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samedi, 15 février 2014

En France, pour manifester, mieux vaut être un antifa !

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Anne-Laure Debaecker

Boulevard Voltaire cliquez ici

Samedi 8 février, plusieurs centaines d’antifas ont saccagé le centre-ville de Rennes. Motif de cette « colère » ? La tenue d’un meeting du FN…

Celui-ci avait suscité l’indignation à gauche : de nombreux syndicats, partis d’extrême gauche et associations antiracistes avaient appelé à venir manifester. Ces appels se sont soldés par une violente manifestation émaillée de jets de pierre, cocktails Molotov, d’une voiture brûlée et de vitrines brisées, dont celle d’un commissariat…

Que des partis et syndicats de gauche appellent à perturber la tenue d’un meeting, rouage nécessaire à l’exercice de la démocratie, laisse songeur sur la réalité de cette dernière… Mais lorsqu’on apprend que, sur les 600 antifas présents, quatre seulement ont été mis en garde à vue, on constate une fois de plus le deux poids-deux mesures qui caractérise ceux qui se veulent les chantres de la tolérance, de l’égalité et de la fraternité.

Selon la définition du dictionnaire Larousse, est fasciste celui « qui impose une autorité arbitraire, dictatoriale et violente à son entourage ». Au vu des dégradations et violences exercées pour empêcher la tenue d’un meeting pourtant organisé en toute légalité, on peut s’interroger sur la cohérence de mouvements utilisant les mêmes procédés que ceux attribués aux groupes qu’ils pourchassent.

Dans l’histoire française, la gauche a souvent utilisé le terme de fasciste comme une injure destinée à disqualifier ses adversaires politiques, que ce soit De Gaulle, les membres de la SFIO, ou encore Le Pen. Cette tactique a d’ailleurs également été utilisée par la RDA communiste lors de la guerre froide, qui érigea le mur de Berlin comme « mur de protection antifasciste ».

Il ne faut donc plus s’étonner de l’incroyable tolérance et impunité dont bénéficient les mouvements antifascistes, malgré leurs incohérences idéologiques et leur violence caractérisée. Peu importe la légitimité, le bien-fondé des revendications et la manière dont celles-ci sont exprimées : tant que l’on partage la vision politique et idéologique de ceux qui nous gouvernent, elles seront tolérées, si ce n’est défendues. En France, en 2014, mieux vaut mieux être un antifa que de défendre le modèle traditionnel de la famille !

19:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dresde 13-14 février 1945 : la guerre des lâches !

123716073.gifYves Darchicourt

Février 1945 : Dresde est une ville ouverte, une ville désarmée où les 25 hôpitaux et les dizaines de centres d'accueil hébergent, nourrissent, réconfortent et soignent tant bien que mal des dizaines de milliers de réfugiés, de mutilés et de blessés fuyant les "libérateurs" staliniens.

A cette date, la partie est perdue pour l'Allemagne, tous les fronts sont enfoncés et les 42 divisions soit-disant massées aux alentours de la ville de Dresde pour une contre-attaque vers l'Est n'existent que sur le papier. Dresde n'est plus un objectif militaire et les civils qui s'y entassent peuvent se sentir quelque peu "rassurés"d'être loin des combats. C'était sans compter avec la décision des politiques anglo-américains de faire amplifier par leurs états-majors la stratégie de la terreur sur les civils censée démoraliser l'Allemagne : surpeuplée de civils Dresde était une cible de choix, comme le furent Berlin ou Hambourg, et comme le seront Tokyo, Hiroshima et Nagazaki.

La nuit du 13 au 14 février : pour un temps "oublier" la guerre, se raccrocher à tout ce qui est la vie comme ces petits carnavals improvisés qui s'animent çà et là et puis viennent quinze heures d'apocalypse, 650 000 bombes incendiaires et engins à fragmentation, les civils écrasés, déchiquetés, brûlés au phosphore; 1000° au sol, des corps amalgamés au béton et à l'acier, des petits enfants englués vivants dans l'asphalte en fusion; la folle terreur, l'indicible douleur, la mort dans l'épouvante. Combien de morts ? 35 000 pour l'Histoire officielle, probablement au moins 135 000. Des monceaux de cadavres aux chairs brûlés comme offerts en Holocauste à quelque hideuse divinité. Le "Bomber Command" du général-boucher Arthur Harris va pouvoir jubiler, comme prévu la ville était sans défense et tous les avions sont rentrés. Sortis des carlingues décorées à la pin-up, sourire et bulle de chewing-gum aux lèvres, les "héros" tout juste un peu fatigués vont pouvoir fêter çà et imaginer ce qu'ils diront plus tard à leurs enfants qui leur demanderont peut-être: raconte moi ta guerre papa.

Ignominie qui n'est pas la guerre sinon celle des lâches, monstruosité susurrée à Yalta dans l'oreille d'un sénile qui faisait sous lui par un alcoolique chronique en perpétuel état second sous le regard ironique du plus grand criminel politique de l'Histoire et pour laquelle aucun responsable ni exécutant ne sera jamais inquiété. Ce crime de guerre au parfum de génocide n'est pas près d'être officiellement considéré comme tel. Il est vrai qu'il a été commis - comme tant d'autres le seront encore - au nom du Bien par des démocraties humanistes. Tant que l'Histoire ne sera pas remise à l'endroit, le martyre de Dresde restera une péripétie et les martyrs de Dresde n'en seront jamais que des détails !

 

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EXCLUSIF. Le rapport des RG qui dit la vérité sur les événements de Rennes

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Source Valeurs actuelles cliquez ici

Rédigé par les ex-RG, la SDIG (Sous-direction de l’information générale) de Rennes, le rapport confidentiel que Valeurs actuelles a pu consulter met en lumière les informations que le ministère de l’intérieur et certains médias ont voulu cacher.

Les faits

Samedi dernier à Rennes entre 600 et 700 militants de gauche ont saccagé tout un quartier de la ville en protestation contre la tenue d’un meeting du Rassemblement Bleu Marine.

Le rapport de police commence : « le 8 février 2014 en fin d’après-midi, la DDSP 35 (Direction Départementale de la Sécurité Publique, NDLR) mettait en place un dispositif renforcé de sécurisation en raison du risque d’une action de militants d’extrême gauche. Et ledit dispositif est impressionnant, à la hauteur de la gravité des événements : « le service d’ordre engageait 2 compagnies de CRS, 1 escadron de gendarmerie, soit plus de 250 policiers et gendarmes ».

Les militants de gauche attaquent un poste de Police et tentent d’y mettre le feu

Le rapport se poursuit ainsi : « vers 18h30, 400 personnes d’extrême-gauche se rassemblaient (…) pour dénoncer la tenue de cet événement du « Rassemblement bleu marine » (…) à 19h50, (…) ils cassaient des vitrines (5 commerces et 4 établissements bancaires) et poursuivaient leurs exactions (…) où ils tentaient d’incendier un bureau de police en brisant plusieurs vitres et en y jetant un fumigène qui mettait le feu à un fauteuil (…) ». Le document rapporte ensuite qu’« un véhicule était incendié».

La riposte des forces de l’ordre

La réponse policière est décrite à l’image de la situation d’urgence : « au cours des heurts, les forces de l’ordre faisaient usage d’un canon à eau, de grenades lacrymogènes et du flash-ball (…) pour repousser les assaillants. Quatre policiers et un gendarme étaient blessés par des jets de projectile. Au plus fort des événements, 630 manifestants étaient réunis ».

La réponse judiciaire : les casseurs sont relâchés

Selon les informations contenues dans le rapport, trois individus ont été interpellés. Le premier, âgé de 20 ans a été placé en garde-à-vue. Le second, 24 ans, a fait l’objet d’une « audition libre ». Le dernier, 22 ans a été relâché. Toutes les personnes interpellées ont été laissées libres « sans aucune suite judiciaire », précise le rapport de Police.

Dans sa communication à la presse, le préfet de Bretagne, Patrick Strzoda, l’un des meilleurs de France,  passe étrangement sous silence les policiers blessés: « lors de ces heurts il n’y a pas eu de blessé mais quatre manifestants ont été interpellés ». Manuel Valls a-t-il veillé à faire « oublier » les policiers blessés ? La question peut être posée après lecture de la dépêche AFP, qui a été envoyée dans la soirée en « oubliant », elle aussi, de faire état des victimes policières. Seul un journaliste de Ouest France, qui lui, était présent sur place et a filmé la soirée, en fait mention. Son article, pourtant très précis, n’a curieusement pas été repris. Dans la soirée, les journaux nationaux ont tous cité en boucle la dépêche de l’AFP, arrangeant bien les comptes de Manuel Valls. Les manifestants pacifiques de la Manif Pour Tous, qui n’avaient pourtant causé ni dégât ni violence l’an dernier, n’ont pas eu le droit au même régime de faveur.

NDLR :

aaclemeric.jpgLe livre de Serge Ayoub, L'affaire Clément Méric, du fait divers au scandale politique, est en vente aux Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici

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Jean-Claude Rolinat sera dimanche matin sur Radio Courtoisie

images.jpgJean-Claude Rolinat, auteur du livre La faillite de Mandela cliquez ici, sera demain dimanche 16 février, de 8 h 30 à 10 h 00, l'invité d'Alain Sanders dans son émission dominicale sur Radio Courtoisie cliquez là. Il nous parlera aussi de son récent livre consacré à Juan Peron (chez Pardes).

Rappelons que Jean-Claude Rolinat dédicacera La faillite de Mandela, ainsi que la biographie qu'il avait consacré à Antonio Salazar, Salazar le regretté, début 2012 cliquez là, samedi 22 février, de 15 h 00 à 18 h 00, à la Librairie française, 5, rue Auguste Bartholdi à Paris XVe (métro Dupleix ou La Motte Piquet) cliquez ici.

NDLR :

mandela.jpgLe nouveau livre de Jean-Claude Rolinat : La faillite de Mandela édité aux Bouquins de Synthèse nationale.

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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :

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Un film réalisé par Europe Identité

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vendredi, 14 février 2014

Milices bolcheviques : après Rennes, Nantes ?

Une semaine après le saccage du centre de Rennes par 600 miliciens "antifas" qui s'en sont pris aux commerces et ont livré pendant plusieurs heures une féroce guérilla urbaine contre les CRS (muselées par les ordres du pouvoir complice) à coup de pavés et des cocktail molotov, sera-ce au tour de Nantes de subir les mêmes violences ?

Difficile d'en douter à la vue de l'affiche appelant à une manifestation ce soir contre la tenue du meeting de campagne du candidat frontiste aux élections municipales :

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Vous ne rêvez pas : le personnage choisi pour illustrer le document pose en toute décontraction fusil à la bretelle…

Alors que les manifestations pacifiques de la France réelle sont soit interdites, soit victimes de provocations des milices para-gouvernementales type "femen" – voire même directement de la police – et sévèrement réprimées, les trotsko-immigrationistes se permettent d'appeler en toute transparence à la lutte armée contre les candidats concourant pour les prochaines élections.

Gageons que là, nulle interdiction de la préfecture ne tombera au dernier moment, que la police ne réprimera que très mollement les attaques aux biens et aux personnes…

Les milices supplétives du gouvernement Ayrault le mal nommé mettront vraisemblablement les rues de la ville dont il fut le maire dans le même état que celles de Rennes la semaine dernière.

Ce qui est terrible avec ces énergumènes, c'est qu'ils finiraient par nous rendre sympathique les candidats du néo-Front national.

C'est dire s'ils sont nuisibles et si leur éradication est plus que jamais une urgence !

 

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10:33 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Après le référendum en Suisse, satisfaction du MNR

2793785427.jpgUn communiqué du MNR :

A la suite de I'initiative populaire du 14.02.2012 'Contre l'immigration de masse', le vote du 9 février 2014 en Suisse a donné la majorité aux partisans d'une restriction de l'immigration. L'article modifié de la Constitution suisse inclut notamment les mesures suivantes : « Le nombre des autorisations délivrées pour le séjour des étrangers en Suisse est limité par des plafonds et des contingents annuels. Les plafonds valent pour toutes les autorisations délivrées en vertu du droit des étrangers, domaine de l’asile inclus. Le droit au séjour durable, au regroupement familial et aux prestations sociales peut être limité. »

« Les plafonds et les contingents annuels pour les étrangers exerçant une activité lucrative doivent être fixés en fonction des intérêts économiques globaux de la Suisse et dans le respect du principe de la préférence nationale; ils doivent inclure les frontaliers. »

Ce vote est ressenti comme un coup de tonnerre par les autorités immigrationnistes européennes. Il montre aussi l'intérêt de la démocratie directe telle qu'elle est pratiquée en Suisse. On peut légitimement penser qu'un tel vote en France (ou dans d'autres pays européens) donnerait le même résultat.

Avec tous les patriotes, luttons pour que nos gouvernants s'attaquent aux effets néfastes d'une immigration non maîtrisée.

10:32 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de jeudi soir :

10:28 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce soir sur Méridien zéro :

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Méridien zéro RBN Cliquez ici

 

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jeudi, 13 février 2014

Libé qui rit, Libé qui pleure...

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Jacques-Yves Rossignol

Je connais un endroit à Paris où l'on ne ricane plus tout à fait de la même façon. Oh, on ricane encore, parce que c'est mécanique, automatique, mais on a compris que le temps du ricanement heureux est terminé. Au siège de Libération, il y a comme un goût de cendres dans les ricanements de cet hiver 2014. On perçoit que le type de méchanceté qui était la raison d'être de ce repère de bobos a fait long feu et ne se porte déjà plus.

Durant trente ans, la fonction de Libération a été de moquer, de stigmatiser les braves gens, ceux qui ne voulaient pas, devenir des mécaniques mentales téléguidées par l'industrie culturelle, ceux qui refusaient de voir leur personnalité entièrement déterminée par le marché du cinéma, de la musique, de la high-tech. Ceux qui refusaient de devenir des zombies "fabriqués" par le marché mondialisé en un mot.

Pour cela, les gens de Libération ont ressassé à satiété les mêmes invectives, les mêmes amalgames, les mêmes ignominies, les mêmes trucs d'école de photo, les mêmes banalités d'école de cinéma, les mêmes ricanements hautains et méprisants, tout cela toujours dirigé contre les mêmes cibles, les Français attardés, les ploucs ringards, les provinciaux sous-développés, les beaufs grossiers. 

Les mêmes trucs photo lamentables utilisés pendant trente ans pour ridiculiser les braves gens. Il faut le faire !

"Nous sommes un journal" titrent ces pitoyables bobos de l'ex-Libération en réponse aux financiers qui viennent de siffler la fin de la récréation et de leur signifier en clair qu'ils sont devenus des idéologues superflus et, si j'ose le dire, et j'avoue que j'ai plaisir à le dire : ringards.

Mais non : vous n'avez jamais été un journal, bobos ahuris ! Vous n'avez été qu'une association de malfaiteurs chargée par le marché capitaliste de démoraliser et de désespérer un peuple sain et drôle, la classe populaire française. Classe promise à la liquidation et à l'éradication par différents moyens, parce qu'elle représente tout ce que le marché mondial ne peut supporter : l'ironie et l'esprit frondeur. Il se trouve qu'aujourd'hui, le marché n'a plus besoin de vous pour ce sale boulot, que votre type de méchanceté est éventé et vieillot et que vous rejoignez votre destination naturelle : la poubelle aux collabos usagés.

Vous ne saviez donc pas ceci que le marché capitaliste ne fait de promesses à personne, et qu'il les tient toujours.

 

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La Ligue du Midi manifeste à Montpellier contre l'entrée éventuelle de la Turquie dans l'Union européenne

François Hollande vient d'annoncer son intention de consulter les Français par référendum sur l'entrée de la Turquie dans l'Union Européenne. Cette nouvelle annonce vient s'ajouter aux différentes actions entreprises par le gouvernement depuis le début 2013 pour accélérer et forcer l'intégration de ce pays d'Asie mineure au sein d'une union qui n'aura plus d'européenne que le nom.

L'adhésion de la Turquie à l'UE n'est motivée que par des raisons économiques qui auront des conséquences catastrophiques pour les peuples d'Europe : délocalisations massives, remplacement des travailleurs européens par une main-d’œuvre immigrée docile et bon marché. De plus, la Turquie sera une porte d'entrée gigantesque pour tous les trafics illégaux venant d'Asie et d'Afrique (immigration clandestine, drogue, armes, etc...)

Face aux dangers que représente un tel projet tant sur le plan identitaire qu’économique et social, les militants de la Ligue du Midi ont manifesté à Montpellier, place de l'Europe –tout un symbole-, leur refus de voir leur terre et leur civilisation toujours un peu plus sacrifiées au nom du mondialisme et du profit. Face aux adversaires de notre civilisation, nous serons toujours présents, que ce soit dans la rue, dans les manifestations, dans les facs ou sur internet pour que l'Europe soit à jamais européenne !

Maîtres chez nous !

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mercredi, 12 février 2014

Jeudi, c'est le jour de Rivarol :

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Chez votre marchand de journaux, 3,50 €

23:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Libertés de mercredi soir...

23:40 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante

IMG_0188 -Copier-.JPGRobert SPIELER

RIVAROL N° 3127

du 6 février 2014

 

LES LECTEURS de RIVAROL n’osent pas forcément acheter Closer dans les kiosques et avouer ainsi qu’ils sont fans de presse people. Un des rôles de RIVAROL est de leur apporter des infos qui les passionneront forcément. Grave question : où en est Trierweiler, après sa répudiation ?

 

C’est, si je ne me trompe pas, ce qu’en grammaire on appelle un zeugma : « Il prit la porte et son chapeau » ou « Vêtu de probité candide et de lin blanc » (Victor Hugo) « Ma mère était caissière et mon père amputé d’une jambe »… C’est l’émouvante déclaration de Trierweiler à la presse, lors de son voyage en Inde. Elle a évoqué dans Paris-Match, une « rupture sans préavis », douloureuse, certes, mais où elle se révèle « souvent touchante », selon le magazine, dont elle est toujours salariée. Closer a recueilli ses propos : « J’entendais des rumeurs, évidemment, mais on en entendait sur tout le monde. J’en entends sur moi aussi, tout le temps. Je n’y prêtais pas attention. Lorsque j’ai su, c’est comme si j’étais tombée d’un gratte-ciel ». Elle raconte qu’elle avait certes entendu la rumeur d’une liaison entre François Hollande et Julie Gayet, mais qu’elle avait refusé d’y croire. Elle explique : « Il y en a tellement (de rumeurs), je n’y faisais plus attention ». Sa biographe, son amie Nadia Le Brun, dit quant à elle : « si on ne peut pas imaginer qu’elle ignorait tout de la supposée liaison » de son compagnon, « on peut aisément supposer qu’elle tentait de le reconquérir ». Mais quelle est la raison de cette cruelle rupture ?

 

Le rottweiler a sa théorie : il pourrait s’agir du pouvoir, un univers “inhumain” et “hypocrite” dont elle serait aujourd’hui “vaccinée”, explique l’ex-pseudo-“Première dame”, en reconnaissant toutefois que « le détachement avait commencé » avec François Hollande. Révélation de Paris-Match : la veille de la rupture, « le couple présidentiel a passé la nuit à discuter, sans manger ni dormir ». Une épreuve sans doute effroyable pour Hollande. Entendant les informations livrées par la presse, elle s’évanouit et fut, comme on le sait, hospitalisée. Mais ça va mieux, merci. « Je suis plus dans la déception que dans la colère, confie-t-elle encore. Cela peut paraître étrange mais, pour moi, je ne traverse pas une période de crise. Ce n’est pas la première rupture dans ma vie. » On se doutait bien en effet qu’elle n’avait pas mal vécu… Et puis, elle se transforme en midinette, larmoyant au sujet du communiqué plus que laconique de Hollande, annonçant leur séparation (« Je fais savoir que j’ai mis fin à la vie commune que je partageais avec Valérie Trierweiler. »)

 

Certains dénoncent l’attitude d’un “goujat” et même « une atteinte à la dignité de toutes les femmes » (Georges Fenech, député UMP). Marine Le Pen n’a pas hésité à parler de “répudiation” Nathalie Kosciusko-Morizet, qui a comparé la situation à un licenciement, explique, toute en sororité : « Les termes de ce communiqué ne laissent pas indifférents une femme. Ça ressemblait plus à une lettre de licenciement qu’à une lettre de rupture » (mais en quoi cela la regarde-t-elle ?). « Dix-huit mots, presque un par mois passé ensemble depuis son élection », constate Trierweiler dans le Parisien Magazine. Elle ajoute : « Il faut être deux pour s’aimer, mais il suffit d’un pour se quitter. » Et elle ajoute, émouvante en diable : « A un moment, il n’y a plus de vie. Nous n’avons pas vécu le pouvoir de la même façon. Ça a cassé quelque chose. J’aurais préféré une vie normale (la normalitude, à la sauce Ségolène ?), on serait peut-être encore ensemble aujourd’hui. Je sais qui je suis, je peux me regarder dans la glace. (sous-entendu : pas sûr que Hollande le puisse). » Quant au magazine Elle, il relaie l’interview tout aussi émouvante de Trierweiler : « Je me suis retrouvée à l’Elysée sous les dorures. Les gens le savent peu mais ma mère était caissière et mon père, amputé d’une jambe. J’ai grandi dans une HLM. Il y a eu un énorme décalage. » On avait bien compris qu’il y avait quelque chose qui clochait chez Trierweiler. Il convient de se méfier comme de la peste des femmes dont la mère est caissière et le père amputé d’une jambe. En attendant, l’ex-première harpie de France envisage d’écrire un livre. A la place de Hollande, je serais très, très inquiet…

 

TRIERWEILER ÉMUE À SON DÉPART DE L’ELYSÉE ? HOLLANDE RIGOLE…

 

Hollande serait « carrément soulagé » voire « rasséréné » depuis qu’il a officialisé sa rupture avec Trierweiler. Elle a dû lui en faire voir des vertes et des pas mûres… Revenant sur la dureté du communiqué publié par François Hollande le week-end dernier, un de ses amis avoue : « C’est vrai que le communiqué est raide, mais il reflète bien l’état d’esprit du président : il n’est pas enclin à une tendresse particulière, et ce depuis un bon moment ». François Hollande a ironisé, lors de son voyage en Turquie, sur le tweet de Valérie Trierweiler posté sur le réseau social au moment de son départ de l’Elysée « Toute ma gratitude va à l’extraordinaire personnel de l’Elysée. Je n’oublierai jamais son dévouement ni l’émotion au moment du départ » avait ainsi tweeté l’ex-concubine du chef de l’Etat. Prenant connaissance du tweet, François Hollande aurait alors lâché devant ses collaborateurs : « S’il y a des gens qui souhaitent quitter l’Elysée, pris par l’émotion, ils doivent me le dire dans les prochains jours ».

 

Ambiance…

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18:20 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une messe sera célébrée à Paris pour le repos de l'âme de Don Blas Pinar

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A la demande du Cercle Franco-hispanique, une messe sera célébrée à Paris, en l'église St Nicolas du Chardonnet (Ve arrondissement, métro Maubert Mutualité), vendredi 21 février à 19 h 30 pour le repos de l'âme de Don Blas Pinar, fondateur de la revue Fuerza Nueva et l'un des chefs historiques de la Droite nationale espagnole, décédé à Madrid le 27 janvier dernier (cliquez ici).

18:14 Publié dans En Europe et ailleurs..., Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LILLE, DIMANCHE 13 AVRIL, 2e JOURNEE REGIONALE DE SYNTHESE NATIONALE

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13:08 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DEVOIR DE MEMOIRE = DRESDE, les 13, 14 et 15 FEVRIER 1945.

dresde.jpgPieter Kerstens

Le XXe siècle laissera dans l’Histoire le souvenir d’un cortège d’horreurs sans nom. La communauté juive se souvient de ses morts et impose le recueillement permanent à Auschwitz. Pour le peuple juif, ses dirigeants, ses groupes de pression et ses porte-paroles, Auschwitz est un symbole unique, le symbole d’une souffrance indicible.

DRESDE doit être le symbole de toutes les victimes civiles et innocentes de la guerre aérienne à outrance, qui a frappé tous les peuples européens, jour après jour, de 1940 à 1945. La stratégie des tapis de bombes (imposé par le « théoricien »-major anglais Harris, pour « casser » le moral des populations et forcer les peuples à se soulever contre leurs dirigeants), est une négation de la civilisation qui, elle, postule que la guerre doit être menée par des militaires contre des militaires, en épargnant les femmes et les enfants. DRESDE doit être un symbole car elle était une ville d’art, reflétant une culture de la joie de vivre, diamétralement différente du militarisme que l’on a généralement reproché aux Allemands. Paradoxalement, c’est cette ville, vouée au théâtre, à la musique, aux porcelaines et à l’art, que les anglo-américains ont rasé, sans le moindre impératif militaire ou stratégique, comme l’ont reconnu par ailleurs la majorité des observateurs britanniques et américains. Cette stratégie de la terreur n’a pas brisé le peuple allemand qui, au contraire, a su faire face !

En ce jour anniversaire de ce crime de guerre atroce, il faut se rappeler :

*que 8.000 bombes explosives et 600.000 bombes incendiaires ont conduit 135.000 civils au royaume des cieux, selon les estimations les plus basses. D’après les sources officielles allemandes, il y en eu plus de 250.000 (« Deutschland Heute ». Editions Press und Informazionsambt des Bundesregierung. Page 31. 1961).

*que parmi les morts se trouvaient de très nombreux réfugiés civils et beaucoup de prisonniers de guerre alliés, qui fuyaient l’avance des troupes soviétiques.

*que l’ensemble des raids aériens en Europe a fait des millions de victimes civiles, qui ne peuvent pas simplement et hypocritement être envoyées aux oubliettes.

*que l’horreur des bombardements aveugles allemands ou alliés, qui ont frappé aussi les populations françaises (Caen, Le Havre, Rouen, Lisieux, Carentan, Royan, Boulogne-Billancourt, etc…) et belges (Anvers, Courtrai, Etterbeek, Forest, Houffalize, Namur, Saint-Vith, etc…) doit inciter nos responsables moraux à condamner sans appel de telles pratiques et à nos gouvernants qu’ils expriment leur refus et s’opposent à leur réédition sous toutes les formes, comme au Vietnam, en Irak, à Belgrade, en Afghanistan, à Bagdad ou plus près de nous, en Lybie…

*qu’à l’avenir, les tactiques incluant le bombardement de zones habitées devraient être considérées comme des crimes de guerre imprescriptibles et jugées comme telles.

*que les élus des municipalités, villes et villages, qui ont été frappés en Europe, se souviennent de ces raids aériens destructeurs et mobilisent leurs efforts à l’échelon local afin de raviver le devoir de mémoire au nom de la multitude d’innocents arrachés à l’amour de leur famille.

*qu’un centre d’études devrait s’occuper de cultiver le souvenir de nos morts, de récolter les témoignages des derniers survivants, afin d’étayer la mémoire des générations futures, qui ne peuvent pas oublier.

*que cette horreur, partagée par tous les européens, puisse au moins servir à souder les hommes et les femmes de notre continent et leur fasse comprendre qui sont réellement les ennemis de la paix et de l’unification de l’Europe, dans la fraternité et la réconciliation.

NB : Sur les raids aériens, lire « L’Incendie » de Jörg Friedrich aux éditions .de Fallois. 2004.

 

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13:08 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lille, mercredi 19 février, conférence d'Arnaud Raffard de Brienne

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Immigration de masse :

Devoir de charité, défense d'identité.

Conférence d'Arnaud Raffard de Brienne

Le mercredi 19 Février, à 20 heures 15

à la Brasserie LE FLORE

11, Place Rihour à Lille

A l'invitation du Cercle St Joseph cliquez ici

LA DÉSINFORMATION SUR L'IMMIGRATION 

« La désinformation est une manipulation de l'opinion publique, à des fins politiques avec une information traitée par des moyens détournés. »
 
NDLR :

Effondrement du syste-me.jpgPour comprendre pourquoi nous assistons à L'effondrement du Système : un livre collectif publié aux Bouquins de Synthèse nationale.

Avec une contribution d'Arnaud Raffard de Brienne

En savoir plus cliquez là

Le commander en ligne cliquez ici


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09:52 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le JT de TV Liberté d'hier soir :

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Suite aux violences de samedi dernier à Rennes : LA BRETAGNE REELLE SE LEVE !

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Saluons le vote suisse contre l’immigration de masse

IMG_0117 -Copier-.JPGEric Miné

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Libre attitude, comme tous ceux de par le monde qui se soucient du respect des sociétés et des individus qui s’y rattachent, ne peut que se réjouir de l’issue favorable du référendum suisse contre l’immigration de masse.

Destructrice des identités, celle-ci procède en effet du calcul délibéré d’un système politico-économique mondial fondé sur la croissance illimitée des biens et des populations, qui voit dans l’immigration de masse le moyen commode d’anéantissement des cultures et des civilisations par la dilution des peuples qui les portent, et ce dans l’unique objectif de briser les dernières digues s’opposant encore au consumérisme effréné qui lui sert de moteur.
 
En mettant ainsi un coup d’arrêt au libre-échange absolu au profit du rétablissement d’un contrôle des flux dans leur pays, les Suisses ont démontré que, quand ils pouvaient s’exprimer, les peuples européens n’étaient pas dupes de la manœuvre pernicieuse de ce système fossoyeur de leurs valeurs naturelles et vitales.
 
À rebours de l’apparente générosité d’une « citoyenneté mondiale sur une planète ouverte » qui nous est ressassée jusqu’à plus mais par les zélateurs d’un ordre qui ne sert en fait que les intérêts d’une oligarchie mondialiste illégitime, Libre attitude considère que la diversité des races et des cultures est le ressort de la vie et la vraie richesse des peuples, et que le mélange de celles-ci ne peut s’effectuer qu’au titre exceptionnel de volontés individuelles affirmées qui ne sauraient relever de quelque décision bureaucratique ou politique totalitaire visant à sa généralisation.
 
Par ce vote salvateur du 9 février 2014, la Suisse envoie un message d’espoir à tous les peuples menacés de par le monde. Que ce geste d’humanité réelle soit ici salué.
 
NDLR :

Effondrement du syste-me.jpgPour comprendre pourquoi nous assistons à L'effondrement du Système : un livre collectif publié aux Bouquins de Synthèse nationale.

Avec une contribution d'Eric Miné.

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mardi, 11 février 2014

Notre camarade Daniel Tallet est décédé...

BgL4jHxCAAAX5Lw.jpgDaniel Tallet, très souvent affectueusement surnommé "Daniel Taxi", est décédé lundi 10 février.

Toujours présent lorsque les activités militantes l'appelaient, Daniel s'investissait beaucoup avec la bannière francilienne de Terre et peuple. Lors de nos journées annuelles de Synthèse nationale il venait nous donner un coup de main appréciable. Nous nous souviendrons aussi de sa bonne humeur qu'il savait faire partager autour de lui.

Daniel n'est plus là. Il s'en est allé rejoindre Barbara au Paradis des Guerriers...

Ses obsèques auront lieux jeudi 13 février à 14 h au funérarium de Lagny-sur-Marne (77).

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La faillite de Mandela et Juan Peron par Jean-Claude Rolinat

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Camille Galic

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Trente-huit pages dans « Le Point » réputé « de droite », davantage encore dans les hebdos de gauche, le 5 décembre dernier, le décès – d’ailleurs attendu depuis plus de six mois – de Nelson Mandela a plongé dans l’affliction la planète entière dont les dirigeants ont tenu à se rendre toutes affaires cessantes aux obsèques du « géant ». C’est dire si le livre de Jean-Claude Rolinat, « La Faillite de Mandela » (*), s’imposait après le raz-de-marée d’éloges déversés sur la sépulture de celui que certains ont proposé de sacrer « plus grand homme d’Etat du XXe siècle ».

Mandela richissime, la RSA ruinée

Le 3 février, l’un des exécuteurs testamentaires de « Madiba » faisait savoir que sa fortune personnelle était provisoirement évaluée à 46 millions de rands, soit 3 millions d’euros. Pas mal pour un simple avocat (diplôme obtenu sous le régime honni de l’apartheid, notez bien) : libéré en 1990 après de longues années passées en prison pour entreprise terroriste, il n’aura occupé que cinq ans la présidence de la République sud-africaine, dont l’appauvrissement a, au contraire, été proportionnel à l’enrichissement de son premier président noir, si bien qu’en effet la faillite du pays est avérée. Quelles qu’aient été les intentions pacificatrices de Mandela couronnées par un prix Nobel de la paix également attribué à son complice afrikander Frederik Willem de Klerk, président du Parti national et président de la République d’Afrique du Sud de 1989 à 1994, qui a trahi son peuple au profit de la majorité noire et d’un puissant capitalisme apatride, le résultat n’est pas à la hauteur des folles espérances mises par la mediaklatura dans la « nouvelle Afrique du Sud ». Les chiffres accablants fournis par J.-Cl. Rolinat le prouvent : « Le passage du pouvoir blanc au Black Power » a accouché d’un pays malade.

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Le JT de TV Liberté d'hier soir :

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Avec les écolos, le bonheur est dans le gouvernement !

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Philippe Randa

Boulevard Voltaire

Avec nos amis les Verts, on est rarement déçu ! Chacune de leurs interventions est l’occasion de s’en payer une bonne tranche. De consternation dans les projets annoncés, de pitié dans les alliances électorales… et de « poilade » dans les déclarations.

La dernière en date vaut son pesant de cacahuètes (on les leur lancera sous condition qu’elles proviennent de commerce équitable, bien sûr)…

Depuis samedi, Europe Écologie Les Verts (EELV) est désormais pour une « participation combative » au gouvernement… Alors qu’on s’attendait à les voir abandonner le radeau de la méduse par indigestion de couleuvres – on ne les compte plus, de la reculade sur l’écotaxe à celle de la loi sur la famille en passant par les déclarations prêtées à Arnaud Montebourg, sur une technique expérimentale « propre » d’extraction des hydrocarbures de schiste –, ils ont bel et bien clamé leur volonté, ce samedi, « d’imprimer leur marque sur l’action du gouvernement »

Sans blague ?

« Quand on est de gauche et qu’on voit ce qui se passe à l’extrême droite, qu’on voit la droite et les messages qu’elle apporte, qu’on voit ce qui se passe dans la rue et qu’on voit qu’il n’y a pas d’offre alternative avec le Front de gauche [...], je ne vois pas quel serait l’intérêt pour les écologistes de rajouter une crise politique, voire politicienne », a renchéri de son côté Jean-Vincent Placé, patron des sénateurs EELV.

Mais attention, si pour François de Rugy (coprésident du groupe écologiste à l’Assemblée nationale) non plus « la participation de ministres écologistes au gouvernement ne se pose pas », un communiqué d’EELV a bien précisé qu’« en raison des orientations économiques choisies par le gouvernement, le soutien d’EELV au pacte de responsabilité n’est pas acquis ».

« Ce que je souhaite aujourd’hui, c’est que nous ayons une participation combative à ce gouvernement. Nous devons être combattants dans ce que nous voulons », a tonitrué Emmanuelle Cosse devant le Conseil fédéral du parti.

Pauvre femme… On achève bien les chevaux, d’accord, alors que les écolos, eux, n’ont besoin de personne ; ils s’auto-flagellent à longueur de déclarations. Des kamikazes masochistes qui n’en finissent plus de se donner corps et âme aux socialistes avec des soupirs de bêtes à l’hallali plutôt qu’en rut. Évidemment, Maîtresse Cosse doit quand même faire avec sa base. Certains militants, moins masos, rechignent de plus en plus, semble-t-il, à subir à répétition les derniers outrages infligés par le Daft Punk élyséen et son teneur de chandelle de Matignon.

La responsable EELV a donc appelé ses militants à être « extrêmement soudés » pour qu’arrive à terme la loi sur la transition énergétique (le texte devrait être présenté en Conseil des ministres en juin-juillet) et pour laquelle EELV se montrera « totalement intransigeant […] parce que c’est une opportunité que nous n’aurons qu’une seule fois. Soit nous réussissons cette année, soit il n’y aura pas de transition énergétique dans le quinquennat […] Il faut mettre la barre très haut. » Comme Gérard (Eddy Mitchell) avec Nicole (Sabine Azéma) dans Le Bonheur est dans le pré ?

Cette année, la tendance à EELV sera donc « cuir et martinet » plutôt que « chaînes et colliers » ? L’une n’empêche pas l’autre…

 

Faites un don à SN.jpg

10:37 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Même devant la Maison Blanche...

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Même aux Etats-Unis, Hollande n'est pas le bienvenu...

10:27 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LA VOIX DU PEUPLE

pierre vial4.JPGPierre Vial

Terre et peuple cliquez ici

Les media pourris (pardon pour le pléonasme !) s’étouffent d’indignation. Le peuple suisse a osé. Il a osé braver le tabou, défier les dogmes, cracher sur les idoles. Scandale. Il a voté et « mal » voté : malgré l’interdit lancé par le pays légal (autorités politiques, religieuses, économiques, culturelles…) et les inquisiteurs bruxellois (le maffieux Jose Manuel Barroso, président de la Commission européenne et la harpie Viviane Reding, commissaire à la justice et aux droits fondamentaux (sic) ) le pays réel a refusé, par référendum, l’immigration massive (même si les Suisses, ces veinards, ont une immigration plus européenne qu’africaine) en approuvant le texte proposé par l’UDC imposant, sans ambiguïté et sans complexe, « la préférence nationale ».

Furibard, le président du groupe socialiste au Parlement européen, le social-démocrate Hannes Swoboda, a réaffirmé rageusement son credo mondialiste : « L’immigration n’est pas une menace mais un atout appréciable pour le développement économique et social de tout Etat moderne ». Pour punir ce pantin il faudrait le condamner à séjourner pendant un mois dans le 93…
Voici donc que monte une affirmation populiste, que le politologue suisse Pascal Sciarini, professeur à l’université de Genève, qualifie d’ « identitaire ». Quelle horreur… Et il annonce l’apocalypse : « Si on procédait au même vote dans d’autres pays, on risquerait d’avoir le même résultat ».
La voilà, la bonne idée. Alors, Hollande, on fait en France un référendum sur l’immigration ? Pas cap, comme on dit dans la cour de l’école. D’autant qu’on voit arriver des hirondelles qui font le printemps : un sondage publié par Le Monde indique que 67 % des Français trouvent qu’il y a trop d’immigrés, 88 % rejettent le monde politique, 75 % ne font plus confiance à l’Etat … et 50 % ne croient plus à la démocratie. Le grand réveil serait-il en route ?
 
NDLR :
3035113426.jpgFace à la crise, une autre Europe
30 contributions dont celle de Pierre Vial
160 pages, 18,00 € (+3,00 € de port)
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10:09 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 10 février 2014

Retour sur l'attaque de la courageuse librairie Facta à Paris :

23:59 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi dernier à Paris : conférence de la Ligue francilienne sur l'Europe...

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Source Réseau identités cliquez là

Dans une brasserie au cœur de Lutèce s’est déroulé un diner-débat de fort belle facture organisé par la Ligue Francilienne et le Réseau-Identités autour d’un thème qui est cher à nombre d’entre nous, l’Europe. Pour évoquer notre continent-civilisation, deux acteurs de la mouvance européiste identitaire ont accepté de prêcher l’Europe à un public attentif, soucieux de son avenir, mais déçu par une construction « européenne », l’Union Européenne actuelle, qui n’a pas été à la hauteur des enjeux.

Pour les deux intervenants, la première gageure n’était pas de réveiller des consciences, qui l’étaient déjà, mais de réveiller en eux l’espoir d’une Europe unie et puissante, d’une Europe qui préservera les identités nationales sans que ces dernières ne la divisent, mais au contraire la forgent.

Jacques Cordonnier, président d’Alsace d’Abord, et Thomas Ferrier, secrétaire général du PSUNE, le « Parti des Européens », ont ainsi éclairé de leur expérience ce que devait être l’Europe, ce qu’elle était pour eux et la forme qu’elle devait prendre.

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20:07 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |