mercredi, 21 mai 2014
Malvenu antisémitisme sur la Croisette...
La chronique de Philippe Randa
Anne Sinclair avait le choix entre deux postures, concernant le film Welcome to New-York, consacré aux sexuelles frasques ancillaires de son ex-mari : traiter « l’œuvre » par le mépris… ou partir en croisade contre !
Avec sa tribune sur le Huffington Post, dont elle est directrice éditoriale, elle a donc choisi la descente dans l’arène, mais pas celle de l’épouse trahie et salie, mais l’arène politique, celle où elle a tant excellé lorsqu’elle faisait les beaux jours de la télévision française. Elle brandit ainsi sans vergogne l’éternelle suspicion d’antisémitisme, accusant « les producteurs du film (de projeter) leurs fantasmes sur l’argent et les juifs. »
Il n’y a pire accusation contemporaine que cette antienne, aussi vieille que la nuit des temps et si usée depuis la fin de la dernière guerre mondiale… Obsession pour certains, fantasme pour d’autres, il n’est pas certain, cette fois-ci, que le choix soit judicieux.
La film d’Abel Ferrara avec Gérard Depardieu dans le rôle principal, projeté au festival de Cannes avait déjà suscité un certain brouhaha, promis, probablement, à ne pas perturer. Distribué seulement en VOD (video à la demande), il n’était destiné, selon toute vraisemblance, qu’à un public limité d’amateurs de « porno light » et de voyeurisme confidentiel… Ce coup de projecteur inattendu va lui assurer, à n’en point douter, une autre clientèle… combien de divisions ?
19:40 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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LE TRAITÉ TRANSATLANTIQUE : UN DIKTAT. La nuit du 4 août des gagistes ?
Métamag cliquez ici
Les membres de la Commission Européenne n’apprennent rien, ne savent rien, ne veulent rien comprendre. Pourtant, de même que la première guerre mondiale a été « terminée » par un diktat qui préparait la guerre suivante, les diktats transatlantiques, tant pour les biens que pour les services, préparent la guerre contre ce qui reste de civilisation en Europe. Car les méthodes ne changent pas. Les traités qu’ils imposent sont des diktats. Le conflit ainsi préparé suit les lignes de la servitude européenne. Trois causes de conflits sont prévisibles.
13:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Ce soir, Lionel Baland sur Radio Courtoisie
Notre collaborateur et ami Lionel Baland, animateur du site bien connu consacré aux mouvements de résistances nationalistes et identitaires à travers l'Europe (cliquez ici), sera ce mercredi soir l'invité de Martial Bild dans son Libre journal sur Radio Courtoisie (18 h - 21 h).
Ils aborderont ensemble l'état des forces nationales à travers notre continent à quelques jours des élections européennes de dimanche prochain.
Radio Courtoisie cliquez ici
07:11 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 20 mai 2014
Europe : votez populiste !
Le billet de Patrick Parment
Soyons réalistes, rien ne changera vraiment dans l’Europe bruxelloise après le vote du dimanche 25 mai. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il manque une volonté politique capable de susciter une réorientation de l’institution européenne. De toute manière le bazar européen est tellement complexe que personne ne saurait par quel bout commencer. Pour que quelque chose bouge, il faudrait qu’un pays majeur menace de sortir ou sorte de l’Union européenne. Même la Grèce, pourtant malmenée, n’a pas oser franchir le Rubicon.
L’Allemagne, qui en est le moteur, n’a, que je sache, aucune envie de changer quoi que ce soit, pour la bonne raison qu’elle fait la pluie et le beau temps à Bruxelles et qu’elle a placé des hommes compétents à tous les points stratégiques. Avec les Anglais, il faut le noter au passage.
Le France, elle, compte envoyer des zozos du genre Nadine Morano, Alain Lamassoure, Renaud Muselier et autres Vincent Peillon de service. Pour notre nomenklatura politique d’incapables, l’Europe, c’est d’abord un casse-croûte à 10 500 euros par mois. Y a que Michèle Alliot-Marie pour nous dire, en toute impudence, que cette élection va lui coûter du pognon ! Au fait, c’est qui cette dame ?
Et François Hollande peut aller parader à Bruxelles en clamant que l’on va voir ce que l’on va voir, agiter ses petits poings … il entre en costard et sort à poil. Et nous avec.
Ce qu’attendent les peuples européens, c’est une Europe dont ils ont le sentiment qu’elle défend leurs intérêts. Pas que l’on vende leur déclin avec le traité transatlantique qui nous aliènerait encore plus à cet ennemi du genre humain qu’est l’Amérique.
On veut l’Europe des peuples, des patries, celle qui défend la puissance qu’elle représente encore et qu’illustre son génie créatif.
C’est la raison pour laquelle on ira voter, dimanche, en chantant pour les partis populistes quels qu’ils soient ! Histoire de mettre un coup de pied dans cette fourmilière sans queue ni tête.
19:44 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le nouveau numéro (n°76) du "Chêne", le journal du MNR est paru
Au sommaire de ce numéro :
- Editorial : La classe politique en pleine décomposition.
- Actualité, communiqués de presse.
- Bruno Mégret : après la scission du Front national, « j'aurais pu changer la donne politique ».
- Jean Madiran à la dentelle du rempart.
- Le vice et le crime, au secours des économies occidentales.
- L'écologie, un concept de droite ?
- Cérémonie des Bobards d'Or.
- Vie du mouvement.
- Tract.
Téléchargez ce numéro : cliquez ici
19:42 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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800e anniversaire de Saint Louis : Richard Roudier a tenu à souligner le caractère profondément identitaire de l’évènement

Avez-vous lu le livre de Richard Roudier ?
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18:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Reims, dimanche prochain, les nationalistes fêteront Jeanne d'Arc...
18:28 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Avez-vous consulté le site des "Cahiers d'Histoire du Nationalisme" ?
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Nouvelle « loi famille » : des apparences de vertu…
Gabrielle Cluzel
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La famille, on le sait, c’est l’enfant battu du gouvernement. Le souffre-douleur, sur lequel on cesse de s’acharner quelques temps quand, après un gnon plus gros que les autres, la maîtresse a fait les gros yeux, mais auquel on revient dès que celle-ci a le dos tourné. Avec plus de prudence. Rien que des pinçons sous le pull qui ne se voient pas.
Arrive à l’Assemblée un nouveau texte : l’autorité parentale et « l’intérêt de l’enfant ». La précision dès l’intitulé, on le voit, cherche à convaincre… La garde alternée et le statut des beaux-parents, sujets épineux, s’appellent désormais « double-résidence de l’enfant » et « mandat d’éducation quotidienne ». Exit PMA et GPA, mais il n’est pas exclu qu’un jour ou l’autre elles-aussi reviennent, repeintes de frais, sous les noms pimpants – par exemple – « d’accompagnement à la conception » et de « délégation de grossesse ».
Et tout cela, comme d’habitude, a des apparences de vertu. Il faudrait un statut du beau-parent pour faciliter la vie quotidienne. Sur une radio, un beau-père vient témoigner : il a aidé sa femme à élever ses trois filles sans rencontrer le moindre problème. Le journaliste lui rive son clou d’un ton ferme : Oui, mais quid de l’urgence médicale ? L’auditeur s’arrête, interdit, c’est vrai qu’il n’y a jamais été confronté. Ce n’est pas tous les jours, n’est-ce pas, que l’on emmène sa belle-fille mourante à l’hôpital. Mais quelle sorte de médecin refuserait de soigner un enfant en danger au motif que l’accompagnateur n’aurait pas de « statut » ? C’est qu’il ne faudrait plus confier sa progéniture à personne, ni grands-parents, ni baby-sitter, ni nounou, ne jamais la déposer à aucun goûter d’anniversaire ni partir en voyage.
Ce n’est donc pas d’un statut pratique dont a besoin le beau-parent, mais d’un statut symbolique, un statut social, la reconnaissance de tout le mal qu’il se donne… un statut pour lui, en somme, et nullement pour l’enfant, qui se verra doté, à son corps défendant, d’un parent supplémentaire « low cost » venant interférer dans des décisions d’éducation déjà compliquées à prendre à deux. Et si d’aventure ce nouveau parent social se brouillait avec le parent biologique, gardera-t-il malgré tout son statut – avec le risque qu’au fil des unions, il faille réunir un vrai conseil d’administration pour décider du choix du lycée ? Ou sortira-t-il de la vie de l’enfant aussi arbitrairement qu’il y est rentré ?
La double-résidence, également, semble relever de la justice… la justice façon roi Salomon, coupons l’enfant en deux, ce sera d’une équité rigoureuse pour chacun des deux parents. Mais ce nomadisme perpétuel, avec le doudou, la brosse à dents, le pyjama toujours dans le cartable, quel adulte le supporterait ? Et le père et la mère sont-ils par nature si interchangeables qu’ils puissent se substituer l’un à l’autre sans dommage ?
Sans doute, et on peut le comprendre, nombre de pères souffrent de ne pas voir assez leur enfant, n’admettant pas que l’égalité des sexes s’arrête à la porte du juge aux affaires familiales.
Sans doute, et on peut le comprendre, les parents rêvent d’une famille recomposée « Ricoré », où l’on pourrait réparer une erreur de casting passée, et créer des liens de papier à défaut de liens de sang entre ceux que l’on aime.
Mais si Salomon, justement, en son temps, avait eu raison ? Si le signe d’un amour véritable n’était pas la justice, mais le sacrifice ? Le sacrifice de soi pour son enfant ?
Mais si tout cela, surtout, en confortant la confusion entre père et mère, en instituant la « parentalité pour tous » afin d’ouvrir à tous vents les frontières de la famille qui ne relèvera plus du droit du sang mais du droit du sol, visait encore une fois à « sniper » une institution aux valeurs par trop réactionnaires ?
11:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dans Présent d'aujourd'hui : un grand entretien avec Jean-Claude Rolinat sur l'Afrique du Sud
Le site de Présent cliquez ici
Présent est aussi dans les kiosques
Sur l'Afrique du Sud et sur Mandela, le dernier livre de Jean-Claude Rolinat :
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Rome / Paris : 2 soirées en souvenir de Dominique Venner
11:00 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Samedi dernier, en présence du Duc d'Anjou et du Comte de Paris, une procession pour le 800e anniversaire de Saint Louis à travers la capitale
02:14 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Une racaille embrasse de force une journaliste de la chaîne France 3
Source Contre-info cliquez ici
La chaîne de gauche France 3 était en direct avec une de ses journalistes pour la « nuit des musées ».
Celle-ci faisait un reportage dans un musée d’« art [sic] moderne et contemporain » où étaient invitées « toutes les richesses [sic] de la banlieue » (comprendre des immigrés).
Un tableau assez complet de la société rêvée par la gauche… quand une racaille a surgi et, non sans une certaine violence, a embrassé la journaliste.
A quand le viol en direct ?
Pendant ce temps, le fameux pervers et ancien ministre de la culture [sic] Jack Lang, présent sur le plateau, ricane et prétend que « c’est drôle ».
01:42 Publié dans Revue de presse, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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lundi, 19 mai 2014
La Serbie dans la Grande guerre
Centre culturel de Serbie cliquez là
22:59 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le Barreau de Lyon crée une « équipe commando » pour lutter contre le racisme
Source La Flamme cliquez ici
Un groupe de treize avocats spécialement formés prendra en main des dossiers liés aux questions de racisme, d’antisémitisme et autres discriminations.
« C’est une initiative totalement lyonnaise dont nous nous serions bien passés. » Me Philippe Genin, avocat au Barreau de Lyon et ancien Bâtonnier, a présenté ce lundi « l’équipe commando » qui vient d’être formée au sein de l’ordre professionnel des avocats.
« Si Lyon est historiquement une terre de résistance, nous observons depuis près de huit ans une montée en puissance de groupuscules violents et haineux d’extrême droite comme les Jeunesses nationalistes ou les identitaires, explique Me Genin. Nous constatons par ailleurs un afflux de dossiers concernant le racisme ‘ordinaire’ dans la rue, dans les entreprises ou en matière de discrimination au logement. Nous nous devions de réagir. »
Pour la première fois en France, un groupe de treize avocats lyonnais volontaires, bénévoles et spécialement formés sur les questions de racisme ou d’antisémitisme sera à l’écoute des associations (Licra, SOS Racisme, Ligue des droits de l’Homme…) et des particuliers afin de lutter plus efficacement et plus rapidement sur ces sujets.
« Il y a des progrès à faire dans la lutte contre les discriminations. A Lyon, moins de dix affaires relatives au racisme sont jugées chaque année, affirme Roger Benguigui, secrétaire général de la Licra. Car ce sont des cas difficiles à prouver, c’est souvent parole contre parole. »
Et Me Johanne Sfaoui, avocate au sein de la nouvelle équipe, d’enchaîner : « En nous rassemblant au sein de cette entité, nous aurons plus de poids et de réactivité. Ainsi, la mobilisation sera plus grande sur ces sujets », assure-t-elle.
Joint par metronews, Alexandre Gabriac, Chef des Jeunesses nationalistes et élu à la région Rhône-Alpes, s’inquiète pour sa part de la formation de ce « commando de la police de la pensée. » « Ce sont des personnes en mal de notoriété qui s’érigent en ligue de la vertu. Mais je me réjouis qu’un groupe d’avocats citoyens prenne en main la question du racisme anti-blanc et anti-catholique », ironise-t-il.
22:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le JT de TV Libertés de lundi soir :
22:44 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le nouveau numéro de Livr'arbitres consacré à Dominique Venner
Livr'arbitres cliquez ici
00:53 Publié dans Livres, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Grand succès de la procession Saint Louis...
Plus de 2 000 personnes étaient présentes à la grande procession organisée par l’association Oriflamme ce samedi 17 mai, à l’occasion du huitième centenaire de la naissance de Saint Louis, le 25 avril 1214.
Fait remarquable, que certains n'hésitent pas à qualifier d'historique, la présence conjointe des prétendants orléaniste et légitimiste au trône de France, le Comte de Paris, Henri d’Orléans, et Louis de Bourbon ("Louis XX"), montrant ainsi à tous leur attachement mutuel à l’Histoire de notre pays.
Derrière le clergé, un groupe de chevalier de l’Ordre de Malte en grande tenue précédait la statue de Saint Louis.
Le choeur Montjoie Saint-Denis ainsi que la Fanfare Royale "l’Avenir" d’Hanzinne animaient la procession en alternant cantiques, litanies, chants en français et en latin, ainsi que des pièces instrumentales.
La procession s’est magnifiquement conclue à Notre-Dame de Paris par une ostension solennelle de la couronne d’épines et des Reliques de la Passion acquises par Saint Louis.
Lire Ligue francilienne cliquez là
00:45 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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dimanche, 18 mai 2014
Cristeros, déjà 4e au box office en France
Source Aleteia cliquez ici
Pari réussi ! Trois jours après sa sortie, le film Cristeros est quatrième au box-office ! Un véritable exploit pour un film proposé dans seulement 61 salles, quand Godzilla arrive en tête avec dix fois plus d'écrans. Plus étonnant encore : sur le site de référence en matière de cinéma, Allociné, où les spectateurs le classent pour l'instant, excusez du peu, "meilleur film de tous les temps" ! cliquez là
L'avant première de Cristeros à Lyon avait déjà été victime de son succès : de très nombreux spectateurs avaient dû être refoulés faute de places... À Lille et Versailles, elles ont également fait salle comble, rassurant ainsi les exploitants qui hésitaient encore. Résultat : alors qu'une semaine avant la sortie du film, seules 22 salles avaient accepté de le diffuser, le voilà finalement à l'affiche dans 61 salles (cf liste complète à la fin de cet article). UGC a notamment décidé de programmer le film dans quasiment toutes ses salles en province.
Quelle est l'histoire racontée dans Cristeros, au cas où vous l'ignoreriez encore ? En 1926, un soulèvement populaire secoue le Mexique, suite aux lois du président Callès, qui interdisent toute pratique religieuse dans l’ensemble du pays. Après un premier temps de protestation pacifique, des hommes et des femmes de tous horizons, les Cristeros, vont alors se révolter et risquer leur vie pour défendre leur liberté et lutter contre les persécutions...
Pour être allé le voir, il faut être clair : un croyant ne sort pas indemne d'avoir vu ce film. L'histoire, les actes, choquent, blessent, émeuvent, et font se poser des questions de fond sur la liberté de pratiquer sa foi, et la liberté tout court. Des questions toujours d'actualité dans bien des pays, comme l'ont hélas prouvé ces derniers jours l'enlèvement de lycéennes par Boko Haram ou la condamnation à mort d'une jeune chrétienne au Soudan…
Quelques villes importantes ne proposent pas de voir Cristeros pour le moment. Les résultats de la sortie nationale sur les 61 salles programmées les feront peut-être changer d'avis... Une raison de plus, s'il en fallait une, de ne pas attendre pour aller voir ce film. N'attendez pas, et ne regrettez de ne pas y être allé plus tôt, car la plus grande partie des films ne restent qu’une semaine à l’affiche !
Liste des salles cliquez là
Le site du film cliquez ici
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« Nous ne guérirons jamais de Dominique Venner, et c’est pour cela que nous resterons vivants »
La considérable affluence au colloque Dominique Venner (plus de 500 personnes à la Maison de la Chimie ce 17 mai), la qualité des interventions à la tribune laisse entrevoir un mouvement de sursum corda mais aussi de sursum ratio. « Élévation des cœurs» et «élévation de notre raison». Par un acte en apparence irrationnel, mais en fait logique, Dominique Venner a ouvert une voie : celle du sacré, celle, aussi, de la hauteur de vue. La hauteur de vue n’est pas l’indifférence, elle n’est pas le refus de s’engager, elle est la froideur dans la perception des enjeux, qui va volontiers avec la chaleur de la camaraderie. La mort sacrificielle de Dominique Venner, il y a un an, à Notre-Dame de Paris, a précisément ce sens précis : ouvrir un espace du sacré. Ce que croyait précieux Dominique Venner ce n’était ni la droite ni la gauche, c’était la France et l’Europe comme civilisation, c’était le sens même de ce que patrie veut dire, et de ce qu’honneur veut dire. Car l’honneur, en un sens, c’est toujours filiation et transmission.
Or, c’est tout cela, avec l’effacement du sens, avec le relativisme généralisé, avec le changement de peuple par l’immigration de masse, qui est mis à bas par la modernité ravageuse. Et par une politique criminelle, celle du mondialisme comme système à tuer les peuples. Changer notre peuple dans sa composition ethnique et culturelle pour tuer toute notion de peuple, dépolitiser tout pour ne laisser que la table rase du turbocapitalisme se déployant sur fond de grand marché universel, avec des hommes interchangeables, et d’ailleurs interchangés et inter-échangés, sans passé, sans héritage, sans histoire, et donc sans avenir. Avec un seul présent : celui de consommateur et de producteur. Avec des femmes louant leur ventre, et des hommes vendant leur sperme. Voilà le monde dont Venner ne voulait pas. Sain refus. Mais aussi portait-il une grande espérance, la lueur d’un autre monde possible, poétique, fort, tragique, noble, plein des exemples héroïques qui agrandissent nos petites vies pour leur donner un souffle, une ampleur, une dimension mythique. Nous ne guérirons jamais de Dominique Venner, et c’est pour cela que nous resterons vivants.
Pierre Le Vigan
Pierre Le Vigan, écrivain, philosophe, vient de publier L’effacement du politique. La philosophie politique et la genèse de l’impuissance de l’Europe, La barque d’or. Contact : labarquedor@hotmail.fr, 15 €.
Intervention de Bernard Lugan sur "L'esprit corps franc". ©Photo-Revue-Éléments
Source Le blog d'Eléments cliquez ici
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Il y a un an, Dominique Venner...
13:00 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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samedi, 17 mai 2014
Sympathique soirée vendredi à Amiens avec Roland Hélie et Thomas Joly...
Une trentaine de convives a assisté, dans une ambiance très sympathique, vendredi soir au dîner débat organisé à Amiens par Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France. L'invité était Roland Hélie, Directeur de la revue Synthèse nationale.
Nous reviendrons très rapidement sur cette belle réunion. Lire cliquez là
13:23 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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"RIVAROL" PARLE DU 1er NUMERO DES "CAHIERS D'HISTOIRE DU NATIONALISME" CONSACRE A LEON DEGRELLE...
Un article de Robert Spieler paru dans Rivarol du 24 avril dernier cliquez ici :
Il y a quelques semaines paraissait dans les pages nécrologiques des quotidiens belges Le Soir et L’Avenir ce texte : « 31 mars 2014 : vingtième anniversaire de la disparition de l’écrivain et poète JEAN DOUTRELIGNE 1906-1994. Auteur de ‘Notre-Dame’ de la ‘Sagesse’, ‘Révolution des âmes’, ‘La Chanson ardennaise’, ‘La Grande Bagarre’… Sa famille, ses amis, ses disciples ne l’oublient pas. » Jean Doutreligne est le pseudonyme de… Léon Degrelle, qui écrivit de magnifiques poèmes. La parution de cette annonce à laquelle les services des deux journaux n’y virent que du feu suscita évidemment la joie chez certains et la fureur chez d’autres. C’est une des nombreuses anecdotes que l’on trouve dans le livre consacré à Léon Degrelle dans la nouvelle collection de Synthèse nationale, pilotée par Roland Hélie et intitulée « Cahiers d’histoire du nationalisme ». On y trouve des contributions de Camille Galic, Francis Bergeron, Pierre Vial, Yvan Benedetti, Alexandre Gabriac, Henri de Fersan et d’autres qui nous pardonneront de ne pas les citer tous. On y trouve aussi un article de Saint-Loup et un important discours de Léon Degrelle, prononcé le 7 février 1943 à Berlin, intitulé : « Pour la révolution nationale-socialiste ». Christophe Georgy nous présente la biographie du « beau Léon ». Ses soldats le surnommaient aussi affectueusement « Modeste 1er de Bourgogne » car il n’avait, à juste titre, pas la réputation d’être d’une modestie excessive.
Naissance et jeunesse
C’est dans les Ardennes belges, dans la petite ville de Bouillon, située à trois kilomètres de la frontière française, au nord de Sedan, que nait Léon, Joseph, Marie, Ignace Degrelle, le 15 juin 1906, dans une famille d’origine française, très catholique. Son père, Edouard Degrelle, brasseur de métier, avait quitté la France en 1901 car il était opposé aux persécutions qu’imposait le ‘Petit Père Combes’ aux congrégations religieuses. Léon Degrelle fut très marqué, dans sa jeunesse par l’affreuse guerre qui ravagea l’Europe, n’épargnant pas la Belgique. En novembre 1918, il est choisi pour présenter un compliment aux officiers français qui entrent à Bouillon. Le jeune scout fera à cette occasion le tour de la ville, main dans la main avec un officier dont le nom est… Philippe Pétain à qui il vouera toute sa vie une profonde admiration. Dès l’âge de seize ans, il se passionne pour la littérature et notamment pour l’œuvre de Charles Péguy. Il écrit des poèmes et commence à collaborer à des journaux.
Degrelle journaliste
Il commence à s’intéresser à la politique et grâce à la lecture de Charles Maurras dans l’Action française, il se forge ses premières convictions personnelles. Il lit aussi Léon Daudet et Jacques Bainville. C’est au cours de ses études en faculté de lettres et de philosophie thomiste à l’Université catholique de Louvain qu’il est repéré par Mgr Picard qui voit déjà en lui un vrai meneur. Il lui propose, alors qu’il n’a que vingt ans, de prendre la direction d’un journal d’étudiants dont il portera, grâce à son talent d’éditorialiste, les ventes à 10 000 exemplaires, chiffre impressionnant pour ce type de publication. Mais la consécration viendra avec sa rencontre avec l’abbé Norbert Wallez, directeur du grand journal catholique Le Vingtième siècle, qui l’engage.
12:52 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le JT de TV Libertés de vendredi soir :
10:33 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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vendredi, 16 mai 2014
Académie de Nantes : Parents, n'envoyez pas vos enfants au lycée ce vendredi 16 mai
Un communiqué de Alain Escada, Président de Civitas :
La folie qui s'est emparée de l'Académie de Nantes avec le soutien du ministère de l'Education nationale ne peut restée sans réaction.
27 lycées situés de Nantes à Angers proposent aux garçons de se rendre en classe ce vendredi 16 mai vêtus d'une jupe et la bouche badigeonnée de rouge à lèvres. La proposition vaut également pour le personnel masculin enseignant.
Si rien ne vient perturber sérieusement cette journée de folie, les Académies de Rennes et de Poitiers pourraient prendre des initiatives identiques.
CIVITAS appelle solennellement tous les parents dont les enfants sont élèves de ces 27 lycées à prendre leurs responsabilités. A la suite du mouvement Journée de Retrait de l'Ecole, CIVITAS demande avec insistance à ces parents de ne pas envoyer leurs enfants au lycée ce vendredi 16 mai.
Plus largement, CIVITAS appelle tous les Français de bon sens à écrire par lettre ou par courrier électronique, ou appeler au téléphone les directions de ces 27 lycées ainsi que l'Académie de Nantes afin de protester vivement contre cette entreprise de subversion qui vise à banaliser la théorie du genre.
13:13 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Tous en jupe… à deux semaines du bac, rien de mieux à faire ?
Olivier Vial
Boulevard Voltaire cliquez ici
Comme l’enfer se pave de bonnes intentions, notre école commet souvent les pires folies au nom de principes généreux. Ainsi, c’est dissimulés derrière le paravent du combat en faveur de l’égalité entre les sexes que les adeptes les plus radicaux de la théorie du genre ont réussi à forcer la porte de l’Éducation nationale.
Depuis, il leur suffit de brandir l’étendard de la lutte contre le sexisme et les stéréotypes pour faire accepter toutes leurs initiatives, y compris les plus farfelues, mais aussi faire taire toute critique.
Leur tactique est désormais bien rodée. Après avoir milité pour que l’on remplace, en maternelle, les classiques de la littérature enfantine jugés « trop genrés » par des livres comme « Papa porte une robe », « Ma mère est une femme à barbe » ou « Mehdi met du rouge à lèvre », après avoir obligé des élèves de CE2 à regarder le film très militant « Tomboy » (lauréat du prix du jury des Teddy Award récompensant les films traitant de sujets LGBT), après avoir défendu l’expérimentation des « ABCD de l’égalité » qui visent, en s’inspirant des travaux des théoriciennes féministes les plus radicales, à déconstruire « les stéréotypes de genre » auprès d’enfants âgés de 3 à 11 ans, voici venu le temps d’inviter les garçons à porter une jupe.
Pour ce faire, l’académie de Nantes appuie, finance et assure le suivi « pédagogique » d’une initiative prise par le conseil académique de la vie lycéenne (conseil présidé par le recteur), incitant dans une vingtaine d’établissements les élèves et les enseignants, quel que soit leur sexe, à porter une jupe vendredi 16 mai afin de lutter contre le sexisme.
Le plus inquiétant avec cette initiative, qui en elle-même est bien plus ridicule que dangereuse, c’est la prétendue unanimité qui l’accompagne ; le ministère, le rectorat, les organisations de parents d’élèves, les syndicats lycéens de gauche, tous vantent cette expérimentation.
Comment peut-on être à ce point aveuglé ? Comment peut-on penser qu’à quelques semaines des épreuves du bac, les lycéens n’ont pas mieux à faire ? Comment ne pas craindre que l’autorité des enseignants, déjà largement contestée, ne soit pas encore affaiblie par cette mascarade ? Enfin et surtout, comment ne pas voir que l’objectif même de l’égalité entre les sexes est totalement trahie par ce dispositif. En effet, cette journée de la jupe proposée par le rectorat de Nantes envoie un message bien différent de celui du film éponyme de Jean-Paul Lilienfeld avec Isabelle Adjani. Dans ce film, le propos était de permettre aux filles d’assumer leur féminité dans des environnements, des quartiers où porter une jupe entraîne automatiquement les moqueries et les brimades des garçons. C’était là un vrai message de respect, loin du carnaval proposé par le rectorat de Nantes, qui au final nie l’identité féminine et masculine et confond égalité et uniformité.
13:04 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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RAPPEL : Roland Hélie invité ce soir à Amiens par Thomas Joly pour un dîner-débat
Vendredi 16 mai à Amiens, Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, accueille Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, pour un dîner-débat qui aura pour thème « Pour une nécessaire synthèse nationale ».
Il sera possible lors de cette soirée de se procurer les dernières publications de la revue Synthèse Nationale.
Le menu est le suivant : Kir - Ficelle picarde - Confit de canard/Pommes de terre sautées - Pain perdu - Café et vin compris. La participation est de 25 € à régler sur place.
Renseignements et réservations : 06.09.96.44.37 ou thomasjoly60@yahoo.fr
09:19 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La vérité sur Dien Bien Phu, par Roger Holeindre
Voici la dernière publication de Roger Holeindre : « Il y a 60 ans, Dien Bien Phu »
A l’occasion du soixantième anniversaire de cette héroïque tragédie, voici une belle brochure richement illustrée, qui est « est un hommage à ceux qui surent se battre, souffrir et mourir. »
Elle remet aussi quelques pendules à l’heure…
90 pages en couleurs, format 21 x 29,7 cm, nombreuses photos. 15 €. TTC.
Commande à passer au Cercle National des Combattants, 38 rue des Entrepreneurs, 75 015 Paris. Chèque à l'ordre du CNC.
09:11 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le JT de TV Libertés de jeudi soir :
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jeudi, 15 mai 2014
Nantes : plusieurs centaines de lycéens dans les rues contre la mascarade de la journée en jupes...
Une poignée de lycéens soutenue par les profs et tous les rouages de la pensée unique envisage d'organiser demain vendredi un journée dans les établissements scolaires de la ville de Nantes au cours de laquelle les garçons viendraient habillés en jupe. Ce type d'initiative s'inscrivant parfaitement dans le processus de destruction des identités orchestré par l'oligarchie mondialiste.
Les quelques crétins qui sont à l'origine de cette piteuse mascarade ne pensaient pas qu'ils allaient réussir à unifier la jeunesse nantaise contre eux.
Ainsi, dès cet après midi, des centaines de jeunes, lycéens, collégiens et étudiants, soutenus par La Manif pour Tous, sont descendus dans les rues de la ville et en particulier devant le lycée Clemenceau, d'où est partie cette sinistre provocation, pour manifester leur légitime réprobation. Ce n'est qu'un début...
Correspondant Nantes
20:02 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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