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dimanche, 15 octobre 2023

Qui commande chez “nous” ? Les autres !

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Nicolas Zahar
 
La République est une passoire, pire un aspirateur à invasion migratoire de toutes sortes. Il est vrai que dès les premiers jours de la République certains excités de la Révolution proposaient la bienvenue à tous les “mahométans” Ottomans, pendant que d’autres commettaient des “populicides” partout en France, particulièrement en Vendée. Au nom de la Liberté peut être ?
 
Aujourd’hui, il n’est même plus question de savoir si nous sommes encore chez nous, il est question de savoir si nous sommes encore en sécurité dans ce qui reste de nos frontières ! Sommes-nous sereins de savoir nos enfants livrés à une Rééducation anti-nationale faisant la promotion des théories les plus douteuses, les plus malsaines, les plus anti-nationales, les plus haineuses à l’égard de nos anciens, au lieu de les instruire ? Pire nos enfants subissent-ils du harcèlement et risquent-ils même leur vie à l’École ? Oui ! Et avec le concours de ces associations subventionnées, financées par nos impôts, sans notre consentement, qui exigeaient que le terroriste Mohamed ne soit pas expulsé de chez nous; le gouvernement bien sûr s’exécuta, comme toujours, et nous connaissons la suite !
 
Qui commande chez nous ? En tout cas pas NOUS ! Nous savons aussi que nos merdias sont aux mains des mêmes, car ils sont partout. Et l’employé de banque mis en place à la tête de ce qui reste de notre État en est le liquidateur.
 
Bref ! Nous sommes déjà en guerre de basse intensité chez nous, non contre le Covid, mais contre des mafias, parfois allogènes, en tout cas anti-FRANCE. Et voilà que pour couronner le tout, on voudrait absolument nous mêler aux concerts hystériques et fratricides des conflits extérieurs israélo-palestinien et ukraïno-russe. Les mêmes merdias de grands chemins, et politiques à la botte, imposent chez nous de manière crétine, douteuse et finalement absolument contraire à nos intérêts, à une volonté sincère de paix, et même à une vérité finalement complexe, ces objets pour nous distraire de nos propres drames et pour nous diviser davantage au lieu de défendre la France et les Français !

À plus de 3 000 milliards d’€ de dettes, et avec une paupérisation qui s’étend, ce ne sont pas ces associations que nous devrions subventionner, et encore moins les conflits extérieurs, mais au contraire nous devrions nous concentrer sur une hausse de revenus des travailleurs français, nous soucier davantage de nos enfants et de nos parents. Au lieu de cela nous continuons à encourager une immigration de supposés travailleurs bon marché, en réalité inassimilables. Si nous avions un bon gouvernement, celui-ci veillerait au bonheur exclusif de son peuple et sa seine démographie plutôt que de s’obstiner à le remplacer.

Qui commande chez NOUS ? Toutes les forces anti-nationales !

PS : Je complète cet article en vous donnant la liste des associations et partis qui se sont opposés à l’expulsion de la famille du Tchétchène, en 2014.

16:59 Publié dans Nicolas Zahar | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Reprendre le contrôle des territoires perdus

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Mathieu Bock-Côté

Depuis une semaine, ils étaient nombreux à répéter, à la manière d’une prière réclamant la clémence des dieux, que les événements du Proche-Orient ne se répercutent pas en France. Mais c’était, ils le savaient aussi au fond d’eux-mêmes, une prière vaine. Car l’islam radical, celui qui a frappé Israël samedi dernier, est installé en France depuis longtemps, et l’a souvent frappé, et seuls les sots pouvaient s’imaginer qu’ils ne frapperaient plus jamais. L’appel lancé par Khaled Mechaal, l’ancien chef du Hamas, qui exigeait des musulmans du monde entier qu’ils fassent connaître leur colère, a été entendu, et le sera encore pour un bon moment, car on trouve en chaque pays des cellules dormantes et des individus « radicalisables » qui, tôt ou tard, entendront la voix de l’islam radical. Le monde occidental porte en lui une entité qui le rejette et veut l’anéantir.

Le terroriste présumé d’Arras, qui a égorgé un enseignant au cri d’« Allah akhbar », était un Tchétchène fiché S. La même question vient alors à l’esprit de chacun : que faisait-il en France ? Le questionnement peut se généraliser à la grandeur du monde occidental : par quelle perversion juridique et philosophique a-t-il cru nécessaire et moralement impérieux d’accueillir dans ses frontières des hommes résolus à la combattre, et plus largement des communautés qui le conspuaient, et qui transposaient sur son territoire ce qu’on a appelé le choc des civilisations ? On ne se trompera pas : il y a en la matière un continuum allant de l’agression symbolique jusqu’aux violences directes, et ceux qui, depuis samedi, ont manifesté non pas pour soutenir la quête nationale des Palestiniens, mais l’agression génocidaire du Hamas, sont complices indirectement de la frappe d’Arras.

Henry Kissinger l’a dit à la manière d’une confession cette semaine dans un entretien à Politico : « C’était une grave erreur de laisser entrer autant de personnes de culture, de religion et de concepts totalement différents, car cela crée un groupe de pression à l’intérieur de chaque pays qui fait cela. » Cette lucidité tardive, qui s’accompagne souvent d’une rhétorique du « si on avait su », s’accompagne d’un angle mort : il était parfaitement possible de savoir, et on pourrait accuser de négligence criminelle ceux qui ont rendu possible l’immigration massive dans nos contrées. Des intellectuels et des  écrivains, des hommes politiques et des philosophes ont tout fait pour alerter leurs contemporains sur les dangers de l’immigration massive. Ils expliquèrent que l’irénisme diversitaire est une folie, que les frontières sont civilisatrices, et qu’une société exagérément fragmentée est une « dissociété ». Ils furent traités comme des parias, alors qu’ils plaidaient, finalement, pour le respect du principe de précaution. Il suffisait de prononcer leur nom sans le vomir pour que les brigades de la vertu progressiste en appellent aux plus dures sanctions.

Quant à ceux qui, hier, semblaient incapables de prononcer le mot « terroriste » et qui, aujourd’hui, ne parviennent pas à prononcer celui d’« islamisme », il est difficile de ne pas les accuser de collaboration. Les plus cléments, les modérateurs
de profession, nous inviteront à parler d’aveuglement, comme on a pu le constater avec cet article lunaire dans La Voix du Nord, qui mettait en garde jeudi contre « l’extrême droite »
à l’école, qui menacerait les enseignants. On aimerait dire que cette hallucination se décomposera devant le choc de la réalité, car, en France, ce n’est pas au nom de Marine Le Pen ou d’Éric Zemmour qu’on égorge les enseignants, mais au nom d’Allah. On ne s’illusionnera toutefois pas : l’esprit public a vite renoué avec les interdits imposés par la gauche radicale après Charlie Hebdo, après le Bataclan et après Samuel Paty, et il n’y a pas  de raisons de croire qu’il en ira différemment aujourd’hui. Demain encore, on entendra le grand sermon du pas d’amalgame.

Les prochains jours comme les prochaines semaines nous vaudront un grand lot de déclarations martiales. Chacun sait en France qu’il porte au front une cible. On cherchera autant que possible à se rassurer en plaçant un jour un policier devant chaque lycée, sans se rendre compte que cette société infernale que l’on cherche à sécuriser par tous les moyens est le contraire de la civilisation retrouvée. On parlait il y a vingt ans des « territoires perdus de la République ». Cette formule a d’abord fait scandale, elle fut ensuite jugée banale, et on la juge désormais terriblement insuffisante. La vérité voudrait qu’on parle de territoires conquis par l’islamisme, où la société française est désormais étrangère chez elle et risque, lorsqu’elle enseigne, un coup de lame vengeur. La France est appelée à reprendre le contrôle de ces territoires. Ce défi se situe à l’échelle de l’Histoire.

Source : Le figaro 14/10/2023

07:32 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les sacrifices humains de la religion des droits-de-l’Étranger

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Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

(Propos recueillis par Guirec Sèvres) 

L’attaque du Hamas en Israël et les massacres qui y ont été perpétrés ont sidéré tous les observateurs ; vous aussi ?

Toutes les guerres ont leurs lots de massacres sauvages. Les Américains ont tenté de faire croire qu’ils pouvaient agir avec des « frappes chirurgicales » qui n’auraient atteint que des cibles désignées. Qui pouvait le croire ? Qui l’a cru ? Qui y croit encore ?

Il y a néanmoins des moyens plus ou moins « propres » de faire la guerre…

Ah bon ! Sans doute quand les champs de bataille étaient choisis à l’écart des villages ou des villes d’un commun accord entre armées rivales… Ce qui n’empêchaient pas des exactions avant et après l’affrontement. Mais toutes les guerres modernes, désormais, se font au milieu des populations civiles et c’est même devenu souvent un enjeu militaire : terroriser une population pour qu’elle fasse pression sur ses dirigeants. Généralement, ça produit l’effet contraire et renforce l’union nationale.

Tout de même, ce qu’a fait le Hamas en Israël relève de l’horreur absolue…

L’historien Jean Mabire faisait remarquer qu’un pays pauvre en guerre envoie ses trouffions « tirer dans le tas » dans une zone ennemie, tandis qu’un pays riche envoi, lui, des escadrilles bombarder la zone ennemie. Dans le premier cas, on dit « terrorisme », dans le second « opération militaire ». Le résultat, lui, ne varie guère : des monceaux de cadavres d’enfants, de femmes, de vieillards ; de l’au-delà, je doute que les victimes y voient de différence notoire. Dans ce qui s’est passé en début du mois en Israël, c’est donc moins les atrocités commises qui devraient retenir l’attention des observateurs que le fait que le Hamas ait filmé et largement diffusé ce qu’ont commis ses combattants : tir au pigeon sur tout ce qui bougeait, décapitation, viols, massacre d’adolescents en pleine fiesta… Dans le « monde d’avant », peut-être aurait-on tenté de cacher et de nier de tels actes ; aujourd’hui, on répand ces « exploits » à travers le monde, persuadés de motiver ainsi des foules enthousiastes… et ça doit forcément être le cas, puisqu’on peut difficilement considérer les dirigeants du Hamas comme des imbéciles au vu de la précision et de la réalisation de leur attaque surprise ; tous les spécialistes militaires et observateurs du Moyen-Orient s’accordent à dire que ce sont certes des fanatiques, mais en aucun cas des demeurés.

Donc, leurs atrocités pourraient renforcer leur popularité ?

Dans nombre de pays, à l’évidence… et aussi dans nombre de nos « zones de non-droit », pudiquement rebaptisées « territoires perdus de la République »… Tout autant, d’ailleurs que la riposte inévitable et tout aussi inévitablement sans pitié – comment pourrait-il en être autrement ? – d’Israël dans la bande de Gaza… Et faudrait-il encore que des pièges inattendus n’aient pas été préparés à l’intention des soldats de Tsahal sur place. L’opération du Hezbollah a été particulièrement « efficace » parce qu’elle était imprévue… Les représailles israéliennes, forcément, ont, elle, été prévues par les Islamistes… Vous imaginez les répercussions dans le monde arabe si on assistait à un échec militaire israélien dans les jours ou mois qui viennent ? Rappelons-nous qu’à l’été 2006, l’intervention israélienne contre le Hezbollah libanais – coûteux et raté – a été perçue comme une défaite : le mythe de l’invincibilité de Tsahal a alors volé en éclats.

Après Israël, la terreur islamiste vient de frapper notre sol. À nouveau. Bis repetita.

Et Bis repetita horresco pourrait-on dire dans un latin de cuisine. On pouvait certes s’y attendre, non ?… et il aurait même été surprenant que ne se produisent pas les mêmes horreurs chez nous qu’en Israël. Une fois de plus, les discours lénifiants des bisounours du « vivre avec eux » se fracassent sur la réalité. Est-ce que cela sera suffisant pour faire ouvrir les yeux à une majorité de nos compatriotes sur les dangers de l’immigration incontrôlée et du laxisme policier et judiciaire au nom de prétendus « grands principes » totalement déconnectés des réalités ? On peut l’espérer…

L’espoir fait vivre…

Sauf pour ces professeurs ayant malencontreusement croisés la route de « Fous d’Allah », pour ces garçons massacrés pour un regard de travers ou un refus de donner une cigarette… ou encore pour ces jeunes filles martyrisées au détour d’une rue de ces nouveaux havres de terreur qu’on appelle désormais les « quartiers haut-les-mains ! »… Dans les temps anciens, certaines religions exigeaient d’offrir régulièrement à de macabres divinités leur lot de sacrifices humains : l’actuelle religion des droits-de-l’Étranger, prônée par les islamo-gauchistes et autres associations auto-proclamées anti-racistes, exige de la même manière son quota de sacrifices humains. Cette sanglante divinité ne semble pas prête d’être rassassiée… Le prêtre Hamel à Saint-Étienne-du-Rouvray, le professeur Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine, la petite Lola à Paris et le professeur Dominique Bernard à Arras vont sans doute rester dans les mémoires quelques années encore… Mais combien d’autres, déjà oublié(e)s, allongent chaque jour depuis des décennies la liste des sacrifiés sur l’autel de l’immigration sauvage ?

L’assassin du professeur Bernard à Arras – et qui a également blessé gravement un autre enseignant, ainsi qu’un agent technique de la cité scolaire – aurait dû être expulsé avec toute sa famille en 2014, mais diverses associations anti-racistes et le Parti communiste français s’y étaient opposés ; Manuel Valls, alors Premier ministre, avait annulé la procédure…

Il serait peut-être intéressant d’envisager de responsabiliser tous ces « braves gens » dont la plupart vivent principalement et grassement de subventions publiques, notamment en mettant en examen leurs responsables et militants pour complicité de terrorisme et d’assassinat en bande organisée. Ça les ferait sûrement réfléchir et assurément, calmerait leurs inconsciences mortifères.

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00:33 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |