mardi, 28 septembre 2021
Paris : Gilles Soulas présent !
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lundi, 27 septembre 2021
Le site de la revue Eléments rend un bel hommage à Gilles Soulas
François Bousquet cliquez ici
Éditeur, libraire, militant de toutes les causes, Gilles Soulas (1955-2021) nous a brutalement quittés au petit matin, en ce dimanche 26 septembre. À près de 70 ans, rien n’avait pourtant vieilli en lui. Au contraire, tout était clair, le regard, l’attitude, le visage. On n’est pas prêt de l’oublier.
Il était solide comme une poutre maîtresse. Il semblait indestructible. Les épaules taillées dans du chêne. Si quelqu’un n’avait pas besoin de rouler les siennes, c’était lui. Jamais il ne la ramenait, toujours taiseux sur ses nombreux faits d’arme. Mis bout à bout, ils étaient pourtant aussi épais que ceux d’un baroudeur, depuis le Liban, où il combattit en 1976 (Photo) aux côtés des Forces chrétiennes. Pas un mot plus haut que l’autre, sauf quand il fallait lever les poings pour s’interposer.
Sa démarche, lourde, puissante, athlétique, valait toutes les cartes de visite ; il fallait le voir arriver à la Nouvelle Librairie, au 11 de la rue de Médicis, toujours chargé, un carton de livres dans les bras, un rayonnage démonté dans son SUV, où il raccompagna, un soir mémorable de l’automne 2020, Jean Raspail chez lui, Louise, son épouse, littéralement ensevelie sous les livres qui débordaient de partout.
De la Librairie nationale à la Nouvelle Librairie
Jamais la Nouvelle Librairie n’aurait été ce qu’elle est devenue sans lui. Je crois qu’elle le rajeunissait et le ramenait un quart de siècle en arrière, en 1997, quand il a repris la librairie de L’Æncre, rue de la Sourdière, au cœur de Paris. C’est à ce moment que nous nous sommes rencontrés. Avant d’en faire la future Librairie nationale, maison éditrice de Jean-Claude Valla et de Guillaume Faye, ancêtre de la Nouvelle Librairie, L’Æncre était en quasi-faillite, avec des ardoises un peu partout, dont une très, très grosse aux éditions de l’Âge d’Homme, des paquets de livres impayés, du général Gallois, de Julius Evola, de Vladimir Volkoff et j’en passe. Pas de quoi entamer une relation du bon pied. Eh bien, celui qui était encore Soulas pour moi a d’emblée réglé cette dette comme on règle une dette d’honneur, histoire de remettre les compteurs à zéro et de repartir sur de bonnes bases. Ni lui ni moi n’avons eu à nous en plaindre.
La hure de Gilles
On s’est retrouvé en 2018, quand notre bande a lancé la Nouvelle Librairie. Il lui a apporté son soutien inconditionnel, son expérience, son imagination, sa prodigieuse activité, ses contacts sans nombre, son amitié. La hure de sanglier – celle qui trône dans la boutique de la rue de Médicis, tout Gilles Soulas – c’est lui qui l’a déposée (et posée).
Il était entrepreneur dans l’âme, homme lige de quantité de structures, ici cheville ouvrière, là maître d’œuvre. Joignable H24, dès qu’il s’agissait de la cause. Il appartenait à la classe d’élite du militantisme, les prétoriens, les preux, le dernier carré – ou le premier. Le militantisme ainsi conçu, c’est la dernière chevalerie – ou les prémices de sa renaissance. Toujours en première ligne, non pas seulement pour aller au combat, mais aussi, mais plus encore pour descendre dans la salle des machines, où d’ordinaire on ne se presse pas. Toujours servir, quoi qu’il en coûte, quoi qu’il advienne : il n’y a que l’esprit d’adolescence, que l’esprit de jeunesse susceptible de porter tout au long de l’existence cet idéal. Les nés vieux, les secs au berceau, les avares au rabais ne pourront jamais comprendre.
Les livres dans la peau
Il aimait passionnément les livres, en bibliomane et en soldeur, j’allais dire presque en chiffonnier d’antan (qu’on me pardonne l’expression, elle vaut éloge sous ma plume – les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître ce qu’a été l’économie du livre dans les âges antérieurs : une affaire de bricoleurs, de fous, de risque-tout). Je n’ai connu une telle passion du livre que chez Vladimir Dimitrijević, le patron de l’Âge d’Homme. Tous les deux étaient toujours fourrés chez Emmaüs, filaient un jour en province récupérer une bibliothèque, achetaient le lendemain dix cartons chez un grossiste. Le collectionneur faisait relier les livres, le soldeur ne voulait pas qu’ils meurent au pilon.
Servir sans compter, la seule devise qui vaille
Combien de fois a-t-il assuré le SO de nos événements ? SO, service d’ordre : ces deux mots le résument à merveille. Je crois qu’on peut dire qu’on était avec lui en sécurité, dans toute la force du mot. La dernière fois que j’ai vu cette force à l’œuvre, c’était à Toulouse, le 12 février 2020, lors d’une conférence organisée par le cercle des Capitouls attaquée par les antifas. Pas trop de dégâts, mais des images impressionnantes. Comme j’intervenais soir-là, mon attention était tournée ailleurs. Mais au vu des vidéos qui ont ensuite circulé, Sixtine Jeay, la codirectrice de la librairie et de ses éditions, qui en connaît un rayon en matière d’autodéfense, elle qui a été championne de France de box thaï, m’a dit avoir été impressionnée par le sang-froid de Gilles. Je veux bien la croire. Il nous aura tous impressionné. Lui, son sang-froid, son inébranlable solidité.
On s’était promis une chose que tu ne verras malheureusement pas, Gilles ! Une deuxième dédicace Zemmour, quatre ans après la première, qui a tenu lieu pour nous d’inauguration en grande pompe de la Nouvelle Librairie, où tu aurais assuré la sécurité et fait la nique aux journalistes, en particulier à ces corniauds de Quotidien. Je ne sais pas si on la fera, cette dédicace, mais si tel devait être le cas, je te promets qu’on ne les loupera pas.
Toute notre affection, notre peine et notre amitié à ton épouse, Louise et aux tiens. Adieu, camarade !
Sur la disparition de Gilles cliquez là
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dimanche, 26 septembre 2021
GILLES SOULAS EST PARTI...
Gilles Soulas (1955-2021)
C'est avec une peine immense que je viens d'apprendre le décès, en fin de matinée ce dimanche, de notre camarade, notre Ami, mon Ami, Gilles Soulas. Inutile de vous préciser que cette épouvantable nouvelle m'a complètement bouleversé.
Gilles faisait parti de ces rocs invincibles, toujours debout face à l'adversité, sachant s'élever au-dessus des querelles, souvent futiles, qui traversent de manière récurrente notre camp ; c'était à la fois un esprit libre et un exemple de courage et fidélité. Il n'hésita pas à mettre sa peau au bout de ses idées, comme ce fut le cas au Liban en 1976 au moment où la guerre faisait rage, en s'engageant avec quelques autres jeunes nationalistes français aux côtés des combattants chrétiens. Cela faisait plus de quarante ans que nous nous connaissions, que nous nous battions pour la même cause et jamais, ô grand jamais, il ne sombra dans le désespoir, ni dans le reniement. Que de souvenirs...
Toute sa vie, il s'est dépensé sans compter pour épauler les nombreuses initiatives militantes qui lui semblaient justes. Toute sa vie, en particulier grâce à ses multiples responsabilités professionnelles, il a donné du travail à des camarades dans le besoin. C'était ce que l'on appelle un Homme de Qualités.
Je pense à Louise, son épouse, à leurs enfants... je pense aussi à toutes celles et tous ceux qui formaient autour de lui cette phalange soudée de camarades toujours volontaires pour continuer, quelle qu'en soit la forme, le combat pour la France française et pour l'Europe européenne, cet idéal qui lui était si cher.
Gilles, tu viens de partir, tu nous manques déjà...
Roland Hélie
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mercredi, 11 août 2021
Décès du colonel Luciani, ancien d'Indochine et militant actif de la cause nationale
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lundi, 31 mai 2021
Décès de Marc Aurand, ancien responsable francilien du FNJ
Nous venons d'apprendre la disparition, à l'âge de 60 ans, de Marc Aurand. Dans les années 1980 et 1990, au moment de la percée historique du Front national, il était l'un des responsables franciliens du FNJ. Il travaillait aux côtés du regretté Jean-Pierre Schenardi. Je n'avais plus de nouvelles de lui depuis cette époque, mais j'ai le souvenir d'un garçon sincère, déterminé et courageux. Je sais qu'il était resté fidèle à l'idéal nationaliste. Ayons une pensée pour lui.
Roland Hélie
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vendredi, 21 mai 2021
Pierre Génie, militant historique de la cause nationale, est décédé cette nuit
C'est avec une grande tristesse que j'apprends ce matin le décès de Pierre Génie. Agé de 90 ans, il était depuis quelques temps très fatigué.
Militant de la cause nationale depuis toujours, il s'était engagé, dès la création du FN au début des années 1970, aux côtés de Jean-Marie Le Pen qu'il a toujours soutenu. Il occupa pendant longtemps des responsabilités au sein de la fédération des Côtes d'Armor du Front. Il était aussi très attaché à la Tradition catholique.
Homme discret, sage et cultivé, il recevait toujours chez lui avec gentillesse et bienveillance les militants de passage dans le Trégor, bout de terre bretonne qu'il aimait tant.
La vie lui avait réservé aussi son lot d'épreuves douloureuses. Il y a un an, Catherine, sa fille ainée, nous avait quittée suite à une longue maladie.
À Marie-Claude, son épouse, à Manoue, Brigitte, ses filles, et à toute sa famille, je tiens à faire part, au nom de la communauté militante, de notre peine et notre affection.
R H
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dimanche, 09 mai 2021
In memorian : Sébastien Deyzieu
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lundi, 26 avril 2021
Décès de Didier Vial, fils de notre ami Pierre Vial
Nous venons d'apprendre la disparition, à l'âge de 57 ans, de Didier Vial, fils de notre ami Pierre Vial, président de Terre et peuple, et de son épouse Dany.
Homme d'action, Didier s'était engagé dans plusieurs conflits à travers le monde. Il était ce que l'on appelle, au sens noble du terme, un "soldat de fortune". Homme d'idées, il accompagnait souvent, lorsqu'il était en France, son père dans les réunions, en particulier aux Tables-rondes de TP.
Toutes nos pensées vont aujourd'hui vers ses parents que nous apprécions tant. Quel que soit l'âge, la perte d'un fils est une épreuve épouvantable. Toute la rédaction de Synthèse nationale se joint à moi pour assurer Pierre et Dany de notre fidèle amitié dans ces pénibles moments.
Roland Hélie
Terre & peuple cliquez ici
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jeudi, 18 mars 2021
18 mars 1978 : assassinat de François Duprat
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lundi, 08 mars 2021
Décès de Francis Van Den Eynde, figure historique du mouvement flamand
Je viens d'apprendre la disparition de Francis Van Den Eynde, militant historique du mouvement identitaire flamand. J'ai régulièrement eu l'occasion, lors de diverses réunions européennes, de rencontrer Francis, personnage éminemment sympathique aux idées solidement ancrées et à l'enthousiasme débordant. C'est une perte pour tous ceux qui l'ont connu et apprécié. Qu'il repose en Paix.
Le site Terre et peuple cliquez ici vient de publier un hommage magnifique de son camarade Luc Pauwels à ce militant exemplaire. Nous le reproduisons ici.
R H
IN MEMORIAM
FRANCIS VAN DEN EYNDE
(1946-2021)
Entre Francis le turbulent garçon des Marolles, le plus vieux quartier populaire de Bruxelles, et Francis l’orateur enthousiaste, député et vice-président du parlement belge, il se déploie plus d'un demi-siècle d'engagement ininterrompu pour la Flandre, pour l'ensemble des Pays-Bas et pour l'Europe. Pas l’Union européenne, mais ce qu’il aimait appeler l’Empire des peuples européens.
J'ai rencontré Francis à cette première époque et au fil des ans je l'ai vu évoluer - et rester le même. Nous étions rarement membres des mêmes associations. Cela a abouti très régulièrement à des discussions animées autour d’une pinte. Pintes, au pluriel, pour être juste !
La Flandre est devenue plus pauvre
Parce que la bonne Flandre a un champion en moins, quelqu'un qui prêchait l’engagement et le vivait lui-même. L'engagement d'un Till Ulespiègle, toujours frais et spontané, avec le visage découvert et plus d'humour que ses adversaires ne pouvaient souvent en supporter. Se battant pour ses principes, avec un sourire aux lèvres, tenace, mais jamais aigre ou cassant. Et cela aussi bien en néerlandais qu’en français et d’autres langues encore.
Quant au Conseil municipal de la ville de Gand il fut confronté pour la énième fois aux « heures les plus sombres de notre histoire » et la collaboration de certains nationalistes flamands, il demanda d'abord pourquoi la mairie maintenait un nom de rue et une statue pour Lieven Bauwens (1769-1822). Des points d'interrogation sur de nombreux visages. Eh bien, a rappelé Francis aux conseillers municipaux, Bauwens était un collaborateur de l'occupant sans-culotte français, maire de guerre de Gand, à la fois jacobin et chouchou de Napoléon...
De plus, Francis - lui-même issu d'une famille « blanche comme neige » - s'est émerveillé de la mémoire misérablement courte d'un certain nombre de collègues verts, libéraux et rouges qui auraient mieux fait de se rappeler leur propre passé familial dans la guerre. Après la réunion du conseil, au moins un membre de chaque groupe mentionné est sorti dans les couloirs pour le remercier de ne pas avoir mentionné son nom.
De cette façon, Francis s'est fait des amis ou du moins des adversaires respectueux - en donnant lui-même l'exemple. Cela ressemble à l'école, mais cela a fonctionné. Il a été aidé par sa mémoire phénoménale et son trésor d'anecdotes historiques. Et ses nombreux voyages, littéralement à travers le monde. J'aurais aimé l'entendre parler du Myanmar, où il avait bien sûr été et fouiné, mais ça n'a plus été possible.
Puis il y avait ses histoires irlandaises. Je ne pense pas que la Flandre ait eu un meilleur connaisseur d'Irlande. D'ailleurs, son fils aîné y habite, marié à une Irlandaise : « Le seul pays étranger à qui j'ai voulu céder un enfant »...
Quand en 2010 il ne s’est plus porté candidat pour l’Assemblée nationale, il a tenu un discours remarquable sur « ce qui nous sépare », prônant que ce n’était guère le clivage droite-gauche, mais beaucoup plus l’antagonisme entre le populisme ethno-culturel de Herder, le boulangisme ou encore Barrès d’un côté et l’étatisme, allant des jacobins à Maurras et de Jean Bodin à Marx du côté opposé. Silence sur tous les bancs.
La Flandre est devenue plus riche
Francis faisait partie de ces personnes uniques qui quittent le monde en le laissant plus beau qu’elles ne l'ont trouvé. Que cela ait été possible est la pensée éminemment réconfortante que Francis nous laisse.
Chaque mort soulève des questions dont on se demande s'il faut les poser : Ne sommes-nous pas, les vivants, des morts en vacances dans ce monde ? Quoi qu'il en soit, la Flandre est devenue plus riche d’un exemple concret, nous sommes tous devenus plus riche d'un souvenir d’une personnalité unique, dont la chaleur honnête et l'inspiration profonde nous aident tous à continuer à vivre et à nous engager.
Francis a littéralement vécu ce que les dieux, par l'intermédiaire de Walter Flex, l’auteur des Oies sauvages, lui avaient ordonné :
Ce que personne n’ose, tu l’oseras,
Ce que personne n’exprime, dis-le,
Ce que personne ne pense, tu l’argueras,
Ce que personne n’ose, fais-le.
Si personne ne dit oui, toi tu le diras,
Si personne ne dit non, à toi de nier,
Si tous doutent, confiance tu feras,
Si tous s’emballent, tu seras le dernier.
Quand tous acclament, prends ton temps,
Quand tous se moquent, silence salutaire,
Quand tous refusent le partage, soit clément,
Quand tout est sombre, allume la lumière !
Écrit spécifiquement pour lui, on dirait.
Nous offrons nos condoléances à sa chère épouse et à ses quatre enfants, avec ce conseil de Francis lui-même : « Chérissez vos souvenirs, ils sont la seule chose que personne ne pourra jamais vous enlever. »
Au revoir Francis, cher ami d'une honnêteté désarmante, au revoir.
Et un grand merci pour tout.
Luc Pauwels
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samedi, 06 février 2021
6 février 1945 : assassinat de Robert Brasillach
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dimanche, 31 janvier 2021
Samedi, en présence de Jean-Marie Le Pen et de nombreux cadres nationaux, le Parti de la France a rendu hommage à son président d'Honneur Roger Holeindre
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samedi, 30 janvier 2021
Il y a un an, nous quittait Roger Holeindre...
Il y a un an, le 30 janvier 2020, le camp patriote était en deuil. Roger Holeindre qui fut, pendant plus de 60 ans, l'un des piliers du mouvement national décédait cliquez ici. Ne l'oublions jamais...
Sur les obsèques de Roger cliquez ici
L'émission Synthèse sur TV Libertés en hommage à Roger Holeindre cliquez là
En savoir plus sur Roger cliquez ici
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dimanche, 17 janvier 2021
Samedi 30 janvier : le Parti de la France rendra hommage à Roger Holeindre décédé il y a un an
En savoir plus cliquez ici
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dimanche, 27 décembre 2020
Décès de Marc Vidal, fondateur de la Librairie Les Oies Sauvages…
Par Philippe Randa
Nous allions comme deux frères
Marchant d’un même pas…
Marc et moi sommes arrivés peu ou prou en même temps à Paris, venant lui directement de l’Ouest de la France et moi un peu plus indirectement… La géographie de nos enfances et adolescences n’a pas été – et de loin ! – le seul de nos points communs : engagement politique au sein du Parti des Forces Nouvelles, puis du GRECE et choix professionnels – la librairie pour lui, l’édition pour moi – de livres politiquement très incorrects…
Je l’ai connu lorsqu’il faisait ses « premières armes » dans les rayons de la librairie La Vouivre qui a marqué tant de militants politiques, permis tant de rencontres intellectuelles, laissé tellement de ses souvenirs qu’on nomme à juste titre « inoubliables »…
Dès qu’il se sentit prêt à se lancer seul dans l’aventure, il n’hésita pas et baptisa sa librairie « Les oies sauvages ». Ambiance.
Il commença, comme bien d’autres, ses premières listes et cotations dans son premier « Appart’ » qu’on imagine aisément des plus exigu (euphémisme !) et poursuivit comme peu d’autres en furent capables, son développement jusqu’à devenir une des librairies par correspondance incontournable du livre parfois rare, souvent introuvable… sauf grâce à lui, avec un peu de patience parfois.
Comme on ne peut côtoyer à longueurs de journées – et souvent de nuits – les plus grands écrivains sans être démangé à son tour par l’écriture, on finit pas attendre avec impatience de recevoir ses catalogues pour goûter ses éditoriaux brillants… et la revue Synthèse nationale entre autres, ne manqua pas de les publier régulièrement.
Il n’aurait sans doute pas attendu que ses amis s’attardent trop à s’attrister plus que cela de son départ, plutôt qu’ils en profitent pour lever un verre à sa santé en la lui souhaitant excellente là-haut, là-bas, « Sur les ailes du vent… Par les routes de l’air… »
Épouse, enfants, amis, ne soyons pas triste… enfin essayons !
Adieu donc ! Marc… On compte sur toi pour nous accueillir un de ces jours futurs. Pour nous raconter ce que tu vas découvrir avant nous…
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mercredi, 23 décembre 2020
Pour le 40e anniversaire de l'assassinat de Juan Ignacio Gonzalez, chef du Front de la Jeunesse à Madrid, toute l'Europe s'est souvenue
Lire l'article publié le 12 décembre cliquez ici
Synthèse nationale s'est associé
à l'hommage européen.
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Une pensée pour Pierre Gripari, décédé il y a 30 ans
Il y a 30 ans, le 23 décembre 1990, décédait l'écrivain non-conformiste Pierre Gripari. Ayons une pensée pour lui...
Sur Pierre Gripari, sa vie, son oeuvre, lire le nouveau numéro de la revue Livr'arbitres cliquez ici
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mardi, 22 décembre 2020
Décès de Michel Bougro, militant depuis de longues années du combat national
Communiqué du Parti de la France :
C'est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès survenu soudainement aujourd'hui de Michel Bougro, militant francilien du PdF depuis sa création, membre de notre Conseil national.
Le Parti de la France adresse ses condoléances à ses proches et en particulier à Huguette, son épouse, également fidèle militante de notre mouvement.
NDLR SN : Michel Bougro était un homme sympathique. Il participait très souvent à nos journées annuelles. C'était toujours un plaisir de le retrouver et de discuter avec lui. Synthèse nationale s'associe à la peine du Parti de la France.
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lundi, 21 décembre 2020
Décés de Luc Sommeyre, animateur du site Minurne Résistance, est décédé
Luc Sommeyre vient de nous quitter, délivré d’une longue période de maladie.
Ce fut un de ces camarades de route et de combat militant qui savait confondre fraternité et affection. Nous faisions partie de sa famille d’adoption, au point de nous considérer comme ses « frangins », pour reprendre une de ses expressions.
Quand on se retrouvait avec Luc autour d’une bonne bière, on savait se retrouver en totale confiance, même si parfois l’agacement de ses propos pouvait nous amener à relativiser quant à ses colères légitimes, face à la bêtise environnante et organisée.
Quelques semaines avant le carnage islamiste du Bataclan, il nous avait déjà donné rendez-vous le jour qui suivait les attentats, comme par intuition sur la date des événements. Mais surtout pour nous protéger des futures agressions terroristes, par un argumentaire pointu et rigoureux. Il organisait dans ce sens des conférences chez les particuliers de notre mouvance identitaire et nationaliste... Amicalement on s’amusait à le surnommer notre « RG de service »...
Il faut dire que si vous étiez amené à le croiser, il donnait facilement l’impression d’une doublure sortie d’un de ces films à la Audiard... « Vos papiers, police !... »
Luc tu nous auras quitté ce dimanche matin, avec encore un sacré pied de nez à l’ordre sanitaire établi. Ils ne pourront pas dire que tu es parti à cause de la « Covid-19 »...
Luc est sorti sans prévenir par une porte que nous n’avons pas encore bien ouverte, mais surtout en nous laissant la clef, pour continuer le chemin avec lui, quelque part...
Hugues Bouchu
Délégué des Amis Franciliens de Synthèse nationale
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samedi, 12 décembre 2020
Il y a 40 ans, le 12 décembre 1980, notre camarade Juan Ignacio Gonzalez, Chef du Front de la Jeunesse à Madrid, était assassiné
Il y a 40 ans était assassiné à Madrid Juan Ignacio Gonzalez, responsable national espagnol du Front de la Jeunesse. Nous étions de la même génération, nous menions le même combat. Depuis, ce crime n'a jamais été élucidé. Les tueurs, s'ils sont encore de ce monde, sont toujours en liberté.
Depuis 40 ans, les camarades et amis espagnols de Juan Ignacio se battent sans relâche pour que la vérité finisse par éclater. Pour marquer ce triste anniversaire, ils ont demandé à tous les mouvements, associations et revues qui, à travers l'Europe, continuent le combat de publier aujourd'hui le communiqué ci-dessous.
C'est donc bien volontiers que Synthèse nationale s'associe à cette initiative. Honneur à notre camarade.
Roland Hélie
Communiqué des Amis de Juan Ignacio Gonzalez :
Dans la soirée du 12 décembre 1980, le jeune dirigeant politique madrilène, Juan Ignacio Gonzalez Ramírez, 28 ans, était assassiné, touché par trois coups de feu. Ceux-ci ont été tirés avec une précision de professionnels : le premier dans la poitrine, les deux suivants dans la tête.
Tous les journaux télévisés ont immédiatement tenté de minimiser cet acte criminel en le réduisant à un "un affrontement entre factions fascistes" ou à un sordide "règlement de compte". La police alla aussi dans ce sens en affirmant de manière sibylline qu'"aucune hypothèse n'est exclue".
De plus, le GRAPO (Grupo Revolucionario Antifascista Primero October), un groupe terroriste marxiste très actif en ces années-là, s'empressa de se disculper en publiant un communiqué affirmant qu'il n'était en rien responsable de ce crime.
Alors, pourquoi un tel crime ? En effet, le « pourquoi ? » aurait dû être, dès le début, au centre de l'enquête mais il n'en fut rien. Force est de reconnaître que les bonnes questions pour identifier les tueurs n'ont jamais été posées.
La vérité, c'est que Juan Ignacio González Ramírez a été assassiné parce qu'il était un phalangiste et l'un des dirigeants les plus actifs du Front de la Jeunesse, organisation nationaliste en pointe contre le nouveau régime.
S'il s'agissait d'un « litige entre fascistes », comme certains l'ont insinué, la police l'aurait découvert en 24 heures. Et on peut aisément imaginer les titres sarcastiques dans la presse du lendemain... Quant à l'extrême gauche, d'habitude si prompte à revendiquer ses crimes, elle fut vite mise hors de cause.
Alors, qui aurait pu être si intéressé alors par la disparition physique du jeune leader ?
Remettons-nous dans le contexte trouble qui était celui de l'Espagne au moment de ce qui fut pompeusement appelé, à la fin des années 1970 et au début des années 1980, "la transition démocratique". Le nouveau régime avait besoin d'asseoir son autorité et la classe politique, déjà éclaboussée par de nombreux scandales, voulait museler ceux qui cherchaient à perpétuer l'idée phalangiste d'une Espagne "Une, Grande et Libre". Juan Ignacio était de ceux-ci... Il fallait donc le faire, définitivement, taire.
Quelques semaines plus tard, en février 1981, un simulacre de putsch se déroula aux Cortes, le Parlement espagnol. Un détachement de la Guardia Civil, mené par le colonel Tejero, pris d'assaut la Chambre des députés au milieu de la séance d'investiture. Ce "coup d'État" improvisé, voué dès le début à l'échec, tomba fort opportunément pour légitimer, suite au discours du roi, le nouveau système politique.
Depuis 1977, des officines politico-policières étaient chargées du sale travail pour asseoir la monarchie parlementaire en Espagne. Après l'assassinat de Juan Ignacio et le putsch avorté de Madrid, celle-ci pouvait être tranquille pour un moment...
En savoir plus, cliquez ici
01:46 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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mardi, 01 décembre 2020
Catholique et militant de la cause légitimiste, le journaliste Daniel Hamiche est décédé
Le journal catholique Le Salon Beige vient de faire part du décès de Daniel Hamiche, qui s’occupait notamment de l’Observatoire de la Christianophobie, mais aussi de Riposte Catholique. Voici le message que l’on peut lire à son sujet :
"J’ai la douleur de vous faire part du décès ce matin de mon confrère Daniel Hamiche. Il était entré voici quelques jours dans un service de soins palliatifs.
Né le 1er octobre 1947, Daniel fut journaliste, blogueur, essayiste, éditeur… Engagé au sein du courant légitimiste, il rejoint, quelque jours après, le baron Pinoteau (décédé le 24 novembre).
Ancien maoïste, convertit au catholicisme au début des années 1980, il devint royaliste, fonda la revue Bourbons Magazine et la Feuille d’Information Légitimiste, devenue par la suite Le Légitimiste. Il est notamment l’auteur de La Passion de Mel Gibson de A à Z (Sicre, 2004), le traducteur de Kinsey le corrupteur, et d‘Être consommé de William Cavanaugh (Éditions de L’Homme Nouveau, 2007). Il travaillé pour plusieurs journaux, dont L’Homme nouveau, Famille chrétienne, Le Choc du mois, Monde & Vie…
Fondateur du blogue Americatho, sur l’actualité religieuse aux États-Unis, il a été rédacteur en chef de Riposte-catholique ainsi que de l’Observatoire de la christianophobie. Il fut également président fondateur de l’« Amitié catholique France-États-Unis » et secrétaire-général de l’association Les Amis de Chesterton.
De 1993 à 2007, Daniel Hamiche assista régulièrement Serge de Beketch dans son Libre Journal de la France courtoise, sur Radio Courtoisie, avant de prendre la direction du Libre journal de Chrétienté".
Source Breizh-info cliquez ici
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jeudi, 05 novembre 2020
5 novembre 1988 : décès de Jean-Pierre Stirbois
Pour mieux connaître le combat de Jean-Pierre Stirbois, à l'occasion du trentième anniversaire de sa disparition, en novembre 2018 sortait un numéro (n°15) des Cahiers d'Histoire du nationalisme qui lui était consacré :
En savoir plus cliquez ici
Pour le commander en ligne cliquez là
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samedi, 31 octobre 2020
Décès de Jean-Marie Le Chevallier, ancien député-maire FN de Toulon
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jeudi, 15 octobre 2020
Décès d'un camarade de toujours, Jean-Baptiste Chaumeil
Jean-Baptiste avait été opéré du coeur il y a quelques jours. Alors qu'il se remettait doucement, il est décédé subitement lundi dernier.
Très connu et très apprécié dans les milieux nationalistes et bien au-delà, Jean-Baptiste Chaumeil avait été, depuis son engagement alors qu'il était encore lycéen, de tous les combats pour la France française. Militant, il était de ceux qui, sans jamais chercher à en tirer une quelconque gloire, n'hésitent pas à organiser des campagnes pour les causes qui leur semblent justes. Ecrivain, il consacra plusieurs ouvrages à Jacques Perret dont il connaissait parfaitement l'oeuvre. Il avait aussi participé au Choeur Montjoie Saint Denis qui anime avec talent et entrain, depuis des décennies, les réunions patriotiques.
De bonne lignée, Jean-Baptiste était le fils de Pierre Chaumeil, longtemps président des journalistes de la presse catholique et monarchiste.
Pour nous tous qui le connaissions depuis toujours, l'annonce de sa disparition est une nouvelle douloureuse. Nous pensons à sa nombreuse famille. Une cérémonie religieuse se déroulera demain vendredi à Paris et il sera enterré samedi en Auvergne, région qu'il aimait tant. RIP.
Roland Hélie
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vendredi, 02 octobre 2020
RAPPEL Samedi 3 octobre : UNE JOURNÉE EN HOMMAGE À PIERRE SIDOS
Les Amis de Pierre Sidos vous convient à un hommage national à Pierre SIDOS, fondateur de Jeune Nation et de l’Œuvre française, décédé le 4 septembre dernier.
Programme :
- 9 h 30 rassemblement au cimetierre parisien de Thiais
- 12 h 30 messe de trentaine à Notre-Dame de la Consolation
- 13 h 30 verre de l’amitié avec prise de parole
Avec la présence des personnalités :
- Yvan Benedetti, President de l’Œuvre française
- Jérôme Bourbon, Directeur de Rivarol
- Radu Creanga
- François Ferrier, président des Amis de Pierre Sidos
- Hélène Grimaldi, Présidente des Caryatides
- Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale
- Johan Livernette, Écrivain
- Jean-Pierre Papadacci, Adimad
- Florian Rouanet, Directeur d’Intégralisme Organique
- Scipion de Salm, Journaliste à Rivarol
- Eugène Krampon, Réfléchir & Agir, Méridien Zéro
Rejoignez-nous nombreux afin d’honorer la mémoire d’un pilier du Nationalisme Français.
4 septembre 2020 : décès de Pierre Sidos cliquez ici
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vendredi, 25 septembre 2020
DÉCÈS D'UN CAMARADE : YVES GARRIGUE MILITANT DE TOUJOURS
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samedi, 05 septembre 2020
Pierre SIDOS, combattant historique de la cause nationaliste, est décédé
Pierre Sidos en juin 2010 lors d'un banquet organisé par Synthèse nationale à Paris.
A la fin des années 1940, Pierre Sidos fut (avec ses frères François, Jacques et Henri) l'un des premiers à relever l'étendard du camp nationaliste en créant le mouvement Jeune nation. Celui-ci fut dissous, alors qu'il était à la pointe du combat pour l'Algérie française, à la fin des années 1950. Pierre Sidos participa alors au lancement du Mouvement Occident puis, en avril 1968, il créa l'Œuvre française qu'il présida jusqu'en 2010, année au cours de laquelle il en confia la direction à Yvan Benedetti. Fidèle à sa ligne nationaliste et catholique, il défendit toute sa vie les idées de sa jeunesse ainsi que la mémoire de sa famille qui a beaucoup donné pour la France.
Un an jour pour jour après son frère François cliquez ici, il est décédé vendredi muni des sacrements de l'Eglise et entouré de sa famille.
A plusieurs reprises, il participa à nos réunions de Synthèse nationale et il m'invita aussi à certaines qu'il avait organisées.
Sa disparition suscite beaucoup d'émotions au sein du camp national. Qu'il repose en Paix.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Parmi les premières réactions :
Jean-François Touzé, délégué général du Parti de la France : Je suis loin d'avoir toujours partagé, tout au long de ma vie militante, l'ensemble des options de Pierre Sidos. Mais c'est une très grande figure du mouvement national qui vient de partir. Jusqu'au bout de ses forces il fut un combattant infatigable de la France française. Aujourd'hui tous les nationalistes portent le deuil.
Christian Bouchet, directeur des éditions Art magna : Décès de Pierre Sidos. Je l'ai énormément critiqué (je le regrette maintenant) puis j'ai fini par le respecter. Que le seigneur accueille son âme.
Maître Elie Hatem, l'Action française : Pierre Sidos n'était pas d'Action Française mais partageait avec elle un amour inconditionnel pour la Patrie. Le monde nationaliste perd un grand ami. Nous l'avions reçu à plusieurs banquets d'AF... dans un esprit d'amitié et de compromis nationaliste. Pierre Sidos ? Présent !
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vendredi, 28 août 2020
Décès du Dr Jean-Pierre Dickès
Nous venons d'apprendre avec une grande tristesse le décès du Dr Jean-Pierre Dickès, président de l'ACIM (Association catholique des infirmiers et médecins) et fondateur des Cahiers Saint Raphaël. Infatigable combattant de la cause nationale et catholique depuis toujours, il nous avait à plusieurs reprise manifesté son amitié. Nous garderons le souvenir d'un homme affable et courageux, fidèle à ses engagements. A toute sa famille, Synthèse nationale adresse ses sincères condoléances.
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mercredi, 19 août 2020
Il y a 5 ans, Emmanuel Ratier nous quittait
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dimanche, 05 juillet 2020
6 juillet 1962 : assassinat de Roger Degueldre....
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