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samedi, 01 avril 2023

L'Histoire d'un village breton qui refuse la grand remplacement...

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Une biographie de Miguel Primo de Rivera, père de José Antonio, signée Michel Festivi

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Un dictateur éclairé pour régénérer l’Espagne : 1923-1930

Le Régime politique de Miguel Primo de Rivera a duré du 15 septembre 1923 au 28 janvier 1930 ; il est singulièrement méconnu en France. Beaucoup d’historiens qui publient sur l’Histoire de l’Espagne ou sur la Guerre Civile espagnole, ne lui ont consacré que de trop brèves pages, parfois caricaturales. Et pourtant, ce fut une expérience politique des plus originales qui permit à l’Espagne de redresser la barre après des années de fiascos politiques, économiques, extérieurs et des désordres grandissants.

Non seulement Miguel Primo de Rivera rétablit l’ordre public, mais il réussit enfin la pacification du protectorat espagnol au Maroc, alors qu’il n’était pas partisan de conserver cette possession. Il impulsa d’importants travaux publics, de nombreuses réformes économiques, et tenta un changement institutionnel qui ne put néanmoins parvenir à son terme. Trop souvent négligé, voire brocardé, ce Régime ne fut ni un pronunciamiento de plus, ni un fascisme, ce que le livre démontre. Miguel Primo de Rivera accordera également la nationalité espagnole aux juifs sépharades, l’auteur revient sur cette séquence historique qui permettra durant la Seconde Guerre mondiale, le sauvetage de plusieurs milliers de juifs.

En matière sociale, et grâce à des hommes compétents, le Régime mit en place un corporatisme particulier qui se comprenait dans le cadre d’un catholicisme social, pour entreprendre la synthèse entre le capitalisme et le socialisme, et tenter d’éradiquer la pauvreté. D’ailleurs, le PSOE et son syndicat l’UGT collaborèrent à ces institutions corporatistes qui multiplièrent les avancées sociales en faveur des classes laborieuses.

Ce livre fait partie de la trilogie de l’auteur sur l’histoire contemporaine de l’Espagne, après les trahisons des gauches espagnoles soit l’histoire de la Seconde République, et les violences anarchistes et des milices révolutionnaires dans l’Espagne ensanglantée. Il n’hésite pas, à pourfendre les vérités imposées par la doxa des gauches et l’université française sur l’Espagne de ces années-là et revient aussi sur la révolution armée des Asturies, la pitoyable gouvernance de Manuel Azaña, la mainmise de Staline sur l’Espagne du Front populaire et les nombreuses contre-vérités que l’on peut malheureusement lire ou entendre à foison.

Miguel Primo de Rivera, un dictateur éclairé pour régénérer l'Espagne 1923 1930, Michel Festivi, préface d'Arnaud Imatz, Dualpha, 344 pages, 35,00 € cliquez ici

12:17 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Danger imminent

Frédéric Michel * 

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L’homme est âgé, cheveux blancs, visage émacié, bouche grand ouverte. L’expression du regard souligne la violence du moment. Il est transporté manu militari par des policiers casqués. Le cliché illustre l’une des dernières manifestations en France contre la réforme des retraites. Il a suscité nombre de messages d’indignation. Et aussi, heureusement, quelques questions sur son authenticité. Car tout est « vraisemblablement » faux. 

C’est un fait : la preuve en images n’existe plus. Le doute est là. Tout le temps. Sur tous les sujets. Des plus graves (guerre en Ukraine, changement climatique, vaccination) aux plus insignifiants, ceux de notre quotidien. Mais pour un cliché repéré et dénoncé sur les réseaux sociaux, combien passeront sous les radars ? Combien viendront nourrir la bête de la désinformation, du complotisme et autres dérives constatées sur les réseaux sociaux ? Si le détournement d’une photo par le biais du numérique n’est pas nouveau, le phénomène explose. On parle ici d’intelligence artificielle (IA) générative, celle qui, à partir des informations qu’on lui donne, peut créer des images convaincantes pour appuyer n’importe quel discours. Avec une facilité déconcertante.

Et rien ne va vraiment s’arranger. Car avec l’IA (intelligence artificielle), tout va très vite, trop vite. Comment encadrer et réguler son développement ? Le temps long du législateur n’est pas le sien, mais on sent bien qu’il y a urgence. Lundi, c’est Europol qui avertit que les criminels sont prêts à en tirer parti pour commettre fraudes et cybercrimes. Mercredi, ce sont des centaines d’experts mondiaux qui signent un appel à « une pause de six mois » dans la recherche. Et ce vendredi, c’est l’Italie qui décide  de bloquer le robot conversationnel ChatGPT pour non-respect des données personnelles. Soulignant que ce service « expose les mineurs à des réponses absolument inadaptées ». Alors que le danger mériterait une règle de droit planétaire, ces initiatives éparses auront du mal à calmer les ardeurs des Gafa (Google, Amazon, Facebook, Apple), tous lancés dans une course effrénée pour dominer un marché qui va bouleverser l’économie mondiale.

(*) Frédéric Michel est rédacteur en chef au Parisien

Source : Parisien 1/4/2023

10:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journal du chaos

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09:41 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Des enclaves islamistes en France ? Allons donc, ne seriez-vous pas « islamophobe » ?

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Michel Festivi

On se rappelle la bonne ville de Lunel dans le haut-Hérault, qui avait vu une vingtaine de ses « habitants », partir faire le djihâd pour Daesch en Syrie au mitan des années 2010.

Selon une enquête que vient de publier le Figaro, le 30 mars 2023 : « le radicalisme islamique s’infiltre jusque dans les villages », dont Lunel justement.

Le Procureur de la République de Montpellier, le Préfet de l’Hérault, ont été saisis de faits de prosélytisme islamique avérés. Malgré l’interdiction de salles de cours dans une annexe de la mosquée par un arrêté municipal en novembre 2021, les forces de l’Ordre sur réquisition des autorités compétentes ont découvert que des endoctrinements islamistes persistaient sur des enfants, ce qui a été confirmé par une sous-commission départementale de sécurité.

Trois classes dédiées à l’apprentissage de la religion « et ce en toute illégalité » y perduraient.

Le Préfet vient de demander au Maire de : « procéder à la fermeture de toutes les salles d’enseignement coranique aménagées dans la structure. » L’aide aux devoirs s’était transformé en apprentissage de la haine.

Lunel serait-elle redevenue « Djihad City », comme le craignent les Lunellois qui aspiraient pourtant à tourner la page de cet islamisme échevelé. Car pour le Préfet : « il demeure à Lunel un foyer islamiste », et pour une fois, ce représentant de l’Etat dit clairement les choses et n’emploie pas la langue de bois si chère à son ministre de tutelle, monsieur Darmanin. Le Préfet annonce tout de go un : « régime d’apartheid genré à l’encontre des femmes ». Tiens, tiens, aurait-on lu à bon escient quelques sourates du coran place Beauvau ?

Le Représentant de l’Etat est sans équivoque : « l’accueil de mineurs dans certains lieux n’est pas anodin…. des associations délivrent un enseignement radical. Certains indices ne trompent pas. » On est satisfait que des hautes autorités s’en rendent enfin compte !

Des villes comme Gigean, Montagnac, ont vu aussi des associations islamistes être dissoutes, ou des salles de prières fermées pour avoir contrevenu à la loi sur la sécurité intérieure, à la lutte contre le terrorisme, rapporte le même article.

Sonia Backès Secrétaire d’Etat chargée de la Citoyenneté (j’avoue que son nom et sa fonction n’avaient totalement échappé), rappelle que 187 établissements ont été fermés provisoirement ou définitivement et que 8 millions d’Euros ont été redressés ou recouvrés. (Confer son entretien du 30 mars 2023 avec deux journalistes du Figaro) sous le titre dénué d’ambiguïté : « l’islam politique veut mettre la république à genoux ». Elle précise : « Notre adversaire est l’islam politique. Ce dernier n’a qu’un projet : l’établissement d’un régime théocratique ». Enfin une salutaire prise de conscience d’un phénomène qui se voyait comme le nez au milieu de la figure ?

Mais alors pourquoi agir si tard et si timidement ? Sonia Backès d’indiquer « nous avons des décennies de retard… on est passé d’une forme de déni… », car il fallait dit-elle « désinhiber l’administration », quel aveu explicite !

L’islamisme déjà avait gangréné et gangrène tous les rouages de l’Etat. Sur l’attitude islamo-gauchiste du maire de Grenoble, elle convient que : « on est là dans une communication d’une grande ville française qui reprend les poncifs de l’islam politique ». Que penser alors de la communication de nos autorités européennes, elles aussi totalement phagocytées par l’islam politique, et pourquoi notre Président ne monte-t-il pas au créneau à Bruxelles en dénonçant les campagnes de propagandes islamistes de Madame Von der Leyen ou de celles du Conseil de l’Europe ? La politique du « en même temps » sans doute ?

Car comme le relate avec justesse Laurence de Charette dans un éditorial du Figaro du 29 mars 2023 : « Séparatisme : La république est timorée ». Tous les islamo-gauchistes, les LFI, Nupes et autres entités de gauche ne voient dans la lutte salutaire contre l’islamisme ou l’islam politique que des manifestations de l’islamophobie, et ce pour récolter des voix. Ce vocable a été inventé justement par les tenants de l’islam politique, comme le sinistre Monsieur Plenel, ou encore en son temps par Tariq Ramadan, pour anesthésier les volontés de le contrecarrer.

Laurence de Charette l’exprime clairement : « Et tandis qu’à Sainte Soline, Rennes ou Paris sévissent, en marge des manifestations, des extrémistes qui ont trop souvent montré leur connivence intellectuelle et morale avec l’islamisme, on ne peut qu’espérer un véritable sursaut de clairvoyance et de fermeté ». Mais si notre Etat, notre gouvernement ne combattent pas fermement l’idéologie mortifère islamiste qui s’est emparée de nos institutions nationales et européennes, c’est voué à l’échec. Un sursaut vital est impératif.

Le combat est quotidien, tel celui d’élus de la droite tarnaise qui demandent au Préfet du Tarn l’interdiction d’un concert à Albi « du rappeur Médine » qui dans ses propos revendique le meurtre et l’assassinat « Crucifions les laïcards comme à Golgotha », « je hais les blancs… » etc… comme le rapporte Valeurs Actuelles le 30 mars. Imaginons un seul instant « un blanc » tenir les mêmes propos à l’égard de non-blancs ! Je rappelle que dans le coran, les sourates dites « médinoises » sont celles justement qui appellent au meurtre des mécréants, à la haine des juifs, des chrétiens et à l’infériorité consubstantielle des femmes.

01:17 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Incroyable fin de congrès : la CGT se tire une balle dans chaque pied...

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Bernard Germain

Je l’écrivais hier, la lutte entre les deux candidates à la succession de Philippe Martinez serait serrée, très serrée. Et ce fut le cas au-delà de l’imaginable.

La réunion de l’instance chargée d’élire le futur secrétaire général, commença à 23H00. 8H00 plus tard aucun nom n’avait obtenu une majorité. Il ne restait plus qu’une heure avant la reprise du congrès en séance plénière.

C’est alors que se produisit l’impensable, un 3e candidat sortit subitement du chapeau et ô miracle recueillit une majorité. Sophie Binet venait, à la surprise générale, d’être élue nouveau secrétaire général de la CGT. 

Comment cela a-t-il été possible ? Comme d’habitude, par la bêtise des uns et des autres.

Marie Buisson, la candidate soutenue par Philippe Martinez était jugée trop féministe et trop écologiste. Pendant des heures de multiples tractations eurent lieu pour trouver une majorité. En vain.

Du côté de sa concurrente, Céline Verzeletti souhaitant maintenir une CGT beaucoup moins en rupture avec son passé, une majorité était possible. À une condition : il fallait s’entendre avec l’aile la plus dure de la CGT incarnée par Olivier Mateu, le bouillonnant secrétaire général de l’Union départementale des Bouches du Rhône (Marseille).

Incapables de trouver un accord, les deux ont rendu impossible la constitution d’une majorité.  Et comme c’est souvent le cas, c’est un troisième larron qui, à la dernière minute, est venu tirer les marrons du feu. En l’occurrence une «larronne».

Et pas n’importe laquelle.

Ceux qui redoutait une rupture avec la CGT «historique» vont être servis. La personne qu’ils ont placée à la tête de la CGT est une gauchiste wokiste, féministe et écologiste. Pour une rupture, cela va être une sacrée rupture.

Afin de mesurer l’ampleur du désastre qui s’annonce pour cette organisation, il suffit de regarder cette petite vidéo tournée juste après la proclamation du résultat de l’élection du secrétaire général.

Il est intéressant de noter que la grande majorité de la salle est sidérée. On dirait que les délégués sont sonnés en découvrant ce qu’ils viennent d’élire comme secrétaire général. Ils ne tapent pas dans les mains, ne reprennent pas la chansonnette et sont très nombreux à rester assis sur leur chaise l’air dans le vague. Image frappante qui en dit bien plus qu’un long commentaire. 

Afin de préciser le profil de l’heureuse élue, il faut indiquer qu’elle est très liée à la féministe Caroline de Haas. Pour ceux qui l’auraient oublié, Caroline de Haas s’était rendu célèbre au moment des 1500 viols de Cologne le soir du réveillon 2015 – 2016, en répondant à ce sujet : « Allez déverser votre merde raciste ailleurs ». C’est la même de Haas qui, à propos des femmes importunées par des migrants dans le 18e arrondissement de Paris avait répondu : « Il faut élargir les trottoirs ».

Sophie Binet est également connue pour être co-auteur d’un livre « Féministe, la CGT ? Les femmes, leur travail et l’action syndicale ».

Au sein de la CGT elle était, avant le congrès de Clermont-Ferrand, en charge du secteur « Égalité Femme-Homme » et secrétaire général de l’Union des ingénieurs, cadres et techniciens, (Ugict), le syndicat des cadres de la CGT, depuis 2018.

Ajoutons qu’elle est aussi connue pour ses prises de positions écologistes, proches de celles de l’extrême gauche.

Avant de devenir permanente syndicale elle occupait un emploi de conseillère principale d’éducation (CPE) dans un Lycée à Marseille puis au Blanc-Mesnil dans le 93.

Étudiante, elle fut une dirigeante de l’UNEF, syndicat gauchiste à son l’époque, avant qu’il ne devienne carrément islamo-gauchiste aujourd’hui.

Georges Séguy et Henri Krasuki doivent se retourner dans leur tombe.

Du côté du gouvernement, ce sont des mines d’enterrement. Le Premier ministre, Elisabeth Borne, l’a félicitée pour son élection (ce qui est classique) ajoutant comme d’habitude la stupide affirmation : « c’est une chance pour les femmes bla bla bla ». Interrogés en « off », des ministres ne cachent pas leur inquiétude pour les futures négociations avec la CGT. Ils vont d’ailleurs être vite fixés puisque la 1ère négociation est prévue mercredi prochain, avec notamment comme thème les retraites.

Quant à la CGT proprement dite, et son avenir, c’est un énorme point d’interrogation. Comment les syndicats traditionnels et les piliers du syndicat vont-ils réagir à cette nomination ? Quelle politique va-t-elle conduire au sein de la confédération CGT ? Comment va-t-elle s’y prendre, par exemple, pour aller parler aux dockers en cas de conflit majeurs ?

Seule certitude: en élisant Sophie Binet à sa tête, la CGT a ouvert une période qui pourrait aisément se transformer en une crise d’identité dont on sait qu’elle vient de commencer mais pas où elle se terminera. Les mois à venir seront certainement cruciaux pour la CGT, son identité et son avenir.

00:55 Publié dans Bernard Germain | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |