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jeudi, 21 mars 2019

Jean-Claude Rolinat invité du Journal du Parti de la France

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Jean-Claude Rolinat La bombe africaine cliquez ici

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La livraison annuelle de "Nouvelle école"...

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L'émission "Synthèse" sur Radio Libertés avec Jean-François Touzé

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Dans Présent d'aujourd'hui, la chronique de Philippe Randa consacrée au nouveau livre de Gabriele Adinolfi

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Philippe Randa Présent cliquez ici 

Matteo Salvini fait beaucoup parler de lui en Italie – où, très charismatique dirigeant de « La Ligue » (ex- « Ligue du Nord »), il est vice-président du Conseil des Minstres et Ministre de l’intérieur depuis le 1er juin 2018 – et en deça des Alpes où Emmanuel Macron n’hésite pas à fustiger ses prises de positions inflexibles au sujet de l’immigration. Ce qui ne le contrarie pas plus que ça, d’ailleurs…

C’est pour mieux le faire connaître aux Français que son compatriote Gabriele Adinolfi consacre un petit livre fort instructif : Matteo Salvini ou l’itinéraire d’un parcours politique météorique aux éditions Synthèse nationale.

« Alors que, politiquement, il est né et s’est formé au sein de la Ligue du Nord – laquelle défendait à l’origine un programme fortement autonomiste, voire sécessionniste – Matteo Salvini a réusi à imposer au monde politique italien des positions, des thématiques, mais aussi un langage et des modes de communications extrêmement innovants », écrit dans sa préface le député européen Mario Borghezio.

Aujourd’hui homme politique le plus populaire de son pays, Matteo Salvini a réussit le tour de force de s’allier avec le mouvement 5 Étoiles pour accéder au gouvernement, ce que d’aucun ont jugés tout d’accord impossible avant de prédire un rapide échec à cette alliance… On ne sait effectivement ce qu’il en adviendra et Gabriele Adilnofi ne cache pas les nombreux sujets de désaccords qui existent entre des alliés pour le moins improbables, mais « le problème n’est pas de savoir s’il faut ou non placer ses espoirs en Matteo Salvini ou en d’autres (…) mais de se saisir de tout ce qu’il y a de positif dans ce potentiel pour agir en conséquences… »

Et c’est justement de ce « potentiel » dont il nous éclaire avec justesse, considérant que « Matteo Salvini a pris conscience de sa capacité à peser sinon sur l’Histoire, du moins sur la réalité »… Ce qui est déjà sacrément énorme, on en conviendra !

Matteo Salvini ou l’itinéraire d’un parcours politique météorique, Gabriele Adinolfi, 130 pages, 18 euros, à commander sur www.synthese-editions.com cliquez ici.

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Des appels au racisme meurtrier, ça existe en France macronienne !

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Bernard Plouvier

Pour un peu, on croirait qu’il s’agit d’un canular. Nenni ! Renseignement pris, l’information répercutée par l’excellent site Breizh-Info (soirée du 20 mars 2019) est hélas exacte : on ne réprime guère les appels au meurtre racial de masse – en mauvais français : au génocide – dans la France de Grand et Génial Président.

En septembre 2018, un demi-fou en mal de publicité, le rappeur nommé ou surnommé Nick Conrad, éructe sa vomissure (« chanson » et clip vidéo) : « Pendez les Blancs ». Ce 19 mars 2019, il est condamné à une amende AVEC SURSIS, sans la moindre peine de prison.

L’étrange individu, se disant « déçu » par la Justice, fait appel, invoquant « l’excuse artistique ». Force est donc d’analyser la licence poétique de ce nouveau Rimbaud.

« Je rentre dans les crèches, je tue des bébés blancs

Attrapez-les vite et pendez leurs parents

Écartelez-les pour passer le temps...

Que ça pue la mort, que ça pisse le sang...

Que ces fruits immondes procurent un spectacle fascinant

Blafards et marrants... »

On a écourté la citation de cet immortel chef d’œuvre qui fait douter du sens artistique et moral de ces rappeurs qui se croient tout permis en France Chiraco-Sarko-Hollando-macronienne. Et, après tout, ces immondes ont parfaitement raison, puisqu’un tribunal payé avec l’argent de nos impôts et de nos taxes vient de condamner « le poète » à une amende, symbolique puisqu’assortie du sursis !

Trois réflexions viennent immédiatement à l’esprit.

D’abord, réfléchissons quelques secondes au déluge d’indignations et à la condamnation qui ne manquerait pas de s’ensuivre si un cinglé blanc osait publier en les transposant à des « personnes de couleur » le dixième des insanités proférées par le fou furieux noir en mal de publicité.

Ensuite, on peut signaler au nouvel Homère noir de l’ordure raciste qu’il existe encore dans notre pays des Blancs qui sont prêts à se battre jusqu’à la mort pour défendre leur famille. Et qu’en outre, pour l’instant, noirs et maghrébins sont encore minoritaires.

Enfin, de façon plus générale, il importe de considérer qu’une société qui tolère, sans la réprimer férocement, un appel au meurtre de masse raciste se rapproche de sa mort. Tolérer ce qui est intolérable, ce n’est même pas de la faiblesse, mais un mélange puant de veulerie et de lâcheté.

Dans la France du général De Gaulle, qui n’était pourtant pas un homme d’État, une telle publication ordurière aurait abouti à une lourde condamnation : prison, dénaturalisation puis expulsion définitive hors du sol national du fou furieux raciste.

Dans la France macronienne, le raciste s’en tire avec une amende assortie du sursis et ose même faire appel ! C’est sûr, Macron çà n’est pas De Gaulle et les Français de notre triste époque ne sont sûrement pas de la même trempe que les hommes de 1914-18.   

09:21 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |