mardi, 20 novembre 2012
Hénin-Beaumont : le baiser de l'hôtel de ville a fait flop !
Il y a parfois des nouvelles à vous laisser pantois : il existe des "jeunes écologistes du Bassin Minier du Pas de Calais" ! Qui plus est, ils organisent des manifestations de masse sur la voie publique ! Ainsi pour affirmer leur solidarité avec les lesb/gay/bi/trans - fort scandaleusement exclus du mariage qui devrait être accessible à tous - ils ont suivi leurs consignes nationales et organisé samedi dernier un kiss-in géant sur les marches du perron de l'Hôtel de Ville de ma bonne ville d'Hénin-Beaumont...c'est à dire en singeant en groupe le traditionnel baiser des mariés pour la photo-souvenir. Mais un baiser sans exclusion, entre elle et lui mais aussi et surtout entre elle et elle et lui et lui !
Ils avaient donc rappelé le ban et l'arrière-ban de leurs militants cht'is et ainsi réunis 8 (huit) protagonistes (quand même) pour célébrer la chose devant MM.Eugène Binaisse (maire), Philippe Kemel (député) - tous deux du PS - et un journaliste local... mais d'héninois tremblant d'émotion devant la beauté du geste point. Four et flop ! Cruelle indifférence sans doute reflet d'une sourde hostilité à la fricassée de museau invertie !
Le journal local n'a curieusement publié que le baiser hétéro...à la différence de son homologue lillois qui avait tenu à immortaliser la soupe de langue lesbo-pédérastique. Il est vrai que dans les grandes métropoles on est plus évolué... ou plus décadent. Au choix !
13:11 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : avez-vous pensé à vous abonner à la revue Synthèse nationale ?
Sommaire :
● Editorial de ROLAND HÉLIE La piteuse attitude d’un maire tombé en dhimmitude…
● PIETER KERSTENS Ensemble contre le nouveau totalitarisme…
● ARNAUD RAFFARD DE BRIENNE Jean-François Copé découvre le « racisme anti-blanc »
● LUC PÉCHARMAN Vive la Reine !
● GEORGES DILLINGER Le dilemme de Cassandre
● PHILIPPE RANDA Et mes CRS, tu les aimes mes SS ?
● ROGER HOLEINDRE Devoir de vacances…
● MARTIAL BILD La France effondrée…
● BERNARD BRES L’Esclavage moderne
● PATRICK PARMENT Croissance : la fin d’une illusion…
● MARC ROUSSET Les délires droit-de-l’hommistes de BHL en Libye et en Syrie !
● LIONEL BALAND Le livre La nouvelle colonisation de Filip Dewinter
● JEAN-CLAUDE ROLINAT Images de Buenos Aires et mémoire d’Évita
● JEAN-PAUL CHAYRIGUES DE OLMETTA Les pages du Marquis…
● FRANCIS BERGERON Le « scandale » Richard Millet
Et bien d’autres rubriques…
130 pages, 12 €
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1 an (6 numéros) : 50 €, soutien 100 €
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13:05 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Faire face à la répression avec sérénité...
Un communiqué de l’OEuvre française :
Le dix-neuf novembre 2012, à 9h00, comparaissait devant la 29e chambre du Tribunal de Grande Instance de Paris, Yvan Benedetti, président de l’Œuvre française, pour y répondre, à la suite de son interpellation, le 29 septembre dernier, le jour de la manifestation sur le thème « Maîtres chez nous » à l’appel des Jeunesses Nationalistes, des chefs de poursuites suivants : rébellion, participation à une manifestation interdite.
Le Parquet ayant commis l’erreur de désigner, pour juger Yvan Benedetti, une chambre composée d’un seul magistrat, c’est-à-dire une juridiction incompétente pour les délits visés, le procès a été reporté au jeudi 28 mars 2012 à 13h30.
L’acharnement judiciaire à l’encontre des vrais patriotes français connaît un point d’orgue puisque, au même moment, Alexandre Gabriac, président des Jeunesses Nationalistes, subit de nouveau les affres de la garde à vue, pour avoir déployé sur le toit d’un immeuble lyonnais une banderole « Adoption, mariage ? Pas question ! », à l’occasion d’une manifestation nationale contre le mariage homosexuel. La procédure diligentée, de façon abusive, pour attroupement armé à l’encontre d’Alexandre Gabriac et huit de ses amis, en possession seulement de fumigènes et prétendument de casques de chantier, traduit bien la nature arbitraire de la répression mise en œuvre par le système et l’extrême nervosité de celui-ci face au réveil de notre nation.
Au terme de 48 heures de garde à vue, en dépit de tous ses efforts qui confinent à la persécution, le Procureur de la République n’a pu réunir assez d’éléments pour traduire notre jeune ami devant quelque juridiction que ce fût ou même faire ouvrir une information judiciaire à son encontre. Ce magistrat très zélé a donc été obligé de rendre à Gabriac ce bien précieux dont il semble faire si peu de cas à notre égard : la liberté ! Il nous reste à attendre, résolus à faire face et sereins, les suites qui pourraient être données à ces dérives judiciaires dignes d’une tyrannie.
12:07 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Revue de presse : Femen : j’ai le bûcher qui me démange
Denis Cheyrouze
Boulevard Voltaire cliquez ici
Les sorcières de 2012 ont beaucoup de chance par rapport à leurs consœurs d’il y a un millier d’années : au pire, elles se prennent quelques baffes. Et en matière de baffes, les possédées hystériques qui sont venues se confronter à la manif de Civitas de dimanche n’ont pas encore reçu le quota qui leur revient.
Dans la vidéo ci-dessous que s’est procurée Boulevard Voltaire, le déroulement des faits est limpide.
Étape 1 : des jeunes femmes — équipées d’un couvre-chef de nonne — font irruption au milieu de la manifestation, en hurlant des slogans débiles en anglais dont l’extraordinaire « In Gay we trust ». Aucune réaction des familles catholiques, probablement pas très aguerries aux subtilités américano-philosophiques dudit slogan.
Étape 2 : déçues de ne pas avoir déclenché la sainte ire des familles, les névrotiques nues passent à l’attaque physique, en aspergeant la foule de poudre blanche sortant d’extincteurs marqués « sperm ». Là, évidemment, même les moins anglophones des membres de Civitas auront compris.
Étape 3 : quelques mâles du cortège tentent de protéger enfants et familles en repoussant les assaillantes. Bref, ils font leur devoir, ce qui n’est plus vraiment à la mode.
Évidemment, les flashes crépitent, la presse étant comme par hasard rassemblée exactement à l’endroit de l’intervention.
A la guerre comme à la guerre...
Sur leur site web, les Femen posent en guerrières. Leur slogan est clair : « Sextremism », accompagné du mot « War » — la guerre.
Or, petites choses pleurnichardes, lorsqu’on prétend aller à la guerre et qu’on s’étiquette soi-même extrémiste, il ne faut pas s’étonner de recevoir — au minimum — quelques gifles bien senties. Vous l’avez peut-être oublié, mais lorsqu’on va à la guerre, la vraie — comme vous le préconisez et l’affichez sur votre site — on risque une balle dans la tête, pas des torgnoles. Considérez-vous donc comme diablement chanceuses.
« …comme on peut imaginer les militants d’extrême droite tabasser des Arabes et des Noirs… »
Le plus amusant dans tout ça, c’est évidemment Caroline Fourest. Dans les interviews (1) qu’elle donne depuis dimanche soir, elle réussit à expliquer : "On m’a tirée par les cheveux, tabassée, comme on peut imaginer les militants d’extrême droite tabasser des Arabes et des Noirs ou des femmes".
Ce faisant, la Fourest choisit bien son verbe : imaginer.
Car, petite madame, le peuple de France qui vous lit — ou vous ignore, pardonnez-le — a les yeux grands ouverts. Et lorsqu’il « imagine » en France des personnes en tabasser d’autres, il tend à inverser vos sujets et vos compléments.
Vous devriez prendre plus souvent le RER, petite madame.
(1) Le Figaro cliquez là
11:37 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
20 novembre 1936 - 20 novembre 2012 : Jose-Antonio Primo de Rivera...
José Antonio Primo de Rivera y Saénz de Heredia est né à Madrid le 24 avril 1903, mais ses racines familiales sont en Andalousie, plus précisément dans les terres de Jerez de la Frontera (Province de Cádiz). Il est l’aîné de cinq enfants qui, très tôt, perdront leur mère en 1908. Bien que sa famille soit de tradition militaire, il choisit la profession d’avocat après avoir étudié le droit à l’Université Centrale de Madrid, où il obtient sa licence en 1922.
Fils du général Miguel Primo de Rivera, dictateur qui gouverne l’Espagne de 1923 à 1930, il demeure résolument à l’écart de toute activité politique jusqu’au décès de son père. Celui-ci meurt en exil, à Paris, quelques semaines après avoir renoncé à sa charge. José Antonio hérite de lui le titre de marquis d’Estella. Dans le seul but de défendre la mémoire de son père, durement attaquée par ses adversaires après sa mort, il adhère à l’Union Monarchique Nationale, une organisation politique dont la vie est éphémère. Le respect filial conduit José Antonio à présenter sa candidature aux Cortés, à Madrid en 1931. Après avoir subi un échec, ses interventions publiques, pour revendiquer l’action de son père, se limitent à des plaidoiries dans une série de procès. En 1932, il est soupçonné d’avoir collaboré au soulèvement du général Sanjurjo. Arrêté, il est finalement relâché faute d’éléments à charge.
Son rejet des vieilles formules politiciennes l’amène à s’intéresser au phénomène fasciste. Il participe, en 1933, au seul numéro du journal El Fascio. Il y publie un article préconisant un nouveau modèle d’État social. Peu de temps après, avec le prestigieux aviateur Julio Ruiz de Alda, il fonde le Mouvement Espagnol Syndicaliste (MES). Son organisation entre immédiatement en contact avec plusieurs membres du Front Espagnol (FE), groupement qui a été créé par des disciples du philosophe José Ortega y Gasset. Le projet politique de José Antonio mûrit peu à peu au cours des mois suivants. Il est finalement présenté au public à l’occasion d’un meeting au Théâtre de la Comédie, à Madrid, le 29 octobre 1933. Quelques jours plus tard, le nouveau mouvement est enregistré sous le nom de Phalange Espagnole (FE).C’est le début d’une activité politique intense pendant laquelle José Antonio mène de front la consolidation du mouvement et la charge de député. Candidat indépendant aux élections de 1933, il obtient en effet un siège dans la circonscription de Cadiz. En février 1934, FE fusionne avec les Juntas de Ofensiva Nacional-Sindicalista (JONS) et devient FE de las JONS. L’organisation est alors dirigée par un Comité Directeur, qui prend la forme d’un triumvirat constitué par José Antonio Primo de Rivera, Ramiro Ledesma et Julio Ruiz de Alda ; ce dernier étant également le président. Mais la renommée attachée au nom de Primo de Rivera, la qualité de député et la personnalité hors du commun de José Antonio font immédiatement de lui le principal représentant de FE de las JONS dont il devient chef national en octobre 1934.
À mesure que le mouvement se développe, les rangs de la Phalange se libèrent de l’emprise des illustres personnalités monarchiques qui au début altèrent le projet politique de José Antonio. Mais c’est la défection de Ramiro Ledesma qui marque le point d’inflexion le plus important dans l’évolution politique de la pensée josé-antonienne. Celle-ci s’éloigne désormais tous les jours davantage du corporatisme fasciste.
Depuis son siège aux Cortés, José Antonio dénonce les véritables causes de la Révolution d’Octobre 1934, analyse le problème du sentimentalisme catalan, s’oppose à la contre-réforme agraire projetée par les conservateurs et critique durement la corruption des politiciens radicaux. Sa proposition de Front National, pour faire face au danger marxiste qui se profile en Espagne, reste sans écho parmi les partis de droite. Les candidats phalangistes sont alors conduits à se présenter seuls aux élections de février 1936 et n’obtiennent aucun siège.
José Antonio est arrêté, en même temps que la majeure partie du Comité Politique de la FE de las JONS, le 14 mars 1936, pour constitution et appartenance à « association illégale ». Cette accusation est finalement écartée par les tribunaux, mais José Antonio n’en reste pas moins incarcéré sur ordre des autorités gouvernementales du Front Populaire. Il ne recouvrera plus jamais la liberté. Alors que ses camarades sont poursuivis - emprisonnés ou assassinés -, il doit affronter plusieurs procès judiciaires. Le 5 juin 1936, José Antonio est transféré à la prison d’Alicante, lieu où il se trouve lors du soulèvement du 18 juillet. Désireux de mettre fin à la tragédie de la guerre civile, il offre sa médiation dans l’espoir de constituer un gouvernement de concentration nationale. Mais le Gouvernement républicain ne retient pas sa proposition. Jugé pour rébellion, il est condamné à mort et fusillé le matin du 20 novembre 1936. Quelques heures avant de mourir, il écrit dans son testament : « Dieu veuille que mon sang soit le dernier sang espagnol versé dans des discordes civiles ».
Dès la fin de la guerre, son corps est transféré au Monastère de Saint-Laurent de l’Escurial. Il y restera jusqu’au 30 mars 1959, date à laquelle il recevra une sépulture définitive devant l’autel majeur de la basilique de la Sainte Croix de la Vallée des Morts au Combat, après avoir été porté à dos d’hommes par des camarades qui souvent n’ont pas eu l’opportunité de le connaître de son vivant. Sur la simple pierre tombale de granit qui le recouvre figure le nom avec lequel il est entré dans l’Histoire : José Antonio.
Source Fondation Jose-Antonio cliquez ici
Un autre 20 novembre :
C'est aussi un 20 novembre, le 20 novembre 1975, que disparaissait à Madrid le Général Francisco Franco Bahamonde, chef de l'Etat espagnol, qui, durant 40 ans, fit de l'Espagne une nation forte et prospère. Il aura fallu aussi à peine 40 ans à la démocratie parlementaire instaurée après sa mort pour la mener à la ruine...
01:15 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 19 novembre 2012
La haine et le mépris antifrançais d'Houria Bouteldja impunis...
Un communiqué de Bernard Antony, Président de l'AGRIF :
Rejetant la plainte en appel de l‘AGRIF et ne suivant les sévères réquisitions du Parquet, la Cour d’Appel de Toulouse, présidée par le juge Bastié, a prononcé la relaxe d’Houria Bouteldja, acceptant de la croire quand elle affirme n’avoir pas traité de « sous-chiens » « ces blancs qu’il faut bien nommer » et qu’il faut « éduquer », mais de souchiens.
L’islamo-gauchiste Houria Bouteldja, et son PIR (« parti des indigènes de la république » !) et son idéologue Saïd Bouamama, l’auteur du livre « Nique la France » ont de quoi être satisfaits. Et avec eux, ils ont de quoi hurler leur joie, ceux de leur bande qui les accompagnaient, comme les rappeurs de la haine, devant le tribunal de Toulouse et éructaient « On nique la France ».
Houria Bouteldja pourra allègrement continuer à exalter la victoire sur notre armée du Viet-minh communiste à Dien-Bien-Phu. Et les fils et petits-fils rescapés de cette tragédie où moururent au combat ou dans les camps d’extermination tels que le camp 113 du tortionnaire Boudarel, ces enfants des soldats de la boue, d’origine métropolitaine, indochinoise ou africaine, doivent se persuader – lavage de cerveau oblige ! – qu’ils sont des « enfants de salauds ».
Président de l’AGRIF, j’exprime, la rage au cœur, ma grande tristesse devant l’impunité accordée au racisme d’Houria Bouteldja à Toulouse, la ville hélas de Mohamed Merah. Cet arrêt de la Cour d’Appel de Toulouse est un dur revers pour ceux qui veulent épargner à leur peuple la montée du racisme et des terribles épreuves de guerre civile et peut-être sa réduction finale dans une soumission honteuse.
20:48 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Varsovie, 11 novembre 2012, 100 000 patriotes dans les rues pour défendre la Pologne polonaise :
19:50 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
A l'attention des adeptes de la repentance :
19:37 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Qui finance les Femen qui montrent leurs seins pour du pain ?
Source : La voix de la Russie
La journaliste d’une chaîne de télévision ayant infiltré l’organisation féministe ukrainienne a découvert des détails intéressants concernant le fonctionnement de l’organisation. Sa conclusion : les militantes ont pour objectif de se faire de la publicité et sont financées par des représentants des milieux d'affaires européens et américains.
Pour comprendre le fonctionnement de l’association FEMEN, une jeune journaliste de la télévision ukrainienne a intégré l’organisation et a participé à ses actions « seins nus » en filmant ce qui se produisait avec une caméra cachée. Elle a suivi pendant plusieurs semaines une initiation professionnelle à l’art de la scène et aux relations publiques, apprenant à se comporter agressivement pour attirer l’attention des journalistes et se présenter comme une victime innocente. Le plus important – c’est d'être à l’aise en montrant ses seins au public lors des manifestations.
Diaporama : Les membres de l’organisation FEMEN sont descendues dans les rues de Paris
La nouvelle recrue de FEMEN a fait ses débuts lors de l’action à Paris, où l’association a ouvert récemment un bureau. Les filles de FEMEN sont venues à Paris pour manifester devant le Centre culturel islamique de la capitale française. Selon la journaliste, elle ressentait littéralement sur sa peau les regards chargés de colère des gens, dont les sentiments religieux ont été délibérément offensés.
« L'action se déroule près du Centre culturel islamique et nous sentons que la foule est prête à nous déchirer en morceaux. Seuls les appareils photo de mes confrères nous ont sauvés du lynchage », a-t-elle dit après la manifestation.
Le voyage à Paris était offert à la journaliste par l’organisation FEMEN. Le billet d'avion, la chambre d'hôtel, les voyages en taxi et la nourriture coûtaient un millier d’euros par jour pour chacune des participantes, sans compter les frais de costumes, les services des maquilleurs et des stylistes.
La journaliste a également découvert que les activistes de FEMEN sont payées pas moins de 1 000 dollars par mois, le triple du salaire moyen en Ukraine. En outre, le loyer que l’association verse pour son bureau de Kiev s’élève à 2500 dollars par mois, alors que le loyer mensuel du bureau parisien se monte à plusieurs milliers d’euros.
Malheureusement la nouvelle activiste n’a pas pu découvrir qui sponsorise le mouvement, ni découvrir la personne qui appelle les militantes à mener telle ou telle action de protestation. La journaliste suppose qu’il s’agit certainement de personnes qui apparaissent souvent aux côtés des militantes du mouvement. Il s'agirait notamment du milliardaire allemand Helmut Geier, de la femme d’affaires allemande Beat Schober, et de l’homme d'affaires américain Jed Sunden.
Wikipédia soutient également la version selon laquelle ce dernier financerait les actions de FEMEN.
Via Hervé Ryssen cliquez là
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Chronique de la France asservie et résistante...
Robert Spieler
RIVAROL N° 3069 du 16/11/2012
APRÈS la polémique sur « Un bon juif » sur internet, laissant, paraît-il, les pires dérives s’exprimer, voici « Un bon antisémite » qui tient la corde : avec des centaines de commentaires supposés être plus drôles les uns que les autres. Dieu merci, Hollande et Netanyahu, Premier ministre d’Israël, étaient là, récemment à Toulouse, pour clarifier les choses. François Hollande en a profité pour reconnaître que l’antisémitisme existait en France, ce que nous ignorions, et a assuré sa détermination à « pourchasser, poursuivre, éradiquer ce fléau. » La présidente en Midi-Pyrénées du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), Nicole Yardeni, a eu des propos forts, saluant « un message d’unité contre cette menace qui pèse sur toute l’humanité. » Toute l’humanité, faut quand même pas exagérer… Elle a déclaré : « Le pire cauchemar, pour un Juif, c’est qu’il n’y ait plus Israël pour l’accueillir. » Mais combien de Juifs français veulent-ils s’installer en Israël ? En attendant, le Grand rabbin de France, Gilles Bernheim, a rappelé la promesse du président de la République d’assurer la sécurité de la communauté juive de France en la déclarant « cause nationale ». « Cause nationale »… Les petits blancs des banlieues, qui subissent les agressions des allogènes aimeraient eux aussi être une « cause nationale ». Passons…
ÇA NE FINIRA JAMAIS…
Le Grand rabbin, disert en diable, appelle les autorités religieuses musulmanes à « s’ouvrir à la communauté juive et à rejeter les courants fanatiques. » Y croit-il ou se moque-t-il du monde ? On ne sait pas… Mais lisez quelques extraits de l’éditorial de Xavier Panon, à propos de la cérémonie souvenir de Toulouse, parus dans le journal L’Yonne. C’est vraiment trop émouvant : « Une émotion rare. Des gestes libérés du protocole. Des discours forts. Il reviendra comme toujours aux historiens d’en saisir le sens profond et d’en mesurer l’importance avec le recul nécessaire ». Ce n’est absolument pas fini, car chez ces gens-là, ça ne finit jamais : « Il saute aux yeux que la cérémonie de Toulouse en hommage aux victimes de Mohamed Merah marquera une page singulière de la relation souvent tumultueuse entre la France et Israël (Mais où est-il allé chercher cela ?) ». Et le journaliste de conclure, des trémolos dans son stylo : « Et peut-être aussi entre la France et les Juifs de France ». Mais ce n’est toujours pas fini… Accrochez-vous. Le Président de l’Assemblée nationale recevait lors d’une brillante soirée à l’Hôtel de Lassay, pour son premier dîner de gala, le « Projet Aladin ». L’objet de cette jeune institution qui œuvre en partenariat étroit avec la Fondation pour la Mémoire de la Shoah ? Un dialogue entre Juifs et Musulmans, afin de mener ensemble le combat contre le négationnisme, l’islamophobie et toutes les formes de racisme et de discrimination. Trop fort… Ils osent tout, et c’est à ça qu’on les reconnaît.
UN NOUVEL ATTENTAT ANTISÉMITE “LA VICTIME ÉTAIT DE DOS”
Quelques semaines après l’agression d’une boutique casher dans la ville de Sarcelles (95), un homme de confession juive a été agressé, il y a dix jours, par sept inconnus alors qu’il se rendait à la synagogue. Selon le site du Crif, les “inconnus”, on ne saura pas qui sont ces « inconnus », ont « lancé des œufs sur son manteau avant de lui porter un coup au niveau des jambes, alors que la victime était de dos ». « La victime était de dos » : voici une précision d’une extrême importance qui méritait d’être portée à la connaissance des lecteurs de RIVAROL.
ROSELYNE BACHELOT, C’EST LA CASTAFIORE
Roselyne Bachelot, ancienne ministre et désormais animatrice de l’émission archinulle, tendance hystérique et piapiateuse de D8, qu’elle présente aux côtés de Laurence Ferrari, raconte sa passion pour l’opéra. Elle adore, ce qui est tout à fait à son honneur, cette phrase de Nietzsche, qu’elle cite : « La vie sans musique est une erreur. » Elle se souvient avec fierté d’avoir su jouer J’ai du bon tabac à l’âge de 4 ans. Amusant pour la future ministre de la Santé… Elle explique qu’elle a toujours rêvé être Maria Callas, « la plus grande, le fantasme absolu » (qu’Hergé avait représentée, dans Tintin, sous les traits de la Castafiore). Et elle conclut par ces puissants propos : « En écoutant “La Walkyrie”, je me sens “moi” ». Houlà ! Attention, terrain glissant ! Adolf Hitler aimait aussi Wagner… Mais Roselyne Bachelot se rattrape, en précisant : « Mais je vous rassure, j’aime aussi écouter Brel et Amy Winehouse. Je ne suis pas une intégriste. » Nous voici soulagés… Gott sei dank (Dieu merci). Patrick Balkany, le maire de Levallois ; s’autorise quant à lui ce petit commentaire légèrement misogyne : « Bachelot n’est pas à son avantage dans des robes qui la boudinent. Pour le reste », dit-il « c’est du babillage de petites snobinardes. Son émission n’a aucun intérêt. » Celle qui disait « J’ai l’air d’une pute », perchée sur de hauts talons, alors qu’elle choisissait son déguisement dans la perspective de l’émission appréciera le compliment de Balkany à sa juste valeur…
LES LE PEN, SANS PITIÉ POUR LE BLOC IDENTITAIRE
Le Bloc Identitaire, qui a pourtant tenté de multiples entreprises de séduction en direction du FN mariniste est Grosjean comme devant. Pour Marine Le Pen, le Bloc « est un parti d’agit-prop. » Elle s’autorise cette considération d’une haute humanité : « Je ne crois pas qu’ils désirent la violence, mais s’ils la désiraient, ils me trouveraient sur leur route pour les en empêcher. » En voici de fortes paroles ! Marine Le Pen défend une démocratie au demeurant nullement menacée par le Bloc Identitaire. Si le Bloc était fasciste, ça se saurait… Les sites ultra-sionistes disent le plus grand bien de ses actions. Alors ? Marine Le Pen enfonce cependant le clou : « Il n’y aura pas d’accord avec le Bloc Identitaire, nous avons trop de différences de fond. » Elle ajoute : « Si certains considèrent qu’ils sont plus proches de nos options, ils peuvent nous rejoindre. » Elle exclut évidemment toute double appartenance. Concrètement, elle dit que la condition sine qua non de l’adhésion de Philippe Vardon au FN est l’abandon de ses engagements à Nissa Rebela, dont il est président, et du Bloc Identitaire, qu’il dirige. Le vice-président du FN, Louis Aliot, fait mine de s’interroger gravement : « Philippe Vardon partage-t-il notre idéal national ? » Houlà, pas bon, voici de très, très lourds sous-entendus… Jean-Marie Le Pen, connu pour être un très grand humaniste, déclare, quant à lui : « Si M. Vardon a envie d’aller à Canossa et de nous rejoindre, pourquoi pas ? » Quelle cruauté ! Quel mépris abyssal ! Le pauvre Vardon avait pourtant déclaré, il y a quelques jours : « Je prendrai aussi sur moi d’aller taper aux portes, et même une seconde et même une troisième fois si on me les referme au nez, et même de les enfoncer ces portes s’il le faut, les portes de nos partenaires éventuels. » C’est vraiment trop mignon. Traduction : « Je suis prêt à me coucher, je me couche, je demande pardon, pardon pour je ne sais quoi, mais pardon quand même. Mea culpa, mea maxima culpa. J’ai tant péché, tant péché. Je ne suis qu’un misérable vermisseau qui va à résipiscence… » Allez, passons à autre chose…
MARCHÉ DE NOËL ? NON ! MARCHÉ D’HIVER !
Le marché de Noël d’Amiens est, ou plutôt était le plus grand de France, attirant plus d’un million de personnes. Il avait été rebaptisé « Parfums d’Hiver » en 2008. La raison poussive exprimée par la mairie ? C’était pour « se démarquer de tous les marchés de Noël qui foisonnent désormais dans nos villes et nos villages. » Désormais la mairie socialiste a trouvé une autre dénomination, d’une beauté fulgurante : « Marché d’hiver ». Sans commentaires...
ERSTEIN (ALSACE) : LE MAIRE N’AURA PAS SA BELLE MOSQUÉE
Le maire d’Erstein, Jean-Marc Willer, conseiller régional socialiste, est malheureux. Il n’aura pas sa belle mosquée. Et pourtant, il n’avait pas ménagé sa peine, ni lésiné sur les manœuvres dilatoires et les mesures autoritaires pour imposer aux habitants de ce quartier résidentiel l’installation d’une mosquée et d’un centre culturel turcs. Contre l’opinion quasi unanime de ses administrés, le maire a voulu passer en force et avait délivré en octobre 2010 un permis de construire des plus hasardeux. Mal lui en a pris. L’énergumène socialiste et islamophile n’avait respecté ni les règles des Etablissements recevant du public (ERP), ni le Plan d’occupation du sol. Du coup, la Cour administrative d’appel de Nancy vient d’annuler le permis de construire, arguant notamment d’un manque manifeste de places de parking. Mais qu’à cela ne tienne. Le maire a accordé un nouveau permis à l’association turque qui avait déposé la demande. Par quel tour de passe-passe les parkings qui se révélaient insuffisants pour le premier permis seraient-ils suffisants pour le second ? La réponse, comme le note Jacques Cordonnier sur le blog Alsace d’Abord, relève du gag. Les Turcs ont découvert, un peu tardivement, qu’il y aura en fait moins de fidèles qu’ils ne l’avaient déclaré deux ans plus tôt. Il apparaît en effet qu’un musulman qui prie à genoux occupe plus de place qu’un fidèle qui prie debout. On divise la superficie de la pièce par la surface d’un tapis de prière, et hop, le nombre de personnes fréquentant la mosquée diminue d’un coup. Et le tour est joué… Sauf que l’avocat des indigènes, Me Bonneau, a déposé un nouveau recours, et qu’il n’est absolument pas certain que les magistrats acceptent d’être pris pour des imbéciles. En attendant, le maire (qui ne le restera pas longtemps, rassurez-vous), avait fait voter une subvention de 65 000 euros en faveur de l’association turque et le Conseil général du Bas-Rhin (supposé être de droite) avait accordé une misérable aumône de 30 000 euros. Raus ! (Dehors !)
SALAUDS D’ENFANTS !
Le Dictionnaire numérique des écoliers, qui comprend 17.000 définitions écrites et illustrées par des enfants de la grande section de maternelle au CM2, avait été lancé en septembre 2010 par la Direction générale de l’enseignement scolaire, dans le cadre du plan national contre l’illettrisme. Ce site sera « provisoirement fermé » dans l’attente d’une « révision » et de la « relecture et réécriture » de certaines définitions. Il est vrai que les crétins cosmoplanétaires du ministère avaient de quoi être choqués, d’autant que la vérité sort de la bouche des enfants. Exemples : « Une femme est une maman, une mamie ou une jeune fille. Elle peut porter des bijoux, des jupes ou des robes. Elle a de la poitrine. » Ou encore : « Le père est le mari de la maman. Sans lui la maman ne pourrait pas avoir d’enfants. C’est le chef de famille parce qu’il protège ses enfants et sa femme. » Quant au mot “mère”, un épouvantable enfant provocateur n’a pas hésité à écrire : « Ma mère repasse les affaires de toute la famille. »
SOCIALISTE ET NATIONAL-SOCIALISTE
Nisrine Zaïbi, 24 ans, est vice-présidente du conseil régional de Bourgogne. Elle est, paraît-il, issue de la “diversité” et est brillamment intervenue au congrès du parti national-socialiste, pardon, du parti socialiste, à Toulouse. Quelques minutes après le début de son intervention, elle a exprimé sa joie de « pouvoir s’exprimer au congrès du parti national-socialiste ». La pauvrette a tenté de se rattraper en disant combien elle avait « pleuré en voyant arriver Jean-Marie Le Pen en finale en 2002. » Dans la foulée, sans doute émue aux larmes par l’impeccable agencement des cohortes de SA et de SS, elle a commis un second lapsus, évoquant « notre président de la République, François Patriat ». Mais qui est François Patriat ? Eh bien, il s’agit du président de la région Bourgogne, où elle siège. Remarquez qu’elle aurait pu évoquer « notre président de la République, Adolf Hitler. » Nul doute que les ovations eussent été interminables…
HOLLANDE EST RIGOLO
Hollande n’a pas manqué d’adresser un mot de félicitations à Obama pour sa réélection. Histoire de témoigner de son intense amitié pour le président réélu, il a écrit au stylo le mot “friendly” à côté de sa signature. Problème : “Friendly” ne signifie pas, en anglais “amicalement” mais, accolé à la signature de Hollande, « sympathique François Hollande ». Du moment qu’il se trouve lui-même sympathique, pourquoi pas, après tout… En attendant, ça ironise sec sur Internet.
LA ROTTWEILER MORD
La première concubine de France a attaqué le livre La Frondeuse, qui a révélé sa relation supposée avec l’ex-ministre UMP Patrick Devedjian. Le procès devrait se tenir le 10 décembre devant la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris. La concubine réclame 85 000 euros de dommages et intérêts aux deux auteurs, Alix Bouilhaguet et Christophe Jakubyszyn : 40 000 euros pour atteinte à la vie privée, 40 000 euros pour diffamation (à la place de Devedjian, je n’apprécierai que modérément), et 5 000 euros pour frais de justice. Valérie Trierweiler a déjà fait savoir qu’en cas de victoire, elle reverserait les sommes à des associations. Lesquelles ? On l’ignore. Peut-être à l’Association de concubines de France ? Madame est vraiment trop bonne…
16:10 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Caroline Fourest ira-t-elle coller des affiches pour Marine Le Pen ?
Comme chacun sait, Caroline Fourest est une journaliste consciencieuse... (on ne rigole pas). A tel point que lorsqu'elle vient faire un reportage sur une manifestation, comme elle prétend que c'est le cas (film ci-dessus), elle n'hésite pas à s'investir (sans doute navrée de l'ampleur sommes-toutes limitée, pour ne pas dire ridicule, de la contre-manif - une douzaine d'excitées exibitionnistes contre 20 000 manifestants...) dans ladite manifestation comme le prouve la photo ci-dessous.
Suggestion : la prochaine fois que Caroline Fourest écrira un livre sur Marine Le Pen, celle-ci aura qu'à lui demander d'aller coller des affiches du FN dans les quartiers sensibles... Histoire de rester "pro" jusqu'au bout comme elle prétend l'être...
14:37 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Australie : Il se marie à son chien et réclame le droit à la différence !
Il se marie à son chien devant témoins : les zoophiles réclament eux-aussi le droit à la différence et au mariage-zoophile.
« Un jeune résident de la ville de Toowoomba en Australie, vient officiellement de s’unir avec son compagnon à quatre pattes. Sûrement une première dans la ville aux jardins (surnom de la ville), l’union entre Joseph Guiso et son labrador Honey s’est déroulée au parc Laurel Bank.
Trente des plus proches amis du couple ainsi que la famille ont assisté à la cérémonie qui s’est tenue au crépuscule. C’est en tombant sur un mariage au parc Laurel Bank que le couple a décidé de s’unir dans ce lieu.
Le couple a d’ores et déjà planifié une lune de miel dans un des parcs de la ville… » (Dailymail cliquez ici)
Même si Honey n’a que 5 ans, on peut considérer qu’elle a atteint sa majorité sexuelle : c’est une chienne adulte malgré tout et consentent.
Même si le couple n’envisage pour le moment d’adopter des enfants (et/ou des chiots), on leur souhaite beaucoup de bonheur…
13:56 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Vendredi soir : Pinatel aux Ronchons...
13:56 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi, à Premesques dans le Nord, les opposants à l'implantation du camp Aubry destiné aux Roms sont passés à l'action...
Luc Pécharman intervenant au cours de la manifestation
Première action réussie pour le Collectif Mobilrom qui entend dénoncer et lutter contre l'implantation programmée de clans de romanichels dans les petites communes de la périphérie de la métropole lilloise où, rappelons le, il yaurait quelques 3 000 nomades en errance et en l'attente d'être pris en charge par les contribuables sédentaires. La politique de Martine Aubry et de ses comparses semble être de diluer ces tribus en répartissant les clans de ci de là au mépris de la tranquillité et de la sécurité des habitants qui d'ailleurs ne sont pas consultés par des édiles tétanisés par les menace de rupture des subventions ou hélas aussi parfois collabos de cette politique de submersion migratoire allogène.
Pourtant, un peu partout, gràce à des mouvements comme Opstaan ou la Vlaams Huis, le vent de la révolte se lève sur les terres de Flandre où nos compatriotes et congénères commencent à comprendre qu'ils ne doivent plus compter que sur eux-mêmes et sur leur propre détermination s'ils veulent que leurs enfants et leurs petits-enfants après eux continuent de vivre en paix chez eux. Comme le clamait Ulenspiegel, il vient maintenant pour les gueux le temps de se rassembler à l'appel de l'alouette qui est oiseau de liberté et à celui du coq claironnant de guerre. Le temps se couvre pour les politicards de tout poil !
Rassemblement Résistance Reconquête !
Y.D.
Lire Opstaan cliquez ici
13:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un beau dimanche à Paris : 20 000 manifestants contre l'homofolie...
Yves Darchicourt
...et une poignée de bachantes hallucinées, dépoitraillées, déchaînées, éructant des insanités à l'encontre des participants - et principalement envers les femmes et les enfants - avant d'être piteusement virées et d'être finalement arrêtées par les forces de l'ordre.
Le petit monde médiacratique est en émoi : il y avait une journaleuse parmi les drolesses en folie ! D'où les reportages partiaux voire mensongers, fort heureusement démentis par les images et les témoignages! Il y a bien eu provocation délibérée de la part d'une dizaine d'exhibitionnistes femelles en mal d'émotions fortes; elles en furent pour leur frais, les pauvres êtres ne figureront pas au martyrologue de la cause lesb/gay/bi/trans, elles n'ont sombré que dans le ridicule qui malheureusement ne tue plus depuis longtemps ! Ce qui n'empêche d'ailleurs pas les politicaillons sauce écolo-socialo-bobo d'hurler au scandale ambiance heures les plus sombres et de réclamer interdictions, dissolutions, condamnations à l'encontre des mouvements de citoyens qui entendent défendre la famille naturelle et l'institution du mariage comme union d'une homme et d'une femme et qui se refusent à admettre que de petits enfants puissent être légalement livrés à des paires de pédérastes ou de lesbiennes.
Le gouvernement éco-socialiste va t-il céder aux lobbies des invertis ? Mal lui en prendrait ! Une iniquité qui enfreindrait ainsi le simple bon sens, qui nierait les lois de la nature, qui s'attaquerait de front à la cellule familiale pour la détruire ne pourrait qu'inciter les citoyens à passer de la protestation pacifique à la révolte et à la guérilla résistante. Hollande devra choisir : satisfaire un lobby d'ambigus ou rompre la paix civile.
13:31 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
« Dans le cochon tout est bon, et chez le téléspectateur tout est C…N ? »
Le bloc-notes
de Jean-Claude Rolinat
Soirée téléfilm sur FR 3 le samedi 17 novembre. A l’affiche une histoire simplette qui vous permet de sommeiller béatement et de vous endormir sans somnifère sauf que, ….le scénario est « tendance », dans le vent du progrès universel et intergalactique.
Une jeune et belle femme d’origine marocaine, à la recherche d’un emploi, la jolie et très typée Saïda Jawad à l’écran, est présentée pour reprendre la charcuterie d’un village creusois en voie de désertification. Une musulmane dans une charcuterie ça fait désordre, sauf que la supercherie n’est pas découverte tout de suite car l’état civil s’est trompé sur le nom de la jeune fille, Sophia Eltrani devenant Sophia Beltrani, quoi de plus italien ! Pour donner le change la jeune femme, respectant ses croyances religieuses ne mettra aucun élément porcin dans ses produits mais va les corser d’épices jusqu’à emporter les gosiers des paroissiens du cru qui n’en croient pas leurs papilles ! La mère de l’épicier, lequel en pince pour la belle, ce qui n’est pas du tout du goût de la vieille femme, farcit sournoisement et secrètement toute cette viande hallal de….laxatifs ! « Kolossale » finesse….
Et patatras ce qui devait arriver arriva. Intoxication alimentaire généralisée des villageois qui portent plainte. Les analyses médicales confirment les faits. La belle, toute honte bue, pourtant innocente de l’empoisonnement, n’a plus qu’à se replier vers Pôle Emploi. Mais voilà, Pierre l’épicier, amoureux transi, va faire découvrir la méchante conspiration de sa mère, et Sophia va pouvoir revenir tête haute dans le bourg où curé et maire font la leçon à leurs ouailles et concitoyens. Oui, elle a menti, et alors ? Quel franchouillard d’ici n’a jamais menti ou trempé dans de sordides histoires de fesse ou d’argent, hein ? « Ah, salauds de Français » aurait pu dire Jean Gabin comme il disait « Salauds de Pauvres » dans la « Traversée de Paris », le chef-d’œuvre de Claude Autan-Lara. Sous la dure leçon administrée par les deux autorités du village qui, pour une fois, font cause commune, les clients de la charcuterie font repentance, le nez dans leurs croquenots…
Et pour clore en beauté ce téléfilm à 10 balles d’un certain David Delrieux, le Pierre épouse bien sûr la ravissante « charcutière », « et à l’église » se réjouit hâtivement le curé ! T’as qu’à croire !
Epilogue : le Pierre tiendra le magasin de charcuterie, une charcuterie d’chez nous, pur porc, tandis que sa femme ouvrira un restaurant de… couscous ! Elle est pas belle la vie ? Mes ancêtres marchois doivent faire des bonds de 10 mètres du fond de leurs caveaux !
08:36 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Abidjan 2010 ? Non l'UMP ce matin... 2 élus pour un fauteuil !
Que va donc faire la communauté internationale ?
Comme en Côte d'Ivoire en 2010, il faut demander aux autres partis de désigner le vainqueur...
08:13 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mariage gay : maintenant, les socialistes veulent dissoudre Civitas
Source France Presse infos cliquez ici
C’est bien connu : la gauche défend la liberté d’expression… de ceux qui pensent comme elle ! Après la manifestation pacifique des Identitaires à la mosquée de Poitiers (voir notre article), la gauche avait déjà réclamé la dissolution du mouvement. Maintenant, à la suite de la manifestation contre le mariage gay, plusieurs « personnalités » de gauche exigent l'interdiction de l'institut Civitas, d'autres celle du GUD, mouvement étudiant qu’elles taxent « d'extrême droite ». Ça n’a plus de cesse !
Question : pourquoi quelques féministes dépoitraillées ou déguisées en nonnes sont-elles venues faire de la provocation et balancer de la farine sur la manifestation de « Civitas » en particulier, et non pas la veille sur la « Manif Pour Tous » ?... C’est pas de la « christianophobie », ça ?
Question subsidiaire : de la même façon, pourquoi ne vont-elles pas faire les mêmes singeries affublées d’une djellaba et en babouches devant les mosquées, pour défendre la cause des femmes dans les pays islamistes ?... Certainement par « respect de l’autre », bien évidemment ! On connaît ce discours éculé !
FLORILÈGE D’ÂNERIES
Najat Vallaud-Belkacem, marocaine porte-parole du « gouvernement » :
« Il n y a aucune place pour les agressions d'extrême droite dans notre pays. Le gouvernement n'aura aucune tolérance à l'égard de ces violences et de tous les dérapages qui y sont associés. La liberté d'informer n'est pas un principe avec lequel on peut transiger », a-t-elle ajouté en se déclarant "profondément choquée" par cette agression.
Anne-Yvonne Le Dain, députée PS de l'Hérault :
« Dès demain je demande au ministre de l'intérieur, Manuel Valls, la dissolution de l'Institut Civitas ». Avec les excès pathétiques de cette manifestation, avec violences et coups, je souligne que ces gens qui prétendent défendre les valeurs du christianisme, ont fait sauter sans honte ni vergogne un principe de base des sociétés humaines, qui est qu'un homme ne frappe pas une femme »… sauf dans les pays musulmans !
Eddie Aït, secrétaire national du PRG:
« Ceux qui ne connaissaient pas le vrai visage de l'extrême droite Française l'ont découvert aujourd'hui avec la honteuse agression dont ont été victimes des militantes féministes du mouvement Femen ainsi que des journalistes, notamment Caroline Fourest ».
Mouvement des Jeunes Socialistes :
"De tels agissements ne sauraient être tolérés (..). En conséquence, les Jeunes Socialistes appellent à la dissolution du GUD et à la condamnation des personnes impliquées dans ces violences", selon le MJS.
Harlem Désir, premier secrétaire du PS :
« Je condamne fermement la lâche agression dont a été victime Caroline Fourest en marge de la manifestion Civitas et lui témoigne mon soutien contre la violence obscurantiste et imbécile »
Pour sa part, le chef de file des députés socialistes, Bruno Le Roux a déclaré avoir vu dans les manifestations de dimanche « des débordements inadmissibles ».
08:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Notre peuple n'est pas encore tout à fait anesthésié...
Cette fin de semaine est marquée par la multiplication des démonstrations de force, au demeurant plutôt réussies, contre la pitoyable prétention d’imposer le « mariage pour tous ».
Cela amène à quelques réflexions. Tout d’abord, pour que les choses soient claires, considérons que les relations amoureuses, fussent-elles homosexuelles, sont l’affaire de chacun et que les jugements, souvent moqueurs et parfois teintés d’une certaine dose d’hypocrisie, portés par les autres n’ont pas à entrer dans le débat actuel. L’homosexualité a toujours existée et existera toujours. On peut peut-être le déplorer, mais il en est ainsi. D’ailleurs, le problème n’est pas là.
Le vrai problème, c’est lorsque celle-ci commence à être facilitée, voire promotionnée, par le pouvoir en place comme c’est le cas en ce moment avec l’instauration programmée d’une parodie de mariage (que personne à part quelques agités ne demandait vraiment…) qui relève plus du ridicule absolu que d’autre chose.
Ce projet, qui tombe à pic pour masquer l’incompétence gouvernementale à gérer la crise actuelle, relève en fait de la volonté de l’hyper-classe mondialiste, dont Hollande et sa clique ne sont que les larbins, de détruire les piliers de notre civilisation ancestrale au premier rang desquels figure la conception traditionnelle et logique de la famille. De plus, derrière le "mariage" homo se profile déjà la sordide "théorie du genre" dont, rappelons-le au passage, on doit au précédent gouvernement (Fillon) l'introduction à l'Ecole. Une fois les repères supprimés et les racines détruites, il sera encore plus aisé pour les tenants de la haute-finance apatride de manipuler notre peuple afin de le transformer en un troupeau docile de consommateurs faciles à exploiter.
Toutefois, les prétentions génocidaires des prétendus maîtres du monde se heurtent à la volonté populaire. La réussite des manifestations contre la légalisation du « mariage » gay, et au-delà le droit à l’adoption, en est la preuve flagrante. Comme quoi, et quoi qu'on en dise, notre peuple n'est pas encore tout à fait anesthésié. Raison de plus pour amplifier la résistance.
Roland Hélie
Directeur de
Synthèse nationale
07:33 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 18 novembre 2012
Une poignée d'agitées a tenté d'agresser la manif de dimanche après-midi et la presse aux ordres du Système les fait passer pour des victimes...
Comme on peut le constater sur cette photo, une bande de furies un tantinet provocatrices, dirigées par Caroline Fourest, une plumitive chienne de garde du Système, a violemment agressé à l’aide de bombes fumigènes les pacifiques manifestants opposés au « mariage » homo.
Fort heureusement le service d’ordre les a expulsées comme il se devait des abords du rassemblement.
23:50 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Civitas répond aux délires de Caroline Fourest
Un communiqué d'Alain Escada, Président de Civitas :
"Nous avions appelé à manifester en masse contre le projet de loi sur le mariage homosexuel et près de 20.000 personnes se sont retrouvées autour de nous ce dimanche 18 novembre 2012 à Paris, entre le ministère de la Famille et l’Assemblée nationale. Nous souhaitons remercier chaleureusement tous ceux qui sont venus des plus larges horizons pour porter notre message afin de barrer la route à ce dessein gouvernemental. C’est un grand succès et le mouvement va s’amplifier dans les semaines qui viennent.
C’est sans doute ce qui a suscité les vives craintes de Caroline Fourest qui a immédiatement répandu dans la presse sans apporter de preuve qu’elle était venue comme journaliste et qu’elle avait été « tabassée » à plusieurs reprises. Compte tenu de ses revendications affichées sur le sujet de l’homosexualité, on peut clairement s’interroger sur l’impartialité de cette journaliste en la matière et sur le caractère plus que provocateur de sa présence. Il faut savoir que Caroline Fourest était déjà venue accompagner, la veille, des militants agressifs, hurlant et brandissant des pancartes, prônant le mariage homosexuel, lors de la« Manif pour tous » partie de la place Denfert-Rochereau. Déjà Caroline Fourest avait été refoulée, en présence des forces de sécurité.
Lors de notre marche de ce dimanche, cette dame accompagnait des extrémistes féministes et homosexuelles qui se sont présentéesentièrement dénudées devant les enfants (ce que cette journaliste appelle de« l’humour »). Leur contre-manifestation n’était pas déclarée. Elles se sont approchées de notre colonne en hurlant, en présence des forces de sécurité. Il faut noter que toutes ces contre-manifestantes agressives, Caroline Fourest comprise, ont été arrêtées par celles-ci. En revanche, la police n’a interpellé aucun des manifestants qui ont pu continuer dans le calme leur marche jusqu’à l’Assemblée Nationale. Qu’il nous soit permis de remercier les autorités pour leur professionnalisme afin d’assurer la sûreté de tous."
Source Le Salon beige cliquez là
23:31 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
SUCCES POUR LA MANIFESTATION DE CIVITAS...
Source Le nouveau NH cliquez ici
Après la manifestation de samedi « la Manif pour tous » qui aura rassemblé des dizaines de milliers de participants pour dénoncer le projet gouvernemental de mariage homosexuel, c’était le tour aujourd’hui aux catholiques proches de l’association Civitas de descendre dans la rue. Ce qu’ils ont fait en nombre, puisque pas moins de 20 000 d’entre eux se sont retrouvés cet après midi à Paris pour défiler dans une ambiance bon enfant entre le Ministère de la Famille et l’Assemblée Nationale et donner de la voix derrière des banderoles et des pancartes prônant le respect et le maintient de la famille traditionnelle. La manifestation qui s’est déroulée dans l’ensemble dans le calme le plus parfait, n’a été troublé l’espace d’un court moment que par une tentative avortée d’un groupe de provocateurs féminins venus narguer les familles qui défilaient dans le cortège. A noter parmi les manifestants, plusieurs personnalités représentatives des formations patriotiques de l’opposition nationale, Carl Lang du Parti de la France, Jacques Bompart le maire d’Oranges accompagné de son épouse, Bruno Gollnish pour le FN, ainsi que de forts contingents de militants appartenant à diverses formations allant de l’Action française au MNR, en passant par le Parti de la France, Renaissance catholique et l’Action Française. Le Président de Civitas, Alain Escada devait à la fin du défilé se dire plus que satisfait par cette journée au cours de laquelle 20 000 Français ont répondu présents dans la rue pour barrer la route au projet destructeur de la famille que le gouvernement voudrait imposer à nos compatriotes.
Thomas Joly, Carl Lang, Martial Bild et Roland Hélie
Jacques Bompard, Maire d'Orange, et Jean-Claude Martinez
Alain Escada, Président de l'Institut Civitas, organisateur de la manif.
23:21 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La manif contre le "mariage" gay en images :
Carl Lang, Président du PdF, Martial Bild, Roland Hélie
Luc Pécharman et Roland Hélie, membres du Bureau de la NDP
Une foule évaluée à près de 20 000 personnes.
La délégation de l'Action française
23:10 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi, entre 200 000 et 500 000 manifestants dans toute la France pour défendre la famille traditionnelle ! RDV aujourd'hui dimanche à 14 h 30 à Paris...
10:29 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Lyon - Place Bellecourt : les Jeunesses nationalistes radicalisent l'opposition populaire au "mariage" gay...
01:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Revue de presse : J’ai failli avoir peur de Caroline Fourest...
Nicolas Gauthier
Boulevard Voltaire cliquez ici
Ce qu’il y a de bien avec ces Français qui ne manifestent jamais, c’est que, lorsqu’ils le font, on voit bien qu’ils débutent dans le métier. D’où une organisation aussi foutraque que sympathique. Du coup, ça piétine deux heures durant avant de faire un petit premier pas qu’on voudrait, en l’occurrence, grand pour l’humanité durable.
Un cliché médiatique veut que les manifs soient immanquablement « bon enfant », tout ça parce que quatre crétins bigarrés tapent avec des gamelles sur des bidons. Là, pour le coup, l’expression vaut. D’autant plus bon enfant, qu’il y a là plein d’enfants, de mamans et de papas. Sans compter des homosexuels n’ayant pas la moindre envie de devenir papas. Bref, une France qu’on n’a pas l’habitude de voir arpenter le pavé.
En revanche, grand moment de frayeur : la contre-manifestation organisée par Caroline Fourest, sorte de bonne sœur en civil qui officie dans Le Monde. Bel effet de masse. Ils sont six en tout. Le souci, c’est que chez les près de cent mille personnes qui défilent, personne ne sait qui est Caroline Fourest.
Sur le chemin du retour, France Info dans la bagnole. On apprend que nous avons été nombreux dans le cortège. Sans blague ? Puis, l’entretien. Pas les organisateurs du collectif ni les manifestants bien sûr, mais un zozo, président de l’association LBGT (lesbiennes, bisexuels, gays et transsexuels), qui nous tient le crachoir d’interminables minutes durant pour nous assurer que cette marche était teintée « d’homophobie ». Une telle manipulation sur une radio associative émettant d’un squat, pourquoi pas, l’aveuglement idéologique ayant parfois des vertus hallucinogènes. Mais sur une des radios phares du service public, on se pince. En fait, même pas. Car si, pour Serge Reggiani, « les loups sont entrés dans Paris », on peut lui répondre en échos que les cafards sont dans la place. Et même aux meilleures places.
00:44 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 17 novembre 2012
A l'occasion de la 6e Journée de Synthèse nationale : EDITION D'UN OUVRAGE COLLECTIF CONSACRE A LA CRISE ET A "L'AUTRE EUROPE"...
Depuis septembre 2008 une crise, sans doute aussi grave que celle de 1929, asphyxie l’Europe. La France n’échappe pas à cette situation de plus en plus préoccupante. Aucun gouvernement, ni aucun parti du Système, ne semble capable d’apporter des solutions efficaces pour sortir de ce marasme. Les peuples européens ne croient plus en leurs dirigeants, pire encore, ils ne croient plus dans leur avenir…
En réalité, cette crise remonte à beaucoup plus longtemps. Depuis une soixantaine d’années, l’Europe que l’on nous propose, ou plutôt que l’on nous impose, n’est qu’un ersatz imaginé et réalisé par des technocrates serviles, dénués de toutes conscience nationale ou identitaire, dont la seule raison d’être est de servir, sur notre continent, les intérêts de l’hyper-classe mondialiste. Ils ont livré l’Europe, et les nations qui la composent, au bon vouloir des prédateurs de la Goldman & Sachs et autres banques apatrides…
Alors, un autre destin pour l’Europe est-il possible ? Certainement, mais celle-ci devra vite rompre avec les carcans qui lui sont jusqu’à présent imposés. Tout est une question de volonté.
Ce livre n’a pas, loin s’en faut, la prétention d’être ni un programme ni un quelconque manifeste. Nous avons interrogé une trentaine de personnalités (politiques, écrivains, journalistes, responsables associatifs…) françaises ou européennes qui ont toutes un point commun : l’amour de la civilisation européenne. Chacune d’entre elles, avec ses références et sa sensibilité, a répondu à nos questions. Ces réponses peuvent sembler parfois paradoxales. Il en découle cependant une certitude : la fin de notre civilisation et de notre identité ne sont pas une fatalité.
Cette enquête pour une autre Europe a la volonté d’ouvrir des pistes nouvelles, des pistes aussi éloignées les unes que les autres du libéralisme et du socialisme…
Liste des contributeurs :
Franck Abed, écrivain, Gabriele Adinolfi, écrivain (Rome), Serge Ayoub, Président de Troisième voie, Lionel Baland, journaliste (Liège), Francis Bergeron, écrivain, Thibaut de Chassey, Président du Renouveau français, Pierre Descaves, ancien député, Georges Feltin-Tracol, écrivain, André Gandillon, rédacteur en chef de Militant, Nicolas Gauthier, journaliste, Olivier Grimaldi, Président du Cercle franco-hispanique, Pieter Kerstens, chef d’entreprise (Bruxelles), Pierre Le Vigan, écrivain, Patrick Parment, journaliste, Luc Pécharman, membre du Bureau de la Nouvelle Droite Populaire, Martin Peltier, journaliste, Dr Bernard Plouvier, écrivain, essayiste, Philippe Randa, écrivain, Enrique Ravello, responsable de Plataforme pour la Catalogne (Barcelone), Alain Renault, ancien secrétaire général du Front national, Jean-Claude Rolinat, écrivain, Marc Rousset, économiste, Gilbert Sincyr, ancien président du GRECE, Robert Spieler, ancien député, Hervé Van Laethem, membre de la direction de Nation (Bruxelles), Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Gabor Vona, Président de Jobbik (Budapest) et un texte en annexe de Bruno Mégret, fondateur du MNR...
Face à la crise : une autre Europe, enquête, Editions Les Bouquins de Synthèse nationale, 18 € (+ 3€ de port), 166 pages, novembre 2012.
Bulletin de commande cliquez ici
Vous pouvez aussi commander ce livre en ligne, c'est simple : envoyez 21,00 € (18,00 € + 3,00 € de port) en cliquant ici
20:17 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : Dimanche prochain 18 novembre, mobilisation contre le "mariage" et l'adoption par les couples homos...
Carl Lang et le Parti de la France participeront à la grande manifestation organisée par l'institut Civitas le 18 novembre à Paris contre la dénaturation du mariage et l'adoption par des couples homosexuels.
Tous les patriotes attachés à la famille, à l'ordre naturel et à nos valeurs de notre civilisation sont invités à se mobiliser contre les aberrations sociétales de la gauche au pouvoir.
Tous présents à Paris le 18 novembre pour défendre la Famille, le mariage et l'enfant ! RDV à 14 h 30, devant le Ministère de la Famille, avenue Duquesne, Paris VIIe (métro : Ecole Militaire).
Rassemblement des militants du Parti de la France à 14 h 15-14 h 30 devant l'Eglise Saint-François Xavier (métro Saint-François Xavier).
19:35 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Revue de presse : Haro sur la gifle !
Fabrice Madouas
Source Valeurs actuelles cliquez là
Sa condamnation avait ému les Français. Le maire de Cousolre a été finalement relaxé. Éduquer des enfants, c’est aussi faire preuve d’autorité.
C’est un témoignage précieux de l’état d’esprit des Français : les lettres adressées à Maurice Boisart, le maire de Cousolre, une petite ville tranquille de l’Avesnois, quasiment sur la frontière belge. Maurice Boisart est cet élu qui a vécu un calvaire judiciaire pour une banale histoire de gifle : « Le 24 août 2010, un jeune de Cousolre, que je connaissais bien, escalade un grillage pour récupérer un ballon. Je le sermonne, il me provoque et m’injurie. Et là, réflexe, je le gifle. […] L’affaire est enclenchée, elle ne s’arrêtera pas », résume-t-il dans un livre qui vient de paraître, Tout ça pour une gifle (Éditions Jacob-Duvernet).
Les parents portent plainte pour “violence par personne dépositaire de l’autorité publique”. Ils contestent la version du maire : leur fils ne l’aurait insulté qu’après avoir reçu la gifle. En février 2012, Maurice Boisart est déclaré coupable par le tribunal correctionnel : 1 000 euros d’amende avec sursis, 250 euros de dommageset intérêts pour “préjudice moral”, sans compter les frais de justice ! « Désagréable impression que l’époque est faible, réagit-il. Sous prétexte d’être pacifiste, on est laxiste. Sous prétexte d’être humaniste, on verse dans le ridicule. »
Le 10 octobre, la cour d’appel de Douai décidera quand même de le relaxer, les juges estimant qu’il avait apporté « une réponse adaptée à l’atteinte inacceptable portée publiquement à l’autorité de sa fonction ». N’empêche : deux ans de procédure pour une gifle ! « À l’évidence, l’événement a dépassé ma modeste personne, écrit Maurice Boisart ; je suis en quelque sorte devenu le porte-drapeau de tous les adultes en butte à des adolescents mal élevés et insolents. »
Une “époque faible” qui confond pacifisme et laxisme
Des lettres, des e-mails, des fax, le maire de Cousolre en a reçu des milliers, de personnes indignées par sa condamnation en première instance. Pères et mères de famille, grands-parents, professeurs, proviseurs, conseillers principaux d’éducation, responsables associatifs… Un abbé déplorant que les édiles soient « trop exposés aux frasques d’une violence purement gratuite ». Un major de gendarmerie qui le félicite pour son « comportement courageux et exemplaire ». Un chef d’entreprise du Calvados « outré du manque de politesse » et lassé « des gens peu motivés pour le travail ». Un agriculteur à la retraite, un « fils de poilu de 1914-1918 », un « collectif de mamans et d’enseignantes ». Et beaucoup d’élus, bien sûr.
« Des Français “qui en ont marre de voir dégrader les biens publics qui sont payés avec nos impôts”. Des Français qui ont reconnu dans le jeune l’un de ces nombreux enfants rois qui embêtent tout le monde, à l’école et ailleurs. Des Français inquiets qui s’interrogent : “Comment va-t-on à l’avenir élever nos enfants” ? »
Des Français de tous bords, que le bon sens et l’expérience conduisent aux mêmes conclusions que les psychologues les plus lucides – comme Didier Pleux, qui dirige l’Institut français de thérapie cognitive. Auteur de nombreux ouvrages sur l’éducation, ce psychologue clinicien décrit dans son nouveau livre comment les enfants rois peuvent se transformer en “tyrans” pour leur entourage. Et de rappeler ce que disait Freud : « Le petit enfant est amoral, il ne possède pas d’inhibition interne à ses pulsions qui aspirent au plaisir » (De l’adulte roi à l’adulte tyran, Odile Jacob).
Selon Didier Pleux, les enfants tyrans souffrent moins de carences affectives, comme on le prétend souvent pour expliquer leur comportement et les excuser, que de “carences éducatives”. « Quand le “je” de l’enfant n’a pas été éduqué et qu’il n’a pas appris à harmoniser son plaisir avec la réalité, et donc avec celle des autres, il devient omnipotent et ne cesse de répondre à ses désirs au détriment de tout lien social. » À l’âge adulte, son « intolérance aux frustrations » risque de le pousser à la négation, voire à la destruction d’autrui.
Comment éviter que le souci légitime de soi ne se transforme en égoïsme ? La réponse réside dans l’exercice par les parents d’une autorité juste. « Non, toute autorité n’est pas malvenue, écrit Didier Pleux, et l’enfant, plus qu’un autre, doit apprendre la vie et s’il doit apprendre, ce n’est pas par le copinage, le “management participatif” ou la révolte permanente. C’est dans le respect de ceux qui connaissent mieux le réel que lui : les parents ou les tuteurs… »
« Un homme, ça s’empêche », disait le père d’Albert Camus. Un conseil rude mais sage, qui peut éviter des gifles tardives et bien des déboires à ceux qui les donnent.
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