samedi, 06 octobre 2012
Le nouveau numéro du Livr'arbitres est paru :
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Grenoble : Papa Hollande est allé se montrer à ses petits "jeunes" !
Yves Darchicourt
Lundi dernier, par le plus grand des hasards juste avant l'ouverture des journaux télévisés : François Hollande et Manuel "Kippa" Valls, au milieu d'une foultitude de caméras et de micros et couverts par un imposant cortège policier, se sont fort courageusement hasardés aux abords d'un de ces "quartiers sensibles" qu'ils ne connaissent que par ouïe-dire. Un peu comme Sarközy pérorant sur la dalle d'Argenteuil ou à La Courneuve, juste pour s'affirmer concerné par les problèmes d'insécurité. Mais pas question de donner dans le style épurateur au kärcher, Roudoudou lui serait plutôt du genre à gronder gentiment et à passer timidement la serpillère pour ne pas effaroucher les petits "jeunes" déjà tellement stigmatisés par ces gaulois incurablement racistes.
Et d'ailleurs Manuel"Kippa" l'a dit dans le poste : François Hollande est allé là-bas comme un père (...) pour apaiser, rassembler, bref pour se présenter aux racailles comme un papa compréhensif mais capable quand même de faire preuve de fermeté : gare à ceux qui ne comprendraient pas que notre société a besoin de répères, de règles, d'interdits...Papa Hollande incarne l'autorité a même osé dire le Tartarin de l'Intérieur : message sans doute reçu cinq sur cinq par les racailles allogènes suburbains entre deux éclats de rire en s'entendant menacés d'aller au coin ou de se voir retirer une image, car il n'est évidemment pas même question du martinet.
Ridicule platitude, pitoyable pantalonnade, atterrante démonstration indigne du chef d'Etat d'un pays confronté à une vague d'insécurité générale sans précédent et où, derrière la multiplication des affrontements communautaires, pointent les prémisses de la guerre civile. Nouvelle démonstration, si besoin était, que pour leur sécurité, leur survie, les Gaulois n'ont rien à attendre du minus habens élyséen, de sa cour et de ses valets. Rassemblement ! Résistance ! Reconquête !
14:41 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La droite impossible. Essai sur le clivage droite-gauche en France proposé par Yves-Marie Adeline, aux Editions de Chiré :
A l'heure où paraît ce livre, la gauche détient tous les pouvoirs politiques en France, ne laissant à la droite que quelques rares grandes villes, une minorité de départements, et une seule région sur vingt-deux.
Elle possède en outre la quasi-totalité du secteur "métapolitique" qui façonne les esprits et oriente l'opinion : enseignement, culture, édition, médias, presse... les quotidiens et mensuels de droite se comptant ensemble sur les doigts d'une seule main.
Cette prépondérance s'explique par le fait que le système politique lui-même, qui se prétend arbitral, est en réalité essentiellement de gauche. Ainsi, un "effet de cliquet" entraîne la société française toujours plus vers la gauche, et toutes les tentatives de la droite d'exercer authentiquement le pouvoir sont inéluctablement vouées à l'échec.
Yves-Marie Adeline, docteur de l'Université Panthéon-Sorbonne, est l'auteur d'une vingtaine d'ouvrages, notamment d'une monumentale Histoire mondiale des idées politiques. Il assure un cours de sciences politiques dans plusieurs écoles supérieures de commerce.
La droite impossible, Yves-Marie Adeline, Editions de Chiré, 2012, 108 pages cliquez ici
Vous pourrez aussi l'acheter à La Librairie française cliquez là
14:32 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Nouveau clip de Goldofaf...
11:42 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Bonne fête Ma...
Source Front comtois cliquez là
11:23 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le préfet de la Somme interdit la venue des nationalistes à Amiens-Nord !
Site de Thomas Joly cliquez ici
Par arrêté préfectoral en date du 5 octobre, M. Jean-François Cordet, préfet de la Somme et de la région Picardie, interdit à Thomas Joly, Yvan Bénédetti et Alexandre Gabriac de venir à la rencontre des Français abandonnés des quartiers nord d'Amiens pour des motifs absolument hallucinants sur lesquels nous reviendrons bientôt.
Il semble donc que les autorités publiques font le choix délibéré de protéger la racaille étrangère qui fait régner la terreur à Amiens-Nord et d'abandonner à leur sort les Français qui tentent de survivre dans ces quartiers colonisés, islamisés et ravagés par la délinquance et la criminalité.
Le déjeuner nationaliste dans un restaurant proche d'Amiens est bien sûr maintenu et n'entre évidemment pas dans le cadre de cette interdiction inique digne des pires heures du soviétisme liberticide.
11:07 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 05 octobre 2012
Le CRIF se lasse de "l'antisémitisme obsessionnel" de Jean-Marie Le Pen
La France licratisée cliquez ici
Et nous, on se lasse de cette formidable houtspah qui consiste à prendre les goyim pour de parfaits abrutis ayant complètement oublié certains faits qui remontent à 1986. Explication de texte après la lecture du communiqué ci-après émanant du CRIF :
« Dans une interview accordée à Minute à l'occasion du 40e anniversaire de son parti, le président d'honneur du Front national a évoqué, à nouveau, un "pacte" imposé par une organisation juive, cette fois-ci le B’nai Brith, qui « interdirait à la droite française tout accord avec le parti d'extrême droite ». Mensonger et absurde, pour les représentants de la communauté juive.
Pour Richard Prasquier, président du CRIF, ces déclarations sont le fait de "la sénilité ou d'un antisémitisme obsessionnel, probablement les deux. Cette vision conspirationniste du monde, c'est une caractéristique des antisémites, malheureusement c'est bien le cas de Monsieur Le Pen". Il demande même à Marine Le Pen de lui retirer le titre de président d'honneur du Front National. "Elle devrait lui demander de se mettre au garage, et de ne plus faire de déclarations aussi provocantes." Le B'nai B'rith, l'une des plus anciennes organisations représentant la communauté juive, a réagi via son président en France, Serge Dahan : "Tout ceci relève du mensonge et de l'absurdité. En aucun cas, le B'nai B'rith n'a la capacité ni la volonté d'imposer quoi que ce soit.". »
Source : cliquez là
Et maintenant, l’explication de texte : Le Pen n’est nullement sénile, on peut lui reprocher bien des choses, mais pas ça. Rappelons au CRIF qui a la mémoire courte pour certaines choses, mais très longue pour d’autres, les faits suivants :
En 1986, grâce au tripatouillage de scrutin de Mitterrand, 35 députés FN entrent à l’Assemblée nationale. La LICRA, le CRIF et Cie ne couinent pas car c’est pour le bon motif : emmerder la droite classique au maximum et continuer à assurer la gauche contre les bourrasques électorales. Chirac, qui espère se faire élire président en 1988, et s’imagine donc avoir un besoin vital du vote qui n’existe pas, ne risque pas de sortir des rails. Bien trop dangereux. Il promettra donc tout ce qu’ « on » voudra lui faire promettre.
Et ce qu’il a promis en l’occurrence nous est complaisamment révélé par le journal Le Monde, en date du 26 mars 1986 : sous le titre Inquiétude dans la communauté juive, on peut lire :
« Enfin, les associations B’nai B’rith « lancent un appel à la vigilance, attirent l’attention des partis de la nouvelle majorité contre toute tentation de vouloir reprendre les slogans extrémistes sur l’insécurité et les idées xénophobes à l’encontre des immigrés » et « rappellent aux représentants de ces partis leurs engagements pris, au cours des forums du B’nai B’rith, devant la communauté, déclarations reprises après proclamation des résultats du vote, de ne s’allier en aucun cas au Front national ».
C’est pourtant clair, non ? Alors, que le CRIF et le B’nai B’rith ne viennent pas la ramener aujourd’hui. Et qu’ils aient au moins l’honnêteté d’assumer ce qu’ils firent promettre en 1986 aux représentants de la « nouvelle majorité ».
Devant ce diktat, que firent Chirac et la cohorte des « responsables » politiques terrorisés à l’idée de la fatwa qui les frapperait, via les médias, en cas d’insubordination? Ils s’aplatirent et rampèrent, comme d’habitude.
Pour « la communauté », l’essentiel était sauf : la droite restait divisée et la gauche triomphait. La gauche et les idées de gauche car avec Chirac, on restait dans le même trip.
On voit le résultat, aujourd’hui. Et s’ils dérouillent, qu’ils ne viennent pas se plaindre, en prime.
20:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Massacre d'Echirolles : réfléchir et agir ! Vite !
Sur les 15 ou 20 brutes homicides susceptibles de s'être défoulées sur leurs deux victimes, 8 ont été arrêtées dont les quatre fuyards particulièrement représentatifs de la "France d'après la France" modelée depuis 40 ans par les instances mondialistes des fortunes anonymes et vagabondes, les francmaçonisés du melting-pot laïc et obligatoire et les idiots utiles de l'humanisme associatif, grands contempteurs des Gaulois au front bas incapables de penser "eden planétaire" et importateurs angéliques de la diversité la plus exotique possible.
Il va encore s'en trouver pour parler de "jeunes sans garde fou", pour réclamer encore plus de fonds et d'emplois (ou plutôt de sinécures) pour les "quartiers", pour affirmer que ces "écorchés vifs" sont d'abord des victimes de l'exclusion et que c'est le racisme - celui du blanc, de l'européen, du souchien, le seul qui soit politiquement et judiciairement admissible - qu'il faut éradiquer en attendant que l'enseignement des écoles de la République nivelle par le bas des citoyens décérébrés, consommateurs indifférenciés d'origine, de sexe ou d'âme mais merveilleux de béatitude non-violente.
En attendant, les bandes de barbares croissent et embellissent au rythme de la natalité allogène et de l'immigration renouvelée, contrôlent des quartiers - bientôt des villes quand leurs géniteurs et eux-mêmes iront voter - transformés en bases arrières de leurs "business" ou de leurs razzias qui finiront par atteindre le coeur des villes, les bourgs et les villages de nos Provinces. Les électeurs de Sarközy ou de Hollande, les vieux cocos mélenchonisés ou les bobos duflotisés, les éblouis du nationalsoft bleu marine, bref les cocus du Système pourront alors appeler en vain à l'aide ! Qui les entendra et qui les protégera...n'y a t-il pas deux militaires parmi les massacreurs présumés ? Des massacreurs au sein desquels d'ailleurs il sera difficile de faire la part des responsabilités avance déjà la médiacratie ! Ah si seulement les lyncheurs de "chances" étaient des jeunes gaulois...plus de problème de conscience et voie royale pour les robins : tous coupables et le max pour chacun !
L'évènement est de ceux qui peuvent réveiller nos compatriotes et congénères et leur faire entendre qu'à court terme c'est tout un chacun qui risque - n'importe quand, n'importe où - de finir haché menu par des sanguinaires importés et qu'ils ne peuvent compter que sur eux pour s'en préserver et en préserver les leurs. Alors, plus que jamais, sous les bannières de la droite nationale et identitaire : rassemblement, résistance, reconquête !
19:46 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche soir sur Méridien zéro :
RBN Méridien zéro cliquez ici
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Carl Lang en Franche-Comté le 20 octobre :
19:43 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : dimanche 7 octobre, XVIIe Table ronde de Terre et peuple à Rungis (94)
09:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 04 octobre 2012
Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
23:39 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quelques question à Jean-Yves Le Gallou pour comprendre cette 5e journée de la réinformation qui se tiendra le samedi 13 octobre à Paris :
Source Polémia cliquez ici
Alors les médias ne sont plus intouchables ?
Effectivement ! Les médias de l’oligarchie étaient intouchables lorsqu’ils avaient le monopole de l’information. Les critiquer c’était se condamner à ne jamais voir ses idées ou ses actions évoquées. Bref, c’était la mort sociale.
Résultat : tout le monde les ménageait, voire les flattait. Aujourd’hui c’est fini. Certes, le sectarisme des médias de l’oligarchie n’a pas faibli, mais il est possible de se passer d’eux grâce aux médias alternatifs sur Internet.
Pourtant les médias de l’oligarchie restent craints...
Assurément ! Le pathétique député UMP Lionel Luca a déclaré à Libération : « A droite, nous sommes des lâches. Si on veut faire carrière dans cette société moralisatrice, il faut être bien vu de ceux qui écrivent, ces curés laïcs qui donnent l’absolution au nom de ce qu’il faut penser. » Cette peur est minable d’autant qu’elle est de moins en moins justifiée ! L’opinion se méfie de plus en plus des médias. Il ne faut plus avoir peur des « curés laïcs » !
Alors vous voulez libérer la parole sur les médias ?
Oui. Il faut dénoncer leur parti pris, leurs à-peu-près, leurs mensonges, leurs bobards. Ce sera l’un des objets de la cinquième Journée de la réinformation.
Michel Geoffroy se livrera sans complexe à une critique sévère des journalistes passés « de Tintin, grand reporter, à la défense des puissants ». Et Benjamin Dormann nous expliquera comment « ils ont acheté la presse ».
Ils ont acheté la presse de Benjamin Dormann -- Presse : le grand naufrage des « autorités morales »
« Ils ont acheté la presse », qui sont-ils ?
Benjamin Dormann l’a écrit dans son livre et nous le dira. « Ils », ce sont les hommes du pouvoir, et notamment du pouvoir financier.
Un journaliste de Libération, c’est un porte-plume de la banque Rothschild. Un journaliste du Monde, c’est un porte-flingue de la banque Lazard !
Les plumitifs de l’extrême gauche et le grand capital se sont alliés pour détruire les nations et les traditions.
Comment « s’informer sur ceux qui nous informent » ?
C’est le travail de l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique (OJIM) que son président Claude Chollet viendra présenter, samedi 13 octobre aux auditeurs de Polémia. http://www.ojim.fr/
Vous présenterez aussi des médias alternatifs ?
Oui ! Yves Le May (Novobreizh) présentera les agences de presse régionales alternatives. Et Philippe Milliau, responsable du projet « Notre antenne », interviendra sur le thème « Trente ans après les radios libres, enfin une télévision libre et dissidente ».
Bref, c’est le grand bond offensif ?
En tout cas la volonté de se débarrasser de la tyrannie médiatique qui paralyse les meilleures bonnes volontés.
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Quand ça fait mal au tabou...
La chronique
de Philippe Randa
S’il y quelqu’un qui a mis les pieds dans le tabou, cette semaine, c’est bien monsieur Afflelou. Alain Afflelou, opticien de profession et « fou » assumé, comme le martèle ses spots publicitaires. En tout cas, un professionnel qui n’hésite pas à s’attaquer à un tabou ô combien ! quasi-religieux : la sacro-sainte sécurité sociale à la française. Cette prestation de droit citoyen pour l’immense majorité des Français, et même de droit divin pour certains.
Une déesse, en tout cas, dont il ne fait jamais bon pointer les vices… Car la sécurité sociale est à l’image, en France, d’un 11e Commandement : tu ne paieras pas tes médicaments et tu en consommeras plus, toujours plus et ce ne sera jamais assez… Qui paiera ? L’État, bien sûr… et tant pis si l’État, c’est le citoyen, comme des esprits chagrins n’hésitent pas, avec insolence, à le faire remarquer.
Alors quand Alain Afflelou affirme que « Mal voir, ce n’est pas une maladie » et que le système de la Sécurité sociale incite avant tout à consommer et surtout à surconsommer plus cher que nécessaire, ça fait incontestablement mal au tabou.
« À partir du moment où on vous dit que vous avez droit à 300 euros pour acheter une paire de lunettes, vous achetez une paire de lunettes à 300 euros, constate-t-il, comme tout le monde fait ça, les mutuelles, les assurances augmentent ! »
Et comme si cela ne suffisait pas, il n’hésite pas à décocher un autre argument qui fait tout aussi mal : « La France est, avec je crois la Grèce, le dernier pays d’Europe et du monde occidental à rembourser les lunettes. »(1)
Comparer les Français et les Grecs, en ces temps de faillite hellénique et de crise économique persistante, quel manque de tact, n’est-ce pas ?
De son côté, Étienne Caniard, président de la Mutualité française, rétorque que : « C’est exactement l’inverse ! Ce sont les opticiens qui disent : “Combien vous rembourse votre mutuelle ?” et qui vont au maximum. »(2)
L’opticien et le président de la Mutualité française sont-ils en contradiction ? On ne voit pas en quoi… Ils ne font que souligner, l’un et l’autre, les dérapages d’un système dont tout le monde use et abuse… sans même le réaliser et sans même s’apercevoir qu’au final, c’est immanquablement le cochon de contribuables qui finit par assumer ses propres excès tout autant que ceux de son voisin !
On ne peut donc que saluer la « folle » déclaration d’Alain Afflelou, qu’elle soit simplement motivée par de simples considérations d’intérêts publicitaires ou par un sincère écœurement d’un système devenu dément…
Il est fou, Afflelou ? Pas davantage que la gabegie sociale, en tout cas…
Notes
(1) Entretien avec l’AFP.
(2) Cité par Libération, 3 octobre 2012.
15:34 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
D'après vous, lequel de ces deux voiles, est-il le plus urgent de retirer ?
Source Parti de la France cliquez là
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mercredi, 03 octobre 2012
Brou (Eure-et-Loir) : manifestation dimanche contre le retrait des croix :
A Brou dans l’Eure-et-Loir, des habitants se sont plaints de la présence d’une croix chrétienne à l’entrée du cimetière communal. Laïcité oblige, le maire l’a faite enlever. Mais les habitants du village ne sont pas tous d’accord : « Que cette croix soit remise en place ! », s’emporte Gérard.
L’histoire se passe à Brou, une petite commune du Perche, dans l’Eure-et-Loir, où vivent 4 000 âmes. Au début de l’été, une conseillère municipale interpelle le maire : des habitants seraient venus se plaindre auprès d’elle de la présence d’une croix, symbole chrétien, sur le portail du cimetière communal. Le maire consulte ses services juridiques et effectivement, depuis la loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat, aucun signe religieux ne doit être apposé sur un bâtiment ou terrain public. Le maire n’a donc pas d’autre choix que de faire retirer la croix. Depuis, une pétition « pour le respect des signes de la foi chrétienne et la tolérance » circule dans la ville.
La croix de la discorde fait une quinzaine de centimètres. Elle était perchée depuis 1979 au portail du cimetière, sous le porche d’entrée jusqu’à ce que la mairie la décroche. Marie, conseillère municipale, s’explique : « On a retiré une petite croix sur un portail, pour que tout le monde repose en paix, pour que le cimetière soit à tous. Pourquoi faire des carrés musulmans, des carrés juifs… ? Dans la mort, nous sommes tous égaux, c’est ça la tolérance ».
Mais certains habitants ne comprennent pas, à l’image de Jennifer : « C’est un peu dommage, depuis le temps qu’elle était là, cette croix n’avait jamais gêné personne ; ça faisait partie de chez nous ». Hervé, un commerçant, va plus loin : « On est en France, on est dans un pays laïque. Dans les cimetières, il y a toujours eu des croix et il n’y a pas de raison qu’on les en enlève, ça fait partie de notre patrimoine ». Gérard, lui, lance un appel au maire : « Qu’on laisse les symboles de chaque religion et que cette croix soit remise en place ! ».
Source RMC cliquez là
Lire aussi France action jeunesse cliquez là
et NDP Eure-et-Loir cliquez ici
20:25 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Revue de presse : Je suis sortie avec un électeur FN
Thomas Dubois
Boulevard Voltaire cliquez ici
Adèle est une institutrice de 28 ans. Insatisfaite en amour, elle a sympathisé avec Benoît sur un site de rencontre. Grand brun ténébreux à l’allure farouche, amateur de littérature classique, Adèle pensait avoir trouvé en Benoît un compagnon idéal. Elle se ne doutait pas que sous ses airs enjôleurs se cachait un électeur de Marine Le Pen. Elle nous raconte son cauchemar :
« J’ai eu mes premiers soupçons lorsqu’il s’est endormi devant un film de Claude Lelouch » se souvient Adèle, encore troublée par ces quelques mois passés aux côtés de l’extrémiste. Au départ charmée par les manières sophistiquées du raciste, la jeune prof ne se doute de rien, le manipulateur ayant poussé le vice jusqu’à avoir des cheveux et à porter des vêtements normaux. Diplômé de la prestigieuse université de Nanterre, Benoît était issue d’une famille unie, du moins c’est ce qu’espère encore Adèle :
"J’étais persuadée que Benoît venait d’une famille normale et n’avait pas été battu par ses parents, mais maintenant j’en viens à penser qu’il a peut-être été violé par un prêtre".
Des propos d’une violence inouïe
C’est après une visite au musée des arts premiers consacrée aux masques rituels de la civilisation dogon que le destin d’Adèle bascule. En sortant du musée, le couple est apostrophé par une jeune personne issue de la diversité qui leur demande une cigarette dans le langage pittoresque et savoureux popularisé par le talentueux Jamel. Non-fumeur, le couple se retrouve dans l’incapacité d’aider la jeune victime des lobbies du tabac. C’est alors que l’individu (sûrement éprouvé par une journée où il dut subir plusieurs contrôles policiers) en vient à utiliser de vive voix des métaphores freudiennes pour décrire la relation qui unissait Benoît et sa génitrice. C’est en rentrant en métro que Benoît eut cette terrible phrase « C’est vraiment tous les mêmes… »
La descente aux enfers
C’est alors que Benoît sombre de plus en plus dans la haine de l’autre, d’autant plus incompréhensible qu’il n’avait pas passé son enfance dans le Nord-Pas-de-Calais. Pris en flagrant délit en train d’écouter Éric Zemmour sur RTL, Benoît a du mal à trouver une explication convaincante « il a essayé de me faire croire qu’il cherchait France Inter » explique Adèle. « Par la suite, j’ai appris en lisant la presse que ces personnes avaient souvent des tendances mythomanes et j’ai pu assembler les pièces du puzzle. » De plus en plus angoissée par ces affinités cryptototalitaires, Adèle se décide à en parler à une amie qui la convainc de fouiller dans l’historique de l’ordinateur personnel de Benoît et dans ses mails.
Un catalogue des horreurs
Et c’est tout un pan occulte de la vie de Benoît qui défile sous les yeux ébahis d’Adèle : « Il était à la limite du néo-nazisme » raconte-t-elle en sanglotant. Il avait par exemple taxé la talentueuse chanteuse ZAZ de « pouilleuse qui ferait mieux de trouver un vrai travail » dans les commentaires en ligne du site internet d’un hebdomadaire sarkozyste. Sans oublier des liens enregistrés vers des textes du site terroriste Fdesouche.com critiquant l’association SOS Racisme. Et puis, parmi les mails conservés par Benoît, elle tombe sur l’inimaginable : il avoue à un ami qu’il envisagerait de voter Marine Le Pen puisque que nous ne serions « plus chez nous » (sic).
Après avoir changé de numéro et déménagé, Adèle envisage depuis peu de rencontrer un nouveau partenaire, mais c’est une longue convalescence qui l’attend avant de pouvoir faire confiance aux hommes une nouvelle fois.
"Pour me reconstruire plus rapidement, j’ai décidé de me consacrer à la prévention du lepénisme dans l’éducation. Pour éviter que d’autres femmes se fassent avoir par ce genre de maniaques, je rencontre les collégiens et je leur raconte tout simplement mon histoire".
Des conseils à nos lectrices pour débusquer un lepéniste ?
Beaucoup ne portent plus leur traditionnel blouson d’aviateur et certains ont même laissé tombé les Rangers ; un crâne rasé peut être un bon indice mais n’est pas obligatoire. En tout cas, il est nécessaire de se méfier si l’on tombe sur quelqu’un qui fait preuve d’exaspération en écoutant les meilleures chansons de Cali et qui n’a jamais regardé aucun film avec Kad Merad. Il faut aussi faire extrêmement attention si la personne gagne moins de 2 000 euros par mois.
Est-il possible de les guérir ?
Les chercheurs sont partagés sur le sujet, quelques guérisons ont déjà été observées à la suite de visionnages massifs de sketchs d’Omar et Fred mais il est préférable d’agir par la prévention. La mairie de Paris vient d’ailleurs de financer un atelier gangsta rap pour les écoles maternelles et des projections du film « Nuit & Brouillard » pour les élèves de primaire. SOS Racisme vient aussi de sortir sa dernière campagne « Yo man ! Marine elle est vraiment pas swag » à destination des adolescents « chébrans ».
Nous avons donc bon espoir pour les nouvelles générations.
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Nantes, 13 octobre, conférence de Jeune Bretagne avec Guillaume Faye...
10:16 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi soir, au Local :
00:04 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les nationalistes aussi ont droit à la parole !
Pieter Kerstens
Tout au long de l’année, on assiste à une multitude de manifestations sur la voie publique, dans toutes les villes importantes, sous des motifs les plus variés.
Que ce soit contre la fermeture d’entreprises, pour le droit au logement, contre les corridas, en faveur des clandestins « sans papiers », ou contre la « malbouffe ». En outre, depuis plusieurs années le conflit israélo-palestinien a donné lieu, lui aussi, à des rassemblements en faveur des uns ou des autres et plus récemment, le « printemps arabe » a déchaîné les passions.
On observera que lorsque des organisations satellites de la gauche mondialiste, de la droite cosmopolite ou des khmers verts décident de descendre dans la rue, le Pouvoir ne trouve aucune objection à l’entrave de l’ordre public.
Et quand, sous divers prétextes fallacieux les casseurs se livrent à des déprédations gratuites, curieusement aucun des hauts responsables ne se targue plus du slogan « les casseurs seront les payeurs ! » Année après année, on constate une aggravation des dégâts, tant au mobilier urbain qu’aux biens privés, quand il ne s’agit pas de blessés parmi les fonctionnaires chargés de faire respecter l’ordre, dégâts qui entraînent des dépenses faramineuses, à charge du contribuable, dont on se passerait bien en cette période de vaches maigres.
Pourquoi dans certains cas assiste-t-on, médusé, à une politique du « laisser faire et ne pas intervenir » ? Vous connaissez sans doute déjà la réponse.
Mais, lorsque certains mouvements populistes, identitaires ou nationalistes demandent à manifester pour le respect du droit à la liberté d’expression, de réunion, d’opinion ou de presse, ils se voient opposer un refus catégorique au motif de « troubles à l’ordre public ».
Cela a été démontré une fois de plus ce samedi 29 septembre à Paris, parce que les Jeunesses Nationalistes ont souhaité manifester pour « La France aux Français », affirmer leur attachement aux us et coutumes de leurs ancêtres et leur fidélité au drapeau tricolore.
Quoi de plus « normal » ?
Ils auraient dû être encouragés par le Pouvoir. Et c’est tout le contraire auquel les badauds ont assisté : l’arrestation manu militari de ceux qui avaient bravé l’oukase du ministre de l’Intérieur.
Alors, deux poids, deux mesures ?
Que les bouffons de la société multiculturelle, les charlatans du métissage à tous les étages et les gourous du mondialisme prennent garde !
L’exaspération mène au désespoir et d’autres formes de mécontentements pourraient s’exprimer, à l’image des samizdats de la défunte URSS, ou à l’exemple de l’évacuation forcée des Roms à Marseille la semaine dernière par des habitants excédés...
00:03 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 02 octobre 2012
Rubrique d'Italie, par Gabriele Adinolfi
Gabriele Adinolfi
RIVAROL
N° 3062 du 28/09/2012
LE PREMIER ministre italien, Mario Monti, vient d’avouer publiquement qu’il a entraîné la Péninsule dans la récession. Il était impossible de nier l’évidence. Le taux d’imposition transalpin est devenu aujourd’hui le plus élevé du monde ; il n’y a eu aucune mesure favorable à la production menacée par la concurrence étrangère ; le chômage a grandi à des niveaux que l’Italie n’avait jamais connus, même pas en 1929 ; la consommation a chuté brutalement (les hôtels et les restaurants dans les principales localités touristiques ont vu un effondrement de 60 % de leur chiffre d’affaire cet été) alors que l’épargne familiale est attaquée. Le “spread”, le nouvel épouvantail invoqué lors du putsch qui avait fait tomber M. Berlusconi, ce “spread” (c’est-à-dire la différence entre les titres italiens et les titres allemands) que M. Monti s’était déclaré certain de réduire très vite et de façon considérable, reste au même niveau qu’il était lors de son arrivée “providentielle”. Et puisque les technocrates avaient expliqué aux Italiens que ne pas réduire le différentiel en quelques mois aurait signifié faire faillite, il est difficile pour Mario Monti de ne pas admettre maintenant qu’il a traîné le pays dans un gouffre.
ATOMISER MÊME LE COMMERCE
Si les Italiens surpris par ces aveux commencent seulement à se poser des questions c’est qu’ils n’avaient pas compris tout de suite l’objectif réel du gouvernement putschiste qui n’est pas de redresser le pays mais de le mettre à genoux suivant les intérêts financiers de ses patrons.
Mario Monti n’a pas été si longuement président européen de la Commission Trilatérale par hasard.
Et le but qu’il poursuit avec son équipe est totalement et sciemment contraire aux intérêts de ses concitoyens.
La restructuration globale que la Trilatérale essaye de gérer prévoit la mise à genoux de certains pays qui ne sont pas trop habitués à respecter les règles fixées par les patrons de la finance mondiale. L’Italie, riche d’initiatives corsaires, fait partie de ces pays rebelles et le gouvernement Monti est en train de la massacrer. Au point qu’il a présenté à la rentrée un projet de loi par lequel tout paiement au-dessus de cinquante euros devrait s’effectuer obligatoirement par carte bancaire, y compris dans les magasins.
Ce que ceci signifierait en intérêts usuriers et en paralysie du petit commerce est évident.
Certes, il est probable que ce seuil soit rejeté par le Parlement et qu’on finisse par se mettre d’accord sur un autre chiffre. Vraisemblablement les deux cents euros que visait la proposition originaire de l’équipe Monti ce printemps.
Le gouvernement fut alors obligé de se contenter de déclarer illégal tout règlement en espèce qui dépasserait les 499 euros. Une loi anti-économique et de saveur communiste qui a eu un premier impact violent sur le commerce mais qui ne sera rien par rapport à l’atomisation qui suivra l’ajustement prévu.
ELIMINER L’ETAT SOCIAL
Cela ne touche pas les Français car si le plan de restructuration global prévoit de mettre à genoux totalement l’Italie, pour ce qui concerne la France il se limite à la contrer, l’amadouer et l’affaiblir.
Il est donc improbable que l’Hexagone importe ces mesures anéantissantes.
En revanche, sur un autre sujet, l’Italie “montienne” risque de devenir un modèle pour la France “hollandienne”. Il s’agit de l’attaque sans répit de l’ Etat social et des acquis du travail, de la retraite et de la santé.
En moins d’un an, dans cette offensive, le gouvernement Monti a fait plus de dégâts qu’un saccage de barbares. Le travail n’est plus considéré comme un “droit”, si l’on se fonde sur les déclarations publiques du gouvernement italien.
Dans tous les conflits avec occupations d’usines qui ont fait rage depuis le début de l’année en Italie, l’exécutif a régulièrement donné tort aux travailleurs, révisant le droit du travail qui pourrait tranquillement s’appeler désormais droit d’exploitation du travail.
En dix mois de licenciements sauvages, une seule et unique fois le gouvernement s’est prononcé pour les travailleurs et s’était opposé au Tribunal qui avait décrété la fermeture de leur entreprise : il s’agit de l’Ilva de Tarante, qui a été reconnue responsable de milliers de cas de cancer dans la ville et ses alentours.
Mise à part cette parenthèse, le gouvernement a toujours pris position pour des choix libéraux style XIXe siècle, en s’engageant à effacer les conquêtes sociales obtenues par Mussolini et dont on a continué en bonne partie à bénéficier même après la défaite de 1945.
Le gouvernement technique a travaillé dur en ce sens-là. Dans quelques mois il aura sa relève et ce qui est prévu c’est justement une majorité de “gauche” qui puisse se permettre de piétiner les travailleurs.
DES MINEURS ENTONNANT LE CHANT DE L’ARMÉE
En prévision de ceci tous les leaders populistes de droite ont été attaqués et mis à l’écart (Berlusconi, Bossi, Formigoni), le vote populiste désorienté a été poussé vers une gauche virtuelle (le MoVimento 5 Stelle de l’acteur comique Beppe Grillo).
La bataille finale contre l’Etat social sera livrée par une majorité de gauche avec la complicité de dirigeants syndicaux qui trahiront encore et toujours leurs troupes.
La seule solution, c’est que les travailleurs puissent se passer des syndicalistes et prendre un élan tout seuls.
Début septembre les mineurs sardes de l’Alcoa ont rejeté les conseils des syndicalistes, ils ont durci leur lutte et, au moment de se battre contre la Celere (CRS) ont choisi d’entonner non pas une chanson rouge mais le chant de la Brigata Sassari, la brigade d’infanterie mécanisée qui a son siège dans la même province des mineurs.
Suite à cet affrontement la gauche a cherché à les récupérer mais le maire de Turin, Piero Fassino, dirigent du Parti Démocratique, ancien dirigeant du Parti Communiste (dont le PD est une filiation) et fils d’un chef partisan, a dû se sauver précipitamment du cortège des mineurs auquel il prétendait participer.
Un exemple isolé mais peut-être aussi prémonitoire d’une orientation syndicaliste nationale révolutionnaire. C’est justement ce que les technocrates mondialistes et les usuriers craignent le plus et qu’ils veulent désamorcer en tentant d’empêcher toute représentation politique ou syndicale de cette mouvance.
Et c’est pourquoi la gauche imprégnée de progressisme se prépare à liquider l’Etat social alors que la droite privée de tous ses leaders populistes se prépare à tenir un discours réactionnaire et antisocial elle aussi.
LES RÉACS DE BIG BROTHER
Et voici où l’on retrouve des parallèles entre la France et l’Italie.
Pendant que la gauche hollandienne s’apprête à lancer l’offensive contre les acquis sociaux, à droite on entend déjà chanter une chanson complémentaire à celle de l’Elysée.
Le rejet, compréhensible en soi, de la culture soixante-huitarde et de la banqueroute dont celle-ci est coresponsable, se manifeste de plus en plus. Ceux qui éprouvent ce rejet ne font souvent nullement la part des choses, manifestant dans le même temps leur soutien moral et idéologique à l’œuvre de destruction effectuée par l’élite mondialiste.
Le repli du politique vers le culturel s’accompagne quant à lui souvent d’un regard aigu et perçant, mais celui qui, en jouant au philosophe blasé et au misanthrope cultivé, se laisse aller à cette tentation qui lui paraît intelligente peut se retrouver aujourd’hui à jouer et à danser comme un idiot précisément comme le lui demande Big Brother.
C’est déjà en bonne partie le cas de la droite nationale, puisque l’anti-islamisme fait pencher certains vers le soleil couchant et vers l’Etat hébreu par peur du fantôme de la « guerre des civilisations ».
Un schéma tellement faux que les partisans de l’Occident sont obligés de se mentir tous les jours.
Comment s’expliquer, autrement, que ce qui est réalisé par ceux qui nous demandent de nous mobiliser en défense de notre civilisation, c’est d’armer les Frères Musulmans et Al-Qaïda, comme en Libye et en Syrie, et de cultiver entretemps dans les banlieues un potentiel explosif qui répond aux desideratas du Qatar, de l’Arabie Séoudite et des Etats-Unis.
Si à cette tromperie nous allons ajouter aussi un mépris réactionnaire de l’Etat social, il nous ne reste plus qu’à demander à Soros et Rockefeller s’ils veulent bien de nous comme valets ou comme cire-pompes, les places plus rentables dans leur cortège étant déjà prises.
10:45 Publié dans Rubrique d'Italie Gabriele Adinolfi | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DOUCE FRANCE !
Pierre Vial
A Marseille, dans le XVe arrondissement (les « quartiers Nord », où règne la loi des Kalashnikov), des « habitants » ont chassé sans ménagement des Roms qui s’étaient installés au pied de leurs immeubles, avant de mettre le feu à leur campement. Ils ont agi ainsi, disent-ils, parce que les vols et l’insalubrité étaient devenus insupportables, tandis qu’autorités locales et forces de police faisaient preuve d’une totale inertie, malgré force réclamations. Détail important : les « habitants » en colère sont des Maghrébins, comme tout un chacun a pu le constater sur les écrans de télévision (l’info en direct a du bon). Les ligues de vertu antiracistes sont dans l’embarras (le mot est faible) : on ne peut, malgré les évidences, accuser de racisme des Maghrébins, n’est-ce pas ? Mais on peut difficilement les approuver… Il est donc urgent de ne rien faire.
Le plus important, dans cette affaire, est ce qui est sous-jacent à l’incident. A savoir le message que celui-ci véhicule : quand les Gaulois sont incapables, par veulerie et ethnomasochisme, de faire régner l’ordre, les Maghrébins, eux, sont capables de le faire. Conclusion : braves gens, si vous voulez vivre dans la tranquillité, faites confiance à l’islam. Avec lui – et bien sûr si vous acceptez de vous soumettre à lui – vous n’aurez plus de problème, la charia sera un garant de paix.
Echirolles, à côté de Grenoble : deux jeunes hommes, l’un Noir l’autre Maghrébin, ont été poignardés à mort par une quinzaine d’autres « jeunes », venus d’un quartier voisin. Règlement de compte dont le procureur de la République dit ne pas arriver à comprendre la raison, puisqu’au départ il y a eu simplement « un mauvais regard » jeté par un adolescent à un autre. Cet abruti ne voit pas – ou refuse de voir, au nom du politiquement correct – qu’il s’agit là, simplement, d’un nouvel épisode illustrant ce que nous disons depuis longtemps : une société multiraciale est une société multiraciste, au sein de laquelle des bandes de quartiers s’affrontent pour des questions de domination territoriale et de contrôle des trafics en tous genres qui brassent beaucoup, beaucoup d’argent. Les media se sont dépêchés, dès que l’info du double assassinat est tombée, de répéter en boucle que les deux victimes étaient des gens au-dessus de tout soupçon, sans aucune implication dans des affaires louches. Peut-être… Mais attendons la suite de l’enquête (si ses conclusions ne sont pas discrètement étouffées).
10:40 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante...
Chronique de Robert Spieler
publiée dans Rivarol
N° 3062 du 28/09/2012
DE MIEUX en mieux. Gilbert Collard, député du Front national, se prononce dans Le Courrier de l’Atlas, paru en septembre, et sous-titré, « Le magazine du Maghreb en Europe », pour, ni plus, ni moins, l’abrogation du régime concordataire en Alsace-Moselle.
COLLARD EST VRAIMENT CONSTERNANT…
Nos lecteurs savent que l’Alsace et la Moselle, alors allemandes, n’avaient pas appliqué les lois de séparation de l’Eglise et de l’Etat, en 1905. Le Petit Père Combes n’avait pas le pouvoir de remettre en cause un statut auquel les Alsaciens, alors allemands, étaient très attachés. Ce statut, qui concerne les religions catholique, luthérienne, calviniste et juive, autorise notamment l’enseignement religieux dans les écoles publiques et permet de rémunérer les prêtres, les pasteurs et les rabbins, qui sont en quelque sorte, des fonctionnaires, rémunérés par l’Etat. Ajoutons que les seules facultés de théologie d’Etat, catholique et protestante, sont à Strasbourg. En 1920, la tentative d’appliquer le régime général à l’Alsace et à la Moselle entraîna une énorme révolte populaire, qui permit le développement de mouvements autonomistes puissants.
Le Régime recula… Le franc-maçon Collard estime que « ce sont des particularismes liés à l’histoire, qui n’ont plus lieu d’être. » Et il ajoute, l’air grave : « Je suis pour un régime uniforme. » Moi qui connais bien l’Alsace, je puis vous assurer que le FN ne dépasserait pas les 10 % de suffrages dans cette région, si les Alsaciens prenaient connaissance de ces propos. Mais, ce n’est pas fini. Le député FN Collard s’apprête à fonder une association destinée aux Français d’origine étrangère afin de les accompagner, dit-il, « dans leur processus d’intégration ». L’association aurait notamment pour objet d’aider ses adhérents à apprendre la langue française…. Mais que fait Collard au FN ? Ou plutôt qu’est devenu le FN ?
DES SOCIALISTES QUI RÉSISTENT
Le maire socialiste de Quimper, Bernard Poignant, qui fut le puissant patron de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains et qui est actuellement chargé de mission à l’Elysée auprès de François Hollande, n’a décidément pas sa langue dans la poche, à propos du mariage homosexuel. Il a osé déclarer : « A mes yeux, quoi qu’il arrive, l’accomplissement de l’enfant se construit dans l’altérité des genres, masculin et féminin, père et mère. Qu’ils soient présents ou absents, parfaits ou imparfaits. Un enfant doit toujours savoir qu’il a eu un père ou une mère. Personne ne peut discuter ce fait. » Le magazine homosexuel Têtu l’a sommé de s’expliquer. Il l’a envoyé paître…
ETONNANT MALEK BOUTIH
Malek Boutih est l’ex-président de SOS Racisme et est aujourd’hui député socialiste de l’Essonne. A propos des caricatures de Charlie Hebdo, qui mettent en scène le prophète, il déclare : « Elles s’inscrivent dans le cadre de la liberté de la presse et de la liberté d’expression. Il n’existe pas de champ sacré où la religion, où tout autre domaine, serait inattaquable. Ce serait une régression pour l’ensemble des libertés publiques. » A la question : « Malgré tout, (au sujet des caricatures), était-ce le bon moment ? », il répond : « La liberté, ce n’est pas de temps en temps ; c’est tout le temps. » Mais que pense Malek Boutih des lois mémorielles ? On aimerait le savoir. Dans une intervention sur BFM télé, jeudi 20 septembre, Daniel Cohn-Bendit s’est, quant à lui, déclaré résolument opposé aux lois mémorielles. Ce qui est bien mais tardif.
DELARUE MUSULMAN ?
La star de la télévision, connue pour son addiction à la cocaïne, qu’il consommait massivement, est mort il y a un peu moins d’un mois. Il a été inhumé le 29 août, dans la plus stricte intimité, en un lieu tenu secret. Il venait d’épouser Annissa, quelques semaines avant de mourir. Annissa est musulmane, et Jean-Luc Delarue s’était converti, peu avant de mourir, à l’islam. Son père n’avait pas été invité aux obsèques, et il ne sait pas où il a été enterré. Il a déclaré : « J’ai fini par savoir que mon fils avait été enterré dans le carré musulman d’un cimetière de la banlieue parisienne. » Et il ajoute : « Aujourd’hui je me bats encore pour savoir quand il a été inhumé et pourquoi je n’ai pas été invité, avec la famille, pour rendre un dernier hommage à mon fils. »
DES MUSULMANS RÉMUNÉRÉS POUR ESCORTER LES MÉDECINS EN ZONES MUSULMANES
Dans les zones musulmanes de Mantes-la-Jolie, qui porte bien mal son nom, pas question pour un médecin généraliste de pénétrer, au cœur de la nuit. Beaucoup, beaucoup trop risqué, on ne sait pas précisément pourquoi. Khalid et Majid ont eu une idée tout à fait géniale. Ils proposent aux praticiens de se faire accompagner par des « grands frères ». Du coup, la ville de Mantes-la-Jolie, émue aux larmes par cette merveilleuse idée, la financera avec la participation du Conseil général des Yvelines et de l’agence régionale de santé. Que du bonheur…
CAROLINE FOUREST, VIRÉE DE LA FÊTE DE L’HUMANITÉ
Il était prévu que la journaliste et essayiste Catherine Fourest, connue pour être une adversaire hystérique du FN et de l’extrême-droite, y prenne la parole. Le thème ? « Comment faire face au FN ? » Pas de quoi susciter, a priori, l’indignation des communistes, ni de leurs amis. Oui, mais voilà… Houria Boutelja, du Parti des Indigènes de la République accuse Caroline Fourest d’être islamophobe. Féministe, elle l’est certainement. Lesbienne revendiquée, idem. Pas de quoi plaire aux musulmans, certes… Mme Bouteljah déclare derechef : « Nous considérons que Catherine Fourest est une des principales propagandistes de l’islamophobie en France. Il nous paraît inconcevable que quelqu’un que l’on considère comme islamophobe aille faire la leçon au FN. » Huée à son arrivée par 40 personnes, aux cris de « Fourest, dégage », affirmant avoir été la cible « d’attitudes menaçantes », la pauvre chérie n’a eu d’autre alternative que de dégager, vite fait. Elle a déclaré : « A mon grand regret, j’ai dû repartir sans avoir parlé du racisme et du FN. » Mais, qu’elle soit rassurée : la Licra tient à apporter son plein soutien à la journaliste dont « la qualité des enquêtes, sur l’extrême-droite comme sur l’intégrisme, est précieuse au mouvement antiraciste. »
LE MILLIARDAIRE FABIUS SE MOQUE DU PEUPLE
Fabius est un milliardaire esthète. Ses parents possédaient une galerie d’art à côté du musée Jacquemart André, et on se souvient qu’il était intervenu, alors qu’il était Premier ministre, en faveur de la défiscalisation des œuvres d’art. Le voici qui récidive. Le Canard Enchaîné raconte que Fabius a organisé une exposition très privée de toiles impressionnistes dans son ministère, dépensant sans compter : 40 000 euros pour la fabrication des cimaises, les services d’un architecte-scénographe, l’assurance, bien sûr, des toiles, 10 000 euros d’installation et 5 000 pour un livret destiné aux visiteurs. Le public y aura eu droit pendant les deux jours du patrimoine. Le reste du temps, et bien, ce seront les happy few… Mais Hollande veut « une république irréprochable. » Cherchez l’erreur…
“DEUX CADAVRES EN ÉTAT DE MORT”
On a trouvé « deux cadavres en état de mort ». C’est la terrifiante nouvelle dont s’est désolé Rafik Abdessalem, le ministre tunisien des Affaires étrangères, deux jours après un naufrage d’un bateau de clandestins tunisiens aux larges de l’île italienne de Lampedusa. Cette tautologie suscite évidemment les ricanements des internautes. Pendant que les autorités italiennes recherchaient des survivants pas encore tout à fait morts, Abdessalem assistait, lui, paraît-il pendant ce temps, à un mariage de futurs morts encore vivants…
HOLLANDE N’EST PLUS “NORMAL”
Le Président de la République s’est rendu à Rennes, le 11 septembre, pour inaugurer un salon agricole, à bord du jet présidentiel, et non à bord d’un train, fût-il un TGV. Quelques jours plus tôt, il s’était déplacé en hélicoptère Super Puma, pour rejoindre Evian, et en Falcon 7 X pour se rendre à Rome. A vrai dire, Hollande s’était rendu compte de l’imbécillité de se déplacer en train ou en voiture, avec arrêts, aux feux. D’autant que le déplacement en train coûte horriblement cher. Tous les ponts doivent être sécurisés… Bref, des centaines d’hommes mobilisés. Cela coûte des centaines de milliers d’euros. Il ne s’agit de rien d’autre que d’un cirque purement démagogique.
Hollande se déplacerait-il désormais en Airbus présidentiel ? L’appareil, acheté à grands frais sous Sarkozy, n’a servi que deux fois depuis le quinquennat. Il serait grand temps de le rentabiliser…
GARDE-À-VOUS !
Le président du Consistoire central israélite de France, Joël Mergui, vient d’avoir un premier tête à tête avec le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, jeudi 13 septembre. Il a demandé (enfin, plutôt exigé) que le gouvernement fasse en telle sorte que les examens des étudiants ne tombent pas pendant les fêtes juives. « Nous voulons être sûrs que les étudiants juifs pratiquants n’aient pas à choisir entre leur foi et leurs études. » Et devinez ce qui se passa ? Ce fut Ayrault qui plia…
FILLON/COPÉ : UNE ÉTONNANTE MANIPULATION
Dans la confrontation Fillon/Copé pour la présidence de l’UMP, ce dernier avait commis une erreur tactique assez stupéfiante, qui paraissait donner un indéniable avantage psychologique à Fillon. Copé avait claironné urbi et orbi qu’il avait déposé 30 000 signatures, clamant : « Les parrainages, ça vaut mieux que les sondages. »
Référence, bien sûr aux sondages réalisés auprès de l’ensemble de la population, qui placent Fillon en favori. Sauf que les électeurs sont les militants de l’UMP, que Copé a très largement encadrés, en nommant des cadres et des secrétaires départementaux à sa dévotion.
L’équipe de Fillon avait laissé très sournoisement l’adversaire s’embourber, annonçant que Fillon ne déposerait “que” 15 000 paraphes. Le camp Copé en couinait de joie, prenant pour argent comptant ce qui n’était qu’une manipulation. La route vers le triomphe était assurée. Patatras. Utilisant la vieille technique du judo, qui utilise la force de l’adversaire pour le déstabiliser, Fillon a annoncé avoir déposé… 45 000 parrainages. Info ou intox ? Peu importe, le mal était fait dans l’opinion, et Copé se retrouvait Grosjean comme devant. Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet de Copé, a eu beau ironiser : « Il m’aura fallu attendre la veille de mon anniversaire pour découvrir Jésus. Il (Fillon) a réussi à multiplier les petits pains en une seule nuit », Fillon paraissait avoir assommé Copé, qui allait avoir beaucoup de mal à s’en remettre. Du coup Copé tente une contre-attaque assez foireuse. Il annonce le contrôle et la certification de ses signatures par un huissier parisien, demandant à ce que Fillon fasse de même. Au nom de la transparence. Pas question évidemment pour Fillon, qui venait de réussir une très étonnante manœuvre. Et patatras, nouvelle multiplication des pains en une nuit. Voici que le camp Copé annonce avoir engrangé 46 103 parrainages, soit davantage que Fillon. Il n'y a, évidemment, que les imbéciles pour se sentir obligés de les croire…
DROIT DE VOTE DES ÉTRANGERS : CE N’EST PAS ENCORE FAIT…
77 députés socialistes viennent de lancer un appel pour le droit de vote des étrangers.
Le gouvernement réaffirme qu’il tiendra cette promesse du candidat Hollande. Cécile Duflot, la ministre écologiste, a affirmé le 18 septembre sur France Inter que cette « promesse du président de la République » sera tenue « l’année prochaine », déclarant : « Cela fait vingt ans que c’est une urgence, je crois que c’est maintenant une nécessité. » En fait, tout ceci n’est que du cirque.
Elargir le droit de vote aux étrangers non-communautaires nécessite de modifier la Constitution. Cette dernière stipule, en effet, dans son article 3, que « sont électeurs, tous les nationaux français majeurs des deux sexes, jouissant de leurs droits civils et politiques. » A la suite du traité de Maastricht, un article avait déjà été ajouté à la Constitution pour permettre aux citoyens des Etats membres de l’Union européenne de voter et d’être éligibles (sauf aux postes de maires et d’adjoints aux maires.) Pour ce qui concerne le droit de vote des étrangers non-européens, l’affaire est très loin d’être gagnée pour le gouvernement. L’élargissement de ce droit de vote et d’éligibilité, pour des élections locales, nécessite en effet une nouvelle modification de la Constitution. Deux possibilités : obtenir la majorité des 3/5e au Parlement réuni en Congrès ou faire appel au référendum. La seconde solution est évidemment des plus hasardeuses, car il est possible que le Peuple ne vote pas pour cette ineptie. Quant à la première, le Parti socialiste et ses alliés, qui sont certes majoritaires, tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat, ne disposent pas de la majorité des 3/5e permettant de voter cette modification de la Constitution, et d’imposer aux Français le droit de vote des étrangers. Il est bien évident que l’opposition, à moins d’être totalement suicidaire, ne votera jamais cette modification de la Constitution. Mais les socialistes et leurs alliés pourront s’indigner, lançant un message fort en direction des banlieues, sur le thème : nous sommes avec vous, soyez avec nous…
10:36 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 01 octobre 2012
Le nouveau numéro de la revue Terre et peuple est sorti...
19:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Anniversaire
Maurice Bardèche qui se disait lui même “écrivain fasciste” est né le 1er octobre 1907 à Dun-sur-Aurun dans le Cher.
Il s'occupe longtemps de ses travaux littéraires et universitaires mais les horreurs de l’épuration et notamment l’exécution de son beau-frère et ami Robert Brasillach, au matin du 6 février 1945, le décident à entrer en politique comme d’autres entrent en religion. Il affirmera dans Jeune nation, en 1959: « C’est la mort de Brasillach et l’épuration qui ont fait de moi un animal politique. La politique ne m’intéressait absolument pas avant cette date; à partir de ce moment-là, j’ai foncé dans la politique. »
« Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l’homme et de la création. Je crois à l’inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l’hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d’autres hiérarchies que celle de l’argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner, c’est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré. »
(Sparte et les Sudistes. Éditions Les sept couleurs.)
Source Terre et peuple Poitiers cliquez ici
19:45 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Pendant que la barbarie allogène s'étend, Valls fait matraquer les Français !
Yves Darchicourt
Tandis que Manuel "Kippa" Valls mobilisait les troupes de happe-chair qui allaient s'abattre brutalement à Paris sur les militants de l'Oeuvre Française et des Jeunesses Nationaliste désireux de faire savoir - le plus légalement du monde - que les souchiens avaient la volonté de rester maîtres chez eux, une horde de "jeunes" en massacrait deux autres dans un "quartier sensible" du côté de Grenoble, prouvant ainsi que, comme tous ses prédécesseurs du Système, Valls est incapable de faire régner l'ordre et la sécurité dans les zones de colonisation allogène.
Sans doute sur ordre précis, Alexandre Gabriac et Yvan Benedetti, coupables de représenter les gaulois mal-pensant, ont été arrêtés avec une brutalité inouie par des policiers que le gouvernement n'ose pas envoyer se montrer en territoires occupés. La veille, 15 à 20 sauvages suburbains ont pu tranquillement organiser et perpétrer une expédition punitive contre deux malheureux taillés en pièce au couteau, à la pioche et au marteau : les deux victimes (un afro-français et un maghrébo-français) étant ainsi immolées pour laver l'affront d'un "mauvais regard" entre "petits frères"
Alors que la primitive sauvagerie, importée par les collabos de l'immigration, gagne chaque jour du terrain et finira par sortir des "quartiers" pour gagner tout le pays - aidée en cela par le programme écolo-socialiste de dissémination des logements "sociaux" attribués sous critères raciaux - le minus habens élyséen et son Tartarin de l'Intérieur lâchent la police française sur les Français qui entendent rester "maîtres chez eux". Rassemblement ! Résistance ! Reconquête !
12:03 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mercredi 17 octobre : le Marquis chez Les Ronchons...
11:24 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 29 septembre 2012
La manif des Jeunesses nationalistes interdite : plusieurs dizaines d'interpellations...
Communiqué de l'Oeuvre française et des Jeunesses nationalistes :
Aujourd’hui, samedi 29 septembre 2012, a été interdite à la dernière minute la manifestation des Jeunesses Nationalistes programmée depuis deux mois. Sur le thème « Maîtres chez nous », avec l’accord des autorités légales, les nationalistes ont voulu manifester pour exprimer leur révolte la plus légitime face au racisme anti-blancs dont sont victimes chaque jour les Français de souche.
Une fois encore, après les 2 interdictions de Lyon en juin 2012, un pouvoir illégitime qui continue de desservir les intérêts de la France et de ses filles et fils, a voulu museler les Souchiens. Toutefois, pacifiquement mais fermement, afin de canaliser des centaines de jeunes venus à l’appel des Jeunesses Nationalistes, un ordre de rassemblement a été donné à Paris pour affirmer que le droit légitime des Français non reniés à rester maîtres chez eux était imprescriptible et prévalait sur... la volonté d’un régime politique installé en France mais qui n’est pas de France.
Malgré la volonté du système de nous faire taire, nous nous sommes rassemblés devant Notre Dame de Paris afin de montrer que les Français relevaient la tête et étaient déterminés à redevenir maîtres chez eux. Avant même d’être encerclés par des forces de l’ordre au pied de la Statue de Charlemagne place Notre Dame à Paris, avec une brutalité sans pareil, les militants dont Alexandre GABRIAC et Yvan BENEDETTI ont été arrêtés par la police du ministre à la kippa Manuel Valls.
Cette répression montre non pas la force mais la faiblesse d’un régime aux abois empêtré dans une crise économique porteuse d’une grave crise sociale et politique à venir. Comme toujours, l’avenir appartiendra à ceux qui sauront constituer une minorité politiquement formée et inaccessible au découragement.
Plus que jamais nous sommes déterminés à rester maîtres chez nous, à rétablir la France. Nul ne nous fera taire ! Hauts les cœurs, en avant la victoire !
18:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche soir sur Méridien zéro :
Méridien zéro RBN cliquez ici
11:54 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |