mardi, 29 juillet 2025
Pierre Cassen nous met en garde face aux escroqueries des faux conseillers bancaires
Je vais vous raconter deux histoires authentiques, inquiétantes, d’amis victimes d’escroqueries bancaires, par des faux conseillers remarquablement habiles.
Soyez vraiment prudents, c’est déjà arrivé à 1 million de Français !
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Alerte du Syndicat de la Famille suite à la décision du Conseil d'Etat sur l'éducation sexuelle à l'école
Un communiqué de Ludovine de La Rochère, présidente du Syndicat de la Famille :
Avec 300 parents d’enfants scolarisés et d’autres associations, nous avions saisi le Conseil d’État pour demander l’annulation du programme d’éducation sexuelle.
Ce programme, en effet, est imprégné d’idéologie, très insuffisamment respectueux de l’intimité et de la conscience des élèves et il piétine le rôle éducatif des parents.
Hélas, le Conseil d’État, comme l’Éducation nationale et nombre d’institutions, est gangrené par le wokisme : les nominations d’Emmanuel Macron et de ses gouvernements successifs expliquent largement cet "entre-soi" idéologique au sommet de l’État.
Le 27 juin dernier, le Conseil d’État a donc rendu une décision mensongère et hypocrite : le décret n’a pas été annulé au prétexte que le programme serait "neutre" (sic), qu’il serait "progressif" (mais il est loin de l’être suffisamment !) et que "le Droit de l’éducation n’obligerait pas à informer en détail les parents sur les séances d’éducation sexuelle" (ce programme n’existait pas encore lors de l'adoption des lois qui constituent le Droit de l'éducation !).
Bien évidemment, il n’est pas question d’abandonner la partie, l’enjeu est bien trop important pour l’équilibre, le respect, la conscience et l’éducation de nos enfants et petits-enfants.
A partir du 1er septembre, Le Syndicat de la Famille diffusera donc, partout en France, un tract d’informations et de conseils destinés à tous les parents d’élèves. Il est impératif, en effet, de les alerter et de les aider à protéger leurs enfants de la propagande wokiste et transactiviste.
Le tract du Syndicat de la Famille cliquez ici
10:17 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Un peu plus d'un mois avant la rentrée : Éducation nationale, une jeunesse désarmée, des savoirs en déroute
La rédaction de Breizh-Info (cliquez ici)
On pourrait croire à une mauvaise plaisanterie, à une farce de fin d’année scolaire. Mais les chiffres tombés (le) 9 juillet 2025, en provenance directe des services statistiques du ministère de l’Éducation nationale, n’ont rien d’un gag potache : moins d’un collégien de 3e sur deux maîtrise correctement le français et les mathématiques. Le socle commun est devenu terrain vague. Et dans ce marasme éducatif, les écarts de genre et de classe sociale tracent des frontières invisibles mais béantes, qui segmentent déjà la jeunesse comme une société de castes.
L’effondrement par les chiffres
46,6 % des élèves de 3e seulement atteignent le niveau jugé « satisfaisant » en français. À peine 45,7 % en mathématiques. Et encore : ces moyennes nationales masquent des réalités bien plus contrastées. Dans les quartiers dits « prioritaires », on chute à des niveaux dignes d’un pays sans école obligatoire. Tandis que les établissements « hors REP » (hors éducation prioritaire) affichent des résultats presque deux fois supérieurs.
Et il faudrait s’en satisfaire ? S’en remettre à des « plans ministériels » saupoudrés de slogans ? Pendant ce temps, les lycées professionnels deviennent des zones de relégation. Le bac est nivelé par le bas. Et les enseignants, eux-mêmes en proie à la perte de sens, désertent par centaines.
Quand le genre devient une barrière
Les filles, elles, sauvent les apparences… en français. 54,7 % d’entre elles atteignent le niveau attendu, contre seulement 38,7 % des garçons. Mais en mathématiques, les rôles s’inversent : 53 % des garçons s’en sortent contre à peine 40 % des filles. Des écarts que le ministère attribue à des « stéréotypes de genre » – ce qui revient à dire que l’on sait ce qui ne va pas, sans avoir jamais su corriger quoi que ce soit.
Faut-il y voir l’énième échec de la pédagogie égalitariste ? De l’absence de filières, de redoublement, de discipline et d’exigence ? Quand l’excellence est soupçonnée d’élitisme, il ne reste plus que la médiocrité comme horizon commun.
L’origine sociale, cette condamnation silencieuse
Plus inquiétant encore : le poids écrasant du déterminisme social. En classe de 5e déjà, les écarts entre les enfants d’ouvriers et ceux des classes favorisées doublent. La République, censée instruire pour libérer, semble désormais assigner à résidence. Et l’Éducation nationale, jadis matrice de l’ascenseur social, devient l’écho d’un monde figé où l’avenir se joue dès l’entrée au CP.
Lire un texte, comprendre une consigne, poser une division, structurer une pensée : autant d’aptitudes élémentaires qui s’effondrent. 16,8 % des élèves de 3e lisent moins bien qu’un écolier de CM2. C’est un signal d’alarme, un SOS éducatif. Et dans un monde de plus en plus technologique, complexe, instable, une jeunesse sans base solide devient une jeunesse vulnérable, livrée aux idéologies les plus simplistes ou aux écrans les plus abrutissants.
Et maintenant ?
La ministre Elisabeth Borne a lancé un « plan filles et maths ». Une mesure de communication, sans souffle ni ambition. Car le problème est plus vaste : c’est l’École dans son ensemble qui est malade. De sa déconstruction. De son abandon par les élites. De sa soumission aux dogmes pédagogiques les plus stériles.
Dans un pays où l’on réécrit les fables pour ne pas choquer, où l’on gomme la grammaire pour ne pas exclure, où l’on remplace les dictées par des devinettes de groupe, il n’est pas étonnant que la langue et la logique s’effacent.
Il est temps d’oser l’inverse : retrouver le goût de la rigueur, de la transmission, du mérite. Loin des lubies idéologiques, des injonctions victimaires, et des usines à gaz administratives. C’est cela, ou laisser la France devenir un pays de seconde zone – non pas par manque de ressources, mais par refus d’exigence.
L’urgence est là, palpable, vérifiable. La question n’est plus de savoir s’il faut agir. La vraie question, c’est : qu’est-ce qu’on attend ?
09:51 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Face à la gauche, le Mouvement des patriotes bretons ne baisse pas les bras
09:22 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Démocratie : un spectacle de Dieudonné interrompu par les gendarmes
Source Le nouveau Présent cliquez ici
Qui a dit que la forces de l’ordre n’étaient pas efficaces, qu’elles étaient dépassées et incapables d’assurer l’ordre et la sécurité ? Tout au contraire, elles savent se montrer d’une redoutable efficacité et d’une grande fermeté lorsqu’il s’agit de censurer et d’empêcher de travailler un humoriste « non politiquement correct ».
Ainsi, les gendarmes ont interrompu un spectacle de Dieudonné M’bala M’bala, vendredi soir à Lestrem, dans le Pas-de-Calais. Sur place, ils lui ont signifié un arrêté préfectoral interdisant la tenue de la représentation.
Le spectacle initialement prévu à Dunkerque (Nord) et interdit par arrêté, avait été reprogrammé au dernier moment dans cette commune. Informé de cela vendredi en fin de journée, le préfet du Pas-de-Calais, qui n’a apparemment rien de plus urgent ni important à faire, a « immédiatement pris un arrêté portant interdiction de cette représentation », a indiqué la préfecture du Pas-de-Calais.
Raisons invoquées pour justifier cette censure ? Ses spectacles sont « régulièrement l’occasion de propos outranciers, complotistes et négationnistes, susceptibles de constituer des infractions pénales et de provoquer de graves troubles à l’ordre public » (sic).
Selon la préfecture, l’arrêté a été notifié par les services de gendarmerie sur les lieux alors que le spectacle avait déjà débuté. « Contrairement à ce que M. Dieudonné indique, il n’a pas été interpellé », a précisé la préfecture.
« La commandante de gendarmerie a sommé Dieudonné de quitter la scène, le menaçant verbalement (…) l’artiste a été contraint de descendre de scène sous pression, dans ce qui constitue à nos yeux un abus de pouvoir manifeste », affirme de son côté l’équipe de production de l’humoriste qui va déposer «une plainte sera déposée dans les prochaines heures» notamment pour « abus d’autorité » et « entrave à la liberté d’expression et de réunion ».
Bref, tout va très bien en France, pays des droits de l’homme et la Liberté….
Lire aussi, l'édito de Cyrano sur Riposte laïque cliquez là
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