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mercredi, 04 avril 2012

Ottawa, Paris, l'Unesco... l'obsession holocaustique!

3351425170_2.jpgPar Yves Darchicourt

 

C'est impensable : il n'y a pas encore de Monument de l'Holocauste à Ottawa et surtout, horresco referens, les canadiens ne semblaient guère se soucier de la chose puisqu'il a fallu que les "Amis du Cente Simon Wisenthal" (FSWC) titillent quelque peu leur gouvernement pour qu'il consente à débloquer 4 millions€ pour faire son offrande à la construction de la chose. Avi Benlolo, le président du FSWC s'est réjouit de cette entreprise méritoire visant à reconnaître l'un des événements les plus horribles de l'histoire moderne... surtout en cette période inquiétante de négationnisme rampant. On ignore si les contribuables canadiens qui n'ont d'ailleurs pas été consultés sur l'oppurtunité de la chose en ces temps de difficultés financières mondiales, se sont réjouis autant que M.Benlolo.

 

En tous les cas, ces édicules à vocation quasi cultuelle ne devraient pas manquer d'être érigés en nombre un peu partout dans le monde sous le patronage de l'Unesco qui envisage de prôner la "mondialisation de l'enseignement de l'Holocauste", en postulant que le "génocide du peuple juif est une référence globale pour parler de crimes de masse" C'est dans cette optique que l'honorable institution organise un raout à Paris le 27 avril prochain pour permettre à des "spécialistes" internationaux de l'Innomable de se pencher avec ferveur sur "l'enseignement de l'Holocauste dans un contexte globalisé" et notamment dans les régions du monde où le génocide n'a pas eu lieu. Autrement dit personne, nulle part et jamais plus, n'échappera aux missionnaires de la religion mémorielle : la mondialisation par la Shoah en quelque sorte !

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Le saviez-vous ? LA 2e GUERRE MONDIALE EST (RE)COMMENCEE !

ghu.jpgLe bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

 

La semaine dernière, en même temps que le feuilleton annuel « Un village français »,-la vie d’une petite cité française sous l’occupation avec ses faiblesses, ses bassesses et ses grandeurs-,  nous eûmes droit, également sur France 3, à une dramatique sur le jeune Guy Mocquet. Rappelons pour les amnésiques que ce jeune homme, fils d’un député communiste arrêté par le pouvoir sous la IIIe République pour atteinte à la sûreté de l’Etat, fut détenu comme otage et fusillé en compagnie d’autres malheureux à Châteaubriant. Sarkozy voulut en faire un héros de la Résistance. Il n’en était rien, il fut un martyre, car on n’exécute pas un adolescent innocent de 17 ans ! Il faut dire que ses copains communistes, un peu à la manière de Mohamed Merah, avaient froidement abattu d’un coup de pistolet dans le dos un officier allemand, une façon sans doute « efficace » de lutter contre la domination géostratégique allemande de l’époque ! En tout cas, un moyen pour le parti, à peine remis de sa léthargie jusqu’à l’invasion de l’URSS par son ancien allié allemand, de se refaire « une santé » et d’embrayer le pays sur le monstrueux cycle attentats/répression.  Mais, comme si la  piqûre de rappel ne suffisait pas, la même chaine publique propose à ses  téléspectateurs  la rediffusion le jeudi 5 avril de « l’Armée du crime »,  l’histoire de l’arménien Manouchian et de sa bande des FTP-MOI, essentiellement composée d’étrangers, qui s’engagea en 1942 dans l’action violente et désordonnée contre les troupes nazies. Tous ces films ont été plus ou moins tournés en région Limousin (socialo-communiste) et de proches amis m’ont informé du tournage d’un futur téléfilm à la gloire du « colonel » Guingouin, la terreur rouge des années quarante-trois, quarante-quatre dans cette belle province que l’Intendant Turgot gouverna au XVIIIe siècle. Et si l’on veut encore illustrer la cruauté des troupes  allemandes de l’époque, il faudrait d’urgence  filmer des fictions sur les horreurs d’Oradour sur Glanes et les pendaisons de Tulles ! Mais, s’il est toujours intéressant d’avoir présente à l’esprit l’histoire d’une tragique époque où tout n’était pas  si tranché, noir ou blanc, près de sept décennies après les faits, à l’heure où, en haut lieu, on nous vente la réconciliation franco-allemande et l’exemplarité du modèle économique allemand, est-il si nécessaire de rajouter du sel sur des plaies qui ne sont  pas complètement cicatrisées ? En juin on nous repassera l’inusable « Jour le plus long », film que j’avais vu le jour de mon conseil de révision  et, fin août, « Paris brûle-t-il  » ?

 

Pour le cinquantième anniversaire de  « l’indépendance » algérienne, nous sommes rassasiés de « chienneries » anti-françaises avec la complicité d’une association d’anciens combattants, la FNACA, mais silence radio sur le massacre de la rue d’Isly perpétré le 26 mars 1962 contre de pacifiques pieds-noirs qui manifestaient leur soutien au quartier encerclé de Bab-El-Oued. Des tirailleurs de l’Armée françaises de souche nord-africaine avaient été ramenés du bled pour assurer, avec les classiques CRS et Gardes Mobiles, le maintien de l’ordre. Curieux, non ?

 

Idem pour le génocide franco-français de Vendée, passée quasiment à la trappe  des programmes, cette  autre tragique séquence de notre histoire devant se contenter d’une émission  diffusée sur FR3à une heure d’écoute où les enfants sages et les ados moins tranquilles font déjà dodo.

 

Ras l’bol de leur « propagandastaffel » télévisuelle financée avec notre fric !

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mardi, 03 avril 2012

L'HIstoire des Fascismes, reprise des études publiées dans La Revue d'Histoire du fascisme dirigée par François Duprat...

Histoire-Fascismes-e.jpgPréfacée par Alain Renault

« Des leçons très précises peuvent être tirées de l’histoire du mouvement nationaliste-révolutionnaire dans le Monde », écrivait François Duprat.

C’est dans cette optique qu’il s’est livré à de nombreuses études de ce mouvement et notamment de la période historique où diverses de ses variantes ont été qualifiées de fascismes.

Les textes retenus, extraits de diverses revues et notamment de la Revue d’Histoire du Fascisme, permettent toujours d’éclairer les luttes politiques d’aujourd’hui malgré les changements de contexte et les évolutions sémantiques...

Cette Histoire des Fascismes concerne le Fascisme et le national-socialisme en Autriche – La naissance et développement des mouvements antisémites allemands– Les « trotskistes » du national-socialisme – Le Fascisme aux Pays-Bas – Le destin de Quisling – La naissance, le développement et l’échec d’un fascisme roumain – la naissance et le développement du fascisme hongrois…

François Duprat (1940-1978) : militant et responsable nationaliste de Jeune Nation, Occident, Ordre Nouveau et du Front National. Collaborateur de Rivarol et Défense de l’Occident. Historien, auteur de nombreux ouvrages. Créateur et principal animateur des Cahiers Européens et de la Revue d’Histoire du Fascisme (RHF) dont Alain Renault a été un collaborateur.

 

Editions Déterna, 310 pages, 25,00 €. Commandez cliquer là

 

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Anne Lauvergeon s'en va avec 1 500 000 €...

Source Le Figaro cliquez ici

 

Suite et fin dans le dossier des indemnités d'Anne Lauvergeon. Sauf contre-ordre de dernière minute, l'ancienne présidente du directoire d'Areva touchera mardi les sommes liées à son départ du groupe nucléaire: soit un million d'euros - l'équivalent d'une année de salaire brut hors primes - auxquels s'ajoutent 500.000 euros, contrepartie financière à une clause de non-concurrence. Jean-Cyril Spinetta, le président du conseil de surveillance d'Areva, a demandé à l'entreprise d'effectuer ce règlement d'1,5 million d'euros en tout.

 

Fin mars, le ministre de l'Économie, François Baroin, avait indiqué par écrit que «la mise en œuvre des propositions du conseil de surveillance faisant l'objet du protocole transactionnel n'appelait pas d'opposition de (sa) part». Il appartenait alors à Jean-Cyril Spinetta d'appliquer - ou non - ce protocole. Il a tranché.

 

NDLR : Anne Lauvergeons, vous vous souvenez ? C'était cette collabo qui paradait, fin 2009, en annonçant qu'elle préférait embaucher dans son entreprise, AREVA, du personnel issu de l'immigration plutôt que des Français de souches. A ce prix là, on peut...

 

Afin de protester contre ces prétentions racistes anti-françaises, les nationalistes de la NDP, du PdF et du MNR avaient organisé, le 19 novembre 2009, une manifestation devant le siège d'AREVA à La Défense.

 

Intervention de Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire :

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lundi, 02 avril 2012

A lire : le n°3 de Salut public...

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Le mensuel solidariste de Troisième voie.

A lire : un article remarquable sur la dédiabolisation (piège à cons)

Dans le prochain numéro de Synthèse nationale :

un entretien avec Serge Ayoub, directeur de Salut public

Salut public est en vente dans les kiosques : 3,00 €

Abonnement : cliquez ici

11:08 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

FN... tout ça pour ça ! le dernier livre d'Anne Kling commenté dans le Journal du Chaos

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Il y a une abondante littérature sur le Front national. La plupart des ouvrages, il faut bien le dire, sont farfelus ou à charge. Il manquait un oeil clinique, bien informé, lucide et non moins critique sur l’aventure du Front et de son leader Jean-Marie Le Pen. Et bien c’est fait avec l’ouvrage plus que pertinent d’Anne Kling. Elle démonte toute la machine mise en place par un Le Pen nettement plus près de son portefeuille que de la prise du pouvoir. Elle montre bien que si le Front national a suscité bien des espoirs, il a fait aussi beaucoup de cocus. Le passage du flambeau à sa fille Marine ne change rien au destin de ce mouvement qui demeure d’abord une bonne affaire financière pour la famille et ses affidés. Les idées ? Quelles idées ? Ajoutons que cet ouvrage, bien écrit et sans forfanterie, se lit comme un polar.

 

FN... tout ça pour ça !, d’Anne Kling, Ed. Mithra, 253 p., 18 €

 

Lisez chaque semaine Le Journal du Chaos cliquez ici

Pour le recevoir gratuitement : lesanars@orange.fr 

Pour commander ce livre cliquez là

10:58 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les 3 facteurs clé de notre décadence ne sont pas clairement abordés par les candidats à la Présidentielle...

Marc Rousset.jpgMarc Rousset

 

De même que la Vérité sort souvent de la bouche des enfants, l’hebdomadaire britannique The Economist a le mérite d’attirer notre attention sur le caractère peu sérieux en France de la campagne présidentielle en cours. Le titre de son dernier numéro s’intitule : « La France en déni. L’élection la plus frivole d’Occident » en parodiant comme illustration le tableau d’Edouard Manet « Déjeuner sur l’herbe » où l’on voit Nicolas Sarkozy et François Hollande assis à même le sol dans une clairière avec une femme totalement nue. Malheureusement le réquisitoire de l’hebdomadaire ne porte que sur le thème de notre compétitivité déficiente et l’hypertrophie paralysante de nos dépenses publiques  qui sont pratiquement passés sous silence par tous les candidats ! Mais The Economist oublie les deux autres facteurs clé de la décadence morale, sociale et économique française, à savoir le libre échange mondialiste à la source de notre désindustrialisation et l’immigration avec son coût économique annuel monstrueux, soit 73 milliards d’euros, pratiquement le déficit budgétaire de la France!

 

Le réquisitoire juste de The Economist sur l’hypertrophie des dépenses publiques françaises

 

Le Président Sarkozy illusionne avec ses rodomontades et François Hollande nous prépare le sort de la Grèce tandis que Mario Monti réforme l’Italie pour de bon ! L’Espagne, l’Italie adoptent des politiques et des attitudes envers les réformes et la dépense publique infiniment plus courageuses que  ce qu’envisagent les candidats actuels. La France détient cependant déjà le record d’Europe pour les dépenses publiques (Etat, Collectivités locales, Sécurité Sociale) qui s’élèvent en 2011 à 55,9% du PIB ! Les mesures adoptées jusqu’à présent, même pour les retraites, relèvent beaucoup plus de la démagogie et de la poudre aux yeux que de réformes structurelles sérieuses à long terme redressant effectivement la situation. Quant à la croissance, elle doit venir de l’offre nouvelle de nouvelles entreprises compétitives avec la retraite à 65 ans, la suppression effective des scandaleux régimes spéciaux publics de retraite et non pas de l’entretien illusoire d’un trop grand nombre de  fonctionnaires ainsi que d’un laxisme social ou de gestion. Il est facile pour l’oligarchie politique de se donner bonne conscience en ne faisant rien pour réduire les dépenses  et en prenant pour prétexte que l’on entretient la consommation et donc la croissance ! Depuis le temps qu’elle pratique cette folie démagogique, la France devrait avoir aujourd’hui le PIB par tête le plus élevé du monde !

 

Nous ne répéterons jamais assez que de 1991 à 2008, le nombre de fonctionnaires en Allemagne qui faisait face au problème des fonctionnaires trop nombreux de l’ancienne DDR a baissé de 6 737 000 à 4 505 000. Dans le même temps, la France passait de 4 258 000 à  5 200 000 fonctionnaires. Avec près de 20 millions d’habitants de moins, la France a réussi la triste performance de dépasser l’Allemagne en 2002. Compte tenu de la différence des populations  de l’ordre de 3 pour 4 entre la France et l’Allemagne, le nombre de fonctionnaires  français,  en partant du chiffre allemand de 4 505 000 devrait donc être de 3 Millions ! Puisqu’il est de 5 200 000, il y a donc  bien en France 2 000 000 de fonctionnaires en trop !

 

Le deuxième facteur clé de notre décadence économique : la France le pays le plus désindustrialisé de la zone euro en raison du libre-échange mondialiste

 

Nous avons déjà écrit de nombreuses chroniques sur ce thème. Cette fois-ci nous nous bornerons à citer plusieurs passages du Prix Nobel Maurice Allais qui expliquait pourquoi en suivant la politique libre-échangiste de Bruxelles, la France se suicide !

 

« La mondialisation de l’économie est certainement très profitable pour quelques groupes privilégiés. Mais les intérêts de ces groupes ne sauraient s’identifier avec ceux de l’humanité toute entière. Elle ne peut que se révéler finalement désavantageuse pour tous les peuples» (1) 

 

« En fait, ce que l’on a constaté, c’est que la politique de libre échange mondialiste poursuivie par l’organisation de Bruxelles a entraîné (en France) à partir de 1974 la destruction des emplois, la destruction de l’industrie, la destruction de l’agriculture et la destruction de la croissance » (2)

 

« Si la politique libre-échangiste de l’organisation de Bruxelles n’avait pas été appliquée, le PIB réel par habitant en France serait aujourd’hui  d’au moins 30% plus élevé qu’il ne l’est actuellement et il serait certainement au moins égal au PIB réel par habitant aux Etats-Unis » (3)

 

Il importe en effet de réaliser que ce que la France gagne en baisse de prix, elle le perd en  chômage (3 millions d’emplois industriels disparus en 30 ans)  et en diminution de revenus. Le recul du pouvoir d’achat affecte les chômeurs  mais aussi les non chômeurs qui subissent des prélèvements fiscaux et sociaux  croissants pour aider leurs compatriotes et les immigrés sans emploi. Voici ce qu’écrivait  également  Maurice Allais : « Les partisans du libre-échange mondialiste soulignent que grâce aux délocalisations et aux importations en provenance des pays à bas salaires, jamais les prix dans les hypermarchés n’ont été aussi bas ».

 

« Mais c’est oublier que les consommateurs  ne sont pas seulement des acheteurs. Ils sont également des producteurs qui gagnent leur vie et qui paient des impôts »

 

« En tant que consommateurs ils peuvent acheter des produits meilleur marché. Mais pour ces consommateurs la contrepartie de ces importations à bas prix est finalement la perte de leur emploi  ou la baisse de leurs salaires, et des impôts accrus  pour couvrir le coût social du chômage et de la politique de l’emploi. Dès lors les avantages apparents des produits bon marché sont plus que contrebalancés par leurs coûts économiques et sociaux réels de toutes sortes » (4)

 

Le résultat à ce jour, avant la désertification industrielle totale si rien ne change, c’est que, selon une étude  de COE-Rexecode de mars 2012 (5), la France est désormais le pays de la zone euro dont  la part de la valeur ajoutée de l’industrie manufacturière dans le PIB est la plus faible (9,33% en 2010) . A titre de comparaison, le poids de l’industrie atteint 12,1% en Espagne et 11,8% au Portugal, 13,1% en Belgique et 11,9% aux Pays Bas. Quant à l’Allemagne, elle fait la course en tête avec une industrie qui représente 18,7% de son PIB.

 

Le troisième facteur clé de notre décadence économique, sociologique et morale : la folle immigration extra-européenne

 

Là encore nous citerons le brillant major de Polytechnique Maurice Allais, peu suspect de racisme maladif ou congénital qui, déjà en 1992, écrivait : « L’immigration tout à fait excessive  qui s’est constatée en France  depuis les années soixante a constitué par ses conséquences de toutes sortes un intolérable fardeau… dont le seul résultat tangible  a été de déprimer profondément les salaires réels français... » (6)

 

Nous ne nous étendrons pas  sur les thèmes de la perte de l’identité française, européenne et du risque évident  de guerre civile pour nos enfants et petits-enfants. Renaud Camus  souligne à juste titre « qu’aucun épisode depuis quinze siècles, ni la Guerre de Cent ans, ni l’occupation allemande n’ont constitué pour la patrie une menace aussi grave, aussi fatale, aussi virtuellement définitive en ses conséquences que le changement de peuple »(7). Nous assistons en quelque sorte à un véritable génocide culturel de la France...

 

Selon Yves-Marie Laulan, dans son étude du 19 Février 2012 (8), les coûts nets directs ou indirects de l’immigration s’élèvent à 73,3 milliards d’euros .Ils  sont donc  non  financés par un déficit budgétaire de 85 milliards d’euros qui alimentent l’endettement actuel de la France de 1717 milliards d’euros. L’immigration en France peut être évaluée à 250 000 (9) personnes par an dont 50 000 clandestins, soit une agglomération lilloise tous les 3 ans !

 

Comme nous le rappelle  Marc Aurèle « l’objet de la Vie  n’est pas de se trouver du côté de la majorité, mais d’éviter d’être du côté des imbéciles ». Des dix candidats qui se présentent avec  leurs 500 signatures, aucun n’a  la stature d’un De Gaulle ou d’un Poutine pour redresser d’une façon urgente une France qui part à vau-l’eau ! Les problèmes fondamentaux de défense  ne sont même  pas abordés. Il n’est donc pas étonnant que les thèmes de la campagne présidentielle  ne soient pas à la hauteur  de la faillite d’un Etat, d’une invasion migratoire programmée, des enjeux pour la France de sa survie économique, politique,  militaire, démographique, linguistique et civilisationnelle.

 

Notes

 

(1) Maurice Allais, Erreurs et impasses de la construction européenne. Editions Clément, 1992, page 217

(2) Maurice Allais, L’Europe en crise,que faire ? Editions Clément Juglar, 2005, page 71

(3 ) Maurice Allais, op cit, page 71

(4) Maurice Allais, La Mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance Editions Clément Juglar, 1999,  page 309

(5) COE-Rexecode,  « Faiblesses  et atouts de la France dans la zone euro », mars 2012

(6) Maurice Allais, L’Europe en crise, que faire ? op cit, page 77

(7) Renaud Camus, Le Grand Remplacement, Editions David Reinharc, novembre 2011,

(8) Yves-Marie Laulan, L’impact macro-économique de l’immigration, 19 février 2012

(9) Yves-Marie Laulan, Tableau de bord de l’immigration-Chiffres clefs des flux migratoires, Décembre 2011

00:06 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 28 mars 2012

Synthèse nationale n°26, abonnez-vous...

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N°26 - 134 pages - 12,00 €

Au sommaire :

Au-delà de la Présidentielle : la bataille finale…

  l’éditorial de Roland Hélie

■ Le capitalisme en crise…


  la chronique de Patrick Parment

■ Focus sur Najat Vallaud-Belkacem…

  par Luc Pécharman

■ GUIDE DE SURVIE DANS UNE SOCIÉTÉ ISLAMIQUE

  présenté par Robert Spieler

■ La surpopulation : mythe ou réalité ?

  par Arnaud Raffard de Brienne

■ LA SOCIETE OUVERTE NOUS AMENE AU NIHILISME 

  par Georges Dillinger

■ FN… Tout ça pour ça ! Un grand entretien avec Anne Kling

En 2012, l’Oncle Sam hors de danger ?

  par Pieter Kerstens

■ Le handicap structurel France /Allemagne

  face à l’euro et l’Europe Puissance…

  par Marc  Rousset

■ Les racines brunes du Parti socialiste autrichien… 

  par Lionel Baland

Pour défendre un peuple persécuté :

  l’acte ultime du Colonel Robert Jambon…

  par Paul Vigne

DEFENSE DE L’OCCIDENT :

  HISTOIRE D’UNE REVUE NATIONALISTE…

  par Francis Bergeron

■ Les rubriques du Marquis, par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, de Jean-Claude Rolinat, de Patrick Gofman, de Philippe Randa…


ABONNEZ-VOUS !

1 an (6 numéros) :

Simple 50,00 € - Soutien 100,00 €

Chèque à l'ordre de Synthèse nationale

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Synthèse nationale est en vente à Primatice (Bad street shop), 10 rue Primatice 75013 Paris (métro Place d'Italie)

23:26 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un nouveau livre d'Hervé Ryssen...

Ryssen-comrendre-le-judaisme.jpgTout le monde entend parler des juifs, mais bien peu de gens les connaissent vraiment. Qui sont-ils ? En quoi se distinguent-ils du reste de la population ?

 

Ces questions sont d’autant plus importantes que le peuple juif joue un rôle central dans l’évolution de l’humanité. On cite souvent Marx, Freud et Einstein, qui ont personnifié un temps le génie du judaïsme.

 

Aujourd’hui, l’apport des juifs à la culture mondiale est d’une richesse extraordinaire. Leur amour de la paix, de l’égalité et de la tolérance, leur combat inlassable pour les droits de l’homme, font d’eux les meilleurs défenseurs de l’idéal démocratique. Alors comment expliquer l’antisémitisme ?

 

Ce petit livre est une synthèse des six livres d’Hervé Ryssen parus sur le sujet et publiés entre 2005 et 2010. Ils sont indispensables pour comprendre le monde contemporain.

 

Format poche (10,5 x 15 cm). 144 pages, 8 € + 2 € de port. Chèque à l'ordre de LALIN, 14 rue Brossolette, 92300 Levallois (ce n'est qu'une boîte aux lettres).

 

Source cliquez ici

09:20 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 27 mars 2012

Mercredi à 18 h 00 : Roland Hélie invité par Martial Bild sur Radio Courtoisie...

imagesCA9JOSDT.jpgMercredi 28 mars, à 18 h 00, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, sera invité par Martial Bild à son libre journal sur Radio Courtoisie. Thème de cet entretien : l'histoire de la Droite nationaliste sous la Ve République. Thème qui sera aussi traité jeudi soir lors d'une conférence au Local (92, rue de Javel 75015 Paris).

Pour écouter Radio courtoisie cliquez là

00:21 Publié dans Sur les ondes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 25 mars 2012

"Les brigades internationales de Franco", un livre de Sylvain Roussillon...

1284-1207-large.jpgSujet sensible, douloureux, profondément ancré dans l'histoire collective de la péninsule ibérique, la guerre d'Espagne a été relatée de multiples manières au gré des décennies. Les historiens ont beaucoup insisté sur l'aide des Brigades internationales aux Républicains, mais jamais inventorié dans leur ensemble les forces internationales dont bénéficia le général Fransisco Franco. Et si l'on sait l'importance de la légion Condor et des combattants italiens, l'on ignore encore l'engagement non moins décisifs de volontaires irlandais, français, anglo-saxons, russes, portugais, nord-africains, marocains, asiatiques, juifs et même musulmans.

Sylvain Roussilon comble ici cette lacune, loin des clichés réducteurs et des visions partisanes, au terme d'une enquête auprès des témoins et de fonds d'archives encore inconnus du grand public.

Préface de Pascal Le Pautremat, 362 pages, Editions Via Romana, 2012, 24,00 €

En vente à la Librairie française : cliquez ici

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vendredi, 23 mars 2012

Mohamed Merah, un tueur très populaire sur facebook...

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Une photo de Mohamed Merah postée sur facebook, précédée de la mention « combien de jaime pour mohamed merah », a beaucoup de succès. A 14 heures 15 ce vendredi, près de onze mille personnes avaient cliqué sur « j’aime », manifestant un soutien à l’assassin de sept personnes, dont l’identité a tant déçu la presse.

La page est consultable ici.

A lire les commentaires, on se dit que dans le domaine de l’orthographe et de la grammaire, il y a aussi un espace pour cette diversité tant prônée par nos dirigeants.

[MàJ] : A Rouen, un professeur a demandé à ses élèves d’observer une minute de silence à la mémoire de Mohamed Merah. Luc Chatel, ministre de l’éducation (sic) nationale (sic), a immédiatement demandé au recteur de Rouen de la suspendre.

Source Contre-info.com cliquez là

23:04 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LA LIGNE DE FRONT...

160312_073121_PEEL_t85sB5.jpgEditorial de Militant de ce mois

Depuis quelques semaines, les médias occidentaux ne cessent de tirer à boulets rouges sur la Syrie de Bachar El Assad, dernier régime laïc et nationaliste du monde arabe depuis la destruction du régime baassiste de Saddam Hussein sous de faux et scandaleux prétextes en 2003. Or le régime de Damas avait, jusqu’à la déstabilisation actuelle, activée par Washington et différents services secrets occidentaux, assuré la paix et la concorde dans cet Etat multiconfessionnel où vit une forte communauté chrétienne. Est-ce son crime ?

Quelques mois auparavant, nous avions assisté à l'entreprise de diabolisation de Kadhafi et à son lynchage politique et physique, alors que celui-ci, depuis quelques années, contribuait pourtant à stabiliser la région sahélo-saharienne ; mais il voulait réduire en Libye les profits des grandes compagnies pétrolières et mettre en place un financement indépendant de l’Afrique : cela ne lui a pas été pardonné.

Quant à l'Iran d'Ahmadinejad, il est de plus en plus assourdi par les bruits de bottes qui se font entendre depuis l'Etat juif de Palestine qui joue les voltigeurs de pointe, envisageant froidement des frappes atomiques sur l'Iran dont chacun sait qu'elles feraient plusieurs millions de morts.

De même, la Russie de Vladimir Poutine est-elle vilipendée dans toute la "grande" presse. Son crime ? Refuser de passer sous les fourches caudines de Wall Street et de la City, de bloquer les menées du mondialisme dans son étranger proche, que ce soit sous forme d'un bouclier anti missile – en fait un bouclier anti-russe – déployé à ses frontières par l'Otan sous le fallacieux prétexte de se protéger de l'Iran, ou sous la forme de mouvements subversifs comme les "révolutions de couleur". Pour les mêmes raisons, la Biélorussie d'Alexandre Loukachenko est aussi ostracisée.

Nous pourrions continuer avec la Hongrie de Viktor Orban qui défend la morale naturelle et affirme les droits de la nation hongroise contre le diktat des sicaires de l’Union Européenne, cheval de Troie du mondialisme en Europe, mais aussi, outre Atlantique, avec le Venezuela de Chavez et même avec le régime castriste.

Le point commun de tous ces régimes et de ces hommes politiques est de refuser de se plier aux directives de la "communauté internationale". Mais qu'est-ce que cette "communauté internationale" dont nous ne cessons d'entendre parler ? C'est tout simplement le syndicat de défense de la finance mondialisée et de l'entité sioniste de Palestine. Nous y retrouvons comme agents exécutifs les dirigeants états-uniens et leurs alliés des classes politiques démocratiques du monde occidental.

C'est alors que nous comprenons que la ligne de front passe à l'intérieur de nos nations. Non pas entre la droite et la gauche, qui ne sont que les deux faces du janus démocratique et cosmopolite, mais entre ceux qui veulent le retour des nations, et en premier lieu à la restauration de leur souveraineté, notamment financière : il faut rejeter un endettement illégitime qui les enchaîne à des banksters sans visage qui noyautent des régimes stipendiés, tandis qu’ils encouragent l’immigration de masse inassimilable pour peser à la baisse sur les salaires des nationaux en procédant à une substitution de population et en réduisant les classes laborieuses à la loi d'airain à laquelle elles étaient parvenues à échapper au cours du XXe siècle. Mais elle passe aussi entre ceux qui soutiennent le sionisme international et ceux qui en dénoncent les intérêts qui ne sont pas ceux de notre civilisation : là se situe l'ultime ligne de front.

Conscient de cette réalité, MILITANT, fidèle à la doctrine nationaliste, réaffirme plus que jamais la nécessité du recouvrement d’un Etat national dont les nations d'Europe, et la France en particulier, ont été dépossédés.

Militant cliquez ici

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A hurler de rire : DU RIFIFI CHEZ LES PETROLEUSES DE L'ANTI-RACISME PATENTE...

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Caroline Fourest, lauréate d'un « Y'a bon Award », attaque Rokhaya Diallo

Source Rue 89 cliquez ici

Créés en 2009 par l'association Les Indivisibles de Rokhaya Diallo, les Y'a bon Awards distinguent ce qu'ils estiment être les pires déclarations xénophobes et/ou racistes tenus par des personnalités. L'année dernière (cliquez là), Eric Zemmour, Robert Ménard et Jean-Paul Guerlain ont été récompensés.

 

Le principe, contestable, de cette distinction infamante, peu transparente, non contradictoire, a peut-être atteint ses limites cette année : lundi, la journaliste Caroline Fourest (Le Monde, France Culture) a obtenu le Y'a bon Award des « experts chronikers » pour avoir dénoncé, le 11 décembre 2010, des « associations qui demandent des gymnases pour organiser des tournois de basket réservés aux femmes, voilées, pour en plus lever des fonds pour le Hamas ».

 

« N'est-ce pas un peu gros ? »

 

La chroniqueuse, qui se définit comme « antiraciste », s'en est indignée dans une note de blog intitulée « Les Y'a bon Awards déshonorent l'antiracisme » :

« Décerner un prix du racisme à une antiraciste. N'est-ce pas un peu gros ? Vous connaissez la formule, un peu modifiée. Les salauds osent tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. »

 

Dans cette note, elle s'en prend à la vision du monde de Rokhaya Diallo (cliquez ici),  qui veut un modèle basé sur les statistiques ethniques et une laïcité à l'anglo-saxonne, « ouverte aux religions et même à l'intégrisme ».

Caroline Fourest rappelle d'ailleurs que Rokhaya Diallo a collaboré avec le département d'Etat américain dans le cadre de International Visitor Leadership.

 

« Et ce malgré ses liens avec les Indigènes de la République et leurs alliés islamistes. »

 

La journaliste se dit également victime d'un jury partial.

 

« La complicité de certains membres du jury ne m'étonne guère : Jean Baubérot (pape des accommodements raisonnables à la canadienne), Frédéric Martel (qui a juré de me faire payer une chronique sur Martine Aubry et va jusqu'à me traiter de sarkozyste pour tenter de me discréditer… On rêve ! ), un journaliste de Politis qui trouve que j'ai eu tort de dénoncer le double discours de Tariq Ramadan, et bien sûr, la spécialiste de l'amalgame féminisme = racisme : Nacira Guénif (auteure d'un livre pro-voile hallucinant sur les “ Féministes et le garçon arabe ”). »

 

Caroline Fourest mentionne ici quatre jurés sur quatorze. Dans le jury, il y avait aussi Florence Aubenas (journaliste), Faïza Guène (romancière), Jalil Lespert (comédien), Youssoupha (rappeur), Aissa Maïgua (actrice).

 

Diffamation, injure, voire incitation à la haine

 

La chroniqueuse, qui considère que les mots qui lui sont reprochés faisaient partie d'un « discours sur l'égalité », annonce qu'elle porte plainte contre l'association et les membres de ce jury, « pour diffamation et injure voire pour incitation à la haine ».

 

A noter, Christophe Barbier (L'Express) s'est quant à lui vu décerner le Y'a bon Award « enquête exclusive, en partenariat avec le journal Minute » pour son éditorial du 18 février 2010 sur le Quick halal :

« Après la burqa et les minarets, à chaque fois c'est la même chose. [...] La République laïque doit imposer sa loi à ceux qui tentent d'en imposer une autre, assez souvent intégriste. »

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Vendredi, c'est le jour de Rivarol !

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Chez votre marchand de journaux : 3,50 €

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jeudi, 22 mars 2012

DEFENDRE L'EMPLOI !

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La cérémonie des Bobards d'Or organisée mardi dernier par Polémia...


3e éditions des Bobards d'Or - 20 mars 2012 par Agence2Presse

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UNE ORDURE ISLAMISTE EN MOINS...

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Source Le blog des Rivaroliens cliquez ici

Mohamed Merah est mort lors de l'assaut du RAID. Selon Guéant sur BFM TV, le tueur a jailli de la salle de bains avec des armes à feu et tiré en rafale sur le RAID, avant de se jeter par la fenêtre. La chute a été mortelle.

Mais pour un islamiste mort, combien se cachent encore en France? Combien admirent le fou furieux qui a fait la une des journaux et de toutes les chaînes pendant plus de trente heures, combien aspirent à une même fin "les armes à la main"?

Toulouse est sans doute soulagée, mais l'élément effrayant de cette affaire est la révélation que l'homme était surveillé et connu pour ses voyages au Pakistan, ses entraînements de djihadiste. Combien d'apprentis terroristes laisse-t-on habiter paisiblement sur notre territoire ? Il n'est pas paranoïaque de se poser la question...

Il serait sans doute temps à présent de traquer et chasser, emprisonner ou exécuter tous les islamistes entraînés qui évoluent pour l'heure sans encombre au milieu de civils désarmés et innocents.

19:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La tartufferie journalistique...

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Nicolas Chapuis, « journaliste » au Nouvel Observateur, se confie sur twitter :
« Putain je suis dégoûté que ce soit pas un nazi »
« ça aurait été effectivement plus simple », lui répond un collègue journaliste et réalisateur…

Le comble de la tartufferie journalistique…

19:17 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

PAS D’AMALGAME QU’ILS DISENT…

images.jpgLe bloc note de Jean-Claude Rolinat

Les représentants des communautés religieuses sont émouvants. Les yeux dans les yeux, presque la main dans la main, ils appellent toujours à plus de tolérance et de paix. C’est leur rôle, leur mission, ils ont étudié et sont payés pour ça. Un rabbin, un homme d’église, un imam sous le beau ciel de notre belle République ne sont pas là pour attiser la haine, non ? Manquerait plus que ça ! Et surtout, surtout, pas d’amalgame !

 

Le fait que l’assassin de trois militaires et le tueur de trois enfants de confession juive, Mohamed Merah, ne soit ni sikh, ni hindou, ni catholique, ni réformé, ni copte, ni orthodoxe, ni shintoïste, ni zoroastrien n’est que le fait, sans doute, d’un mauvais hasard. Imaginons que le criminel se soit appelé Dupont-Lajoie et qu’il soit un  consommateur de porc de première et, en plus, circonstance aggravante, qu’il ait une fois dans sa vie, voté pour un parti de la Droite Nationale, quel jet d’injures, quel tombereau d’invectives, quelle marée d’indignation déferleraient sur notre paysage médiatique. Nous aurions droit à la mise en lumière de l’éternelle équation inventée par nos beaux  esprits de gauche : Nazi=fascisme=Vichy=extrême droite=droite de conviction…

 

Patatras, le beau scénario qui nous aurait valu un Carpentras bis s’est effondré à l’instant même où était révélée l’identité du terroriste djihadiste. Français de papier qui a froidement abattu  des hommes  parce qu’ils portaient un uniforme honni et tué d’innocents enfants d’une confession détestée en raison d’ évènements complètement extérieurs au périmètre français, voilà de quoi faire réfléchir celles et ceux qui se réjouissaient des révolutions du « printemps » arabe. Lequel dessine les contours d’un hiver islamiste  en Tunisie, Libye, Egypte en attendant, peut-être, le tour de la Syrie. Combien y-a-t-il d’autres bombes ambulantes  de cette nature, chargées de haine jusqu’à la gueule?  Gardons-nous, bien sûr, de généraliser. Si tous les musulmans, d’évidence, ne sont pas des terroristes en puissance,-combien de « chibanis » vivent tranquilles en nos murs et ne demandent qu’à partager notre soleil-, tous les terroristes islamistes sont des Mahométans. Et surtout, encore une fois, pas de confusion , disons « ethno-géographique » : tous les arabes ne sont pas musulmans et la première puissance musulmane au monde, c’est l’Indonésie.

 

En attendant, cette tragique actualité a fait passer à la trappe un autre atroce fait divers : une « chance pour la France », récidiviste, est  très fortement soupçonné d’avoir tué une adolescente à Bouguenais, au sud-ouest de Nantes. Ainsi va ce pays qui fut, jadis et hier, un pays de cocagne…

18:59 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

SALE TEMPS POUR LES HYENES !

Source Terre et Peuple cliquez ici

 

Depuis la tuerie de l’école juive, la curée allait bon train. Au mépris de toute prudence, le grand rabbin de France, Gilles Bernheim, le patron de la LICRA, Alain Jakubowicz, celui de SOS Racisme, Dominique Sopo, comme les dirigeants et les médias d’Israël, des politiques comme Jean-Luc Mélenchon, et la plupart des journalistes et chroniqueurs qui comptent, tout ce joli petit monde s’était engouffré dans la voie qui leur allait si bien : celle du retour de la bête immonde et des heures les plus sombres de l’histoire de France.

 

Pensez ! Un « tireur fou » éligible au grade de membre d’honneur de la SS pour oser abattre à bout portant des enfants juifs innocents. Et, en plus d’être antisémite, il était raciste puisqu’il avait tué des militaires d’origine maghrébine et antillaise. Son profil était tout trouvé. Et cela tombait bien : trois parachutistes, blancs et de souche, avaient été exclus du 17ème RGP pour s’être déguisés en nazillons un soir de Mardi Gras trop arrosé.

 

On imaginait déjà, les yeux embués par l’émotion, le grand défilé républicain qui aurait réuni, de Bastille à République, ou de la Concorde à l’Etoile, des centaines de milliers de manifestants qui auraient marché, au péril de leur vie, pour dénoncer la montée du fascisme. On y aurait vu toutes les organisations qui nous maintiennent dans la vigilance : SOS Racisme, la LICRA, l’UEJF, le MRAP… On y aurait rencontré tout l’éventail de la politique française, de Bayrou à Mélenchon, en passant par Copélovici, Moscovici et Cohn-Bendit.

 

Tous ces braves gens auraient susurré à l’oreille de Sarkozy et Guéant qu’il fallait interdire le Front National, dissoudre tous les mouvements « d’extrême-droite » et embastiller leurs dirigeants. Et même si on n’allait pas jusque là, c’en était fini des espoirs de Marine Le Pen. La plupart de ses électeurs l’auraient abandonnée pour reporter leurs voix sur le « Père de la Nation » de l’Elysée. En quelque sorte, « Carpentras II, le Retour ! »

.

Patatras ! Le tueur fou – sans doute pas si fou que cela –, Mohammed Merah, est un Français d’origine algérienne qui s’est formé dans les camps du Pakistan. Ce djihadiste a donc tué des enfants juifs pour venger les enfants palestiniens. Et s’il a tué des parachutistes, ce n’est pas parce qu’ils étaient antillais ou maghrébins, mais pour punir la France de combattre en Afghanistan (il faut rappeler que 20 à 30% des effectifs de l’Armée, y compris dans les troupes d’élite, sont d’origine immigrée : ce n’était pas du racisme, mais une coïncidence).

 

Qu’est-ce qui menace la France ? Le retour de la bête immonde ou plutôt une immigration sans frein qui sévit depuis un demi-siècle et détruit peu à peu notre pays ? Une immigration dont les rejetons, nouveaux damnés de la Terre, sombrent dans un islam fanatique et le djihad mortifère qui en découle logiquement.

 

Alain Cagnat

09:08 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

19 mars : compte-rendu de manif du Renouveau français à Paris

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Source Contre-info.com cliquez ici

 

Bravo au RF d’avoir sauvé l’honneur à Paris.


Compte-rendu trouvé sur le site du mouvement :

 « Ce 19 mars, la section parisienne du Renouveau français a organisé une manifestation à l’occasion de la célébration mensongère du « 19 mars 62 » par les forces politico-médiatiques.

Une manifestation pour l’honneur, mais aussi une manifestation de dénonciation et de revendication. Il s’agissait de s’en prendre à l’escroquerie qui consiste à présenter le 19 mars 1962 comme la fin de la guerre d’Algérie et comme un « cessez-le-feu ».

Il est intolérable de voir fleurir les places, rues et pont « du 19 mars 1962 ».


Un cortège solennel s’est donc élancé au son du tambour, muni de flambeaux, drapeaux au vent.
Les slogans et chants se succédèrent. Direction la « place du 19 mars 1962 », que l’on doit au sinistre Delanoë, dans le 12e arrondissement parisien.

 

Arrivés sur place, le directeur du RF, Thibaut de Chassey, rappela la réalité de l’après « 19 mars », qui fut en fait le début des massacres de masse.


Plus de 100 000 musulmans pro-français suppliciés, 5000 Européens disparus (hommes lentement mis à mort, femmes et jeunes filles réduites à la prostitution et victimes de la traite des Blanches), plus d’un million de Pieds-Noirs exilés, abandonnant tout derrière eux et fort mal accueillis en métropole.


Ajoutons au bilan près de 30 000 jeunes soldats français sacrifiés pour rien.

L’Etat FLN, qui n’a pour politique à proposer à ses citoyens que la haine et le ressentiment antifrançais – basés sur la falsification de l’histoire -, a été vigoureusement dénoncé.


Héritant d’un pays bâti par la France, avec de nombreuses infrastructures et des ressources exceptionnelles, le FLN n’a rien su faire et aujourd’hui les anciens terroristes les plus en vue viennent se faire soigner à Paris, chouchoutés par les Hollande et Sarkozy.

La trahison de De Gaulle a été pointée du doigt.


Le lien entre la conclusion honteuse de la guerre d’Algérie, pourtant gagnée militairement, et la situation française actuelle a été mis en valeur. La France algérienne à laquelle nous avons droit en est une conséquence.
Notre directeur a conclu en exigeant le rétablissement de la vérité sur l’œuvre française en Algérie et la fin de cinquante ans de mensonges et d’injustice.

 

Puis Roger Holeindre, président du Cercle national des combattants, a pris la parole pour dénoncer en termes vifs la trahison des autorités en 1962, l’arnaque des « accords d’Evian » et évoquer non sans émotion le sort tragique qui en a résulté pour tant de familles.

 

Enfin, Pierre Descaves, ancien résistant de l’Aglérie française, prit le micro pour conclure en nous mettant en garde contre les menaces que nous réserve la situation française actuelle : une nouvelle « guerre d’Algérie » à l’envers est à craindre ici. Il nous expliqua qu’il faudra peut-être, demain, défendre le territoire national, défendre nos familles face à un ennemi haineux et cruel, qui se développe grâce à la lâcheté et la complaisance des pouvoirs publics.

 

Pour l’anecdote, quelques dizaines d’opposants (gauchistes et immigrés haineux munis de drapeaux FLN) ont tenté de s’en prendre par deux fois à la manifestation. La première fois, au début de notre rassemblement, ils ont renoncé à s’approcher trop près… La seconde, après la dispersion de nos militants, ils ont tenté d’attaquer un groupe qui s’était attablé dans un bistrot du quartier. Mauvaise idée : les assaillants ont dû rapidement déguerpir, non sans souvenirs désagréables et après avoir blessé un policier qui se trouvait à proximité. Du côté patriote, personne n’a été incommodé, mais notre mégaphone a été cassé (vous pouvez financer l’achat d’un nouveau modèle(vous pouvez financer l’achat d’un nouveau modèle ici). »

08:56 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

En France comme dans le monde, l’islamisme tue...

70b77ac4-b176-11dd-a4cd-8abe6e7402a3.jpgUn communiqué du

Parti de la France :

 

Le Parti de la France s’est associé à la douleur et au deuil de toutes les victimes civiles et militaires du tueur islamiste Mohamed Merah.

 

Le Parti de la France tient à rendre hommage à l’efficacité de l’ensemble des services de police qui ont permis la neutralisation du Djihadiste et attend que l’enquête soit enfin l’occasion de faire toute la lumière sur la présence et l’organisation des militants et cellules terroristes islamistes sur le territoire français. L’enquête devra aussi établir les liens entre le tueur et les réseaux de l’Internationale révolutionnaire islamiste et permettre d’analyser la logique politique du choix du passage à l’acte en pleine campagne électorale présidentielle.

 

Il faut, une fois de plus, rappeler la lourde et dramatique responsabilité des gouvernements, des partis politiques, des ligues et associations de tous genres dans le processus de destruction de l’identité française et de l’unité nationale par l’organisation délibérée d’une immigration massive extra européenne.

 

Ceux qui appellent aujourd’hui à l’unité nationale sont les mêmes qui ont mené depuis 30 ans et de manière systématique des politiques de désintégration nationale.

 

Le Parti de la France les accuse d’avoir créé les conditions historiques des drames d’aujourd’hui et de demain et appelle les Français, avant qu’il ne soit trop tard, à refuser la colonisation islamique de la France et de l’Europe.

08:46 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le tueur au scooter cerné par la police : les profileurs médiacrates avaient tout faux...

3190468828.jpgPar Yves Darchicourt

 

Déconvenue, désappointement, déception, frustration dans la gent médiatique depuis ce matin. L'impensable est arrivé : le tueur au scooter n'a rien du gaulois bon teint endoctriné dans une quelconque résurgence de la bête immonde! L'homme au 11/43 qui a abattu trois militaires, un enseignant et trois écoliers serait Mohamed Merah un franco-algérien musulman !

 

Pourtant l'affaire semblait parfaitement calée: sept victimes dont deux maghrébins, un antillais et quatre juifs. L'ignoble ne pouvait donc qu'être un nervi de la droite la plus extrème, un seide raciste, islamophobe et, horresco referens, antisémite. Du tout cuit pour une campagne délirante contre les partis politiques, associations et militants nationalistes et identitaires; une campagne d'ailleurs en train de s'orchestrer dans les médias par le jeu perfide des allusions, des sous-entendus et des parallèles oiseux pour lier indissociablement l'auteur des faits à la droite nationale. Puis seraient venus les péroraisons grandiloquentes, l'indignation ciblée, les anathèmes, les interdits et les mesures liberticides...

 

Et patatra, c'est à la fois la Bérézina, Waterloo et Juin 40 pour la médiacratie et le politiquement correct! L'union sacrée contre l'Hydre va tomber en quenouille et les médias vont maintenant devoir s'atteler à une autre tâche : faire en sorte que le citoyen gaulois voit en Mohamed Mehra non pas un immigré algérien devenu soldat de la guerre sainte mais un déséquilibré isolé et mythomane dont le délire meutrier n'entache en rien notre belle politique d'accueil et de tolérance. Le pire est qu'ils vont sans doute y arriver !

08:41 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 20 mars 2012

L'Afrique Réelle N° 27 - Mars 2012

bernardlugan281p.jpgPar Bernard Lugan

L'Afrique réelle cliquez ici

 

Conséquence de la malencontreuse intervention franco-otanienne, l’éclatement de la Libye a déjà des conséquences géopolitiques dont nous sommes encore loin de mesurer les effets à moyen et à long terme [1].

 

Les décideurs français n’ignoraient pourtant pas que la Libye n’est pas un Etat, mais un conglomérat tribal engerbant la Tripolitaine qui regarde vers Tunis, la Cyrénaïque tournée vers Le Caire et le Fezzan qui plonge vers le bassin du Tchad et la boucle du Niger. Ils savaient qu’au départ le mouvement n’était qu’une dissidence régionaliste née en Cyrénaïque et renforcée d’une manière opportuniste par le soulèvement de la minorité berbère vivant dans le djebel Nefusa, à l’Ouest. Leurs conseillers ne leur avaient pas caché que l’épicentre de la « révolution » était la région de Benghazi, capitale de cette Cyrénaïque dissidente à l’époque ottomane, rebelle durant l’Impero italien et insoumise ensuite.


Ce fut donc bien dans une guerre civile que le président de la République immisça la France, au profit d’un camp contre un autre, trompant la Chine et la Russie sur ses intentions réelles tout en transformant un mandat onusien limité à la protection des civils de Benghazi en un droit de guerre étendu à l’ensemble du pays.

 

Reconnu par la France comme « le seul représentant légitime des populations libyennes » dès le 10 mars 2011, le CNT a depuis démontré qu’il ne représente que lui-même. Pendant un temps, sa seule marge de manoeuvre fut de donner des gages à certaines tribus tout en essayant de ne pas s’aliéner les autres. Aujourd’hui, alors que son autorité ne dépasse pas l’antichambre du bureau de son président, la Cyrénaïque vient de faire sécession.

 

Le dossier central de ce numéro de l’Afrique Réelle est consacré au pétrole car le continent fonde d’énormes espoirs sur des découvertes qui se multiplient depuis une décennie. Est-il pour autant cet eldorado décrit par certains observateurs ? La réponse doit être nuancée.


Aujourd’hui, l’Afrique dans son ensemble n’assure en moyenne que 15% de la production mondiale et ses 24 pays extracteurs ne produisent à eux tous pas davantage que l’Iran, le Mexique et le Venezuela réunis. De plus, dans l’état actuel des découvertes, elle ne détient qu’entre 8 et 10% des réserves mondiales prouvées, soit à peu de choses près l’équivalent de celles du seul Iran.


Cependant, de très importantes découvertes étant attendues ou annoncées en off shore et en off shore profond ainsi qu’en on shore, la place de l’Afrique dans la production mondiale va nécessairement augmenter. La question qu’il est donc légitime de poser est de savoir si le pétrole va pouvoir, à lui seul, sortir le continent de sa situation actuelle. Aura-t-il un effet d’entraînement sur des économies sinistrées ?


En Algérie et au Nigeria, la manne pétrolière n’a pas provoqué de décollage et le « tout pétrole » y a détruit une agriculture jadis florissante. Partout, il a provoqué la corruption, le gaspillage et même, ce qui est un comble, les pénuries en produits pétroliers.

 

En définitive, le pétrole n’a pas enrichi les Africains, mais des Africains, quelques Africains. Il a d’abord servi à se servir.

[1] Voir à ce sujet les numéros de janvier et de février de l’Afrique Réelle.

 

Bernard Lugan dans Le Monde  cliquez ici

21:45 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Des crimes odieux dans une société sans repères

Le billet de Patrick Parment

Assassiner des enfants ne peut justifier aucune cause si ce n’est celle de l’odieux. Dans l’assassinat de trois militaires maghrébins et de quatre écoliers juifs, il est évident que la première raison qui vient à l’esprit est celle d’un racisme primaire autant que brutal.

Toutefois, on ne saurait se satisfaire de cette simple explication.

Pourquoi un tel acte est-il rendu possible dans une société entièrement vouée à la consécration des droits de l’homme ? Parce que malgré, cela, cette société a perdu tout sens « communautaire » (au sens de communauté de destin), toute notion de solidarité et qu’elle est minée par un individualisme dévastateur. Au nom de cet individualisme, la société a versé entièrement dans la permissivité brouillant ainsi tous les repères sociaux : Pacs, mariage homosexuel, exposition médiatique de tous les déviants au nom d’une normalité pour le moins problématique ; une Eglise, catholique et protestante, qui affirme de moins en moins sa personnalité. Et ce à l’heure même où l’Etat lui-même favorise l’érection de mosquées sur des terres de vieille tradition chrétienne, reniant par là même son propre héritage et bafouant le sacro saint principe républicain de la séparation de l’Eglise et de l’Etat.

L’autre facteur aggravant est celui d’une immigration incontrôlée que la classe politique a imposé aux forceps au peuple français. D’où son refus de tout référendum sur le sujet. Aux ordres du patronat, elle a toujours répondu de son désir de disposer d’une main d’œuvre bon marché afin de faire pression sur les syndicats et les travailleurs. Aujourd’hui, cette même classe politique est totalement débordée et la société, jusque dans ses institutions, est soumise à la loi des droits de l’homme. Il en résulte l’apparition d’un communautarisme où les Français de souche sont nettement moins bien traités que les communautés noire, maghrébine ou juive qui crient au racisme à la moindre occasion. Et l’appareil judiciaire, soumis à la même idéologie, notamment de la part de nombreux juges issus du Syndicat de la magistrature, participe aussi à ce brouillage des repères sociaux. Quand ce ne sont pas des organismes sans aucune légitimité comme SOS-Racisme, Observatoires bidons et autres Halde destinés à taper sur le moindre Gaulois qui passe… au nom d’une légitimité qui n’a de républicaine que le nom. 

Il n’est donc pas extravagant que des citoyens fragiles pètent les plombs et s’érigent en justiciers d’un jour.

 

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Yvan Benedetti, Rivarol, la NDP, Carl Lang : pour se dédiaboliser, il faut trouver un diable !

Source Blog des Rivaroliens cliquez ici

On se souvient de la manoeuvre pathétique de MLP lors de l'agression présumée du couple Montebourg/ Pulvar (cliquez ici - NDLR). Agression, rappelons-le qui se résumait à quelques invectives qui ne visaient même pas les tourtereaux, et à des jets de verre ayant manqué leur cible, si tant est que les deux personnalités aient été les cibles visées. MLP, montrée du doigt en raison des cris des "agresseurs" ("Le Pen président") avait proposé un autre bouc émissaire aux media en la personne d'Yvan Benedetti.

Pour être dédiabolisé, il faut trouver un autre diable ! Benedetti ou Carl Lang (voir ci-dessous) sont les candidats rêvés pour le FuN. Ainsi, au lieu de dénoncer la propension des media à coller l'étiquette de facho à tout ce qui n'est pas au moins aussi mou que Hollande, MLP les encourage et joue le jeu de la diabolisation... de ses adversaires, les vrais nationalistes.

Aliot adopte docilement la même tactique dans la vidéo ci-dessous. Des violents au FuN? Que nenni ! Les violents sont avec Carl Lang ou aux Amis de RIVAROL. Moi "gentil", eux "méchants" (N. B. : nous adoptons ici la terminologie ô combien élaborée de MLP lorsqu'elle parle de politique étrangère) : la pensée unique dans toute sa splendeur.

 
Louis Aliot en off dans Les jeunes et la... par La-flamme

Vidéo postée par La Flamme qui commente ainsi :

Louis Aliot ose dire: « … ils sont aux amis de Rivarol, si vous suivez ces journaux, vous voyez un peu le niveau… ».

C’est vrai qu’il y a une différence de niveau entre Nation Pravda Magazine et Rivarol, mais elle n’est vraiment pas en défaveur du plus ancien des journaux nationalistes. Ni au niveau des signatures passés et présentes, ni au niveau de la durée (Rivarol existe depuis 1951) et encore moins au niveau des articles et des analyses !

Au sujet de Louis Aliot, nous ne résistons pas à vous montrer un dessin paru dans la bande dessinée La vie secrète de Marine Le Pen.

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11:36 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jeudi soir, au Local :

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07:02 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : 50 ANS APRES LES ACCORDS D’ÉVIAN, UN SILENCE D’ETAT POUR MASQUER UN CRIME D’ETAT ?

arton2890-93d3c.jpgBernard COLL

Secrétaire général

de Jeune Pied-Noir*

50 ans après la signature des « Accords » d’Evian, l’Etat français se trouve-t-il toujours devant la même situation qu’en 1962 : trahir ses nationaux pour maintenir la relation de complicité entre les Etats français et algérien créée par le pacte du 19 mars 1962 ?

 

Les archives officielles démontrent aujourd’hui que ces accords fictifs ont été imaginés, préparés et réalisés par le gouvernement français, à la demande du général De Gaulle, pour lui permettre de disposer d’un cadre politique et juridique lui permettant de se débarrasser au plus vite du « boulet algérien ». Et ceci, au nom de la « raison d’Etat », quelles qu’en soient les conséquences humaines pour les Français d’Algérie de toutes origines. Des conséquences tragiques annoncées par le général De Gaulle lui-même qui, dans sa conférence de presse du 23 octobre 1958, avait prophétisé : « Quelle hécatombe connaitrait l’Algérie si nous étions assez stupides et assez lâches pour l’abandonner. » C’est pourtant ce qu’il fit. Dès le 19 mars 1962 au soir, les harkis désarmés, comme ceux de Jean-Pierre Chevènement à Saint-Denis-du-Sig en Oranie, sont massacrés. Aujourd’hui, plus aucun historien ne conteste les drames résultant de l’application des « Accords d’Evian » par ses deux seuls signataires, l’Etat français et le FLN. Déjà Jean Lacouture, témoin visuel du massacre des harkis, reconnaissait dans Télérama du 13 septembre 1991 : « Ce tabou-là n’est pas près d’être levé. 100.000 personnes sont mortes par notre faute. Un massacre honteux pour la France comme pour l’Algérie. Le déshonneur est trop lourd à porter ».

 

Malgré la dénonciation publique de ce « mensonge français » en 2003 par Georges-Marc Benamou dans son ouvrage, ce « silence d’Etat » sur ce « crime d’Etat » n’est, semble-t-il, pas prêt de cesser tant que l’Etat français est tenu par le FLN par le pacte du 19 mars 1962 scellé par le sang de 100.000 Harkis, de milliers de pieds-noirs et soldats français sacrifiés à la décision préméditée du général De Gaulle. Celui-ci, pour faire aboutir sa nouvelle politique d’indépendance de l’Algérie, décidée par lui seul, a dû commettre un crime d’Etat qui s’est accompagné d’un crime contre l’Humanité. Crimes que plus personne ne conteste puisque G-M Benamou a pu déclarer dans Paris-Match N°2841 du 30 octobre 2003 : « La France a jeté les harkis dans les basses-fosses de l’Histoire. Il y a eu 80.000 harkis morts. Paris a systématiquement entravé leur sauvetage. De Gaulle est bel est bien le complice d’un crime contre l’Humanité ». La LICRA et la Ligue des Droits de l’Homme viennent d’organiser à Paris, le 4 février dernier, un colloque international, animé par Audrey Pulvar, sur le thème : « La tragédie des Harkis : un crime contre l’Humanité ? » En posant la question, ces instances humanitaires apportaient la réponse. Il est donc possible, comme le fait Jeune Pied-Noir depuis 1990, d’accuser publiquement le général De Gaulle du pire des crimes pour un Chef d’Etat, celui de « crime contre l’Humanité », sans être poursuivi en justice par sa famille, ses proches ou les défenseurs de sa mémoire. C’est parce que, tout simplement, cela est désormais incontestable.

 

Il est assez fascinant de penser que depuis 50 ans, en dehors de quelques exceptions, les historiens, les journalistes, les hommes politiques, des intellectuels et philosophes, qui disposent depuis 1962 des preuves irréfutables de la responsabilité criminelle du général De Gaulle, se taisent. Car tout le monde connaît la vérité depuis la publication dans le journal Combat, dès avril 1962, des articles du professeur Maurice Allais, prix Nobel d’économie, puis, en juillet 1962, de son ouvrage « L’Algérie d’Evian » (Edition du Fuseau, 1962 – réédition JPN, 1999 avec une nouvelle préface de l’auteur). Le professeur Maurice Allais fut en effet la première des grandes personnalités françaises à avoir compris que les « Accords d’Evian » étaient des accords fictifs conduisant au « génocide », le mot est de lui, programmé des Français d’Algérie. Ce qui rend encore plus forte la démonstration scientifique et juridique du professeur Allais c’est qu’il n’était pas partisan de l’Algérie française. Mais simplement un homme juste, horrifié par les conséquences prévisibles des accords d’Evian. Sa prise de conscience vient du rapprochement qu’il fit entre l’ouvrage d’Alain Peyrefitte « Faut-il partager l’Algérie ? », paru chez Plon en octobre 1961, et le texte des « Accords d’Evian ». Page 109 de l’ouvrage d’Alain Peyrefitte se trouve le plan d’abandon de nos départements algériens, conçu par l’auteur à la demande du général De Gaulle. Ce plan fut intégralement et méthodiquement appliqué. Il précise : « Pour réussir la prise du pouvoir simultanée sur l’ensemble du pays, il faut qu’ils (les dirigeants du F.L.N.) amènent le gouvernement français à éliminer, lui-même tous leurs adversaires ; à organiser lui-même l’évacuation de la communauté européenne en métropole ; à sacrifier lui-même à l’autorité exclusive du F.L.N. les autres tendances (Musulmans élus sur les listes « Algérie française », Musulmans à tendance « association » ou « soutien au général de Gaulle », M.N.A., etc.) ; à installer lui-même un exécutif provisoire unitaire, qu’ils ne peuvent accepter que s’il est composé de leurs doublures ; à créer lui-même les conditions d’une dictature du F.L.N. Les objectifs du G.P.R.A. peuvent se résumer en un seul : obtenir de la France un fidéi-commis pour toutes les populations algériennes ». Les "lui-même" sont soulignés par Alain Peyrefitte dans le texte original. Il expliquera dans la revue Historia N°400 de mai 1980 la genèse de ce plan établit suite à ses entretiens avec le général De Gaulle.

Les preuves de l’exécution intégrale de ce plan ressortent dans les faits, dans les mémoires des acteurs, dans les archives officielles et aussi dans les témoignages des victimes, harkis, pieds-noirs et soldats français sacrifiés à la nouvelle politique algérienne du général De Gaulle. Les procès des généraux qui se révoltèrent contre le parjure du Chef de l’Etat, notamment ceux des généraux Salan, Challe, Zeller et Jouhaud, comme celui du colonel Bastien-Thiry et des autres officiers fidèles à leurs engagements, ont été des tribunes pour ces victimes de la « raison d’Etat ». D’autre part, les écrits de Georges Bidault, successeur de Jean Moulin en 1943 à la tête de la Résistance française, ou de Jacques Soustelle, un des premiers « gaullistes » de 1940, comme les déclarations du Bachaga Boualam à l’Assemblée nationale, ou celles du maréchal Juin à la presse avaient largement informés l’opinion française dès 1962. Car, ce qui peut paraître paradoxal, malgré la censure de l’époque, la grande presse était alors plus libre qu’aujourd’hui. Ou, peut-être, certains journalistes étaient-ils plus courageux ? 50 ans après, les « révélations » de l’historien Jean-Jacques Jordi dans son ouvrage « Un silence d’Etat » (Soteca, 2012) ne font que confirmer, par les archives officielles, ce que tout le monde savait depuis 1962.

Beaucoup de Français « rapatriés » victimes de ce « tabou » d’Etat depuis 50 ans ont pensé sincèrement que l’engagement du candidat Nicolas Sarkozy du 31 mars 2007 devant plus de 200 représentants de la communauté, réunis en son siège de campagne, allait être le moment historique de la « rupture » avec ce silence d’Etat déshonorant la France. En déclarant : « Si je suis élu Président de la République, je veux reconnaître officiellement la responsabilité de la France dans l’abandon et le massacre des Harkis et d’autres milliers de "musulmans français" qui lui avaient fait confiance, afin que l’oubli ne les assassine pas une nouvelle fois ", Nicolas Sarkozy reconnaissait la nécessité d’en finir avec ce « mensonge français ». Malheureusement, en cinq ans de pouvoir, le Président Sarkozy n’a pas tenu son engagement qu’il avait pourtant affirmé vouloir honorer avant la fin 2007 lors d’une réunion privée avec les représentants de la communauté « pied-noir », le 13 avril 2007. Il aura fallu attendre le 9 mars 2012 pour que, devant un parterre choisi de « rapatriés », il prononce à Nice quelques phrases sans portée historique et juridique. En affirmant : « Pour que vous puissiez excuser, il vous faut un pardon : c’est fait ! » puis « Le gouvernement de l’époque a été indigne envers vous », le Chef de l’Etat croît-il se sortir de son engagement du 31 mars 2007 et tourner ainsi définitivement la page pour se consacrer désormais la grande réconciliation franco-algérienne préparée par l’Elysée en secret pour juillet 2012 ? Serait-il assez ingénu pour penser avoir ainsi contenté définitivement les 4 millions de Français rapatriés et descendants qui vont voter en 2012 ?

Ce que veulent les Français rapatriés ce ne sont pas des paroles qui s’envolent, mais des écrits qui restent. S’il y a eu faute de l’Etat, il faut que l’Etat la reconnaisse officiellement. Or l’Etat, en démocratie, c’est le Peuple souverain représenté par le Parlement, non par le Président de la République, représentant provisoire dans les Institutions françaises. Qui peut aujourd’hui dire que le successeur de Nicolas Sarkozy, si celui-ci n’est pas réélu, se sentira engagé par les propos du 9 mars 2007 du candidat-président ou du président candidat Nicolas Sarkozy ?

Face à la vérité historique nous portons tous à la fois une responsabilité individuelle et collective.

Comme le disait Charles Péguy « Qui ne gueule pas la vérité, quand il la sait, se fait le complices des menteurs et des faussaires ». Il appartient à chacun de dire et favoriser la connaissance de cette vérité autour de soi. Le rôle de ceux qui ont une action publique et d’utiliser tous les moyens dont ils disposent pour faire connaître cette vérité. En ce qui concerne Jeune Pied-Noir, nous menons depuis 3 ans, avec l’aide de 42 associations et 1600 donateurs, une campagne de presse dans les quotidiens Le Monde et Le Figaro qui en est à sa 11e annonce. Nous avons aussi réalisé, en coproduction avec l’ECPAD, le DVD « Harkis, les sacrifiés » (JPN, 19€ port compris) présentant les preuves des crimes commis contre nos compatriotes. Pour le 50e anniversaire du 19 mars 1962, nous avons organisé le 17 mars à Paris un Colloque de synthèse : « Les Accords d’Evian : crime d’Etat et/ou crime contre l’Humanité ? » dont les actes sont disponibles auprès de JPN – BP4 – 91570 Bièvres - jeunepiednoir@wanadoo.fr. - Téléphone au 06 80 21 78 54 (Prix 20€). Historiens, journalistes, parlementaires, intellectuels, philosophes ou simple Français désirant participer au rétablissement de la vérité historique peuvent désormais le faire car plus personne ne peut dire : « je ne savais pas ».

* JPN – BP 4 – 91570 Bièvres - Tel : 06 80 21 78 54.

Source Le Huffington Post cliquez là

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Samedi dernier s'est déroulée une manifestation symbolique à Paris contre la commémoration du 19 mars 1962...

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A l’appel de l’association Jeune Pied-noir, les étudiants d’Action française ont répondu présents pour faire entendre la vérité sur le 19 mars 1962, jour de massacre, dénoncer les accords d’Evian, jour de trahison et protester contre l’abandon des harkis par la république ! Ils se sont enchaînés aux pieds de la statue de De Gaulle sur les Champs Elysées...

 

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