jeudi, 15 mai 2014
Eurovision 2014 : heureusement que le ridicule ne tue pas !
Un communiqué du MNR :
La victoire du (ou de la ) transsexuel autrichien(ne) Conchita Wurst (Thomas Neuwirth) à l'Eurovision 2014 a ravi les milieux « progressistes » d'Europe. La sénatrice EELV Esther Benbassa a saisi l'occasion pour publier une tribune intitulée « ...Après la victoire de Conchita Wurst à l'Eurovision, une avancée pour les trans au Sénat ? » Au passage, on peut se demander en quoi un tel événement serait une avancée écologique...
Sans porter de jugement sur la qualité de sa prestation vocale, et compte tenu de sa présentation provocatrice comme « femme à barbe », on peut douter que ce choix ait été dicté uniquement par des préoccupations artistiques. D'ailleurs, le ministre de la culture autrichien a ainsi salué « une victoire en Europe pour la tolérance et le respect ».
Devant le déferlement des prises de position antinaturelles dans la société, que tous ceux qui ont encore une vision équilibrée de la vie portent leurs suffrages aux responsables politiques qui la défendent.
Citons Vladimir Poutine (septembre 2013) : "nous voyons combien de pays euro-atlantiques rejettent leurs racines, y compris les valeurs chrétiennes qui constituent la base de la civilisation occidentale. Ils nient le principes moraux et toutes les identités traditionnelles: nationales, culturelles, religieuses et même sexuelles".
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
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Conchita Wurst, lauréat(e) de l’Eurovision 2014
Source cliquez ici
Travesti, femme à barbe, les médias n’en peuvent plus de célébrer ce symbole de la "tolérance", selon eux, sans jamais relever que l’individu relève sans doute, beaucoup plus prosaïquement, d’une pathologie mentale assez sévère. Peuvent-ils vraiment l’ignorer ou s’agit-il plutôt de pervertir pour pervertir au nom d’un relativisme poussé jusqu’à l’aberration et au grotesque ?
Il y a un siècle environ, l’hurluberlu eut, dans une baraque de fête foraine, exhibé ses charmes contre quelques piécettes sonnantes et trébuchantes. Femme à barbe, pétomane et "femme la plus grosse du monde" se disputaient alors un public avide de bizarrerie et d’anomalie. On peut, avec beaucoup d’imagination et au prix d’un redoutable anachronisme imaginer un instant un duo artistique sonore – vocal pour au moins l’un des deux – entre notre Conchita barbue et un pétomane des temps modernes. Il se trouverait forcément un bel esprit pour clamer au génie.
Ayons quand même une pensée compatissante pour les Autrichiens que prétendait représenter Conchita. Leur humiliation ne sera, certes, qu’éphémère, le phénomène se limitant au microcosme de la chansonnette et à la remise d’un prix dont plus personne n’imagine qu’il soit, comme tant d’autres, attribué avec un franc souci de neutralité.
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Le JT de TV Libertés de mercredi soir...
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mercredi, 14 mai 2014
Le fantasme de la Troisième guerre mondiale
Le billet de Patrick Parment
C’est le dernier gadget intellectuel, lancé par un certain Jacques Attali, qui est à la prévision politico-économique et la pensée magique ce que Madame Soleil était à la lecture des planètes, la Troisième guerre mondiale. Contre la Russie évidemment. Certes, on est habitué, Jacques Attali fourre son nez partout, a un avis sur tout, pond des rapports sur le sexe des anges et s’avère au final un authentique astiqueur de niaiseries libérales recouvertes de confiture progressiste. Car, Monsieur Attali est un homme de gauche que la gamelle sarkoziste n’a jamais effrayé.
Quel beau sujet que la troisième guerre mondiale. Un sujet qui vient renforcer l’offensive menée depuis 1945, renforcée en 1991, par des Américains qui n’ont jamais abdiqué sur le concept de « guerre froide ». Résultat des courses : voici belle lurette que les Américains ont aliéné l’Europe à leur vue du monde.
Sarkozy avait raccroché les wagons de la France à l’Otan dont De Gaulle nous avait judicieusement sorti et François Hollande, sans pudeur aucune, est allé chercher à Washington-Canossa une feuille de route qui nous déshonore. Plus récemment encore, Hollande a rattaché les Affaires européennes à l’Elysée et il y a fort à parier qu’il appuiera cet inique Traité transatlantique qui va américaniser un peu plus encore les Européens.
De fait, les Européens ont loupé le coche. La chute du mur de Berlin était l’occasion de renouveler nos relations avec la Russie et de nous libérer de la tutelle américaine. Il n’en a rien été. On a au contraire, assisté au renforcement de l’Otan en Europe, véritable bras armé de l’Amérique, et qui séduit tant nombre de pays de l’Est qui ont un contentieux douloureux avec l’ex-Urss. La restauration de l’ex-empire par Vladimir Poutine leur fout la trouille. Et l’Europe est impuissante à les rassurer pour la bonne raison que militairement, nous n’existons pas. Seuls les Allemands tirent leur épingle du jeu en jouant les « go between » entre Washington et Moscou. En Europe, seule la puissance allemande impressionne aussi bien les Russes que les Américains. Ce que résume bien Marie-France Garaud (1) : « La Russie est un partenaire quand l’Allemagne est faible (…) mais elle devient un adversaire, ou à tout le moins un concurrent, quand elle est assez forte pour dominer le centre de l’Europe. »
L’impuissance et l’inexistence de l’Europe laisse le champ libre aux Américains pour continuer la guerre contre cette Russie qui décidément leur résiste. Ce qui nous amène à dire que la troisième guerre mondiale est là sous nos yeux : celle qui tend à empêcher les Russes de reconstituer leur empire. Souvenez-vous de la guerre déclenchée contre les Serbes – sous prétexte de Kosovo – sans l’aval du Conseil de sécurité ; la Georgie et aujourd’hui l’Ukraine. Sauf que la Russie d’aujourd’hui n’est plus celle d’Elstine, les Américains l’ont compris mais cela ne risque pas de les arrêter.
Les Européens ne présentent, aux yeux de Poutine, aucun danger majeur. L’Europe est un no man’s land politique, militaire et de plus en plus culturel. Il y a fort à parier, cependant, que les Européens n’iront pas se battre pour défendre des intérêts américains. Mais, il y a fort à parier aussi que les Européens iront un jour ou l’autre négocier auprès des Russes les ressources énergétiques qui lui font cruellement défaut.
« Dis Papa, c’est encore loin l’Amérique ?
Tais-toi et rame ! »
(1) Spectacle du Monde, mai 2014
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13 mai 70 : 1er meeting d'Ordre nouveau
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DOMINIQUE VENNER : POUR MIEUX COMPRENDRE, POUR NE PAS OUBLIER...
POUR MIEUX COMPRENDRE, POUR NE PAS OUBLIER :
Il ne nous appartient pas de commenter le geste ultime de Dominique Venner.
Nous rappellerons seulement la place essentielle qui fut la sienne dans le combat nationaliste au cours des années 60. Après la fin de l'Algérie française, il fut l'un des instigateurs de deux mouvements, la Fédération des étudiants nationalistes et Europe Action, qui allaient être à l'origine d'un grand bouleversement idéologique au sein de notre famille politique, à savoir l'introduction de la dimension civilisationnelle européenne dans la doctrine nationaliste. Ses écrits, en particulier son fameux texte intitulé "Pour une critique positive", ont marqué durablement les générations militantes qui se sont succédées depuis cette époque tumultueuse. Enfin, en lançant, il y a une dizaine d'années, la Nouvelle Revue d'Histoire, Venner a probablement aussi été à l'origine de l'une des initiatives les plus intelligentes depuis bien longtemps.
Dominique Venner a voulu donner à son acte une signification politique. Nul ne peut encore préjuger de l'impact que celui-ci aura réellement sur notre peuple. Quoi qu'il en soit, le devoir de chaque militant nationaliste est de continuer et d'amplifier le combat contre l'oligarchie mondialiste et sa politique destructrice de nos identités et de nos libertés, le combat pour que revive une France française dans une Europe européenne. C'est sans doute là le plus bel hommage que l'on puisse rendre à la mémoire de Dominique Venner.
Voilà pourquoi nous avons décidé de publier ces quelques témoignages, à la fois sur l’homme et sur son engagements, afin de faire, à notre modeste niveau, en sorte que l’acte fatal de Dominique Venner et le message qu’il nous a laissé ne tombent pas dans l’oubli.
● Gabriele Adinolfi ● Alain de Benoist ● Francis Bergeron ● Renaud Camus ● Bruno Favrit ● François-Philippe Galvane ● Guillaume Faye ● Georges Feltin-Tracol ● Bruno Gollnisch ● François Sidos ● Gilbert Sincyr ● Robert Spieler ● Nicolas Tandler ● Abbé Guillaume de Tanoüarn ● Pierre Vial et bien d'autres…
Livre réalisé sous la direction de Lionel Muresan
Editeur : Les Bouquins de Synthèse nationale
Parution : août 2013
160 pages, 18,00 €
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Dominique Venner : un fabuleux professeur d’énergie…
Un entretien avec Jean-Yves Le Gallou publié par Boulevard Voltaire cliquez ici
Jean-Yves Le Gallou, vous allez assister, samedi 17 mai à 14 h 30, au colloque consacré à Dominique Venner, à la Maison de la chimie à Paris à l’invitation de l’Association pour l’histoire. Expliquez-nous pourquoi…
Il y a un an, j’ai eu l’honneur, avec Bernard Lugan, Philippe Conrad et Fabrice Lesade, de partager avec Dominique Venner son dernier déjeuner. Je n’oublie pas l’accolade – l’abrazo – qu’il nous a donnée lorsqu’il est parti vers son destin. Ce sont des moments qui marquent un homme pour le restant de sa vie.
Que retenez-vous de Dominique Venner ?
Un grand écrivain. Un historien méditatif. Un professeur d’énergie.
Un grand écrivain ?
Dominique Venner était un merveilleux conteur. Son Dictionnaire amoureux de la chasse, notamment, est admirable. Je le dis avec d’autant plus de force que je ne suis pas moi-même chasseur. Mais on y trouve une formidable leçon sur les relations de l’homme à la nature, à l’animal et aux traditions.
Un historien méditatif ?
Dominique Venner a apporté un regard lumineux sur 30.000 ans d’histoire européenne dans Histoire et tradition des Européens. Avec lui, nous savons d’où nous venons. Et pourquoi nous devons refuser le grand effacement et le Grand Remplacement. « Les racines des civilisations ne disparaissent pas tant que n’a pas disparu le peuple qui en était la matrice. » Pour Dominique Venner, « l’historien méditatif […] [est] créateur de sens, éveilleur de rêves ».
Nous devons aussi à Dominique Venner Le Siècle de 1914, un livre, là aussi, d’une lumineuse clarté. En 1914, l’Europe est une société traditionnelle avec ses monarques et ses aristocrates, ses paysans et ses soldats, tous attachés à leur lignée et aux valeurs d’effort, de courage et d’honneur. Les combats de 1914 industrialisent la mort (80 % de tués par éclats d’obus) et la figure du héros cède la place à celle de la chair à canon. Les grands empires s’effondrent et le chaos s’installe au cœur de l’Europe.
Sur les ruines du monde ancien, quatre idéologies naissent et s’opposent. Le fascisme (que Dominique Venner distingue avec finesse du nazisme), le national–socialisme, le communisme et le wilsonisme, c’est-à-dire le mondialisme anglo-saxon, surgissent de ses décombres et s’affrontent. Les trois premières ont disparu. La quatrième est à bout de souffle. L’empire américain ne sera pas éternel et l’Europe sortira de sa « dormition ».
Reste le professeur d’énergie…
Ce sera le thème du colloque qui se tiendra samedi 17 mai à 14 h 30 sur le thème « Dominique Venner, écrivain et historien au cœur rebelle ». Cela correspond à la réédition de son très beau livre Le Cœur rebelle.
Voici quelques maximes extraites de l’œuvre de Dominique Venner, d’Un samouraï d’Occident, en particulier : « Exister, c’est combattre ce qui me nie », « Une action politique n’est pas concevable sans le préalable d’une mystique », « Être un insoumis : préférer se mettre le monde à dos que se mettre à plat ventre », « Être un insoumis : être à soi-même sa propre norme par rapport à une norme supérieure », « Être un insoumis : veiller à ne jamais guérir de sa jeunesse », « L’opposant radical doit puiser en lui-même ses justifications, affronter la réprobation générale, l’aversion du grand nombre et une répression sans éclat ». De belles leçons d’énergie, assurément !
Comment interpréter son geste sacrificiel ?
Dominique Venner s’en est expliqué lorsqu’il a déclaré (dans une vidéo aujourd’hui disponible), quelques semaines avant le 21 mai 2013 : « Il est parfois nécessaire que des hommes se sacrifient […], sacrifier sa vie, mettre sa vie en jeu, la sienne, pas celle des autres, sacrifier sa vie pour authentifier ses paroles, créer aussi peut-être un choc. » Ce propos du samouraï d’Occident éclaire aussi son geste : « Si l’emblème des samouraïs est la fleur de cerisier qui tombe avant d’être fanée, ce n’est pas un hasard. »
Vous comprenez cela ?
Oui, lorsque j’étais étudiant, j’ai eu deux « professeurs d’énergie » : Nietzsche et Barrès. Mais avec toujours un peu de gêne pour Barrès. Voilà un homme qui a chanté les valeurs héroïques et qui, à l’aube de la guerre de 1914, s’est engagé à… publier un éditorial par jour. Ce qui lui valut le méchant surnom de « rossignol des cimetières ». Certes, Barrès avait dépassé 50 ans et rien ne l’obligeait à partir sur le front. Mais Émile Driant, député, avait 59 ans en 1914. Il s’est néanmoins engagé et est mort en héros à la tête de ses chasseurs, au bois des Caures, en retardant de manière décisive l’avance allemande sur Verdun.
Je crois que Dominique Venner avait le souci de l’exemplarité, le souci de montrer que ses écrits n’étaient pas des paroles en l’air. C’est aussi pour cela qu’il a choisi de mourir en combattant, à 78 ans.
Un geste qui a pu choquer les catholiques…
Bien sûr. Je le comprends parfaitement. Mais j’ai été frappé par l’empathie qu’ont montrée beaucoup de mes amis catholiques en la circonstance. La difficulté et la force du geste n’ont échappé à personne. Elles ont souligné l’adéquation entre l’homme et l’œuvre. Le cœur rebelle est mort en insoumis. On lit désormais Dominique Venner avec plus de conviction encore : on a la certitude absolue de la vérité de l’homme.
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mardi, 13 mai 2014
Samedi prochain, une procession pour le 800e anniversaire de Saint Louis à Paris :
23:36 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi prochain, un colloque sur Dominique Venner à Paris :
NDLR : pour que l'acte de Dominique Venner ne soit pas oublié...
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Le JT de TV Libertés de mardi soir...
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Pierre Descaves a rejoint sa dernière demeure
Les obsèques de Pierre Descaves se sont déroulées mardi 13 mai au cimetière du Père Lachaise. Un certain nombre de cadres et de militants du Parti de la France étaient présents pour lui rendre un dernier hommage : Carl Lang, Roger Holeindre, Martine Lehideux, Jean-Pierre Reveau, Christian Baeckeroot, Thomas Joly, Annie Fouet, Michel Bayvet, Fabrice Lengelé,... A noter également les présences de Roland Hélie, de Claudine Dupont-Tingaut, de Bruno Gollnisch et de Michel Guiniot.
Source Le blog de Thomas Joly cliquez ici
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Jeudi 12 juin : Emmanuel Ratier aux Ronchons
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¡Viva Cristo Rey!
Jean Sévillia
Boulevard Voltaire cliquez ici
Le 14 mai, l’événement-cinéma, ce n’est pas à Cannes qu’il se déroulera. Là où il faudra être, ce n’est pas dans le ballet des limousines qui mènent les stars de la Croisette au tapis rouge du Palais des festivals. C’est dans la quarantaine de salles qui, à travers (presque) toute la France, diffuseront Cristeros, un combat pour la liberté, le film de l’américain Dean Wright.
L’histoire est authentique, et méconnue. En 1926, le pouvoir mexicain, alors aux mains d’un parti à la fois nationaliste, agrarien, socialiste et anticlérical, met en œuvre, dans un pays dont l’immense majorité de la population est catholique, une législation s’attaquant à l’Église : nationalisation des lieux de culte et des biens ecclésiastiques, laïcisation forcée des écoles, interdiction du droit de vote et du droit d’être élu pour les membres du clergé, prohibition de l’habit ecclésiastique, expulsion des congrégations enseignantes, interdiction des organisations professionnelles catholiques, obligation pour les prêtres d’aller pointer dans les commissariats…
Espérant faire pression sur le gouvernement, l’épiscopat se résout à suspendre le culte, sur tout le territoire mexicain, jusqu’à l’abrogation des lois antireligieuses. Mais les paysans, privés de messe et de curé, ne l’entendent pas ainsi. Ils prennent les armes, quand ils en ont, ou s’emparent de celles de l’armée gouvernementale. L’insurrection finira par toucher la moitié du pays et s’organisera : 50.000 hommes composeront l’armée des Cristeros, sous le commandement du général Enrique Gorostieta Velarde (Andy Garcia dans le film) et de prêtres passant sans état d’âme de l’autel au fusil. L’affrontement durera trois ans dans sa phase aiguë, mais se poursuivra de façon sporadique au cours des années 1930, laissant un bilan final de 250.000 victimes dans les deux camps. Qui le sait en Europe ?
C’est une épopée de fer et de feu, avec ses héros, ses lâches, ses traîtres et ses martyrs. C’est aussi une guerre qui, comme tous les conflits, possède ses coulisses géopolitiques et diplomatiques, de Washington – où les États-Unis veillent à la sécurité de leurs concessions pétrolières au Mexique – à Rome – où le pape souffre pour ses fidèles Cristeros mais, à la poursuite des combats, préfère un compromis permettant de rouvrir les églises.
En France, la sortie annoncée de Cristeros fait le buzz depuis plusieurs mois dans les milieux catholiques. Ce sont donc les autres qu’il faut maintenant convaincre d’aller voir le film. Que tous ceux qui, aujourd’hui, n’aiment ni l’État quand il se fait persécuteur, ni le viol des consciences, ni les atteintes à la liberté sachent que ces paysans pauvres qui se battaient, derrière leurs drapeaux frappés de l’image de la Vierge de Guadalupe et au cri de ¡Viva Cristo Rey! (« Vive le Christ Roi ! »), étaient leurs frères en rébellion. Leur rendre hommage au moment où tant de fausses étoiles brilleront à Cannes mettra de la lumière dans la nuit.
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Son permis lui est retiré, il part au travail avec un âne... Résultat : plusieurs kilomètres de bouchons !
Un artisan du Jura qui, n'ayant plus de points et donc plus de permis de conduire, est parti ce vendredi matin au travail avec un âne et une charrette.
"Je n'ai plus de points... donc plus de permis... Mais je dois aller travailler ! Désolé pour le dérangement." Voici ce qu'indiquait la pancarte plantée sur le véhicule d'un artisan, qui a choisi un drôle de moyen de locomotion pour se rendre à son travail vendredi dernier : une carriole tractée par un âne.
Était-ce pour l'homme un moyen de protester contre la rétention de son permis ? L'opération escargot a en tout cas reçu un franc soutien des internautes. "Toutes mes félicitations ! Si tous ceux qui ont perdu leur permis de conduire pour perte de points en faisaient autant en même temps, cela donnerait peut-être à réfléchir à nos chers élus qui sont loin d'être des exemples en matière de respect du code de la route", raille l'un d'eux.
"Absolument GÉNIAL ! Je me doutais bien qu'à force d'être pris pour des imbéciles, quelqu'un trouverait comment retourner à l'envoyeur le compliment. Fantastique idée. Et le plus rigolo, c'est qu'il n'y a rien à dire sur le plan judiciaire. Je cours m'acheter deux boeufs et une charrette", s'enthousiasme un autre internaute.
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Le livre d'Anne Kling, "Menteurs et affabulateurs de la shoah" est édité aussi en Italie...
Plus d'infos sur l'édition italienne cliquez ici
Avez-vous lu la version française ?
Menteurs et affabulateurs de la shoah
Anne Kling
Editions Mithra, mars 2013
256 pages
18,00 € (+ 3,00 € de port)
Plus d'informations cliquez ici
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Alsace d'Abord : votez européen, c'est voter blanc...
Un communiqué d'Alsace d'Abord :
Pour qui faut-il voter le 25 mai prochain ? Il est terriblement difficile pour ceux qui, comme nous, rêvent d’une Europe unie et puissante, sûre d’elle-même, de son identité et de son avenir, de choisir pour qui voter.
Le mode de scrutin, le périmètre des circonscriptions, l’articulation avec la désignation du président de la Commission européenne, tout cela est d’une telle complexité que les citoyens vont une fois de plus s’éloigner des urnes. Le Traité de Lisbonne n’a pratiquement rien changé à l’opacité des mécanismes.
Les groupes politiques du Parlement européen ont proposé leurs candidats à la succession de Barroso à la présidence de la Commission de Bruxelles. Il est attristant de constater que les cinq candidats sont tous, sans exception, favorables à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. Jean-Claude Juncker, soutenu par l’UMP, Martin Schultz, candidat des socialistes, et Guy Verhofstadt, soutenu par l’UDI et le Modem, oeuvrent depuis des décennies au sein des institutions européennes en faveur de l’intégration de la Turquie. Nul ne pourra se déclarer surpris ou trompé. L’hypocrisie de l’UMP est à cet égard sans limite.
La question turque n’est certes pas la seule qui détermine l’avenir européen, mais elle est fondamentale car elle fonde la nature même de ce que sera l’Union demain. Le projet de traité de libre-échange transatlantique est un autre sujet d’inquiétude. Des négociations non transparentes se déroulent en ce moment au mépris des droits des citoyens et des élus, parce que les chefs d’État et de gouvernement européens en ont ainsi donné mandat à la Commission.
Les listes UMP, PS, centristes et écologistes auront en face d’elles les listes souverainistes du FN et de Debout la République qui prônent la sortie de la zone euro et de l’Union européenne.
Le choix qui s’offre aux partisans sincères de la construction européenne est dramatiquement étriqué : d’un côté, les nationalistes qui veulent revenir au franc et tourner le dos à l’Union ; de l’autre, les boutiquiers qui ne voient dans l’Europe qu’un grand marché et veulent l’étendre à la Turquie.
Parce que nous nous faisons de l’Europe une plus haute idée, parce que nous nourrissons pour notre continent de plus grandes ambitions, parce que les partis politiques nationaux français sont incapables d’offrir des perspectives nouvelles, nous choisissons de voter Blanc.
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Le JT de TV Libertés de lundi soir :
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lundi, 12 mai 2014
HOMMAGE PARISIEN A JEANNE D’ARC ET A St-LOUIS
Source Le nouveau NH cliquez ici
Le traditionnel défilé organisé chaque année par l’Association Civitas pour rendre hommage à Jeanne d’Arc, revêtait cette année un caractère tout particulier en raison notamment de l’accélération qu’a connu depuis l’arrivée au pouvoir de François Hollande le processus de décadence auquel doit faire notre société. D’où la nécessité pour le Président de l’association Civitas, Alain Escada, « d’honorer des modèles de chefs héroïques et vertueux dont la rareté se fait cruellement sentir dans un temps où jour après jour se met en place le scénario orwellien d’une vie dans laquelle on fait de nous des nomades sans Foi, sans Famille et sans Patrie ». Engagée dans le mouvement de dissidence qui s’est manifesté depuis l’avènement des marches organisées pour le respect de la famille, la porte parole de la Journée de Retrait de l’Ecole (JRE), Farida Belghoul participait en tête de cortège aux côté d’Alain Escada à la manifestation. Les centaines de manifestants présents dans le cortège ont fait résonner des slogans rappelant que la France devait rester fidèle à sa tradition chrétienne, qu’elle devait demeurer catholique et non laïque et maçonnique. Le Président du parti de la France, Carl Lang, entouré de nombreux militants était également présent dans le cortège. La présence de nombreuses forces de l’ordre qui encadraient la manifestation ont permis à celle-ci de se dérouler sans incidents.
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« Agression homophobe » : encore raté !
Charlotte d'Ornellas
Boulevard Voltaire cliquez ici
L’affaire avait fait grand bruit, elle est « résolue ». Les agresseurs de Wilfred et Olivier, homosexuels attaqués il y a un an à Paris, ont été condamnés mardi à 18 et 24 mois de prison ferme.
Stupeur : les dangereux catholiques intégristes et homophobes de la Manif pour tous qui, bien entendu, avaient fait le coup, s’appellent Abdelmalik et Taieb.
Encore raté.
Un an et demi de mobilisation, aucun incident majeur… Rageant, pour cette gauche morale qui guettait le faux pas à instrumentaliser pour rallier à la cause LGBT la ménagère outrée de cette violence derrière son écran de télévision.
Et pourtant, elle a essayé. Deux faits divers rendus spectaculaires auront été attribués au « climat instauré par l’extrême droite et la Manif pour tous » : l’agression dans les locaux de Libération, puis celle de ce couple homosexuel.
Résultat ? Abdelhakim Dekhar d’abord, puis Abdelmalik et Taieb. Aucune trace d’extrême droite catholique intégriste, à moins qu’elle n’ait vraiment changé… C’est incroyable, comme la réalité peut s’acharner contre la gauche.
Ils ont fait peser l’accusation de cette agression sur la LMPT pendant un an, mais personne n’aurait l’idée de s’excuser… On laisse planer le doute, au cas où. On a eu droit à la présence des deux homos à chaque happening LGBT, meeting d’Anne Hidalgo, soirée de Jean-Luc Romero pour dénoncer l’homophobie… Ils tiennent un bon fait divers, enfin, ils ne vont pas le lâcher ; y a encore PMA et GPA qui attendent…
Mais pas un mot sur les deux agresseurs. La même histoire que pour Libération : la République en danger avait soudainement retrouvé ses esprits quand elle avait appris que l’abominable nervi d’extrême droite s’appelait Abdelhakim, et que son cœur penchait plutôt à l’extrême gauche.
L’avocat de ces deux voyous déclarait à la sortie du tribunal : « Je crois que le clivage du mariage pour tous leur a complètement échappé, ils sont dans une mauvaise soirée, éméchés, dans une violence gratuite ; ces deux jeunes homos sont tombés au mauvais moment, je ne sais pas qui ils auraient agressé ce soir-là, mais je pense qu’il y aurait eu agression. »
La voilà, la vraie information ! On veut bien croire Wilfred de Bruijn quand il parle de « l’horreur qu’il a vécue » : c’est celle que subissent — soutien médiatique, politique et judiciaire en moins — des centaines de Français chaque jour. Il a été agressé, rien d’exceptionnel malheureusement.
Intéressant, d’ailleurs, de noter que, soudainement, « l’enfance difficile » du pauvre petit Malik, 19 ans, multirécidiviste, qui a grandi « entre un père algérien éboueur à Paris et des grands-parents qui le récupèrent à la mort de sa mère », semble nettement moins émouvoir toute la caste bien-pensante qui en aurait pleuré en d’autres temps.
Pas un mot, non plus, sur son compagnon d’agression, Taieb, 20 ans, condamné à sept reprises pour vol et violences… Subitement, vous remarquerez, la prison devient la solution.
Beaucoup de bruit sans l’essentiel : une agression ordinaire.
Mais même la réalité dans la figure – et c’est peu de le dire –, Wilfred continue à faire semblant de ne pas la voir et dénonce des opposants aux revendications LGBT légitimes et irréprochables.
S’il était honnête, il reconnaîtrait que, dans son malheur, il a quand même eu de la « chance »… Il y a quelques jours, une jeune fille était sauvagement violée par quatre garçons turcs et marocains, simplement parce qu’elle était française. Pour elle, comme pour les milliers de victimes quotidiennes de ces « bandes de jeunes », pas un mot…
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Pierre Descaves sera enterré mardi au Père Lachaise à Paris
Pierre Descaves intervenant lors d'une journée de Synthèse nationale en novembre 2008
Mardi 13 mai 2014 à 10h15
en la Chapelle de l'Est du Cimetière du Père Lachaise
Division 55 - côté du monument d'Adolphe Thiers.
16 rue Repos - Paris 20e (Métro Philippe Auguste)
La messe sera célébrée par le père Jean-Claude ARGOUACH
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Europe de la décadence : l'Eurovision consacre la fausse femme à fausse barbe !
L'être est né Tom Neuwirth mais désormais il se fait appeler Conchita Wurst. C'est un transsexuel, un artiste style drag queen. Il chante en anglais mais a représenté l'Autriche à la dernière de l'Eurovision. Bien évidemment, il a remporté la palme. C'était du tout cuit d'ailleurs. Unique en son genre parmi les compétiteurs, l'ambigu ne pouvait que l'emporter, il devait gagner et on peut penser que tout a été fait pour çà.
D'ailleurs, l'être n'a pas manqué de causer dans le poste après sa consécration pour réciter ses réactions "spontanées" à cette belle victoire "de la tolérance et du respect" qui ne peut être qu'un message fort au Président Poutine (rien que çà !) et à sa législation homophobe : "nous sommes l'unité et rien ne peut nous arrêter" a lancé la fausse femme à fausse barbe à l'intention de Vladimir qui, on s'en doute, n'a pu qu'être absolument terrifié !
Terrifié, il y aurait par contre de quoi l'être pour le citoyen d'une Union Européenne qui fait de l'a-normalité un art de vivre et un exemple. Triste Europe que celle où l'homofolie impose ses fausses certitudes à coup de messages propagandistes tous azimuts et où l'on envisage de pervertir la jeune génération par l'enseignement d'un ramassis de considérations pseudo scientifiques à connotations idéologiques au service du nouvel ordre mondial qui entend créer le consommateur idéal, indifférencié, sans racines, sans âme, unicolore et unisexe.
Si l'on en croit le message énamouré envoyé par la ministresse suédoise aux affaires européennes à la victorieuse grande "saucisse" de la chanson européenne, le "formidable vote" devrait inciter les citoyens de l'Union à utiliser "leur droit de vote pour une Europe ouverte" à l'occasion des prochaines élections européennes ! Ce lamentable coup de propagande devrait plutôt inciter les européens à s'abstenir de participer à la mascarade européiste et à se rassembler derrière les étendards des résistances nationales et identitaires qui se lèvent ici et là.
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Le trotskisme dégénéré, de Patrick Gofman : feu sur le prophète et ses disciples !
Lucette Jeanpierre
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Voilà un livre qui devrait intéresser nos anciens trotskistes Pierre Cassen (LCR) et Alain Rubin (OCI), mais aussi tous ceux qui, tout au long de leur vie militante, côtoyèrent des militants issus de ces mouvances.
L’auteur, Patrick Gofman a milité à l’OCI, groupe le plus violent et sectaire de l’extrême gauche, des années 1967 à 1979, soit de 18 à 30 ans. Il tord le cou à une légende, qui veut que Staline aurait rompu avec les idéaux de la Révolution d’Octobre, auxquels Trotski serait resté fidèle.
En introduction, il annonce tout de suite la couleur, citant cette phrase de 1949 d’hérétiques du trotskisme, Lefort et Castoriadis : « C’est parce que l’organisation trotskiste a été incapable de se séparer radicalement et organiquement du stalinisme, parce qu’elle est restée, au mieux, qu’une opposition à celui-ci, ou, comme on l’a dit, un appendice du stalinisme, qu’elle n’a jamais pu se construire ».
En gros, et Gofman l’écrit tel quel, le trotskisme a toujours été à la remorque du stalinisme. Il va même plus loin, et affirme que si Trotski avait gagné, cela aurait été pire pour l’histoire de l’humanité. Il écorne sans concession le côté narcissique et égocentrique de celui qu’on appelait le Prophète de la IVe Internationale, à cause de ses analyses sur la Révolution permanente et ses débouchés en Allemagne, en Espagne, en France, etc. Et il conclut par cette petite histoire : le stalinisme, c’est le massacre de l’homme par l’homme, le trotskisme, c’est le contraire.
Pour la petite histoire, il est savoureux de connaître les circonstances dans lesquelles Patrick Gofman a été exclu de l’OCI, après douze années de bons et loyaux services. Se sentant des dispositions à l’écriture, le jeune lambertiste se lance dans l’écriture de son premier livre, « Les femmes préfèrent les cons », écrit à quatre mains avec Pierre Marcelle, vieille connaissance de Riposte Laïque, qui, embauché à Libération, déversait souvent sa bile contre notre site (cliquez ici).
Il se trouve que les deux malheureux, dans un réflexe sans doute individualiste petit-bourgeois, avaient oublié qu’un révolutionnaire de l’OCI doit être un soldat au service de la cause, et donc que, dans ce contexte, toute expression publique ne peut se faire qu’avec l’aval de la direction. La convocation à un procès politique, à deux heures du matin, instruit par le même Pierre Marcelle, qui avait demandé pardon, lui, à la direction du Parti, et devait donner des gages en enfonçant son ancien copain, est un grand moment de cet ouvrage, qui confirme que les lambertistes étaient capables des pires pratiques staliniennes.
Imaginez Fabien Engelmann, lui aussi ancien trotskiste, convoqué à 2 heures du matin par Marine Le Pen, Louis Aliot et Florian Philippot pour avoir publié « Du gauchisme au patriotisme » sans l’accord de ses chefs…
Dans un style plutôt brut de décoffrage, l’auteur épingle tour à tour les communistes, bien sûr, les leaders historiques du trotskisme, Pierre Boussel, Alain Krivine et Arlette Laguiller, dans des termes qu’on qualifiera de virils… Il éreinte leurs organisations moribondes.
On se régale particulièrement, sur la fin de l’ouvrage, quand il s’occupe des anciens camarades de sa génération, et insiste sur leur fascination pour le pouvoir, l’argent, la magouille et le luxe.
Dans un chapitre intitulé « Quelques asticots sur la charogne trotsko-lambertiste », il se farcit, dans un style savoureux, Mélenchon, sénateur à 35 ans, avec tous les avantages matériels qui vont avec, Cambadélis, nouveau secrétaire du Parti socialiste, dont il rappelle les nombreuses condamnations judiciaires, et d’anciens responsables de la Mnef, comme Rozenblatt ou Campinchi, qui, c’est le moins qu’on puisse dire, vivaient bien sur la Bête… Julien Dray, Harlem Desir et la mafia Sos Racisme ne sont pas épargnés.
A présent, Gofman se présente comme un « supporter du mouvement national dans sa totalité ». On peut ne pas partager l’ensemble de l’évolution de l’auteur, et quelques-unes se ses analyses. Mais on se régale, tout au long de cet ouvrage caustique, devant la liberté d’une plume polémiste à souhait, qui ne fait pas dans la dentelle…
Le Trotskisme dégénéré, de Patrick Gofman, Les Bouquins de Synthèse nationale, 134 pages, 18 euros
NDLR : avez-vous lu "Le trotskisme dégénéré", le livre de Patrick Gofman ?
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dimanche, 11 mai 2014
AFRIQUE DU SUD : l’ANC S’EFFRITE, LENTEMENT, TROP LENTEMENT…
de Jean-Claude Rolinat
1994-2014 : vingt années de pouvoir noir, vingt années de stagnation pour ne pas dire de régression, de violences, d’exil pour les Blancs, d’interrogations pour les born-free qui fournissent entre 41 et 59 % (!) des effectifs des chômeurs selon les secteurs d’activité et les régions.
Où est la victoire d’un parti en situation quasi monopolistique avec 62,15 % des voix (65,90 en 2009), qui n’a pas réussi bien qu’ayant en mains tous les leviers de commande, à éradiquer la misère, à tout le moins à électrifier tous les villages et à leur assurer la distribution d’eau ? Un Président polygame âgé de 72 ans, un Zoulou contrairement à Mandela un Xhosa, est le digne représentant d’une classe dirigeante qui, à des degrés variables, « s’en est mis plein les poches ». Ce qui explique la percée d’un Julius Malema - l’homme du célèbre et sinistre slogan « une balle, un boer » - et de son parti l’Economic Freedom Fighters qui, avec 1 169 259 voix (6,35 %) arrive en troisième place derrière le parti du Premier ministre de la province du Cap-Ouest, Helen Zille (une blanche). Elle augmente son score de 5,57 % pour atteindre un total national de 22,23 % et un score régional de 59,38 %, lui assurant 26 sièges contre 14 à l’African National Congress au Parlement local. Laminé au plan national, le COPE, rien à voir avec le maire de Meaux, de l’ancien ministre de la défense Lekota, régresse de 7,42 % à…0,67 %, victime de dissidences internes tout comme le chef Zoulou Mangosuthu Buthelezi.Victime lui aussi de la dissidence d’un National Freedom Party qui le pénalise et fait régresser son mouvement l’InkhataFreedom Party (IFP), jadis le challenger de l’ANC à la direction du Kwazulu-Natal au… 3e rang dans sa province avec seulement 416 000 voix contre 2 475 000 à son ennemi juré l’ANC ! Et encore se trouve-t-il également devancé par l’Alliance Démocratique de Madame Zille qui obtient 10 sièges de députés provinciaux, soit un de plus ! Le Freedom Front, le parti des Afrikaners « purs et durs », ceux qui n’ont pas rallié la Democratic Alliance fait un tout petit 0,90 % (165 715 voix) soit 0,7 % de plus qu’à la dernière consultation. Autre petit score honorable pour ce parti de « petits Blancs » et de ruraux, ses résultats dans la province du Free State (l’Etat Libre d’Orange de la guerre des Boers), 2,10 % lui assurant 1 (un !) député provincial à Bloemfontein…Les gens, plutôt déçus par l’ANC mais en souvenir de « Madiba » et des luttes pour l’abolition de l’apartheid ont, comme ces électeurs captifs des banlieues communistes d’hier, continué par automatisme d’apporter leurs suffrages au parti dominant. Une clientèle « captive » en quelque sorte, espérant que l’ANC leur assurera un toit et du pain. Du pain justement, les quatre millions de Noirs et plus qui ont accédé à la classe moyenne –plus ou moins 10 % tout de même du total des Africains - qui gagnent plus que leurs homologues blancs paupérisés soit 2 000 euros mensuels, ont largement dépassé ce stade d’espérance. Eux, ils veulent habiter dans les quartiers mixtes, acheter une voiture et mettre leurs enfants dans une école privée où, comme en Angleterre, on porte l’uniforme ! Piscines, voyages, domestiques (noirs, aussi, de préférence !) sont dans leur ligne de mire. Ce sont les nouveaux riches ou ceux qui aspirent à le devenir. Leur vote s’est éclaté : les uns ont continué à faire confiance à l’ANC qui les a enrichis, les autres la contestent et ont porté leurs suffrages sur l’Alliance Démocratique. Les chiffres le prouvent : comment expliquer que le Gauteng, la plus riche et la plus peuplée des provinces de la RSA - Johannesburg-Pretoria - ait accordé 1 100 000 voix à la DA dont 700 000 Noirs environ et que l’ANC peine à y obtenir la majorité ? Le vote est encore racial, mais moins qu’en 2009. Si les Métis, les Blancs dans leur ensemble et les Asiatiques votent DA, de plus en plus de Noirs évolués les rejoignent. Même Monseigneur Desmond Tutu, l’un des architectes de la contestation anti-apartheid des années soixante-dix et quatre-vingts, s’est déclaré déçu par l’ANC. Si ce parti reste encore très largement majoritaire, il est victime d’une double contestation, en plus de ses remous internes : à sa gauche un agité comme Julius Malema qui exige des nationalisations et l’expropriation des fermiers blancs, à sa droite une bourgeoisie noire exigeante. On n’est pas encore arrivé au stade de la nation « Arc-en-ciel » imaginée – vendue à ses gogos de négociateurs blanc ! - par Nelson Mandela, mais l’ANC n’est plus forcément la solution, elle peut devenir le problème. L’Alliance Démocratique commence à apparaître pour certains comme n’étant plus exclusivement le « parti des Blancs ». Le pouvoir monopolistique de l’ANC va donc subir des assauts de toute part. Espérons pour ce magnifique pays que les Blancs ont fait, comme l’Algérie a été construite par les « Pieds Noirs », qu’un Malema, sorte de Robert Mugabe en puissance, ne puisse l’emporter un jour.
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samedi, 10 mai 2014
"Une poupée gonflée", un "ebook" signé Patrick Gofman
Sous le règne de Giscard, une jeune fille de bonne famille, d’une beauté effrayante, dégringole du trotskisme au gangstérisme pur et simple, en frôlant la pornographie. Cette dégringolade traverse Paris, l’Afrique, Caen, la Californie, Hawaï, et l’Amérique latine, pour finir. Mal finir.
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RAPPEL : dimanche 11 mai, fête de Jeanne d'Arc, plusieurs rendez-vous
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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
01:26 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pierre Descaves et la Picardie
France 3 Picardie
01:24 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 09 mai 2014
Rivarol de cette semaine :
02:08 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |