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mercredi, 12 mars 2014

La face haineuse du socialisme

r-MANUEL-VALLS-large570.jpgLe billet de Patrick Parment

On savait les socialistes sectaires avec une vision du monde a reductio à leur idéologie délétère, mais on n’imaginait pas qu’ils iraient jusqu’au mépris du droit pour assouvir leur inextinguible haine de la droite – surtout nationale – et de Sarkozy en particulier.

Mais, là, ils viennent de se franchir la ligne jaune avec l’affaire des écoutes téléphoniques. C’est Manuel Valls qui, le premier, nous a montré toute la haine dont était capable ce socialisme idéologique qui flirte plus sûrement avec le stalinisme qu’avec le socialisme de Jaurès.

Lors des grandes manifestations de ce que l’on appellera « La Manif pour tous », Manuel Valls a transformé des policiers en une milice digne des « heures les plus sombres de notre histoire ». Provocations, arrestations arbitraires de masse, garde-à-vue injustifiées alors même que ces manifestations étaient pacifiques. Ce qui n’était pas le cas à Rennes récemment où des groupuscules, soi-disant antifascistes, ont bel et bien cassé du flic et fait de nombreux blessés parmi les forces de l’ordre. Evidemment, les auteurs courent toujours du côté agreste de Notre-Dame-des-Landes. Idem à Paris où des sites nationaux ont été ciblés, pas vraiment au hasard on s’en doute, et notamment des librairies.  Difficile de croire que la police n’en connaît pas les auteurs vu que ce sont toujours les mêmes.

A la manœuvre, Manuel Valls, dont on se demande bien par quels bidouillages les sondages placent ce sectaire grand teint au rang de pipole « préféré des Français » ? Il va finir par se prendre pour l’abbé Pierre.

Le trio Jean-Marc Ayrault, Christiane Taubira, Manuel Valls démontre à l’évidence que nous avons au sommet de l’Etat une équipe de mafieux portée par la haine de Sarkozy, lequel fait tout, d'ailleurs, pour briser l’apparente sérénité d’un gouvernement qui ne gouverne pas.

Ce dont ne se doute pas tout ce petit monde de médiocre envergure, c’est que les Français s’en foutent… mais n’en pensent pas moins. Et puis, quand on parle de Français, de qui parle-t-on exactement ?

Il y a trois France aujourd’hui qui ne communiquent guère entre elles : la classe politique, les immigrés et les Français de souche ou d’origine européenne et assimilés. C’est dire où ils peuvent se carrer leur pacte ripoublicain !

13:08 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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