lundi, 31 mars 2025
Réalités multiracistes de la société multiraciale
La chronique de Philippe Randa
Il y a des faits-divers qui en disent long. Douloureusement.
Ainsi cette méprisable vidéo prise par les harceleurs de Lucas, un jeune collégien de Vénissieux (Rhône) et diffusée sur les réseaux sociaux pour attiser les instincts les plus malsains de ceux qui la visionneront : insulte, coups et fuite de la victime.
Pour Lucas, ce traitement humiliant n’était pas une première ; sa sœur a ainsi témoigné, via le réseau snapchat, que, depuis des mois, son frère était traité entre autres amabilités de « singe » et de « sale noir ».
Leurs parents ayant alerté les responsables scolaires, le rectorat de Lyon, d’une rare efficacité (sic !), n’a pas manqué de les assurer que leur enfant était « accompagné » depuis plusieurs mois par le lycée et suite, à la diffusion de la vidéo, qu’une « cellule non au harcèlement » (ça ne s’invente pas !) avait été « déclenchée » !
On se doute que les harceleurs en sont terrorisés et que leur victime est parfaitement rassurée. De là à ce que ce rectorat conseille, si ce n’est déjà fait, à ces parents d’aller voir ailleurs pour leur progéniture si l’herbe est sinon plus verte, du moins moins dangereuse, qu’à Vénissieux, il n’y a pas loin.
Mais là où ce fait-divers est lourd d’enseignement, c’est quand on apprend que les harceleurs, écrit la sœur de Lucas, sont « des élèves d’origine maghrébine », ce que confirme leur père en déclarant à Medave Prod, correspondant d’Actu Lyon : « Ce n’est pas la première fois que j’interpelle le directeur du collège contre le harcèlement scolaire et les agressions répétées de certains élèves d’origine maghrébine contre mon fils en raison de sa couleur de peau. »
Information qui bat en brêche toutes les idées rabachées par les auto-proclamés antiracistes, tout autant, qu’elle explose en plein vol les déclarations péremptoires du leader maximo de la France insoumise sur les fantasmes de créolisation de notre société : le racisme n’est en rien monopole des « Européens blancs », il est largement partagé par les « non-blancs d’origines non-européennes ». On se doute que le martyr du « petit noir » Lucas à Vénissieux n’est pas un cas isolé et qu’ailleurs, ce sont des petits « Mouloud » qui détalent devant des agresseurs originaires d’Afrique noir… sans oublier tous les « Moshé » ou « François » qui font la course ici ou là, un peu partout désormais dans cette France de moins en moins « doulce », ainsi que la chantait Charles Trenet en son temps… et peu réceptive à la créolisation comme on le voit.
Il y a près d’un quart de siècle désormais – c’était en 2002 –, Jean-Jacques Matringhem et moi-même avions publié un livre regroupant plusieurs contributeurs et intitulé Vers la société Multiraciste.(1) « La plupart de ces intervenants, écrivions-nous en introduction, sont d’accord sur un point : le racisme n’est pas là où le “politiquement correct” le brocarde habituellement. Ils sont également tous d’accord sur un point : il est grand temps d’aborder ce délicat sujet différemment afin que, peut-être, l’avenir ne soit pas celui de cette société multiraciste qui se bâtit chaque jour, depuis plusieurs dizaines d’années, sous nos yeux. »
Ce souhait a fait long feu. La preuve par Lucas, à Vénissieux.
J’écrivais alors que ce qui me semblait « le plus plausible, au regard des vingt dernières années et au constat des sociétés européennes actuelles, c’est que se met en place, progressivement, non pas la société multiraciale dont on nous rabat tant les oreilles, mais une société multiraciste, faite de quantité de ghettos… »
La société multiraciste, nous y sommes. Et même en plein dedans.
Note
(1) Vers la société Multiraciste, éditions Dualpha, sous la direction de Jean-Jacques Matringhem et Philippe Randa, avec les contributions de : Archimède Bontempi, Christian Bouchet, Alain Dumait, Fondation Brigitte Bardot, Roland Gaucher, Nicolas Gauthier, Philippe Gautier, Bruno Gheerbrant, Jean-Paul Gourevitch, Guillaume Faye, Pierre Lassieur, Jean-Jacques Matringhem, Catherine Mégret, Fabrice Robert, Jean-Claude Rolinat, Jean-Pierre Rondeau, Marc Rousset, Charlotte Sawyer, Philippe Randa, Robert Steuckers, Dominique Zardi.
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18:25 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Décès de Marie-Jeanne Vincent, combattante nationaliste à Calais
Militante déterminée de la cause nationale dans la ville de Calais, Marie-Jeanne Vincent a succombé, le 27 mars, à une longue maladie. Engagée contre le grand remplacement qui pourri sa ville depuis des années, elle avait été candidate pour Civitas dans la campagne législative très rugueuse de 2017.
Professeur de Lettres et de Théâtre au collège, elle avait été renvoyée de l’Éducation nationale suite à sa candidature. Les médias locaux et nationaux s’en étaient mêlés pour la dénoncer, sans la faire reculer, ce qui n’était pas simple au quotidien à Calais. Menaces, intimidations, diffamation, elle n’avait pas cédé.
En octobre 2018, elle était venue exposer la situation dramatique à laquelle les calaisiens sont confrontés lors de notre journée annuelle de Synthèse nationale à Rungis.
Que sa détermination serve d’exemple.
Th D
18:21 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Game over pour Marine Le Pen ?
15:09 Publié dans Arnaud Robert | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Marine out !
Le billet de Patrick Parment
Inutile de dire que ça va causer dans le Landerneau après la décision des juges de rendre la patronne du Rassemblement national inéligible pendant cinq ans, lui barrant ainsi la route à l’Elysée. Tous les sondages réalisés ces derniers temps la donnent largement en tête de 10 points sur son plus proche concurrent, Edouard Philippe, laissant loin derrière Mélenchon et autres zozos du parti socialiste, ecolos et d’ailleurs.
Mais ne nous y trompons pas, ce ne sont pas les juges qui ont décidé du sort de Marine Le Pen, c’est bel et bien ce que l’on appelle l’Etat profond, celui-là même qui a porté Emmaneul Macron au pouvoir. Désespérant de voir la gauche déboulonner le Front national hier, le Rassemblement aujourd’hui, les sbires qui tirent les ficelles de cette démocratie moribonde, craignant pour leurs affaires, sont donc passés par les tribunaux, sous des prétextes fallacieux pour sortir Marine Le Pen du jeu. Ces mêmes sbires de l’Etat profond qui se sont pris une belle trouille avec les Gilets jaunes. Pas question pour eux de rendre la parole au peuple, car on sait ce qu’il veut : foutre les immigrés à la porte, et rendre le pouvoir réel au peuple dans ses assemblées et plus précisément au Palais Bourbon. Hors de question de venir enrayer ce bel ordonnancement qui musèle le peuple via cette gauche cocue et son idéologie droits de lhommiste qui verrouille tous les esprits et en premier lieu la liberté de pensée. Les universitaires se taisent, les profs gangrènent les esprits, falsifient l’histoire. C’est ainsi que l’Education nationale est devenue une fabrique de crétins.
Autant dire que la guillotine qui vient de tomber sur la tête de Marine Le Pen inaugure les prémices d’événements à venir dont nul ne peut actuellement mesurer l’ampleur mais qui sourdent au sein d’une nation épuisée et qui n’en peut mais. Trop d’immigrés, trop de violences dues à ces mêmes immigrés, trop d’insécurité dans nos villes, trop de juges laxistes, trop de normes administratives qui gangrènent notre économie, trop d’impôts et de taxes, des institutions qui ne fonctionnent plus… la liste est trop longue de l’incurie du pouvoir depuis des décennies maintenant. On attend l’étincelle qui mettra le feu aux poudres et fera voler en éclat cet Etat profond. Marine Le Pen ou pas à la prochaine présidentielle.
14:48 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Condamnation de Marine Le Pen : la réaction d'Eric Zemmour
Réaction d'Eric Zemmour, président de Reconquête !
Ce n’est pas aux juges de décider pour qui doit voter le peuple. Quels que soient nos désaccords, Marine Le Pen est légitime pour se présenter devant le suffrage.
Je regrette que les politiciens aient donné d’eux-mêmes ce pouvoir exorbitant à la justice.
Il faudra tout changer.
14:11 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Condamnation de Marine Le Pen : la réaction de Thomas Joly
Réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :
Ainsi donc, Marine Le Pen est condamnée à l'inéligibilité avec exécution provisoire dans l’affaire des assistants parlementaires au Parlement européen. Une décision éminemment politique, bien sûr, car dans cette Europe technocratique, même le choix de son stylo devient suspect dès lors qu'on ne sert pas le dogme bruxellois. Mais ne nous y trompons pas : si le coup vient du Système, la cible a tendu la joue.
Cette affaire, grotesque dans sa forme, était prévisible dans le fond. Le Front National, devenu RN, a géré cette question avec un amateurisme consternant, indigne d’un parti prétendant gouverner. C’était gros comme une maison, et ils y sont allés la fleur au fusil, comme s’ils vivaient encore à l’époque des repas de famille à Montretout. Quel mépris des règles du jeu, mais surtout quelle naïveté politique.
Marine Le Pen a cru qu’en reniant son père, en purgeant les esprits libres de son parti, en se vautrant dans la dédiabolisation obsessionnelle, elle obtiendrait le sauf-conduit du Système. Elle a cru qu’en faisant des courbettes devant les médias, en abandonnant toute radicalité, en sacrifiant sur l'autel de la respectabilité les principes fondateurs du combat national, en excluant son propre père, elle serait acceptée dans le club fermé de la bien-pensance. Quelle erreur tragique ! Le Système ne pardonne jamais l’origine. Il ne tolère qu’un opposant soumis ou un traître utile. Marine Le Pen aura été les deux, successivement.
Oui, cette condamnation est scandaleuse. Oui, on devrait être libre d’employer ses assistants parlementaires comme bon nous semble. Ce flicage inquisitorial est une atteinte de plus à la souveraineté des élus. Mais le fond du problème est ailleurs : Marine Le Pen paie aujourd’hui le prix politique et moral de sa trahison. Elle a renié l’œuvre de son père, piétiné des décennies de lutte, pour finir chassée du terrain de jeu auquel elle rêvait d'appartenir.
Le peuple français mérite mieux que cette fausse rebelle devenue domestiquée. Le masque tombe, la farce s’achève. Bon débarras.
13:55 Publié dans Communiqués de presse, Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Notre confrère "Politique Magazine" consacre un article au livre de Thierry DeCruzy, "Les Brigandes, phénomène musical de la diddidence" (préfacé par Brigitte Bardot)
Hilaire de Crémiers
Elles ont enchanté les oreilles et les cœurs de milliers de Français, nationaux, « catho tradis » comme on dit, patriotes, écœurés du système existant qui impose sa loi au profit de politiciens pourris ou renégats, surtout au profit d’une machinerie du prêt-à-penser, du fric et de la consommation démocratique.
Toujours les mêmes qui tiennent tout, presse, radios, télévisions, réseaux politiques et économiques, avec une bien-pensance obligatoire qui empêche toute liberté de penser et de s’exprimer. Bref le système actuel, particulièrement prégnant en France avec ses valeurs de la République qui interdisent tout sursaut de protestation. De 2014 à 2021, les Brigandes, issues de petits groupes amicaux antérieurs et qui a toujours compté des hommes, se sont fait connaître par leurs chansons, de style réactionnaire, voire d’inspiration contre-révolutionnaire, sur des mélodies et des rythmes étonnants, à la fois de modernité populaire et de tradition presque troubadouresque. Avec un côté satirique, typiquement français, du genre : « impossible de s’en laisser compter par la bande des guignols qui nous dirigent et prétendent nous éduquer. »
Thierry DeCruzy retrace l’histoire, année après année, chanson après chanson, de cette dissidence musicale stupéfiante qui a osé affronter la domination toute puissante de ceux qui croient aussi posséder la musique comme ils possèdent le pouvoir, tous les moyens de communication et les finances publiques et souvent privées. Évidemment, tous les procédés ont été utilisés contre cette rébellion affichée, y compris les plus ignobles, et jusqu’à la suppression de leur chaîne You Tube. Et comme le groupe ne répondait pas à tous les critères d’une saine orthodoxie, en raison des théories particulières et quelque peu ésotériques des dirigeants, les bons milieux eux-mêmes se sont éloignés d’eux. Il fallut mettre fin à cette expérience et le groupe lui-même s’en est expliqué. Excellente analyse de Thierry DeCruzy, qui ne dissimule rien, qui répertorie l’ensemble de l’œuvre – 144 chansons originales, – et fait parler quelques-uns des principaux protagonistes, en particulier l’auteur-compositeur Joël Labruyère, qui fut à l’origine de cette stupéfiante initiative.
Thierry DeCruzy, Les Brigandes, phénomène musical de la dissidence, Préface de Brigitte Bardot, Synthèse nationale, 186 pages, 22 €. cliquez ici
Le site de Politique Magazine cliquez ici
11:54 Publié dans Revue de presse, Thierry DeCruzy | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le racisme anti-Blanc
Certains intellectuels et certains médias s’entêtent à nier le racisme anti-Blancs, car cette notion aurait été inventée par l’extrême droite. Seules les discriminations « systémiques » visant les personnes « racisées » constitueraient du racisme. Généalogie d’une manipulation idéologique.
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Source : Le Figaro 31/3/2025
10:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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