vendredi, 11 janvier 2013
Le droit aux armes...
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La fusillade de Newton dans le Connecticut aux États-Unis, le 14 décembre 2012, a montré, une nouvelle fois, que les distributeurs patentés de panurgisme hexagonal versent facilement dans l’indignation et l’émotion. Excellents perroquets de leurs confrères yankees, ces médiats-là n’ont pas cessé de critiquer la liberté étatsunienne de porter des armes. Cette garantie due au deuxième amendement de la Constitution mettrait la société en péril. Or nos étincelants folliculaires n’ont pas remarqué qu’une telle interdiction n’empêche pas des meurtres à moins que la ville de Marseille, plus connue maintenant pour son festival sanglant de tir permanent à l’AK47 que pour sa Canebière et sa Bonne Mère, ne soit devenue une city des States…
Les médiats veulent faire croire que la possession de fusils d’assaut, voire de canons ou de blindés, ferait de leurs détenteurs de très probables psychopathes – tueurs de masse. Une fois encore, le système médiatique témoigne de son ignorance. Un voisin de la France, la Suisse, permet à ses citoyens de garder chez l’armement nécessaire aux différentes périodes de service national actif. À notre connaissance, la Confédération n’a pas la réputation d’être l’endroit préféré des cinglés de la gâchette… Si l’on suivait le raisonnement médiatique ambiant, le moindre accident mortel de la route exigerait le retrait de tous les véhicules potentiellement meurtriers. Et puis une fourchette peut aussi tuer… Faut-il l’interdire ? « Les armes ne “ créent ” pas de crimes. Les pays dans lesquels circulent le plus d’armes à feu ne présentent pas de taux de criminalité particulièrement élevés, écrit Paul Lycurgues dans un sympathique opuscule intitulé Aux Armes Citoyens ! Plaidoyer pour l’autodéfense et publié par un éditeur proche de Robert Ménard, ce journaliste tombé au champ d’honneur de la liberté d’expression. Plus ennuyeux pour nous autres Français : le contrôle strict des armes à feu ne réduit pas la criminalité, pas plus qu’il n’empêche les criminels et psychopathes violents de se procurer les armes nécessaires à leurs forfaits (p. 20). » Iconoclaste et provocateur, le propos sonne juste.
Les médiats n’expliquent jamais que les fréquentes tueries qui ensanglantent les États-Unis seraient survenues quand bien même la détention de n’importe quelle arme aurait été proscrite. Le problème de ce pays n’est pas le nombre d’armes en circulation, mais leur usage qui témoigne de la profonde névrose de la société. Modèle planétaire de la modernité tardive, les États-Unis pressurent ses habitants au nom d’une quête à la rentabilité effrénée au point que certains voient leur psychisme flanché. La pratique dès le plus jeune âge de jeux vidéos ultra-violents, la sortie de milliers de films parsemés de scènes sanglantes et la consommation de plus en plus répandue de drogues et de produits pharmaceutiques éclairent le passage à l’acte. Entre aussi en ligne de compte la cohabitation toujours plus difficile d’une société en voie de métissage avancé fondée sur le génocide amérindien et les vagues successives d’immigration de peuplement. Enfin, le mode de vie totalitaire doux avec sa technolâtrie, son vide existentiel, son individualisme outrancier et sa compétition féroce de tous contre tous cher au libéralisme perturbe le cerveau de millions d’individus fragiles. Ce qui est arrivé, le 3 janvier 2013, à Daillon en Suisse dans le canton du Valais confirme le diagnostic : le tueur, un assisté social, alcoolique et fumeur de marijuana âgé de 33 ans, était suivi pour des troubles psychiatriques. En tant que société ouverte, la Suisse pâtit, elle aussi, de tels phénomènes qui seraient quasi-inexistants dans une société vraiment fermée.
À rebours du prêt-à-penser médiatique fallacieux, Paul Lycurgues soutient le droit des citoyens français à être armés. « Le peuple français […] doit exercer son droit, et assumer son devoir de peuple libre, à reconquérir les armes qui lui ont été dérobées, et à restaurer en France un ordre naturel fondé sur le respect que se doivent des citoyens libres et armés (p. 9). » Ce que Lycurgues oublie d’ajouter est que cette philia entre citoyens responsables n’est possible que dans un cadre communautaire ethniquement homogène comme le constatait déjà Aristote. L’hétérogénéité ethno-culturelle désordonnée n’engendre que de fortes tensions comme le prouvent les États-Unis (et le Brésil !).
Aux belles âmes hexagonales qui crachent qu’un pareil projet ne correspond pas aux « valeurs républicaines », Paul Lycurgues leur rétorque qu’« en France, les armes furent consubstantielles à la conquête des libertés (p. 10) ». En 1885, la loi Farcy autorisait la libre détention d’une arme, voire de plusieurs, sinon comment Manufrance, premier vendeur de cycles et… d’armes, aurait-il connu une audience nationale, européenne et même internationale ? Rappelons que son catalogue annuel offrait une vaste gamme d’armes de point et de fusils de chasse. On a oublié qu’« au début du XXe siècle, […] tout Français avait le droit de porter des armes apparentes, s’il n’en avait pas été privé par jugement (p. 14) ». C’est par un décret-loi liberticide du 23 octobre 1935 signé par Pierre Laval qui commence le désarmement de la population. Cinq ans plus tard, l’État français et l’occupant allemand généralisent la procédure : posséder une simple arme vaut désormais à son propriétaire la peine capitale ! Depuis cette période, quelque soit le régime en place, de nouvelles lois restreignent cette liberté indispensable. Sous prétexte d’idéologie sécuritaire, les autorités hexagonales aux ordres de l’hyper-classe mondialiste et des banksters, cherchent à ôter leurs administrés toute envie de résistance. « Infantilisation, dévirilisation, passivité et conformisme : voilà les véritables raisons de la servitude volontaire dans laquelle vivent nos compatriotes (p. 29). » Et gare à l’honnête homme en état de légitime défense ! « Notre système judiciaire applique désormais une véritable présomption de culpabilité à ceux d’entre nous qui osent encore se défendre (p. 24). » La triste affaire en 2010 de « Papy » Galinier incarcéré tel un assassin par des juges qui préfèrent respecter le droit des voyous est encore dans les mémoires.
Paul Lycurgues est pessimiste parce que « les Français se retrouvent pris entre le marteau et l’enclume – c’est-à-dire entre une criminalité brutale et omniprésente et un État d’autant plus répressif qu’il est en situation de quasi-faillite -, [il] apparaît de plus en plus clairement ce risque terrible : n’avoir plus le choix entre le chaos criminel et l’état policier (pp. 8 – 9) ». Les lecteurs attentifs d’Éric Werner objecteront avec raison que ce choix est en fait impossible puisque la société ultra-moderne fracassée est dorénavant et sciemment chaotique et policière.
Cette situation étrange se vérifie par une incroyable inflation législative. Depuis 2002, le Parlement français a voté une quarantaine de lois sécuritaires pour des résultats quasi-nuls, mais qui renforcent le carcan étatique envers nos concitoyens. La République hexagonale ne privilégie pas la sûreté de ses membres, mais leur surveillance, si bien que les spécialistes évoquent sans fard « l’échec, incontestable […], de toutes les politiques publiques de sécurité menées depuis trente ans (p. 5) ». Loin d’être plus sûr, l’Hexagone tricolore l’est moins, en particulier pour les petites gens. En effet, outre les pertes financières considérables, « nos concitoyens en payent aussi le coût caché, celui de l’érosion de leurs libertés fondamentales face à l’appareil judiciaire et policier, ainsi que la systématisation d’une véritable culture de répression (pp. 6 – 7) ». Ainsi, est-il plus facile à une petite frappe des banlieues de l’immigration de vendre son shit ou de racketter des gamins qu’à un militant identitaire d’occuper le toit d’une mosquée en construction ou de réagir à l’agression de pétasses féministes à moitié dénudées…
Aux détracteurs qui citent constamment le contre-exemple d’outre-Atlantique pour maintenir le désarmement généralisé de la population, Paul Lycurgues commente la riche étude du professeur John Jr. Lott. Celui-ci a démontré que la criminalité est plus basse dans les États fédérés qui autorisent le port d’arme que dans les États plus restrictifs. Cette étude serait aussi intéressante à corréler avec l’application de la peine de mort qui démotive la racaille. Lycurgues estime par conséquent que « la sécurité de tous, en France, doit redevenir l’affaire de chacun (p. 30) ». Que veut-il dire ? L’auteur soutient l’autodéfense et la légitime défense. Pour lui, « chaque innocent qui prend les armes fait reculer le crime partout; ce n’est pas tant une balle que craint fondamentalement le criminel, mais plutôt la possibilité d’une balle. Le devoir de fuite imposé par la jurisprudence, quoique légal par définition, n’est donc pas seulement injuste : il est aussi immoral (p. 27) ». C’est sur cet immoralisme que s’appuie le Moloch étatique, broyeur des personnes et des peuples et nullement des malfrats.
Si les Français – et les Européens – ne veulent ni l’anarchie sociale, ni le désordre sécuritaire anxiogène, ils doivent renoncer à la religion délétère des droits de l’homme et accepter de se réarmer, ce qui suppose de leur part de ne plus tout attendre de l’État tutélaire. Le réarmement du peuple implique de manière inévitable la réduction inévitable des effectifs de policiers, de militaires et de magistrats. Ces professions sont pour l’heure gangrenées par l’humanitarisme dévot.
Il faut donc aller plus loin que le modèle helvétique du citoyen-soldat prêt à défendre sa commune, son canton et sa patrie. « Le XXIe siècle sera celui de la fin d’un monde : le consumérisme, le mondialisme économique, la dilapidation des ressources et la gabegie énergétique ne sont plus tenables. […] La perspective de troubles sociaux, politiques et économiques majeurs est devenue crédible, certains diraient même inévitable. Dans un tel contexte, un peuple désarmé sera plus vulnérable face au chaos, à la prédation et à la violence qu’un peuple en armes (pp. 30 – 31). » Déjà, en Corse, dans la Camargue gardoise ou dans certains coins reculés du Velay et de l’Aubrac, les populations locales conservent leurs armes et répliquent avec virilité aux intrus allochtones.
L’existence de milices populaires d’autodéfense locale, communale et régionale, ouvertes aux femmes, redonnerait à la France son sens originel de « Terre des Francs », c’est-à-dire de « pays des hommes libres » parce que nos lointains ancêtres avaient le droit et le devoir de porter l’épée !
Paul Lycurgues, Aux Armes Citoyens ! Plaidoyer pour l’autodéfense, Éditions Mordicus, coll. « Coups de colère », Paris, 2012, 32 p., 4,95 €.
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Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
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jeudi, 10 janvier 2013
Dimanche 13 janvier, 13 h, Place Pinel, Paris XIIIe...
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Fin de la récréation
Jean-Gilles Malliarakis
L'Insolent cliquez ici
À l’issue de cette longue trêve hivernale, de ces fêtes de Noël et de la Théophanie comme des messages traditionnels de Nouvel An, jamais l'impopularité du pouvoir ne s'est révélée aussi profonde. Car François Hollande et Jean-Marc Ayrault atteignent en ce mois de janvier un nouvel étiage négatif, un record, avec respectivement 63 % (+5) et 59 % (+8) des sondés désapprouvant leur action. (1)
Depuis plusieurs jours, il semble ainsi que la situation se clarifie. Et l'on observe en effet que le temps de la récréation vient à son terme pour le gouvernement central parisien.
Divers indices nous le suggèrent par ailleurs.
Dès le 31 décembre les vœux insignifiants formulés par le chef de l'État pour la nouvelle année prouvaient que le doute l'habite sérieusement.
Le débat Cahuzac contre Mélenchon du 7 janvier a souligné combien les ambiguïtés se dissipent. Celle d'une alliance purement électorale, artificiellement victorieuse le 6 mai 2012, se trouve, huit mois plus tard complètement levée. L'appareil des nostalgiques du communisme, dont l'habillage appelé front de gauche ne trompe plus personne, ne mise plus que sur l'échec des sociaux-démocrates et sur l'exacerbation de la lutte des classes. Le candidat battu des élections présidentielles et du scrutin d’Hénin-Beaumont l'a explicitement reconnu facilitant, sans le vouloir, la tâche de son interlocuteur et ministre du Budget.
Les passes d'armes autour de la manifestation du 13 janvier organisée contre l'extension du domaine du mariage viennent à point nommé pour nous éclairer. Les dernières polémiques ne cherchent plus qu'à préparer une esquive du pouvoir en cas de succès de masse de ce rassemblement. On tend désormais en effet à minimiser le dossier de ce projet de loi. On le qualifie savamment de "sociétal". Et cette appellation même rappelle la marginalité des forces sur lesquelles une certaine gauche dorée entend désormais fonder son assise.
Certes, la proposition figurait, de façon subreptice, dans la plate-forme du président mal élu. Elle doit donc précisément être mise en échec. Il s'agit dès lors de contraindre la prétendue majorité à se reconnaître pour telle : une minorité victorieuse par la division de ses adversaires. Et ceux-ci peuvent et doivent précisément retrouver leur unité dans le rejet de telles mesures.
Certains font encore la fine bouche. Leur argument central repose sur le fait qu'un arbre ne doit pas cacher la forêt. Et pour éviter la dissimulation de l'ensemble par le détail, les sophistes prétendent ne pas vouloir que cette question symbolique tende à esquiver les graves problèmes matériels que se pose la société française, etc.
C'est oublier toute l'histoire des protestations de masse. Les foules ne se rassemblent jamais contre un système global mais contre l'une ou l'autre de ses conséquences.
Certaines sirènes de la division critiquent, avec plus ou moins de talent le caractère unificateur lui-même, contre le pouvoir socialiste et fiscaliste, de l'appel à manifester pour le retrait de ce texte ponctuel. Les mêmes aimaient à dire "tout sauf" le précédent président. Et ces gens n'ont pas peu contribué à la victoire au bonneteau de la gauche en mai au deuxième tour, puis aux législatives en juin 2012.
En 2013 ces manœuvres délétères recommencent, pour le plus grand profit, doit-on le répéter de cet étatisme qui tue la France jusqu'à empoisonner la notion même de famille, en attendant sans doute l'institution légale de la polygamie. (2)
Quand donc cette imposture trop visible prendra-t-elle fin ?
Quand donc ce jeu pervers cessera-t-il d'être appelé "populisme" ?
Quand donc les officines bien repérables qui depuis quelque 30 ou 40 ans trahissent la droite et mettent en péril les libertés recevront-elles leur vrai nom de machines à perdre ?
Sur un point à vrai dire, on peut faire confiance au p. de la r.
Il saura trahir les siens, si la manifestation du 13 janvier tourne au succès que l'on doit souhaiter. Gondolier de la Seine, il ne manquera pas de se livrer à son exercice préféré, la godille. Il y excelle à la suite de son maître et initiateur, le funeste Mitterrand. Il s'emploiera encore à inventer quelque vieille recette d'astuce destructrice et ruineuse.
Ce ne sont pas en effet seulement la Bible et les mythes de l'Antiquité qui condamnent le mariage "pour tous" – "pour tous" sauf pour le chef de l'État, un cas unique dans les annales. Ne doutons pas dès lors que le principal intéressé saura invoquer le code civil de 1804, utiliser le dictionnaire Littré de 1877, et réveiller les promoteurs du PACS de 1999 pour convenir que le mot mariage, l'adoption ou la procréation procèdent nécessairement d'un père et d'une mère.
On arrivera bien en haut lieu à trouver les mots pour le dire en langage républicain et en charabia technocratique.
N'est-ce pas pour cela, pour rémunérer les princes qui nous gouvernent, que nous payons des impôts ? Tout le monde en France en paye trop (3). C'est pour cela que trop de gens préfèrent hélas un exil incivique ne soulageant ainsi que leur portefeuille.
Au contraire le rassemblement de centaines de milliers de Français de toutes confessions, de toutes conditions et de toutes sensibilités ne peut être considéré que sous un angle civique et solidaire.
Notes
(1) cf. le "tableau de bord" mensuel – établi par l'Ifop et publié par Paris-Match du 8 octobre 2013
(2) celle-ci est déjà subventionnée dans les faits par les caisses sociales quoiqu'elle soit réservée à ceux qui la pratiquent dans le cadre de législations étrangères.
(3) C'est par ce constat que commence mon petit livre "pour une Libération fiscale".⇑
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Samedi 19 janvier, dans le Finistère, réunion du Parti de la France avec Martine Lehideux...
12:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Rendez-vous NDP, PdF, MNR, Synthèse nationale :
DIMANCHE 13 JANVIER 2013
13 H 00
PLACE PINEL
(METRO NATIONALE)
PARIS XIIIe
07:55 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Préférence Etrangère : approchez, c'est l'Etat qui régale !
Un communiqué de Jeune Bretagne :
Lundi 7 janvier, 5h du matin. Le TGV Quimper-Paris s’apprêtait à partir avec à son bord, deux familles de clandestins débarquées mercredi dernier en Bretagne, et dormant depuis dans des hôtels de Lorient, logées et nourries, aux frais du contribuable puisque les hôtels sont indemnisés par l’Etat.
Afin de gaspiller un peu plus l’argent public, la préfecture de Bretagne a même payé aux deux familles les billets de TGV nécessaires afin de pouvoir aller se faire enregistrer en préfecture, à Rennes, en vue de leur régularisation.
Les militants de Jeune Bretagne, présents sur place depuis 4h ce lundi matin, ont donc décidé, au nom de l’égalité pour tous, de permettre à tous les passagers du train de bénéficier de nuits d’hôtels et de billets de train payés par l’Etat.
Un tract avec coupon réponse a été distribué, afin de proposer à chacun de demander à la préfecture le remboursement de son loyer, de son billet de train, de ses amendes ou encore de ses courses.
La seule condition à remplir étant de renoncer immédiatement à sa nationalité française, ces remboursements payés par le contribuable ne pouvant être effectué qu’à des clandestins.
Vous pouvez donc, vous aussi, profiter de la générosité de la région Bretagne en imprimant et en nous retournons ce bon, disponible sur cette page.
En pleine crise économique, en pleine crise sociale, en pleine crise du logement, l’Etat français préfère nourrir et loger des clandestins plutôt que de venir en aide à sa propre population.
Quand l’Etat n’est plus en mesure de garantir un traitement juste pour ses citoyens, il est du devoir de chacun de se révolter.
C’est pourquoi nous incitons également l’ensemble de la population à imprimer, à diffuser et à remplir ce tract que nous acheminerons massivement vers la préfecture d’Ille et Vilaine, haut lieu de la préférence étrangère.
« Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir »
07:47 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 09 janvier 2013
RAPPEL : Jeudi soir, Pierre Vial au Local !
17:25 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lille : les romanichels perturbent la circulation ferroviaire !
Yves Darchicourt
Un mois que cela dure ! Après les clandestins de tous poils qui engorgent les services des urgences du CHU et de l'Hôpiltal St-Vincent en venant systématiquement s'y échouer chaque soir au prétexte fallacieux de pseudo grève de la faim pour obtenir leur régularisation, ce sont maintenant les romanichels qui pertubent gravement la circulation ferroviaire sur la ligne Lille-Sainghin-Béthune.
D'une part les nomades du camp de Lille-Sud se permettent de traverser les voies à toute heure et sans aucune précaution nonobstant l'intensité du trafic; cet incroyable sans-gêne a obligé la Direction ( fort peu désireuse d'affronter l'émeute qui ne manquerait pas de suivre d'éventuels tronçonnements de romanichels ) à imposer aux conducteurs une vitesse maximale de 15km/h sur tout un large secteur aux alentours du campement - au lieu des 100 km/h prévus - entraînant ainsi des retards systématiques de 10 à 30 minutes pour les voyageurs. D'autre part, dans un large secteur ferroviaire, les vols de câbles croissent et embellissent ( un "fils du vent" du même campement a été arrêté en flag lundi dernier au niveau de la porte d'Arras : il faut bien vivre clameront les associations collaborationnistes ! ) ce qui a amené la Direction à programmer un enfouissement à un mètre : des travaux qui débuteront ce jour et qui seront eux-même générateurs de fortes perturbations sur le trafic.
Bref du beau et du tout bon tant pour la SNCF, que pour ses employés et pour sa clientèle. Et tout cela gràce à Martine Aubry et sa clique qui persévèrent dans leur politique d'accueil, d'installation et d'incrustation des tribus de romanichels ( on les estime près de 3500 autour de la métropole lilloise ) dont personne ne veut, surtout pas les citoyens des petites communes flamandes de la communauté urbaine à qui des maires collabos de la fumeuse idéologie mondialiste du brassage des peuples tentent d'imposer l'implantation par clans entiers. Des clans qu'il serait fort nécessaire d'inciter fermement à partir de Flandre et à retourner dans leurs contrées d'origine. Rassemblement -Résistance - Reconquête !
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17:21 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Collectif France-Russie sera dimanche prochain à la manif...
Un communiqué du Collectif France-Russie :
Face aux différents coups de boutoir du gouvernement français dont l’objectif prioritaire est de nous imposer ce nouvel ordre mondial ultra libéral, le Collectif France Russie a décidé de réagir en se joignant à la manifestation du 13 Janvier.
A un moment où il serait plus opportun de rassembler et de fédérer notre pays à la dérive, le régime actuel a, résolument pris l’option de fracturer et de déstabiliser. Le projet de loi visant à officialiser le mariage des personnes de même sexe est une révolution sociétale dont nous ne voulons pas.
Nous nous référons à ce qui se fait de bien chez nos amis russes et ce type de glissement n’a pas droit de cité là-bas. La famille est un monolithe auquel les politiques, personnes élues par une partie de l’électorat de manière ponctuelle, n’ont pas à modifier de tels fondements de notre société d’une manière aussi désinvolte.
Le libéralisme, partout où il sévit applique les mêmes méthodes de nivellement et d’abandon de nos fondamentaux, les uns après les autres tous les pans de ce qui constituait notre colonne vertébrale sont abattus de manière vigoureuse.
Le climat détestable qui règne désormais dans nos pays occidentaux est celui de l’autoritarisme d’une caste qui prétend nous imposer ce qui lui est étranger à titre privé (car, n’oublions pas que l’intelligentsia socialiste a toujours été opposée au mariage et notre président de la République, entre autres, en est la preuve vivante).
Dans ce souci de constance, nous sommes résolus à exprimer notre force et notre réprobation aux côtés de ceux qui osent dénoncer cette vaste opération de délitage. Nous ne sommes pas encore prêts à mettre un genou à terre face à ces nouveaux maîtres de l’univers qu’ils soient à Washington, Paris, Londres ou Berlin, nous nous joindrons à chaque fois à ceux qui auront pour objectif de lutter pour que nos valeurs reprennent de leurs couleurs et nous permettent de nous distinguer dan ce monde gris clair qu’ils veulent nous imposer..
Par respect envers nos aïeux qui n’auraient pas accepté un tel diktat, nous appelons nos amis russes et français à se regrouper avec des drapeaux russes et français angle Rue Jeanne d’Arc et Bd Vincent Auriol Dimanche 13 Janvier à 12h.30 précises (métro Nationale), nous irons ensuite en délégation nous joindre à la manifestation.
09:20 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L’immigration, cheval de Troie des puissances étrangères...
Jean-Yves Le Gallou
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L’immigration est un boulet. Un boulet pour l’économie : elle pèse sur les déficits, elle aggrave le chômage. Un boulet social : elle tire les salaires à la baisse. Un boulet sécuritaire : inutile d’en dire plus… L’immigration est aussi devenue un vecteur d’influence pour les puissances étrangères.
Les grandes métropoles régionales et les principales villes moyennes se couvrent de minarets coiffant de grandes mosquées. Cet islam conquérant n’est en rien spontané. Derrière chaque construction et chaque imam, il y a l’argent et l’influence d’une puissance étrangère : Maroc, Algérie, Turquie, pétromonarchies du Golfe persique.
Le petit Qatar – peuplé à plus de 80 % d’immigrés sans le moindre droit — est encore allé plus loin : il s’est engagé à financer le développement d’entreprises ethniques en Seine-Saint-Denis.
Mais les pays musulmans ne sont pas les seuls à jouer à ce petit jeu. L’hyperpuissance américaine est aussi omniprésente dans les banlieues françaises. Nommé à Paris, en 2009, par Obama, l’ambassadeur Rivkin s’est donné pour priorité d’exercer l’influence des États-Unis sur les banlieues de l’immigration. Les sites islamiques Oummah et Saphir ont reconnu leurs bonnes relations avec l’ambassade américaine. Le Bondy blog, qui bénéficie d’une notoriété médiatique parfaitement artificielle, a reçu la visite médiatisée de l’ambassadeur américain accompagné de l’acteur noir Samuel Johnson. Les voyages transatlantiques payés par le département d’État ou les agences américaines se multiplient : rappeurs américains venant en banlieue, jeunes pousses économiques et politiques invitées aux États-Unis. La ministre Najat-Belkacem est elle-même un produit de la French american foundation.
Dans son activité d’influence en direction des milieux immigrés, l’ambassadeur est assisté par Mark Taplin : un diplomate d’expérience spécialiste du soft power qui a exercé ses talents en Russie (à l’époque d’Eltsine) puis en Ukraine, Moldavie et Biélorussie de 1999 à 2004 (à l’époque de la « révolution de couleur » en Ukraine). Voilà qui est clair !
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Ceux dont on ne parle jamais et qui n'intéressent pas l'hyper-classe :
Source Zentropa cliquez ici
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Revue de presse : Manif contre le mariage gay : où sera l’extrême droite?
Droite(s) extrême(s) cliquez là
Peu de surprises. Que ce soit par conviction – au nom de la défense de la famille traditionnelle et des valeurs d'ordre – et/ou par opportunité, les diverses formations de l'extrême droite défileront quasiment toutes dimanche 13 janvier, à Paris, contre le projet de loi sur le mariage gay. Le FN, dont la présidente, initialement hostile à une participation, a du s'incliner, enverra finalement une délégation.
La délégation FN a choisi de prendre part à la "Manif pour tous" animée par Frigide Barjot, en se rassemblant porte Maillot, l'un des trois points de départ prévus par ces organisateurs (avec Denfert-Rochereau et la place d'Italie). Le FNJ qui, un court instant, avait donné rendez vous à ses troupes place d'Italie s'est, ou a été, rapatrié porte Maillot avec ses aînés. Sans doute faut il y voir aussi une volonté d'éviter des fraternisations trop visibles entre certains jeunes frontistes et des éléments plus durs qui se sont donnés rendez-vous place Pinel dans le 13e arrondissement.
L'Action française (maurrassiens) a, semble-t-il, opté cette fois pour la Manif pour tous.
Le Bloc identitaire, lui, appelle ses militants et sympathisants à rejoindre "les manifestations" du 13 janvier. Il dénonce "la véritable révolution sociétale – anthropologique même – que la gauche, toujours avide de briser encore davantage le cadre traditionnel, veut mener". En gros, le BI laisse ses militants libres, soit de défiler avec Frigide Barjot, soit de gagner la manifestation des intégristes de Civitas, comme certains d'entre eux l'avaient fait le 18 novembre tout comme d'ailleurs quelques personnalités du FN.
Novopress, l'agence de presse des Identitaires, a par ailleurs reproduit un éditorial de Jean-Yves Le Gallou (fondation Polémia), dans lequel l'ancien membre du club de l'Horloge, proche de la direction du BI, accuse Frigide Barjot de multiplier les concessions à "l'idéologie médiatique". "Pour la très médiatique organisatrice de la 'Manif pour tous', il faudrait lutter contre 'l’homophobie' : ce qui revient à donner du crédit aux armes incapacitantes du lobby homosexualiste", écrit-il.
C'est dans le cortège Civitas, comme ce fut le cas au mois de novembre, que se porteront les militants les plus radicaux. C'est le seul critère, puisque comptent y participer des groupuscules qui, a priori, ne partagent pas toujours les options de Civitas, organisation catholique intégriste appartenant à la mouvance contre-révolutionnaire. Trop extrémiste pour la Manif pour tous, Civitas, très liée à la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X (lefebvristes), n'y était pas la bienvenue. L'affaire est d'ailleurs réciproque puisque ce mouvement et ses soutiens (parmi lesquels les associations anti-avortement SOS tout-petits et Laissez-les-vivre) reprochent eux aussi à Frigide Barjot d'avoir déclaré vouloir "lutter contre l'homophobie". Et jugent qu'"elle ne représente qu'elle-même".
Civitas a fixé son rendez vous place Pinel, à quelques centaines de mètres de la place d'Italie. Et compte, avec son propre cortège, aller sur les pas de la Manif pour tous. D'ores et déjà, plusieurs petites formations créées par des dissidents du FN – tels le Parti de la France de Carl Lang (désormais proche des traditionalistes de Bernard Antony) ou le MNR (ex-formation de Bruno Mégret) – s'y sont ralliées.
La NDP également. Appartenant à la mouvance identitaire plutôt néo-païenne, cette dernière explique, sous la plume de l'un de ses dirigeants, Roland Hélie, que "les relations amoureuses, fussent-elles homosexuelles, sont l'affaire de chacun"... ce qui n'est pas franchement la ligne Civitas. Pour autant la NDP combat "la légalisation du mariage gay" car elle y voit "la volonté de l'hyper-classe mondialiste de détruire les piliers de notre civilisation ancestrale". Et d'ajouter: "une fois les repères supprimés, il sera encore plus aisé pour les tenants de la haute finance apatride de manipuler notre peuple".(NDLR SN - Référence)
Le Renouveau français, groupuscule nationaliste, intégriste, antisémite et pétainiste, sera bien entendu place Pinel. Littéralement obsédé par "le lobby homosexualiste", le RF explique à qui veut l'entendre, que "derrière, se cache le lobby pédophile qui pourra agir, si la loi passe, avec beaucoup plus de facilité".
Dans la même veine, l’Œuvre française et ses divers satellites – Jeunesses nationalistes d'Alexandre Gabriac, GUD Lyon– sera elle aussi de la partie. Son président, Yvan Benedetti, sera dès samedi à Paris pour une rencontre militante.
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mardi, 08 janvier 2013
Belgique, vous pouvez maintenant voter pour l'instauration de la Charia...
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Martial Bild invité du Libre Journal du Parti de la France :
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Au nom de Synthèse nationale et de la Nouvelle Droite Populaire, Roland Hélie soutient la manifestation nationaliste contre l'impérialisme du samedi 2 février prochain à Paris.
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lundi, 07 janvier 2013
Vincent Peillon se paye notre tête...
Communiqué de l'Œuvre française
Vincent Peillon, parangon de vertu et d’impartialité a mis en garde les établissements catholiques contre les dérives liées au débat sur le mariage homosexuel. Lui-même enseignant et homme politique, membre à part entière de cette caste inféodée qui prend leur chaire d’enseignant pour une tribune politique, partisan de cette parodie d’éducation nationale qui n’a pas pour but d’éduquer mais de dresser les élèves aux réflexes pavloviens de la détestation de soi, à en faire non des citoyens français mais de pauvres ères d’une Salente du mondialisme… Vincent Peillon se paye notre tête.
Inutile de rappeler l’abandon dans les programmes scolaires de tout ce qui a pu constituer la fierté et la grandeur de la France afin que les têtes vierges et les cœurs faibles ne retiennent d’elle qu’un sentiment de honte et de rejet prompt au mondialisme et au communisme de ce siècle, celui d’un marché commun, un marché universel. Les programmes scolaires engendrés sciemment par nos dites élites sont devenus des programmes politiques, des méthodes d’apprentissage ou de formatage dignes d’Orwell. Cette attaque vise bien entendu à stigmatiser les catholiques dans la bonne tradition des rouges sang de 1789.
Mais loin d’inquiéter cette attaque rassure. Elle rassure car elle est le révélateur d’un soubresaut qui dérange, qui intrigue. Un signe avant-coureur du réveil de la France, cette France de Jeanne d’Arc, la réconciliation de l’épée et de la croix, celle qui protège, celle qui défend, celle qui apporte la foi, la charité et l’espérance, l’espérance « dauphin de France ».
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Un nouveau livre de Bernard Lugan :
L’indispensable outil de réfutation des mythes qui alimentent la repentance.
Depuis un quart de siècle les connaissances que nous avons du passé de l’Afrique et de l’histoire coloniale ont fait de tels progrès que la plupart des dogmes sur lesquels reposait la culture dominante ont été renversés. Cependant, le monde médiatique et la classe politique demeurent enfermés dans leurs certitudes d’hier et dans un état des connaissances obsolète : postulat de la richesse de l’Europe fondée sur l’exploitation de ses colonies ; idée que la France devrait des réparations à l’Algérie alors qu’elle s’y est ruinée durant 130 ans ; affirmation de la seule culpabilité européenne dans le domaine de la traite des Noirs quand la réalité est qu’une partie de l’Afrique a vendu l’autre aux traitants ; croyance selon laquelle, en Afrique du Sud, les Noirs sont partout chez eux alors que, sur 1/3 du pays, les Blancs ont l’antériorité de la présence ; manipulation concernant le prétendu massacre d’Algériens à Paris le 17 octobre 1961 etc. Le but de ce livre enrichi de nombreuses cartes en couleur, est de rendre accessible au plus large public le résultat de ces travaux universitaires novateurs qui réduisent à néant les 15 principaux mythes et mensonges qui nourrissent l’idéologie de la repentance.
Mythes et manipulations de l'Histoire africaine, Bernard Lugan, L'Afrique réelle, 28 € cliquez ici
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Tours, 26 janvier, marche annuelle de la fierté tourangelle...
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Mercredi soir, galette des Rois au Local...
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dimanche, 06 janvier 2013
Mais où veut donc en venir madame Barjot ?
Président de l'AGRIF cliquez là
Par ses déclarations irresponsables, intempestives, et même haineuses à l’égard de la manifestation distincte de Civitas du 13 janvier, Frigide Barjot place les catholiques respectueux de l’autorité de Benoît XVI dans une insupportable situation.
On peut en effet ne pas partager les positions doctrinales de la Fraternité Saint Pie X sur les rapports de l’Église et de la société mais se réjouir de ce que Benoît XVI ait levé, dans la responsabilité de son magistère, leur excommunication. Dans le grave souci de l’unité catholique.
On peut certes discuter sur la nécessité de refuser le pseudo « mariage homo » en invoquant d’abord les arguments religieux et moraux des commandements de la Bible ou de mettre plutôt en avant, dans le contexte d’une société très laïcisée, les arguments de sens commun sur le mariage, qui est certes un sacrement pour les croyants mais qui est pour tous l’engagement, devant la loi de la société, d’un homme et d’une femme pour fonder une famille et élever les enfants.
En traitant comme elle le fait, avec mépris et vindicte, qualifiant « d’intégroïdes » ou de « fachos » ceux qui, avec Civitas, préfèrent mettre d’abord en avant des arguments religieux, Frigide Barjot n’agit ni charitablement ni intelligemment. Elle s’enfonce dans une position tristement discriminatoire.
Que les responsables de la Marche dite pour tous ne soient pas en accord avec ceux de Civitas et plus largement avec, au-dessus d’eux, ceux de la Fraternité Saint Pie X, c’est une chose, mais il n’était tout de même pas bien difficile d’établir avec eux un agrément, dans le respect des sensibilités civiques et religieuses, selon lequel leur manifestation suivrait celle de la Marche.
Or voilà que Frigide Barjot croit, à l’évidence, dialectiquement intelligent de les traiter comme des pestiférés, des parias, des intouchables, selon une triste logomachie d’ordinaire d’extrême-gauche et qui, pour autant, ne fera pas taire les vociférations du lobby homocratique « LGBT-OGM ».
Va-t-elle d’ailleurs, avec la même vigilance, mettre en garde et donner des mots d’ordre d’exclusion contre les musulmans qui entendent bien manifester dans la « Marche pour tous » au nom de la charia ? Comme si beaucoup ne pouvaient pas être aussi, et plus légitimement qualifiés « d’intégristes » - et d’une autre facture ! - que les fidèles de la Fraternité Saint Pie X ?
À l’égard de ces derniers, cette Frigide s’échauffe, s’excite, alors qu’elle fait un large étalage d’homophilie sans les grandes et fortes nuances nécessaires quant aux diverses formules de vie homosexuelles.
J’ai, avec l’unanimité de ses dirigeants, totalement engagé l’Agrif dans le refus du projet de loi socialiste de dénaturation du mariage. C’est en effet beaucoup plus encore qu’une atteinte à l’identité française et chrétienne, c’est une attaque visant à la désintégration de l’humanité elle-même, dans sa structure fondamentale, forme ultime de ce que l’on peut appeler un « racisme anti-humain ».
Il faut face à cela une réaction de rue immense et donc la nécessité de la « Marche pour tous ».
Mais justement, elle doit être POUR TOUS !
Nous n’acceptons donc pas que la dame qui a choisi, peut-être avec une bonne connaissance d’elle-même, le pseudonyme de Barjot confisque idéologiquement et médiatiquement l’orientation de la protestation d’immenses foules françaises.
Considérant que cette manifestation est, en effet, celle de tous et non la propriété de dame Frigide, je serai à son départ, avec de très nombreux amis, devant la mairie du XIII°, place d’Italie, sans banderoles ni slogans particuliers. Mais nous serons aussi en parfaite amitié et en totale compréhension chrétienne et française avec ceux qui, excédés par les déraisonnables et méchants propos de madame Barjot, seront dans la manifestation organisée par Civitas à laquelle nous représentera Maître Jérôme Triomphe, un des principaux avocats de l’AGRIF.
PS : Frigide Barjot approuve-t-elle les incroyables directives comminatoires du ministre Vincent Peilhon à l’enseignement dit « libre » selon le totalitarisme LGBT ? Ne voit-elle pas que sous le prétexte fallacieux de lutter contre « l’homophobie » il s’agit d’imposer la banalisation de l’homosexualité par le Big Brother socialiste ?
12:38 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jouets : Super U, l’enseigne super politiquement correcte...
Son blog cliquez ici
Pourquoi certains parents, cette année, ont-ils décidé de boycotter l’enseigne pour leurs achats de Noël ? En raison de leurs spots radiophoniques stridents « Super Uuuuuuuu, les nouveaux commerçaaaaaants ! », qui font d’un embouteillage pénible un embouteillage parfaitement insupportable ?
Non. En raison de leur zèle à rendre leur catalogue de jouets « gender compatible », à plaire à la maîtresse d’école Najat Belkacem comme une bande d’insupportables fayots : « Regardez M’dame, comme il est joli, on a inversé tous les « clichés sexistes » ! ». On y voit donc une petite fille manipulant des grues de chantier téléguidées, (les fillettes de 6 ans rêvent toutes de grues de chantier téléguidées, mais n’en reçoivent jamais à Noël, car leurs parents, cette bande de réacs tortionnaires, persistent à leur offrir des déguisements de princesses), et un petit garçon câline un poupon, (un poupon black avec une casquette d’ailleurs, allez hop, on fait d’une pierre deux coup, chez super U, on est drôlement malin, en matière de politiquement correct, on n’hésite pas à jouer les synergies).
Et les magasins eux-mêmes, dit-on, à l’instar du catalogue, s’appliquent à damer le pion des présupposés machistes : Exit, donc, les rayons filles et les rayons garçons. Un vrai bonheur. Si tout devient à l’avenant là-bas, on va en perdre un temps à faire ses courses chez Super U : « Les soutiens-gorge, s’il vous plaît ? », « Là-bas, sur votre gauche, entre les cravates et les costumes trois pièces ». Z’êtes bien aimable, Madame, c’est parfaitement logique j’aurais dû y penser toute seule.
12:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 05 janvier 2013
Enfin on sait où vont nos sous quand on crache au bassinet !
EN PLEINE CRISE, POUR NOEL, ALORS QUE TOUS LES FRANCAIS SE SERRENT LA CEINTURE, ILS SE PRENNENT 20 MILLIONS D'EUROS DE PRIMES !
● AYRAULT
Budget primes : 5 850 000 €
nombre de membres de son équipe : 456
Soit 12 829 € en moyenne par personne
● VALLS
Budget primes : 1 547 532 €
nombre de membres de son équipe : 252
Soit 6 141 € en moyenne par personne
● TAUBIRA
Budget primes : 983 000 €
nombre de membres de son équipe : 169
Soit 5 817 € en moyenne par personne
● TOURAINE
Budget primes : 878 408 €
nombre de membres de son équipe : 64
Soit 13 725 € en moyenne par personne
● MONTEBOURG
Budget primes: 679 058 €
nombre de membres de son équipe: 57
Soit 11 913 € en moyenne par personne
● BELKACEM
Budget primes: 552 001 €
nombre de membres de son équipe: 47
Soit 11 745 € en moyenne par personne
● MOSCOVICI
Budget primes : 730 304 €
nombre de membres de son équipe : 67
Soit 10 900 € en moyenne par personne
● FABIUS
Budget primes : 1 091 082 €
nombre de membres de son équipe : 150
Soit 7 274 € en moyenne par personne
● DUFLOT
Budget primes : 580 950 €
nombre de membres de son équipe : 57
Soit 10 192 € en moyenne par personne
● PEILLON
Budget primes : 616 000 €
nombre de membres de son équipe : 61
Soit 10 098 € en moyenne par personne
● Lebranchu,
Budget primes : 543 636 €
nombre de membres de son équipe : 55
Soit 9 884 € en moyenne par personne
● Fioraso,
Budget primes : 564 000 €
nombre de membres de son équipe : 58
Soit 9 724 € en moyenne par personne
● Lurel
Budget primes : 552 347 €
nombre de membres de son équipe : 63
Soit 8 767 € en moyenne par personne
● Aurélie Filippetti,
Budget primes : 642 710 €
nombre de membres de son équipe : 91
Soit 7 063 € en moyenne par personne
● Sapin
Budget primes : 500 291 €
nombre de membres de son équipe : 75
Soit 6 671 € en moyenne par personne
● Fourneyron
Budget primes : 541 770 €
nombre de membres de son équipe : 53
Soit 10 222 € en moyenne par personne
● BATHO
Budget primes : 900 720 €
nombre de membres de son équipe : 173
Soit 5 206 € en moyenne par personne
● LE FOLL
Budget primes : 370 457 €
nombre de membres de son équipe : 75
Soit 4 939 € en moyenne par personne
● PINEL
Budget primes : 466 268 €
nombre de membres de son équipe : 39
Soit 11 956 € en moyenne par personne
● Bricq
Budget primes : 454 052 €
nombre de membres de son équipe : 38
Soit 11 949 € en moyenne par personne
● Le Drian
Budget primes : 967 238 €
nombre de membres de son équipe : 158
Soit 6 122 € en moyenne par personne
Source JDN cliquez ici
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Affront fait au pays des devoirs du contribuable...
La chronique de
Philippe Randa
Le 21 décembre dernier, on a échappé à la fin du Monde. On n’avait malheureusement pas échappé à toutes les « catastrophes ». Ne venait-on pas de prendre celle de l’annonce du départ de Gérard Depardieu de la France en pleine figure ? Bon, mais c’était alors simplement outre-quiévrain. Une simple histoire belge, en quelques sortes. Généralement, elles sont ou se veulent drôles ; celle-ci était simplement grinçante dans un pays où l’on ne plaisante guère, plus qu’ailleurs et pour cause ! avec la fiscalité.
D’autant que le « cas Depardieu » n’était qu’un de plus : périodiquement, un « riche », voire surtout très riche, décide d’aller poser ses valises en un lieu plus propice à sauvegarder ses économies gagnés à la sueur de son front ou pas d’ailleurs. Il le fait généralement en catimini, même si peu échappe à la sévère vigilance des médias qui n’aiment rien moins que de les livrer aussitôt en pâture à l’opprobre citoyenne.
On assiste alors à des déclarations paniquées des intéressés, jurant que ce n’est pas pour des raisons fiscales qu’ils désertent – ou tentent de déserter – notre cher hexagone, mais pour la beauté des paysages et la douceur des climats du nouveau pays de leur choix. Certains rebroussent chemin, honteux qu’on ait pu les soupçonner de quelque ladrerie de leur part. Les autres font le « gros dos » en attendant que l’orage médiatique se tasse et se font oublier, ce qui s’avère assez rapide généralement.
Mais avec Gérard Depardieu, point de repentance, point de honte, point de retour (du moins immédiat) après le coup de sifflet des sourcilleux gardes-chiourme du politiquement correct : s’il part, c’est pour ne pas se faire plumer. Il le dit haut et fort et quand un Premier ministre sort de sa torpeur habituelle en le traitant de « minable », l’acteur enfile son costume d’Obélix pour le catapulter illico, d’un énorme coup de sa panse éléphantesque, dans les airs.
Le « minable » s’est rebiffé, tel que l’a si bien écrit Dominique Jamet dans sa chronique hebdomadaire du site Boulevard Voltaire.(1)
La suite est encore plus « hénaurme » ! Le président russe Wladimir Poutine a signé un décret lui accordant la nationalité russe et l’acteur l’a remercié dans une lettre ouverte en déclarant son amour pour la Russie, son admiration pour la démocratie au pays des Ivans et pour son président exemplaire.
La France, pays auto-proclamé des Droits de l’Homme, n’en revient pas d’autant d’insolence.
Le gouvernement français n’en finit plus, lui, de lécher toutes les gouttes du calice jusqu’à la lie. Il a l’habitude, notez : l’année passée, il avait déjà dû ingurgiter la fin des hauts fourneaux de Florange. En moins d’une année de règne, il frôle la cuite sévère. Messieurs Hollande et Ayrault ont dû fêter Noël à l’Alka-selzer.
Mais avaler la pilule et surtout la faire passer ensuite aux électeurs, nos politiciens en ont l’habitude. C’est même là où ils excellent le plus.
Plus rude est l’affront pour les tenants du politiquement correct qui ont l’habitude, eux, d’être crains et obéis au doigt et à l’œil, le petit doigt sur la couture, à la moindre sommation de repentance de leur part…
D’autant que l’opinion publique ne semble pas vraiment condamner l’acteur. Au contraire… La France d’en bas, celle qui est non seulement aussi majoritaire que trop silencieuse, qui se « lève tôt » et crache sans cesse au bassinet des dépenses publiques et de l’assistanat généralisé, ne se montre guère vindicative contre la star du 7e Art.
Il y a ceux qui lui pardonnent tout parce que c’est un artiste qui les fait rêver et qu’il faut accepter, comme l’écrit encore Dominique Jamet que « le mérite, ou le talent d’un homme, le prestige ou le rayonnement appellent des ménagements particuliers », ceux qui espèrent qu’après ce « couac » fiscal, les socialistes cessent, au moins momentanément, leurs folles augmentations d’impôts, ceux qui suivent encore le bon sens populaire et se disent qu’en tout état de cause, il vaudrait mieux retenir pour leur propre confort un richissime Gérard Depardieu que laisser entrer en France des dizaines de milliers d’Affamés du Tiers-Monde supplémentaires chaque année… et il y a les 2,8 millions de personnes au chômage(2) qui, de toute façon, ne voient pas ce que le départ de Gérard Depardieu va changer à leur sort…
Mais « l’affaire Depardieu » semble désormais ouvrir une nouvelle boîte de pandore, au-delà des basses considérations fiscales, puisque Brigitte Bardot menace à son tour de demander la nationalité russe à Wladimir Poutine dans l’espoir de sauver deux éléphantes du cirque Pinder risquant d’être euthanasiées.
Et Brigitte Bardot, qu’on l’apprécie ou non, n’est pas n’importe qui : icône par excellence du cinéma français, star mondiale, égérie et muse des plus grands artistes de l’époque, emblème de l’émancipation des femmes et de la liberté sexuelle, grande prêtresse mondiale de la défense des animaux… elle fut aussi la représentation de la « Marianne » qui orna un temps les Mairies françaises… et c’est elle aussi qui fit reconnaître à Charles De Gaulle, en 1968, qu’elle rapportait autant de devises que Renault à la France.
Non, ce n’est pas rien et surtout quand elle déclare à propos du président russe : « Je lui trouve beaucoup d’humanité. À chaque fois que je lui demande quelque chose, en principe, il me l’accorde. Il a fait plus pour la protection animale que tous nos présidents successifs. »
La France, il est vrai, est davantage connue pour faire plus pour la protection des clandestins que pour la cause animale…
Brigitte Bardot fait du chantage, certes, incontestablement… et pourquoi pas !
Le changement, c’est pour quand, au fait ?
Notes
(1) www.bvoltaire.fr.
(2) http://www.insee.fr « Pour la France métropolitaine, avec 2,8 millions de personnes au chômage, le taux de chômage s’élève à 9,9 %. Il est en hausse de 0,1 point par rapport au deuxième trimestre 2012 révisé, après une progression de 0,2 point par rapport au trimestre précédent.
Plus généralement en France métropolitaine, 3,6 millions de personnes ne travaillent pas mais souhaitent travailler, qu’elles soient ou non disponibles dans les deux semaines pour travailler et qu’elles recherchent ou non un emploi… »
20:44 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ancien OAS, les socialistes lui retirent sa Légion d'Honneur !
Les socialistes et leurs vassaux auront un jour des comptes à rendre ! Et ils le savent. C'est pourquoi "les chacals craignent pour leur peau..."
C'est à cet "homme" qu'il devrait être interdit d'arborer la Légion d'Honneur !
* Marc Noé a été président de la section UNP-Essonne qu'il avait faite baptiser "Section Colonel Jeanpierre - 1er REP" avec Pierre Sergent pour parrain.
13:26 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 13 janvier, TOUS à Paris (13 h, Place Pinel - Métro Nationale) :
12:58 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Flandre : le cordon sanitaire brisé au plus bas niveau de pouvoir...
Lionel Baland
Son blog cliquez ici
Le cordon sanitaire est une mesure antidémocratique qui vise le Vlaams Belang et traite ce parti comme une formation politique véhiculant des idées inacceptables. Cette mesure consiste à voir les partis du système politique en place refuser toute alliance avec le Vlaams Belang à quelque niveau de pouvoir que ce soit. Instauré il y a une vingtaine d’années, le cordon sanitaire a tenu le coup durant cette période, mais vient d’être brisé lors de la mise en place des nouveaux conseils municipaux, issus des élections d’octobre 2012, en Flandre ce 2 janvier 2013.
Au sein d’une municipalité, les membres du Conseil municipal élisent au vote secret les membres du conseil du CPAS (Centre public d’aide sociale). Lorsqu’une zone de police s’étend sur plusieurs communes, un conseil de police est constitué. C’est dans le cadre de l’élection des conseils du CPAS et des conseils de police que le cordon sanitaire a été brisé.
Lors des votes secrets, des accords peuvent être conclus entre plusieurs partis : A vote pour B lors de l’élection du Conseil du CPAS et B vote pour A lors de l’élection du Conseil de police. Ou au sein du Conseil CPAS, plusieurs partis se partagent dans le temps un des mandats.
Lanaken : le Parti social-chrétien CD&V, les nationaux-centristes de la N-VA et le Vlaans Belang ont décidé de se partager durant 6 ans (2 années chacun) un poste de conseiller CPAS. Alice Roemans siégera pour le Vlaams Belang à partir de 2015
Bilzen : Le Député national du Vlaams Belang Madame Annick Ponthier entre au Conseil de police grâce à l’appui des sociaux-chrétiens du CD&V.
Heusden-Zolder : le Parti libéral VLD est accusé d’avoir offert 3 voix au Vlaams Belang, ce qui permet à un membre du Vlaams Belang de siéger au Conseil du CPAS.
Le Vlaams Belang siège désormais, grâce au soutien d'élus d'autres partis, au sein de conseils de police à Eeklo, Liedekerke, Westerlo, Zandhoven, Buggenhout, Lebbeke.
Un incident a eu lieu à Courtrai (Kortrijk) : Maarten Seynaeve du Vlaams Belang a obtenu 17 voix lors de son élection au sein du Conseil de police alors que son parti ne dispose que de 16 voix.
Dans la partie francophone de la Belgique, le cordon sanitaire est étendu aux médias (ce qui n'est pas le cas en Flandre), qui refusent de donner la parole aux patriotes et souvent les insultent ou manipulent les infromations les concernant. L'annulation d'un débat électoral sur la télévision de service public francophone RTBF en 2010 au nom du « cordon sanitaire » a été condamnée par l'association Reporters sans frontières.
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2013 : gare au délit de bonne gueule !
Eric Miné
Boulevard Voltaire cliquez ici
Dès le 1er janvier, dans le poste et au vingt heures de France 2, nous étions fixés. De notre sémillant David Pujadas, le message était limpidement viril : point de quartier, cette année, pour la délinquance !
Après le vivifiant rappel du courage politique consistant à oser publier le chiffre des voitures brûlées en cette Saint-Sylvestre, l’annonce corrélative du score officiel ainsi sacralisé et celle, plus modeste, du nombre des interpellations subséquentes, reportage était lancé sur la prévention des incivilités et délits sur ce qui tient lieu de « plus belle avenue du monde » dans toute rédaction qui se respecte et, concomitamment en période de cotillons, de référence obligée pour les méfaits en tout genre.
Et là, que pertinemment bien choisi, bel et instructif exemple nous fut donné !
Un brave couple français très ordinaire rapportant comment un zélé pandore s’était emparé de leur bouteille de champagne imprudemment pétillante pour la précipiter dans la poubelle la plus proche. Motif du martial assaut : consommation d’alcool prohibée sur la voie publique. Eh oui, oyez bonnes gens, la loi est la loi, et, nonobstant la mine contrite de nos modestes fêtards douchés par cette ferme tolérance zéro, elle s’applique à tous. Circulez, y a rien à voir, la France hollandaise est impitoyable pour les fauteurs de troubles !
Gageons donc que dans toutes les « cités », plus une canette de bière ne moussait alors dans l’espace collectif, plus une boutanche de vodka n’y était sifflée impudemment par sa candide jeunesse – d’autant qu’il fallait bien en garder pour la tradition festive des cocktails Molotov –, qu’en un mot, la vertueuse maréchaussée de monsieur Hollande-président aura assuré un paisible réveillon à tout un chacun ayant écouté d’une oreille attentive les vœux apaisants du susdit.
Mais au JT, ce n’était pas le sujet du soir.
Car il ne faudrait quand même pas confondre la société – pour laquelle le maintien de l’ordre coule de source – avec ses « victimes ». Pour celles-ci, repentance, assistance et privilèges sont les trois mamelles de notre république. Pour ces brimés de naissance qu’une démarche par trop exotique condamnerait à perpète au délit de sale gueule, d’infractions que nenni, seulement de vibrants appels au secours. Il n’est que d’écouter la litanie des spécialistes qui s’égrènent sur le même JT pour s’en persuader.
Alors, les réglementations et contraintes de tout acabit dont notre bonne gueule est tous les jours davantage accablée ne les concernent ni peu ni prou. Qui peut croire sans rire que, dans ces fameuses cités où s’échangent ouvertement shit et kalachnikovs dans les halls d’immeubles, l’interdiction de fumer, pour ne prendre que celle-ci, est respectée ?
Et qu’adviendra-t-il en cette année de bonnes résolutions policières où, à Paris, l’abandon de détritus sur la voie publique sera durement sanctionné ? Pour sûr, au marché de Château-rouge, entre les capots des voitures servant d’étals aux fringues colorées et les cartons recyclés en tapis de bonneteau, on doit trembler. Et si l’on s’en tient à la station de métro afférente, croit-on un seul instant qu’on y arrêtera soudainement la cohorte quotidienne des fraudeurs qui s’y engouffrent impunément ? Le gyrophare qui égaye quelques degrés plus haut le coin du boulevard Barbès rappelle pourtant que l’endroit est classé « zone de sécurité prioritaire ».
Mais qu’en sera-t-il de la petite mémé qui oubliera de ramasser la crotte de son caniche sur le trottoir du 7e arrondissement, ou du naïf touriste qui, ses achats en bandoulière, aura omis de conserver sur lui son ticket et qu’un contrôleur tout aussi zélé que notre pandore des Champs aura repéré comme client solvable à la station Louvre ?
Si, en ces temps de vaches maigres hollandaises, le délit de sale gueule ne fait plus recette, celui de bonne gueule offre assurément de plus riches perspectives.
12:20 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 04 janvier 2013
Le Parti de la France sera à la manifestation contre le mariage homo le 13 janvier
Un communiqué du Parti de la France :
Le gouvernement socialiste s’apprête à présenter un projet de loi qui dénature le mariage, détourne l’adoption et détruit l’institution du mariage conforme à l’ordre naturel.
En permettant l’adoption d’enfants par les couples homosexuels, il ouvre la voie à la double peine infligée aux orphelins en quête d’une nouvelle famille. Déjà privés de leurs parents naturels, les orphelins se verront de surcroît privés de la possibilité de se reconstruire avec un père et une mère d’adoption.
Cette loi infâme ouvre aussi la voie à la généralisation de la procréation médicalement assistée pour les femmes homosexuelles et au commerce des utérus reproductifs pour les hommes homosexuels. Le soit disant « droit » des homosexuels à avoir des enfants aboutit de fait au commerce et au trafic des ventres et des orphelins. La location des ventres féminins fera donc bientôt partie des valeurs de leur République.
Ce projet révoltant suscite à travers toute la France une naturelle et légitime révolte populaire et pacifique qui se concrétisera à nouveau le 13 janvier prochain à Paris.
Le Parti de la France appelle tous nos compatriotes à descendre massivement dans la rue afin de défendre l’institution naturelle de la famille célébrant l’union d’un homme et d’une femme ainsi que les droits de l’enfant à avoir un père et une mère.
Le Parti de la France appelle ses militants et sympathisants à se retrouver le dimanche 13 janvier à partir de 13 heures, Place Pinel à Paris 13e (métro Nationale) et à participer aux côtés de l’Institut Civitas à la mobilisation générale. Il invite tous les militants de la cause nationale à s’associer à ce salutaire élan de résistance populaire sans tenir compte des mots d’ordre de celles et de ceux qui désertent ce combat essentiel.
Tous à Paris le 13 janvier prochain !
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Hervé Van Laethem et le mouvement belge Nation soutiennent la grande manifestation anti impérialiste et anti mondialiste du samedi 2 féfrier à Paris :
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