçoit, c'est des haricots et la farine. Je ne peux pas nourrir les plus petits avec », a-t-elle déploré.

Heureux comme de vrais faux kosovars en France, les Dribani déchantent. Lors de la nouvelle audience, leur avocate, Me Brigitte Bertin, a fait valoir que six enfants du couple sont nés en Italie et un en France, et non pas au Kosovo, où ils ont été renvoyés. De retour dans ce pays, Resat Dibrani avait déclaré avoir menti sur l'origine de sa famille afin d'être accueilli en France. Me Bertin a aussi mis en avant le « droit essentiel » de scolarisation des enfants. « Sur le territoire français, sur le plan de leur scolarisation, ils avaient acquis une stabilité conforme à leur intérêt et qu'ils ne retrouveront pas au Kosovo », souligne-t-elle. Mais pour Me Yves Claisse, avocat du préfet du Doubs, « il n'y a pas eu de réelle scolarisation des enfants. Entre la rentrée du 3 septembre et l'expulsion du 9 octobre 2013, Leonarda a manqué vingt et une demi-journées de cours ».

Adieu donc aux Dibrani… mais pas encore dans les médias…Et si un malheur arrivait, alors là, les quenelles de Dieudonné ne seraient plus pour Hollande et Valls  qu’un point de détail.

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Inverser la courbe de la quenelle : une priorité gouvernementale !

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Pour télécharger, cliquez ICI

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Mercredi soir, Manuel Valls n'était pas le bienvenu à Rennes

Source Ouest France cliquez ici

Manifs ce jeudi et ce vendredi dans toute la Bretagne cliquez là

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mercredi, 08 janvier 2014

Le jasmin s’est fané en Tunisie, en Egypte et en Lybie, mais les cactus s’épanouissent en Syrie, au Mali et à Bangui !

Photo 009.jpgPieter Kerstens

On se demande dans quels pays les djihadistes africains vont semer la pagaille et répandre la terreur en 2014. Au Niger ? Au Cameroun ? Au Tchad ? A Ouagadougou ?

Hollandouille -le marshmallow de l’Elysée- a lâché que Valls avait eu de la chance de revenir sain et sauf d’Algérie,mais  il n’en sera peut-être pas de même pour les soldats de l’armée française engagés en Afrique noire,  si la France s’obstine à vouloir jouer aux gendarmes dans des pays souverains et indépendants depuis plus de 50 ans. Ces conflits tribaux séculaires ne concernent d’aucune manière les Européens, en proie à de multiples difficultés dans leurs pays respectifs : immigration/colonisation, chômage endémique, crise économique et financière structurelle, déclin démographique, décadence morale ou déficit public abyssale, entre-autres.

Que diable allait-il faire dans cette galère ?

On comprend mal cette frénésie du gouvernement à vouloir intervenir militairement en Afrique ou en Syrie, après la lamentable guerre déclenchée en Lybie qui a conduit ce pays dans  une situation pire que sous l’ère Kadhafi !

Laurent Gbagbo avait fermé la base française de Port-Bouët près de l’aéroport d’Abidjan, en Côte d’Ivoire. Au Sénégal, la majorité des militaires basés à Dakar sont partis depuis longtemps. Au Gabon, il reste 900 militaires à Libreville. En République Centre Africaine, l’importante base de Bouar a été fermée dans les années 90’. A Djibouti l’armée française possède sa plus importante base à l’étranger, qui compte 3.000 hommes. Au Tchad, il n’y a plus de base permanente, mais Paris maintient un millier de soldats depuis 1986, déployés dans le cadre de l’opération Epervier.

Avec des budgets de défense en baisse constante depuis 40 ans, sans moyens aériens adéquats – déjà pour envoyer la Légion à Kolwezi il avait été nécessaire de faire appel aux « bricolages » - faute de matériel offensif performant et en manque de troupes aguerries, la grenouille France voudrait se faire aussi grosse que le bœuf yankee !

 « Armée française, va-t-en ! »

Alpha Bondy, star ivoirienne du rap, demandait en 1988 le départ  des « pioupious tricolores » du continent africain, dans sa chanson « Armée Française » :

« En Côte d’Ivoire, nous ne voulons plus de vous,

Au Sénégal, nous ne voulons plus de vous,

Au Gabon, nous ne voulons plus de vous,

En Centrafrique, à  Djibouti, à N’Djamena,

Nous ne voulons plus de vous. »

Refrain : « Armée Française, allez-vous en !

Allez-vous en de chez nous.

Nous ne voulons plus d’indépendance,

Sous haute surveillance. »

Pourquoi s’obstiner à imposer à tout prix le bonheur européen à des populations qui ont dilapidé l’héritage de la colonisation et à vouloir systématiquement décalquer un semblant de démocratie sur des pays où le tribalisme est enraciné depuis des siècles ?  Toutes ces anciennes possessions européennes avaient accédé à leur souveraineté dans le sang et la terreur, en laissant aux colons le choix entre la valise ou le cercueil ! Après deux générations, qu’ils prennent leurs responsabilités, arrêtent de geindre et de se plaindre et cessent de réclamer l’argent de nos impôts, parce que chez nous, en Europe, les caisses sont vides  et que charité bien ordonnée commence par soi-même. Nos pauvres passent avant les autres : c’est une question de bon-sens !

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Samedi, à Paris :

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mardi, 07 janvier 2014

Kosovo : les mahométans empêchent la célébration de la Nativité !

3149546353.2.jpgYves Darchicourt

Aujourd'hui 7 janvier, selon le calendrier Julien, les orthodoxes fêtent la Nativité.

Au Kosovo occupé, il n'est pas un seul Noël depuis plus de 10 ans qui puisse se dérouler sans incidents provoqués par les mahométans qui en cette période symbolique multiplient les provocations, les intimidations et les violences à l'encontre des serbes confinés dans leurs enclaves.

L'Islam, désormais en position dominante dans cette province arrachée à la Serbie grâce à une immigration de peuplement massive programmée par l'Albanie musulmane, y révèle son vrai visage. La "religion d'amour et de paix" y pratique allègrement l'intolérance  la plus fanatique à l'exemple de ce qui vient de se dérouler à Djakovica dans le sud du Kosovo où l'Eglise de l'Assomption a été cernée par une foule de mahométans hystériques qui au cri de "pas de Noël au Kosovo! pas de chrétiens à Djakovica" ont empêché le déroulement de l'Office en lapidant les participants et leur prêtre.

Commentant l'évènement, le ministre serbe Aleksandar Vulin a rappelé que le Kosovo de 2014 est le seul "Etat" européen figurant sur "l'Atlas de l'intolérance religieuse" et a conclu par cette question: "à quand la fin de l'apartheid au Kosovo-Metochié ?" Une question qui n'a guère ému nos "grands médias" il est vrai obnubilés par la quenelle et les spectacles politiquement incorrects de Dieudonné. Et puis se poser cette question, c'est en amener une autre: combien de nos provinces en voie d'islamisation vont-elles inéluctablement se couvrir de pogroms anti-chrétiens dans les années à venir ?

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lundi, 06 janvier 2014

2014 : année de la quenelle ?

anelka_téléchargement.jpgJean Ansar

Metamag

Ainsi les nazis sont de retour. Ils ont bien changé. Si Dieudonné est le fils du ventre encore fécond de la bête immonde, la race aryenne n’est décidément plus ce qu’elle était. Franchement je n’avais pas envie de voir un spectacle de Dieudonné mais maintenant si je peux, j’irai, avant qu’il ne soit trop tard. Ce que j'ai vu sur internet, par curiosité et besoin d’information, est parfois drôle, parfois mauvais.

Le fameux geste de la quenelle est bien sur un bras d’honneur vulgaire qui signifie « nique le système ». En faire un salut nazi, même inversé est proprement débile. Cela étant, la quenelle antisystème peut être antisioniste et même antisémite selon le lieu où elle est exécutée. Mais cet anti-sémitisme est pratiqué très majoritairement par des « nazillons »  issus de l’immigration et rares sont, dans le public, ceux qui se référent à Hitler, même s’il peut malheureusement y en avoir quelques uns.

Mais on comprend que le systéme s’inquiète. Il est en effet clairement dénoncé par les pratiquants de la quenelle comme soumis excessivement à une influence. Il renoue pour des jeunes issus de l’immigration avec une vision  assez classique de l’anti-sémitisme. Cette vision est confortée par la montée au créneau des institutions juives qui soutiennent globalement la volonté de Manuel Valls de censurer Dieudonné. Quelques voix discordantes se font entendre. On peut cependant être sûr que le scénario  de l’interdiction va renforcer ceux qui dénoncent une république soumise à une sorte de « police juive de la pensée » selon l’expression d Annie Kriegel.

C’est gros, très gros. Des militants juifs vont à chaque spectacle manifester et provoquer des incidents. Les préfets pourront donc objectivement en déduire qu’il y a risque de trouble à l’ordre public. Le spectacle sera donc annulé, mais c’est l’agressé qui sera puni, pas l’agresseur. Les spectateurs de Dieudonné, eux, n’attaquent personne.

Ce n’est pas nouveau. On refait à Dieudonné le coup d’Ordre Nouveau. Sauf que Dieudonné est aussi noir qu’Obama et Mandela et qu’il parle lui aussi au nom des reprouvés et des exclus… il n’invoque pas, il aurait du mal, la race supérieure. Il dénonce un complot contre la liberté d’expression dans notre démocratie verrouillée.

S’il est interdit légalement, grâce à des menaces de violences , il aura démontré que le complot dans son cas a été quelque chose de réel. Certains s’en inquiètent et mettent en garde contre des actions plus dangereuses  qu’efficaces auprès de l’opinion.

La quenelle a encore semble-t- il de beaux jours devant elle.

11:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il n’est pas noir : il est flou !

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Robin de la Roche

Boulevard Voltaire

Subir momentanément un jetlag (décalage horaire) présente quelques avantages amusants dont, par exemple, la découverte des programmes nocturnes de la télévision.

Ainsi, j’ai dégusté l’autre soir un délicieux reportage consacré à l’enquête de police sur le braquage d’une cliente du casino d’Enghien, fin 2012.

La femme fut prise à partie à l’intérieur du casino au moment de récupérer ses gains, puis elle fut suivie par quatre malfrats jusqu’à son domicile, où ils l’attaquèrent. Elle était enceinte de huit mois. Les faits sont passibles de 20 ans de réclusion.

L’équipe de reportage a donc suivi les différents progrès de l’enquête, y compris l’arrestation de quatre suspects. Et c’est ici que nous en arrivons au sujet qui nous occupe.

On sait que la législation française protège, en principe, l’anonymat des « suspects ». Pas encore condamnés, ils sont innocents. Mais on sait aussi que lorsque les suspects ont le malheur de « n’avoir pas d’origine » – expression des adolescents de banlieue lorsqu’ils veulent montrer du doigt la trop pâle blancheur de la peau de leurs voisins (entendez lorsqu’ils sont français de souche) –, leur nom est très rapidement donné en pâture à une presse trop heureuse de pouvoir faire mentir les statistiques ethniques des crimes et délits ; statistiques qui, d’ailleurs, n’existent pas…

Dans un reportage, la protection de l’anonymat des suspects est facile : floutez les yeux, et éventuellement brouillez la voix. Mais aujourd’hui, cela n’est plus suffisant pour masquer une réalité décidément peu arrangeante avec le dogme officiel.

Alors dans le reportage en question, c’est l’intégralité des visages qui fut donc floutée. Ce qui donne, lorsqu’on présente par exemple les fiches de trois des suspects, un magnifique écran entièrement flou ! N’y avait-il pas « vision » dans « télévision » ?

Seulement voilà… Le problème, c’est que vous pouvez flouter ce que vous voulez… à la télé, depuis les années 70, il reste la couleur. Ainsi, le « principal suspect », ou encore son père et son frère, vous avez beau les « photoshopper » tant que vous voulez, vous avez beau retoucher, « tweaker », modifier, mosaïquer, ils n’en deviendront pas vikings pour autant.

Idem pour un autre des suspects. On a beau masquer l’intégralité des visages, ça n’enlève pas le voile qui recouvre la tête d’une femme de la famille…

On a bien compris le message : le principal suspect – « un colosse », nous dit-on – n’est PAS noir : il est flou, c’est pas pareil. L’autre suspect n’est PAS issu d’une famille musulmane, dont tous les membres n’ont PAS l’accent maghrébin, puisqu’ils sont flous.

Il y a quelques décennies, que les suspects fussent noirs, verts, rouges, adorateurs du nombril ou fervents mahométans n’aurait eu aucune importance. Mais en voulant nous masquer cette récurrente réalité, les journalistes obtiennent exactement l’effet inverse de celui recherché : ils mettent l’emphase sur ce qu’ils veulent cacher.

Un détail à noter : les visages des policiers en civil, eux, ne furent jamais floutés. Sympa pour la suite de la carrière...

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Samedi 11 janvier : journée de la fierté parisienne

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dimanche, 05 janvier 2014

L’Hôtel de Ville pour NKM ? La station de métro suffira !

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La chronique de Philippe Randa

Boulevard Voltaire

Depuis qu’elle a été désignée dans une primaire interne de l’UMP comme tête de liste pour conquérir la mairie de Paris, pas un jour, semble-t-il, sans que Nathalie Kosciusko-Morizet n’ait à affronter dissidence au sein de sa mouvance – et non des moindres ! – ou quolibets de la part des médias.

Comme dirait l’ancien Président Chirac : « Les emmerdes, ça vole toujours en escadrille !»

L’ex-maire de Longjumeau veut faire le don de sa personne à la capitale par un évident excès d’ambition personnelle, soit ! Mais elle n’a rien fait pour calmer les esprits, ménager les susceptibilités et garantir les rentes de fonction : à peine investie, n’a-t-elle pas clamé haut et fort qu’elle tenait à imposer un « choix du renouvellement » ? Les actuels responsables de l’opposition de droite à Paris sont jugés par elle indésirables à cause de leurs « mauvaises et vieilles habitudes » (entretien au Parisien, le 20 décembre dernier).

Alors, après la grogne attendue des barons parisiens est venue celle, plus gênante, de Jean-Louis Borloo, très en colère que les intérêts de l’UDI n’aient pas été aussi défendus que le prévoyait leur accord d’union. C’est le 2 janvier de la nouvelle année que NKM a pu finaliser officiellement celui-ci avec l’UDI et le MoDem à Paris, à l’exception du XXe arrondissement, toutefois, qui « pose encore problème ».

À peine l’incendie centriste éteint, de nouvelles flambées se font entendre, cette fois côté Parti chrétien-démocrate (le groupuscule de Christine Boutin), qui s’estime injustement « écarté » au mépris des promesses reçues… et dans le XVIIIe arrondissement où l’ex-protégée de Philippe Séguin, la conseillère UMP Roxane Decorte, menace à son tour de monter une liste « 100 % terrain, avec des gens engagés dans le quartier » depuis qu’elle a appris son éviction d’une place éligible qui lui avait pourtant été promise.

Ils rejoignent ainsi Charles Beigbeder, « évincé du VIIIe arrondissement par un complot de barons », Rachida Dati – furieuse que NKM lui ait conseillé « de se consacrer à son arrondissement dans lequel elle mène une bataille difficile » –, qui lui conseille de « faire attention », ou encore l’ancien premier édile de Paris après Jacques Chirac – Jean Tiberi – pour qui la tête de liste UMP « fait n’importe quoi » (déclaration à Europe 1).

Mais le pire, jusqu’à présent, est peut-être la photo que vient de publier VSD, montrant Nathalie Kosciusko-Morizet fumant une cigarette en compagnie de SDF lors d’une maraude avec la Sécurité civile… Beaucoup considèrent d’ores et déjà que cette photo est prémonitoire de son sort une fois tombé le résultat du prochain scrutin municipal.

À défaut de loger à l’Hôtel de Ville, la station du Métropolitain du même nom pourrait peut-être faire l’affaire, en effet ; NKM ne déclarait-elle pas au magazine Elle en novembre dernier que les stations du Métropolitain « ont une dimension magique. Ce sont des lieux remarquables, des endroits d’ambiance qui font fantasmer les Parisiens et me font rêver moi. »

Et aux heures de pointe, pour avoir un orgasme, y a pas mieux, c’est sûr !

02:22 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hugues Bouchu, Président de la Ligue francilienne, le 8 décembre dernier à Paris

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