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lundi, 07 mai 2012

La « France du changement » se défoule dans la violence

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Par Jean-Pierre Grunberg

Source Dreuz.info cliquez ici

Ce soir, l’élection de François Hollande est fêtée comme il se doit. Côté pile, on vous montre des jeunes qui brandissent des pancartes « Pour une France apaisée ». Et côté face, on ne vous montre pas la place du Capitol*, à Toulouse, ou des violences ont éclaté.

On ne vous montre pas non plus les drapeaux algériens, palestiniens, Place de la Bastille. Je me demande ce qu’ils faisaient là, mais je sais que si quelqu’un les avait brûlés, il y aurait eu une guerre civile.

On ne vous dira pas que dans le 93, le 77 et à Toulouse, dans le 91 et le 92, à Nanterre, ça caillasse et brule des poubelles, et que la police a ordre de pas intervenir.

L’Est Républicain rapporte qu’à Clichy-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, des voitures ont été brûlées, puis que "la police est passée et comme les jeunes n’aiment pas la police, ils ont commencé à caillasser avec des bouteilles", a raconté un fonctionnaire de la mairie, sous couvert d’anonymat.

Selon d’autres témoignages, des jeunes ont pris de l’essence et mis le feu sur un véhicule abandonné, puis sur un autre. Un cordon de sécurité a été déployé sur place, où une vingtaine de voitures des forces de l’ordre ont été déployées, interdisant l’accès à la mairie, a-t-on indiqué de même source.

« Les pompiers sont intervenus, un cordon policier a été mis en place de manière préventive et le préfet Christian Lambert s’est rendu sur place», a confirmé une source préfectorale… »

Vous ne saurez pas qu’à Marseille, un cocktail Molotov a été jeté sur le commissariat du 3ème arrondissement.

Ni que dans le 20e à Paris, c’est la guerre urbaine contre les policiers : avec des tirs de mortier et plusieurs agressions contre les policiers.

Sur l’ensemble des arrondissements parisiens, ce soir, les policiers en patrouille et en intervention se font insulter.

Dans le 93 ça brûle, et les policiers se font caillasser. Des effectifs de police du 92 ont essuyé des jets de projectiles.

Quelques villes du 93 brûlent, et à Saint Denis, la police se fait caillasser.

Sur les Champs Elysées, les boutiques ferment et les CRS chargent. Ça commence…

Plusieurs « jeunes » s’attaquent verbalement aux policiers à Paris, lesquels ne peuvent intervenir. Il y a des rodéos sauvages un peu partout.

Ordre a été donné aux policiers de quitter les secteurs sensibles.

* Hier soir, une source m’a indiqué avoir vu des drapeaux français brûler à Toulouse. Comme des drapeaux français avaient été brûlés, sur cette même place, en 2007, je n’ai pas été très surpris, et j’ai repris l’incident dans mon article. Et pour être totalement transparent, j’ai également illustré cela d’une photo d’archive.
Il y a quelques minutes, cependant, j’ai reçu un démenti, aussi ai-je décidé, en attendant d’en savoir plus, de retirer de mon texte les références à des drapeaux brûlés, hier soir, à Toulouse, place du Capitole.

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dimanche, 06 mai 2012

La mort en face...

 Dernier poème écrit par Robert Brasillach,

lu par Pierre Fresney.

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RAPPEL : second tour de l’élection présidentielle, la Nouvelle Droite Populaire ne choisira pas...

P1070072.jpgUn communiqué de Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire :

Voter Hollande ? Bien sûr que non. Voter Sarkozy ou s’abstenir ? C’est l’alternative à envisager.

Certains de nos amis militent ardemment pour le vote Sarkozy, évoquant le droit de vote des étrangers aux élections municipales, la légalisation du mariage homosexuel, et le matraquage financier des Français. Ils auraient pu aussi évoquer, ce qui nous semble tout aussi important, l’abandon de la filière nucléaire française et, de facto, un abandon de souveraineté. Ils évoquent avec effroi la perspective d’accrocher le portrait de Hollande dans leurs mairies et expliquent que la politique du pire est la pire des politiques, considérant que s’abstenir reviendrait à voter Hollande, et qu’il convient de voter utile. Soit. Mais avec ce type de raisonnement, nous serons amenés, demain, à voter aux élections législatives pour un candidat socialiste plutôt que communiste ou pour un candidat radical de gauche plutôt que socialiste, ou encore pour un candidat de l’UMP plutôt que pour un centriste. Et puis, après-demain, pour Mélenchon, un tout petit peu moins pire que Poutou, le candidat de l’extrême-gauche trotskiste. Le premier aurait guillotiné en 1792, le second dès 1789…

Qui sont les responsables majeurs de la situation identitaire dramatique que vit la France ? Les socialistes ? Absolument pas. Le regroupement familial fut décidé par Giscard d’Estaing et Chirac, pas par Mitterrand. Quelle fut l’action de Sarkozy, durant son mandat, pour protéger la France de l’invasion ? Juppé, maire de Bordeaux et Gaudin, maire de Marseille, encouragent la construction de grandes mosquées. Sont-ils socialistes ?  Quelle furent les mesures de Sarkozy pour lutter contre la fortune anonyme et vagabonde ? Et n’évoquons pas le fiasco de l’Education nationale. Quant à l’insécurité…Et puis la politique étrangère désastreuse menée en Libye, notamment sous les auspices du super-ministre des Affaires étrangères, Bernard-Henry Lévy… Passons… On pourrait multiplier les exemples. Le CRIF soutient Sarkozy, plutôt que Hollande, soupçonné d’avoir dans son entourage des personnes trop sensibles au drame que vivent les Palestiniens. C’est son droit, comme c’est celui de certains d’entre nous de voter Sarkozy, malgré tout, ou de ne pas voter Sarkozy, et donc de s’abstenir.

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Différence :

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La Ve République, 54 ans, voilà le résultat :

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Elections générales en Grèce : intolérables pressions sur le peuple hellène !

3174893620.jpgPar Yves Darchicourt

 

Si les électeurs grecs votent pour une majorité qui n'honore pas ces engagements [ ndlr : ceux de la dette ] la Grèce devra en supporter les conséquences vient d' éructer le ministre des Finances d'Angela Merkel ! Scandaleuse intrusion de l'Union Européenne par Allemagne interposée dans les élections générales qui vont se dérouler dans le pays qui a vu naître la démocratie. Une démocratie qui a été livrée pieds et mains liés à la finance internationale par les politicards grecs, sous couvert de l'Union Européenne et du FMI, eux-mêmes dévoués corps et âmes à la ploutocratie mondialiste qui s'engraisse sur le malheur des peuples.

 

C'est que tous ces gens-là s'inquiètent fort de ce qu'une majorité de grecs pourraient bien lâcher les partis "traditionnels" qui fournissent en grasses sinécures les politiciens conservateurs et sociaux-démocrates (une sorte d'UMPS hellène) qui prônent la drastique austérité pour le Peuple grec mais pas pour eux, leurs familles et leur clientèle. Vision d'apocalypse ripouplicaine, nombre d' électeurs grecs pourraient soutenir les candidats de la gauche extrême, et plus encore ceux de la droite nationale, radicale et identitaire : c'est à dire le LAOS (le Peuple) ou, horresco referens, le parti CHRYSI AVGHI (aube dorée) qualifié par nos "grands médias" de anti-européen, fascisant, xénophobe, raciste, ultra-nationaliste, religieux orthodoxe, violent (il a mis sur pied des groupes d'auto-défense fort appréciés dans les quartiers populaires submergés par la délinquance à forte composante allogène), anti-sémite et tant qu'à faire homophobe, de quoi faire trembler d'horreur dans tous les raouts de tout le fatras politiquement correct ! Et c'est ce séisme politique qui inquiète l'eurocratie, bien plus que le non-remboursement de la dette que les banksters récupéreront d'une façon ou de l'autre : une déferlante de la droite nationale radicale et identitaire en Grèce pourrait être exemplaire en Europe et marquer l'acte n°1 de la disparition de l'eurocratie mondialisante au profit d'une Europe des Peuples et des Nations !

 

Alors, sous le regard bienveillant du Christ Pantocrator ou avec l'aide de tous les Dieux de l'Olympe, bonne chance et bon courage à nos amis et camarades nationalistes et identitaires de Grèce !

14:36 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 05 mai 2012

Législatives / Vaucluse (4e) : Patrick Bassot, le seul conseiller général du FN, soutien Jacques Bompard...

patrick-bassot.pngSource PdF Franche-Comté cliquez ici

 

Patrick Bassot, l’unique Conseiller général frontiste de France (sur le canton de Carpentras Nord), est déjà plus qu’en délicatesse avec son parti et a apporté jeudi son soutien à Jacques Bompard, le candidat Ligue du Sud et maire d’Orange, candidat sur la 4e circonscription de Vaucluse aux élections législatives qui sera lui-même soutenu par l’Union de la Droite Nationale.

 

L’élu carpentrassien estime que « Jacques Bompard est le seul nationaliste du département à faire du bon boulot. Orange, sa ville, est nickel. Il y opère une gestion exemplaire que je souhaite voir étendue aux autres villes. C’est pour ça que je lui apporte mon soutien. Et ce n’est pas une attaque contre le candidat du Front National sur ce secteur » qui sera Annie-France Soulet.

 

Une prise de position qui fait grincer des dents au sein du Front National. Jean-Marie Le Pen, le chef de file du FN dans la région Paca, indiquait hier que si Patrick Bassot « déroge aux règles de discipline du mouvement, il en subira les conséquences ».

 

Rappelons que depuis son élection au Conseil général de Vaucluse, en mars 2011, Patrick Bassot n’a pas toujours entretenu de bonnes relations avec son parti. En mars dernier, c’est seul que l’élu frontiste s’était présenté devant les juges carpentrassiens qui l’avaient condamné pour « incitation à la haine, à la discrimination et à la violence ».

 

Plus récemment, le Front marinisé a préféré investir une arriviste en la personne de Martine Furioli, une ancienne du Mouvement pour la France (MPF) de Philippe de Villiers, plutôt que lui dans la 5e circonscription malgré le travail de terrain qu’il a toujours réalisé.

 

Décidément, la politique, c’est un peu comme la cuisine : on ne peut pas savoir qu’un plat est décevant (pour rester poli) ou ne réponde pas à nos attentes, nos espérances tant que l’on n’y a pas goûté…

10:18 Publié dans Législatives 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 04 mai 2012

Présidentielle : POUR L'OEUVRE FRANCAISE, PAS UNE VOIX POUR LE SYSTÈME

040512_184836_PEEL_ftkyp9.jpgUn communiqué d'Yvan Benedetti, président de l'Oeuvre française :

 

Le premier tour de l'élection présidentielle en France a montré une nouvelle fois à quel point les nationalistes ont raison de dire qu'il ne faut pas placer ses espérances dans les urnes.

 
Les deux principaux candidats du Système, Hollande et Sarkozy, ont réuni à eux deux plus de 55 % des suffrages exprimés, alors même que notre pays est dans une situation catastrophique dans tous les domaines. Quant à Mme Le Pen, si son score (17,90 %) est supérieur à celui de son père en 2007, elle réalise un score inférieur aux 19,2 % obtenus par Le Pen et Mégret en 2002 et aux 19,7 % réunis par Le Pen et Villiers en 1995 et ne réalise qu'un point de plus que Jean-Marie Le Pen le 21 avril 2002 (16,86 %). Pendant toute sa campagne elle affirmait pourtant qu'elle serait au second tour (elle finit en réalité dix points derrière Sarkozy) et qu'elle dépasserait la barre des 20 %. La dédiabolisation qui l'a conduit à renier l'essentiel du programme historique du mouvement national, à faire allégeance aux différents lobbys, à expulser ou écœurer les militants et cadres nationalistes n'a donc servi à rien. Tout ça pour ça !


Pour le second tour, l'Œuvre française invite les Français non reniés à refuser de choisir entre deux candidats qui sont les deux faces d'une même médaille mondialiste, européiste, antinationale et antichrétienne. Quel que soit l'élu, il sera au service de la finance internationale, de l'Union européenne, de l'ONU, de l'OTAN, de Bruxelles, de Washington et de Tel Aviv. Il poursuivra la destruction de l'indépendance et de la souveraineté nationales et sapera chaque jour davantage les fondements moraux, culturels et spirituels de notre civilisation européenne, blanche et chrétienne.


C'est à une seconde révolution nationale qu'il faut se préparer. L'exemple du mouvement Jobbik en Hongrie prouve qu'un mouvement nationaliste sans concession peut parfaitement emporter l'adhésion d'une grande partie du peuple. Ce n'est pas en s'alignant sur le Système ou en lui donnant des gages que l'on rend service au pays.

 
Voter pour un candidat du Système, c’est cautionner le Système.

22:57 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle : un communiqué du MNR...

3-mnr.JPGUn communiqué du MNR :

Alors que le destin de la France est en jeu, le Bureau national du MNR demande à ses adhérents et sympathisants de prendre leurs responsabilités pour le second tour de l'élection présidentielle.

Il les appelle à faire barrage au candidat socialiste dont l'idéologie et les propositions ne peuvent qu'accélérer le déclin de notre pays.

Il estime que si les actes de M. Sarkozy, lors de son premier mandat, ont été décevants, son discours récent sur l'identité nationale, la défense des frontières, le protectionnisme économique européen, la maîtrise de l'immigration, la promotion de l'effort et du travail mérite, en revanche, d'être encouragé.

09:44 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 03 mai 2012

Présidentielle : réponse de Thomas Joly à la tribune libre de Pieter Kerstens...

A la suite de la publication hier d'une tribune libre de notre cher ami Pieter Kerstens, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, nous adresse la réponse suivante. Rappelons à cette occasion que Synthèse nationale, comme son nom l'indique, est un site, et une revue, ouverte aux différentes sensibilités de la Droite nationale. Chacun peut avoir son opinion sur tel ou tel événement. Ce qui compte, c'est l'attachement de tous à l'idéal nationaliste et à notre identité européenne. Les tribunes libres n'engagent que leurs auteurs.

RH

Thomas Joly 55.pngLe message de Thomas Joly :

 

"Je ne vois pas trop le besoin qu'éprouve le camarade Pieter (tout comme d'autres qui s'enflamment) d'éructer de manière aussi agressive contre ceux qui vont faire le choix de faire barrage à Hollande. Comme si l'on risquait d'y perdre son âme. Que l'un ou l'autre passe, ce sera nocif pour la France, plus ou moins selon les avis. Pourquoi clouer au pilori ceux qui estiment qu'il est préférable d'opter pour un vote contre le retour de la gauche socialo-communiste au gouvernement ? Comment peut-on comparer ce choix pénible et non-partisan avec le 1er tour où tout le monde était bien d'accord pour admettre que le casting républicain ne comportait aucun candidat de droite nationale ? Qui peut croire sérieusement que Carl Lang et le PDF sont subitement devenus sarkozystes ? Et à quel titre, ne leur serait-il plus légitime de dénoncer le cirque boutiquier mariniste ? (...)


Je pense que chacun doit savoir raison garder. A titre de comparaison, Carl Lang et le PDF ont-ils émis la moindre critique ou condescendance à l'égard de ceux qui vont faire le choix de ne pas participer au second tour de la présidentielle ?


Jérôme Bourbon et Robert Spieler ont, je trouve, une attitude tout à fait mesurée et adéquate. L'édito du dernier
Rivarol (cliquez ici) est à ce titre excellent."

10:26 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 02 mai 2012

Dimanche 13 mai, à 10 h, les Jeunesses nationalistes seront au rendez-vous...

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23:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle : ne pas tomber dans le piège...

Pierre Vial 3.jpgUn communiqué de Pierre Vial :
Pas d’hypocrisie : appeler à « faire barrage à Hollande » c’est appeler à voter Sarkozy. Or Hollande et Sarkozy sont l’un et l’autre les hommes d’un Système que nous combattons, sans hésitation ni rémission. Croire ou affecter de croire que l’un est une menace mortifère plus que l’autre, c’est participer à un jeu de dupes que nous refusons car nous renvoyons dos à dos ces deux nuisibles. Voter Sarkozy ? C’est  se faire une fois de plus les harkis du capitalisme apatride, pleinement responsable de la présence des envahisseurs.

Plus que jamais il faut maintenir le cap : ni droite ni gauche, pour une troisième voie révolutionnaire, identitaire ethnique.

19:32 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Au-delà des tergiversations électorales : DES MILITANTS AGISSENT !

Dimanche, une trentaine de militants de la Maison du Peuple Flamand et d’Opstaan s’est rendue devant les supermarchés Match à Loos et Leclerc à Hallennes-lez-Haubourdin (près de Lille - NDLR) pour sensibiliser les clients sur la nourriture confessionnelle dissimulée.

Accompagnés du cochon du FLC (NDLR : entendez Front de libération du cochon qui avait fait, souvenez-vous, une forte impression lors de sa venue, en novembre 2010, à notre 4e journée de Synthèse nationale cliquez ici), ils ont déployé une banderole déclarant : « Halal dissimulé : racket organisé, Libertés bafoués »

Devant chaque établissement, les participants ont distribué des tracts expliquant comment les consommateurs achètent tous les jours des produits halal et casher sans le savoir ni le vouloir. Le cochon a pour sa part développé un argumentaire détaillant la part de l’abattage rituel dans le circuit conventionnel, dénonçant les produits de grandes marques détenteurs de certification halal et/ou casher (Coca-cola, Knorr, Liebig, etc.), démontrant le surcoût induit tant par ces certifications que par les mises aux normes nécessaires des outils de production. Il a poursuivi sa démonstration en réexpliquant qu’il ne fallait pas voir le phénomène religieux islamiste à travers nos habitudes occidentales, mais qu’il fallait bien être conscient du caractère politique de la revendication Halal.

Plusieurs manifestants arboraient des tee-shirts chocs proclamant « Contre l’inflation, mangez du cochon » et « un halal peut en casher un autre »

Au total ce sont plus de 500 tracts qui ont été distribués avec un accueil très favorable de la majorité des clients présents, sous les slogans divers et variés comme « Halal, cacher, toujours la même misère ! » ou encore « le halal, c’est tabou, on en viendra tous à bout ! »

Devant le succès de cette opération, et l’ignorance de beaucoup de consommateurs, les associations de la Maison du Peuple Flamand pérenniserons ce type d’actions-vérités sur les impôts religieux modernes.

Source cliquez ici

19:12 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La France halalisée !

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Par Yves Darchicourt

 

Une carte instructive : à chacun des points rouges répertoriés dans l'hexagone correspond un abattoir halal (ou dans une moindre mesure casher)! Ce qui donne un aperçu de l'importance et de l'étendue géographique de la colonisation de notre pays par l'immigration allogène islamique.

 

On peut en induire que cette immigration de peuplement ne concerne plus seulement les quartiers suburbains de quelques régions mais s'étend désormais à toutes nos provinces. Une dissémination soigneusement orchestrée par les collabos du mondialisme notamment par le jeu de l'attribution des logements "sociaux" et de la "carte scolaire" (même "adoucie") destinés non pas, comme prétendu officiellement, à favoriser la mixité sociale mais en réalité à imposer la mixité raciale. Un processus de "melting pot" aux forceps dont la finalité est le brassage universel des peuples, le métissage généralisé, laïc et obligatoire.

 

On constatera aussi sur cette carte que dans certains département le nombre d'abattoirs hallal est supérieur à celui des abattoirs traditionnels qui sont respectueux de la législation sur l'hygiène et la souffrance animale et qui ne collaborent pas à la ponction financière islamique par sacrificateurs agréés interposés. Ce qui d'ailleurs n'implique pas toujours une forte concentration allogène islamique dans leurs environs, mais témoigne aussi de ce que les viandes halalisées ne sont pas uniquement écoulées vers les dispensateurs officiels de produits halal mais qu'une partie est distribuée aux consommateurs "gaulois" qui mangent halal sans le savoir. Une tromperie qui simplifie la gestion de l'approvisionnement dans des restaurants d'entreprise, des mess administratifs ou militaires, des cantines scolaires ou chez des marchands de "nourriture rapide", voire même des restaurants proposant hypocritement au choix du client le halal ou le non halal. Et il en va probablement ainsi dans des entreprises de l'agro-alimentaire qui fournissent en produits identiques, mais différenciés religieusement sur les étiquettes, à la fois les musulmans et les roumis sans nécessairement vouloir investir dans le doublement de leurs chaînes de fabrication.

 

Avec la multiplication des lieux de culte dans son paysage traditionnel, la diffusion du halal dans ses habitudes alimentaires est un moyen insidieux d' habituer le gaulois à la disparition insidieuse de son identité et de le conduire, lentement mais sûrement, vers la dhimmitude. Il faut réveiller nos congénères, les informer, les sensibiliser, provoquer le sursaut salvateur de rassemblement et de résistance radicale, prélude obligé de la reconquête identitaire qui s'impose si nous ne voulons pas que notre Civilisation disparaisse.

 

Source cliquez ici

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Second tour : faut-il choisir ?

3045.jpgEditorial de Jérôme Bourbon

Directeur de Rivarol cliquez ici

 

Jamais depuis bientôt quinze ans que nous travaillons à RIVAROL nous n’avions reçu en l’espace de quelques jours un courrier aussi abondant qu’explosif. Exceptionnellement nous consacrons deux pages entières dans ce numéro au «droit aux lettres» pour permettre à la diversité des points de vue au sein de la famille nationale de s’exprimer librement. Les élections passionnent, elles rendent souvent déraisonnable comme le montrent les excès manifestes de certaines missives. Il est regrettable que la droite radicale soit aujourd’hui à ce point contaminée par le poison de l’électoralisme qui provoque des divisions fratricides, des incompréhensions majeures, des haines terribles et qui autorise tous les procès d’intention, fussent-ils les plus farfelus. Le Système sait ce qu’il fait en multipliant les consultations électorales. C’est la meilleure manière de diviser et de neutraliser ses adversaires. De Gaulle l’avait bien compris, lui qui, dès son retour aux affaires en 1958, s’empressa de faire voter les Français d’Algérie qui étaient jusque-là tous unis dans la volonté inébranlable de maintenir ce territoire à la France et qui, se présentant aux élections les uns contre les autres, commencèrent peu à se diviser, à s’émietter.

 

Avant le premier tour, nous avions appelé à éviter les anathèmes et les excommunications pour de simples divergences électorales. Las, nous n’avons guère été entendus. Pourtant, lorsque l’on a compris que les campagnes électorales ne sont que de gigantesques farces, des opérations de manipulation et de sidération des masses, l’on ne s’excite pas inutilement pour un scrutin qui ne changera rien quant à l’essentiel. Quel que soit le candidat élu (tout indique que ce sera Hollande), les choses iront plus mal, ce seront encore cinq ans de perdu pour la France, la dette et les déficits s’accroîtront, le chômage augmentera, les impôts et les taxes flamberont, la violence en tous genres s’aggravera, la colonisation de notre pays s’accélérera, la destruction de la famille, de la morale et de toutes les valeurs de civilisation se poursuivra, l’islamisation du pays s’amplifiera. Croire le contraire est s’illusionner. Hollande et Sarkozy qui feignent de s’opposer mais qui, en 2005, posaient complices sur un tabouret en une de Paris-Match pour appeler à voter oui à la Constitution européenne sont les deux faces d’une même médaille, européiste, mondialiste, antinationale, antinaturelle et antichrétienne. Sarkozy se dit tout à coup opposé au droit de vote des étrangers mais il y était favorable en 2001 dans son livre Libre et encore en octobre 2005 dans une tribune au Monde. Et s’il ne met pas en place cette réforme en effet détestable, c’est parce qu’il n’y a aucun intérêt électoral mais il la contourne par les naturalisations de masse qui sont pires encore que l’octroi du droit de vote aux non nationaux et par la promotion d’une France métissée. Il se dit favorable à la réduction de l’immigration légale mais elle n’a jamais été aussi importante que sous son quinquennat: 200000 immigrés supplémentaires par an contre 130000 du temps du gouvernement Jospin! Il se dit timidement contre le mariage homosexuel mais c’est lui qui a aggravé le Pacte civil de solidarité en accordant aux pacsés les mêmes droits fiscaux, successoraux et patrimoniaux qu’aux personnes mariées et, dans une récente interview à Têtu, il s’est dit favorable au fait de se pacser non plus au greffe du tribunal d’instance mais directement en mairie pour solenniser la chose ! Son gouvernement a introduit l’affreuse théorie du gender à l’école en septembre 2011 et donné son feu vert à la propagande homosexuelle dès l’école primaire avec Le Baiser de la lune alors qu’il aurait parfaitement pu s’y opposer. Enfin l’Elyséen se dit contre la légalisation de l’euthanasie mais, lors de sa campagne de 2007, il avait tenu à ce sujet des propos plus qu’ambigus, il est de plus un chaud partisan de la loi Leonetti qui est le premier pas vers l’institutionnalisation de cette monstruosité.

 

Que ce soit Hollande ou Sarkozy qui soit élu ce dimanche, ils seront les zélés serviteurs de l’Union européenne, de l’Otan, du Crif et de Tel Aviv. Ils seront soumis à la finance apatride et vagabonde, aux desiderata des grands banquiers, ils feront la guerre à l’Iran, ils persécuteront les révisionnistes et les nationalistes, ils poursuivront leurs attaques contre la famille, l’armée et la nation. Certes, avec Hollande et ses alliés, la destruction sera sans doute plus rapide, la mort plus brutale, avec Sarkozy le poison est plus insidieux, plus indolore, plus lent à produire ses effets mais à l’arrivée le résultat est le même: c’est la mort de la France et la fin du peuple français en tant qu’entité homogène sur le plan corporel, culturel et spirituel.

 

Pas plus qu’au premier tour, RIVAROL ne donne de consigne de vote pour le 6mai. Que chacun se détermine en son âme et conscience en posant l’acte qui lui paraît le plus favorable au bien commun, à l’intérêt national, à l’avenir de ses enfants. Si un camarade de combat fait un autre choix que soi-même le 6mai, pour des raisons prudentielles, stratégiques, familiales ou personnelles, ce n’est pas une raison pour le maudire, pour le considérer comme un imbécile, un traître ou un vendu. N’oublions pas que nous sommes tous Français et que nous voulons à tout prix le rester. Dans ces conditions les querelles électorales sont tout à fait subsidiaires. Alors que le pire est devant nous, que de graves événements se préparent, restons unis sur l’essentiel, favorisons entre nous la paix et la concorde. Le nationalisme est d’abord une amitié, ne l’oublions pas.

 

Pourquoi le cacher, à l’image de son lectorat, la rédaction de RIVAROL est divisée sur la question du second tour de la présidentielle, preuve de la difficulté du choix. A titre personnel, ainsi que nous l’avions déjà dit avant le premier tour, nous nous abstiendrons car nous refusons de participer à cette mascarade. Après avoir combattu Sarkozy pendant cinq ans, nous n’allons pas tout à coup appeler à le soutenir, fût-ce pour faire barrage à une gauche dont le retour au pouvoir sera en effet une catastrophe pour le pays. A cet égard, nous regrettons que beaucoup de ceux qui ont, à juste titre, dénoncé ces dernières années les dérives de Marine Le Pen et de son entourage, notamment sur les sujets de société, appellent aujourd’hui à voter, quasiment sans restriction, pour le candidat de l’UMP, qui est bien pire encore, au risque de brouiller leur image et de rendre illisible voire illégitime leur démarche. Dans la vie il faut savoir être cohérent. L’antimarinisme, pas plus d’ailleurs que l’antisarkozisme ou que l’antihollandisme, ne saurait tenir lieu de ligne politique. Nous sommes et devons rester nationalistes en toutes circonstances. Si nous nous battons, ce n’est pas d’abord contre le Système, même si c’est nécessaire, mais pour un idéal nationaliste, pour le rétablissement, le recouvrement d’une France souveraine, indépendante, blanche et chrétienne. Aujourd’hui cela semble relever du rêve mais ce qui se passe en Hongrie, notamment avec le mouvement Jobbik, prouve que rien n’est irrémédiablement perdu. Même si la Hongrie n’est pas la France et qu’elle est beaucoup moins corrompue et avilie, pourquoi ce qui réussit à Budapest échouerait-il forcément à Paris?

 

Editorial du n°3045 de Rivarol, en vente vendredi prochain chez votre marchand de journaux ou en cliquant ici

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Tribune libre : LES AMIS DE MES ENNEMIS SONT MES ENNEMIS !

Photo 009.jpgPar Pieter Kerstens

 

Depuis plusieurs années et très certainement depuis 1998, la droite nationaliste, identitaire et populaire a implosé.

 

On ne compte plus les mouvements, partis ou groupements dont les membres et dirigeants sont issus du Front National, entreprise qui a broyé des milliers de cadres et des dizaines de milliers de militants sincères, motivés, compétents et efficaces. On pouvait tout leur demander et ils le réalisaient par abnégation et avec enthousiasme, dans l’espoir de conquérir le Pouvoir.

 

Durant ces 15 dernières années, J-M LE PEN n’a pas échappé aux critiques et aux frondes de ses lieutenants et amis, surtout après la lamentable campagne de 2007 dirigée par sa fille Marine (discours de Valmy, beurette au slip rose, dalle d’Argenteuil et immigrés « branches de l’arbre France »…). Autant d’erreurs à 1 million d’électeurs chacune, qui se sont dirigés vers le berger Sarko dans l’espoir de jours meilleurs.

 

Malheureusement pour ces millions de brebis égarées, « les promesses n’engagent que ceux qui y croient ».

 

Mais ce qui est aujourd’hui inacceptable, incompréhensible et condamnable, c’est l’appel d’un bon nombre de responsables nationalistes à voter pour Nicolas SARKOZY le 6 mai prochain.

 

Un tel cynisme confine au crétinisme en phase terminale, car ceux-là même qui condamnaient les dérives de Marine LE PEN et critiquaient ses options en « abandonnant les fondamentaux du Parti » ou contestaient aussi le choix de ses conseillers et ses thèmes de campagne, ont ordonné à leurs ouailles de ne pas soutenir la vague bleu marine au 1er tour, afin de ne pas la qualifier en finale, au prétexte que « Marine faisait le lit du Pouvoir et préparerait son alliance avec la droite classique ».

 

Eh bien : MISSION ACCOMPLIE !

 

A ces Antony, Bompard, Gollnisch, Lang and C°, qui maintenant appellent à voter pour le nabot Sarko – laquais du capitalisme apatride, marionnette des eurocrates bruxellois, collaborateur de l’invasion islamiste et chantre de l’impérialisme américano-sioniste -, je rétorquerai que le vote d’un électeur nationaliste s’exprime avant toute chose selon ses convictions, elles-mêmes forgées sur une doctrine, un idéal et une volonté inébranlable.

 

NON, par une voix pour le charlatan Nicolas SARKOZY… MON HONNEUR S’APPELLE FIDELITE.

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lundi, 30 avril 2012

PRÉSIDENTIELLE : SUR LE POIDS DE MARINE LE PEN...

Source Pierre Pigace  Le nouveau NH

 

Au final, la déferlante bleu marine n’a pas eu lieu. La présidente du Front national retrouve en les améliorant les scores de son père. Avec moins de 20% des suffrages, et sans alliances, le FN peut tout juste espérer jouer les arbitres en attendant une hypothétique implosion de l’UMP aux législatives.

 

On ne peut pas dire que la chose soit inédite, pourtant à chaque nouvelle élection c’est le même psychodrame, la presse feint de découvrir ou de redécouvrir l’importance du vote Front national.

 

Déjà pour les élections européennes de 1999, le FN était crédité de 20 à 22 % des intentions de vote. La scission entre partisans de Bruno Mégret et partisans de Jean-Marie Le Pen mettra pour un temps un frein à cette tendance ascendante.

 

Trois ans plus tard et malgré le départ de plus de la moitié de ses cadres, le FN se qualifiera pour le second tour de la présidentielle en éliminant le candidat socialiste. Il faut dire que le 11 septembre est passé par là et que Jean-Marie Le Pen a pu faire campagne relativement tranquillement, du moins au premier tour…

 

En dépit d’un déchaînement totalement hystérique de tout le système (1) durant les quinze jours de l’entre-deux tours, le candidat du FN obtiendra 17,79% et 5 525 032 suffrages.

 

Les élections législatives qui suivront seront décevantes pour le parti de Jean-Marie Le Pen. Les dirigeants du mouvement tablaient, au vu des résultats de la présidentielle, sur 237 duels ou triangulaires, Jean-Marie Le Pen ayant même avancé le chiffre de 300 candidats au second tour. En fait avec ses 11,3% (2), le FN ne pourra se maintenir que dans 37 circonscriptions pour au final n’avoir aucun élu.

 

2007 : une erreur de casting !

 

L’élection présidentielle de 2007 est avant tout une erreur de casting et de scénario. Avec le départ de Jacques Chirac, une page se tourne. L’UMP et le PS investissent deux "jeunots" le sautillant Sarkozy et la rigide Ségolène Royal, à près de 80 ans, Le Pen pense pouvoir incarner "le sage", "le patriarche", "la force tranquille" face à la jeunesse et l"’inexpérience" de ses deux principaux adversaires. L’image d’un Le Pen "apaisé" est confiée à sa fille Marine qui devient sa directrice de campagne. Si Sarkozy a fait de la rupture son slogan de campagne, Marine Le Pen la met en œuvre. Les Le Pen abandonnent les thèmes traditionnels du FN au profit d’un discours jugé plus "fédérateur", plus "républicain" mais à "contre flots" de son électorat. Résultat : Le Pen arrive en quatrième position derrière François Bayrou avec 10,44%. Un mois plus tard aux législatives, le Front national enregistre ses plus mauvais résultats depuis les législatives de 1981 (3).

 

C’est pas Le Pen qui grimpe, c’est Sarkozy qui baisse…

 

L’édition 2012 des élections présidentielles est un mixte de celles de 2002 et 2007. Cette fois-ci, le casting est le bon et si Marine Le Pen, ne parvient pas à rééditer l’exploit de son père en se qualifiant pour le second tour, elle retrouve (17,90%) et dépasse même en voix le score de 2002. En revanche le scénario proposé par la candidate frontiste est lui toujours plus ou moins bancal. Les tueries de Toulouse et Montauban lui permettront de sortir sans en avoir l’air du discours sur l’abandon de l’Euro pour renouer avec les thèmes du FN sur l’immigration et la sécurité laissés jusque là sur la touche, mais toujours aussi porteurs auprès d’une large partie de son électorat.

 

Au final s’il n’y a pas eu de déferlante "bleu marine", sa troisième place et ses 6 421 426 électeurs lui permettent de jouer les prolongations et de faire entendre sa petite musique durant l’entre-deux tours. Comme en 2002, les "stratèges" du FN ont déjà fait des projections sur le nombre de circonscriptions (357) où un candidat FN serait en mesure de se maintenir au second tour, histoire sans doute de faire monter la pression du côté des députés UMP.

 

La stratégie du pire

 

La défaite annoncée de Nicolas Sarkozy, suscite bien des espoirs dans le camp de Marine Le Pen qui espère pouvoir profiter d’une hypothétique implosion de l’UMP dans la foulée des législatives pour se proposer comme la principale force de recomposition de la droite. Sur le papier, c’est peut-être possible, même si on voit mal le patron de l’UMP, Jean-François Copé, laisser filer son rêve de 2017 pour se ranger sous la bannière de l’" Alliance pour un rassemblement national". Aujourd’hui la "stratégie du pire" (4) fait le lit du socialiste François Hollande. En 1981, Jacques Chirac avait fait le choix de faire battre Giscard d’Estaing, pensant récupérer la mise en 1988… On sait ce qu’il en est, la parenthèse durera 14 ans…

 

Notes

 

(1)   (1) Seul le MNR de Bruno Mégret appellera à voter Le Pen pour le second tour. Arlette Laguiller et Lutte ouvrière appelant ses électeurs à ne pas choisir entre Chirac et Le Pen.

(2)   (2) Le FN participera à neuf triangulaires sur dix (contre 76 en 1997), à dix-neuf duels FN-droite et à huit duels gauche-FN.

(3)   (3) En 1981, Jean-Marie Le Pen n’avait pas pu se présenter à la présidentielle et aux législatives, le Front national avait réalisé les plus mauvais résultats de son histoire 0,18%. En 2007, sur la lancée de la présidentielle, le FN s’effondre à 4,3 % (moins 7 points par rapport au scrutin précédent).

(4)   (4) Au programme de François Hollande, le droit de vote des étrangers aux élections locales, la régularisation des clandestins, etc…

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dimanche, 29 avril 2012

Barrons la route à la Gauche socialo-communiste : Non à Hollande !

imagesCAHSFSK6.jpgUn communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :

 

Nous savons que notre projet de redressement national n’est porté par aucun des deux candidats présents au deuxième tour de cette élection présidentielle. Mais, quelque soient les intérêts tactiques des partis politiques et les plans de carrière ou les intérêts personnels de leurs dirigeants, le choix des électeurs de la famille nationale doit se déterminer en fonction de l’intérêt national. Il nous faut répondre à une seule question: que faire afin d’éviter le pire pour la France et le peuple français ?

 

Si le premier tour d’une élection permet, en général, de choisir son candidat, le second tour nous offre le droit d’éliminer le plus nuisible à la cause nationale et le plus hostile à nos idées. Il est parfaitement clair pour les patriotes que nous sommes que le pire serait le triomphe de la Gauche rose-verte-rouge et que le plus dommageable pour la France française serait la victoire de son candidat François Hollande.

 

Carl Lang et Le Parti de la France ne se lavent pas les mains de l’avenir des Français et ne seront pas complices de la victoire de la Gauche socialo-communiste qui annonce le droit de vote des étrangers aux élections municipales, la légalisation du mariage homosexuel et l’adoption d’enfants par les couples homosexuels, qui prépare une politique d’agression de l’école libre et de destruction aggravée du respect de la vie humaine, qui annonce un projet irresponsable et démagogique de gaspillages publics et se prépare à imposer un programme de répression fiscale et de matraquage financier des Français.

 

Carl Lang et Le Parti de la France ne seront pas complices du défilé de la victoire des drapeaux rouges et des poings levés.

 

Avec ces gens-là, demain sera encore pire qu’aujourd’hui.

 

Le 6 Mai, barrons leur la route !

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samedi, 28 avril 2012

Du « moindre mal, au « moins pire », en passant par le « pareil au même »…

ftyyy.jpgPar Jean-Claude Rolinat

Le peuple a parlé si tant est que le suffrage universel, le fameux « one man, one vote », soit l’horizon indépassable de la démocratie. Tout d’abord un mot sur les instituts de sondages et leurs résultats. Ils se sont magistralement plantés sur le nombre des abstentionnistes. Quant aux estimations de sorties d’urnes, elles ont été pour le moins fantaisistes, - sauf pour les tendances lourdes -, jusqu’à ce que les chiffres officiels figent  les scores des uns et des autres.

 

La presse dans son ensemble, use et abuse toujours de loupes grossissantes ou d’optiques déformantes. C’est ainsi que   si le vote « droite nationale » est en hausse par rapport à 2007 où Jean-Marie Le Pen avait fait une contre-performance, il est en baisse par rapport à 2002 où deux candidats qualifiés « d’extrême droite », Le Pen et Mégret, s’affrontaient tout en additionnant leurs suffrages : 16,86 % plus 2,34 %, soit  19,20 %, score supérieur aux 17,90  % recueillis par l’héritière de Saint-Cloud. (Même si le nombre des voix a augmenté, effet mécanique d’un plus grand nombre d’inscrits et donc de votants). Ensuite, le total des suffrages de droite au sens large du terme, -Sarkozy, Le Pen, Dupont-Aignan -, est supérieur à celui de toutes les gauches réunies,  les électeurs de Bayrou étant à retrancher des deux « camps ». Quant à l’étrange Cheminade, ses 89 572 voix iront sans doute vers la planète Mars…

 

Ceci étant dit, et ce n’est pas le moindre des paradoxes, Hollande est donné gagnant pour l’instant au deuxième tour. C’est sans doute l’un des objectifs de la Présidente du Front National qui croit naïvement  qu’avec sa politique de dédiabolisation, une UMP éclatée tomberait dans son escarcelle. Mais  pour réaliser ce scénario, il nous faudrait de ce côté-ci des Alpes, un Berlusconi, quoique l’on puisse penser du personnage, qui n’hésita pas, lui, à faire l’union des droites   italiennes avec la Ligue du Nord, Forza Italia et un ersatz de MSI sous la conduite d’un Gianfranco Fini « repenti ». (Mais, hélas, pour quels résultats ?) En France, je ne vois pas un Copé dont les dents râpent le parquet ni un Fillon au look de croque-mort, se lancer dans une telle démarche. Une fois que l’on a dit cela, reste l’attitude à avoir le 6 mai prochain. Comme dimanche dernier, les nationalistes, nationaux et autres identitaires se disperseront : les uns choisissant d’aller à la pêche, les autres glissant un bulletin blanc ou nul ou encore votant pour l’un des deux candidats restés en piste.

 

Pour moi, l’idée que le prétendant socialiste, terne comme un employé de banque proche de la retraite,  puisse accéder à l’Elysée, m’est totalement insupportable. Etre obligé d’accrocher son portrait dans ma mairie et de siéger au conseil municipal sous son regard  de taupe me donneraient, déjà des boutons (forcément roses…) ! Et s’il n’y avait que lui, mais il faudra supporter le retour des Guigou, Lang, Moscovici, Fabius et autres éléphants échappés de la ménagerie PS ! Imaginez une Effa Choly ministre de la justice ou Cécile Duflot secrétaire d’état à l’environnement : au secours ! Un Président de Conseil général qui a mis son département en faillite en dilapidant, par exemple, en gadgets pour collégiens l’argent public, est-il qualifié pour serrer les boulons de la Maison France ?

 

Je sais, je sais, j’entends les murmures désapprobateurs qui montent de nos rangs rien qu’à l’idée qu’il faille reconduire  l’ancien maire de Neuilly à la tête de l’Etat, un baratineur de foire qui  vendrait un réfrigérateur  à un esquimau. Mais comme l’écrit justement Bernard Antony de l’Institut du Pays Libre, il y a  « le moindre pire » que je qualifierai de « moindre mal ».  Si Hollande était élu, ce qu’à Dieu ne plaise, il y a gros à parier que le temps des persécutions, inéluctablement, sous la pression de ses alliés, reviendrait pour notre camp. C’est une grave illusion que de croire que la crise ou l’effondrement du système nous profiteraient. Convaincu, par mille « détails » comme dirait l’autre, que Hollande ou Sarkozy ce n’est pas du « pareil au même », que la « politique du pire est la pire  des politiques », c’est en me bouchant les narines et en fermant les yeux, que je glisserai dans l’urne de mon bureau de vote un bulletin au nom du sortant. Il y a péril dans la demeure. Avec Hollande c’est garanti, l’immigration et ses collabos feront la loi et nous n’aurons que trois alternatives : raser les  murs, entrer en résistance ou nous exiler ! Avec Sarkozy le doute est encore permis.

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Sortie du nouveau livre de Patrick Gofman, sans doute fin connaisseur en la matière : Dictionnaire des Emmerdeuses...

9782733912010.gifPatrick Gofman publie son Dictionnaire des Emmerdeuses (Grancher éd., avril 2012). Cela mériterait un an de prison et 45 000 € d’amende…

Après vos livres “Bats ta femme”, et autres “Vengeances de femmes”, n’était-il pas temps de vous calmer un peu ?
Certes ! J’avais bien l’intention de changer de sujet… D’ailleurs il me reste sur les bras d’excellents romans noirs, inédits, “Dernier amour” ou “Une poupée gonflée”. Mais M. Grancher, prestigieux éditeur de Marine, a des arguments irrésistibles.

Je vois… Mais la loi antisexiste a ses arguments aussi ?
Rassurez-vous : le “Dictionnaire des Emmerdeuses” ne discrimine nullement les femmes, ces anges de bonté, mais chahute doucement quelques exceptions d’entre elles, un peu moins vivables et sympathiques.

Mais enfin, pour quoi faire ?
Pour se marrer, en hâte, avant d’être obligé de pleurer.

On se demande si vous n’êtes pas un peu snob, à prendre systématiquement le contre-pied des magnifiques avancées du droit des femmes, promu par tous les médias et toutes les autorités du monde industrialisé…
En ce cas, je suis en bonne compagnie. Celle d’Eric Zemmour, mais aussi d’Elisabeth Badinter ou encore d’Evelyne Sullerot, féministe repentie devenue marraine de SOS Papa. Sous couleur de droit des femmes, le Système s’attache à humilier les hommes, pour mieux les dominer, les exploiter. Je ne l’accepte pas.

Macho ?
Mais oui. Pourquoi pas ? Fierté, dignité, protection des femmes et des enfants. Le programme machiste est inégalable. La vaste majorité des femmes le pense comme moi.

“Dictionnaire des Emmerdeuses”, 320 pages, 16 €. ISBN : 978-2-7339-1201-0. Distribution : Hachette.

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vendredi, 27 avril 2012

Oser Sarkozy ou Hollande...

Randa 2011.jpgLa chronique

de Philippe Randa

 

L’entre-deux tours de l’élection présidentielle française de 2012 a au moins un point commun avec le premier : aucun sujet d’importance n’est évoqué, seulement celui dont tout un chacun mesurera la pertinence, à savoir conclure ou non pour l’UMP à l’avenir des alliances avec le Front national… Toute la gauche se mobilise comme à l’accoutumé pour hisser haut le vieil épouvantail du fascisme à combattre dont elle s’auto-persuade du retour depuis un demi-siècle… et les ténors de la droite parlementaire, unanime à rejeter la moindre entente avec les dirigeants frontistes, de confirmer, un peu façon méthode Coué, qu’ils ne feront jamais (ô grand jamais !) d’alliance avec ce parti tant honni de la bien-pensance citoyenne… tout en se demandant bien comment récupérer à leur avantage les électeurs de celui-ci, toujours aussi nombreux… Comme disait Jean Cocteau : « Le tact dans l’audace, c’est de savoir jusqu’où aller trop loin. »

 

Le plus hilarant, parce qu’il faut bien rire de tout et puisque c’est le propre de l’homme, est d’entendre les uns comme les autres se retrancher derrière leur haute conception de la « moralité » pour refuser toute légitimité républicaine à Marine Le Pen tout autant qu’aux autres dirigeants de son mouvement…

 

Une conception tout de même bien particulière pour une classe politique qui, pour une partie d’entre elle, s’apprêtait voilà un an à présenter sans la moindre vergogne Dominique Strauss-Kahn à la Fonction Suprême, ce qui aurait, on le sait maintenant, transformé le Palais de l’Élysée en Palais des mille et une nuits très chaudes… et pour l’autre partie d’entre elle, de compter parmi ses dirigeants et notamment le prétendant à sa propre succession présidentielle, des gens compromis dans des scandales financiers à répétition, pour les uns celui de la fortune Bettencourt, pour d’autres l’argent sale des ventes d’armes et son aboutissement sanglant dans l’attentat de Karachi qui coûta la vie à onze de nos compatriotes, le 8 mai 2002… On en passe pour les uns comme pour les autres sur tant et tant d’autres compromissions, prévarications, mensonges, captations, abus de biens publics et autres crapuleries qui éclaboussent toute la classe politique française aux Affaires depuis plus de quarante ans…

 

Que cette classe politique-là se targue d’être le parangon de la légitimité républicaine, de l’honnêteté citoyenne et la défenderesse de nos si chères libertés – si chères, d’ailleurs, qu’elles en deviennent de plus en plus hors de prix ! – est décidément cocasse.

 

Toutefois, et contrairement aux pronostics des instituts de sondage, les Français se sont assez massivement déplacés pour aller voter… et pour qualifier justement les deux prétendants de cette classe politique. Une fois de plus ! Alors, pourquoi attendre que tout change pour que rien ne change ?

 

Les supporters de messieurs Hollande ou Sarkozy qui, sincèrement, s’enthousiasment ou se désespérent à l’idée que l’un ou l’autre l’emporte dans une dizaine de jours, sont touchants. Oui, réellement ! Leurs certitudes les portent avec une telle audace que c’est à elle, paraît-il, qu’on ne manque jamais de les reconnaître…

10:38 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 26 avril 2012

Jean-Claude Rolinat était hier soir sur Radio Courtoisie pour parler de son dernier livre : SALAZAR LE REGRETTE...

Salazar flyer.jpg

A propos de ce livre, voici ce qu'en dit Le Journal du Chaos, la remarquable revue de presse hebdomadaire de Patrick Parment : cliquez ici

La littérature sur Antonio de Oliveira Salazar n’est pas abondante. Et le politiquement correct qui sert de baromètre à notre amnésique époque le classe dans la catégorie des dictateurs fascisants. Le grand mérite de Jean-Claude Rolinat est de nous démontrer le contraire dans cet ouvrage qui inaugure les éditions de la revue Synthèse nationale. Figure singulière dans le paysage européen de l’entre deux guerres puis de l’après guerre, puisqu’il gouverna le Portugal de 1933 à 1968, Salazar fit entrer son pays dans la modernité en plaçant l’homme au centre de ses préoccupations selon un modèle que nous pourrions définir comme une économie organique dont le corporatisme est la pierre angulaire. Jean-Claude Rolinat explore ainsi tous les aspects du « salazarisme » et nous rappelle qu’aujourd’hui encore il demeure une icône forte de l’inconscient collectif portugais.

Nous vous rappelons que si vous souhaitez recevoir Le Journal du Chaos (gratuitement), il vous suffit d'en faire la demande à : lesanars@orange.fr

Salazar le regretté... Editions Les Bouquins de Synthèse nationale, 164 pages, 18,00 € + 3,00 € de port.Chèque à l'ordre de Synthèse nationale, à retourner à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris.

Pour commander ce livre : cliquez ici

ou à la Librairie française cliquez là 

ou chez Francephi cliquez là

Et aussi dans les bonnes librairies...

12:32 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 13 mai, quel que soit le résultat de la Présidentielle, les forces nationalistes seront dans les rues de Paris :

Les rassemblements dans l'ordre :

A 9 h 00, rue Royale, rendez-vous des monarchistes d'Action française.

Le matin, les forces nationalistes

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L'après-midi, les forces nationales et catholiques :

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Participez en nombre à ces manifestations ! 

11:06 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nancy, mardi dernier : belle réussite de la conférence du Général Lajos Marton organisée par Synthèse nationale...

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La Lorraine recevait, à l’initiative de notre ami François Ferrier et dans le cadre des conférences de la revue Synthèse nationale, le Général Lajos Marton de la Garde Nationale Hongroise. C’est à Nancy qu’il avait donné rendez-vous, en ce mardi 24 avril 2012, aux jeunes étudiants des facultés ainsi qu’à tous ceux qui souhaitaient connaître l’élan patriotique qui renaît en Hongrie.

 

Une Nation libérée du communisme qui ne souhaite pas subir les dictats de Bruxelles ou siège un parlement prétendant faire disparaître l’identité et les spécificités de notre Europe millénaire.

 

Alors que la France est asservie de toutes parts, Lajos Marton, homme d’actions et de convictions (il fut non seulement un héros de l’insurrection de Budapest en 1956, mais aussi l’un des conjurés, au nom de la défense de l’Algérie française, de l’attentat du Petit Clamart en 1962 visant le Général De Gaulle), a montré aux Lorrains que la volonté d’un peuple à prendre son destin en mains l’emporte face à toutes les tyrannies.

 

Les forces patriotiques hongroises, à l’initiative des gouvernants qu’elles se sont choisies librement, prennent un nouveau départ. Histoire, Famille, Patrie, redonnent aux femmes et aux hommes de Hongrie la volonté irrésistible d’offrir à leurs enfants les chemins de l’honneur et de la fidélité tracée par leurs aïeux.

 

Face à la grisaille européiste et mondialiste, l’exemple hongrois montre combien il est possible de retrouver un nouveau destin national. Et cela sous la protection de Saint-Etienne patron des Hongrois.

 

A l’issue de cette superbe conférence, à laquelle assista un public nombreux et attentif,  le Général Lajos Marton dédicaça son dernier livre Ma vie pour la patrie (1). Un document référence pour le peuple de France qui va devoir décider de son avenir tout autant chargé d’histoire que nos amis hongrois.

 

Un grand Merci à Lajos, les Lorrains reconnaissants.

 

 

      (1) Ma vie pour la patrie, Edition Les amis du livre européen, 376 pages, 23 €. cliquez ici

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Présidentielle : panorama sur quelques perdants !

Par Yves Darchicourt

 

Qu'on le veuille ou non, l'Héritière a perdu et abandonne la scène à l'UMPS ! Dans une élection présidentielle il n'y a qu'un gagnant, tous les autres candidats sont des perdants; Marine Le Pen a loupé sont élection de 32,11 points et sa qualification au 2e tour de 9,29 points. Elle a fait mieux que son papa lors de l'élection de référence (2002) mais globalement moins bien que le total alors des scrores de la droite nationale (Le Pen + Mégret) ; en 10 ans, le FN a donc stagné et comme le faisait dire Jacques Brel à monsieur Dupneu le chef du contentieux, "qui n'avance pas recule". Ses courtisans peuvent encenser le score de leur idole, ce ne sont que fanfaronades, un peu à l'image de cet écuyer qui se félicitait d'avoir rompu trois lances au tournoi et à qui un vieux chevalier faisait remarquer qu'il aurait mieux valu qu'il mette à terre trois adversaires avec une seule lance.

 

A quoi vont servir ses résultats ? Sarközy va flatter les électeurs du Front Marinien dans le sens du poil en sachant fort bien que les promesses n'engagent que ceux à qui elles sont faites. On sait d'ores et déjà qu'il ne fera aucun accord pour les législatives, englué qu'il est dans les lobbies qui vont hurler au "front républicain" et reste à savoir si les votants Le Pen bis vont soutenir ses représentants locaux. Marine Le Pen ne garde que l'assurance d'engranger les subventions attachées au score global des législatives: ce qui n'est pas si mal, surtout pour pour ses permanents mais cela ne changera rien au devenir de notre pays.

 

Mélenchon avait la face encore moins avenante que d'habitude à l'annonce des résultats en plouf retentissant par rapport aux sondages qui portaient l'agité en 3e voire même parfois 2e position ! Il paraît qu'il va soutenir Hollande sans rien demander en échange...disons qu'il pensait si fort à quelques strapontins ministériels et à des circonscriptions gagnées d'avance que c'était un peu comme s'il avait exprimé son chantage à haute voix. Hollande devra évidemment composer avec l'énergumène qui a réussi le tour de force de sortir le moribond PC"F" des limbes où il croupissait en l'attente du Jugement Dernier pour les soutiens de l'idéologie la plus criminelle de l'Histoire de l'humanité.

 

Quant à la pauvre Eva Joly, elle est pratiquement KO debout. La représentante des écolos version bobo a amusé la galerie tout au long de la campagne mais au final s'est pris une raclée style Azincourt ou juin 40; la pauvrette n'a pas grand'chose à vendre et va probablement disparaître de la vie publique même si ses 2,50% sont toujours bons à prendre pour Flamby qui va revêtir l'armure du preux combattant de ce réchauffement climatique dont nous subissons les effets en ce mois d'avril glacial.

 

Il nous reste une dizaine de jours pour départager les deux représentants de l'UMPS : il y en a forcément un qui est pire que l'autre. Si l'on vote, ce sera forcément avec la fameuse pince à linge sur le nez ! En attendant, préparons nous aux combats futurs loin des compromis et du politiquement correct, aux antipodes de l'UMPS et de ses laquais, avec la droite nationale, radicale et identitaire.

10:28 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 24 avril 2012

Réédition des Cahiers d'histoire du fascisme de François Duprat : UN ENTRETIEN AVEC ALAIN RENAULT...

Histoire-Fascismes-e.jpgBeaucoup d’études ont été publiées sur le Fascisme, quel est l’intérêt de celles de François Duprat ?

 

Le terme de « fascisme » recouvre des réalités différentes. Duprat étudie des « fascismes » méconnus dans la perspective des combats d’aujourd’hui car il considère que « des leçons bien précises peuvent être tirés de l’histoire du mouvement nationaliste-révolutionnaire dans le monde ». Ses monographies portent donc moins sur l’idéologie, marquée par le temps et l’espace, de ces différentes formations que sur leur action, leurs rapports face à la « droite » et la « gauche », leur capacité à recruter et à mobiliser, les raisons de leurs échecs ou de leurs succès.

 

Mais le Fascisme ne se confond pas avec le nationalisme-révolutionnaire, étiquette revendiquée par Duprat ?

 

Non, et d’ailleurs seul un imbécile n’ayant d’ailleurs rien compris à l’essence du Fascisme, mènerait aujourd’hui et en France une action politique en s’en réclamant… Comme l’a écrit Duprat « le nationalisme doit être considéré aujourd’hui puisque nous sommes des relativistes et que nous croyons à l’obligation pour les formulations idéologiques de s’adapter aux situations changeantes ». Mais, quelle que soit l’étiquette retenue, il n’en demeure pas moins que certains principes perdurent même si certains font du « fascisme » sans le savoir, voire en s’en défendant.

 

Les analyses de Duprat restent-elles actuelles, 34 ans après sa mort ?

 

En tous cas, sa méthode, son logiciel de pensée, sont d’une actualité permanente. J’ai d’ailleurs sélectionné ces monographies, et les enseignements pratiques que l’on peut en tirer, pour l’action de notre temps. Ma préface les inscrit dans le combat actuel et dans l’analyse politique plus générale de Duprat. Celui-ci semble avoir été très en avance dans sa prédiction des crises économique et identitaire qui commence seulement à apparaître.

Quelles leçons générales à tirer de l’ouvrage ?

 

Chacun peut en tirer des leçons individuelles par ses propres réflexions sachant que « la réflexion est ACTION si elle sait déboucher sur l’amélioration qualitative de l’action pure » en étudiant les erreurs qui mènent à l’échec et, plus positivement, les méthodes qui peuvent mener aux succès sachant que les conditions de ceux-ci ne les garantissent aucunement. « Si nous ne savons profiter des événements historiques en cours ce sera la preuve non pas que l’Histoire ne devait pas aller dans notre sens, mais que nous avons été, au moment voulu, incapables de profiter de notre chance. »

 

Histoire des Fascismes, de François Duprat, Préface, sélection, présentation et annexes par Alain Renault, éditions Déterna, Collection « Documents pour l’Histoire », dirigée par Philippe Randa, 310 pages, 29 euros.

 

Des mêmes auteurs, chez le même éditeur :

 

Les Fascismes américains – 1920-1944, de François Duprat et Alain Renault (328 pages, 31 euros) : Cette étude porte sur l’action de ces mouvements entre le début du XXe siècle et l’entrée des États-Unis dans la Deuxième Guerre mondiale : les précurseurs, la campagne antisémite de Ford, les « démagogues », produits de la crise de 1929, les mouvements purement fascistes de Shirts, le « Bund Germano-américain » et diverses organisations du même type, la lutte contre la guerre et la répression des « menées fascistes ».

 

Ordre Nouveau, préface d’Alain Renault (465 pages, 35 euros) : Son histoire, ses idées, son programme ont fait l’objet des deux ouvrages publiés successivement par le Mouvement, en juin 1972 et en juin 1973 dont l’intérêt suscite cette réédition.

 

Pour commander ces ouvrages cliquez ici

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lundi, 23 avril 2012

Revue de presse : les résultats du FN relativisés...

Le Nouvel Observateur cliquez ici

Le score obtenu par Marine Le Pen (17,9%) a sans doute été la surprise de ce premier tour. Elle est en effet 4 points plus haut que la moyenne des sondages du 20 avril. Preuve qu’il y avait bien un vote lepéniste masqué (peut-être planqué chez Mélenchon ?), que les redressements n’ont pas permis de dévoiler. Mais deux remarques s’imposent, qui nuancent fortement le constat. D’abord, à 18%, elle retrouve très exactement le niveau dont les enquêtes la créditaient jusqu’à la mi-février. Preuve que ce score n’était pas si imprévisible. Ensuite, si elle fait 7,5 points de plus que son père en 2007, elle ne fait qu’1 point de plus que lui en 2002, et même moins que le total Le Pen + Mégret cette année-là (19,2).

"Dédiabolisation" ou pas, la "vague Marine" est donc à relativiser : son score s’inscrit logiquement dans la tendance observée depuis la fin des années 80 : la montée lente et constante d’un néo-populisme xénophobe et anti-européen (phénomène qui s’observe d’ailleurs dans plusieurs pays voisins). 1988 : 14,38%. 1995 : 15%. 2002 : 16,86% (sans Mégret). 2012 : 17,9%. Si l’on met les choses en perspective, ce n’est pas le score de Marine ce dimanche qui constitue un accident, une anomalie. C’est celui de son père en 2007. Une anomalie dont les causes sont bien connues : cette année-là, un tiers des électeurs frontistes ont décidé d’"essayer" Sarkozy, l’homme de "l’identité nationale" et du "travailler plus pour gagner plus". Essai non concluant : une fois élu, le président les a reperdus aussi vite. Les enquêtes d’opinion ont montré que cet électorat, essentiellement populaire, avait lâché Sarkozy dès l’hiver 2007-2008. Et tous ses efforts pour le reconquérir – du discours de Grenoble à la polémique sur le halal, en passant par le débat sur l’identité nationale et la loi sur la burqa – ont été vains. Ces électeurs se sont sentis floués. Ils se sont vengés le 22 avril (et auparavant, rappelons-le, à toutes les élections intermédiaires). Sarkozy pourra-t-il les récupérer le 6 mai ? C’est son pari. Sa seule chance. Sinon il sera étrillé. Et son conseiller Patrick Buisson, inspirateur de la ligne droitière, finira dans les plumes et le goudron.

Lire aussi Le blog des Rivaroliens cliquez ici

16:59 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle : 21 avril 2002- 22 avril 2012 : La grande revanche du Parti Socialiste et la victoire de la bipolarisation Gauche-Droite...

h-20-1375110-1231154722.jpgUn communiqué de Carl lang,

Président du Parti de la France :

 

Les annonces et les attentes du grand bouleversement du système politique français à l’occasion de cette élection présidentielle ont fait long feu. Nous assistons à la qualification plus que facile des deux candidats des habituels partis de gouvernement. Avec 28,63% pour François Hollande et 27,07% pour Nicolas Sarkozy, ils n’ont été menacés par personne au premier tour et sont les seuls à passer la barre des 20%.

 

Pour les autres candidats, dix ans après 2002, nous constatons un quasi statu quo électoral.

 

En 2002, le parti communiste et l’extrême gauche recueillaient ; 3,37% pour Robert Hue, 5,72% pour Laguiller, 4,25% pour Besancenot, 0,47% pour Gluckstein , soit un total de 13,81% des voix. Aujourd’hui, Mélenchon (11,13%), Poutou (1,1%) et Arthaud(0,57%) obtiennent ensemble 12,80% des suffrages. Rien de nouveau sous le soleil malgré les démonstrations de force du front de gauche.

 

En 2002, Jean-Marie Le Pen (16,86%) et Bruno Mégret (2,34%) totalisaient au premier tour 19,2% des voix pour la vraie droite nationale. Aujourd’hui, Marine Le Pen, en situation de monopole recueille 18,01% des suffrages. Rien de nouveau sous le soleil malgré une exposition médiatique que n’avait jamais connue son père. Son ralliement au discours économique de gauche ne fera finalement que le jeu du parti socialiste au deuxième tour. Enfin, à 9 points derrière le candidat UMP et 10 points derrière le socialiste le mythe de l’accès garanti au deuxième tour par la baguette magique de la « dédiabolisation » s’est effondré.

 

Alors que la France et le monde traversent la plus grande crise financière et économique depuis 1929, les forces soi-disant alternatives aux partis dominants disposaient des conditions historiques pour réaliser le grand changement. Il ne s’est rien passé de nouveau ; Malgré un bon résultat électoral, l’échec politique est patent. La qualification de Sarkozy et de Hollande au deuxième tour n’a finalement été qu’une formalité.

 

Jacques Chirac président sortant en 2002 obtenait 19,88% au soir du premier tour ; Nicolas Sarkozy, président sortant d’un quinquennat de crise mondiale obtient 27,08%. Lionel Jospin, le candidat PS de 2002 obtenait 16,28% et était éliminé ; François Hollande recueille 28,63% des suffrages et arrive en tête.

 

Le succès de premier tour des deux partis dominants du système est donc total. C’est la revanche, 10 ans après, du parti socialiste et la victoire de la bipolarisation gauche-droite de la vie politique française.

 

Nous sommes donc à des années lumières du grand choc de 2002 qui, par la qualification au deuxième de Jean-Marie Le Pen avait ébranlé le régime de cohabitation.

 

Le Parti de la France fera part de sa position (cliquez ici) politique pour le deuxième tour dans les jours prochains, et, puisque tout reste à faire, se prépare activement au rendez-vous des élections législatives de juin.

15:56 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Présidentielle : première analyse...

images.jpgPar Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

membre du Bureau national de la

Nouvelle Droite Populaire

 

Les résultats de la présidentielle sont tombés.

 

François Hollande plastronne, comme prévu, en tête de cortège.

 

Nicolas Sarkozy, dont la campagne a essentiellement consisté à vouloir chasser plusieurs lièvres à la fois (l’un sur sa droite et l’autre au centre),  ne réussit pas à être en première position au premier tour mais n’est pas pour autant dans une situation désespérée.

 

Marine Le Pen, propulsée par un soutien médiatique sans précédent, augmente de près d’un point et demi le score de référence obtenu par son père en 2002 (il n’y a pas de quoi sauter au plafond…), sans réussir toutefois, et  loin s’en faut, à se qualifier pour le second tour comme elle le prétendait ardemment depuis le début de sa campagne. Il faut souligner que celle-ci, dans un premier temps axée sur une hypothétique dédiabolisation, piétinait dangereusement et que seul son retour sur les fondamentaux de la Droite nationale opéré subitement au cours des trois dernières semaines, comme ce fut d’ailleurs déjà le cas lors des régionales de 2010, lui a donné un nouvel élan lui permettant de faire son score.  

 

Quant au fanfaron Mélenchon, il ne fait guère plus que la somme du PC et des gauchistes lors des précédentes présidentielles, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Une fois de plus la presse, avide de sensations fortes, s’est emballée sur un leurre qui  n’en valait pas la peine.

 

Par charité, nous ne nous étendrons pas sur la débâcle du centriste béarnais. Elle confirme simplement qu’il n’y a vraiment aucune place pour ce centre mou qu’il entendait incarner dans le paysage politique qui se dessine.

 

Le second tour est une toute autre affaire. D’un côté nous avons une gauche dogmatique, pétrie de certitudes socialistes à la sauce marxiste, qui se rassemble derrière son candidat et qui,  très vite, imposera le droit de vote aux immigrés comme elle le préconise dans son programme ultra démagogique. Imaginez ce que sera la France avec à sa tête une bouillie de François Hollande, de Martine Aubry, d’Eva Joly et de Mélenchon… Et de l’autre côté un Nicolas Sarkozy qui, en 2002, avait promis monts et merveilles à son électorat de droite et qui, une fois élu, s’empressa de faire une politique d’ouverture à gauche. Souvenez-vous, il nous promettait le Karcher pour remettre de l'ordre dans les banlieues, et, finalement, il donna des ministères aux représentants auto-proclamés de celles-ci, style Fadela Amara… On trompe jamais deux fois les mêmes, Sarkozy le sait bien, et pourtant, il sait aussi  qu’il ne trouvera, une fois de plus, son éventuel salut que sur sa droite. Il va donc falloir qu’il fasse des concessions...

 

Et la Droite nationale, nationaliste et identitaire (PdF, NDP, MNR) rassemblée au sein de l’UDN, quel est son avenir dans cette nouvelle configuration ?

 

Plus que jamais, et quel que soit le résultat définitif de la présidentielle, nous devons être présents pour affirmer haut et fort la nécessité de se battre sur les thèmes fondamentaux du mouvement nationaliste, à savoir une lutte sans défaillance contre le mondialisme et une défense intransigeante de notre identité française et européenne face à la déferlante migratoire venue d’ailleurs et l’islamisation sournoise de l’Europe qui en découle. L’Union de la Droite Nationale (UDN) sera donc présente aux élections législatives de juin prochain afin d’amplifier le mouvement de redressement national qui se dessine. Pour éviter les dérives néfastes qui gangrènent notre famille politique, pour lutter contre l’islamisation, le mondialisme et pour rendre la France aux Français, une seule solution : le vote en faveur des candidats de l’Union de la Droite Nationale.  

13:43 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 13 mai, à 10 h 00, Place de la Madeleine : MANIFESTATION NATIONALISTE UNITAIRE CONTRE LE MONDIALISME !

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12:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |