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mercredi, 15 janvier 2014

Vaincre l'impopularité ?

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mardi, 14 janvier 2014

La mission de cet hiver de Solidarité Kosovo dans les enclaves chrétiennes du... Kosovo

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Le site de la Nouvelle Droite Populaire change d'adresse :

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Le Parti de la France soutient la Marche pour la Vie

tumblr_mz3c4vfBMK1rnng97o1_500.pngUn communiqué

du Parti de la France :

Le Parti de la France appelle ses militants et sympathisants à participer le dimanche 19 janvier 2014 à la 9ème Marche pour la Vie.

Carl Lang et Le Parti de la France considèrent en effet comme des valeurs non négociables le respect des droits de la personne humaine et la protection de la Vie de la conception à la mort naturelle.

Carl Lang et les dirigeants du Parti de la France seront présents comme chaque année à ce défilé et appellent les responsables politiques attachés à la défense de nos valeurs de civilisation à soutenir cette manifestation.

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lundi, 13 janvier 2014

RETOUR SUR UNE MANIPULATION EXEMPLAIRE...

3023457037.jpgGeorges Feltin-Tracol

Europe Maxima cliquez ici

Le 5 juin 2013, l’Hexagone et sa quintessence fétide, le complexe politico-économico-médiatique (ou CoPÉM) entraient dans une transe hystérique. Un jeune étudiant à Sciences Po Paris de 19 ans, Clément Méric, venait d’être assassiné par des S.A. sortis du plus sombre passé de l’histoire. Très vite, tels des chiens bien conditionnés de Pavlov, les médiats accusèrent un service d’ordre informel, les Jeunesses nationalistes-révolutionnaires (JNR), une formation politique, Troisième Voie (TV), et un homme, Serge Ayoub, d’être à l’origine de ce décès. À la suite d’une incroyable et démente campagne de presse, le gouvernement de fait qui met en coupe réglée la France au nom des banksters transnationaux décide de dissoudre les JNR, TV et même l’association « Envie de Rêver » qui s’occupait du Local 92 dans le XVe arrondissement de Paris. Pendant plusieurs années, chaque jeudi s’y déroulait une conférence de haute tenue. Mais la pluralité intellectuelle des intervenants contrastait trop avec l’uniformité obligatoire imposée par le CoPÉM.

C’est sur le déroulement des faits précédant la mort de Méric et l’incarcération d’Esteban et de Samuel que Serge Ayoub revient dans cet ouvrage au ton posé et relevé. Face à la tempête et « le dos au mur, il ne nous restait alors qu’une seule posture : nous battre, et rester debout face à la tourmente (p. 4) ». Cette affaire leur valut de graves répercussions. « Plusieurs de mes amis et moi-même avons perdu nos emplois (p. 16). » Contre ce tintamarre médiatique, « il faut […] voir ce livre comme l’expression indispensable d’une autre version, celle des mis en examen (p. 4) ». Serge Ayoub rappelle la chronologie des événements, démontre les incohérences de la « thèse officielle » répandue par les médiats, et relate ses cinq heures d’interrogatoire par des « policiers à la mémoire sélective (p. 16) ».

Délires gouvernementaux et antifas

Mais il ne se contente pas de revenir sur ce drame; il examine avec soin ses développements politico-médiatiques. Serge Ayoub s’indigne principalement de l’action délétère que jouent les « antifas » dans le désordre public actuel. Sa position sur la violence est imparable : « Quant à la violence, s’il est vrai que mes camarades et moi sommes prêts à nous défendre en cas de force majeure, nous savons aussi qu’il faut éviter toute espèce d’affrontement physique avec l’extrême gauche antifa, tant par conscience du risque judiciaire que par intérêt politique (p. 24). » D’ailleurs ce ne sont pas les militants de TV ou des JNR qui miment l’avortement du Christ dans une église la veille de Noël ou qui urinent sur le portrait du président ukrainien. En revanche, c’est toute une mouvance pathogène, complice du pouvoir en place, qui s’agite ainsi. Les hiérarques socialo-rosâtres vivent dans la hantise d’un complot de l’extrêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêêême droite et craignent le coup d’État quotidien. D’où leur attitude vindicative, en particulier celle du squatter de Matignon, « ce Jean-Marc Ayrault, aux manières obséquieuses d’un maître d’hôtel vous détaillant un menu alors que la cuisine est vide, se pique à présent de jouer au hussard (p. 70) ». Il faut dire que le PS reste un exemple de vertu civique, exempt du moindre scandale politico-financier, du sang contaminé, des trucages électoraux internes (élections primaires) et externes, etc.

L’auteur explique que les antifas avaient dans leur viseur inquisitorial Esteban et sa compagne Katia qui militaient pour la cause animale. En perte de vitesse, les antifas cherchent à infiltrer et à politiser de nouvelles luttes dont la protection animalière. « Pour les antifas, tous les animaux doivent être encartés à gauche ! (p. 22) »

En vérité, « les antifas ne sont pas des gens qui luttent contre le système. Celui-ci les protège. Du système, ils sont en vérité les alliés objectifs. Il y a en eux tout ce qui fonde l’esprit néo-conservateur de gauche ou de droite : raisonnement manichéen en termes de Bien et de Mal, mépris de la question sociale et conviction qu’on peut tout se permettre. Les antifas modernes et les néo-conservateurs ont d’ailleurs en commun la même origine : le trotskisme, dont une des devises est “ Leur morale et la nôtre ”. Autrement dit, la fin justifie tous les moyens (pp. 43 – 44) ». Ce sont en outre « des révolutionnaires avec un traitement de fonctionnaire. Couverts par un système qu’ils prétendent combattre, ils se comportent en supplétifs des RG, fichant, dénonçant la moindre maladresse de ceux qui ont le tort de ne pas être de leurs idées (p. 80) ». En effet, « défenseur d’une culture hors-sol, les antifas modernes ont une défiance spontanée vis-à-vis du réel (p. 36) ». Bref, leur combat n’est « qu’un conformisme radical et une rébellion autorisée (p. 30) ». De là, « la confrontation entre l’homme ancien, Esteban, et Clément Méric, l’homme nouveau, se trouve être aussi un télescopage entre l’étudiant bourgeois et le travailleur (p. 38) ». Car, si Clément Méric était un fils de bonne famille (parents universitaires), Esteban, fils d’immigrés, est, lui, un prolétaire.

Naufrage du journalisme

Si le CoPÉM s’est souvent tu sur les origines sociales respectives des protagonistes, c’est parce que Méric était l’un des siens, un parfait produit de la reproduction consanguine d’une oligarchie anti-française. Tel un Pierre Mazeaud avorté du nom de ce politicien gaulliste qui militait dans sa jeunesse chez les anars avant de travailler à Matignon au cabinet de Michel Debré, Clément Méric aurait fini – une fois le diplôme de l’ENA en poche – dans un ministère, fort d’un passé signifiant en références dociles. Voilà pourquoi la culpabilité d’Esteban « seule est convenable pour l’ordre moral actuel. […] Un nationaliste est par essence coupable, puisqu’il remet en cause l’ordre profondément antinational de notre société moderne (p. 55) ».

Outre les politicards faillis, la grande responsabilité de l’intoxication revient aux journalistes, ces forces d’occupation mentale. Certes, Serge Ayoub le reconnaît volontiers, certains d’entre eux ont fait correctement leur travail : Éric Zemmour, Dominique Rizet de BFM TV, Aziz Zemmouri du Point. Les autres ont surtout désinformé l’opinion. « Quand les journalistes écrivent sous la dictée de la police, leur journal ne peut plus s’appeler Libération, mais Pravda. En trois mots le journalisme devient bête, méchant, et en plus, content (p. 52). » Pis, ces journaleux ,« tels des clones succédant à d’autres clones, n’ont aucune imagination. Ils réduisent la vie en société à noir ou blanc, à bien ou mal, classe, pas classe, gentil, pas gentil (p. 29) ». Ces esprits binaires « sont convaincus de vivre dans le meilleur des mondes possibles. S’il en existe un autre, c’est celui des salauds (p. 28) ». Ils virent dans ce drame un effet immédiat des grandes manifestations populaires contre la légalisation futile du mariage inverti. Ces tartuffes de pacotille instrumentalisèrent cette affaire afin de condamner toute opposition considérée comme « homophobe » à ce projet stupide. Pour Serge Ayoub, « un militant gay, c’est cela : un homme de gauche qui n’a pas d’autres problèmes dans sa vie que sa sexualité, et qui en fait donc son unique combat (p. 61) ». Les féministes avaient déjà politisé leur vagin. Maintenant, sous prétexte de lutter contre le racisme, l’homophobie, le sexisme, la transphobie, le trop froid, le très chaud, « nous vivons sous un régime de terreur invisible, de parole réduite, d’exclusion sociale (p. 83) ». Nos modernes pisse-copies sont les fidèles larbins de ce totalitarisme implicite.

Il faut comprendre que « la grande ambition de ces petits journalistes est bien souvent d’intégrer Canal + et de prendre beaucoup d’argent sur la chaîne la plus vulgaire de France, qui fait l’essentiel de sa programmation sur le cul, le foot et les people (p. 28) ». Quant à la justice, maints de ses membres obéissent servilement aux Diktat des médiats et des politicards. Les magistrats rouges existent vraiment ! Sinon pourquoi l’enquête sur les assassins de Yann Lorence n’avance-t-elle pas ? Si Esteban avait été tué, cette mort serait passée inaperçue. Souvenons-nous de la disparition de Sébastien Deyzieu en 1994 (sous Pasqua) et du meurtre en 2006 (sous Sarközy) de Julien Quémeneur par un flic plus tard révoqué.

Passivité frontiste

Revenant à l’affaire Méric, Serge Ayoub s’étonne du peu de réactions contre cette récupération honteuse par les antifas. Pour l’occasion, le Front national (FN) en quête de dédiabolisation cosmétique a manqué de courage alors qu’« il fallait sauter sur l’occasion, pour montrer à l’opinion ce qu’est vraiment la diabolisation de nos idées : une somme de mensonges organisés (p. 92) ». L’auteur se dissocie clairement de ce parti électoraliste parce qu’il sait que « la politique est une guerre, pas un casting ( p. 97) ». Il avoue son populisme, car « c’est le peuple qui est le véritable ressort du changement. Quand il le décide, il est le maître dans son pays (p. 97) ». Nullement fasciste – le fascisme étant une doctrine désormais bien éculée –, il s’affiche solidariste et rajoute même qu’il est hyper-républicain. Sur ce plan, il serait capable d’en remontrer à Manuel « le Chimique quand même ». Serge Ayoub et l’actuel ministre de l’Intérieur, chargé des Cultes mais aussi de l’Humour autorisé et de la Gastronomie (tout disposé à proscrire la quenelle, la banane et l’ananas ?) admirent Georges Clemenceau dont le portrait figurait en bonne place sur les murs du Local 92. Mais l’ancien maire « quenelleur » d’Évry le savait-il ?

Cet ouvrage est le témoignage d’une victime collatérale qui n’a pas l’habitude de se laisser faire et qui, au nom du peuple français, s’assume en ennemi implacable du CoPÉM, d’où sa sulfureuse réputation dont il se moque bien parce que Serge Ayoub est d’abord et avant tout un homme libre aux idées franches.

• Serge Ayoub, L’affaire Clément Méric. Du fait divers au scandale politique, Éditions du Pont d’Arcole, postface de Me Nicolas Gardères, Paris, 2013, 123 p., 15 €.

NDLR :

1234352_363974597069473_2033929008_n.jpgLe livre de Serge Ayoub, L'affaire Clément Méric, du fait divers au scandale politique, est en vente aux Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici

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21:34 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ecotaxe ASSEZ ! Tous le 26 janvier à Paris !

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VAUDEVILLE A L’ELYSEE...

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Le Bloc-notes

de Jean-Claude Rolinat

Sous les ors d’un Palais de la République, et non pas sous les lambris d’une bonne scène de théâtre, c’est à une version renouvelée d’une pièce de Labiche ou de Feydeau à laquelle nous venons d’assister.

En catimini, le Président quitte sa tanière dorée pour se rendre, ça ne s’invente pas, rue du Cirque à quelques encablures de l’Elysée pour faire, sans doute, quelques galipettes avec une jeune célébrité du petit et grand écran…. Qui l’eut cru ? Notre actuel Chef de l’Etat n’a pourtant rien d’un jeune premier, son look nous fait plutôt penser à un employé de banque ou à un courtier en assurances – au demeurant professions honorables – plutôt qu’à celui d’un bellâtre, dragueur impénitent. Eh bien, il ne faut pas  se fier aux apparences. Il est vrai que ce séducteur a déjà collectionné quelques belles dames : Ségolène et Valérie sont encore de bien belles plantes, même si l’une des deux est une plante verte… de rage ! Comment « Monsieur petites blagues » fait-il pour prendre d’aussi pimpantes  créatures, y compris sa dernière conquête, dans ses filets ? A-t-il, comme le chante Dutronc, quelque chose de spécial, qui fait « crac, boum, hue »… ?

Espérons, en tout cas, que notre François ne termine pas sa carrière prématurément comme feu le Président Felix Faure. Il lui reste encore trois ans avant la fin de son mandat et nous avons encore envie de rire (jaune) !

NDLR :

mandela.jpgLe nouveau livre de Jean-Claude Rolinat : La faillite de Mandela édité aux Bouquins de Synthèse nationale.

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CELINE - LUCHINI A PARIS

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Manuel Valls piégé ? Après l’offensive anti-Dieudonné, l’offensive anti-Valls ?

Randa Philippe août 2010 Portrait.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Les commentaires sur « l’affaire Dieudonné » se font autour de quelques arguments rabâchés de part et d’autre, mais personne, semble-t-il, n’envisage qu’elle ne serait peut-être qu’un simple prétexte : Et si Manuel Valls, obsédé qu’il est par ses ambitions personnelles – Matignon au plus tôt, l’Élysée dans trois ans – n’avait pas vu le coup venir ? S’il était tombé dans un piège ?

Piège nullement tendu par le sulfureux humoriste, mais par une (grande) partie de son propre camp qui supporte de moins en moins sa morgue et ses ambitions ?

Depuis deux ans, on ne cesse de s’interroger sur la popularité de Manuel Valls dans l’Opinion publique, tandis que celles du Premier ministre ou du Président se sont effondrées et peinent à ne pas être englouties… Ne suppute-t-on pas à tout bout de champs qu’il pourrait bientôt remplacer Jean-Marc Ayrault à la tête du gouvernement ? Ce, alors même qu’il est loin de faire l’unanimité au PS qui regorge d’ambitieux, d’hier et d’aujourd’hui… sans parler de la détestation qu’il inspire aux dirigeants d’Europe-Écologie-Les Verts après quelques tirades – sans suite ! – sur les Roms.

Et ses désaccords et sa rivalité avec le ministre de la Justice à propos notamment de la réforme pénale… oubliés ? En août dernier encore, BFMTV n’annonçait-il pas : « Entre Taubira et Valls, la guerre est déclarée » ? Aujourd’hui, ce serait l’union sacrée autour de Manuel Valls ? Qui peut le croire ?

Contre Dieudonné, justement, n’est-ce pas Christiane Taubira qui aurait dû être à l’offensive ? Elle s’est montrée, c’est le moins qu’on puisse dire, étrangement en retrait…

Oublie-t-on, toujours, que le crédo de Dieudonné M’Bala M’Bala a longtemps été le sien : la discrimination envers leur communauté respective – les Noirs – ce, avant que l'anti-sionisme ne devienne obsessionnel chez l’ex-partenaire d’Elie Semoun ?

En laissant Manuel Valls orchestrer seul l’offensive anti-Dieudonné, son propre camp, étrangement observateur, semble espérer autre chose que la mise au pilori médiatique du saltimbanque, loin de faire l’unanimité dans l’Opinion publique.

D’autant que des voix se sont élevées de part et d’autre pour s’étonner de l’impunité dont ont bénéficié jusqu’à présent les Femen de la part du Ministère de l’Intérieur et que Léonarda et sa tribu menacent de repointer sous peu leurs vilains museaux en France…

Pierre Joxe, prédécesseur de Valls place Beauvau et Jack Lang, ancien Ministre de la culture, ont ouvertement critiqué sa stratégie – maladroite pour l’un ; nocive, pour l’autre – tandis que Pierre Tartakowsky, président de la Ligue des droits de l'Homme (LDH) estime que  « le juge n'a pas fait prévaloir la liberté d'expression sur l'interdit et c'est une décision qui est lourde de périls. »

Dieudonné vient d’annoncer publiquement qu’« il n'y a plus d'affaire Dieudonné », puisqu’il renonçait à son spectacle controversé Le Mur, étant prêt à en interpréter un autre où « il n'y aura pas les propos visés ». Dit-il, en tout cas…

Sortie (provisoire sans doute) du saltimbanque. Reste Manuel Valls, seul, auréolé d’une victoire juridiquement discutable… et revêtu d’une vilaine tunique de Nessus de fossoyeur de la liberté d’expression.

Vendredi soir, justement, Les Guignols de l’Infos se sont ouvertement moqués de lui et de sa « police des spectacles »… Après l’offensive anti-Dieudonné, l’offensive anti-Valls ?

13:49 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Voix de la Russie de cette semaine

13:48 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

VACANCE DU POUVOIR A BANGUI. Une conséquence de la politique à court terme de la France

1_bangui_téléchargement.jpgMichel Lhomme

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Depuis dix mois à la tête de la République Centrafricaine, Michel Djotodia et son Premier ministre Nicolas Tiangaye ont démissionné ce vendredi 10 janvier 2014, à l'occasion du sommet de la CEEAC, l'organisation sous-régionale d'Afrique centrale, qui s'est tenu à Ndjamena au Tchad. En près de dix mois d'exercice du pouvoir, soutenu par Paris, Michel Djotodia n'aura pas réussi à convaincre. Sur le plan militaire, il avait échoué. Contrairement aux engagements oraux donnés à l'Ambassadeur de France à Bangui de mettre au pas ses propres combattants, les mercenaires fanatisés de la Seleka, qui l'ont amené au pouvoir, Djotodia n'est jamais parvenu à le faire. Le désarmement des combattants qu'il avait ordonné, est resté lettre morte. Le résultat, on le connait, ce furent les massacres sanguinaires, les charniers des ruelles de Bangui. 

Sur le plan politique aussi, l'échec est tout aussi patent. Michel Djotodia n'a pas su donner de cohérence à son action. Il n'a créé ni mouvance, ni formation. Autrement dit, ce petit chef de guerre plutôt médiocre ne se sera pas transformé en leader politique. De plus, alors qu'il avait pris le pouvoir au nom des communautés du nord, victimes selon lui de marginalisation, il n'a rien entrepris durant son court mandat pour améliorer leur sort.  Maintenant, les membres du Conseil national de la transition doivent se réunir à Bangui en session extraordinaire pour désigner le nouveau chef de l'exécutif. Ils doivent faire leur choix dans un délai de quinze jours. Entre temps, c'est le président du CNT (Conseil national de transition), Alexandre Ferdinand Nguendet qui assurera l'intérim à la direction de l'exécutif, comme le prévoit l'article 23 de la Charte de la Transition signée. Cet intérim présidentiel et gouvernemental donnera lieu forcément à de complexes tractations, car pour l'heure, aucune personnalité centrafricaine ne semble s'imposer. Et puis, on le sent bien, de toutes les façons, c'est Idriss Déby qui décidera du sort de la République Centrafricaine, la France hypocritement, se défendant d'ailleurs de vouloir s'immiscer dans ce choix !

En fait, on murmure dans les milieux bien informés que la visite au Tchad de Jean-Yves Le Drian au Président Idriss Déby juste avant qu'il ne passe le réveillon de la Saint-Sylvestre avec nos soldats, fut longue, plus de deux heures d'entretien et très ''mouvementée''. Idriss Déby, véritable homme fort de la région, a autorisé la France à utiliser Faya Largeau comme base aérienne pour ses mirages. C'était un impératif logistique pour l'armée française mais on craint qu'il ait été mal négocié. On apprenait en effet quelque temps après, que le Tchad enverrait huit cent de ses soldats incorporés dans la Misca au nord de la République Centrafricaine ! La France raisonnant sur le court terme est bien sûr satisfaite car pour elle, c'est un plus militairement et les soldats tchadiens seraient mieux acceptés au Nord du pays. Mais ce que ne voit pas la France ou plutôt ce qu'elle ne veut pas voir, c'est que cette présence militaire tchadienne au Nord de la RCA même s'il est sous le couvert d'une intervention internationale est une sorte d'invasion et surtout alimente le spectre d'une partition prochaine de la République centrafricaine. Parallèlement, la France a aussi accepté d'aider le régime tchadien à rapatrier ses 30 000 ressortissants présents en RCA.

La France compte-t-elle  tout céder à Idriss Déby ?

Le Tchad va-t-il maintenant donner entièrement le La au Sahel ? Certes, notre approvisionnement en uranium est en jeu mais ne faudrait-il pas mieux dans les affaires sahéliennes et puisqu'on a, de fait, éliminé Khadafi, s'attaquer maintenant à la source du problème et donc finir en quelque sorte le travail avec Idriss Déby ? Le problème du Sahel est le problème Idriss Déby. Que la France défende ses intérêts, c'est son droit et son devoir mais elle devrait éviter de se couper du peuple centrafricain en soutenant ostensiblement un chef d'état devenu beaucoup trop entreprenant à l'extérieur. 

La question de l'appui inconditionnel français au Tchad et à Idriss Déby, pyromane de la région mais aussi susceptible un jour d'être condamné au Tribunal de la Haye se posera. Cela fait partie des évidences historiques. Encore faudrait-il s'y préparer et pour cela penser ses engagements sur le long terme et non dans une politique délétère de l'urgence humanitaire ou d'une logistique militaire de bout de ficelles !

12:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pendant ce temps-là, l’hyper-classe capitaliste continue à ravager l’hexagone…

imgscan-contrepoints-660-Capitalisme-de-connivence-1024x578-600x338.jpgMartin Schoumann

Terre et peuple Catalogne cliquez ici

L’affaire dite, Dieudonné monté en épingle par le Système afin de détourner l’attention du Peuple ; ne peut masquer la réalité de la prédation capitaliste qui s’accentue de jour en jour sur notre pays… Pendant que les élites communautaires, politiques, médiatiques et financières s’acharnent sur Dieudonné… La France s’enfonce de plus en plus dans la crise sociale et économique orchestrée par les ordures ultra-libérales de Wall Street…

En effet pour janvier 2014, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A a progressé de 17 800 sur un mois cliquez ici (chiffre surement bien en dessous de la réalité), rien que pour la Catalogne du Nord le chômage monte jusqu’à 15,7 %… Sans oublier d’émettre bien sûre, le plan social qui touche la Redoute et qui risque de supprimer 1 178 emplois ainsi que les ouvriers de Goodyear qui sont totalement liquidés par la direction … cliquez là et ici

Mais monsieur, le marquis de Hollande s’en fiche royalement de la paupérisation des travailleurs et du déclassement social que beaucoup subissent à cause du chômage… Car pendant que les obsédés de la quenelle partent en croisade contre le “nazi noir” Dieudonné. La Cour des comptes épingle l’État pour l’augmentation de sa dette cliquez ici d’où les récentes mesures fiscales prise par l’Etat :

- RETRAITE : Les cotisations acquittées par les entreprises et les salariés augmentent, ainsi que celles du régime général de base. Les majorations de pension des retraités ayant eu au moins trois enfants sont désormais soumises à l’impôt.

- TVA : le taux normal passe de 19,6% à 20%, le taux intermédiaire de 7% à 10% (hôtellerie, restauration, transports…). Pour les centres équestres, elle augmente de 7% à 20% pour se conformer à la réglementation européenne.

- QUOTIENT FAMILIAL : certaines familles (environ 13% des foyers fiscaux) subiront également une nouvelle cliquez là, de 2 000 à 1 500 euros par demi-part.

- TABAC : à partir du 13 janvier, le paquet de cigarettes augmente de 20 centimes, portant le plus onéreux à 7 euros. Le tabac à rouler grimpe de 50 centimes.

- ÉNERGIE : Les factures d’électricité devraient augmenter d’environ 2%, en raison d’une hausse de la Contribution au service public de l’électricité (CSPE), une taxe sur la facture d’électricité. En outre, les tarifs TTC de l’énergie vont répercuter les variations de TVA. Le gaz et l’électricité passent ainsi de 19,6 à 20%.

Voilà comment l’État montre les muscles vis-à-vis d’un simple comique, au lieu de réduire au silence les racketteurs de la finance internationale qui présure le pays via leurs éternelles marionnettes politiciennes…

Encore une fois cette Tartuffe de Hollande montre de quel côté du manche il est…

11:52 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Amiens : les nationalistes se sont retrouvés nombreux pour la galette des rois...

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Samedi 11 janvier, la galette des rois organisée par le Parti de la France, le Picard Crew et Europe Identité, a réuni une soixantaine de nationalistes. Avant la dégustation de la galette dans une ambiance de saine camaraderie, il y eut trois prises de paroles.

C'est tout d'abord l'Amiénois Werner Riegert, chef du Picard Crew, qui dressa un rapide panorama de l'actualité locale puis nationale avant de rappeler qu'il est de notre devoir d'organiser notre légitime-défense contre les dangers qui menacent les nôtres.

Ce fut ensuite Josselin d'Europe Identité, venu exprès de Lyon, qui expliqua la dimension politique et européenne de son mouvement ainsi que ses priorités.

C'est Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, qui conclut les interventions en revenant sur l'affaire Dieudonné qui a révélé au grand jour le puissant lobby qui gouverne réellement la France, mettant en garde contre le précédent que constitue cette grave atteinte à la liberté d'expression. Réaffirmant que les Gaulois sont encore ici chez eux, que les Français ont encore des droits et ont vocation à rester maîtres dans leur propre pays, il a rappelé que le Parti de la France menait un combat de civilisation et de décolonisation migratoire.

02:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 12 janvier 2014

Dimanche 26 janvier : TOUS A PARIS !

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14:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Persécuté par Valls et ses sbires, Dieudonné abandonne "Le Mur" et lance "Asu Zoa" !

4212394941.jpgYves Darchicourt

Désormais persécuté par tous les godillots préfectoraux de France, sans beaucoup de chance de gagner d'autres recours devant les tribunaux administratifs et sans aucun espoir d'être seulement entendu par le Conseil d'Etat,  Dieudonné vient d'annoncer qu'il annulait définitivement la présentation de son spectacle "Le Mur" qui fait pourtant régulièrement un tabac partout où il se produit, au grand dam de certain lobby qui n'existe pas, des frères trois points, des agents du Mossad, de la nébuleuse ripoublicaine et de tous les patentés du Système.

L'humoriste a  déclaré avoir composé et mis au point un tout prochain spectacle nommé "Asu Zoa" inspiré de "mythes ancestraux, de croyances primitives et illustré par un éléphant dans la savane" Il sera éminemment difficile à Manuel"Gaz" Valls d'ordonner l'interdiction préalable d'un spectacle sauf à faire décréter par un autre robin stirnoïde que Dieudonné est désormais, partout et définitivement interdit de toute forme d'expression.

L'apprenti dictateur naturalisé n'est sans doute pas à çà près, mais son Pépère à 20% de satisfaits n'a peut-être pas intérêt à laisser faire l'énergumène. La Ripoublique est déjà tellement déconsidérée !

11:39 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Phare éteint du marxisme criminel et gâteux, Mao a 120 ans

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Patrick Gofman

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Né le 26 décembre 1893 dans une cambrousse du Hunan (sud de la Chine), il est mort dans son lit à 83 ans. Et il n’est pas près d’être jugé. Pourtant, « Mao, avec Staline et Hitler, est l’un des plus grands meurtriers de masse du XXe siècle », lit-on (enfin, le 17 juin 2011) dans Libération, quotidien maoïste en France aujourd’hui possédé par Édouard de Rothschild.

Le dictateur préféré – jusqu’à nos jours – d’Alain Badiou (Normale Sup), acclamé par un troupeau d’un million de gardes rouges à Pékin, ne parlait que le patois « xiang ». La plupart des Chinois ne comprenaient pas ses discours. Mais il valait mieux les applaudir frénétiquement. « Vü êtes tusse des kongs. » « Ouais ! Vive Mao ! »

Le Phare éblouissant de la Pensée n’est devenu marxiste qu’en 1920. Il avait 27 ans. Comme tout le PC chinois, il collabore avec le Kuomintang nationaliste jusqu’en 1926. Alors commence la Longue Fuite, pardon, Marche. Les atrocités et les assassinats en masse, révèle L’Histoire (octobre 2007), avaient déjà cours dès les années 1920 et 1930 dans toutes les bases rurales des communistes. Mao n’est pas à la traîne dans le Jiangxi : 700 000 morts, soit 20 % de la population, de 1931 à 1934.

« La Longue Marche » proprement dite : 100 000 paysans rouges traqués par un million de nationalistes, 7 000 survivants. Et j’ai encore chez moi les “Écrits militaires” du boucher ! J’envisage de les mettre au cabinet.

1941-45 : tandis que le Kuomintang fait face à l’invasion japonaise, le PCC engage son « mouvement de rectification », inspiré des purges staliniennes. 80 000 communistes rectifiés. La guerre civile reprend au départ des Japonais, et cette fois les Rouges ont le dessus. 1949 : Tchang Kaï-chek à Formose (Taïwan), Mao au balcon. La République populaire de Chine est née, le massacre redouble.

1957 : « Que cent fleurs s’épanouissent ». Et hop, les intellos naïfs qui l’ouvrent sont écrasés.

Le « Grand Bond en avant » (1958-1962), ce fut dans la tombe pour 30 (ou 43 ?) millions de Chinois. On y vit (par exemple) un « haut-fourneau » par village ! Chauffé avec les meubles de la population ! Et la Chine pop. exportait des céréales sous le nez de millions de mourants et d’anthropophages ! Pensez-vous que Mao s’en faisait ? Il vous répond lui-même, dans son style caractéristique : « Quand il n’y a pas assez de nourriture, des gens meurent de faim [exact]. Il vaut mieux laisser mourir la moitié de la population, afin que l’autre moitié puisse manger suffisamment. »

Après cet épisode, le Grand partouzeur (amateur de très jeunes filles) était un peu déconsidéré chez les cadres du PCC. Sa réaction ? « Feu sur le quartier général ! » C’est la « Grande Révolution culturelle » (1966-1969). « Révo. cul. dans la Chine pop. », l’appellent les mauvais élèves de Badiou. Encore des millions de morts, avec la destruction massive du patrimoine culturel.

Le criminel Mao reste pourtant une icône dans la Chine d’aujourd’hui, où le Parti communiste gère un capitalisme débridé, variante de sa doctrine imprévue par la compagnie Marx & Engels. Le laogai est beaucoup plus peuplé que le goulag, et ce n’est qu’en 2014 que l’on envisage son abolition. À l’autre bout de l’échelle sociale prétendue collectiviste, une petite-fille du dictateur, Kong Dongmei, est classée 242e fortune du pays.

Alors, « Mao, avec Staline et Hitler, […] l’un des plus grands meurtriers de masse du XXe siècle » ? Seulement ? On lui attribue pourtant 65 à 70 % des 100 millions de morts du communisme. Badiou a raison : Mao est le plus grand ! Et BHL fut un temps son prophète.

NDLR :

couv2.jpgPatrick Gofman est l'auteur du livre Le trotskisme dégénéré édité aux Bouquins de Synthèse nationale.

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La Ligue francilienne sera dans la rue le dimanche 26 janvier jour de colère :

image.jpegUn communiqué de la Ligue francilienne (Réseau identités) :

Nous appelons à soutenir ce grand "Jour de Colère" parce que notre vie quotidienne semble de jour en jour en déshérence au plus profond de notre identité, au vu de l'évolution de nos lieux de vie qui deviennent de plus en plus de véritables carrefours nomades répondant aux appels d'un mondialisme sans repères et sans valeurs.

Par notre présence nous dénonçons aussi ce jacobinisme débridé et conquérant qui nous réduit à l'effacement programmé de notre mémoire culturelle et de notre héritage civilisationel. 

Cette manifestation a l'audace et l'intelligence de faire converger toutes les colères qui règnent depuis plusieurs mois.

Aujourd'hui, les libertés sont bâillonnées par la pression fiscale, morale et médiatique : manif pour tous, pétition CESE... Les libertés familiales et individuelles sont entravées par un gouvernement qui ne s'en cache même pas.

Par sa participation au "Jour de Colère", la "Ligue Francilienne" veut ainsi concourir à l’expression démocratique en Île-de-France en assurant la promotion et la défense des identités historiques et des libertés publiques des habitants de cette région.

02:50 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Le Journal du Chaos de cette semaine cliquez ici

02:48 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 11 janvier 2014

Ce matin, malgré une pluie battante, de nombreux Calaisiens étaient dans la rue contre l'immigration...

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Ils en ont assez de subir... ils se révoltent !

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Et ce n'est qu'un début...

La manif du Collectif Sauvons Calais cliquez ici

15:13 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Anvers : le Vlaams belang mord à nouveau

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Lionel Baland cliquez ici

La campagne locale du Vlaams Belang a été présentée ce jeudi 8 janvier 2014. L’homme fort du parti Filip Dewinter a déclaré que le slogan « Le Vlaams Belang mord à nouveau ! » a pour objectif d’indiquer aux électeurs qu’un vote pour le Vlaams Belang « est une voix offensive contre la politique laxiste d’immigration. » 

Le Vlaams Belang dénonce le fait que la ville d’Anvers gérée par le maire national-centriste N-VA Bart De Wever investisse 50.000 euros dans une action de sensibilisation à l’occasion des 50 ans de l’immigration marocaine et turque en Belgique.

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12:32 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Contre la "théorie du genre", Alain Escada, Président de Civitas, entreprend une série de conférences

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- 10 janvier à Plauzat (entre Clermont Ferrand et Issoire), 1 rue des Ecloses, 20 heures
- 15 janvier à Toulouse, salle Barcelone, 22 allées Barcelone, 20 heures
- 1er février à Besançon, villa Blanche (1ère sortie rond-point de Chaleze), 20 heures
- 8 février à Chartres, 11 bis rue des Jubelines, 20heures 
- 15 mars à Noisy le Grand, 10 rue Jules Ferry, 20 heures
- 20 mars à Lyon, 56 Bd d'Inkermann, 6ème, 20 heures
- 28 mars à Villechauve (près de Vendôme) à "La Lune et les Feux", 11 rue Pasteur, 20 heures

12:18 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 26 janvier : TOUS A PARIS !

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12:12 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"La fallite de Mandela", le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat est dans les bonnes librairies parisiennes :

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12:06 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Où trouver Synthèse nationale à Paris ?

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12:05 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dieudonné interdit à Nantes: 45 minutes de réflexion pour le juge Stirn !

1281972709.jpgYves Darchicourt

Ainsi donc le Conseil d'Etat s'est finalement plié aux injonctions de Manuel Valls et in extremis a rendu caduque la décision prise par le Tribunal administratif de Nantes qui avait annulé l'arrêté d'interdiction du spectacle de Dieudonné pris par le Préfet en application de la circulaire répressive du premier lobbyiste de France.

En fait, le Conseil d'Etat a été saisi en référé par le gominé ministériel et c'est donc un juge unique qui s'est prononcé sur le pourvoi. En l'occurrence c'est le juge Bernard Stirn qui a été chargé d'expédier l'affaire et "expédier" est bien le mot puisque le robin a rendu sa décision en 45 minutes !

On ne sait pas si Stirn était le juge de permanence, s'il a été tiré au sort, s'il s'est porté seul volontaire ou s'il a été choisi en fonction de critères si particuliers que seuls des indignes pourraient les relever. Quoi qu'il en soit, on apprendra ( sans trop de surprise ?) que l'intéressé est un arrière petit-neveu d'Alfred Dreyfus, le capitaine juif de la fameuse "affaire"...ce qui n'est peut-être pas incompatible avec l'indépendance d'esprit et l'équité même s'il s'agit de se prononcer sur des risques de troubles à l'ordre publics aux relents d'anti-sémitisme supposé, mais qui a fait dire à l'ancien magistrat Philippe Bilger -ardent défenseur de la liberté d'expression - interrogé sur RMC ce matin que "si l'on a choisi Bernard Stirn c'est que l'on savait qu'il allait prendre la bonne décision sur le plan politique"

Victoire en demi teinte pour Valls cependant. D'abord les débordements quenelliens qu'il espérait n'ont pas eu lieu et c'est finalement l'humoriste qui est apparu comme un garant de l'ordre public en convaincant ses spectateurs de se disperser calmement. Et puis ses attaques répétées contre les libertés publiques fragilisent encore plus un gouvernement déjà discrédité par ses échecs économiques et son ultra fiscalisme et considéré comme fort éloigné des préoccupations premières des Français. Le fanatisme de Manuel Valls pourrait bien en faire un des principaux fossoyeurs de cette ripoublique qui est en train de crever.

12:03 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La Guerre de 2014...

sans-titre-23.jpgGeorges Feltin-Tracol

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Auteur en 2004 d’un ouvrage sur Le Fondateur de l’Aïkido, Morihei Veshiba et en 2007 de Constat d’Occident, Laurent Schang est un fana mili, un passionné du fait militaire, de l’armement et des questions tactiques. Il a un temps participé à la revue La voie stratégique et anime une maison d’édition au nom évocateur spécialisé dans ce domaine spécifique : Le Polémarque.

D’abord paru en 2009 chez un modeste éditeur disparu, Kriegspiel 2014 est un roman d’anticipation ou plus exactement de politique-fiction dans la lignée de Tom Clancy (en moins volumineux) et de Gérard de Villiers (sans les scènes pornographiques). Les éditions Le Retour aux Sources viennent de le republier dans une version actualisée et enrichie. Relevons par exemple l’absence du sous-titre présent dans la première édition, « Le livre dont Vladimir Poutine est le héros ».

Laurent Schang inscrit les événements qu’il nous décrit dans un schéma conceptuel tiré d’une lecture polémarchique de la philosophie de l’histoire. Il estime que « selon une loi non écrite bien connue des historiens militaires, l’avenir de la péninsule européenne […] se décide entre la dixième et la quinzième année du siècle courant (p. 7) ». 1914, 1815, 1715, 1610, 1515 etc. marquent le début ou la fin d’une conjoncture conflictuelle majeure.

L’auteur nous dépeint la déflagration survenue en 2014. Dans moins d’un an, le 12 décembre 2014, les tensions sino-japonais liées au sort des îlots Senkaku – Diaoyu débouchent en conflit armé ouvert. Parallèlement, des islamo-nationalistes turcs renversent le gouvernement islamo-conservateur d’Ankara, relancent le touranisme et soutiennent l’agitation ouïgoure au Xinjiang chinois. C’est l’explosion du monde de l’après-Guerre froide !

Pendant que la Chine envahit Taïwan et le Japon, les États-Unis d’Obama et l’Europe unie – car l’Union européenne est devenue une entité fédérale ambiguë et velléitaire – renâclent à intervenir, tergiversent et réclament surtout des négociations. Si Barack Obama a proclamé la neutralité de son pays, c’est parce plusieurs États fédérés menacent de faire sécession…

Les atermoiements occidentaux aiguisent les ambitions turques et le dessein russe. La Turquie envahit l’Arménie, occupe la partie grecque de Chypre et s’empare des Balkans qui replongent dans d’inextricables guerres civiles. Néanmoins, l’invasion néo-ottomane provoque la formation d’une Confédération panslaviste tandis que Moscou reconnaît l’indépendance de l’Adjarie, du Haut-Karabakh arménien et du Kurdistan du Nord, ses nouveaux protectorats.

Mieux, le 22 décembre, la Russie attaque l’Ukraine, la Pologne et les États baltes. Cette action violente tétanise une O.T.A.N. paralysée par le neutralisme affiché de Washington. Quant à l’Europe unifiée, désemparée, elle se révèle incapable d’agir. Ses États membres ne prennent aucune initiative. En effet, « leurs armées sont au régime sec, les pays européens ont réduit leurs budgets militaires au minimum et la plupart de leurs engagements sont au point mort, vecteurs aériens y compris, faute de crédits nécessaires. Conséquence, en dix ans l’Europe unifiée a vu sa puissance de feu diminuer du tiers (p. 84) ». Bref, les Européens « sont juste incapables de se défendre eux-mêmes (p. 85) ». Cela n’empêche pas de grandes métropoles européennes de sombrer dans une situation insurrectionnelle larvée. Échoue dans ce contexte tendu un 26 novembre à Bruxelles un coup d’État pro-européen.

Bien que se voulant neutre, la Belgique se déchire entre partisans de l’unité nationale et indépendantistes flamands. Ses voisins et ses partenaires s’interrogent sur une éventuelle réponse à donner aux événements. Tout démontre que « groggy, l’Europe unifiée chancelait sur sa base. Dans les premiers jours du conflit, les dirigeants européens avaient pu afficher une unité de façade devant les caméras. Au vrai, usés au physique, affaiblis au moral, les peuples ne manifestèrent à aucun moment l’envie de les suivre (p. 133) ». Le sursaut européen provient finalement de la réussite d’un second coup d’État. Perpétré par « les Fils de la Louve », un groupe clandestin de jeunes officiers paneuropéens, le putsch renverse les institutions continentales, écarte les politicards de l’Europe unifiée et impose un Saint-Empire fédéral paneuropéen confié au petit-fils d’Otto de Habsbourg : Ferdinand Zvonimir.

Disposant rapidement d’un siège de membre permanent au Conseil de sécurité de l’O.N.U., ce nouveau Saint-Empire rassemble 31 États dont le califat de Sarajevo. En revanche n’y appartiennent pas le Royaume-Uni, la Pologne et une Confédération balkano-danubienne constituée de la Serbie, de la République serbe de Bosnie, du Monténégro, de la Macédoine et de la Grèce. Favorable à la désoccidentalisation de l’Europe et au Grand Bloc Continental, le jeune souverain paneuropéen prend acte du monde accouché par cette brève et intense guerre eurasiatique (moins d’une année). Les États-Unis paient leur neutralité d’un net recul de leur influence planétaire. S’esquisse dès lors un siècle altaïque régi par la Chine, la Russie et la Turquie – Touran, prélude à un grand-espace géopolitique eurasien, voire eurasiste ? Ferdinand Zvonimir Ier ne déclare-t-il pas à ce sujet que « les civilisations ne sont pas des aires closes, des valeurs communes les relient et les unissent les unes aux autres (pp. 145 – 146) ».

Riche en considérations techniques précises sur les différents systèmes d’armement des belligérants, Kriegspiel 2014 se déroule dans le cadre d’une guerre conventionnelle classique, très éloignée des schémas prévus de la cyber-guerre, de la guérilla et des conflits méta-locaux. Ce roman n’en ouvre pas moins d’étonnantes perspectives géostratégiques même s’il faut largement minorer l’idée fallacieuse que la Russie serait prête à attaquer volontiers son étranger proche au Sud et à l’Ouest de ses frontières… Laurent Schang aurait-il trop lu les doctrines néo-conservatrices qui envisagent toujours l’Ours russe comme une forte menace potentielle ? En revanche, les contentieux dans le Caucase et entre Pékin, Tokyo, Séoul et Pyongyang sont plausibles et peuvent dégénérer en guerre. À moins que le principal neutre de ce « Jeu de guerre 2014 », les États-Unis, ne révèle sa dangerosité en se lançant dans des aventures militaires déstabilisatrices. Victimes d’une grave crise économique, sociale et financière seulement dissimulée par l’exploitation intensive du pétrole et du gaz de schiste, l’actuelle première puissance mondiale pourrait très vite devenir un État super-voyou qui met en péril la paix mondiale, surtout si en 2017 accède à la Maison Blanche un taré républicain ou un fanatique démocrate, éternels pantins de l’État profond yankee.

L’histoire est par essence tragique, inattendue et aléatoire. Verrons-nous donc cette année 2014 le retour d’Athéna et d’Arès, de Taranis et de Maponos, de Tyr et de Thor sur notre sol plusieurs fois millénaire ?

Laurent Schang, Kriegspiel 2014, Le Retour aux Sources (La Fenderie, F – 61 270 Aube), 2013, 155 p., 15 €.

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vendredi, 10 janvier 2014

Fin de la quenelle ou fin des haricots ?


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Dimanche 26 janvier : TOUS A PARIS !

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20:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 11 janvier, Calais dans la rue pour défendre son identité française et européenne

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Yves Darchicourt

Le collectif "Sauvons Calais" maintient son appel à rassemblement demain samedi 11 janvier 2014 à 09 h 45 sur la Place d'Armes de la cité pour dénoncer la passivité des autorités face aux flux massifs de clandestins. Une véritable invasion qui défigure la ville et l'agglomération, y accroît les risques sanitaires et y fait régner une insécurité récurrente qui frappe d'abord les plus faibles et les plus démunis de nos concitoyens et congénères. Une véritable invasion voulue par le Système et scandaleusement soutenue par des associations et des politicards collabos.  

Source :  cliquez ici

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Gabriele Adinolfi s'exprimera au Parlement européen

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Gabriele Adinolfi qui était invité le 10 décembre par Synthèse nationale à Paris cliquez là donnera une conférence le janvier prochain au Parlement européen à Bruxelles. Il semble que cette réunion suscite déjà des réactions dans la presse française cliquez ici

Gabriele Adinolfi présente son dernier livre Orchestre rouge cliquez ici

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