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mercredi, 09 avril 2014

BANLIEUE : LA MACHINE SANS COMPTEUR... Des milliards engloutis dans une politique inefficace ?

banlieue_couv.jpgMichel Lhomme

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L'été approche mais l’arrivée constante de clandestins mettra à nouveau, dans quelques mois, la politique d’hébergement d’urgence au pied du mur. En Seine-Saint-Denis, il y avait 7 000 sans-papiers recensés au 31 juillet 2011 et, un an plus tard, 1 000 de plus, soit une progression de 15 %. Par la Libye désormais incontrôlée mais aussi par la Macédoine et la Grèce, on parle d’une arrivée de 300 réfugiés par jour. La France ayant signé tous les accords européens sur la question ne peut les expulser. 

Alors Premier Ministre, Jean-Marc Ayrault avait demandé à Cécile Duflot, à l'époque ministre du logement, de demander aux officines administratives en charge du problème de gérer au mieux et le plus efficacement cet afflux supplémentaire. On réquisitionne donc de nouveaux lieux d’hébergement vite pleins et qui commencent à atteindre leurs limites. Alors on a commencé à placer certains réfugiés en grande banlieue ou à la campagne. 

Mais que se passait-il jusque là ? Principalement un hébergement provisoire : un hôtel à 70 euros la nuit, solution tue par les hôteliers qui y trouvent effectivement leur compte. L’hébergement d’urgence représente 20 à 30 % des chambres louées dans la région Ile-de-France ! Cela coûterait annuellement la coquette somme de 410 millions d’euros. Mais les caisses se vidant, Cécile Duflot, avant sa démission, avait réclamé un plan d’urgence supplémentaire de 50 millions d’euros.

Malika Sorel dans Le puzzle de l’intégration (Editions Mille et une nuits -2007) mettait déjà en garde «sur l’utilisation de la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbain». Mandaté par Nicolas Sarkozy, Arno Klarsfeld avait préconisé d’orienter « les demandeurs d’asile où il y a de la place, dans l’Yonne ou la Creuse par exemple ». Ce déplacement de population immigrée des villes de banlieue à la campagne a bien été entamé sous la mandature Sarkozy lorsqu’il était Président de la République et déjà, auparavant en tant que Ministre de l’Intérieur. L’application forcée du melting-pot américain sur un territoire comme celui de la France se heurtera rapidement, quoiqu'on fasse, à une limite géographique mais aussi à une limite budgétaire par l’asphyxie des finances locales, des mairies et des régions. Depuis trois décennies, les budgets affectés à la “politique de la ville” n’ont jamais connu la crise. Alors que l’armée doit renoncer cette année à 5,5 milliards d’euros de commandes, le budget affecté aux quartiers va augmenter, lui, de plus d’un demi-milliard. Le schéma hugolien appliqué aux banlieues est aussi à discuter. Si, dans ces quartiers, il y a assurément des fins de mois difficiles, c’est aussi dans ces mêmes quartiers que se déroulent les trafics illicites les plus rentables (drogues, métaux), générant une économie souterraine florissante que veulent ignorer les chiffres officiels. D'après les forces de police, circulent dans certaines cités, plus de voitures de luxe que dans les arrondissements parisiens réputés aisés. Depuis que François Mitterrand avait créé le ministère de la Ville, en y nommant notamment Bernard Tapie (1992-1993), des milliards se sont déversés en priorité sur ces quartiers « défavorisés », des stades de foot, des gymnases, des piscines et des médiathèques, équipements coûteux, souvent dégradés, les premiers à brûler à la moindre émeute, avant d’être aussitôt reconstruits. En trente ans, les sommes mobilisées sont pharaoniques : 50 milliards d’euros de 1989 à 2002 selon la Cour des comptes. A cela s’ajoute la loi Borloo (42,6 milliards d’investissement pour la période 2004-2012) et les 150 000 emplois d’avenir de 2013 qui seront essentiellement localisés en banlieue. Une machine sans compteur. 

Pour la Cour des comptes, « ces politiques de la ville terriblement dispendieuses n’atteignent jamais leurs objectifs ». En France comme aux Etats-Unis, la pauvreté n’explique pas tout. Selon le géographe Christophe Guilluy, auteur de l’indispensable Fractures françaises (Editions François Bourin) « 85 % des ménages pauvres n’habitent pas dans les quartiers sensibles » ! En fait, dans ces quartiers se déversent anarchiquement, depuis des années, les flux migratoires continus. Non maîtrisés, ce sont ces flux qui produisent l’insécurité structurelle de la banlieue et la faillite des politiques municipales.

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Le JT de TV Libertés de mardi soir :

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Manuel "El blancos" Valls promu 1er Ministre : la vidéo de bienvenue de Dieudonné !

Depuis vendredi dernier, près de 1,5 millions internautes auraient déjà visionné la dernière vidéo de Dieudonné mise en ligne sur Youtube et consacrée à la nomination de Manuel Valls "El Blancos" - son meilleur attaché de presse dit-il - au poste de Premier ministre. On y appréciera les larges extraits d'une allocution, il est vrai quasi hystérique, de Manuel "Gaz" éructée le 19 mars dernier au Trocadéro et qualifiée par l'humoriste  "d' exercice de soumission totale à ses maîtres du peuple élu"

Le prochain spectacle en tournées dans toute la France s'intitulera "Incitation à la Haine". Une série de représentations recommandées par l'humoriste à "tous les non-juifs de France qui ne sont plus les bienvenus dans ce pays". De quoi paraît-il "monter d'un cran"... et faire s'étrangler de rage le gandin et ses acolytes.

Y. D.

07:16 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 08 avril 2014

Défendre d’abord nos intérêts…

lille roland helie.jpgRoland Hélie

Directeur de

Synthèse nationale

Les événements qui se déroulent depuis quelques mois en Ukraine ont entrainé, surtout sur les réseaux sociaux, un débat animé au sein de notre famille d’idées. Cela est bien naturel et à le mérite de prouver, à ceux qui en doutaient, que les nationalistes français sont attentifs à ce qui se passe dans le reste de l’Europe. Les uns, au nom d’une vision romantique des choses et s’appuyant sur des faits historiques terribles (la grande famine planifiée en Ukraine par Staline au début des années 30 qui fit plus de six millions de victimes réelles), soutiennent l’insurrection ukrainienne, tandis que les autres, par réalisme géopolitique et sans doute par admiration pour le style « direct » du Président Poutine, épousent la cause de la Russie.

Tout cela nous amène à quelques observations.

D’abord, force est d’admettre que les deux points de vue sont compréhensibles et il est dommage que certains en arrivent à s’insulter pour défendre celui qu’ils ont choisi.

Les nationalistes ukrainiens, et le peuple ukrainien dans son ensemble, ont souffert, c’est indéniable, du joug soviétique pendant plus de 70 ans. Cela à tel point qu’une partie n’a pas hésité dans un premier temps à se ranger aux côtés des forces de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais, depuis l’indépendance de l’Ukraine, au début des années 1990, la Russie a toujours eu une position ambiguë par rapport à Kiev dont elle dépend en bonne partie économiquement. Les raisons du soulèvement sont d’ailleurs, dans un premier temps, plus à mettre sur le compte d’un refus des pouvoirs ukrainiens corrompus et incapables qui se sont succédés depuis l’indépendance, et sur celui de la misère sociale qui gangrène ce pays, que sur celui de la rancune envers les Russes. Même si celle-ci demeure vivace.

En tant que Français attachés à notre pays et en tant qu’Européens fiers de notre civilisation, nous pouvons comprendre les motivations des insurgés du Maïdan. Le problème c’est que ces motivations ne sont pas forcément les mêmes que celles de ceux qui ont tout intérêt à ce que l’Ukraine se détache de l’influence russe et qui œuvrent en sourdine depuis longtemps dans ce sens.

La sincérité ne doit pas engendrer la naïveté

J’ai pu le constater par moi-même, les nationalistes ukrainiens font parfois preuve d’une certaine candeur. J’ai eu l’occasion il y a quelques mois, avec notre ami Robert Spieler, par l’intermédiaire de Thibaut de Chassay, le dynamique président du Renouveau français qui entretient des liens politiques avec différents mouvements patriotiques de l’Est européen, de rencontrer des responsables de Svoboda, le principal parti nationaliste ukrainien, venus à Paris pour présenter leur mouvement et leurs revendications. Sans douter un instant de la sincérité de ces nationalistes, au demeurant fort sympathiques, j’ai été frappé par leur fascination, frisant la naïveté, pour l’Union européenne. Leur vision du monstre bruxellois était totalement tronquée. Ils plaçaient toutes leurs espérances dans leur visite au Parlement européen prévue pour le lendemain à Bruxelles. Curieuse approche des choses… Je dois avouer que Robert et moi sommes restés sceptiques suite à cette rencontre. Néanmoins, comme quoi en politique il ne faut jamais écarter « l’imprévu », quelle ne fut pas ma surprise de voir que deux de nos interlocuteurs d’alors sont aujourd’hui membres du nouveau gouvernement. Cela dit, il ne faut pas se leurrer. L’Europe, une fois qu’elle se sera bien servie des patriotes ukrainiens contre la Russie, se débarrassera d’eux vite fait car leur idéologie est malgré tout diamétralement opposée à ses projets mondialistes

Parlons maintenant de la position de la Russie de Vladimir Poutine. Celle-ci qui estime, à juste titre, que l’Ukraine est « son berceau » ne peut en aucun cas laisser se développer, à ses frontières, des Etats qui lui seraient foncièrement hostiles. Ce d’autant plus que cela risquerait de faire « tache d’huile ».

Nous considérons pour notre part que la Russie est actuellement, malgré tous ses défauts, l’un des meilleurs remparts face aux intentions belliqueuses et aux menées hégémoniques de l’Empire de la Haute finance apatride. Qu’on le veuille ou non, la Russie d’aujourd’hui n’est pas l’URSS d’hier. Nous ne tomberons donc pas, bien évidemment, dans le piège tendu par les lobbys droits-de-l’hommistes stipendiés par les Fondations mondialistes qui voudraient faire passer Poutine pour un nouveau Staline. Les maîtres du Nouvel Ordre mondial croyaient en avoir fini, au lendemain de la chute du Mur de Berlin, avec l’Union soviétique. Ils pensaient que la Russie allait devenir une puissance déliquescente dirigée par des mafieux ou des ivrognes type Boris Eltsine. Ils se sont lourdement trompés car ils n’avaient pas imaginés l’émergence d’un Poutine capable, en quinze ans, de redonner à son pays sa fierté, comme on a pu le constater à l’occasion des magnifiques Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, et de lui offrir à nouveau une place essentielle dans le monde. Ce renouveau de la Russie peut, légitimement, susciter une grande sympathie auprès des patriotes français écœurés de voir leur pays « dirigé » par une bande de baudruches incapables.

Ne pas se tromper de combat

Nous le voyons, chacun peut trouver de nombreuses bonnes raisons de soutenir un camp ou un autre. Mais, est-ce bien à nous, nationalistes français et identitaires européens, de nous immiscer dans ce conflit qui, quoiqu’en disent tous les va-t’en-guerre de la terre style BHL, ne nous concerne pas vraiment ?

Notre rôle ne serait-il pas, plutôt, de chercher à apaiser ces antagonismes qui ne peuvent que servir les projets fumeux de ceux qui veulent justement anéantir les nations ?

Louis XIV, pour expliquer sa politique étrangère, disait que « la France n’a pas d’amis ni d’ennemis, elle n’a que des intérêts ». C’est ainsi que les nationalistes français, qui sont sensés mettre l’intérêt national au-dessus de tout, devraient voir les choses aujourd’hui. Plutôt que s’entredéchirer à propos de ce conflit qui, finalement, concerne avant tout les Ukrainiens et les Russes, ne serait-il pas plus judicieux de s’interroger sur ce qui sert le plus notre pays ?

La menace que fait peser sur nos identités et nos libertés le mondialisme destructeur devrait suffire à elle-seule pour nous guider. La réalité, en France comme dans la plupart des pays, c’est que ce sont justement des gouvernements inféodés à la politique mondialiste imposée par les financiers de Wall Street, et leur bras armé qu’est l’OTAN, qui sont aux affaires. Alors, ne nous trompons pas de combat. Au lieu de s’entredéchirer sur la question ukrainienne, les nationalistes français doivent se mobiliser totalement contre le Système qui, ici comme ailleurs, veut détruire notre nation et notre civilisation.

Or, face à ce Système, force est de reconnaître que la Russie, dans l’état actuel des choses, est un allié nécessaire.

Editorial du n°35 de la revue Synthèse nationale

Synthèse nationale n°35 :

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Carl Lang revient sur les municipales :

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Le Journal du Chaos de cette semaine :

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Le JT de TV Libertés de lundi soir :

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lundi, 07 avril 2014

Bilan des municipales...

index.jpgPierre Vial

Un taux d’abstention encore jamais vu, les bons résultats du FN, le désaveu cinglant infligé au PS, y compris de la part d’électeurs votant habituellement à gauche : les municipales ont marqué un rejet clair et net du Système en place par une partie importante de la population. C’est pour nous, évidemment, une source de satisfaction.

Face à cette Bérézina, Hollande s’est raccroché à la branche Valls, sur le thème du changement. Mais la presse n’est pas dupe du jeu des chaises musicales (on prend les mêmes et on recommence, en changeant leur dossard… vieille pratique de la IIIe et IVe Républiques). « Ayrault bis » titre Libération , « Hollande…ne change rien » (Le Figaro), « Changement a minima » ( La Croix), « Recyclage » ( Metronews ), « La nouveauté ne crève pas l’écran » (Ouest-France ), « Comme un air de déjà vu » (Midi-Libre ), « Banale reconduction » (La Montagne ), « Tout ça… pour ça » (L’Est Républicain ). Bref, un flop.

En installant Valls, Hollande joue gros car il se met à dos la gauche du PS, l’extrême gauche, les écolos… pour ne parler que des gens censés être dans son camp. Pour les autres, les gogos de droite qui ont voulu croire au numéro de Valls jouant les « Monsieur Sécurité »,  beaucoup ont fini par ouvrir les yeux devant le bilan calamiteux de l’ex-ministre de l’Intérieur : les chiffres donnés par l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales  (ONDRP) montrent une augmentation des vols, des cambriolages, des effractions et des actes de violence ces deux dernières années.

Valls, plus encore qu’on Hollande social-démocrate rallié au capitalisme, est un socialo-libéral, c'est-à-dire quelqu’un qui se moque en fait du socialisme et joue la carte libérale car il l’estime la meilleure pour son plan de carrière (inspiré en cela par son épouse juive).

Pourquoi, réellement, Hollande a-t-il choisi Valls ? Hollande voudrait bien être un aussi fidèle disciple de Machiavel que Mitterrand. Donc, sachant que Valls le menace directement pour la prochaine présidentielle,  il veut lui savonner la planche. Par exemple en lui lançant dans les pattes la Taubira : cette hystérique va forcément provoquer nombre de nuits blanches à Valls (lequel, ne nous y trompons pas,  est aussi haineux que la mégère à l’égard de tout ce qui est identitaire, enraciné, gaulois).

Compte tenu du poids des réalités (augmentation du chômage, de l’immigration, de l’insécurité) le tandem Hollande-Valls va droit dans le mur. Les mois qui viennent vont être intéressants.

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Anelka surenchérit : même pas peur !

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La chronique de Philippe Randa

Boulevard Voltaire

Le footballeur Nicolas Anelka vient de shooter fort avec ses explications au quotidien Metronews sur sa désormais célèbre « quenelle », faite en témoignage d’amitié pour son ami Dieudonné… C’était en décembre dernier, après un doublé sur le terrain de West Ham, au vu et au su de tous. Suspendu pour 5 matchs, condamné à 80.000 livres d’amende, finalement renvoyé de son club de West Bromwich Albion, beaucoup le croyaient mort professionnellement… et repentant… T’as qu’à croire !

Non seulement il intéresserait le club brésilien Atlético Mineiro pour la Copa Libertadores (équivalent de la Ligue des champions en Amérique du Sud), mais loin de battre sa coulpe, il persiste, signe et surenchérit dans son soutien à Dieudonné : « C’était un ami, c’est devenu un frère aujourd’hui ! C’est un humoriste, pas un politicien. Il demeure pour moi le meilleur de France. Ils sont nombreux à le penser, mais de peur de perdre le boulot ou autre, ils n’osent pas le dire… », ridiculisant ouvertement au passage le matamore Manuel Valls : « Il n’est pas très méchant ! Je pense plutôt qu’il a été sous l’influence de sa femme sur cette affaire de quenelle. J’espère qu’il mettra autant d’énergie à redresser le pays qu’il en a mis à combattre Dieudonné. »

S’il garde de l’incompréhension pour son club anglais « de [son] côté depuis le début de cette affaire, [et qui] fait [ensuite] marche arrière et entame une enquête à son tour », il n’a que mépris pour Valérie Fourneyron, ministre des Sports, qui avait déclaré que son geste était « une provocation écœurante » qui l’avait « insupportée » : « Je ne connaissais pas cette dame, qui n’est d’ailleurs plus ministre. Ce sont toujours les plus incompétents qui ouvrent leur bouche ! Mais pour en revenir à elle, si moi je l’ai insupportée avec ma magnifique quenelle, de voir une ministre des Sports ne pas savoir que la Coupe du monde a lieu en 2014 et non en 2016 et de confondre Cristiano Ronaldo avec Ronaldo El Fenomeno devant l’intéressé, ça, c’est vraiment insupportable… au moins, le président de la République l’aura bien compris ! »

Quant aux accusations à son encontre : « C’est bien beau de dire que je suis antisémite et raciste […] À un moment, il faut arrêter d’être parano et de croire qu’on est tous en guerre ! Les personnes qui ont fait ces gros titres ne connaissent pas ma vie […] Qui décide que la quenelle est antisémite et raciste, à part l’inventeur de ce geste ? Ce n’est pas à la LICRA de décider, mais à celui qui l’a inventée ! […] Si ça continue, les gens qui décident que la quenelle est raciste vont bientôt nous interdire de manger de l’ananas (allusion à Shoananas, chanson satirique de Dieudonné). »

Et si c’était ça, le changement annoncé ? Pas celui prévu par François Hollande, mais un changement plus important encore : « s’ils » ne faisaient plus peur ? Si les rappels à l’ordre de la « médiacratie », les injonctions ou les indignations de nos ligues de vertu que sont LICRA et CRIF n’avaient désormais pas plus d’importance qu’un… coup de pied dans un ballon de football ?

11:39 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 06 avril 2014

20 ans après sa mort : Léon Degrelle toujours tabou en Belgique

Pour en savoir plus, achetez le premier numéro des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Léon Degrelle...

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Le nouveau numéro de l'excellente revue Livr'arbitres

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80 ou 90 km/h sur la route ?

index.jpgValls a décidé que 80 km/h était le bon choix pour remplir les caisses de l’État.

Les radars en tout genre qui pullulent sur nos routes sont de vrais pompes à fric.

Pour lutter contre ce racket légalisé des manifestations sont organisées dans toute la France samedi 12 avril 2014.

Les lieux des rassemblements seront publiés dans la semaine.

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Samedi et dimanche, dans plusieurs villes de France, les manifs Jours de colère se succèdent les unes aux autres...

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Ici, le Parti de la France à Dijon.

 

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Lyon

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Bordeaux

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samedi, 05 avril 2014

Pascal Lamy et l'Allemagne : des modèles ? On commence à avoir faim en France

Lamy.jpgMichel Lhomme

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Il aurait pu être le ministre de l'économie de Manuel Valls. Il sera sans doute nommé un jour s'il faut, dans l'urgence, rassurer les marchés. Pascal Lamy, ancien directeur général de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et proche du président François Hollande, vient de plaider pour plus de « flexibilité » sur le marché du travail, avec notamment des « petits boulots » payés en dessous du Smic. 

Pascal Lamy n'est pas un hurluberlu. Il se place dans la droite ligne de l'Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013 signé par la CFDT, le patronat et le gouvernement. Il confirme à voix basse les propos de Goldman Sachs en janvier 2014 déclarant qu'il faudrait baisser les salaires français de 30%. Pascal Lamy a estimé ce mercredi qu’il fallait « accepter de franchir les espaces symboliques » pour réduire le chômage. C'est la ligne en sourdine du gouvernement.

Pour sortir de la crise, c'est la conviction intime de Pascal Lamy qui s'empresse d'ajouter : « Je sais que je ne suis pas en harmonie avec une bonne partie de mes camarades socialistes, mais je pense qu’il faut, à ce niveau de chômage, aller davantage vers de la flexibilité et vers des boulots qui ne sont pas forcément payés au Smic » (Questions d’info : LCP/France Info/le Monde/AFP). Le journaliste alors stupéfait lui demande : « C’est-à-dire moins que le Smic ? Oui absolument », répond Lamy, « un petit boulot, c’est mieux que pas de boulot. Je ne réponds pas ça dans l’absolu, je n’aurais pas dit, ça, il y a dix ans ou il y a vingt ans, mais à ce niveau de chômage…» En fait, à ce niveau d'endettement, pour l’ancien commissaire européen socialiste, « il faut accepter de temps en temps de franchir les espaces symboliques de ce type pour rentrer dans la réalité et la transformer ».
 
Le but de l'Accord National Interprofessionnel de 2013 visait en fait cet objectif : faire baisser les salaires au plus vite, supprimer les CDI, installer la flexibilité. Piégé par ses engagements du Pacte Budgétaire européen ( la fameuse règle d'or !), le gouvernement se doit d'accélérer au plus vite sa logique de réduction des dépenses publiques et sociales. Même s'il avait obtenu des délais (2015) pour réduire le déficit à 3 %, on en est aujourd'hui loin, très loin. N'ayant aucune possibilité de dire non à Bruxelles, François Hollande et son Premier ministre doivent se plier au plus vite. Faire baisser les salaires, dégraisser les fonctionnaires, taxer les retraites, licencier plus facilement, réduire les coûts du travail, baisser les indemnités versées aux allocataires de l'assurance-chômage, c'est le ''programme de combat'' caché. D'ailleurs, il faudra ensuite rapidement libéraliser les services et supprimer des fonctionnaires (une vraie bombe à retardement puisque nos emplois sont à 70% des emplois de service).
 
En fait, François Hollande avec Manuel Valls est à un carrefour. On les teste avant les Européennes dans les instances économiques internationales et on trépigne du pied contre la France. Il faut que la France accepte le jeu des réformes sinon cette histoire des socialistes finira comme Berlusconi. On précipitera la sortie par la dissolution pour placer François Copé ou Alain Juppé, comme fidèles hommes-liges de la règle d'or.

Les modèles de Pascal Lamy, ce sont en fait les travailleurs détachés, les emplois low-cost, payés selon les salaires en vigueur dans leur pays d'origine, prolétaires déclassés autorisés par Bruxelles et le système du prêt de main d'œuvre. Leur nombre a augmenté de 17 % en 2012 et ils seraient déjà près de 300 000 en France. On les retrouve surtout dans le bâtiment, l'agro-alimentaire et le transport. En France, l'affaire avait été révélée l'année dernière par des soudeurs portugais payés 491 euros par mois pour 40 h de travail par semaine. 

L'Allemagne avait ouvert la voie aux travailleurs détachés avec les lois Hartz et ses chômeurs à un euro de l'heure entre 2000 et 2009. La France a, sur ce point, dix ans de retard ! Le miracle allemand n'a en effet été obtenu qu'en faisant baisser drastiquement les salaires de 18 %. Or, avec 491 euros par mois, on ne vit plus, on quémande la soupe populaire, on survit. La semaine dernière, dans plusieurs champs de province, des paysans ont retrouvé des vaches découpées sur place dont il ne restait que les os. C'est bien la preuve manifeste qu'on commence à avoir faim en France.

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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

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vendredi, 04 avril 2014

Manifestations : le pavé parisien frise la surchauffe

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Source Le Figaro.fr cliquez ici

«Casse-toi, Taubira!» Huant et entravant le passage de véhicules officiels qui quittaient la Chancellerie, plus d'une centaine de manifestants se sont regroupés mercredi à l'appel de la Manif pour Tous pour fustiger la reconduction à son poste de la garde des Sceaux. La place est restée bloquée à la circulation plus d'une heure et la tension s'est tendue vers 20 heures lorsque CRS et gendarmes mobiles ont délogé les manifestants, dont Christine Boutin. Cinq interpellations ont ponctué cette opération coup-de-poing «non déclarée» en préfecture de police.

Quelques heures plus tôt, à proximité du Châtelet, cette fois, des dizaines de hooligans parisiens déclenchaient une violente bagarre avec des supporteurs anglais de Chelsea venus soutenir leur club en Ligue des champions. Semaine quasi «ordinaire» pour les experts de la Direction de l'ordre public et de la circulation, qui ont dû gérer depuis lundi deux mouvements sociaux de La Poste dans le VIIIe arrondissement, un rassemblement de Brésiliens aux abords de leur ambassade en souvenir du coup d'État de 1964, une sortie inopinée des «intermittents du spectacle, chômeurs et précaires», qui avaient déjà occupé le Carreau du Temple, ou encore une manifestation de soutien aux réanimateurs dans le VIIe arrondissement.

Grogne anti-Hollande

Agriculteurs ulcérés par la réforme de la PAC et la fiscalité, salariés de PSA menant des opérations coup-de-poing au siège de Peugeot ou à Pôle emploi, métallos de Florange qui veulent s'enchaîner aux grilles de Matignon, le pavé parisien est au bord de la surchauffe. La pression est d'autant plus forte que la grogne anti-Hollande électrise des collectifs plus ou moins contrôlables et sans meneurs identifiés. Les «bonnets rouges» hostiles à l'écotaxe disputent les meilleures artères parisiennes aux «gilets jaunes» vilipendant les rythmes scolaires, aux «pigeons» et autres «citrons pressés» vent debout contre les impôts. Selon un bilan porté à la connaissance du Figaro, le nombre de personnes défilant dans les rues de Paris a bondi de 9,5 millions à 11 millions entre 2012 et 2013. Soit une augmentation de 14 % en un an… et de 77,4 % par rapport à 1999 (6,2 millions de manifestants). Dans le lot, la Préfecture de police observe que le nombre des «grosses manifestations», dépassant les 5.000 participants, a quasiment doublé, pour atteindre les 25 en 2013. «Les rangs des cortèges abritant au moins 3.000 personnes ont, eux, quasiment triplé de volume, passant de 512.000 à 1,46 million de personnes», confie un haut responsable de la Préfecture de police, qui impute partiellement cette flambée aux manifestations liées à la loi sur le mariage pour tous, promulguée le 17 mai dernier. «Les anti-mariage gay n'ont pas la culture de la manifestation», déplore le directeur de cabinet Laurent Nunez, qui rappelle que le nombre des manifestations revendicatives est passé de 3.382 à 4.411 l'année dernière. Soit en moyenne un défilé ou rassemblement statique toutes les deux heures! Dans certains cas, le lait déborde de la casserole, comme ce «jour de colère» du 26 janvier dernier où les identitaires, nationalistes, membres de Civitas et soutiens de l'ex-humoriste Dieudonné s'étaient heurtés aux forces de l'ordre aux cris de «Hollande, démission» et «CRS, police des Juifs». Bilan: 250 interpellations et 30 policiers blessés.

Poignée de nostalgiques

Plus préoccupant encore, le nombre des manifestations «non déclarées» ne cesse de croître pour franchir la barre de 730 en 2013. «Nos techniciens du maintien de l'ordre, qui ont fait face à des mouvements de foule sans incident majeur, sont confrontés à un phénomène nouveau qui veut que de plus en plus de groupes s'affranchissent sciemment de respecter les règles du jeu avant de descendre dans la rue», déplore-t-on à la Préfecture de police, où l'on cite, pêle-mêle, les «actions inopinées des Veilleurs, du Printemps français, de Greenpeace, les Femen, les Anonymous, anarchistes, les autonomes ou encore la droite ultra». Une poignée de nostalgiques ont ainsi été délogés de la place de la Concorde lors d'une dépose de gerbe commémorant le 6 février 1934. Certains ministres ont été chahutés, comme Christiane Taubira - encore elle - devant le Théâtre du Rond-Point début décembre ou Manuel Valls le 25 février à la sortie du Gaumont Opéra.

Imprédictibles, ces coups d'éclat contraignent les services de renseignement à déminer le danger en multipliant les cyber-patrouilles. Des groupes d'enquête spécialisés explorent blogs, pages Facebook ou messages sur Twitter. «Prévoir nous oblige à des investigations plus poussées, concède un officier. Par mots-clés, nous tentons de cibler des profils à risque et des mots d'ordre, mais cela reste aléatoire.»«Pour corser l'affaire, chaque tension sur la scène internationale se traduit par des actions dans Paris», note-t-on au cabinet du préfet. Pro ou anti-Morsi qui fondent sur le centre culturel égyptien, opposants de la République démocratique du Congo, «euromaïdan» solidaires avec les insurgés ukrainiens investissant Beaubourg et les Invalides ou frères musulmans devant l'ambassade du Qatar: selon nos informations, les contentieux diplomatiques représentent 26 % des manifestations. Un vrai casse-tête pour les 1.500 experts de l'ordre public de la Préfecture de police, qui doivent composer avec une réalité de plus en plus complexe, imprévisible. Et à moyens constants. Napoléon Bonaparte se plaisait à répéter: «Je suis plus inquiet d'un rhume à Paris que d'une épidémie en province.» Jamais ce mot n'a été autant d'actualité.

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RAPPEL Jours de Colère : les 5&6 avril 2014 dans sept villes de France !

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LA FRANCE EN AFRIQUE - Trois opérations militaires, trois échecs politiques

afrique_réelle.jpgBernard Lugan (*)

En Libye, l’incompréhensible « croisade pour la démocratie » lancée par BHL et Nicolas Sarkozy a provoqué le chaos. Le pays est aujourd’hui dans une situation de guerres régionales, tribales, claniques, religieuses et mafieuses. Un espace inespéré s’est ainsi ouvert pour  Aqmi et toutes les forces terroristes qui prospèrent désormais au milieu de l’anarchie ambiante avec des répercussions dans toute la zone sahélo-saharienne comme nous l’avons observé au Mali.

Si le cataclysme régional ne s’est pas encore produit c'est parce que le Tchad du président Déby constitue un maillon de résistance. Pour combien de temps encore ? Là est toute la question car la situation du pays est plus que complexe : - Au Sud, les évènements de Centrafrique vont immanquablement connaître une contagion dans les régions limitrophes frontalières.- A l’Est, la question du Darfour est toujours brûlante.- A l’Ouest, le Niger apparaît bien fragile.- Au Sud-Ouest, le jihad de Boko Haram s’étend chaque jour un peu plus.- Au Nord, la tâche grise du Sahara libyen s’enfonce à l'intérieur du Tchad par le biais de la question toubou.

Au Mali, après avoir bloqué les colonnes d’Ansar Eddine qui fonçaient sur Bamako, Paris n’a pas voulu conditionner la reconquête de Gao et de Tombouctou à l’acceptation par les autorités maliennes de l’impératif d’un changement constitutionnel qui aurait une fois pour toutes réglé le problème nord-sud. Tous les ingrédients d’un futur conflit demeurent donc.

En Centrafrique, au mois de mars 2013, François Hollande a ordonné à l’armée française présente à Bangui de laisser les pillards du Seléka prendre la ville alors que, depuis plusieurs mois, il aurait été facile de les « traiter » par une opération limitée et ciblée. Résultat : les chrétiens - 95% de la population de souche -, furent persécutés. Début 2014, face au désastre humanitaire, le président français décida finalement d’intervenir, mais en ne donnant à nos forces ni les moyens nécessaires, ni une mission claire et en prenant bien soin de ne désigner ni l’ « ami », ni l’ « ennemi ». Résultat : les bandes  du Séléka se sont repliées vers le Nord avec armes et bagages et adossées au Soudan, elles ont fait du triangle de Birao une zone de déstabilisation de toute la sous-région.

(*) Directeur de L'Afrique réelle. Au sommaire du numéro 52 : Le Nigeria, pays « émergent » ou pays en cours de désintégration ? La Tripolitaine et la Cyrénaïque peuvent être indépendantes, Sahel : le grand retour du Maroc, Génocide du Rwanda : où en est l’historiographie ? et le dossier consacré à Libye, Mali, Centrafrique : trois échecs politiques.

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Saine réaction : une candidate pro-Islam exclue de la nouvelle majorité (Gourhel - Morbihan)

meyriem-ben-salah-presente-la-liste-unis-pour-gourhel.jpgSource Breizh Atao cliquez ici

Le bon sens populaire s’est manifesté dans la commune de Gourhel (Morbihan). S’y présentait une liste menée par une pro-islam d’origine européenne, Myriem Ben Salah.

Bien que figurant en première position, elle a été la seule à ne pas avoir été élue par la population. Une saine réaction qui a suscité les foudres d’Emmanuel Verdeaux, un journaleux (donc de gauche) travaillant pour “Les Infos du pays de Ploermël” (Ouest-France), une obscure feuille de choux locale.

Verdeaux, offusqué de ce que la population s’écarte de la ligne cosmopolite officielle du régime français, a dénoncé un “vote raciste” de la part de la part des électeurs. Naturellement, l’inculture étant le propre des plumitifs de la presse régionale, l’intéressé semble n’avoir pas même distingué la différence entre appartenance religieuse et raciale. La dite convertie étant blonde aux yeux bleus.

Cet exemple éclairant démontre que le système ne représente pas l’opinion populaire qui, heureusement, reste sourde aux appels à la trahison et aux menaces à peine voilées des chiens de garde de la presse institutionnelle. Il démontre aussi que le rôle de la presse du régime, subventionnée par l’Etat Français, est d’encadrer idéologiquement la population bretonne afin qu’elle s’abdique elle-même et de lui mener une guerre psychologique de tous les instants en cas de déviationisme.

Emmanuel Verdeaux est bien un de ces innombrables CRS de la pensée, un soldat des troupes d’occupation mentale que sont les mediats institutionnels français.

Bravo donc aux habitants de Gourhel pour leur bel esprit de résistance.

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jeudi, 03 avril 2014

UN REMANIEMENT AU FORCEPS Manuel Valls, héros d’un jour ?

manolo-valls.jpgMichel Lhomme

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La déroute de la gauche s’est transformée en débâcle. Fait sans précédent dans l’histoire de la Ve République, la gauche a perdu 151 villes de plus de 10 000 habitants et parmi celles-ci des bastions jugés jusque-là imprenables comme Limoges (à gauche depuis 1912), Nevers (socialiste depuis 1971), Belfort (à gauche depuis 1977) et Pau (détenu par le PS depuis 1971 et que gagne le caméléon François Bayrou).

La gauche perd pas moins de dix villes de plus de cent mille habitants : Toulouse, Saint-Etienne, Angers, Reims, Caen, Tours, Limoges, Argenteuil, Amiens. En Outre-mer, elle se donne même le luxe de perdre Saint-Paul à La Réunion.
 
Si les socialistes conservent finalement Paris, Lyon, Lille et Strasbourg, les présidences des communautés urbaines de ces quatre métropoles sont fortement menacées. Pour François Hollande et toute la majorité présidentielle, cela a donc été une claque, une vraie dérouillée.
 
Alors, fallait-il dissoudre ou remanier ? On attendra les Européennes et on menacera de dissoudre afin de garder la mainmise sur le groupe PS et les élus verts. En attendant, on monte un « gouvernement de combat » et l’on file à Bruxelles demander des délais supplémentaires pour réduire la dette.

Nommer Manuel Valls premier ministre n'est-il pas dangereux ? François Hollande, désavoué par les électeurs, a été obligé de changer de fusible en nommant l'irascible et ambitieux Manuel Valls. C’est un choix risqué parce que Manuel Valls est une personnalité conflictuelle qui cristallisera les oppositions beaucoup plus rapidement que l’incolore maire de Nantes. 

Manuel Valls serait apprécié de la droite. Oui, sans doute, de la droite provinciale des retraités mais surtout pas de la jeune droite qui se souvient des violences policières lors des manifestations contre la loi Taubira. 

Enfin dans les banlieues et les quartiers sensibles, Manuel Valls incarne l’image du ministre de l’intérieur, responsable des forces policières. Il est en somme le ''céfran'', l'ennemi absolu qui a persécuté Dieudonné en demandant au Conseil d’Etat d’interdire de manière préventive ses spectacles, violant l’une libertés fondamentales.
 
Le républicain Valls est en réalité un tueur politique. D'origine catalane, il apprécie la corrida. Cela lui donne un sacré atout au sens qu'il sait, lui, affronter le taureau. Il saura donc répondre et donner des coups. Reste à savoir à qui et contre qui ? Valls, héros d’un jour ou sauveur de François Hollande.

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"Conflits", la nouvelle revue géopolitique dirigée par Pascal Gauchon est sortie...

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Le gouvernement Valls : un gouvernement de combat qui sera combattu !

3336460040.jpgYves Darchicourt

On prend (presque) les mêmes et on continue ! Il n'y a que les rats écolos à avoir quitté le navire voué à la perdition. Sinon rien de nouveau sous le soleil gouvernemental après le jeu des chaises musicales qui a envoyé les incompétents ou les insignifiants d'un ministère à l'autre dans une unique perspective de dosage entre les divers "courants" du PS. Ainsi Manuel Valls est censé faire mieux dans le rôle de "Monsieur le Premier" qu'au ministère de l'Intérieur où il a piteusement échoué et où il sera remplacé par Bernard Cazeneuve qui lui-même n'a guère brillé aux affaires européennes puis au budget; ou encore Michel Sapin qui n'a pas pu empêcher le chômage de croître et embellir et qui est paraît-il subitement devenu le recours indispensable aux Finances. Quant à l'arrivée imposée de l'ex rombière de François le Normal...

Bref, un gouvernement à l'image des participants à un congrès du PS, un conglomérat de chapelles, un essaim d'ambitieux, de faux potes et vrais rivaux dans la course aux privilèges des sinécures. Sourires de façade et coups de pied de l'âne. Véritable marmelade où le gaulois de base ne se retrouve pas et qui n'est pas fait pour redorer le blason des politicards désormais systématiquement boudés par plus du tiers des citoyens en l'attente des "jours de colère". Vincent Peillon s'est fait virer pour complaire aux syndicats enseignants, tant mieux pour nos enfants même s'il est peu probable que le Hamon renonce à les faire pervertir par les anormaux de la "théorie du genre". Fabius, toujours aussi responsable pas coupable, garde son ministère, ce qui ne peut qu'être apprécié à Tel-Aviv, chez Obama, parmi les eurocrates, les galonnés de l'Otan et les rois nègres. Quant à l'ignoble Taubira, elle reste en place: on ne sait pas trop pourquoi puisque Manuel Gaz ne peut pas la pifer et que c'est réciproque...ambiance! il s'agissait sans doute de contrebalancer la fausse réputation "droitière" du gandin dans la population allogène du pays en continuant à discriminer positivement l'afro-française et de calmer l'aile gauche du PS et son militant Syndicat de la Magistrature qui pourra continuer impunément à "dire le droit" à l'encontre exclusivement des blancs, des européens, des souchiens, des patriotes, des nationaux, des solidaristes, des identitaires, de ceux qui possèdent un peu parce qu'ils ont travaillé et cotisé, de ceux qui se défendent contre la racaille ou simplement qui ne veulent pas baisser les yeux devant l'envahisseur allogène, de ceux qui pensent que la famille naturelle est une des bases essentielles de notre civilisation. Quant aux autres... toujours la même caste d'interchangeables : excellents en tous domaines? non inconsistants et profiteurs partout !

Un gouvernement "de combat" qui s'acharnera contre la France gauloise et l'Europe européenne. Un gouvernement, toujours aussi "ripoublicain", qui sous l'impulsion de son "Monsieur le Premier" sera celui de la dictature rampante, de la répression, de l'atteinte aux libertés fondamentales, de la censure, du bourrage de crâne, de l'Histoire expurgée, revisitée et officialisée, de l'indignation à géométrie variable, du laïcardisme outrancier quand il est anti-chrétien et surtout cathophobe, de l'invasion migratoire exotique et de l'Islamisation, du métissage obligatoire, de la racaille réinserée aux frais des victimes, du taulard trois étoiles, de l'anormalité sexuelle et de la perversion hissées au rang d'art de vivre, des traditions bafouées. Un gouvernement dont le chef a reçu l'investiture du Congrès Juif Mondial, c'est à dire aussi de la Trilatérale et autres sectes du Nouvel Ordre Mondial : appui assuré des fortunes anonymes et vagabondes et de certain lobby qui n'existe pas pour peu que le (pseudo ?) descendant de maranes naturalisé continue à se faire l'agent artistique du "Shoah Business" et du mémoriel sélectif.

Pour tout dire, un gouvernement dit de combat qui doit être et sera combattu. Par tous les moyens... Même légaux ! Rassemblement Résistance Reconquête !

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Cette Espagne que déteste Manuel Valls : retrouvez la dans "Présence de José Antonio Primo de Rivera" :

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Le nouveau numéro de "Terre et peuple magazine" est paru...

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Lille, dimanche 13 avril : Roland Hélie sera à la 2e Journée régionale Flandre - Artois - Hainaut de Synthèse nationale

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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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Samedi 26 avril : Carl Lang à Toulouse

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mercredi, 02 avril 2014

Chronique de la France asservie et résistante

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Robert SPIELER

RIVAROL N° 3134

du 27 mars 2014

 

PEGGY la cochonne est une célèbre marionnette qui fait partie du Muppet show. Elle est éprise de Kermit la grenouille (« Kermitou d’amour ») et autres mâles de toutes origines. Jean-Marie Le Pen s’est encore fait remarquer samedi 15 mars lors d’un meeting du Front National à Toulouse, où il était venu soutenir le candidat Serge Laroze. Dans une vidéo extraite d’un reportage du JDD, on peut voir Jean-Marie Le Pen signer un autographe à une femme prénommée Peggy à qui il demande : « C’est vous la cochonne ? ». Elégant, le Menhir…

 

JEAN-MARIE LE PEN N’AURAIT PAS PRIS D’ÉTRANGERS SUR LES LISTES FN

 

Des Portugais, des Roumains, des Belges…Plusieurs dizaines d’étrangers, tous d’origine européenne, étaient inscrits sur les listes Rassemblement Bleu Marine (RBM), alors que le FN est théoriquement opposé au droit de vote des étrangers. Cela n’a guère plu à Jean-Marie Le Pen, président d’honneur du Front national. « Personnellement, je n’aurais pas pris d’étrangers sur ma liste », a-t-il déclaré quatre jours avant le scrutin sur BFMTV/RMC, ajoutant : « Je ne suis pas européiste, mais eurosceptique. » En Ile-de-France, les listes soutenues par le FN comptent une vingtaine de citoyens portugais. A Paris, trois Espagnols. Et puis des Roumains dans les Pyrénées-Orientales. On ose espérer que ce ne sont pas des Rroms ! Une Bulgare à Villeurbanne, une Belge et une Portugaise sur la liste d’Aliot, à Perpignan. Etc. Remarquons qu’il est infiniment moins grave de placer des Européens sur les listes FN que de s’aventurer dans la “diversité”, qui, tôt ou tard, revient comme un boomerang au visage des apprentis sorciers.

1.jpgCONNAISSEZ-VOUS PAUL BISMUTH ?

 

Paul Bismuth est tout simplement le nom d’emprunt derrière lequel s’abritait Nicolas Sarkozy pour téléphoner à son avocat de façon, croyait-il sécurisée. Il se savait sur écoutes et utilisait un autre téléphone qu’il croyait discret. En somme une ligne secrète. Las, les policiers, qui ne sont pas forcément des imbéciles, avaient éventé la manœuvre et écoutaient allègrement les conversations les plus secrètes de l’ancien Président et de son avocat Thierry Herzog. Leur objectif : contrer les enquêtes et les procédures en cours dans les affaires concernant Sarkozy. Mediapart relève la mise en place d’« un cabinet noir pour neutraliser les juges qui enquêtent sur lui ». Les deux compères citent, à plusieurs reprises, un « correspondant » et des “amis”, qui les tiennent informés de l’évolution de procédures judiciaires en cours. Gilbert Azibert, magistrat de la Cour de cassation qui surveille le dossier des agendas de Nicolas Sarkozy saisis par les juges de Bordeaux est plus que fortement soupçonné d’être ce “correspondant” et “ami”. Il est vrai que les propos de Herzog ne sont guère ambigus. Gilbert Azibert aurait bien “bossé”. Il ambitionnait, paraît-il, une sinécure au Conseil d’Etat de Monaco en échanges de ses renseignements. Nos lecteurs savent qu’il aurait fait un malaise et serait tombé dans les escaliers après que son implication fut évoquée. D’aucuns évoquent une tentative de suicide. Une enquête pour trafic d’influence a été ouverte le 26 février 2014. Elle est à l’origine de perquisitions menées début mars aux domiciles et dans les bureaux de Thierry Herzog et de Gilbert Azibert. Il est vrai que les écoutes donnent des résultats étonnants. Ainsi Thierry Herzog se dit confiant sur le sort des agendas de l’ancien président, saisis par les juges chargés de l’affaire Bettencourt… « sauf si le droit finit par l’emporter » ! Il évoque aussi « ces bâtards de juges de Bordeaux ». Un dialogue digne d’un film de gangsters a lieu le 1er février entre Sarkozy et Herzog. Les deux hommes envisagent d’organiser une fausse discussion sur la ligne principale de l’ancien président. Comme Sarkozy se savait écouté sur cette ligne, il souhaitait “enfumer” les policiers en leur donnant l’impression d’avoir une conversation normale sur la Cour de cassation. Hélas pour lui, la seconde ligne était aussi sur écoute.

2.jpgLES PASSE DROITS DE MADAME VALLS

 

Valls et sa police savent se montrer féroces avec les Veilleurs mais, ô combien conciliants, quand il s’agit de l’épouse du ministre. Anne Gravoin, l’épouse violoniste, en sait quelque chose. Le 28 janvier, un agent de surveillance de la voie publique verbalisait les véhicules en infraction dans la rue du 11ème arrondissement où habite le couple. La pervenche verbalisa ainsi une Toyota. Effroi du policier en faction. Il ne fallait pas verbaliser ce véhicule. Trop tard ! En fait, raconte Le Point.fr, ce policier avait été appelé le matin même sur le téléphone de service, par Anne Gravoin qui lui expliquait qu’elle attendait la visite d’une amie qu’il convenait de ne pas verbaliser si son véhicule était mal garé. Quand l’épouse du ministre découvre que ses consignes n’ont pas été suivies d’effet, elle s’énerve, déclarant : « J’appelle immédiatement Manuel ». Deux heures plus tard, l’affaire était réglée et le PV avait été jeté à la poubelle… Ce n’est pas la première fois qu’elle joue la Trierweiler. Agacée par le nombre de SDF qui hantent le quartier, elle les aurait tout simplement fait déplacer… Lorsque l’ex-femme de Valls se fit voler son sac à main, en février 2013 à Evry, la police technique et scientifique fut mobilisée. Le sac fut retrouvé et rapporté, certes vidé de son argent, par le commissaire en personne, qui visait sans doute la

 

BIZARRE : LES MÉMOIRES DE JMLP BLOQUÉES CHEZ L’ÉDITEUR

Robert Ménard, ex-patron de Reporters sans frontières (RSF) et candidat soutenu par Marine Le Pen à la mairie de Béziers, et sa femme, Emmanuelle Duverger ont réalisé un livre d’entretiens avec Jean-Marie Le Pen. Sa publication était programmée en octobre 2013, selon les informations livrées par L’Express qui en dévoile quelques extraits. JMLP dément qu’il s’agit stricto sensu de Mémoires, mais Ménard passe cependant la vie du Menhir au crible, avec la complicité de celui-ci. Pourquoi la parution est-elle bloquée ? La faute à l’éditeur ? Pas du tout. « Mais pourquoi avoir attendu quasiment la veille de l’envoi à l’imprimerie pour interrompre le processus ? » s’interroge un proche de l’éditeur. La mise en place de 20 000 exemplaires de l’ouvrage avait même été annoncée au diffuseur Interforum. Des recettes non négligeables en perspective — environ 200 000 euros — pour l’éditeur Luc Jacob-Duvernet. Ce n’est évidemment pas l’éditeur qui a bloqué l’impression et la diffusion. Alors ? En fait, c’est Robert Ménard lui-même qui en a stoppé la sortie, expliquant à Jacob-Duvernet « qu’il ne souhaite pas gêner ses alliés pour les municipales, ni renforcer l’idée qu’il est un sous-marin du Front national ». Les alliés en question, comme Debout la République (DLR), soucieux de ne pas être assimilés au FN, auraient peu apprécié une telle parution en pleine campagne électorale. L’éditeur a lourdement insisté pour que Ménard change d’avis. Réponse de Ménard : « Je ne peux pas, je ne peux absolument pas ». Certains évoquent l’hypothèse que les pressions qu’il a subies viendraient aussi de la Présidente du FN, peu désireuse que son père vienne troubler la campagne des municipales avec quelques provocations qu’elle craignait de découvrir dans le livre. Il paraît, selon L’Express qui a pu consulter l’ouvrage, que « Le Pen retrouve sa verve et son goût pour la provocation, notamment pour croquer les nombreuses personnalités qu’il a croisées, escortées ou combattues en plus de cinquante ans de vie politique. Poujade, Tixier-Vignancour mais aussi François Mitterrand et Jacques Chirac. » Il rappelle ainsi cette scène où Mitterrand, « homme de Vichy qui sait certainement beaucoup de choses », est venu lui serrer la main à l’issue d’un discours au Parlement de Strasbourg, en 1995. Le Pen évoque ses quatre rencontres avec Jacques Chirac dont deux secrètes, l’une avant le premier tour de la présidentielle de 1988, l’autre entre les deux tours. A un moment, il lâche : « Il y a une énigme Chirac. Il n’est pas le fils de sa mère », laissant entendre que Chirac serait un enfant juif adopté. Une rumeur que les biographes ont écartée à tort ou à raison. On devine pourquoi Marine Le Pen n’a aucune envie que cet ouvrage paraisse en pleine campagne. Paraîtra-t-il un jour ? Rien n’est moins sûr.

ERIC RAOULT ET SES FANTAISIES SEXUELLES (SUITE)

 

On en sait un peu plus quant à l’affaire du harcèlement sexuel pour laquelle le maire UMP du Raincy et ancien ministre Eric Raoult est accusé par une ancienne collaboratrice à qui il a envoyé des milliers de textos. Il se défend avec des arguments parfois étonnants évoquant « un moment de faiblesse qui est arrivé pendant mon premier accident vasculaire cérébral. Certains textos étaient écrits sur le ton de l’humour ». Beaucoup d’humour, en effet dans ces textos tels : « Vous êtes très bien foutue. Avec le vin, vous faites tourner la tête des mecs », « Vous êtes trop chaude ? » ou encore « Agnès, la reine des caresses ». Interrogé par L’Express, Éric Raoult concède encore avoir « deux, trois fois, enfin un peu plus » dû dire « qu’elle était jolie ». Et il ajoute : « Maintenant, c’est vrai, j’ai eu un vrai coup de cœur pour cette fille mais je jure qu’il ne s’est rien passé ». « Je n’ai eu aucune relation sentimentale avec Agnès Desmarest ; peut-être fantasmagorique, aucunement sexuelle. » Mais oui, il ne s’est rien passé tout simplement parce qu’elle ne le voulait pas ! Il tente de se trouver des excuses, expliquant : « Entre le moment où elle a été engagée et le moment où je l’ai rencontrée, elle a fait refaire sa poitrine et sa physionomie a changé »: Un argument majeur que toute la Cour d’Assises retiendra ! En attendant, Éric Raoult est dans de sales draps, c’est le cas de le dire !

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Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

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