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dimanche, 14 juillet 2013

NON, ESTEBAN N'EST PAS UN "PAUME"

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Serge Ayoub

Boulevard Voltaire cliquez ici

Après la mort de Clément Méric, la gauche a hurlé partout qu’Esteban et ses camarades Samuel, Alexandre et Stéphane n’étaient que d’ignobles brutes néo-nazies. Aujourd’hui, la droite condescendante et victimaire tente de se récupérer un martyr en le décrivant comme un paumé, un innocent « malgré lui ».

Alors, et en réponse à l’article de Didier Bourjon paru sur Boulevard Voltaire le 11 juillet, je tiens à affirmer que non, Esteban n’est pas un « paumé », et que non, je ne suis pas le point de fixation de groupuscules « sombrement perdus ».

Esteban, à 20 ans, travaillait dans la sécurité-incendie, avait des responsabilités, avait emménagé avec sa petite amie, quand bien des garçons de son âge oscillent entre le chichon, les jeux de rôles en ligne, les sorties en boîtes et une vie étudiante interminable, toujours sponsorisée par papa et maman. On a dit qu’il était skin, on a dit qu’il était sympathisant de Troisième voie : peut-être. Cela n’en fait pas un paumé, bien au contraire. Être skin, et surtout adhérer aux idées que j’ai défendues à Troisième voie, et que je défendrai ailleurs, c’est affirmer deux choses : la fierté d’être travailleur, et la fierté d’être Français.

Avoir des idées et les assumer, ça ne fait pas de vous un paumé, ça fait de vous un homme, un homme tel que notre nation était encore capable d’en produire il n’y a pas si longtemps. Un homme capable de se défendre quand on l’agresse, un homme capable de résister moralement à un système qu’il juge mauvais, un homme capable de dire non haut et fort quand d’autres baissent les yeux dans la honte ou la peur.

Esteban est infiniment moins paumé que ces crétins déracinés et déculturés qui encombrent les castings de télé-réalité.

Esteban est infiniment moins paumé que les traders qui spéculent sous coke sur des produits dérivés dont ils ignorent la structure financière.

Esteban est infiniment moins paumé qu’un homo qui veut avoir plein d’enfants.

Esteban est infiniment moins paumé qu’un ministre de l’Intérieur qui parle d’assassinat pour un cas de légitime défense, infiniment moins paumé qu’un Premier ministre qui demande une minute de silence pour un agresseur et se rassied dans le ridicule, infiniment moins paumé qu’un président qui confond Chinois et Japonais, et prononce un décret de dissolution contre des associations déjà dissoutes.

Esteban est infiniment moins paumé que les quelques punks à chiens qui s’inventent une guerre antifasciste en 2013.

Enfin, et surtout, Esteban est infiniment moins paumé que tous les petits éditorialistes de « droite » qui prétendent le défendre sans se donner la peine de le comprendre.

Tous ceux-là, je leur demande de se taire et, humblement, de relayer cette page de soutien : cliquez ici 

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Le nouveau numéro du magazine "Terre et peuple" est sorti...

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Terre et peuple cliquez ici

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vendredi, 12 juillet 2013

Ich bin ein JNR !

MENSON~1.JPGPar Hannibal

Rivarol

N° 3101 du 5 juillet 2013

John Kennedy, président nocif et minable, a pourtant laissé un souvenir, une phrase de quatre mots : « Ich bin ein Berliner ». Il n’était pas plus Berlinois que vous et moi, mais, face à la menace principale de l’époque, le totalitarisme soviétique, il s’était solidarisé avec les plus directement menacés. Suivant ce principe, nous devons dire aujourd’hui : « Ich bin ein JNR ». J’avoue mal connaître leur doctrine et leur personnalité (on ne connaît pas non plus tous les Berlinois), mais je m’en fiche, ils sont en première ligne, désignés, dénoncés, attaqués par la barbarie arc-en-ciel, letotalitarisme mondialiste, et il faut les défendre, comme on défend son frère.

Arc-en-ciel : voyez le ramdam qu’ils font sur Mandela, ce vieillard qui rejoint dans l’acharnement thérapeutique Tito, Franco et Sharon, voyez comme Obama fleurit son apothéose en même temps qu’il applaudit la décision de la cour suprême des Etats-Unis invalidant la définition traditionnelle du mariage : les sept couleurs de la diversité raciale sont aussi celles de la diversité des orientations sexuelles, des genres, les sept couleurs de l’humanité “libérée” de la nature et de l’histoire, les sept couleurs aussi du Rainbow Warrior. Le mondialisme, en bon escroc, utilise tout ce qui est progressiste et sympathique au grand nombre. Il établit ainsi une synergie des subversions. Obama, qui a lu les bons auteurs trotskistes, sait que la révolution se fait aujourd’hui par les minorités : il pousse en même temps au mariage gay, au printemps arabe et à l’affirmative action. L’extrême droite, bien avant Camus et consorts, a discerné la politique de substitution des populations qu’on désigne aujourd’hui par le nom de « grand remplacement », mais je préfère aussi depuis longtemps le terme de « révolution des bernard-l’hermite », car l’invasion n’est qu’un des éléments d’une révolution plus vaste. Le remplacement des peuples s’accompagne d’un remplacement des civilisations. La confrérie de l’arc-en-ciel a aujourd’hui pour terre d’élection l’Amérique, il flotte sur la Maison-Blanche comme le drapeau rouge flottait jadis sur le Kremlin, et il faut en tirer les conséquences stratégiques.

Ce totalitarisme, l’espion Snowden le confirme, repose en partie sur un système d’espionnage beaucoup plus fin et performant que ne l’étaient les pauvres machineries de Big Brother. Mais il repose surtout sur l’assentiment de la société occidentale. C’est la dictature la plus heureuse qui soit, où chacun, ayant intériorisé les valeurs du tyran, se fait spontanément flic et juge à son service, c’est le totalitarisme participatif avancé. Notre vie publique est devenue un jeu de rôle très simple entre les Gentils et les Méchants. Les Gentils sont arc-en-ciel, les méchants sont noirs, et les méchants des méchants sont JNR. Ce jeu de rôle, ce théâtre moral, ce cinéma à thèse, cette propagande tétée par ceux qui en sont victimes, cette dialectique à deux balles, nous venons d’en voir un exemple sublime avec l’affaire Méric. Il faut l’analyser. Au premier juillet, on ignore ce qui s’est passé exactement, mais ce n’est pas grave : le récit qui en a été fait suffit à nous éclairer.

Le 5 juin dernier, le blog du Parti de gauche annonce la mort cérébrale d’un garçon de 18 ans, Clément Méric, dans une rixe. Peu après, on apprend, par l’ensemble des media, qu’à la suite d’une vente de vêtements, trois amis et lui ont été agressés par des “skinheads” qui les ont attendus « avec des renforts ». Clément « a été frappé par l’un des skins qui avait un poing américain et a chuté sur la chaussée en heurtant un plot au passage ». Il est vite précisé que Méric militait dans un syndicat et chez les “Antifas” : la rixe est immédiatement interprétée comme l’agression des gentils militants d’extrême gauche par des méchants militants d’extrême droite.

La presse ne sera pas uniformément lamentable. On trouve dans Tribune juive, Arrêt sur image, Le Nouvel Observateur, Causeur.fr , Fdesouche et même Le Monde un certain esprit critique. Mais dans l’ensemble, les rôles sont distribués conformément aux catégories mentales de l’extrême gauche.

Elles sont définies par Romain, militant antifa : « Si les gens ils pensent que nier la Shoah, les chambres à gaz ou qu’être antisémite ou islamophobe, c’est pareil que d’être pour l’égalité entre tous, d’être pour la justice sociale, bah alors c’est grave pour eux ». Autrement dit, ce n’est pas un acte qu’on juge, ce qu’on est, ce qu’on pense. Avant même que la lumière fût, le noir est méchant et l’arc-en-ciel est gentil. Telle est aussi l’opinion de Daniel Schneidermann : « ce n’est pas en qualité d’étudiant, que Clément Méric a été frappé. Militant d’extrême-gauche ? Attention à ne pas créer une fausse symétrie avec l’extrême-droite, renvoyant ainsi dos à dos agresseurs et agressés. »

Pourtant le patron d’Arrêt sur image invite à la prudence en attendant les résultats de l’enquête : mais, parce qu’il refuse toute « fausse symétrie », il a, contrairement à ses conseils, distribué les rôles d’agresseur et d’agressé. Il conclut cependant avec justesse : « Choisir ses mots, c’est choisir son camp. » Ses mots et ses images, par là son récit. C’est ce qu’a fait l’appareil médiatico-politique français.

Pour le montrer, commençons par les gentils. Le portrait d’un adolescent mignon et joufflu (« un visage de poupon ») a été répandu. Un « jeune homme plein de vie, qui aimait la musique et avait la vie devant lui ». « Un élève modèle tué pour ses idées » Un intellectuel, mention très bien au bac S, sciences-po, pas un bagarreur, soixante kilos tout mouillé, végétaliste. Pour finir, Clément se remettait d’une leucémie. C’est important. Malik Oussekine était sous dialyse. Cela pose en victime. On ne se demande pas ce que des gringalets malades viennent faire dans des bastons, on s’en sert comme de circonstance aggravante pour ceux qui les ont tués.

Les méchants sont donc peints lâches et brutaux. « L’homme faisait un mètre quatre-vingt-dix. Un de ses collègues avait un teeshirt FN ». Les agresseurs ont “encerclé” Clément et ses amis. « La victime a été violemment frappée par plusieurs skinheads ». “Lynchée”. « Tabassée à mort ». Ou, variante maligne (Ayrault), « brutalisée jusqu’à la mort ». C’était intentionnel, Mohamed Slimani, de l’action antifasciste Paris banlieue précise : « c’est une embuscade, un meurtre politique : les skins les ont reconnus, attendus à la sortie du magasin et les ont agressés ». Le « poing américain », vu par les amis de Méric, est là pour corroborer cette intention. Le drame s’écrit ainsi : violence préméditée versus victime surprise.

A Sciences po, des condisciples de Clément manifestent en sa mémoire. Une étudiante invite la police à faire vite, mais un lapsus dans l’Express produit l’inter suivant : « J’espère que la politique fera rapidement son travail ». Elle va le faire. Les politiques unanimes condamnent les « agresseurs » dans les termes les plus vifs. Un acte ignoble (Hidalgo), triste et révoltant (Raffarin), une agression barbare (Copé), un crime odieux qui témoigne d’une barbarie (Fillon). Marine Le Pen condamne ces « actes inadmissibles et insupportables » et « s’associe à la peine de ceux qui ont milité avec lui. » François Hollande « condamne fermement », Manuel Valls discerne tout de suite le « caractère politique » d’une « violence qui porte la marque de l’extrême droite ».

Ce caractère politique est exploité. Pierre Bergé, il n’est pas le seul, un ministre fera de même, lie l’extrême droite meurtrière à la manif pour tous qui aurait « libéré la parole ». Sans aller jusque là, Eva Joly estime : « Ceux qui mettent un signe “égal” entre l’extrême droite et le Front de Gauche doivent maintenant se taire. Et Caroline Fourest : « Nous allons vers un risque de radicalisation de l’extrême droite à la Anders Brevik. »

Si la rhétorique des media modernes interdit en général tout effet de manche et toute hausse de ton (le gentil se signale par son calme et son sourire), la réaction à “l’inacceptable” autorise une certaine emphase, le pathos antifasciste. Parfois, celui-ci prend le style de comices agricoles autour d’un jeune cadavre. Ainsi Faouzi Lamdaoui, conseiller de François Hollande pour la diversité affirme-t-il que « l’hydre fasciste essaime et multiplie ses têtes ». D’autres, comme Christine Taubira sur tweeter, cherchent à toucher l’affect de manière plus intime : « Clément, toute la vie devant soi. Puis l’effroi. D’avoir croisé haine et barbarie. Nos coeurs brûlent. » Yves Pozzo di Borgo, qui a pourtant la peau dure d’un vieux crocodile sénateur UDI, choisit de pleurer simplement.

Mais, quel qu’en soit le ton, cette rhétorique républicaine tend à un châtiment politique. Jean-Pierre Bel, président socialiste du sénat, appelle solennellement à punir les « crimes qui meurtrissent notre République », à se mobiliser contre « une idéologie qui constitue un véritable danger contre notre démocratie ». D’autres, en mode plus cool, tweetent : « Penser très fort à Clément, à sa famille, à ses amis. Se rappeler contre qui et pourquoi se battre. » Et cet autre : MJS : « Effroi et peine ce soir. Plus que jamais, demandons la dissolution des groupuscules d’extrême droite. » Jean-Marc Ayrault est à l’écoute : il engagera immédiatement la procédure pour les « tailler en pièces de façon démocratique ».

Manuel Valls l’a beaucoup aidé. Se fondant sur les accusations portées par les antifas qui affirmaient l’intention de tuer chez les « agresseurs d’extrême droite », il a parlé “d’assassinat”. De meurtre avec préméditation, donc. Un mot surprenant, certains témoignages établissant une rixe inopinée. Dans la foulée, dès le 8 juin, le procureur de la république de Paris, François Demolins, vient d’apporter de l’eau au moulin du ministre en ouvrant une instruction « pour homicide volontaire » contre Esteban Morillo, le principal suspect. Il avalise ainsi l’accusation portée par les antifas, et il ajoute : Méric aurait été frappé d’une « multiplicité » de coups, ce qui suggère, tous les dictionnaires en tombent d’accord, l’idée d’un grand nombre : voilà encore avalisée l’accusation contenue dans les mots « lynché, tabassé à mort ». Le procureur fait aussi état des « premières conclusions de l’autopsie », qui établiraient que la mort de Méric n’a pas été entraînée par un choc sur un plot lors de sa chute, mais par les coups portés à la face. Cela élimine l’accident, suppose l’extrême violence des coups et peut-être l’usage d’un poing américain, ce que l’information pour homicide volontaire suggère fortement : là aussi, la thèse d’extrême gauche, soutenue par le ministre, est nourrie par le procureur, à travers quelques mots apparemment neutres.

 Le juge d’instruction ne va pas retenir l’intentionnalité, parce que lui tient compte des témoignages recueillis, notamment celui d’un vigile et du patron de Troisième Voie, Serge Ayoub. Manuel Valls sent-il qu’il est allé trop loin ? Il parle ensuite, en pleine contradiction avec lui-même, d’une « rencontre fortuite ». Mais l’affaire n’en semble pas moins pliée, aucun gauchiste n’a été mis en garde à vue, les crachats sont sélectifs.

L’établissement français, avec ses mots et ses images, a choisi son camp.

Or tout ce récit est au moins fortement contestable. Pour les faits, on le sait depuis le six juin par le témoignage des vigiles, celui de Serge Ayoub et peut-être par une vidéo. Pour les protagonistes, depuis bien plus longtemps. On sait par exemple qui sont les antifas et comment ils procèdent. D’après un membre interviewé anonymement par le Courrier Picard, ils laissent « le moins de chances possible d’exprimer leurs idées », les « empêchent d’avoir accès à des salles », ils « s’interposent physiquement ». Le site du collectif antifas Paris-banlieue comporte un “flyer” sur lequel un antifas flanque un coup de poing à un skinhead en guise de combat démocratique. Un autre raconte sesdescentes dans une cité habitée par les skins en Allemagne : « Il faisait nuit. Nous étions une centaine. Ils ont allumé un rétroprojecteur géant sur un immeuble de skins et un mec y a écrit : « Go antifa ». D’un coup, cris, hourras… C’était super fort. » On connaît aussi leurs actions contre la manif pour tous, leurs slogans, « pas de quartier pour les fachos », « une rafale », etc… On connaît leurs agressions, leurs exactions, leur brutalité. Au point que même l’administration quedirige Manuel Valls les craint. Les « manifestations calmes et dignes » à la mémoire de Clément Méric tournent au vinaigre. Après un défilé près de l’Opéra auquel participaient le NPA, le Parti de Gauche, les anarchistes, l’Unef, la CGT, Attac, SOS homophobie et des antifas, de nombreuses vitrines ayant été brisées, et un immeuble où résident des partisans de la Manif pour tous dégradé, un préfet craint qu’on ne voie le retour des « black blocks », violents militants d’extrême gauche encagoulés et vêtus de noir. Plus grave, sur un site proche de l’action antifas Paris Banlieue figure une liste de photos de militants d’extrême-droite, dont Esteban Morillo, avec la mention, à la date du deux décembre 2012 : « besoin d’identification, please ». Si préméditation il y avait quelque part, c’est du côté de Méric et de ses amis. Et tout laisse à penser qu’ils ont attendu les fafs qui tentaient d’échapper à la bagarre.

Et Méric lui-même ? Outre ses engagements proprement politiques, il a fréquenté le kop Bauer des supporters du Red star, et, selon une information fournie par le gratuit 20 Minutes, en tant que membre d’Action antifasciste Paris Banlieue, il était connu des services spécialisés pour appartenir à un groupe de militants d’extrême gauche qui recherchaient la confrontation avec l’extrême droite, les JNR en particulier. Le jour de la rixe, d’après le vigile de la vente, « il voulait vraiment en découdre ». Il disait « Les fafs ne méritent pas de vivre ». Plus grave, l’agence Line Press le montre lors d’une perturbation de la manif pour tous. Il se trouve là en tant qu’agresseur, mais profite du service d’ordre de la manif pour se protéger de la police puis repasse de l’autre côté en jouant de sa bonne bouille d’adolescent. Un examen à la loupe de sa grosse chevalière éclaire ses intentions successives : tantôt il la porte chaton en avant, sur l’index, comme arme, tantôt il la retourne au creux de sa paume pour la cacher. Il a donc le double visage d’un agitateur de rue déjà roué : docteur Poupon et mister Antifa.

Bien que l’enquête se poursuivît et que l’on n’en sût pas plus, le sentiment majoritaire sur cette affaire était fixé jusqu’au 25 juin, où RTL fit les révélations suivantes : une vidéo de surveillance de la RATP, en possession de la police dès le six juin, aurait capté des images de la bagarre. Elle montrerait Esteban se battant contre deux adversaires, Clément se précipitant sur lui, dans le dos, « semble-t-il pour lui assener un coup », et le skinhead se retournant et le frappant du poing au visage. « L’image ne permet pas de dire de façon formelle si Esteban Morillo donne un deuxième coup, ni s’il a ou non un poing américain. » L’identité du meurtrier est en tous cas confirmée, tout comme l’hypothèse de la mort provoquée par un coup et non par la chute sur le bitume. Une fois à terre, le jeune militant ne reçoit pas de coups supplémentaires.

Il faut prendre avec précaution cette information, mais, si elle était vérifiée, elle réduirait à néant l’image répandue par la presse. Pas de lynchage, pas de battu à mort, pas d’encerclement , pas de victime innocente (Méric va au combat, attaque par derrière).

Le poing américain invisible à l’autopsie, le reste sur la vidéo. Il n’y a donc plus d’embuscade, ni d’intention homicide, ni d’acte lâche et odieux : une simple bagarre mortelle, comme il en arrive hélas plus qu’on ne le croit, et qu’on ne monte jamais à la une.

Cependant la réaction des media et des hommes politiques à cette pièce capitale va être bizarre, plus significative que la pièce elle-même. La première défense est de lui nier toute importance. « Qu’est-ce que ça changerait », se demande une source par Libération si Méric avait donné un coup dans le dos à Morillo ? Réponse : tout. Ce n’est plus une pure victime, c’est un combattant pas très correct. Un avocat estime pour sa part que la version de l’affaire montrée par la vidéo ne changera rien, sur le plan juridique. Mais sur le plan des faits, donc des responsabilités morales, cela change tout.

La deuxième défense est celle des amis antifas. Ils “maintiennent” leur version. Ce « n’est pas possible » que la vidéo montre ça. Ce déni a priori d’une réalité différente de leur témoignage s’accompagne d’un juridisme touchant chez ces gens d’extrême gauche. Chez Gilbert Bourdin, Camille X. remarque : « La vidéo est une pièce du dossier d’instruction, je ne sais pas comment un journaliste a pu la voir. » Comme si le secret de l’instruction n’était violé dans un millier d’affaires pendantes ! D’ailleurs, au six juin, l’instruction n’était pas ouverte.

La troisième défense porte sur la vidéo, sa provenance, son contenu, l’interprétation qu’on peut en faire. Dès le 25 juin, Paricia Tourancheau, dans Libération, affirme, d’après le témoignage d’un fonctionnaire anonyme, que la police « ne partage pas du tout l’interprétation » de RTL. D’après elle, la caméra orientée vers le trottoir « ne montre que vingt centimètres au-dessus du sol, c’est-à-dire les jambes des personnes ». Les enquêteurs n’ont donc pu voir que « des échanges de coups de pieds ». Esteban et Clément ne sont repérés que par leurs chaussures. Méric passe derrière Morillo : « Peut-être Méric donne-t-il un coup à Morillo lequel, en tout cas, se retourne. EtMéric tombe par terre ».

Sur les faits qu’apporte la “correction” de Libé ? Le coup porté par Esteban n’est pas sûr. Pour le reste le film « prouve que le groupe d’extrême gauche a attendu longtemps les skinheads à côté de la station de métro pour en découdre ». Il confirme aussi que l’agression verbale vient des antifas « Clément Méric ayant été le plus provocateur », lançant entre autre : « On vous attend dehors ». Libération charge encore Méric.

Cependant, l’affirmation la plus forte, visant à discréditer « l’interprétation » de RTL, portait sur l’angle de la caméra et donc la nature des images. Or, dès le 25 juin au soir, RTL démentait Libé : « C’est une bagarre générale qui a été captée par cette caméra, qui n’a pas seulement filmé des pieds et des chaussures, mais des corps en mouvement et des visages. Son objectif n’enregistre pas au ras du bitume, mais va jusqu’à environ 1 mètre 50 de hauteur. »

Depuis, plus rien, sinon un filet de Politis daté du 26 juin citant ce communiqué attribué à la RATP : « Nous sommes sûrs que la vidéo ne provient pas de chez nous, assure la RATP, nous ne savons pas d’où elle peut venir. […] Nous n’avons pas le droit de filmer la voie publique. » Après cela, le silence est retombé sur l’affaire, au moins jusqu’au premier juillet inclus. Un silence étourdissant. Le choix du silence détermine un camp encore plus sûrement que celui des mots. Pourtant, de nombreuses questions restent sans réponse.

Sur la vidéo d’abord. Que montre-t-elle, les pieds, ou jusqu’à un mètre cinquante. D’où vient-elle ? De la RATP ou non ? Est-ce RTL ou Politis qui se trompe ? Pourquoi le reste des media n’a-t-il pas enquêté sur ces points ? Quand est-elle parvenue à la police ? Le 6 juin ou plus tard ? Si c’est tout au début, pourquoi l’enquête n’en a-t-elle pas fait état, ce qui aurait évité la manipulation politique ? Qui l’a vue ? Le procureur ? Le juge d’instruction ? Le préfet de police ? Le ministre de l’intérieur ? Le journaliste de RTL, ou ses sources ? Celles-ci sont-elles fiables ? Et celles de libération ? Le commissaire anonyme existe-t-il ? Prétendre que la réponse à ces questions ne changerait rien est une imposture. D’ailleurs, si cette vidéo ne prouve rien, comment peut-on écrire en même temps : « une chose est sûre, l’identité de celui qui a tué » ?

D’autres questions se posent. On a dit « de source policière » que Méric portait au moment des faits un protège-dents, ce qui indiquerait de sa part une préméditation de bagarre. Est-ce une info ou une intox ? Combien étaient les combattants de chaque côté ? Esteban est-il venu en renfort comme l’ont prétendu certains ou était-il là au début ? Y avait-il dans le groupe de Méric un « antifa dur à cuire » chargé de le “cornaquer” comme l’affirme Causeur.fr ? Qui a commencé la bagarre ? Les skins ont-ils appelé la sécurité pour éviter la bagarre ? Une fois ? Deux fois ?

Ces questions fournissent une ample matière à enquêtes, chroniques, papiers de fond. Or, depuis le 25 juin, c’est le silence radio. Un silence d’autant plus surprenant que l’ensemble des media a choisi dès le départ de monter cette affaire à la une, ce qu’elle ne méritait pas, et à gonfler sans mesure les protestations de l’extrême gauche et la condamnation du système politique unanime. Il était donc nécessaire, pour un journaliste digne de ce nom, de suivre l’affaire, tant du point de vue intellectuel que du point de vue moral. De la réponse à ces questions, et à quelques autres, dépend finalement un récit plausible des faits et l’appréciation qu’on peut en faire. Se retrancher subitement derrière le secret de l’instruction ou la nécessité de laisser la justice faire son travail est une mauvaise défaite. Si les choses se sont passées tant soit peu comme le disait Ayoub le 7 juin, ce que semblent corroborer le témoignage des vigiles et la mystérieuse vidéo, alors les media dans leur ensemble se rendent coupable d’une manipulation politique, dont le procureur François Molins a été l’une des cheville ouvrières les plus actives. Ce juriste politique (il fut directeur de cabinet de Michelle Alliot-Marie), ce carriériste prévoyant, il s’était fait nommer avocat général à la cour de cassation au cas où, est aussi un homme souple. Il engendre des questions sérieuses : sur quoi s’est-il fondé pour ouvrir une information pour homicide volontaire ? Sa décision est du huit juin. Or, à cette date, on disposait de la version Ayoub, de l’audition des prévenus, de témoignages de vigiles, et peut-être de la vidéo. Ou bien tout ce qu’on raconte est faux, ou la décision prise vient cadrer miraculeusement la campagne politique en cours.

Molins a invoqué les premiers résultats du rapport d’autopsie. Mais que dit ce rapport d’autopsie ? Comment a-t-on pu être si sûr si vite que la mort était due aux coups de poings, et à rien d’autre ? Plus, étant donné le caractère sensible de l’affaire et la controverse en cours (vigiles, vidéo et Ayoub donnaient une version très différente), un professionnel sérieux et impartial ne devait-il pas demander une contre-expertise ? Pourquoi la grande presse n’a-t-elle pas tenté de se procurer le rapport d’autopsie, d’en avoir au moins des fuites ? Où sont les journalistes d’investigation ? Et pourquoi, au moins, n’a-t-elle pas posé les questions que je pose ?

Son silence est celui, impardonnable, des complices de la propagande d’Etat. J’accuse neuf de mes confrères sur dix d’être de simples lavettes. Ils ont rejoint en silence le camp de l’insignifiance et de l’oppression, le camp des menteurs déguisés en moralistes. Le camp de l’imposture arc-en-ciel. Le camp des antifas qui courent toujours pendant que deux noirs, dont Esteban, sont en prison, et que cinq sont inculpés. Le camp du mépris, ce mépris si caractéristiques des petits intellectuels bourgeois pour le prolétariat qui ne gobe pas leurs salades. Le camp des petits saints hypocrites. Je préfère celui d’Esteban. Ich bin ein JNR.

Cet article a été publié dans Rivarol de la semaine dernière. Rivarol, chaque vendredi, chez votre marchand de journaux (3,50 €)…

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Tours, mercredi soir, Vox populi était dans la rue contre le financement de la mosquée par la municipalité...

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A 19h, ils ont ainsi déployé une banderole avant de distribuer des tracts réclamant un référendum local sur ce sujet. « En démocratie, les responsables politiques doivent consulter le peuple avant d’envisager ce genre de décision » argue Pierre-Louis Mériguet au micro de France Bleu Touraine avant d’expliquer que son association étudiait en ce moment toutes les possibilités susceptibles de faire avorter ce projet de subvention devant être voté courant juillet.

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mercredi, 10 juillet 2013

IL FALLAIT LE FAIRE : ILS L'ONT FAIT... ILS ONT OSE DISSOUDRE CE QUI ETAIT DEJA DISSOUS !

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Un communiqué de Roland Hélie,

directeur de Synthèse nationale :

Nous pensions que Hollande, Ayrault, Valls et Taubira formaient une belle bande de paranoïaques, mais, depuis le Conseil des ministres de ce matin, nous en avons la confirmation.

En effet, au moment où la France traverse une des plus graves crises de son histoire, au moment où une partie grandissante de notre peuple plonge dans la précarité, au moment où notre identité est de jours en jours diluée par l’arrivée massive de populations venues d’ailleurs, au moment où l’insécurité ne cesse de croître, au moment où notre indépendance nationale est purement et simplement bradée… ce qu’il est convenu d’appeler « le gouvernement français » fait mumuse en dissolvant des organisations patriotiques qui, rappelons-le, se sont déjà auto-dissoutes il y a 15 jours. Décidément, cette bande de zouaves n’a pas peur de sombrer dans le ridicule absolu.

Et, cerise sur le gâteau, savez-vous quel argument Manuel Valls avance pour demander, et obtenir, les dissolutions de 3e Voie, des JNR et de « Envie de rêver »,  cette terrible association au nom insupportable pour ce despote à la haine tenace ? Il aurait vu sur Facebook qu’une page au nom d’une section locale de 3e Voie existerait toujours (ATTENTION ! La République est en danger, tout le monde aux abris…). Voilà donc à quoi s’occupe un ministre de l’Intérieur dans la France d’aujourd’hui : à consulter, tel une midinette de 15 ans à peine, les réseaux sociaux comme Facebook.

Allez braves gens, devant un tel monceau d’incompétence et d’imbécillités crasses, on a du mal à trouver quelque chose à dire… Contentons-nous ce soir d’en rigoler. Demain sera un autre jour.

 

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dimanche, 07 juillet 2013

Perpignan ce matin : JUSTICE POUR ESTEBAN !

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Source Terre et peuple Catalogne cliquez là

 

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vendredi, 05 juillet 2013

Carton plein pour la Fête de la Ligue du Midi

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C’est près d’une centaine d’adhérents et sympathisants de la Ligue du Midi qui se sont retrouvés dans les Cévennes ce dernier week-end de Juin, dans la convivialité et la bonne humeur, pour clôturer une année politique riche en évènements. Venus de tout le sud (Provence, Languedoc, Gascogne, Toulousain…) et de beaucoup plus loin (Bretagne, Italie…) les participants ont put profiter d’un week-end enchainant les activités : conférences, hommages, débats, activités culturelles, collations enracinées (anchoyade, saucisses de porc, fruits de saison…) et autres festivités.

Les militants identitaires s’étaient donnés rendez-vous dès le samedi soir pour une veillée en hommage à Dominique Venner. Réunis autour du bûcher, plusieurs camarades de combat de Dominique, dont Richard Roudier, André Troise et Guy Rolland ont pris la parole afin de rappeler à tous, et notamment aux plus jeunes, ce qu’est une vie exemplaire, une vie d’abnégation et de courage jusque dans la mort. Si la disparition de Dominique Venner restera un moment douloureux, elle n’en est pas moins un formidable exemple de volonté et d’espérance.

La journée de Dimanche, au-delà du caractère festif, fut une véritable journée de travail et de réflexion avec trois conférences entrecoupées de débats sur des sujets très divers. La première de ces allocutions intitulée « L’enracinement, remède au Football Bizness», réalisée par Cyril S. jeune militant identitaire, amena une critique constructive du football moderne français et européen. Ce sport populaire devenu le symbole de la décadence de l’Europe sous les coups du mondialisme, de l’argent et d’un multiculturalisme qui n’est plus si joyeux, peut aussi être source de fierté et d’enracinement comme le montre l’exemple du Club de l’Athletic Bilbao dont la totalité des joueurs sont Basques.

La deuxième prise de parole de la matinée porta sur le conflit syrien. Réalisée par Antoine Carceller, titulaire d’un master Défense, cette conférence eut pour objectif de démonter la désinformation flagrante d’un système politico-médiatique, de comprendre les tenants et aboutissants de ce conflit et enfin d’analyser les intérêts géopolitiques et géostratégiques des différents acteurs, qu’ils soient locaux, régionaux ou internationaux. Loin de l’image que nous renvoient les médias, ce conflit est devenu aujourd’hui, une véritable guerre par procuration des grandes puissances et le nouveau terrain de jeu des islamistes les plus radicaux.

Après le repas et un début d’après midi laissé au farniente, afin que les participants puissent profiter du soleil du Languedoc et du cadre naturel exceptionnel, la journée s’est conclu par l’intervention de Richard Roudier, président de la Ligue du Midi, sur le thème de la régression des libertés publiques aujourd’hui en France. Depuis plus d’un an notre pays connait un diktat socialiste: les libertés et les droits les plus fondamentaux sont sans cesse bafoués, des milliers de personnes ont été interpelées parce qu’elles portaient un sweat-shirt représentant une famille, des manifestations furent interdites, le jeune Nicolas, qui fête ses 22 ans en prison, a été emprisonné pour avoir refusé de donner son identité et Esteban Morillo risque de passer les plus belles années de sa vie en détention préventive parce qu’il a eu le malheur de se défendre alors qu’il était tombé dans un guet-apens. Voilà le visage de ceux qui se prétendent humanistes et défenseurs des droits de l’Homme.

Les participants, qui furent nombreux à adhérer à la Ligue, se sont quittés au terme d’une journée riche en enseignements, en se promettant de se retrouver très bientôt sur le terrain afin de faire face aux défis que nous réserve l’avenir. Plus que jamais, nous jurons de ne rien lâcher tant que nous ne serons pas maîtres chez nous !

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mercredi, 03 juillet 2013

Nelson Mandela ou l’énorme imposture

imagesCATI57P0.jpgGuillaume Faye

J’ai tout compris cliquez ici

Dans la catégorie des icônes planétaires, coqueluche de la bien-pensance larmoyante, élevé au rang de Saint et de héros, on aura rarement vu mieux que Nelson Mandela. Encore plus délirant qu’avec Che Guevara, cet autre héros de pacotille qui était en réalité une fripouille. Mandela fascine les pucelles antiracistes, les politiciens et les intellectuels qui rabâchent comme des perroquets la vulgate idéologique du Système. Personne n’ose déboulonner l’idole.

« Mandela a payé dans sa chair ses idées » explique le pseudo-philosophe et essayiste cucul Frédéric Lenoir, auteur du pensum La guérison du monde (Fayard). Il le compare aussi à Socrate et à Gandhi. « Il s’est sacrifié comme Jésus », peut-on entendre répété en boucle. Tu parles… Le faux martyr Mandela a passé 27 ans en prison pour des faits de droit commun et de terrorisme et n’était nullement un prisonnier politique. Il dirigeait la branche militaire de l’ANC, l’UWS, spécialisée dans les sabotages et les attentats, au mépris des victimes innocentes.

La succession de Mandela donne lieu, au sein de sa famille (la descendance de ses trois épouses), à une lutte de clan sordide, uniquement pour l’argent. Car Mandela n’a pas oublié, comme tous les satrapes africains, de faire fortune en piquant dans la caisse. Sa seconde épouse, la sulfureuse Winnie, n’aurait pas déparé parmi les voyouses de la cour de Néron. En réalité, la légende Mandela est un montage médiatico-idéologique mondial remarquable, un acte de propagande magistral ; qui passe sous silence non seulement la véracité du personnage mais son action politique, catastrophique : la transformation d’une république autoritaire (la RSA), ethniquement scindée mais prospère et sûre, en un pays officiellement multiracial et démocratique mais miséreux, inégalitaire, anarchique, corrompu, où il ne fait pas bon vivre.

En effet, Mandela, une fois à la tête de l’État, a mis fin au régime de l’apartheid et à la domination blanche. Mais pour le plus grand malheur du pays, l’Afrique du Sud. Depuis que les Noirs sont au pouvoir, la RSA – c’était prévisible – a plongé dans une sorte de chaos de basse intensité : criminalité explosive, services publics et infrastructures à la dérive, coupures électriques incessantes, créations de ghettos blancs protégés. Sans compter l’incurie de l’État noir et la corruption endémique de l’ANC, African National Party (le parti unique de fait, despotique, clownesque et incompétent) : les milliards de rands alloués pour la réhabilitation des townships noirs d’Alexandra et de Soweto ont atterri dans la poche des mafieux. Résultat : la misère, la crasse, les égouts bouchés, la délinquance, 40% de chômage chez les jeunes, etc.

Les autorités et les médias du monde entier (à commencer par Obama en visite dans le pays fin juin) refusent obstinément cette affreuse réalité qui contredit leur idéologie, pourtant reconnue en silence par les Noirs eux-mêmes : ”c’était dix fois mieux du temps du pouvoir blanc, de l’apartheid imposé par les Afrikaners.” Eh oui ! Un journaliste noir sud-africain au chômage avoue, dépité : « Mandela est une icône mais les gens ont faim. Et la question récurrente, c’est comment survivre, jour après jour. [...] Mandela a voulu que, nous, les Africains du Sud, soyons tous égaux. Un noble combat, évidemment. » (JDD, 30/06/2013). Il a tout compris

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mardi, 02 juillet 2013

TOURS, mercredi 10 juillet à 19 h 00, TOUS devant la mairie contre le financement de la mosquée !

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lundi, 01 juillet 2013

Radio Courtoisie, mercredi 3 juillet à 10 h 45, Eric Miné et Jacques Decoux nous parlent de l'Indochine française...

SN 32 Indochine livre Amiral decoux.jpgLe Libre Journal de Benoît Mancheron (mercredi 3 juillet à 10 h 45) recevra Jacques Decoux, petit neveu de l’amiral Decoux, et Éric Miné, auteur, directeur de la collection France-Asie des éditions Soukha, au sujet du livre de l’amiral Jean Decoux : "À la barre de l’Indochine"

Face à la grande figure de l’Amiral, évoquée par Jacques Decoux qui soulignera l’œuvre exceptionnelle de l’homme d’État pour notre empire d’Extrême-Orient dans le contexte troublé des années 40, Éric Miné rappellera la lourde responsabilité du général De Gaulle – entre posture gaullienne et imposture gaulliste – dans le déclenchement de la guerre d’Indochine.

Radio Courtoisie cliquez ici

 

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Bordeaux : une librairie catholique vandalisée pour la… 27e fois !

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Plus d'infos cliquez ici

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Jeudi soir, Francis Bergeron aux Ronchons...

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Sur le bord d'une route, dans le sud de l'Aveyron...

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10:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

A méditer :

10:28 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 30 juin 2013

Scandale à Laon : douze jeunes Français expulsés de leurs logements pour y installer des immigrés !

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Douze personnes actuellement hébergées au Foyer des Jeunes Travailleurs de Clacy (à Laon dans l'Aisne) ont un mois pour quitter les lieux. Motif : il faut faire de la place pour les demandeurs d'asile. 

Ils affichent un sourire de façade mais en réalité, le cœur n'est pas à la fête pour Laurent et ses copains du Foyer jeunes travailleurs (FJT) de Clacy-et-Thierret. « La plupart d'entre nous ne sont pas là par choix, mais nous sommes bien contents d'avoir un toit sur la tête. Malheureusement, cela ne va pas durer… », lâche-t-il amèrement. Les douze locataires viennent d'apprendre qu'ils devraient quitter les lieux le 1er août. « On a un mois pour faire nos cartons. On nous vire, nous qui payons notre loyer régulièrement, parce qu'il faut faire de la place pour une trentaine de demandeurs d'asile qui vont arriver. Et qui ne paieront rien, bien sûr. C'est dégueulasse ! » Cette situation alimente toutes leurs conversations, entre colère et inquiétude pour l'avenir. Certains avaient de toute façon prévu de partir. C'est le cas de Laurent, qui vient de trouver un appartement. Cela ne l'empêche pas de se sentir solidaire d'autres, comme Alan. Lui est presque sûr de finir à la rue. « Je viens de terminer mes études et je n'ai pas d'emploi pour le moment. Qu'est-ce que je vais devenir ? »  Source cliquez ici

Pour dire tout le bien que vous pensez de cette application de la préférence étrangère au profit de parasites sociaux et au détriment de jeunes Français de souche, téléphonez au FJT de Laon : 03.23.23.06.81

Source Thomas Joly cliquez là

Lire aussi NDP Aisne cliquez là

13:49 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Partout en France, face à la répression du pouvoir, le mouvement de solidarité avec les prisonniers politiques s'étend...

Manif des Veilleurs Versailles 27 juin 2013 111 -3-.JPG

Ici à Versailles jeudi dernier.

Pour être tenu au courant des manifs, consultez notre confrère Le Salon beige, avec lequel nous ne partageons pas forcément toutes les orientations, qui est assez bien informé. cliquez ici 

10:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un appel de Solidarité pour Tous :

Anne-Laure Blanc

Solidarité pour Tous cliquez ici

Quatre mois de prison, dont deux fermes, avec mandat de dépôt. C’est ce que la justice de notre pays a infligé à Nicolas B., 23 ans, pour rébellion et refus de prélèvement. Une condamnation totalement disproportionnée. Sur cette vidéo, ce sont les témoignages d’Elise, 27 ans, de Louis, 25 ans, et d’Anne, 18 ans, que vous allez entendre. Ils sont édifiants. Comme moi, j’en suis certaine, vous serez révolté par les violences policières injustifiables dont ils ont été victimes, ainsi que tant de jeunes manifestants qui défendent la famille et les enfants. Ces jeunes, ce sont peut-être vos enfants, vos petits-enfants, nos neveux, vos nièces, vos filleuls… De nombreuses personnes sont sorties de garde à vue avec une convocation pour le tribunal où elles seront accusées de rébellion ou de dégradation. Elles risquent la prison et une forte amende comme le prouvent les premières condamnations prononcées à Paris.

L’association Solidarité pour Tous a pour objet d’apporter une aide sociale, financière, morale et juridique à toutes les victimes de la répression policière qui s’abat sur les opposants à la loi Taubira.

Solidarité Pour Tous a déjà reçu et reçoit chaque jour de nombreux dons et promesses de dons.

Notre devoir moral est d’apporter de l’aide aux victimes des dérives policières d’un régime liberticide.

Donnons du sens au beau mot de « solidarité » ! Aidez-nous à les aider ! On ne lâche rien ! 

10:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 29 juin 2013

La Gay pride 2013 : un flop retentissant, quelques milliers de participants...

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Ils attendaient 500 000 participants : 

à peine quelques milliers sont venus !

Un monde s'écroule !

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Et ils se sont peut-être consolés en regardant les courageux et sympathiques Hommen les narguer...

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En savoir plus : Le Rouge et le Noir était sur place cliquez ici

18:59 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 28 juin 2013

Manif pour tous : le Conseil de l’Europe examine la répression policière

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Voici le rapport de l’European Centre for Law and Justice [qui a été présenté mercredi] au Conseil de l’Europe lors de l’audition sur la « Manif pour Tous et la répression policière » organisée en marge de la session de l’Assemblée parlementaire. Cette audition est organisée par le Parti Populaire Européen (Groupe politique PPE) et le European Centre for Law and Justice, en présence de Luca Volontè, président du Groupe PPE, de Ludovine de la Rochère, Présidente de la Manif pour Tous, de Béatrice Bourges, du Printemps Français, de Madeleine Bazin et Jean-Baptiste Achard, des Veilleurs.

Il contient plus d’une centaine de témoignages de personnes victimes d’abus policiers ayant eu lieu à l’encontre du mouvement social de défense de la famille et de contestation de la loi ouvrant le mariage et l’adoption d’enfants aux couples de même sexe. Pour la plupart, ces témoignages ont été communiqués par les avocats des victimes. Ils permettent de recouper, de corroborer et d’attester des faits qui, pour un pays tel que la France, sont graves et sans précédant depuis plusieurs décennies.

Ce rapport va être remis aux organes compétents du Conseil de l’Europe et des Nations-Unies à Genève. Il viendra documenter les diverses procédures actuellement initiées auprès de ces instances par des victimes, des élus et des ONG.

Consultez ce rapport cliquez ici

Source Nouvelles de France cliquez là

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28 juin 1973, Marcellin, le Valls de l'époque, faisait dissoudre Ordre nouveau

17:05 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ce soir, sur Méridien zéro :

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RBN Méridien zéro cliquez ici

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jeudi, 27 juin 2013

L’exemple basque...

Photo 088.jpgPierre Vial

Président de Terre et peuple

Jean-Michel Colo, maire du village basque d’Arcangues, a fait savoir au préfet qu’il ne célébrerait aucun mariage homosexuel. Son conseil municipal, en bloc, est derrière lui. Monsieur le maire a expliqué : « On marche sur la tête avec cette loi ». Une loi qu’il déclare, à juste titre, « illégitime ». Une loi – chacun le sait, y compris ceux qui feignent de l’ignorer – qui va à l’encontre de l’opinion de la majorité des Français et qui sera donc abrogée, le moment venu.

Bien entendu les larbins du Système se déchaînent : les Basques d’Arcangues seraient-ils de « mauvais Français » ? Sur le monument aux morts de 1914-1918 50 noms répondent à ces crétins.

23:10 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mais il persiste le bougre !

562549640.jpgCommuniqué de presse du ministre de l’Intérieur du mardi 25 juin 2013 :

La dissolution de l’association « Troisième voie » et des « Jeunesses nationalistes révolutionnaires », annoncée aujourd’hui par leur responsable Serge Ayoub, intervient en réaction à la notification par le ministre de l’Intérieur de l’intention du Gouvernement de dissoudre ces deux entités dans les plus brefs délais.

Cette manœuvre, dont le seul objet est de contourner la procédure de dissolution administrative en cours, est vaine. Elle ne saurait en effet ni dissimuler, ni mettre un terme à la réalité de l’activité de ces deux entités, l’une et l’autre dédiées à la propagation de l’idéologie d’extrême droite, appelant à la haine et à la discrimination et soutenant la violence.

Manuel Valls a entamé aujourd’hui, à la demande du Premier ministre, la procédure de dissolution d’une des plus anciennes formations d’extrême-droite, « l’Œuvre française », ainsi que celle des « Jeunesses nationalistes », toutes deux prônant une idéologie ouvertement xénophobe et violente.

C’est avec fermeté que le Gouvernement entend lutter contre les groupuscules d’extrême droite qui ont pour moteur la haine de l’autre et qui ont pour ennemi la République.

En aucune circonstance, il ne peut y avoir de place pour la violence politique dans notre pays.

12:31 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Demain vendredi, dans Rivarol, Roland Hélie décortique les mensonges de l'affaire Méric

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00:45 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les gauchistes ces héros qui attaquent dans le dos

MALLIA.pngJean-Gilles Malliarakis

L'Insolent cliquez ici

Les grands moyens de désinformation ont mis trois semaines à comprendre. La mort de Méric s'est produite à l'issue d'une "bagarre qui a mal tourné", comme le dit la radio d'État.

Tout le monde le savait deux jours après le drame. Le virage décisif fut apporté par le juge d'instruction s'écartant, au bout de 48 heures, des réquisitions du parquet. La bande vidéo de la RATP circule depuis hier sur tous les sites internet. Elle accable l'agresseur qui n'est pas celui qu'on pense. Le héros attaque dans le dos.

Elle était, évidemment, disponible pour les enquêteurs dès le début. L'autopsie permettait rapidement aussi d'écarter l'hypothèse du coup de poing américain. "Le Monde", toujours aussi fielleux, sème le doute dans l'esprit de ses lecteurs : "rien ne prouve pas" l'utilisation de cette arme. Et pourquoi pas celle d'une kalashnikov ?

Tout le reste n'est que fariboles, légendes de journalistes, rumeurs, insignifiants remugles.

Il faut donc s'interroger enfin sur les bandes en train de s'organiser impunément: les prétendus "antifascistes" venus de la survivance de l'Allemagne de l'est d'abord ; les islamistes radicaux également. On va bientôt découvrir qu'ils bénéficient de la même latitude de développement, n'étant interpellés que beaucoup trop tard, c'est-à-dire seulement quand les réseaux terroristes se sont mis en place et ont commencé à frapper.

Tous ces gens disposent d'une extrême latitude d'entraînement, de recrutement, de prédication, encouragés par l'idéologie médiatique. Ils sont supposés appartenir au camp des "bons". Le camp des "mauvais" peut leur servir de cibles. Les grandes consciences applaudissent, même si les supposés héros frappent et attaquent dans le dos.

00:35 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante...

P1020999.JPGRobert SPIELER.

RIVAROL N° 3099

du 21 juin 2013

 

LA “balance”, dans le langage du “Milieu”, c’est celui qui trahit, qui dit tout aux flics ou aux adversaires. Frigide Barjot est une balance. Voici l’histoire hallucinante : un militant gay avait été convoqué récemment par la police pour avoir harcelé par téléphone Christine Boutin. Celui-ci s’est vite déculotté et a tout avoué.

 

FRIGIDE BARJOT, LA BALANCE

 

Après avoir téléphoné à Frigide Barjot pour protester contre ses interventions, celle-ci entama avec lui une conversation très personnelle, très humaniste. Elle se plaignit d’être isolée politiquement au sein de son mouvement. Voici ses propos : « Les catholiques me critiquent, Copé me crache dessus. Pourquoi suis-je la seule à qui les gays en veulent ? Je fais mon possible pour apaiser la démocratie. J’ai même dit à Christine Boutin qu’elle n’était pas la bienvenue lors de la dernière manifestation. Alors, les insultes, les agressions verbales, ce n’est pas à moi qu’il faut les adresser. » Et puis, plaintivement : « Je ne suis pas la seule responsable ». Mais ce n’est pas tout. Lisez attentivement la suite. C’est toujours le militant gay qui parle : « Elle me fit cette étonnante proposition. “Ecoute, je te donne les coordonnées de Christine Boutin mais ça reste entre nous, ok ? Je t’enverrai ma fiche des coordonnées de Christine Boutin” ». Et la “balance” Frigide Barjot envoya au militant gay qu’elle ne connaissait pas les trois numéros de téléphone personnels de Cricri (deux numéros de portable personnels, ainsi que le numéro de la ligne fixe de son domicile.) Cricri porta plainte devant les persécutions du militant gay, qui lâcha tout lors de son audition par la police… Frigide Barjot ? Une balance ! 

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COMBIEN D’ANIMAUX DE COMPAGNIE EN FRANCE ?

 

Ce sont des chiffres étonnants que vient de révéler le magazine Capital : il y a 60 millions d’animaux de compagnie en France. Les plus nombreux sont les poissons (32 millions de ces insectes peuplent nos aquariums). Puis les chats (11 millions), les chiens (7,6 millions), les oiseaux (6 millions) et puis les rongeurs (3 millions). A noter que les enfants n’ont pas été, curieusement, comptabilisés dans ces statistiques…

 

INTERDITS DE SHORT, DES SUÉDOIS VIENNENT TRAVAILLER EN JUPE

 

Il fait terriblement chaud en Suède. Les conducteurs de train souffrent. Mais, interdiction pour eux de venir habiller en short. Le pantalon était obligatoire. Du coup, certains malins se sont rebellés et se sont rendus à leur travail en jupe. Au nom de l’égalité entre les sexes. Et voici que la direction de la compagnie des transports Arriva se retrouve face à ses contradictions. Elle déclare : « Si un homme préfère porter un vêtement de femme, par exemple une jupe, cela ne pose aucun problème. Leur dire de ne pas le faire serait de la discrimination. » Houlà, en Suède, on ne badine pas avec ce genre de fantaisie ! L’égalité homme-femme y est très importante et rigoureusement respectée. Les voyageurs les regardent, paraît-il, « un peu bizarrement » au début, et puis « ça passe ensuite ». Du coup, la compagnie a fini par plier. Elle a changé d’avis. Chaque machiniste recevra un short cet été. A l’Elysée, il fait aussi parfois très chaud. A quand Hollande, Valls ou Montebourg en jupe ? Ce serait trop mignon. Bergé et Delanoë les aimeraient tant et plus…

 

NOTRE-DRAME DE PARIS S’ÉNERVE

 

A mourir de rire ! Je n’apprécie pas particulièrement l’humour de Nicolas Canteloup. Mais là, il a fait fort, très fort ! Précipitez-vous sur le site « Le salon Beige » en date du 12 juin. Vous y trouverez un lien vers Europe 1, où l’humoriste tient une chronique. Le titre de l’article : « Les humoristes priés de rentrer dans le rang ». Canteloup imite de façon parfaite Delanoë, qui en est fou de rage. Il le présente, entre autres amabilités à découvrir, comme une folle obsédée de la propreté, lui faisant dire : « Ils m’ont salopé mon Champ-de-Mars, ces cathos. Et que ça piétine, et que ça piétine et après, c’est Bibi qui bêche ». Ne ratez pas cela ! Delanoë envisage, le pauvre chéri, de se plaindre auprès de la direction de la station. Delanoë, rappelons-le, avait demandé aux organisateurs de la manif contre le mariage homosexuel, 100 000 euros pour la remise en état des pelouses du Champs-de-Mars. Quant aux racailles qui avaient dévasté le Trocadéro ?

Vous connaissez la réponse…

 

PATRICK “POIVROT” D’ARVOR

 

Un bel article, consacré à Patrick Poivre d’Arvor, vient de paraître dans le quotidien La Montagne. Problème : une étonnante coquille s’est glissée dans le titre, qui couvre toute la page. Patrick Poivre d’Arvor se transforme en Patrick “Poivrot” d’Arvor. PPDA n’était pourtant pas connu pour de quelconques excès alcooliques. Mais tout arrive, à qui sait patienter. En attendant, la direction de La Montagne se confond en excuses…

 

DE PLUS EN PLUS INCROYABLE : APRÈS LE CHAMEAU DE HOLLANDE, VOICI SES CHEVAUX

 

On se souvient du chameau qui avait été offert, au Mali, à Hollande. Las, la pauvre bête fut dévorée sur place par une famille à qui il fut confié. Dieu merci, ce n’est pas (encore) le cas de deux chevaux arabes offerts par le président Bouteflika à François Hollande, lors de sa visite en Algérie, en décembre 2012. Après une batterie de contrôles vétérinaires, (on se demande pourquoi tant de suspicion par rapport à nos amis algériens), les bestioles nommées Sami et Sadja ont rejoint le haras de Pompadour. A priori, elles ne devraient pas, selon nos informations, y être dévorées. En attendant, le quotidien Aujourd’hui raconte, avec un humour parfaitement involontaire, que les deux bêtes avaient suscité l’admiration de Laurent Fabius et de Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, lors de leur séjour en Algérie. Quels exceptionnels lèche-bottes !

 

AGRESSÉ POUR UN SANDWICH AU JAMBON

 

Il ne fait pas bon se promener dans le tramway de Reims, en mangeant un sandwich au jambon. Un homme de 23 ans a été frappé, à plusieurs reprises au visage, le 8 juin, par deux agresseurs, qui ont prétendu être musulmans, et offensés par cette consommation de porc sous leurs yeux. Mais un jour viendra, les amis, un jour viendra…

 

DES BOULETTES DE VIANDE FAITES DE PÂTÉE POUR CHIENS

 

Ça se passe dans le quartier de Villeneuve à Fréjus. Il s’agit d’un restaurant, d’un kebab, portant le doux nom de « Jardin d’Anatolie ». Bon, il avait certes déjà fait l’objet d’une fermeture administrative en 2012. Mais tout cela, c’était une vieille histoire. Las, en repassant devant le local récemment, des policiers sans doute racistes se sont rendu compte que la fraude avait repris de plus belle. Les keftas, boulettes de viande hachée, étaient confectionnées avec de la pâtée de chien. Une épaule d’agneau verdâtre a été retrouvée. Il paraît qu’une marinade très relevée la rendait mangeable… Bon appétit !

 

TRISTE MONTÉE DE L’ANTISÉMITISME…

 

Le 28 novembre 2001, le tribunal de grande instance de Paris avait déjà condamné l’essayiste Alain Minc, grand conseiller devant Yahvé de ce que la France Républicaine compte de séides, à verser 15 000 euros de dommages et intérêts pour « plagiat et contrefaçon » pour son ouvrage Spinoza, un roman juif. Il avait sauvagement pompé une « biographie imaginaire » de Patrick Rödl. Damned, il ne peut, comme le sont tous les kleptomanes, s’en empêcher. Le voici qui récidive. Le voici à nouveau sous le coup de nouvelles poursuites pour « plagiat et contrefaçon » devant le tribunal de grande instance de Paris. Il vient de faire paraître un ouvrage L’homme aux deux visages. Jean Moulin, René Bousquet, itinéraires croisés, qui figure dans sa catégorie, parmi les meilleures ventes. Oui, mais il y a un petit souci. Il a vampirisé de très larges passages d’un livre, René Bousquet, paru en 1994 sous la plume de Pascale Froment, qui fut le résultat d’un travail assez considérable. Alain Minc ne cite à aucun moment ses sources. L’avocat, qui défend Pascale Froment, et exige « l’arrêt de la diffusion » du livre, explique que « Minc recopie, en les modifiant à peine, de larges passages du livre de Pascale Froment » et il ajoute : « Sur les pages consacrées à René Bousquet, plus de la moitié sont tout simplement piquées à ma cliente ». Ça apprendra à Minc (et à Bernheim) à faire appel à des “nègres” pour écrire leur livres… Rappelons que dans l’édition, les “nègres” sont ceux qui se substituent aux présumés auteurs pour écrire leurs livres. L’académicien Max Gallo est ainsi un des “nègres” les plus connus. Il fut notamment le “nègre” de Martin Gray (auteur de Au nom de tous les miens qui raconte des histoires quelque peu fantaisistes quant à ses aventures sous la “Shoah”). Le cas le plus célèbre est cependant Auguste Maquet, le plus connu des nègres d’Alexandre Dumas père : Les Trois Mousquetaires, Le comte de Monte-Cristo, Vingt ans après, c’était en grande partie lui… Même Georges Pompidou fut un “nègre” de De Gaulle, qui déclara qu’un “nègre” était un « normalien sachant écrire ». Quant à De Gaulle, il fut le “nègre” de Philippe Pétain qui lui avait demandé de rédiger La France et son armée, que De Gaulle s’empressa de faire publier… en le signant de son nom. D’où une brouille avec le Maréchal. On connaît la suite de l’histoire. 

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LE “COURANT DE CORRUPTION” ET LE “LOBBY GAY” DANS LA CURIE ROMAINE

 

Ce sont les propos assez stupéfiants tenus par François Ier. La réforme de la Curie, voulue par « presque tous les cardinaux » (on notera le ‘presque’) serait, d’après Bergoglio, dans une audience qu’il accordait le 6 juin, une « entreprise difficile ». Le successeur de Benoît XVI aurait ajouté : « Dans la curie, il y a des gens saints, vraiment, mais il y a aussi un courant de corruption. » Et il conclut : « On parle de “lobby gay”, et c’est vrai, il existe ». Un cardinal espagnol avait évoqué en février dans le journal La Repubblica « l’existence d’un réseau transversal uni par l’orientation sexuelle ». Des affirmations qualifiées à l’époque de “manipulation” par le Vatican…

 

ELLE FAIT AVORTER DES JUMENTS

 

Nous avions évoqué dans RIVAROL le viol d’une jument par un Tunisien qui fut condamné par la Justice à deux ans de prison. Elle ne tomba cependant, apparemment pas, enceinte. Une odieuse avorteuse (présumée), qui plus est infirmière, comparaissait récemment devant le tribunal correctionnel de Limoges. Elle avait pratiqué, pour des raisons que nous ignorons, une vingtaine

d’avortements de juments, par injection. Le parquet a requis contre elle six mois de prison, pour « sévices graves envers des animaux domestiques ». Les enfants avortés n’étant pas des juments ne bénéficient pas, eux, de la protection de la loi.

 

“L’ANTIFASCISME N’ÉTAIT QUE DU THÉÂTRE” (JOSPIN)

 

C’est Jospin qui vient de le déclarer : « Pendant les années de Mitterrandisme, nous n’avons jamais été face à une menace fasciste. Tout antifascisme n’était que du théâtre. Nous n’avons jamais été face à une menace fasciste ni même (faisant référence au Front national) à un parti fasciste ».

 

LE “PRIX DU JUDAÏSME EUROPÉEN” À LA CHANCELIÈRE MERKEL

 

Albert Guigui, Grand rabbin de Bruxelles, vient d’adresser ses « sincères félicitations à la chancelière Merkel » qui vient de recevoir le Prix du judaïsme européen à la grande synagogue de Bruxelles, prix décerné par la conférence des rabbins européens en récompense de sa « contribution au rayonnement des communautés juives en Allemagne » et pour le fait qu’elle ait « aidé à lutter contre la criminalisation de la circoncision dans son pays ». Emouvante intervention du Grand rabbin : « Notre communauté est inquiète face à la violence qui sévit en Europe. Aussi il est impératif que la voix de l’Europe s’élève haut et fort pour renforcer la lutte contre toute forme de racisme et d’antisémitisme. » Compris ? Rompez les rangs !

 

UN EX-PRÉFET, “ISSU DE LA DIVERSITÉ”, TABASSAIT SA FEMME ET SA FILLE

 

Aïssa Demouche, ex-préfet du Jura, avait été nommé à ce poste par Nicolas Sarkozy. Toute la presse s’en émerveillait : c’était, paraît-il, le premier préfet issu de « la diversité ». Ce qui est parfaitement faux. J’ai bien connu, alors que j’étais député d’Alsace en 1986, Madhi Hacène, nommé Préfet d’Alsace en 1982, d’origine algérienne, qui fut au demeurant un excellent Préfet, à la poigne de fer. Aïssa Dermouche avait déjà été l’objet de trois attentats successifs entre janvier et mars 2004. Bizarre… En mai 2005, il avait été condamné par le tribunal de grande instance de Nantes pour « abandon de famille ». Là, c’est allé un tout petit peu plus loin. Il aurait tenté d’étrangler sa femme avec une écharpe après lui avoir demandé de l’argent pour acheter de la nourriture. Las, elle n’avait pas eu d’argent et n’aurait rien mangé depuis quatre jours. Elle déclare qu’elle est sans ressource et que son mari ne lui donnait pas le moindre kopeck. La fille du préfet aurait aussi, dans le passé, subi des violences. L’ex préfet Dermouche a été placé en garde à vue. On lui reproche trois infractions : violences volontaires habituelles sur conjoint ayant entraîné une incapacité totale de travail de plus de 8 jours ; violences volontaires avec une arme par destination (l’écharpe étrangleuse) et violences sur mineures de 15 ans.

Pas facile, la diversité…

00:26 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'OEuvre française et les Jeunesses nationalistes font aussi l'objet d'une menace de dissolution

benedetti-gabriac-220x119.jpgUn communiqué d'Yvan Benedetti :

Le gouvernement est exsangue. A bout de souffle, il ne sait plus comment nous faire taire, sans doute sait-il qu’il n’y parviendra jamais. Sa dernière tentative : une procédure discriminatoire en vue de la dissolution des Jeunesses Nationalistes, fondées par Alexandre Gabriac et de l’Œuvre française que je préside. Comble de l’infamie, cette forfaiture a été commise au nom du gouvernement par une direction dite des libertés publiques. Quand on ne sait inventer, on en vient à copier. Aussi ce gouvernement socialiste finit-il par recourir aux méthodes qui ont déjà servi autrefois pour « la chasse aux nationalistes ». On retrouve les références à la guerre d’Espagne d’un Emmanuel Valls en proie aux relents anti-fascistes viscéraux, au goût immodéré pour les dissolutions comme arme du désespoir, d’un Ayrault qui n’en n’a pas même l’orthographe, mais tente de s’inspirer des faits de guerre du Front Populaire pour mettre à bas cette France non reniée qui ne veut pas s’éteindre. En s’en prenant à l’Œuvre française, ils attaquent un mouvement de près d’un demi-siècle, qui n’a jamais fait l’objet de condamnation pas plus que d’interdiction, dont le fondateur, Pierre Sidos a vu deux de ses frères tomber pour la Patrie et qui est l’héritier d’un père héros de Verdun.

Tant de références qui devraient susciter le respect, tant de références qui ne peuvent chez eux qu’attiser la haine, car eux sont l’anti-France. N’arrivant pas à dissoudre les individus par une répression toujours plus forte, c’est collectivement qu’ils tentent de nous atteindre par une procédure liberticide, calomnieuse, illégitime, contraire aux beaux principes dont ils se font les chantres, contraire même à la Constitution dont les droits semblent n’avoir été écrits que pour ceux par qui elle a été rédigée et les devoirs pour ceux contre lesquels elle a été instituée. Ce gouvernement de coqs a-t-il sans doute pris goût aux défaites, des taux record du chômage, à l’augmentation de la dette, à l’insécurité croissante, à la bêtise crasse, à l’immoralisation de la vie politique, à l’idéologie sectaire… il tente désormais d’ajouter à la longue liste celle de la mort programmée du Nationalisme.

Leur démocratie est prétendument fondée sur la légitimité populaire. Où se trouve la légitimité d’un gouvernement qui a connu huit échecs sur les huit dernières échéances électorales, dont les sondages d’opinion sont plus qu’un camouflet, un véritable désaveu, dont les moralisateurs sont tous corrompus jusqu’à la mœlle, dont l’imposture idéologique n’a d’écho tangible que l’imposture morale, dont l’oreille est sourde aux cris du peuple qui souffre chaque jour un peu plus. Ne trouvant plus sa légitimité dans le peuple qui l’a abandonné puis renié, c’est dans la violence que le gouvernement l’a définitivement perdu, instaurant une véritable tyrannie. Mais la dictature socialiste tombera, comme elle est toujours tombée, et avant même que le Nationalisme n’ait vacillé. La liberté n’est pas un alibi, elle est une arme affûtée dont le couperet tombera. Elle n’est pas celle illusoire des contes démocratiques, mais celle bien réelle des révolutions.

Qui souffrirait de voir se prolonger le diktat imposé par les persécutions policières, les arrestations arbitraires, le gazage des femmes et des enfants, les rétentions illégitimes… qui ? Certainement pas le peuple, certainement pas la France ! Certainement pas nous ! Le poing levé ne parera pas le coup franc ! Alors mobilisation générale contre ce mauvais coup porté non seulement contre nous mais aussi contre les libertés. Cette dictature socialiste nous la mettrons à bas, et ça, ça n’est pas un vœu pieux, c’est une promesse. Pas l’Œuvre française, non. Pas les Jeunesses Nationalistes, non. Le peuple, la France ! En avant la victoire !

00:13 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 26 juin 2013

Manuel Valls : l'Alexikakos ridiculisé d'importance !

valls.jpgYves Darchicourt

Manuel Valls vient encore de se prendre une belle paire de claques ! Une question d'habitude maintenant pour le cuistre qui rate tout ce qu'il entreprend et s'en trouve d'autant plus grotesque qu'il pérore volontier devant micros et caméras. Faute d'engranger des résultats en matière de sécurité publique où il n'est guère heureux que dans le trucage des chiffres de la criminalité et dans le racket des automobilistes, le galantin se voyait volontier en indispensable bouclier de la Ripoublique menacée par le fâchisme.

Le "beau gosse qui se la pête" comme aurait dit Audiard s'y était déjà exercé à l'occasion de la manifestation de l'Union Sacrée des Patriotes qu'il avait tenté de faire perturber par une quadrette de roulures recrutées pour l'occasion, il s'y était aguerri en envoyant ses robocops matraquer, gazer et rafler les paisibles manifestants des diverses Manifs pour Tous. Il a littéralement pété les plombs en la matière à l'occasion de l'affaire Méric... laquelle vient de se muer en affaire merdique et lui revenir en pleine face façon boomerang.

Il s'y croyait déjà le Manuel, le protecteur de la démocratie et des droits de l'homme, le grand politique méritant d'un des surnoms que les grecs donnaient à Heraklès : Alexikakos, celui qui protège du mal, qui dompte les mauvais, le secourable qui protège l'humanité des dangers ! Manuel Valls Alexikakos ! Apothéose de l'ambitieux, voie royale pour courir remplacer Pépère ! Et puis paf et plouf, mâtines de Bruges et vêpres siciliennes, bérézina et juin 40... tout s'effondre ! Non seulement Clément Méric - la tendre victime morte pour son bel idéal de gôche - s'avère être un roquet provocateur et un lâche agresseur, mais Troisième Voie et les Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires artificiellement rattachées au fait divers - et dont il allait fulminer l'interdiction dans un grand Te Deum médiatique - ont annoncé officiellement leur auto-dissolution.

C'est ce qui s'appelle se faire enlever le pain de la bouche. Notre ami et camarade Serge Ayoub vient de moucher le bellâtre qui n'a plus rien à dissoudre que son ridicule, son insignifiance et son incapacité crasse et Manuel Valls l'Alexikakos finira par retomber dans l'anonymat d'où il n'aurait jamais dû sortir. Et puis si Troisième Voie et les JNR se sont juridiquement et astucieusement évaporées, leur idéal demeure dans toute sa force militante qui resurgira bientôt.

Rassemblement - Résistance - Reconquête !

 

18:19 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hollande, Ayrault.... quand on est bien élevé, on demande pardon aux gens qu'on a offensés...

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Source Dessinéloi cliquez ici

17:47 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Pourquoi Serge Ayoub a devancé le gouvernement en prononçant l'autodissolution de Troisième Voie

 

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