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mardi, 06 novembre 2012

Aider les Serbes du Kosovo :

Yves Darchicourt

L'association humanitaire Solidarité-Kosovo achemine en ce moment un 4e convoi de nourriture à destination des monatères du Kosovo-Métochie qui n'ont pas encore été détruits et où se constituent des stocks alimentaires en prévision de l'hiver toujours long et rigoureux en cette région d'Europe. Une aide alimentaire vitale pour les serbes qui s'obstinent à s'accrocher à de cette province serbe, à la terre de leurs ancêtres que les mondialistes et leurs valets eurocrates ont décidé d'attribuer aux mahométans albanais.

Depuis 1999, plus de 250 000 serbes ont été chassé de chez eux, à peine 100 000 survivent au Kosovo dans des conditions épouvantables, éparpillés dans des enclaves cernées par les milices musulmanes d'un gouvernement "kossovar" corrompu et cornaqué par l'Albanie. Des hommes, des femmes et des enfants serbes qui sont nos congénères, nos frères de peuple, de civilisation européenne et chrétienne résistent pourtant gràce notamment à l'action du métropolite Théodose Sibalic qui, il y a quelques mois, lançait un pathétique appel au secours à la communauté internationnale (voir ici)

europe,serbie,kosovo,solidarité,identité,christianismeL'action de Solidarité-Kosovo n'est peut-être qu'une goutte d'eau dans un océan de misère, elle a au moins le mérite d'exister et peut -doit- être soutenue : aidons les enfants serbes tout simplement à survivre !

Solidarité Kosovo cliquez ici

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Quand le bât du racisme blesse…

Chronique de

Philippe Randa

Que serait le Monde sans les sondages ? Bien peu de choses… Il faut bien le reconnaître, chaque jour, on surfe, on tweet, on tchat… et on sonde ! Sur n’importe qui et n’importe quoi… L’avis de tout un chacun est primordial et chacun se doit d’avoir un avis sur tout : sur la météo comme sur le football, sur l’économie de notre pays comme sur le dernier spectacle de Céline Dion, sur la fortune de Liliane Bettencourt ou les dangers du nucléaire iranien, sur le retour éventuel en politique de Nicolas Sarkozy ou sur l’exploitation des gaz de schiste…

Et bien sûr, pourquoi pas et évidemment, sur l’élection américaine ! C’est aujourd’hui que cela se passe. Chez les Américains, le dimanche est consacré à la prière… Alors, leur bulletin de vote, c’est un mardi qu’ils le glissent dans l’urne. Aujourd’hui, justement… Mais il n’y a bien qu’aux États-Unis d’Amérique qu’on se déplacera… ou pas ! En France, on a déjà voté. Et le résultat est non seulement connu, mais martelé depuis des semaines : 78 % des Français souhaitent la victoire d’Obama, 5 % seulement de Romney et 17 % ne se prononcent pas.

Ces 17 % n’ont sans doute pas bien compris la question.

Ou bien, ils n’aiment pas jouer. Ce sont des sortes d’introvertis politiques…

Le plus étonnant est que tous les commentateurs admettent le verdict de ce sondage (et de quelques autres similaires, pluralité du traitement unique de l’information oblige) sans sourcilier. Si les sondages le disent, cela se doit d’être vrai.

À peine si quelques-uns cherchent à savoir pourquoi nos compatriotes seraient si massivement séduits par le président sortant de la Maison-Blanche… Et quand c’est le cas, qu’ils posent timidement la question aux sondés, comme si cela n’allait pas de soi, la réponse obtenue – il n’y en a qu’une ! – a tout de même de quoi rendre perplexe.

Sur leurs programmes politiques respectifs, aucun avis exprimé, si l’on excepte les lieux communs et autres arguments de comptoir de bistrot : Obama veut la paix, Romney la guerre ; Obama « fait » la sécu, Romney veut davantage de privilèges pour les riches, etc.

Non, tous les fans d’Obama le sont pour une unique raison. Et c’est là où le bat blesse.

Dans un pays où l’on n’a de cesse de répéter que les races, ça n’existe pas, il est assez déroutant d’entendre que les Français préféreraient Obama avant tout parce qu’il est… noir !

Mieux que noir, même : afro-américain, le top du top du surhomme nouveau. Comme le beaujolais du même nom.

Quand certains parlent de racisme anti-blanc, peut-être que… non ? Non, bien sûr !

Mitt Romney, son rival républicain, est donc trop blanc, lui. Et de droite, voire pire, ce qui est bien évidemment rédhibitoire… Même chez les électeurs français de droite, il ne passe pas : 81 % d’entre eux préfèrent Obama. Et les électeurs FN ? Ils sont pour Obama à 70 % ! 70 % seulement, aurait-on envie de sourire…

Donc, les jeux sont faits… en tout cas en France, patrie auto-proclamée des droits de l’homme sondé.

Aux États-Unis, tous les sondages donnent les deux candidats au coude-à-coude. On se demande bien pourquoi.

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Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :

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09:00 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 05 novembre 2012

Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :

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dimanche, 04 novembre 2012

Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :

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samedi, 03 novembre 2012

Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :

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Cet « islam sans gêne » qui veut mettre la France à l’heure mahométane

lepoint2094-cet-islam-sans-gene3.jpgJean Cochet

Présent d'aujourd'hui cliquez là

« Cet islam sans gêne »… C’est le titre d’un dossier, bien étayé, que publie cette semaine l’hebdomadaire Le Point. Un islam qui pousse sa corne, de plus en plus pointue et acérée, dans toujours plus de domaines de notre espace public. Exemples : les collèges, où pour défier l’interdiction du voile, de jeunes musulmanes « portent de longues robes de couleurs sombres nommées abayas ». Renforcées parfois d’un passe-montagne noir « qu’elles appellent bonnet ». A la moindre remarque d’un proviseur, des imams débarquent dans le bureau de ce dernier pour lui expliquer sur un ton courroucé qu’il s’agit d’une tenue « culturelle » et non religieuse.

Pour narguer plus encore l’institution laïque ces militantes islamistes s’installent souvent devant les établissements scolaires, en brandissant des calicots : « Islamophobes, on est là ! » Et bien là… Des collèges où les professeurs n’osent même plus enseigner l’histoire, risquant de se faire chahuter (ou tabasser) quand ils abordent des sujets comme les croisades, la Shoa ou la période coloniale. L’histoire de France n’est certes pas le passé des enfants d’immigrés. Pour préserver la susceptibilité toujours à vif de ces derniers les petits Français ne reçoivent donc plus, comme cours d’histoire, qu’une mélasse insipide sans chronologie ni héros, une compote amnésique cuite par pochage au sirop des droits de l’homme, du pacifisme et de la repentance. La musique même se trouve mise en cause, « parce que contraire à l’islam ».

Dans les crèches, où « le fait religieux s’est peu à peu immiscé », des petits enfants refusent d’écouter l’histoire des Trois petits cochons, parce que cet animal est jugé « impur » par leurs parents.

Cantines scolaires, prisons : l’empreinte islamique

La bataille des cantines, dont on parle depuis maintenant vingt ans, s’est temporairement terminée, dans beaucoup d’entre elles, par une sorte d’armistice : on n’y sert plus de viande. C’est ce que l’on appelle la cantine « laïque et républicaine », aux menus strictement végétariens. « Le problème ce n’est plus seulement le porc, mais la viande que certains enfants refusaient dans leurs assiettes parce qu’elle n’avait pas été préparée selon le rite halal. » Donc plus de viande. Les petits Français sont priés d’abandonner leurs traditions culinaires par respect pour celles des nouveaux venus.

L’islam, bien sûr, règne en maître dans les prisons, dont de faux imams sont en quelque sorte les prophètes écoutés. Des prisons où plus de 50 % des détenus – entre 70 et 80 % dans certaines d’entre elles – sont musulmans. Sans « stigmatiser » personne, on est bien obligé de remarquer, à la vue de ces chiffres, que cette communauté est tout de même la plus criminogène de France. On peut même parler, pour ces droit-commun musulmans mélangeant délinquance et militantisme religieux, d’un phénomène d’islamo-gangstérisme. « Dans certains établissements, il existe désormais une hiérarchie parallèle à l’administration qui impose ses propres règles. » Dès lors que ces mahométans sont en position de force, leur prosélytisme s’exerce de façon sommaire mais efficace. « Le détenu est approché par des sous-fifres qui lui donnent des cigarettes et lui offrent la possibilité de cantiner. Et puis, très vite, on lui tend le Coran… »

Sport : vertes pelouses

Le sport évidemment n’est pas épargné, où l’on voit, avant des matchs de football, des joueurs musulmans transformer la pelouse en tapis de prière. « Ce n’est un secret pour personne que la religion islamique joue un rôle grandissant dans le foot. Et cela à tous les niveaux de la hiérarchie. » Un sport où, avec les Nasri, les Ribéry, les Anelka, les Evra, les musulmans mènent la danse. A tel point qu’en son temps le piteux Raymond Domenech avait décidé, « afin d’éviter certaines tensions », que les buffets de l’équipe de France seraient halal. Même dans les équipes amateurs les joueurs non musulmans sont désormais contraints de s’adapter aux horaires d’entraînements « réglés sur ceux des prières ». Afin « d’éviter certaines tensions », jusqu’où les dirigeants continueront-ils à se prosterner devant les fous de Mahomet ?

Dans les hôpitaux ce sont « d’innombrables patients qui exigent que le soignant qui les prend en charge soit du même sexe qu’eux ». Sinon, gare aux coups ou, dans le meilleur des cas, aux insultes.

En pointe de la « diversité », l’entreprise de téléphonie Orange, où, au nom du « vivre ensemble » et d’une contraignante législation européenne sur la non-discrimination (1) se côtoient « sikhs, juifs religieux, femmes voilées », les managers voit sur le terrain les incidents se multiplier : « C’est un salarié (…) qui pratique le jeûne et interdit aux autres de manger (2). C’est une femme de ménage d’origine maghrébine qui reçoit des SMS sur son portable lui enjoignant de se conduire en bonne musulmane (…) et de se vêtir autrement. Ce sont des refus de serrer la main des collaboratrices, de partager le bureau avec une femme… » Décidément, comme l’avait constaté Mme Merkel elle-même, « le multi, ça ne marche pas ». Pas plus ailleurs que chez Orange…

Ramadan : la faute à la France

Tariq Ramadan, qui affirme dans un entretien que « l’islam est une religion française », nous explique que si certains musulmans adoptent des comportements provocateurs et intolérants c’est la faute de la laïcité française. Ils se sentent « stigmatisés » par elle. Ramadan, au cours de son interview, conceptualise également : « L’islam n’a pas de problème avec les femmes, mais les musulmans en ont. » Analyse que l’on peut aussi transposer : la France n’a pas peut-être de problème avec les musulmans, mais les Français eux en ont. Et beaucoup… Face à cette poussée continue de l’islam dans la société civile française, le seul mot d’ordre de nos autorités a été jusqu’ici : « surtout pas de vagues ». A la moindre vaguelette, au moindre clapotement, on rentre dans sa coquille.

Dans son éditorial, le directeur du Point, Franz-Olivier Giesbert, dénonce cette « politique du moindre mal dont crève la France ». Et d’aligner quelques exemples de cette soumission baveuse. « C’est ainsi, chose comique, que les notables d’Amiens en sont venus à débaptiser le traditionnel marché de Noël, oh le vilain mot, pour l’appeler marché d’Hiver (…). C’est ainsi encore que nous sommes condamnés à manger de la viande halal qui n’est pas qualifiée comme telle, contrairement à toutes les lois de transparence et de traçabilité. Si on en est arrivé là, c’est sous le fallacieux prétexte qu’il ne faudrait pas montrer du doigt une religion qui, de surcroît, touche la dîme sur chaque bifteck ou bas morceau. Tant mieux pour les imams et tant pis pour la souffrance animale : les bêtes ne votent pas. » Malheureusement ceux qui votent sont souvent bêtes eux aussi.

Nous l’avions dit, bien avant Giesbert

Giesbert prétend qu’il tire le signal d’alarme (après quelques autres) pour ne pas « laisser le débat aux gueulards populistes… ». Pourtant tout ce qu’il nous sort aujourd’hui, la droite nationale et sa presse l’ont dit, écrit et décrit bien avant lui. Mais alors nous étions bien seuls face aux « agents de la circulation idéologique, armés jusqu’aux dents » qui prétendaient nous « verbaliser » sous prétexte de xénophobie, d’islamophobie et d’incitation à la haine raciale. L’islam, dit justement Giesbert, « a simplement gagné le terrain qu’on lui a cédé, pleutres que nous sommes ». C’est vrai. Mais la pleutrerie, hélas majoritaire dans notre pays, ne fut pourtant pas le cas de tous les Français. Giesbert s’honorerait de le reconnaître. « Les gueulards populistes » n’auront pas « gueulé » totalement en vain. Ils ont au moins eu le mérite de briser sur ce sujet, à leurs risques et périls, quelques tabous trop bien enracinés de la bien-pensance progressiste.

(1) Celle-ci stipule que si un candidat à un poste s’estime discriminé en raison de ses signes d’appartenance religieuse, c’est à l’entreprise de démontrer que ce candidat n’était pas le meilleur. La recherche des preuves peut alors devenir longue et délicate.

(2) Confirmation donc du petit pain au chocolat de Copé…

 

L’affaire Merah

Les Verts (et semble-t-il le président de la République) demandent une commission d’enquête parlementaire sur ce qu’ils appellent les dysfonctionnements de l’affaire Merah. Peut-être y a-t-il eu effectivement quelques ratés de la part des services de renseignement français. Notamment une erreur d’appréciation des enquêteurs de la DCRI sur la dangerosité du personnage ? Il y a surtout un manque de moyens. « Les personnes présentant un profil pouvant déboucher sur une action violente et entretenant une relation avec une mouvance radicale sont de plus en plus nombreuses (…). Il y en a aujourd’hui plusieurs centaines. » Et ce chiffre ne cesse de croître. Côté DCRI « une quarantaine de personnes serraient actuellement employées à la section terroriste du département des affaires judiciaires… ». Alors que faut-il faire ? Multiplier par cent également le recrutement des agents de la DCRI ? En tout cas, malgré son infériorité numérique, celle-ci ne se débrouille pas si mal. Depuis 2007, près de 1 500 dhjihadistes ont été interpellés, dont plus de 650 par la seule DCRI… « On ne peut pas mettre tous les barbus en prison », se défend l’ancien patron de ce service, Bernard Squarcini, aujourd’hui sur la sellette. En effet : d’autant que les juges les feraient sortir sur le champ. Le plus gros dysfonctionnement de cette affaire ne vient pas de la police. Le ratage monumental c’est avant tout celui de nos responsables politiques qui ont laissé, durant des années, s’installer chez nous des millions de musulmans, tolérant ensuite, par pusillanimité, toutes leurs exigences… Les centaines de Merah en puissance sont nés de cette double incurie.

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Pinatel chez Les Ronchons :

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Dimanche soir sur Méridien zéro :

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Le GUD Lyon fête Halloween à sa façon...

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Ces imbéciles qui prétendent nous gouverner !

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Par Roger Holeindre

Président du

Cercle national des combattants

 

C’est vraiment le foutoir ! Le vendredi 12 octobre 2012, M. Le Président de la République française…“Normal 1er” débarque en Afrique, à Dakar, accompagné de sa concubine… ce qui fait très couleur locale… bien qu’ici les maîtresses sont désignées officiellement comme “2e Bureau”.

 

Sa “compagne” n’étant pas divorcée officiellement, lui-même ne s’étant pas marié avec une autre femme à qui il a fait quatre enfants… pourrait ajouter à ses discours pendant son déplacement que la francophonie, comme il le clame… c’est la liberté dans la démocratie, et aussi dans la polygamie… d’autant plus que dans notre belle France…beaucoup de musulmans non intégrés, de leur propre fait, nous expliquent déjà que… s’ils ont plusieurs femmes, ils ne font que copier ce que fait le Président de la République !

 

Bien sûr… il en a remis une couche sur la fin de la Françafrique… « (…) Le temps de la Françafrique est révolu. Il y a la France et il y a l’Afrique. Il y a le partenariat avec des relations fondées sur le respect, la clarté et la solidarité (…) Les émissaires, les intermédiaires et les officines trouvent désormais porte close à la présidence de la République française, comme dans les ministères… »

Dans son costume trop grand pour lui… Il oublie tout simplement qu’aucun pays au monde, à part la France, n’a jamais abandonné des marchés en Afrique ou dans le monde, de son plein gré. Aujourd’hui, les Chinois “achètent” l’Afrique.

 

Personne, parmi nos grands spécialistes écologistes, personne parmi les “kmers verts”, ne s’avise de signaler qu’ils ravagent aussi des pays entiers du fait que leurs coutumes et leur pharmacopée sont délirantes, en ce qui concerne les remèdes ou potions, soi-disant aphrodisiaques, qui vont de l’aileron de requin (dont ils jettent le reste), aux cornes de rhinocéros, en passant par certains fruits de mer.

 

Les derniers grands trafics de défenses d’éléphants sont aussi de leur fait.

 

Tous les marchés juteux de la planète s’obtiennent contre de grosses enveloppes, et même nos “alliés” font passer leurs intérêts avant les nôtres… et ils ont raison !

 

C’est exactement la même chose avec les pays qui composent l’Europe, où chacun protège au mieux ses usines.

 

Il faut d’ailleurs remarquer que toutes ces déclarations de morale n’ont pas soulevé des clameurs de satisfaction, mais simplement quelques applaudissements polis… surtout de la part de la concubine qui doit quand même servir à quelque chose.

 

Une fois de plus, ce fut l’octroi de visas pour la France qui domina les discussions en coulisse… et là, “Normal 1er” fut sublime… d’une intelligence politique bien digne de l’énarque qu’il est, il se dépassa… « J’entends mettre fin à ce paradoxe absurde, qui fait que la France dans un passé récent ait trop souvent fermé la porte à ceux qui voulaient y créer des emplois, y développer des échanges ».

 

Cela va certainement faire plaisir aux centaines de vendeurs clandestins de Tour Eiffel en aluminium, fabriquées en Chine, et à ceux qui vendent des objets en ivoire qui ne sont que des copies en plastique venant, elles aussi, d’Extrême Orient… qui font la chasse aux touristes étrangers dans tous les hauts lieux de Paris.

 

Puis, ne sachant peut être que faire de symbolique avant de quitter le Sénégal, il fut le premier chef d’Etat français à se rendre sur l’île de Gorée, au large de Dakar… pour pleurer, une fois encore, sur l’esclavage… oubliant que la colonisation française… a fait cesser la traite des noirs partout où elle s’installait… et que c’est en combattant le plus grand organisateur de razzias de bois d’ébène, que le commandant Lamy mourut au combat, à l’endroit où naquit la ville de Fort Lamy, aujourd’hui N’Djamena.

 

Si M. Hollande n’avait pas fait l’ENA, et si ses conseillers élyséens, bardés de diplômes (obtenus en écrivant l’histoire de France telle qu’elle est enseignée depuis quelques années… c’est-à-dire fausse !), ils auraient tous pris la peine de lire les bons dictionnaires, encore écrits par des non trotskistes, et ils auraient appris dans Le Mourre, par exemple, que ce marchand de nègres s’appelait Rabah

 

« Rabah (… Koussri, région du lac Tchad, 22.IV.1900). Chef africain. Ancien lieutenant du trafiquant d’esclaves égyptien Zobéïr, il se rendit indépendant en emmenant des troupes et des armes avec lui et entreprit de se tailler un royaume dans le Soudan central, entre le Nil et le lac Tchad.

 

Disputant au Ouadaï le trafic des esclaves, il s’empara du Dar Kouti, qu’il confia à Mohammed es-Senoussi, puis ravagea toute la zone comprise entre l’Oubangui et le Tchad, soumit le Baguirmi (1892), puis conquit le Bornou (1893), dont il se proclama émir. Les princes locaux qu’il dépossédait firent alors appel à l’intervention française. Après six ans de guerre, Rabah fut vaincu et tué à la bataille de Koussri. La lutte contre Rabah fut l’origine de la colonisation française au Tchad et en Oubangui-Chari. »

 

Le plus honteux, c’est qu’une fois de plus, il relança ce combat inutile et néfaste pour la paix sociale en France… surtout avec Mme Taubira au gouvernement, à un poste éminent, celui de la Justice, et les “kmers verts” dans les ministères.

 

Monsieur le Président… une fois de plus, s’essuya les pieds sur notre pays et écrivit sur le livre d’or… « Au nom du peuple français, je rends hommage à la mémoire des innombrables victimes de l’esclavage. Le rappel de cette tragédie lie à jamais l’Europe, l’Afrique, l’Amérique et les Caraïbes. Il nous oblige à lutter sans relâche contre toutes les formes d’exploitation de l’être humain. »

 

Le peuple français a bon dos, mais toutes ces pleurnicheries risquent de lui couter cher !

 

En effet, nous savons aujourd’hui qu’avant le voyage du président en Afrique, le cabinet du Premier ministre avait organisé une réunion avec un collectif d’associations pour qu’il fasse des propositions (sic) sur ce qui peut être fait en termes de réparations !

 

Derrière tout cela, au point de vue association, on retrouve Louis George Tin, qui n’est autre que le Président du Conseil représentatif des associations noires (le CRAN) qui, ayant eu deux longues réunions avec les représentants du gouvernement, pensait avoir convaincu de la nécessité de “réparations” sonnantes et trébuchantes… et d’accuser “Normal 1er”… « M. Hollande rétropédale le jour même où il se rend à Gorée… C’est honteux ! »

 

Bien sûr, tous ces braves gens, dont certains appellent les Français d’origine… les sous-chiens… font mine d’ignorer la véritable histoire de l’esclavage.

 

Ainsi, par une nouvelle entourloupette de la falsification historique, on ressort la loi Taubira qui veut faire payer à la France la traite négrière, dont elle ne commença la pratique qu’à la fin du XVIIe siècle, en occultant l’esclavage arabe et la traite négrière interafricaine qui se sont étalés, eux, plus longuement dans le temps, depuis l’antiquité, et qui furent terribles quant au nombre de morts dans les convois vers la côte pour les ventes, ou vers les pays d’Orient.

 

Il faut quand même savoir qu’après plusieurs voyages de repentance à Alger, où les représentants des porteurs de valises n’ont cessé de s’excuser et de cracher sur la France… des excités du FLN avancent aujourd’hui… la nécessité pour la France… si elle veut vraiment être pardonnée… le versement d’au moins trois milliards d’euros. Voici peu de temps, une délégation du FLN s’est rendue au Viet Nam pour rencontrer des dirigeants à Hanoi. Cette visite avait pour but de demander aux ex viet minh de se joindre à l’Algérie pour constituer un “front anti français”, une sorte de “tribunal international”, afin d’obtenir des réparations pour l’Algérie et pour le Viet Nam. Hanoi a éconduit avec agacement cette délégation de mendiants.

 

Mais je pense que ce n’est que partie remise, et que les gens qui soi-disant nous dirigent, sont seulement capables d’une chose… nous faire condamner au nom de la repentance !

Car ces messieurs y vont avec vigueur. Toutes les occasions sont bonnes et nous voilà repartis sur les lamentations.

 

Devant se rendre à Alger en décembre 2012, “Normal 1er” profite du 51ème anniversaire de la répression anti FLN de Paris, pour, à nouveau, nous rouler dans la fange.

 

Une fois de plus, comme ses prédécesseurs d’ailleurs, il passe sur les crimes du FLN, en Algérie et en Métropole… pour attaquer la police parisienne et la couvrir d’opprobres, alors qu’elle n’a, en pleine guerre civile, fait que son devoir. Du coup, même les forces du maintien de l’ordre deviennent … « la police de Papon ». C’était tout simplement la police de De Gaulle… tout comme le S.A.C. était la police parallèle du grand homme.

 

Il est aberrant que ces imbéciles qui se sont emparé du pouvoir grâce à la bêtise d’un nombre incroyable d’ « idiots utiles », et au vote communautaire musulman, continuent à dénigrer et à salir notre pays, alors qu’une grande partie de la population immigrée ne se sent pas française, et prend pour argent comptant toutes les élucubrations politicardes de ces marchands de vent et de haine.

 

Nous avons fait la “guerre d’Algérie” contre le terrorisme du FLN… qui pendant des années a tué, égorgé, éventré des dizaines de milliers de musulmans qui ne désiraient que rester Français !

 

Ils ont, par ailleurs, réservé le même sort aux pieds noirs qui avaient bâti ce pays et qui, dans leur grande majorité, étaient des gens humbles, ne possédant que leurs mains et leur volonté de travail… et dont beaucoup votaient communiste.

 

M. Sarkozy, avant Hollande, avait cru nécessaire de proclamer, voici cinq ans, à Dakar, devant une assemblée africaine…

« Nous vous avons pillés…

« Nous vous avons volés

« Nous vous avons colonisés… ce qui était une erreur…

« Mais (sic) nous avons construit des ponts… »

Nous avons fait bien d’autres choses !

 

D’abord en Afrique noire, comme déjà écrit…nous avons stoppé l’esclavage… nous avons amené la paix… fait cesser les éternelles luttes tribales et le cannibalisme.

 

Nous avons combattu la lèpre, la maladie du sommeil, et des dizaines d’infections purement africaines, grâce à la médecine coloniale, présente partout.

 

Nous avons traité les populations… toutes… correctement, et elles n’ont jamais connu la famine.

A notre départ, il restait dans les colonies européennes 1 800 000 éléphants. La forêt était quasiment intacte.

 

Nous n’avons jamais pompé le pétrole… car nous ne l’avions pas découvert… sauf au Sahara français… ce qui nous valu la guerre d’Algérie.

 

D’ailleurs, si nous avions été des chiens… même des sous-chiens… des tueurs… des esclavagistes… pourquoi tous ces gens voudraient-ils venir chez nous ?

 

Ils sont presque tous indépendants depuis 50 ou 60 ans… Les problèmes de leurs pays sont aujourd’hui leurs problèmes.

 

Nous leur avons laissé de jeunes nations en état de marche… certaines même prospères… Aux Algériens, nous avons abandonné le Sahara qui n’a jamais été algérien, notre gaz et notre pétrole, après avoir investi des milliards. S’ils ne s’en sortent pas, ce n’est pas de notre faute… mais la leur !

 

Deux pays ont été rasés, nitratés… l’Allemagne et le Japon. Ce dernier atomisé. Ils sont parmi les premières économies du monde.

 

Alors, assez de jérémiades. Assez de repentance ! Que nos gouvernants cessent de s’occuper d’hier ou d’avant–hier, et ne pensent qu’à demain… en réglant d’abord les problèmes d’aujourd’hui.

 

Ce n’est pas à eux de décréter si la France est coupable ou non. Pas plus M. Hollande aujourd’hui, que M. Chirac hier ! Laissons les vrais historiens faire leur travail !

 

Cessons de nous plaindrede gémirde nous lamenter. Redonnons à notre jeunesse le goût de l’effort… des raisons d’être fiers de leur pays, et que ceux qui sont contre tout cela… fassent leur valise, car en France les frontières qui permettent à tout le monde d’entrer… sont encore plus ouvertes pour ceux qui veulent partir !

 

Ceux qui prétendent que la France est un pays raciste, sont des affabulateurs et des menteurs. Certains penseront peut-être qu’en traitant nos dirigeants d’imbéciles… j’exagère… Non ! Je minimise la chose… le drame. Car en vérité, en prenant constamment parti pour nos adversaires d’hier… ils nous amèneront la guerre civile.

 

Alors, il vaut mieux que je les traite d’imbéciles que de traitres… ce qu’ils sont en réalité vis-à-vis de notre pays, qui est de moins en moins la France… et de notre peuple, qui se sent de moins en moins chez lui !

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Décès de Pino Rauti :

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Nous apprenons le décès de Pino Rauti, personnalité célèbre du nationalisme italien et admirateur affiché du Duce, à l’âge de 86 ans.

Vice-secrétaire général, à partir de 1979, du Mouvement social italien, il en devient brièvement président avant de le quitter en 1995 : le MSI (rebaptisé Alliance nationale) ayant effectué un recentrage politique sous la houlette du renégat Gianfranco Fini.

Rauti fonde alors son propre parti, le MSI-Fiamma Tricolore, sous l’étiquette duquel il sera élu député européen en 1999.

Source Contreinfo.com

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jeudi, 01 novembre 2012

Un sympathique bras d'honneur...

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Jean-Gilles Malliarakis

L'Insolent cliquez ici

Ce 30 octobre, Gérard Longuet était l'invité de l'émission Preuves par 3 sur la chaîne "Public Sénat". Le propos du jour concernait le projet de mariage entre personnes du même sexe, pour lequel il demande qu'une clause de conscience permette, au moins, aux maires de ne pas le célébrer, comme il en va, depuis la loi Veil de 1975, pour les médecins refusant de pratiquer l'interruption volontaire de grossesse.

Mais en marge de ce débat, provocateur en lui-même, il semble bien qu'on ait voulu attraire l'ancien ministre de la Défense dans une autre question conçue pour le "piéger" : celle de la repentance permanente qu'on demande à la France à propos des "crimes du colonialisme français". Le gouvernement algérien revendique, en effet, de notre part et unilatéralement, une "reconnaissance franche".

Sa réponse consista en un bras d'honneur, franc et massif. Et, interrogé par une autre chaîne (1) il confirme et assume son geste "populaire", "de bon cœur". "Je ne renie rien" ajoute-t-il.

À cet égard ce vieux camarade mérite un hommage particulier. Il a rompu de la sorte avec une attitude pratiquement unanime de la classe politique. Celle-ci s'est retrouvée sur une ligne commune, celle aussi, hélas, des autorités ecclésiastiques, des institutions philosophiques et des gros moyens d'intoxication de l'opinion.

N'oublions pas le rôle particulièrement pervers de l'école "républicaine". Loin de chercher à assimiler aujourd'hui les enfants issus de l'immigration elle se préoccupe de fabriquer des ressentiments artificiels contre leur pays d'accueil, supposé devenir leur nouvelle patrie. Ces rancœurs se révèlent d'autant plus paradoxales que leurs familles sont venues volontairement en France.

Disons-le donc tout net : la soi-disant "repentance" ça suffit ! Basta !

Il faut d'abord souligner que sous ce mot de "repentance", on dénature une démarche d'ordre religieux et de nature personnelle. Celle-ci n'a de sens qu'envers un dieu dont on implore la miséricorde. Le gouvernement d'Alger n'est peut-être pas le Diable, il n'est certainement pas le Bon Dieu. S'il veut donner des leçons de morale et de liberté qu'il commence par les appliquer chez lui.

On veut sans doute hâter un processus de "réconciliation" entre deux États, tourner la page d'une guerre terminée en principe depuis 50 ans, faire face à l'avenir et, notamment combattre des ennemis communs dans la région du Sahel.

S'il s'agissait de cela on pourrait comprendre. On applaudirait même, mais à une condition : que cette démarche soit effectuée de manière réciproque et non pas unilatérale. Qu'elle soit sincère et non fondée sur le mensonge, récurrent outre-Méditerranée, par lequel l'armée dite des frontières accapare le pouvoir depuis juillet 1962.

Vous dites : "crimes du colonialisme ?"

Alors peut-être aurait-il fallu rendre le pays dans l'état où on l'avait trouvé en 1830, détruire les hôpitaux, les infrastructures, les ports, les voies de chemin de fer, les écoles, les puits de pétrole. Il aurait récupéré son bagne, son refuge de pirates et son marché aux esclaves.

Aurait-il fallu également ramener la population à son niveau d'origine, à peine 2 millions d'habitants en 1830 contre 10 millions en 1960 ? cela eût évité à l'oligarchie militaire et pétrolière la dure tâche d'avoir à la nourrir, tache à laquelle elle ne semble guère efficace.

Admettons. La colonisation a sans doute été globalement une erreur. Tout lecteur de Frédéric Bastiat le sait.

Et toutes les guerres contiennent leur part d'horreur. Les continuateurs du FLN algérien le savent mieux que personne. Leur technique de terrorisme barbare consistait à mettre en scène l'horreur pour tétaniser l'adversaire et radicaliser les antagonismes.

On pourrait multiplier les exemples. Citons simplement les massacres de Philippeville. Ils furent perpétrés en août 1955 contre les Européens, mais aussi contre les musulmans loyalistes, mais encore contre les notables musulmans modérés qui venaient de signer d'un appel condamnant "toute violence d’où qu’elle vienne".

Ne réécrivons pas ici l'Histoire de cet atroce conflit.

Ne prétendons pas qu'une répression conçue par des dirigeants socialistes parisiens aurait pu se réaliser sans tache. C'est le gouvernement socialiste de Guy Mollet qui inventa en 1956 l'envoi du contingent. C'est Mitterrand ministre de l'Intérieur en 1954 qui avait lancé la doctrine "une seule France de Dunkerque à Tamanrasset".

L'application ne pouvait être qualifiée de "fraîche et joyeuse".

Aucune guerre ne peut être considérée comme "fraîche et joyeuse", et ceci vaut particulièrement pour le vaincu.

Si la République jacobine, présidée par Monsieur Normal, veut exercer son talent de repentance, qu'elle commence par effacer de l'Arc de triomphe de l'Étoile le nom du général Turreau, l'homme des colonnes infernales en Vendée.

Enfin un mot sur la guerre coloniale : elle se conçoit sans doute la moins hideuse de toutes puisqu'elle ne se donne pas pour but de "détruire l'adversaire" (Clausewicz... et les jacobins en Vendée), mais de "le transformer en administré" (Galliéni).

Ayant participé en 1962, comme le fit à la même époque Gérard Longuet, à l'accueil en Métropole des rapatriés d'Algérie, je veux bien pardonner, chrétiennement, si on me le demande, et quoique je sois un tout petit chrétien. Mais je n'oublierai jamais.

Note

(1) BFMTV 31 octobre.

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La livraison de novembre décembre de la Nouvelle Revue d'Histoire

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“Le conflit du Trône et de l’Autel”, par Dominique Venner

Editorial de La Nouvelle Revue d’Histoire

N°63, novembre-décembre 2012

Tout grand évènement religieux a des causes politiques et historiques. Cette observation se vérifie particulièrement en Europe dans l’histoire du christianisme, en raison des liens étroits et conflictuels établis entre l’Église et l’État, le Sacerdoce et l’Empire, le Trône et l’Autel. Tel est le sujet du dossier de la NRH de novembre 2012 (n° 63). Si vous prenez le temps de le lire, vous découvrirez certainement une face des choses qui vous paraîtra neuve. L’étude historique comme nous la pratiquons n’a pas pour but de rabâcher les clichés entretenus par une transmission paresseuse des savoirs scolaires. Elle à pour but de nous donner des instruments pour comprendre les mystères du passé et ceux du présent afin de construire notre avenir.

Il existe bien d’autres religions (ou de sagesses religieuses) à travers le monde et d’origine vénérable, mais aucune n’a eu un destin comparable au christianisme, en ce sens où aucune n’a édifié sur la longue durée une telle institution de pouvoir se posant à la fois en rivale ou en appui du Trône ou de l’État. Analyser cette particularité excède naturellement les limites de cet éditorial (1). Je me limiterai donc à rappeler deux particularités historiques majeures.

À la suite d’une série d’imprévus historiques majeurs, à la fin du IVe siècle de notre ère, un culte d’origine orientale et en constants changements fut adopté comme religion d’État obligatoire d’un Empire romain devenu largement cosmopolite. Pour faire bref, je ne crois pas du tout à la vieille thèse selon laquelle la nouvelle religion aurait provoqué la décadence de l’Empire. En revanche, c’est évidemment parce que « Rome n’était plus dans Rome » depuis longtemps, que les empereurs, à la suite de Constantin et de Théodose (malgré l’opposition de Julien), décidèrent, pour des raisons hautement politiques, d’adopter cette religion.

En trois gros siècles (l’espace de temps qui nous sépare de Louis XIV), la petite secte juive des origine était devenue une institution sacerdotale frottée de philosophie grecque que saint Paul avait ouverte à tous les non-circoncis (Galates, 3-28), une religion qui se voulait désormais celle de tous les hommes.

Ce projet d’universalité chrétienne coïncidait avec l’ambition universelle de l’Empire. Il en était même le décalque, ce qui favorisa son adoption après des périodes de conflits (sans parler des nombreuses hérésies). Pour un empire à vocation universelle, une religion qui se voulait celle de tous les hommes convenait mieux que la religion des dieux autochtones de l’ancienne cité romaine. On pense rarement à cette réalité capitale. Tout plaidait politiquement en faveur de cette adoption, et les apologistes chrétiens n’ont pas manqué de le souligner. À la différence de l’ancienne religion civique, la nouvelle était individuelle et personnelle. Par la prière, chaque fidèle était en relation implorante avec le nouveau Dieu. Celui-ci ne s’opposait pas au pouvoir impérial : « Rendons à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ». Les difficultés surgiront ultérieurement sur la délimitation du territoire accordé à César (le Trône) et à Dieu (l’Autel).

Par la voix de saint Paul, l’Église naissante avait justifié l’autorité des Césars : « Tout pouvoir vient de Dieu » (Romains, 13). À la condition toutefois que les Césars lui reconnaissent le monopole de la religion et de la parole sacrée. À cet égard, l’Empire multiethnique de l’époque ne pouvait souhaiter mieux qu’une religion prête à le servir en unifiant tous les peuples et toutes les races dans l’adoration d’un même Dieu sans attache ethnique.

L’empereur Constantin, imité en cela par ses successeurs en Orient (Byzance) était bien décidé à intervenir dans les affaires d’une Église qu’il voulait soumise, et à mettre de l’ordre dans les disputes théologiques grosses de désordres. Son autorité s’imposa ainsi au Concile de Nicée (326) qui établit les fondements de l’orthodoxie catholique en donnant une assise au mystère de la trinité divine. Devenue obligatoire, ce qui impliquait la conversion de tout titulaire d’autorité, l’Église naissante devint une formidable machine de pouvoir, épousant les structures de cette non moins formidable institution qu’était l’Empire.

Un siècle après Constantin et Théodose, surgit un nouvel imprévu historique aux conséquences colossales. Depuis longtemps, le gigantisme de l’Empire avait conduit à le diviser en deux : empire d’Occident (capitale Rome en attendant Ravenne) et empire d’Orient (capitale Constantinople). Une primature était accordée à Constantinople en raison du déplacement oriental du centre géométrique, ethnique et économique, de l’Empire. Cela d’autant que la présence toujours accrue à l’Ouest de populations germaniques, dites « barbares », créait une instabilité mal maîtrisée.

C’est ainsi qu’en 476, le dernier empereur fantoche d’Occident (Augustule) fut déposé par un chef hérule nommé Odoacre qui renvoya les insignes impériaux à Constantinople. Cet évènement signait la fin discrète de l’empire d’Occident (2). Ne subsistaient à l’Ouest que deux pouvoirs issus partiellement de l’ancienne Rome. Celui d’abord des rois et chefs germaniques adoubés par l’Empire, qui sont à l’origine de tous les royaumes européens. Celui, ensuite, plus ou moins concurrent d’une Église, riche et puissante, représentée par ses évêques, héritiers de l’administration diocésaine romaine.

Ce serait trop simplifier les choses que de distinguer alors pouvoir politique et pouvoir religieux, tant ce dernier disposait d’une part notable de la richesse et de la puissance publique. Mais dans ce monde neuf d’un Occident en ébullition, vont apparaître bientôt deux autres pouvoirs juxtaposés aux précédents, celui du pape, évêque de Rome, et celui des empereurs d’Occident et de rois qui, à la façon de Philippe le Bel, se voudront « empereur en leur royaume ». Ainsi se dessine le cadre historique d’équilibres et de conflits qui se sont prolongés jusqu’à nous (2).

Dominique Venner

Notes

(1) J’ai développé les observations de cet éditorial dans mon livre Le Choc de l’Histoire (Via Romana, 2011). Notamment p. 108 et suivantes, que complètent les réflexions du chapitre Mystique et politique(p. 155).

(2) L’Empire d’Occident fut relevé en l’an 800 par Charlemagne, ce qui suscita l’irritation de l’empereur byzantin.

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Sète : la Ligue du Midi et Troisième voie contre le droit de vote des étrangers

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Lundi dernier, à 9 heures, une équipe de militants de la Ligue du Midi (Réseau-Identités) et de Troisième Voie se sont rendus à Sète dans le but de conspuer le député Sébastien Dénaja, élu de la 7ème circonscription de l’Hérault devant sa permanence située dans un immeuble bourgeois du centre-ville. La raison de cette visite matinale était simple: Sébastien Dénaja figure parmi les 77 députés socialistes qui ont décidé de faire pression sur le gouvernement afin qu’il accélère le passage de cette loi inique devant le Parlement réuni en congrès à Versailles. En effet, Sébastien Dénaja trouve que le gouvernement ne va pas assez vite et ne va pas assez loin.

 

Mais le gouvernement sait très bien que le peuple ne veut pas de cette loi et tente de reculer l’échéance. Alors le ministre de l’intérieur Manuel Valls a trouvé une solution. Si l’on ne peut pas faire voter les étrangers, il n’y a qu’à les naturaliser, sachant pertinemment que les immigrés votent à 80 % pour le Parti Socialiste. Ainsi, les députés BO-BO changent de stratégie: “Si le peuple vote mal, changeons de peuple”.

 

Quant à nous, patriotes, nationalistes ou identitaires, nous leur rétorquons que seul le peuple est en droit de se prononcer contre une politique d’immigration qui ne sert qu’à camoufler une substitution de population et c’est pourquoi nous exigeons la tenue d’un référendum.

 

Les protestataires, encouragés par de nombreux passants ou automobilistes, avaient déployé deux banderoles, rue général De Gaulle où ils ont lancé de nombreux slogans sous les fenêtres du député : ”Dénaja démission”, “Référendum! Référendum”, “Droit de vote des étrangers, République en danger”. À la fin de l’opération qui s’est déroulée dans la sérénité, plusieurs centaines de tracts ont été distribués dans les rues du centre-ville.

 

Ligue du Midi cliquez ici

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Erstein (Bas-Rhin) : le maire n’aura pas sa mosquée...

jmwiller_01.jpgQuand les citoyens décident de ne pas se laisser faire, ils peuvent empêcher la construction d’une mosquée dans leur quartier ou dans leur ville.


Alsace d'abord cliquez ici

 

Le maire d’Erstein, Jean-Marc Willer (en médaillon - NDLR), également conseiller régional élu en 2010 sur la liste PS, a la tête des mauvais jours depuis qu’il a appris, le jeudi 25 octobre dernier, l’échec de sa tentative d’imposer une mosquée aux habitants du quartier résidentiel du Bruhly.

 

Et pourtant, Jean-Marc Willer la voulait, sa mosquée. Il n’a pas ménagé sa peine, ni lésiné sur les manœuvres dilatoires et les mesures autoritaires pour imposer aux habitants de ce quartier résidentiel l’installation d’une mosquée et d’un centre culturel turcs.

 

Revenons au printemps 2009. Le maire annonce aux habitants du lotissement l’ouverture prochaine d’une épicerie à l’emplacement de l’ancienne petite COOP située en face de l’école du Briehly, à la satisfaction de tous, les gens étant ravis d’avoir à nouveau un commerce de proximité près de chez eux.

 

Mais la réalité est tout autre. En effet, fin octobre 2009, le maire prévient les habitants par courrier qu’un projet d’aménagement d’un lieu de culte musulman remplacera le projet d’épicerie. La réunion publique qui a eu lieu le 6 novembre 2009 était tout sauf une réunion de concertation. Le maire Jean-Marc Willer a refusé de tenir compte de l’avis des riverains, il s’est contenté d’expliquer qu’outre un lieu de culte, les Turcs disposeraient aussi en cet endroit d’une salle de danse et de musique. Comment un maire peut-il se soucier si peu de l’avis des habitants ? Et pourtant il était évident que les problèmes de stationnement et de circulation étaient réels.

 

Le maire passe en force

 

Jean-Marc Willer a voulu passer en force et a délivré en octobre 2010 un permis de construire mal ficelé. S’estimant certainement au-dessus des lois, il n’a respecté ni les règles des Établissements recevant du public (ERP), ni le Plan d’occupation du sol.

 

Mal lui en a pris. Les habitants ne se sont pas laissés faire. Réunis dans l’association “Bien vivre au Mittelholz“, ils ont déposé un recours contre le permis et ont confié le dossier à Me Pierre-Marie Bonneau, avocat au barreau de Toulouse. Le 13 septembre 2012, le Tribunal administratif a annulé le permis de construire. Le maire s’obstine et fait appel.

 

Occupation illégale ?

 

Chose étrange, pendant toute la durée de l’instruction du recours, l’association turque d’Erstein poursuit les travaux, et continue d’occuper les locaux. On peut se poser la question de savoir si les membres de l’association ont juridiquement le droit d’occuper les lieux, depuis que le tribunal de Nancy a définitivement annulé le permis. Cette occupation est-elle légale ? C’est du moins ce qu’affirme le maire avec beaucoup d’aplomb. Un arrêté municipal autorisant l’exploitation de cet ERP a-t-il été délivré ? En fait, l’occupation n’est pas légale. Mais le maire se garde bien de faire dresser un procès-verbal. Les Ersteinois qui doivent payer des contraventions pour un simple dépassement de temps de stationnement apprécieront moyennement.

 

En tout cas, l’occupation des lieux a permis de se faire une idée des conséquences et des nuisances : stationnement encombré en face des deux écoles maternelles, stationnement en double file et sur le trottoir, rassemblement de scooters et cyclomoteurs sur le terrain de jeux d’en face, installation de tables et chaises sur le trottoir, occupation bruyante tardive parfois jusqu’à trois heures du matin, etc.

 

Les juges annulent le permis

 

Le 25 octobre dernier, la Cour administrative d’appel de Nancy a rendu sa décision qui confirme celle du Tribunal de Strasbourg : le permis de construire est bel et bien annulé.

 

Jean-Marc Willer, sachant que la Cour d’appel lui donnerait tort, n’a pas attendu. Dès le 2 juillet 2012, il a accordé un nouveau permis à l’association turque qui avait déposé sa demande le 29 février 2012. Par quel tour de passe-passe les parkings qui étaient insuffisants pour le premier permis seraient-ils suffisants pour ce nouveau permis ? La réponse ressemble à un gag : les Turcs ont “découvert“ qu’il y aura moins de fidèles qu’ils ne l’avaient déclaré deux ans plus tôt, car un musulman qui prie à genoux occupe plus de places qu’un fidèle qui prie debout. On divise la superficie de la salle de prière par la surface d’un tapis de prière, et hop ! le nombre de personnes fréquentant la mosquée diminue d’un seul coup. À cela on ajoute quelques parkings fictifs, et le tour est joué.

 

Histoire de sous et de subventions

 

Mais pour qui le maire prend-il les magistrats ? et les Ersteinois ? En tout cas, Me Bonneau, pour le compte de l’association “Bien vivre au Mittelholz“ a aussitôt déposé un nouveau recours.

 

Pourquoi Jean-Marc Willer s’obstine-t-il ainsi ? La réponse est une histoire de gros sous. Il faut savoir que le maire a fait voter une subvention de 65 000 € en faveur l’association turque, pour les travaux, et que le Conseil général du Bas-Rhin a aussi accordé une somme de 30 000 €. On comprend l’exaspération des habitants du lotissement. Non seulement on leur impose une mosquée, mais en plus le maire la fait financer avec l’argent du contribuable. Or ces subventions ont été accordées alors qu’il y avait un recours contre le permis. Et maintenant que le permis est annulé, qu’en est-il de ces subventions ? Comment va réagir la communauté turque à qui le maire avait donné toutes les assurances ? Pourtant l’association “Bien vivre au Mittelholz“ avait maintes et maintes fois demandé au maire de revoir sa position.

 

Cette histoire a profondément choqué les Ersteinois, et elle n’est pas finie. Bien entendu, nous vous tiendrons informés de ses prolongements.

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mercredi, 31 octobre 2012

Luc Bellanger nous a quitté...

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Luc Bellanger était un camarade et surtout un ami.

Il avait été un des piliers de l’organisation de la soupe au cochon organisée en 2005 et 2006 à Strasbourg par Solidarité alsacienne et qui fit à cette époque beaucoup de bruit, y compris dans la presse internationale, russe, iranienne, japonaise, etc… Cet ancien officier du Corps franco-allemand, qui fit plusieurs séjours en Bosnie, fut à mes côtés, avec son épouse Judith, un des combattants déterminé de la résistance nationale et européenne en Alsace.

Dès le lancement de Synthèse nationale, en 2006, il nous apporta son soutien et il participa activement à l'organisation de nos premières Journées nationales et identitaires. Hélas, il ne fut pas des nôtres l'an dernier car la maladie avait déjà commencé son sale travail.

Il vient de nous quitter à l’âge de 59 ans. Lucas, comme nous l'appelions tous, marche désormais en esprit dans nos rangs.

Robert Spieler

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Hellemes et les nomades : premier recul, le maire n'ose plus affronter les opposants !

100002021.jpgYves Darchicourt

Courage, fuyons ! Frédéric Marchand s'est dégonflé et a annulé au dernier moment la réunion "d'information" qu'il avait prévu de tenir hier à Hellemmes ! Echaudé par l'ampleur de la manifestation de protestation de la semaine dernière, le petit bobo - qui a pleurniché derechef devant la serpillère journalistique de service à France 3 Lille - n'ose plus affronter ses administrés excédés par son obstination à vouloir installer à demeure cinq familles de nomades réunies en un village dit d'insertion dans un parc de la commune. Obstination assurément maladive dans un projet idéologique qui ne présente aucun intérêt pour la cité d'Hellemmes dont il va grever le budget sans retombées positives pour les contribuables.

Cinq familles seulement avance l'édile pour enrober son projet. C'est là ignorer ou faire semblant d'ignorer que la notion de "famille" chez les nomades est du genre extensible et correspond plutôt à celle de "clan" qui a vocation à réunir un nombre conséquent d'individus, d'autant que le "village" risque de devenir un pôle d'attraction pour les quelques 3 000 nomades qui stagnent sur la périphérie de la communauté d'agglomération lilloise. Mais le risque de déferlante nomade sur Hellemmes n'indispose pas le socialo-bobo englué dans ses certitudes "humanistes" : avouant ainsi son profond mépris pour le populaire au front bas qui ose critiquer ses décisions, il n'avait d'ailleurs pas hésité à éructer " c'est moi qui commande ! il y aura un village d'insertion pour roms à Hellemmes !" De mâles propos tenus avant la démonstration d'hostilité générale de la semaine dernière... depuis il n'a même plus le courage de tenir une réunion publique ! Le village "rom" de l'utopiste a peut-être du plomb dans l'aile !

Lire aussi cliquez là et cliquez ici

14:07 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les voies et les voix du djihâd...

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Pierre Vial

Terre et peuple cliquez là

Des affaires récentes et en particulier, début octobre, le démantèlement par la police d’un réseau islamiste, à Cannes, à Strasbourg et en région parisienne illustrent des tendances qui s’affirment au sein du salafisme.

Celui-ci recrute de plus en plus de jeunes Français (Français de papiers et non de sang puisque beaucoup sont d’origine africaine ou antillaise). Ils sont souvent recrutés en prison (de l’aveu même des autorités, la majorité des détenus sont musulmans…) où des militants islamistes sèment « la bonne parole », en fournissant à des gens souvent paumés et incultes une conscience identitaire à base religieuse et le réconfort d’appartenir à une communauté solidaire, active, bien organisée. On sait à quel point la prison peut être une école révolutionnaire efficace.

Pour éviter aux nouveaux convertis de se faire repérer, il leur est parfois conseillé d’éviter de manifester des signes extérieurs d’islamisme : pas de prières ostentatoires, pas de respect du ramadan, pas de tenue identifiable… et même consigne de manger du cochon et de boire de l’alcool, pour tromper l’ennemi.

Des responsables officiels musulmans se donnent beaucoup de peine pour nier l’évidence, en assurant que le djihadisme « n’a rien à voir avec l’islam »… Il suffit de lire le Coran pour comprendre l’hypocrisie de telles affirmations.

Le ministre de l’intérieur (et des cultes) Manuel Valls s’exerce à l’art difficile du grand écart : devant les évidentes manifestations d’antisémitisme des salafistes, il lui faut rassurer la communauté juive, à laquelle appartient sa femme (sur Radio Judaica, de Strasbourg, il a déclaré : « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël »). Mais, en même temps, il tend la perche aux musulmans, en déclarant qu’il ne faut pas jeter « l’opprobre sur nos concitoyens de confession musulmane ». Des discours chèvre chou qui risquent de ne satisfaire ni les uns ni les autres….

10:15 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Et la rue d’Isly, M. le Président ?

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Bernard Lugan

Boulevard Voltaire cliquez ici

François Hollande a des émotions sélectives et il pratique une repentance à la carte.

Au nom de la France, il a ainsi cautionné le mythe de « la maison des esclaves » de Gorée alors que, pour les historiens, il s’agit d’une légende.

Il a ensuite fait de même avec le prétendu massacre du 17 octobre 1961 à Paris alors qu’il a été démontré qu’il s’agissait d’un montage réalisé à l’époque par le FLN et son allié privilégié, le Parti communiste français.

Amplement reprises par les médias d’aujourd’hui avec des commentaires décalés et contraires aux images présentées, les archives de l’INA nous montrent certes des Algériens arrêtés, parqués dans des stations de métro, entassés dans des cars de police et même recevant des coups plus ou moins violents. Mais de morts, point.

Ce qui n’est d’ailleurs guère étonnant puisque le 17 octobre, l’Institut médico-légal de Paris, la Morgue, n’enregistra pas d’entrée de corps de manifestants. Pas davantage d’ailleurs les jours suivants… De plus, la plupart des Algériens tués ou noyés durant ce mois d’octobre et pendant toute l’année 1961, le furent, non par la police, mais par le FLN qui pourchassait alors impitoyablement les partisans de la France et ceux du MNA de Messali Hadj.

Tout cela a été écrit, démontré, étayé ; je me bornerai à ce sujet à renvoyer au rapport Mandelkern et aux ouvrages de Jean-Paul Brunet. Cependant, aveuglé par l’ethno-masochisme, le président Hollande a, comme Jean-Jacques Rousseau avant lui, décidé d’écarter les faits puisqu’ils sont contraires à son idéologie.

Le président de « tous les Français » est en revanche demeuré bien silencieux sur un vrai massacre opéré sous l’objectif des caméras et par l’armée française dont une unité fusilla à bout portant une foule française pacifique. Sur ce massacre qui dura plus de 15 minutes, nous avons des images, nous connaissons les noms des victimes, enfants, femmes et hommes. Nous ne sommes donc ni dans le fantasme, ni dans les morts imaginaires, pas davantage dans l’inflation victimaire.

Il s’agit de la tuerie de la rue d’Isly qui se produisit le 26 mars 1962 devant la Grande Poste d’Alger quand des civils non armés furent « tirés comme des lapins », notamment au fusil-mitrailleur, par une section du 4e régiment de Tirailleurs. Selon les chiffres officiels, ces tirs dans la foule firent 46 morts et des centaines de blessés. En réalité bien plus.

A la différence du 17 octobre 1961, ici, pas de commission d’enquête, pas de reconnaissance de responsabilité. Rien de plus « normal » en somme car ces victimes-là n’ont rien pour attirer sur elles la commisération des « gentils ». Elles sont en effet françaises et elles avaient eu l’audace de demander à le rester… Une telle exigence aussi insupportable qu’anachronique ne méritait-elle pas châtiment ?

09:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 30 octobre 2012

Bernard Lugan : "LA COUPE DE LA REPENTANCE DEBORDE !"


La coupe de la repentance déborde par BernardLugan

19:11 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Prêche de La Mecque à usage du pélerin musulman : la charia toujours et partout !

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Yves Darchicourt

Ce visage tellement avenant est celui de Abdelaziz Al-cheikh, le fort sympathique "grand" mufti du royaume chamelier d'Arabie Saoudite. Dans un prêche éructé la semaine dernière sur le mont Arafat près de La Mecque à l'occasion d'un des temps forts du pélerinage mahométan, il a vigoureusement appelé à la destruction de ce qui restait d'édifices religieux chrétiens dans toute la péninsule arabique et rappelé que la charia doit être la source unique de toute législation et qu'elle s'applique à tous les aspects de la vie, en tout lieu et en tout temps.

Un message à destination première des populations des pays qui - à l'occasion des révolutions du printemps arabe si niaisement épaulées par les pays occidentaux - font désormais la part belle aux islamistes les plus radicaux comme notamment la Tunisie et l'Egypte. Ce message de tolérance, de paix et d'amour est sans nul doute aussi parvenu aux oreilles des membres des communautés mahométanes de France et d'Europe constamment renforcées - outre par leur natalité galopante - de nouveaux arrivants formant les gros bataillon d'une immigration planétaire facilitée par les inconscients et les collabos suicidaires du mondialisme et du brassage des peuples.

Les paroles du prédicateur arabe, lancées devant quelques 2,5 millions de pélerins, n'ont guère été répercutées par les médias "français" ! D'autant que l'homme muftisait haut et fort la nécessité pour la nation islamique de s'ancrer dans son identité... une défense de l'identité qui est condamnée quand elle est une revendication de peuples européens et qui est systématiquement matraquée par ces mêmes médias aux ordres du politiquement correct. Des paroles de programme politique d'islamisation du monde qu'il importe de faire connaître à nos congénères : Rassemblement Résistance Reconquête !

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Marie-France Garaud chez Frédéric Taddei : il n'y a plus d'Etat...

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Chronique de la France asservie et résistante...

Photo 001.jpgRobert Spieler

RIVAROL N° 3066 du 26/10/2012

« Les socialistes, ils ne sont pas mauvais ; ils sont nuls ! » Ce sont les propos qu’il tient à ses visiteurs qu’il reçoit dans ses bureaux financés par l’Etat, 77 rue de Miromesnil, à deux pas de l’Elysée. Nicolas Sarkozy n’a pas de propos assez durs pour fustiger « l’amateurisme » de Hollande, son « manque de réactivité », ses « mensonges de campagne ».

 

NICOLAS SARKOZY EXTERMINE HOLLANDE

 

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Sa présidence normale ? « Une imbécillité ! Il a pris le train une fois et puis quoi ? Quand on fait ce métier, c’est qu’on n’est pas normal. Il faut de l’autorité, personne n’admire un homme normal ! » Le couturier Karl Lagerfeld se retrouve sur la même ligne. Dans une interview accordée, il y a quelques jours, à l’édition espagnole du magazine Marie-Claire, il explique : « Cet imbécile, il sera aussi désastreux que Zapatero (l’ancien premier ministre espagnol) ». Les premiers pas de Hollande avec sa chancelière Merkel ? Commentaire de Sarkozy : « Avant, nous étions deux à diriger l’Europe. Maintenant, elle est seule. Où est la France sur le plan international ? » Quant à sa politique économique, « la création de fonctionnaires est une aberration. » « La situation économique se dégrade très vite », constate-t-il. « Il risque d’y avoir une crise violente et grave ; ça va déraper. » Sans doute Sarkozy n’a-t-il pas tort, mais il serait peut-être pertinent de s’interroger sur ses responsabilités dans l’émergence de cette crise. Mais Sarkozy est en pleine forme pour se moquer du couple présidentiel. Il leur a trouvé un surnom, après les avoir vus se promener en short sur les plages du Lavandou, cet été : les Bidochon. Sarkozy s’amuse : « Tu sais quel est mon meilleur attaché de presse en ce moment ? » Réponse : « François Hollande. » Sarkozy rêve évidemment d’un retour. Il sait que cela ne sera pas facile, d’autant que certains de ses “amis” s’emploient à lui savonner la planche. C’est le cas de ce sournois de Xavier Bertrand qui a déclaré sur Europe 1 qu’il se présentera aux primaires présidentielles de 2016 à l’UMP, y compris contre lui. En voilà un qui, le moment venu, sera fusillé d’importance… Quant à son retour éventuel, Sarkozy minaude : « Je n’en ai pas très envie, mais je vais peut-être être obligé de le faire », a-t-il confié récemment à un ancien ministre. Ou encore : « Non, je ne reviendrai pas, mais les Français le voudront peut-être. Alors, je ne pourrai pas me dérober. » C’est grandiose. C’est du De Gaulle à Colombey… En fait, déclare un de ses amis : « Son schéma c’est : Hollande va se planter, Copé et Fillon ne seront pas au niveau, je serai regretté, donc je reviendrai. » Quant à la bataille pour la présidence de l’UMP, il veille à rester neutre, même s’il souhaite la victoire de Copé : « J’ai besoin d’amis dans les deux camps », déclare-t-il. Il crédite Fillon de 55 % des suffrages. Mais en attendant, il mène une très discrète campagne pour préparer son retour. Il serre des mains. C’était le cas, il y a trois semaines, lors du match de foot PSG-Bordeaux. Il y a rencontré notamment Malek Boutih, député du PS, qui a commenté : « Je suis persuadé qu’il va revenir. Personne à droite n’est à sa hauteur. »

 

CE RIDICULE PRIX NOBEL DE LA PAIX

 

L’attribution du prix Nobel de la Paix à l’Union Européenne suscite l’ironie, si ce n’est l’hilarité d’un certain nombre d’insolents. L’eurodéputé Nigel Farage se montre très humaniste, dans le registre morsure de cobra tendance britannique. Il déclare que l’attribution de ce prix à l’UE « montre que les Norvégiens ont un réel sens de l’humour ». Il relève que « l’UE a créé de la pauvreté et du chômage pour des millions de gens. » En France, Jean-Luc Mélenchon a décerné le prix de « l’humour noir » au comité Nobel de la Paix. Il écrit : « Certes, l’Union européenne a garanti la paix aux marchés financiers, aux spéculateurs et aux profits bancaires. Mais ne mène-t-elle pas une guerre contre les peuples qui la composent et leurs droits sociaux ? » Assez bien vu… Le NPA rappelle qu’ « Obama avait aussi reçu le prix Nobel de la Paix, lui le chef d’Etat de la plus grande puissance militaire de la planète. Aujourd’hui, c’est le tour de leur principal allié. Un nouveau geste de propagande pour le compte des maîtres du monde ! ». Marine Le Pen souligne, elle aussi, et fort justement, que l’attribution du prix à l’UE, « trois ans après Barack Obama, l’homme de toutes les guerres, montre la faillite totale du comité Nobel. » Elle conclut : « Le comité Nobel s’est discrédité à jamais. »

 

LA MÉGÈRE APPRIVOISÉE VERSE DANS L’HUMANITAIRE

 

François Hollande vient, paraît-il, de faire une tournée africaine, où il a rencontré un certain nombre de tyranneaux locaux, dont le président congolais, Kabila : un merveilleux exemple de despotisme africain. Valérie Trierweiler, qui l’accompagnait, y aurait eu une soudaine et congolaise illumination : « Maintenant tout est clair, je sais ce que je veux faire » se serait exclamée la mégère repentie. Elle veut se lancer dans l’humanitaire. Comme l’écrit excellemment notre ami rivarolien Yves Darchicourt sur son blog : « L’humanitaire sauce bobo évidemment, l’humanitaire sélectif, lointain et exotique qui préfère s’exprimer sur le Zambèze plutôt qu’en Corrèze : le Gaulois dans la misère n’intéresse pas les branchés et c’est tellement plus médiatique de donner dans le style Kouchner au sac à riz. Et puis, ça va lui permettre de voyager équatorial en hiver, du tout bon pour la dame mais aussi pour son Roudoudou soulagé de savoir que les éventuelles frasques verbales de la mégère n’arriveront qu’étouffées en France. »

 

JEAN-MARIE LE PEN, MIS EN MINORITÉ AU FN

 

Cela s’est passé, il y a quelques jours, lors d’une réunion du Bureau Politique du Front national. Le secrétaire général, Steeve Briois, avait décidé de relever Mme Haas, responsable départementale du Finistère, de ses fonctions, pour la remplacer par son adjoint. Ce cadre historique du FN, qui pilotait la fédération depuis 15 ans, avait l’immense tort d’avoir des sympathies pour Bruno Gollnish. JMLP s’est opposé à cette décision. Un vote eut lieu.Sur la trentaine ou quarantaine de membres du BP présents, seuls cinq suivirent l’ancien président. On imagine sa fureur…

 

C’est une information erronée que j’avais livrée aux lecteurs de RIVAROL, et je tiens à m’en excuser auprès d’eux et aussi auprès d’Audrey Pulvar, la compagne médiatique d’Arnaud Montebourg. Je racontais qu’elle s’était offert des lunettes dont le modeste coût était de 12 000 euros. Il est vrai qu’il s’agit de lunettes sur mesure chez un haut lunetier du Palais-Royal, à Paris, la très luxueuse Maison Bonnet. Mais 12 000 euros ? Pulvar parle de « grave délire ». En fait, la patronne de l’hebdo gauche caviar Les Inrocks n’a pas tort. Ses lunettes, comme le raconte le Canard Enchaîné, ne coûtent pas 12 000 euros, mais 15 000…

 

KAWASHIMA ! FUKUSHIMA !

 

Certes, ce n’est pas de très bon goût, mais je trouve l’histoire assez drôle. Le gardien de but de l’équipe du Japon, équipe qui a battu 1-0 l’équipe de France de football, s’appelle Eiji Kawashima. Son nom rime avec Fukushima, où a eu lieu un tremblement de terre, suivi d’un tsunami qui a gravement endommagé une centrale nucléaire. Bilan : 15 000 morts et 3 000 disparus. Eiji Kawashima évolue comme gardien de but au Standard de Liège. Il avait fort peu apprécié que des spectateurs se mettent à crier « Kawashima ! Fukushima ! » après une prestation quelque peu ratée, et était sorti en pleurs du terrain. Voici que Laurent Ruquier en remet une couche, en diffusant un montage photo dans l’une de ses émissions, montrant le gardien nippon avec quatre bras tout en expliquant que c’était « l’effet Fukushima ». Cela a fait rire (presque) tout le monde, mais pas du tout les Japonais. Le vice-Premier ministre Osamu Fujimura a envoyé une lettre de protestation officielle à France 2, qui a fini par s’excuser…

 

VAGUE ANTISÉMITE SUR TWITTER

 

Un mot clé, “Unbonjuif” sur Twitter a semé l’effroi, entraînant un « record de propos antisémites ». Ce qu’en terme technique on appelle un “Hashtag” est arrivé parmi les mots clé les plus diffusés et a donné lieu à un nombre record de tweets antisémites. Dans le registre : « Un bon juif est un juif mort » ou « Un bon juif est un juif bien cuit ». Ce mot clé est arrivé le 10 octobre parmi les trois les plus diffusés et donc mis en une par Twitter. On ignore, pour l’instant si Trierweiler y est allée de son commentaire mais l’Union des Etudiants Juifs de France vient de demander un « rendez-vous d’urgence » avec Twitter France et « envisage de porter plainte ». Problème : le réseau est entièrement libre et assez difficile à contrôler…

 

UNE ADJOINTE AU MAIRE DE PARIS DES PLUS BIZARRES

 

Florence Lamblin est cette adjointe au maire, élue parisienne écologiste, mise en examen, il y a deux semaines, pour « blanchiment d’argent en bande organisée » et « association de malfaiteurs » après le démantèlement d’un réseau franco-suisse de blanchiment lié à un important trafic de drogue. La police avait trouvé plusieurs centaines de milliers d’euros planqués chez elle. Le maire de Paris, Bertrand Delanoë, mais aussi Cécile Duflot, la ministre responsable des Verts, ont demandé sa démission de son mandat. On imagine qu’ils disposent d’informations accablantes, car chez ces gens-là, la solidarité est plutôt la règle. On en apprend de belles. Selon Paris-Match et Le Canard Enchaîné, l’adjointe au maire du 13e arrondissement, architecte et urbaniste de profession, possède 40 % des parts d’une société, Kobisha Sarl, immatriculée à son domicile, qui édite le site sexecolo.com. Le site prône une « écologie festive et non culpabilisante », et propose notamment une gamme de godemichés et de canards vibrants. Ce n’est pas tout. On peut aussi y acheter un « lubrifiant anal à l’extrait naturel de goyave » et des DVD X « certifiés sans silicone ». Sexecolo.com propose une page de conseils favorisant le « romantisme bio ». Celle-là est grandiose, on ne l’avait jamais entendue. Le romantisme bio ? « Prendre une douche ou un bain à deux pour économiser l’eau » ; « se sécher avec des serviettes bio ou du commerce équitable. » En attendant, Florence Lamblin a, nonobstant son humanisme écologiste, de lourds soucis à se faire…

 

SOCIALISTE ? EX-DÉPUTÉ ? ET HOP, EN GARDE À VUE !

 

Grands restaurants, factures de parking dans les aéroports, de nombreux déplacements à l’étranger. Tous ses frais personnels étaient réglés avec la carte bleue de la Soginorpa, un bailleur social dont Jean-Pierre Kucheida, alors député socialiste dans le Pas-de-Calais, et toujours maire de Liévin, était le président. C’était la belle vie : 47 000 euros soupçonnés d’avoir été détournés, ce n’est quand même pas le bout du monde. Mais les gens sont méchants. Le commissaire aux comptes de la Soginorpa a alerté la police pour de nombreuses irrégularités. Du coup, Kocheida s’est retrouvé placé en garde à vue mercredi 17 octobre pour « abus de biens sociaux ». Convoqué par la police judiciaire de Lille, il geint, il ratiocine, il cherche à faire pleurer dans les chaumières. Son propos est beau, sobre et émouvant, reconnaissons-le. S’adressant aux journalistes présents devant le commissariat de police de Douai où il allait être interrogé, il leur a dit, cherchant à les culpabiliser : « Je suis très heureux que vous soyez aussi nombreux à la rencontre d’un défenseur du bassin minier depuis quarante-deux ans ». Kucheida a beau geindre, les magistrats ne s’en sont pas laissé compter. Quatre enquêtes préliminaires ont été ouvertes par le parquet de Lille au sujet d’accusations de financement occulte de la fédération PS du Pas-de-Calais. Et la fille de Kucheida, Marie, chargée de mission au conseil régional Nord-Pas-de-Calais a aussi été placée en garde à vue pour « recel d’abus de biens sociaux. »

 

FIDEL CASTRO AVAIT RECRUTÉ D’ANCIENS OFFICIERS SS

 

Ce sont des documents déclassifiés des services de renseignements extérieurs allemands (BND) qui le révèlent. En 1962, en pleine crise des missiles, Cuba avait recruté d’anciens officiers SS, pour former ses troupes. La révélation de l’existence de missiles installés à Cuba par les Soviétiques avait, on s’en souvient, manqué de déclencher une guerre nucléaire. Fidel Castro avait offert aux anciens nazis des salaires quatre fois supérieurs au salaire moyen en Allemagne. Il avait aussi, selon le quotidien Die Welt, tenté de recruter des parachutistes et des officiers du génie. D’après ces documents, Cuba aurait aussi négocié l’achat de 4 000 fusils mitrailleurs de fabrication belge, auprès de deux trafiquants liés à l’extrême-droite allemande. Pourquoi ces étranges connections qui auraient fait hurler de frayeur la grande admiratrice de Fidel Castro qu’était Danielle Mitterrand ? En fait Cuba voulait se libérer quelque peu de sa totale dépendance vis-à-vis du soutien matériel et logistique soviétique.

 

UNE FEMME DE 82 ANS QUI EN A…

 

Ça se passe en Autriche, et nulle part ailleurs. Une grand-mère de 82 ans se rend à la banque du petit village de Sankt-Egyden, situé dans l’est de l’Autriche. Damned, voici un braqueur qui sort son arme et récupère un sac de billets de banque. Ni une, ni deux, elle lui arrache son masque, puis son sac, lui lançant : « L’argent appartient à la banque. » Le braqueur, qui sera identifié très rapidement, a pris la fuite et sera interpellé quelques heures plus tard. La grand-mère explique : « Peut-être que je regarde trop souvent des séries policières à la télévision. Des hommes se trouvaient également autour. Mais aucun n’a levé le petit doigt. »

 

Chaque vendredi, retrouvez la chronique de Robert Spieler dans Rivarol (3,50€, chez votre marchand de journaux).

14:13 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le monopole du bitume...

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de Philippe Randa

S’il y en a un qui a retenu la leçon, c’est bien Jean-François Copé, actuel secrétaire général de l’UMP et candidat à la présidence de ce parti. Quelle leçon ? Celle qu’a érigé en modèle de conquête élyséenne Nicolas Sarkozy, le premier président de ce parti, justement.

À défaut d’avoir brillé durant son quinquennat à la tête de notre pays, celui-ci était passé maître dans l’art de la communication, soit, pour parler comme les « djeuns » –et comme les moins « djeuns » d’ailleurs – de la manière de « faire du buzz ». Et pas seulement sur Internet.

La déclaration-menace de JFC de faire descendre dans la rue « les Françaises et les Français qui s’indignent et qui s’inquiètent pour l’avenir de notre pays et des enfants de France » a fait mouche : toute la gauche s’est immédiatement étranglée d’indignation… et son rival François Fillon en est resté muet de stupéfaction !

La droite dans la rue ! En voilà une idée ! Une idée saugrenue pour certains, jugée peu convenable par les plus bourgeois dans les rangs UMP… et carrément odieuse par la gauche qui voit là un véritable hold-up sur ses traditions.

Car pour la gauche et ses ténors, elle seule est habilitée à occuper les rues pour brailler… Voilà maintenant plus de six décennies qu’elle s’est appropriée le monopole du bitume et c’est au moment où elle contrôle la totalité des institutions politiques, qu’elle a réalisé le Grand Chelem des victoires électorales, qu’un malapris lui dispute son terrain de revendications habituels.

Ceux qui ont quelques connaissances historiques savent qu’avant la dernière guerre mondiale, la rue était loin d’appartenir à la gauche… De l’Action française aux Croix-de-Feu, puis au Parti social français du colonel de La Roque, en passant par de multiples autres formations plus ou moins importantes, mais plus nationales que socialistes, c’était à celui qui tiendrait le pavé le plus haut… Et le 6 février 1934, il s’en est fallu d’un pont que les députés faillis soient « pendus à la lanterne »… D’un pont et d’un chef !

Mais ce n’est sans doute pas à cette époque-là que songe Jean-François Copé. Ses connaissances historiques de la France ne vont pas s’y loin. Lui se contente de songer au défilé de 1984 contre le projet de loi Savary, à Versailles, où un million de personnes avaient manifesté pour la défense de l’école libre. Le projet de loi visant à la création d’un grand service public de l’éducation, projeté par Alain Savary, alors ministre de l’Éducation nationale, fut alors retiré par François Mitterrand. La rue avait fait reculer le Pouvoir. 30 ans après, la gauche en fait encore des cauchemars.

On imagine donc la terreur des caciques à la rose sous le nez desquels le responsable de l’UMP agite le spectre de manifestations possibles pour contrecarrer les projets de lois accordant le droit de vote aux immigrés ou le mariage des couples homosexuels et leurs droits à l’adoption d’enfants.

Il est facile de brandir des sondages affirmant qu’une majorité de plus en plus grande de Français est favorable à ces deux mesures… Mais sans doute serait-il plus difficile d’ignorer des centaines de milliers de Françaises et de Français qui battraient le pavé pour affirmer leur opposition à de tels obsessions spécifiques d’une France d’en haut sortie de l’ENA ou des rangs trotskystes…

Imaginons une manifestation contre le droit de vote des immigrés au premier rang de laquelle défileraient les ex-salariés d’Hermès-Métal, de Carrefour, de Viveo, de PSA, de Cofinoga, de la sidérurgie lorraine, etc., etc.

Et une autre contre le mariage et l’adoption accordés aux couples homosexuels dans laquelle se côtoyeraient catholiques, musulmans et juifs, tous unis, pour un jour et une cause, tous choqués pareillement en leur âme et conscience face à une réforme qui bouleversera la structure familiale, fera disparaître les notions de père et mère du Code civil et engagera l’avenir de milliers d’enfants…

En mai 68, c’était sous les pavés, la plage… et désormais, sur le bitume, si c’était le peuple ? Chiche !

14:10 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi soir : l'Action française au Local...

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07:29 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 29 octobre 2012

Ils prendront la parole le dimanche 11 novembre prochain lors de la VIe journée de Synthèse nationale :

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19:37 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Marmande (Lot-et-Garonne) : les militants de Troisième Voie manifestent contre l'attribution du droit de vote aux immigrés devant la permanence socialiste....

19:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

HELLEMMES (59) : LA COLERE MONTE !


Hellemmes : dérapage lors de la manifestation... par nordeclair

Des habitants de la ville d’Hellemmes, dans la banlieue de Lille, ont manifesté samedi contre l’implantation prochaine d’un village d’insertion pour cinq familles roms.

Farouchement opposés au projet, et rassemblés sous le slogan « Cysoing [ville où les habitants ont réussi à stopper un projet similaire] y est arrivé, Hellemmes y arrivera », les opposants ont défilé devant le chantier du village, avant de rallier la mairie, raconte Nord Eclair.

Le groupe de 200 personnes a fini par trouver le maire, Frédéric Marchand, dans une salle communale. L’élu a été pris à partie par la foule, qui lui a demandé pêle-mêle d’accueillir les Roms dans son jardin et d’aider « les vrais Hellemmois ».

Source Blog de Thomas Joly cliquez là

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18:13 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Redevance télé : le bourrage de crâne encore plus cher !

1005998689_2.jpgYves Darchicourt

En 2013, la redevance de l'odieux-visuel va probablement augmenter de 4,80% pour atteindre 131€ : soit 4 euros de taxe supplémentaire inscrite dans le prochain budget conconcté par Pierre Moscovoci et 2€ de plus à la demande du sénateur socialiste David Assouline.

Les deux socialo-bobos, communautairement soudés et également passés par la case gauchiste avant de s'adonner aux délices de la gauche caviar, ont évidemment toutes les raisons de sur-taxer les français au profit des chaînes télévisuelles publiques qui - comme les filles du même nom - entolent les téléspectateurs à longueur d'année en leur vendant du "politiquement correct" à toutes les sauces. Encore plus d'argent donc pour les reportages partisans, les informations tronquées, les faux débats, les mensonges historiques, les thèses farfelues, les béatitudes "anti-racistes", la repentance, l'auto-flagellation, le shoah business, les débilités people, la glorification du métissage, l'exemplarité de l'immigration-chance-pour-la-France, l'apothéose pédérastique... bref, encore plus d'argent pour les journaleux brosse à reluire, les spécialistes auto-proclamés, les désinformateurs patentés, les acteurs ratées, les réalisateurs correctement engagés, les enragés du dénigrement de tout ce qui est européen, identitaire, national, traditionnel et naturel.

La redevance télé est la taxe la plus injuste et la plus injustifiée quand on sait que ses bénéficiaires engrangent déjà les profits de la publicité. Les "patrons" et les "acteurs" des chaînes publiques sont issus du même moule politiquement correct et scrupuleusement sélectionnés par les "pousse-carrière" sur la base de la flexibilité de leur colonne vertébrale et leur dévouement au mondialisme rampant. Le bourrage de crâne va continuer de plus belle et le télespectateur hypnotisé va payer encore plus pour çà. On ne peut guère qu'appeler au boycott des racketteurs en attendant que vienne le temps du coup de balai audiovisuel : Rassemblement Résistance Reconquête !

16:04 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |