Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 25 juin 2013

EXCLUSIF. "Clément Méric voulait vraiment en découdre"

esteban.png

Le Point cliquez ici

Toutes les vérités ne sont pas forcément bonnes à dire. Et celle-ci déplaira sans doute à quelques bonnes consciences politiques qui ont parlé trop vite... Les vraies raisons de la bagarre qui a abouti jeudi 6 juin au soir à la mort de Clément Méric sont en train de s'éclaircir. Et elles sont fort différentes de la version complaisamment servie les jours suivant le drame. Dans ce dossier, les témoignages concordent. D'après le vigile qui a assisté à la montée en puissance de l'altercation, "Clément Méric voulait vraiment en découdre". "Il semblait vraiment haïr ces gens", affirme-t-il sur le procès-verbal de son audition.

Ce témoin-clé raconte qu'avant que les choses ne dégénèrent il est allé voir le groupe des "antifafs", alors clairement identifiés comme étant les auteurs des troubles, afin de leur demander de quitter les lieux. Les militants de Ras ont fait semblant d'obtempérer, mais se sont repliés au rez-de-chaussée à droite du magasin Fred Perry, dans lequel Alexandre, Samuel et Katia faisaient leurs courses. Se sentant menacés, ceux-ci ont téléphoné à Esteban, qui les a rejoints, suivi d'une cinquième personne arrivée au moment où débutait la bagarre.

Toujours selon des témoignages concordants, les skins quittent le magasin en sortant à gauche afin de ne pas croiser les militants d'extrême gauche. Malheureusement, la bouche de métro est située sur la droite. Et c'est près d'elle que les jeunes gens se croisent et que tout dégénère. Selon nos informations, un certain Samuel (un des skins mis en examen) reçoit le premier coup. Les mêmes témoignages affirment : "Les mecs d'extrême droite ont cherché à échapper à l'affrontement, n'ont fait que se défendre, puis ont répliqué."

Un mystérieux site avait publié leurs photos

Ce matin, RTL révèle que la police judiciaire parisienne a mis la main sur les premières images de la rixe. La vidéo, tournée par une caméra de surveillance de la RATP dans une rue située au niveau de la station Havre-Caumartin, serait accablante pour le militant d'extrême gauche. D'après la radio, on y verrait notamment Clément Méric se précipiter vers son meurtrier présumé, le skinhead Esteban Morillo, alors de dos, pour lui porter un coup. Ce dernier se serait alors retourné avant de frapper son agresseur en plein visage. Un coup donné qui a laissé au sol Clément Méric, inconscient. Avec un poing américain ? L'enquête ne l'a pas encore démontré.

Le Point.fr est en mesure de révéler que les enquêteurs disposent de captures d'écran de sites internet "anti-fachos", notamment Vigilance Végane Antifasciste, très proche de la mouvance de Clément Méric, sur lesquels apparaissent dès le 2 décembre 2012 les photos d'Esteban et sa compagne Katia, au-dessus desquels figure la mention "Besoin d'identification please". Méric et ses amis les avaient-ils reconnus ? Ce qui changerait considérablement la donne... À noter que ces photos étaient encore accessibles sur le site mardi 25 juin à 11 heures !

12:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

COUP DE THEATRE : UNE VIDEO ACCREDITE QUE LA PETITE FRAPPE MERIC ET SA BANDE ETAIENT BIEN LES AGRESSEURS !

Meric-masque.jpgLe Figaro cliquez ici

Une caméra de la RATP a filmé la bagarre entre militants antifascistes et skinheads. On y voit Clément Méric frapper dans le dos le principal suspect, Esteban M., ce dernier répliquant par un coup de poing fatal.f="http://ww691.smartadserver.com/call/pubjumpi/42296/287331/18317/M/[timestamp]/?" target="_blank"> <img src="http://ww691.smartadserver.com/call/pubi/42296/287331/18317/M/[timestamp]/?" border="0" alt="" /> </a>

PublicC'est une vidéo qui va peser lourd dans l'enquête sur la mort du militant antifasciste Clément Méric. On y découvre un Clément Méric agressif, qui porte, par derrière, un coup à la tête d'un militant d'extrême droite, Estéban Morillo, aux prises avec deux assaillants. Morillo se retourne et renvoie une droite pour se défendre, faisant tomber à terre le jeune Méric qui ne se relèvera plus.

Selon RTL, qui a révélé ces informations mardi, ces images exploitées par le juge d'instruction sont tirées des enregistrements effectués par une caméra de surveillance de la RATP situé côté rue, au niveau de la station Havre-Caumartin. Elles exclueraient toute hypothèse d'un lynchage de la victime, contrairement à de nombreux récits qui ont circulé après l'agression.

Méric se précipite dans le dos de Morillo

Les experts de la police technique et scientifique ont donc travaillé sur ce film pour en extraire les passages utiles pour la justice. Son contenu est révélé bien tard, trois semaines après les faits, survenus le 5 juin. Alors que la vidéo a été saisie très rapidement. «Sans doute fallait-il attendre que le pression retombe autour de cette affaire, avant de pouvoir dévoiler cet élément troublant», spécule un fonctionnaire de police parisien de haut rang.

En tout état de cause, la séquence exploitable ne dure qu'une poignée de secondes. On y voit d'abord une bagarre générale, selon RTL. Esteban Morillon, l'un des skinhead, qui dit avoir été agressé en premier ce jour-là par la bande à Méric, est à la lutte avec deux amis du jeune gauchiste. Clément Méric, chétif, se précipite dans le dos de Morillo pour lui asséner un coup à la tête. Le militant du groupuscule Troisième voie se retourne et frappe son agresseur d'un coup de poing en plein visage.

La définition de l'image n'est pas assez précise pour savoir si Morillo avait un coup de poing américain. Ce qu'il a toujours nié. On ne distingue pas bien non plus, dans le mouvement confus des corps, s'il a porté un second coup. Cette vidéo conforterait donc l'incrimination retenue par le juge d'instruction qui n'a jamais cru au meurtre, mais a retenu l'hypothèse d'une mort accidentelle.

Lire aussi F Desouche cliquez là

10:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 24 juin 2013

Jeudi soir au Local :

1002938_491627224244395_931215841_n.jpg

23:02 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La télé grecque fermée : ça ne choque que les journalistes...

television.jpg

Philippe Randa

Boulevard Voltaire cliquez là

Le gouvernement grec a donc mis à exécution ses annonces de restriction budgétaire imposée par l’Union européenne en s’attaquant à un des fleurons de la gabegie nationale : sa télévision publique. L’ERT a cessé d’être, le 11 juin à 23 heures, la police ayant neutralisé son principal émetteur. L’inimaginable est donc arrivé : on a osé s’en prendre au « quatrième pouvoir ».

L’indignation a aussitôt tonné dans l’ensemble des médias étrangers. Solidarité journalistique oblige… ou plutôt pétoche soudaine d’imaginer que, peut-être, plus tôt que tard, de telles mesures puissent être envisagées ailleurs qu’en Grèce…

C’est moins les motifs de cette décision qui ont choqué que la brutalité de la méthode. Mais était-il possible au gouvernement du Premier ministre conservateur grec, Antónis Samarás, d’agir autrement, alors que les négociations avec les syndicats d’ERT duraient depuis plus de deux ans et que ces derniers en étaient à 11 semaines de grève depuis janvier ?

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : avec près de quatre fois plus de personnel (3.000 personnes), la part d’audience cumulée des trois chaînes publiques était de 11 % contre 28 % pour la première chaîne privée. « C’est une décision absolument préoccupante, il ne faut pas que l’austérité [...] rime avec un abandon du pluralisme », a larmoyé notre ministre de la Culture Aurélie Filippetti, oubliant que des journalistes d’ERT continuent à diffuser via Internet et une chaîne de télévision proche du Parti communiste.

Mais il y a aussi les salaires… « Alors que le salaire de base en Grèce est de 500 euros par mois, les employés d’ERT percevaient au moins 2.000 euros par mois. Pourquoi ? », s’est interrogée la journaliste de la chaîne grecque privée Star Channel, Kona Dimopoulou. On comprend mieux que la manifestation de soutien aux journalistes d’ERT a mobilisé trois fois moins qu’en février dernier pour la première grève générale de l’année…

Bien évidemment, le gouvernement grec entend relancer, en septembre prochain, une radiotélévision publique, mais à un coût nettement inférieur en reprenant un tiers seulement des anciens salariés, au grand dam d’une caste d’autoproclamés intouchables…

21:21 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Villeneuve sur Lot : le Système se prend encore un coup de pied dans les urnes !

907785139.pngYves Darchicourt

Dans la circonscription législative de Villeneuve sur Lot, c'est finalement 55% des citoyens qui ont rejeté les deux candidats du Système, soit en s'abstenant (47,53%) soit en mettant dans l'urne un bulletin blanc ou nul (7,47%).

De fait, le représentant du front marinien n'engrange que 20,81% des votes des inscrits et celui du front ripoublicain 24,19%. Au delà des rodomontades traditionnelles du briscard qui a emporté la sinécure et des larmes d'émotion du néophyte battu de justesse, il n'y a quand même pas de quoi pavoiser ! D'autant que l'on peut légitimement penser que les citoyens qui n'ont pas voulu participer au Barnum finiront par former les gros bataillons des opposants déterminés à un Système définitivement discrédité et qu'ils manifesteront leur ras le bol de façon beaucoup plus radicale...et certainement beaucoup plus efficace ! En tous les cas espérons le !

Résultats cliquez ici

16:10 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une manif hier à Bruxelles organisée par NATION pour la libération d'Estéban

manif-devant-lambassade-de-France-23-06-2013-010_GF-300x225.jpg

En savoir plus cliquez là

12:43 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La bonne nouvelle du jour est dans Le Figaro : fiasco total du premier salon du mariage pour tous... C'est trop drôle !

PHO31c336bc-dc1b-11e2-b254-b89ea99a0186-493x178.jpg

Source le Figaro cliquez ici

Tristes débuts pour le Salon du mariage gay. Ils avaient prévu champagne, jus de fruits et des montagnes de petits fours… ils ont fini par «liquider tout ça» eux-mêmes. En deux jours, la soixantaine d'exposants présents au premier Salon du mariage pour tous a croisé à peine 150 visiteurs, dont… quelques « figurants », selon eux. « Remboursez !, Remboursez ! », criaient-ils dimanche en début d'après-midi, tout en commençant à démonter leurs stands.

Allées désertes, hôtesses désœuvrées, agents de sécurité apathiques, en fin de matinée, Le Figaro n'avait pu rencontrer que trois clients. « Les gays se lèvent tard… », avait hasardé l'attachée de presse. Mais quelques heures plus tard, « il n'y a toujours pas un chat, s'énerve le bijoutier du Comptoir La Fayette. En quarante ans de métier, je n'ai jamais vu ça. J'ai investi 30.000 euros et je n'ai vendu qu'une seule paire d'alliances… à des hétéros ! »

À côté, Johanna, qui vient de créer sa société organisatrice d'événements Eden Day, n'a signé aucun contrat. « C'est juste une catastrophe!, se désole la jeune femme. C'est mon premier salon, je comptais dessus pour démarrer. J'ai vu en tout et pour tout cinq personnes, et en parlant avec les autres, on a compris qu'on avait tous vu les cinq mêmes… » Pire, « aux questions qu'ils posaient, j'ai bien vu qu'ils n'étaient pas là pour se marier, raconte le bijoutier. On a tous remarqué que des gamins de 20 ans avaient passé toute la journée de samedi ici, pour faire semblant devant les journalistes ».

Pétition des exposants

Furieux de ce « fiasco total », le DJ Emmanuel Attiach, de 1dream1event, fait signer une pétition aux autres exposants: « On nous avait promis 5 000 à 7 000 personnes !, s'énervent-ils. Où sont les VIP, tels que Manuel Valls (le ministre de l'Intérieur est… au Qatar), Laurent Ruquier ou Antoine de Caunes ? Étant donné l'actualité autour du mariage gay, il est incroyable d'avoir eu si peu de visiteurs… »

Embarrassée, l'organisatrice du salon, Sandra Bibas, évoque « des soucis avec les homophobes ». Certes, une exposition photo contre l'homophobie, affichée à l'extérieur de la mairie du IIIe arrondissement, a été vandalisée deux fois en 48 heures. Mais personne n'a vu la « trentaine d'opposants au mariage gay », qui, selon Sandra Bibas, auraient tenté samedi de perturber le salon… pas même les responsables de la sécurité du Parc floral à Paris (XIIe), qui abritait l'événement.

Fallait-il organiser un salon spécifique pour les homosexuels ?, se demandent les exposants. « Je trouve ça dommage de les stigmatiser encore davantage en ouvrant un salon à part, indique Joffrey, réalisateur de vidéos. Peut-être qu'ils se sont sentis insultés ? » Après avoir fait « un repérage » pour son mariage prévu en juin 2014, Marie, 48 ans, explique qu'elle ne fait confiance qu'à une organisatrice d'événement lesbienne, « la seule qui me comprenne et qui ne soit pas là que pour le business ». Mais son espoir, « c'est de devenir transparente, considérée comme les autres, dit-elle, Ce jour-là, on pourra vraiment parler de mariage pour tous ».

12:13 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Clément Méric impliqué (et filmé ?) dans l’attaque violente d’un bar parisien

788832mericparisantifa.png

EXCLUSIF F. DESOUCHE cliquez là – D’après nos informations et divers témoignages qui pour l’instant souhaitent rester anonymes, Clément Méric faisait bien partie de la bande armée qui le soir du samedi 26 janvier 2013 a violemment pris d’assaut la Cantada, bar rock/métal du XIè arrondissement de Paris.

Le chanteur de 8.6 Crew ainsi qu’une cliente avaient été frappés avec des battes de base-ball. Clément Méric est décrit par des témoins comme étant l’un des plus agressifs de la bande : très excité, il se serait notamment distingué par le jet de divers projectiles (verres, bouteilles…) sur les clients du bar tout en les traitant de « fachos ». La police a dû intervenir à l’aide de gaz lacrymogène pour mettre en fuite les assaillants « antifas » de l’Action Antifasciste Paris-Banlieue.

Lire la suite cliquez ici

10:42 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 23 juin 2013

Un entretien entre Patrick Gofman et Jean-Gilles Malliarakis sur Lumière 101 au sujet du livre "Le trotskisme dégénéré"...

Trotskisme Gofman pub.jpg

Pour écouter cet entretien cliquez ici

Pour commander le livre cliquez là

22:48 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

2 poids 2 mesures : intolérable a-justice des robins taubiresques !

537416562_3.jpgYves Darchicourt

Nicolas, étudiant jamais condamné, se retrouve incarcéré à Fleury-Mérogis : il a été condamné à quatre mois d'emprisonnement dont deux avec sursis et 1000€ d'amende pour avoir résisté, seul, aux violences disproportionnées d'une bande de 5 à 6 "policiers" infiltrés au sein de la Manif'pour Tous. Les robins qui l'ont condamné doivent pourtant le savoir : depuis la loi pénitentiaire de 2009, pour une peine de prison ferme inférieure à 2 ans, le principe est l'aménagement de peine (bracelet électronique, travail d'intérêt général) et rares sont les condamnés qui partent directement en prison surtout pour des condamnations inférieures à 6 mois. La règle générale est d'ailleurs plutôt le laxisme le plus large avec la Taubira et son Syndicat du "murs des cons"

Quelques exemples relevés au cours des deux derniers mois par l'Institut pour la Justice : 8 mai 2013 Evreux : un individu a passé à tabac sa femme et sa fille, il prend 8 mois dont 2 ferme mais repart libre en attente d’un aménagement de peine ; 24 mai 2013 à Laon : un récidiviste est condamné à 8 mois ferme pour car-jacking : il sort libre du tribunal;

5 juin 2013 : un récidiviste prend 6 mois ferme pour incendie volontaire : il n’est pas écroué ; 11 juin 2013 : un homme coupable de mise en danger de la vie d’autrui et de violences sur des policiers à Trappes n'est condamné qu'à 8 mois de prison avec sursis;

12 juin 2013 : pour l’attaque du RER D et de ses passagers, aucune peine de prison ferme n’est prononcée pour les auteurs de vols avec violences et relaxe pour nombre de participants ; 12 juin 2013 encore: un pédophile coupable d'agression sexuelle sur une fillette de 11 ans dans les Ardennes s'en sort avec 18 mois avec sursis ; le 14 juin 2013, un homme qui terrorisait et violait régulièrement sa voisine a été condamné à 18 mois ferme, sans mandat de dépôt à l’audience etc..!

Des brutes caractérisées, des néfastes, des nuisibles même récidivistes bénéficient de la mansuétude de l'a-justice taubiresque qui en revanche s'acharne sur les citoyens honnêtes qui ont le front de protester contre des lois qu'ils ont le droit de considérer iniques et de résister à des racailles à qui on a conféré inconsidérément le statut de fonctionnaire de police. Cela ne doit pas durer et ne durera pas : Rassemblement Résistance Reconquête !

08:26 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Malgré la menace de dissolution : Troisième voie ne baisse pas la tête...

1016783_270424406431064_1734258327_n.jpg

Dans plus de 300 villes et communes de France, les militants de Troisième voie collent 25 000 affiches cette fin de semaine...

Ici à Rennes :

100_1484.JPG

 100_1479.JPG

08:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 22 juin 2013

21 juin 1973 - 21 juin 2013 : MEMES ENNEMIS, MEME COMBAT !

16:43 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Occupation allemande : RIVAROL et Le Pen définitivement condamnés

P1020998.JPGJérôme Bourbon

Directeur de Rivarol

Ce 19JUIN, juste au moment où nous nous apprêtions à boucler ce numéro, nous apprenons la décision de la cour de cassation dans l’affaire dite de l’occupation allemande en France. Le pourvoi que nous avions formé à la suite de notre condamnation en appel, le 16février 2012, a été rejeté. La sentence devient donc définitive et immédiatement exécutoire. Camille Galic, alors directrice de la publication de RIVAROL, est condamnée à 5000euros d’amende pour contestation de crimes contre l’humanité, votre serviteur à 2000 euros pour complicité de contestation et Jean-Marie Le Pen à trois mois de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende pour complicité de contestation de crimes contre l’humanité pour avoir tenu les propos suivants en conclusion d’une grande interview de deux pages qui avait paru dans notre hebdomadaire le 7janvier 2005 il y a donc près de dix ans et où il était surtout question de l’actualité nationale et internationale : « En France, du moins, l’occupation allemande n’a pas été particulièrement inhumaine, même s’il y eut des bavures, inévitables dans un pays de 550 000 kilomètres carrés […]. Il y a donc une insupportable chape de plomb qui pèse depuis des décennies sur tous ces sujets et qui, comme vous le dites, va en effet être réactivée cette année […]. Mais le plus insupportable à mes yeux, c’est l’injustice de la justice […]. Ce n’est pas seulement de l’Union européenne et du mondialisme que nous devons délivrer notre pays, c’est aussi des mensonges sur son histoire, mensonges protégés par des mesures d’exception. D’où notre volonté constante d’abroger toutes les lois liberticides, Pleven, Gayssot, Lellouche, Perben II. Car un pays et un peuple ne peuvent rester ou devenir libres s’ils n’ont pas le droit à la vérité dans tous les domaines. Et cela quoi qu’il en coûte. »

Nous devrons verser en tout près de 30 000 euros (200 000 francs !) car à ces amendes s’ajoutent d’exorbitants dommages et intérêts à verser au MRAP (5000 euros), à la Ligue des droits de l’homme (5000 euros également) et à la Fédération nationale des déportés, internés, résistants et patriotes (FNDIRP) à laquelle sont pareillement alloués 5000 euros. Et comme si cela ne suffisait pas nous devons insérer à nos frais une publication judiciaire dans Le Figaro à hauteur également de 5000 euros. C’est à une véritable mise à mort qu’ont voulu procéder les magistrats car ils savent parfaitement que RIVAROL est une modeste publication, certes très ancienne mais fort pauvre. Nous ne recevons en effet aucune aide de l’Etat, contrairement à notre confrère Présent qui bénéficie chaque année de subsides non négligeables en tant que quotidien à faibles ressources publicitaires. Nous ne vivons que de nos lecteurs.

En pleine affaire Méric, alors que les mouvements et organes de presse de droite nationale et radicale sont particulièrement dans le collimateur des pouvoirs publics et de Thémis, alors même que la police nous harcèle pour obtenir de nous le fichier des abonnés dans deux communes des Hauts-de-Seine à la suite de la découverte dans des boîtes aux lettres de Saint-Cloud et de Garches d’exemplaires de RIVAROL maculés de graffitis antisémites (sans doute l’œuvre de provocateurs !) — nous n’obtempérerons évidemment pas à cette demande illégitime—, la confirmation définitive de notre condamnation, même si elle ne constitue pas une énorme surprise, est incontestablement un coup dur. Nous ne nous faisions certes aucune illusion puisque déjà la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) que nous avions déposée à deux reprises, en 2010 et de nouveau en 2012, sur l’inconstitutionnalité de la loi Gayssot avait été rejetée d’un revers de la main par les juges de casse, mais ce n’est pas parce que l’on s’attend à une injustice qu’elle est acceptable.

Face aux sommes colossales que nous allons devoir verser si nous voulons que RIVAROL continue à vivre, nous en appelons sans fausse honte à votre générosité. Prévoyant cette issue judiciaire nous avons déjà pris des mesures d’économie mais qui risquent hélas de ne pas suffire sans l’aide de nos fidèles lecteurs. Que ceux qui le peuvent fassent des dons, même modestes, même symboliques, s’ils ne sont pas en mesure de faire davantage, à l’Association des Amis de RIVAROL. Et surtout que tous ceux qui achètent RIVAROL au numéro et qui peuvent s’abonner le fassent massivement. C’est la meilleure réponse que l’on peut apporter à la persécution judiciaire qui nous est infligée. Tenant compte de l’avis de la majorité des rivaroliens, à partir de la rentrée, début septembre, nous paraîtrons définitivement le jeudi, et non plus comme actuellement le vendredi. C’est une occasion de renouer avec une vieille tradition puisque l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne a paru tous les jeudis de sa création en janvier 1951 jusqu’en août 1982. C’est surtout un encouragement donné à nos lecteurs au numéro pour qu’ils s’abonnent. En avançant d’un jour la parution hebdomadaire de RIVAROL, nous permettrons aux lecteurs de recevoir le journal avant la fin de la semaine, même en cas de retard dans la distribution du courrier par La Poste. Avec une parution le vendredi, certains lecteurs, en province, se plaignaient de ne recevoir souvent le journal que le samedi voire le lundi. Cela ne devrait plus être le cas avec une parution anticipée de vingt-quatre heures. C’est donc l’occasion, en fonction de vos moyens, de souscrire des abonnements de deux ans (194 euros), d’un an (104 euros), de six mois (64 euros) ou de trois mois (36 euros) dans les jours et les semaines qui viennent. Nous savons pouvoir compter sur votre munificence. RIVAROL qui est un miracle permanent depuis plus de 62 ans et plus de trois mille semaines ne peut pas disparaître.

Abonnez-vous à Rivarol cliquez ici

16:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Racket des automobilistes : et maintenant, la boîte noire !

1488957149.jpgYves Darchicourt

Le Conseil National de la Sécurité Routière vient de préconiser l'installation de "boîtes noires" dans les véhicules automobiles. Le "mouchard" permettrait d'enregistrer un certains nombre de données d'accident sur les trente secondes précédant un impact, telles que la vitesse, le freinage ou le port de la ceinture de sécurité. Il paraît qu'en aucun cas il n'y aurait d'enregistrement visuel et/ou vocal attentatoire à la vie privée et que seule la police aura accès à l'enregistrement : une garantie bien évidemment invérifiable par l'automobiliste. D'autant que de petites merveilles de technologie mouchardesque sont à même d'enregistrer une foultitude de données concernant le véhicule lui-même, son environnement et sa "vie intérieure", c'est à dire les faits, gestes et paroles du conducteur et des passagers. Les taxis londoniens à qui on recommandait l'installation de ce boîtier - mais là dans le but bien compris de dissuasion contre les agressions - sont désormais obligés d'y recourir; la recommandation précède toujours de peu l'obligation : c'est ce qui risque de se passer pour tous les automobilistes français qui seront à terme tenus de faire installer le bidule.

Coût prévu à ce jour : autour de 150€ ! Sans compter que l'obligation sera bien évidemment assortie de la repression pour les contrevenants : un nouveau motif d'amende pour les automobilistes déjà bien servis en la matière. On se demande si le Conseil National de la Sécurité Routière ( à qui on pourrait faire remarquer que la voiture tue moins d'innocents que les maladies nosocomiales contractées dans les hôpitaux) n'est pas devenu une simple filiale du ministère des finances ! Taxes, radars, gilets fluos, éthylotests, boîte noire...le racket continue, croît et embellit !

14:16 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lancement du Collectif pour la défense des libertés publiques

CDLP-21-6-13-a.JPG

Eric Miné, Richard Roudier et Roland Hélie

Vendredi après-midi s'est tenue dans le salon d'un grand hôtel parisien une conférence de presse afin de lancer le Collectif  pour la défense des libertés publiques. Richard Roudier, Président du Réseau Identités, Roland Hélie directeur de Synthèse nationale, et l'écrivain Eric Miné ont présenté les objectifs du collectif. Renaud Camus, auteur du livre Le grand remplacement, et Christian Vanneste, ancien député du Pas-de-Calais, et l'essayiste Guillaume Faye, ainsi que de nombreuses personnalités dont la liste sera publiée prochainement, ont d'ores et déjà apporté leur soutien à cette initiative.

Voici le texte du document distribué aux journalistes présents :  

"Au moment où des opposants à la loi Taubira, tel le jeune Nicolas, sont interpelés par centaines, au moment où l'on emprisonne des jeunes nationalistes, tels Estéban et l'un de ses camarades, qui ont eu le courage de se défendre face à une agression gauchiste, au moment où on interdit des manifestations, telle que celle prévue samedi prochain pour demander la dissolution de l'Assemblée nationale à Paris, au moment où le Conseil de Paris cherche à faire fermer le bar associatif non-conformiste "Le Local", au moment où le gouvernement s'apprête à dissoudre des organisations patriotiques telles Troisième Voie ou les JNR, il est plus que temps de réagir. C’est pour cela que vient de se créer le Collectif pour la défense des libertés publiques.

Ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Méric », à savoir l’agression par un groupe gauchiste de jeunes patriotes rue Caumartin à Paris le 6 juin dernier, risque d’avoir comme conséquence la dissolution de plusieurs mouvements nationalistes (en l’occurrence Troisième Voie, les JNR et l’association qui gère le bar associatif non-conformiste Le Local). Il s’agit là d’un véritable scandale dans la mesure où aucune de ces organisations n’est directement, ou indirectement, impliquée dans cette affaire.

Les reproches faits à ces organisations relèvent plus de la fantaisie et du fantasme que d’autre chose. D’ailleurs, Serge Ayoub, au nom de Troisième Voie (rappelons que les JNR n’ont aucune existence administrative) vient de répondre points par points à chacune des accusations portées contre son mouvement.

En réalité, nous assistons à une dérive totalitaire du pouvoir qui cherche par n’importe quel moyen à sortir de la crise engendrée par son obstination à vouloir imposer la Loi Taubira sur la dénaturation du mariage. Cette « affaire Méric » est tombée à pic pour essayer de discréditer les forces d’opposition à sa politique désastreuse. Après avoir tenté plusieurs provocations et manipulations (démonstration des Femen lors du défilé antimondialiste du 12 mai à Paris, incidents violents volontairement provoqués au moment de la dispersion de la manif du 24 mai…) le pouvoir prétexte maintenant cette rixe qui a mal tourné pour tenter d’enrayer la contestation qui ne cesse de croitre. C’est inadmissible.

Le seul « hic » que le pouvoir n’avait pas prévu, c’est que les patriotes n’entendent pas se laisser réduire au silence sans réagir. Le Collectif pour la défense des libertés publiques qui vient de se créer à l’initiative de plusieurs personnalités et qui est animé par Richard Roudier, Président du Réseau identité et fondateur du CEPE (Comité d’entraide aux prisonniers européens) et Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, coordonne toutes les ripostes qui seront nécessaires pour mettre à bas les prétentions liberticides du pouvoir.

En voulant détruire les organisations patriotiques le gouvernement ne fait que les renforcer. En jetant en prison des jeunes qui ne font que se défendre ou manifester, le gouvernement est en train de monter contre le Système qu’il est censé servir une partie de plus en plus importante de la jeunesse de France…"

SAM_0553.JPG

Devant la presse nationale et européenne

13:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi soir Serge Ayoub et Roland Hélie étaient invités par Martial Bild sur Radio Courtoisie

11:31 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche soir, dans la rue...

tumblr_moqmvzOSrb1rnng97o1_500.png

10:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 21 juin 2013

Il faut remettre de l'ordre en France...

480913_255626437915891_1328901600_n.jpg

10:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Beauvais : mercredi 10 juillet...

Conference-10-07-13.jpg

10:09 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Conférence pour la défense des libertés publiques hier soir au Local...

conf local 20 06 2013.jpgMerci à tous d'être venus si nombreux jeudi soir à la conférence pour la défense des libertés publiques. Le Local était bondé et il y avait aussi du monde dans la rue de Javel.

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, et Richard Roudier, Président du Réseau Identités, ont décortiqué l'affaire Méric et la forfaiture gouvernementale qui en découle. Ils ont appelé à amplifier le vaste mouvement de solidarité qui s'est créé pour soutenir Estéban et ses camarades. Déjà, plus de 700 personnes ont répondu à l'appel du CEPE, seul organisme autorisé à ramasser des dons pour soutenir les prisonniers politiques impliqués dans cette affaire. Enfin le Collectif pour la défense des Libertés publiques mobilise plusieurs avocats pour soutenir les mouvements 3e Voie et JNR que le pouvoir espère dissoudre...  Mais 3e Voie n'a pas encore dit son dernier mot.

"Face à la répression du système, face aux mensonges du gouvernement, CE SOIR, NOUS SOMMES TOUS DE 3e VOIE !"  s'est exclamé Roland Hélie en guise de conclusion de cette belle réunion. 

03:32 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les amis cagoulés de Clément Méric

a069d384dea5a245079c87294bb310e9_S.jpgLionel Humbert

Minute cliquez ici

« C’est le premier meurtre de ce type en temps de paix depuis les années trente. » Dixit Jean-Christophe Cambadélis, secrétaire national du Parti socialiste et instigateur, depuis le début des années 1990, de la stratégie du « harcèlement démocratique » contre le Front national. Le rapport ? C’est que Clément Méric croyait certainement qu’il y a une menace fasciste en France. Ses potes « antifas » aussi. Et ceux-là sont prêts à tout. Comme Valls. Qui sait très bien que c’est faux.

La semaine dernière, à l’école communale de la rue Caumartin, un gamin a dit à un autre : « Viens te battre si t’es un homme. » Mais justement, lui n’était pas encore un homme. C’é­tait un gamin, à peine plus âgé que, à ses débuts, Alain Souchon, quand il avait dix ans : « Si tu m’crois pas hé / T’ar ta gueule à la récré. » Seulement l’autre, qui n’avait pas plus envie de se battre que ça, il l’a pris au mot. Et il lui a mis sur la gueule. Et le minot, qui n’avait pas dû voir Cent Mille Dollars au soleil, qui ne savait pas que « quand les types de 130 kg disent certaines choses, ceux de 60 kg les écoutent », il a pris un mé­chant coup et même plusieurs. Et il est mort.

Il n’y a eu ni assassinat, ni meurtre

La justice présentera les choses dans un autre style bien sûr, mais c’est à peu près comme cela que Clé­ment Méric est mort la semaine dernière rue Caumartin, en une ba­garre tragique qui aurait dû faire quel­ques lignes dans « Le Parisien » si, au soir du 5 juin, Alexis Corbière, secrétaire national du Parti de gau­che de Jean-Luc Mélenchon et conseiller de Paris, n’avait sonné l’a­lerte avec un communiqué : « L’horreur fasciste vient de tuer en plein Paris. » On remarquera que le mot de « fascisme » ayant déjà tellement servi qu’il ne fait plus peur, Alexis Corbière se doit de l’accompagner du mot « horreur » pour renforcer son propos.

On connaît la suite. Pendant près de vingt-quatre heures, on se serait cru dans l’après-Carpentras. Avec une mention toute particulière pour Manuel Valls qui, sur les pas d’A­lexis Corbière qui criait déjà « No pasaran » – en oubliant le très relatif succès que la formule avait eu en Es­pagne… –, déclarait, face caméra, sans rien savoir de ce qui s’était pas­sé : « Ce sont nos valeurs et le pacte républicain qui sont en cause. » Mazette. Il est temps, en effet, de graver la devise républicaine au fronton de toutes nos écoles communales… Et il parla d’« assassinat ».

Petit cours de droit. Un assassinat, c’est un « meurtre commis avec préméditation ». Un meurtre, c’est le fait de « donner volontairement la mort à autrui ». Dans le premier cas, on en­court la perpétuité ; dans le deuxiè­me, trente ans de placard. C’est simple à comprendre et c’est expliqué dans n’importe quel Code pé­nal en vente libre, y compris pour un ministre de l’Intérieur. Quand l’auteur des coups mortels a été ar­rêté, le parquet n’a même pas tenté de faire croire que ce fut un assassinat. Il a tenté le meurtre mais il n’a pas de quoi le prouver. Et, très logiquement, Esteban a été mis en examen pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Au matin de la déclaration du ministre engagé dans une guerre que ses parents avaient perdue, « L’Express » titrait, faisant référence à son ambition : « Valls prêt à tout ».

Un « d’une manière ou d’une autre » qui fait peur

Vraiment à tout. Y compris à justifier la violence quand elle est em­ployée pour de « bonnes raisons », des raisons… morales. Refusant le parallèle fait par certains, dont Jean-François Copé, le président de l’UMP, entre groupes radicaux de droite et de gauche, Manuel Valls a déclaré jeudi soir sur France 2 : « Ce sont des groupes d’extrême droite […] Il ne faut pas confondre ce discours avec ceux qui d’une manière ou d’une autre [souligné par nos soins, Ndlr] luttent contre le fascisme. »

Voilà des paroles que l’on aurait peut-être davantage attendues de la part d’Harlem Désir ou Jean-Christophe Cambadélis, qui n’ont certainement pas oublié que, dans les années 1980, les « redskins » ou « chasseurs de fafs » (dont les amis de Clément Méric se veulent héritiers) assuraient les basses œuvres pour leurs officines respectives, du service d’ordre au collage d’affi­ches…

De ces aînés, les militants ac­tuels ont surtout connu la reconver­sion musicale et commerciale à travers le groupe punk Brigada Flores Magon, qui n’hésitait pas à afficher sur ses pochettes de disques des couteaux à cran d’arrêt, des poings américains (qui ne seraient donc pas l’a­panage des « skins » de droite) ou des fusils à pompe ! Une imagerie tout ce qu’il y a de plus pacifique en somme, que l’on retrouve largement sur les affiches, t-shirts ou graffitis des désormais fameux « antifas » dont la France découvre peu à peu l’existence et le visage (si tant est qu’ils veuillent bien abaisser leurs foulards ou enlever leurs cagoules).

Quand le ministre de l’Intérieur lui-même semble légitimer l’emploi de méthodes musclées, à travers cet étonnant « d’une manière ou d’une autre », pour lutter contre les « fascistes », il y a de quoi s’inquiéter. Espérons que les « antifascis­tes » cagoulés ne se sentent pas dès lors renforcés dans leur impunité…

Et si on reparlait des Ultras du PSG ?

Car les « antifas » sont habitués à cette impunité, nourrie de compli­cités politiques ou médiatiques di­verses. Léo Kékéménis est la parfaite illustration de cet état d’esprit. Alors qu’il est l’une des pièces maitresses du groupe Action Antifasciste Paris-Banlieue, auquel Clément Méric appartenait, et a été au cœur de nombreux accrochages, Léo n’a pas hésité à faire la tournée des plateaux de télé pour dénoncer la violence et en appeler à la lutte ci­toyenne contre les vilains tout de noir vêtus.

Or, si l’on va sur internet visiter son blog de photos, on se rend comp­te à travers les clichés dans lesquels il a immortalisé ses camarades que ceux-ci n’ont rien d’enfants de chœur. Membre du groupe de rock Time Bombs, ancien membre des Tigris Mystic de la tribune Auteuil du Parc des Princes, Léo Kékéménis n’est pas un simple ami éploré mais bien un leader dans « l’action de rue » et « la chasse ».


Lors des émeutes du Trocadéro, de nombreux journalistes et respon­sables ont pointé du doigt les ultras, notamment issus de la tribune cosmopolite Auteuil (la rivale de la tribune patriote Boulogne).
Désigner des supporters excités était plus facile que de reconnaître qu’une nouvelle fois c’était la ra­caille qui venait piller et saccager… Mais mystérieusement, alors que le groupe que fréquentait Clément Méric est largement composé d’anciens d’Auteuil, personne n’a jugé cette fois-ci utile de le mentionner.

Pourtant, le mode de fonctionnement, l’esthétique (notamment ves­timentaire) ou le type d’atta­ques et d’affrontements de l’Action Antifasciste Paris-Banlieue relèvent de cet univers footballistique. Le groupe (ou plutôt la bande, le phénomène est davantage de cet or­dre) est composé pour moitié au moins d’éléments du « PUC » pour Paris United Colors, regroupement informel et bigarré – comme son nom l’indique – d’anciens ultras des différentes formations du virage Auteuil. Des anciens supporters dont certains ont été mêlés de près à l’assassinat de Yann Lorence (supporter patriote du kop de Boulogne, tué – lynché au sol précisément – lors d’une bagarre avec les ultras d’Auteuil), ce qui manifestement n’a pas suffi à les vacciner de la violence.
Après la dissolution de certains groupes ultras d’Auteuil puis leur re­jet par les instances du PSG, certains activistes d’extrême gauche ont vu une occasion inespérée de ré­cupérer des jeunes plus durs en leur faisant miroiter de nouvelles confrontations avec les ennemis de Boulogne.

Jean-Marc Rouillan : « Organisez-vous, préparez-vous »

Car l’Action Antifasciste Paris-Banlieue prône « l’action directe » et ne s’en cache pas. Sauf quand il s’agit de montrer le doux visage de sages étudiants en lutte contre la bê­te immonde dans les colonnes com­plices de « Libération » ou sur les plateaux tout aussi complices de Canal +. Jean-Marc Rouillan n’a d’ailleurs pas mis longtemps a ré­agir. Dès le 5 juin, l’ancien chef de l’organisation terroriste Action di­recte, que les socialistes ont eu la bon­ne idée de mettre en liberté con­ditionnelle, a tweeté : « La guerre est déclarée. » Puis : « Organisez-vous, préparez-vous. » Puis encore : « Non, je n’appelle ni au sang ni à la vengeance. Curieuse conception de la résistance qu’a la bourgeoisie fasciste. » Sur son profil Twitter, sur fond commu­nard, il est écrit : « La lutte armée est nécessaire à un moment du processus révolutionnaire. »

Les manifestations se voulant des hommages au jeune Méric au­ront permis une petite démonstration du potentiel démocratique des « antifas » à travers notamment des agressions de journalistes ou d’élus du PS. Fais du bien à Bertrand… Mais c’est bien entendu à l’extrême droite (et on aura compris que pour eux le concept recouvre un spectre politique très large !) que les cagoulés réservent leurs meilleurs coups, excusez le jeu de mots, com­me lorsque Clément Méric était allé manifester contre La Manif pour tous…

S’agissant des fameuses ventes privées de marques britanniques pri­sées par les deux camps ad­verses (les « antifas » se situant dans un troublant mimétisme face à leurs en­nemis jurés), celles-ci ont donné lieu l’an dernier à des attaques quasi quotidiennes contre des militants patriotes ou présumés tels ve­nus faire leurs emplettes. Les agresseurs d’extrême gauche traînaient en bande dans le quartier, à la re­cherche de proies isolées. Notons que ce « harcèlement démocratique » n’a pas manqué de faire des victi­mes innocentes, notamment une jeu­ne fille victime d’une confusion qui s’est vue ouvrir le crâne à coups de raquette de tennis…

Mais les attaques ne se limitent pas aux séances de shopping : plusieurs bars du XVe arrondissement ou du quartier Saint-Michel réputés accueillir une clientèle droitière ont fait l’objet de descentes, ainsi que des événements culturels ou po­litiques comme la traditionnelle mar­che aux flambeaux en hommage à Sainte-Geneviève ou encore un rassemblement contre la mainmise du Qatar organisé par les identitai­res. Toujours à la dispersion, toujours en surnombre ; ils ont retenu les leçons de la « guérilla ».

Reçu par Jean-Jacques Bourdin, Mélenchon évoquait au milieu de hurlements une horrible agression ayant été perpétrée par des milices fascistes le 1er mai dernier. Or une vidéo de ce qui se révèle être une bagarre est disponible sur internet. Qu’y voit-on ? Deux groupes de nom­bre égal se faisant face et s’affrontant violemment à travers plusieurs assauts, dans le style prisé par les hooligans. Et ce n’est pas pour rien, car au sein de ces deux ban­des politiques (très à droite et très à gauche vous l’aurez compris), les anciens agités du Parc des Princes – version Auteuil ou Boulogne selon la couleur politique ou la couleur tout court – forment le gros des troupes et en tout cas les plus belliqueux.

« Tout antifascisme n’était que du théâtre »

S’il est vrai que le groupe « antifa » finit par battre en retraite (bien que plusieurs de ses militants soient armés, ce qui ne semble pas être le cas en face), on est tout de même loin de la lâche agression de doux pacifistes que Mélenchon a ten­té de nous vendre.

On comprend la logique : si l’on gagne il s’agit d’une victoire prolétaire et populaire, si l’on perd il s’a­git d’une ignoble agression.

On aurait pu espérer que le dra­me du 5 juin marque un frein, ou au moins une pause, dans ces violences récurrentes. On ne semble pas en prendre le chemin. En plus de l’attitude pour le moins virulente constatée lors des différents rassemblements dédiés au jeune hom­me décédé, plusieurs attaques – d’in­tensités variées – ont été me­nées.

A Nantes, la librairie catholique Dobrée a été saccagée. A Lille, trois jeunes militants de l’UNI (proches aussi de Génération identitaire) ont été reconnus et attaqués par un grou­pe d’une trentaine de gauchis­tes revenant d’un hommage à Clément Méric. A Tours, 200 « antifas » se sont rassemblés devant le commerce de Pierre-Louis Mériguet, responsable du mouvement patriote local Vox Populi, aux cris de « Mé­riguet on va te tuer ! »

L’« antifascisme » a été réactivé, en France, sous couvert de faire bar­rage au FN, pour permettre aux socialistes de conserver le pouvoir. Ce n’était que du « théâtre ». L’aveu en a été fait en septembre 2007 par Lionel Jospin sur France Culture, dans l’émission d’Alain Finkielkraut : « Pendant toutes les années du mitterrandisme, nous n’avons jamais été face à une menace fasciste. Donc tout antifascisme n’était que du théâtre. Nous avons été face à un parti, le Front national, qui était un parti d’extrême droite, un parti populiste, aussi, à sa façon, mais nous n’avons jamais été dans une situation de menace fasciste et même pas face à un parti fasciste. »
La responsabilité de tous ceux qui se sont efforcés de faire avaler le con­traire, à des jeunes qui, souvent de bonne foi, y ont cru, est immense.

03:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

AIDEZ LE MOUVEMENT DE SOLIDARITE AVEC ESTEBAN !

esteban.png

L'affaire de la rixe mortelle de la rue Caumartin ayant entrainé le décès du militant "antifasciste" Clément Méric aurait dû rester dans la rubrique des faits divers. Elle a revêtue une tournure effroyablement politique condamnant par avance et avant la moindre enquête le principal mis en cause, Esteban.

Le ministre de l'Intérieur M. Valls perdant tout sang-froid, parlait même d'assassinat ! C'est dans ce contexte de déferlement de haine médiatique et politique qu'Esteban a été placé en détention provisoire en fin de semaine dernière.

Face à cette atteinte au droit et aux libertés de la défense, qui, sinon le CEPE, pouvait venir en aide à Esteban?

C'est donc en accord avec ses proches que nous avons décidé de prendre en charge la partie administrative du soutien à Esteban et d'assurer les collectes de fonds permettant à la fois le soutien juridique, mais également le soutien financier direct à Esteban, afin de lui permettre de survivre dignement en attente de son procès dans les geôles de la république.

Il a donc été décidé ce qui suit :

- le courrier pour Esteban sera à envoyer à CEPE - BP numéro 4-7187 30914 Nîmes cedex. Il sera filtré puis transmis à l'intéressé.

- les dons seront à adresser au CEPE à la même adresse (préciser "Pour Esteban" au dos du chèque). Vous avez également la possibilité de faire un don en ligne directement au lien ci-dessous, sur la page de soutien créee pour l'occasion.

Faites un don cliquez ici

- toute initiative en soutien à Esteban (collecte, concert, conférence, manif...) sera à faire approuver par le CEPE (comitecepe@gmail.com).

- la page de soutien officielle pour Esteban est consultable au lien suivant : cliquez là

Faites un don :

CEPE, Comité d'Entraide aux Prisonniers Européens
BP 4 - 7187
30914 Nîmes Cedex
comitecepe@gmail.com

03:00 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi, c'est le jour de Rivarol...

homepage_logo.jpg

3,50 €, chez votre marchand de journaux

02:54 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un entretien dans Rivarol avec Roland Hélie, co-fondateur du Collectif pour la défense des libertés publiques…

3126527616.5.jpg.png

NDLR : Entretien réalisé le 22 juin 2013, soit trois jours avant l'annonce de l'autodissolution de Troisième voie et des JNR, et publié dans Rivarol (n°3100 du 28 juin 2013)

Roland Hélie, vous êtes le directeur de la revue Synthèse nationale et vous faites partie des instigateurs du Collectif pour la défense des libertés publiques. Pouvez-vous nous exposer les raisons qui vous ont mené à lancer ce collectif ?

Tout est parti de ce qu’il est désormais convenu d’appeler « l’affaire Méric » et que, pour ma part, je préférerais que l’on appelle « l’affaire Estéban » car, une fois de plus, il s’agit de remettre les choses à leur place et de ne pas inverser les rôles. En effet, depuis le jeudi 6 juin dernier, un jeune nationaliste, Estéban, est en prison alors qu’il n’a fait que se défendre, et défendre sa petite amie, alors qu’ils étaient sauvagement agressés par une bande gauchiste, rue Caumartin, à Paris.

Certes, mais au cours de cette altercation, un gauchiste, Clément Méric, est mort…

Effectivement, l’un des agresseurs est décédé suite à cette altercation. Mais enfin, lorsque l’on attaque délibérément des personnes dans la rue, comme ce fut le cas ce jour-là de la part des gauchistes, on prend des risques, y compris celui de se prendre soi-même des coups, et parfois les coups peuvent êtres fatals. C’est sans doute regrettable, mais il en est ainsi.

C’est un peu comme lors de la manifestation contre la loi Taubira organisée par Civitas en novembre dernier. Un groupe de Femen est arrivé gaillardement, au pas cadencé, et a commencé à gazer des familles qui se rendaient à ce rassemblement. Celles-ci ont été éconduites comme il se devait par des jeunes gens présents qui n’ont écouté que leur sens du devoir. Ensuite, elles ont passé leur temps à geindre sur leur sort. Là aussi, il ne faudrait pas inverser les rôles. Lorsque l’on veut faire la guerre, il faut savoir en subir les conséquences.

Rappelez-nous les circonstances de ce que nous appellerons donc l’ « affaire Estéban ». Comment cela s’est-il déroulé ?

Estéban était venu avec quelques amis à une vente privée de vêtements d’une marque prisée, entre autres, par les jeunes nationalistes. Dans l’appartement où se déroulait cette vente, ils ont été pris à partie verbalement par Méric et sa bande qui étaient venus spécialement pour les provoquer. Pour s’en convaincre, il suffit de consulter la page « Facebook » de ces gens-là sur laquelle ils avaient publié, la veille, des photos représentant leurs cibles.

Les vigils de la vente ont alors évacué les gauchistes et ce n’est qu’une demi-heure plus tard que, persuadés que ceux-ci étaient repartis, Estéban et ses camarades sont sortis. C’est alors qu’ils furent agressés car les gauchistes étaient restés planqués à proximité. Il s’en suivit une courte bagarre au cours de laquelle Méric se serait pris quelques coups. Le reste c’est l’enquête qui le dira. Quoi qu’il en soit, et tous les témoins sont formels, les agresseurs étaient Méric et sa bande, et les agressés Estéban et ses amis. D’ailleurs, apprenant les conséquences dramatiques de l’altercation, ceux-ci se sont rendus d’eux-mêmes à la police. Or, aujourd’hui, trois semaines après les faits, Estéban et un autre militant sont encore en prison.

Effectivement cela est assez incroyable lorsque l’on se souvient de la version donnée par les media juste après les faits…

Et il y a plus incroyable encore. Dès le lendemain matin, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, parle d’un « assassinat » et dénonce une organisation, les Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), comme étant responsable de ces événements. M. Valls a une imagination débordante. Il jette à la vindicte des gens sans même savoir ce qu’il s’est vraiment passé. Les élucubrations de M. Valls sont du niveau de n’importe quel pochtron qui, le matin au comptoir d’un bistrot, commenterait les fait-divers relatés dans le journal local… C’est hallucinant car M. Valls est, rappelons-le, ministre de l’Intérieur. Et ce n’est pas fini. Deux jours plus tard, le samedi matin, c’est le Premier ministre qui en remettra une couche en annonçant qu’il entame la procédure en vue de la dissolution des JNR. Et la semaine suivante, il ira encore plus loin en demandant aussi la dissolution du mouvement Troisième voie (TV) dirigé par Serge Ayoub et dont les JNR sont, en fait, le service d’ordre. Et le Conseil de Paris en profite pour demander, pendant qu’on y est, la fermeture du bar associatif non-conformiste « Le Local » situé dans le XVe arrondissement et réputé proche des organisations visées. On est en plein délire.

Tout cela ne tient pas debout. D’autant que l’« assassinat » dont Valls et consorts nous ont rebattu les oreilles le jeudi matin a rapidement été requalifiée par le juge chargé de l’instruction en « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Les mots ont un sens.

Non seulement Estéban n’a agressé personne (il n’a fait que se défendre) ; non seulement il n’est pas membre des JNR ; non seulement les JNR, et a fortiori TV, ne sont en rien responsables de la mort de Méric ; mais le pouvoir s’obstine à vouloir dissoudre ces mouvements et maintient deux jeunes patriotes en prison. Si cela ne s’appelle pas une dérive totalitaire, dites-le moi.

C’est le moins que l’on puisse dire. Mais alors, pourquoi une telle obstination de la part du pouvoir ?

En réalité, depuis neuf mois, le gouvernement est confronté à une opposition grandissante qu’il a de plus en plus de mal à contenir. Cette opposition, qui se manifeste principalement dans la rue, dépasse le cadre habituel des partis classiques. En fait ceux-ci sont totalement débordés. L’obstination de Hollande à vouloir imposer la loi Taubira a engendré un véritable mouvement de fond dans le pays. Aujourd’hui, plus un ministre ne peut mettre le nez dehors, où que ce soit, sans se retrouver en face d’une cohorte de manifestants. Pour les tenants du pouvoir cette situation devient insupportable, cela d’autant plus que le mouvement est loin de retomber. Il faut donc qu’il trouve une porte de sortie. D’où la multiplication des provocations afin d’essayer de dissuader les manifestants à continuer leur combat.

Que voulez-vous dire ?

C’est simple, le pouvoir cherche à introduire la violence dans les manifs afin de les discréditer. Nous, les nationalistes, avons d’ailleurs été les premiers à subir cette stratégie hasardeuse.

Rappelez-vous, le dimanche 12 mai dernier, place des Pyramides à Paris, lors de l’hommage à Sainte Jeanne d’Arc. Au moment où arrivait le cortège unitaire (NDP-TV-France nationaliste-Europe identité… encadré par les JNR), précédé par celui du Renouveau français, quatre Femen, toujours elles, ont déployé du balcon d’un appartement propriété du ministère de la Culture une immense banderole écrite en anglais demandant la « sextermination for nazism ». Il s’agissait de provoquer la colère, légitime, des manifestants et que ceux-ci affrontent la police. Il n’en fut rien car, grâce au sang-froid du service d’ordre, les JNR, la manifestation, au grand dam des flics (17 « paniers à salades » ont été dénombrés dans les rues voisines), n’a pas dégénéré. Le pouvoir aurait été trop heureux de pouvoir imputer aux nationalistes des actes violents comparables à ceux qui, le lendemain, ont été le fait des bandes ethniques dans le quartier du Trocadéro, lors de la remise d’une coupe de football. Cela aurait pu légitimer l’interdiction des nombreuses manifestations contre la loi Taubira qui se sont déroulées en mai partout en France. Les JNR ne leur ont pas laissé cette joie.

Il en fut de même le 26 mai. Les actes de violence provoqués à l’issue de l’impressionnante manifestation qui a rassemblé un million de personnes n’ont pas eu l’effet escompté.

Les événements de la rue Caumartin sont donc tombés à pic. Et le pouvoir a voulu en faire un exemple.

Très vite pourtant, il nous a semblé que certains media ont douté de la version officielle de cette affaire. Comment cela s’est-il passé ?

Dès le lendemain matin, sentant le piège se refermer, une contre-offensive médiatique a été élaborée. Serge Ayoub a tout de suite pris contact avec les journalistes qu’il connaît afin de leur exposer la réalité des faits qui est aux antipodes des élucubrations de Manuel Valls et des habituels « consternés » qui se succédaient à l’écran pour dénoncer « la barbarie fasciste ». Ainsi, dès le début de l’après-midi , une autre interprétation des faits commença à circuler. En particulier grâce à BFM-TV qui fut, reconnaissons-le, la première chaine à faire preuve d’une certaine indépendance d’esprit. Dans les jours qui suivirent, Serge Ayoub, avec le franc parlé que nous lui connaissons, multiplia les interventions sur les plateaux et, petit à petit, la version officielle commença à être remise en cause.

De plus, à peine cinq heure après l’annonce de Ayrault de vouloir dissoudre les JNR, le samedi 8 juin, nous avons organisé une conférence de presse au Local qui a aussi eu un énorme écho (une vingtaine de télés, radios et journaux étaient présents). Le pouvoir ne s’attendait pas à une telle réaction de notre part. En fait, cette « affaire Méric » est en train de se transformer en, pardonnez-moi l’expression, une « affaire merdique » pour le pouvoir.

D’où son obstination à vouloir dissoudre TV et les JNR ?

Nous avons affaire à un gouvernement d’amateurs. Ils pensent qu’il suffit de ressortir la vielle recette de la diabolisation pour décourager leurs opposants. Cela ne marche plus. Ils accusent TV de diffuser des idées racistes ou antisémites, alors que jamais ce mouvement n’a été une seule fois inquiété, en trois ans d’existence, pour de telles choses. Or, vous le savez bien à Rivarol, les inquisiteurs patentés de la pensée unique sont vigilants, et âpres aux gains, dans ce domaine. Aussi, ils accusent les JNR d’être une milice paramilitaire… fadaises que tout cela. Les JNR ne sont que le service d’ordre, certes efficace, de TV. Aucun acte violent ne leur a été reproché depuis trois ans. Il serait peut-être temps d’arrêter de délirer. Pour sauver sa peau ce gouvernement est prêt à interdire tous ceux qui s’opposent à lui. On l’a déjà constaté à plusieurs reprises, notamment lorsqu’il a cherché, il y a quelques semaines à dissoudre le Printemps français.

D’où la création du Collectif pour la défense des libertés publiques ?

Face à cette véritable imposture, il nous a semblé nécessaire de rassembler les énergies. Dès le début de cette affaire, Synthèse nationale et la Nouvelle Droite populaire ont apporté leur soutien total à Estéban et à Troisième voie. Parallèlement le Réseau Identités, présidé par notre ami Richard Roudier, a adopté la même démarche. Le Comité d’entraide aux prisonniers européens (CEPE)* a été aussitôt réanimé et un formidable élan de solidarité s’est développé puisqu’en 10 jours plus de 700 personnes ont très généreusement répondu à son appel. Voilà pourquoi, afin de synchroniser nos actions, nous avons créé ce collectif auquel de nombreuses personnalités, tels les écrivains Renaud Camus, Guillaume Faye, Gilbert Sincyr, Eric Miné, Jean-Claude Rolinat, Patrick Gofman, Philippe Randa, des hommes politiques comme les anciens députés Christian Vanneste, Pierre Descaves, notre Cher Robert Spieler, le dynamique Secrétaire général du Parti de la France Thomas Joly et bien d’autres nous ont apporté leurs soutiens. Ce collectif a vocation à perdurer car je pense que, hélas, les manœuvres perfides du pouvoir n’ont pas fini de viser les nationalistes, comme le prouvent les scandaleuses procédures de dissolution de nos amis des Jeunesses nationalistes d’Alexandre Gabriac et de l’œuvre française d’Yvan Benedetti.

Alors, pour conclure, cette affaire n’aura pas eu les résultats escomptés pour le pouvoir ?

En fait, ceux qui se font appeler « les anti-fas » ne sont que des petits auxiliaires destinés à accomplir les basses œuvres du pouvoir contre la seule opposition déterminée à sa politique mondialiste, à savoir l’opposition nationaliste. En incitant quelques naïfs, comme Clément Méric, à s’exciter contre un hypothétique fascisme renaissant, il était prévisible que l’on en arrive à une telle situation. En menaçant de dissoudre Troisième voie et les JNR, le pouvoir n’aura réussi qu’à créer un véritable mouvement de solidarité en faveur de ces mouvements qui, dissous ou pas, sortiront renforcés de ces attaques. En jetant en prison Estéban, ou dernièrement le jeune veilleur Nicolas, il pousse une partie grandissante de la jeunesse vers la contestation globale du système. On est en pleine confusion. Le gouvernement se retrouve dans la position de l’arroseur arrosé.

Mais que voulez-vous, lorsque l’on a un Président de la République qui confond les Chinois et les Japonais, comme ce fut cas récemment à Tokyo, il ne faut pas s’étonner que le Premier ministre confonde les agresseurs et les agressés.

Pour vous contacter ou participer au Collectif ?

Il vous suffit d’écrire à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement).

* CEPE,B.P. n°4 – 7187, 30914 Nîmes Cedex

01:11 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 20 juin 2013

Comité pour la défense des libertés publiques :

imagesCAGOY06G.jpgAu moment où des opposants à la loi Taubira, tel le jeune Nicolas, sont interpelés par centaines, au moment où l'on emprisonne des jeunes nationalistes, tels Estéban et l'un de ses camarades, qui ont eu le courage de se défendre face à une agression gauchiste, au moment où on interdit des manifestations, telle que celle prévue samedi prochain pour demander la dissolution de l'Assemblée nationale à Paris, au moment où le Conseil de Paris cherche à faire fermer le bar associatif non-conformiste "Le Local", au moment où le gouvernement s'apprête à dissoudre des organisations patriotiques telles Troisième voie ou les JNR, il est plus que temps de réagir. C’est pour cela que vient de se créer le Comité pour la défense des Libertés publiques.

Une conférence se tiendra demain, vendredi 21 juin, à 15 h 00, à Paris. (Invitation sur demande synthesenationale@club-internet.fr)

En savoir + cliquez ici

14:08 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CE JEUDI SOIR, AU LOCAL :

conf local 20 06 2013.jpg

13:55 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lille : un cas ordinaire du racisme anti-blanc qui n'existe pas !

3604979387.jpgYves Darchicourt

L'affaire n'a pas débordé de la presse régionale et pour cause..! Le 14 juin dernier, un étudiant "souchien" est racketté par deux afro-français lesquels, déçus de ne pouvoir lui extorquer autant qu'ils l'espéraient, se défoulent sur le malheureux et mettent son logement à sac. Passé à tabac, le jeune blanc est notamment recouvert de produits de nettoyage au prétexte que "les blancs çà pue" comme lui lancent ses tortionnaires rigolards qui ont en outre recouvert les murs d'inscriptions racistes du style "black power revient" ou "nike les blancs". Emmené par une patrouille de police, la victime permet l'arrestation des deux racailles africaines. Passé en comparution immédiate lundi dernier Thierno Barry 20 ans déjà mis en cause dans une affaire d'agression ratée sur une jeune femme début juin a été condamné à 15 mois d'emprisonnement dont huit avec sursis et a été fort logiquement écroué, son comparse, mineur, devant être jugé séparément.

L'agression raciste anti-blanc est patente mais n'a pas été reconnue cmme telle par le Tribunal, le Parquet ayant simplement relevé qu'il aurait pu poursuivre sur la base d’une agression du fait de la race de la victime. Le mineur dit qu’ils avaient envie de dépouiller un blanc ». Il est vrai qu'un issu de colonisé ne peut pas être raciste puisqu'il en par définition victime obligée. La peine est bien légère (dans 3 mois au pire le nuisible est à l'air libre et va pouvoir commencer à chercher à se venger) au regard des condamnations infligées à des blancs reconnus coupables ne serait-ce que d'intentions racistes sur des allogènes. Personne évidemment n'a cherché à savoir si les deux zoulous étaient sympathisants d'un quelconque Cran (comité représentatif des associations noires) qu'il importerait de dissoudre au plus vite. Et puis on attend toujours la réaction indignée de la caste politicienne, des médias, des associations "anti-racistes", du syndicat de la magistrature, des francs-maçons, des lgbt, des femen, du front marinien et des évèques...Dans le même temps ou presque, un jeune français hostile aux lois sociétales de Pépère fait la une des médias en partant -pour l'exemple- pour deux mois en prison simplement pour s'être défendu contre un groupe de flics infiltrés qui le rouaient de coups, des encapuchonnés dont on sait bien désormais que le rôle était essentiellement de provoquer des violences pour justifier la répression gouvernementale programmée contre les citoyens qui ont le front de contester la Ripoublique.

Affaire emblèmatique de la justesse du combat de la Résistance contre les collabos du Système qui s'acharne à faire du gaulois une espèce soumise et en voie de disparition.

13:53 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Après Esteban et ses camarades : Nicolas !

Nicolas, jeune opposant à la loi Taubira, a été condamné à deux mois de prison ferme et 1 000 € d'amende pour "rébellion" ce que son avocat conteste, vidéo à l'appui. Le 16 juin 2013 lors d'une manifestation pacifique, il avait été chargé violemment, sans sommation d'usage par les forces de l'ordre puis interpellé dans un lieu privé sans qu'une infraction initiale ait été commise.

Deux autres chefs d'inculpation lui sont reprochés : "identité mensongère" car il a donné le nom de famille de sa mère, et refus de se livrer à un prélèvement ADN.

Il a immédiatement été écroué à la prison de Fleury-Mérogis.

 

09:58 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’accord de libre-échange USA-UE peut attendre

3501520105.jpgLe billet de Patrick Parment

L’accord de libre-échange Etats-Unis-Union européenne que veut nous faire ratifier Bruxelles, n’a rien d’urgent à un an des prochaines élections européennes qui verront le départ de cet ectoplasme de Manuel Barroso et accoucheront, on l’espère, d’autres rapports de force au sein de la future assemblée. En effet, la montée des partis dits « populistes » risque fort de venir perturber le champ des magouilles diverses et variées et donner des sueurs froides à tous les lobbies qui s’agitent dans ce cloaque.

Même Le Monde n’y va pas par quatre chemins vis-à-vis de ce sinistre personnage qu’est Barroso : « Sarkozyste sous la présidence de Nicolas Sarkozy, incapable, depuis, de la moindre initiative politique pour relancer l’Union, il a accompagné le déclin des institutions européennes. » On se saurait mieux dire.

Et si ce sinistre personnage fait le forcing sur cet accord, c’est bien parce qu’il est en train de se ménager un avenir dans le Barnum anglo-saxon, à l’OTAN ou aux Nations Unies.

Il est bien évident que sur le papier, cet accord impressionne puisque l’Amérique associée à l’Europe représentent la moitié du marché mondial. Un poids certain face au monde asiatique.

Reste qu’un tel accord, et en l’état actuel des choses, serait dangereux pour l’Europe car nous ne sommes pas en position de force face à la puissance dominante que sont encore les Etats-Unis. Et, on connaît suffisamment les moeurs américaines pour savoir qu’ils accommodent les traités à leur sauce, usant et abusant du protectionnisme quand cela les arrange. L’Europe est déjà un marché très ouvert, tellement ouvert d’ailleurs que l’on a pris la crise de plein fouet, crise qui, comme par hasard a pris naissance aux Etats-Unis et dont les plus féroces spéculateurs demeurent ces financiers américains à la Soros & C°. Qui continuent d’ailleurs de se goinfrer sur notre dos.

Par ailleurs, dans un domaine sensible comme l’agroalimentaire, Américains et Européens n’ont pas les mêmes mœurs et la même notion de la sécurité alimentaire. On mange déjà assez de saloperies comme ça grâce à la grande distribution et autres fabricants de bouf rapide, pour ne pas voir débarquer dans nos assiettes des poulets blanchis à l’eau de Javel.

Concernant l’exception culturelle, j’avoue que je reste dubitatif sur la notion elle-même, vu que nous sommes déjà envahis – colonisés ? - de toutes parts par la sous-culture américaine. Nos chanteurs de banlieue, à voix de fausset, surnagent comme ils peuvent, nos cinéastes produisent des films sans intérêt aucun – il est loin de temps des Tontons flingueurs – et l’exception culturelle française est battue en brèche chaque matin par l’idiovisuel, toutes chaînes confondues. Pas étonnant que Les Experts battent en audience un François Hollande coincé sur M6 à la même heure. La radio, je n’en parle même pas, on est dans le borborygme.

Avant de passer des accords, les Européens feraient mieux de commencer par faire le ménage chez eux. Régler ce petit problème, par exemple, d’une perfide Albion qui depuis Jeanne d’Arc ne veut pas que se constitue une puissance continentale. Hier encore, c’était pour défendre leurs intérêts, aujourd’hui, c’est pour défendre ceux des Américains. Sans compter que, quand on parle d’Europe, chacun tire la couverture à lui.

Enfin, il y a un autre obstacle majeur à cet accord de libre-échange, de taille celui-là : il exclut la Russie du champ des négociations. Et ceci est pour le moins inacceptable, parce qu’il met en péril notre avenir qui, comme chacun peut s’en rendre compte sur une carte, se situe plus à l’Est qu’à l’Ouest. Sans la prise en compte de la Russie, l’avenir de l’Europe est incertain. Les Américains l’ont bien compris. Je préfère Vladimir Poutine à Obama. Cela s’appelle faire preuve de réalisme, ce qui n’est pas le cas, semble-t-il, de nos libéraux de gauche comme de droite, de Hollande à Copé. Dans ce pays d’aveugles, les borgnes sont rois.

01:02 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi soir, 21 juin, sur Méridien zéro...

tumblr_monjzoiaic1rnng97o1_500.png

Méridien zéro RBN cliquez ici

00:53 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |