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dimanche, 04 mars 2012

Samedi à Paris : grand succès pour Carl Lang et l'Union de la Droite Nationale...

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Source Site du PdF cliquez ici

 

Les patriotes et militants de la cause nationale étaient nombreux hier, réunis au forum de Grenelle afin de soutenir, d’encourager et écouter Carl Lang, président du Parti de la France et candidat de l’Union de la Droite Nationale à l’élection présidentielle.

 

Avant son allocution différents intervenants de la Droite nationale se sont succédés. Ainsi les participants ont pu entendre s’exprimer Roger Holeindre, ancien député, figure emblématique du combat patriotique qui a rappelé le devoir de vérité historique et la nécessité de continuer le combat national sur les vraies valeurs de la droite nationale. Valeurs qui ne sont plus portées par un mouvement politique dont il avait été l’un des membres fondateurs et l’un des dirigeants pendant 40 ans.

 

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Robert Spieler, ancien député et ancien conseiller régional d’Alsace, délégué national de la NDP, quant à lui a présenté les combats communs que nous allons mener avec les autres mouvements nationaux et patriotiques d’Europe afin de relever ensemble les grands défis de la dénatalité et de l’islamisation.

 

Yann Phélippeau, secrétaire général du MNR a rappelé la nécessité d’une France forte et d’une Europe protégée face aux grands bouleversements populaires et islamistes qui touchent l’Afrique du Nord, le Proche et le Moyen Orient.

 

Olivier Wyssa, conseiller régional Rhône-Alpes, a apporté comme élu son soutien politique et son parrainage à la candidature de Carl Lang qui est le seul aujourd’hui à défendre publiquement les valeurs non négociables du respect de la vie et de notre modèle chrétien de civilisation.

 

Fernand Le Rachinel, ancien député européen et conseiller général honoraire de la Manche, président du comité de soutien national à Carl Lang a rendu compte du travail considérable effectué depuis près d’un an afin de recueillir les parrainages nécessaires à la candidature de Carl Lang. Il a annoncé que nous avions déjà, à ce stade, recueilli des signatures dans beaucoup plus que dans les 30 départements minimum nécessaires et que le nombre de signatures officielles en notre possession était, le samedi 3 mars de 380. Il a appelé à la mobilisation de tous afin d’ici au 16 mars de franchir la barre des 500 parrainages.

 

A la suite de ces brillantes et enrichissantes interventions, Carl Lang a pris la parole.

 

Il a tenu à remercier en premier lieu les intervenants mais aussi les équipes de bénévoles qui ont participé à la réalisation et la bonne tenue de cette journée dont notamment les membres du SEP (Service Encadrement et Protection) dirigé par notre ami Jean-Pierre Dellac.

 

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Le discours de Carl Lang a été l’occasion de rappeler que cette campagne présidentielle se faisait dans l’unité, l’amitié et le bénévolat et ce, au service de convictions et d’engagement pour la cause française. En citant Monsieur de Charrette : « Combattus souvent, battus parfois, abattus jamais ! » il a insisté sur le fait que tout ne faisait que commencer et que la France et les Français avaient plus jamais besoin de nous. En effet, nous sommes les seuls à incarner la droite nationale, populaire, identitaire et européenne. Carl Lang a ensuite rappelé que pour cette campagne il avait fait le tour de France des régions afin de rencontrer les militants et sympathisants de la cause nationale et à organiser avec nos responsables locaux des conférences de presse et des réunions militantes. Au final et ce, depuis quelques mois se sont créés de nouvelles sections départementales, de nouveaux blogs du Pdf et de nombreuses adhésions nous sont parvenues au siège.

 

Tout cela a été fait sans quasiment aucun relais médiatique national et très peu régional. Carl Lang a insisté sur le fait que tout est fait pour nous interdire le droit à la parole. Cette campagne est réalisée sous le règne de la censure de fait et de l’exclusion. Le peuple n’est pas souverain, les médias sont souverains. Les maîtres de l’information sont les maîtres de l’opinion. Il a notamment dénoncé avec force la propagande rouge de Mélenchon qui pérore sans être contredit. Il a rappelé avec conviction que nous n’avons rien oublié, nous n’avons rien pardonné aux régimes assassins et aux compagnons de route complices des 100 millions de morts du communisme.

 

Sur le plan économique il a rappelé que c’est à l’Etat de se serrer la ceinture, pas aux Français. Il a présenté ses règles d'or pour une gestion patriotique de la crise et pour une reconquête économique et sociale. Il réitéré son refus de la persécution et répression fiscales, dénoncé le mythe de la redistribution (quand il n’y a plus rien à distribué) et constaté que les politiques de Poutou à Le Pen étaient toutes pareilles s’agissant de leurs discours étatiste et socialiste. Le gaucho lepénisme existe : c’est Marine Le Pen !

 

Carl Lang a ensuite développé le thème de notre identité française : communion naturelle, culturelle, historique et spirituelle entre le peuple français et la terre de France. La France de ses saints, de ses rois, de ses héros, de ses martyrs. La France de nos ancêtres celtes, francs, latins. Nous devons relever des défis de civilisation qui sont les défis du mondialisme destructeur des nations, du néo-communisme, de la colonisation de la France et de l’Europe et de l’islamisation révolutionnaire. Il a rappelé sur ce dernier point que la charia, le culte et la norme doctrinale, culturelle et sociale édictés par le Coran ne sont pas compatibles avec nos valeurs de civilisation humanistes et chrétiennes. Carl Lang a conclu son discours en proclamant haut et fort le slogan hier dénoncé et renié par d’autres : « La France aux Français ! »

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samedi, 03 mars 2012

DEFENSE DE L’OCCIDENT : HISTOIRE D’UNE REVUE NATIONALISTE…

SN 26 Déf de l'Ocdcident.jpgPar Francis Bergeron

Article publié dans Synthèse nationale

n°26 (janvier février 2012)

Nous commémorons cette année le soixantième anniversaire de la revue Défense de l’Occident, et le trentième anniversaire de sa disparition. C’est en 1952, en effet, qu’est paru le premier numéro de cette revue, qui fut animée pendant trente années par l’écrivain et critique Maurice Bardèche. Et c’est il y a trente ans, - très exactement en décembre 1982 -, que le même Maurice Bardèche, âgé alors de 75 ans, annonça la fin de sa revue.

Défense de l’Occident ne fut donc  qu’une comète à longue queue dans le ciel du nationalisme d’après-guerre. Néanmoins cette revue exerça une grosse influence sur plusieurs générations de lecteurs. Elle fut aussi un terrain où d’exercice de leur talent pour de nombreux jeunes journalistes. Et si l’on regarde l’offre rédactionnelle d’aujourd’hui, Synthèse nationale est sans doute la revue qui se situe au plus près de l’esprit D.O. (comme on disait), même si Bardèche, en mettant un point final à son aventure journalistique, avait estimé qu’il ne laissait pas vraiment de disciples ni de successeurs après lui.

A l’origine de D.O., nous trouvons le Mouvement Social Européen. Dans le contexte d’une Europe en train de se construire, et de l’annonce d’élections européennes (qui ne verront en fait le jour qu’à la fin des années 70), Maurice Bardèche participe à la construction d’une coordination européenne des partis et mouvements nationalistes et européens, sous le nom de Mouvement Populaire Européen, puis sous celui de Mouvement Social Européen. Bardèche, seul grand intellectuel « fasciste » vivant et en liberté, y représentait la France. Et à ce titre, il eut la responsabilité de créer cet organe de liaison nommé Défense de l’Occident. Inutile de rappeler à nos lecteurs que Bardèche était le beau-frère de Robert Brasillach, le poète assassiné par le pouvoir gaullo-communiste de l’époque, et qu’il ne rentra en politique qu’après la mort de Brasillach, comme pour essayer de le venger, ou tout au moins de sauvegarder sa mémoire et de justifier les engagements qui lui avaient valu la mort.

La naissance de D.O., en 1952, « fut sans éclat et passa à peu près complètement inaperçue » devait raconter quelques années plus tard, Jacques Poilot, l’un des co-fondateurs de la revue. « Un tirage très faible, conséquence de notre pauvreté, ne nous permettait d’envisager aucune diffusion commerciale ». Bulletin de 32 pages, D.O. se voulait l’organe du Mouvement Social Européen et développait les thèmes exposés lors des congrès successifs de Rome et de Malmö. Des congrès qui avaient été présentés par la grosse presse d’après-guerre comme la première résurgence de la « peste brune » vaincue sept ans auparavant.

A partir de 1953, le succès aidant, le tirage de Défense de l’Occident fut augmenté, sa pagination passa de trente-deux à quarante-huit, et une diffusion plus large fut tentée par le circuit des librairies et des kiosques.

Mais les moyens de la revue restaient limités, et sa salle de rédaction n’était autre que l’appartement familial des Bardèche-Brasillach, rue Rataud, dans le Ve arrondissement.

Les enfants Bardèche, quoique très jeunes, étaient mis à contribution : « On vit Jacques confectionner des bandes et Pierre-Philippe coller des timbres ; tous les espoirs nous étaient permis puisque la jeune génération était avec nous ! » (Jacques Poilot, D.O., décembre 1955).

Défense de l’Occident, après quelques années de publication en tant qu’organe du MSE, était devenue une revue politique et culturelle. Sa couverture, bleue à l’origine, avait pris une couleur orange soutenue, qui la faisait repérer facilement dans les rayons des marchands de journaux.

La revue comptait des collaborateurs plutôt bien informés des affaires algériennes, ces affaires qui devaient commencer le 1er novembre 1954, six mois après Dien Bien Phu, pour se terminer en 1963 avec l’attentat du Petit-Clamart, la mort du colonel Jean Bastien-Thiry et la fin de la courageuse aventure de l’OAS.

La position de Défense de l’Occident était assez particulière dans l’éventail des publications de la droite nationale. Comme Benoist-Méchin et quelques rares  autres, Bardèche avait établi un fructueux dialogue avec les nationalistes arabes. Alors que l’extrême droite française vouait au gémonies l’Egyptien Nasser, et apportait un soutien indéfectible au petit Etat d’Israël, perçu comme le David de la Bible face au Goliath du panarabisme, Bardèche, tout en participant à la défense de l’Algérie française, faisait bouger les lignes de la vision  géopolitique de son camp. Peut-être ce philo-arabisme était-il facilité par la complaisance des régimes arabes pour les « survivants de l’aventure hitlérienne ».

Lorsque De Gaulle revient aux affaires, dans le contexte de la crise algérienne, Défense de l’Occident – avec Lectures françaises, la revue d’Henry Coston -  est pratiquement le seul organe de presse un peu consistant à mettre en garde les droitistes. Et, dans la classe politique, seul ou presque, Isorni, à droite, manifeste son opposition. « De Gaulle ne sera pas le sauveur de l’Algérie française, mais son fossoyeur », prophétise, pour sa part, Bardèche.

« Tous nos amis revinrent très vite de leur illusion. Mais peu d’entre eux eurent le courage d’en tirer la leçon politique : quand on est faible, il faut être absolu, c’est le seul moyen de n’être pas ridicule. »

La première série de Défense de l’Occident comporte 64 numéros, et paraîtra de décembre 1952 à décembre 1959.

C’est donc d’abord une mince revue, organe d’une coordiation de divers partis et mouvements comme le MSI italien et la première mouture du NPD allemand. Les collaborations sont européennes, et Bardèche est le seul Français à s’exprimer dans ses colonnes.

Mais, dès la fin de 1953, une petite équipe de rédacteurs français se constitue, qui assurera la rédaction de la revue, après la rupture avec le MSE : on trouve en particulier maître Louis Guitard, Pierre Fontaine et  Pierre Hofstetter.

images.jpgLe n° 21 de la revue, en février 1955, est entièrement consacré à Robert Brasillach, à l’occasion du dixième anniversaire de sa disparition. L’année suivante, le succès électoral du poujadisme est analysé avec un autre numéro spécial sur ce phénomène politique. C’est à cette époque que Bernard George rejoint la revue. En janvier 1957, est publié un numéro spécial sur l’épuration, avec la participation de Jacques Isorni, Xavier Vallat, Bernard George et Maurice Bardèche, bien entendu.

L’écrivain Albert Paraz  envoie régulièrement des articles à la revue, et y évoque son ami Céline. Le numéro d’octobre 1957 publie d’ailleurs une lettre de Céline. En février 1958, la revue rend hommage à Drieu La Rochelle. Les collaborations de ce numéro sont prestigieuses : Marcel Jouhandeau, Robert Poulet, François Mauriac, Kléber Haedens, Emmanuel Berl, Willy de Spens, etc. Sous l’influence de Bernard George et de Paul Sérant, la revue a pris une orientation littéraire assez nette.

Mais Bardèche suspend un mois la parution de Défense de l’Occident, et annonce, en janvier 1960, le lancement d’une nouvelle série (n° 1 en janvier 1960, et n° 194 en novembre 1982).

Ce n° 1 aligne une équipe prestigieuse. La « une » porte les noms de Maurice Bardèche, bien entendu, Paul Sérant, Michel Braspart (pseudonyme de l’éditeur Roland Laudenbach), Bernard Vorge (pseudonyme de Bernard George), Henry Coston, Michel Mourre (futur auteur du fameux dictionnaire historique « Mourre »), Willy-Paul Romain, Lucien Rebatet. Nous sommes sans doute à l’apogée de la revue, en tout cas pour ce qui concerne la qualité littéraire.

Dans son éditorial, Bardèche explique qu’il veut faire de Défense de l’Occident une véritable revue culturelle, la sortir d’une approche trop étroitement politique, et l’ouvrir à des tendances « différentes des nôtres».

C’est à cette époque que la rue Rataud voit défiler Hergé (qui dédicace à tours de bras ses albums aux enfants Bardèche), Alice Cocéa, Paul Morand, Lucien Rebatet, Bernard de Fallois, Hélène Carrère d’Encausse, Jacques Isorni, Jean-LouisTixier-Vignancour, Marcel Aymé, très souvent, Pierre Gripari, Pierre Béarn, André Barret (le producteur des deux films Tintin et le mystère de la toison d’or et Tintin et les oranges bleues).

Le retour de De Gaulle aux affaires et le drame algérien vont rapidement repolitiser Défense de l’Occident. Quelques jeunes talents de la « génération OAS » ont rejoint la tribune de Bardèche : Fabrice Laroche, alias Alain de Benoist, Dominique Venner, Michel Mourlet, Eric Ollivier,  François d’Orcival, Pol Vandromme,  Jean Mabire, notamment. Ces journalistes ont entre vingt et trente ans, ils constituent une relève de qualité, mais qui sera éphémère, car leurs signatures, apparues au début des années 60, rejoindront progressivement d’autres organes de presse (Valeurs actuelles et Le Spectacle du monde, les revues de la Nouvelle Droite, Le Figaro magazine…).

Après mai 1968, François Duprat (pseudonymes : François Solchaga et François Massa) envahit à lui tout seul les colonnes du journal. La revue se transforme un peu en revue d’histoire du fascisme (Duprat finira d’ailleurs par créer une revue du même format et de même typographie que Défense de l’Occident, portant ce titre de Revue d’histoire du fascisme).

Enfin une troisième génération de rédacteurs fait une furtive apparition : la génération Ordre nouveau : François-Bernard Huygue, Alain Robert, Pascal Gauchon, Yves Van Ghele,  Alain Renault, Eric Vatré, Christian de Bongain, Georges Gondinet.  Quelques très bons numéros spéciaux sont publiés : La Croisade antibolchevique (trois numéros de 1974),  La Droite vue d’en face (1975).

Mais la revue perd peu à peu son unité. Cela se sent très nettement à la fin des années 70. Elle n’est plus qu’une juxtaposition d’articles de qualité variable. Bardèche y poursuit son monologue géopolitique, tandis que les autres rédacteurs délivrent quelques articles historiques ou culturels.

L’aventure se termine donc discrètement en décembre 1982. Bardèche explique simplement qu’il ne se sent plus l’énergie physique pour poursuivre cette œuvre, qui était en fait un combat solitaire. « Cette disparition n’est ni un évènement ni un symbole », explique-t-il. « J’ai entrepris cette revue par devoir, j’en ai poursuivi la publication par honnêteté, je la cesse sans amertume. Je ne crois pas que les idées que j’ai exprimées aient cessé d’être vraies ou d’être utiles. Je les crois aussi nécessaires qu’autrefois : mais elles sont utiles, elles n’ont d’avenir aujourd’hui que si ce sont des hommes jeunes qui les professent et les répandent. C’est à cette condition seulement que la moisson lèvera. »

Il me semble que dans la France du XXIe siècle cette moisson a levé, et qu’elle est grosse d’espérances.

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Francis Bergeron est l’auteur d’un Maurice Bardèche, Editions Pardès, février 2012, 124 pages, 100 illustrations et photos, 12 €.

 

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Aujourd'hui, samedi 3 mars, TOUS AVEC CARL LANG A PARIS !

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Dimanche soir, sur Méridien zéro...

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Méridien zéro RBN cliquez ici

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vendredi, 02 mars 2012

Vendredi, c'est le jour de Rivarol...

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00:57 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 01 mars 2012

Affaire Pulvar Montebourg Le Pen : les limites de la dédiabolisation...

NDP logo.jpgCommuniqué de presse de la Nouvelle Droite Populaire :

 

Audrey Pulvar et Arnaud Montebourg sont les symboles voyants d’un Système responsable de la situation économique et de la crise identitaire actuelle subie de plein fouet par les classes populaires françaises. Le chahut dont ils ont été victimes traduit le ras le bol des « petits blancs de banlieues » qui subissent au quotidien le racisme anti-français et des agressions physiques réelles et parfois mortelles qui ne font jamais la une des journaux.

 

La Nouvelle Droite Populaire ne peut en aucun cas cautionner, s’ils sont avérés, les propos et les actes rapportés. Cependant, l’attitude de Marine Le Pen qui tente désespérément de faire porter le chapeau de cette affaire montée en épingle par les médias aux authentiques forces nationales prouve son mépris pour son propre électorat et son allégeance au Système. Que nous sachions, ce ne sont ni à la Nouvelle Droite Populaire, ni à l’Union de la Droite Nationale, ni à l’œuvre française auxquels se référaient les protagonistes mais bel et bien au nom de Le Pen. On voit là les limites de la stratégie de dédiabolisation.

 

Lire aussi Le nouvel Obs cliquez là La Croix cliquez là

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Affaire Pulvar Montebourg Le Pen : un communiqué d'Yvan Benedetti...

YB-MLP.jpgUn communiqué d'Yvan Benedetti, Président de l'Oeuvre française :

Ce matin, sur l’antenne de RMC, j’ai été pris à partie par la présidente du Front National.

 

Sur l’air du « c’est pas moi, c’est Benedetti », la candidate à l’élection présidentielle fait preuve d’un manque total de courage politique. Ceci n’est pas pour nous étonner, puisque nous assistons depuis l’accession de Mme Le Pen à la tête du Front National, à une longue succession de reniements

 

Oui Mme Le Pen, je suis le représentant de tous ceux qui scandent la France aux Français, ces militants historiques du Front que vous avez exclus, livrés en pâture aux médias du système et sacrifiés sur l’autel de votre prétendue dédiabolisation, pour les remplacer par des ralliés de la dernière heure.

 

Oui Mme Le Pen, je suis un ardent partisan de la France aux Français, de tous ces Français de souche qui refusent d’être considérés comme des étrangers dans leur propre pays par un système corrompu parfaitement représenté par le couple Pulvar-Montebourg, emblématique de la compromission du journalisme avec le politique.

 

Si la fin peut quelquefois justifier les moyens, elle ne peut servir d’alibi aux reniements de nos principes fondamentaux, que ces reniements concernent le droit à l’avortement, le renoncement à l’exigence de l’inversion des flux migratoires ou la volonté de se faire adouber par les représentants d’un Etat étranger.

 

Chère Mme Le Pen, il est urgent de stopper cette calamiteuse politique de dédiabolisation avant que vous ne deveniez le capitaine du Costa Concordia de la Droite nationale.

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Revue de presse : Pierre Vial veut donner un successeur au GRECE

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Pierre Vial lors de la Journée de Synthèse nationale,

le 11 novembre dernier à Paris.

 

Source Préférence nationale

Julien Licourt Cliquez ici

 

L’ancien secrétaire général du Groupement de recherche et d’étude pour la civilisation européenne (GRECE) estime que l’extrême droite a besoin de son propre think thank.

 

Une structure comme le GRECE, destinée à créer et renouveler les idées pour la droite et l’extrême droite, manque à Pierre Vial. Il en fut secrétaire général pendant six ans (1978-1984) avant de le quitter, en désaccord avec Alain de Benoist sur la question de l’immigration.

Le GRECE, créé en 1968 et fer de lance de la Nouvelle droite, promu, entre autres, le concept d’ethno-différencialisme, d’anti-occidentalisme, d’une économie organique opposée au libéralisme, le néo-paganisme, dénonça l’égalitarisme, l’héritage judéo-chrétien pour mettre en avant celui des indo-européens. Si le GRECE existe encore officiellement et que sa revue de « vulgarisation », Éléments, est toujours éditée, il ressemble pour certains à une coquille vide, faute de congrès annuel.

Pierre Vial fait régulièrement référence aux travaux grécistes dans ses interventions publiques. Ainsi, lors de l’annonce de la plateforme électorale entre PdF, MNR et NDP, en juillet dernier, où il réaffirmait que la conquête culturelle était un préalable indispensable à la conquête politique. Même teneur lors de la journée de Synthèse nationale en novembre, où il rappelait l’importance de lire le communiste Antonio Gramsci, théoricien de cette dernière idée. Début février, dans une conférence consacrée à « l’évolution de la droite nationale», il expliquait avoir gardé « un excellent souvenir » du GRECE, qui a réalisé « un travail fondateur». Et de lancer l’idée d’une nouvelle structure, le « Cerf », pour « Centre d’étude, de recherche et de formation». Outre l’analogie des termes avec ceux du Groupement de recherche et d’étude pour la civilisation européenne, l’acronyme fait référence au néo-paganisme (Terre et peuple, association politico-culturelle menée par M. Vial, se fait la promotrice d’une conception folkiste de la société), le cerf étant l’animal symbole du dieu celtique Cernunnos, dieu de la fécondité.

Pierre Vial : Nous essayons de remettre en place une structure qui corresponde à ce besoin de laboratoire intellectuel et idéologique. Je crois que, dans les combats politiques que nous menons, [...] il faut un soubassement, en particulier pour nos jeunes militants, qui nous permette de leur apprendre les raisons du combat. [Lorsque l'on est] porté par une certaine conception du monde, une vision des choses, un certain sens à donner à la vie, même les difficultés passagères, les échecs, il y en a eu, il y en aura encore, cela fait partie de la vie, mais cela permet de se dire [qu'à] la base il y a du solide et que quoiqu’il arrive, ce solide, il restera.

La place à l’extrême droite pour les colloques ou clubs de réflexion n’est pourtant pas vacante. Du Club de l’horloge, à la fondation Polémia, en passant par les différentes assises organisées par les Identitaires (immigration, nationalité). Sans oublier le plus médiatique d’entre-eux, le Club Idées nation, émanation du FN qui se propose d’étayer le programme du parti, et dont chaque réunion publique est conclue par l’intervention de Marine Le Pen. Pierre Vial nous précise ce qu’il compte mettre en place : Il s’agit de répartir le travail, selon les compétences et les centres d’intérêt des personnes qui souhaitent participer (santé, défense, sécurité, culture, famille, Europe, etc). L’objectif proposé est de constituer un centre de documentation permettant d’élaborer des propositions destinées à être regroupées dans un document, du type plateforme politique. En somme, un programme de gouvernement, à soumettre ensuite à des responsables politiques pour qu’ils se prononcent sur ces propositions, pour ou contre, mais avec des arguments et justifications.

12:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante...

Photo 011.jpgChronique de Robert Spieler

publiée dans Rivarol

(n°3036 du 24 février 2012)

 

Marine Le Pen déclare qu’elle est obligée d’annuler des meetings et un déplacement aux Antilles faute de financement, les banques attendant qu’elle ait ses parrainages pour lui prêter de l’argent.

 

Les difficultés de Marine Le Pen

 

Où en est-elle dans la quête des signatures ? Sur RTL, elle a déclaré : « J’en ai 430, quelque chose comme ça. » Le « quelque chose comme ça » signifie en réalité qu’elle n’est pas à ce chiffre. Interrogée sur un plateau de télévision sur la réaction de Bruno Gollnisch qui vient de déclarer que l’implantation insuffisante du FN expliquait en partie ces difficultés, elle réagit avec une vive agressivité, déclarant : « Et lui, il en a apportées combien ? Hein ? » Bref, c’est l’affolement. En admettant même que le chiffre de 430 promesses soit vrai, cela signifie qu’elle dispose de 120 signatures fermes (ses élus) et 310 promesses qui, l’expérience de Carl Lang le prouve, se traduisent par une déperdition d’un tiers au moins. Elle ne disposerait donc que de 300 signatures potentiellement fermes. De quoi se faire du souci.

 

Marine Le Pen pensait que sa stratégie de dédiabolisation lui faciliterait considérablement la tâche. Il n’en est rien. Rencontrer l’ambassadeur d’Israël à l’ONU, déclarer lors de son discours de Lille qu’ « il n’y a pas de différence entre un Français immigré et un Français de souche », laisser Louis Aliot condamner les propos de Christian Vanneste, exclure des militants nationalistes n’a contribué qu’à affaiblir son mouvement et sa candidature.

 

Ceci dit, Marine Le Pen a raison quand elle dénonce l’incroyable duplicité du système qui, par la bouche du ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, explique qu’il fallait que toutes les sensibilités soient représentées à l’élection présidentielle. Très bien. Sauf que Juppé parlait du Sénégal, pas de la France…

 

Pas de tentation d’extrême droite chez les juifs

 

L’Ifop vient de réaliser un sondage qui analyse le vote des Français de confession juive. Ceux-ci apparaissent comme plus à droite que l’ensemble des électeurs et apparaissent comme le deuxième groupe le plus favorable à Nicolas Sarkozy, derrière les catholiques pratiquants. 40% se disent proches de l’UMP contre 26% pour le reste des Français. 40% se disent proches de la gauche, contre 48% des Français. Enfin, la sympathie pour le FN parait quasi inexistante. Dès lors, est-il pertinent de courtiser un électorat qui parait très résiduel ?

 

Le coût de l’immigration

 

Le 16 février, l’Institut de géopolitique des populations avait organisé un colloque sur le thème : « Peut-on raisonnablement calculer le coût de l’immigration ? » Un premier compte-rendu vient de paraître. On estime à 250.000, dont 50.000 clandestins, le nombre d’entrées annuelles en France. L’immigration par mariage, qui renforce l’implantation de l’islam en France est de 50.000 personnes. Les naturalisations, qui créent un peuplement de substitution, représentent 10.000 personnes par an.

 

L’analyse d’Yves-Marie Laulan, économiste et démographe, vise à calculer les coûts macro-économiques de l’immigration en termes de production, de consommation, d’investissement et de productivité. Il calcule aussi les coûts en termes de santé, de logement, d’éducation, de maintien de l’ordre, de la justice, ainsi que des diverses prestations sociales. Laulan conclut que l’immigration exerce un impact négatif très fort sur le déficit budgétaire, 85 milliards d’euros, et donc sur l’endettement de la France, 1646 milliards d’euros. Bref, l’immigration appauvrit la France et se trouve financée par l’endettement, un comble en période de crise.

 

Jean-Yves Le Gallou estime, quant à lui, que l’immigration annuelle supplémentaire coûte 18 milliards et Jean-Paul Gourevitch chiffre le coût de l’immigration clandestine à 5 milliards. Pire, cette immigration clandestine entraine le développement rapide d’une économie informelle au sein de l’économie française (travail au noir, drogue, prostitution, délinquance). Gourevitch nous prévient : au-delà d’un pourcentage de 30% ; c’est la fin de l’Etat organisé et c’est le plus court chemin vers le sous-développement économique. Voilà où ils nous ont menés…

 

Le Plan national d’action contre le racisme et l’antisémitisme

 

Les lecteurs de Rivarol seront heureux de l’apprendre. Le plan d’action, publié par le gouvernement traduit « son engagement résolu à combattre toutes les formes de discriminations en raison des origines. » Un délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme va être nommé. Il sera chargé d’animer cette politique au quotidien, en lien avec l’ensemble des acteurs concernés. Les noms des acteurs concernés ne sont pas précisés, mais on devine… Parmi les objectifs de ce Plan, « un renforcement de l’action répressive », « une meilleure prise en compte de ces questions dans les politiques sociales, éducatives, culturelles et sportives. » Bref, un bourrage de crâne renforcé… Autre bonne nouvelle : « Au collège, les nouveaux programmes d’histoire de la classe de troisième proposent aux élèves une réflexion sur l’évolution de l’immigration en France au XXème siècle, ce qui leur permet de comprendre que l’apport des populations étrangères a constitué une chance pour la France. » Consternant…

 

Un enfant de 7 ans accusé de racisme

 

C’est en Grande-Bretagne que cela se passe. La mère d’Elliot, âgé de sept ans, avait reçu un coup de fil de l’école élémentaire de Hull, concernant son petit garçon accusé de racisme envers un de ses petits camarades. Elliot lui avait demandé lors d’une récréation : « Tu es brun parce que tu viens d’Afrique ? » La famille de l’enfant brun a interprété cette question comme une insulte raciste et a décidé de porter plainte contre Elliott. Selon les responsables de l’établissement, les règles sont strictes : « C’est tolérance zéro pour les faits de racisme évident. » Conclusion : Elliott a été renvoyé de l’école.

 

Hitler aurait eu un fils avec une Française : du côté des mythomanes…

 

C’est cette histoire abracadabrantesque, pour reprendre la formule de Jacques Chirac, que l’on trouve sur le site LePoint.fr. Aucun historien sérieux n’y croit, pas davantage qu’à la légende des ascendances juives d’Hitler. Jean-Marie Loret se présente un jour chez François Gibault, avocat parisien bien connu, et lui déclare : « Maître, je suis le fils d’Hitler ! Dites-moi ce que je dois faire. » L’homme ne semble pas être un hurluberlu. Il raconte que sa mère, Charlotte Lobjoie, une jeune femme d’à peine 16 ans, a fait la connaissance d’Adolf Hitler à Fournes-en-Weppe, petite ville située à l’ouest de Lille, alors que celui-ci avait été envoyé à l’arrière, avec ses camarades, suite à de durs combats en Picardie, en 1917. L’année suivante, nait un fils… Quelques semaines avant de mourir, au début des années cinquante, Charlotte avoue à son fils l’identité de son père. Celui-ci, raconte le site, pourtant présumé à peu près sérieux, fait réaliser « une étude comparative psychographologique entre Adolf Hitler et lui-même ainsi qu’une comparaison graphologique des écritures des deux hommes ». On est en pleine fumisterie ! Et pourquoi pas une étude psychoastrologique ? Ces études ont (enfin, auraient) fait apparaître « un air de famille ».

 

Les mythomanes, doublés parfois d’escrocs, sont à vrai dire assez fascinants et souvent talentueux. On se souvient de cet escroc juif, Naundorff, qui se fit passer, avec un certain succès, pour le fils de Louis XVI, qui aurait réussi à s’échapper de la prison du Temple. Ou de la pseudo Anastasia, fille du tsar, qui aurait réussi à échapper aux balles de ceux qui massacrèrent la famille impériale russe. Ils réussirent à tromper même des proches membres des familles royale et impériale.

 

J’ai moi-même connu à Strasbourg, dans les années 1970, à Ordre Nouveau, un mythomane assez étonnant : le sosie d’Adolf Hitler. Il s’appelait Bernard R. et entretenait la ressemblance. Tout y était : la moustache, la mèche. Il prétendait avoir combattu dans la division Charlemagne. Il nous montra des preuves : des cartes postales du général Krukenberg, chef allemand de cette division, et qui était toujours vivant en ces années 70… En fait, Bernard R. avait rencontré un ancien de la Charlemagne qui lui avait donné les coordonnées du Général. Ce dernier ne se souvenait évidemment pas des noms de ses soldats, et répondait amicalement à ceux qui lui écrivaient…

 

La fin de l’histoire est amusante. Bernard R. fut repéré, alors qu’il était concierge au Théâtre National de Strasbourg, par Jérôme Savary, qui faisait une tournée avec son Grand Magic Circus. Ni une, ni deux, il le fait monter sur scène interpréter le personnage d’Hitler, vociférant ses discours, en play back. Et c’est ainsi qu’il devint acteur et joua notamment dans le film de Claude Lelouch, Toute une vie. Il joua aussi dans d’autres films que la pudeur interdit d’évoquer ici…Il eut droit à des pages dans des journaux à scandale en France et en Allemagne. Il y raconta, notamment, l’air pénétré : « C’était terrible. Bébé, je ressemblais déjà à Adolf Hitler … »

 

Fabius en Chine

 

L’ancien premier ministre Laurent Fabius a entrepris, à la demande de François Hollande, une tournée pour le représenter dans toute une série de pays. Il s’agit d’une mission « d’amitié, de respect et d’écoute. » Emouvant d’humanisme, sauf que les Chinois s’en contrefichent, de l’humanisme… Ca ne démarre pas très bien. Venu en Chine pour y rencontrer les plus hauts dirigeants, aucun n’a accepté de le recevoir. Tout juste a-t-il eu droit à rencontrer un vice-gouverneur de la banque centrale et des sous-fifres du Bureau de liaison du Parti communiste chinois. Du coup, le pauvre Fabius a annulé la conférence de presse prévue le soir, et pris l’avion dans l’après-midi, direction Tokyo, où il espère rencontrer le premier ministre.

 

Lellouche en Israël

 

C’est à Tel-Aviv et à Jérusalem que Pierre Lellouche, secrétaire d’Etat au commerce extérieur, est allé chercher des voix pour Sarkozy. La communauté franco-israélienne, des binationaux pour la plupart, y compte 120 000 à 150 000 ressortissants. Leur nombre augmente régulièrement, la France fournissant le plus grand nombre d’immigrants à Israël. Quand cette communauté vote, elle le fait majoritairement à droite. Pierre Lellouche a joué l’affectif et la fibre communautaire, rappelant que son père était juif et évoquant ses séjours au kibboutz dans les années 1970. Il a insisté sur la profonde sympathie de Sarkozy pour l’Etat hébreu, soulignant que le Président avait, dès son élection rompu « très clairement avec l’idée du peuple dominateur et sûr de lui » et insistant sur la part prise par la France dans les sanctions contre l’Iran et son programme nucléaire.

 

Trop drôle : les antifascistes attaqués par les immigrés

 

C’est à Berlin que cela se passe. Un groupuscule d’extrême gauche dispose d’un local en plein quartier occupé par une importante communauté kurde, où il organise des fêtes antifascistes. Il y a quelques jours, un groupe de 30 jeunes Kurdes  s’est invité avec des battes de baseball à la fête. La nuit suivante, deux musiciens qui devaient jouer dans le local étaient attaqués. Les attaques sont le fait d’une bande de racketeurs kurdes, qui se fait appeler ‘Street fighters’ et qui exigent des antifas une grosse somme d’argent pour les « protéger ». Pas de chance pour les antifas, le siège des kurdes, connus pour des violences graves et divers crimes est en face de leur local. Un observateur a déclaré : « Ils ne savent plus sur quel pied danser car ils ne sont attaqués ni par des ‘nazis’, ni par des ‘flics’, mais par des immigrants. Cela ne correspond pas à leurs idées sur le monde. » Sur la page d’accueil de leur site internet, il est écrit : « Puisqu’il ne s’agit ni de nazis ni de flics, nos méthodes habituelles ne sont pas applicables… » Un jeune ‘artiste’ qui vient de s’installer dans le quartier déclare quant à lui : « Ici, c’est la mafia turque et arabe qui fait la loi. » Le journal allemand Süddeutsche Zeitung commente sobrement : « La vision du monde de la gauche est chancelante. »

 

« L’Iran sera en mesure d’attaquer les Etats-Unis dans 3 ans »

 

Carrément. C’est le ministre israélien des Finances, Yuval Steinitz, qui vient ainsi ajouter son  grain de TNT à la mayonnaise, nouvel argument censé décider enfin les USA à faire ce qu’eux-mêmes, Israéliens, hésitent quand même à faire tous seuls.

 

Donc, idée : "L'Iran dépense des milliards de dollars afin de produire des missiles intercontinentaux balistiques et nucléaires dans le but de menacer l'Europe et les Etats-Unis". En bonne logique israélienne, les USA et l’Europe reconnaissants devraient séance tenante déclarer la guerre à un pays aussi belliqueux.

 

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09:05 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 29 février 2012

Hier à Blois : le combat identitaire de Carl Lang...

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Jean Verdon, Carl Lang, Jeanne Dumont

Source La Nouvelle République cliquez ici

 

Le tour de France de Carl Lang, candidat à l'élection présidentielle sous l'étiquette Union de la Droite nationale, est passé par Blois hier. Le créateur du Parti de la France à la suite de son divorce avec le Front national dont il a été le secrétaire général, a rencontré la presse avant une petite réunion publique en présence de Jeanne Dumont, déléguée pour le Loir-et-Cher et Jean Verdon, délégué régional.

 

« Je suis le seul candidat de la droite nationale et européenne » estime Carl Lang puisque « Marine Le Pen est de plus en plus à gauche et de moins en moins à droite et de moins en moins européenne et que Nicolas Sarkozy n'est jamais sorti du socialisme ». Pour évacuer ces « trente années de démagogie socialiste, cette politique de gaspillage publique, d'irresponsabilité budgétaire » Carl Lang propose une gestion patriotique de la crise en prévoyant quatre règles. Les investissements publics doivent avoir un impact direct sur l'économie et l'emploi, les aides sociales et familiales doivent être réservées aux Français et Européens, la mise en place d'un marché régulé basé sur la réciprocité des échanges commerciaux et la défense de l'identité française, des valeurs de civilisation de la France et de l'Europe. Et pour compléter cet argumentaire nationaliste, l'Islam pointé du doigt, bien entendu. « Face au néocolonialisme qui se fait au détriment des Européens, il faut rendre la France aux Français. Nous assistons à l'islamisation de notre pays. Le projet politique porté par l'Islam n'est pas compatible avec notre civilisation, avec notre identité, notre mode de vie, notre liberté. » Carl Lang, candidat aux 300 promesses de parrainages, a deux semaines et demi devant lui pour réunir les 500 signatures. « Mais je suis un vrai candidat, prévient-il. Pas comme Boutin ou Nihous qui font un petit tour avant de se retirer. » Et si jamais il ne pouvait pas se présenter ? « Pas de consignes de vote pour le premier tour et pour le second on verra. » Cela risque d'être dur de choisir entre un socialiste et un autre socialiste.

 

Pour les élections législatives, le Parti de la France présentera deux candidats, Jeanne Dumont à Vendôme et Paul Pelletier à Blois. J.-F. M.

16:48 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le MNR a son hebdo...

img_4f47b31b6f669.jpgDepuis quelques semaines, à l'initiative de Francis Boquillet, le MNR publie chaque semaine une lettre hebdomadaire que chacun peut recevoir gratuitement. Il suffit d'en faire la demande à  :
liste-diffusion-subscribe@m-n-r.fr

Avec ce média très informé, le MNR complète ainsi son trimestriel, Le Chêne, dirigé par Bernard Bres.

Pour consulter le dernier numéro : cliquez ici

10:51 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nasser, le voile et les Frères musulmans...

10:38 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Robert Ménard remet Claire Checcaglini à sa place...

10:30 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LES PROGRESSISTES...

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Par Anne Kling

La France LICRAtisée cliquez ici

 

J’ai eu la curiosité d’aller hier sur le site des « progressistes », à savoir le « pôle de renaissance communiste en France », ou encore « initiative communiste » (1), et j’y ai découvert une info qui m’a étonnée.

 

Sur le site, les « progressistes » s’étouffaient d’indignation à propos d’une initiative du Parlement européen visant à instaurer une journée de commémoration des crimes communistes. C’est vrai, ça. Des crimes ? Quels crimes ? Et ils proposaient une pétition pour combattre une idée aussi révoltante qu’incongrue.

 

Bon, ce n’est pas un scoop que je vous révèle là, toute cette affaire remonte à 2008. Le curieux, c’est que je n’en avais jamais entendu parler. J’ai pourtant entendu parler de bien d’autres journées de commémoration, de celles qu’il est impossible de rater car elles sont annoncées à coup de shofar matin, midi et soir. Mais de celle-là, jamais.

 

Comme vous êtes peut-être dans le même cas que moi, cela méritait d’aller y voir de plus près.

 

En effet, le 23 septembre 2008, le Parlement européen, dans un élan de courage tout à fait inédit, adoptait une Déclaration proclamant le 23 août, journée européenne de commémoration des victimes du stalinisme et du nazisme, « afin de conserver la mémoire des victimes des exterminations et déportations de masse, tout en enracinant plus solidement la démocratie et en renforçant la paix et la stabilité sur notre continent ».

 

Victimes du stalinisme et du nazisme, naturellement. Oui, parce qu’évidemment, le Parlement européen n’est pas allé jusqu’au bout de sa démarche. Pour contrebalancer une audace aussi flagrante, il fallait obligatoirement y associer les infâmes de service.

 

Et puis aussi, évoquer uniquement les victimes du stalinisme permettait d’évacuer discrètement sous le tapis tous les crimes qui avaient précédé l’arrivée au pouvoir du petit père des peuples. Crimes qui n’étaient pas le fait de Staline, mais de certains révolutionnaires que nous connaissons bien.

 

Parapluie supplémentaire : pour se garder de toute polémique, les eurodéputés avaient pris grand soin de rappeler le caractère unique de l'Holocauste. Car il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes.

 

Mais enfin, ne chipotons pas, un certain début d’idée y était quand même.

 

Pourquoi le 23 août ? Parce que c’était la date anniversaire du pacte Molotov-Ribbentrop, conclu le 23 août 1939 entre l'Union soviétique et l'Allemagne.

 

Manque de bol, le 23 août est également la date retenue par l’UNESCO pour commémorer le souvenir de la traite négrière et de son abolition. Fatal télescopage de repentances et commémorations.

 

J’ignore si c’est en raison de ce carambolage de date, ou pour toute autre mystérieuse raison, toujours est-il que je n’ai jamais entendu parler en France de cérémonies de commémoration dédiées aux victimes du communisme. Disparue, passée à la trappe, la décision européenne.

 

Les communistes français de tout poil et obédience ont hurlé comme un seul homme à la falsification de l’histoire et à la chasse aux sorcières. Ils avaient raison de gueuler, plus c’est gros mieux ça passe. Et dans ce domaine, ils en connaissent un rayon. Même Mélenchon, eurodéputé grassement rétribué comme ses petits copains, y était allé de son couplet scandalisé.

 

Le texte de la pétition est un petit bijou dans son genre, mêlant réécriture de l’histoire, amalgames, outrances et omissions en tous genres. Petits extraits choisis :

 

« L’hypocrisie de l’association [communistes/nazis] est une insulte aux communistes qui ont toujours été les résistants les plus déterminés au fascisme, avant, pendant et après l’occupation.

 

L’anticommunisme fut le cheval de Troie de l’hitlérisme, les falsificateurs, par des campagnes médiatiques déchaînées et répétées voudraient reporter les crimes d’extermination massive commis par les nazis sur le compte de ceux qui les combattaient. Nous sommes en présence d’une scandaleuse falsification historique.

 

Les auteurs du texte voté, le 23 septembre 2008, par le parlement européen, se moquent bien de l’histoire, ils veulent seulement amplifier leur campagne anticommuniste en utilisant le prétexte du Pacte de non-agression germano-soviétique, du 23 août 1939. Ils pratiquent ainsi un odieux amalgame entre le 3ème Reich et l’URSS.

 

Les eurodéputés français qui ont signé et voté le texte immonde du parlement européen et ceux qui pourraient le soumettre au parlement français rejoignent la légion anticommuniste de Daladier, Raynaud, Sérol qui porta le félon Pétain au pouvoir lors du coup d’Etat, du 10 juillet 1940, à Vichy.

 

À la vérité ces eurodéputés voudraient que le parlement français obtempère à leur scandaleuse démarche, mais rien ne l’y oblige en l’état.

 

Députés et Sénateurs du Parlement français, nous vous interpellons solennellement. Vous êtes élus pour représenter la souveraineté du peuple. Si elle venait en débat, rejetez cette proposition infâme d’ « une journée du 23 août », insultante pour la France.

 

Travailleurs, démocrates, républicains et patriotes, signez et faites signer notre appel au parlement. Constituez partout des coordinations locale et/ou départementale de la flamme de la Résistance pour défendre la mémoire de nos héros et des martyrs. »

 

J’ai assez l’impression que ces grands démocrates ont su se faire entendre à haut niveau. Pour ceux qui l’ignoreraient encore, l’influence et l’idéologie communistes restent hélas massives en France.

 

Idéologie et influence financées de surcroît par le contribuable : vous serez étonnés d’apprendre que le parti communiste est le 3e parti le plus riche du pays après le PS et l’UMP. Son dernier financement public s’est monté à la bagatelle de 32 004 975 €.

 

Oui, plus de 32 millions versés par le contribuable pour entretenir cette idéologie perverse (2).

 

Aujourd’hui. En France. Avant de nous occuper de porter la guerre à l’étranger, nous ferions bien mieux de nettoyer nos propres écuries d’Augias.

 

(1) Initiative communiste cliquez ici

(2) Sans oublier tous les petits copains qui touchent cliquez là

00:38 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 28 février 2012

Jeudi soir, Jérôme Bourbon au Local...

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20:13 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Serge Ayoub au Journal de Troisième voie (février 2012)...

20:10 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Carl Lang : intervention au Libre journal du Parti de la France...


Libre Journal du Parti de la France - Émission... par Agence2Presse

02:14 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

RAPPEL : samedi prochain, à Paris...

Samedi 3 mars 2012, 14h30 - 18h00

GRANDE RÉUNION PUBLIQUE 
AVEC
 CARL LANG
Candidat de
l'Union de la Droite Nationale
à l'élection présidentielle.

Au Forum de Grenelle,
5 rue de la Croix Nivert - 75015 Paris
(métro Cambronne)

Avec les interventions de :

Yann Phélippeau
Secrétaire général adjoint du MNR,

Roger Holleindre,
Président du Cercle national des combattants,

Fernand Le Rachinel,
Président du Comité de soutien à Carl Lang,

Robert Spieler,
Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire.

Entrée 10,00 Euros

02:09 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Belgique : enfin une association pour les "cops" arc en ciel !

2445393146.jpgPar Yves Darchicourt

Il y a déjà quelques années que la France a la fierté d'avoir son "Flag" : une si nécessaire association de policiers et gendarmes gays, lesbiennes, bi et transgenres dont on peut régulièrement admirer le pitoresque char à la Gay Pride parisienne.

 

Honteusement en retard dans ce dommaine primordial de lutte contre les discriminations liées à l'orientation sexuelle, la Belgique vient de se doter de l'association "Rainbow Cops Belgium" qui, comme son homologue française, est membre du réseau "European Gay Police Association". Les "cops" arc en ciel du royaume seront ainsi représentés et défendus par une association destinée aussi à "éduquer" l'ensemble des représentants de l'ordre susceptibles d'avoir à gérer des situations en rapport avec la confrérie des LGBT et à faire comprendre à la population que la diversité de l'orientation sexuelle existe aussi dans la police et la gendarmerie.

 

Encore une belle réalisation soutenue par l'Union Européenne et dont l'intérêt n'échappera à personne en ces temps de crise économique mondiale. L'Europe progresse à pas de géants !

01:55 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ainsi parlait Europe-Action n°37...

ea-nc2b037.jpg“Mais nous ? Qu’avons-nous à conserver dans cette société ? Son idéologie ? Sa hiérarchie sociale ? Ses moeurs ? Ses idoles ? Nous voulons renverser tout cela. Alors ? il ne faut pas confondre ! Ce que nous avons à former ce n’est pas un parti conservateur mais un mouvement révolutionnaire”.

Dominique Venner, Europe-Action, janvier 1966, n°37.

“La Commune, comme le vieux Sud, furent écrasés dans le sang. Mais les ouvriers de Paris et les paysans de Louisiane luttaient pour la même liberté. Ils se battaient pour leur droit à la vie, contre la réaction et le métissage, ces deux aspects d’une même menace cosmopolite”.

Jean Mabire, Europe-Action, janvier 1966, n°37.

“La survie réelle, c’est-à-dire la continuité de notre substance biologique est la condition réelle de notre indépendance. Si l’Hexagone du XXe s. doit être un campement multi-racial, son indépendance ne nous fait ni chaud, ni froid. Même si un rectangle d’étoffe bleu-blanc-rouge y flotte le 14 juillet sur des grouillements colorés, un caravansérail n’est pas une patrie”

Gilles Fournier, Europe-Action, janvier 1966, n°37.

Source Terre et peuple Provence cliquez ici

Mardi, Carl Lang est à Blois...

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01:27 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi, Carl Lang sera à Montpellier...

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01:23 Publié dans Présidentielle 2012 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 27 février 2012

Samedi prochain, 3 mars, à Coloma (Belgique) : XIIe rencontre identitaire de Terre et peuple Wallonie

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14:27 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 26 février 2012

Sortir de la crise est possible … question de volonté

RobertoLavagna1.jpgEntretien avec l’ancien ministre argentin des Finances, Roberto Lavagna

L’ancien ministre de l’Economie argentin Roberto Lavagna, 69 ans, est le principal artisan du redressement de l’Argentine engluée dans une terrible crise économique il y a dix ans. Lorsqu’il prend ses fonctions, en avril 2002, le peso vient d’être dévalué de 70 %, le pays est en cessation de paiement, la dette privée s’élève à plus de 72 milliards d’euros, l’inflation annuelle flirte avec les 125%, le chômage explose, les petits épargnants sont ruinés et les troubles sociaux ont déjà fait plus de 30 morts dans le pays. Cet ancien ambassadeur auprès de l’Union européenne décide immédiatement de se passer de «l’aide» du Fonds monétaire international (FMI) et des marchés financiers.

 Quelles sont les similitudes entre la crise argentine de 2001-2002 et la crise grecque ?

Sur le plan économique, tout est semblable. L’Argentine avait établi une parité fixe entre le peso et le dollar, la Grèce est ficelée à l’euro, perdant ainsi le contrôle de sa monnaie. Un taux de change fixe, associant des pays à forte productivité et d’autres dont la compétitivité est beaucoup plus faible, ne peut qu’engendrer une crise. La Grèce est déjà dans sa quatrième année de récession, l’Argentine l’était aussi. Le déficit fiscal, le déficit des comptes courants, la chute vertigineuse du PIB, l’endettement, l’explosion du chômage… toutes les grandes données macroéconomiques sont similaires. En revanche, la situation sociale de la Grèce est bien meilleure qu’elle ne l’était en Argentine. Sur le plan institutionnel, l’Argentine était un pays isolé alors que la Grèce fait partie de l’ensemble économique le plus puissant du monde.

Comment avez-vous tiré l’Argentine du chaos ?

Dès mon entrée en fonction, en avril 2002, j’ai décidé de changer radicalement notre manière de penser la sortie de crise. Le mois suivant, j’étais à Washington pour rencontrer les dirigeants du FMI et leur expliquer que nos rapports allaient s’en ressentir. Depuis le début du marasme économique, en 1998, nous avions déjà eu deux programmes du Fonds pour un total de 51 milliards d’euros. Les deux avaient été des échecs retentissants et certaines voix s’élevaient pour demander une troisième tournée de quelque 17 milliards supplémentaires. Je n’ai pas voulu suivre cette voie et j’ai expliqué au Fonds que nous ne voulions plus de prêt et que nous sortirions seuls de la crise. La seule chose que j’ai demandée était un «roll over» [report, ndlr] partiel de toutes les échéances. Je me suis également engagé à payer les intérêts de la dette et une partie du capital. Mais pas tout et pas tout de suite.

Cette position était tout simplement impensable pour le FMI, car nous affichions notre volonté de fixer nous-même notre propre politique économique. J’ai dû leur expliquer trois fois de suite ma position avant qu’ils finissent par comprendre. A partir de là, nous avons arrêté de soutenir financièrement les banques alors que le FMI nous l’imposait, exigeant même que nous privatisions la Banque de la nation. Mais comme nous étions sortis du jeu, le Fonds n’avait plus de moyen de pression sur l’Argentine !

Vous avez donc œuvré contre le FMI et vos principaux créanciers ?

Les sorties de crise se font en dehors des chemins tracés par le FMI. Cette institution propose toujours le même type de contrat d’ajustement fiscal qui consiste à diminuer l’argent qu’on donne aux gens - les salaires, les pensions, les aides publiques, mais également les grands travaux publics qui génèrent de l’emploi - pour consacrer l’argent économisé à payer les créanciers. C’est absurde. Après quatre ans de crise, on ne peut pas continuer à prélever l’argent aux mêmes. Or, c’est exactement ce qu’on veut imposer à la Grèce ! Tout diminuer pour donner aux banques. Le FMI s’est transformé en une institution chargée de protéger les seuls intérêts financiers. Quand on est dans une situation désespérée, comme l’était l’Argentine en 2001, il faut savoir changer la donne.

Selon vous, les plans d’austérité et de rigueur ne sont pas nécessaires, mais c’est pourtant ce qu’on impose à la Grèce…

A tort, car l’argent prêté risque de ne jamais être remboursé et le déficit fiscal grec est plus élevé aujourd’hui qu’avant la première injection d’argent frais. Ce sont les mêmes éternelles erreurs. C’est le secteur financier qui impose sa manière de voir les choses au monde entier. On préfère sauver les banques plutôt que les gens qui ont des crédits immobiliers à rembourser. La première chose qu’on a faite, nous, c’est de rallonger les échéances pour les propriétaires endettés. Les fonctionnaires du FMI nous ont alors dit que nous violions les règles essentielles du capitalisme ! Ils oubliaient simplement que des gens ruinés ne consomment plus, ce qui obère une relance par la croissance. Au lieu de payer les banques, la Grèce devrait investir dans l’éducation, les sciences et la technologie, financer des infrastructures et récupérer ainsi une certaine productivité, ne serait-ce que dans les secteurs des services ou du tourisme.

Vous devez avoir beaucoup d’ennemis chez les banquiers…

Ils me détestent ! Ce qui ne les a pas empêchés, en 2005, de frapper à notre porte pour nous prêter de l’argent quarante-huit heures exactement après que nous avons terminé la restructuration de notre dette ! J’ai refusé ces offres intéressées en leur répondant que nous ne reviendrions pas sur le marché financier avant 2014, car nous n’en avions plus besoin. La dette sera alors de seulement 30% du PIB, la moitié des critères européens de Maastricht ! Je pense qu’un pays comme l’Argentine ne doit pas être tout le temps présent sur le marché financier. C’est un risque beaucoup trop grand d’augmenter à nouveau la dette. Le problème, c’est que ce sont les banquiers eux-mêmes qui estiment qu’il est positif pour l’image d’un pays d’emprunter à l’international. Il est clair que si je vendais des tomates, je trouverais très bien qu’on en mange ! Eux, ils vendent de l’argent.

Gérard Thomas à Buenos Aires pour Libération 2/02/2012

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samedi, 25 février 2012

Pour démanteler les bandes de voyous, expulsons les délinquants et criminels étrangers !

imagesCAD8NAUU.jpgUn communiqué de Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France :

Alors que selon une note de la sous-direction de l'information générale (SDIG, ex-renseignements généraux) de la Direction centrale de la sécurité publique, la « guerre des bandes » aurait fait en 2011 6 morts et 252 blessés, Claude Guéant, toujours à l'affût d'un effet de communication en cette période électorale, préconise la création d'une Mission interministérielle de lutte contre les bandes. On ne voit pas bien ce que ce nouveau « machin », chargé d'observer les bandes de voyous s'entretuer joyeusement pour le contrôle de trafics divers et de territoires, va bien pouvoir résoudre.

Ces bandes étant identifiées et composées, dans la quasi-totalité des cas, d'étrangers ou de « Français » d'origine étrangère, le Parti de la France propose, pour éradiquer efficacement ce fléau, que les forces de police et de gendarmerie procèdent à des arrestations massives de leurs membres, que la justice les condamnent lourdement pour leurs exactions et qu'à l'issue de leur peine ils soient expulsés définitivement du territoire français vers leur pays d'origine.

Rétablir la sécurité partout en France doit être une priorité absolue pour que les Français soient protégés où qu'ils résident et que notre pays et ses institutions soient de nouveau respectés. Ce n'est pas en multipliant les effets d'annonce en période électorale que l'on enraye l'insécurité croissante qui pollue la vie des Français, c'est en appliquant une politique volontaire, déterminée et réelle de tolérance zéro à l'égard des malfrats de toutes sortes.

22:52 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le Parti de la France accuse le FN de mentir aux ouvriers...

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À Sochaux hier, Christophe Devillers, responsable régional du Parti de la France, distribue des tracts pour dénoncer le double langage de Marine Le Pen face au monde ouvrier.

Il y a quelques semaines, la candidate du FN était venue à la rencontre des ouvriers, mais avait surtout croisé des journalistes. Un « tabac médiatique » qui reste au travers de la gorge de Christophe Devillers. Lui se bat pour l’autre candidat de la droite extrême : Carl Lang, du Parti de France. Les ouvriers ne sont pas nombreux à savoir qu’il est aussi dans la course pour l’Élysée (du moins, il l’espère car à ce jour, il a récolté 350 signatures sur les 500). L’urgence pour le Parti de France est donc de faire savoir qu’il ne partage pas les positions de Marine Le Pen et qu’il a son propre candidat.

« Nous devons dénoncer les positions nouvelles de Marine Le Pen qui n’ont rien à voir avec celles de son père et le discours de la droite nationale sur l’avortement, sur l’immigration… », martèle Christophe Devillers. « Marine Le Pen a un double langage, elle trompe le monde ouvrier ». Marine Le Pen, avocate du made in France ?

Candidat aux législatives

« Après enquête, il s’avère que les T-shirts de la campagne de 2007, dont il resterait des stocks importants, étaient fabriqués en Chine, tout comme ceux de la campagne de 2002. Pour la candidate autoproclamée du made in France, ça fait au minimum désordre. D’autant qu’on savait déjà que ses calicots de campagne sont fabriqués… À Nankin, en Chine ».

Christophe Devillers a été exclu du FN en 2004. « Il me considérait comme un électron libre. Le FN ne veut pas de barons de province. Ils veulent juste se servir des gens comme prête-nom. C’est la solution de facilité pour éviter tout travail d’implantation locale ».

Candidat aux dernières cantonales à Champagney, en Haute-Saône, il avait frôlé le 6 %. « C’est le fruit d’une implantation locale ».

Christophe Devillers sera candidat aux législatives dans la deuxième circonscription de Haute-Saône.

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Lundi 19 mars, un dîner débat avec Alain de Benoist aux Ronchons...

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vendredi, 24 février 2012

Carl Lang invité sur I Télé et du nouveau NH...

4f4790dfbd008CHRONIQUE_L_INVITE_DE_L_EDITION_PERMANENTE_120224_ITV_86398_image_H.jpgPour regarder cette émission avec le candidat de la Droite nationale : cliquez ici

Lire aussi le grand entretien de Carl Lang avec les responsables du site le nouveau NH cliquez ici

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Poutine sera réélu par le peuple russe pour le Bien de la Russie et de l’Europe !

poutine.jpgPar Marc Rousset

 

Monsieur André Glucksmann, obsédé par Vladimir  Poutine, le contre-modèle exemplaire de ses rêves politiquement corrects et  droit de l’hommistes, n’hésite pas à écrire dans une chronique du Figaro du vendredi  24 Février 2012 : « Poutine réussira-t-il la falsification administrative des élections présidentielles ? Devra-t-il fomenter une épidémie d’attentats attribués à d’imaginaires ennemis pour mieux réprimer les contestataires ensuite ? Ou pourquoi pas, lancera-t-il une expédition militaire, genre deuxième guerre de Géorgie, afin de s’imposer comme l’homme fort et insubmersible de la Russie ? » A noter que Monsieur Glucksmann n’est pas à une contre-vérité près car les faits et les enquêtes impartiales de l’Union Européenne  démontrent que c’est bel et bien la Géorgie du jeune, inconscient et fougueux Président Mikhaïl Saakachvili qui a commencé en Aout 2008  les hostilités militaires en Ossétie du Sud  et les a terminées dans une  totale déroute.

 

Or, le jeudi 23 Février 2012, devant une foule  réunie dans le stade moscovite de Loujkini et évaluée par les autorités à 130 000 personnes, Poutine a montré au monde que les mouvements d’opposition peinent à trouver leur second souffle. « Désormais, il n’y aura plus lieu de parler de la révolution orange car la rue nous appartient » a pu déclarer Vladimir Bourmatov, un député de Russie unie (1). Il est probable que Poutine sera réélu avec plus de 50% des voix et non plus des scores de 71% des voix comme en 2004, mais quoi d’anormal ? Les peuples européens de l’Ouest ont-ils été reconnaissants par leurs votes à  Winston Churchill, à Clemenceau, à De Gaulle ?

 

Poutine, l’obsession des Etats-Unis et des Occidentaux

 

L’Amérique veut déstabiliser et faire sauter  le verrou Poutine pour plusieurs raisons. La Russie  est  devenue une superpuissance pétrolière respectée, à défaut d’être crainte. Poutine a brisé les rêves de Mikhaïl Khodorkovski, patron de Youkos, et ceux  des Etats-Unis  qui voulaient mettre la main   sur les ressources énergétiques de la Russie.

 

Poutine veut également réarmer la Russie, immense pays  richissime ouvert aux quatre vents et deux fois plus grand que les Etats-Unis avec au grand maximum  130 millions de Russes en 2050 ! Poutine veut dépenser 590 milliards d’euros d’ici à dix ans pour se protéger de la menace militaire de l’OTAN et des Etats-UnIs. Selon le quotidien Rossiskaya Gazeta, le plan de modernisation militaire lancé il y a un an par Poutine comprendrait : construction de 400 missiles balistiques d’ici à 2022, 8 croiseurs sous-marins lance-missiles stratégiques, 20 sous-marins polyvalents, 50 navires de surface, 600 chasseurs de cinquième génération, mille hélicoptères, 2 300 chars modernes, 2 000 canons automoteurs, 28 régiments de systèmes de missile sol-air S400. Tout spécialiste des problèmes militaires sait en effet parfaitement que le système  américain de bouclier antimissile est dirigé contre la Russie, l’Iran n’étant qu’un prétexte !

 

Poutine n’a pas digéré non plus l’erreur de Dimitri Medvedev qui n’a pas  mis son véto au Conseil de Sécurité de l’ONU, d’où  la brèche éhontée dans laquelle s’est engouffrée l’Occident en bombardant la Libye et en intervenant avec des troupes au sol dans un conflit tribal interne, en lieu et place d’une zone d’exclusion aérienne, ce  qui n’est pas sans rappeler la mauvaise foi de l’expansion de l’OTAN à l’Est, contrairement aux promesses qui avaient été faites lors de la chute du Mur de Berlin  à Gorbatchev et  plus tard à Boris Eltsine !

 

Poutine s’oppose à l’intervention militaire occidentale en Syrie pour protéger  les exportations russes d’armement ainsi que la seule et unique base maritime pour la flotte russe en Méditerranée !

 

Poutine peut enfin se prévaloir d’un succès sur le plan économique à faire pâlir d’envie les Occidentaux. La croissance du PIB devrait frôler les 4,5% en 2011 et en 2012.Le taux de chômage est descendu à 6,3% ; la dette du pays est faible, inférieure à 10%du PIB. Les réserves de change sont d’environ 500 milliards de dollars. L’inflation est à la baisse, estimée à 6,5%, soit son plus faible niveau depuis 20ans.La Russie est déjà aujourd’hui la 10e économie du monde en PIB nominal et la 6e en termes de parité de pouvoir d’achat. La Russie devrait être la 4e économie de la planète en 2020.

 

Poutine propose un contre-modèle à  l’Europe décadente

 

Poutine a dores et déjà sauvé la Russie, mais il est d’autant plus dangereux qu’ il propose à l’Europe occidentale  un autre modèle que le droit de l’hommisme et l’incite à se libérer du protectorat militaire américain. Poutine a compris que le redressement, le rétablissement de la Russie passait par les valeurs traditionnelles, le patriotisme, l’Eglise orthodoxe, le sens de l’effort et du dépassement, constituant un magnifique contre-exemple pour les démocraties européennes décadentes et aveugles. Alors que les droits de l’hommistes souhaitent que la Russie s’adapte au modèle occidental, c’est bien au contraire, selon Vladimir Poutine, aux Européens de l’Ouest de retrouver leurs valeurs traditionnelles, de ne plus pratiquer la repentance. En ce sens, Poutine est le sauveur potentiel de l’Europe de l’Ouest !

 

Poutine est enfin dangereux car il est natif de Saint Petersburg, la ville symbole du rapprochement européen fondée par Pierre Le Grand ; il parle allemand, il  a travaillé pour le KGB à Dresde et a une vision continentale européenne historique que n’ont pas nos dirigeants atlantistes actuels ! C’est ainsi que devant le Bundestag, il a pu dire : « Si à une certaine époque, la réconciliation historique de la France et de l’Allemagne fut l’une des conditions de base de l’intégration ouest-européenne, aujourd’hui, c’est le partenariat entre la Russie, l’Allemagne et la France qui constitue le facteur positif majeur de la vie internationale et du dialogue européen.

 

Je suis profondément convaincu que la Grande Europe unie de l’Atlantique à l’Oural, et de fait jusqu’à l’ Océan Pacifique, dont l’existence repose sur les principes démocratiques universels, représente une chance exceptionnelle pour tous les peuples du continent, pour le peuple russe notamment…..Le peuple russe a toujours eu le sentiment de faire partie de la grande famille européenne, à laquelle le rattachent les mêmes valeurs culturelles, morales, spirituelles. »

 

(1) Le Figaro du vendredi 24 Février 2012, « Poutine poursuit  la bataille pour la Russie »

 

NDLR Jeudi 23 février : plus de 100 000 personnes ont assisté au meeting de Vladimir Poutine à Moscou :

 


Rassemblement électoral pro-Poutine à Moscou -...

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Cette semaine dans Rivarol : les Bouquins de Synthèse nationale sont à l'honneur...

SN 26 Salazar.jpgArticle publié dans Rivarol de cette semaine (cliquez là) sur le livre Salazar le regretté… de Jean-Claude Rolinat publié dans la collection Les Bouquins de Synthèse nationale :

 

Salazar le regretté… c’est ainsi que s’intitule le nouveau livre de Jean-Claude Rolinat consacré à Antonio de Oliveira Salazar (1889 – 1970). Ce titre peut sembler, à première vue, surprenant car force est d’admettre que le chef de l’Etat nouveau portugais (il gouverna le pays de 1926 à 1968) n’a pas souvent bonne presse chez nous en France.

 

Rolinat aurait pu intituler son livre Salazar le méconnu… car, mis à part une biographie que lui avait consacrée Jacques Ploncard d’Assac (Salazar, DMM, 1983) il y a une trentaine d’années, les Français ne connaissent pas grand-chose de cet homme qui a transformé, en 42 ans de règne, son pays en une nation moderne. Mais Salazar le regretté… c’est plus provocateur et cela incite plus à la curiosité… car Salazar mérite en effet d’être mieux connu. Grace à cette biographie du Doutor, c’est ainsi qu’on l’appelait de son vivant, les lecteurs découvriront sans doute un autre Salazar qui ne correspond pas, loin s’en faut, aux clichés véhiculés par les tenants de la pensée unique.

 

Et au-delà de la vie de cet homme, considéré de son vivant par ses partisans comme un « père pour la nation lusitanienne », c’est aussi toute l’histoire du Portugal, à travers le tumultueux XXe siècle, que nous raconte Jean-Claude Rolinat. Salazar offrit à son pays non seulement un redressement économique spectaculaire mais aussi 40 ans de paix en évitant soigneusement de rentrer dans le terrible conflit qui déchira l’Europe entre 1939 et 1945.

 

Certes le « régime de Salazar » était loin d’être parfait et son obsession à vouloir garder à tout prix un empire que certains trouvaient, au nom d’un certain « sens de l’histoire »,  anachronique et que d’autres convoitaient âprement, lui coûta fort cher. Cependant, l’une des caractéristiques essentielles qui s’applique à ce régime fut sans doute la probité... l’auteur ira même jusqu’à parler de « dictature de la probité » pour qualifier l’Etat nouveau salazariste.  Professeur d’Economie à la prestigieuse Université de Coimbra, le Président du Conseil portugais ne chercha jamais à s’enrichir, ni même à profiter de sa place pour assouvir une quelconque mégalomanie souvent propre à ceux qui dirigent, « démocratiquement » ou non, un pays. « On fait de la politique avec son cœur, on dirige avec sa tête… » se plaisait-il à dire. Salazar était avant tout un homme de bon sens qui dirigeait simplement. Nous sommes loin des dépenses fastueuses et des politiques irresponsables qui caractérisent aujourd’hui les démocraties mondialistes en faillite comme la démocratie portugaise tant vantée, il a peu de temps encore, par toute l’intelligentsia progressiste de la Terre…

 

C’est peut-être pour ces raisons que, plus de 40 ans après sa mort survenue en 1970, dans une étude réalisée par la BBC pour la RTP (entendez Radio-Télévision portugaise), 41% des Portugais (sur un échantillon de plus de 10 000 personnes) affirment qu’Antonio de Oliveira Salazar fut la plus grande personnalité de toute l’histoire du pays… et cela devant le navigateur Vasco de Gama ! Décidément, la « Révolution des oeillets » de sinistre mémoire est bien loin.

 

Les choses méritaient donc d’être remises en place Voilà pourquoi Jean-Claude Rolinat a finalement bien eu raison d’intituler son livre Salazar, le regretté…

 

Salazar le regretté… Jean-Claude Rolinat, préfacé par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, et postfacé par Duarte Branquinho, directeur de O Diablo, l’hebdomadaire nationaliste portugais (le Rivarol lusitanien) Editions Les Bouquins de Synthèse nationale, 164 pages, 18,00 €

 

Pour commander ce livre : cliquez ici

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