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mercredi, 22 mai 2013

Ce soir les nationalistes sont tristes...

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Il ne nous appartient pas de commenter le geste ultime de Dominique Venner.

Nous rappellerons seulement la place essentielle qui fut la sienne dans le combat nationaliste au cours des années 60. Après la fin de l'Algérie française, il fut l'un des instigateurs de deux mouvements, la Fédération des étudiants nationalistes et Europe-Action, qui allaient être à l'origine d'un grand bouleversement idéologique au sein de notre famille politique, à savoir l'introduction de la dimension civilisationnelle européenne dans la doctrine nationaliste. Ses écrits, en particulier son fameux texte intitulé "Pour une critique positive", ont marqué durablement les générations militantes qui se sont succédées depuis cette époque tumultueuse. Enfin, en lançant, il y a une dizaine d'années, la Nouvelle Revue d'Histoire, Venner a probablement aussi été à l'origine de l'une des initiatives les plus intelligentes émanant de notre milieu depuis bien longtemps.

Dominique Venner a voulu donner à son acte une signification politique. Nul ne peut encore préjuger de l'impact que celui-ci aura réellement sur notre peuple. Quoi qu'il en soit, le devoir de chaque militant nationaliste est de continuer et d'amplifier le combat contre l'oligarchie mondialiste et sa politique destructrice de nos identités et de nos libertés, le combat pour que revive une France française dans une Europe européenne. C'est sans doute là le plus bel hommage que l'on puisse rendre à la mémoire de Dominique Venner.

Une dernière chose : comme on pouvait s'y attendre les chacals du Système ne sont pas avares de commentaires fielleux sur le geste de Dominique Venner. Que ces tristes sires sachent simplement que les calomnies qu'ils déversent sur cet homme et sur la fin qu'il s'est donné sont insignifiantes compte tenu de l'immensité de leur médiocrité et de leur vulgarité.

Roland Hélie

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samedi, 16 mars 2013

Lundi 18 mars : 35e anniversaire de l'assassinat de François Duprat...

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Retour sur l'histoire cliquez ici

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Jean-Marie Curutchet nous a quitté...

Curutchet-Jean-Marie_8325.jpegJean-Marie Curutchet. Basque. Né en 1930 à Toulon. Etudes secondaires aux collèges N.-D. d’Afrique (Alger) et Stanislas (Paris). Prytanée militaire (La Flèche). Saint-Cyr-Coëtquidan (Promotion Union Française). Sert dans les paras en Afrique du Nord (Tunisie, Algérie). Epouse une pied-noir, dont il a trois garçons. Passe dans la clandestinité en septembre 1961. Chef de la branche ORO (Organisation Renseignements-Opérations) de l’OAS-Métropole, puis adjoint au colonel Argoud. Co-fondateur du Conseil national de la Révolution. Echappe pendant près de deux ans aux recherches des polices françaises et étrangères. Est finalement enlevé à Dakar en 1963, ramené en France, jugé par la Cour de sûreté de l’Etat et condamné à la réclusion criminelle à perpétuité. Détenu dans l’ile de Ré, s’inscrit en Faculté et passe une licence d’histoire. Libéré et amnistié en juin 1968.

Source cliquez ici

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dimanche, 20 janvier 2013

Hommage à Yves Debay

Yves-Debay-300x200.jpgLe journaliste français Yves Debay a été abattu jeudi par un tireur embusqué dans le nord de la Syrie, où il était en reportage.

Il a été tué d’une balle dans la tête, dans des conditions encore troubles, près de la prison centrale d’Alep, à la lisière nord de la métropole où de violents combats opposaient rebelles et soldats.

Ancien militaire belge, puis membre des unités d’élite de l’ex-armée rhodésienne (aujourd’hui Zimbabwe) face à la rébellion marxiste, avant d’être reporter de guerre pour la revue militaire Raids pendant 20 ans, Yves Debay avait lancé en 2008 sa propre revue, Assaut, pour laquelle il multipliait les reportages périlleux, sur tous les fronts.

Personnage attachant et haut en couleur, Yves Debay était de tendance nationale et n’hésitait pas à le faire savoir (y compris dans sa revue) ni à se montrer dans les rassemblements qui vont bien.

Source Altermedia cliquez ici

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samedi, 03 novembre 2012

Décès de Pino Rauti :

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Nous apprenons le décès de Pino Rauti, personnalité célèbre du nationalisme italien et admirateur affiché du Duce, à l’âge de 86 ans.

Vice-secrétaire général, à partir de 1979, du Mouvement social italien, il en devient brièvement président avant de le quitter en 1995 : le MSI (rebaptisé Alliance nationale) ayant effectué un recentrage politique sous la houlette du renégat Gianfranco Fini.

Rauti fonde alors son propre parti, le MSI-Fiamma Tricolore, sous l’étiquette duquel il sera élu député européen en 1999.

Source Contreinfo.com

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mercredi, 31 octobre 2012

Luc Bellanger nous a quitté...

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Luc Bellanger était un camarade et surtout un ami.

Il avait été un des piliers de l’organisation de la soupe au cochon organisée en 2005 et 2006 à Strasbourg par Solidarité alsacienne et qui fit à cette époque beaucoup de bruit, y compris dans la presse internationale, russe, iranienne, japonaise, etc… Cet ancien officier du Corps franco-allemand, qui fit plusieurs séjours en Bosnie, fut à mes côtés, avec son épouse Judith, un des combattants déterminé de la résistance nationale et européenne en Alsace.

Dès le lancement de Synthèse nationale, en 2006, il nous apporta son soutien et il participa activement à l'organisation de nos premières Journées nationales et identitaires. Hélas, il ne fut pas des nôtres l'an dernier car la maladie avait déjà commencé son sale travail.

Il vient de nous quitter à l’âge de 59 ans. Lucas, comme nous l'appelions tous, marche désormais en esprit dans nos rangs.

Robert Spieler

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samedi, 27 octobre 2012

Disparition de Jean-Claude Jacquard...

6714561.jpgNous venons d'apprendre avec tristesse le décés, à l'age de 70 ans, ce vendredi, de Jean-Claude Jacquard. Depuis quelques mois, Jean-Claude souffrait d'un cancer, celui-ci a fini par l'emporter.

Jean-Claude Jacquard, depuis le début des années 60, avait été de tous les combats du camp nationaliste. D'Europe-Action à la présidence du GRECE, qu'il assumait depuis plusieurs années, en passant par le Parti des Forces nouvelles dans les années 70, il avait toujours répondu "présent" lorsqu'il s'agissait de défendre les idées qui lui étaient chères.

Apprécié de tous pour sa courtoisie et sa grande connaissance de l'histoire du mouvement nationaliste, Jean-Claude était toujours prêt à aider les initiatives militantes de notre famille politique.

Nous ne l'oublierons pas.

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mardi, 18 septembre 2012

Le commandant Louis Réssicaud est décédé...

Nous savions qu'il était gravement malade, mais pas à ce point. Les 22 juillet et 30 août derniers, nous avions échangé des courriers dans lesquels, notamment, il nous faisait part de son désarroi face à la situation de la France. Il venait d'adhérer à la Nouvelle Droite Populaire. Le Commandant Ressicaud était un grand Français, un soldat et un militant de la première heure de la cause nationale, plus particulièrement à la tête du FN dans l'Essonne pendant de longues années. Nous saluons la mémoire d'un combattant courageux face à l'adversité et à la cruauté d'une longue maladie.

Jean-Claude Rolinat

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samedi, 04 février 2012

Jean Castrillo est décédé...

jeancastrillo2.jpgNous venons d’apprendre avec tristesse la disparition, le 24 janvier dernier, de Jean Castrillo à l’âge de 89 ans.


Depuis plusieurs mois, il luttait contre la maladie qui le rongeait et il avait dû subir plusieurs opérations.

 

Dès l’age de 14 ans, Jean Castrillo s’était engagé dans les rangs des organisations de jeunesses du Parti populaire français créé par Jacques Doriot.

 

Pendant la seconde guerre mondiale, il s’est battu héroïquement, aux côtés de ses camarades européens, dans la grande croisade contre le bolchevisme. Ce qui lui valut 4 ans d’emprisonnement par la suite.

 

N’abandonnant jamais le combat, 40 ans durant, il anima le journal Militant, le mensuel nationaliste dirigé aujourd’hui par André Gandillon. Au-delà de cet engagement politique, Castrillo nous laisse aussi plusieurs livres qui témoignent de son érudition exceptionnelle.

 

A ses proches, à la rédaction de Militant, nous présentons nos fraternelles condoléances. Le combat continue.

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mercredi, 08 août 2007

Roland Gaucher a été enterré aujourd'hui

c0073ee9556173f32d77d192e4740f99.jpgRoland Gaucher, décédé à l'âge de 88 ans le 26 juillet dernier (voir note du 27 juillet sur ce blog), a été inhumé ce mercredi 8 août. Une émouvante cérémonie religieuse a été célébrée en présence de sa famille et de ses amis, à Maisons-Laffitte. Plusieurs collaborateurs de National hebdo autour de son directeur, Jean-Claude Varanne, étaient présents, ainsi que Jean-François Touzé, conseiller régional d'Ile-de-France.  

vendredi, 27 juillet 2007

Roland Gaucher nous a quitté...

2cfc58d695a9433a7599cb4ffba36918.jpgJe viens d'apprendre avec tristesse la disparition, hier, de Roland Gaucher.

Agé de 88 ans, il avait été, depuis la fin des années 30, de tous les combats pour la cause nationale. Ancien reporter au journal Minute, puis, directeur de National hebdo, et enfin du Crapouillot, Roland Gaucher mit toujours sa plume au service de ses idées. En 1974, il publia une remarquable Histoire secrète du Parti communiste français (chez Albin Michel) qui fit grand bruit à l'époque et contribua à la déstabilisation et à la marginalisation de ce parti alors encore tout puissant.

Combattant infatigable, Roland Gaucher n'hésitait jamais à foncer en première ligne face à nos adversaires. J'ai eu l'occasion personnellement de le constater à plusieurs reprises dans les années 70, alors que j'étais jeune militant du Parti des forces nouvelles dont il était l'un des dirigeants.

Au milieu des années 80, Roland Gaucher devint l'une des figures du Front national. Il fut élu député européen de 1986 à 1989. Il assurait en même temps, comme je l'ai indiqué, la direction de National hebdo avec Lionel Payet. A cette époque, NH avait aussi dans son équipe rédactionnelle François Brigneau, Jean Bourdier, Jean-François Touzé, Serge de Beketch, Pinatel et bien d'autres... Mais, en 1995, il s'éloigna du Front et se consacra à la rédaction de nouveaux livres, dont certains en collaboration avec Philippe Randa.

Nous nous voyions plusieurs fois par an et c'était toujours un plaisir de l'écouter raconter (parfois pour la xième fois, mais qu'importe... c'était Roland) les grandes heures de la presse et du mouvement national. En bon vieux grognard toujours un peu grincheux qu'il était, Roland Gaucher gardait toujours une vision assez réaliste des choses. Surtout, il ne perdait jamais l'espoir de voir un jour notre idéal triompher. Aujourd'hui Roland n'est plus, mais l'idéal survit.

 Roland Hélie

 

Les obsèques auront lieu à Maisons-Laffitte (Yvelines) mercredi 8 août à 11 h. 00 en l'église Notre Dame de la Croix.

 

lundi, 12 juin 2006

ADIEU ET MERCI, CHER MAITRE...

medium_aagpw.jpgHier, dimanche, j’ai appris avec une grande tristesse le décès de Georges-Paul Wagner.

Pendant trois ans, d’octobre 1985 à juin 1988, j’ai eu l’honneur et le plaisir de travailler à ses côtés. D’abord en tant que responsable du Front national dans les Yvelines, puis comme attaché parlementaire. J’approchais alors de mes trente ans, l’âge où l’on essaye de devenir raisonnable. Et je dois dire que Maître Wagner m’a alors beaucoup aidé, si ce n’est à atteindre cet objectif, tout du moins à essayer de m'en approcher. Car cet avocat réputé, chroniqueur de talent (*), maurrassien fidèle et député reconnu par tous (y compris par nombre de nos adversaires) pour sa compétence, était avant tout un sage. Une anecdote à laquelle je pense souvent résume à elle seule le tempérament de Maître Wagner. Un soir, pendant la campagne électorale des législatives de 1986, alors que nous partions ensemble tenir une réunion dans un canton aux fins fonds des Yvelines, nous nous retrouvions bloqués dans un embouteillage à la Porte de Saint-Cloud. Il était 20 h.20, notre réunion était prévue à 20 h. 30, je commençais à pester au volant de la voiture et Georges-Paul me dit de sa voix calme : Roland, nous ne sommes pas encore en retard…

Georges-Paul Wagner était de ceux qui pensent que ce qui ne se construit pas avec le temps ne résiste jamais à l’épreuve du temps. C’est sans doute ce qu’il m’a enseigné de plus précieux. Hélas, le temps a fini par le rattraper… Adieu et Merci, Cher Maître.

Roland Hélie

 

(*) Le quotidien Présent daté de mardi consacre sa "une" à la disparition de Georges-Paul Wagner.

 

13:20 Publié dans Editoriaux, Nous avions un camarade... | Tags : politique | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |