jeudi, 12 décembre 2013
Mandela, le bilan...
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Christiane Taubira s’exprimera devant le Grand Orient le 17 décembre...
Source Medias presse infos
Les connivences entre de nombreux membres du gouvernement et la franc-maçonnerie sont de notoriété publique. Un élément de plus vient l’avérer. La Garde des Sceaux, a accepté l’invitation de Daniel KELLER, « Grand Maître » du Grand Orient (GODF), d’intervenir pour une conférence au siège de cette obédience maçonnique.
Cette conférence publique sur le thème : « Crise des valeurs de la République : Analyse et Perspectives » se déroulera le 17 décembre à 20 heures au Temple Groussier du GODF, rue Cadet, à Paris.
« L’invitation de Madame Christiane Taubira est naturellement liée aux attaques indignes qu’elle a subies. Nous voulions lancer le débat, provoquer une réflexion, sur les difficultés profondes que traverse la République. Lorsque elle est menacée, l’Histoire nous l’a montré, cela commence par la mise en cause de personnes. », a déclaré le « Grand Maître » du Grand Orient à un blog maçonnique.
On peut donc s’attendre à un grand moment de victimisation et d’appel au sursaut laïciste pour sauver la République assiégée. Un programme taillé sur mesure pour plaire aux frères trois-points.
La seule inconnue : combien de jeunes venus huer Christiane Taubira seront-ils mis ce soir-là en garde-à-vue pour crime de lèse-majesté ?
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Vous avez dit « ultralibéralisme » ? Petite leçon d’économie
Guillaume Faye
J'ai tout compris cliquez ici
Le 9 décembre, sur le site du Figaro, interrogé par Yves Thréard, Florian Philippot, vice-président du Front National, critiquait à juste titre le « communautarisme » (il aurait pu parler de la cause, l’immigration déferlante et incontrôlée et non pas seulement de sa conséquence, son effet inévitable), la soumission des États européens à la technostructure de l’UE, mais il s’en prenait aussi l’ « ultralibéralisme » supposé régnant dans la France actuelle.
Ce genre de propos a peut-être une visée électoraliste mais il relève d’une analyse économique déficiente et se trouve malheureusement partagé par bon nombre de politiciens et de publicistes, de la droite à la gauche. Ces derniers sont en pleine confusion, celle des idées à l’envers. Essayons de remettre les idées à l’endroit.
1) L’économie française n’est pas dans une situation d’ ”ultralibéralisme” mais tout au contraire d’étatisme socialiste et fiscaliste, cause majeure du chômage et de l’étouffement de l’activité. Quand plus de 50% de la richesse produite par le secteur privé est ponctionnée et redistribuée de manière improductive et injuste, quand l’État pachydermique réglemente à outrance et castre toute liberté d’initiative, quand les professions libérales, les PME, les TPE, les classes moyennes sont découragées, paralysées par les impôts, les taxes, les interdictions, les procédures administratives, quand le droit du travail le plus rigide et éléphantesque du monde décourage les embauches, etc. peut-on sérieusement parler d’ ”ultralibéralisme” sans se couvrir de ridicule ?
2) Le drame, c’est que l’économie française, objectivement ”socialiste” au pire sens du terme, affronte un contexte économique européen et mondial libéralisé et concurrentiel. On court avec une balle dans le pied et un sac en dos rempli de pierres. Résultat : délocalisations, faillites d’entreprises assommées par les ponctions, fuite massive des cerveaux (jeunes diplômés, créateurs découragés par le racket socialo-fiscal), fuite des investisseurs (ISF), perte des marchés à l’export, etc.
3) Les institutions technocratiques européennes suivent une politique économiquement absurde : d’un côté, elles réglementent à outrance à l’intérieur de l’espace économique européen, de l’autre, elles suivent une politique libre-échangiste sans protection par rapport aux USA ou aux pays émergents qui, eux, ne se gênent pas pour se protéger. D’un côté, elles exhibent la doctrine de la« concurrence », de l’autre, elles pondent 250 réglementations par jour. Un peu comme un directeur d’écurie F1 qui limiterait la puissance de ses propres voitures pour ne pas battre l’adversaire.
4) En France, et dans d’autres pays de l’UE, là où il ne faudrait pas être libéral, on l’est (immigration, ouverture des frontières, laxisme judiciaire, etc.) et là où il faudrait être libéral (liberté pour les forces vives économiques), on ne l’est pas. On marche sur les mains, mais, à force, on va forcément tomber.
5) La solution – en économie tout au moins – passe par l’application, à l’échelle de l’Europe (de la vraie Europe, pas celle de Bruxelles) des théories de Maurice Allais, Prix Nobel d’économie : le libéralisme intérieur et le protectionnisme contingenté extérieur, à l’échelle de certains pays du Continent, pas de tous. Selon le véritable esprit du Traité de Rome, d’ailleurs, trahi par les institutions actuelles.
6) Le concept d’ ”ultra libéralisme” relève de la pure propagande électorale. Il n’existe nulle part puisqu’il est impraticable. Il se réfère à la théorie libertarienne qui n’a jamais été appliquée nulle part et qui est une simple construction intellectuelle, comme le communisme, son opposé absolu. Ni l’ultralibéralisme ni le communisme n’ont jamais été autre chose que des concepts, c’est-à-dire des jouets pour intellectuels.
Les quatre grandes théories économiques actuelles et leurs applications réalisées sont : 1) le keynésisme (économie de la demande et de l’intervention de la commande de la puissance publique avec un État-Providence contrôlé) 2) Le socialisme (économie de la demande avec un État-Providence maternel mais injuste et impuissant) 3) Le schumpeterisme (économie de l’offre avec une protection minimale de l’État-Providence et un interventionnisme public dans l’innovation ). 4) Le libéralisme (économie de l’offre, dépourvue de toute présence sociale de l’État, sans fiscalité redistributive).
Seules marchent à long terme un mélange des solutions 3 et 4. Les solutions 1 et 2 donnent des résultats contraires à leurs objectifs.
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Le gouvernement efface la dette du torchon communiste l'Humanité...
La réaction du MNR :
Le 3 décembre 2013, le gouvernement a présenté à l'Assemblée Nationale un amendement visant à effacer la dette du journal l'Humanité (ainsi que les intérêts correspondants), à hauteur de quatre millions d'euros.
A l'heure où tous les contribuables et consommateurs sont priés de se serrer la ceinture pour colmater les trous béants du budget de l'État, nulle doute que cette mesure sera appréciée ! Il est important, en effet, de sauver du naufrage le journal qui, entre autres, appelait au deuil pour « Le grand Staline » en 1953 !
Avec les vrais démocrates, luttons pour que l'information soit libérée, et que l'argent public ne soit pas gaspillé au service du « politiquement correct ».
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Jeudi, c'est le jour de Rivarol :
3,50 €, chez votre marchand de journaux
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mercredi, 11 décembre 2013
Chronique de la France asservie et résistante
Robert SPIELER
RIVAROL N° 3119
du 5 décembre 2013
LES intentions de vote en faveur du Front s’établiraient à un niveau jamais atteint. Selon les résultats de la dernière enquête d’opinion publiée, une enquête commandée par l’Union des étudiants juifs de France à l’Institut Polling Vox, les intentions de vote en faveur du Front laissent présager une forte poussée du mouvement présidé par Marine Le Pen, sans précédent pour celui-ci et peut-être même, selon Dominique Jamet qui l’exprime sur le site Boulevard Voltaire, sans équivalent depuis la déferlante de 1947 qui vit le tout nouveau Rassemblement du peuple français (gaulliste) emporter les mairies de Paris, Marseille, Bordeaux, Strasbourg… 42 % des électeurs français envisagent de voter pour les listes du Rassemblement bleu Marine. 18 % en sont certains et 24 % ne l’excluent pas. 59 % des électeurs de l’UMP sont dans ce cas, mais aussi 26 % des électeurs de François Bayrou, 21 % des partisans de Mélenchon et même 14 % de ceux qui, en 2012, ont voté pour François Hollande. Mais la moitié de ceux qui envisagent de voter FN reculeraient si le FN apparaissait comme raciste ou antisémite. Du coup le système qui, pour paraphraser Maurras, gère mal mais se défend bien, a trouvé la parade.
FN : LA CONTRE-ATTAQUE DU SYSTÈME
Plusieurs affaires récentes, divulguées et abondamment commentées par les media, viennent alimenter le lourd soupçon de manipulations. J’avais déjà évoqué dans ces colonnes le cas de curieux candidats aux élections municipales qui découvrent d’un coup que derrière le discours très recentré de Marine Le Pen existe une arrière-boutique aux relents nauséabonds. On se souvient de cette candidate d’origine algérienne qui soudain entend des sarcasmes, des quolibets, des injures venant de la part de certains de ses militants. Durant des mois, elle n’avait rien entendu. Bizarre… Voici qu’un certain Arnaud Cléré, exclu de l’UMP en mai, pour avoir envisagé de monter une liste commune avec le FN à Gamaches (Somme) vient supplier Copé de le réintégrer à l’UMP. La raison ? Il aurait découvert chez les militants du FN un étalage de tatouages nazis et des propos homophobes. Pour appuyer ses propos, il raconte une réunion, mi-octobre, à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), avec les têtes de liste et quelques colistiers du nord de la France. « J’ai vu des tatouages de croix gammées sur deux ou trois personnes », assure-t-il. Il fait son mea culpa : « J’ai commis l’erreur de m’allier avec un parti non républicain, sectaire et dictateur qu’est le FN », explique-t-il et, dénonciateur en diable, ajoute : « Quand on voit Marine Le Pen à la télévision, on ne peut pas imaginer à quoi ressemble l’arrière-boutique » Et il ajoute : « Ils parlent sans arrêt de “pédé”, de “pédé”, de “pédé”, ça me fait froid dans le dos ». Ce pauvre chéri est visiblement un grand sensible. On ne sache pas pourtant que le FN soit spécialement hostile aux invertis vu leur nombre dans les instances dirigeantes du mouvement. Copé, qui n’a sans doute rien d’autre à faire, a pris sa plus belle plume pour dire à Arnaud Cléré qu’il n’y avait aucune raison qu’il ne puisse pas retravailler avec l’UMP. Emouvant… Le FN dénonce évidemment une pure invention et la manœuvre oblique d’un transfuge. Mais ce n’est pas fini. Le ralliement d’Anna Rosso-Roig avait fait du bruit au mois de mai. Cette ex-candidate communiste lors des législatives de 2012 avait décidé de passer au Rassemblement-Bleu Marine et de figurer sur une liste FN à Marseille pour les prochaines municipales. Elle avait été séduite par le discours d’ouverture de Marine Le Pen et rebutée par le projet de mariage homosexuel. Elle aussi vient de juger insupportable l’« atmosphère machiste et raciste dans laquelle baignaient les permanences et les réunions du Front ». « Ils sont aussi obsédés par le cosmopolitisme », ajoute-t-elle. « Dans une ville comme Marseille, ce n’est pas possible. On ne peut pas se présenter contre toute une partie de la population ! » Elle précise au passage que Stéphane Ravier, la tête de liste du FN à Marseille, définit le viol comme un « rapport amoureux qu’une partie des deux souhaite. La deuxième pourrait faire un effort ». Elle décrit un FN marseillais «beaucoup plus radical que Marine Le Pen », ce qui, au demeurant, est certainement vrai pour une grande majorité de militants du FN. Il n’est certes pas bien difficile d’être plus radical que la présidente du FN. Cela risque d’ailleurs de lui poser à terme quelques problèmes. En attendant, ce qui apparaît probablement comme des tentatives de manipulation et de déstabilisation a amené le FN à engager des poursuites judiciaires. Gageons que dans les prochaines semaines, d’autres affaires du même acabit feront surface.
FABRICE LUCHINI, HERMANN GÖRING ET CÉLINE
Fabrice Luchini, le grand acteur, qui s’était déclaré incapable d’être de gauche car cela exigeait des vertus trop héroïques (voir précédent RIVAROL) vient de déclarer le lundi 25 novembre, lors de l’émission « C à Vous », sur France 5 : « Je ne déteste pas du tout Nicolas Sarkozy, je le connais pas mal. Non, mais pour les acteurs, quand tu disais ça il y a quelques années, t’étais comme un pote à Göring ». Luchini raconte que l’ancien président est allé voir sept fois son spectacle sur Céline. Le comédien exprime dans un style amusant sa compassion pour Ayrault : «Jean-Marc Ayrault, on sent bien que c’est un brave homme. On ne sent pas le pervers. On ne sent pas le touzard. ». Mais Luchini n’en a pas fini. Il a poursuivi dans l’insolence et dans l’extravagance : « Il n’est pas comme ça, Ayrault. On sent qu’il n’a pas niqué le fisc, il ne doit pas gagner beaucoup d’argent donc il ne doit pas tellement niquer. On sent que c’est un brave homme, on sent que c’est un honnête homme ». Et alors qu’il aurait pu s’arrêter là, Fabrice Luchini a ajouté : « Mais il n’a pas écrit Le voyage au bout de la nuit, c’est ça le problème ». Ah, rêvons, amis Rivaroliens ! Louis-Ferdinand Céline, premier Ministre ! Qu’est-ce qu’on s’amuserait !
VALÉRIE TRIERWEILER “NE SE TAIRA PLUS”
Valérie Trierweiler a promis vendredi dernier de « ne plus se taire ». Alerte générale ! Au secours ! Le rottweiler serait-il de retour ? Du calme. La situation pour Hollande n’est pas si critique qu’on aurait pu le craindre ou le souhaiter. Elle a prononcé ces mots lors de la remise du prix Danielle Mitterrand à Paris. Compte tenu de ses dérapages tweetiens, l’émotion et la gourmandise furent à leur comble chez les observateurs et les journalistes. Allions-nous assister à une nouvelle avalanche de tweets et de déclarations hasardeuses ? Certains (dont nous) s’en réjouissaient d’avance. Hélas, au lendemain de cette annonce, Valérie Trierweiler a mis fin aux spéculations en apportant quelques précisions. « Mon discours n’avait trait qu’à l’humanitaire », a-t-elle ainsi affirmé. Dommage. Et alors qu’elle s’est engagée dans la défense des femmes violées à travers le monde et des réfugiés syriens, celle qui partage la vie de François Hollande a assuré : «C’est mon seul combat ». Trierweiler a déclaré que « Danielle Mitterrand est(son) “modèle” » : « Elle ne prenait pas la pose, elle prenait des positions. Des positions courageuses » (comme soutenir la dictature castriste). « Elle était une Première dame qui refusait la soumission, elle n’était guidée que par le désir de justice et de liberté. Y compris quand elle devait afficher un désaccord avec le président Mitterrand. Elle n’avait pas peur de porter haut les valeurs de gauche. Elle ne se laissait pas bâillonner. Elle n’avait pas peur du mot “politique” ». S’agit-il d’une mise en garde, en filigrane, à Hollande ? En tout cas, se prenant tout de même pour un morceau de chef d’Etat, elle a annoncé qu’elle allait réunir toutes les Premières dames des chefs d’Etat qui seront présents au sommet franco-africain le 6 décembre prochain. Au fait, où en est la plainte de Xavier Kemlin contre Valérie Trierweiler pour détournement de fonds publics ? Elle vient d’être classée sans suite au motif que « la compagne du président de la République n’est pas liée juridiquement aux Français », car ils « ne sont ni mariés ni pacsés». »
MÊME LES AFRICAINS SE MOQUENT DE HOLLANDE
C’est le magazine Jeune Afrique qui, dans un article paru le 22 novembre, se moque du pingouin et de sa « République vertueuse à géométrie variable». Le magazine raconte que Jack Lang avait pris la direction de l’Institut du monde arabe (IMA) « mais alors que ses prédécesseurs (en l’occurrence Dominique Baudis puis Bruno Levallois) avaient été simplement défrayés compte tenu des difficultés économiques de l’IMA, Jack Lang a, lui, exigé un salaire. » Il s’était aperçu tardivement qu’aucune rémunération n’était prévue. Du coup, il a téléphoné à Laurent Fabius pour lui expliquer que dans ces conditions le poste ne l’intéressait plus. Embarras du ministre des Affaires étrangères qui lui a arrangé le coup. Jack Lang perçoit 10 000 euros par mois…
Pour lire la chronique dans son intégralité : achetez Rivarol chaque semaine chez votre marchand de journaux ou abonnez-vous. Vous pourrez ainsi lire la chronique complète de Robert Spieler cliquez ici.
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Retour sur l'attaque de la librairie Facta :
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Braqueurs braqués et victimes persécutées : ainsi Valls la justice de Taubira
La chronique de Philippe Randa
Joseph Proudhon s’est rendu célèbre, au XIXe siècles, pour avoir déclaré que « la propriété, c’est le vol » ; nul doute que s’il vivait de nos jours, il ajouterait à son aphorisme avec tout autant de succès politiquement correct « et la protéger est un crime ! » car honni soit qui l’entend ainsi.
Les récents braquages de bijoutiers par-ci, d’attaques de débits de tabac par-là, l’ont amplement démontré : tous ceux qui ne se laissent pas braquer, brutaliser, insulter et détrousser sans mots dire savent ce qu’il leur en coûte ensuite : malheur à ceux qui ont fait front, empêchant les crapules de les dépouiller, les blessant ou les expédiant dans un enfer mérité : tous répondent ensuite de leur témérité devant la Justice.
Ainsi ce bijoutier niçois, d’origine libanaise, Stéphane Turc, qui ignorait que le fusil à pompe de ses agresseurs n’était pas chargé : ayant logé quelques grammes de plomb dans la carcasse du moins rapide, il se retrouva derechef en garde à vue, brocardé par un procureur niçois, l’accusant d’avoir agi volontairement pour donner la mort », malgré qu’il reconnaisse tout de même qu’il est « homme inséré » (!) et que son casier judiciaire était vierge… Il est aujourd’hui mis en examen pour homicide Volontaire : « il n’a pas été placé en détention provisoire, mais en résidence surveillée, bracelet électronique à la cheville à quelques heures de Nice. Il sort parfois quelques minutes, le temps d’aller chercher son pain », rapporte France Inter. Le veinard.
Il y eut ensuite son confrère bijoutier à Cézanne. Lui aussi a abattu celui qui le braquait, mais il possédait toutefois une autorisation préfectorale pour son arme. Libéré une fois sa garde à vue terminé, il sera convoqué ultérieurement devant un juge, tandis que la famille du braqueur tué a décidé de se constituer partie civile ! Et dire que depuis Montesquieu on croyait à l’esprit des lois : « Nul ne peut invoquer sa propre turpitude… » Mais personne, semble-t-il, ne juge utile de le faire remarquer.
De même, Pascal Rauber, concessionnaire de motos de Saint-Julien-sur-Sarthe, 54 fois cambriolé depuis 1986 – perte sèche : 200 000 euros et une prime d’assurance qui a grimpé à 17000 euros par an – assure avoir agi en état de légitime défense, n’ayant « jamais voulu aller tuer ses voleurs » lorsqu’alerté par l’alarme de son magasin, il a quitté son domicile armé d’un fusil de chasse… Arrivé sur place, une voiture fonce sur lui et pour se protéger, il tire… Les deux malfaiteurs sont interpellés le lendemain à l’hôpital de Dreux (Eure-et-Loir), l’un sérieusement touché à la tête ; l’autre, plus légèrement atteint, est tout de même emprisonné, tandis que le commerçant est placé sous contrôle judiciaire.
« Tant d’années de travail acharné pour finir comme ça ! Je suis fiché chez les assureurs. Plus aucun ne veut me garantir (…) Je passe mon temps à rembourser ce qu’on m’a volé », se lamente le vendeur de moto dont le comité de soutien (14 000 signatures) trouve écho jusqu’en Guadeloupe, en Martinique et même au Canada.
À la série noire des braqueurs braqués répond en écho les nuits blanches des victimes persécutées… enfin, non, c’est « mises en examen » le terme officiel !
19:19 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Conférence de presse de la Ligue du Midi à Montpellier
C’est dans un café de la place de la Comédie que s’est tenue la conférence de présentation dulivre de Richard Roudier intitulé “ Le Glaive et la Charrue ” (cliquez là) en référence au Romain Cincinnatus, consul au Ve siècle av. JC, connu pour sa détermination et sa simplicité... celui-ci, après avoir déjoué un complot et maté des révoltes, retournera au travail des champs abandonnant le glaive pour la charrue.
Devant un public jeune, l’orateur balaya un 1/2 siècle de “sa” vie politique : depuis la révolte anti-fiscale de Pierre Poujade, en passant par les “années Europe-Action” en référence à la célèbre revue fondée par Dominique Venner, son mai 68 de l’autre côté de la barricade, puis son voyage chez les Occitanistes, son expérience métapolitique à Béziers (Richard est né dans la capitale du vin) et enfin son rôle dans la création du courant identitaire. Ponctuant son propos d’aphorismes décalés “mon grand-père était plus proche de Vercingétorix que d’un trader de la City”, il assurait que notre pays se trouvait confronté à plusieurs priorités : l’urgence du renversement, l’urgence de l’entre soi, l’urgence d’une autre Europe, l’urgence d’une autre France...
A la fin de son exposé, il nous livra un certain nombre de réflexions stratégiques, invitant les nouvelles générations à refaire un mai 68 mais “à l’envers” et pour cela il encouragea “la mise en place d’une plate-forme doublée de l’esprit de première phase qui consiste en un accord entre des organisations militantes ambitionnant des projets, certes différents mais cependant liés, contre un régime suscitant l’envie de le détruire...” Les objectifs de cette première phase devront être limités pour être suffisamment unanimistes : faire tomber le régime, organiser la re-migration, raboter le mille-feuille territorial, rendre lisible la fiscalité et la loi, sortir de l’OTAN et de l’UE !
A l’issue de cette causerie, et pendant que l’orateur dédicaçait son ouvrage, de jeunes identitaires montpelliérains de la Ligue du Midi ont présenté la nouvelle campagne de la ligue: un autocollant intitulé Montpellier anti-racailles présentant la Sainte Patronne de Montpellier en train de fesser un délinquant et une affiche rappelant l’absolue nécessité du combat pour la réappropriation de notre identité au travers du slogan “Fiers de nos Racines”.
Une fort belle après-midi qui a donné des idées aux organisateurs soucieux de développer cette initiative.
15:40 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
En Thaïlande, le principe majoritaire ne fonde plus la démocratie
Eric Miné
Boulevard Voltaire
« Nous en avons assez de cette politique, nous ne voulons plus d’élections. Nous seuls sommes légitimes pour choisir le prochain gouvernement et le soumettre à l’approbation de notre roi. »
Ainsi s’exprimait un manifestant devant un journaliste de l’AFP, ce lundi 9 décembre proclamé« Jour du Jugement » par Suthep Thaugsuban, le tribun qui mobilise depuis plusieurs semaines à Bangkok des foules impressionnantes contre le pouvoir thaïlandais issu des urnes.
Dans le Sud, acquis d’emblée à ce qu’il faut bien appeler une insurrection civile, on ne s’embarrassait pas de ces subtilités et l’imposant cortège qui saturait les rues de Phuket fêtait déjà le « jour de la victoire ».
Victoire ou jugement, l’avenir le dira dans un pays rompu aux coups d’éclat et aux retournements légendaires. Toujours est-il que le Premier ministre, Yingluck Shinawatra, chancelle et, avec elle, un système qui, s’il devait s’effondrer, provoquerait un tsunami politique ressenti bien au-delà des frontières du royaume.
Comptant parmi les nations capitalistes les plus dynamiques, la Thaïlande est en effet un cas à part. Engagée comme quasiment toute la planète dans la mondialisation, elle n’en a pas moins conservé ses institutions et ses traditions à peu près inchangées depuis le coup d’État de 1932 qui vit l’instauration d’une monarchie constitutionnelle sous l’égide d’un régime nationaliste. Hymne diffusé à heures fixes sur les ondes, port de l’uniforme généralisé des collégiens aux fonctionnaires, organisation très encadrée du respect dû à un monarque par ailleurs très vénéré, clergé bouddhiste et armée omniprésents dans la société, jusqu’au nom même du pays adopté en 1939 pour faire valoir les droits d’une hégémonie « thaïe » sur la région, tout symbolise ici aujourd’hui encore la singularité d’une démocratie établie par l’ancien parti unique qui avait su s’accommoder sans encombre du suffrage universel imposé après-guerre par les vainqueurs à l’allié de la dernière heure.
Ce subtil équilibre mariant tradition et modernité est pourtant mis à mal depuis les années 90 par le clientélisme dispendieux d’un milliardaire autodidacte, Thaksin Shinawatra. Frère de l’actuel Premier ministre, il s’assura alors des voix des grandes régions rurales du Nord-Est qui l’imposeront à la tête du pays en 2001. Depuis, manifestations, putsch militaire, condamnation et exil de l’affairiste n’y feront rien, la corruption à vaste échelle permet à sa famille richissime de rester aux commandes d’un État dont elle sape consciencieusement les bases.
Loin de l’interprétation sociale qu’en font aujourd’hui les médias occidentaux, c’est donc à la réaction massive d’un peuple soucieux de la préservation de son cadre de vie à laquelle on assiste aujourd’hui. En abusant de populations naïves qu’ils désorientent par le mirage d’un consumérisme effréné, les Shinawatra sont perçus ici comme l’avatar local d’une finance internationale sans scrupules, étrangère aux valeurs du royaume. Les élections leur étant ainsi systématiquement favorables, Suthep Thaugsuban propose donc de troquer le vieux principe démocratique occidental « un homme, une voix » contre une« démocratie absolue sous la monarchie constitutionnelle », dirigée par un« Conseil du peuple » non élu, d’esprit corporatiste et fondé, lui, sur l’histoire de la nation.
On comprend mieux la frilosité de nos médias à rendre compte de la réalité des événements thaïlandais. Une rébellion tout à la fois populaire et réactionnaire qui rejette le principe majoritaire de la démocratie, voilà qui ne figure pas dans leur grille de lecture.
11:30 Publié dans Eric Miné | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 10 décembre 2013
Déjà deux soldats français tués à Bangui !
Nicolas Vokaer et Antoine Le Quinio (photo) deux militaires français de 23 et 22 ans, attachés au 8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine de Castres, ont été tués cette nuit à la sortie nord de Bangui lors d'un accrochage avec une bande armée. Selon le communiqué de l'Elysée, ils ont paraît-il "perdu la vie pour en sauver beaucoup d'autres" Quelles autres? On serait à même de penser que les soldats français ont pour vocation première de servir la France, de participer aussi à fermer les frontières de l'Europe à l'invasion migratoire allogène voire même à intervenir pour faire régner l'ordre dans le 9-3 ou les quartiers nord de Marseille mais qu'ils n'ont pas à d'être envoyés à des milliers de kilomètres de nos frontières pour intervenir pour rien dans une guerre civile exotique, c'est à dire - comme c'est traditionnellement le cas - pour servir de cibles aux partisans de chacun des camps tribaux en présence.
Pépère a sans doute voulu une nouvelle intervention militaire d'importance (1600 hommes) pour des raisons de politique intérieure, pour distraire l'opinion de la gestion catastrophique de son gouvernement écolo-socialiste qui plonge les français dans un marasme abyssal. Une aventure africaine qui s'apparente à celle du Mali sous couvert cette fois d'une décision de l'ONU aux relents humanitaires ce qui ne gâte rien. On ne s'empêchera pas toutefois de penser qu'il existe d'autres motivations plus prosaïques comme les énormes gisements d'or et de diamants convoités par les multinationales dans cette région d'Afrique d'où les USA sont absents et peut-être aussi la reprise de l'exploitation des importants gisements d'uranium de Bakouma par le Groupe Areva -déjà intéressé par l'intervention française au Mali qui finalement sécurisait ses sites miniers au Niger- et suspendue depuis septembre 2012 pour cause de guerres tribales récurrentes. Et puis plus généralement, l'ancrage à Bangui d'un roi nègre transformée en marionnette élyséenne n'aurait que des avantages pour les requins de la fortune anonyme et vagabonde qui cornaquent les politiciens soumis au nouvel ordre mondial comme François "Normal" Hollande.
Après ses simagrées dégoulinantes devant la dépouille de Mandela à Soweto - en compagnie d'humanistes patents comme Raoul Castro et Mugabe - Pépère devrait s'arrêter à Bangui pour verser quelques larmes de crocodile sur les deux malheureux soldats français qu'il a fait sacrifier pour sa gloriole "humanitaire", son indice de satisfaction et les intérêts de ses maîtres qui gouvernent le monde.
François Hollande a déjà fait tuer pour rien 7 soldats français au Mali, à peine commencée son opération Sangaris a déjà coûté la vie à deux autres militaires. Et il risque hélas d'y en avoir beaucoup d'autres !
17:16 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Paris : la librairie Facta attaquée cette nuit...
Nous venons de l'apprendre, la Librairie Facta (4, rue de Clichy à Paris IXe, cliquez ici) a été attaquée cette nuit. Vitres brisées, peinture sur les livres et les murs, mobilier détruit... les amis de la démocratie ont frappé avec les seuls arguments qui sont les leurs.
Nous vous tiendrons informés dès que nous aurons plus d'informations. En attendant, nous tenons à manifester à Emmanuel Ratier et à toute l'équipe qui l'entoure notre totale solidarité militante.
Rappelons que Facta est l'une des (rares) librairies parisiennes qui diffusent notre revue Synthèse nationale et les bouquins que nous éditons.
Premières photos :
14:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Afrique du Sud : les massacres de fermiers blancs oubliés
Ironie de l’histoire pour ceux qui sont nés avant la chute du mur de Berlin et ont connu les période dite de "guerre froide", lorsque l’URSS ne constituait qu’un immense camp de concentration à ciel ouvert duquel il était interdit de sortir, sauf pour quelques apparatchiks, artistes, sportifs ou scientifiques mais en laissant sur place sa famille en otage. Aujourd’hui, c’est de "La Voix de la Russie" que proviennent les informations et critiques souvent les plus pertinentes sur la France ou les autres nations européennes. L’information occultée chez nous par la pensée unique nous revient ainsi bien souvent par le biais de ce média :
Afrique du Sud :
les massacres des fermiers blancs oubliés
Par La Voix de la Russie | Nelson Mandela, le premier président noir d’Afrique du Sud, est décédé le 5 décembre à 95 ans. Toute la presse occidentale salue un grand homme qui a œuvré toute sa vie pour les droits de l’homme, contre le racisme. Le parti politique ANC est présenté comme le parti démocratique qui permet de faire évoluer la population d’Afrique du Sud et est cité en exemple par nos médias. Nelson Mandela laisse un pays rongé par le crime et la pauvreté. Les médias occidentaux, comme dans un déni de réalité au moment de la mort de Nelson Mandela, même si l’ANC dit combattre le racisme, le chauvinisme tribal, le sexisme, l’intolérance religieuse et politique, oublient de parler des massacres de fermiers blancs et de la population blanche dans le pays et des meurtres entre Africains. Il ne faut pas toucher au joli décor autour de l’image de Nelson Mandela. En Nouvelle-Zélande ou en Australie, par contre, les conversations sur la situation catastrophique de l’Afrique du Sud sont courantes car la population blanche trouve refuge dans ces deux pays. En Europe, c’est le silence sur une dure réalité très sanglante pour ne pas parler de la situation de la minorité blanche dans ce pays.
Célébrations unanimes. Le président Sud-africain Jacob Zuma a retracé le combat de Nelson Mandela dans un pays qui a connu la ségrégation raciale à l’encontre de la population noire en ces termes : « notre bien aimé Nelson Mandela, le président fondateur de notre nation démocratique, est décédé. Notre nation a perdu son plus célèbre fils. Notre peuple a perdu un père. Le monde a beaucoup de respect pour son combat pour la liberté, son humilité, sa compassion ». Libération fait sa Une en titrant « L’homme qui fit tomber l’apartheid »et oublie de parler de l’apartheid actuel à l’envers. Dans un billet, le directeur de la rédaction de Libération, Fabrice Rousselot, dans une observation des faits en noir et blanc, sans évoquer les massacres des fermiers blancs qui ont lieu au quotidien, vante un homme exemplaire qui « avec Martin Luther King, le héros de la lutte contre l’apartheid faisait partie de ces hommes entièrement dévoués à un combat, qui leur a survécu. Un héros qui, ce n’est certainement pas un hasard, avait commencé par faire de Gandhi son inspiration avant d’avoir recours aux armes pour tenter de défaire son peuple du joug afrikaaner ».
Massacre de fermiers blancs. En 2011, le réalisateur indépendant Rian van der Walt a brisé le silence de plomb sur une réalité en montrant sur les écrans un documentaire intitulé The war of the flea qui documente le massacre des fermiers blancs en Afrique du Sud à partir de la prise du pouvoir par Nelson Mandela. « Le film documentaire dévoile des informations choquantes, très peu connues en Europe, sur le génocide qui a été commis par la mise en place des lois de l’ANC dans cette nouvelle Afrique du Sud à l’encontre de la minorité blanche, les Afrikaners, par le massacre de fermiers ou plaasmoorde», peut-on lire sur le site du film. Des Afrikaners, réfugiés en Europe ou continuant de vivre au pays, remercient le réalisateur pour parler et montrer les faits. « Je viens de voir le film et je vous remercie. Je souhaite que le monde entier puisse voir ce film qui montre notre réalité en tant que « Boer » d’Afrique du sud », témoigne Karen Yssel. « Nous sommes les survivants de 3 attaques contre notre ferme. Nous avons été blessés mais avons survécu. Beaucoup sont morts. Merci d’avoir réalisé ce film. Nous avons finalement quitté l’Afrique du sud en 2008 durant la période de xénophobie quand certains de nos ouvriers agricoles ont été attaqués et tués. Nous avons tout perdu. J’ai eu une fracture du crâne dans les attaques avec des dommages au cerveau. J’ai perdu la mémoire. De nombreux amis, voisins et membres de la famille ont été touchés durant ces années en Afrique du sud et au Zimbabwe », écrit en commentaire du film Jemmas Castle.
Si Nelson Mandela a mené un combat contre l’apartheid qu’il est nécessaire de dénoncer, il ne faudrait pas oublier de mentionner que l’ancien apartheid est remplacé par un nouveau du même nom et que même avec l’arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, le pays a sombré dans la misère et la violence. De voir la France mettre le drapeau en berne sous la décision de François Hollande pour honorer la mémoire de Nelson Mandela, n’est-ce pas une volonté de gommer les faits historiques et un acte de récupération politique simpliste alors que la ségrégation avec des meurtres racistes a lieu dans l’autre sens comme nous le montre le réalisateur de The War of the fleaet qui invite les visiteurs de son site à signer une pétition pour dénoncer les meurtres des fermiers blancs ?
La Voix de la Russie cliquez là
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12 et 13 Décembre 1793 : début du génocide de la Vendée au Mans
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lundi, 09 décembre 2013
DEMAIN LA GUERRE ?
Le texte de l'intervention de Alain Cagnat à la Table ronde 2013 de Terre et peuple qui s'est tenue à Rungis dimanche 1er décembre :
La paix n’existe pas. Elle n’est que l’état transitoire qui sépare deux conflits armés. Elle n’en élude pas les autres formes, la guerre économique ou la guerre démographique, par exemple. C’est pourquoi j’employé le pluriel dans le titre de cette intervention.
Demain, il y aura donc des guerres. La Russie envahira l’Ukraine et la Chine déclarera la guerre aux Etats-Unis. Vous ne me croyez pas, bien sûr. Pendant que les médias nous amusent à essayer de nous faire peur avec des menaces de guerres qui n’auront jamais lieu, les Européens ne voient pas qu’ils sont déjà en guerre. Non pas la guerre telle que vous l’imaginez avec des divisions de chars traversant la Poméranie vers un rêve impossible ou bien des milliers de bombardiers écrasant sous des tapis de bombes les civils qu’ils sont censés libérer. Mais une guerre qui se déroule à la fois sur le sol européen et ailleurs. Une guerre sans merci que les Européens sont en train de perdre parce qu’ils ne veulent pas la faire.
Cela fait maintenant 70 ans que les Européens vivent en paix, ceux de l’Ouest surtout. Eux qui ont soigneusement fermé leurs yeux et leurs oreilles quand leurs frères d’Allemagne de l’Est, de Hongrie, de Tchécoslovaquie et de Pologne étaient impitoyablement matraqués, torturés et tués par les partisans des « lendemains qui chantent ». Ils sont partis à la plage quand un million de Pieds-Noirs n’ont eu d’autre choix qu’entre la valise et le cercueil. Et quand, il y a à peine vingt ans, la Yougoslavie s’est embrasée dans une guerre qui fut à la fois civile, ethnique et religieuse, les Européens ont mis le son de la télévision plus fort, pour ne pas entendre les cris des Serbes et des Croates. Lire la suite : cliquez ici
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Mardi 10 décembre à Paris : conférence de Gabriele Adinolfi organisée par Synthèse nationale
Salon des Etats-Unis Opéra 16 rue Dantin 75002 Paris
Métro : Opéra
Renseignements et réservations :
synthesenationale@club-internet.fr
Orchestre rouge
le nouveau livre de Gabriele Adinolfi cliquez ici
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Succès de la 2e Fête des Patriotes à Lyon
Le blog de Thomas Joly cliquez ici
Samedi 7 décembre se déroulait à Lyon la 2e Fête des Patriotes. Le Parti de la France, dont les adhérents et sympathisants étaient présents en nombre, y tenait un stand et Thomas Joly, son secrétaire général, a pris la parole en tribune. Dans son intervention, il a rappelé que le PdF menait un véritable combat de civilisation et que la décolonisation de la France, submergée par l'immigration et l'islamisation, était une priorité absolue.
Tout au long de cette journée, orateurs français comme étrangers ont discouru sur le thème de l'événement : « des révoltes à la Révolution Nationale » avant qu'Yvan Benedetti ne conclut magistralement les interventions insufflant, comme lui seul sait le faire, espoir et combativité à l'assistance. La soirée s'est terminée par un banquet convivial notamment animé par les chansons du Docteur Merlin.
17:54 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Voix de la Russie de cette semaine :
16:40 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La boxe, école d’héroïsme...
Il y a 40 ans, la boxe était un des sports les plus médiatisés, suscitant l’enthousiasme de foules. Catherine Gravil, une passionnée qui connaît très bien le sujet, nous propose douze portraits de boxeurs qui furent en ces années 1970/1990 champions d’Europe ou Champions du monde. Ces champions dont Catherine Gravil dresse le portrait dans son livre Vainqueurs aux poings, paru aux éditions de Paris, étaient connus de la France entière. Leurs noms claquent encore comme une référence absolue chez les passionnés de ce sport de seigneur. Autrefois, on parlait du « cercle enchanté ». Le but de l’auteur n’était pas de faire un dictionnaire mais d’évoquer des boxeurs qui pour beaucoup sont ses amis : quelles sont leurs origines sociales, pourquoi fait-on de la boxe, comment devient-on champion ? Et puis, que deviennent-ils, une fois les gants raccrochés ? L’auteur a pris le parti de ne pas évoquer les « anciens », tels Georges Carpentier ou Marcel Cerdan, mais de dresser les portraits, en les qualifiant, des Jo Gonzales (la générosité), Max Cohen (la hargne), Jean-Baptiste Piedvache (l’artiste), Lucien Rodriguez (la droiture), Gilbert Délé (la malice), Pierre-Franck Winterstein (la bohème), Christophe Tiozzo (la résurrection), et quelques autres qui entrèrent eux aussi dans la légende, et sont toujours de ce monde. La plupart de ces boxeurs sont d’origine modeste et ont en commun d’avoir eu des tempéraments de bagarreurs dans leur jeunesse. La boxe canalisa leur formidable énergie et, à force de travail et de volonté, ils se hissèrent vers les sommets.
Les portraits que Catherine Gravil fait de Jean-Baptiste Piedvache et des autres boxeurs sont plein d’empathie. Elle écrit : « La vie de boxeur a l’intensité de celle des héros de tragédies grecques. Le Noble art n’est pas un sport anodin, sa pratique reflète souvent une course après les fragilités de l’enfance. La vie de Jean-Baptiste (Piedvache) est faite de tumultes et de luttes, d’ombres et de lumière. C’est un homme qui ne triche pas. » Une caractéristique que note Catherine Gravil, et que tous ceux qui ont pu fréquenter le milieu de la boxe est que ces boxeurs sont « d’une vraie gentillesse ». On notera que deux boxeurs, à la fin du combat, tombent toujours dans les bras l’un de l’autre.
Beaucoup de célébrités ont aimé la boxe, qu’il s’agisse d’écrivains comme Hemingway, Morand, Cendrars, Cocteau, ou d’hommes de spectacle à l’image de Belmondo, Delon, Lelouch, ou de femmes telles Dalida et Mireille Darc… Le cinéaste Claude Lelouch préface le livre. Il dit : « La boxe m’a fascinée par son intensité dramatique et sa scénographie artistique ». On est loin de l’image de brutes épaisses se cognant jusqu’à ce que mort s’en suive… Un livre formidable, à lire même par ceux qui ne connaissent pas ce « sport de seigneurs ».
Vainqueurs aux poings, de Catherine Gravil, 127 pages, éditions de Paris Max Chaleil. 54, rue des Saints-Pères 75007 Paris. 15 €.
16:11 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Le trotskisme dégénéré » : Patrick Gofman à la librairie Dobrée, le vendredi 13 décembre
Source Breizh info cliquez ici
L’écrivain Patrick Gofman sera en conférence à la Librairie Dobrée, à Nantes, le vendredi 13 décembre à partir de 20h30, afin de présenter son ouvrage intitulé « le trotskisme dégénéré ».
Pourquoi la chaloupe trotskiste coule-t-elle avec le « Titanic » stalinien ? Parce qu’elle est à sa remorque !
Depuis 1938, le trotskisme, dans ses mille et une chapelles, se présente comme la direction alternative du prolétariat révolutionnaire mondial.
La disparition du pouvoir soviétique, l’effondrement électoral et moral du PCF devrait donc ouvrir un boulevard aux trotskistes ? Eh bien, non. Les remous de l’immense naufrage stalinien entraînent vers le fond les frêles esquifs de son opposition de gauche.
Patrick Gofman décrit ici avec précision, brièveté, références, humour et cruauté, les dégénérescences parallèles des staliniens et des stalinains, leur choc fatal avec l’iceberg de l’Histoire, leurs derniers gargouillis dans l’eau glaciale.
L’auteur :
Né à Suresnes-sur-Seine en 1949, de père russe et de mère bretonne. Catholique de naissance, athée à 13 ans. Etudes tumultueuses en Normandie. Service militaire au 1er Spahis (70/12). Trotsko-lambertiste de 1967 à 1979. Supporter « du mouvement national dans sa totalité » depuis 1986. Correcteur de métier.
Le Trotskisme dégénéré – 18 € – Editions Synthèse Nationale
Librairie Dobrée – 14 rue voltaire – 44000 Nantes – 02 40 69 84 84
NDLR : Le Trotskisme dégénéré, cliquez là
11:34 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
LES EUROCRATES, version KLEPTOCRATES…
Le secteur bancaire et financier est maintenant géré de telle façon que chaque gouvernement peut instantanément fermer les guichets, bloquer les comptes bancaires des particuliers et des sociétés, clôturer les opérations électroniques et limiter ou stopper les retraits en cash aux distributeurs automatiques. C’est ainsi que les comptes en banques ont été confisqués à Chypre en mars 2013. Que le gouvernement impose alors une taxe de 90% sur l’ensemble des dépôts ou en restitue la totalité, peu importe : il aura accaparé votre propriété pour la mettre au service de ses propres intérêts !
La conclusion du hold-up chypriote est limpide : plus personne ne peut prétendre posséder quelque chose, car désormais l’Etat peut s’en saisir à tout moment, sans préavis. L’usage de vos biens ne dépend in fine que de son seul bon vouloir.
La confiscation des comptes en banques à Chypre n’a pas été décidée par le gouvernement lui-même. Ce sont les ministres européens qui en ont été les maîtres d’œuvre. Toute cette opération s’est déroulée dans le dos des citoyens, bien sûr à l’encontre de toute règle de droit. Pour les Eurocrates, le risque de défaut souverain ou de faillite bancaire justifie potentiellement tous les abus. Avant cette odieuse confiscation des comptes bancaires, nous avions déjà connu de nombreuses entorses à tous les principes de l’Etat de droit :
- le gouvernement belge qui vend la banque Fortis -qui ne lui appartient pas- pour un montant dérisoire au groupe BNP-Paribas,
- la BCE qui s’assied sur ses statuts pour faire tourner la planche à billets,
- la Troïka qui usurpe la souveraineté nationale,
- le secteur bancaire européen protégé à tout prix des règles élémentaires du capitalisme.
Sans réactions des citoyens, les mesures qui nous sont présentées comme « exceptionnelles » et « transitoires » deviendront courantes pour nos enfants. Ce qui est tout de même surprenant est le fait que ni les politiciens, ni les intellectuels et seulement une minorité d’analystes n’aient réagi au drame qui se joue devant nous.
Il faut arrêter de voir la crise de la dette comme un problème financier complexe et incompréhensible. C’est avant tout un problème politique qui touche tous les citoyens et qui impose un débat démocratique, afin de sauver notre liberté et notre prospérité, parce que nous sommes tous concernés car tous responsables.
Et si l’on taxe aveuglément tous les comptes bancaires, sans discernement, quelle sera la majorité la plus touchée ? Ceux qui ont la plus grande partie de leur fortune en argent liquide sur des comptes bancaires : il s’agit des plus pauvres de notre société (peu d’épargne et peu d’avoirs financiers) et ceux qui ne gèrent pas leurs patrimoine financier, comme les vieilles personnes seules. Les nantis ou les fraudeurs ont tendance à gérer leur richesse de manière active en investissant leurs avoirs dans des compartiments plus rentables que le cash. Cette taxation est donc moralement inacceptable et exclue les fraudeurs.
Cette proposition de taxation est illégale du point de vue d’un Etat de droit, qui doit refuser l’arbitraire dans le processus d’élaboration et d’application de la loi. La vitesse à laquelle le hold-up chypriote s’est exécuté a requis beaucoup de mauvaise foi, pour parler de processus démocratique plutôt que de fait du prince. Et depuis 8 mois, on assiste à une méfiance de la part des clients chypriotes envers les banques qui, elles, constatent une baisse généralisée des dépôts, en route vers des cieux plus cléments.
Les ministres européens des Finances qui sont responsables de ce braquage à Chypre sont non seulement incompétents et stupides, mais dans la panique n’ont pas voulu prendre de mesures drastiques. Ils ont totalement été emprisonnés par les tabous de l’Euro et du pouvoir européen. Ils se sont comportés comme des apprentis sorciers, reniant toute légalité et morale.
Chypre n’est pas l’exception : la Slovénie, l’Espagne, l’Italie, la France, ou la Belgique vont suivre. L’expérience chypriote en grandeur nature démontre que, du sommet de l’Etat, il est plus rentable de garantir les puissants (dans ce cas, les banksters) que de s’occuper des intérêts de la population, et qu’à ce titre, tout est permis. Mais, cher lecteur, ne croyez pas que la situation en France, en Espagne ou en Belgique soit meilleure. Venus au Pouvoir par les votes des pauvres et des petits qui réclament l’argent des riches, les pourriticards du gouvernement feront tout ce qu’il faut pour sauver leurs prébendes. Et ils vous serviront les éternelles excuses et les mêmes promesses éculées en se justifiant de la manière suivante :
- Si vous refusez nos solutions, ce sera le chaos.
- Mais ne vous inquiétez pas, ce sont les riches qui vont payer. (dans le style « les compte bancaires de moins de 100.000 € sont garantis » ! Par qui ?)
Il va falloir quand même vous réveiller : dans leur logiciel, les « riches » c’est vous ! Les « autres » c’est encore vous ! « L’Etat » c’est toujours vous ! Et ceux qui vont payer l’addition : c’est évidemment vous, « les petits » !
Et là, il est indispensable de s’octroyer un temps de réflexion : à quel moment, notre seuil d’intolérance sera-t-il atteint ? Quelle limite chaque citoyen a-t-il pour choisir entre le chaos et la fuite ?
Plusieurs milliers de Français ont fui l’Hexagone pour des pays limitrophes ou plus lointains, afin que le fruit de leur travail ne soit plus laminé par la pression fiscale. 40% d’entre eux ne reviendront jamais. 30% seront absents plusieurs années et 20% attendront leur retraite pour revenir au pays.
Et comment les RAPETOUT vont-ils piquer vos sous ?
D’abord, en augmentant la taxation sur l’épargne et sur les revenus du capital, ce qui se fait déjà régulièrement dans les pays de la zone euro depuis 5 ans.
Ensuite, en instaurant un impôt « exceptionnel » de 10% sur la totalité de vos dépôts bancaires. Ceci afin de ramener la dette publique de chaque pays au niveau d’endettement de l’année 2007, comme le préconise Christine Lagarde, présidente du FMI.
Enfin en spoliant tout simplement les déposants qui possèdent plus de 100.000 € sur leurs comptes, si la banque tombe en déconfiture. Et des banques qui vont « sauter », il y en aura quelques-unes !
Ces trois possibilités pourraient être misent en vigueur séparément ou conjointement, en fonction des circonstances ou de l’intérêt de chacun des Etats de l’U.E, car la justification qui en sera donnée servira de prétexte à des causes différentes, bien que les conséquences financières en seront supportées par tous.
Les banques européennes vont-elles faire exploser la zone euro ?
L’objectif de l’Union bancaire est de répondre aux vulnérabilités structurelles de la zone euro et constitue un préalable au fonctionnement du Mécanisme Européen de Stabilité qui impose quatre directives :
- Un renforcement des exigences de solvabilité pour les banques.
- Une surveillance par la BCE et les banques nationales.
- La garantie des dépôts.
- Un mécanisme de liquidation ordonné des banques non viables.
Toutes les banques ne sont pas concernées, notamment celles hors zone euro. Et le dispositif de surveillance propose de se focaliser sur les banques systémiques, dont le total des actifs dépasse 30 milliards d’euros. A ce titre, un « stress test » sera effectué auprès des 130 banques les plus importantes de la zone euro, dont les résultats seront connus à la fin du 1er trimestre 2014. Cette Union bancaire est le lien entre l’Union Monétaire et la coordination des politiques budgétaires exigée par le Pacte budgétaire entré en vigueur le 1/1/2013. Il fallait éviter une certaine collusion entre les banques et les Etats. Le but est de refuser que les Etats ne renflouent systématiquement le secteur bancaire et financier et que soit limitée la prise de risques des banques, quand il s’agit d’acheter de la dette publique.
Mais aujourd’hui, les banques vivent dans un contexte où leur marge est de plus en plus réduite : on leur demande plus de fonds propres au passif et plus de liquidités à l’actif. Elles vont être surveillées étroitement par la BCE. Pour ce qui est de la garantie des dépôts bancaires inférieurs à 100.000 €, un simple exemple : si une petite banque ayant 300.000 clients dont le dépôt moyen est de 50.000 €, fait faillite, les pertes seront de 15 milliards, compensées par le capital social. Qui va garantir la différence ? En Belgique un fonds spécial a été mis en place, alimenté par les banques et les clients. A fin juin 2013, les disponibilités de ce fonds « de garanties » s’élevaient à 756 millions d’euros... On fait quoi, on tire au sort ? On indemnise en fonction de l’ancienneté des clients ? Ou alors selon l’âge des déposants ? Fumisterie, mensonge et C° ! Quant à l’ordonnancement des faillites (point 4 ci-dessus), les actionnaires seront maintenant les premiers mis à contribution, puis les prêteurs « juniors », ensuite les prêteurs « seniors » et enfin les déposants qui ont plus de 100.000 € de dépôts. La plus grande « bad bank » de la zone euro est DEXIA qui possède plus de 260 milliards d’actifs pourris dans ses comptes, actifs dont les plus récents arriveront à maturité en 2060 ! Quel sera l’effet « domino » si cette banque tombe en faillite ?
CONCLUSIONS : « on vit une époque formidable ! » La BCE ne peut pas autoriser le redressement des banques de la zone euro. Cet aspect est purement politique. Et c’est là que l’on retrouve les liaisons nauséabondes entre les Etats et leurs banques, les uns renflouant les autres et inversement, grâce à l’argent de nos impôts…et de nos dépôts. Mais le mandat de la BCE est de garantir la stabilité des prix, et non de garantir les Etats ou les banques (traité de Maastricht). Encore un traité bafoué.
Sous la pression du Conseil des Chefs d’Etat et de gouvernement, des insistances de la Commission Européenne et au grand soulagement des « banksters », la BCE a déjà transféré une partie des dettes souveraines et bancaires (actifs « pourris ») dans ses comptes.
N’oubliez surtout pas que vos dépôts en banque font de vous un créancier de votre banque : la banque ne dépose pas votre argent dans un coffre, mais en fait vous l’échange contre une reconnaissance de dette. La nouvelle réglementation européenne en gestation pour ce qui concerne les résolutions bancaires, va vous mettre à contribution en cas de malheur de votre banque. Et si la BCE le décide, dans un cas extrême, la totalité des billets en circulation pourraient être remplacés par d’autres coupures ayant une valeur différente.
Mon analyse ci-dessus vous semble pessimiste et hors de propos ? Parlez-en autour de vous ! Informez-vous auprès de votre banquier ! Ecrivez donc à votre député ou encore au Ministre des Finances ! Consultez Internet en tapant « Hold-up sur les comptes bancaires ».
Vous aurez alors une idée plus claire sur le braquage du siècle qui se prépare, avec la complicité de ceux qui nous gouvernent !
Et choisissez le terme qui correspond le mieux à l’image que vous vous faites face à votre banquier :
Client : personne qui reçoit de quelqu’un, contre paiement, des fournitures commerciales ou des services.
Déposant : personne qui fait un dépôt et spécialement un dépôt d’argent (somme confiée à un organisme bancaire) qui doit le garder et le rendre fidèlement (rôle du dépositaire, la banque).
Créancier : titulaire d’un droit de créance, c'est-à-dire le droit qu’une personne (le créancier) a d’exiger quelque chose de quelqu’un (le débiteur).
Sources : l’Echo, agence Medisma, Atlantico et Reuters.
00:53 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi à Bruxelles, Serge Ayoub et Roland Hélie étaient invités par le Mouvement Nation :
Roland Hélie au cour de son intervention
La conférence organisée à Bruxelles samedi après midi, dont Serge Ayoub et Roland Hélie étaient les deux orateurs, a fait salle comble et a remporté un franc succès auprès de l’enthousiaste public présent.
Cette très intéressante conférence a été suivie d’une longue et chaleureuse réunion de camaraderie.
A voir le nombre et l’intérêt des participants ainsi que le nombre de « nouvelles têtes », on ne peut que constater que la dynamique NATION se développe toujours et de plus en plus en Belgique francophone !
Très bientôt, nous espérons d’ailleurs vous annoncer encore quelques bonnes surprises !
Les militants bruxellois de Nation sont venus nombreux assister à cette conférence
Serge Ayoub est revenu sur les provocations d'Etat qui ont mené à la dissolution de son mouvement
Nous tenons à remercier Hervé Van Laethem, les responsables de Nation et les nombreux militants présents pour leur accueil plus que chaleureux à Bruxelles samedi dernier.
Site de Nation cliquez ici
00:35 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 08 décembre 2013
Le Journal du Chaos de cette semaine :
Le Journal du Chaos cliquez ici
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Mandelamania : entre délire et désinformation !
Yves Darchicourt
C'est pas de chance pour Pépère ! Il venait tout juste de commencer à jouer au pacificateur de l'Oubangui-Chari et puis patatras Nelson Mandela passe l'arme à gauche! Du coup les médias rabaissent la nouvelle expédition africaine du Normal au rang de fait divers exotique pour ne plus se consacrer qu'à l'apothéose programmée du nonagénaire xhosa.
On en a au moins pour une décade à entendre pleurer sur le grand homme vu que ses obsèques - nationales et même mondiales comme susurrent dans le poste les énamourés du commentaire - n'auront lieu que le 15 décembre. On n'a pas fini d'en voir, d'en lire et d'en entendre sur le personnage, du grossissement épique à toutes les sauces, d'autant que les thuriféraires ont eu le temps de peaufiner leur texte durant les cinq moins qu'a duré l'agonie du susdit.
Alors pour trancher dans le genre, on se contentera de rappeler que le stalinoïde Mandela patron de l'ANC ce fut d'abord et surtout le terrorisme, les agressions, les incendies, les viols, les tortures, les assassinats de sud-africains blancs et surtout des afrikaners : "un boer une balle" avait pour slogan son égérie Winnie une de ses épouses aux appétits et moeurs de Messaline, une délicate qui disait volontiers " c'est avec des allumettes et des pneus enflammés que nous libèrerons le pays"...allusion au redoutable et malodorant supplice du "collier de feu" dont elle était friande.
Mandela n'était pas comme Gandhi, il n'était pas un homme de dialogue et de paix, c'était foncièrement un violent et à ce point attaché à la brutalité que plutôt que de faire renoncer officiellement l'ANC au terrorisme, il a préféré demeurer en prison...ce qui était aussi moins risqué et plus confortable, son lieu d'incarcération se rapprochant plus de la couveuse que de l'ergastule.
Comme le rappelle Bernard Lugan, cliquez ici, l'Afrique du Sud de Papa Mandela c'est aussi un pays appauvri ramené au niveau de croissance du Soudan, des Comores ou de Madagascar, un taux de chômage de 40% (50% de plus qu'aux heures sombres de l'Apartheid), l'ostentation provocatrice des nouveaux riches noirs profiteurs d'une corruption généralisée;c'est une nation dont des pans entiers de l'économie ont été livrés aux multinationales sur exploitant une main d'oeuvre quasiment asservie, un pays désorganisé par la discrimination positive et en proie à une insécurité galopante.
Enfin Grand'Pa Nelson c'est la prolifération des bidonvilles de noirs de plus en plus surpeuplés et ravagés par le sida qui avoisinent désormais des bidonvilles de blancs victimes de spoliations, chassés de leurs terres, de leurs commerces, de leurs ateliers et réduits à la misère par volonté idéologique: l'égalité dans la misère en quelque sorte...pas de quoi mériter drapeaux en berne et déferlante pleurnicharde.
Pépère doit quand même l'avoir mauvaise de ne pas générer l'évènement. Pour rebondir un tantinet et faire quand même l'africain, il a décidé de se rendre à Quru en grandes pompes et aux frais du contribuables pour vivre intensément la cérémonie finale de l'apothéose. D'ici à ce qu'on nous impose les sirènes, le glas, le crèpe au bras et une minute de silence au garde à vous sous peine d'être alpagué pour anti racisme tiède..!
A découvrir: les photographies prises en 2010 par des reporters du Boston Globe dans un camp pour blancs pauvres à Krugersdorp. Pour nous européens, le bilan Mandela c'est aussi et surtout cela ! cliquez ici
09:23 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 07 décembre 2013
Nelson Mandela : l’icône et le néant
Communiqué de Bernard Lugan [1] :
Né le 18 juillet 1918 dans l’ancien Transkei, mort le 5 décembre 2013, Nelson Mandela ne ressemblait pas à la pieuse image que le politiquement correct planétaire donne aujourd’hui de lui. Par delà les émois lénifiants et les hommages hypocrites, il importe de ne jamais perdre de vue les éléments suivants :
1) Aristocrate xhosa issu de la lignée royale des Thembu, Nelson Mandela n’était pas un « pauvre noir opprimé ». Eduqué à l’européenne par des missionnaires méthodistes, il commença ses études supérieures à Fort Hare, université destinée aux enfants des élites noires, avant de les achever à Witwatersrand, au Transvaal, au cœur de ce qui était alors le « pays boer ». Il s’installa ensuite comme avocat à Johannesburg.
2) Il n’était pas non plus ce gentil réformiste que la mièvrerie médiatique se plait à dépeindre en « archange de la paix » luttant pour les droits de l’homme, tel un nouveau Gandhi ou un nouveau Martin Luther King. Nelson Mandela fut en effet et avant tout un révolutionnaire, un combattant, un militant qui mit « sa peau au bout de ses idées », n’hésitant pas à faire couler le sang des autres et à risquer le sien.
Il fut ainsi l’un des fondateurs de l’Umkonto We Sizwe, « le fer de lance de la nation », aile militaire de l’ANC, qu’il co-dirigea avec le communiste Joe Slovo, planifiant et coordonnant plus de 200 attentats et sabotages pour lesquels il fut condamné à la prison à vie.
3) Il n’était pas davantage l’homme qui permit une transmission pacifique du pouvoir de la « minorité blanche » à la « majorité noire », évitant ainsi un bain de sang à l’Afrique du Sud. La vérité est qu’il fut hissé au pouvoir par un président De Klerk appliquant à la lettre le plan de règlement global de la question de l’Afrique australe décidé par Washington. Trahissant toutes les promesses faites à son peuple, ce dernier :
- désintégra une armée sud-africaine que l’ANC n’était pas en mesure d’affronter,
- empêcha la réalisation d’un Etat multiracial décentralisé, alternative fédérale au jacobinisme marxiste et dogmatique de l’ANC,
- torpilla les négociations secrètes menées entre Thabo Mbeki et les généraux sud-africains, négociations qui portaient sur la reconnaissance par l’ANC d’un Volkstaat en échange de l’abandon de l’option militaire par le général Viljoen[2].
4) Nelson Mandela n’a pas permis aux fontaines sud-africaines de laisser couler le lait et le miel car l’échec économique est aujourd’hui total. Selon le Rapport Economique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne), pour la période 2008-2012, l’Afrique du Sud s’est ainsi classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland (page 29 du rapport).
Le chômage touchait selon les chiffres officiels 25,6% de la population active au second trimestre 2013, mais en réalité environ 40% des actifs. Quant au revenu de la tranche la plus démunie de la population noire, soit plus de 40% des Sud-africains, il est aujourd’hui inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994[3]. En 2013, près de 17 millions de Noirs sur une population de 51 millions d’habitants, ne survécurent que grâce aux aides sociales, ou Social Grant, qui leur garantit le minimum vital.
5) Nelson Mandela a également échoué politiquement car l’ANC connaît de graves tensions multiformes entre Xhosa et Zulu, entre doctrinaires post marxistes et « gestionnaires » capitalistes, entre africanistes et partisans d’une ligne « multiraciale ». Un conflit de génération oppose également la vieille garde composée de « Black Englishmen», aux jeunes loups qui prônent une « libération raciale » et la spoliation des fermiers blancs, comme au Zimbabwe.
6) Nelson Mandela n’a pas davantage pacifié l’Afrique du Sud, pays aujourd’hui livré à la loi de la jungle avec une moyenne de 43 meurtres quotidiens.
7) Nelson Mandela n’a pas apaisé les rapports inter-raciaux. Ainsi, entre 1970 et 1994, en 24 ans, alors que l'ANC était "en guerre" contre le « gouvernement blanc », une soixantaine de fermiers blancs furent tués. Depuis avril 1994, date de l’arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, plus de 2000 fermiers blancs ont été massacrés dans l’indifférence la plus totale des médias européens.
8) Enfin, le mythe de la « nation arc-en-ciel » s’est brisé sur les réalités régionales et ethno-raciales, le pays étant plus divisé et plus cloisonné que jamais, phénomène qui apparaît au grand jour lors de chaque élection à l’occasion desquelles le vote est clairement « racial », les Noirs votant pour l’ANC, les Blancs et les métis pour l’Alliance démocratique.
En moins de deux décennies, Nelson Mandela, président de la République du 10 mai 1994 au 14 juin 1999, puis ses successeurs, Thabo Mbeki (1999-2008) et Jacob Zuma (depuis 2009), ont transformé un pays qui fut un temps une excroissance de l’Europe à l’extrémité australe du continent africain, en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits, le plus souvent dirigés par des Blancs.
Pouvait-il en être autrement quand l’idéologie officielle repose sur ce refus du réel qu’est le mythe de la « nation arc-en-ciel » ? Ce « miroir aux alouettes » destiné à la niaiserie occidentale interdit en effet de voir que l’Afrique du Sud ne constitue pas une Nation mais une mosaïque de peuples rassemblés par le colonisateur britannique, peuples dont les références culturelles sont étrangères, et même souvent irréductibles, les unes aux autres.
Le culte planétaire quasi religieux aujourd’hui rendu à Nelson Mandela, le dithyrambe outrancier chanté par des hommes politiques opportunistes et des journalistes incultes ou formatés ne changeront rien à cette réalité.
[1] La véritable biographie de Nelson Mandela sera faite dans le prochain numéro de l’Afrique Réelle qui sera envoyé aux abonnés au début du mois de janvier 2014.
[2] Voir mes entretiens exclusifs avec les généraux Viljoen et Groenewald publiés dans le numéro de juillet 2013 de l’Afrique réelle www.bernard-lugan.com
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RAPPEL : samedi 7 décembre, Roland Hélie et Serge Ayoub invités par le mouvement Nation à Bruxelles
Un communiqué du mouvement NATION (Bruxelles) :
Samedi 7 décembre, à partir de 14 h 00, le mouvement NATION reçoit dans son local bruxellois, Serge Ayoub et Roland Hélie.
Ils nous viendront spécialement de Paris :
• Serge Ayoub pour présenter son livre intitulé "L'affaire Clément Meric, du fait divers au scandale politique" qu’il dédicacera à ceux qui le désirent.
• Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, pour nous expliquer la situation en France, tant au niveau de la répression que du très fort ressentiment populaire contre Hollande.
Pour les intéressés qui ne connaissent pas l'adresse de notre local à Bruxelles, prière de nous contacter au 0470 69 52 43 (0032(0)470 69 52 43 pour nos amis français).
01:14 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le gouvernement efface une dette de « l’Humanité » de 4 millions d’euros
Source Contre Info cliquez ici
Dans la série « où vont nos impôts ? » :
un amendement du gouvernement au projet de loi de finances rectificative pour 2013 propose d’accorder au torchon communiste l’effacement d’une dette de plus de 4 millions d’euros, plus les intérêts, contractée sous forme de prêt du Fonds de développement économique et social.
L’amendement explique que « L’Humanité ne peut faire face au remboursement de sa dette contractée auprès de l’État (…), parce que ses résultats financiers sont très faibles et qu’elle ne possède plus d’actifs ». « Par conséquent, il est nécessaire d’abandonner cette créance », conclut-il.
L’Humanité est le journal le plus subventionné sur la période 2009-2011 si l’on rapporte les montants des aides perçues à sa diffusion (0,48 euro par exemplaire), indique la Cour des Comptes. Il a touché 6,8 millions d’euros par an en moyenne.
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vendredi, 06 décembre 2013
Dimanche 8 décembre, Jean-Claude Rolinat dédicacera son livre "Salazar le regretté" à la journée de Renaissance catholique à Villepreux (78)
Plusieurs collaborateurs de la revue Synthèse nationale participeront aussi à cette journée. Parmi eux : Francis Bergeron, Arnaud Raffard de Brienne, Nicolas Tandler... Venez les retrouver sur leurs stands. Jean-Claude Rolinat dédicacera pour sa part sa biographie d'Antonio Salazar, Salazar le regretté, publié par Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez ici.
Dimanche 8 décembre, 11 h 19 h, Domaine de Grand Maison 78 Villepreux
Plus d'informations sur cette journée cliquez là
19:46 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mandela : à quand la canonisation ?
Source Nation cliquez ici
Depuis hier soir, la bien-pensance mondialisée a mis son rouleau compresseur en marche ! C’est à celui qui aura le terme le plus frénétiquement admiratif : Mandela par ci, Mandela par là ! La Grande Bretagne a mis ses drapeaux en berne…ce qu’elle ne faisait pas pour ses propres soldats morts en Irak, en Afghanistan ou assassinés par des islamistes en plein Londres.
Faisons donc un devoir de mémoire sur le parcours de Mandela.
S’il a été mis en prison, même si cela ressemblait plus à une résidence très surveillée qu’à une geôle infâme, c’est car il était un des chefs de l’ANC, African National Congres, qui pratiquait le terrorisme.
L’ANC était très proche du Parti Communiste sud-africain et était soutenu par cette grande démocratie qu’était l’Union Soviétique qui leur fournissaient nombre de spécialistes en guérilla et terrorisme, issus du KGB.
Les militants « démocrates » de l’ANC furent les initiateurs de cette « délicieuse » pratique dite du « pneu enflammé » qui consiste à placer sur une personne, un pneu arrosé d’essence et d’y mettre le feu…Ce qui provoque la mort dans d’atroces souffrances. Pratique encore active aujourd’hui mais contre les immigrés d’autres pays africains comme les Mozambicains en 2008 !
Car et c’est bien là, la pire responsabilité de Mandela, c’est que l’Afrique du Sud est tombée dans le chaos social et a encore accentué les haines raciales comme le démontre, les nombreuses agressions (souvent mortelles) que subissent les fermiers blancs. Sans compter le taux de criminalité qui un des plus élevés au monde !
Mais peu importe, grâce à lui, de nombreuses multinationales ont pu recommencer à faire de juteuses affaires. Après tout, pour la bien-pensance, c’est la seule chose qui compte. Et c’est bien ce qui explique que les forces mondialistes rendent un tel hommage à celui qui fut un de leur plus serviles employés…
14:07 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Décès de Nelson Mandela, terroriste communiste anti-blancs et fossoyeur de l'Afrique du Sud
L'ensemble de la classe politico-médiatique n'a pas fini de nous rebattre les oreilles avec des hommages orgasmiques et délirants à la mémoire de « Madiba », décédé à l'âge de 95 ans jeudi 5 décembre.
Voici pourtant la réalité de son « héritage » expliquée par Bernard Lugan :cliquez ici
En avant-première : sortie très prochaine d'un nouveau Bouquin de Synthèse nationale signé Jean-Claude Rolinat, fin connaisseur de la situation en Afrique du Sud, consacré au bilan de la faillite Mandela... On en reparle très prochainement...
11:00 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |