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lundi, 19 mai 2014

Le Barreau de Lyon crée une « équipe commando » pour lutter contre le racisme

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Source La Flamme cliquez ici

Un groupe de treize avocats spécialement formés prendra en main des dossiers liés aux questions de racisme, d’antisémitisme et autres discriminations.

« C’est une initiative totalement lyonnaise dont nous nous serions bien passés. » Me Philippe Genin, avocat au Barreau de Lyon et ancien Bâtonnier, a présenté ce lundi « l’équipe commando » qui vient d’être formée au sein de l’ordre professionnel des avocats.

« Si Lyon est historiquement une terre de résistance, nous observons depuis près de huit ans une montée en puissance de groupuscules violents et haineux d’extrême droite comme les Jeunesses nationalistes ou les identitaires, explique Me Genin. Nous constatons par ailleurs un afflux de dossiers concernant le racisme ‘ordinaire’ dans la rue, dans les entreprises ou en matière de discrimination au logement. Nous nous devions de réagir. »

Pour la première fois en France, un groupe de treize avocats lyonnais volontaires, bénévoles et spécialement formés sur les questions de racisme ou d’antisémitisme sera à l’écoute des associations (Licra, SOS Racisme, Ligue des droits de l’Homme…) et des particuliers afin de lutter plus efficacement et plus rapidement sur ces sujets.

« Il y a des progrès à faire dans la lutte contre les discriminations. A Lyon, moins de dix affaires relatives au racisme sont jugées chaque année, affirme Roger Benguigui, secrétaire général de la Licra. Car ce sont des cas difficiles à prouver, c’est souvent parole contre parole. »

Et Me Johanne Sfaoui, avocate au sein de la nouvelle équipe, d’enchaîner : « En nous rassemblant au sein de cette entité, nous aurons plus de poids et de réactivité. Ainsi, la mobilisation sera plus grande sur ces sujets », assure-t-elle.

Joint par metronews, Alexandre Gabriac, Chef des Jeunesses nationalistes et élu à la région Rhône-Alpes, s’inquiète pour sa part de la formation de ce « commando de la police de la pensée. » « Ce sont des personnes en mal de notoriété qui s’érigent en ligue de la vertu. Mais je me réjouis qu’un groupe d’avocats citoyens prenne en main la question du racisme anti-blanc et anti-catholique », ironise-t-il.

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Le JT de TV Libertés de lundi soir :

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Le nouveau numéro de Livr'arbitres consacré à Dominique Venner

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Livr'arbitres cliquez ici

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Grand succès de la procession Saint Louis...

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Plus de 2 000 personnes étaient présentes à la grande procession organisée par l’association Oriflamme ce samedi 17 mai, à l’occasion du huitième centenaire de la naissance de Saint Louis, le 25 avril 1214.

Fait remarquable, que certains n'hésitent pas à qualifier d'historique, la présence conjointe des prétendants orléaniste et légitimiste au trône de France, le Comte de Paris, Henri d’Orléans, et Louis de Bourbon ("Louis XX"), montrant ainsi à tous leur attachement mutuel à l’Histoire de notre pays.

Derrière le clergé, un groupe de chevalier de l’Ordre de Malte en grande tenue précédait la statue de Saint Louis.

Le choeur Montjoie Saint-Denis ainsi que la Fanfare Royale "l’Avenir" d’Hanzinne animaient la procession en alternant cantiques, litanies, chants en français et en latin, ainsi que des pièces instrumentales.

La procession s’est magnifiquement conclue à Notre-Dame de Paris par une ostension solennelle de la couronne d’épines et des Reliques de la Passion acquises par Saint Louis.

Lire Ligue francilienne cliquez là

D’autres photos ici ou

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dimanche, 18 mai 2014

Cristeros, déjà 4e au box office en France

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Source Aleteia cliquez ici

Pari réussi ! Trois jours après sa sortie, le film Cristeros est quatrième au box-office ! Un véritable exploit pour un film proposé dans seulement 61 salles, quand Godzilla arrive en tête avec dix fois plus d'écrans. Plus étonnant encore : sur  le site de référence en matière de cinéma, Allociné, où les spectateurs le classent pour l'instant, excusez du peu, "meilleur film de tous les temps" ! cliquez là

L'avant première de Cristeros à Lyon avait déjà été victime de son succès : de très nombreux spectateurs avaient dû être refoulés faute de places...  À Lille et Versailles, elles ont également fait salle comble, rassurant ainsi les exploitants qui hésitaient encore. Résultat : alors qu'une semaine avant la sortie du film, seules 22 salles avaient accepté de le diffuser, le voilà finalement à l'affiche dans 61 salles (cf liste complète à la fin de cet article). UGC a notamment décidé de programmer le film dans quasiment toutes ses salles en province.

Quelle est l'histoire racontée dans Cristeros, au cas où vous l'ignoreriez encore ? En 1926, un soulèvement populaire secoue le Mexique, suite aux lois du président Callès, qui interdisent toute pratique religieuse dans l’ensemble du pays. Après un premier temps de protestation pacifique, des hommes et des femmes de tous horizons, les Cristeros, vont alors se révolter et risquer leur vie pour défendre leur liberté et lutter contre les persécutions...

Pour être allé le voir, il faut être clair : un croyant ne sort pas indemne d'avoir vu ce film. L'histoire, les actes, choquent, blessent, émeuvent, et font se poser des questions de fond sur la liberté de pratiquer sa foi, et la liberté tout court. Des questions toujours d'actualité dans bien des pays, comme l'ont hélas prouvé ces derniers jours l'enlèvement de lycéennes par Boko Haram ou la condamnation à mort d'une jeune chrétienne au Soudan…

Quelques villes importantes ne proposent pas de voir Cristeros pour le moment. Les résultats de la sortie nationale sur les 61 salles programmées les feront peut-être changer d'avis... Une raison de plus, s'il en fallait une, de ne pas attendre pour aller voir ce film. N'attendez pas, et ne regrettez de ne pas y être allé plus tôt, car la plus grande partie des films ne restent qu’une semaine à l’affiche !

Liste des salles cliquez là

Le site du film cliquez ici

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« Nous ne guérirons jamais de Dominique Venner, et c’est pour cela que nous resterons vivants »

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Ouverture du colloque Dominique Venner, samedi 17 mai 2014. Avec Philippe Conrad, Pierre-Guillaume de Roux, Javier Portella, Carlomanno Adinolfi, Bernard Lugan et Alain de Benoist. ©Photo-Revue-Éléments

La considérable affluence au colloque Dominique Venner (plus de 500 personnes à la Maison de la Chimie ce 17 mai), la qualité des interventions à la tribune laisse entrevoir un mouvement de sursum corda mais aussi de sursum ratio. « Élévation des cœurs» et «élévation de notre raison». Par un acte en apparence irrationnel, mais en fait logique, Dominique Venner a ouvert une voie : celle du sacré, celle, aussi, de la hauteur de vue. La hauteur de vue n’est pas l’indifférence, elle n’est pas le refus de s’engager, elle est la froideur dans la perception des enjeux, qui va volontiers avec la chaleur de la camaraderie. La mort sacrificielle de Dominique Venner, il y a un an, à Notre-Dame de Paris, a précisément ce sens précis : ouvrir un espace du sacré. Ce que croyait précieux Dominique Venner ce n’était ni la droite ni la gauche, c’était la France et l’Europe comme civilisation, c’était le sens même de ce que patrie veut dire, et de ce qu’honneur veut dire. Car l’honneur, en un sens, c’est toujours filiation et transmission.

Or, c’est tout cela, avec l’effacement du sens, avec le relativisme généralisé, avec le changement de peuple par l’immigration de masse, qui est mis à bas par la modernité ravageuse. Et par une politique criminelle, celle du mondialisme comme système à tuer les peuples. Changer notre peuple dans sa composition ethnique et culturelle pour tuer toute notion de peuple, dépolitiser tout pour ne laisser que la table rase du turbocapitalisme se déployant sur fond de grand marché universel, avec des hommes interchangeables, et d’ailleurs interchangés et inter-échangés, sans passé, sans héritage, sans histoire, et donc sans avenir. Avec un seul présent : celui de consommateur et de producteur. Avec des femmes louant leur ventre, et des hommes vendant leur sperme. Voilà le monde dont Venner ne voulait pas. Sain refus. Mais aussi portait-il une grande espérance, la lueur d’un autre monde possible, poétique, fort, tragique, noble, plein des exemples héroïques qui agrandissent nos petites vies pour leur donner un souffle, une ampleur, une dimension mythique. Nous ne guérirons jamais de Dominique Venner, et c’est pour cela que nous resterons vivants.

Pierre Le Vigan 

Pierre Le Vigan, écrivain, philosophe, vient de publier L’effacement du politique. La philosophie politique et la genèse de l’impuissance de l’EuropeLa barque d’or. Contact : labarquedor@hotmail.fr, 15 €.

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Intervention de Bernard Lugan sur "L'esprit corps franc". ©Photo-Revue-Éléments

Source Le blog d'Eléments cliquez ici

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Il y a un an, Dominique Venner...

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Bulletin de commande 

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samedi, 17 mai 2014

Sympathique soirée vendredi à Amiens avec Roland Hélie et Thomas Joly...

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Une trentaine de convives a assisté, dans une ambiance très sympathique, vendredi soir au dîner débat organisé à Amiens par Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France. L'invité était Roland Hélie, Directeur de la revue Synthèse nationale.

Nous reviendrons très rapidement sur cette belle réunion. Lire cliquez là

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13:23 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"RIVAROL" PARLE DU 1er NUMERO DES "CAHIERS D'HISTOIRE DU NATIONALISME" CONSACRE A LEON DEGRELLE...

2324674723.jpgUn article de Robert Spieler paru dans Rivarol du 24 avril dernier cliquez ici :

Il y a quelques semaines paraissait dans les pages nécrologiques des quotidiens belges Le Soir et L’Avenir ce texte : « 31 mars 2014 : vingtième anniversaire de la disparition de l’écrivain et poète JEAN DOUTRELIGNE 1906-1994. Auteur de ‘Notre-Dame’ de la ‘Sagesse’, ‘Révolution des âmes’, ‘La Chanson ardennaise’, ‘La Grande Bagarre’… Sa famille, ses amis, ses disciples ne l’oublient pas. » Jean Doutreligne est le pseudonyme de… Léon Degrelle, qui écrivit de magnifiques poèmes. La parution de cette annonce à laquelle les services des deux journaux n’y virent que du feu suscita évidemment la joie chez certains et la fureur chez d’autres. C’est une des nombreuses anecdotes que l’on trouve dans le livre consacré à Léon Degrelle dans la nouvelle collection de Synthèse nationale, pilotée par Roland Hélie et intitulée « Cahiers d’histoire du nationalisme ». On y trouve des contributions de Camille Galic, Francis Bergeron, Pierre Vial, Yvan Benedetti, Alexandre Gabriac, Henri de Fersan et d’autres qui nous pardonneront de ne pas les citer tous. On y trouve aussi un article de Saint-Loup et un important discours de Léon Degrelle, prononcé le 7 février 1943 à Berlin, intitulé : « Pour la révolution nationale-socialiste ». Christophe Georgy nous présente la biographie du « beau Léon ». Ses soldats le surnommaient aussi affectueusement « Modeste 1er de Bourgogne » car il n’avait, à juste titre, pas la réputation d’être d’une modestie excessive.

Naissance et jeunesse

C’est dans les Ardennes belges, dans la petite ville de Bouillon, située à trois kilomètres de la frontière française, au nord de Sedan, que nait Léon, Joseph, Marie, Ignace Degrelle, le 15 juin 1906, dans une famille d’origine française, très catholique. Son père, Edouard Degrelle, brasseur de métier, avait quitté la France en 1901 car il était opposé aux persécutions qu’imposait le ‘Petit Père Combes’ aux congrégations religieuses. Léon Degrelle fut très marqué, dans sa jeunesse par l’affreuse guerre qui ravagea l’Europe, n’épargnant pas la Belgique. En novembre 1918, il est choisi pour présenter un compliment aux officiers français qui entrent à Bouillon. Le jeune scout fera à cette occasion le tour de la ville, main dans la main avec un officier dont le nom est… Philippe Pétain à qui il vouera toute sa vie une profonde admiration. Dès l’âge de seize ans, il se passionne pour la littérature et notamment pour l’œuvre de Charles Péguy. Il écrit des poèmes et commence à collaborer à des journaux.

Degrelle journaliste

Il commence à s’intéresser à la politique et grâce à la lecture de Charles Maurras dans l’Action française, il se forge ses premières convictions personnelles. Il lit aussi Léon Daudet et Jacques Bainville. C’est au cours de ses études en faculté de lettres et de philosophie thomiste à l’Université catholique de Louvain qu’il est repéré par Mgr Picard qui voit déjà en lui un vrai meneur. Il lui propose, alors qu’il n’a que vingt ans, de prendre la direction d’un journal d’étudiants dont il portera, grâce à son talent d’éditorialiste, les ventes à 10 000 exemplaires, chiffre impressionnant pour ce type de publication. Mais la consécration viendra avec sa rencontre avec l’abbé Norbert Wallez, directeur du grand journal catholique Le Vingtième siècle, qui l’engage.

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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

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vendredi, 16 mai 2014

Académie de Nantes : Parents, n'envoyez pas vos enfants au lycée ce vendredi 16 mai

index.jpgUn communiqué de Alain Escada, Président de Civitas :

La folie qui s'est emparée de l'Académie de Nantes avec le soutien du ministère de l'Education nationale ne peut restée sans réaction.

27 lycées situés de Nantes à Angers proposent aux garçons de se rendre en classe ce vendredi 16 mai vêtus d'une jupe et la bouche badigeonnée de rouge à lèvres. La proposition vaut également pour le personnel masculin enseignant.

Si rien ne vient perturber sérieusement cette journée de folie, les Académies de Rennes et de Poitiers pourraient prendre des initiatives identiques.

CIVITAS appelle solennellement tous les parents dont les enfants sont élèves de ces 27 lycées à prendre leurs responsabilités. A la suite du mouvement Journée de Retrait de l'Ecole, CIVITAS demande avec insistance à ces parents de ne pas envoyer leurs enfants au lycée ce vendredi 16 mai.

Plus largement, CIVITAS appelle tous les Français de bon sens à écrire par lettre ou par courrier électronique, ou appeler au téléphone les directions de ces 27 lycées ainsi que l'Académie de Nantes afin de protester vivement contre cette entreprise de subversion qui vise à banaliser la théorie du genre.

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Tous en jupe… à deux semaines du bac, rien de mieux à faire ?

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Olivier Vial

Boulevard Voltaire cliquez ici

Comme l’enfer se pave de bonnes intentions, notre école commet souvent les pires folies au nom de principes généreux. Ainsi, c’est dissimulés derrière le paravent du combat en faveur de l’égalité entre les sexes que les adeptes les plus radicaux de la théorie du genre ont réussi à forcer la porte de l’Éducation nationale.

Depuis, il leur suffit de brandir l’étendard de la lutte contre le sexisme et les stéréotypes pour faire accepter toutes leurs initiatives, y compris les plus farfelues, mais aussi faire taire toute critique.

Leur tactique est désormais bien rodée. Après avoir milité pour que l’on remplace, en maternelle, les classiques de la littérature enfantine jugés « trop genrés » par des livres comme « Papa porte une robe », « Ma mère est une femme à barbe » ou « Mehdi met du rouge à lèvre », après avoir obligé des élèves de CE2 à regarder le film très militant « Tomboy » (lauréat du prix du jury des Teddy Award récompensant les films traitant de sujets LGBT), après avoir défendu l’expérimentation des « ABCD de l’égalité » qui visent, en s’inspirant des travaux des théoriciennes féministes les plus radicales, à déconstruire « les stéréotypes de genre » auprès d’enfants âgés de 3 à 11 ans, voici venu le temps d’inviter les garçons à porter une jupe.

Pour ce faire, l’académie de Nantes appuie, finance et assure le suivi « pédagogique » d’une initiative prise par le conseil académique de la vie lycéenne (conseil présidé par le recteur), incitant dans une vingtaine d’établissements les élèves et les enseignants, quel que soit leur sexe, à porter une jupe vendredi 16 mai afin de lutter contre le sexisme.

Le plus inquiétant avec cette initiative, qui en elle-même est bien plus ridicule que dangereuse, c’est la prétendue unanimité qui l’accompagne ; le ministère, le rectorat, les organisations de parents d’élèves, les syndicats lycéens de gauche, tous vantent cette expérimentation.

Comment peut-on être à ce point aveuglé ? Comment peut-on penser qu’à quelques semaines des épreuves du bac, les lycéens n’ont pas mieux à faire ? Comment ne pas craindre que l’autorité des enseignants, déjà largement contestée, ne soit pas encore affaiblie par cette mascarade ? Enfin et surtout, comment ne pas voir que l’objectif même de l’égalité entre les sexes est totalement trahie par ce dispositif. En effet, cette journée de la jupe proposée par le rectorat de Nantes envoie un message bien différent de celui du film éponyme de Jean-Paul Lilienfeld avec Isabelle Adjani. Dans ce film, le propos était de permettre aux filles d’assumer leur féminité dans des environnements, des quartiers où porter une jupe entraîne automatiquement les moqueries et les brimades des garçons. C’était là un vrai message de respect, loin du carnaval proposé par le rectorat de Nantes, qui au final nie l’identité féminine et masculine et confond égalité et uniformité.

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RAPPEL : Roland Hélie invité ce soir à Amiens par Thomas Joly pour un dîner-débat

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Vendredi 16 mai à Amiens, Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, accueille Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, pour un dîner-débat qui aura pour thème « Pour une nécessaire synthèse nationale ».

Il sera possible lors de cette soirée de se procurer les dernières publications de la revue Synthèse Nationale.

Le menu est le suivant : Kir - Ficelle picarde - Confit de canard/Pommes de terre sautées - Pain perdu - Café et vin compris. La participation est de 25 € à régler sur place.

Renseignements et réservations : 06.09.96.44.37 ou thomasjoly60@yahoo.fr 

09:19 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La vérité sur Dien Bien Phu, par Roger Holeindre

il-y-a-60-ans-dien-bien-phu-roger-holeindre.jpgVoici la dernière publication de Roger Holeindre : « Il y a 60 ans, Dien Bien Phu »

A l’occasion du soixantième anniversaire de cette héroïque tragédie, voici une belle brochure richement illustrée, qui est « est un hommage à ceux qui surent se battre, souffrir et mourir. »
Elle remet aussi quelques pendules à l’heure…

90 pages en couleurs, format 21 x 29,7 cm, nombreuses photos. 15 €. TTC.

Commande à passer au Cercle National des Combattants, 38 rue des Entrepreneurs, 75 015 Paris. Chèque à l'ordre du CNC.

09:11 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

07:13 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 15 mai 2014

Nantes : plusieurs centaines de lycéens dans les rues contre la mascarade de la journée en jupes...

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Une poignée de lycéens soutenue par les profs et tous les rouages de la pensée unique envisage d'organiser demain vendredi un journée dans les établissements scolaires de la ville de Nantes au cours de laquelle les garçons viendraient habillés en jupe. Ce type d'initiative s'inscrivant parfaitement dans le processus de destruction des identités orchestré par l'oligarchie mondialiste.

Les quelques crétins qui sont à l'origine de cette piteuse mascarade ne pensaient pas qu'ils allaient réussir à unifier la jeunesse nantaise contre eux.

Ainsi, dès cet après midi, des centaines de jeunes, lycéens, collégiens et étudiants, soutenus par La Manif pour Tous, sont descendus dans les rues de la ville et en particulier devant le lycée Clemenceau, d'où est partie cette sinistre provocation, pour manifester leur légitime réprobation. Ce n'est qu'un début...

Correspondant Nantes

20:02 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER

RIVAROL N° 3140 du 9 mai 2014

 

L’ASSEMBLÉE de Corse a voté, par 29 voix sur 51, une règle prévoyant de réserver l’achat d’un terrain ou d’un logement sur l’île aux seuls résidents permanents. Il faudrait y habiter depuis au moins cinq ans pour devenir propriétaire. Objectif : mettre un frein à la démente spéculation immobilière : « On est passé de 5 000 à 6 000 résidences secondaires dans les années 1970 à, aujourd’hui, près de 80 000 », affirme l’élu nationaliste, maire de Bastia, Gilles Siméoni. Le président du conseil exécutif de la collectivité territoriale de Corse, Paul Giacobbi, explique, quant à lui, qu’il s’agit « d’éviter que des gens qui ont les moyens de posséder une île comme la nôtre se l’approprie au détriment de sa population ».

 

LA CORSE AUX CORSES ! ET À QUAND LA FRANCE AUX FRANÇAIS ?

 

Les nationalistes de Corsica Libera déplorent, quant à eux, que « les Corses soient exclus de leur propre terre ». Les élus de l’île envisagent d’adopter un statut particulier pour les Corses expatriés, ayant gardé des attaches locales. La décision de l’assemblée de Corse doit désormais être soumise au Parlement et n’a cependant rigoureusement aucune chance de passer. Si c’était le cas, nul doute que le Conseil Constitutionnel la retoquerait. Mais cela fait plaisir de voir des gens défendre leur identité et leur terroir. A quand la France aux Français ?

 

“ON N’EST PAS COUCHÉ” : UNE ALTERCATION ARCADY-CARON COUPÉE AU MONTAGE

 

Une vive altercation a opposé, lors de l’enregistrement de l’émission « On n’est pas couché » (France 2), Aymeric Caron (chroniqueur) et le réalisateur Alexandre Arcady auteur de 24 jours (l’affaire Halimi), affirme Elisabeth Lévy sur le site internet de Causeur. Une altercation qualifiée de “violente” par la polémiste, que les téléspectateurs fidèles de Laurent Ruquier n’ont pas pu voir. Motif : elle a été coupée au montage. Que s’est-il passé ? Le réalisateur Alexandre Arcady était venu promouvoir son film 24 jours, récit du calvaire d’Ilan Halimi, torturé à mort en 2006 par Youssouf Fofana et son « gang des barbares ». Bien entendu, l’anti-antisémitisme fut une discussion de mise. Et voici qu’Aymeric Caron eut l’incroyable audace de dire quelques vérités. Avait-il bu ou fumé la moquette ? Toujours est-il qu’Elizabeth Lévy raconte ainsi l’histoire : « Consultant ses fiches soigneusement préparées, il [Aymeric Caron] déplore, chiffres à l’appui, que le film passe sous silence les actes islamophobes qui ont bien plus augmenté que les actes antisémites […]. Le ton monte […] Arcady ne sait plus comment la discussion en arrive à Merah. Si on interrogeait Merah, déclare alors Caron, il dirait qu’il a tué des enfants juifs parce que l’armée israélienne tue des enfants palestiniens […]. D’ailleurs, là encore, il a les chiffres. Sous le regard médusé des invités, il brandit ses notes, puisées dans le rapport d’une ONG. J’ai les chiffres ! Qu’est-ce que vous répondez à ça ? Arcady s’étrangle. Vous osez dire que l’armée israélienne tue des enfants !, hurle-t-il […]. Polony demande à son partenaire s’il n’a pas perdu la tête : tu viens à une émission sur Ilan Halimi avec des données sur les Palestiniens tués par l’armée israélienne, est-ce que tu te rends compte de ce que tu fais ? ». Du coup, sans qu’on ne sache vraiment pourquoi, la séquence a été coupée au montage. Alexandre Arcady, qui est un féal de Tsahal, ne décolère pas, chargeant Aymeric Caron, qui a sans doute une espérance de vie télévisuelle qui n’est plus que très limitée : « Ce monsieur vient avec des affirmations d’un antisionisme et d’un anti-Israël d’une façon tellement caricaturale. Ces raccourcis font mal ». De plus, déclare-t-il, et là, il faut le reconnaître, on frôle l’horreur : « il a plongé son nez dans ses notes et il a cité des chiffres, donc tout ça était préparé, ce n’était pas improvisé […] » Il a plongé son nez dans ses notes… C’est, il faut le reconnaître, effrayant.

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CETTE EUROPE DONT NOUS NE VOULONS PAS !

420365_288245577914122_100001860456369_698758_789173961_n.jpgPieter Kerstens

En 2005, pour que les peuples puissent exprimer leur opinion, les ténors politiques avaient soumis à référendum une Constitution pour l’Europe, compilation de nombreux traités signés entre les Etats avant Maastricht, mais surtout depuis 1992 (Amsterdam et Nice) et fruit des synthèses obtenues par l’ex-Président français Valéry Giscard d’Estaing au sein d’une Commission spécialement dédiée à ce projet.

Contrairement aux citoyens des 14 autres pays, les belges ont été privés de ce référendum, car jugé « dangereux » et « inopportun » par MM Reyders, Di Ruppo, Steyvaert et Sommers, éminences aux manettes du plat pays.

Il est lamentable de constater que les sénateurs belges dans leur unanimité -sauf le FN et le VB ainsi que Paul Galand défiant l’ukase PS- aient approuvé ce texte que la plupart d’entre eux n’avaient même pas lu …Ce vote a été un camouflet pour la démocratie ! A qui voulait-on faire croire que cela reflétait l’expression des électeurs ? Une forte proportion des sympathisants d’ECOLO, une grande partie des troupes socialomarxistes, une majorité des militants syndicaux à gauche comme à droite et d’importants contingents libéro-chrétiens n’approuvaient pas les articles de cette Constitution qui nous imposait une Europe inféodée aux USA, ouverte aux pays d’Orient et porteuse d’un choc de civilisations à moyen terme

Tous les articles du Titre III devaient être retirés, car à eux seuls ils définissaient la politique future de l’Europe et constitutionnalisaient celle-ci, en interdisant toute orientation nouvelle à l’avenir, en la figeant définitivement.

Face au rejet des électeurs de certains pays, cette Constitution Européenne a été remplacée par le traité de Lisbonne -non soumis à référendum- et entré en vigueur le 1er décembre 2009.

L’Europe n’avait pas réglé les problèmes des 15, qu’en 2004 elle avait déjà accepté 10 nouveaux membres et annonçait l’arrivée de la Bulgarie et de la Roumanie pour 2007. Il fallait arrêter ce délire des eurocrates !

En 30 ans, ceux-ci ont muré les mines (charbon, fer, potasse et zinc), coulé les chantiers navals, sinistré la sidérurgie et la métallurgie, condamné l’agriculture et l’élevage et en 2005, ces fonctionnaires bruxellois avaient assassiné froidement l’industrie textile une seconde fois, à cause d’accords de l’OMC mal négociés ! 

Ces eurocrates, complices des gouvernements mondialistes, et les commissaires européens, adoubés par le Conseil, ont construit des cimetières industriels avec une vue imprenable sur un désert économique. Année après année les médias, aux ordres de ceux qui nous gouvernent, nous ont pourtant dit et répété que l’Union Européenne « allait nous apporter un niveau de vie meilleur et le plein emploi » !

C’est tout le contraire que nous constatons et cela ne fait qu’empirer…

Et ceci serait déjà une raison suffisante et valable pour punir la mafia socialaud-écolo-capitaliste.

Mais non contents de détruire notre économie, les gnomes de Bruxelles et leurs affidés du Parlement Européen ont délibérément favorisé l’immigration-colonisation dans nos pays, en ouvrant toutes grandes les frontières à une déferlante d’individus inassimilables et opposés à cette réalité :

« L’Europe est une terre de cathédrales et de beffrois, et non pas de mosquées ou de minarets ».

En votant le 25 mai, nous devons à nouveau exprimer notre colère et brandir un carton rouge.

07:07 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eurovision 2014 : heureusement que le ridicule ne tue pas !

MNR.jpgUn communiqué du MNR :

La victoire du (ou de la ) transsexuel autrichien(ne) Conchita Wurst (Thomas Neuwirth) à l'Eurovision 2014 a ravi les milieux « progressistes » d'Europe. La sénatrice EELV Esther Benbassa a saisi l'occasion pour publier une tribune intitulée « ...Après la victoire de Conchita Wurst à l'Eurovision, une avancée pour les trans au Sénat ? » Au passage, on peut se demander en quoi un tel événement serait une avancée écologique...

Sans porter de jugement sur la qualité de sa prestation vocale, et compte tenu de sa présentation provocatrice comme « femme à barbe », on peut douter que ce choix ait été dicté uniquement par des préoccupations artistiques. D'ailleurs,  le ministre de la culture autrichien a ainsi salué « une victoire en Europe pour la tolérance et le respect ».

Devant le déferlement des prises de position antinaturelles dans la société, que tous ceux qui ont encore une vision équilibrée de la vie portent leurs suffrages aux responsables politiques qui la défendent.

Citons Vladimir Poutine (septembre 2013) : "nous voyons combien de pays euro-atlantiques rejettent leurs racines, y compris les valeurs chrétiennes qui constituent la base de la civilisation occidentale. Ils nient le principes moraux et toutes les identités traditionnelles: nationales, culturelles, religieuses et même sexuelles".

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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Conchita Wurst, lauréat(e) de l’Eurovision 2014

petomane1.jpgArnaud Raffard de Brienne

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Travesti, femme à barbe, les médias n’en peuvent plus de célébrer ce symbole de la "tolérance", selon eux, sans jamais relever que l’individu relève sans doute, beaucoup plus prosaïquement, d’une pathologie mentale assez sévère. Peuvent-ils vraiment l’ignorer ou s’agit-il plutôt de pervertir pour pervertir au nom d’un relativisme poussé jusqu’à l’aberration et au grotesque ?

Il y a un siècle environ, l’hurluberlu eut, dans une baraque de fête foraine, exhibé ses charmes contre quelques piécettes sonnantes et trébuchantes. Femme à barbe, pétomane et "femme la plus grosse du monde" se disputaient alors un public avide de bizarrerie et d’anomalie. On peut, avec beaucoup d’imagination et au prix d’un redoutable anachronisme imaginer un instant un duo artistique sonore – vocal pour au moins l’un des deux – entre notre Conchita barbue et un pétomane des temps modernes. Il se trouverait forcément un bel esprit pour clamer au génie.

Ayons quand même une pensée compatissante pour les Autrichiens que prétendait représenter Conchita. Leur humiliation ne sera, certes, qu’éphémère, le phénomène se limitant au microcosme de la chansonnette et à la remise d’un prix dont plus personne n’imagine qu’il soit, comme tant d’autres, attribué avec un franc souci de neutralité.

 

ignace_conchita_mpi-e1399989157758.jpg

 

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Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

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mercredi, 14 mai 2014

Le fantasme de la Troisième guerre mondiale

Le billet de Patrick Parment

la_guerre.jpgC’est le dernier gadget intellectuel, lancé par un certain Jacques Attali, qui est à la prévision politico-économique et la pensée magique ce que Madame Soleil était à la lecture des planètes, la Troisième guerre mondiale. Contre la Russie évidemment. Certes, on est habitué, Jacques Attali fourre son nez partout, a un avis sur tout, pond des rapports sur le sexe des anges et s’avère au final un authentique astiqueur de niaiseries libérales recouvertes de confiture progressiste. Car, Monsieur Attali est un homme de gauche que la gamelle sarkoziste n’a jamais effrayé.

Quel beau sujet que la troisième guerre mondiale. Un sujet qui vient renforcer l’offensive menée depuis 1945, renforcée en 1991, par des Américains qui n’ont jamais abdiqué sur le concept de « guerre froide ». Résultat des courses : voici belle lurette que les Américains ont aliéné l’Europe à leur vue du monde.

Sarkozy  avait raccroché les wagons de la France à l’Otan dont De Gaulle nous avait judicieusement sorti et François Hollande, sans pudeur aucune, est allé chercher à Washington-Canossa une feuille de route qui nous déshonore. Plus récemment encore, Hollande a rattaché les Affaires européennes à l’Elysée et il y a fort à parier qu’il appuiera cet inique Traité transatlantique qui va américaniser un peu plus encore les Européens.

De fait, les Européens ont loupé le coche. La chute du mur de Berlin était l’occasion de renouveler nos relations avec la Russie et de nous libérer de la tutelle américaine. Il n’en a rien été. On a au contraire, assisté au renforcement de l’Otan en Europe, véritable bras armé de l’Amérique, et qui séduit tant nombre de pays de l’Est qui ont un contentieux douloureux avec l’ex-Urss. La restauration de l’ex-empire par Vladimir Poutine leur fout la trouille. Et l’Europe est impuissante à les rassurer pour la bonne raison que militairement, nous n’existons pas. Seuls les Allemands tirent leur épingle du jeu en jouant les « go between » entre Washington et Moscou. En Europe, seule la puissance allemande impressionne aussi bien les Russes que les Américains. Ce que résume bien Marie-France Garaud (1) : « La Russie est un partenaire quand l’Allemagne est faible (…)  mais elle devient un adversaire, ou à tout le moins un concurrent, quand elle est assez forte pour dominer le centre de l’Europe. »

L’impuissance et l’inexistence de l’Europe laisse le champ libre aux Américains pour continuer la guerre contre cette Russie qui décidément leur résiste. Ce qui nous amène à dire que la troisième guerre mondiale est là sous nos yeux : celle qui tend à empêcher les Russes de reconstituer leur empire. Souvenez-vous de la guerre déclenchée contre les Serbes – sous prétexte de Kosovo – sans l’aval du Conseil de sécurité ; la Georgie et aujourd’hui l’Ukraine. Sauf que la Russie d’aujourd’hui n’est plus celle d’Elstine, les Américains l’ont compris mais cela ne risque pas de les arrêter.

Les Européens ne présentent, aux yeux de Poutine, aucun danger majeur. L’Europe est un no man’s land politique, militaire et de plus en plus culturel. Il y a fort à parier, cependant, que les Européens n’iront pas se battre pour défendre des intérêts américains. Mais, il y a fort à parier aussi que les Européens iront un jour ou l’autre négocier auprès des Russes les ressources énergétiques qui lui font cruellement défaut.

« Dis Papa, c’est encore loin  l’Amérique ?

Tais-toi et rame ! »

 (1) Spectacle du Monde, mai 2014

 

15:06 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

13 mai 70 : 1er meeting d'Ordre nouveau

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DOMINIQUE VENNER : POUR MIEUX COMPRENDRE, POUR NE PAS OUBLIER...

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POUR MIEUX COMPRENDRE, POUR NE PAS OUBLIER :

Il ne nous appartient pas de commenter le geste ultime de Dominique Venner.

Nous rappellerons seulement la place essentielle qui fut la sienne dans le combat nationaliste au cours des années 60. Après la fin de l'Algérie française, il fut l'un des instigateurs de deux mouvements, la Fédération des étudiants nationalistes et Europe Action, qui allaient être à l'origine d'un grand bouleversement idéologique au sein de notre famille politique, à savoir l'introduction de la dimension civilisationnelle européenne dans la doctrine nationaliste. Ses écrits, en particulier son fameux texte intitulé "Pour une critique positive", ont marqué durablement les générations militantes qui se sont succédées depuis cette époque tumultueuse. Enfin, en lançant, il y a une dizaine d'années, la Nouvelle Revue d'Histoire, Venner a probablement aussi été à l'origine de l'une des initiatives les plus intelligentes depuis bien longtemps.

Dominique Venner a voulu donner à son acte une signification politique. Nul ne peut encore préjuger de l'impact que celui-ci aura réellement sur notre peuple. Quoi qu'il en soit, le devoir de chaque militant nationaliste est de continuer et d'amplifier le combat contre l'oligarchie mondialiste et sa politique destructrice de nos identités et de nos libertés, le combat pour que revive une France française dans une Europe européenne. C'est sans doute là le plus bel hommage que l'on puisse rendre à la mémoire de Dominique Venner.

Voilà pourquoi nous avons décidé de publier ces quelques témoignages, à la fois sur l’homme et sur son engagements, afin de faire, à notre modeste niveau, en sorte que l’acte fatal de Dominique Venner et le message qu’il nous a laissé ne tombent pas dans l’oubli.

Gabriele Adinolfi Alain de Benoist Francis Bergeron Renaud Camus Bruno Favrit François-Philippe Galvane Guillaume Faye Georges Feltin-Tracol Bruno Gollnisch François Sidos Gilbert Sincyr  Robert Spieler Nicolas Tandler Abbé Guillaume de Tanoüarn Pierre Vial et bien d'autres…

Livre réalisé sous la direction de Lionel Muresan

Editeur : Les Bouquins de Synthèse nationale

Parution : août 2013

160 pages, 18,00 €

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Dominique Venner : un fabuleux professeur d’énergie…

le gallou.jpegUn entretien avec Jean-Yves Le Gallou publié par Boulevard Voltaire cliquez ici

Jean-Yves Le Gallou, vous allez assister, samedi 17 mai à 14 h 30, au colloque consacré à Dominique Venner, à la Maison de la chimie à Paris à l’invitation de l’Association pour l’histoire. Expliquez-nous pourquoi…

Il y a un an, j’ai eu l’honneur, avec Bernard Lugan, Philippe Conrad et Fabrice Lesade, de partager avec Dominique Venner son dernier déjeuner. Je n’oublie pas l’accolade – l’abrazo – qu’il nous a donnée lorsqu’il est parti vers son destin. Ce sont des moments qui marquent un homme pour le restant de sa vie.

Que retenez-vous de Dominique Venner ?

Un grand écrivain. Un historien méditatif. Un professeur d’énergie.

Un grand écrivain ?

Dominique Venner était un merveilleux conteur. Son Dictionnaire amoureux de la chasse, notamment, est admirable. Je le dis avec d’autant plus de force que je ne suis pas moi-même chasseur. Mais on y trouve une formidable leçon sur les relations de l’homme à la nature, à l’animal et aux traditions.

Un historien méditatif ?

Dominique Venner a apporté un regard lumineux sur 30.000 ans d’histoire européenne dans Histoire et tradition des Européens. Avec lui, nous savons d’où nous venons. Et pourquoi nous devons refuser le grand effacement et le Grand Remplacement. « Les racines des civilisations ne disparaissent pas tant que n’a pas disparu le peuple qui en était la matrice. » Pour Dominique Venner, « l’historien méditatif […] [est] créateur de sens, éveilleur de rêves ».

Nous devons aussi à Dominique Venner Le Siècle de 1914, un livre, là aussi, d’une lumineuse clarté. En 1914, l’Europe est une société traditionnelle avec ses monarques et ses aristocrates, ses paysans et ses soldats, tous attachés à leur lignée et aux valeurs d’effort, de courage et d’honneur. Les combats de 1914 industrialisent la mort (80 % de tués par éclats d’obus) et la figure du héros cède la place à celle de la chair à canon. Les grands empires s’effondrent et le chaos s’installe au cœur de l’Europe.

Sur les ruines du monde ancien, quatre idéologies naissent et s’opposent. Le fascisme (que Dominique Venner distingue avec finesse du nazisme), le national–socialisme, le communisme et le wilsonisme, c’est-à-dire le mondialisme anglo-saxon, surgissent de ses décombres et s’affrontent. Les trois premières ont disparu. La quatrième est à bout de souffle. L’empire américain ne sera pas éternel et l’Europe sortira de sa « dormition ».

Reste le professeur d’énergie…

Ce sera le thème du colloque qui se tiendra samedi 17 mai à 14 h 30 sur le thème « Dominique Venner, écrivain et historien au cœur rebelle ». Cela correspond à la réédition de son très beau livre Le Cœur rebelle.

Voici quelques maximes extraites de l’œuvre de Dominique Venner, d’Un samouraï d’Occident, en particulier : « Exister, c’est combattre ce qui me nie », « Une action politique n’est pas concevable sans le préalable d’une mystique », « Être un insoumis : préférer se mettre le monde à dos que se mettre à plat ventre », « Être un insoumis : être à soi-même sa propre norme par rapport à une norme supérieure », « Être un insoumis : veiller à ne jamais guérir de sa jeunesse », « L’opposant radical doit puiser en lui-même ses justifications, affronter la réprobation générale, l’aversion du grand nombre et une répression sans éclat ». De belles leçons d’énergie, assurément !

Comment interpréter son geste sacrificiel ?

Dominique Venner s’en est expliqué lorsqu’il a déclaré (dans une vidéo aujourd’hui disponible), quelques semaines avant le 21 mai 2013 : « Il est parfois nécessaire que des hommes se sacrifient […], sacrifier sa vie, mettre sa vie en jeu, la sienne, pas celle des autres, sacrifier sa vie pour authentifier ses paroles, créer aussi peut-être un choc. » Ce propos du samouraï d’Occident éclaire aussi son geste : « Si l’emblème des samouraïs est la fleur de cerisier qui tombe avant d’être fanée, ce n’est pas un hasard. »

Vous comprenez cela ?

Oui, lorsque j’étais étudiant, j’ai eu deux « professeurs d’énergie » : Nietzsche et Barrès. Mais avec toujours un peu de gêne pour Barrès. Voilà un homme qui a chanté les valeurs héroïques et qui, à l’aube de la guerre de 1914, s’est engagé à… publier un éditorial par jour. Ce qui lui valut le méchant surnom de « rossignol des cimetières ». Certes, Barrès avait dépassé 50 ans et rien ne l’obligeait à partir sur le front. Mais Émile Driant, député, avait 59 ans en 1914. Il s’est néanmoins engagé et est mort en héros à la tête de ses chasseurs, au bois des Caures, en retardant de manière décisive l’avance allemande sur Verdun.

Je crois que Dominique Venner avait le souci de l’exemplarité, le souci de montrer que ses écrits n’étaient pas des paroles en l’air. C’est aussi pour cela qu’il a choisi de mourir en combattant, à 78 ans.

Un geste qui a pu choquer les catholiques…

Bien sûr. Je le comprends parfaitement. Mais j’ai été frappé par l’empathie qu’ont montrée beaucoup de mes amis catholiques en la circonstance. La difficulté et la force du geste n’ont échappé à personne. Elles ont souligné l’adéquation entre l’homme et l’œuvre. Le cœur rebelle est mort en insoumis. On lit désormais Dominique Venner avec plus de conviction encore : on a la certitude absolue de la vérité de l’homme.

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mardi, 13 mai 2014

Samedi prochain, une procession pour le 800e anniversaire de Saint Louis à Paris :

processionsaintlouis.jpg

23:36 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi prochain, un colloque sur Dominique Venner à Paris :

COLLOQUE VENNER.jpg

NDLR : pour que l'acte de Dominique Venner ne soit pas oublié...

Venner pre-sent.couv.jpg160 pages, 18 €

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Le JT de TV Libertés de mardi soir...

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Pierre Descaves a rejoint sa dernière demeure

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Les obsèques de Pierre Descaves se sont déroulées mardi 13 mai au cimetière du Père Lachaise. Un certain nombre de cadres et de militants du Parti de la France étaient présents pour lui rendre un dernier hommage : Carl Lang, Roger Holeindre, Martine Lehideux, Jean-Pierre Reveau, Christian Baeckeroot, Thomas Joly, Annie Fouet, Michel Bayvet, Fabrice Lengelé,... A noter également les présences de Roland Hélie, de Claudine Dupont-Tingaut, de Bruno Gollnisch et de Michel Guiniot.

Source Le blog de Thomas Joly cliquez ici

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