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vendredi, 18 mars 2022

Le journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Le pape François fera le 25 mars prochain la consécration de la Russie et l’Ukraine au Cœur Immaculé de Marie

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Jeanne Smits

Le Vatican a annoncé mardi l’intention du pape de consacrer explicitement la Russie et l’Ukraine au Cœur Immaculé de Marie : décision bouleversante, à vrai dire, tant il devient de jour en jour plus évident que la solution aux crises successives que notre pauvre monde traverse ne se trouve qu’auprès de Celle qui est « forte comme une armée en rangée en bataille », la sainte Mère de Dieu toujours vierge, à qui dès la chute de nos premiers parents fut donné le pouvoir – et la mission – d’écraser la tête du serpent. La cérémonie aura lieu le vendredi 25 mars, jour de l’Annonciation, lors d’une « célébration de pénitence » prévue à 17 heures en la Basilique Saint-Pierre.
 
Le même jour, le cardinal Krajewski, aumônier pontifical, accomplira le même acte à Fatima, « en tant qu’envoyé du pape », précisait Vatican News mardi.
 
Ainsi sera délibérément souligné le lien entre cette consécration explicite de « la Russie » en tant que telle, nommément désignée, et les demandes de la Sainte Vierge à Fatima. Et – sans que cela ne soit dit, sans doute – cette consécration spécifique de la Russie viendra confirmer que les différentes consécrations faites à ce jour ne remplissaient pas pleinement les demandes spécifiques de Notre Dame aux voyants de Fatima.

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Corruption : La famille Von der Leyen aux manettes de l’UE

Nicolas Ullens, ex-agent à la Sûreté de l’État belge qui a quitté ses fonctions pour dénoncer la corruption au sein de l’État belge, nous revient avec des informations concernant, cette fois-ci, la présidente de la commission européenne, Ursula von der Leyen. Cette dernière est soupçonnée d’être impliquée dans plusieurs affaires de « gros sous ». Malgré de nombreux articles dans la presse, sa légitimité au poste de président de la Commission européenne n’est nullement remise en question. Mais ne serait-ce pas justement parce qu’elle y a sa place ?

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Source : kairospresse

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Le gouvernement a dépensé 2,4 milliards d’€ en cabinets de conseil

 

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Le Sénat a publié son rapport sur l’influence des cabinets de conseil, intitulé Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques et annonce avoir transmis au procureur un dossier où il accuse McKinsey d’évasion fiscale.

Le rapport chiffre à 2,4 milliards d’€ de dépenses en cabinets de conseil depuis 2018. Le chiffre comprend du conseil informatique, de l’audit RH, des dépenses des opérateurs d’État…

L’augmentation est flagrante :

 

Le cabinet McKinsey a été payé 4 millions d’euros pour une réforme des APL qui n’a pas eu lieu.

Au cours de ses travaux, la commission d’enquête a souhaité vérifier les déclarations du directeur associé de McKinsey concernant la situation fiscale du cabinet en France. Dans le cadre de ces investigations, deux contrôles sur pièces et sur place ont été menés au ministère de l’Économie et des finances. Le cabinet McKinsey est bien assujetti à l’impôt sur les sociétés (IS) en France, mais ses versements s’établissent à zéro euro depuis au moins 10 ans, alors que son chiffre d’affaires sur le territoire national atteint 329 millions d’euros en 2020, dont environ 5 % dans le secteur public, et qu’il y emploie environ 600 salariés. Cette situation interroge d’autant plus que McKinsey est un acteur majeur du consulting, qui est intervenu sur des réflexions stratégiques pour notre pays, par exemple lors de la crise sanitaire (pour un montant estimé à 12,33 millions d’euros) ou lors de l’organisation pro bono du sommet Tech for Good pour la Présidence de la République en 2018 et 2019. Il semble qu’il s’agisse d’un exemple caricatural d’optimisation fiscale, comme l’attestent les documents consultés lors des contrôles sur pièces et sur place : les entités françaises de McKinsey – qui sont des « établissements stables » au sens fiscal – versent des « prix de transfert » à la société mère – basée au Delaware – pour compenser des dépenses mutualisées au sein du groupe : frais d’administration générale, usage de la marque, assistance interne au sein du réseau, mise à disposition de personnels, etc. Or, ces « prix de transfert » ne sont pas neutres pour le calcul de l’impôt sur les sociétés en France : ils constituent une charge pour les entreprises, qui conduit à minorer leur résultat fiscal et, par suite, le montant de leur imposition. En l’espèce, les « prix de transfert » que les entités françaises de McKinsey versent à la société américaine sont d’un montant tel qu’ils participent à rendre le résultat fiscal en France nul ou négatif, depuis au moins 10 ans.

Source : Le Salon Beige

13:42 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Il y a 44 ans : assassinat de François Duprat

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Alexandre Simonnot

Membre du Bureau politique du Parti de la France

N’oublions jamais notre camarade de combat François DUPRAT assassiné il y a aujourd’hui 44 années, le 18 mars 1978.

Frontiste de la première heure, grand et irremplaçable ami de Jean-Marie LE PEN, militant exemplaire, François DUPRAT était un brillant intellectuel, libre et éclairé, passionné d’histoire et de politique. Ecrivain hors-pair, travailleur infatigable, il possédait une véritable plume d’acier qui le fit collaborer à la plupart des rédactions des journaux de la Droite Nationale. Il ne cessera pas d’y dénoncer les risques que faisait peser l’immigration sur l’identité des peuples européens.

François DUPRAT était un amoureux de la Liberté d’expression, cette liberté qui lui a coûté la vie. Car c’est bien pour avoir osé écrire tant et tant de vérités interdites à exprimer qu’il a été éliminé.

François DUPRAT gênait, dérangeait, bousculait avec talent le politiquement correct, le terrorisme intellectuel et le prêt-à-penser. Il écrivait et proclamait tout haut ce que beaucoup pensait tout bas. Il n’avait peur de rien. Il est mort au devoir, au combat, sur la route qui le menait à une école pour accomplir simplement ce qu’il aimait par-dessus tout : enseigner la simple et pure vérité historique.

Plutôt que d’oser l’affronter sur le terrain des idées et du débat, les misérables lâches, anonymes et vagabonds, qui l’ont exécuté ont placé une bombe dans sa voiture...

Esprit ouvert, fidèle défenseur de notre identité, François DUPRAT aurait exécré la liberticide Loi GAYSSOT qui interdit en France toute véritable Liberté d’expression qui est pourtant un Droit fondamental de notre Pays.

Que François DUPRAT repose en paix auprès de tous ces grands intellectuels honnêtes et courageux qui ne faisaient que proclamer, à temps et à contre temps, la Vérité qui seule nous rendra libres.

Pour mieux connaître la vie et le combat de François Duprat :

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La France volcanique, sujet accessoire

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Yvan Rioufol

L’alerte de Jacues Chirac est restée fameuse : « Notre maison brûle et nous rgardons ailleurs ». Le chef de l’Etat s’exprimait au Sommet de la Terre, en 2002,à propos du réchauffement climatique. Depuis,
ce thème sert de prétexte, chez nos rois fainéants, pour évacuer les urgentes questions nationales. La France est volcanique, mais les « élites » n’ont d’yeux que pour l’Ukraine. La Corse s’enflamme, la nation se déglingue, des citoyens se vivent comme étrangers chez eux. Pourtant, Emmanuel Macron persiste à survoler ces péripéties vulgaires. Il y a une semaine, c’est à Versailles qu’il a voulu relancer, à l’occasion d’un sommet des vingt-sept pays de l’UE, son projet d’Europe souveraine. Cependant, ce lieu royal reste la malédiction des puissants quand ils y viennent pour se protéger
du peuple. Le Sommet a accouché d’une souris : l’Europe continuera à acheter le gaz et le pétrole russes qui financent la guerre de Poutine.

Où est passé le Macron du 4 octobre 2016 qui dénonçait, à Strasbourg, la « démocratie confisquée » et « un entre-soi de la vie politique » ? Le futur président promettait de réconcilier les Français avec la politique et de corriger « le sentiment de n’être pas justement représenté ». La société civile était appelée, disait-il, à devenir le nouvel acteur devant révolutionner un système ankylosé. Superbe ! Toutefois, à l’issue de son quinquennat, que voit-on ? Un monarque esseulé, capricieux, narcissique et bavard. Jamais la démocratie française n’a été tant maltraitée. Elle a été abîmée par le constant mépris présidentiel porté à « ceux qui ne sont rien » et à l’inquiétude populaire réduite à une « lèpre qui monte ». Les contre-pouvoirs se sont rangés, sous l’effet d’une solidarité de caste, à la volonté de l’habile hypnotiseur. Sa constance pour la construction d’une Europe supranationale a révélé son inefficacité.

La fabrique du consensus, appuyée par les sondeurs, estime acquise la victoire du président sortant. Parce qu’on ne change pas de monture au milieu du gué, la guerre entre la Russie et l’Ukraine imposerait une reconduite de Macron comme une évidence. Le chef de l’État est resté, en effet, un interlocuteur de Poutine. Il n’a su, pour autant, se tenir à une nécessaire neutralité diplomatique. Les négociations qui ont été relancées lundi entre les deux parties n’ont apparemment pas eu besoin de son intermédiaire. C’est à des interlocuteurs britanniques que Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, a admis mardi s’ouvrir à un compromis : « Il faut reconnaître que l’Ukraine ne pourra pas intégrer l’Otan. » Le drame que subit ce pays doit-il faire renoncer les Français à juger Macron sur son bilan ? Lundi soir, c’est un faux débat qui a réuni sur TF1 une partie des candidats, contraints à des monologues. Jeudi, le président a néanmoins tenu une conférence de presse.

Voici plus de deux ans que le discours officiel, repris par le panurgisme médiatique, répète : « Il n’y a pas d’alternative. » La politique sanitaire, centralisée et uniformisée, s’est imposée en terrorisant l’opinion sur une épidémie en réalité peu létale. Depuis, la guerre et son manichéisme ont remplacé le Covid dans les esprits. Une même pensée unique a repris place pour consolider une commode unité nationale autour du président. Macron doit être encouragé dans son rôle intérimaire de président  de l’UE. Il n’est pas obligé, pour autant, de se mettre régulièrement en scène sur les réseaux sociaux, en se présentant en combattant pas rasé, vêtu comme lundi d’un sweat-shirt des commandos parachutistes. La guerre des images est un artifice pour esquiver les contradicteurs. Le chef de l’État promet, s’il est réélu, le « débat permanent ». Mais c’est maintenant qu’il doit avoir lieu !

Autorité de façade

L’État feint une autorité qu’il n’a plus. Confronté à l’insurrection de la jeunesse corse, c’est par la capitulation que le gouvernement a choisi une nouvelle fois de répondre. Il avait déjà reculé devant les violences des zadistes de Notre-Dame-des-Landes, opposés à un aéroport approuvé par référendum local. Il avait reculé devant les « gilets jaunes ». Mercredi, le ministre de l’Intérieur  a annoncé être « prêt à aller jusqu’à l’autonomie » de l’île, en dépit de la république « une et indivisible ». En réalité, les émeutes de Bastia et d’Ajaccio, suscitées par l’agression d’Yvan Colonna par un islamiste dans sa prison d’Arles, sont les symptômes extrêmes d’une société oubliée, en rupture avec l’étouffant étatisme jacobin. Colonna a été concondamné pour l’assassinat du préfet de Corse, Claude Érignac, le 6 février 1998. Reste qu’un État qui se dit protecteur se doit d’assurer aussi la sécurité d’un détenu sous haute surveillance. Or Colonna a été étranglé le 2 mars (il est encore dans le coma) par un prisonnier djihadiste camerounais qui avait, lui, un statut d’auxiliaire d’entretien dans la prison. Cette mansuétude de l’administration pénitentiaire pour un fanatique de la guerre sainte est à l’image d’un pouvoir qui ne sait plus se garder de ses ennemis dès lors qu’ils sont issus de la diversité.

Le chaudron corse rappelle, avec ses revendications nationalistes et identitaires, le désintérêt des « élites » mondialistes pour les états d’âme existentiels. Le camp de la Raison croit pouvoir gérer la France avec des experts et des technocrates. Or ce n’est pas respecter les Français que de les déresponsabiliser en achetant leurs ressentiments. La première mesure annoncée par le candidat Macron a été la suppression de la redevance télé. Cette annonce a été suivie par une baisse de 15 centimes par litre d’essence, qui interviendra dix jours avant le premier tour. Mardi, le point d’indice des fonctionnaires a été débloqué afin de permettre des augmentations de salaires. Mercredi, une série d’aides aux entreprises a été promise. Le gouvernement a, en outre, levé en début de semaine l’obligation de porter le masque dans des lieux clos (sauf les transports). Le passe vaccinal a été « suspendu ». Une réforme des retraites abandonnant le contesté système à points a été annoncée. Le « plan de résilience » de Macron, avatar du « quoi qu’il en coûte », s’annonce comme le moyen de dépolitiser les débats grâce à l’argent magique, en jurant ne pas tomber dans l’électoralisme. Oui, les Français sont pris pour des sots.

France désarmée

Et ceci : le sénateur Christian Cambon (LR) a estimé, mardi, que l’armée française n’avait une autonomie de munitions que de quatre jours au maximum. La France est désarmée. Vite ! Regardons ailleurs...

Source : Le Figaro 18/3/2022

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