dimanche, 09 mars 2014
La maîtresse de Hollande dans un clip anticatholique et antiblanc
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Pour la « Journée de la femme », des féministes ont produit une brève vidéo dénonçant les mariages forcés de fillettes. Pourquoi pas.
Mais dans notre pays, ce phénomène ne concerne pas les Français, contrairement à une partie de la population immigrée. Dans le monde, il est quasi-uniquement le fait de non-catholiques et de non-Blancs.
Or dans ce clip au contenu indigent (où la mère de famille est interprétée par Julie Gayet, la nouvelle première maîtresse de François Hollande, qui apparaît pour une fois habillée), on ne voit que des Blancs !
Les quotas ethniques en usage aujourd’hui devant la caméra ne doivent-ils être employés que pour montrer les étrangers sous un jour aimable ?
Il est ici présenté une famille française bourgeoise et catholique (avec une grande image du Christ dans son appartement, mais qui célèbre le mariage à la mairie : pas très crédible) qui livre une fillette à un vieil homme.
Un tel décalage (cette inversion même) par rapport à la réalité constitue une odieuse offense aux Français, qui sont encore une fois stigmatisés pour des comportements dont ils ne sont nullement coupables, si ce n’est d’avoir laissé entrer chez eux quinze millions d’immigrés.
Qui est la cible de ce court-métrage surréaliste ? Qui veut-on convaincre ?
Il faut rappeler que l’Occident fut pionnier dans le domaine de la liberté du mariage, l’Eglise ayant imposé la nécessité du consentement des époux pour qu’un mariage soit valide.
On notera aussi l’incohérence de ces donneurs de leçons de l’oligarchie politico-médiatique qui affirment (comme en fin du clip) que « les petites filles ne sont pas des femmes », alors que notre société de vulgarité et de pornographie s’évertue à tuer l’innocence des jeunes et à vêtir (ou plutôt « dévêtir ») les fillettes comme des femmes, en sexualisant leur apparence et leur comportement dès le plus jeune âge.
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LES CHIENS ABOIENT, LA CARAVANE PASSE
Le nouveau NH cliquez ici
Ce qui est excessif est dérisoire. Entraînés dans une surenchère de dénonciations verbales que la réalité ukrainienne ne justifie pas, les occidentaux dont les accusations ne parviennent pas à ébranler la détermination russe, se retrouvent aujourd’hui dans une impasse.
Comment en sortir sans perdre la face, la question se pose. Car de deux choses l’une, ou bien les occidentaux choisissent de mettre à exécutions leurs menaces et dés lors ouvrent la voix à la division de l’Ukraine, ou bien ils choisissent la désescalade, mais pour ce faire doivent se livrer à un exercice de rétropédalage qui en termes de notoriété risque de leur coûter cher sur la scène internationale. Aux échecs déjà essuyés en Irak, en Lybie et en Syrie, viendrait alors s’ajouter celui de l’Ukraine, une perspective indigeste pour les vat-en guerre étatsuniens.
Dans le premier cas de figure, l’UE se retrouverait avec sur les bras plusieurs dizaines de millions d’ukrainiens à nourrir, de quoi grever par des dettes supplémentaires des économies déjà exsangues. A moins bien évidemment de mettre l’Ukraine en coupe réglée par les institutions supranationales et lui faire découvrir comme la Grêce les joies du FMI. Pendant ce temps la partie industrialisée de l’Ukraine autrement dit sa partie riche et utile, devrait, ce qu’elle a commencé à faire d’ailleurs, se rapprocher encore plus de la Russie, la Crimée quant à elle renvoyant définitivement dans les poubelles de l’histoire les rêves de l’OTAN de régner en maître absolu sur les eaux de la Mer Noire.
Dans le second cas de figure, l’Ukraine préserverait son unité, mais à la condition de traiter sur un pied d’égalité sa population russophone, c’est-à-dire en ne la privant pas de ses droits historiques, et renoncer à partager le sort d’une vulgaire république bananière que les Obama, Hollande et autres Cameron lui réservaient. Autrement dit en tenant compte des intérêts géopolitiques de la Russie dans son étranger proche.
Quoiqu’il en soit, les USA et l’UE semblent bien avoir perdu la main sur une situation dont on peut espérer qu’elle se réglera par voix diplomatique, dés lors que les occidentaux auront compris que tous les peuples ne sont pas interchangeables ni manipulables tels de simples pions sur un échiquier.
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Pierre-Bénite (Rhône) : les électeurs d'origine portugaise ou italienne devraient apprendre l'arabe !
Il paraît qu'il est maintenant un peu piteux Daniel Deleaz ou qu'il fait semblant de l'être. Candidat phare d'une liste de la "gauche rassemblée" aux municipales, l'homme avait cru bon de faire imprimer un tract traduit en arabe sur son verso, histoire sans doute de s'attirer les bonnes grâces des français de papier de la commune de Pierre Bénite dont il voudrait devenir maire. De la commune de Pierre-Bé préfère t-on d'ailleurs dire au sein de sa nébuleuse PC-PS-PG, un raccourci qui gomme toute référence à l'histoire et aux traditions de cette ville de la banlieue-sud de Lyon et qui ne contrarie ni les mahométans sourcilleux ni les laïcards forcenés.
Son initiative polyglotte ayant suscité d'intenses réactions hostiles sur les "réseaux sociaux", l'individu a tenté maladroitement de la justifier par la frustration que ressentiraient des personnes françaises d’origine maghrébine, portugaise ou italienne qui parlent le français mais ne le lisent pas, ou mal. Certaines d’entre-elles ont fait part d’un sentiment de mise à l’écart. Il y a donc une inégalité entre les citoyens ". Une constatation qu'il aurait faite durant ses "porte à porte" mais qui curieusement ne l'a pas incité à faire traduire son tract en italien ou en portugais ! Pour le cuistre il y aurait donc des "zissus" exotiques à considérer respectueusement et des "zissus" européens sans intérêt car sans doute trop semblables aux gaulois. Et puis ils n'ont qu'à apprendre l'arabe !
De là à conforter l'idée que les politicards de la gauche plurielle ou rassemblée sont avant tout des petits collabos de l'idéologie mondialiste qui prône le "grand remplacement" des peuples européens par des entités allogènes, il n'y a qu'un pas qu'il ne faut plus hésiter à franchir.
00:45 Publié dans Banalisation..., Les articles de Yves Darchicourt, Municipales 2014 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Anvers : les Flamandes contre l'islamisation !
Pour célébrer à leurs façon la Journée Internationale de la Femme, nos amies et camarades flamandes militantes de l'organisation " Vrouwen Tegen Islamisering" (les femmes contre l'islamisation) issue du Vlaams Belang ont mené ce jour sur la magnifique Grand'Place d'Anvers (Antwerpen) une vaste opération de sensibilisation dénonçant "la menace que représente l'Islam pour le droit des femmes".
La statue du légendaire soldat romain Silvius Brabo - qui aurait libéré Antwerpen du géant qui exigeait un droit de passage sur l'Escaut - a été revêtue symboliquement d'une noire burka et la sénatrice Anke Van Dermeersch a prononcé une allocution fustigeant l'Islam dont les valeurs qui se glissent dans notre société représentent un grave danger pour la liberté et l'émancipation des femmes.
00:39 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 08 mars 2014
C'est la journée internationale de la femme
Ou plus exactement la journée marxiste-léniniste de la femme, puisque c’est Lénine qui a décrété en 1921 que le 8 mars serait la journée internationale de la femme.« 8 mars, jour de rébellion des travailleuses contre l’esclavage de la cuisine » : une « travailleuse » tend la main à une femme écrasée par les tâches domestiques (et par une icône de la Théotokos) pour la libérer en l’envoyant travailler à la chaîne en usine…
Malgré la propagande communiste et libérale, malgré l’obligation qu’ont beaucoup de femmes d’avoir un travail rétribué pour subvenir aux besoins de la famille, malgré l’idéologie dite « féministe » qui fait partie de l’idéologie officielle, un sondage de 20 minutes montre que la loi naturelle ne se détruit pas si facilement qu’on le croit, et constitue une claque retentissante pour tous les valets du politiquement correct :
82% des femmes jugent plus important d’être mère que d’avoir une carrière professionnelle.
Source Le blog d'Yves Daoudal cliquez là
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
13:41 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Shoah Business en Thessalonique !
Décidément l'Allemagne ne finira jamais de cracher au bassinet près de 70 ans après la fin de la 2e grande guerre civile européenne ! Par l'intermédiaire du Congrès Juif Mondial, c'est maintenant la communauté juive de Thessalonique qui lui réclame une somme exorbitante sur la base de faits remontant à 1942 faute d'avoir pu se la faire remettre par la Grèce. Une somme considérable de 1,9 milliards de drachmes (61 millions de $ US ) que la Cour Suprême hellénique a refusé de considérer comme exigible l'an dernier.
Qu'à cela ne tienne, si la Grèce, de toute façon en quasi faillite, ne s'est pas pliée à ces exigences, l'Allemagne paiera! L'Allemagne qui a réglé vertueusement [sic] tant de revendications provenant des victimes de l'Holocauste! L'Allemagne qui, à ce jour, n'a pas répondu favorablement et qui vient de se voir assignée devant la Cour Européenne des Droits de l'Homme de Strasbourg. L'Allemagne dont la Chancelière Merkel va probablement une fois de plus se soumettre aux desiderata d'un lobby qui n'existe pas mais qui sait si bien manipuler les opinions publiques formatées par la repentance instituée . Vae Victis !
Source cliquez là
NDLR :
Menteurs et affabulateurs de la shoah, le dernier livre d'Anne Kling
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10:26 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Francis Bergeron, au nom du comité de rédaction du quotidien Présent :
Note pour le renouveau de Présent :
Nos lecteurs les plus anciens et les plus fidèles se souviennent sans doute de la campagne de cette fin d’année 1981 pour le lancement du journal Présent.
Les cinq fondateurs : Bernard Antony, Jean Madiran, François Brigneau, Hugues Kéraly et Pierre Durand, avaient rappelé, dans un éditorial commun publié dans le numéro 0 (22 novembre 1981), que la création de Présent signerait la réapparition d’un quotidien national, après 37 années d’absence. Nos cinq amis faisaient allusion à L’Action française quotidienne, celle de Charles Maurras, Jacques Bainville et Léon Daudet.
La naissance de Présent fut fébrile. La France de 1981 était presque aussi abîmée que la France d’aujourd’hui : la gauche venait d’arriver au pouvoir, et quelle gauche ! Le Parti communiste « français » se retrouvait aux manettes du pays, pour la seconde fois de son histoire, alors que la moitié de l’Europe était encore occupée par l’Armée rouge. Chacun d’entre nous ressentait donc (mais comme aujourd’hui !) l’urgence absolue de prendre la parole, de donner des munitions aux Français entrés en résistance.
Le lancement de Présent fut pourtant laborieux, malgré la gravité du moment et le dévouement d’une équipe passionnée. Le seuil de viabilité du journal avait été fixé à 8 000 abonnés. A l’heure du lancement, ils n’étaient que 6 000 au rendez-vous. La talentueuse équipe rédactionnelle de l’époque prit néanmoins le risque de se lancer. Et cette improbable aventure fut une vraie réussite.
La meilleure preuve en est que Présent est toujours là, quand tant de journaux, qui semblaient mieux armés pour la tempête et bien dans l’air du temps, ont mis la clé sous la porte. Cette formule géniale du quotidien ramassé, concentré, rédigé cinq jours par semaine par une équipe jeune, militante, a démontré son efficacité. Elle est même désormais copiée, par exemple par le quotidien libéral L’Opinion.
Présent est toutefois aujourd’hui à un tournant de sa déjà longue histoire (32 années d’existence !) :
– Tournant technologique avec internet : ce tournant, nous ne l’avons pas encore pris.
– Tournant générationnel : les animateurs historiques du journal ne sont plus là ; tandis qu’une grande partie de la rédaction, qui a été fidèle à ce titre, approche désormais, par la force des choses, de l’âge de la retraite.
Cette pérennité, c’est le premier trésor de Présent. Et c’est bien pourquoi ce tournant technologique et ce tournant générationnel, il est de notre devoir de les prendre, et de les réussir. Avec vous, abonnés de la première heure, ou abonnés de la dernière heure et de la dernière génération, celle des « manifs pour tous ».
Mais aussi avec beaucoup d’autres. Présent ne peut se contenter de prêcher quotidiennement pour un public réduit, plus réduit, même, qu’au moment de son lancement. Car Présent n’a de sens que s’il participe à la conquête des esprits. Dans les boîtes aux lettres. Mais aussi dans les kiosques. Mais aussi sur le web. Mais aussi à la criée, dans les manifestations. C’est sa vocation propre : sortir du « camp des bons », du « camp des saints », conquérir des lecteurs – et donc faire progresser nos valeurs – sur nos marges, et même plus loin encore.
Bien évidemment rien ne doit changer de ce qui fait l’ADN du journal, son inspiration chrétienne, son orientation politique dans le camp national, son engagement dans les combats sociétaux. Et sans jamais cacher son drapeau.
Mais nous devons avant tout retrouver l’esprit de conquête qui a fait la réussite de ce journal. C’est l’aventure à laquelle nous vous convions, et que nous vous raconterons donc aussi, dans les pages de votre quotidien.
Francis Bergeron
pour le comité de rédaction
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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
10:00 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 07 mars 2014
Vendredi soir, sur Méridien zéro :
RBN Méridien zéro cliquez là
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Islam-immigration : la combine pour interdire le débat
Pierre Cassen
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Signe des temps, dans une France qui ressemble de plus en plus à une dictature rampante, j’ai passé, en moins de quinze jours, deux longs après-midi au palais de justice de Paris. Le 21 février, je suis venu soutenir mes amis Renaud Camus et Jacques Philarchein, poursuivis par le seul MRAP, suite à leurs interventions des Assises sur l’islamisation.
En revanche, ce mercredi 5 mars, je n’étais plus dans les tribunes, à regarder le match, mais sur le terrain, en compagnie de mon ami Pascal Hilout, né Mohamed. Nous avions fait appel d’un premier jugement, prononcé deux ans plus tôt, suite à la plainte d’une meute de cinq associations dites antiracistes, dont une musulmane. Nous avions alors été condamnés à 12.200 euros d’amende, de dommages et intérêts et de frais de justice, en raison du contenu de deux éditos parus sur Riposte laïque sous le nom de Cyrano. J’avais revendiqué le premier, et Pascal le second.
Lors de ces deux procès, les témoignages ont été fort révélateurs.
Deux amis de Renaud Camus, l’enseignant Farid Tali et le retraité Marcel Meyer, ont expliqué, chacun, les conséquences douloureuses du Grand Remplacement, tel qu’ils l’ont vécu à un épisode de leur vie. Ces deux récits, très émouvants, ont été qualifiés par l’avocat du MRAP, Maître Mairat, de propos de café du commerce.
Lors de notre procès, quatre témoins, Fathya, née au Maroc, Élisabeth Lalesart, née en Iran, Alain Dubos, pédiatre ayant effectué des missions en Afghanistan pour Médecins sans frontières, et Ghislaine Dumesnil, machiniste à la RATP, ont raconté, chacun selon leur expérience, les conséquences terribles, en France, d’une islamisation due à une immigration de masse. Leurs témoignages, qui arrachèrent quelques larmes à l’assistance, furent qualifiés par les avocats dits antiracistes de « manipulation grossière ».
Privilégiée socialement, cette caste méprise, insulte et traîne devant les tribunaux quiconque a le malheur d’expliquer, concrètement, les conséquences quotidiennes, pour les personnes socialement plus modestes, d’une société multiculturelle qui s’islamise à une vitesse effrayante.
Ce qui m’a marqué, lors de ces deux procès, est la tartufferie des plaignants. La bouche en cul de poule et la main sur le cœur, ils jurent leurs grands dieux que, bien évidemment, ils défendent la liberté d’expression. Mais ils ajoutent aussitôt : dans le respect de la loi.
Lors du premier procès, Maître Scipilliti avait expliqué ce qui se passerait au cas où, hypothèse fort improbable, un débat serait organisé sur l’immigration et l’islam (deux thèmes liés). Ceux qui sont favorables à la thèse de l’immigration – une chance pour la France – et l’islam – religion d’amour et de paix – pourraient tout à fait s’exprimer librement. En revanche, ceux qui pensent le contraire ne pourraient défendre leur point de vue, tombant forcément sous le coup de la loi, et notamment du trop célèbre article 24-8 sur la liberté de la presse : incitation à la haine contre un groupe de personnes en raison de son appartenance religieuse (résumé).
Quand les avocats LDH-MRAP-Sos Racisme-LICRA osent se dire favorables à la liberté d’expression, ils me font penser aux propagandistes musulmans qui vantent les droits de l’homme en islam. Rappelons l’article 22 de la Charte du Caire, votée en 1990 : « Tout homme a le droit d’exposer librement son opinion, à condition qu’elle ne soit pas en contradiction avec les principes de la charia. »
Ce dimanche 9 mars (*), nous organiserons, avec Christine Tasin, en présence, entre autres, de Renaud Camus, une manifestation sur le thème : « Immigration-référendum, non au Grand Remplacement, non à l’islamisation », avec le soutien d’Oskar Freysinger et de 28 partis ou associations. Les ayatollahs de l’antiracisme d’État, gavés de subventions, oseront-ils, suite à cette initiative, nous traîner de nouveau devant les tribunaux pour incitation à la haine, etc. ?
Qui rappellera ce que disait Michel Audiard dans « Les Tontons flingueurs » à propos de « ceux qui osent tout » ?
(*) NDLR : 14 h 00, Place Denfert-Rochereau Paris XIVe
07:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'Affaire !
00:09 Publié dans En dessins | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 06 mars 2014
Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
23:51 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Esteban : depuis 9 mois en prison pour s'être défendu...
14:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ukraine, quel avenir ?
Le billet de Patrick Parment
Vue de Sirius, l’Ukraine est regardée comme une nation qui voudrait pour partie rejoindre l’Europe, pour l’autre s’accorder avec Moscou. La situation sur le terrain est semble-t-il bien différente au regard de ce que certains acteurs nous en disent.
La présidence de Viktor Ianoukovitch a rapidement tourné à l’enfer quand l’homme s’est mis à piller le pays, à rançonner les entreprises et à mettre en prison, quand ils n’était pas purement éliminés, les opposants de plus en plus nombreux à ce régime de moins en moins démocratique et de plus en plus dictatorial. Cela a d’ailleurs pris une telle ampleur que l’on a abouti aux événements que l’on connaît, place Maïdan – qui signifie « indépendance » en ukrainien – où les manifestants ont fini par prendre également les armes contre des troupes non identifiées qui ont tiré sur la foule, la mort de près d’une centaine de personnes et d’un grand nombre de blessés.
Après la fuite de Ianoukovitch, les Ukrainiens ont découvert des documents attestant des exactions du pouvoir et des directeurs de crematoriums ont même avoué avoir été contraints de brûler la nuit les corps de personnes tuées et souvent mutilées.
Contrairement à ce qui a été dit, les Ukrainiens n’en veulent pas aux Russes, mais bien à l’ancien président dont l’avenir semble désormais scellé en Russie. Le forcing effectué par les Occidentaux auprès des révoltés ukrainiens – sous quelques formes que ce soit et on peut faire confiance aux « services » américains – a totalement brouillé les cartes et renforcé les convictions d’un Vladimir Poutine qui est loin d’être dupe.
La mainmise sur la Crimée, fortement russophile, correspond surtout au désir des Russes de protéger la base navale de Sébastopol, un enjeu stratégique pour Moscou. Manière aussi pour Poutine de rappeler que l’Ukraine appartient à sa zone d’influence et qu’il n’entend pas voir un quelconque état-major de l’OTAN s’y installer.
Sur le fond, et d’après nos informations, les Ukrainiens ne réclament pas une adhésion pure et simple à l’Europe, pas plus qu’ils ne veulent subir le joug de Vladimir Poutine dont les méthodes sont aussi pour le moins brutales. Les Ukrainiens, dans leur immense majorité, ne sont ni pro européens ni pro russes, ils veulent un pouvoir qui respecte le droit, ne pille pas le pays et qui conserve une indépendance retrouvée après l’effondrement de l’empire soviétique.
Là où les choses se compliquent, est que Vladimir Poutine entend bien retrouver son l’influence auprès des limes de l’ancien empire soviétique. Et le cas de l’Ukraine est bien particulier dans la mesure où Poutine a bien conscience qu’il ne peut se passer de ce pays en raison de ses atouts industriels et agricoles.
Les Ukrainiens ont montré qu’ils n’étaient pas décidés à laisser filer leur liberté et à devoir obéir à Moscou au doigt et à l’œil, à l’image de la Biélorussie ou du Kazakhstan. Vladimir Poutine va devoir agir avec doigté. C’est dans cet espace que l’Europe pourrait jouer un rôle autre que celui de voter d’inutiles sanctions. Il semblerait que contrairement à Laurent Fabius, ministre touristique, la chancelière allemande, Angela Merkel, ait saisi l’importance des enjeux.
NDLR :
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13:49 Publié dans Editoriaux, Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Buissongate : « Allô, Sarkoland ? Pourquoi tu tousses ? »
La chronique de Philippe Randa
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Sacré Patrick Buisson ! Ancien conseiller de l’Élysée, il aurait enregistré toutes ses rencontres avec Nicolas Sarkozy… et avec beaucoup d’autres. Son avocat, Gilles-William Goldnadel, explique qu’« en tant qu’intervenant essentiel de ces réunions [il] ne pouvait prendre des notes écrites et utilisait ces enregistrements pour préparer la réunion suivante [et que ceux-ci] étaient détruits au fur et à mesure, sauf manifestement quelques-uns qui lui ont été dérobés et dont il est fait présentement un usage extravagant et pervers. »
Diabolisée à outrance depuis des mois par la gauche, l’ex-éminence grise de l’Élysée est désormais détestée par les « ex » du quinquennat passé… Enregistrés à leur insu, tous cherchent à se souvenir à quelles vacheries, à quels commentaires politiquement incorrects ou à quelles blagues vaseuses ils ont eu l’imprudence de se laisser aller… et peut-être encore plus, de quels jugements cruels ils pourraient avoir été eux-mêmes gratifiés… et par qui !
Après la gauche haineuse, la droite terrorisée…
Oui mais… Patrick Buisson est-il seulement ce personnage indélicat – il n’aurait pas prévenu qu’il enregistrait – tenté d’archiver des discussions pour écrire ses futurs mémoires ? Jacques Attali, conseiller de François Mitterrand, au dictaphone près, a eu le même comportement : garder des notes n’est pas nouveau… Nicolas Sarkozy pouvait-il ne pas s’en douter ? Et si oui, n’aurait-il pas laissé faire… pour assurer son propre avenir ? De tels enregistrements peuvent s’avérer fort utiles pour neutraliser l’ambition de proches risquant de contrarier la sienne…
Les premiers enregistrements rendus publics par Le Canard enchaîné et le site Atlantico ne se révèlent guère croustillants, sinon que l’ancien président, outre son cynisme politicien, est aussi élégant dans l’intimité qu’en public lorsqu’il parle des « connards de chiens ».
Le plus grave n’est-il pas que ces enregistrements soient parvenus à certains médias ? Très sûrement par des fuites policières ou judiciaires de pièces sous scellés, suite à des perquisitions chez Patrick Buisson, ainsi que l’a rappelé l’actuel député UMP Henri Guaino.
Nicolas Sarkozy pourrait désormais apparaître comme à la fois victime de l’indélicatesse manifeste d’un ancien conseiller présenté depuis des mois comme un épouvantail politique… et d’un gouvernement aux abois, prêt à toutes les infractions pour l’atteindre.
Quant à cette « ligne Buisson » dite d’extrême droite, quelle influence a-t-elle eu durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy ?
Ayant impressionné le prétendant Sarkozy en lui annonçant à l’avance que les Français voteraient « non » au référendum sur la Constitution européenne en 2005, celui-ci suivit en effet les savants conseils de Patrick Buisson pour sa campagne présidentielle de 2007 : s’emparer du programme du Front national et même promettre davantage aux électeurs. Bonne pioche ! C’est lui – et donc Buisson ! – qui fit réellement reculer pour la première fois le Front national et son leader historique.
Mais ensuite ? Cinq ans durant, jamais le président élu ne suivit ses promesses électorales, bien au contraire… et en 2012, c’est Nathalie Kosciusko-Morizet qu’il choisit comme porte-parole.
À défaut de mentor idéologique, et malgré ses qualités certaines, Patrick Buisson se sera contenté de soigner la paranoïa sondagière de l’ancien président par des prestations de service fort coûteuses… Force est de constater que la « soirée du Fouquet’s » contamina plus sûrement l’ancien maurassien que sa ligne idéologique n’influença en quelques manière que ce soit la nature « bling-bling » du mari de Carla Bruni…
13:40 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
TYPHON DE FEU SUR TOKYO...
« ... Il y avait grand vent cette nuit là - la nuit du 9 mars 1945 - s’entendit dire Michiko à sa grande stupeur.
Abasourdie, elle se rendit compte qu’elle était sur le point d’exprimer à voix haute des choses longtemps enfouies au fond de son cœur. Maintenant qu’elle avait commencé, elle ne pouvait plus s’arrêter. Ce grand étranger aux yeux tristes était tout à coup devenu pour elle une sorte de révélateur. Et justement parce qu’il était américain, elle n’éprouvait plus cette réticence à laisser les émotions monter à la surface qu’ont naturellement les Japonais, habitués à vivre au sein de familles nombreuses avec pour simples séparations des cloisons en papier de riz. Maintenant que son cœur avait déplié ses ailes, Michiko pouvait enfin dire ce qu’elle pensait.
Ma sœur Okichi rentrait chez elle en se dépêchant après sa journée à l’usine. Tout comme mon frère, elle avait foi en la guerre et refusait l’argent de mon père. Après la mort de son mari à Okinawa, elle a continué à faire de longues journées de travail pour soutenir l’effort de guerre. Au cours de cette nuit de mars, les sirènes ont commencé à hurler. Des vents furieux faisaient déferler un feu liquide sur la cité. Okichi était dans le quartier d’Asakusa. Comme tant d’autres, elle courut vers le temple pour aller se réfugier dans les bras de la déesse de la pitié. Et c’est la mort qu’elle rencontra.
12:36 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
08:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 05 mars 2014
Le JT de TV Libertés diffusé mercredi à 19 h 00 :
23:46 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : jeudi 13 mars, Camille Galic et Agatha Christie aux Ronchons
18:46 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3130 du 27 février 2014
PERSONNE n’avait jusqu’à présent osé attaquer l’État pour « crime contre l’humanité » pour ce qui concerne le martyre des Pieds-Noirs et des Harkis. C’est une première sur le plan judiciaire : les époux Asnar, un couple de Pieds-Noirs vivant dans le Béarn après avoir dû quitter l’Algérie en 1962, poursuivent et réclament 9 millions d’euros en réparation du préjudice moral et matériel subi, estimant avoir été dépossédés de leurs biens et contraints à l’exode. « Le transfert forcé de population est un crime contre l’humanité », a plaidé leur avocat, Me Jacques Bernadet, en faisant notamment référence à l’article 7 du Statut de Rome, texte fondateur de la Cour pénale internationale (CPI). « En 1962, la France de Charles de Gaulle ne peut pas ignorer que l’objectif du FLN est d’exterminer la population française.
PLAINTE CONTRE LA FRANCE POUR “CRIME CONTRE L’HUMANITÉ”
Il y a complicité d’épuration ethnique », affirme l’avocat de ces Pieds-Noirs qui « eurent pour tout choix la valise ou le cercueil ». Ils vont saisir la Cour administrative d’appel (CAA) de Bordeaux mais aussi engager d’autres procédures devant les instances internationales, notamment le comité des droits de l’homme de l’ONU. De Gaulle accusé de crime contre l’humanité ! Cela réjouira sans doute nombre de Rivaroliens.
UNE ÉCOSSE BIENTÔT INDÉPENDANTE ?
Le scrutin sur une Ecosse indépendante aura lieu le 18 septembre 2014. Les Ecossais pourront ensuite, si le “oui” l’emporte, déclarer leur indépendance vis-à-vis du Royaume-Uni. Les indépendantistes écossais souhaitent développer leurs relations économiques avec l’Europe nordique, notamment avec la Norvège. José-Manuel Barroso, président de la Commission européenne, qui se mêle de tout et surtout de ce qui ne le regarde pas a dit qu’il sera « extrêmement difficile, voire impossible », pour une Ecosse indépendante, d’adhérer à l’Union européenne (UE), arguant du fait que l’adhésion d’un Etat issu d’un pays membre de l’Union « doit être approuvée par tous les autres membres de l’Union européenne ». Le petit dictateur de Bruxelles a cependant ajouté : « il revient […] au peuple écossais de décider de son avenir ». Incroyable comme il semble démocrate à ses heures perdues. Le chef du gouvernement autonome écossais, Alex Salmond, a répliqué en disant qu’aucun Etat membre de l’Union européenne n’avait annoncé qu’il s’opposerait à une adhésion de l’Ecosse à l’UE. « Aucun Etat membre n’a laissé entendre qu’il tenterait de bloquer une adhésion écossaise » à l’UE, a-t-il déclaré en réponse aux déclarations de Barroso, qui avait sans doute fumé la moquette en quantités déraisonnables…
12:19 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Roms : il faut suspendre les accords de Schengen !
Sur son blog, le 19 février dernier, Paul-Marie Coûteaux, tête de liste FN-RBM pour les municipales dans le VIe arrondissement de Paris et président du parti Souveraineté, indépendance et libertés (SIEL), a publié un texte dénonçant la présence toujours plus importante de Roms dans les rues parisiennes. Et de s’interroger sur les moyens dont dispose le ministre de l’Intérieur pour y mettre fin. Un billet qui n’a pas manqué de déclencher une polémique. Dans un communiqué, l’association SOS Racisme a dénoncé lundi soir « les propos immondes tenus par Paul-Marie Coûteaux » et annoncé qu’elle « déposera plainte dans les prochains jours, au regard de la gravité et de l’abjection de cette “prose” antirépublicaine ». Paul-Marie Coûteaux revient sur cette affaire pour Boulevard Voltaire.
Paul-Marie Coûteaux
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Je suis sidéré par la façon dont on utilise les développements complets et précis que j’ai consacrés dans mon blog à l’installation de familles roms dans les rues et les places de Paris, qui me choque comme elle choque un grand nombre de Parisiens – dans le VIe arrondissement notamment. Étant l’un des très rares députés européens à avoir refusé l’élargissement de l’Europe à la Roumanie et à la Bulgarie, parce que j’en prévoyais les conséquences, dès l’application à ces deux pays des accords de Schengen, je suis décidé à dénoncer publiquement, au cours de ma campagne à Paris, les conséquences inhumaines de ces accords, et à demander leur suspension, au moins pour appliquer la loi élémentaire sur la protection du domaine public.
La première conséquence de Schengen, comme je l’écris dans mon blog, est l’impuissance générale de la prétendue « puissance publique » ; chose grave. Une autre conséquence est le choix impossible entre deux solutions également insupportables : soit laisser des familles entières vivre dans les rues et les places de Paris, exposées aux intempéries, et qu’il est impossible de secourir, soit – comme me le demandent des habitants – recourir à des camps, ce qui, hélas, pour qui connaît la réalité, est déjà le cas en maints endroits.
Quiconque me connaît sait que, catholique attaché aux principes essentiels de notre civilisation, je ne peux que redouter et bannir les solutions extrêmes, et c’est bien pourquoi je crois sincèrement que la seule solution à la fois légale, rationnelle et humaine est de suspendre immédiatement les accords de Schengen.
Par ailleurs, je persiste à penser que cette situation, absurde en elle-même, est de surcroît préjudiciable à l’image de la France et à ce qu’elle se doit à elle-même – serait-ce seulement, en l’occurrence, l’image de Paris. Je conçois que la campagne électorale se prête aux polémiques, y compris les plus artificielles, mais le sujet est trop sérieux pour que j’accepte qu’une élection se transforme en champ de foire, où les commentateurs se croient autorisés à manipuler des développements graves et solennels, quand on n’en vient pas à raconter n’importe quoi.
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Audacieuse quenelle d'un militaire au dîner du Crif
Les réseaux de Dieudonné sont toujours actifs !
On comprend l'assiduité du lobbying d'Alain Soral auprès de ce qu'il appelle les corps constitués… Cela paye, comme le démontre cet acte héroïque commis hier soir par un officier français qui a bien mérité de la patrie !
Puisqu'ils cherchent la petite bête partout...
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mardi, 04 mars 2014
Le JT de TV Libertés de mardi soir...
23:23 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Eurovision : la France plurielle dignement représentée !
C'est donc le groupe Twin Twin, un trio suburbain du 9-3 qui portera les "couleurs" de la France au prochain concours Eurovision de la chanson le 10 mai prochain à Copenhague. Un trio bistre&black plébiscité dimanche dernier, paraît-il par les téléspectateurs de France3 et plus certainement par un jury de professionnels tout acquis au culturellement correct genre united colors of banlieues.
Ainsi "Moustache" - titre-phare désormais de la musique populaire de la France d'après la France de 2014 - va sans doute passer en boucle dans le poste : un bidule à la gloire d'un ornement pileux qui, rassurons-nous, n'a absolument aucune connotation adolfienne et qui représentera dignement notre pays grâce à ses talentueux interprètes Idir, Djemel et Byick sublimés par les contorsions de leurs twinettes en short et baskets, sa rythmique répétitive à finalité addictive et son texte d'une portée inoubliable. La chose ainsi concoctée dans l'effervescence créatrice serait représentative de l'histoire du hip-hop, de la pop, de l'électro et du rock!
Elle est surtout représentative de la volonté de promouvoir tous azimuts la diversité flamboyante des "quartiers" hautement symboliques de l'immense chance qu'à la France de faire prospérer sur son sol ces prolifiques allogènes qui enrichissent tant notre patrimoine culturel. Que l'assemblage de notes ressorte plus du bruit que de la musique et que les phrases mâchouillées soient d'une platitude navrante n'a évidemment aucune importance, comme il importe peu que la sélection "française" se classe bien ou mal, l'essentiel est de donner de la France l'image d'un pays fortement métissé, sans plus d'originalité, culturellement décadent où le peuple est petit à petit remplacé par une population formatée selon les normes du nouvel ordre mondial.
19:46 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
BHL, alpha et oméga de la politique internationale française !
Gabrielle Cluzel
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Qu’on se le dise, BHL est de retour en Ukraine. Dimanche, l’écrivain philosophe, du haut d’une tribune, est venu haranguer les foules sur la place Maïdan. En fond, on entendait quelques maigres applaudissements. Là-bas, on devait se pousser du coude en le montrant du menton : « Ben, c’est qui, ce gars-là ? », comme devant l’interprète pour sourds-muets de l’enterrement de Mandela : « D’où il sort pour parler au nom de tout l’Occident réuni ? » Ah, inutile de nous regarder comme ça ! Nous autres, Français, n’en savons pas plus que vous. Personne ne l’a jamais élu, personne ne l’a jamais nommé, mais il est là, un point c’est tout. Comme l’alpha et l’oméga de la politique internationale française. Les gouvernements passeront, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, mais ses paroles ne passeront point. Car les messies arrivent toujours un peu comme ça, ex nihilo.
Jean-Marc Ayrault parlait d’un gouvernement resserré, cela tombe à pic : supprimons cette petite chose inutile qu’est le ministère des Affaires étrangères puisque nous avons un BHL perpétuel. Exit, aussi, cet autre gadget qu’est le ministère de la Défense, BHL sait faire aussi. Mieux, il adore… le sifflement des balles, l’odeur de la poudre au petit matin. Alors de l’ex-Yougoslavie à la Libye, de la Syrie à l’Ukraine, il n’aime rien tant qu’aller souffler sur les braises, s’indigner, exhorter et les uns et les autres à laver leur honneur au prix de leur vie. C’est beau, c’est un poil ampoulé, c’est du BHL. Dans BHL, il y a le B de Barry Lyndon, dont il cultive le physique de duelliste séducteur, le H de Hugo, dont il a les accents lyriques — Gloire à notre Ukraine éternelle ! Gloire à ceux qui mourront pour elle ! Aux martyrs ! aux vaillants ! aux forts ! — et le L de Lamartine, dont il va finir par partager le « romantisme poitrinaire », à promener imprudemment ses cols échancrés sous des latitudes si froides.
Sauf que le romantisme, en politique, cela vous transporte, mais cela tourne vite à Apocalypse Now. Pour écrire l’histoire de régions aux plaies si mal fermées, il faut au contraire une plume réaliste, prudente, minutieuse, économe de la vie des hommes, avançant à pas comptés et précautionneux comme un rond-de-cuir dans un roman de Flaubert. Une petite bourgeoise appliquée et circonspecte comme Angela Merkel qui tente de recoller, peut-être, les morceaux quand BHL, tutoyant Poutine, le menace de mille sanctions aussi plausibles qu’en son temps l’était l’invention de la « pluie artificielle » mexicaine de Malraux, un autre écrivain qui aimait bien aussi s’essayer avec emphase aux Affaires étrangères.
Certains disent, comme ça, que BHL en Ukraine, c’est d’une certaine façon une chance. Une chance pour nous. Car, pendant ce temps, nous avons la paix… au moins, nous. Comme une jeune fille exaltée qui, rêvant « d’humanitaire », trouve infiniment plus noble de partir aider très loin dans des favelas exotiques plutôt que jouer à la crapette dans la maison de retraite de sa grand-mère solitaire, BHL préfère, merci mon Dieu, voler au secours des terres lointaines que s’intéresser à son propre pays. Ce qui ne l’empêche pas de lui envoyer quelques banderilles quand il vient s’y reposer après un lancement de chantier international – entendez une fois l’impulsion donnée, la pelleteuse acheminée, le boxon installé. Interrogé sur i>Télé par Laurence Ferrari sur l’antisémitisme de Svoboda, BHL rétorque aussi sec qu’on trouve « moins de fasci… », enfin « moins d’extrême droite en Ukraine qu’en France ». Autrement dit, si néonazis il y a en Ukraine, ils ne seraient qu’une poignée, et rien que des nazis modérés ? C’est le propre d’un romantique, non ? Dépeindre dans un rose improbable ceux dont il s’est subitement entiché.
12:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LES IDENTITES PLUTOT QUE LE P.I.B. !
Georges Feltin-Tracol
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Plus de quatre ans après le référendum interdisant les minarets, le peuple suisse fait encore des siennes. Il vient d’adopter de justesse des mesures de préférence nationale et de limitation des flux migratoires. D’abord abasourdie par ce résultat non prévu par les sondages, la grosse presse a violemment critiqué le choix souverain des Helvètes et leur prédit une future régression économique.
Il est intéressant de relever que les arguments de part et d’autre du Léman et du Jura ne correspondent nullement. Journalistes stipendiés et Commission eurocratique de Bruxelles mettent en avant l’économie et la morale tandis que les Suisses rappellent que l’immigration pèse sur la tranquillité publique, entraîne la saturation des infrastructures ferroviaires et routières, oblige la construction de nouveaux bâtiments qui réduit une surface agricole utile peu étendue du fait du relief, favorise la hausse du prix du m2, ce qui contraint de nombreux ménages suisses à venir clandestinement s’installer dans leurs résidences secondaires du pays français de Gex.
Par son vote cinglant du 9 février 2014, le peuple suisse s’attaque au cœur même de la globalisation, à savoir la libre circulation des biens, des capitaux et des individus. À l’idéal d’open society colporté par les oligarchies mondialistes et leurs larbins médiatiques, les citoyens de la Confédération helvétique préfèrent les vertus de la société fermée. Véritable pied-de-nez aux altermondialistes et aux libéraux libertaires progressistes, cette décision devrait aussi faire réfléchir tous les chantres du libéralisme conservateur, du national-libéralisme et du conservatisme libéral sur leur engagement idéologique. Soit ils avalisent les mantra libéraux, acceptent l’ouverture illimitée au monde et condamnent l’initiative helvétique – ils s’affirmeraient dès lors comme la faction droitarde et con-conservatrice du mondialisme -, soit ils approuvent cette votation et doivent par conséquent abandonner leur foi naïve dans le libéralisme pour retrouver un conservatisme anti-libéral de bon aloi.
Ce dilemme ne se limite pas à la seule question immigratoire. Il tend à se généraliser avec des problématiques saillantes autour de la G.P.A. et du mariage inverti, voire avec le travail du dimanche chaudement approuvé par quelques têtes de linottes libérales-conservatrices.
La limitation de l’immigration risque de nuire aux performances économiques de la Suisse. Et alors ? À rebours des incantations maladroites de certains décroissants « de gauche », la remise en cause radicale de la « Mégamachine » ne proviendra pas des catastrophes climatiques ou du dérèglement météorologique, mais d’une véritable prise de conscience identitaire, soucieuse des paysages et d’un enracinement indéniable à travers des communautés charnelles d’appartenance.
Organisme de guerre aux ordres de l’Infâme, l’agence de notation Moody’s menace de retirer son triple A à la Suisse qui a si mal voté. Elle juge en effet que « limiter l’immigration est susceptible d’affecter le potentiel de croissance du pays, sa richesse et sa solidité économique dans son ensemble (Le Figaro, 19 février 2014) ».
Qu’une société fermée fasse perdre plusieurs points de P.I.B. et de croissance n’est pas dramatique si elle parvient à s’auto-suffire et, surtout, à maintenir sa cohésion ethno-civique interne. Contrairement à ce qu’avance Laurence Fontaine qui célèbre le marché dans le quotidien gaucho-libéral Libération, le marché, ce facteur de déstabilisation des cadres traditionnels organiques, n’est pas primordial. Elle a en revanche raison d’asséner que « le marché est la condition sine qua non pour avancer vers l’égalité des droits (entretien avec Laurence Fontaine, « Le marché peut être progressiste, les pauvres doivent en profiter », Libération, 22 – 23 février 2014) ». Le marché n’est donc pas ce « prussianisme renforcé », auteur d’un ordre concret comme le soutient Jacques Georges (« Vive le marché ! », mis en ligne sur Europe Maxima, 17 octobre 2009). Avec la mondialisation, il est devenu ce corrupteur de toute sociabilité tangible désintéressée. Combattre son hégémonisme exige une révolution culturelle intégrale.
Outre la nécessaire relocalisation des activités économiques, la réhabilitation de l’artisanat et de la paysannerie bio, un discours identitaire sérieux se doit de promouvoir le salaire de citoyenneté, la réduction draconienne du temps de travail à trente ou trente-deux heures ainsi que le retour concerté à la terre et la déconcentration démographique assumée des grandes agglomérations. Dans la recherche indispensable de l’auto-suffisance alimentaire, les milliers d’intermittents du spectacle, de journalistes, d’étudiants en psycho, etc., serviraient utilement dans les campagnes bien loin d’une artificialité urbaine grégaire.
La défense des identités signifie enfin le rejet total de la démonie de l’économique. Cela réclame une force d’âme remarquable capable de se déprendre de l’imaginaire de la consommation et du productivisme. Il faut désormais avertir les masses hébétées et droguées de matérialisme douceâtre qu’elles se sauveront que si elles redeviennent des peuples fiers d’eux-mêmes. Comme les Suisses du centre de la Confédération…
NDLR :
Bardèche et l'Europe, le dernier livre de Georges Feltin-Tracol
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01:00 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 03 mars 2014
Le JT de TV Libertés de lundi soir :
20:39 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Carl Lang sera dans le Vaucluse le samedi 15 mars :
14:44 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Voix de la Russie de cette semaine
12:05 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |