mercredi, 26 février 2014
Comment règler un conflit ?
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Alain de Benoist : "contre l'idéologie du même"...
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Une biographie de Juan Peron par Jean-Claude Rolinat
Article publié dans Rivarol
n°3130 du 20 février 2014
Après la très intéressante biographie consacrée à Evita Peron par Jean-Claude Rolinat, le voici qui récidive avec le portrait de Juan Peron et du Justicialisme.
Paraphrasant une publicité d'une célèbre marque gazeuse, il note que le péronisme avait « le goût du fascisme, l'odeur du fascisme et la couleur du fascisme, mais ce n'était pas du fascisme ».
Une dictature ? Pas davantage. Tout au plus un pouvoir autoritaire, une république forte et indépendante. L'expression parlementaire était maintenue et les élections étaient libres. Il n'y avait pas, comme en Italie mussolinienne, ou au Portugal salazariste, ou en Espagne franquiste, de parti unique. Le parti justicialiste était certes dominant et le syndicat, la Confédération générale du travail (CGT) largement majoritaire. Mais l'Argentine ne sera jamais un État corporatiste tels l'Italie ou le Portugal, ni national-syndicaliste, tel le Portugal. Peron était un vrai nationaliste qui refusa l'alignement de l'Argentine sur les États-Unis, tout en refusant de tomber sous la coupe de Moscou. Il fera de l'Argentine la cinquième puissance économique au monde !
Né le 8 octobre 1895, issu de l'immigration basque et italienne, il embrassa tout naturellement la carrière militaire et deviendra ultérieurement attaché militaire en Italie mussolinienne. Il y découvre les idées du Fascio et, hissé à la charge de secrétaire d’État au Travail deviendra le protecteur des humbles tout en cherchant à éviter dira-t-il, « les erreurs de Mussolini ». Il va concocter toute une série de mesures sociales qui le rendront ultra-populaire : régime de retraite étendu à deux millions de salariés, prévention des accidents du travail, légalisation des syndicats, obligation de signature de conventions collectives pour les employeurs et les salariés, création de tribunaux d'arbitrage, législation sur les congés payés. Ces mesures vont susciter l'hostilité des classes aisées pour qui le régime est trop réformiste, voire révolutionnaire. Washington ira jusqu'à rappeler son ambassadeur.
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Le JT de TV Libertés de mardi soir...
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mardi, 25 février 2014
JoeyStarr, ou la nouvelle galanterie française
Gabrielle Cluzel
Boulevard Voltaire cliquez ici
JoeyStarr, le retour. Air France a décidé de porter plainte pour « comportement inacceptable sous l’emprise de l’alcool » contre l’ancien rappeur devenu acteur. Samedi dernier, rond comme une queue de pelle, il a insulté au départ du vol Nice-Paris une hôtesse de l’air qui tentait de lui prendre sa bouteille d’eau-de-vie et forcé le pilote, sur le point de décoller, d’interrompre la procédure pour le débarquer. Cueilli par la police des frontières, il a été mis en cellule de dégrisement.
Comme le souligne Paris Match, Didier Morville, alias JoeyStarr, est « connu pour son tempérament sanguin ». Ah ! Paris Match, le poids des mots… Ma grand-mère aussi était « connue pour son tempérament sanguin », eu égard à ses saintes colères mémorables contre une progéniture qui lui donnait parfois du fil à retordre, mais n’a pas fait l’objet, voyez-vous, de 14 condamnations. Attaque à la hache d’un véhicule, violences conjugales, trafic de drogue, détention d’armes illégales, crachat sur les forces de l’ordre, outrage à fonctionnaire, détention non autorisée d’un pitbull non stérilisé dévorant le chien du voisin… et, en 1998, agression d’une hôtesse de l’air ! Dans un hôtel de Montpellier, le rappeur s’était moqué de trois jeunes femmes : « Air France, ce n’est plus ce que c’était et en plus, ils n’emploient que des boudins ! » L’une d’entre elles ayant eu l’outrecuidance de répliquer, il l’avait donc giflée, lui avait craché au visage, puis lui avait donné un coup de poing, avant de balancer un livre dans sa direction. JoeyStarr avait alors écopé de deux mois de prison ferme et d’une amende de 30.000 francs.
Sans doute, ceux qui trouvent à Didier « une gueule » et un certain talent d’acteur révélé par le film Polisse lui trouveront des circonstances atténuantes inhérentes à sa profession, citant Johnny Hallyday qui, en 1991, confiait au Monde : « Je fais un métier qui repose sur l’angoisse. On commence par un verre pour se donner confiance, on finit par la bouteille. La drogue, c’est la même chose. »
Les mêmes trouveront peut-être Air France bien chatouilleux à l’endroit de ses hôtesses de l’air, et même passablement rancunier. Plus rancunier que d’autres hommes en uniforme, à l’hôpital du Val-de-Grâce cette fois, qui en octobre 2012 avaient dû faire contre mauvaise fortune bon cœur et accueillir dans leur service sans moufter, après un malaise consécutif à une autre de ses cuites, l’auteur de ces gentilles lignes : « Quelle gratitude devrais-je avoir pour la France ?/Moi JoeyStarr qu’on considère comme un barbare/Donc j’encule tous ces moutons de fonctionnaires/Tous ces pédés de militaires ».
Des mots que JoeyStarr doit bien regretter. Parce qu’ils sont très insultants pour les homosexuels, bien sûr. Et puis parce que comme barbare, pardon bien, mais on rigole. Cyclothymique comme une douairière, bourrelé d’angoisse comme un adolescent, et tenant aussi mal l’alcool qu’un premier communiant… cette sorte de barbare-là devrait se contenter de demander gentiment dans l’avion un-doigt-de-grenadine-dans-un-peu de-Badoit-s’il-vous-plaît-madame. Au cinéma comme à la ville, n’est pas Depardieu qui veut.
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Carl Lang était à Nîmes pour soutenir la candidature d'Elizabeth Pascal aux élections municipales
Elizabeth Pascal, ancienne conseillère régionale du Front national mène une liste de rassemblement des Nîmois et d'union à la base des patriotes.
Nîmoise authentique, de souche et de coeur, elle incarne la volonté d'une gestion enracinée, de proximité, d'écoute et de protection des Nîmois.
Une réunion en présence de Carl Lang, Président du Parti de la France, avec les candidats s'est tenue vendredi 21 à la permanence de la liste, suivie, le lendemain, d'une conférence de presse.
10:16 Publié dans Municipales 2014 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Une liste conduite par Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac à Vénissieux
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Cherchez l'erreur ?
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
Le Journal du Chaos cliquez ici
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lundi, 24 février 2014
Le JT de TV Libertés de lundi soir :
23:51 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Rectificatif : en fait l'Hôtel de ville de Kiev a été orné d'un portrait de Stepan Bandera
Contrairement à une information et une photo qui ont été abondement diffusées présentant le fronton de l'Hôtel de ville de Kiev orné d'un portrait du chancelier Hitler, c'est en fait le portrait géant de Stepan Bandera, figure historique du nationalisme ukrainien, qui est installé en cet endroit. Il s'agissait d'un montage visant à discréditer le mouvement Svoboda cliquez ici. Nous devons donc reconnaitre notre erreur. Quoiqu'il en soit Stepan Bandera ne fait pas non plus parti des références du sinistre Bernard Henri Lévy, pas plus que de celles de l'Union européenne d'ailleurs.
23:21 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ukraine : réflexion sur une tragédie !
Article publié sur l'excellent blog de nos amis et camarades wallons de Nation cliquez ici :
Les tragiques évènements qui se passent en Ukraine sont une parfaite illustration de ce qui se passe lorsque des patriotes et des nationalistes se laissent guider par des ressentis plutôt que par une conscience politique.
Bien sûr, le président ukrainien est loin d’être un exemple. Bien sûr, les Ukrainiens sont un peuple fier qui a longtemps subi le joug de la Russie soviétique.
Mais les patriotes et nationalistes ukrainiens sont en train de donner leur sang pour qu’au final, l’Ukraine subisse un autre joug, le pire qui soit : celui du mondialisme destructeur des identités et des peuples.
Car lorsqu’on voit le degré d’organisation et les moyens dont disposent l’opposition (matériel de communication, logistique, tentes, cuisines, matériel médical, militants formés aux techniques de guérilla urbaine, armes, etc…), même les plus naïfs sont bien obligés de constater que l’opposition ukrainienne est massivement soutenue par des forces extérieures, en l’occurrence des fondations occidentales dont on sait qu’elles sont des antennes des services américains…
En fait, ces patriotes ukrainiens fiers de leur identité et de leurs valeurs et qui meurent en chantant leur hymne national, le font au profit de forces qui demain détruiront leur identité, nieront leurs valeurs et feront disparaître leur hymne national dans le chaos du mondialisme.
Cette tragédie nous rappelle que le combat politique doit toujours commencer par une analyse politique, par une vision globale de la situation et par la définition claire de qui est l’ennemi. A défaut de cela, le combat finit toujours par être manipulé et récupéré.
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Europe : l'Islande ne veut plus entrer dans l'Union Européenne !
Le gouvernement islandais vient d'annoncer que la demande de candidature du pays à l'Union Européenne était annulée. Les deux partis politiques majoritaires et alliés dans la conduite du pays - les très eurosceptiques Parti du Progrès (centre) et Parti de l'Indépendance (droite) - se sont entendus pour l'abandon du projet d'ailleurs fort largement honni dans l'opinion citoyenne.
Désormais toute velléité d'adhésion à l'Europe meltingpot sauce bruxelloise devra d'abord passer par un référendum dans la "terre de glace" d'Ingolfr Arnarson dont la lointaine insularité a garanti heureusement l' homogénéité raciale et qui est en outre si attachée à cette démocratie directe qui effraie tant les eurocrates, ce qui exclu de facto les manigances de ces "élites" mondialites qui prétendent penser mieux que les peuples ce qui est bon pour eux.
15:21 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Voix de la Russie de cette semaine :
12:06 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un démenti aux bobards de BHL
Pour les naïfs qui croiraient que la récente révolution ukrainienne serait le fait des partisans de l'Union Européenne auxquels Bernard Henri Lévy aurait indiqué la voie lors de son récent déplacement, voici la nouvelle décoration de l'Hôtel-de-ville de Kiev, réalisée par les miliciens de Свобода (Svoboda)…
La légende du portrait indique "Hitler le libérateur". On ne sait pas si ce terme fait référence au communisme ou aux populations allogènes… Ce qui serait gênant pour M. BHL !
Précisions cliquez ici
09:34 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 23 février 2014
Alors que les candidats socialistes promettent 0 SDF à Paris dans quelques années, Solidarité des Français ne peut pas laisser dire n'importe quoi...
Un entretien avec Odile Bonnivard, Présidente de Solidarité des Français (SDF) :
C’est reparti pour un tour, avec un arrière goût de déjà entendu : les candidats promettent et nous devrions les croire !
Voici les réponses d’Odile BONNIVARD, porte-parole de l’association Solidarité Des Français aux questions soulevées sur ce sujet :
- Adhérez-vous à l’objectif Zéro SDF à Paris en 2020 comme le prônent Emmaüs-Défi et le Samu Social ?
OB : Comment pourrions-nous répondre NON à cette question ? Evidemment, OUI, ce serait merveilleux de n’avoir plus aucun SDF dans les rues de Paris (ou d’ailleurs ?), d’ici 6 ans et pourquoi pas avant ?
- Cet objectif est-il réalisable en 6 ans ?
OB : Zéro SDF, ce fut l’une des promesses de Nicolas SARKOZY, candidat à la présidence de la république en 2007, ce fut aussi avant lui, ce que promettait Lionel Jospin en 2002, candidat à la mairie de Paris ; bref, zéro SDF, c’est avant tout un super slogan de campagne électorale que les candidats se réchauffent quand ils en ont besoin et abandonnent aussitôt élus.
15:54 Publié dans Municipales 2014, Rencontre avec... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
AU Panthéon, on va finir par trouver n'importe qui...
Jean Zay, par la volonté de François Hollande, va entrer au Panthéon. Savez-vous comment ce sinistre personnage considérait le drapeau français ? Notre ami Christian P., ancien sous-officier au 1er RCP, nous a fait parvenir le poème suivant, intitulé Le Drapeau, publié en 1924 :
Ils sont quinze cent mille qui sont morts pour cette saloperie-là.
Quinze cent mille dans mon pays, Quinze millions dans tous les pays.
Quinze cent mille morts, mon Dieu !
Quinze cent mille hommes morts pour cette saloperie tricolore…
Quinze cent mille dont chacun avait une mère, une maîtresse,
Des enfants, une maison, une vie un espoir, un cœur…
Qu’est-ce que c’est que cette loque pour laquelle ils sont morts ?
Quinze cent mille morts, mon Dieu !
Quinze cent mille morts pour cette saloperie.
Quinze cent mille éventrés, déchiquetés,
Anéantis dans le fumier d’un champ de bataille,
Quinze cent mille qui n’entendront plus JAMAIS,
Que leurs amours ne reverront plus JAMAIS.
Quinze cent mille pourris dans quelques cimetières
Sans planches et sans prières…
Est-ce que vous ne voyez pas comme ils étaient beaux, résolus, heureux
De vivre, comme leurs regards brillaient, comme leurs femmes les aimaient ?
Ils ne sont plus que des pourritures…
Pour cette immonde petite guenille !
Terrible morceau de drap coulé à ta hampe, je te hais férocement,
Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes
Je te hais au nom des squelettes… Ils étaient Quinze cent mille
Je te hais pour tous ceux qui te saluent,
Je te hais a cause des peigne-culs, des couillons, des putains,
Qui traînent dans la boue leur chapeau devant ton ombre,
Je hais en toi toute la vieille oppression séculaire, le dieu bestial,
Le défi aux hommes que nous ne savons pas être.
Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel,
Le blanc livide de tes remords.
Laisse-moi, ignoble symbole, pleurer tout seul, pleurer à grand coup
Les quinze cent mille jeunes hommes qui sont morts.
Et n’oublie pas, malgré tes généraux, ton fer doré et tes victoires,
Que tu es pour moi de la race vile des torche-culs.
EDIFIANT !
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Retour en images sur les affrontements de Nantes
10:18 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 22 février 2014
Après Rennes, Nantes… Valls toujours complice des milices bolcheviques !
20:30 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A bon entendeur...
15:46 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeux de mains, jeux de vilains
Un homme de 19 ans du quartier du Val-Fourré dans les Yvelines a eu la main déchiquetée par un tir de mortier alors qu'il participait à un guet-apens contre des pompiers hier soir, selon la police de Mantes-la-Jolie. "Le jeune homme devrait perdre une partie de ses doigts arrachés par l'explosion", a ajouté la police.
Vers 22H00 les pompiers ont été appelés dans ce quartier de Mantes-la-Jolie pour un feu de camion qui s'est révélé faux, avant que leur véhicule ne soit visé par des tirs de mortier. La police qui les accompagnait n'a pas été ciblée.
Une quinzaine de minutes plus tard, le jeune homme s'est présenté aux urgences de l'hôpital de Mantes-le-Jolie et a "reconnu s'être blessé avec un engin pyrotechnique". Opéré, il n'avait pas encore pu être entendu par les enquêteurs.
12:06 Publié dans Banalisation..., Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : aujourd'hui, samedi 22 février, Jean-Claude Rolinat à la Librairie française
La faillite de Mandela cliquez ici
Jean-Claude Rolinat dédicacera aussi
Salazar le regretté sorti en 2012 cliquez là
00:05 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 21 février 2014
Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
23:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Hazout condamné pour viols : après Strauss-Kahn encore un grand homme cloué au pilori !
Trust me I'm a doctor avait placardé André Hazout dans son luxueux cabinet de gynécologie du 17e arrondissement de Paris. Et pourquoi n'auraient-elles pas eu confiance les patientes d'Hazout, pour s'exposer à ce spécialiste de l'infertilité, nues, jambes ouvertes, pieds dans les étriers, à mille lieues de tout esprit de provocation ou de la moindre pensée libertine, tenaillées par le désir inassouvi d'enfant et surtout angoissées, redoutant le diagnostic final qui mettrait fin à leurs espérances. Et elles ont eu tort, 33 d'entre-elles ont eu tort de ne voir en lui qu'un praticien aussi cher que renommé oeuvrant en outre dans une clinique et deux hôpitaux alors qu'elles avaient affaire à un pervers, un prédateur sexuel caché sous une rassurante blouse blanche.
Convaincu de viols et agressions sexuelles sur six de ses patientes (27 plaintes concernaient des faits prescrits), l'homme a été condamné à 8 ans de prison et interdiction définitive d'exercer la médecine après seulement 4 heures de délibéré et malgré les envolées de la défense évoquant des "agressions sexuelles" évoluant en "rapports consentis" ! Et puis Hazout est une pointure dans sa partie, une épée de la conception in vitro, un cador de la procréation médicalement assistée, une espèce de bienfaiteur dans son genre et quel cerveau! Pratiquement l'excuse absolutoire à lui tout seul ! C'est sans doute pour cela qu'en dépit d'une dizaine de signalisations avérées, le Conseil Départemental de l'Ordre de Paris a fermé les yeux et les oreilles durant 20 ans. C'est sans doute pour cela aussi qu'un des bavards a pu conclure sa plaidoirie en s'adressant aux jurés : "si vous le condamnez au trou, vous le regretterez" (source:France Info)... menaces directes ou manière de dire qu'un tel puits de science ne saurait être exclu de la société sans dommage pour elle ?
L'affaire Hazout fait immédiatement penser à celle de son congénère Strauss-Kahn. Dans les deux cas, la défense tente de faire du viol ou de l'agression sexuelle une simple péripétie érotique avec des libertines, amours ancillaires ou adultère médical entre adultes consentants; dans les deux cas, il se trouve des "élites" pour sous entendre amèrement que des considérations aussi futiles privent le monde de son "meilleur économiste" ou de son superman de la fécondation artificielle. Et dans les deux cas, on a affaire à un luxurieux à la prétention incommensurable, persuadé de mériter d'être un dominateur qui prend ce dont il a envie sans avoir de compte à rendre.
André Hazout a dû rendre des comptes. Il est en tôle. Qu'il y reste !
17:34 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi 13 mars : une conférence sur l'ingénierie sociale à Paris
17:24 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Serge Dassault au bloc(h)
Patrick Gofman
Boulevard Voltaire cliquez ici
Laxiste, la justice de Mme Taubira ? Sans doute cette dernière a-t-elle dit que « la police devrait laisser les “jeunes” s’amuser » à casser et voler. Peut-être projette-t-elle de les exempter des peines de prison égales ou inférieures à cinq ans « ferme ». Mais sa justice vient (19 février 2014) tout de même de mettre en garde à vue Serge Dassault, 88 ans, sur le soupçon de corruption électorale. En veux-tu, en voilà, de la fermeté, il me semble.
Qui donc est ce célèbre inconnu, ce dangereux délinquant du 4e âge ? Vous pensez bien que son cas est infiniment plus grave que celui, par exemple, de cet assassin présumé récemment libéré dans le « neuf-trois » par une panne de fax.
Et son casier est chargé ! Ainsi la Gestapo dut-elle déjà l’arrêter, avec toute sa famille – alors dénommée Bloch – dans les années 40. Son père, Marcel, avionneur éminent, refusant de kollaborer avec la Luftwaffe, atterrit à Buchenwald. En 1946, la famille tente de se refaire une virginité en devenant catholique et en se rebaptisant Dassault.
Ce n’est pas tout. Le magazine US Forbes classe Serge Dassault (Polytechnique, SUPAERO) 69e fortune mondiale, 4e en France ! Quel affront pour le président Hollande, qui « n’aime pas les riches » ! Et réac, avec ça, Dassault. Il a pris la mairie de Corbeil-Essonnes (1995-2009) au PCF. Doyen d’âge du Sénat – qui vient enfin de lever son immunité parlementaire –, il ne craint pas de prêcher ouvertement contre la gauche et le progrès, de persécuter les rédacteurs avancés de son Figaro.
Selon lui, « Nous sommes en train de crever à cause des idées de gauche ». Et « J’espère que vous allez cesser de former des journalistes de gauche ! », ose-t-il enjoindre à des responsables du Centre de formation des journalistes (tout naturellement de gauche à 90 %). Il s’est même permis de voter contre le PACS en 1997, attribuant, à cette occasion, la décadence de la Grèce antique à son homosexualité.
Le 15 septembre 2013, les justiciers trotskistes du site Mediapart ouvrent la chasse. Serge Dassault aurait payé 1,7 million d’euros pour assurer la victoire de son successeur, Jean-Pierre Bechter, à la mairie de Corbeil-Essonnes. Les avocats de l’industriel assurent qu’il s’agissait de sommes versées à des fins philanthropiques.
Allons donc ! Marcel Dassault, père de Serge, était déjà réputé pour ses distributions hasardeuses de gros billets. La philanthropie, c’est le légitime monopole de la gauche, arrosant avec nos sous – pas les siens – près d’un million d’associations des banlieues, qui s’en montrent très reconnaissantes.
NDLR :
Le dernier livre de Patrick Gofman publié aux Bouquins de Synthèse nationale
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11:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Thibaud Viguier ou la surenchère dans l'islamo-collaboration à Beauvais
Source cliquez ici
L'apparatchik socialiste Thibaud Viguier, candidat à la mairie de Beauvais, a adressé un message à l'électorat musulman mardi en annonçant sa volonté d'accorder « un terrain bien situé et d'une taille adaptée à leur disposition à titre gratuit » pour la construction d'une future mosquée. Celle-ci est au point mort cliquez ici sur le premier site envisagé, rue Corréus, depuis la mobilisation nationaliste cliquez là let la menace d'un recours contre ce projet qui ne répondait pas aux normes élémentaires d'urbanisme.
La liste de rassemblement de la droite nationale menée par Thomas Joly, en cours de finalisation, est la seule à refuser catégoriquement l'implantation de l'Islam à Beauvais, contrairement aux autres candidats islamo-collabos et xénophiles.
10:15 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La charte des langues régionales
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L’Assemblée Nationale a débattu le 22 janvier 2014 d’une proposition de loi constitutionnelle du groupe socialiste portant modification de la Constitution afin de permettre la ratification de la Charte Européenne des langues régionales ou minoritaires. De nouvelles questions se posent.
La reconnaissance officielle de langues régionales ou minoritaires ne participe-t-elle pas de la déconstruction de l'Europe et ne vise-t-elle pas à accroître les fractures hexagonales déjà si nombreuses ? Le régionalisme européen n'est-il pas le serpent de mer de l'américanisation de l'Europe, de son « l'Otanisation », de sa fédéralisation souhaitée par les Atlantistes ? La question est plus qu'embarrassante pour les partisans d’une Europe des régions, du particularisme régional contre l'Europe des nations ou des patries. Et si nous n'avions pas pressenti l'instrumentalisation des régions au sein de la construction européenne ?
L’Assemblée nationale a voté le principe de la ratification de la Charte européenne des langues régionales qui a vu le jour en 1992 sur les bancs du Conseil de l’Europe. Elle vise à protéger et à promouvoir l’usage des langues dites régionales et minoritaires en Europe en leur conférant un statut officiel, et des moyens financiers pour renforcer leur usage notamment dans la sphère publique. La ratification avait buté sur l’article deux de notre Constitution selon lequel « la langue de la République est le français ». Si le Sénat suit demain l’Assemblée, ce qui devrait être le cas, eu égard aux postures politiciennes des différentes formations qui le composent, la voie à un changement de la Constitution sera ouvert. Et rapidement quelque 78 langues régionales auront un statut officiel en France.
L’éloignement et les particularismes locaux bien réels de l'Outre-mer, que l'on songe par exemple au Tahitien ou au Mahorais, justifient que les langues et cultures locales d’outre-mer soient protégées, y compris constitutionnellement mais en métropole, la situation n'est-elle pas tout autre ? Donner des droits linguistiques nouveaux, n'est-ce pas conforter les séparatismes et les communautarismes comme en Espagne ou en Flandre ? La question sous-jacente est-elle d'ailleurs vraiment celle à proprement parler des langues régionales ou celle de la langue arabe dialectale pratiquée dans certaines régions de France ?
Personne n’empêche aujourd'hui les Français d’échanger dans une langue régionale s’ils le souhaitent. Pôle emploi recourt régulièrement au créole pour faciliter la bonne compréhension des usagers aux Antilles mais faut-il aussi instaurer le multilinguisme pour tenir compte des langues de migrants (arabe dialectal, berbère, romani, wolof, swahili …), qui n’ont rien de régional mais sont parfois si importantes en certaines parties du territoire français qu'on n'entend plus que cela ? Est-ce là un moyen efficace pour renforcer l’intégration et permettre à chaque jeune Français de trouver sa place dans la société française ?
Ces débats de fond ont été esquivés. Pourtant, il semblerait que loin de l'actualité immédiate, il y ait eu un volontarisme et un empressement du gouvernement socialiste à faire passer la loi au plus vite. Pourquoi ? Certes, la ratification de la Charte constituait le 56e des 60 engagements du candidat François Hollande. De fait, le texte sur les langues régionales paraît aussi un cadeau qui ne mange pas de pain pour la Bretagne révoltée des bonnets rouges. Mais est-ce si innocent que cela ? Comment ne pas voir aussi que la reconnaissance officielle des langues régionales ou minoritaires participe de la déconstruction nationale programmée par les élites? Le texte ne va-t-il pas échapper à la logique régionaliste de 1992 pour servir d'autres intérêts, la dynamique d'une politique « remplaciste » ?
Revenons, sur ce point, sur quelques détails du texte de loi voté. Il précise à l’article 7-e que la notion de « groupe pratiquant une langue régionale » renvoie à la notion d’un peuple minoritaire enclavé dans un autre peuple. La proposition du groupe socialiste a donné une interprétation de la notion de « groupe » quasiment balkanique qui est contraire à ce que voulait la Charte de 1992 elle-même. De plus, les articles 9 et 10 de la Charte stipulent que « les langues régionales peuvent être utilisées en justice comme langue de procédure, l’accusé pouvant s’exprimer dans sa langue régionale' » et que « les autorités administratives utilisent les langues régionales, mettent à disposition des formulaires dans les langues régionales, et répondent dans cette langue »'. Ces dispositions sont bien évidemment contraires au bien connu article 2 de la Constitution de 1958.
En réalité, les députés socialistes ont fait diversion. Ils ont flatté les tenants des langues régionales ou minoritaires, et, en même temps, ils ont essayé de couper les ailes d’un texte qu’ils savent dangereux pour l’unité linguistique de la République. Bref, ils ont servi leurs intérêts électoralistes futurs auprès de la population immigrée. Ils ont en quelque sorte préparé le terrain de la division civile. Rappelons aussi que le Ministre de l'Education nationale a souhaité récemment généraliser, dans une feuille de route adressée aux éducateurs, l'enseignement de l'arabe ou d'une langue africaine mère dans les collèges et lycées pour favoriser, dit-il, sa chimère laïque de l'intégration.
On voit bien que la charte des langues régionales sert maintenant de tout autre intérêt que ceux du royaume de Bretagne, du Comté de Nice ou du pidgin de la petite île de Saint-Martin dans les Caraïbes.
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Nostalgie de la France
Georges Lautner s'est éteint il y a quelques semaines, à l'âge de 87 ans. Le héraut du cinéma populaire que la critique de l'époque n'épargnait guère s'en est allé rejoindre les étoiles, de celles qui survivent aux siècles et que les générations successives regardent, nostalgiques et pensives, sans se douter un seul instant que par ce seul acte, elles conjurent le temps qui passe et l'insolente marche du progrès. Quelque part là-haut, le tonton flingueur en a rejoint d'autres: Audiard dont on fêtera l'année prochaine le trentenaire de sa disparition, Gabin et sa «langue prodigieusement drôle», Francis Blanche menotté au grisbi, Bernard Blier qui à tous les coups dansera la capucine et Lino Ventura et son fameux «quadrille de mâchoires». A cette belle bande de copains s'en grefferont d'autres. Roger Nimier bien sûr, Antoine blondin assurément, peut-être le poète de Charleville-Mézières et pourquoi pas Céline, cet «anarchiste à l'état pur». Ensemble, nul ne doute qu'ils mettront «une volonté assez originale de mêler la préciosité à la truculence, l'intellectualisme au commerce, les joutes de truands aux raffinements d'esthètes, les accords de clavecin au jeu des silencieux, bref d'inscrire les règlements de compte dans une atmosphère de fête galante», comme ils s'y appliquèrent dans l'adaptation culte des quelques lignes du roman d'Albert Simonin et que Jean Narboni avait su bien décrire. Sans doute aussi, dans ces scènes qui se rejoueront, ils riront -avec Dieu et Bossuet - des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.
Car c'est un bien étrange paradoxe que celui de pleurer ces morts qui, vivants, désarçonnaient les idées du progrès et de l'hygiénisme et qu'en cela, on réduisait à des anarchistes de droite, des ploucs populistes, des beaufs dirait-on aujourd'hui.
Car c'est un bien étrange paradoxe de rire, cette fois à en pleurer, des incroyables tirades d'un Audiard qui ridiculisait le gaullisme, d'un Gabin qui célébrait l'ivrognerie, d'un Lautner qui préférait moquer la cage aux folles que de se lamenter de «la cage aux phobes» (expression consacrée bien après par Philippe Muray), là où il faut désormais y voir un négationnisme politique, une pathologie ou de l'homophobie.
Car c'est un bien étrange paradoxe que d'entonner le chant de la mélancolie en regardant devant son poste les images d'une France de clochers et de cartes postales en noir et blanc - quand les tabacs sentaient encore la gitane froide et le houblon sauvage, quand l'automobile exhalait des fragrances de pétrole en pétaradant joyeusement, quand les journaux se vendaient, et à la criée, quand la tolérance ne sortait pas outrageusement des maisons dans lesquelles on l'avait assignée, quand le sexe, d'ailleurs, n'était pas en plastique, quand les bistrots n'avaient pas encore expulsé les ouvriers pour les cadres financiers et les disc-jockey internationaux, quand le ventre de Paris n'avait pas été encore été déporté, quand le marquis de Cuevas et Serge Lifar se disputaient l'honneur d'un différend artistique au premier sang avant de s'étreindre, quand les chevaux ne se partageaient pas la première place entre deux couches de pâtes, quand on pouvait s'empiffrer à en exploser sans respecter le diktat des cinq fruits et légumes par jour, quand les cinq fruits et légumes par jours poussaient encore dans la terre et que leur prix était abordable, quand la novlangue n'avait pas encore remplacé la jactance hussarde, gouailleuse et française, quand le génie de l'invective n'avait pas en arrière-plan le salon de l'agriculture mais l'histoire, la culture, la curiosité pour les argots de métier et le langage de la rue- puis de couper le poste et d'hurler à la France moisie.
Mais alors, comme la Renaissance rejoua le classicisme romain, les lumières la Grèce antique, l'époque victorienne les codes médiévaux, notre monde moderne, «ce kolkhoze fleuri», mélancolique de l'esprit français frondeur et fripon, tenterait-il de renouer avec son âge d'or et une certaine mythologie française ? L'histoire raconte que le terme «nostalgie» (étymologiquement «retour à la douleur») fut inventé en 1678 par le médecin suisse Johannes Jacob Harder qui tentait de comprendre le mal frappant les mercenaires suisses de Louis XIV dès lors qu'ils entendaient des airs de leur patrie. En 1835, le dictionnaire de l'académie française le définissait comme une «maladie causée par un désir violent de retourner dans sa patrie» quand, quelques années plus tard Chateaubriand le réduisait à «un regret du pays natal». La version moderne de la définition s'accorda à la qualifier comme le désir d'un retour dans le passé, en insistant non plus sur la dimension géographique mais la dimension temporelle. Est-ce ce mal dont beaucoup d'entre nous souffrent lorsqu'ils entendent, entre la rue Monsieur-le-Prince, la rue de Condé et le Carrefour de l'Odéon, s'élever le duo de Bénech et Dumont, «Nuit de chine», que l'on connaît mieux grâce au célèbre binôme Gabin et Belmondo, dans le film culte «Un singe en hiver» ? Sans doute. Car nous convenons volontiers avec Gabriel Fouquet que ce monde sans canailleries, c'est «une paella sans coquillage, c'est comme un gigot sans ail, un escroc sans rosette: quelque chose qui déplaît à Dieu !»
Théophane Le Méné dans Le Figaro
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