Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 27 septembre 2012

12 octobre : soirée Livr'arbitres à Paris

soiree12102012.jpg

01:43 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mariage des paires homosexuelles : nouvelle initiative d'opposition !

567109440.jpgDéputé-maire d’Orange, Jacques Bompard vient d' adresser une lettre-circulaire à tous les maires de France dans laquelle il regrette que le gouvernement n’organise pas de référendum relatif au mariage des invertis. Il demande aux édiles d'intervenir auprès de leurs députés et sénateurs, afin que soit inscrite dans la loi une clause de conscience permettant aux maires ou adjoints de ne pas être tenus de célébrer un tel mariage s'il est contraire à leurs profondes convictions morales. Jacques Bompard précise que cette loi touche à la structure même de notre société, en même temps qu’à la conscience de chacun et que de ce fait, il n’est pas admissible qu’un élu se trouve privé de cette liberté primordiale. (source)

Pai ailleurs, Jacques Bompard lance une pétition nationale permettant aux signataires de manifester leur opposition au mariage homosexuel, d'exiger un référendum sur le sujet et au minimum l'introduction de la clause de conscience permettant le droit de retrait des élus municipaux confrontés à la chose. (cliquez ici)

01:34 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 26 septembre 2012

Le Qatar est-il en train d'acheter la France et sa diplomatie à grands coups d'investissements ?

Le Qatar accumule les investissements en France. Foot, immobilier, banlieues... Avec son poids financier, le pays semble se donner les moyens de mettre sous pression la diplomatie française, qui n'ose pas froisser son "généreux ami"...

Atlantico : Petite monarchie pétrolière et gazière du golfe Persique, le Qatar a choisi d'investir massivement en France et en Europe, dans le sport (avec le rachat du PSG), dans l'immobilier, les banlieues (lire notre article : Arnaud Montebourg renonce à son hold-up sur les 50 millions d'euros promis par le Qatar aux banlieues et double la mise)... Où va-t-il s’arrêter ?

Karim Sader : La succession des crises financière de 2008 et économique de 2009-2010 ayant plongé les économies occidentales dans la récession aura été une aubaine pour le Qatar. A contre-courant de la grande tendance internationale, le riche émirat gazier affichait une croissance économique insolente, dopée avant tout par sa production de GNL (gaz naturel liquéfié) dont Doha est devenu le premier producteur mondial l’an dernier.
 
Bénéficiant d’une conjoncture interne extrêmement favorable, avec l’absence de toute contestation politique et sociale, qui, au contraire de l’Arabie ne contraint pas le régime à acheter la paix sociale à grand renfort de pétrodollars, la dynastie des Al-Thani avait dès lors les mains libres pour investir son surplus de richesses à l’étranger. En ces temps de crise, les investissements qataris, très bien accueillis par des économies occidentales en crise, ont permis à l’Emirat de réaliser d’importantes plus-values en profitant de la période de récession pour racheter des capitaux à des prix très attractifs.   

Si on y regarde de plus près, ces investissements n'ont aucun effet durables. Ne sont-ils pas avant tout un moyen d'asseoir la diplomatie qatarie ?

Effectivement, j’aurais tendance à penser que les investissements tous azimuts du Qatar à l’étranger s’apparentent davantage à des achats compulsifs qu’à une réelle stratégie de long terme, qui pourrait par exemple servir à assurer la diversification économique du pays, qui demeure largement dépendant du secteur des hydrocarbures.

En réalité, derrière cette politique de placements massifs se cache une véritable angoisse existentielle ! J’entends par là que le Qatar cherche par-dessus tout à compenser sa vulnérabilité géopolitique et militaire, ainsi que sa faiblesse démographique. Pour cela, le minuscule émirat, coincé entre les deux mastodontes régionaux que sont l’Arabie et l’Iran, a besoin d’exister à l’étranger en semant ses investissements dans des domaines divers et variés.

N’oublions pas que si le Qatar est assis sur les troisièmes réserves mondiales de gaz, sa position géographique le met à l'avant-poste d’une confrontation entre l’Iran cherchant à se doter du feu nucléaire et des Etats-Unis dont les plus importantes bases militaires – hors frontières américaines – se trouvent justement en territoire qatari.

Par conséquent, en étant l’otage des tensions régionales et dépourvues d’un « hard power » le Qatar a fini par développer une sorte de « complexe » qui le pousse à cultiver son rayonnement à l’international, par le biais de son soft power dont la finance, le sport et Al-Jazeera sont les principaux piliers.  

Peut-on dire que l’implication du Qatar dans le financement des banlieues s’inscrit dans cette même dynamique ?

L’implication du Qatar dans le financement des projets de jeunes entrepreneurs des banlieues suscitent de vives passions, car il ne s’agit pas d’un investissement anodin. Je dirais tout d’abord qu’il est symptomatique du phénomène de mondialisation, à travers lequel un Etat géographiquement éloigné parvient à tisser des liens avec une communauté en contournant le sacro-saint modèle de l’Etat-Nation qui est clairement en faillite dans nos démocraties occidentales. C’est du moins ce que laissait présager la première mouture du projet, qui a vu une association d’élus issus de la diversité venir frapper directement à la porte du Qatar. Ce dernier a certainement sauté sur l’occasion pour accroître sa visibilité internationale – ce qui constitue une véritable obsession pour les dirigeants de ce minuscule émirat qui cherche en permanence à soigner son image de marque.

J’ajoute par ailleurs que cet investissement suscite d’autant plus de controverses qu'il intervient clairement dans l'une des fonctions régaliennes de l’Etat, à savoir la politique d’intégration socio-économique des banlieues. Il semble toutefois que les responsables français tentent à présent d’y ajouter une participation de l’Etat ainsi que d’étendre la stratégie de financement à « d’autres départements défavorisés », sans doute pour contrecarrer les accusations de communautariste lié à un projet dont les détracteurs considèrent qu’il vise des zones majoritairement peuplées de citoyens issus de l’immigration arabo-musulmane.

Source Atlantico, lire la suite cliquez ici

10:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 25 septembre 2012

Filip Dewinter : « Anvers n’est pas à chacun, Anvers est aux Anversois ! »

La ville d’Anvers, dirigée par une coalition SP.a/VLD/N-VA/CD&V (Parti socialiste, Parti libéral de droite, Parti national-centriste flamand, Parti social-chrétien), a pour devise : « La ville de chacun ».

Le chef de file du Vlaams Belang pour les élections communales (municipales) à Anvers, Filip Dewinter, dénonce ce slogan au sein d’une publicité électorale »

VB 1.jpg

« Les conséquences de la politique multiculturelle de Janssens (maire socialiste) et Dewever (N-VA) & Co., vous pouvez les constater au sein de nombreux quartiers d’Anvers ( Borgerhout, Oud-Berchem, Deurne-Noord, Hoboken en Antwerpen-Noord). L’insécurité et la criminalité augmentent. Tous les quartiers s’islamisent et s’arabisent. »

Selon Fillip Dewinter, beaucoup d’Anversois flamands ne se sentent plus à la maison dans leur propre quartier. Les récentes émeutes à Borgerhout sont les conséquences de la politique multiculturelle qui donne l’impression aux allochtones que tout leur est permis. Filip Dewinter estime qu’Anvers est avant tout aux Anversois de souche et que les personnes qui ne sont pas originaires de Flandre doivent s’adapter et pas l’inverse. Il écrit que avant tout l’immigration doit être stoppée et que les criminels et étrangers non-adaptés doivent être renvoyés vers leur pays d’origine.

Il ajoute «  La société multiculturelle est en faillite. Il est temps de choisir un vrai changement ! Le N-VA/SP.a/VLD en CD&V ont conduit à Anvers au cours des dernières années une politique de « son propre peuple en dernier ».  Le multiculturel signifie dans la pratique déjà trop souvent multi-conflits. Le Vlaams Belang dénonce depuis de nombreuses années la politique laxiste et néfaste d’immigration et d’assimilation. Les autres partis, comme la N-VA, donnent l’impression qu’ils vont dans le même sens que le Vlaams Belang alors qu’ils font partie depuis des années de la direction de la ville d’Anvers dirigée par [le maire socialiste] Patrick Janssens. Le temps de la clarté et du changement avec le Vlaams Belang est arrivé. Rendons ensemble Anvers aux Anversois ! »

Source Lionel Baland

23:09 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'identité contre l'islamisation et le laïcardisme !

Yves Darchicourt

Il y a environ deux ans, Mme Le Pen lançait une petite phrase assimilant le débordement des prières mahométanes dans certaines rues de Paris à une manifestation "d'occupation"; récemment, elle a suggéré de faire interdire le port du voile islamique dans les lieux publics. Tollé politico-médiatique assuré dans les deux cas et publicité sans frais ! Et hélas à nouveau pain béni pour les ennemis de notre identité et de notre civilisation : déjà les collabos de l'immigration - qui n'envisagent évidemment pas de renvoyer les fidèles musulmans surnuméraires chez eux - avaient en conséquence demandé à ce que les projets de construction de mosquées soient facilités et les laïcards forcenés - pour qui la France n'est pas plus la fille aînée de l'Eglise que celle du Prophète ou n'est l'élue d'un quelconque Eternel - exigent à nouveau l'interdiction absolue de toute référence à une appartenance religieuse sur le domaine public.

Tandis que certains souhaitent voir proliférer les minarets à côté des beffrois et des clochers, d'autres envisagent de légaliser la christianophoblie - et plus particulièrement la cathophobie - en s'attaquant à tout ce qui faisait se hérisser les partisans du petit père Combes : crèches publiques, déambulations de St-Nicolas, processions ou bénédictions traditionnelles, croix publiques, volées de cloches... et pourquoi pas en se laissant aller à un délire épurateur pourfendeur de l'hagiotoponymie dans nos Provinces en faisant "débaptiser" villes, villages et lieux-dits attachés par leur nom à un saint de l'Eglise catholique. Immigration-islamisation et laïcardisme échevelé se conjuguent dans la même perspective de destruction de notre identité civilisationnelle !

Notre Civilisation est d'un âge immense, developpée sur nos terres par les descendants de ces cavaliers conquérants dont les Dieux allaient par trois, imprégnée d'un christianisme adapté à son infrastructure mentale et religieuse et qui, incomparable, doit être défendue et préservée dans tous ses aspects dont l'Islam (qui s'incrustera avec ou sans voiles tant que ses partisans seront présent en nombre sur nos terres) ou l'absence d'élan mystique ne font pas partie. C'est pourquoi il est fort regrettable que pour se faire admettre aux mangeoires d'une République gangrénée par les Frères Trois Points, une politicienne prétendant représenter "la France et les Français" en vienne à donner du grain à moudre aux ennemis de notre identité et de notre civilisation. 

Rassemblement Résistance Reconquête !

22:50 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 23 septembre 2012

Dimanche 11 novembre, à Paris, 6e Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale...

SN 6 JNI 1ere annonce.jpg

Pour information : déjà, de nombreuses associations, revues, maisons d'édition... nous ont demandé les conditions de location de stands pour cette journée. Celle-ci se déroulera, à Paris, dans un endroit différent de celui des années précédentes (cet endroit sera rendu public prochainement). Cette année, il y aura donc deux espaces distincts : l'un pour les stands et un autre, un grand amphi, pour les conférences. Cela évitera aux auditeurs de subir le brouhaha permanent, et fort gênant, qui troublait, bien malgré nous, les interventions.

Les stands seront disposés dans un grand hall spécialement réservé à cet effet. Comme pour chacune de ces Journées annuelle de Synthèse nationale, nous serons obligés de demander une participation financière aux exposants. Afin de nous simplifier la tâche, nous vous demandons de bien vouloir nous faire part de vos intentions (un dossier de réservation vous sera envoyé). La priorité sera bien entendu donnée à nos fidèles exposants.

Contact : synthesenationale@club-internet.fr  

SN

11:54 Publié dans 06 - La 6e Journée nationale et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 22 septembre 2012

Pour la Nouvelle Droite Populaire, il ne suffit pas de s'en prendre aux effets, il faut s'attaquer aux causes...

Identite.jpgUn communiqué de la Nouvelle Droite Populaire :


Marine Le Pen, dans un entretien au Monde, demande l'interdiction du port du voile islamique et, sans doute pour faire bonne mesure, de la kippa. Dont acte. Evidemment, une telle revendication suscite les glapissements et les couinements habituels des chiens de garde du Système. Jusque-là rien de bien nouveau... En fait, Marine Le Pen demande simplement, en bonne candidate à l'intégration au Système qu'elle est, que soit appliquée la loi interdisant les signes ostentatoires d'appartenance à une religion promulguée il y a quelques années par le même Système.


En réalité Marine Le Pen s'attaque aux effets et non aux causes de la situation actuelle. Au-delà de l'intégrisme islamique, qu'il est certes louable de combattre, c'est à l'immigration incontrôlée, génitrice de cette islamisation, qu'il convient de s'attaquer sérieusement. Or, il semblerait que cette évidence échappe, aujourd'hui, au FN nouvelle vague. Il ne suffit pas de brandir la laïcité à tout va pour contrer l'islam conquérant, il faut redonner à chacun de nos peuples européens une véritable conscience nationale et ethnique. Il faut procéder à un réarmement moral et spirituel des peuples d'Europe. Ce réarmement devant reposer exclusivement sur nos traditions et nos valeurs ancestrales. 

 

L'islam est peut être une religion respectable, mais elle l'est encore plus en terre d'islam. Ici, nous sommes en France et en Europe et, quoiqu'en disent les thuriféraires du prêt à penser institutionnel, l'Europe est une terre de beffrois, de cathédrales et de dolmens, elle n'est pas, et elle ne sera jamais, une terre de mosquées ni de minarets.

11:20 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 18 septembre 2012

Le commandant Louis Réssicaud est décédé...

Nous savions qu'il était gravement malade, mais pas à ce point. Les 22 juillet et 30 août derniers, nous avions échangé des courriers dans lesquels, notamment, il nous faisait part de son désarroi face à la situation de la France. Il venait d'adhérer à la Nouvelle Droite Populaire. Le Commandant Ressicaud était un grand Français, un soldat et un militant de la première heure de la cause nationale, plus particulièrement à la tête du FN dans l'Essonne pendant de longues années. Nous saluons la mémoire d'un combattant courageux face à l'adversité et à la cruauté d'une longue maladie.

Jean-Claude Rolinat

11:29 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 16 septembre 2012

L'écrivain Eric Miné apporte son soutien à Renaud Camus :

Sol. juil. 2012. q.jpg

Éric Miné, écrivain et ami de Synthèse nationale, nous prie de bien vouloir publier son communiqué de soutien à Renaud Camus, poursuivi par des officines que nous ne connaissons que trop bien. S. N. s’associe bien volontiers à son appel.

Vivant en Asie, écrivant sur cette région du monde et les liens anciens et complexes qui l’unissent à la France – en particulier pour les pays qui formaient notre Indochine ainsi que la Thaïlande voisine –, tentant ainsi d’illustrer au travers de mes propres ouvrages – des romans contemporains ou historiques – et en tant que directeur de collection cette fusion quasi charnelle qui s’opère en maints domaines entre ces peuples et le nôtre et ce jusqu’à nos jours, je constate quotidiennement combien il est difficile, voire périlleux, d’éclairer le lecteur sur ces sujets, tant il est devenu politiquement incorrect d’évoquer les comportements des humains selon leurs origines, leur race (mot tabou s’il en est !), ou tout simplement leur religion, même si ces notions parfaitement audibles pour tout un chacun induisent, dans le cas qui m’intéresse, des affinités. Mille détours et circonvolutions sémantiques me sont alors imposés :

Louer le rapprochement des peuples selon leurs compatibilités implique d’évidence qu’on entend qu’en la matière des degrés existent. Mais là, au lieu de creuser ce sillon propice à la bonne compréhension des évolutions dans nos sociétés, voire d’apporter sa petite contribution au fameux « vivre-ensemble » si cher à nos élites autoproclamées en en prévenant les conflits consécutifs (comprendre en quoi, par exemple, le ressenti du « Français de souche » en matière d’immigration peut se différencier selon qu’il s’agit d’Asiatiques ou d’Afro-maghrébins), l’art de l’auteur ne constituera plus qu’à se dérober : « Comment ? mais je n’ai jamais dit ça, vous m’avez mal lu, je ne parle que du bien, pas du mal ». Foin de votre amour pour un continent et des populations qui le composent, de votre désir d’expliquer pourquoi, nous, Français, nous entendons si bien avec « eux » (et donc, il est vrai, peut-être un peu moins bien avec « les autres »), ne restent que vos préférences, vos « hiérarchies » ! Les fourches caudines de la XVIIe chambre correctionnelle ne sont dès lors plus bien loin.

 

L’accusation de « racisme » vous est brutalement lancée à la face par des associations toutes calibrées pour cela, dont les gains et les subventions sont le fruit de cette implacable chasse aux sorcières pour laquelle elles ont été crées.

 

Richard Millet intitule un de ses derniers essais – ceux-ci déchaînant d’ailleurs contre son auteur une haine sans précédent – De l’antiracisme comme terreur littéraire (1). Que ce libellé est malheureusement pertinent. Qu’il reflète bien la difficulté d’écrire à notre époque insidieusement totalitaire !

 

À ce titre en effet, l’éminent sociologue des foules et des peuples Gustave Le Bon serait aujourd’hui traîné devant les tribunaux, ainsi d’ailleurs que la plupart des meilleurs écrivains d’avant la seconde guerre mondiale. Ainsi vidée de toute substance, ce qu’on nomme bien improprement de nos jours « Culture » dans les médias destinés au grand public n’est plus en fait qu’un empilement de bric et de broc promu par une caste de zélés thuriféraires de la bien-pensance. Dans cet embrouillamini de productions laudatrices d’une planète indifférenciée – dans le sens où tout se vaut –, il existe bien sûr de bons auteurs, d’excellents réalisateurs, des artistes de génie. À la condition qu’ils n’évoquent pas l’essentiel – pris ici dans sa valeur symbolique d’essence – pour notre civilisation. La ligne jaune franchie, oubliée la notoriété, fini le gagne-pain ! Le procès sera le dernier recours pour les faire taire.

 

C’est ce qui arrive aujourd’hui à Renaud Camus. Déjà privé de ses éditeurs traditionnels pour ses prises de position « non-conformes » lors de la dernière élection présidentielle, le voilà en butte aux poursuites judiciaires, diligentées sur plainte du MRAP, pour ses propos tenus lors d’une conférence, propos qu’il reprend d’ailleurs dans son ouvrage, Le grand remplacement (2).

 

Qu’a-t-il fait, dit, écrit d’aussi ignoble pour mériter une telle vindicte ? Rien que de constater ce que tout individu normalement constitué est à même de voir, indépendamment de ce qu’il en pense ou de son analyse des causes, qu’un territoire donné – la France en l’occurrence – subit un « grand remplacement » des populations qui l’habitent. C’est cela qu’on reproche à Renaud Camus : d’avoir su voir, rapporter, et tenter d’expliquer. En ce sens, et nonobstant tout jugement sur la qualité de son œuvre, il n’a fait là que son métier d’écrivain. Il est le témoin de son temps. Si le temps dérange, qu’on mette alors le temps en examen !

 

Si Renaud Camus venait à être condamné dans cette affaire, outre les dommages causés à sa personne et à ses intérêts, ce serait l’arrêt de mort de toute littérature en France. De tout rôle social de l’écrivain aussi.

 

Pour cette raison, j’ai signé – aux côtés de bien d’autres – la pétition qui le soutient. J’invite toutes les personnes lucides et de bonne volonté, quelles que soient leurs opinions, leur religion ou leur couleur de peau, à en faire autant.

 

Pour signer la pétition

de soutien à Renaud Camus cliquez là

 

Notes

(1) Éditions Pierre-Guillaume de Roux, Paris, 2012.

(2) Éditions David Reinharc, Paris, 2011.

16:54 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 14 septembre 2012

Duprat et son Histoire du Fascisme...

I-Grande-9457-histoire-des-fascismes--selection-presentation-et-annexes-par-alain-renault_net.jpgFrancis Bergeron

Article publié dans le n°28

de la revue Synthèse nationale cliquez ici

François Duprat a été assassiné le 18 mars 1978. Trente quatre ans plus tard, le crime reste impuni, et ce meurtre garde encore son mystère. Mais la bombe qui a fait exploser sa voiture n’était pas un engin artisanal.

La mort de Duprat frappa de stupeur le petit monde de l’extrême droite française (à l’époque c’était un tout petit monde, plutôt en liquéfaction). Car si l’homme véhiculait les théories les plus extrémistes, ce n’était pas lui-même un violent, un baroudeur. C’était un prof, un bon prof, selon ses élèves, et qui ne cherchait pas à les endoctriner avec des théories toutes faites et un catéchisme mal digéré. C’était un gros travailleur, un homme de l’écriture, et d’abord un historien.

Mais il était aussi un journaliste engagé : dans les années soixante-dix, Duprat assurait les « nouvelles du front », chaque semaine, dans Rivarol, la chronique des combats nationalistes, dans les universités, les lycées, dans la rue, avec parfois une ou deux mauvaises photos permettant de rêver au « fascisme immense et rouge » par groupuscules interposés.

Duprat, ce fut, un peu plus tard, la Revue d’Histoire du Fascisme, une revue, publiée de 1972 à 1978, qui compta douze numéros et vingt-quatre  suppléments (dix-neuf en fait, car il y avait des suppléments doubles). Dans sa préface et sa postface à Histoire des fascismes de François Duprat, qui vient  de paraitre chez Dererna (1), et qui est en fait un florilège des meilleurs textes publiés par la Revue d’Histoire du Fascisme, Alain Renault raconte la genèse de cette publication.

Duprat, qui collaborait à Défense de l’Occident depuis les années soixante, et qui en était devenu un pilier, avait proposé à Maurice Bardèche la création de cette revue. Le numéro spécial de Défense de l’Occident, « Les Fascismes inconnus », s’était bien vendu, et Duprat estimait à juste raison que ce type de travaux historiques avait un public.

Quand la Revue d’Histoire du Fascisme est créée, elle est, quant à la forme, la copie conforme de Défense de l’Occident. Et Duprat et Bardèche se partagent les rôles ; mais rapidement Duprat restera seul aux commandes. Ses divers pseudonymes, sa puissance de travail, lui permettent d’assurer un grande partie du rédactionnel. La revue est vendue dans les kiosques (comme Défense de l’Occident), et de ce fait, trouve un public un peu plus large que la mouvance purement étudiante et militante.

A l’automne 1973, raconte Alain Renault dans sa passionnante postface à Histoire des fascismes, Duprat lance en parallèle une nouvelle publication, qui va s’appeler Les Cahiers Européens. C’est l’actualité (et aussi l’histoire) de tout ce qui se passe et s’est passé à l’extrême droite, partout dans le monde. L’entreprise va se révéler une vrai réussite : il sortira 222 numéros, sans la moindre interruption, jusqu’à l’attentat de 1978. Quant à sa diffusion, malgré le caractère artisanal du bulletin, elle était loin d’être négligeable : 450 abonnés, une vente totale de 800 exemplaires chaque semaine. Pour une revue mal imprimée, diffusée uniquement dans les « librairies amies », ce n’était pas mal du tout.

Le « groupe de presse » de Duprat, comme l’évoque Alain Renault avec une pointe de nostalgie ne cherchait pas à surfer sur la mode rétro (nous sommes à l’époque du Chagrin et la pitié, et de Lacombe Lucien). Duprat était un activiste, un militant. Il avait été de Jeune Nation, d’Occident, d’Ordre nouveau et du Front national. Au sein du Front national, il représentait l’aile la plus dure. Et ses « groupes nationalistes révolutionnaires de base » (assez chétifs en effectifs, il faut bien le dire) avaient pour vocation de radicaliser la droite nationale.

Commentant la vision de Duprat, Alain Renault écrit avec pertinence : « Les fascismes ne rencontrent de succès qu’en période de crise. Non qu’ils profitent des désarrois des peuples mais simplement parce que leurs solutions nécessitent un effort et des changements auxquels les peuples ne se résolvent que quand la nécessité absolue leur parait inévitable pour sortir de la décadence ».

Ce type de discours, à l’époque des « trente glorieuses », et de mai 68, « révolution » de gosses de riches, pouvait paraitre bien éloigné des réalités du moment. Mais Duprat avait la prescience que ces temps difficiles allaient revenir.

Et nous y sommes sans doute. Peut-être n’est-ce pas un hasard si l’on réédite aujourd’hui les études de Duprat (Le même éditeur a sorti récemment Les Fascismes américains 1920-1944, une remarquable étude de François Duprat et Alain Renault, sur un sujet très peu connu). Quant à Bardèche ou Saint-Loup, ils suscitent à nouveau la curiosité. Plusieurs projets de rééditions sont dans l’air. Des biographies de Bardèche, de Saint-Loup, de Duprat, de Jean Fontenoy, sont parues récemment. Ces auteurs trouvent, retrouvent un public, des lecteurs. Et c’est bien évidemment une bonne chose. Mais c’est aussi le signe que nous sommes certainement  à nouveau à l’aube d’une crise terrible, qui nous pousse à lire ceux qui ont étudié ou raconté, avec acuité, celle des années trente.

Note

(1)  Histoire des fascismes, par François Duprat, préface et postface par Alain Renault, Ed. Deterna, 2012, 310 pages. Cliquez ici 

      Livre diffusé par Les Bouquins de Synthèse nationale cliquez là

20:39 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 07 septembre 2012

Clip JNR :

23:57 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 31 août 2012

Les Bouquins de Synthèse nationale ont leur site !

les bouquin2.jpg

Les Bouquins de Synthèse nationale ont

désormais leur site de présentation : cliquez ici

10:01 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Amis bénificiaires des allocs venus d'ailleurs, meffiez-vous : Jennifer vous pique votre argent...

CAF-fraudeurs-blancs.gif

Jennifer : l'arqué type de la fraudeuse vue par la CAF...

Meffiez-vous de Jennifer !

Lire Contre info.com cliquez là

09:30 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 27 août 2012

A LA RENCONTRE DE LAJOS MARTON, un grand entretien avec Franck Abed (1ère partie) :


A la rencontre de Lajos MARTON par Franck ABED 1/4

par GENERATIONFA

11:46 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 23 août 2012

Entretien de Franck Abed avec les frères Martineau, sympathiques chanteurs bien connus en Vendée...

18:45 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 13 août 2012

Mouloud Aounit ne nuira plus...

aoun.jpgIl a dirigé pendant 20 ans le MRAP (« Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples »), une officine « antiraciste » et crypto-communiste qui a pour but d’éradiquer toute forme de résistance à la destruction de la race blanche, en multipliant les procès. Comme « SOS-Racisme ».

Communiste, Aounit n’a jamais vraiment travaillé : ayant poursuivi des études jusqu’à tard, il est devenu permanent associatif et se payait avec l’argent extorqué aux Français résistants, dans les tribunaux, ou grâce aux subventions.

Victime – contre toute attente – d’une tumeur au cerveau, il vient de passer l’arme à gauche et les médias vont sortir les mouchoirs pour cette belle figure de citoyen républicain. Naturellement, il avait été promu chevalier de l’ordre national du Mérite (sic) puis chevalier de la Légion d’honneur (sic). (Source cliquez ici)

12:03 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 11 août 2012

Un entretien avec le Dr Bernard Plouvier sur son nouveau livre "Le XXIe siècle ou la tentation cosmopolite" :

3093023280.jpgQuestion : Vous abordez dans votre livre des thèmes très divers, tels les origines de l’Homo sapiens, le domaine territorial de la race blanche, dite « caucasienne », les constantes de la société humaines et les variables culturelles, mais également l’ambiguïté du « libéralisme » et du « melting pot » des USA, l’expérience mondialiste et l’économie globale qui permet aux ploutocrates de confisquer les États… Le titre de cette collection « Nouveau siècle, nouveaux enjeux » semble parfaitement s’appliquer au thème de ce livre ?

Réponse : Nous autres, Européens autochtones, vivons indéniablement une période de « fin de civilisation », qui ressemble à s’y méprendre à celle vécue par les contemporains de la fin de l’Empire romain d’Occident. Cette constatation, assez peu réjouissante, mérite à la fois que l’on établisse un bilan des réalisations anciennes et que l’on apporte quelques réflexions comparatives sur les valeurs qui s’estompent et celles qui émergent.

Au Ve siècle, l’enrichissement général des citoyens de l’Empire romain avait conduit au relâchement de l’effort collectif et deux nouvelles religions moyen-orientales – la chrétienne et celle des adorateurs de Mithra – avaient supplanté le culte des dieux de l’État. De nos jours, la fraction la plus inventive de l’humanité contemporaine s’est lancée dans la course effrénée aux petites joies individuelles, au lieu d’œuvrer comme auparavant pour la collectivité.

Au Ve siècle, le pouvoir spirituel avait asservi puis anéanti la puissance politique. De nos jours, les maîtres de l’économie écrasent les autres pouvoirs : exécutif, législatif, judiciaire, médiatique et même spirituel.

Consommer est devenu le but suprême de l’existence des individus, ce qui comble d’aise les maîtres du « village terrestre » peuplé d’hédonistes (les travailleurs) et de psychopathes (les parasites sociaux).

L’économie globale et la mondialisation de la vie économique et culturelle sont deux notions nées aux USA durant la IIe Guerre mondiale. Du fait de l’implosion des sociétés communistes, elles sont devenues la réalité quotidienne de presque tous les peuples de la planète : rêve pour les uns, cauchemar pour les autres… c’est affaire de sensibilité et d’idéal.

Il est évident que Franklin Delano Roosevelt, le grand concepteur, n’aurait nullement apprécié notre monde où les grands actionnaires des multinationales et des trusts nationaux d’Asie manipulent, du fait de la toute-puissance de l’argent, les pantins de la politique et des media.

Q : Quelle est votre définition du « cosmopolitisme », un mot qui, au XVIIIe siècle, à l’époque des Lumières, représentait le nec plus ultra : cela revenait alors, pour l’élite, à s’informer des autres cultures que celle de son pays d’origine ?

R : Le cosmopolitisme à la sauce mondialiste équivaut au mixage des cultures et au brassage des populations, de façon à liquider l’option nationale, jugée pernicieuse. L’Europe est ainsi envahie d’extra-Européens, souvent incultes, toujours faméliques et avides, également nantis pour la plupart d’une religion médiévale, c’est-à-dire grosse de l’expression d’un fanatisme anachronique, mais également porteurs d’un racisme revanchard dont l’expression est évidente, sauf pour les pitres qui façonnent l’opinion publique et ceux qui font semblant de nous gouverner.

La propagande mondialiste reflète, c’est évident, les choix de nos maîtres, qui leur sont dictés par leur intérêt. Le grand village terrestre ne doit plus être composé que d’individus qui consomment beaucoup, au besoin à crédit, et pensent gentiment ce qu’imposent les fabricants d’opinion publique.

Dans leur désir d’uniformiser l’humanité, pour augmenter la rentabilité du négoce en facilitant le travail des producteurs, des distributeurs et des revendeurs de biens de consommation, nos maîtres font l’impasse sur de nombreuses données génétiquement programmées de l’espèce humaine, non susceptibles d’éducation ou de rééducation. En outre, il nient allègrement une évidence : la profonde inégalité des êtres humains et des civilisations passées.

Par intérêt également, ils autorisent le développement de conduites sociales aberrantes pour peu que cela leur fournisse un marché lucratif (pornographie, conduites addictives, coutumes alimentaires absurdes conformes à des préceptes religieux antiques ou médiévaux).

Que cela envahisse le continent phare du melting pot, celui des trois Amériques (pour reprendre une expression rooseveltienne), ne nous regarde pas en tant qu’Européens, mais il est grotesque de le tolérer dans notre continent, qui fut le continent civilisateur durant deux millénaires et demi.

Q : Pourquoi ne pas aimer ce monde nouveau, apparu il y a une vingtaine d’années, lors de l’effondrement des sociétés communistes et du triomphe de l’american way of life ?

R : Dépourvus de culture historique et philosophique, nos nouveaux maîtres créent une société mono-culturelle, multi-raciale parfaitement artificielle, qui ne peut en aucun cas créer une civilisation stable, donc durable, ni innovante au plan intellectuel et spirituel.

L’étude des espèces animales démontre que l’égoïsme et l’individualisme sont nocifs à moyen terme pour l’espèce, mais aussi pour les individus. Sans discipline, sans hiérarchie fondée sur les qualités et les mérites individuels, sans cohésion du groupe fondée sur l’utilité sociale, il ne peut y avoir de sécurité donc de survie, encore moins d’expansion pour l’espèce considérée.

Ce qui effare le plus un observateur européen contemplant la société actuelle est de constater que les Européens de souche ont, par veulerie et par esprit de facilité, renoncé à leur histoire. De la position de civilisateurs de la planète, ils sont passés en un demi-siècle au statut de colonisés, achetant des produits de médiocre qualité et d’infime durée de vie, fabriqués le plus souvent en Asie, et se gavant d’une sous-culture élaborée aux USA et au Japon.

L’étude de quelques grandes civilisations européennes défuntes démontre que l’homogénéité ethnique est l’une des conditions fondamentales de l’implantation, puis du rayonnement d’une civilisation originale. La perte du sens de l’effort collectif, l’incorporation de populations ou de croyances issues d’autres continents sont les conditions idéales pour amener la dégénérescence, puis la mort d’une civilisation, c’est-à-dire l’instauration d’un nouvel « âge des ténèbres ».

On ne peut guère compter sur le milieu des universitaires, où règnent en maîtres le conformisme et le misonéisme, ni sur les media, par définition aux ordres du Pouvoir, pour provoquer une réflexion critique chez nos contemporains, alors même que l’avenir de l’Europe dépend essentiellement de la prise de conscience de l’originalité et de la richesse de leur passé par les Européens de souche, qui seuls doivent décider de l’avenir du continent et de sa race.

Dr Bernard Plouvier, Le XXIe siècle ou la tentation cosmopolite, Edition de L’Æncre, collection “Nouveau siècle, nouveaux enjeux”, dirigée par Philippe Randa, 452 pages, 35 € cliquez ici.

11:17 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 08 août 2012

Terre et peuple (n°52) est sorti...

tp52_Copier.jpg

Pour le commander : cliquez ici

Pour info : la XVIIe Table ronde de Terre et peuple

aura lieu le dimanche 7 octobre...

01:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 02 août 2012

Goldman Sachs : la banque qui dirige le monde...

La banque américaine Goldman Sachs est au coeur de toutes les crises financières depuis 2008: crise des subprimes, crise grecque, crise de l’euro. Son pouvoir est immense, et elle l’exerce dans le plus grand secret. Immersion au coeur de LA banque liée à de nombreux scandales pour comprendre ce passé douteux. Des témoignages de premier plan aident aussi à expliquer comment elle est, malgré les crises, encore plus puissante qu’avant.

Source Contre info.com cliquez là

 

11:18 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 28 juillet 2012

Syrie : rien n'est joué...

bachar-al-assad-f5b96.jpgLe billet de Patrick Parment

La pression exercée par les médias occidentaux pour dramatiser la situation syrienne révèle, si besoin est, combien la liberté de pensée et d’opinion ont disparu de nos écrans démocratiques. C’est aussi, malheureusement, la preuve que les journalistes sont des gens manipulés. Dire le contraire de la doxa ambiante, c’est évidemment se placer directement du côté des forces du mal.

Or, à en croire, Thierry Meyssan (1), du réseau Voltaire, qui a l’énorme avantage sur ses confrères d’être sur le terrain, les Syriens ne traitent pas du tout en « libérateurs » les bandes de mercenaires que constitue la coalition entièrement fabriquée qu’est l’ASL (Armée syrienne libre).

La fameuse bataille de Damas a été perdue et l’armée régulière syrienne pourrait déloger sous peu l’ASL d’Alep. Bref, autant de revers de médaille qui ne plaident pas du tout pour un départ anticipé de Bachar al-Assad qui bénéfice toujours du soutien de la Russie et de la Chine.

Il faut bien dire que personne n’est dupe et l’on sait fort bien que derrière le bidon Conseil national syrien (CNS), censé commander l’ASL, se cachent outre la coalition israélo-américaine, la Turquie et les Emirats arabes aux ordres du dollar vert. Pour compléter le tableau, les combattants de l’ASL reconnaissent l’autorité du cheikh Adnan al-Arour, un prêcheur takfiriste qui rêve d’éradiquer les alaouites au pouvoir. Une guerre de religion inter islamique comme il en existe beaucoup au Moyen Orient et en Afrique.

Autrement dit, le destin voulu par Washington pour cette partie du Moyen-Orient – et décidé par cet imbécile de G.W.Bush – est en train de foirer. Certes, me direz-vous, mais pour quel destin ?

En attendant, tout ce qui met à mal nos ennemis est bon à prendre.

*****

Deux mots sur les jeux Olympiques. Cette immense mascarade sportive, vouée entièrement au fric sur fond de dopage, va ruiner un peu plus la perfide Albion. A l’image de la Grèce, elle aura du mal à s’en remettre. De ce point de vue, la crise a du bon, elle va éloigner de notre continent cette manifestation qui a perdu tout sens et n’est jamais qu’un miroir aux alouettes pour les vrais sportifs. Il serait temps aussi que la crise mette fin, non pas au football, mais aux surenchères financières dont sont gratifiés les joueurs et que rien ne justifie, si ce n’est, là encore, la logique libérale.

(1) www.voltairenet.com  

11:10 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 27 juillet 2012

APRES “VIGIPIRATES” HIER… « VIGICRAPULES » DEMAIN ?

3713956709.jpgPar Pieter Kerstens

 

Vu le rythme auquel se déroulent les fusillades aux quatre coins du pays, ce ne sont pas les CRS qu’il faut déployer, mais plutôt les gardes-mobiles ou les parachutistes !

 

Il y a maintenant plus de 30 ans que  le politiqueument korekt, le laxisme, la culture de l’excuse ou encore l’angélisme ont occulté les causes de l’insécurité et toléré les criminels dans plus de 600 zones de non-droit. Un lecteur assidu de la rubrique « faits divers » a pu constater que la plupart des délits et des crimes sont perpétrés par des Mohammed, des Souleymane, des Abdallah ou des Fayçal depuis fort longtemps. La lecture des rôles des tribunaux confirme aussi ce constat, établi année après année, et les condamnés d’origine immigrée peuplent en majorité les cellules de nos prisons.

 

Et que fait le gouvernement ?  Englués par les dogmes, aveuglés par les utopies et obnubilés par les chimères de l’intégration, ces princes qui nous gouvernent nient les faits et braquent le projecteur dans une direction diamétralement opposée à la réalité en bernant la population, malade d’intoxications multiples.

 

Que l’on se souvienne de l’attentat de la rue Copernic en 1980 : c’était l’œuvre de nazis, de la FANE, de l’extrême-droite. Mais bien plus tard il s’agissait de terroristes palestiniens. Que l’on se souvienne aussi de l’attentat de la rue des Rosiers : ici encore, les nazis et l’extrême-droite étaient désignés comme coupables ! Mais l’enquête aboutira aux palestiniens du FATAH. Et le devoir de mémoire nous parle encore de l’affaire de Carpentras en 1990 : tous les partis et les syndicats ont organisé le lynchage du FN et de J-M LE PEN, lors d’un immense défilé derrière François Mitterrand, le président de la République. Après instruction du dossier, les coupables n’avaient aucun lien avec l’extrême-droite ou le FN !

 

Au mois de mars, après la tuerie de Toulouse, la désinformation a atteint un point culminant en désignant immédiatement à la vindicte populaire un assassin qui ne pouvait être autrement que « blanc, nationaliste et nazi » ! Mais toute la mafia politico-médiatique dut étouffer sa haine envers les franchouillards en constatant que le coupable –Mohammed MEHRA- décrit comme « calme », « respectueux », « gentil garçon » et « amateur de foot », était un délinquant multirécidiviste pas si « normal » en réalité et titulaire d’un casier judiciaire lourd de condamnations.

 

Alors bien sûr, les gens honnêtes et les travailleurs peuvent légitimement se demander « comment » le Pouvoir peut encore tolérer de tels faits, « pourquoi » le gouvernement n’agit pas avec plus d’efficacité, « qui » au sein de la Justice fait preuve d’autant de complaisance et « quand » finalement va-t-on rétablir l’Ordre et la Loi ? Car la famille Bidochon, elle, se trouve confrontée chaque jour aux maux qui gangrènent notre société : une immigration-invasion, un chômage structurel, un tsunami de drogues, des impôts à la hausse, une insécurité généralisée et une impunité accordée à la crapule, à la racaille et à la chienlit. Plus de 6.000 récidivistes, tous condamnés au moins 15 fois, courent en liberté dans nos rues et nos campagnes : est-ce normal ? Doit-on nous-mêmes organiser des milices d’auto-défense afin de protéger nos familles et nos biens, face à la défaillance de l’Etat ?

18:55 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 26 juillet 2012

Sortie du n°28 de la revue Synthèse nationale...

Couv Synth. Nat. - 28.jpg

Au sommaire :

- Editorial de Roland Hélie : Après les élections, le combat continue...

- Retour sur les législatives...

- Patrick Parment : Défaite d'une droite sans valeurs...

- Arnaud Raffard de Brienne : Honneur à l'oeuvre de la France en Algérie...

- Bernard Bres : Agriculture, de l'autosuffisance alimentaire aux dégats du productivisme...

- Georges Dillinger  : La dénatalité ou le suicide d'une race...

- Luc Pécharman : Les municipales, pour quoi faire ?

- Jean-Claude Rolinat : Syrie, redoutons l'"effet papillon"...

- Lionel Baland : Dossier Jörg Haider, l'homme qui ébranla l'Europe... A l'occasion de la sortie de sa biographie.

- Francis Bergeron : Histoire des fascismes de François Duprat...

- La sortie du Dictionnaire des polémistes aux Editions Les Bouquins de Synthèse nationale.

Les rubriques de Philippe Randa, du Marquis Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, d'Yves Darchicourt, de Luc Barbulesco et de Pieter Kerstens... 

N°28, Juillet Août 2012, 124 pages, 12 €.

Abonnement : 6 numéros 50 €, soutien : 100 €

Chèque à l'ordre de Synthèse nationale à retourner à

Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris

Bulletin d'abonnement cliquez ici 

22:42 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 25 juillet 2012

Un grand entretien sur l'Italie actuelle avec Gabriele Adinolfi réalisé à la Casa Pound:

 

Suite de l'entretien : cliquez ici

11:26 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 20 juillet 2012

L’AFRIQUE DU SUD TOURNE UNE NOUVELLE PAGE BLANCHE...

ftyyy.jpgLe bloc-notes de

Jean-Claude Rolinat

 

Le 1er octobre prochain, le major-général Fabian Zimpande MSIMANG deviendra le nouveau chef d’état-major de la South African Air Force. La cérémonie se déroulera sur l’une des neuf bases de la SAAF et sera ponctuée par un défilé aérien où se produiront probablement les nouveaux chasseurs Saab « Grippen » d’origine suédoise qui remplacent les  « Mirages » et autres « Cheetahs ».

 

La ministre de la défense et des anciens combattants, Madame Lindiwe Sisulu, fille du défunt leader de l’ANC, prononcera certainement un discours émouvant qui saluera le départ du Général Carlo Gagiano, dernier  officier-général d’origine européenne à occuper un poste de premier plan à l’état-major des armées de la « nation arc-en-ciel ». Elle sera accompagnée du général Solly Zacharia Shoke, chef d’état-major  général, du général V.R Masondo, chef de l’armée de terre, du vice-amiral Refiloe Mudimu (marine) et du lieutenant-général Vejaynand Ramlakan, chirurgien-général et directeur du service de santé. Pilote d’hélicoptère formé sur des appareils soviétiques de type Mi-8 et Mi-25 au Kirghiztan pendant les années de lutte contre le pouvoir blanc de Pretoria, membre de l’Umkhonte We Sizwe, la branche militaire de l’ANC, Zimpande Msimang intégra en 1994 la nouvelle armée de la « nouvelle Afrique du Sud » postapartheid, au sein de laquelle il gravit les échelons de la hiérarchie et évolua à la tête de divers commandements, notamment la direction de l’école de pilotage des hélicos à Bloemfontein. Bien que l’objectif des autorités sud-africaines soit d’africaniser jusqu’à une hauteur de 75 % les effectifs des pilotes de la SAAF, il est amusant de constater que près de la moitié des pilotes sont encore des blancs à des grades subalternes, tandis que toute la haute hiérarchie de l’armée est noire, métis ou indienne à 100%.... Intéressant également de noter que le prédécesseur de l’actuelle ministre de la défense s’alarmait du peu de volontaires d’origine européenne qui s’engageaient dans l’armée ! Cherchez pourquoi….

 

L’africanisation à outrance des cadres militaires ou, par exemple, des termes géographiques du pays (toponymie) (1) est l’une des réponses. C’est une nouvelle page, blanche, de l’histoire  sud-africaine qui se tourne du côté du Cap de Bonne Espérance.

 

Note

 

(1)   C’est ainsi que l’agglomération de Petoria est devenue Tshwane, que le Transvaal éclaté comprend, notamment, les provinces du Gauteng, du M’Pumalanga et du Limpopo, cette dernière ayant Polokwane (ex-Pietersburg) comme capitale, sans oublier que le grand  complexe portuaire de Port Elisabeth au Cap-Oriental s’appelle désormais Nelson Mandela Métropole, ça ne s’invente  pas !

10:41 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 18 juillet 2012

Le chambard socialiste face au vide

142262332.jpgLe billet de Patrick Parment

Manifestement François Hollande et ses thuriféraires gouvernementaux ont décidé de ne pas perturber la quiétude des Français en vacances en se gardant bien d‘annoncer les mesures de rigueur qui vont nous tomber sur la tête, tel un ciel gaulois, dès la rentrée. Même sur l’affaire Peugeot, le gouvernement a réussi à différer la colère « lumpenprolétariesque » des ouvriers, issus de l’immigration pour la plupart. Mais, assurément, demain on ne rasera pas gratis.

Le gouvernement semble réfléchir aux futures mesures à prendre qui vont d’un coup le rendre impopulaire. On ne saurait imputer à la gauche l’ensemble du désastre social qu’est la fermeture de sites industriels petits ou grands. Sarkozy et, bien avant lui, Chirac autant que Mitterrand n’ont pas arrangé nos affaires. En fait, ce que l’on pourrait reprocher à la gauche, c’est de n’être pas de gauche mais assurément tout aussi libérale que la droite en masquant ses recettes sous d’autres vernis. C’est bien connu, c’est toujours la faute de l’autre. Sauf qu’en l’espèce, l’autre, c’est le même.

Si la gauche était à gauche, elle ferait comme Mitterrand – première manière –, elle nationaliserait les banques pour commencer, d’autant qu’après les avoir sauvé des eaux avec le fric du contribuable, et sans garanties – merci Sarko – elles sont de nouveau libres d’investir à leur guise. Une telle mesure serait un signe fort au niveau européen gangrené par les lobbies. Car il serait temps de mettre fin au laxisme bruxellois et à cette Europe qui n’existe pas puisqu’elle est toujours sujette à l’égoïsme des nations.

Tenez, le cas de Peugeot est un bon exemple. Est-il nécessaire d’avoir quatre gros constructeurs automobiles : Renault, Peugeot, Wolkswagen et Fiat ? Bien sûr que non. Idem en matière énergétique. Pourquoi ne pas mutualiser nos besoins ? On éviterait des conneries comme celle des Allemands de vouloir sortir du nucléaire pour s’en remettre, entre autres, au vent ! Absurde. Il faut arrêter avec les bondieuseries politiques des écologistes. La véritable écologie est ailleurs, notamment dans le nucléaire qui demeure l’énergie la plus efficace tout en étant la moins polluante (pas comme le charbon dont les Allemands font grand cas). On pourrait de la même manière négocier le gaz avec les Russes et non pas aller jouer les fanfarons en Azerbaïdjan qui préfère le dollar au rouble. Bref, inaugurer une authentique politique européenne et éviter qu’un « con » comme Michel Barnier – aux dires de Pierre Mazeaud – s’oppose à la commissaire à la pêche qui veut interdire avec raison le chalutage en eau profonde afin de préserver les ressources essentielles de la faune marine. Tout ça pour défendre les intérêts de dix rafiots d’Intermarché. Les soces devraient virer ce nuisible. Certes, il n’est pas le seul.

Bref, on l’aura compris, on aimerait à tout prendre que de temps en temps les socialistes mettent, outre le sectarisme naturel de ses intellectuels, son libéralisme de côté. Arnaud Montebourg avait pourtant ouvert des pistes qui n’étaient pas inintéressantes dans son petit opuscule, la Démondialisation. Mais, il semblerait qu’il y ait deux poids deux mesures suivant que l’on est dans la majorité ou l’opposition.

Vertu de ce pays radieux où le tour de France nous renvoie l’image fausse d’une France paisible et franchouillarde, il se trouve que si la gauche n’est pas à gauche, la droite n’est pas à droite non plus. C’est bien ce qui fausse le paysage dans ce pays, personne n’est là où on l’attend, à l’exception, bien sûr, de ces affreux « fascistes » que sont les Français de souche que l’on étouffe régulièrement sous le boisseau.

Cette fausse droite, à peine dans l’opposition, n’a rien trouvé de mieux que de coller le souk lors du discours de politique générale du premier ministre, Jean-Marc Ayrault. Les mecs n’ont même pas le respect des institutions qui les consacrent. Alors que cette droite de guignols perd toutes les élections – hormis deux présidentielles – depuis 1995. Ils gueulent après des socialistes qui n’ont encore rien entrepris de sérieux mais qui nous ont, en revanche, bien amusé avec les problèmes de nanas du camarade Hollande, coincé entre une virago et une mégère peu apprivoisée semble-t-il. Décidément, de Sarko en Hollande, ces deux quinquas ont des problèmes de gonzesses… au pays de la gaudriole !

Bref, au lieu de se montrer solidaire de la détresse nationale – a laquelle cette droite de guignols a largement participé – on a droit aux angoisses métaphysiques des Fillon, Copé et autre Juppé sur les valeurs. C’est sûr, je n’ai pas les mêmes valeurs que ces gens-là, abonnés qu’ils sont aux droits de l’homme et à toute la quincaillerie qui va avec. Au point d’ailleurs que l’on ne connaît toujours pas les valeurs qu’ils honorent. Christian Vanneste, hier encore député UMP, qui connaît bien le bazar déclare sans ambages que tous ces gens ne sont pas de droite. On s’en doutait.

Une bonne nouvelle, la vraisemblable franc-mac Roselyne Bachelot, qui n’a laissé de traces que sur les sables mouvants d’un ministère dont on se souvient seulement qu’il devait vacciner la France entière – quel fiasco – vient de rejoindre – à la demande du Président – la commission d’éthique annoncée par Hollande et confiée à Lionel Jospin. 

Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.

16:04 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 17 juillet 2012

Peugeot refuse de vendre en Iran : 8 000 Français sacrifiés au lobby israelo-américain...

3259684465.jpgPar Yves Darchicourt

Le groupe PSA envisage de supprimer quelques 8 000 emplois en France : une décision douloureuse mais indispensable au nom de la compétitivité à pleurniché la Parisot toujours prête aux sacrifices des autres. Le président Roudoudou trouve cela inacceptable mais s'est bien gardé de faire remarquer que Peugeot - qui a conclu un accord aec General Motors pour une prise de capital à hauteur de 7% et la construction de C5 et de 508...sur un site allemand- s'est aligné sur la politique d'embargo contre l'Iran imposé aux states par certain lobby qui là-bas non plus n'existe pas.

La perte du marché iranien prive PSA de l'exportation de quelques 460 000 véhicules par an, ce qui d'ailleurs correspond au chiffre de baisse des ventes annoncé par la direction du groupe pour justifier les licenciements douloureux mais indispensables.

On savait déjà que les dirigeants et les gros actionnaires de PSA ne brillaient pas par leur patriotisme économique, on sait maintenant qu'ils resplendissent de veulerie politiquement correcte et d'imbécilité crasse en matière de stratégie économique.

Les futurs chômeurs français largués par PSA apprécieront !

Lire aussi : cliquez ici

14:33 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 16 juillet 2012

Trierweiler va se méfier de ses doigts !

hjuy.jpgPar Yves Darchicourt

Probablement tancée un tantinet par son Roudoudou la Trierweiler s'est publiquement engagée à désormais tourner sept fois son pouce avant de tweeter. Belle résolution mais insuffisante même si elle y ajoutait la langue avant de parler : car il n'y a pas qu'avec l'un de ses pouces que la dame semble avoir un gros problème compartemental. Lors de la réception suivant l'annonce des résultats de l'élection présidentielle, c' est par son majeur à senestre qu'elle a jugé bon de manifester publiquement tout le bien qu'elle pensait du vaincu de la consultation... à moins que l'érection du digitus impudicus n'ait été destinée à certaine ex de son Roudoudou, juste histoire de bien marquer son territoire. Il va falloir lui faire porter des moufles en permanence avant de la sortir!

Incontestablement, dans le Traité du Divorce rédigé par Hincmar, archevèque de Reims au IXe siècle, la Trierweiler aurait été classée iracunda (mégère insupportable), ce qui au moins l'éloignait de malis moribus (dévergondée) et de luxuriosa ou gulosa (gourmande des plaisirs du monde) dans les regrettables causes de l'ire d'un époux. Première mégère de France...finalement ce n'est pas mal dans un protocole roudoudesque !

11:14 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 13 juillet 2012

Dans Rivarol de cette semaine : un entretien avec Robert Spieler sur son livre "Le Dictionnaire des polémistes"....

2277121978.jpgRIVAROL : Vous avez écrit un dictionnaire des polémistes, d’Antoine de Rivarol à François Brigneau. Pourquoi ? 

Robert SPIELER : « La polémique est un combat et le pamphlet est une arme ». C’est par cette phrase que débute l’ouvrage de Pierre Dominique Les Polémistes français depuis 1789, paru en 1962 aux éditions du Vieux Colombier. Pierre Dominique, qui fut directeur de Rivarol mais aussi un romancier et un essayiste reconnu, a évoqué dans son livre ces polémistes français, de gauche ou de droite qui marquèrent leur époque, par leur fureur et leur talent. « Comme le soldat, le polémiste est détesté par les âmes sensibles ». De Mirabeau à Céline, de Rivarol à Henri Béraud, en passant par Proudhon, Rochefort, Edouard Drumont, Léon Daudet et Bernanos, sans oublier bien sûr Charles Maurras, la liste de ces combattants, qui mirent souvent leur peau au bout de leurs idées, est longue. Le livre de Pierre Dominique m’a servi de fil conducteur dans la rédaction de cette recension de rebelles. Je me suis bien sûr aussi inspiré d’autres ouvrages et aussi des informations recueillies sur internet. Ce petit ouvrage reprend les articles qui avaient paru, un an durant, dans RIVAROL. J’ai ajouté à ma recension Lucien Rebatet et François Brigneau, qui n’étaient pas évoqués dans le livre de Pierre Dominique.

 

J’évoque dans ce petit dictionnaire ces figures dont nous ne sommes évidemment pas obligés de partager les idées et la fureur, mais qui sont des fanaux de l’esprit français rebelle. En cette période effroyablement aseptisée où le politiquement correct règne en maître, il est salutaire de se plonger dans la lecture des polémistes, une lecture qui rend libre.

 

R. : De quand datent la polémique et le pamphlet ?

 

R. S. : La polémique et le pamphlet ne débutèrent certes pas avec Mirabeau et Rivarol. A défaut de vouloir tuer l’ennemi avec leurs épées, certains choisirent d’utiliser le langage, et ce depuis la plus haute Antiquité. Songeons aux injures proférées par les héros d’Homère. Dès que les hommes maîtrisèrent l’écriture, naquit le pamphlet. Le graffito, injurieux et ordurier, fleurit dans la Rome antique. Sur un plan plus littéraire, les Philippiques de Démosthène, les Chevaliers d’Aristophane sont des pamphlets, de même que, selon Pierre Dominique, les Provinciales de Pascal. Et puis, les mazarinades, tous ces libelles destinés à ridiculiser les maîtresses et l’entourage des Rois de France… Et Voltaire qui pour agonir son ennemi Fréron l’imagine piqué par une vipère ; la chute du pamphlet, écrit sous forme de poème : « Devinez ce qui se passa, ce fut la vipère qui creva »… Les plus grands prosateurs des trois derniers siècles sont des polémistes : Rabelais, Pascal, Saint-Simon, Voltaire que nous avons évoqué, Diderot, Beaumarchais et même Molière, que le Roi Louis XIV appréciait tant. N’a-t-on pas dit que ce fut le Roi qui lui souffla l’idée de son Tartuffe ? Le pamphlet peut se présenter sous forme de périodique : La Lanterne de Rochefort, le Crapouillot de Galtier-Boissière, un article de Daudet dans L’Action française, de Brasillach dans Je Suis Partout, de Béraud dans Gringoire. Béraud fut condamné à mort en 1944, pour « intelligence avec l’ennemi » et vécut de longs mois dans l’attente d’être fusillé. Béraud ne fut jamais pronazi. Pourquoi cette haine à son encontre ? Deux raisons : les socialistes l’exécraient. Ils le considéraient comme responsable du suicide de Roger Salengro, qui fut ministre de Léon Blum. Henri Béraud avait mené une campagne terrible contre lui, dans l’hebdomadaire Gringoire, dont il était l’éditorialiste, l’accusant d’avoir déserté durant la Première Guerre mondiale. Il avait aussi écrit un livre, avant la guerre, violemment orienté contre la Grande-Bretagne, Faut-il réduire l’Angleterre en esclavage ? Le Roi d’Angleterre demanda à DeGaulle la grâce de Henri Béraud et l’obtint. « On retrouve la polémique, vive et drue, furieuse, fielleuse, injurieuse, effrénée, cruelle avec de ces éclats de joie qui sont la philosophie des polémistes, en latin et en français, tout au long de l’Histoire de France », nous dit Pierre Dominique. Les années précédant la Révolution amènent une explosion de libelles, spirituels, orduriers, agressifs, violents. Ils n’ont pas peu contribué à la chute de la monarchie.

 

R. : Quelles sont les motivations du polémiste ?

 

R. S. : « Le polémiste, le plus souvent, n’est pas mené par le souci de nuire, mais par le besoin du combat, de l’action. Le lion, le chat griffent les écorces, le cheval, dans le pré, rue vers le ciel. Ecrire, c’est toujours se libérer. D’une fureur, d’un désespoir, d’une haine, parfois d’un amour, qui pourraient vous étouffer. Le polémiste repère une gouape, un marlou, un usurier, un arriviste, un vendu, et il siffle, il hue. Mais parfois, c’est une équipe d’hommes de main ou d’hommes d’Etat[…] qui, eux aussi, ont droit au sifflet et à la huée. Ou bien une nation, une religion, toute une époque, car le polémiste a droit de regarder de loin et de haut ». Et Pierre Dominique de conclure : « Ce coup de sifflet, c’est un article, et cette huée, c’est un pamphlet. Puis, le polémiste, satisfait, rentre chez lui, où, peut-être, les gendarmes vont venir le chercher, parce que celui qu’il a sifflé, hué, est puissant, ou que la nation, la religion, l’époque par lui méprisées, bafouées, sont sacro-saintes. Mais peu importe : les gendarmes qui, sans doute, ont les menottes en poche, rencontrent un homme délivré ». Pierre Dominique écrivait ces lignes il y a cinquante ans. Depuis la loi Gayssot, depuis la mainmise de la police de la pensée sur la France et l’Europe, tant de femmes et d’hommes libres ont croupi ou croupissent en prison… Honneur à eux.

 

Propos recueillis par Jérôme BOURBON.

   

Pour commander le livre : règlement à la commande par chèque à l’ordre de Synthèse nationale à retourner à : Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris 18, 00 € l’exemplaire (+ 3 € de port).


Bulletin de commande : cliquez ici

11:11 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 08 juillet 2012

Polémique inattendue : Le "Dictionnaire des polémiste" de Robert Spieler provoque l'ire de la direction du journal Présent...

2277121978.jpgRobert Spieler avait été invité, sans l’avoir nullement sollicité, à donner une interview au quotidien Présent (*) suite à la parution de son livre Le Dictionnaire des polémistes (cliquez ici). La journaliste de Présent qui avait réalisée l’interview avait fort aimablement qualifié Robert Spieler de « remarquable polémiste chez notre confrère Rivarol ».

 

Or, la parution de cette interview a suscité une fureur folle du fondateur de Présent, Jean Madiran, et de Jeanne Smits, la directrice du journal. Madiran évoque « un accident lamentable », évoquant la « bassesse des insultes à Maurras et aux maurassiens » et se plaint de se « faire insulter à domicile, chez moi, à Présent  par un provocateur invité (le supposé provocateur étant Robert Spieler). Jeanne Smits, écrit qu’elle n’aurait jamais laissé paraître cette interview si elle l’avait lue. Bref, Le Dictionnaire des polémiste engendre déjà des polémiques inattendues... 

 

Notons que le journal l'Action française, dans sa livraison de cette semaine, se montre beaucoup moins rancunier que Présent puisqu'il consacre un article fort élogieux au livre de Robert Spieler.

 

Robert Spieler nous communique sa réponse à ces "accusations" :

 

J’ai notamment évoqué dans cette interview un polémiste de très grand talent, Lucien Rebatet, qui fut, comme Jean Madiran, et comme je m’honore de l’être aujourd’hui, un chroniqueur de Rivarol. Il avait eu, il est vrai, la dent un peu cruelle à l’encontre de Charles Maurras et de l’« Inaction Française ». Je raconte ce que Rebatet évoque dans ses Décombres. Pendant que Paris était à feu et à sang, au lendemain des émeutes du 6 février 1934, Maurras écoutait « trop galamment le caquetage d’une pécore du monde. » Interrompu par un partisan qui lui demandait d’agir, il « se cambra, très froid et très sec, et frappant du pied » déclara : « Je n’aime pas que l’on perde son sang-froid ». Puis, raconte Rebatet, « incontinent, il se retourna vers la perruche, pour lui faire à n’en plus finir l’honneur immérité de son esprit. »

 

Dans mon interview, j’évoque aussi la diatribe de Rebatet à l’encontre de Maurras : « Sa confiance allait infailliblement aux personnages les plus nuisibles, les plus falots, une bande de ratés, de plats flatteurs, voire de vrais gredins à scapulaires. » Damned, Jean Madiran, qui connut quelque peu Maurras, s’est senti visé, on se demande pourquoi, par ces propos de Rebatet. Du coup, il fulmine. Il expectore, il argumente, il couine, m’accusant de venir « l’insulter dans son journal » et écrivant : « Non, l’entourage de Maurras n’était pas composé d’imbéciles et de gredins ; non, sa confiance n’allait pas infailliblement aux plats flatteurs. » Je n’avais certes jamais affirmé que Madiran était un imbécile, un gredin ou un plat flatteur. Pourquoi s’est-il senti visé par des propos tenus, il y a 70 ans, par Lucien Rebatet, à qui il voue apparemment une haine antédiluvienne, parlant de la « bassesse de ses insultes »  et le qualifiant de « triste inventeur ». ? Mystère.

 

Madiran, me dit-on, est un homme profondément méchant. Il parait cependant qu’il se bonifie avec l’âge. Dans quelle direction, je l’ignore à vrai dire. Pour ma part, je trouve cela plutôt amusant quand cette méchanceté s’exerce au détriment de ses ennemis et en même temps rigolo que nonobstant ses supposées convictions, il ne sache pas pratiquer le pardon de supposées offenses, fût-ce 70 ans plus tard. Jeanne Smits, la directrice de Présent, explique quant à elle héroïquement que si elle avait lu l’interview, elle ne l’aurait pas publiée pour « les raisons évoquées par notre directeur émérite » et… pour  « quelques autres encore. » Lesquelles ? Mystère et boule de gomme. Ils sont vraiment trop mignons… Je les adore…

 

(*) Entretien avec Catherine Robinson publié dans le numéro de Présent daté du samedi 30 juin dernier.

13:42 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 05 juillet 2012

La conférence d'Arnaud Raffard de Brienne sur la désinformation jeudi de la semaine dernière au Local...

23:13 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |