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mercredi, 29 janvier 2014

Chronique de la France asservie et résistante

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RIVAROL N° 3125

du 23 janvier 2014

 

EN PARLANT de l’affaire Dieudonné sur BFM-TV, Arno Klarsfeld a failli évoquer « les consignes d’Israël ». Sa langue avait fourché et il s’était repris à la dernière seconde. Quant à Philippe Tesson, le fondateur du Quotidien de Paris, il a carrément pété les plombs. Evoquant la remise en cause de la version officielle de la Shoah, qui est pour lui le crime absolu dans l’histoire de l’humanité, il a jugé que les actions d’interdiction de Manuel Valls à l’encontre des spectacles de Dieudonné étaient « très très bien » et qu’il en réclamait même “davantage”.

 

DIEUDONNÉ LES REND FOUS !

 

« Je suis extrémiste dans cette affaire », déclare-t-il. S’il s’estime en général “libéral”, la shoah reste « une exception à [sa] règle ». […] Et ce fou furieux (un de plus) de conclure par un appel au meurtre : « C’est la chose la plus abominable que je n’ai jamais vécu. C’est innommable. Il n’y a pas de pitié pour ça. Sa mort par exécution par un peloton de soldats me réjouirait profondément. ». L’éditorialiste de l’émission de Radio Classique avait donné ses ordres d’assassinat de Dieudo le 9 janvier, ajoutant, histoire qu’on le comprenne bien : « C’est, pour moi, une bête immonde. Donc qu’on le supprime, c’est tout ! Je signe et je persiste ». Si ce n’est pas un appel au meurtre, cela y ressemble diablement. En attendant, histoire d’attendre la suite des événements, réécoutons les propos de l’écrivain (juif) Nathalie Sarraute sur Europe 1 : « Regardez, nous les juifs ce qu’on a réussi avec notre Shoah, on l’a vendu partout, on est couverts d’argent, on est vraiment plus forts que vous ! »

 

LE SITE FRANCO-ISRAÉLIEN JSS NEWS BALANCE DES NOMS DE QUENELLEURS

 

« Dans la traque aux nazillons, il n’y aura pas de pause jusqu’à ce qu’ils soient tous identifiés. Nous avons une liste de 1 500 prioritaires, mais les 8 500 autres seront aussi identifiés » a prévenu samedi 11 janvier sur Canal + Jonathan-Simon Sellem, le fondateur franco-israélien du site sioniste JSS News, encarté à l’UDI de Borloo, qui livre en pâture chaque jour les noms et parfois les coordonnées de dizaines de personnes coupables de quenelles. L’objectif ? « Marquer, sur le web, donc pour toujours, les noms des responsables de cette haine ». L’individu vient d’adresser une lettre provocatrice à Dieudonné dans laquelle il se réjouit que « des dizaines de personnes ont été sanctionnées pour (leur) salut nazi déguisé. Au moins 32 “quenelliers” ont été licenciés. Et il y en aura d’autres dans les prochains jours », prévoit-il. Commentaire d’un des lecteurs du site : « Il n’y a qu’à espérer qu’aucun climat insurrectionnel, et qu’aucun acte anti-juif ne naisse de cette situation pourrie. Qu’aucun des pauvres types jetés en pâture sur Internet ne pète un plomb et aille se cogner “du juif” pour se venger d’un site israélien qui a cherché à ruiner sa vie… pour un bras d’honneur… » Bien vu, en effet. Ces gens-là n’ont décidément aucun sens de la mesure… Le site sioniste Dreuz.info se réjouit bruyamment. « La démarche de JSS News est que les antisémites doivent être démasqués et dénoncés, et il veut les faire trembler. Trembler des conséquences d’être exposés auprès de leurs employeurs et leurs proches (plusieurs ont déjà été licenciés et leurs noms traînent partout sur internet), trembler d’avoir à affronter la justice, alors qu’ils étaient habitués à se cacher derrière l’anonymat pour faire leurs saloperies. » Et le site Dreuz, qui se définit comme francophone, chrétien (interdit de rire), néoconservateur et pro-israélien de conclure : « Les Juifs, si on les cherche on les trouve. » Qu’ils continuent ainsi, et ils finiront aussi par nous trouver…

 

LE FOOTBALLEUR FRANCK RIBÉRY, L’ISLAM, L’ALGÉRIE ET LA FRANCE

 

Dans des déclarations faites à la chaîne égyptienne Al Hayat, l’international français Franck Ribéry a réitéré son attachement à sa religion, l’islam (il s’est converti) et au pays de son épouse, l’Algérie. « Je suis un musulman convaincu. Mon épouse est une musulmane d’Algérie, ainsi que toute ma famille. Beaucoup de gens m’appellent Franck, mais dans ma vie privée, on m’appelle Bilal car je suis musulman », a-t-il affirmé. « Le peuple algérien est le plus proche de mon cœur ». Il a ajouté qu’il « respecte beaucoup tous les peuples musulmans. Naturellement, le peuple algérien est le plus proche de mon cœur. Quand j’ai été en Algérie, je m’y suis senti comme chez moi », ajoute-t-il. On est content pour lui…

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ÉMOUVANT : HOLLANDE A OFFERT UNE BOÎTE DE CHOCOLAT À LA GRAND-MÈRE DE JULIE GAYET

 

C’est à l’occasion de Noël que cet émouvant épisode a eu lieu. Comme nos lecteurs le savent, l’actrice Julie Gayet est la nouvelle maîtresse de Hollande. Il se trouve qu’elle a une grand-mère, ce qui est relativement fréquent en France. Elle s’appelle Ortense et elle vient de se confier : « le Président est venu jusqu’ici. Dans ma maison. Julie m’avait averti qu’elle souhaitait me présenter quelqu’un mais qu’elle arriverait très tard, peut-être même dans la nuit. Comme elle a une clef de la maison, je me suis couchée et elle est venue me réveiller, en pleine nuit. Je me suis quand même apprêtée et quand je suis entrée dans le salon, il était assis dans le canapé. Il avait apporté des croissants et Julie a fait du café. » Il paraît qu’ils ont parlé des atouts de la France, de cuisine et de politique. Voilà où nous en sommes…

 

MARINE LE PEN : NON, LE FN N’EST PAS UN PARTI GAULLISTE !

 

Les milieux de rapatriés et de harkis, proches du FN, commençaient sérieusement à s’énerver suite aux déclarations de Florian Philippot, numéro deux du FN, qui qualifiait le FN de parti gaulliste, et qui s’était rendu à Colombey pour rendre hommage au général. La présidente du FN, consciente de la rage qui montait, vient d’écrire une lettre visant à calmer la “colère” de ses « amis pieds-noirs et harkis » Voici ses propos : « Un certain nombre de milieux rapatriés/harkis s’agitent, y compris en interpellant des cadres de notre mouvement, autour de la déclaration de Florian Philippot au sujet du général De Gaulle et du FN parti gaulliste. Pour répondre aux interrogations de certains, je ne pense pas que le FN soit un parti gaulliste […]. Même si l’un des quarante membres du bureau politique du FN, l’un des huit membres du bureau exécutif et l’un des vice-présidents l’affirme selon ses affinités et son histoire personnelle, cela n’engage pas l’ensemble du mouvement (...). J’ai clairement dit que je n’irais pas sur la tombe du général De gaulle par respect pour l’abandon criminel des pieds-noirs et harkis qui ont tant souffert de sa politique algérienne […] »

 

UNE LISTE D’“INDÉSIRABLES” AU FRONT NATIONAL

 

Membre du Front pendant huit ans, après l’avoir quitté en 2010, ce militant FN de longue date s’est récemment vu refuser sa demande de réadhésion quand il a voulu rejoindre le Rassemblement Bleu Marine dans la perspective des municipales. La raison ? « Vous figurez sur la liste des indésirables de notre mouvement », a-t-il ainsi appris en ouvrant le courrier recommandé adressé début décembre par Steeve Briois, secrétaire général du FN, qui lui a renvoyé le montant versé pour sa cotisation. « Je ne sais pas pour quelle raison il est aujourd’hui indésirable », se défend Gilles Clavel, secrétaire départemental de Seine-Saint-Denis qui ne nie pas l’existence d’une telle liste au sein du parti. Les indésirables sont notamment ceux qui avaientsoutenu Bruno Gollnisch lors de l’élection du nouveau président. « Et puis quand Marine a pris les commandes du parti, il y a eu une purge dans toutes les fédérations, notamment au détriment de ceux qui avaient activement milité pour Gollnisch », confie un cadre. Autres motifs d’“indésirabilité” : une ligne politique déviante (entendez, par trop nationaliste), et bien entendu, les « comportements racistes ou antisémites » c’est-à-dire révisionnistes.

 

ALORS ? ISRAÉLIEN OU FRANÇAIS ?

 

Yvan Attal est un acteur, réalisateur, scénariste, dialoguiste franco-israélien né le 4 janvier 1965 à Tel-Aviv. « Je dis haut et fort que je suis Juif, israélien et sioniste » proclamait Yvan Attal en 2010 au Monde Juif. Mais « souvent femme varie, bien fol qui s’y fie ». Il y a quelques jours, sur le plateau de Canal +, Attal pérorait : « Je suis Juif. Tous les jours je suis insulté et agressé en tant que Juif par Dieudonné et par la France de Dieudonné. Je suis Français. » Avant d’ajouter : « J’en ai ras-le-cul de vivre dans cette France. » Alors, Yvan Attal. Êtes-vous Français ou Israélien ? En attendant, personne ne vous empêche de faire votre alya…

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Quelques personnalités politiques croisées à la manif de dimanche dernier :

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Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France

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Richard Roudier, Président du Réseau identités

12:23 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeûne de Béatrice Bourges : «On proteste depuis un an et on ne nous écoute pas»

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Le Figaro cliquez ici

INTERVIEW - Porte-parole du Printemps français, un mouvement engagé dans l'opposition au mariage homosexuel, Béatrice Bourges a annoncé, à l'issue de la manifestation «Jour de colère» de dimanche, qu'elle commençait un «jeûne spirituel» jusqu'à la destitution de François Hollande. Elle a l'intention de rester jour et nuit devant l'Assemblée nationale.

LE FIGARO - Une grève de la faim pour demander la destitution du président de la République, n'est-ce pas un peu excessif?

Béatrice Bourges. - Je pense que la France le vaut bien. Moi je me bats vraiment pour mon pays, car je pense qu'on est en train de tuer l'âme de nos enfants. Cela fait un an que l'on proteste et qu'on ne nous écoute pas. Que puis-je faire de plus que donner ma personne? Ce sera dur mais cela prouvera qui je suis et qui sont les gens qui m'entourent.

Je m'appuie sur quelque chose d'ultra non-violent et d'ultra-légitime. Deux mois et demi avant les élections, j'aimerais savoir si les députés, comme certains le disent souvent, souhaitent vraiment le départ de François Hollande. Je leur offre sur un plateau d'argent la possibilité de montrer leur loyauté: l'article 68 de la Constitution autorise les élus des deux assemblés à engager une procédure de destitution du président de la République pour «manquement grave» à l'exercice de ses fonctions. Si je n'avais pas fait ce geste, les députés n'auraient rien tenté. Là une vie non-violente est en jeu.

Vous vous dites non-violente, comme votre mouvement, mais le «Jour de colère» d'hier s'est terminé dans la violence…

La manifestation s'est passée admirablement bien, avec des gens qui avaient des colères différentes. Si les gens de la manifestation avaient voulu en découdre, ils l'auraient fait pendant la manifestation… Moi, les violences, je ne les ai pas vues, je n'y étais pas. Ce que je sais de différents témoignages crédibles, c'est qu'il y a encore eu des infiltrations de forces de l'ordre. Huit minutes après la demande de dispersion, ils commençaient déjà à gazer les gens… Mais là, c'est le problème de Manuel Valls, pas le mien. Il faut préciser que même ceux qui se sont mis en colère n'ont rien détruit: il n'y a eu aucune vitrine brisée, aucune voiture brûlée.

Avec mon jeûne, je voudrais prouver que la colère, ce n'est pas la violence. On nous a traités d'extrémistes, on a trouvé que j'étais radicale. Aujourd'hui je pars avec mes armes à moi, des armes spirituelles. Le jeûne spirituel, c'est une arme extrêmement puissante.

Dans le défilé de dimanche, on a entendu des slogans antisémites…

J'étais devant. Je n'ai rien entendu. Mais il y a tellement de désinformation… Évidemment, je ne peux que condamner de tels slogans. Mais je suis comme saint Thomas, je n'y croirai pas tant que je n'aurais pas entendu un enregistrement. Quant à Dieudonné, il n'était pas là. Et il n'était pas non plus parmi les cinquante partenaires de «Jour de colère». Parmi ces partenaires, d'ailleurs, il y a des pro-mariage homo, et moi qui suis contre, j'ai défilé avec eux! Cela montre que «Jour de colère» est très particulier: c'est une coagulation de différentes colères, et non une plate-forme politique.

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Face au concert de louanges, Jean-Claude Rolinat dresse le bilan peu reluisant de Mandela…

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Dans Rivarol de la semaine dernière, Jean-Claude Rolinat, auteur du livre "La faillite de Mandela" paru aux Bouquins de Synthèse nationale :

Face au concert de louanges, Jean-Claude Rolinat dresse le bilan peu reluisant de Mandela…

RIVAROL : Vous venez de publier aux « Bouquins de Synthèse nationale » un nouvel ouvrage intitulé « Afrique du Sud, la faillite de Mandela ».Vous êtes allé à plusieurs reprises dans ce pays pour suivre, en quelque sorte, « sa descente aux enfers ». Pouvez-vous nous résumer cette évolution ?

Jean-Claude Rolinat : Un constat tout d’abord : dans un pays unitaire, il ne peut y avoir de citoyens de première classe et d’autres de seconde. À partir du moment où la politique d’apartheid (développement séparé) n’a pas été menée à terme, on courait à l’échec avec le fameux « one man, one vote ». C’est pourquoi il fallait diviser territorialement ce pays, consolider les  bantoustans que je préfère appeler homeland, quitte à déplacer des populations et à réinstaller les Blancs dans les zones blanches. Chaque peuple aurait eu son « toit » et une toiture commune, fédérale ou confédérale – à voir selon les rapports entre les populations – aurait coiffé le tout sur une base égalitaire. C’est ce qu’a vainement proposé l’ONU pour régler la question chypriote et en Bosnie où ce statut a au moins rétabli la paix. Dans les années quatre-vingts quatre États noirs avaient accédé à l’indépendance, les fameux « TBVC », Transkei, Bophuthatswana, Venda et Ciskei, et six autres étaient autonomes, notamment le Qwa-Qwa que j’avais visité et dont je parle dans mon livre. Les grandes agglomérations noires étaient gouvernées par des municipalités élues au suffrage universel, et Métis du Cap comme Indiens du Natal disposaient à côté des Blancs d’une chambre parlementaire à l’Assemblée nationale. Bref, la situation politique évoluait lentement, certes, mais inéluctablement vers un partage à terme du pouvoir. Toutes les mesquineries de l’apartheid « pur et dur » des pères fondateurs du nationalisme afrikaner disparaissaient une à une, comme le Job réservation act, ou encore le fameux pass, le passeport intérieur imposé aux Noirs. On pouvait circuler sans trop de souci. Pour ma part j’ai parcouru environ 3 000 kms avec ma famille. Impensable 10 ans plus tard lorsque je suis revenu dans ce pays ! La sécurité n’était plus assurée, il fallait traverser Johannesburg portes fermées ( !) et les maisons individuelles s’étaient emmaillotées de fils de fer barbelés quand elles n’étaient pas surveillées, jour et nuit, par des vigiles ou que leurs pièces intérieures n’étaient pas séparées par des … grilles à commandes automatiques !  Quel recul !

RIVAROL : Pour sortir  du politiquement correct, s’agit-il d’un problème de cohabitation entre Blancs et Noirs ou, éventuellement, de querelles entre ethnies avec des rivalités entre différents groupes de populations ?

JCR : Fondamentalement, à l’exception de groupes minoritaires comme celui de Julius Malema, ex-leader de  la Ligue des jeunes de l’ANC, l’homme du slogan « un Boer, une balle »  ou de suprématistes blancs comme ceux qui entouraient Eugène Terreblanche assassiné, rappelons-le, par deux de ses ouvriers noirs dans sa ferme, il n’y a pas de haine à proprement parler. Simplement une lutte pour s’enrichir pour les uns, survivre pour les autres. Mais il est vrai que si, pendant longtemps, Anglophones et  Afrikaners n’ont pas fait bon ménage (souvenirs éloignés des guerres anglo-boers), les deux communautés se sont terriblement rapprochées face au danger de submersion noire. Quant aux Zoulous et aux Indiens du Natal autour de la métropole de Durban, ce n’est un secret pour personne que les seconds redoutaient les premiers. Quant à ces mêmes Zoulous, s’ils se reconnaissaient plutôt dans l’Inkata Freedom Party (IFP) de Mangosuthu Buthelezi, les Xhosas militaient en très grand nombre dans l’African National Congress(ANC), parti interdit jusqu’en 1990 en raison d’actes terroristes. La libération de Mandela, la désertion du pouvoir blanc et les premières élections universelles de 1994 ont  largement bouleversé la donne  et redistribué les cartes. L’irruption d’une bourgeoisie noire vorace a aussi modifié le paysage économique et politique. On assiste à des renversements de situations. Le chômage touche, en gros, un Sud-Africain sur deux en âge de travailler. Le Black Power Employment, une sorte de ségrégation à l’envers, le contraire du Job Reservation Act qui protégeait les travailleurs blancs, favorise outrageusement les Noirs. Ce qui explique, en partie, l’exil d’un million – un million ! – de Blancs en 20 ans. Des Afrikaners sont abonnés à la soupe populaire. J’ai vu de mes yeux vu, un Blanc faire la manche dans une rue de Durban. Impensable avant 1994 !

RIVAROL : Il n’y a que la question de l’emploi qui explique le départ des Européens ?

JCR : Non, l’insécurité est l’autre grand problème de ce pays. Depuis l’accession des Noirs aux affaires en avril 1994, des milliers de fermiers blancs et des membres de leurs familles, ont été assassinés. De plus, le sida touche, par exemple, 26% des jeunes adolescentes noires et les femmes blanches vivent dans la crainte d’un viol. Ce pays est plus criminogène que le Brésil, c’est dire. Beaucoup de ruraux s’expatrient en Géorgie, au Mozambique ou au Congo Brazzaville à l’invitation de ces pays, pour les faire profiter de leur expérience. On a même vu des ouvriers  agricoles noirs devenus propriétaires de la terre de leurs anciens patrons, demander à ces derniers de rester pour les conseiller ! D’ailleurs Zuma , le Président, le sait bien : s’il lui venait l’idée de nationaliser toutes les terres entre les mains des Blancs, son pays connaitrait le sort du Zimbabwe voisin.

RIVAROL : Vous dressez un tableau bien noir, sans jeu de mot… Quel avenir, alors, voyez-vous pour la minorité afrikaner ?

JCR : Il lui est impossible d’obtenir un VOLKSTAAT tel que le rêvaient les « verkramptes », les conservateurs, feu Terreblanche et son AWB ou  encore le Freedom Front. Il aurait fallu créer cet « Israël afrikaner » à chaud, en 1993/1994 au moment des négociations avec l’ANC : la politique du fait accompli. Les généraux à l’époque en avaient les moyens. En avaient-ils la volonté ? Et ceux des Blancs qui avaient piscine et domesticité noire le souhaitaient-ils vraiment ? Poser la question c’est déjà esquisser la réponse. Le village  exclusivement blanc d’Orania aux confins désertiques de l’ancienne  grande province du Cap, qui hésite entre le kibboutz et le Club Med, est une sympathique utopie qui n’a pas fait beaucoup d’émules. Même si le Volkstaat existe en filigrane dans la constitution  sud-africaine, l’ANC n’acceptera jamais sa création. Mais les Blancs quittent le pays vers les États-Unis, le Canada, l’Australie, la Grande-Bretagne, la Nouvelle-Zélande ou se regroupent. Par exemple dans la province du Cap Occidental, où ils représentent plus de 20% de la population. Avec les Métis de langue afrikaans, ils détiennent le pouvoir local sous la houlette d’Hélène Zille du Democratic Party. C’est la seule province qui échappe à la mainmise de l’ANC.

RIVAROL : Et Mandela, quel rôle a-t-il joué dans l’évolution de ce pays ?

JCR : Il faut lui reconnaitre au moins deux qualités : il a résisté physiquement et moralement à 27 années de captivité même si les dernières se sont déroulées bien plus dans l’ambiance d’un palace cinq étoiles que dans le contexte du bagne de Robben-Island. Ensuite, il n’a tenu aucun discours de haine ni de vengeance. Et je crois qu’il était sincère, même si cela faisait partie du deal passé avec le calamiteux De Klerk. C’est à souligner à son avantage, comparé à un triste sire comme Mugabe. Mais pour le reste il a gouverné en dilettante, laissant les affaires de son unique mandat de cinq ans entre les mains de Thabo M’Beki, Vice-Président qui lui succèdera. Il s’est contenté de faire le tour de la planète, de parfaire son image d’icône de la bien-pensance internationale.

RIVAROL : Alors, « les carottes sont cuites » pour les Blancs, si vous me permettez cette expression ?

JCR : Si les Européens d’Afrique du Sud qui sont tout de même encore plus ou moins quatre millions sur place, qu’ils soient d’origine afrikaner, anglophone ou portugaise (Angola et Mozambique), résistent à la tentation de l’exode  et constituent des blocs de population relativement homogènes, s’ils joignent leurs suffrages aux votes des Métis afrikaans, ils ont une chance au Cap, ici ou là, de perdurer. Mais jamais tant que cet État sera unitaire, juste décentralisé, ils ne reconquerront le pouvoir central. Sachez que sur une  quarantaine de ministres et de ministres adjoints, ils ne sont que cinq ou six à détenir un portefeuille. Pour conclure, j’aimerais citer une phrase de Saint-Loup extraite de son livre  « Le Boer attaque » paru en 1981 aux Presses de la Cité », page 218 : - « S’ils dérogent (les Blancs) tant soit peu à la politique de développement séparé, dans cinquante ans les Boers auront disparu, mangés par les Noirs. Quel hommage ! Oui mais quel drame pour la race blanche aventurée en Afrique ».  Objectivement, nous en sommes-là. À méditer sous nos cieux.


mandela.jpgÀ lire, « La faillite de Mandela », un livre de 187 pages édité aux « Bouquins de Synthèse Nationale » A commander à Synthèse nationale 116, rue de Charenton  75012 Paris ou dans toutes les bonnes librairies.18€ ou 21€ franco de port  (chèque à l’ordre de Synthèse nationale).

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mardi, 28 janvier 2014

DON BLAS PINAR, CHEF HISTORIQUE DE LA DROITE NATIONALISTE ESPAGNOLE, RAPPELE A DIEU

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Don Blas Pinar, fondateur et Président de Fuerza Nueva, la revue et le mouvement franquiste espagnol, est décédé hier à l'age de 95 ans.

Né en 1918 à Tolède, fils de militaire, il était docteur en droit et a commencé sa carrière politique à l’époque où le Général Franco transformait l’Espagne en une grande nation moderne. Il fut alors directeur de l'Institut de culture hispanique entre 1957 et 1962, organisme qui devint par la suite, à la fin des années 70, l'Institut de coopération ibéro-américaine.

En 1976, il fonde le mouvement Fuerza nueva, avec le slogan "Dieu, Patrie et Justice", devenu la formation emblématique de l'extrême droite au cours de "la transition". Orateur exceptionnel, en juin 1978 il participa à Paris aux côtés de Giorgio Almirante (Mouvement social italien) et de Jean-Louis Tixier-Vignancour (PFN) au grand meeting de lancement de l’Eurodroite. Lors des élections législatives de 1979, après l'adoption de la Constitution de l'année précédente, il a été élu député de la coalition de l'Union nationale dont son parti était membre. Il s'opposa alors à la création de régions autonomes et fut témoin de la tentative de coup d'Etat du 23 février 1981, soutenue par la suite dans un manifeste par son fils.

En 1982, Fuerza nueva se dissoudra et renaîtra, quatre ans plus tard, sous le nom de Frente nacional, mais ne gagnera aucun siège au parlement. Après des pactes successifs avec d'autres formations il participera en 2004 à la création de Alternative espagnole cliquez ici, dont il était président d'honneur et avec laquelle il participera à ses dernières élections municipales en 2011.

Blas Pinar était malade depuis plusieurs années, mais il est resté actif jusqu'à peu de temps avant sa mort en écrivant et en publiant plusieurs livres et articles dans des revues nationalistes. Très ami de la France, il était aussi l’un des soutiens actifs en Espagne du Cercle Franco-hispanique présidé par notre ami Olivier Grimaldi.

Synthèse nationale

NDLR :

Pre-sence de Jose- Antonio.jpgLe Cercle franco-hispanique et Olivier Grimaldi présentent : Présence de José Antonio

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« Jour de Colère » : un succés étouffé par un traquenard policier

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Source Breizh info

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Tôt, ce dimanche matin à l’appel des  " Bonnets rouges nantais ", de Civitas et d’autres associations et coordinations, des Nantais en voiture ou en train ont pris la direction de Paris pour participer au rassemblement des Français en colère. Malgré une pluie drue et continue, dès 13 heures, la foule affluait place de la Bastille derrière les 8 bannières, qui déclinaient les motivations des participants : Fiscalité, Education-Jeunesse, Famille, Identité, Chômage, Respect des croyances religieuses, Liberté d’entreprise, Respect des libertés.

A 14h30, le défilé entamait le long itinéraire modifié au dernier moment par la préfecture de police. Ce changement, sans aucune raison valable,  illustrait déjà la volonté délibérée du gouvernement Ayrault et de M. Valls de provoquer les organisateurs et leurs soutiens. Malgré cela, malgré les conditions climatiques, ce cortège pacifique  en rangs serrés entreprit sa marche vers la place Vauban. Il rassemblait une France populaire, jeune, familiale, multicolore, diversifiée. En plus des banderoles des organisateurs, on remarquait entre autres celles des jeunes des Terreaux de Lyon, des Périgourdins, de la Provence, des Bonnets rouges, de Civitas etc…Renaud Camus suivait celle sur la défense de l’identité.

Pendant tout le déplacement, on notait une très forte présence policière sans commune mesure avec celle déployée dimanche dernier lors de la « marche pour la vie ». Le nombre de participants ne cessa de s’accroître pendant le parcours. Au final, il était supérieur à celui déjà remarquable du 19 janvier dernier. Arrivé place Vauban vers 17h, une bréve intervention de  responsables des mouvements participants expliqua le sens de leur engagement et de leur colère.

Ces personnes, étudiant, mère de famille, chômeur, chef d’entreprise, artisan, travailleur, cadre… étaient un résumé de la France profonde et du pays réel. Béatrice Bourges, porte-parole de «  Jour de colère  » et animatrice du Printemps Français tira les conclusions de cette journée en rappelant son caractère pacifique et non violent.

Avant 18h, limite de l’autorisation préfectorale, elle appela les manifestants à se disperser, ce qu’ils firent calmement et en bon ordre. Mais, surprise, alors que le 19 les forces de l’ordre s’étaient éloignées et avaient laissé les avenues bien dégagées pour faciliter le départ d’une telle foule, le Préfet de police avait monté un véritable traquenard.

Pendant les discours, il avait fait mettre en place  des barrages anti émeutes avec force policiers en tenue de combat et fermer l’accès des stations de métro. Les manifestants ne disposaient que d’un espace de quelques mètres sur le trottoir pour quitter les lieux. Puis, très rapidement, les issues ont été bloquées et la police a chargé ceux qui n’avaient pas encore pu quitter la place. Cette provocation gratuite est la cause des  violences qui ont eu lieu. L’arrestation illégale d’environ 250 manifestants, dont des journalistes, fut le point d’orgue de cette manœuvre de répression gratuite.

Après le succès des manifestations de ces deux derniers dimanches, ne serait-ce pas une façon pour le pouvoir de décourager ceux qui souhaitent participer le 2 février prochain à la manifestation LMPT ?

16:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Des milliers de gens en colère, une presse aveugle et sourde !

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Jean-Pierre Fabre Bernadac

Boulevard Voltaire cliquez ici

Brrr ! J’ai encore les pieds gelés et le slip mouillé, mais quelle joie que ce rassemblement des anti-FAF (François, Ayrault, Fabius). Ce dimanche où la pluie, le vent et le froid en plus des CRS s’étaient ligués pour ne pas mettre un manifestant dehors, nous nous sommes retrouvés place de la Bastille venus de tout l’Hexagone avec nos pancartes en prime. Oui, nous, les humbles, les sans-grade par dizaines de milliers, nous avons courageusement enfilés K-Way (excepté les Hommen) et baskets pour arpenter le bitume parisien. Aussi, je vous salue avec émotion et déférence, mes sœurs et frères marcheurs.

Nous étions loin de partager les mêmes idées, ce 26 janvier, nous étions loin d’avoir dégusté petits fours ou méchoui à la même garden-party, nous étions loin de nous congratuler ou de nous faire confiance, mais appliquant le vieil adage : les ennemis de mes ennemis sont temporairement (ou pas d’ailleurs) mes amis, durant cinq heures nous avons mêlé nos voix, nos ressentiments et aussi nos espoirs.

Un ras-le-bol général poussait vieux et jeunes, gens de banlieue et bourgeois cathos dans une longue marche vers la place Vauban en criant nos colères multiples et variées entrecoupées de Marseillaise. Tous nous avions la même sensation : le système est en train d’imploser, encore un coup de bélier et l’édifice va s’écrouler. Certes, il faut mûrir ses réflexions, provoquer des états généraux, mettre la liberté d’expression et la démocratie directe en première ligne, mais le caillou mis dans la chaussure des politiciens de tout poil, à commencer par Hollande, leur fait peur. Le meilleur exemple est démontré par le silence et l’impudeur des médias.

Prenons Le Figaro, ce quotidien propre sur lui, ce journal préféré des coiffeurs et des esthéticiennes (je n’ai rien contre ces professions). Comment croyez vous qu’il a traité ce lundi l’information sur le rassemblement ? Par… une seizième page sur un seizième de page. S’il avait pu la mettre dans les sports ou – mieux – dans la rubrique nécrologique, il l’aurait fait. Par contre, Fillon et l’UMP, ceux qui avaient commencé en premier à nous mettre dans la m…, avaient la quatre et la six pour pérorer et se congratuler.

Libération a plus de courage, qui a consacré un article certes tendancieux mais d’une ampleur conforme à l’événement. Comme quoi on peut être bourgeois et plus con… sensuellement correct que la moyenne !

Autre exemple : France 2. Quelle belle chaîne qui ne voit les manifestants qu’en Ukraine et les ignore en France. Les seules images qu’elle diffuse avec horreur sont les matraquages et les arrestations des forces de l’ordre à Kiev. Pour Paris, le petit doigt sur la couture du pantalon, en fin de journal elle propage les dires de Valls et pour bien désigner les méchants elle rajoute des scènes d’affrontements commentées avec une partialité criante.

Je vous engage d’ailleurs, pour comprendre qui étaient vraiment les « casseurs » et comment ils ont été traités, à regarder cette vidéo.

En conclusion, sincèrement, tout cela me réjouit car si la presse s’affole, si les télés minimisent, c’est bon signe. Le signe que nous devons cette année, pour « Jour de colère », passer du singulier (et quel singulier) au pluriel !

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Le Journal du Chaos de cette semaine

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On avait oublié de vous parler de la (fugace) prestation des Femen dimanche dernier... vites remballées par leurs employeurs.

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Hollande limite la casse... à l'Elysée

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FN : la politique de « respectabilité » a ses limites

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Gabrielle Cluzel

Boulevard Voltaire cliquez ici

C’est un sondage IFOP pour le Journal Du Dimanche qui l’annonce : aux élections européennes, le FN arriverait en tête avec 23 %, devant l’UMP à 21 % et le PS à 18 %. Un résultat en léger recul par rapport au mois d’octobre (24 %), mais un score potentiel sans précédent pour le FN, qui n’avait fait que 6,3 % aux dernières européennes et qui n’est jusqu’ici jamais arrivé en tête d’une élection nationale. Un score comme un coup de tonnerre dans le landernau politique, expliquant sans doute les escapades de Valls, au fait de toutes ces choses bien avant tout le monde, dans les villes susceptibles de « basculer ». Faute de circonscrire l’incendie pour les européennes, tentons au moins de sortir la grande échelle pour les municipales.

Un score qui serait tout à la fois le fruit d’un climat porteur – immigration, insécurité, mondialisme, mainmise de l’Europe, collusion des élites, défiance envers les médias, jamais les thèmes portés par le Front national n’ont trouvé autant d’écho dans l’actualité – et du travail de dédiabolisation entrepris depuis l’accession de Marine Le Pen à la tête du parti.

Tous les voyants seraient donc au vert pour le FN ? Pas si simple. Des signaux d’alerte clignotent ici et là pour un parti sur une ligne de crête. Car ces résultats sont à rapprocher d’autres sondages récents (TNS SOFRES, OpinionWay , IPSOS, IFOP et CSA ) qui eux font tous état d’une baisse significative (entre 4 et 8 %) de la popularité de Marine Le Pen. Le climat porteur, lui, étant bien là, le problème viendrait de la dédiabolisation. Pour certains, elle ne fonctionnerait pas à plein. Pour d’autres, au contraire, elle fonctionnerait… trop bien.

C’est cette dernière analyse que le baromètre de la vie politique du CEVIPOF, dont les morceaux les plus brûlants ont été publiés par Valeurs actuelles, semble valider : les Français s’y révèlent profondément défiants envers l’État, les partis politiques, les médias… et même contestataires, 61 % d’entre eux se disant prêts à descendre dans la rue.

Et si Marine Le Pen, en cherchant à se rapprocher des Français, n’allait en fait que les croiser, en sens inverse ? Elle, sur le chemin de la dédiabolisation, eux, sur celui de la radicalisation ? Si, comme le disait l’analyste politique Alba Ventura, dans sa chronique du 23 janvier sur RTL, la politique de respectabilité atteignait ses limites ? Si « le FN n’apparaissait plus comme un parti anti-système » et, ce faisant, perdait en lisibilité : « On n’a pas vu [Marine Le Pen], par exemple, manifester contre le mariage homo. Elle s’est déclarée très choquée par Dieudonné. Elle dit partout avoir des “idées sociales”. Elle ne veut pas qu’on la classe à l’extrême droite. Cela fait des mois qu’on ne l’a pas entendue parler d’immigration, de sécurité ou de frontières. Elle ne fait plus référence à l’ordre et à l’autorité. » Elle défend pour Hollande un droit à la vie privée, quand les Français aspirent à un président parfaitement probe.

Et ce FN que Marine Le Pen entend débarbouiller au Kärcher ne déstabilise pas seulement les électeurs… il y a aussi les candidats. Les récentes déclarations, par exemple, d’un Florian Philippot sur l’IVG ont semé le trouble parmi les « conservateurs », présents en nombre sur des listes municipales parfois difficiles à boucler. Si, hypothèse extrême, ils s’avisaient tous de tirer leur révérence à quelques jours des dépôts de candidature, ce serait pour le FN un scénario catastrophe.

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La Voix de la Russie de cette semaine :

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Pourquoi le Jour De Colère a été un succès politique

jdc_peguy-300x300.jpgJour de colère cliquez ici

Le Jour de Colère est un succès, et en premier lieu un succès politique, car il a posé publiquement la seule question qui intéresse aujourd’hui plus de 80% des français, qui désapprouvent l’action de François Hollande à la tête de l’Etat. Cette question a aujourd’hui sa réponse : la mise en œuvre de l’article 68 de la constitution donne pouvoir au parlement, réuni en Haute Cour de justice, d’engager la procédure de destitution du Président de la République.

Cette disposition constitutionnelle soulève à la fois des espoirs et des interrogations. Espoirs pour le peuple, interrogations pour la représentation nationale. En effet, le dernier baromètre CEVIPOF du 13 janvier 2014 a révélé que 87% des français ne font plus confiance à leurs élus. Or la constitution prévoit que c’est à eux, députés et sénateurs, qu’est confiée la responsabilité de mettre en œuvre la procédure de destitution.

La France vit donc aujourd’hui une crise politique extrêmement grave, où les citoyens désavouent massivement à la fois le chef de l’Etat et la classe politique. Le Jour de Colère adresse son ultimatum à cette minorité, protégée et complice, de droite comme de gauche : soit elle respecte le peuple souverain et met en jeu, de ce fait, ses privilèges et ses avantages, soit elle refuse de l’écouter et creuse alors plus profondément le fossé qui la sépare des électeurs. Les élus seront-ils responsables ou autistes ?

Pour les aider à faire ce choix, Béatrice Bourges se tient depuis hier soir à proximité de l’Assemblée Nationale afin de leur expliquer la responsabilité qui pèse sur eux au nom du peuple français. Elle a a été rejointe aujourd’hui dans son jeûne par une autre militante du Jour de Colère, qui a décidé faire entendre ce message à ses côtés. Le sens de ce jeûne est d’obtenir de la représentation parlementaire qu’elle réponde à l’appel. Il suffit pour cela que des élus fassent preuve de responsabilité et abordent avec résolution la saisine que le peuple leur demande. Le Jour de Colère va lancer une pétition en ce sens.

Dans bien des pays, l’intervention des citoyens pour contrôler le travail des élus est une réalité. En 2003, le Gouverneur de Californie a été chassé de son poste par un vote sanction des Californiens. Dix ans plus tard, le pouvoir socialiste semble préférer l’insurrection… en Ukraine. Le Ministre des Affaires Etrangères a apporté son soutien aux émeutiers de Kiev.

En fera-t-il autant pour les Français en colère ?

C’est précisément cette politique du « deux poids-deux mesures » que les Français ne supportent plus : la taxation des PME, mais la gabegie de l’Etat, le racket fiscal des ménages, mais l’entretien des maîtresses présidentielles sur les fonds publics, les rafles policières pour délit d’opinion, mais l’impunité des délinquants…

Pour éviter que la situation ne s’aggrave, François Hollande doit partir.

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lundi, 27 janvier 2014

Après la Journée de la colère, un communiqué du Renouveau français...

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Un communiqué du Renouveau français :

Le Renouveau français se félicite du succès de la grande manifestation qui eut lieu ce 26 janvier pour exprimer le vaste ras-le-bol suscité par François Hollande et son gouvernement.

Des dizaines de milliers de Français se sont retrouvés, en dépit du silence médiatique total, du boycott des partis et d’un temps hostile, et ont fait montre de leur détermination face à un pouvoir sourd aux appels du peuple, soucieux uniquement d’imposer ses lubies idéologiques et de plaire à ses maîtres.

Le RF témoigne de son soutien à Béatrice Bourges dans son jeûne de protestation et félicite les organisateurs de ce « jour de Colère », qui doit être une étape vers le grand coup de balai nécessaire.

Il condamne et dénonce les inadmissibles exactions dont s’est à nouveau rendue coupable la police politique de Manuel Gaz, qui ne sait plus opposer que coups de matraques et censures arbitraires face aux opposants au gouvernement.

Enfin, le RF invite les Français en colère à s’intéresser toujours plus aux causes de la situation présente, qui ne découle pas soudainement de la dernière élection présidentielle – aussi calamiteuse fût-elle -, et se tient à disposition de ceux qui veulent traduire leur colère et leur révolte légitimes en un indispensable engagement politique, vers une révolution salvatrice !

Source cliquez ici

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Témoignages sur les événements d'hier soir :

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Arnaud Raffard de Brienne cliquez ici

A l’issue de la manifestation "Jour de colère", dimanche 26 janvier, 262 personnes ont été interpellées et 250 placées en garde à vue. Un véritable record qui s’explique très facilement. Suite à l’ordre de dispersion lancé à 18h05, toutes les voies de sortie ont été bloquées par les forces de l’ordre à 18h10, empêchant ainsi la foule de sortir rapidement de la place Vauban. Dans le même temps, les forces de l’ordre utilisait des gaz lacrymogènes sans sommation, prétendument pour accélérer l’évacuation de la foule.

La présence massive de "policier en civils", sans insignes permettant de les identifier mais reconnaissables à leurs oreillettes, comme ce fut le cas lors des manifestations contre la loi Taubira, aurait été, selon de nombreux témoins, la première cause de désordre puisque ces policiers ont pour but de provoquer les manifestants afin de les amener à avoir un comportement violent.

Un témoin raconte la scène hier soir vers 18h* :

"Quittant difficilement la manif par l’avenue de Villars, à hauteur du 12, au travers d’un barrage filtrant de CRS et gendarmes, j’ai vu et entendu un commandant arriver vers ce barrage et dire à ses hommes :"allez maintenant on y va !". Incroyable, car a ce moment, les intervenants étaient toujours en train de témoigner au micro et la foule les écoutait calmement.

Mais au même moment j’ai vu un groupe d’hommes en noir sans signes distinctifs, passer "amicalement"ce barrage policier, arriver au contact de la foule et se retourner pour attaquer fictivement les CRS…"

Un autre lecteur me signale que ces provocations étaient bien programmées :

"En effet, au début de la manif, place de la Bastille, il y a eu plusieurs fouilles de personnes qui arrivaient sur place, par des CRS. Sur quels critères pourquoi ceux-ci et non pas ceux-là, je ne sais pas. Comme je demandais au CRS, pourquoi ces fouilles, il m’a été répondu que cette manifestation était "très hétéroclite… et qu’il me conseillait de quitter rapidement la manif, une fois que celle-ci serait terminée. Je n’ai pas compris tout de suite ce que cela voulait dire mais, rétrospectivement, il m’apparait que les CRS savaient, à 14h30, qu’il se passerait quelque chose, à la fin de manif. Pourquoi m’avoir prévenu ? C’est une autre question."

* Témoignages parus sur Le Salon beige

 

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17 000 ? Laissez nous rire...

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MERCI MANUEL VALLS !

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Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Alors que les media aux ordres s’émerveillent devant les prouesses indiennes de la répudiée Trierweiler, une femme courageuse, Béatrice Bourges, entame à Paris une grève de la faim…

Alors que ces mêmes media s’extasient devant les quelques milliers de manifestants qui, naïfs ou stipendiés, en Ukraine essayent de faire pression pour que leur pays se suicide en se jetant sous le carcan de Bruxelles, à Paris les forces de répression bastonnent à tour de bras les patriotes à l’issue de la Journée de colère…

Alors que ces mêmes forces de répression s’évertuent à pourchasser quelques farceurs qui, compte tenu de la chape de plomb que le Système a fait tomber sur nos libertés, se fendent parfois d’une téméraire quenelle, partout en France l’insécurité, malgré les statistiques fantaisistes du gouvernement, ne cesse d’augmenter…

Alors que ce même gouvernement ressasse tous les trois mois que la fin de la crise est pour demain, chaque jour le nombre des entreprises qui déposent le bilan ou qui sont reprises par des multinationales apatrides s’accroit, expédiant par milliers les travailleurs vers l’incertitude du chômage…

L’obsession de Manuel Valls est donc de condamner « avec la plus grande fermeté les violences contre les forces de l'ordre commises par des individus, des groupes hétéroclites, de l'extrême et de l'ultradroite, dont le but n'est que de créer du désordre en n'hésitant pas à s'en prendre avec violence aux représentants des forces de l'ordre». On croit rêver… On nous l’a tellement sorti celle-ci qu’on pourrait presque dire que c’est beau comme de l’Antique.

Le seul problème c’est que tous ceux qui étaient hier soir dans le quartier de la Place Vauban savent que Manuel Valls raconte n’importe quoi. Ils ont pu constater que ce ne sont pas manifestants « d’extrême droite » qui ont provoqué les violences que l’on sait. Ce qui a provoqué ces violences, c’est bel et bien le zèle de la police qui s’est empressée de disperser, quelques minutes à peine après que les organisateurs en aient donné la consigne, les milliers de patriotes présents à coups de matraques, de jets de grenades fumigènes et d’interpellations arbitraires.

Mais ne soyons pas mauvais joueurs… Ce que Manuel Valls n’a pas pigé en donnant l’ordre de disperser par la violence cette manif de dimanche et en faisant arrêter plus de 250 personnes, c’est que, depuis hier soir, partout en France, des milliers de jeunes Français prennent conscience de la fragilité du Système moribond dont il est le servile larbin et que ces milliers de jeunes Français sont en train de basculer dans les rangs de la Résistance nationaliste… Voilà pourquoi finalement nous ne remercierons jamais assez Manuel Valls…

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Jour de colère dans Paris

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Gabrielle Cluzel

Boulevard Voltaire cliquez ici

Dimanche, de la Bastille aux Invalides, c’était Jour de colère. Alors ils sont tous venus, la carpe et le lapin, de Sarcelles à Versailles, avec leur colère en bandoulière, sous une pluie assortie à leur humeur. 17.000 selon la police, 160.000 selon les organisateurs. Des organisateurs que personne ne connaît. Car aucun parti politique, aucun mouvement d’envergure, ni bonnets rouges ni LMPT, n’a appelé à manifester. Le succès n’en est que plus inattendu, déconcertant, inquiétant… À cette manif un peu foutraque, pas de « tenue correcte », ni de carton d’invitation exigé à l’entrée. On y vient dans son jus, comme on est, avec la pancarte qu’on s’est bricolée sur un coin de table. Suffit d’être en colère. C’est le principe.

Beaucoup de jeunes, énormément de jeunes. Derrière la banderole « lycéens et étudiants en colère », il y a les Hommen. Une trentaine de jeunes gens marchent symboliquement enchaînés par un homme casqué en scooter… Au-dessus de leur pantalon coloré, ils sont torse nu, certains grelottent, mais ils crient pour se tenir chaud. Dans la foule qui marche, les slogans sont souvent drôles, parfois graveleux, actualité oblige. Hasard de manif, des mères de familles cathos marchent derrière un « Pendant que la France part en c… Hollande promène les siennes ». Si vous croyez que ça dérange les petites dames… La respectabilité, le bon goût, l’impression que l’on va faire au 20 h sur les médias de bon aloi, on finit par s’en battre les roupettes, justement. Parce que quoi qu’on fasse, quoi qu’on dise, on aura toujours tout faux. Parce que même en mettant un tutu rose, en faisant les pointes devant la caméra, en ayant l’air jeune, sympa, sexy et ouvert d’esprit, on sera toujours un facho. Parce que quand la maison brûle, on ne fait pas taire le p’tit gars qui crie « au feu » avec vous, sous prétexte qu’il mettrait ses coudes sur la table ou aurait fait une quenelle au lycée.

Car des quenelliers, il y en avait quelques-uns. Et même des quenelliers « de la diversité ». Mais quel était donc le ciment de cette manif bigarrée ? Quel était donc l’improbable point commun entre Renaud Camus, Christine Boutin, des militants LMPT et des aficionados de Dieudonné venus de la banlieue ? La détestation de Hollande, bien sûr… Et surtout une immense soif de liberté d’expression. Quand un jour l’étau se sera desserré – s’il se desserre un jour –, n’ayez crainte, tout ce monde-là se remettra sur la gueule. Mais en attendant, ils partagent leur colère. Hollande, au moins, aura réussi ça. Le « vivre ensemble » pour des populations aux antipodes. La cohésion négative. Aux fenêtres des « beaux quartiers », comme dit Aragon, des électeurs d’Anne Hidalgo leur font parfois des « doigts ». Puis rentrent en fermant soigneusement les rideaux. Comme si cette colère qu’ils méprisent leur faisait vaguement peur.

À l’arrivée, place Vauban, les orateurs n’en sont pas. Mais dans leurs discours, ils déballent leurs tripes… Le chômage, l’exclusion, la famille persécutée, les impôts. La mère de famille succède à l’étudiant, le chômeur au petit patron. Hollande ne veut pas les entendre ? Eux ne veulent plus le voir. Il faut qu’il parte. Démocratiquement. Avec l’énergie un peu folle du désespoir. Car ils croient avoir trouvé la faille, le biais, l’issue de secours : l’article 68 de la Constitution qui permet aux deux Assemblées d’engager la procédure de destitution du président de la République pour « manquement grave ». Et pour convaincre les députés, Béatrice Bourges entame une grève de la faim au Mur pour la Paix, sur le Champ-de-Mars. Jusqu’au départ de Hollande. Portée par la colère de ces milliers de manifestants.

À 18 h, l’ordre de dispersion est lancé. À 18 h 10, les forces de l’ordre bloquent les avenues donnant sur la place et balancent les premiers gaz lacrymogènes. Pour apaiser la colère, sans doute ? Les grands médias, eux, n’ont rien vu, rien entendu. Quelle manif ? Quelle colère ? Préfèrent parler du dîner de gala à Bombay de madame Trierweiler que du jeûne de madame Bourges.

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25 000 tracts pour Synthèse nationale distribués pendant la manif...

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Malgré la pluie nous avons distribué tout au long de l'après-midi 25 000 tracts de Synthèse nationale appelant à la lutte contre le mondialisme.

De nombreux manifestants sont venus spontanément nous proposer leur aide. Synthèse nationale a ainsi pu juger sa grande popularité auprès des Français en colère.

Merci à tous ceux qui nous ont donné un coup de main.

Le tract de Synthèse nationale cliquez ici

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Photo Le nouveau NH

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Stade de Santiago du Chili, septembre 1973 ? NON ! Cela se passe à Paris le 26 janvier 2014 !

08:52 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 26 janvier 2014

La vérité sur l'affaire Méric serait-elle en train de percer...

Couv SN 32.jpgComme nous l'avions soutenu depuis le début cliquez ici, la version officielle de l'"affaire Méric", du nom de ce gauchiste qui avait malencontreusement trouvé la mort en juin dernier alors qu'il participait à une agression contre des jeunes patriotes, ne tenait pas debout. Aujourd'hui, les experts chargés de trouver les raisons de la mort de ce malheureux semblent, c'est le moins que l'on puisse dire, perplexes.

La vérité, petit à petit, est en train d'apparaître... Mais Esteban et Samuel, eux, sont toujours en prison.

Synthèse nationale

Le quotidien Le Monde vient de publier l'article suivant :

Il n’a plus le crâne rasé, mais (…) les éléments de l'enquête en sa faveur n’ont convaincu les juges de mettre Samuel Dufour, l’un des deux sympathisants d’extrême droite soupçonnés d'avoir porté des coups mortels à Clément Méric, en liberté sous contrôle judiciaire.

Vendredi 24 janvier, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris a décidé du maintien en détention de cet apprenti  boulanger de 20 ans, huit mois après la mort de Clément Méric, étudiant à Sciences Po de 20 ans et militant antifasciste lors d’une rixe l’ayant opposé, le 5 juin 2013, avec des amis de la même mouvance, à plusieurs jeunes skinheads, à la sortie d’une vente privée de prêt-à-porter dans le 9e arrondissement de Paris.

La cour présidée par Marie-Anne Chapelle s’est fondée sur deux des réquisitions de l’avocat Jean-Louis Lecué qui craignait un « trouble à l’ordre public » et a réclamé, « pour les nécessités d’une instruction » qui n’en était encore « qu’à ses débuts », le maintien des « différentes parties à l’abri de toute pression ».

« NOTRE CLIENT N’A JAMAIS FRAPPÉ CLÉMENT MÉRIC »

« Nous comprenons mal cette décision, a déclaré Me Julien Fresnault, conseil de M. Dufour avec Me Antoine Vey. Il est maintenant établi que notre client n’a jamais frappé Clément Méric. M. Dufour n’a pas de casier judiciaire et était inconnu des services de  police et de justice avant le drame, et il a des garanties de représentation. »

En rémission d’une leucémie depuis dix-huit mois, Clément Méric, 1 mètre 80 pour 66 kilos, avait fortuitement croisé, le 5 juin 2013, avec ses amis antifascistes, des sympathisants des mouvements d’extrême droite Troisième voie et Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR) – dont Samuel Dufour et Esteban Morillo, vigile intermittent de 20 ans.

Ces derniers ont toujours affirmé avoir été attaqués par les « antifas ». Depuis le drame, les compagnons de Clément Méric soutenaient qu’Esteban Morillo et Samuel Dufour étaient armés de poings américains. Ce qu’ils ont toujours farouchement réfuté.

DEUX AUTRES SKINHEADS MIS EN EXAMEN

Placés en détention provisoire peu après les faits, MM. Dufour et Morillo ont été mis en examen pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». M. Morillo a immédiatement reconnu avoir frappé M. Méric « deux fois » au visage « à mains nues » tandis que M. Dufour a toujours assuré ne l'avoir « jamais eu face à lui ». Dans cette affaire, deux autres skinheads de 23 et 25 ans sont également mis en examen pour « violences volontaires en réunion » et une femme de 32 ans pour complicité de ce chef. Ils sont libres sous contrôle judiciaire.

M. Dufour espérait bénéficier dès vendredi du même régime. Le 16 janvier, la juge d’instruction chargée du dossier avait en effet ordonné sa libération sous contrôle judiciaire. M. Dufour jurait depuis le début de l’enquête n'avoir jamais porté de coup à Clément Méric et – en dépit des affirmations répétées de deux amis de ce dernier – n'avoir pas été armé d’un poing américain.

Il avait en revanche été interpellé avec une bague en métal blanc à tête de cochon, une autre en métal à tête de mort portant des traces rougeâtres. Mais les expertises ont révélé qu’il ne s’agissait pas de sang et que l’ADN de Clément Méric n’y figurait pas.

PERPLEXITÉ DES EXPERTS

Par ailleurs, lors d’une audition le 4 novembre 2013,

Matthias Bouchenot, 24 ans, ami de Clément Méric interrogé sur la possibilité qu’aurait eu M. Dufour – avec lequel il a lui-même échangé des coups –, de frapperM. Méric, avait finalement répondu : « Non, je dois être honnête, il a été en face de moi durant tout l’affrontement. »

Les expertises médicales n’ont pas permis d'établir si une arme avait été utilisée contre Clément Méric. « Les lésions faciales ne permettent pas de préciser si la victime a été frappée à poings nus ou s’il a été utilisé des objets métalliques contondants de type bague ou poing américain, dit le rapport. Ce type d’arme laisserait cependant et probablement des traces superficielles beaucoup plus importantes. ??? »

Les points d’interrogations témoignent de la perplexité des experts… Selon le dossier résumé par la présidente Chapelle, les examens médicaux précisent en outre qu’une ponction lombaire subie par M. Méric peu avant les faits – et ayant occasionné des maux de tête – « ont pu favoriser le saignement intracrânien » provoqué par les coups et la chute fatals à la victime. Samuel Dufour, comme Estaban Morillo, demeure donc pour l’heure en prison.

Source Le Monde cliquez là, via Solidarisme cliquez ici

NDLR :

aaclemeric.jpgLe livre de Serge Ayoub, L'affaire Clément Méric, du fait divers au scandale politique, est en vente aux Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici

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Au moment de la dispersion pacifique de la manif, les forces de répresssion de l'oligarchie agressent les manifestants présents...

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Selon nos informateurs sur place, les forces de répression du sinistre Valls reprendraient ce soir leur vieilles habitudes, à savoir tabasser, tabasser et encore tabasser... Pendant que les media aux ordres ne cessent de nous casser les oreilles avec les 2 000 stipendiés qui sèment le désordre en Ukraine, à Paris ce soir, c'est la jeunesse française qui subit la violence du régime.

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JOUR DE COLERE : PARI REUSSI

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Michel Dantan

Le nouveau NH Cliquez ici

Ceux qui les attendaient au tournant avec l’espoir que leur manifestation ferait un flop en seront pour leur frais. C’est en effet plusieurs dizaines de milliers de manifestant qui sont venus battre le pavé parisien ce dimanche pour clamer haut et fort leur colère contre le gouvernement et sa politique, mais surtout le système qui lui permet d’exister. Et ce en dépit des trombes d’eau qui durant tout le parcourt jusque tard en fin d’après midi se sont déversées sans discontinuer sur la capitale. Pari tenu pour les organisateurs donc, car il n’était pas écrit d’avance que des catholiques traditionalistes de Civitas, des soutiens à Dieudonné, des identitaires de toutes tendances, des militants du Printemps Français, des anti-mariages gays, des membres d’associations de commerçants et d’artisans, des militants de mouvements patriotiques divers marcheraient au coude à coude pour faire la démonstration que la rue n’étaient pas la chasse gardée des seuls profiteurs du Système. La contestation se trouve bien aujourd’hui du côté des patriotes, et a déjà commencé à prendre racine sur un socle de valeurs sur lesquelles les partis politiques feraient bien de méditer. Sur les plus de 40 000 marcheurs (160 000 d’après les organisateurs, 17 000 d’après la Préfecture) qui défilaient aujourd’hui sous une foret de drapeaux tricolores, une bonne moitié était constituée de jeunes issus de tous les milieux sociaux, conscients de leur force et bien décidés à ne plus se laisser confisquer la parole.

Reportage photos à consulter sur le site du nouveau NH cliquez là

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Devant 160 000 manifestants, Béatrice Bourges annonce qu'elle entame la grève de la faim jusqu'à la destitution de Hollande...

C’est une foule considérable de 160.000 Français en colère qui a défilé cet après-midi à Paris. Partis de la Place de la Bastille à 14h, le cortège s’étalait plus de 2,5 Km à 15h15, heure à laquelle les derniers manifestants ont quitté la Bastille. Outre les provocations de la milice socialiste « Antifa » sur le pont d’Austerlitz et celle des Femens Boulevard Saint Marcel, les manifestants du Jour de Colère ont aussi dû supporter des violences policières dès le début de l’après-midi. Gaz lacrymogènes et tirs de flash-ball ont été utilisés contre des manifestants pacifiques et un passant de 70 ans a été jeté au sol sans raison par des policiers. Place Vauban, ils étaient attendus par des canons à eau et des pelleteuses blindées. Manuel Valls a déployé des moyens dignes de l’Ukraine, en attendant peut-être utiliser ceux employés à Damas.

Sans s’arrêter ces provocations, les manifestants ont délivré leurs messages de manière résolue et non-violente. La colère fiscale, le ras-le-bol du chômage ou des entraves que subissent les artisans, les commerçants et les paysans ont été les premiers slogans du Jour de Colère. Le cortège massé derrière la banderole « Liberté d’expression » était un des plus importants. Il a rapidement entrainé la totalité des manifestants à reprendre ses slogans : « François, casse-toi ! » ou « Hollande, dictateur ! », soutenus par le chant de la Marseillaise. C’est donc un mouvement de colère inédit qui a explosé aujourd’hui et qui n’arrêtera plus de se répandre.

Il ne reste qu’une issue à cette crise : les parlementaires doivent immédiatement prendre les responsabilités que la constitution de la Ve République leur confie. Selon l’article 68 de la constitution, il appartient aux élus des deux assemblés de se constituer, par un vote, en Haute Cour de justice, afin d’engager la procédure de destitution du Président de la République pour « manquement grave » à l’exercice de ses fonctions. La ruine à laquelle il a conduit la France, alors qu’il ne se préoccupe lui-même que de ses turpitudes privées, ne lui permet plus de se parer du titre de Président de la République.

Le Jour de Colère exige solennellement des députés et des sénateurs qu’ils engagent cette procédure de destitution immédiatement. Le peuple, souverain de notre démocratie, leur adresse cet ultimatum et saura le leur rappeler dans les semaines qui viennent.

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Immense succès de la manifestation Jour de colère

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Tous les détails et les analyses politiques de Roland Hélie et de la rédaction de Synthèse nationale dès demain. Hollande démission !

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14 H 00, PLACE DE LA BASTILLE !

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samedi, 25 janvier 2014

Jour de Colère : les dernières minables magouilles de Valls !

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Yves Darchicourt

Manuel Gaz Valls n'a pas osé faire interdire la manifestation de demain à Paris, ce "Jour de Colère" qui s'annonce grandiose aura donc bien lieu.

Au dernier moment cependant, les galonnés de la Préfecture Police ont décrété une modification du trajet initialement prévu, un itinéraire pourtant déposé depuis le 7 janvier! Il a été imposé un parcours rallongé évitant le boulevard St-Germain bien évidemment dans le but d'une part de rendre un peu moins "visible" le cortège, d'autre part de rendre difficile le respect de l'ordre de dispersion à 18h00 et quasiment d'empêcher les allocutions finales. Il s'agit là sans doute de ces petites magouilles typiques du gominé naturalisé dont on se souvient qu'il n'avait pas hésité à faciliter les provocations d'un groupe de "femen" lors d'une manifestation patriotique. C'est peut-être aussi dans l'espoir de débordements que le staff vallsien de la PP a refusé comme lieu de dispersion la place de l'Opéra, remplacé par la place Vauban considérée de source policière comme "plus aérée" et donc de faciliter les mouvements des robocops en cas de besoin.

On signalera aussi que les sbires préfectoraux de Valls n'ont pas hésité à livrer à la presse les coordonnées privées d'une des co-déclarantes (adresse personnelle, lieu de travail), une malveillance qui devrait déboucher sur une plainte en bonne et due forme.

Tout ce minable remue ménage aura au moins l'avantage de révéler que Valls et ses maîtres ont la frousse, qu'ils crèvent de trouille à l'annonce d'un puissant rassemblement populaire d'opposition qui pourra bien un de ces prochains jours virer avec pertes et fracas cette clique ripoublicaine ...après tout nous allons bientôt commémorer le 80 anniversaire du 6 février 1934 ! A bas les voleurs !

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Le parcours de la manif de dimanche : Bastille / Place Vauban

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Cevipof : Le rapport qui accuse

valeurs4026_001_0.jpgSource Valeurs actuelles cliquez ici

Séisme. En partie censuré, le 5e baromètre de la confiance politique est une bombe. “Valeurs actuelles” se l’est procuré dans son intégralité. Ses 84 pages révèlent une société au bord de l’explosion. Jusqu’à réclamer, pour la moitié des Français, un “homme fort qui n’a pas à se préoccuper du Parlement ni des élections” !

Commandé, pour cette dernière édition, par le Cese (Conseil économique, social et environnemental) et réalisé par le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), le baromètre de la vie politique dresse chaque année, depuis 2009, l’audit le plus approfondi de l’état de l’opinion française. Sondés via plusieurs centaines de questions par l’institut OpinionWay, les Français s’y livrent sur eux-mêmes, leur pays, leurs valeurs et leurs représentants. Pour la première fois depuis sa création, près d’un tiers des pages n’ont pas été rendues publiques. À les lire, on comprend pourquoi. Ce rapport témoigne, en effet, d’un pessimisme généralisé et d’une défiance inégalée à l’encontre de nos institutions, de la classe politique et du chef de l’État — qui “inquiète” 67 % des Français. Entre quête d’autorité, droitisation tous azimuts, rejet de l’Europe et de la mondialisation, c’est à une France fracturée et ulcérée que fait face la gauche, moins de deux ans après son accession au pouvoir.

Inquiets 65 %

C’est la part des Français qui prédisent que “la situation économique du pays va se dégrader au cours des douze prochains mois”, et ils sont presque aussi nombreux (60 %, + 5 points en un an) à penser la même chose pour leur propre situation financière. Mais cette inquiétude va très au-delà des questions pécuniaires. Quand on leur demande quels sont les qualificatifs qui caractérisent le mieux leur état d’esprit, les Français ne sont que 10 % à répondre la “confiance”. Contre 12 % qui répondent la “peur”, 30 % la “méfiance”, 31 % la “lassitude” et 34 % la “morosité”.

Jamais depuis la création de ce baromètre les Français n’ont été aussi résignés et inquiets pour leur avenir. Idem concernant celui de leurs enfants. À la question : “Pensez-vous que les jeunes d’aujourd’hui auront plus, autant ou moins de chances de réussir que leurs parents dans la société française de demain ? ”, ils ne sont que 3 % à répondre “plus de chances”, contre 72 % “moins de chances”. La moitié d’entre eux (51 %) estime même qu’“aujourd’hui, pour assurer leur avenir professionnel, les jeunes ont intérêt à quitter la France”.

Défiants 75 %

La défiance des Français vis-à-vis de l’État n’a jamais été aussi forte : 75 % d’entre eux ne lui font “pas confiance”, dont 36 % “pas du tout”. À l’opposé, seuls… 2 % lui font “tout à fait confiance”. À travers l’État, ce sont toutes les institutions, ou presque, qui sont aujourd’hui discréditées aux yeux d’une écrasante majorité de Français : 68 % ne font pas confiance à l’institution présidentielle, 74 % se défient du gouvernement. Idem, entre autres, pour l’Assemblée nationale (63 %) et le Sénat (61 %). Pour les Français, le verdict est sans appel : “la démocratie ne fonctionne pas bien” (69 %, + 15 points en un an !), notamment parce qu’elle a “du mal à prendre des décisions” et provoque “trop de disputes” (67 %). La justice n’est pas épargnée : 65 % ne lui font pas confiance. Pour les médias, c’est encore pire : plus de trois Français sur quatre s’en méfient (76 %).

Blasés 88 %

Le rejet des partis politiques est quasi unanime : 88 % des Français ne leur font pas confiance, 83 % considèrent qu’il ne sert à rien de militer dans un parti politique. À la question : “Quand vous pensez à la politique, pouvez-vous me dire ce que vous éprouvez ? ”, le tiercé de tête des réponses des Français est “méfiance” (36 %), “dégoût” (31 %) et “ennui” (11 %)… Seuls 5 % y trouvent de l’“espoir” et 1 % du “respect” ! Hormis les maires, tous les élus sont perçus négativement. Principal reproche à leur être adressé : “ne pas se préoccuper [des] gens” — un jugement partagé par 87 % des Français, dont 49 % qui estiment qu’ils ne se “préoccupent pas du tout” d’eux. Politiques de gauche et de droite sont jetés dans le même sac : seuls 18 % des Français font confiance aux premiers et 21 % aux seconds pour diriger la France, tandis que 60 % n’ont confiance “ni dans la droite ni dans la gauche pour gouverner le pays”.

Autorité 50 %

Aussi incroyable que cela puisse paraître — d’où, sans doute, la censure de cette question par le Cevipof —, pas moins de 50 % des Français jugent “très bon” ou “assez bon” un système politique consistant à “avoir à sa tête un homme fort qui n’a pas à se préoccuper du Parlement ni des élections” — en clair : une monarchie ou une dictature… Considérant, pour 40 % d’entre eux, que “les démocraties ne savent pas bien maintenir l’ordre”, le besoin d’autorité au sommet de l’État est tel que 12 % des Français vont jusqu’à souhaiter que “l’armée dirige le pays” !

Contestataires 61 %

Les Français grondent : ils sont 61 % à se dire “prêts à participer à une manifestation”, alors qu’ils n’étaient que la moitié en 2010. Seuls 12 % n’y sont “pas prêts du tout”. Lorsqu’on leur demande “ce qui permet aux citoyens d’exercer le plus d’influence sur les décisions prises en France”, “manifester dans la rue” (32 %), “boycotter des entreprises ou des produits” (29 %) et “faire grève” (23 %) recueillent ensemble largement plus de suffrages que “voter aux élections” (63 %) — laquelle proposition n’est citée en premier que par un Français sur deux (51 %) !

Crise de régime 87 %

Près de 9 Français sur 10 (87 %) — un résultat censuré par le Cevipof — jugent que ...Lire la suite...

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Autriche : le traditionnel bal des Corporations étudiantes à Vienne a été le prétexte d'un déchainement de violence de la part des chiens de garde de l'oligarchie mondialiste

Symbole prestigieux de l'Europe éternelle, le bal des étudiants nationalistes viennois a suscité la haine et la violence des bandes armées gauchistes...

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