vendredi, 20 décembre 2013
Non à l'intégration !
Ceux qui, du PS à l’UMP – mais aussi à l’extrême-droite – préconisent ou simplement acceptent l’intégration trahissent leur peuple et devront en rendre compte le moment venu. Car la minute de vérité approche.
18:57 Publié dans Débat sur l'identité, Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Rapport sur l'intégration : la trahison au sommet...
Le rapport sur la «Refondation de la politique d'intégration », présenté sur le site du premier ministre, a soulevé une tempête médiatique et politique . Il apparaît comme une remise en cause totale de l'identité française. Même s'il ne s'agit pas là de décisions effectives, il faut noter que le Premier ministre « salue la grande qualité de ces travaux et remercie l’ensemble des personnes qui y ont contribué » (site du gouvernement).
Les cinq documents qu'il comprend, rédigés dans un langage très indigeste, et parfois incorrect, présentent un modèle « républicain » qui n'est en aucune façon un modèle de l'identité française : on y lit, par exemple que La France devrait assumer la dimension « arabe-orientale »... de son identité ...
Certes, le séminaire interministériel sur le sujet,qui devait avoir lieu en janvier 2014, a finalement été annulé. Mais la présentation sur le site de Matignon a bien été faite.
Avec tous les patriotes, travaillons à la mise au pouvoir de dirigeants qui défendent vraiment notre nation.
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Bernard Lugan : le vrai Nelson Mandela
12:41 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Tous à Paris le dimanche 26 janvier :
Le site de Jour de colère cliquez ici
00:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 19 décembre 2013
Une nouvelle Librairie française à Paris...
14:15 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les Blancs dans l'Afrique du Sud arc-en-ciel...
11:13 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Décés de Jean-Pierre Dellac, responsable du Service de sécurité du Parti de la France
Carl Lang et Le Parti de la France ont la tristesse de vous informer du décès de Jean-Pierre Dellac, fondateur et directeur national du Service d'Encadrement et de Protection (SEP).
Longtemps responsable du DPS du grand Est Jean-Pierre Dellac était une figure de notre combat de résistance nationale et une personnalité exceptionnelle, toujours au service de la sécurité des militants patriotes.
Ses obsèques auront lieu en présence des dirigeants du Parti de la France le lundi 23 décembre à Auxerre à 10h30 (cliquez ici).
10:38 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi, c'est le jour de Rivarol
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mercredi, 18 décembre 2013
Heurs et malheurs du trotskysme
Source Breizh info cliquez ici
L’écrivain Patrick Gofman était à Nantes le 13 décembre pour présenter à la librairie Dobrée son dernier essai intitulé « Le trotskysme dégénéré » (cliquez ici NDLR).
Les trotskystes se revendiquent de l’héritage de Marx et de Lénine et de la Révolution russe d’Octobre 1917 et bien sûr de Léon Trotsky. Pendant 60 ans, après avoir été persécutés par Staline, ils ont continué à se réclamer du communisme révolutionnaire et à prôner la révolution permanente, sans remettre en cause les méthodes du « petit père des peuples » en particulier le système concentrationnaire du Goulag pour leurs adversaires appelés « ennemis du peuple ». Ce qui démontre, selon P. Gofman, qu’ils étaient bien à la remorque du stalinisme.
Divisés en une kyrielle de groupuscules multipliant les scissions et se déchirant sur l’interprétation des textes sacrés de Lénine et de Trotsky, les militants trotskystes ont longtemps eu une activité politique confidentielle.
C’est après 1968 qu’ils sont apparus en plein jour en France, autour de 3 groupes principaux : Lutte ouvrière de l’inoxydable Arlette Laguiller véritable secte vivant dans une semi clandestinité ; la ligue communiste révolutionnaire d’Alain Krivine, devenue aujourd’hui le NPA de Besancenot ; et enfin le discret courant « lambertiste » qui a changé dix fois de nom pour s’appeler aujourd’hui le Parti ouvrier indépendant (POI).
Pendant 30 ans ces groupes ont pratiqué avec succès un « entrisme » dans les partis de gauche comme le PS – l’origine politique de certains dirigeants socialistes et de plusieurs ministres est à cet égard significative – et les syndicats CFDT et Force Ouvrière. En 2002 le trotskysme français paraissait à son apogée électorale avec 10 % des suffrages. Ne profitant pas de la crise économique et sociale que traverse la France, il est redescendu depuis à son étage traditionnel qui est de 1 à 2% du corps électoral.
Les nombreux trotskystes « infiltrés » dans le système ont en réalité été amenés à le gérer. P.Gofman considère, preuve à l’appui, qu’ils ont été « digérés » par celui-ci. C’est en réalité sur le plan culturel et dans la société civile que les trotskystes ont connu leurs plus grandes réussites. Si aujourd’hui le féminisme, l’homosexualisme, l’antimilitarisme, immigrationnisme etc., connaissent un tel succès, c’est incontestablement grâce à eux.
Animés d’une véritable haine contre toute notion d’identité, qu’elle soit nationale ou européenne, les disciples de Trotsky se sont faits de facto les propagateurs de tous les communautarismes.
En Bretagne, en particulier en Loire atlantique, ils ont réussi à s’implanter durablement dans les syndicats comme la CFDT et surtout, pour ce qui est des lambertistes, Force ouvrière. Ils ont aussi pratiqué un entrisme tous azimuts dans la classe politique nantaise. Des fichiers, des contacts, des soutiens financiers surtout : c’est ce qui est recherché.
Pour quoi faire ? Les syndicats sont devenus des bureaucraties défendant plus leurs propres intérêts que ceux de leurs adhérents. Ironie de l’histoire, les « antifas », souvent considérés comme des analphabètes politiques recrutant chez les marginaux, tendent de plus en plus à se comporter comme les « bandes armées » du capital.
C’est finalement dans le domaine des médias que leur réussite aura été la plus éclatante. Comme le souligne la Fondation Polémia, « derrière une façade de diversité, les grands médias scénarisent l’actualité selon la même grille de lecture, celle de l’idéologie unique qu’ils partagent : laisser-fairisme et libre-échangisme économique, cosmopolitisme et sans-frontiérisme, rupture de la tradition et révolution des mœurs. C’est la sainte alliance du trotskysme de salles de rédaction et du capitalisme financier. L’union des milliardaires et de la médiaklatura. ». Une fin que le fondateur de l’Armée rouge n’avait sans doute pas prévue.
Quelques photos de la tournée de Patrick Gofman en Pays de la Loire :
Nantes, jeudi 13 décembre
Angers, vendredi 14 décembre
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"Les discours consensuels lancés contre le peuple"
Les Libres propos de Jacques-Yves Rossignol
Il est très important de bien comprendre le rôle de tous ces endroits où, sous les prétextes les plus divers, se rencontrent et se confortent les gens du mondialisme et leurs idéologues. Leurs idéologues, c'est à dire les gens qui sont chargés de justifier les pouvoirs en place et les décisions qu'ils prennent.
Il est très difficile d'appliquer ouvertement une politique cruelle et glacée ; les propriétaires du monde doivent envelopper, enrober leurs interventions, dans un petit peu de discours humaniste, humanitaire. Ils doivent donner des raisons relativement plausibles et cohérentes à tout ce qu'ils font.
Tous ces discours doivent bien sûr être servis avec beaucoup d'assurance : on ne doit pas percevoir qu'il y a d'autres options.
Les gens de gros argent et leurs conseillers proches savent surtout ce qu'il ne faut pas dire : ils invitent donc des gens qui parleront sans franchir les dangereuses limites entre le bavardage mondain et l'analyse politique.
On invite donc des gens de religion, des gens de morale, des universitaires que l'on sait acquis ou inoffensifs, ou carrément gâteux.
On ne peut pas parler de tromperie ou de mensonge puisque la plupart de ces gens ont été formés d'une façon telle qu'ils n'imaginent même pas que l'on puisse dire quelque chose de fort et de vrai sur la société.
C'est dans ces lieux que se forment les discours consensuels qui sont répétés partout. Dans ces lieux et pas du tout dans les médias comme on le dit très souvent sans réfléchir. Réfléchissons donc un peu ! Les médias n'inventent pas d'idéologie, ils ne font que répéter et diffuser des discours qui se forment ailleurs et qui s'imposent effectivement parce qu'ils occupent tout le terrain ! Les journalistes "vendus" ne font que répéter des sortes de petites théories consensuelles qu'ils n'inventent pas du tout ! Or, tout le monde gémit contre les médias et presque personne n'essaie d'étudier comment se forment ces petites théories consensuelles qui occupent tout le terrain !
Pour élaborer ces discours consensuels à large diffusion, on s'éloigne des lieux de pouvoir proprement dit. On dira le même chose que dans les lieux de pouvoir purs et durs (une seule chose à vrai dire : le profit est sacré) mais sous des formes plus discrètes, plus enrobées. On met des distances, des intermédiaires et aussi des références spirituelles, artistiques. On se réunit dans un couvent ou un centre d'art contemporain. Là, on est entre soi, on est à l'abri du peuple et des gêneurs.
Il s'agit donc bien d'éviter que l'on puisse dire des choses solides, des choses vraies sur les conflits dans la société. Dans tous les cas, l'essentiel, c'est de ne pas parler de la réalité sociale.
Parfois on a chaud : il y a quand même dans le public des questions qui abordent la réalité contemporaine mais on est rodé : on réussit à répondre à coté ou à ne pas répondre du tout.
Quels que soient les sujets, on élude, on distancie, on euphémise. C'est cela le métier d'idéologue.
Des banalités religieuses, morale ou philosophiques, un petit stock de citations tiennent lieu d'analyses. Tout cela est accueilli par des sourires convenus.
A la fin, on est soulagé : on a réussi une fois encore à parler pour ne rien dire devant un public acquis d'avance qui est venu pour entendre précisément un discours qui ne dit absolument rien. Rien, sauf ceci : notre hypocrisie fonctionne à merveille !
Il serait bien utile et formateur de pénétrer, de fréquenter enfin ces lieux, d'apprendre à les connaître, de comprendre la véritable manière dont la bourgeoisie mondialiste méprise le peuple. Et d'apprendre à contrer enfin ces discours, essentiellement par l'invention d'autres discours consensuels mais ironiques et surplombants.
17:17 Publié dans Jacques-Yves Rossignol | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sur le rapport en cinq volets remis au Premier ministre à propos de l’intégration
Un communiqué de Renaud Camus et du Parti de l'In-nocence :
Le parti de l’In-nocence remarque qu’avec le rapport en cinq volets remis au Premier ministre à propos de la politique d‘intégration (qui justement devrait changer de nom, car il n’y a rien à intégrer à rien, sinon la France à ses conquérants...), toute ambiguïté est levée. Les colonisateurs islamistes expriment leurs desiderata (guichets de la Sécurité sociale où l’on parle arabe, arabisation de l’enseignement, généralisation du voile, etc.), desiderata que des commissions ou des groupes de travail ad hoc étayent sur des bases idéologiques remplacistes. Bien entendu il ne s’agit pas (encore) de la politique officielle du gouvernement, mais on est habitués à ces coups de sonde médiatiques, destinés à préparer le peuple indigène au parachèvement du Grand Remplacement dont lui et sa civilisation font l’objet, désormais tout à fait ouvertement et officiellement. Traîtres, remplacistes, collaborateurs et promoteurs du changement de peuple ne se cachent même plus, ce qui n’empêche M. Jean-Marc Ayrault de les féliciter de « la grande qualité de [leurs] travaux ».
Le parti de l’In-nocence constate au passage que le lien évident et maintes fois signalé par lui entre Grande Déculturation et Grande Remplacement est exemplairement attesté par ce rapport en cinq volets. Ces bradeurs stipendiés de la patrie, qui proposent de mettre sur le même plan et de traiter pareillement, en France, la culture et la langue françaises, d’une part, les cultures, traditions et langues de nos colonisateurs d’autre part, le font dans le pire charabia administratif, déshumanisé et déculturé, scandé par une ponctuation fautive presque à chaque ligne, et souvent plusieurs fois par ligne : « Faire des politiques d’intégration un mode de gouvernance de la collectivité locale, en menant des actions agissant contre les effets de spécialisation par l’espace », « Cela suppose de clarifier, à quels publics, ces différentes politiques s’adressent et, quel est le mode de gouvernance approprié pour ordonner, organiser ces différentes politiques ».
Source cliquez ici
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Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3120
du 12 décembre 2013
LE ROTTWEILER n’est pas seulement détesté par les Français. Même à l’Elysée, beaucoup commencent à s’agacer sérieusement de ses comportements. En cause : sa tendance à influencer le président de la République. Alors que sa cote de popularité ne cessait de chuter, la compagne du chef de l’Etat avait d’ailleurs confié : « Je l’avais dit au départ : je voulais qu’on me laisse le temps, on ne me l’a pas laissé (…) il m’a fallu le temps de prendre mes marques ». Elle prétend aujourd’hui avoir « pris ses marques ». Voire…
L’INFLUENCE DU DRAGON DE L’ELYSÉE SUR HOLLANDE EXASPÈRE SON ENTOURAGE
Selon les informations de Challenges qui cite un proche de François Hollande, « l’influence de Valérie sur le président s’accroît à mesure que les difficultés s’accumulent ». Ainsi, l’hebdomadaire déplore que « bien qu’elle s’en défende, c’est bien elle qui a poussé le président de la République à intervenir à la télévision pour proposer à Léonarda de revenir en France sans sa famille ». Une brillante intervention qui avait ridiculisé le chef de l’Etat… Mais, paraît-il, le président ne serait pas seul à subir les tocades et les avanies du rottweiler. Elle a pris en grippe Claude Sérillon, le conseiller en communication de l’Elyséen. Il se serait en effet « mêlé de sa vie intime ». Du coup les propositions de Claude Sérillon se retrouvent presque systématiquement retoquées par Valérie Trierweiler, qui se mêle de tout, assistée dans ses sulfatages par un ancien paparazzi, Stéphane Ruet, qu’elle a fait nommer à l’Elysée. Dis-moi qui tu hantes, et je te dirai qui tu es…
AUDACIEUSE DÉCLARATION DE MALEK BOUTIH
« Christiane Taubira n’est pas la femme qui souffre le plus de racisme en France. Mobilisons-nous pour ceux qui souffrent réellement » a déclaré Malek Boutih sur RMC dans les Grandes Gueules. Evoquait-il les blancs, les catholiques ? On ne sait pas. Toujours est-il que l’Observatoire de la christianophobie a recensé en 2012 250 actes de christianophobie, dont 8 agressions de prêtres, 17 tentatives d’incendies et incendies d’églises, 25 cas de profanations et actes de vandalisme de cimetières chrétiens, et 70 cas de profanations d’églises. Notons que le catholicisme est devenu la seconde religion la plus pratiquée en France après l’islam, qui lui, n’a subi que 157 actes supposés islamophobes, concernant essentiellement des critiques de la religion islamique.
MARINE LE PEN MÈNE LA “MÊME CAMPAGNE QU’ADOLF HITLER”
L’octogénaire Guy Bedos ne sait plus quoi dire pour faire parler de lui. Présent au gala contre le racisme organisé le 2 décembre au soir à Paris, ce piètre humoriste qui ne fait plus rire personne a accusé la présidente du Front national de faire la même campagne qu’Hitler, en ayant « remplacé les Juifs par les Arabes et les Nègres ». Guy Bedos, qui est un grand intellectuel, enfonce le clou : « Elle dit à tous ces gens qui vont mal, car nous sommes dans la même crise que dans les années hitlériennes, les années 30, si vous êtes au chômage, si vous souffrez, c’est parce qu’il y a trop d’Arabes, trop de Noirs. Si on fout les Arabes à la mer, vous aurez du travail ». Comme quoi, la dédiabolisation, c’est pas facile. Allez, Marine, Louis et Florian, courage, il y a encore du travail à faire !
“L’IMPORTANT, C’EST DE DÉDIABOLISER L’ÉTIQUETTE DU FRONT NATIONAL”
Le concubin de Marine Le Pen a encore frappé. « L’important, c’est de dédiaboliser l’étiquette Front national » a-t-il expliqué avec sa puissante intelligence sur les ondes de Sud Radio. Du coup, le FN va sans doute changer de nom, probablement à l’automne 2014, mais, attention, en toute démocratie. Ce très proche de la présidente du FN avec laquelle il a acheté sous forme de SCI (société civile immobilière) une superbe propriété près de Perpignan, bien loin des masses laborieuses d’Hénin-Beaumont (on veut bien les voix des pauvres et des chômeurs mais sûrement pas les côtoyer au quotidien), déclare : « Les adhérents discuteront de toutes ces choses-là si l’ordre du jour le prévoit ». Bon, si l’ordre du jour ne le prévoit pas, ils n’en discuteront pas. Jean- Marie Le Pen, le fondateur du parti, a toujours considéré que ce serait une grave erreur de changer de nom, ce en quoi il a parfaitement raison. Remarquez que si le nouveau FN portait le doux nom d’Aube Dorée, ce ne serait pas mal. Encore que certains y verraient des relents ésotériques. Evidemment, s’ils choisissaient « Front National-Sioniste », ce serait beaucoup moins bien…
AMUSANT, CE MAIRE UMP…
Luc Jousse, maire UMP de Roquebrune-sur-Argens (Var), s’est exprimé lors d’un conseil de quartier au sujet des gens du voyage : « Les Rroms, c’est un cauchemar, c’est un cauchemar ». Evoquant un incendie qui menaçait un de leurs camps, il déclara : « Ce qui est presque dommage, c’est qu’on a appelé trop tôt les secours », ce qui fit s’esclaffer la salle. Oui, mais ça ne fait pas du tout rire l’UMP qui dénonce des « propos inacceptables ». Le parti présidé par Jean-François Copé que feu ADG surnommait « l’étoile jaune montante de la Chiraquie » prévient que l’élu peut « s’attendre à des sanctions appropriées ». On ignore encore lesquelles, mais on peut s’attendre à quelques abominables tortures, voire plus, si affinités. Remarquez que si l’édile avait été membre du FN mariniste, il aurait été exécuté sur-le-champ. Ah le politiquement correct, quand tu nous tiens !
HORREUR : DU ZYKLON B AU PARLEMENT EUROPÉEN !
La société brestoise IPC, spécialisée dans l’hygiène, vient de sortir un nouveau détergent nommé « Cyclone B ». Mais, abomination, Cyclone B, ça fait Zyklon B ! L’affaire, le scandale, a débuté à Bruxelles, au Parlement européen, où le produit avait été utilisé par le personnel d’entretien. Du coup, l’Association juive européenne s’en est lourdement émue. Son directeur, le rabbin Menachem Margolin, a déclaré : « C’est sûrement le pire nom que l’on peut donner à un produit d’hygiène. Au mieux, c’est une horrible ignorance, au pire un record du monde de cynisme malveillant ». L’entreprise se défend, plaidant pour « l’horrible ignorance » et précisant, information importante, que « l’entreprise compte des salariés juifs qui n’ont eux-mêmes pas fait le lien ». Ouf, on respire !
ALLEMAGNE : CONDAMNÉS À 3 900 EUROS D’AMENDE POUR AVOIR DÉPASSÉ LEUR TEMPS DE PAROLE !
J’avais déjà évoqué dans ces chroniques les étonnants délires que s’autorisent les autorités allemandes pour museler leur opposition. Là c’est en Bavière, à Munich, que cela se passe. Le parti Die Freiheit récolte des signatures afin de voir organiser une consultation du peuple à propos de la construction d’un centre islamique au sein de la capitale bavaroise. Il s’est vu imposer par une juridiction de Munich de ne pouvoir prendre la parole que durant des périodes de dix minutes maximum séparées de pauses de dix minutes minimum. Même Orwell n’avait pas imaginé un tel délire. La police criminelle (une police qui, comme je l’ai déjà raconté, porte volontiers cheveux longs et boucles d’oreilles) a constaté, lors d’un rassemblement qui s’est déroulé le 27 juillet 2013 durant plusieurs heures, que par deux fois Die Freiheit a dépassé le temps de parole et que par deux fois la pause a été trop courte. Les mêmes faits ont été constatés lors d’un rassemblement le 1er août 2013 (le temps de parole a été aussi dépassé ce jour-là à deux reprises et deux pauses ont été trop courtes). Pour avoir enfreint la règle édictée par le tribunal, les responsables de Die Freiheit à Munich se voient condamnés à payer une amende de 3 900 euros. Des malades, de grands malades…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici
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mardi, 17 décembre 2013
Jospin et Juppé à Qunu !
Yves Darchicourt
On va rarement à un enterrement pour se marrer, même si on s'y rend par pures convenances ou en délégation et en règle générale on y adopte l'air attristé de circonstance ou tout au plus un pâle sourire aussi solidaire que tristounet. Et pourtant il se trouve parfois dans l'assistance obligée un quidam pour être atteint d'un fou-rire déclenché par une broutille tout au plus amusante et qui -allez savoir pourquoi- est ressentie comme le summum du désopilant; une hilarité d'autant plus inextinguible qu'elle s'alimente des sursauts indignés et des regards courroucés des voisins de travées.
Un impair qui aurait pris des proportions himalayennes lors du dernier raout funèbre autour de la dépouille de Mandela à Qunu. A simplement penser que durant la fastidieuse cérémonie, un de ses représentants laisse son esprit divaguer et en vienne à se gondoler par exemple à l'évocation de Qunu prononcé autrement que "kounou", Pépère a dû en avoir des sueurs froides. Et c'est sans doute pourquoi il a choisi Alain Juppé et Lionel Jospin pour représenter la France à l'enterrement du tatamkhulu Nelson.
Avec cette belle paire sortie de l'UMPS rassemblée autour des valeurs "arc en ciel", Pépère a donné certes dans le ridicule mais s'est garanti du risque odieux de la Bérézina diplomatique et du gravissime incident sulfureux. Juppé-Jospin c'était du sûr dans le morose, du certain dans le lugubre, de l'exemplaire dans le sinistre, un duo de pisse-froid aux antipodes du goguenard, des insensibles chroniques au drolatique, des réfractaires à la bouffonnerie qu'on n'imagine même pas pouffer. Une belle image de la ripoublique officiellement concernée et consternée par la disparition du "grand homme" Mais finalement, pour le gaulois moyen, l'essentiel est que la prestation à rendre neurasthénique des deux tristus annonce le clap de fin d'une décade de mandelamania effrénée.
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APRES LA FLAMME OLYMPIQUE, VOICI LA TORCHE DES JEUX ISLAMIQUES
De G.H.W Bush à Barack Hussein Obama (prix Nobel de la Paix 2009), les Etats-Unis ont mis l’Orient à feu et à sang.
Notre devoir de mémoire nous rappelle que pour contrer l’invasion communiste en Afghanistan (1979-1989), les américains ont recruté toutes sortes d’alliés et de mercenaires, dont Oussama Ben Laden et ses sbires salafistes, via le prince Turki al-Faycal –chef des services de renseignements saoudiens- et vieil ami des Ben Laden, famille richissime. La libération de l’Afghanistan devient pour Oussama son djihad personnel, sa croisade anticommuniste, pour laquelle il recrute, sur les fonds saoudiens et américains, des centaines de moudjahidines, affluant de tous les pays arabes.
Après la déroute des armées russes venues en aide au régime communiste afghan de Najibullah et l’effondrement de l’URSS en décembre 1991, Ben Laden s’alliera finalement à la cause des talibans du mollah Omar, pour revenir au centre du « Grand Jeu ».
En guise de représailles à l’effondrement des 3 tours du WTC (1,2 &7) le 11/9/2001, les USA interviennent militairement en Afghanistan contre Al-Qaïda (la Base) en février 2002.
Guerre du Golfe. Irak acte I.
En 1990, l’ONU condamne l’invasion du Koweït et son annexion par l’Irak. Une coalition de diverses armées envahit l’Irak en 1991 pour attaquer Saddam Hussein, désigné comme responsable de la mystification des couveuses de Koweït-City. Souvenons-nous quand même que c’est l’Irak qui est entrée en guerre contre l’Iran en 1979 (après la chute du Shah, valet des intérêts américains) pour tenter de faire tomber l’ayatollah Khomeiny et les gardiens de la révolution (pasdaran) auteurs de la prise d’otages à l’ambassade US de Téhéran. Jusqu’au cessez-le-feu en 1988, l’Irak n’a pas pu se développer socialement et économiquement, alors que dans la région d’Abadan, le Koweït lui pompait ignominieusement son pétrole !
Irak acte II.
Sans doute pour mettre main basse sur les richesses pétrolifères de l’ancienne Mésopotamie, une offensive militaire anglo-américaine (hors mandat de l’ONU) et sur base de mensonges grotesques (armes de destruction massives, 4ème armée mondiale) lancée le 20 mars 2003, conduit à l’effondrement du régime le 9 avril et portent les USA à l’administration de l’Irak. Après une parodie de procès, Saddam Hussein est pendu le 30 décembre 2006. Le tyran éliminé, le pays s’en porterait beaucoup mieux …
Stabilité, pacification ou développement économique ?
Bien au contraire : la bête immonde du Nouvel Ordre Mondial a semé le désordre, la misère et le chaos dans tous les pays orientaux depuis plus de 30 ans, pour le plus grand bénéfice du complexe militaro-industriel américain et avec l’appui des gnomes de Wall Street. Il suffit de lire la rubrique « International » des grands quotidiens pour apprendre qu’en Irak ou en Afghanistan la situation est catastrophique.
Qui peut prétendre, par ailleurs, que le « Printemps arabe » a été bénéfique pour la population en Tunisie, en Egypte ou en Libye ? Ces pays n’ont en aucune façon prospéré après la destitution de Ben Ali, l’emprisonnement de Moubarak et l’assassinat de Kadhafi. Au contraire : ils se sont inexorablement enfoncés dans l’obscurantisme le plus démentiel, accompagné d’un désastre institutionnel.
Et de grandes âmes, intellos de gauche comme de droite, voudraient impérativement que l’on soutienne les euros-mondialistes belliqueux dans une sombre machination pour écraser la Syrie et renverser Bachar al-Assad, afin de le « punir » comme l’exigeait Hollandouille ? Au contraire : il faut défendre le soldat Bachar !
Que la communauté internationale envoie plutôt ses missiles « Tomahawk » sur Tel-Aviv et Jérusalem pour que l’Etat hébreu respecte in fine les résolutions 181 et 242 restées inappliquées depuis des décennies et sur lesquelles les sionistes s’assoient ! L’exemple des bombardements de Belgrade en 1999 et de Bagdad en 2003, devrait leur servir de leçon. Mais il est vrai que ni les Yougoslaves, ni les Irakiens ne possédaient de missiles nucléaires « Jéricho », ni d’un centre de recherches comme celui de Dimona !
20:13 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ce sur quoi devraient méditer les médias et autres « bobos » atteint de la « Mandelâtrie »….
Jean-Claude Rolinat
Du Nouvel-Observateur à Libération, Le Monde ou Paris-Match – « Mandela est immortel. Il appartient désormais aux Africains de rendre immortel son rêve d’égalité, de pardon, de respect et de paix », Olivier Royant, p.57 numéro 3369 - en passant par les chaînes d’info en continu, BFM, LCI ou I Télé, ce ne fut qu’un concert de louanges et d’éloges dithyrambiques. Le seul effet comique incongru dans de telles circonstances fut la grotesque prestation du traducteur en langages des signes dont l’imposture ne fut révélée qu’après la cérémonie du souvenir au stade de Soweto. Ce qui en dit long sur la dégradation des services de sécurité ! Pendant une semaine, de Paris au siège New-yorkais des Nations Unies en passant par Johannesburg ou Qunu au Transkei, les commentaires n’offraient à nos oreilles que les mêmes croassements venant de la mare médiatique.
« Tout ce qui est excessif est insignifiant » nous enseigne le sage… L’ancien chef de la branche terroriste de l’African National Congress méritait-il ce déluge d’honneurs post-mortem, l’érigeant en Père de la paix mondiale, en icone révérée par toute la bien-pensance cosmopolite, à la hauteur de toutes ces excellences à qui le Nobel de la Paix a été décerné et dont, bien souvent, il ne reste aucune trace en faveur du pacifisme ? Car quel est le bilan de la star sud-africaine créditée de toutes les qualités humaines ?
Incontestablement, le créateur de la chimérique « nation arc-en-ciel », après avoir passé 27 ans en prison – les dernières années de résidence à Paarl s’apparentant plus à un séjour en cinq étoiles – n’a prononcé aucune parole de haine, n’était animé par aucun esprit de vengeance contrairement à nombre de ses alter-égo tel un vulgaire Ben-Bella ou un cinglé comme Mugabe. Et là il faut lui rendre un sincère hommage. Pour le reste, en habile négociateur, il a « roulé les Blancs dans la farine »…Il faut dire qu’il avait en face de lui un De Klerk qui n’était que le porte-parole d’un Broederbond –, la franc-maçonnerie afrikaner, prête à tous les abandons pourvu que l’on ne touche pas à son fric ! Mieux valait conserver ses domestiques noirs et sa piscine dans les beaux quartiers du Cap, de « Jobourg » ou de Pretoria, que de résister et de s’abandonner au mythique rêve d’un Volkstaat….On a vu ce que ce choix a donné. Depuis avril 1994, un million de blancs sont partis, des milliers d’autres, notamment des fermiers comme Terreblanche le chef de l’AWB, ont été massacrés et le chômage touche presque un Noir sur deux. Le sida atteint 26 % des adolescentes noires et la discrimination « positive », le Black power employment, prive l’Afrique du Sud de ses cadres d’origine européenne qui cherchent en Australie (20 000 Blancs émigrés), en Nouvelle-Zélande aux Etats-Unis ou au Canada une situation meilleure pour eux et leurs enfants. Il n’est pas jusqu’aux rudes fermiers boers qui reprennent les charriots de leurs ancêtres pour répondre positivement aux offres de terres à cultiver provenant du… Mozambique ou de la Géorgie ! Une oligarchie noire égoïste a fait main basse sur une partie de l’économie et s’entend comme larrons en foire avec ses homologues de la bourgeoisie blanche, tout au moins sa fraction qui a oublié d’où elle vient. Mandela a gouverné en dilettante, laissant à ses deux adjoints, à l’époque Thabo M’Beki et Frederik De Klerk, la gestion des affaires courantes. La diva planétaire parcourait le monde glanant ici ou là des lauriers qui n’étaient pas tous usurpés. Comme un mal ne vient jamais seul, tel un miroir aux alouettes, l’Afrique du Sud qui au premier abord fait plus penser aux Etats-Unis qu’à l’Afrique noire profonde, a attiré des centaines de milliers d’immigrants en provenance du reste du continent. D’où une éclosion de bidonvilles à la périphérie des grandes villes qui résorbaient à peine leurs quartiers insalubres. Le pays est divisé ethniquement même si, et c’est heureux, les lois les plus sombres de l’apartheid avaient déjà été abolies sous les gouvernements des Vorster, Botha et De Klerk. Il l’est économiquement avec, nous l’avons vu, l’irruption d’une classe noire nantie et égoïste –environ 10% de la population – laissant derrière elle les « oubliés de la croissance ». Régionalement aussi : en dehors des grandes métropoles détribalisées, les Xhosas restent au Cap oriental, les métis au Cap Nord et à Capetown même, les Zoulous au Kwazulu-Natal et les indiens à Durban. C’est la région du Witwatersrand et celle du Cap qui concentrent la majorité de la population blanche, à peine 9 % du total du pays. L’ANC est, pour l’instant le parti dominant, mais des concurrents déçus par sa politique se lèvent à sa gauche et à sa droite. Le Freedom Front qui devrait concentrer la résistance afrikaner est largement devancé dans l’opposition par le Democratic Party d’Helen Zille, Premier ministre de la province du Cap. Le DP semble d’ailleurs rallier à sa politique d’opposition frontale avec l’ANC tous les mécontents et particulièrement les métis, qui parlent l’afrikaans, et qui sont très nombreux dans son fief de la province du Cap Occidental. Si Mandela a su prévenir des conflits majeurs, grâce surtout à la neutralité des généraux, puis à l’abandon de leur cause afrikaner par ces derniers, sa disparition ne changera rien quant au fond des choses. L’avenir n’était déjà plus radieux. Comme dans nombre de pays du tiers monde, l’écart est trop grand entre une minorité privilégiée et la masse du peuple. L’unité nationale est un leurre, mis à part quelques élites acquises au mondialisme. Il y a autant de différences entre un Anglophone blanc et un Afrikaner, qu’entre un Français et un Britannique, autant entre un Xhosa et un Zoulou qu’entre un Danois et un Serbe, que l’on veuille bien me pardonner ces comparaisons… osées. Espérons simplement que ce tsunami lacrymal qui a monopolisé les ondes pendant près d’une semaine ne sera pas suivi du torrent des larmes des oubliés de ce pays, Blancs ou Noirs, qui mériterait mieux que la mainmise monopolistique de l’ANC.
INFO SN : sortie prochaine de "La faillite de Mandela", le livre noir de la nation arc-en-ciel signé Jean-Claude Rolinat, aux Bouquins de Synthèse nationale, 170 pages, 18,00 €
19:54 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 16 décembre 2013
La Voix de la Russie de cette semaine :
10:11 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 15 décembre 2013
De la Mandelamania à la Mandelahisteria
Faut-il l’avouer, je me méfie toujours instinctivement de ces manifestations d’exaltation unanime qui, pour l’esprit chagrin que je suis, dissimulent toujours une réalité beaucoup moins plaisante à voir. Mandela a fait l’objet, de son vivant, d’une véritable idolâtrie à l’échelle planétaire. Mort, le voici quasiment déifié. Notre société agnostique, qui a perdu la foi chrétienne et l’amour de la patrie, a quand même besoin d’icônes pour se rassurer sur la bonté foncière de la nature humaine et la possibilité pour l’humanité de vivre pour toujours dans la paix et l’harmonie.
De ce point de vue, Mandela a été une icône parfaite, lisse, irréprochable, sans un pli, même si sa vie privée a été quelque peu tourmentée en raison des turpitudes de sa femme, comme le savent certains initiés. Car son visage humain a fini par disparaître sous les couches épaisses de peinture arc-en-ciel que la presse mondiale n’a pas manqué d’appliquer sur ses traits
Nelson Mandela est mort au terme d’une longue vie, à 95 ans, et d’une non moins longue série d’hospitalisations répétitives, pieusement annoncées par une presse mondiale fermement décidée à ne pas rater l’évènement et à le faire savoir au public
Ses funérailles n’ont pas été moins triomphales : il aura connu un enterrement de roi. Tous les grands de ce monde, 70 chefs d’Etat, 5 Prix Nobel, se sont précipités à Johannesburg pour y être et surtout y être vu : la reine d’Angleterre, le Prince Consort, le Prince de Monaco, le président du Luxembourg, l‘Evêque coadjuteur de la Principauté d’Andorre, sans oublier Jacques Chirac, (qui croyait assister à une virée en Corrèze), Nicolas Sarkozy toujours préparant son grand retour, François Hollande revenu tout exprès du front en battle dress, bref, tout ce que le monde politique compte de visible, d’important, de notable : une véritable exhibition politique médiatisée à l’échelle mondiale venue rendre hommage au vieux leader disparu. Les propos convenus, les discours amphigouriques ont coulé à flots. Il n’y a que Vladimir Poutine, décidément grincheux, qui se sera contenté d’envoyer là-bas une vague représentante diplomatique.
Comment s’expliquer cette stupéfiante hystérie collective en faveur d’un personnage sympathique certes, mais qui, à ma connaissance, n’a nullement bouleversé la carte du monde ni son destin, comme l’ont fait un Gorbatchov ou même un Elstine par exemple ?
Il faut y voir, naturellement, un effet « média », ou effet « boule de neige ». Il y a des évènements où il faut aller coûte que coûte, pour y être vu. Cela compte à l’heure de la communication mondiale instantanée .
Mais, derrière cet écran se cachent au niveau du public deux sentiments beaucoup moins élevés : le soulagement et la peur, sœurs jumelles.
Cette peur a deux facettes. L’une, bien évidente, est celle du racisme, ou plus précisément de l’anti-racisme. S’il s’agissait de Frederick de Klerk, le dernier président blanc de l’Afrique du Sud, personne ne se serait ne se serait dérangé le moins monde. Et pourtant son concours, pour éviter la tragédie d’une guerre civile prolongée et ruineuse, a été essentiel. Mais peu importe. C’est un Blanc. Il a eu, certes, lui aussi, le prix Nobel de la Paix. Mais il n’intéresse plus personne. Mieux, plus personne ne retient son nom.
Pour Mandela, c’est une toute autre histoire. Il était noir et il fallait absolument pour toute personnalité politique être vue en train de s’associer aux hommages publics qui lui était rendu, sous peine de se voir dans l’instant taxé de racisme, ou tout au moins de mollesse dans l’anti-racisme, péché mortel de nos jours. C’est l’arme incapacitante par excellence que pas un politique dans son bon sens n’oserait braver. Allons donc à l’enterrement de Mandela et nous aurons un brevet d’anti- racisme à peu de frais bien utile par les temps qui courent.
L’autre facette de cette peur diffuse est un sentiment de soulagement. Il est lié au fait que, obscurément, la minorité blanche en Afrique du Sud, mais les Blancs d’une manière générale dans le monde (il n’y a qu’à voir certaines rames de métro le soir à Paris pour voir le changement opéré en peu d’années), se savent en grand danger démographique. Les prévisions de l’ONU sont sans appel. L’Afrique à deux milliards de personnes, c’est pour demain, à la fin de ce siècle. En 2100, un homme sur trois dans le monde sera d’origine africaine. Dans de telles conditions, comment les Blancs n’éprouveraient-ils pas instinctivement le besoin de se rassurer, comme on siffle dans la rue la nuit pour ne pas avoir peur et de se protéger par le truchement d’une image rassurante.
Mandela, avec son visage rieur et sympathique, a joué ce rôle à la perfection. Il a montré de façon spectaculaire qu’il était possible, au moins pour quelque temps, à une minorité blanche de survivre, mieux, de coexister paisiblement avec une écrasante majorité noire, sans craindre le massacre collectif ou des Vêpres siciliennes. Message bien reçu en Occident. Nous pouvons désormais dormirons sur nos deux oreilles à l’ombre tutélaire de Nelson Mandela .
Quoiqu’il en soit, il est un singulier parallèle à établir entre Mandela, qui vient de disparaître et Martin Luther King, le héros de la communauté noire en plein réveil et en marche vers le pouvoir aux Etats-Unis il y près de 50 ans.
Dans le deux cas, il s’agissait de leaders charismatiques de deux communautés noires. Dans les deux cas il s’agissait de ravir une parcelle ou la totalité du pouvoir politique détenu par la communauté blanche. Cela a été promptement chose faite en Afrique du sud où les Noirs détiennent une écrasante majorité, même s’ils sont fortement minoritaire aux Etats-Unis où les Noirs ne constituent qu’une forte et remuante minorité, l’affaire a été plus lente même si le premier président métis de l’histoire américaine a été élu en 2007 avec Barak Obama, personnalité tout à fait remarquable au demeurant
Mais ce qu’il y a de tout à fait intéressant est que deux cas, le succès politique n’a nullement été suivi d’une consécration significative sur le plan économique. Comment expliquer ce paradoxe ?
Une hirondelle ne fait pas le printemps. Le Noirs ont été très habiles pour détourner à leur profit les valeurs forgées en occident au cours de siècles, au prix d’un accouchement pénible, au sortir du Moyen-Age, valeurs fondées comme on sait l’équité, la représentativité et l’égalité. Mais ils ont été totalement incapables de convertir cette réussite vers un développement économique à caractère durable. Ils demeurent encore aujourd’hui à la traîne des Blancs et incapables de consolider à leur profit les acquis remarquables obtenus par le jeu de la démocratie quantitative.
L’Afrique du Sud après Mandela n’a rien de bien glorieux. Certes une petite bourgeoisie noire de 8 millions de personnes côtois 40 millions de Noirs plongés dans la misère cependant que les Blancs s’enferment dans des ghettos sécurisés. Cette inégalité entretient au quotidien un climat d’instabilité et d’insécurité qui entrave le développement économique. Le taux de croissance ne dépasse pas 3 % l’an, bien insuffisant pour tirer le pays de l’ornière. L’Afrique du sud est également championne du monde du sida, triste privilège.
En d’autres termes, rien n’a changé sur le fond en Afrique du Sud. Mandala donné le pouvoir politique à une minorité noire, celle de l’ANC, astucieuse et corrompue, dont son président, Jacob Zuma, est le parfait exemple. Mais d’une part, il n’a pas réussi à donner aux Noirs la capacité de se doter du pouvoir économique, qui est toujours l’apanage des Blancs. Par ailleurs, il n’a pas été en mesure d’infuser aux Noirs les vertus dont il était, en principe, porteur. Les Noirs sont toujours aussi misérables et les Blancs, enfin une honnête minorité, toujours aussi prospères. Mandela n’a rien pu faire pour soulager l’effroyable misère des ghettos de Soweto, (qui valent largement les favellas de Rio de Janeiro) où croupit dans la misère une foule nombreuse et déshéritée.
Les fermiers blancs se sentent au quotidien menacés de cambriolages ou d’assassinats dans leurs fermes prospères, au risque d’en être chassés quelque jour par des gangs de bandits noirs, comme c’est déjà le cas au Zimbabwé voisin sous l’égide du sinistre Mugabé. A Johanesburg les coquettes villas occupées par des Blancs sont sujettes à de fréquents cambriolages, ce qui oblige leurs propriétaires à édifier d’imposantes protections sous forme de barrière de barbelés souvent électrifiés. Enfin, à partir de 6 h du soir il ne fait pas bon de se promener dans les rue de Pretoria et les touristes amateurs de promenades vespérales sont avertis de ce que sortir de leurs hôtels ne va pas sans risques. Quant à l’équipe de rugby de l’Afrique du Sud, elle ne comporte qu’un seul joueur noir, et encore n’est-il pas le meilleur de l’équipe. Mais Mandela rusé et excellent politicien, n’a pas manqué de célébrer la victoire de l’équipe « arc-en-ciel » aux derniers championnat du monde de rugby .
En fait, la figure de Mandela évoque celle d’une autre Noir qui a fait, lui aussi, l’objet d’un véritable culte aux Etats-Unis, Martin Luther King, qui a eu la chance, lui, d’être sottement assassiné par un fou à Memphis, Alabama. Ce qui lui a dans l’instant, conféré l’auréole du martyr. Mais, dans le sillage de Martin Luther King, le processus d’émancipation de la communauté noire aux Etats-Unis a connu un fantastique coup d’accélérateur. A telle enseigne que l’actuel président des Etats-Unis est un Noir, … enfin un métis. Lequel se trouve, par chance, être une personnalité politique remarquable, à la vie privée impeccable (contrairement à celle d’un certain Bill Clinton de sinistre mémoire). Mais la communauté noire aux Etats-Unis reste à la traîne des autres.
Dans un sens, Barak Obama est l’héritier de Martin Luther King, en ligne directe. Dans un cas comme dans l’autre, l’émergence d’une forte personnalité noire à caractère charismatique a permis aux Noirs de dérober, puis de s’approprier, une parcelle du pouvoir politique détenu jusqu’alors pas les Blancs (aux Etats-Unis) ou la totalité de ce même pouvoir en Afrique du Sud, au profit des Noirs et aux détriment des Blancs .
Mais on ne saurait trop le répéter, rien de tout cela n’aurait été possible sans le poids de la situation démographique dans ces deux pays qui a lourdement joué en faveur des Noirs aux Etats-Unis comme en Afrique du Sud, en créant une situation politiquement et socialement impossible à gérer. Sans la présence d’une écrasante majorité de Noirs là-bas ou d’une imposante minorité ici, rien n’aurait été possible. De ce point de vue, Nelson Mandela et Martin Luther King n’auront été, après tout, que les habiles accoucheurs, hautement médiatisés, d’une société en lente transition démographique.
Car tout est démographie. La démographie fait la loi. C’est elle qui commande en fin de compte l’évolution des sociétés humaines. Et tout le reste est littérature.
Moralité : si vous voulez gagner ou conserver le pouvoir, faites des enfants. Avis aux Québécois.
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Réaction d'Emmanuel Ratier suite à l'attaque dont a été victime la librairie Facta à Paris...
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Le Journal du Chaos de cette semaine :
Le Journal du Chaos de cette semaine cliquez ici
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Italie : vers une nouvelle marche sur Rome ?
Lundi dernier, un fort vent de fronde a soufflé sur toute la péninsule italienne. Une centaine de manifestations, inspirées du mouvement populaire des "Forconi" (les porteurs de fourches) parti de Sicile, ont mis en branle d'immense cortège de citoyens italiens ulcérés contre les taxes, la précarité, le chômage, l'austérité et l'incapacité crasse de la coalition "gauche droite" censée gouverner le pays. Plus généralement, l'exaspération des manifestants s'est focalisée sur les privilégiés et les profiteurs de la caste politique dont la simple évocation ou pire encore la fugace apparition a suscité huées, bordées de divers noms d'oiseaux et incitations viriles à aller se faire pendre ailleurs.
Pour la plus grande désolation des démocrasseux il s'est même trouvé - horresco referens - du populaire pour sans aucune vergogne comparer ces "émotions" aux heureux prémisses de la "marche sur Rome" des Chemises Noires de Benito. Et cerise sur le gâteau, pour la première fois des policiers ont fraternisé avec les manifestants sous le cri rassembleur de "Italia" (voir la vidéo)
Une déferlante du petit peuple contre les politiciens et un début de fraternisation des forces de l'ordre avec les citoyens mécontents... on comprend pourquoi nos "grands" médias n'ont guère répercuté l'évènement. Il est vrai aussi que notre médiacratie européenne était fort occupée à célébrer Mandela !
23:22 Publié dans En Europe et ailleurs..., Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Montpellier : tentative d'agression contre Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi
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samedi, 14 décembre 2013
Les Bouquins de Synthèse nationale en 2013 : "L'EFFONDREMENT DU SYSTEME"...
Assiste-t-on à l’effondrement du Système ?
Depuis 2008, la crise qui ronge le Nouvel ordre mondial que beaucoup croyaient éternel s’amplifie d’année en année. Les peuples, qui furent les premières victimes de cette situation semblent prendre de plus en plus conscience que leur identité, et leur liberté, sont menacées.
Ce n’est donc pas le moment, pour nous autres nationalistes et identitaires, de baisser les bras. Et de renoncer au combat.
Dans ce premier volume de la collection « Droit de regard, regards de droite » lancée par Synthèse nationale, les symptômes de l’effondrement du Système sont passés en revue.
Avec la participation de :
Maurice Bernard, enseignant
Georges Feltin-Tracol, écrivain, animateur du site Europe Maxima
Pieter Kerstens, chef d’entreprise bruxellois
Eric Miné, écrivain, spécialiste de l’Asie du Sud-Est
Patrick Parment, journaliste, directeur du Journal du Chaos
Arnaud Raffard de Brienne, essayiste, spécialiste de la désinformation
174 pages, 18,00 €
21:03 Publié dans 07 - La 7e Journée nationale et identitaire, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : Les Editions de Chiré viennent de publier "Doctrines philosophiques et Systèmes politiques" de Louis Jugnet...
Dans ce livre, qui connaît sa quatrième édition, Louis JUGNET (1913 - 1973) expose la politique de Platon et d'Aristote, les philosophies du christianisme antique, du Moyen Age, du XVIè et XVIIè siècles, mais aussi Machiavel, Hobbes et Locke, Descartes, Bossuet et Fénelon, Montesquieu, Rousseau, Bonald et Maistre, Kant, Fichte et Hegel, Proudhon, Marx et Lénine, Maurras et beaucoup d'autres. Un lien profond unit "doctrines philosophiques" et "systèmes politiques". Ce livre nous apporte des connaissances et surtout il est le résultat de nombreuses lectures et recherches. C'est l'œuvre d'un professeur qui connaissait parfaitement les auteurs et qui pénétrait ce qui est essentiel dans leurs écrits : un livre incontournable !
Doctrines philosophiques et Systèmes politiques, Louis Jugnet, préface de Jean de Vigerie et postface de Louis Millet, Editions de Chirés, 2013, 188 pages, 18 €
Pour le commander cliquez ici
En vente à Duquesne Diffusion : 27, Avenue Duquesne 75007 Paris
00:09 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 13 décembre 2013
Avant Noël : 2 nouvelles publications de Synthèse nationale
Le n°34 de la revue Synthèse nationale sortira le 22 décembre. Un grand article consacré à l'auto-défense, de nombreux articles sur l'actualité, des chroniques, retrouvez Roland Hélie, Luc Pécharman, Patrick Parment, Georges Feltin-Tracol, Arnaud Raffard de Brienne, Francis Bergeron, Philippe Randa, Serge Ayoub et bien d'autres... les pages du Marquis et un retour sur la 7e journée nationale et identitaire du 11 novembre dernier à Rungis. 120 pages, 12,00 €. Abonnez-vous cliquez ici.
Un nouveau Bouquin de Synthèse nationale signé Jean-Claude Rolinat : République Sud-Africaine : LA FAILLITE DE MANDELA, quelques jours après la disparition de l'icône de la bienpensance mondialiste, il est nécessaire de remettre les choses à leur juste place. 170 pages, 18,00 € (+ 3,00 € de port, chèque à l'ordre de Synthèse nationale). Vous pouvez le commander à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement).
12:14 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les Bouquin de Synthèse nationale en 2013 : "Dominique Venner Présent", pour que son ultime message soit entendu.
11:49 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après la visite de Manuel Gaz, Calais se mobilise pour défendre son identité...
Pour en savoir plus cliquez ici
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RAPPEL : Patrick Gofman à Nantes et Angers les 13 et 14 décembre
10:36 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Défendre les fêtes et les traditions européennes...
Voici le discours prononcé par Hughes Bouchu, responsable de la Ligue Francilienne, à Paris le 8 décembre :
Chers Amis,
Nietzsche disait de la fête qu’elle était « Le paganisme par excellence ». C’est dire si la préservation des fêtes traditionnelles de notre civilisation héléno-chrétienne est consubstantielle de notre identité. Aujourd’hui, une religion ostentatoire, totalitaire et conquérante, entend étouffer nos valeurs sous les sables d’un désert prêt à nous submerger.
Mes chers Amis, soyez en sûr, le combat de demain, sera gagné au nom de nos valeurs, de notre héritage civilisationnel, « par des veilleurs, disait Dominique Venner, postés aux frontières du royaume et du temps » et je rajouterai, des veilleurs arc boutés au Parthénon et à Notre Dame de Paris !
Lorsqu’on s’attaque en vérité à nos fêtes, ce n’est pas parce qu’elles sont chrétiennes, mais parce qu’elles sont de notre terre Europe, parce qu’elles remontent à notre histoire la plus lointaine, parce qu’elles sont nées du génie et de la volonté de nos ancêtres.
A Lutèce, qui est devenue Paris, notre sol sacré est irrigué du sang de nos pères. Là, Camulogène, le chef gaulois, a résisté aux soldats de César. Ici l’empereur fut applaudi par ses soldats et proclamé « impérator ». Les étudiants de toutes l’Europe médiévale venaient aux universités de Paris recevoir les enseignements des maîtres.
Ne nous y trompons pas. Lorsque certains réclament que nos fêtes soient mises sur le même plan que d’autres fêtes religieuses, ce n’est pas à une plus grande tolérance qu’on nous appelle, mais à renoncer à ce que nous sommes, à déshonorer notre patrie, à céder chez nous à la tyrannie de l’Autre, avec un grand A.
« Le triomphe des démagogues », disait Charles Péguy, « est passager, mais les ruines sont éternelles ». Alors qu’à Athènes, nous devrions construire une mosquée, à Istanbul on ne restitue pas Saint Sophie aux chrétiens.
La Turquie arrogante d’Erdogan veut nous imposer sa loi et nous devrions acclamer l’adhésion à l’Union Européenne de ce pays non-européen qui balance l’oeuvre de Kémal Atatürk aux orties, et qui prône un islamisme de Rabat à Ankara !
C’est aujourd’hui, une fois de plus, que nous devons montrer que nous ne renoncerons pas à ce que nous sommes. Et si cela déplait, et bien tant mieux ! Nous n’exigeons pas des autres qu’ils se plient à notre culture et à nos traditions. Ils ont le droit, tout comme nous, de défendre leurs coutumes, mais si l’Europe ne leur plait pas, telle qu’elle est, nous ne la changerons pas pour leurs faire une place qu’ils n’ambitionnent que par la trahison depuis plusieurs décennies de nos dirigeants corrompus. Comme savait nous le dire Georges Bernanos : « les démocraties ne peuvent plus se passer d’être hypocrites ! »
Oui, ils ont le droit de défendre leurs valeurs, leur culture, leurs fêtes et leurs rites, comme nous en avons le droit, mais chez eux, sur la terre de leurs ancêtres.
C’est pourquoi, en manifestant en ce jour, nous signifions clairement à tous ceux qui veulent nous néantiser, notre liberté de nous opposer à ce que l’on veut injustement nous imposer. Nous resterons maîtres chez nous, fidèles à la foi civilisationnelle de nos aïeux, respectueux du sens divin des fêtes et des rites, des sacrifices et des offrandes. Car, avant d’être chrétien ou d’être agnostique, avant d’être nationaliste, patriote ou d’être européiste, ce qui compte c’est d’être français et européen, d’être gaulois et romain, d’être un homme ou d’être une femme.
C’est notre identité dans sa complexité qui nous réunit pour combattre ceux qui nous nient.
Il y a quelques jours, défilaient ceux qui, au nom d’un anti-racisme fantasmé, veulent nous interdire de dire ce que nous pensons d’une greffe de peuplement qu’on nous impose et que nous rejetons. Ils veulent nous interdire de dénoncer l’usurpation d’une religion étrangère sur notre sol, sous prétexte que « des gens » pourraient être heurtés par l’affirmation identitaire des natifs, des indigènes, sur leur propre terre. Par contre, « eux » auraient le droit de s’affirmer en tant que tel ou que sais-je encore, mais pas nous.
Nous devrions payer le prix d’une substitution de population que nous n’avons pas souhaitée, d’un esclavage qui n’a enrichi qu’une extrême minorité de fumistes et de glandeurs, les mêmes qui s’enrichiront ensuite sur le dos des travailleurs français et européens dans les bureaux, dans les mines et dans les usines.
Eh bien, non ! Nous refuserons toute capitulation qui ne serait qu’une attitude par laquelle on se met à expliquer au lieu d’agir.
Chers camarades, en cette période d’avant Noël qui est la fête la plus enracinée de notre civilisation, je vous en conjure : défendons bec et ongles nos traditions, toutes nos traditions… Traditions gauloises, traditions celtiques, traditions médiévales, traditions antiques et traditions chrétiennes…
Et pour paraphraser Péguy, je dirais : « Notre droit ne fait pas la paix, il fait la guerre ! »
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jeudi, 12 décembre 2013
Méridien zéro reçoit Philippe d'Hugues
RBN Méridien zéro cliquez ici
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Les Bouquins de Synthèse nationale rééditent "Présence de José Antonio"...
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