vendredi, 31 janvier 2014
Le dégonflé HAZIZA veut euthanasier Béatrice Bourges...
16:53 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
5 jours après le début de sa grève de la faim, Béatrice Bourges nous parle...
16:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Bloody Sunday : 30 janvier 1972
Pierre Vial
CE « dimanche sanglant » est un épisode tragique de l’histoire irlandaise — un parmi tant d’autres, mais qui illustre crûment la sauvagerie et l’hypocrisie anglaises.Tout a commencé par une manifestation,devant se dérouler dans le calme,organisée à Derry par l’Association pour les Droits Civiques d’Irlande du Nord, pour protester contre la politique de détention sans procès appliquée à des personnes soupçonnées de sympathie pour l’Ira (et baptisées “terroristes”, de ce fait, par les Anglais). Plus de quinze mille manifestants (hommes, femmes et enfants) s’ébranlèrent à partir du quartier de Creggan, pour se diriger vers celui du Bogside. Celui-ci était verrouillé par 26 barricades tenues par des soldats anglais, parmi lesquels des parachutistes,sur ordre du général Ford, commandant des forces armées stationnées à Derry. Au moment où manifestants et soldats anglais furent au contact, échange de jets de pierres et de bouteilles contre balles en caoutchouc, gaz lacrymogène et canon à eau. La routine, à Derry… Mais à 15h55 les paras anglais ouvrirent le feu à balles réelles. Deux manifestants, John Johnston (59 ans, il devait mourir de ses blessures) et Damian Donaghy (15 ans) s’écroulèrent. Puis des véhicules blindés (APC) s’ébranlèrent et ouvrirent le feu sur la foule qui fuyait. Jackie Duddy (17 ans) fut mortellement touché dans le dos. Alana Burke (18 ans) fut délibérément écrasée contre un mur par un APC. Margaret Deery (31 ans) fut touchée à la jambe et Patrick McDaid, qui aidait à la transporter à l’abri, fut blessé à son tour. Puis furent atteints Michael Bradley (22 ans), Mickey Bridge (25 ans), Patrick Campbell (51 ans) et Daniel McGowan (38 ans), qui tentait d’emmener Campbell en lieu sûr.
16:28 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 8 février : banquet pour le 80e anniversaires du 6 février 1934
16:27 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La gauche est en train de perdre le vote musulman qui l’a portée au pouvoir !
Eli Veugnol
Boulevard Voltaire cliquez ici
Voilà ce qu’il en coûte, de vouloir rééduquer les masses contre leur gré. Depuis lundi, Vincent Peillon s’ingénie à éteindre le feu qu’il a lui-même allumé : lettre aux directeurs d’école, convocation aux parents récalcitrants, et reprise en boucle que l’enseignement de la théorie du genre à l’école n’est qu’une « instrumentalisation qui vient de l’extrême droite négationniste ». À y regarder de plus près, cette « extrême droite » a un drôle de visage : celui de Farida Belghoul, ancienne de la Marche des Beurs, fondatrice d’une association aidant les jeunes de banlieues en difficulté scolaire. Évidemment, vous n’entendrez pas souvent son nom dans la bouche de l’establishment : exemplaire ou non, le Maghrébin est gommé dès lors qu’il ne correspond plus à la bien-pensance de gauche.
Pour ce qui est du « négationniste », cette arlésienne qui nous ramène aux heures les plus sombres de notre histoire, quelques exemples en vrac : le film Tomboy, primé à Berlin en 2011 par un Award LGBT, dans lequel une fillette de 10 ans se fait passer pour un garçon et partage une aventure amoureuse avec une autre, déjà visionné par des dizaines de milliers d’écoliers sans l’accord de leurs parents ; l’expérimentation de crèches neutres, soutenue par Najat Vallaud-Belkacem ; l’intervention dans nombre d’écoles de militants LGBT ; la promotion par Vincent Peillon de la Ligne Azur, site Internet destiné aux collégiens sur lequel on peut lire : « L’identité de genre, c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti. Par exemple, une femme au corps féminin se sentira femme. Pour d’autres, sexe génital et identité de genre ne correspondront pas. » Bref, je vous le demande : qui est le négationniste ?
Alors évidemment, nos duettistes Najat et Vincent ont un peu maquillé les choses. Exit le terme « genre », place à « l’égalité », une manœuvre utilisée naguère lors du mariage pour tous, afin d’endormir tout à fait les consciences qui somnolaient déjà. Car il faut bien comprendre que la loi Taubira est la mère de toutes ces innovations pédagogiques. Dès lors qu’on stipule une égalité pure et parfaite entre un couple formé d’un homme et d’une femme et un couple formé de deux femmes ou de deux hommes, pourquoi le cacher aux enfants ? Najat Belkacem est logique avec elle-même quand elle affirme qu’« il faut que dès le plus jeune âge, chacun comprenne qu’il existe plusieurs types d’orientation sexuelle ».
Logique, mais totalitaire. Plutôt que d’aider le pouième d’adolescents qui se pose la question de l’homosexualité, la ministre instille le doute chez tous les autres dès le plus jeune âge. Beau progrès ! Franchement, quand on voit les livres recommandés par le SNUipp, principal syndicat d’enseignants du primaire, on se pince pour y croire : Papa porte une robe, La nouvelle robe de Bill… J’en suggère un autre, tenez : Comment foutre le bordel là où tout allait bien ? Plutôt que d’inculquer de force aux enfants leur ABCD, Vincent et Najat feraient mieux de faire en sorte que tous maîtrisent leur alphabet. La vraie égalité, c’est celle qui permet à tous de savoir lire, écrire et compter. Pas de parvenir à la parité chez les maçons et les puéricultrices…
Il est en tout cas piquant de voir notre icône de l’égalitarisme indifférencié ― qui, vu comme elle se pomponne, n’a visiblement pas de problème avec sa féminité, merci pour elle ! ― se faire reprendre de volée par une femme de culture musulmane connaissant les écoles de quartier comme sa poche. Piquant et symptomatique. Ce qui se passe sous les yeux des médias lobotomisés est un tremblement de terre politique : la gauche est en train de perdre le vote musulman qui l’a portée au pouvoir.
Oui, Vincent et Najat ont scellé définitivement l’alliance des religions contre leur idéologie. Un peu lents au démarrage, les musulmans perçoivent toutes les implications de la loi Taubira pour leurs enfants. Après leur participation massive au Jour de colère, ils devraient rejoindre en nombre les bataillons de la Manif pour tous, et prendre toute leur part dans les débats sociétaux. Vincent Peillon « aurait pu avoir l’amabilité de nous consulter », a ainsi déclaré le Conseil français du culte musulman (CFCM) au sujet de l’ABCD de l’égalité. Ce même Vincent Peillon qui affirmait il y a quelques mois qu’« on ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique ». Alors avec les musulmans, pensez !
Le pouvoir a donc réussi à fâcher tout le monde. Y compris ses derniers soutiens : les médias ! Un article de la loi sur l’égalité femmes-hommes prévoit en effet une formation obligatoire à l’égalité des sexes dans la formation des journalistes. La conférence des écoles de journalisme (Sciences Po, CFJ, CUEJ, CELSA…) a dénoncé une « ingérence du pouvoir », et ironisé ainsi : « Il nous manque juste le nombre d’heures et les intervenants. » Ils commencent à comprendre.
07:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le premier JT de TV Libertés diffusé jeudi à 19 h 00 :
Désormais, chaque soir à 19 h 00
vous pourrez regarder le JT de TV Libertés cliquez ici
00:23 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 30 janvier 2014
Béatrice Bourges interpellée par les flics de Valls...
Jour de Colère cliquez ici
Ce jeudi 30 janvier à 12h30, une important intervention de police s’est déroulée dans le 7ème arrondissement de Paris, aux abords de l’Assemblée nationale. Après un bouclage de la place Edouard Hériot par un imposant dispositif policier, un car de la Préfecture de Police de Paris a été amené sur les lieux afin de procéder à des mises en garde à vue.
Objectif de cette opération : interpeller une femme assise sur un banc. Son nom : Béatrice Bourges. Son crime : avoir entamé depuis 5 jours un jeûne complet pour enjoindre la représentation nationale d’assumer ses responsabilités face à la crise politique que traverse notre pays. L’enjeu : permettre la mise en oeuvre de la procédure de destitution du Président de la République pour manquement à l’exercice de ses fonctions, selon les termes de l’article 68 de la Constitution. Cette procédure est en effet aujourd’hui bloquée par une sorte de pacte mafieux entre les parlementaires et le pouvoir, qui prétendent que l’article 68 de la Constitution est inapplicable.
Pour faire taire Béatrice Bourges, le gouvernement a décidé d’employer les grands moyens. Interpellée onze fois dans la seule journée de lundi, alors qu’elle a été rejointe dans son jeûne par une autre femme, elle a également subi des pressions psychologiques et physiques. La police, en particulier, a cherché à la priver de sommeil la nuit, qu’elle passe à proximité du Mur de la Paix sur le Champs de Mars, avant de rejoindre la place Edouard Hériot la journée.
Sur cette place, d’innombrable atteintes à sa liberté de mouvement ont pu être constatées par des supporteurs venus la saluer, eux-mêmes victimes des tracasseries de la police.
Mardi, la police est intervenue une première fois pour l’interpeller sur ordre du Ministre de l’Intérieur, qui se rendait à l’Assemblée pour les questions orales au gouvernement. Le député Guillaume Larrivé a demandé, lors de cette séance, la démission du gouvernement.
Jeudi 30 janvier, Béatrice Bourges a de nouveau été interpellée malgré son état de faiblesse intense. Ne voulant pas provoquer, par sa présence dans la rue, un trouble à l’ordre public, elle a résolu de se réfugier temporairement dans un établissement proche. Un policier lui a barré la route, et elle a dû s’asseoir par terre à ses pieds. Des proches se sont alors interposés. Finalement, Béatrice Bourges a été autorisée à subir un examen médical, ce qui lui a évité une arrestation sans motif. Une de ses proches, qui gardait ses effets personnels, a été menacée d’arrestation par une demie-douzaine de policiers en tenues de maintien de l’ordre, qui l’ont finalement laissée partir.
Jour de Colère rappelle que la liberté d’aller et venir est garantie par l’article 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme qui figure au préambule de la Constitution de la Ve République. Jour de Colère condamne avec la plus extrême fermeté les abus flagrants auxquels se livrent des policiers sommés d’obéir à des ordres illégaux par une hiérarchie complice du pouvoir politique. A l’heure où l’opinion découvre que plus d’un millier de jeunes français s’initient au jihad en Syrie, la police du gouvernement Ayrault traite en terroristes deux femmes qui poursuivent un jeûne de protestation pacifique et non violent.
Jour de Colère demande qu’il soit mis un terme immédiat à ces agissements, qui ont pour objectif avoué d’empêcher Béatrice Bourges de diffuser son message auprès des députés. Malgré ces intimidations, plusieurs parlementaires sont cependant venus la saluer depuis mardi.
19:41 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Belgique : une étude publiée sur les mouvements nationaux et nationalistes en Wallonie
Bien souvent, les Français s'intéressent à la situation politique en Belgique. Chez nos voisins, compte tenu de la division du pays, les choses ne sont pas toujours très simples à première vue. Surtout dans la partie francophone. Si en Flandre le Vlaams belang occupe parfaitement le terrain, en Wallonie plusieurs mouvements tentent de se développer. Une étude intéressante vient d'être publiée. Nous vous la proposons ici cliquez là.
19:12 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tribune libre : 2014 année de la quenelle ? 2014 année DIEUDONNÉ ? … pendant que des voleurs (et des violeurs) sont en liberté et paradent à la tête de l’Etat.
Vu de France cliquez ici
Telles pourraient être les questions qui me viennent à l’esprit au cours de mes réflexions intellectuelles… Mais avant de répondre, je voudrais néanmoins rappeler quelques faits.
Il est un temps, que les moins de 20 ans ne peuvent connaître, où DIEUDONNÉ brûlait les planches des plateaux de télévision en compagnie d’Elie SEMOUN, grand catholique devant l’éternel comme chacun sait. Dans des jeux de rôles qui ne provoquaient en moi aucun rire, les deux camarades, les deux amis, se moquaient très souvent (et pas seulement) joyeusement de la France, de ses valeurs, de vous, de moi. Loin d’apporter un souffle nouveau dans le paysage audiovisuel français, les deux compères se complaisaient dans la moquerie anti-française. Oui, DIEUDONNÉ cracha sur la France et tout cela je ne l’ai point oublié. En revanche certains oublient, celles et ceux qui prônent une démarche de réconciliation, que DIEUDONNÉ fut l’un des organisateurs d’une « marche des peuples noirs de France » en l’an 2000. Tel les pyromanes qui mettent les feux aux forêts, il essaie d’éteindre l’incendie auquel il contribua…
18:27 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ces parents qui boycottent la théorie du genre à l’école…
Gabrielle Cluzel
Boulevard Voltaire cliquez ici
« Théorie du genre : des élèves absents du fait d’une étrange rumeur », titrait mardi Le Figaro. Le phénomène toucherait les quatre coins de la France. Le 24 janvier, 86 élèves turcs, gitans et maghrébins sur 240 étaient ainsi absents de certaine école strasbourgeoise de zone prioritaire. La rumeur viendrait de Farida Belghoul, personnage haut en couleur et initiatrice en son temps de la Marche des beurs, qui a fait de la théorie du genre à l’école son cheval de bataille. Depuis le début de l’année, elle appelle les parents à montrer leur désaccord par un boycott de l’école une fois par mois.
Au gouvernement, dans les rectorats, chez les syndicats de professeurs, on ouvre de grands yeux indignés : Quooooiiii ? Mais quelle « étrange rumeur » ! Najat Belkacem affirme sans ciller que la théorie du genre n’existe pas, Vincent Peillon soutient, lui, qu’il la refuse (penser, à l’avenir, à accorder ses violons : elle n’existe pas ou on la refuse ?), et Anne-Marie Haller, secrétaire départementale de l’UNSA dans le Bas-Rhin, remarque quant à elle que « cette campagne a touché un public crédule et peu éduqué ». Ben merci pour lui, ça lui ira droit au cœur. Il faut le savoir, les Turcs, les Gitans, les Maghrébins deviennent « un public crédule et peu éduqué » dès lors qu’ils ne sont plus LA chose des socialistes et qu’ils ne gobent plus leur bonne parole.
Puis on sort la grosse artillerie : Vincent Peillon a demandé aux responsables d’établissement de convoquer les parents boycotteurs, parce que l’absentéisme à l’école, on veut bien le tolérer s’il est le fruit de la négligence, de l’indifférence ou du laxisme des parents, mais certainement pas de leur vigilance en matière d’éducation. On répand sur toutes les ondes que Farida Belghoul est une « proche » d’Alain Soral, désherbant très efficace qui évite en général toute repousse. Enfin, on explique à l’Assemblée, comme l’a fait Vincent Peillon, que cette rumeur vient de « ceux qui veulent semer la division et la haine dans les écoles », quand on ne fait que « promouvoir les valeurs de la République et l’égalité entre les hommes et les femmes », par ce dispositif « ABCD de l’égalité » mis en place dans plusieurs écoles depuis la rentrée. Le saint homme. Qui oublie, hélas, un détail : Internet. Cet outil, qui archive, conserve et permet de retrouver très vite tout document et rend le mensonge moins commode. C’est agaçant, je le conçois.
Cette « étrange rumeur » n’est pas tombée de la planète Mars, ni sortie du cerveau diabolique d’un clone d’Alain Soral. En août 2011, Najat Belkacem répondait à 20 Minutes qui lui demandait en quoi la « théorie du genre » pouvait aider à changer la société…
La théorie du genre, qui explique “l’identité sexuelle” des individus autant par le contexte socio-culturel que par la biologie, a pour vertu d’aborder la question des inadmissibles inégalités persistantes entre les hommes et les femmes ou encore de l’homosexualité, et de faire œuvre de pédagogie sur ces sujets.
Aujourd’hui, elle veut donc sans doute dire que la théorie du genre n’existe « plus » ? Plus en l’état, disons, depuis que l’on a pensé, eu égard aux remous provoqués par le mariage gay, qu’il valait mieux y aller mollo ? Step by step. D’abord, l’ABCD de l’égalité, puis après, on verra ?
Et quand, dans le rapport du Syndicat de profs SNUipp, commandé par Vincent Peillon et remis en mai dernier, intitulé Éduquer contre l’homophobie dès l’école primaire, on trouve, dans la bibliographie pour enfants, Mademoiselle Zazie a-t-elle un zizi ?, Mehdi met du rouge à lèvres ou encore, dans le chapitre « Chausser les lunettes du genre », Papa porte une robe…, on peut se demander, sans être exagérément paranoïaque, si l’étude du port de la robe par les petits garçons au XIXe prévue par l’« ABCD de l’égalité » est tout à fait innocente, et si l’enjeu de tout cela se borne au louable partage des tâches ménagères ou à la légitime accession des femmes au monde du travail…
15:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
BEATRICE BOURGES POURSUIT SA GREVE DE LA FAIM
Michel Dantan
Le nouveau NH cliquez ici
Expulsée du Mur de la Paix où elle avait entamé une grève de la faim pour demander la destitution du Président Hollande, Béatrice Bourges la porte parole du Printemps Français se trouvait ce matin Place Edouard Herriot derrière l’Assemblée Nationale. Assise sur un banc aux côtés d’une autre femme venue lui apporter son soutien et partager son « jeune spirituel », malgré le froid et la pluie qui ce matin encore s’étaient donnés rendez-vous à Paris, Béatrice Bourges ne semblait avoir rien perdu de sa détermination. Bien décidée à poursuivre son combat malgré le peu d’intérêt que les médias semblent jusqu’à présent lui avoir réservé, Béatrice Bourges devrait ce mercredi s’en expliquer aujourd’hui avec deux parlementaires, dont la présence à ses côtés parviendront peut-être à ébrécher le mur de dénigrement, sinon de silence autour de l’action courageuse et exemplaire de la porte parole du printemps Français.
NDLR : hier après-midi, notre ami Robert Spieler a rendu visite à Béatrice Bourges.
09:18 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LANCEMENT CE SOIR A 19 H DE LA PREMIERE EMISSION DE TV LIBERTE !
Depuis plusieurs années l'idée germait. Depuis plusieurs mois une petite équipe autour de Philippe Milliau et de Martial Bild avait entrepris de la réaliser. Ce soir, à partir de 19 h 00, TV Liberté vous proposera son premier journal télévisé. Dans les semaines qui viennent, TV Liberté étoffera ses programmes...
TV Libertés cliquez ici
09:06 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
07:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Avez-vous lu le n°2 d'"Année zéro"...
00:18 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 29 janvier 2014
Dimanche prochain, c'est le tour à La Manif pour tous...
23:26 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Bruno Mégret revient sur la scission de 1998 au FN...
23:02 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Il était une fois la révolution !
Gérard Pince
Notre Jour de colère a été un succès si l’on en juge par le tombereau d’injures déversé par les ennemis de la France. Nous les faisons trembler parce qu’ils réalisent que le processus ira crescendo et qu’il débouchera sur la chute de leur régime mortifère. Ils savent que la grande punition approche et que nous serons impitoyables.
Cette cinquième république née d’un putsch militaire présente tous les stigmates d’un système à bout de souffle. Népotisme avec ces dirigeants qui se succèdent de père en fils dans les meilleures prébendes comme au temps de la féodalité. Corruption avec les scandaleuses commissions versées à des hommes politiques au titre de ventes d’armes. Crimes étatiques avec l’ignoble abandon des harkis et les complicités nauséabondes des grandes consciences de gauche à l’égard des génocidaires rwandais. Incompétence avec la montée incessante du chômage, la désindustrialisation et la ruine des finances publiques. Folie furieuse avec une justice qui préfère les délinquants aux victimes et une éducation qui transforme les garçons en fillettes. Haute trahison enfin et surtout avec la monstrueuse substitution de notre peuple et la perspective d’une France en majorité musulmane avant 2050 !
Les médias nous reprochent de ne pas avoir de propositions concrètes mais la première phase d’une révolution consiste toujours à chasser le régime existant. En 1789, les sans-culottes ne cherchaient qu'à abolir les privilèges et les réformes constructives sont arrivées par la suite. Il en sera de même cette fois-ci et il suffit de se reporter à nos textes pour connaître les grands axes de la politique de redressement. En premier lieu, sachant que toutes les crises que nous subissons (comptes publics, logement, travail, éducation, sécurité) résultent de l’invasion, nous interdirons toute immigration en provenance des pays extérieurs à l’Union européenne. La suppression des prestations versées aux étrangers, le renvoi de ceux qui sont au chômage, l'abolition de la double nationalité, la déchéance de citoyenneté en cas de peines délictuelles ou criminelles, déboucheront sur un reflux salvateur.
Citons aussi la dissolution des associations chargées de la police des idées, la confiscation des médias coupables de collaboration, l’annulation de toutes les lois portant atteinte à la liberté d’expression et le rejet des textes contre nature comme la théorie du genre. Bien d’autres aspects plus techniques sont encore en gestation comme la privatisation de la protection sociale et de l’éducation, le démantèlement du Code du travail, la justice fiscale ou la réforme de la construction européenne, etc.
Pour appliquer cette politique le nouveau pouvoir s’appuiera sur le referendum d’initiative populaire à l’image de la Suisse qui sera notre modèle et sur une garde nationale qui enrôlera tous les chômeurs français. Des millions de citoyens retrouveront ainsi un revenu et surtout leur dignité.
Dans l’immédiat, soutenons la courageuse Béatrice Bourges dans son combat pour la destitution de Hollande. Ensuite viendront d’autres journées révolutionnaires avec des cahiers de doléances, puis des États généraux pour se substituer à un parlement impotent. Enfin, ce processus débouchera sur un gouvernement provisoire qui convoquera une Assemblée constituante.
Français ! En avant ! Reprenons en main notre destin trop longtemps détourné par des incapables, des voyous et des traîtres.
22:53 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
“JE VOUS AI COMPRIS!”… Charles De Gaulle le 6 juin 1958 au Forum d’Alger.
Pieter Kerstens
Mais que le vice-président du Front National puisse déclarer que « nous sommes aujourd’hui un parti clairement gaulliste » relève de la provocation ou alors de l’amnésie. C’est de toute évidence un pied-de-nez aux millions d’électeurs qui ont voté pour le FN depuis des décennies.
L’Histoire réelle a fait de Charles De Gaulle un déserteur condamné par le tribunal militaire de Riom. C’est lui qui a permis au Parti Communiste Français d’atteindre son maximum de nuisance et à Jacques Duclos d’obtenir 21,2% lors de l’élection présidentielle du 01/06/1969, derrière G.Pompidou et A.Poher. C’est encore De Gaulle qui a instauré le Cour de Sûreté de l’Etat. Et c’est lui qui a été le fossoyeur de l’Algérie Française alors que l’armée était victorieuse sur le terrain. C’est toujours De Gaulle qui a refusé le plan de paix offert par Si Mohammed, Si Salah et le commandant Lakhdar, avec le ralliement de la Wilaya 4 (Algérois), de la Wilaya 3 (Kabylie), de la Wilaya 6 (Sahara) et une partie de la Wilaya 5 (Oran) , le 10 juin 1960 à l’Elysée …Cette tentative de cessez-le-feu émanait de chefs de l’ALN, opposés à la stratégie des terroristes du FLN qui, eux, furent soutenus par l’homme du 18 juin !
Ce fut Louis Joxe, ministre des Affaires Algériennes, chargé des accords d’Evian, qui a ordonné aux militaires de jeter à la mer les harkis qui fuyaient les massacres et qui a interdit aux officiers de leur porter secours sous peine de sanctions ! C’est aussi l’auteur de la directive ministérielle du 16/5/1962, adressée à Christian Fouchet, intimant la recherche, l’arrestation et le rapatriement en Algérie des supplétifs ayant cherché refuge en France.
A croire que l’actuel Bureau Politique du Front National ne sait plus quoi inventer pour capter le vote des déçus de la mafia UMPS et qu’il s’autorise un grand écart avec la vérité historique en oubliant les effets néfastes de la politique gaullienne de 1958 à 1969, dont la France paye encore maintenant les conséquences !
Révoltante aussi, cette couronne déposée par F.Philippot à Colombey en mémoire au Général !
Quand on aime Marine Le Pen, il est quand même stupéfiant d’entendre celle-ci dire à propos de Nelson Rohlilahla Mandela (prince d’un kraal Thumba royal de l’ethnie Xhosa) : « Par amour et patriotisme il avait réussi à sortir son pays de la guerre civile en le préservant des déchirures ; un homme de paix et de réconciliation ».
Il est surprenant que la blonde de Montretout balaye d’un geste hautain les milliers de boers assassinés par l’ANC depuis 1994 et qu’elle oublie les centaines de milliers d’Afrikaners condamnés à l’exil ces 20 dernières années.
Pour ceux qui ont suivi de près ou de loin la carrière politique de J-M Le Pen et l’ascension de sa benjamine, la tactique utilisée actuellement paraît pour le moins déroutante. Et l’on peut supposer que Marine passera sous les fourches caudines du Système, afin de pouvoir être adoubée par le Pouvoir et goûter aux ors de la République.
Après des centaines d’exclusions de militants (tes) FN trop « radicaux, aux cheveux et aux idées courtes », Marine tergiverse ou abdique sur la loi Taubira, sur le révisionnisme, sur l’auto-défense de Samuel et Estéban (affaire Méric), sur la pédérastie ou sur le tollé suscité par le journal Minute quand il titre : « Maligne comme un singe, Taubira retrouve la banane ! ».
On n’entend pas trop non plus la présidente du FN quand il s’agit de « petits blancs » assassinés par la racaille, ou pour fustiger le Régime et ses complices banksters dans le hold-up sur nos comptes bancaires, ou encore pour condamner Israël quant à la construction de colonies illégales en territoires palestiniens.
NDLR :
Pour comprendre pourquoi nous assistons à L'effondrement du Système : un livre collectif publié aux Bouquins de Synthèse nationale.
En savoir plus cliquez là
Le commander en ligne cliquez ici
22:46 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
URGENT : Béatrice Bourges victime de pressions policières
Communiqué de Jour de Colère cliquez ici :
URGENT : Depuis hier soir, la police a reçu l’ordre d’empêcher Béatrice Bourges, et une autre personne venue se joindre à son jeûne pour la France, de poursuivre leur action. Entraves à la liberté de déplacement, pressions psychologiques, privation de sommeil ont été leur lot pendant toute la soirée et la nuit. Cette situation est intolérable !
Malgré cela, elles ont toutes deux rejoint ce matin la Place Edouard Hérriot, à proximité immédiate de l’Assemblée Nationale, où elles entendent rester toute la journée. Les députés sont aujourd’hui dans l’hémicycle. Ils doivent intervenir !
Nous vous demandons dès maintenant d’envoyer un mail ou même d’appeler au téléphone (standard téléphonique : 01 40 63 60 00, puis demander à parler à l’assistant parlementaire de votre député) pour enjoindre votre député de sortir du Palais Bourbon aujourd’hui et aller rencontrer Béatrice Bourges, pour parler avec elle et entendre le message qu’elle adresse, à travers son jeûne, à la représentation nationale.
Il y a URGENCE. Le gouvernement cherche à étouffer la voix des Français en colère. Merci de votre mobilisation immédiate auprès de votre député.
L’équipe de Jour de Colère
PS : Vous pouvez aussi appeler l’attention de la presse sur ce qui se passe aujourd’hui à Paris, digne de Kiev et bientôt de Damas. Envoyez un mail aux rédactions, commentez les articles qui parlent de notre action (retrouver la liste en tapant « Béatrice Bourges » sur Google news : https://news.google.fr/). Faites aussi pression sur les journalistes. Merci.
12:36 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3125
du 23 janvier 2014
EN PARLANT de l’affaire Dieudonné sur BFM-TV, Arno Klarsfeld a failli évoquer « les consignes d’Israël ». Sa langue avait fourché et il s’était repris à la dernière seconde. Quant à Philippe Tesson, le fondateur du Quotidien de Paris, il a carrément pété les plombs. Evoquant la remise en cause de la version officielle de la Shoah, qui est pour lui le crime absolu dans l’histoire de l’humanité, il a jugé que les actions d’interdiction de Manuel Valls à l’encontre des spectacles de Dieudonné étaient « très très bien » et qu’il en réclamait même “davantage”.
DIEUDONNÉ LES REND FOUS !
« Je suis extrémiste dans cette affaire », déclare-t-il. S’il s’estime en général “libéral”, la shoah reste « une exception à [sa] règle ». […] Et ce fou furieux (un de plus) de conclure par un appel au meurtre : « C’est la chose la plus abominable que je n’ai jamais vécu. C’est innommable. Il n’y a pas de pitié pour ça. Sa mort par exécution par un peloton de soldats me réjouirait profondément. ». L’éditorialiste de l’émission de Radio Classique avait donné ses ordres d’assassinat de Dieudo le 9 janvier, ajoutant, histoire qu’on le comprenne bien : « C’est, pour moi, une bête immonde. Donc qu’on le supprime, c’est tout ! Je signe et je persiste ». Si ce n’est pas un appel au meurtre, cela y ressemble diablement. En attendant, histoire d’attendre la suite des événements, réécoutons les propos de l’écrivain (juif) Nathalie Sarraute sur Europe 1 : « Regardez, nous les juifs ce qu’on a réussi avec notre Shoah, on l’a vendu partout, on est couverts d’argent, on est vraiment plus forts que vous ! »
LE SITE FRANCO-ISRAÉLIEN JSS NEWS BALANCE DES NOMS DE QUENELLEURS
« Dans la traque aux nazillons, il n’y aura pas de pause jusqu’à ce qu’ils soient tous identifiés. Nous avons une liste de 1 500 prioritaires, mais les 8 500 autres seront aussi identifiés » a prévenu samedi 11 janvier sur Canal + Jonathan-Simon Sellem, le fondateur franco-israélien du site sioniste JSS News, encarté à l’UDI de Borloo, qui livre en pâture chaque jour les noms et parfois les coordonnées de dizaines de personnes coupables de quenelles. L’objectif ? « Marquer, sur le web, donc pour toujours, les noms des responsables de cette haine ». L’individu vient d’adresser une lettre provocatrice à Dieudonné dans laquelle il se réjouit que « des dizaines de personnes ont été sanctionnées pour (leur) salut nazi déguisé. Au moins 32 “quenelliers” ont été licenciés. Et il y en aura d’autres dans les prochains jours », prévoit-il. Commentaire d’un des lecteurs du site : « Il n’y a qu’à espérer qu’aucun climat insurrectionnel, et qu’aucun acte anti-juif ne naisse de cette situation pourrie. Qu’aucun des pauvres types jetés en pâture sur Internet ne pète un plomb et aille se cogner “du juif” pour se venger d’un site israélien qui a cherché à ruiner sa vie… pour un bras d’honneur… » Bien vu, en effet. Ces gens-là n’ont décidément aucun sens de la mesure… Le site sioniste Dreuz.info se réjouit bruyamment. « La démarche de JSS News est que les antisémites doivent être démasqués et dénoncés, et il veut les faire trembler. Trembler des conséquences d’être exposés auprès de leurs employeurs et leurs proches (plusieurs ont déjà été licenciés et leurs noms traînent partout sur internet), trembler d’avoir à affronter la justice, alors qu’ils étaient habitués à se cacher derrière l’anonymat pour faire leurs saloperies. » Et le site Dreuz, qui se définit comme francophone, chrétien (interdit de rire), néoconservateur et pro-israélien de conclure : « Les Juifs, si on les cherche on les trouve. » Qu’ils continuent ainsi, et ils finiront aussi par nous trouver…
LE FOOTBALLEUR FRANCK RIBÉRY, L’ISLAM, L’ALGÉRIE ET LA FRANCE
Dans des déclarations faites à la chaîne égyptienne Al Hayat, l’international français Franck Ribéry a réitéré son attachement à sa religion, l’islam (il s’est converti) et au pays de son épouse, l’Algérie. « Je suis un musulman convaincu. Mon épouse est une musulmane d’Algérie, ainsi que toute ma famille. Beaucoup de gens m’appellent Franck, mais dans ma vie privée, on m’appelle Bilal car je suis musulman », a-t-il affirmé. « Le peuple algérien est le plus proche de mon cœur ». Il a ajouté qu’il « respecte beaucoup tous les peuples musulmans. Naturellement, le peuple algérien est le plus proche de mon cœur. Quand j’ai été en Algérie, je m’y suis senti comme chez moi », ajoute-t-il. On est content pour lui…
ÉMOUVANT : HOLLANDE A OFFERT UNE BOÎTE DE CHOCOLAT À LA GRAND-MÈRE DE JULIE GAYET
C’est à l’occasion de Noël que cet émouvant épisode a eu lieu. Comme nos lecteurs le savent, l’actrice Julie Gayet est la nouvelle maîtresse de Hollande. Il se trouve qu’elle a une grand-mère, ce qui est relativement fréquent en France. Elle s’appelle Ortense et elle vient de se confier : « le Président est venu jusqu’ici. Dans ma maison. Julie m’avait averti qu’elle souhaitait me présenter quelqu’un mais qu’elle arriverait très tard, peut-être même dans la nuit. Comme elle a une clef de la maison, je me suis couchée et elle est venue me réveiller, en pleine nuit. Je me suis quand même apprêtée et quand je suis entrée dans le salon, il était assis dans le canapé. Il avait apporté des croissants et Julie a fait du café. » Il paraît qu’ils ont parlé des atouts de la France, de cuisine et de politique. Voilà où nous en sommes…
MARINE LE PEN : NON, LE FN N’EST PAS UN PARTI GAULLISTE !
Les milieux de rapatriés et de harkis, proches du FN, commençaient sérieusement à s’énerver suite aux déclarations de Florian Philippot, numéro deux du FN, qui qualifiait le FN de parti gaulliste, et qui s’était rendu à Colombey pour rendre hommage au général. La présidente du FN, consciente de la rage qui montait, vient d’écrire une lettre visant à calmer la “colère” de ses « amis pieds-noirs et harkis » Voici ses propos : « Un certain nombre de milieux rapatriés/harkis s’agitent, y compris en interpellant des cadres de notre mouvement, autour de la déclaration de Florian Philippot au sujet du général De Gaulle et du FN parti gaulliste. Pour répondre aux interrogations de certains, je ne pense pas que le FN soit un parti gaulliste […]. Même si l’un des quarante membres du bureau politique du FN, l’un des huit membres du bureau exécutif et l’un des vice-présidents l’affirme selon ses affinités et son histoire personnelle, cela n’engage pas l’ensemble du mouvement (...). J’ai clairement dit que je n’irais pas sur la tombe du général De gaulle par respect pour l’abandon criminel des pieds-noirs et harkis qui ont tant souffert de sa politique algérienne […] »
UNE LISTE D’“INDÉSIRABLES” AU FRONT NATIONAL
Membre du Front pendant huit ans, après l’avoir quitté en 2010, ce militant FN de longue date s’est récemment vu refuser sa demande de réadhésion quand il a voulu rejoindre le Rassemblement Bleu Marine dans la perspective des municipales. La raison ? « Vous figurez sur la liste des indésirables de notre mouvement », a-t-il ainsi appris en ouvrant le courrier recommandé adressé début décembre par Steeve Briois, secrétaire général du FN, qui lui a renvoyé le montant versé pour sa cotisation. « Je ne sais pas pour quelle raison il est aujourd’hui indésirable », se défend Gilles Clavel, secrétaire départemental de Seine-Saint-Denis qui ne nie pas l’existence d’une telle liste au sein du parti. Les indésirables sont notamment ceux qui avaientsoutenu Bruno Gollnisch lors de l’élection du nouveau président. « Et puis quand Marine a pris les commandes du parti, il y a eu une purge dans toutes les fédérations, notamment au détriment de ceux qui avaient activement milité pour Gollnisch », confie un cadre. Autres motifs d’“indésirabilité” : une ligne politique déviante (entendez, par trop nationaliste), et bien entendu, les « comportements racistes ou antisémites » c’est-à-dire révisionnistes.
ALORS ? ISRAÉLIEN OU FRANÇAIS ?
Yvan Attal est un acteur, réalisateur, scénariste, dialoguiste franco-israélien né le 4 janvier 1965 à Tel-Aviv. « Je dis haut et fort que je suis Juif, israélien et sioniste » proclamait Yvan Attal en 2010 au Monde Juif. Mais « souvent femme varie, bien fol qui s’y fie ». Il y a quelques jours, sur le plateau de Canal +, Attal pérorait : « Je suis Juif. Tous les jours je suis insulté et agressé en tant que Juif par Dieudonné et par la France de Dieudonné. Je suis Français. » Avant d’ajouter : « J’en ai ras-le-cul de vivre dans cette France. » Alors, Yvan Attal. Êtes-vous Français ou Israélien ? En attendant, personne ne vous empêche de faire votre alya…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
NDLR :
Le livre de Robert Spieler Dictionnaire des polémistes est en vente auprès de notre secrétariat.
Pour en savoir plus cliquez ici
Le commander en ligne cliquez là
12:33 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quelques personnalités politiques croisées à la manif de dimanche dernier :
Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France
Richard Roudier, Président du Réseau identités
12:23 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeûne de Béatrice Bourges : «On proteste depuis un an et on ne nous écoute pas»
Le Figaro cliquez ici
INTERVIEW - Porte-parole du Printemps français, un mouvement engagé dans l'opposition au mariage homosexuel, Béatrice Bourges a annoncé, à l'issue de la manifestation «Jour de colère» de dimanche, qu'elle commençait un «jeûne spirituel» jusqu'à la destitution de François Hollande. Elle a l'intention de rester jour et nuit devant l'Assemblée nationale.
LE FIGARO - Une grève de la faim pour demander la destitution du président de la République, n'est-ce pas un peu excessif?
Béatrice Bourges. - Je pense que la France le vaut bien. Moi je me bats vraiment pour mon pays, car je pense qu'on est en train de tuer l'âme de nos enfants. Cela fait un an que l'on proteste et qu'on ne nous écoute pas. Que puis-je faire de plus que donner ma personne? Ce sera dur mais cela prouvera qui je suis et qui sont les gens qui m'entourent.
Je m'appuie sur quelque chose d'ultra non-violent et d'ultra-légitime. Deux mois et demi avant les élections, j'aimerais savoir si les députés, comme certains le disent souvent, souhaitent vraiment le départ de François Hollande. Je leur offre sur un plateau d'argent la possibilité de montrer leur loyauté: l'article 68 de la Constitution autorise les élus des deux assemblés à engager une procédure de destitution du président de la République pour «manquement grave» à l'exercice de ses fonctions. Si je n'avais pas fait ce geste, les députés n'auraient rien tenté. Là une vie non-violente est en jeu.
Vous vous dites non-violente, comme votre mouvement, mais le «Jour de colère» d'hier s'est terminé dans la violence…
La manifestation s'est passée admirablement bien, avec des gens qui avaient des colères différentes. Si les gens de la manifestation avaient voulu en découdre, ils l'auraient fait pendant la manifestation… Moi, les violences, je ne les ai pas vues, je n'y étais pas. Ce que je sais de différents témoignages crédibles, c'est qu'il y a encore eu des infiltrations de forces de l'ordre. Huit minutes après la demande de dispersion, ils commençaient déjà à gazer les gens… Mais là, c'est le problème de Manuel Valls, pas le mien. Il faut préciser que même ceux qui se sont mis en colère n'ont rien détruit: il n'y a eu aucune vitrine brisée, aucune voiture brûlée.
Avec mon jeûne, je voudrais prouver que la colère, ce n'est pas la violence. On nous a traités d'extrémistes, on a trouvé que j'étais radicale. Aujourd'hui je pars avec mes armes à moi, des armes spirituelles. Le jeûne spirituel, c'est une arme extrêmement puissante.
Dans le défilé de dimanche, on a entendu des slogans antisémites…
J'étais devant. Je n'ai rien entendu. Mais il y a tellement de désinformation… Évidemment, je ne peux que condamner de tels slogans. Mais je suis comme saint Thomas, je n'y croirai pas tant que je n'aurais pas entendu un enregistrement. Quant à Dieudonné, il n'était pas là. Et il n'était pas non plus parmi les cinquante partenaires de «Jour de colère». Parmi ces partenaires, d'ailleurs, il y a des pro-mariage homo, et moi qui suis contre, j'ai défilé avec eux! Cela montre que «Jour de colère» est très particulier: c'est une coagulation de différentes colères, et non une plate-forme politique.
00:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Face au concert de louanges, Jean-Claude Rolinat dresse le bilan peu reluisant de Mandela…
Dans Rivarol de la semaine dernière, Jean-Claude Rolinat, auteur du livre "La faillite de Mandela" paru aux Bouquins de Synthèse nationale :
Face au concert de louanges, Jean-Claude Rolinat dresse le bilan peu reluisant de Mandela…
RIVAROL : Vous venez de publier aux « Bouquins de Synthèse nationale » un nouvel ouvrage intitulé « Afrique du Sud, la faillite de Mandela ».Vous êtes allé à plusieurs reprises dans ce pays pour suivre, en quelque sorte, « sa descente aux enfers ». Pouvez-vous nous résumer cette évolution ?
Jean-Claude Rolinat : Un constat tout d’abord : dans un pays unitaire, il ne peut y avoir de citoyens de première classe et d’autres de seconde. À partir du moment où la politique d’apartheid (développement séparé) n’a pas été menée à terme, on courait à l’échec avec le fameux « one man, one vote ». C’est pourquoi il fallait diviser territorialement ce pays, consolider les bantoustans que je préfère appeler homeland, quitte à déplacer des populations et à réinstaller les Blancs dans les zones blanches. Chaque peuple aurait eu son « toit » et une toiture commune, fédérale ou confédérale – à voir selon les rapports entre les populations – aurait coiffé le tout sur une base égalitaire. C’est ce qu’a vainement proposé l’ONU pour régler la question chypriote et en Bosnie où ce statut a au moins rétabli la paix. Dans les années quatre-vingts quatre États noirs avaient accédé à l’indépendance, les fameux « TBVC », Transkei, Bophuthatswana, Venda et Ciskei, et six autres étaient autonomes, notamment le Qwa-Qwa que j’avais visité et dont je parle dans mon livre. Les grandes agglomérations noires étaient gouvernées par des municipalités élues au suffrage universel, et Métis du Cap comme Indiens du Natal disposaient à côté des Blancs d’une chambre parlementaire à l’Assemblée nationale. Bref, la situation politique évoluait lentement, certes, mais inéluctablement vers un partage à terme du pouvoir. Toutes les mesquineries de l’apartheid « pur et dur » des pères fondateurs du nationalisme afrikaner disparaissaient une à une, comme le Job réservation act, ou encore le fameux pass, le passeport intérieur imposé aux Noirs. On pouvait circuler sans trop de souci. Pour ma part j’ai parcouru environ 3 000 kms avec ma famille. Impensable 10 ans plus tard lorsque je suis revenu dans ce pays ! La sécurité n’était plus assurée, il fallait traverser Johannesburg portes fermées ( !) et les maisons individuelles s’étaient emmaillotées de fils de fer barbelés quand elles n’étaient pas surveillées, jour et nuit, par des vigiles ou que leurs pièces intérieures n’étaient pas séparées par des … grilles à commandes automatiques ! Quel recul !
RIVAROL : Pour sortir du politiquement correct, s’agit-il d’un problème de cohabitation entre Blancs et Noirs ou, éventuellement, de querelles entre ethnies avec des rivalités entre différents groupes de populations ?
JCR : Fondamentalement, à l’exception de groupes minoritaires comme celui de Julius Malema, ex-leader de la Ligue des jeunes de l’ANC, l’homme du slogan « un Boer, une balle » ou de suprématistes blancs comme ceux qui entouraient Eugène Terreblanche assassiné, rappelons-le, par deux de ses ouvriers noirs dans sa ferme, il n’y a pas de haine à proprement parler. Simplement une lutte pour s’enrichir pour les uns, survivre pour les autres. Mais il est vrai que si, pendant longtemps, Anglophones et Afrikaners n’ont pas fait bon ménage (souvenirs éloignés des guerres anglo-boers), les deux communautés se sont terriblement rapprochées face au danger de submersion noire. Quant aux Zoulous et aux Indiens du Natal autour de la métropole de Durban, ce n’est un secret pour personne que les seconds redoutaient les premiers. Quant à ces mêmes Zoulous, s’ils se reconnaissaient plutôt dans l’Inkata Freedom Party (IFP) de Mangosuthu Buthelezi, les Xhosas militaient en très grand nombre dans l’African National Congress(ANC), parti interdit jusqu’en 1990 en raison d’actes terroristes. La libération de Mandela, la désertion du pouvoir blanc et les premières élections universelles de 1994 ont largement bouleversé la donne et redistribué les cartes. L’irruption d’une bourgeoisie noire vorace a aussi modifié le paysage économique et politique. On assiste à des renversements de situations. Le chômage touche, en gros, un Sud-Africain sur deux en âge de travailler. Le Black Power Employment, une sorte de ségrégation à l’envers, le contraire du Job Reservation Act qui protégeait les travailleurs blancs, favorise outrageusement les Noirs. Ce qui explique, en partie, l’exil d’un million – un million ! – de Blancs en 20 ans. Des Afrikaners sont abonnés à la soupe populaire. J’ai vu de mes yeux vu, un Blanc faire la manche dans une rue de Durban. Impensable avant 1994 !
RIVAROL : Il n’y a que la question de l’emploi qui explique le départ des Européens ?
JCR : Non, l’insécurité est l’autre grand problème de ce pays. Depuis l’accession des Noirs aux affaires en avril 1994, des milliers de fermiers blancs et des membres de leurs familles, ont été assassinés. De plus, le sida touche, par exemple, 26% des jeunes adolescentes noires et les femmes blanches vivent dans la crainte d’un viol. Ce pays est plus criminogène que le Brésil, c’est dire. Beaucoup de ruraux s’expatrient en Géorgie, au Mozambique ou au Congo Brazzaville à l’invitation de ces pays, pour les faire profiter de leur expérience. On a même vu des ouvriers agricoles noirs devenus propriétaires de la terre de leurs anciens patrons, demander à ces derniers de rester pour les conseiller ! D’ailleurs Zuma , le Président, le sait bien : s’il lui venait l’idée de nationaliser toutes les terres entre les mains des Blancs, son pays connaitrait le sort du Zimbabwe voisin.
RIVAROL : Vous dressez un tableau bien noir, sans jeu de mot… Quel avenir, alors, voyez-vous pour la minorité afrikaner ?
JCR : Il lui est impossible d’obtenir un VOLKSTAAT tel que le rêvaient les « verkramptes », les conservateurs, feu Terreblanche et son AWB ou encore le Freedom Front. Il aurait fallu créer cet « Israël afrikaner » à chaud, en 1993/1994 au moment des négociations avec l’ANC : la politique du fait accompli. Les généraux à l’époque en avaient les moyens. En avaient-ils la volonté ? Et ceux des Blancs qui avaient piscine et domesticité noire le souhaitaient-ils vraiment ? Poser la question c’est déjà esquisser la réponse. Le village exclusivement blanc d’Orania aux confins désertiques de l’ancienne grande province du Cap, qui hésite entre le kibboutz et le Club Med, est une sympathique utopie qui n’a pas fait beaucoup d’émules. Même si le Volkstaat existe en filigrane dans la constitution sud-africaine, l’ANC n’acceptera jamais sa création. Mais les Blancs quittent le pays vers les États-Unis, le Canada, l’Australie, la Grande-Bretagne, la Nouvelle-Zélande ou se regroupent. Par exemple dans la province du Cap Occidental, où ils représentent plus de 20% de la population. Avec les Métis de langue afrikaans, ils détiennent le pouvoir local sous la houlette d’Hélène Zille du Democratic Party. C’est la seule province qui échappe à la mainmise de l’ANC.
RIVAROL : Et Mandela, quel rôle a-t-il joué dans l’évolution de ce pays ?
JCR : Il faut lui reconnaitre au moins deux qualités : il a résisté physiquement et moralement à 27 années de captivité même si les dernières se sont déroulées bien plus dans l’ambiance d’un palace cinq étoiles que dans le contexte du bagne de Robben-Island. Ensuite, il n’a tenu aucun discours de haine ni de vengeance. Et je crois qu’il était sincère, même si cela faisait partie du deal passé avec le calamiteux De Klerk. C’est à souligner à son avantage, comparé à un triste sire comme Mugabe. Mais pour le reste il a gouverné en dilettante, laissant les affaires de son unique mandat de cinq ans entre les mains de Thabo M’Beki, Vice-Président qui lui succèdera. Il s’est contenté de faire le tour de la planète, de parfaire son image d’icône de la bien-pensance internationale.
RIVAROL : Alors, « les carottes sont cuites » pour les Blancs, si vous me permettez cette expression ?
JCR : Si les Européens d’Afrique du Sud qui sont tout de même encore plus ou moins quatre millions sur place, qu’ils soient d’origine afrikaner, anglophone ou portugaise (Angola et Mozambique), résistent à la tentation de l’exode et constituent des blocs de population relativement homogènes, s’ils joignent leurs suffrages aux votes des Métis afrikaans, ils ont une chance au Cap, ici ou là, de perdurer. Mais jamais tant que cet État sera unitaire, juste décentralisé, ils ne reconquerront le pouvoir central. Sachez que sur une quarantaine de ministres et de ministres adjoints, ils ne sont que cinq ou six à détenir un portefeuille. Pour conclure, j’aimerais citer une phrase de Saint-Loup extraite de son livre « Le Boer attaque » paru en 1981 aux Presses de la Cité », page 218 : - « S’ils dérogent (les Blancs) tant soit peu à la politique de développement séparé, dans cinquante ans les Boers auront disparu, mangés par les Noirs. Quel hommage ! Oui mais quel drame pour la race blanche aventurée en Afrique ». Objectivement, nous en sommes-là. À méditer sous nos cieux.
À lire, « La faillite de Mandela », un livre de 187 pages édité aux « Bouquins de Synthèse Nationale » A commander à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris ou dans toutes les bonnes librairies.18€ ou 21€ franco de port (chèque à l’ordre de Synthèse nationale).
Commandez-le en ligne cliquez là
Bulletin de commande cliquez ici
00:22 Publié dans Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 28 janvier 2014
DON BLAS PINAR, CHEF HISTORIQUE DE LA DROITE NATIONALISTE ESPAGNOLE, RAPPELE A DIEU
Don Blas Pinar, fondateur et Président de Fuerza Nueva, la revue et le mouvement franquiste espagnol, est décédé hier à l'age de 95 ans.
Né en 1918 à Tolède, fils de militaire, il était docteur en droit et a commencé sa carrière politique à l’époque où le Général Franco transformait l’Espagne en une grande nation moderne. Il fut alors directeur de l'Institut de culture hispanique entre 1957 et 1962, organisme qui devint par la suite, à la fin des années 70, l'Institut de coopération ibéro-américaine.
En 1976, il fonde le mouvement Fuerza nueva, avec le slogan "Dieu, Patrie et Justice", devenu la formation emblématique de l'extrême droite au cours de "la transition". Orateur exceptionnel, en juin 1978 il participa à Paris aux côtés de Giorgio Almirante (Mouvement social italien) et de Jean-Louis Tixier-Vignancour (PFN) au grand meeting de lancement de l’Eurodroite. Lors des élections législatives de 1979, après l'adoption de la Constitution de l'année précédente, il a été élu député de la coalition de l'Union nationale dont son parti était membre. Il s'opposa alors à la création de régions autonomes et fut témoin de la tentative de coup d'Etat du 23 février 1981, soutenue par la suite dans un manifeste par son fils.
En 1982, Fuerza nueva se dissoudra et renaîtra, quatre ans plus tard, sous le nom de Frente nacional, mais ne gagnera aucun siège au parlement. Après des pactes successifs avec d'autres formations il participera en 2004 à la création de Alternative espagnole cliquez ici, dont il était président d'honneur et avec laquelle il participera à ses dernières élections municipales en 2011.
Blas Pinar était malade depuis plusieurs années, mais il est resté actif jusqu'à peu de temps avant sa mort en écrivant et en publiant plusieurs livres et articles dans des revues nationalistes. Très ami de la France, il était aussi l’un des soutiens actifs en Espagne du Cercle Franco-hispanique présidé par notre ami Olivier Grimaldi.
Synthèse nationale
NDLR :
Le Cercle franco-hispanique et Olivier Grimaldi présentent : Présence de José Antonio
En savoir plus cliquez ici
Bulletin de commande cliquez là
Le commander en ligne cliquez ici
18:11 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Jour de Colère » : un succés étouffé par un traquenard policier
Source Breizh info
Tôt, ce dimanche matin à l’appel des " Bonnets rouges nantais ", de Civitas et d’autres associations et coordinations, des Nantais en voiture ou en train ont pris la direction de Paris pour participer au rassemblement des Français en colère. Malgré une pluie drue et continue, dès 13 heures, la foule affluait place de la Bastille derrière les 8 bannières, qui déclinaient les motivations des participants : Fiscalité, Education-Jeunesse, Famille, Identité, Chômage, Respect des croyances religieuses, Liberté d’entreprise, Respect des libertés.
A 14h30, le défilé entamait le long itinéraire modifié au dernier moment par la préfecture de police. Ce changement, sans aucune raison valable, illustrait déjà la volonté délibérée du gouvernement Ayrault et de M. Valls de provoquer les organisateurs et leurs soutiens. Malgré cela, malgré les conditions climatiques, ce cortège pacifique en rangs serrés entreprit sa marche vers la place Vauban. Il rassemblait une France populaire, jeune, familiale, multicolore, diversifiée. En plus des banderoles des organisateurs, on remarquait entre autres celles des jeunes des Terreaux de Lyon, des Périgourdins, de la Provence, des Bonnets rouges, de Civitas etc…Renaud Camus suivait celle sur la défense de l’identité.
Pendant tout le déplacement, on notait une très forte présence policière sans commune mesure avec celle déployée dimanche dernier lors de la « marche pour la vie ». Le nombre de participants ne cessa de s’accroître pendant le parcours. Au final, il était supérieur à celui déjà remarquable du 19 janvier dernier. Arrivé place Vauban vers 17h, une bréve intervention de responsables des mouvements participants expliqua le sens de leur engagement et de leur colère.
Ces personnes, étudiant, mère de famille, chômeur, chef d’entreprise, artisan, travailleur, cadre… étaient un résumé de la France profonde et du pays réel. Béatrice Bourges, porte-parole de « Jour de colère » et animatrice du Printemps Français tira les conclusions de cette journée en rappelant son caractère pacifique et non violent.
Avant 18h, limite de l’autorisation préfectorale, elle appela les manifestants à se disperser, ce qu’ils firent calmement et en bon ordre. Mais, surprise, alors que le 19 les forces de l’ordre s’étaient éloignées et avaient laissé les avenues bien dégagées pour faciliter le départ d’une telle foule, le Préfet de police avait monté un véritable traquenard.
Pendant les discours, il avait fait mettre en place des barrages anti émeutes avec force policiers en tenue de combat et fermer l’accès des stations de métro. Les manifestants ne disposaient que d’un espace de quelques mètres sur le trottoir pour quitter les lieux. Puis, très rapidement, les issues ont été bloquées et la police a chargé ceux qui n’avaient pas encore pu quitter la place. Cette provocation gratuite est la cause des violences qui ont eu lieu. L’arrestation illégale d’environ 250 manifestants, dont des journalistes, fut le point d’orgue de cette manœuvre de répression gratuite.
Après le succès des manifestations de ces deux derniers dimanches, ne serait-ce pas une façon pour le pouvoir de décourager ceux qui souhaitent participer le 2 février prochain à la manifestation LMPT ?
16:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Des milliers de gens en colère, une presse aveugle et sourde !
Jean-Pierre Fabre Bernadac
Boulevard Voltaire cliquez ici
Brrr ! J’ai encore les pieds gelés et le slip mouillé, mais quelle joie que ce rassemblement des anti-FAF (François, Ayrault, Fabius). Ce dimanche où la pluie, le vent et le froid en plus des CRS s’étaient ligués pour ne pas mettre un manifestant dehors, nous nous sommes retrouvés place de la Bastille venus de tout l’Hexagone avec nos pancartes en prime. Oui, nous, les humbles, les sans-grade par dizaines de milliers, nous avons courageusement enfilés K-Way (excepté les Hommen) et baskets pour arpenter le bitume parisien. Aussi, je vous salue avec émotion et déférence, mes sœurs et frères marcheurs.
Nous étions loin de partager les mêmes idées, ce 26 janvier, nous étions loin d’avoir dégusté petits fours ou méchoui à la même garden-party, nous étions loin de nous congratuler ou de nous faire confiance, mais appliquant le vieil adage : les ennemis de mes ennemis sont temporairement (ou pas d’ailleurs) mes amis, durant cinq heures nous avons mêlé nos voix, nos ressentiments et aussi nos espoirs.
Un ras-le-bol général poussait vieux et jeunes, gens de banlieue et bourgeois cathos dans une longue marche vers la place Vauban en criant nos colères multiples et variées entrecoupées de Marseillaise. Tous nous avions la même sensation : le système est en train d’imploser, encore un coup de bélier et l’édifice va s’écrouler. Certes, il faut mûrir ses réflexions, provoquer des états généraux, mettre la liberté d’expression et la démocratie directe en première ligne, mais le caillou mis dans la chaussure des politiciens de tout poil, à commencer par Hollande, leur fait peur. Le meilleur exemple est démontré par le silence et l’impudeur des médias.
Prenons Le Figaro, ce quotidien propre sur lui, ce journal préféré des coiffeurs et des esthéticiennes (je n’ai rien contre ces professions). Comment croyez vous qu’il a traité ce lundi l’information sur le rassemblement ? Par… une seizième page sur un seizième de page. S’il avait pu la mettre dans les sports ou – mieux – dans la rubrique nécrologique, il l’aurait fait. Par contre, Fillon et l’UMP, ceux qui avaient commencé en premier à nous mettre dans la m…, avaient la quatre et la six pour pérorer et se congratuler.
Libération a plus de courage, qui a consacré un article certes tendancieux mais d’une ampleur conforme à l’événement. Comme quoi on peut être bourgeois et plus con… sensuellement correct que la moyenne !
Autre exemple : France 2. Quelle belle chaîne qui ne voit les manifestants qu’en Ukraine et les ignore en France. Les seules images qu’elle diffuse avec horreur sont les matraquages et les arrestations des forces de l’ordre à Kiev. Pour Paris, le petit doigt sur la couture du pantalon, en fin de journal elle propage les dires de Valls et pour bien désigner les méchants elle rajoute des scènes d’affrontements commentées avec une partialité criante.
Je vous engage d’ailleurs, pour comprendre qui étaient vraiment les « casseurs » et comment ils ont été traités, à regarder cette vidéo.
En conclusion, sincèrement, tout cela me réjouit car si la presse s’affole, si les télés minimisent, c’est bon signe. Le signe que nous devons cette année, pour « Jour de colère », passer du singulier (et quel singulier) au pluriel !
11:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal du Chaos de cette semaine
Le Journal du Chaos cliquez ici
11:05 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
On avait oublié de vous parler de la (fugace) prestation des Femen dimanche dernier... vites remballées par leurs employeurs.
10:54 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Hollande limite la casse... à l'Elysée
07:06 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
FN : la politique de « respectabilité » a ses limites
Gabrielle Cluzel
Boulevard Voltaire cliquez ici
C’est un sondage IFOP pour le Journal Du Dimanche qui l’annonce : aux élections européennes, le FN arriverait en tête avec 23 %, devant l’UMP à 21 % et le PS à 18 %. Un résultat en léger recul par rapport au mois d’octobre (24 %), mais un score potentiel sans précédent pour le FN, qui n’avait fait que 6,3 % aux dernières européennes et qui n’est jusqu’ici jamais arrivé en tête d’une élection nationale. Un score comme un coup de tonnerre dans le landernau politique, expliquant sans doute les escapades de Valls, au fait de toutes ces choses bien avant tout le monde, dans les villes susceptibles de « basculer ». Faute de circonscrire l’incendie pour les européennes, tentons au moins de sortir la grande échelle pour les municipales.
Un score qui serait tout à la fois le fruit d’un climat porteur – immigration, insécurité, mondialisme, mainmise de l’Europe, collusion des élites, défiance envers les médias, jamais les thèmes portés par le Front national n’ont trouvé autant d’écho dans l’actualité – et du travail de dédiabolisation entrepris depuis l’accession de Marine Le Pen à la tête du parti.
Tous les voyants seraient donc au vert pour le FN ? Pas si simple. Des signaux d’alerte clignotent ici et là pour un parti sur une ligne de crête. Car ces résultats sont à rapprocher d’autres sondages récents (TNS SOFRES, OpinionWay , IPSOS, IFOP et CSA ) qui eux font tous état d’une baisse significative (entre 4 et 8 %) de la popularité de Marine Le Pen. Le climat porteur, lui, étant bien là, le problème viendrait de la dédiabolisation. Pour certains, elle ne fonctionnerait pas à plein. Pour d’autres, au contraire, elle fonctionnerait… trop bien.
C’est cette dernière analyse que le baromètre de la vie politique du CEVIPOF, dont les morceaux les plus brûlants ont été publiés par Valeurs actuelles, semble valider : les Français s’y révèlent profondément défiants envers l’État, les partis politiques, les médias… et même contestataires, 61 % d’entre eux se disant prêts à descendre dans la rue.
Et si Marine Le Pen, en cherchant à se rapprocher des Français, n’allait en fait que les croiser, en sens inverse ? Elle, sur le chemin de la dédiabolisation, eux, sur celui de la radicalisation ? Si, comme le disait l’analyste politique Alba Ventura, dans sa chronique du 23 janvier sur RTL, la politique de respectabilité atteignait ses limites ? Si « le FN n’apparaissait plus comme un parti anti-système » et, ce faisant, perdait en lisibilité : « On n’a pas vu [Marine Le Pen], par exemple, manifester contre le mariage homo. Elle s’est déclarée très choquée par Dieudonné. Elle dit partout avoir des “idées sociales”. Elle ne veut pas qu’on la classe à l’extrême droite. Cela fait des mois qu’on ne l’a pas entendue parler d’immigration, de sécurité ou de frontières. Elle ne fait plus référence à l’ordre et à l’autorité. » Elle défend pour Hollande un droit à la vie privée, quand les Français aspirent à un président parfaitement probe.
Et ce FN que Marine Le Pen entend débarbouiller au Kärcher ne déstabilise pas seulement les électeurs… il y a aussi les candidats. Les récentes déclarations, par exemple, d’un Florian Philippot sur l’IVG ont semé le trouble parmi les « conservateurs », présents en nombre sur des listes municipales parfois difficiles à boucler. Si, hypothèse extrême, ils s’avisaient tous de tirer leur révérence à quelques jours des dépôts de candidature, ce serait pour le FN un scénario catastrophe.
06:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |