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lundi, 24 juin 2024

Adieu l’ami…

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Patrick Parment

Christian Brosio vient de nous quitter. Ma peine est grande car c’était un ami très cher que j’avais connu au Figaro Magazine. Il était, à l’époque, un militant dévoué de l’Action française qui lorgnait du côté de la Nouvelle droite. Avec lui et la petite bande que nous formions, on peut dire que l’on a fait les quatre cents coups. Notamment au contact de l’historien Jean-François Chiappe qui nous avait pris en amitié et qui nous entraînait dans ses délires de bon vivant.

Christian a toujours été d’une fidélité sans faille. Les années ne nous ont pas séparés, bien au contraire et l’on se retrouvait régulièrement pour déjeuner et commenter l’actualité.

Excellent journaliste, ses papiers dans Spectacle du monde était toujours solidement charpentés. Il collaborera également à la revue Eléments où il apportait les lueurs de sa grande culture historique. Christian était un être rare, d’une grande urbanité. Adieu l’ami, tu vas vraiment nous manquer.

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jeudi, 13 juin 2024

13 juin : il y a 4 ans, nous quittait Jean Raspail

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Souvenez-vous cliquez ici

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jeudi, 02 mai 2024

Décès de notre camarade Yves Gautron

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Lundi 29 avril notre camarade Yves Gautron est mort d'un arrêt cardiaque à Logonna-Daoulas dans le Finistère. Il avait 72 ans.

Après des études au lycée militaire d´Aix-en-Provence, il entame sa carrière militaire en 1971 au Premier Régiment du Train.

En 1978, jeune capitaine, il part au Liban et pense encore que la France va poursuivre son rôle de protectrice des chrétiens d'Orient. Voyant que ce n'est plus le  cas, il quitte l'armée et rejoint les rangs des milices chrétiennes libanaises faisant passer ses convictions avant sa carrière.

De retour en France, en 1983, il s'installe dans la Marne où il poursuit le combat national et identitaire, d'abord au Front national puis à l'Alliance populaire.

Retraité, il revient en Bretagne, sa seconde patrie, et continue à se battre pour la défense de l'identité locale et de la civilisation européenne.

Toujours à l'affut de l'actualité, il nous transmettait régulièrement des informations précieuses que nous reprenions souvent sur notre site Synthèse nationale.

Tous les ans nous recevions ses voeux, désormais en breton "Bloavez mat D'an holl", en ajoutant parfois cette vieille bénédiction bretonne "Ar' Baradoz e fin ho puhez" (le Paradis à la fin de vos jours). Paradis où, nous n'en doutons pas, il retrouvera ses amis (et nos camarades) du FN puis de l´AP de Châlons-sur-Marne, Yves Le Gentil et Benoit Martel, eux-aussi, hélas, prématurément partis.

Kenavo Faskour coz. Ken ar c'hentan.

S N

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samedi, 27 avril 2024

Il y a un an : décès de Jean Picollec

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Il y a un an, disparaissait notre ami Jean Picollec. Monument incontournable de l'édition non conformiste parisienne et défenseur infatigable de l'identité bretonne, Jean était ce que l'on appelle "un personnage".  Militant avant tout, Jean a toujours voulu aider, par ses conseils avisés, les initiatives qui lui semblaient intéressante dans notre famille d'idées. À Synthèse nationale, nous lui devons beaucoup. C'est parce que nous ne voulons pas qu'il tombe dans l'oubli que nous publions aujourd'hui la préface que Roland Hélie a rédigée il y a a deux ans pour le livre que lui a consacré Philippe Randa.

S N

À force de publier des livres, il en méritait bien un qui lui soit consacré...

Roland Hélie 

Avec Philippe Randa, nous avons souvent des idées similaires... Ainsi, avons-nous pensé simultanément à peu près la même chose au sujet de quelqu'un que nous apprécions autant l'un que l'autre, à savoir notre ami commun Jean Picollec. Lui, qui a tant édité, mériterait qu'un livre lui soit enfin consacré...

En effet, Jean Picollec est un personnage pittoresque qui vaut que l'on s'arrête sur son cas. À la fois éditeur ayant eu un certain succès en publiant de nombreux ouvrages non conformistes, Breton fier de son identité, engagé à maintes reprises dans le combat national, pour ne pas dire nationaliste, français et européen, bon vivant et doté d'une culture hors normes, notre homme accumule toutes les bonnes raisons d'être considéré comme un paria par le Système et, par conséquent, comme un héros à nos yeux... 

La décision fut donc prise, par Philippe et par moi, sans même qu'il soit, dans un premier temps, consulté (nous connaissons la modestie du bonhomme) de co-éditer un livre d'entretiens dans lequel il raconterait son métier, sa vie, ses engagements...

En élaborant ce projet, je me suis souvenu de ma première rencontre avec Jean Picollec. Lui, ne s'en souvient probablement pas. C'était à la fin des années 1970, J'avais alors à peine vingt ans et j'étais encore étudiant. Un jour, j'avais accompagné ma mère à la Maison de la Bretagne située au pied de la Tour Montparnasse à Paris. Elle voulait acheter une aquarelle représentant un paysage breton qui lui était cher pour l'offrir à mon père. Dans cet espace culturel (fort accueillant) régnait ce matin-là une certaine effervescence. Raison d'une telle agitation : l'annonce de l'arrivée imminente de Jean Picollec. Visiblement, en ce lieu, cela ne laissait personne indifférent... Jean, dans les milieux bretonnants, c'est une personnalité que l'on respecte.

J'étais, je dois le dire, assez impressionné. Ce d'autant plus que, déjà militant nationaliste, je savais que Jean Picollec, bien qu'éditeur reconnu, était réputé pour ses idées audacieuses pas vraiment éloignées des nôtres. Il avait d'ailleurs fait partie de la direction d'Ordre nouveau et il n'hésitait pas à soutenir la "Nouvelle droite", alors au cœur de bien des débats intellectuels parisiens.  Que du bonheur !

L'occasion de saluer un tel éditeur de talent ne se présentant pas tous les jours, je mis ma timidité de côté et me décidai à aller le voir alors que, déjà, toutes les jolies vendeuses s'agglutinaient autour de lui.  Ce n'était pas gagner.

Pourtant, dès que je l'ai abordé, Jean Picollec s'est montré tout de suite très aimable et très attentif comme, d'ailleurs, ce fut toujours le cas à chaque fois que je l'ai revu par la suite. J'étais loin de m'imaginer que, une quarantaine d'années plus tard, je préfacerais un livre qui lui serait consacré.   

Depuis la création de Synthèse nationale, il y a quinze ans, et surtout depuis le lancement de notre (encore) petite maison d'éditions en 2012, Jean a toujours été là pour nous encourager. Beaucoup de nos projet éditoriaux ont abouti grâce à ses conseils avisés et précieux. De plus, chaque année, alors que son stand est l'un des plus courus du Salon du Livre en mars à Paris, sa maison d'éditions est présente à nos journées "Bleu Blanc Rouge" d'octobre, ce qui donne à celles-ci encore plus de crédibilité.

En lisant ses entretiens entre Jean Picollec et Philippe Randa, vous apprendrez sans doute à mieux connaître et à apprécier ce truculent Breton qui, quoi qu'il en pense, mérite bien qu'on lui consacre un livre.

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Pour commander ce livre cliquez ici

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jeudi, 18 avril 2024

Décès de Jean-Claude Blanchard, militant nationaliste des Pays-de-Loire

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Eric Mauvoisin-Delavaud
Président du Rassemblement vendéen
 
Nous apprenons le décès du camarade Jean-Claude Blanchard, Résistant, membre du Rassemblement vendéen.
 
Nous avons appris cette nuit le décès de notre cher Jean-Claude, dont la santé s’était dégradée ces derniers temps. 
 
L’émotion est forte, non seulement chez ses proches, mais aussi chez les militants patriotes dont il était une figure de proue, et chez tous ceux qui savent son engagement de toujours à la cause nationale et patriote, comme partisan, militant, élu régional des Pays de Loire.
 
Nous saluons sa mémoire et nous assurons l’ensemble de ceux qui l’aiment et qui pleurent sa perte, de la profonde sympathie des camarades de toutes générations.
 
Haut les cœurs.
 
NDLR SN : nous nous associons totalement à la peine du Rassemblement vendéen suite au décès de Jean-Claude Blanchard, homme sympathique et combatif, qui a souvent manifesté son amitié pour notre revue.

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vendredi, 29 mars 2024

29 mars : une pensée pour Jean Mabire

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Les Amis de Jean Mabire cliquez là

Mieux connaître Jean Mabire cliquez ici

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lundi, 18 mars 2024

18 mars 1978 : assassinat de François Duprat

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Pour mieux connaître la vie et

l'engagement de François Duprat cliquez ici

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samedi, 09 mars 2024

Souvenez-vous, c'était le 9 mars 2014, Olivier Grimaldi nous quittait...

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Il y a 10 ans aujourd'hui, Olivier nous quittait. Pour celles et ceux, ses amis et camarades, qui l'ont connu et aimé, Olivier restera toujours présent à nos côtés. Nous ne pourrons jamais l'oublier.

Samedi 16 mars à midi, à Paris, une messe sera célébrée en sa mémoire. Nous nous y retrouverons tous pour l'honorer (1).

R H 

(1) Pour s'inscrire, écrire à cfh.grimaldi@free.fr

Voici l'article publié sur Synthèse nationale, le 9 mars 2014, après la disparition d'Olivier :

C'est avec une immense peine que nous vous annonçons le rappel à Dieu ce dimanche après-midi de notre Camarade et Ami Olivier Grimaldi.

Militant de la cause nationaliste depuis le début des années 1970, il avait participé à tous les combats historiques du mouvement. Catholique sincère, il a toujours défendu la Tradition. Au milieu des années 80, avec Hélène son épouse et quelques amis, il créa le Cercle Franco-hispanique (1) qui s'attache à faire connaitre l'Espagne nationaliste et le national syndicalisme de José Antonio Primo de Rivera dans notre pays.

Depuis près de deux ans, Olivier luttait avec un courage exemplaire contre la terrible maladie qui le rongeait. Celle-ci, hélas, a eu raison de lui dimanche après-midi.

Olivier nous a quittés entouré des siens. Il était notre Camarade, il était mon Ami. Nous nous sommes connus en 1978. C'était au siège du PFN, boulevard Sébastopol. Depuis, il s'est rarement passé plus d'une semaine sans que nous nous retrouvions pour passer un bon moment ensemble. J'ai toujours été impressionné par sa culture politique et historique et aussi par son humilité et son désintéressement. Toute sa vie il est resté fidèle à l'idéal nationaliste et jamais il n'a cherché à en tirer un quelconque avantage. Son honneur était d'être l'un des rares, si ce n'est peut-être le seul, Français décoré de la médaille de la Vieja Guardia.

Il venait d'avoir 61 ans vendredi dernier. Pour nous, Olivier sera toujours présent parmi nous.

Roland Hélie

(1) Le Cercle Franco-hispanique, grâce aux efforts d'Hélène son épouse, et de quelques amis, 10 ans après la mort d'Olivier, continue ses activités. Bel exemple de fidélité cliquer ici

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mercredi, 21 février 2024

Décès de Henri Servien, auteur de "La petite Histoire de France" (Chiré)

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Un communiqué de Diffusion de la Pensée française (Chiré) :

Né en 1942, à Melle dans les Deux-Sèvres, Henri Servien a fait ses études à l'université de Poitiers, où il a fait la connaissance de Jean Auguy auquel il a apporté sa collaboration rédactionnelle pour le bulletin mensuel Poitiers-Université.

Henri Servien est depuis devenu professeur d'histoire-géographie dans l'enseignement secondaire, et est l'auteur d'essais historiques vulgarisateurs portant notamment sur l'Empire colonial français ou la Guerre de Vendée. C'est ainsi qu'il s'est chargé de publier, en collaboration avec le grand dessinateur belge René Follet, trois remarquables albums qui ont été salués par la critique comme trois réussites de très grande qualité tant en raison de leurs splendides illustrations que grâce au talent de conteur et à la précision d'historien de leur auteur. Sa Petite Histoire de France reçut le Prix Saint-Louis (1979) et Minerve d'or de la Société d'encouragement au bien. Et sa Petite histoire des colonies et missions françaises, préfacée par Jean Raspail, a été couronnée du Prix des Intellectuels indépendants et du Prix Lyautey de l'Académie des sciences d'outre-mer en 1986. Sa grande compétence et un rare don pédagogique, l'ont particulièrement orienté vers la rédaction d'ouvrages destinés à la jeunesse.

Catholique traditionaliste appartenant à la mouvance contrerévolutionnaire, il collabore à l'équipe des Éditions de Chiré, et participe aux revues Lecture et Tradition (à l'origine des activités "Chiré") et Lectures Françaises (fondée par Henry Coston en 1957, et rachetée par "Chiré" en 1977). Dans ces deux revues, il aborde de nombreux sujets et a été le principal rédacteur de la rubrique "Contre-encyclopédie". Il signait priincipalement ses articles sour le nom de Pierre Romain.

Henri Servien, a rendu son âme à Dieu le vendredi 16 février 2024, muni des sacrements de notre sainte Mère l'Eglise.

Bibliographie :

  • Petite histoire de France (préfacé par Jean-François Chiappe), Éditions de Chiré, 1978 ;
  • Petite histoire des guerres de Vendée (préfacé par Michel de Saint Pierre, illustré par René Follet), Éditions de Chiré, 1983 ;
  • Petite histoire des colonies et missions françaises (préfacé par Jean Raspail, illustré par René Follet), Éditions de Chiré, 1985 ;
  • L’Amérique française (illustré par Pierre Joubert), Éditions de l’Orme-Rond, 1987 ;
  • La Fabuleuse épopée de l’Afrique française (préfacé par Bernard Lugan, illustré par Patrice Pellerin), Éditions Elor, 1991 ;
  • L’Asie française (illustré par Patrice Pellerin), Éditions Elor, 1998.

Les livres de Henri Servien cliquez ici

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mardi, 20 février 2024

Thierry Pochez, présent !

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La semaine dernière, nous vous faisions part avec tristesse du décès de notre camarade Thierry Pochez cliquez ici. Hier, nous avons reçu ce bel article de Michel Vial, auteur de plusieurs ouvrages publiés par Synthèse nationale cliquez ici, et qui était un Ami de Thierry. Ils sont en effet allés se battre, l'un et l'autre (comme Gilles, comme Emmanuel, Jean-Marc, Yves, Stéphane - qui ne revint jamais - et quelques autres...) au Liban en 1975 (1). Cela crée des liens indéfectibles.

C'est donc bien volontiers que nous publions ce témoignage.

S N 

Michel Vial

Notre camarade et ami Thierry Pochez est décédé le 14 février 2024, victime d’un cancer généralisé. Il avait 68 ans. Son agonie à l’hôpital du Mans aura duré près de deux mois.

Dernier d’une fratrie de huit enfants, Thierry était le fils d’un officier de la Coloniale. Son père avait fait la connaissance de celle qui allait devenir sa femme à Shangaï, alors qu’il était en garnison dans la concession française. De nationalité japonaise, elle était en réalité coréenne, la Corée étant à cette époque une colonie de l’empire japonais. De cette union vont d’abord naître six filles, puis en 1953 un premier garçon prénommé Philippe. Thierry naît en janvier 1956.

En 1971, à quinze ans, ayant baigné dans un milieu familial viscéralement hostile au marxisme et favorable à l’OAS, il est acquis aux idées nationalistes et rejoint Ordre Nouveau où il se distingue comme un militant hors pair. Courageux, combatif, toujours volontaire pour coller des affiches, vendre le journal et, bien sûr, faire le coup de poing contre les gauchistes, il s’affirme comme une figure de ce mouvement. Il restera indéfectiblement fidèle à la direction d’ON et à la ligne définie par Alain Robert et le Bureau politique, y compris lors de la rupture avec le Front national. Après la dissolution de juin 1973, il continue le combat au sein des comités Faire Front.

En 1974, la Patrie vient lui rappeler qu’il doit lui consacrer une année de sa vie. Il est alors incorporé au 2e RIMa du Mans où il obtient son galon de caporal-chef. Malgré ses antécédents familiaux et un goût certain pour les armes, il n’est vraiment pas séduit par l’armée et refuse d’aller au-delà des obligations légales du service national. Quand il retourne à la vie civile, il prend ses distances avec le militantisme, ayant un peu de mal à se reconnaître dans le PFN nouvellement créé. Homme d’action, il cherche autre chose que ce que lui propose ce parti au profil respectable.

L’action, c’est au Levant qu’il va la trouver. En avril 1975, le Liban entre dans une guerre qui va durer quinze ans. Les Chrétiens sont menacés d’anéantissement et se défendent avec un courage et une détermination qui font l’admiration de beaucoup de nos camarades. Certains ne se contentent pas de simples paroles de soutien, ils choisissent de se joindre à ces jeunes gens qui luttent pour leur survie et pour l’Occident, ils traversent la Méditerranée pour combattre à leurs côtés. Notre camarade Stéphane Zanettacci, militant du GAJ, y trouvera la mort.

Au printemps 1976, Thierry part lui aussi pour Beyrouth avec son frère Philippe et un groupe d’amis parmi lesquels Pierre Bugny (alias Versini). Intégré dans les rangs des Phalangistes (les Kataeb), il prend part aux combats qui se déroulent au centre-ville contre les Palestiniens et ceux qu’on désigne alors comme des « islamo-progressistes ». Il revient en France au début de l’été avant de repartir en août pour un second séjour entraînant avec lui un groupe d’une dizaine de camarades parmi lesquels se trouve Gilles Soulas, décédé récemment. A cette époque, le front ne bouge guère, c’est une guerre de position, mais l’intensité du feu n’en est pas moins très forte. Thierry est gravement blessé aux mains dès les premiers jours. Pris en charge par les médecins libanais, il est opéré et passe plusieurs semaines à l’hôpital. Il rentre en France avec son frère fin octobre 1976. Contrairement à certains des anciens du Liban, il ne suivra pas Bob Denard dans ses aventures bien qu’il ait été sollicité par ses recruteurs. Il choisit de fonder une famille et de s’engager dans une vie professionnelle qui va l’amener en Afrique, en Tunisie, en Côte d’Ivoire, au Sénégal, puis au Burkina Faso.

Sa fin prématurée laisse un grand vide dans le cœur de ceux qui l’ont côtoyé et qui ont partagé ses engagements, que ce soit dans les combats de rue contre les gauchistes des années soixante-dix ou dans ceux, nettement plus meurtriers, des rues de Beyrouth. Fidèle à lui-même, il nous a quittés sans se plaindre, parfaitement serein et conscient d’avoir eu une vie bien remplie et d’avoir accompli ce qui devait l’être. Il a rejoint Philippe, son frère décédé il y a un an, et tous nos camarades partis trop tôt, Michel Mathieu, Pierre Bugny, Robert Allo, Serge Leleu, Yves Van Ghele, Gilles Soulas et tous ceux que nous ne pouvons citer ici. Adieu Thierry, nous ne t’oublierons jamais.

(1) Lire sur cette période le livre d'Emmanuel Albach, Beyrouth 1975, des Français aux côtés des phalangistes, Synthèse nationale, 2015 cliquez là

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jeudi, 15 février 2024

Décès de Thierry Pochez, militant historique de la cause nationaliste

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Thierry Pochez (1956-2024)

Nous venons d'apprendre le décès de Thierry Pochez, militant historique de la cause nationaliste. Dans les années 1970, il militait à Ordre nouveau puis au Front de la Jeunesse (lié au PFN). Il participa activement à tous les combats de cette époque somme-toute pas si lointaine... Depuis des mois, il luttait courageusement contre la maladie, celle-ci l'a emporté hier. Qu'il repose en paix.

Il y a cinq ans, nous avons publié, à l'occasion du cinquantième anniversaire de sa création, le livre Ordre nouveau raconté par ses militants (ce livre, actuellement épuisé, va être réédité prochainement). Thierry avait contribué à sa rédaction en exposant les raisons de son engagement dans l'article ci-dessous. 

S N

De la Corée à Beyrouth

 THIERRY POCHEZ

 Né en 1956. Expérience professionnelle en logistique et évaluation des risques professionnels. Retraité.

Dix mars 1971. J’ai à peine 15 ans, je découvre dans la presse les reportages sur les affrontements du Palais des Sports. Ils m’ont marqué pour le reste de ma vie. J’avais enfin trouvé ma voie. J’étais alors collégien aux Francs-Bourgeois, mon père ancien militaire de carrière ne voulait connaître que les écoles privées catholiques. Sa vision du monde était imprégnée de la pensée de Maurras, antigaulliste depuis 1940 et antimarxiste comme une évidence.

Ma mère, Coréenne d’origine, avait fait sien l’adage « Tu prends un mari, tu prends son pays » ; elle avait pris aussi sa religion en abandonnant le protestantisme presbytérien pour le catholicisme. Sa mère était bouddhiste et son père confucianiste (et polygame. Ce qui m’a aidé à considérer avec intérêt et indulgence le concept de « fidélité partagée »…). Mon grand-père l’avait mise dans une école américaine d’où elle sortit anglophone, presbytérienne, anti-américaine, antijaponaise et anticommuniste.

Mes héros étaient tous des rebelles. Degueldre, Piegts, Dovecar, Denoix de Saint-Marc, le commandant Guillaume, Bastien-Thiry, le lieutenant Kheliff et le capitaine Croguennec, Charette, Cadoudal et même le camisard Jean Cavalier.

Ordre nouveau pratiquait (déjà) le rassemblement national. Ce qui nous unissait était plus fort que ce qui pouvait nous séparer ou nous opposer. L’antimarxisme faisait alors consensus et demeure chez moi un marqueur indélébile. Le bon communiste reste le communiste mort, All Communists Are Bastards. L’antigaullisme était alors d’actualité, le SAC était peu apprécié des militants. J’avoue être devenu (un peu) tolérant avec (certains) jeunes gaullistes.

Le militantisme est souvent peu attractif et consiste en beaucoup de tâches ingrates : plier des journaux, rédiger des adresses, remplir et timbrer des enveloppes. Heureusement, il y a aussi les collages d’affiches, les ventes de journaux à la criée sur les marchés et les distributions de tracts avec, Dieu(x) merci, quelques opportunités de décharges d’adrénaline par l’échange d’arguments persuasifs et fréquemment frappants. Je me souviens en particulier du marché Convention en 1972 ; j’avais 16 ans. À peu près au même âge, mes soeurs aînées collaient pour l’OAS et leur voiture avait été envoyée dans un fossé par les racailles de Boulin et Chaban.

J’ai effectué de nombreuses « visites » dans les lycées, les facultés, les salles de réunions – tout en me perfectionnant dans les arts martiaux, et dans la pratique du baby-foot et du flipper Chez Gina, l’annexe du local de la rue des Lombards. Bien que non étudiant, j’ai activement milité au GUD, dans le hall, le local, la cafétéria et dans leurs diverses annexes (le Bar des Facultés, le Vavin, le Pussy pub).

Lors de la scission du GAJ, j’ai choisi de rester fidèle à mes amis d’abord, à la direction d’Ordre nouveau ensuite. J’ai obéi sans états d’âme aux consignes d’affrontements fratricides ; les regrets ne sont venus que bien après… Je n’aurais éprouvé aucun regret si les mêmes consignes avaient été données contre Jean-Marie Le Pen (mais pas contre ses militants).

Je n’ai vécu la dissolution d’Ordre nouveau que comme une péripétie. On ne dissout pas des idées. On s’est retrouvé avec Faire front à Vincennes – c’était juste un changement de local (et de bistrot, mais j’en ai oublié le nom), puis avec le PFN boulevard de Sébastopol (bar-tabac Le Chat noir).

Mon départ pour le service militaire en octobre 1974 m’a amené à plus de réflexion politique et renforcé dans mes convictions et antipathies.

Direction le 2e régiment d’infanterie de marine, basé au Mans. Les gaîtés du service m’ont totalement échappé. Heureusement qu’il y avait l’entraînement militaire, sinon je comptais les jours. La quille, bordel !

La guerre d’Algérie n’était finie que depuis douze ans ; les gradés, et surtout les officiers, étaient susceptibles d’y avoir servi et de ne pas s’être rebellés. Donc ils étaient coupables de cette absence de révolte. Que m’importait alors leur courage physique face à l’engagement non respecté de défendre la France et les Français. Et puis, la fiction d’un service égalitaire ! Alors que des pistonnés rentraient chez eux tous les soirs, un Basque malchanceux – à qui il fallait vingt-quatre heures pour rentrer chez lui et autant pour en revenir – n’avait droit qu’à une permission de 96 heures par mois.

J’ai connu quelques ennuis après avoir vu mon nom en haut d’une colonne de signataires de l’Appel des 200 du Comité de soutien à l’armée du sergent Dupuy.

J’ai bien sûr refusé de rempiler (une fois pour aller au Gabon, une autre fois en Nouvelle-Calédonie. Pas question de devenir une « rampouille » !)

Enfin la quille est venue. Je me suis détaché du militantisme en observant, avec du recul, l’évolution de certains militants et dirigeants qui pouvaient faire l’objet de controverses.

Avec mon ami Pierre Versini (Bugny) et ensuite mon frère Philippe, nous étions à la recherche d’une guerre. Pour nous connaître nousmême d’abord et, pourquoi pas, pour faire oeuvre utile aussi.

Le Liban correspondait à toutes nos aspirations. Se battre pour les Phalangistes libanais (le nom inspire tout de suite la sympathie), des chrétiens orientaux [1]. Combattre les Palestiniens était cohérent : si leur combat pour récupérer leur terre était légitime, Amman et Beyrouth n’étaient pas sur le chemin pour Jérusalem. Il n’est pas acceptable que des réfugiés cherchent à s’emparer du pouvoir (en Jordanie) ou à accaparer les terres des chrétiens libanais.

J’y suis resté six mois ; j’ai été blessé, puis j’ai fait six mois de rééducation en France.

On nous a proposé à mon frère et à moi de partir au Laos pour combattre avec les maquisards contre les communistes. J’ai dû refuser cette aventure et mon frère n’ayant pas voulu partir sans moi, c’est Thierry Tcheng (lui aussi pouvait prétendre faire couleur locale) qui est parti à notre place.

Quelques mois plus tard, Bob Denard nous a proposé une excursion de quelques heures au Bénin, offre que nous avons déclinée. Mais la proposition suivante – une croisière aux Comores – m’a tenté ; cette fois-ci, je voulais en être. J’ai cru être habile en proposant à ma petite amie le mariage dès mon retour de cette aventure. J’étais naïf : elle a accepté le mariage et s’est opposée à mon départ. Mon frère est parti sans moi ! Partir à trente pour conquérir un pays, même tout petit, mené par deux corsaires, Denard et le Crabe-Tambour, cela eût été exaltant… Mais j’ai eu deux enfants, un garçon et une fille, qui font ma fierté. Charles Péguy aurait écrit : « Le père de famille est l’aventurier des temps modernes ».

Beaucoup ont choisi de se battre à l’étranger (Karens, Cambodge, Croatie), d’autres sont restés en France pour mener le combat, mais c’est toujours la même guerre, la même adrénaline, le même dévouement.

J’ai continué à militer autrement, en faisant embaucher là où je le pouvais des militants et des réfugiés (vietnamiens et cambodgiens).

J’ai gardé mes idées de jeunesse. Je m’honore d’avoir gardé l’amitié des premiers militants que j’ai connus en 1971-1972. François Lefèvre, Guillaume d’Aram, Michel Vial, Christian Marelle et d’autres trop nombreux pour tous les citer et bien sur l’amitié précieuse d’authentiques militantes, Véronique Péan, Marie-Thérèse Philippe [2]… J’aime me souvenir de mes amis partis en éclaireurs, Pierre Versini (Bugny), Thierry Tcheng, Yves Van Ghele. Je suis confiant, je les retrouverai où qu’ils soient, au paradis ou au Valhalla.

Je suis resté un faf. J’ai la nostalgie de l’adrénaline.

[1] Après Vatican II, notre père nous avait fait découvrir la liturgie de saint Jean Chrysostome pratiquée dans les églises catholiques d’Orient, chez les orthodoxes une partie de l’année et chez les coptes depuis le Ve siècle (Proche-Orient et uniates d’Ukraine).

[2] Belles, courageuses, volontaires, intelligentes, marrantes, charmantes, pimpantes, fringantes, modestes et fières de l’être...

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dimanche, 11 février 2024

Nouvel exploit de Moussa : il arrête 39 jeunes rendant hommage à Robert Brasillach

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Un communiqué de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque :

Pendant que Moussa fait son cinoche à Mayotte, et se prépare à envoyer dans l’Héxagone tous les Comoriens et Africains dont les Mahorais ne veulent plus, on en apprend de belles sur les exploits de ses nervis, qu’on ne peut même plus appeler forces de l’ordre, en région parisienne.

La Brav-M a arrêté, ce samedi, 39 jeunes militants qui avaient rendu hommage à Robert Brasillach (que Mitterrand appréciait beaucoup), dans un cimetière. Parmi elles, l’ancien chef des Zouaves, qui paraît un des hommes à abattre du régime, Marc de Cacqueray-Valmenier cliquez ici.

Ils n’ont commis aucun délit. Mais selon les policiers, ils auraient pu en commettre, ils se préparaient à en commettre. Ils n’ont commis aucun attentat, mais ils seraient fichés S pour la moitié d’entre eux. Et bien sûr les médias de propagande essaient de justifier l’arrestation de ces jeunes, en les qualifiant de néo-nazis, en rappelant qu’ils auraient agressé des militants de Sos Racisme, oubliant de dire qu’ils étaient venus foutre le bordel dans un meeting d’Eric Zemmour. Ils précisent même, circonstance aggravante, que Marc de Cacqueray-Valmenier serait allé se battre en Arménie avec les chrétiens, contre les musulmans azeris.

Voilà donc les priorités, ces quinze derniers jours, de don Moussa et de son valet Nunez : garde-à-vue de Charles Demassieux, perquisition chez Pierre Cassen, dissolution de La Citadelle, et arrestation de 39 jeunes militants rendant hommage à Brasillach.

Pendant ce temps-là, à Rennes, les antifas ont tout cassé pendant une heure 30, sans intervention de la police, et sans la moindre arrestation. Pendant ce temps-là, dans toute la France, des apprentis djihadistes sèment la terreur, agressent, violent, poignardent…

Ordures !

Source cliquez ici

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samedi, 10 février 2024

10 février 1977 : la mort aux conséquences inattendues d'Alain Escoffier

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Le 10 février 1977, sur les Champs-Elysée, se déroula dans l'indifférence presque totale un événement aux conséquences inattendues. Voici comment ce qui n'aurait pu être qu'un "fait-divers", est relaté dans le Cahier d'Histoire du nationalisme n°24 consacré aux 50 ans de la création du Front national cliquez ici :

Un événement aux conséquences inattendues se déroula le dimanche 10 février de cette année-là. Dans l'après-midi, un jeune militant solidariste, Alain Escoffier, probablement désespéré, s'est donné la mort en s'immolant dans les locaux de l'Aeroflot, la compagnie aérienne soviétique, situés sur les Champs Élysées. Cet acte terrible passa relativement inaperçu mais, sans le savoir, Alain Escoffier allait provoquer une rencontre prometteuse.

En effet, quelques jours plus tard, le hasard allait bousculer les choses. Une cérémonie fut organisée en mémoire du malheureux à la demande de ses camarades solidaristes dans une église parisienne. Jean-Marie Le Pen décide de se rendre à cette messe. À l'issue de celle-ci, sur le parvis de l'église, il retrouve un ancien militant de la campagne de Tixier qu'il n'avait pas revu depuis 1965, Jean-Pierre Stirbois. Ils déjeunent ensemble et, à la suite de ces retrouvailles, Stirbois décide de rejoindre le Front. Sans qu'ils le sachent, ni l'un ni l'autre, l'histoire politique de la France venait de prendre un tournant qui durera jusqu'à aujourd'hui.

En septembre, l'Union solidariste se rallie au FN. Jean-Pierre Stirbois était un militant chevronné, méthodique et déterminé, il allait désormais mettre ses talents et son charisme au service de Le Pen.

La suite, c'est Dreux, c'est 1984, c'est 2002, c'est...

Ayons une pensé pour ce camarade...

S N

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mardi, 06 février 2024

6 FÉVRIER : EN SOUVENIR DE ROBERT BRASILLACH

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Lisez le bulletin de  l'Association

des Amis de Robert Brasillach :

Monique Delcroix BP 19 60240  Chaumont-en-Vexin

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lundi, 05 février 2024

Notre Ami Daniel nous a quitté...

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Depuis des années, Daniel était devenu une figure incontournable de nos Journées Bleu-Blanc-Rouge de Synthèse nationale. Il était en effet l'un des piliers du comité d'organisation, chargé en particulier de superviser la "partie restauration" (poste hautement stratégique s'il en est). Et, en plus, il maitrisait parfaitement l'utilisation du Système d'exploitation Apple, ce qui le rendait encore plus indispensable dans notre organisation. 

Toujours aimable, toujours attentif, toujours efficace, répondant toujours "présent", il faisait parti de ces gens sur lesquels je pouvais m'appuyer sans souci aucun. Hélas, à la prochaine journée BBR, Daniel ne sera plus là. Il est subitement décédé, chez lui à Versailles, à la fin de la semaine dernière... 

Personnage attachant, des années durant, il avait tenu une librairie au coeur de la capitale royale. Fin gourmet, il connaissait parfaitement toutes les bonnes tables de cette ville qu'il aimait tant. Observateur avisé, il avait toujours un avis intéressant sur l'actualité. C'était toujours un plaisir de passer un moment avec lui. 

Repose en paix Ami Daniel, nous ne t'oublierons jamais.

Roland Hélie

 

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lundi, 22 janvier 2024

Décès de Grégoire Dupont-Tingaud, militant de la cause nationale

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C'est avec une très grande tristesse que nous apprenons le départ vers l'au-delà de Grégoire Dupont-Tingaud.

Grégoire avait 54 ans, il était, depuis sa jeunesse, un militant actif de la cause nationaliste. Il participa avec enthousiasme à toutes les campagnes menées pour tenter de sauver notre nation et notre civilisation. La dernière en date étant celle d'Eric Zemmour en 2022.

Il faut dire qu'il avait de qui tenir puisqu'il était le fils de notre Chère Claudine Dupont-Tingaud, elle-même infatigable et exemplaire combattante depuis le soulèvement Algérie française de 1961.

Toutes nos pensées affectueuses vont aujourd'hui vers Claudine, vers son épouse et ses enfants.

R H

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mardi, 09 janvier 2024

Samedi 3 février, à Vaucresson (92) : hommage du Parti de la France à Roger Holeindre

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Samedi 3 février à 16h30, le Parti de la France organise son traditionnel hommage à Roger Holeindre au cimetière de Vaucresson (10 rue de Cazes).

La commémoration sera suivie, à partir de 19h30, d'un repas au restaurant (45 € par personne tout compris) où diverses personnalités de la droite nationale évoqueront, comme chaque année, le souvenir de Roger Holeindre.

Ne tardez pas à réserver pour le dîner, les places sont limitées : 

07.66.51.27.24 ou partidelafrancesomme@gmail.com

A propos de Roger Holeindre, lire le livre C'est Roger : cliquez ici

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mardi, 26 décembre 2023

Patrick Buisson est décédé aux Sables d’Olonne : l’hommage de ses proches

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Au lendemain de la Nativité, la France perd l’un de ses penseurs les plus éminents. Tout au long de son existence, l’auteur de La Cause du Peuple a mobilisé ses immenses talents au service d’une action politique fondée sur un patrimoine intellectuel incandescent. 

Homme de lettres et d’action, Patrick Buisson n’a jamais reculé devant les défis de son époque, offrant à ses contemporains une leçon de courage contre tous les tremblements de son siècle. Au rebours de ceux qui veulent brader un héritage qui irrigua toute son existence, le sage de Vendée porta la conviction que la droite française n’avait pas d’autre ambition estimable que celle d’être la patrie de l’intelligence. Souvent déçu, jamais abattu, Buisson aura conseillé certaines des personnalités publiques qui façonnent notre époque.

Nous ne pouvons qu’espérer ardemment que son héritage soit fécond et invitons tous ceux qui connurent sa personne comme son œuvre à s’incliner devant la mémoire d’un phare de notre époque. Puissent les prières monter pour le Salut de son âme et ses héritiers agir pour celui de notre pays.

Dans ces heures douloureuses, nous appelons chacun à témoigner pudiquement des trésors que recela une vie qui ne fut pas dénuée de fracas.

Patrick Buisson, présent !

Alexis Chevalier, fondateur du Pélican noir,

Charles de Meyer, président de SOS Chrétiens d’Orient,

François Bousquet, rédacteur en chef d’« Éléments »

 

Source Eléments cliquez ici

Lire aussi Polémia cliquez là

NDLR SN : Tout est dit, rien à rajouter. C'est une perte pour la droite de conviction. Qu'il repose en paix.

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dimanche, 17 décembre 2023

Décès de Jacques Le Morvan, figure du combat national et catholique

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Communiqué de Chrétienté Solidarité :

« Gaudete in Domino semper »

A la veille du dimanche de Gaudete, ce samedi 16 décembre 2023, à l’heure où l’on chante les complies, Jacques Le Morvan a été rappelé à Dieu.

Militant fondateur du Centre Charlier, Jacques a été de tous les combats pour la France et la Chrétienté. De Saint Nicolas du Chardonnet à Saint Louis de Port Marly, sur les routes de Chartres ou dans les rues de Paris, il a toujours été aux avant-postes de la résistance catholique et française.

Par son talent, il a su offrir au Centre Charlier et à Chrétienté-Solidarité l’écrin qui enveloppe chacune de nos initiatives et de nos luttes. Les bannières et les drapeaux qu’il a dessinés et confectionnés, avec son épouse Colette, continuent de guider nos pas.

A la manière de Jacques Perret, qu’il affectionnait tant, Jacques était, tout simplement, un défenseur du Trône et de l’Autel, un chouan poursuivant la lutte au XXe siècle finissant et en ce début de XXIe siècle si menaçant.

Les portes du Paradis sont grandes ouvertes pour ceux qui ont aimé et servi Jésus Christ ici-bas. Nul besoin d’en crocheter les serrures, ni de les enfoncer avec un bélier. Pas de policier irascible, ni de méchants évêques pour en empêcher l’accès à ceux qui ont combattu sous les bannières du Christ-Roi.

Que Notre Dame de France accueille Jacques, dans la Paix qui ne finit jamais.

A Dieu Jacques, au revoir mon cher ami.

Yann Baly

Président du Centre Charlier

NDLR SN : Jacques est décédé presque un an après son frère Pierre cliquez ici. Depuis les années 1970, à Angers puis à Paris, il était devenu un militant incontournable de la cause nationale. Sachant passer au-dessus des clivages qui traversent régulièrement notre camp, il faisait de l'intérêt de la France une priorité absolue. C'est un valeureux camarade que nous venons de perdre. 

R H

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jeudi, 30 novembre 2023

Notre Ami Albéric est inhumé aujourd'hui en Bretagne. Ayez une pensée pour lui...

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Nous avions un camarade.

Albéric d'Herbais est décédé vendredi dernier cliquez ici

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vendredi, 24 novembre 2023

Adieu l'ami...

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Notre camarade, notre ami, mon ami Albéric d’Herbais est décédé subitement vendredi matin suite à un arrêt cardiaque. Il avait fêté ses 43 ans il y a quelques mois. C’est une terrible nouvelle pour ses proches et pour la communauté militante nationale.

Albéric, depuis son plus jeune âge, a été de tous les combats. Qui plus est, c’était un formidable convive, un garçon drôle et cultivé. Il nous manquera.

Nous pensons à Alexia, son épouse, à ses fils et à toute sa famille engagée elle aussi pour que la France reste la France.

Il reposera en terre bretonne, là où il vivait depuis des années.

Adieu, camarade, adieu Bébert

Roland Hélie

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samedi, 11 novembre 2023

Il y a 40 ans, le 10 novembre 1983 : décès de Maurice Gaït

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cliquez ici

Maurice Gaït est né en 1909 à Marseille.

Élève de l’École normale supérieure, en 1928, il y est le condisciple de Maurice Bardèche, de Robert Brasillach, de Thierry Maulnier, de Jean Nocher et de René Château. Il en sort agrégé de philosophie.

Il collabore à La Flèche de Gaston Bergery qui, en été 1940, est membre du Comité d’organisation chargé de définir les bases d’un Parti national unique. Bergery rédige une partie du message radiodiffusé du maréchal le 11 octobre 1940 où ce dernier propose aux Français d’adhérer à un ordre nouveau et à une collaboration réciproque avec l’Allemagne.

Il rédige aussi, avec Emmanuel Berl, « l’appel aux travailleurs » du maréchal Pétain.

En 1942 et 1943, Maurice Gaït est directeur du cabinet d’Abel Bonnard, ministre de l’Éducation nationale, puis commissaire général à la Jeunesse à partir de 1944.

Il est une des rares personnes à avoir le courage de rester auprès de Pierre Laval  jusqu’à la dernière heure avant son départ pour l’Allemagne le 17 Août 1944.

Incarcéré et poursuivi pour son implication dans l’État Français, il bénéficie d’un non-lieu le 18 novembre 1947.

Il publie en 1948, aux éditions des Gazettes Le manifeste des inégaux sous le pseudonyme de Fabricius Dupont.

Après avoir dirigé La Fronde, il se joint à l’équipe de l’hebdomadaire Rivarol fondé en janvier 1951 par René Malliavin. Maurice Gaït en est le rédacteur en chef et l’éditorialiste à partir de 1973 jusqu’à sa mort en 1983.

Il décède le 10 novembre 1983.

 

NDLR - SN : Jeune militant nationaliste, j'ai eu plusieurs fois l'occasion de rencontrer Maurice Gaït. C'était un homme impressionnant par sa culture et sa fidélité à l'idéal qui nous anime. Il était, d'une certaine manière, un "homme de synthèse". Hélas, aujourd'hui, il est tombé dans l'oubli. Remercions le site Jeune Nation d'avoir rappelé, en ce quarantième anniversaire de sa disparition, qui était Maurice Gaït.

R H

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dimanche, 05 novembre 2023

JEAN-PIERRE STIRBOIS, DÉCÉDÉ UN 5 NOVEMBRE... C'ÉTAIT EN 1988, IL Y A 35 ANS

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Il était le secrétaire général du Front national, beaucoup hélas l'ont oublié.

Pour ceux qui veulent mieux connaître la vie et le combat de Jean-Pierre Stirbois cliquez ici

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mercredi, 01 novembre 2023

1er et 2 novembre : Souvenir et fidélité

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vendredi, 27 octobre 2023

Décès de Marie-José Peiffer, directrice des Éditions Art et Histoire d’Europe

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Nous apprenons la disparition de Marie-José Peiffer : Directrice d’une société de sécurité, elle avait créé dans les années 80 les Éditions Art et Histoire d’Europe pour publier Léon Degrelle, chef du mouvement belge REX en exil en Espagne depuis la fin de la IIe Guerre mondiale (notamment ses livres sur « Le siècle de Hitler »)… Elle avait ouvert ensuite sa politique éditoriale non seulement à des historiens reconnus comme Jacques de Launay, David Irving et Jean Mabire (celui-ci avait même dirigé la collection, « Action ») mais également à des auteurs grands publics tel Jean de La Varende (Guillaume le bâtard conquérant), Guy des Cars (L’Officier sans nom), Saint-Loup (Face nord, Les partisans, Götterdammerung,…) ou encore Philippe Randa pour son roman de science-fiction Rendez-vous dans l’avenir (récemment réédité aux éditions Dutan).

On se rappellera tout particulièrement du magnifique album richement illustré Léon Degrelle et la Légion Wallonie, 1941-1945 de Jean Mabire et Éric Lefèvre dont les exemplaires d’occasion sont très recherchés par les amateurs.

Depuis des années, elle s'était retirée en Bretagne, terre de légendes qu'elle appréciait particulièrement. RIP.

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mardi, 24 octobre 2023

Ne jamais les oublier...

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jeudi, 19 octobre 2023

Décès de Laurence Maugest, une militante exemplaire

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Notre amie et compagnon de route Laurence Maugest vient de nous quitter subitement. C'était un personnage toujours engagé pour la défense de nos valeurs civilisationelles qu'elle défendait au nom de nos origines Celtes, Gréco-latines et Chrétiennes. 

Au travers d'un de ses livres "Ballade avec Saint-Matthieu" (parut aux éditions Apopsix), Laurence s'attaquera à la suprématie de la raison et de la toute puissance donnée aux sciences. Elle savait nous manifester son tempérament de rigueur et d'exigence, parce que justement elle était sensible au fait que nos sociétés modernes se retirent du monde réel pour se laisser berner et bercer par des idéologies incertaines tel que le féminisme, l'écologisme, le matérialisme, le nihilisme. 
 
Toujours pleine de volonté , elle s'engagera avec énergie et espoirs tant auprès d'associations que de partis politiques en particulier dans les Yvelines, là où elle résidait. Laurence se présentera à différentes élections pour soutenir le parti de Florent Philippot, mais aussi et plus tard pour la dernière présidentielle, aux côtés de Zemmour. Sans oublier ses soutiens pour TVLibertés qu'elle chérissait au nom d'une certaine métapolitique.
 
Pour ma part, je garderai toujours en mémoire ces moments de confidences et de partage d'une grande amitié qui se plaçait davantage dans les interrogations de nos vies au quotidien et moins dans les déceptions philosophiques de nos existences idéologiques...
 
Laurence, était une sacrée personne, symbiose d'énergie, de sensibilité et de combat.
 
Hugues Bouchu
Les Amis franciliens de Synthèse nationale

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jeudi, 14 septembre 2023

Disparition d'un grand Espagnol

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Je viens s’apprendre avec tristesse le décès d’Alberto Torresano. Militant historique de la Phalange espagnole, il avait des années durant assuré les relations internationales de ce mouvement. A ce titre, il participa à plusieurs reprises aux journées annuelles de Synthèse nationale. Grand ami de la France, il fut l’un des piliers du cercle Franco-Hispanique. Alberto est parti mais pour ceux qui l’ont connu, il sera toujours présent.

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

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jeudi, 31 août 2023

SAMEDI 2 SEPTEMBRE : HOMMAGE À PIERRE SIDOS DÉCÉDÉ LE 4 SEPTEMBRE 2020

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Sur la disparition de Pierre Sidos cliquez ici

Un CHN sur Pierre Sidos cliquez là

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mardi, 08 août 2023

Nous avions une camarade... VÉRONIQUE BOUCHER, née BOYER (1938 - 2023)

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Albéric d'Avine

Comme dit si bien son fils, Véronique, des premiers aux derniers jours, a eu un engagement total et fidèle, en parallèle d'une vie professionnelle intégralement consacrée aux Belles Lettres, à l'Edition et à sa passion pour les livres et la langue française : Engagement patriotique de toujours.

OAS (Fidèle soutien de son fiancé Jean-Luc, embastillé OAS pendant 4 ans dans les geôles gaullistes, à la Santé, puis à Saint-Martin de Ré), Comité Tixier-Vignancour, Front National évidemment (rue du général Clergerie), Présent, Bénévole de Radio Courtoisie pendant 30 ans, Secrétaire de l'Association Nationale Pétain-Verdun, ces organisations purent se flatter d'avoir eu une collaboratrice, une amie, une camarade engagée, volontaire et efficace !

Véronique était une bretonne à la tête dure et bien faite, ayant élevé ses 3 fils comme de vrais militants, qui sont, grâce à elle, d'excellents pères, et de francs soutiens de notre cause nationale.

Outre ses combats, rien de ce qui est national ne lui était étranger, et nombreux sont ceux qui, comme moi, purent, jeunes étudiants, avoir droit à un toit, une oreille attentive, et parfois une juste remise en place, pour la cause !

Notre camarade est partie. Elle a marié sa petite-fille, puis s'en est allée, discrètement, après la Messe, petite main fidèle, comme de nombreux lecteurs de SN s'en souviendront, entourée de ses fils, des ses petits-enfants et assistée des secours de la Religion, grâce au Père Jean-Baptiste, de l'Abbaye de Lagrasse.

Véronique sera inhumée en ses terres bigoudènes, le vendredi 11 août 2023, à 14h30, en l'église Saint Tugdual de Combrit (29).

Chère Véronique, Kénavo Avech'al !

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