mercredi, 10 septembre 2014
Docteur Merlin chantera lors de la Journée familiale de Nieppe (59) samedi 27 septembre
03:46 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Le JT de TV Libertés de mardi soir...
03:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mardi, 09 septembre 2014
LE SOCIALISME, C’EST PARTOUT ET TOUJOURS UN NIVEAU DE VIE PLUS BAS !
Cette association de copains et de coquins qui accaparent depuis trop longtemps les rouages de notre société à leur profit exclusif. On ne compte plus les procès et les scandales qui, du nord au sud de l’Europe éclaboussent cette clique de maffieux. Ils sont une nouvelle « nomenklatura » qui défend ses privilèges, acquis au détriment du peuple qu’ils trahissent en permanence.
Mais lentement et sûrement, les yeux s’ouvrent et les réactions ne se font plus attendre, par des manifestations nombreuses et massives de « bonnets rouges » bretons, de petits commerçants et artisans étranglés par les charges et de citoyens anonymes qui ploient sous les taxes et les impôts toujours plus nombreux.
Même si la Droite n’est pas exempte de critiques, c’est quand même la Gôche, ce salmigondis de « bien-pensants », d’écolos, de chrétiens « humanistes » et de marxistes attardés, qui nous clamait qu’il était interdit d’interdire. Ce sont eux, ces soixante-huitards aidés de leurs complices libéro-capitalistes qui nous ont imposé leurs lois liberticides depuis 45 ans ! Ils sont au gouvernement, aux commandes de l’Etat-Providence et dirigent la Justice, l’Enseignement et dictent leurs quatre volontés aux médias.
Depuis des lustres, cette gauche pervertie nous inonde de sa propagande et nous impose une immigration de colonisation, au nom de la société multiculturelle qui nous coûte des milliards d’euros, en période de chômage de masse.
Ces socialauds écrasent les travailleurs pour rembourser les banques qui souscrivent aux emprunts d’état, afin de multiplier les subventions aux immigrés nouveaux venus –version Léonarda – qui n’ont jamais payé la moindre cotisation sociale. C’est la Gôche de la préférence étrangère, celle qui vous classe comme « raciste » et « fasciste » quand vous protestez. Cette clique de carriéristes a multiplié sa clientèle pour laquelle elle a créé des millions de postes de fonctionnaires, parasites inutiles qui s’engraissent sur le dos des travailleurs asservis.
Cette politique de l’Etat-Providence va droit dans le mur, sans mesures structurelles à long terme, telles que le recul de l’âge de la retraite, la diminution d’une grande partie des élus régionaux, nationaux et européens qui ne servent à rien, la hausse de la productivité et de l’emploi, la suppression des privilèges dans l’administration, le retour à la semaine de 40 hres sans augmentation des salaires et la nécessaire convergence des régimes de retraites publics et privés pour instaurer entre eux une équité. L’avenir va nous imposer la cruelle réalité des chiffres et nous serons tous obligés à réduire notre niveau de vie, parce que les pourriticards ont refusé de tenir un langage de vérités.
L’Etat-Providence ne s’est pas adapté aux nouveaux risques sociaux : les moins de 30 ans sont plus souvent touchés par la pauvreté qui se répartit inégalement selon les Régions. Le marché du travail est grippé et le taux de chômage est là pour le prouver.
Selon certains économistes et chercheurs, « nos performances en matière de chômage n’ont rien de remarquables. On veut une réforme, on sait qu’elle est indispensable, mais on a la trouille. » Ils constatent que la concertation sociale est dans l’impasse et que l’Etat est aux abonnés absents.
« Pourtant le modèle allemand nous montre que ce sont les partenaires sociaux qui sont les moteurs des avancées sociales. Cela devrait quand même interpeller les nôtres… »
A l’heure de la rigueur budgétaire, des hausses d’impôts et des taxes à répétition, les politiciens ne peuvent plus fermer les yeux. Ils doivent activement réprimer les fraudes fiscales et sociales qui, année après année, privent les caisses de l’Etat de dizaines de milliards de recettes.
15:47 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Le JT de TV Libertés de lundi soir :
01:33 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Dans Rivarol de cette semaine, un article sur le n°2 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à François Duprat et au nationalisme-révolutionnaire
Le numéro 2 des Cahiers d’Histoire du Nationalisme est consacré à François Duprat et au nationalisme-révolutionnaire…
Samedi 18 mars 1978, dans la fraicheur matinale, sur une petite route près de Caudebec-en-Caux (Seine-Maritime), une terrible explosion secoue la quiétude de ce paisible bout de campagne normande. Un attentat à la voiture piégée vient de mettre fin à la vie de François Duprat et blesser très grièvement son épouse qui était à ses côtés. Trente six ans plus tard ce crime n’a toujours pas été élucidé.
Cet attentat n’était pas l’œuvre d’amateurs ou d’apprentis terroristes à la petite semaine. Il s’agissait d’un vrai travail de professionnels. Ceux qui en sont à l’origine devaient sans nul doute avoir de bonnes raisons pour agir ainsi… Certes, ce samedi 18 mars 1978 correspondait à la veille d’élections législatives qui risquaient de voir le pouvoir giscardien de l’époque renversé par une coalition socialo-communiste, mais est-ce suffisant pour établir une relation de causes à effets entre ces deux événements ? Rien ne le prouve. Mais alors, qui était donc François Duprat pour que des moyens aussi sophistiqués soient employés pour l’éliminer ?
Professeur d’Histoire, écrivain, auteur d’une quinzaine d’ouvrages qui font encore souvent aujourd’hui références, directeur de plusieurs publications nationalistes, collaborateur régulier à divers journaux dont Rivarol ou Défense de l’Occident, la revue de Maurice Bardèche, membre du Bureau politique d’un Front national qui était alors encore marginal, François Duprat était avant tout le théoricien français du nationalisme-révolutionnaire. Et c’est à cet aspect de Duprat que s’intéresse la seconde livraison des Cahiers d’Histoire du Nationalisme, la nouvelle revue lancée sous l’égide de Synthèse nationale au mois de mai dernier par Roland Hélie.
Réalisé sous la direction d’Alain Renault, qui fut Secrétaire général du FN à la fin des années 70 et sans doute l’un des plus proches collaborateurs et amis de François Duprat, ce second Cahier, fort bien illustré et comprenant plusieurs textes inédits, privilégie avant tout ce qui peut être utile au militant d’aujourd’hui. Il se divise en trois parties.
La première est consacrée au nationalisme-révolutionnaire. François Duprat se rattachait au courant « néo-fasciste ». Mais il savait que ce terme, employable dans les discussions doctrinales internes, n’était pas très facile à utiliser pour la propagande externe. Il est en effet parfaitement inutile de perdre son temps à vouloir aller à contre courant en cherchant à imposer un terme qui fait peur. L’essentiel n’est pas « d’avoir raison » mais qu’on « nous donne raison ». Voilà pourquoi Duprat s’employa à substituer au terme « néofascisme » celui de « nationalisme-révolutionnaire ». Et pour être parfaitement cohérent, il adapta le nationalisme-révolutionnaire aux réalités politiques et géopolitiques de la seconde moitié du XXe siècle.
Nous en arrivons donc à la deuxième partie. Celle-ci aborde l’épineux problème du sionisme. Dès la Guerre des Six jours, en juin 1967, François Duprat, n’hésite pas aller à l’encontre d’une grande partie de sa famille politique. Alors que toute la Droite nationale, de Tixier-Vignancour à François Brigneau, prend fait et cause pour Israël, Duprat condamne ouvertement ce qu’il appelle « l’agression sioniste ». Cette prise de position, audacieuse à l’époque, est partagée par Pierre Sidos et Maurice Badèche. Bien sûr aujourd’hui les choses ont bien évoluées. Il est intéressant de lire, ou relire, les textes publiés alors par Duprat tant ceux-ci demeurent d’actualités en cette nouvelle période de troubles au Proche-Orient. Dans ce domaine aussi Duprat était un précurseur.
Enfin la troisième partie, le plus longue, est consacrée au Parti révolutionnaire. Outil indispensable de la victoire, François Duprat concevait le parti révolutionnaire comme le noyau dur du mouvement de masse. Un peu comme l’était Ordre nouveau au moment de la création du Front national au début des années 70.
Les textes de cette troisième partie dévoilent aussi la stratégie de Duprat : développer un thème de campagne fort (ce sera la lutte contre l’immigration) et choisir une zone géographique sur laquelle, tant que le parti reste faible, les efforts d’implantation seront concentrés (ce sera la Normandie, sa région d’adoption). Certes, à l’époque où ces textes ont été écrits, la perspective d’un mouvement national ralliant les masses populaires semblait bien téméraire. Mais en politique il ne faut jamais se décourager et la suite des événements va très vite lui donner raison. Quelques années plus tard, ce sera « le coup de tonnerre de Dreux » et le début de la percée fulgurante du FN.
Hélas, tout cela Duprat ne le verra pas. Sa fin tragique et prématurée l’empêchera d’assister à la réalisation de ce qu’il avait élaboré. Mais ce qui fut la genèse du Front national ne doit pas tomber dans l’oublie ou, pire encore, l’indifférence. Les Cahiers d’Histoire du Nationalisme, fidèle à leur vocation, nous font revivre cette période controversée. Ils rendent ainsi hommage au théoricien et au stratège que fut François Duprat.
Guirec Sèvres
François Duprat et le nationalisme-révolutionnaire, Cahiers d’Histoire du nationalisme n°2, 206 pages 20,00 € (+ 3,00 € de port) à commander à Synthèse nationale, 116, rue de Charenton 75012 Paris (chèque à l’ordre de Synthèse nationale). Le premier numéro, consacré à Léon Degrelle, est toujours disponible aux mêmes conditions.
Plus d'informations cliquez ici
Bulletin de commande cliquez là
Commandez-le en ligne cliquez ici
Rivarol n°3153 cliquez ici, 3,50 €, en vente chez les marchands de journaux
01:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Le retour du Journal du Chaos :
Pour télécharger, cliquez ICI
01:07 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Pas de livraison de Mistral à la Russie : le mur de la stupidité est enfoncé
Le 3 septembre dernier, l'Elysée a décidé de suspendre la livraison à la Russie du premier Mistral, « Vladistok », un bâtiment de projection et de commandement (BPC), estimant que les conditions pour un accord n'étaient « pas à ce jour réunies ».
L'annonce a été « saluée par les partenaires européens et les États-Unis » (Le Monde). Le Monde indique qu' « Une annulation menacerait 1 000 emplois et coûterait près de 2 milliards d'euros ». et que « Le contrat russe a été une véritable bouffée d'oxygène à Saint-Nazaire, garantissant 1 000 emplois pendant quatre ans. » Le contrat prévoit la poursuite de la construction d'un deuxième Mistral pour les Russes.
Au moment où, comme chacun sait, la situation économique et sociale de la France est très dégradée, on se demande comment nos gouvernants ont pu prendre une telle décision, qui risque de plus de nous décrédibiliser pour l'avenir auprès de nos autres clients éventuels.
Avec tous les patriotes, protestons de toutes nos forces contre une décision contraire à l'intérêt national, et dictée par l'étranger
00:51 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
lundi, 08 septembre 2014
Les valets du capital !
Alors que les patriotes de Calais, exaspérés par la présence dans leur ville de nombreux immigrés illégaux, victimes eux-mêmes de la volonté de l'hyper-classe apatride de procéder au grand remplacement de populations pour mieux assoir son pouvoir, renforcer ses profits et détruire les identités, se rassemblaient par centaines (plus d'un millier), une poignée de dégénérés a tenté de troubler la magnifique manifestation du collectif Sauvons Calais. Nous savons que les antifas sont les larbins de la Haute finance, ils viennent encore de nous le confirmer...
Ils sont les derniers d'hier, nous sommes les premiers de demain !
12:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
La rentrée politique de Carl Lang
01:43 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Plus d'un millier de patriotes dans les rues de Calais contre l'immigration...
Une foule de Calaisiens et d'habitants du Nord Pas-de-Calais venus dire NON à l'insupportable !
Parmi les orateurs acclamés par les patriotes : Thomas Joly, le dynamique Secrétaire général du Parti de la France
Yvan Benedetti, infatigable militant et ancien Président de l'Œuvre française dissoute l'an passé...
Kevin Reche, le jeune héroïque Calaisien qui a lancé le collectif Sauvons Calais et qui a surtout sauvé hier l'honneur de sa ville !
00:43 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
samedi, 06 septembre 2014
Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
02:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
vendredi, 05 septembre 2014
Dernières consignes avant la manif de dimanche à Calais...
Dimanche 7 septembre à Calais, les défenseurs de la France française se rassembleront à 14h Place d’Armes pour dire non à l’invasion de Calais, de la France et de l’Europe.
La sécurité des participants sera assurée par notre service d’ordre, ils n’auront rien à craindre de la racaille d’extrême-gauche qui a appelé à contre-manifester.
Néanmoins, le service d’ordre aura pour consigne d’exclure de la manifestation tout individu au comportement provocateur ou susceptible de créer un trouble à l’ordre public.
Nous sommes des nationalistes et nous entendons occuper la rue dans l’ordre et la discipline, pas des gauchistes crasseux ni des clandestins qui défient les lois françaises.
Dimanche, la voix des Français non-reniés qui ne veulent pas que leur pays devienne une annexe du Tiers-Monde se fera entendre haut et fort à Calais.
Kévin RECHE – Sauvons Calais
Thomas JOLY – Parti de la France
14:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Manif à Paris du Comité France-Donbass demain samedi
14:05 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Samedi 27 septembre : Carl Lang sera dans le Morbihan
08:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Philippe de Villiers (MPF) à propos de la suspension de la livraison du Mistral à la Russie
Un communiqué de Philippe de Villiers :
Si François Hollande reportait la livraison du premier bateau de projection et de commandement de type MISTRAL, il poserait un acte de trahison vis-à-vis de la France et commettrait trois erreurs graves.
D'une part, François Hollande obligerait la France à trahir sa parole et sa signature, ce qui décrédibiliserait notre pays devant le monde entier, et affaiblirait notre industrie de défense en mettant en risque les grands contrats tels que le projet de vente de Rafales à l'Inde. Les Indiens s'interrogent d'ailleurs aujourd'hui sur le sérieux de notre pays et sa capacité à respecter ses engagements…
D'autre part, François Hollande poserait cet acte absurde et grave au moment même où, malgré la pression américaine et la position atlantiste et totalement soumise de l'Europe, Porochenko et Vladimir Poutine sont en train de parvenir à un accord de cessez-le-feu qui doit être signé vendredi et qui ouvre la voie à une solution diplomatique et politique à la crise !
Enfin, en plus du millier d'emplois liés aux contrats de fourniture des bateaux MISTRAL mis en danger par une telle décision, c'est toute l'industrie française à Moscou qui risquerait d'en subir les conséquences au moment même où notre industrie est parvenue à développer durablement ses activités en Russie dans un climat de confiance, créant, entre les 1200 entreprises françaises présentes sur le territoire russe, près de 100 000 emplois indirects en France générés par les projets russes de la France.
Si François Hollande avait la semaine passée une popularité de moins de 20 %, ses erreurs successives et l'incompétence dont il fait preuve doivent le conduire à tirer les conclusions évidentes de son échec : François Hollande doit démissionner.
08:40 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Hollande : La vengeance d’une blonde... Chérie : j’ai encore rétréci le président
08:11 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
MISTRAL : dimanche Saint-Nazaire dans la rue contre la décision de Hollande de s'aligner sur les diktats américains
Comme des millions de Français consternés, nous prenons acte, ce soir, de la décision du président de la République, François Hollande, suite à un conseil restreint de défense, de ne pas livrer à la Russie le BPC Vladivostok (livraison initialement prévue en octobre).
Ainsi, dans son communiqué de presse final, le conseil restreint évoque le fait que, selon lui, « malgré la perspective d’un cessez-le-feu [ dans l’Est de l’Ukraine ] (…) les conditions pour que la France autorise la livraison du premier BPC ne sont pas réunies. »
Le bureau de Mistral, gagnons ! est indigné du choix du président de la République. Il constitue, à notre sens, un recul sans précédent de la France et une très grave menace pour Saint-Nazaire.
Nous dénonçons sans faiblesse, depuis un mois :
- Le manque de parole de la France à l’égard de la Russie, les deux parties ayant signé ce contrat il y a déjà plusieurs années.
- Si la suspension devient une annulation, l’obligation de la France à verser des réparations à la Russie.
- Le choix pour la France de s’inféoder à d’autres puissances, défendant des intérêts géostratégiques distincts des siens et l’empêchant de demeurer souveraine, en premier lieu, les États-Unis.
- Le risque que cette décision fait prendre quant à la crédibilité de la France à l’international, concernant de potentiels futurs contrats militaires : par exemple notre contrat en cours de 9 milliards d’euros en finalisation avec l’Inde pour la vente d’une centaine d’avions Rafale.
- La menace que fait peser cette décision sur le bassin d’emploi de Saint-Nazaire (Saint-Nazaire, Trignac, Montoir-de-Bretagne, Donges…) et des milliers de travailleurs directement ou indirectement liés aux chantiers des deux BPC.
Nous maintenons, et d’ailleurs plus que jamais, notre souhait que les BPC Vladivostok et Sébastopol soient vendus à la Russie, comme il était prévu depuis 2010. Le soutien des syndicats locaux et de personnalités politiques relativement à cette vente, s’il est le bienvenu, reste cependant tardif pour beaucoup d’entre eux !
Heureusement, une minorité prenait déjà position dès le printemps dernier en faveur de cette vente.
Nous maintenons de même notre appel à manifester pour la protection de notre industrie et de notre liberté commerciale, ainsi que l’amitié entre les peuples, dimanche 7 septembre à partir de 13 heures, à Saint-Nazaire, devant le Vladivostok.
Source cliquez ici
00:17 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Serge Ayoub dimanche à Montréal
00:10 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
jeudi, 04 septembre 2014
Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
Entretiens avec Jean-Yves Le Gallou et le dessinateur Miège
23:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Dimanche 12 octobre : on se retrouve tous à la 8e Journée de Synthèse nationale...
Retenez vos places dès maintenant cliquez ici
10:34 Publié dans 08 - La 8e Journée de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Grand succès pour “l’Université d’Eté de Convergence”.
10:34 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Le JT de TV Libertés de mercredi soir...
00:28 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
00:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
À Puteaux, cartables roses pour les filles et bleus pour les garçons !
François Teutsch
Boulevard Voltaire cliquez ici
Heureusement que la presse veille à l’orthodoxie républicano-socialiste et dénonce les scandales comme celui qui vient d’éclater dans les Hauts-de-Seine. En cause, la décision de la mairie de Puteaux d’offrir un cartable aux écoliers de la commune. Rien à redire sur le sujet lorsque l’objet en question est noir. Mais cette année, les objets du délit sont roses pour les filles et bleus pour les garçons. Et, en prime, on offre à ces derniers un livre pour apprendre à monter un robot, tandis que leurs sœurs reçoivent un guide pour créer leurs propres bijoux.
Il faut dire que la théorie du genre, qui n’existe pas sauf dans l’esprit de quelques paranoïaques homophobes et malintentionnés, s’oppose formellement à la perpétuation de tels stéréotypes. D’ailleurs, le très sérieux Point titre « Des fournitures scolaires très “genrées” », tandis qu’un opposant politique confie généreusement à Libé : « Ce n’est pas un message politique contre la théorie du genre. C’est juste du stéréotype bête et idiot. » Mais, on vous le dit, ladite théorie n’existe pas.
Stéréotypes : le mot est lâché. Il est devenu, comme le racisme il y a trente ans, l’hydre contre lequel il faut lutter sans relâche. Pour sauver l’humanité, luttons contre les stéréotypes. Celui selon lequel les filles préfèrent les poupées et les garçons les soldats. Celui selon lequel les femmes ont moins d’accidents que les hommes : désormais, il est discriminatoire d’appliquer des tarifs d’assurance moins élevés pour nos compagnes ! Celui selon lequel les déménageurs qui montent les pianos au huitième sans ascenseur sont plutôt des hommes costauds. Celui selon lequel un catho est forcément homophobe, doublé d’un imbécile s’il est de droite… Pardon ? Ce n’est pas un stéréotype ? Ah, je suis confus, je ne recommencerai pas.
C’est bien, le stéréotype : ça fait moderne, un peu savant, et personne n’a rien contre le fait qu’on voie les choses telles qu’elles sont plutôt qu’au travers d’un cliché, non ? Mais ça dépend desquels. Parce que, comme pour le racisme, il y a le bon et le mauvais stéréotype. On pourrait en faire un jeu pour s’entraîner de façon ludique. À chaque expression, répondez « bon » ou « mauvais ». Exemples : socialiste généreux ; femme coquette ; curé pédophile ; romanichel trafiquant ; homme qui fait bouillir la marmite ; musulman intégriste ; etc.
À Puteaux, le maire ne semble pas avoir compris l’importance d’un tel combat. Pourtant, nous disait France Intox le 2 septembre, l’édile ne semble pas particulièrement proche de la Manif pour tous. Tiens, en voilà encore un. Un bon, évidemment.
On en viendrait à regretter Jacques Chirac : sous sa présidence, personne ne se serait étonné de la création d’une Haute Autorité de lutte contre les stéréotypes, dont la présidence aurait été confiée à une personnalité socialiste bien en vue. C’est désormais inutile. Non seulement les chiens de garde veillent, mais encore l’égalité hommes-femmes a fait de grands progrès. Ainsi, trois jeunes filles ont torturé une des leurs parce qu’elle regardait un peu trop leurs petits amis. De vrais comportements de garçons. Des Mesrine en puissance.
Najat peut se réjouir : mission accomplie !
00:18 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
La Ligue francilienne organise le co-voiturage pour la manif de dimanche à Calais
00:07 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
mercredi, 03 septembre 2014
Une bonne nouvelle : Esteban est libre !
Après 15 mois de détention, Esteban vient d'être remis en liberté.
Début juin 2013 Esteban et quelques uns de ses amis avaient été agressés par une bande de gauchistes dans le quartier Saint Lazare à Paris. L'un des agresseurs, un dénommé Clément Méric, est décédé alors qu'il attaquait lâchement les jeunes patriotes. Le pouvoir socialiste profita de cet incident pour dissoudre plusieurs organisations nationalistes.
On revient sur cet événement très prochainement.
09:30 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
ESTEBAN chanté par Northmen impakt
09:29 | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Retour sur l'"affaire Esteban" : c'était dans Rivarol du 28 juin 2013...
Un entretien avec Roland Hélie, co-fondateur du Collectif pour la défense des libertés publiques…
NDLR : Entretien réalisé le 22 juin, soit trois jours avant l'annonce de l'autodissolution de Troisième voie et des JNR, et publié dans Rivarol (n°3100 du 28 juin 2013)
Roland Hélie, vous êtes le directeur de la revue Synthèse nationale et vous faites partie des instigateurs du Collectif pour la défense des libertés publiques. Pouvez-vous nous exposer les raisons qui vous ont mené à lancer ce collectif ?
Tout est parti de ce qu’il est désormais convenu d’appeler « l’affaire Méric » et que, pour ma part, je préférerais que l’on appelle « l’affaire Estéban » car, une fois de plus, il s’agit de remettre les choses à leur place et de ne pas inverser les rôles. En effet, depuis le jeudi 6 juin dernier, un jeune nationaliste, Estéban, est en prison alors qu’il n’a fait que se défendre, et défendre sa petite amie, alors qu’ils étaient sauvagement agressés par une bande gauchiste, rue Caumartin, à Paris.
Certes, mais au cours de cette altercation, un gauchiste, Clément Méric, est mort…
Effectivement, l’un des agresseurs est décédé suite à cette altercation. Mais enfin, lorsque l’on attaque délibérément des personnes dans la rue, comme ce fut le cas ce jour-là de la part des gauchistes, on prend des risques, y compris celui de se prendre soi-même des coups, et parfois les coups peuvent êtres fatals. C’est sans doute regrettable, mais il en est ainsi.
C’est un peu comme lors de la manifestation contre la loi Taubira organisée par Civitas en novembre dernier. Un groupe de Femen est arrivé gaillardement, au pas cadencé, et a commencé à gazer des familles qui se rendaient à ce rassemblement. Celles-ci ont été éconduites comme il se devait par des jeunes gens présents qui n’ont écouté que leur sens du devoir. Ensuite, elles ont passé leur temps à geindre sur leur sort. Là aussi, il ne faudrait pas inverser les rôles. Lorsque l’on veut faire la guerre, il faut savoir en subir les conséquences.
Rappelez-nous les circonstances de ce que nous appellerons donc l’ « affaire Estéban ». Comment cela s’est-il déroulé ?
Estéban était venu avec quelques amis à une vente privée de vêtements d’une marque prisée, entre autres, par les jeunes nationalistes. Dans l’appartement où se déroulait cette vente, ils ont été pris à partie verbalement par Méric et sa bande qui étaient venus spécialement pour les provoquer. Pour s’en convaincre, il suffit de consulter la page « Facebook » de ces gens-là sur laquelle ils avaient publié, la veille, des photos représentant leurs cibles.
Les vigils de la vente ont alors évacué les gauchistes et ce n’est qu’une demi-heure plus tard que, persuadés que ceux-ci étaient repartis, Estéban et ses camarades sont sortis. C’est alors qu’ils furent agressés car les gauchistes étaient restés planqués à proximité. Il s’en suivit une courte bagarre au cours de laquelle Méric se serait pris quelques coups. Le reste c’est l’enquête qui le dira. Quoi qu’il en soit, et tous les témoins sont formels, les agresseurs étaient Méric et sa bande, et les agressés Estéban et ses amis. D’ailleurs, apprenant les conséquences dramatiques de l’altercation, ceux-ci se sont rendus d’eux-mêmes à la police. Or, aujourd’hui, trois semaines après les faits, Estéban et un autre militant sont encore en prison.
Effectivement cela est assez incroyable lorsque l’on se souvient de la version donnée par les media juste après les faits…
Et il y a plus incroyable encore. Dès le lendemain matin, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, parle d’un « assassinat » et dénonce une organisation, les Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), comme étant responsable de ces événements. M. Valls a une imagination débordante. Il jette à la vindicte des gens sans même savoir ce qu’il s’est vraiment passé. Les élucubrations de M. Valls sont du niveau de n’importe quel pochtron qui, le matin au comptoir d’un bistrot, commenterait les fait-divers relatés dans le journal local… C’est hallucinant car M. Valls est, rappelons-le, ministre de l’Intérieur. Et ce n’est pas fini. Deux jours plus tard, le samedi matin, c’est le Premier ministre qui en remettra une couche en annonçant qu’il entame la procédure en vue de la dissolution des JNR. Et la semaine suivante, il ira encore plus loin en demandant aussi la dissolution du mouvement Troisième voie (TV) dirigé par Serge Ayoub et dont les JNR sont, en fait, le service d’ordre. Et le Conseil de Paris en profite pour demander, pendant qu’on y est, la fermeture du bar associatif non-conformiste « Le Local » situé dans le XVe arrondissement et réputé proche des organisations visées. On est en plein délire.
Tout cela ne tient pas debout. D’autant que l’« assassinat » dont Valls et consorts nous ont rebattu les oreilles le jeudi matin a rapidement été requalifiée par le juge chargé de l’instruction en « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Les mots ont un sens.
Non seulement Estéban n’a agressé personne (il n’a fait que se défendre) ; non seulement il n’est pas membre des JNR ; non seulement les JNR, et a fortiori TV, ne sont en rien responsables de la mort de Méric ; mais le pouvoir s’obstine à vouloir dissoudre ces mouvements et maintient deux jeunes patriotes en prison. Si cela ne s’appelle pas une dérive totalitaire, dites-le moi.
C’est le moins que l’on puisse dire. Mais alors, pourquoi une telle obstination de la part du pouvoir ?
En réalité, depuis neuf mois, le gouvernement est confronté à une opposition grandissante qu’il a de plus en plus de mal à contenir. Cette opposition, qui se manifeste principalement dans la rue, dépasse le cadre habituel des partis classiques. En fait ceux-ci sont totalement débordés. L’obstination de Hollande à vouloir imposer la loi Taubira a engendré un véritable mouvement de fond dans le pays. Aujourd’hui, plus un ministre ne peut mettre le nez dehors, où que ce soit, sans se retrouver en face d’une cohorte de manifestants. Pour les tenants du pouvoir cette situation devient insupportable, cela d’autant plus que le mouvement est loin de retomber. Il faut donc qu’il trouve une porte de sortie. D’où la multiplication des provocations afin d’essayer de dissuader les manifestants à continuer leur combat.
Que voulez-vous dire ?
C’est simple, le pouvoir cherche à introduire la violence dans les manifs afin de les discréditer. Nous, les nationalistes, avons d’ailleurs été les premiers à subir cette stratégie hasardeuse.
Rappelez-vous, le dimanche 12 mai dernier, place des Pyramides à Paris, lors de l’hommage à Sainte Jeanne d’Arc. Au moment où arrivait le cortège unitaire (NDP-TV-France nationaliste-Europe identité… encadré par les JNR), précédé par celui du Renouveau français, quatre Femen, toujours elles, ont déployé du balcon d’un appartement propriété du ministère de la Culture une immense banderole écrite en anglais demandant la « sextermination for nazism ». Il s’agissait de provoquer la colère, légitime, des manifestants et que ceux-ci affrontent la police. Il n’en fut rien car, grâce au sang-froid du service d’ordre, les JNR, la manifestation, au grand dam des flics (17 « paniers à salades » ont été dénombrés dans les rues voisines), n’a pas dégénéré. Le pouvoir aurait été trop heureux de pouvoir imputer aux nationalistes des actes violents comparables à ceux qui, le lendemain, ont été le fait des bandes ethniques dans le quartier du Trocadéro, lors de la remise d’une coupe de football. Cela aurait pu légitimer l’interdiction des nombreuses manifestations contre la loi Taubira qui se sont déroulées en mai partout en France. Les JNR ne leur ont pas laissé cette joie.
Il en fut de même le 26 mai. Les actes de violence provoqués à l’issue de l’impressionnante manifestation qui a rassemblé un million de personnes n’ont pas eu l’effet escompté.
Les événements de la rue Caumartin sont donc tombés à pic. Et le pouvoir a voulu en faire un exemple.
Très vite pourtant, il nous a semblé que certains media ont douté de la version officielle de cette affaire. Comment cela s’est-il passé ?
Dès le lendemain matin, sentant le piège se refermer, une contre-offensive médiatique a été élaborée. Serge Ayoub a tout de suite pris contact avec les journalistes qu’il connaît afin de leur exposer la réalité des faits qui est aux antipodes des élucubrations de Manuel Valls et des habituels « consternés » qui se succédaient à l’écran pour dénoncer « la barbarie fasciste ». Ainsi, dès le début de l’après-midi , une autre interprétation des faits commença à circuler. En particulier grâce à BFM-TV qui fut, reconnaissons-le, la première chaine à faire preuve d’une certaine indépendance d’esprit. Dans les jours qui suivirent, Serge Ayoub, avec le franc parlé que nous lui connaissons, multiplia les interventions sur les plateaux et, petit à petit, la version officielle commença à être remise en cause.
De plus, à peine cinq heure après l’annonce de Ayrault de vouloir dissoudre les JNR, le samedi 8 juin, nous avons organisé une conférence de presse au Local qui a aussi eu un énorme écho (une vingtaine de télés, radios et journaux étaient présents). Le pouvoir ne s’attendait pas à une telle réaction de notre part. En fait, cette « affaire Méric » est en train de se transformer en, pardonnez-moi l’expression, une « affaire merdique » pour le pouvoir.
D’où son obstination à vouloir dissoudre TV et les JNR ?
Nous avons affaire à un gouvernement d’amateurs. Ils pensent qu’il suffit de ressortir la vielle recette de la diabolisation pour décourager leurs opposants. Cela ne marche plus. Ils accusent TV de diffuser des idées racistes ou antisémites, alors que jamais ce mouvement n’a été une seule fois inquiété, en trois ans d’existence, pour de telles choses. Or, vous le savez bien à Rivarol, les inquisiteurs patentés de la pensée unique sont vigilants, et âpres aux gains, dans ce domaine. Aussi, ils accusent les JNR d’être une milice paramilitaire… fadaises que tout cela. Les JNR ne sont que le service d’ordre, certes efficace, de TV. Aucun acte violent ne leur a été reproché depuis trois ans. Il serait peut-être temps d’arrêter de délirer. Pour sauver sa peau ce gouvernement est prêt à interdire tous ceux qui s’opposent à lui. On l’a déjà constaté à plusieurs reprises, notamment lorsqu’il a cherché, il y a quelques semaines à dissoudre le Printemps français.
D’où la création du Collectif pour la défense des libertés publiques ?
Face à cette véritable imposture, il nous a semblé nécessaire de rassembler les énergies. Dès le début de cette affaire, Synthèse nationale et la Nouvelle Droite populaire ont apporté leur soutien total à Estéban et à Troisième voie. Parallèlement le Réseau Identités, présidé par notre ami Richard Roudier, a adopté la même démarche. Le Comité d’entraide aux prisonniers européens (CEPE)* a été aussitôt réanimé et un formidable élan de solidarité s’est développé puisqu’en 10 jours plus de 700 personnes ont très généreusement répondu à son appel. Voilà pourquoi, afin de synchroniser nos actions, nous avons créé ce collectif auquel de nombreuses personnalités, tels les écrivains Renaud Camus, Guillaume Faye, Gilbert Sincyr, Eric Miné, Jean-Claude Rolinat, Patrick Gofman, Philippe Randa, des hommes politiques comme les anciens députés Christian Vanneste, Pierre Descaves, notre Cher Robert Spieler, le dynamique Secrétaire général du Parti de la France Thomas Joly et bien d’autres nous ont apporté leurs soutiens. Ce collectif a vocation à perdurer car je pense que, hélas, les manœuvres perfides du pouvoir n’ont pas fini de viser les nationalistes, comme le prouvent les scandaleuses procédures de dissolution de nos amis des Jeunesses nationalistes d’Alexandre Gabriac et de l’œuvre française d’Yvan Benedetti.
Alors, pour conclure, cette affaire n’aura pas eu les résultats escomptés pour le pouvoir ?
En fait, ceux qui se font appeler « les anti-fas » ne sont que des petits auxiliaires destinés à accomplir les basses œuvres du pouvoir contre la seule opposition déterminée à sa politique mondialiste, à savoir l’opposition nationaliste. En incitant quelques naïfs, comme Clément Méric, à s’exciter contre un hypothétique fascisme renaissant, il était prévisible que l’on en arrive à une telle situation. En menaçant de dissoudre Troisième voie et les JNR, le pouvoir n’aura réussi qu’à créer un véritable mouvement de solidarité en faveur de ces mouvements qui, dissous ou pas, sortiront renforcés de ces attaques. En jetant en prison Estéban, ou dernièrement le jeune veilleur Nicolas, il pousse une partie grandissante de la jeunesse vers la contestation globale du système. On est en pleine confusion. Le gouvernement se retrouve dans la position de l’arroseur arrosé.
Mais que voulez-vous, lorsque l’on a un Président de la République qui confond les Chinois et les Japonais, comme ce fut cas récemment à Tokyo, il ne faut pas s’étonner que le Premier ministre confonde les agresseurs et les agressés.
Pour vous contacter ou participer au Collectif ?
Il vous suffit d’écrire à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement).
01:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
Toute la vérité sur "l'affaire Esteban" :
01:24 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |
"Le trotskisme dégénéré" de Patrick Gofman : vu sur TV Libertés
Paru en mai 2013
En savoir plus cliquez ici
Bulletin de commande cliquez là
Le commander en ligne cliquez ici
00:54 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
Facebook | |