vendredi, 06 mars 2015
Des milliers de flammes pour Bert...
Une suggestion de Gabriele Adinolfi :
Bert Van den Brande a rejoint les cieux des braves. Ce volontaire flamand de la Grande Armée a servi sur le Front de l'Est et il a continué de le faire durant toute sa vie.
Une cérémonie aura lieu samedi à 12 heures et ses cendres seront rendues à ses enfants.
Je propose qu'à cette même heure, nous allumions un peu partout une flamme en sa mémoire.
Sur la disparition de Bert Van den Brande cliquez ici
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jeudi, 05 mars 2015
Stéphane, militant des JNR, est décédé. Un message de Serge Ayoub :
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mardi, 03 mars 2015
Notre Camarade Bert Van den Brande nous a quitté.
Nous venons d'apprendre avec tristesse la mort de notre camarade et ami Bert Van den Brande.
Militant depuis toujours de la cause flamande et européenne, il s'était engagé, au début des années 40, dans la grande croisade contre le bolchevisme. Depuis, il est toujours resté fidèle à cette vision révolutionnaire de l'Europe.
Bert venait souvent nous rendre visite à Paris, en particulier lors des journées nationale et identitaire de Synthèse nationale ou des Tables-rondes de Terre et peuple. Il aimait aussi l'Alsace où il séjournait parfois. A chaque fois que des militants se rendaient à Anvers, ils avaient la joie de le retrouver. Pour beaucoup d'entre nous Bert était une référence. Nous ne l'oublierons pas.
Aujourd'hui, nous pensons à sa famille restée unie autour de lui, à notre Chère Hilde De Lobel, à Marcel son époux, à Francis Van den Eynde et à tous ses camarades du mouvement nationaliste flamand qu'il aimait tant.
Les funérailles de Bert auront lieux samedi prochain à Anvers. Robert Spieler, Roland Hélie et plusieurs amis de notre revue y assisteront.
La rédaction
de Synthèse nationale
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samedi, 14 février 2015
Geneviève Dormann à propos de la repentance
« Les Juifs m'emmerdent, je le dis tout net. Lorsque, à la moindre occasion, ils me balancent dans les gencives ce qu'on leur a fait, lorsque j'étais petite, prenant un sadique plaisir à tenter de faire surgir chez moi un sentiment de culpabilité ou de mauvaise conscience, je leur en veux comme j'en voudrais à des Vendéens qui, aujourd'hui, m'accuseraient d'avoir ravagé leurs villages et sauvagement assassiné leurs ancêtres... Je revendique le droit d'aimer les bons Juifs et d'envoyer paître les autres. »
Le Crapouillot (n°80)
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mercredi, 11 février 2015
Décés du dessinateur Stéphane Le Brieuc (Stéphane Le Tirant)
Passé un certain âge, on commence à additionner avec amertume les croix dans son carnet d’adresse. Certaines sont plus pénibles à tracer que d’autres… et celle de Stéphane est lourde de près de trois décennies d’amitié sur fond de complicité professionnelle à National Hebdo, au Crapouillot, à Paris scandale, Pas d’Panique à bord et plus récemment à Flash…
Je savais qu’il travaillait pour le Front national – mais ignorais comme d’ailleurs beaucoup de ses plus proches amis – qu’il en avait tant et tant fait en tant que directeur artistique, presque « tout fait » depuis tant d’années serait-on tenté de croire… et sans compter ses dessins de presse si drôles, si incisifs et souvent si émouvants. Beaucoup de lecteurs se les rappellent encore avec nostalgie sans toutefois savoir qui en était l’auteur, puisque signés des seules initiales « SLB » pour Stéphane Le Brieuc… C’est que l’animal était breton ! Un sacré Breton, même… tout comme un sacré ami !
Philippe Randa
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vendredi, 06 février 2015
6 FEVRIER 1945 : ASSASSINAT DE ROBERT BRASILLACH
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mercredi, 05 novembre 2014
Jean-Pierre Stirbois, solidariste, secrétaire général du Front national, décédé le 5 novembre 1988
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lundi, 01 septembre 2014
In memoriam Jacques Marlaud
Europe Maxima cliquez ici
Après Jean Mabire, Dominique Venner, Jean-Claude Valla, Ferdinand Ferrand, Jean-Claude Jacquard ou, plus récemment, Jacques Bruyas, Bernard Petitjean et Maurice Rollet, c’est au tour de Jacques Marlaud de nous quitter. Il s’est éteint dans la soirée du 15 août 2014 à Roanne (Loire), victime d’un malaise cardiaque.
Bien que né à Alger un 4 décembre 1944, il n’était pas issu d’une famille « pied-noire ». C’est cependant la guerre d’Algérie qui le saisit lycéen. Il envoie des lettres de soutien aux détenus pro-Algérie française, dont le général Faure, avant de rejoindre la F.E.N. (Fédération des étudiants nationalistes). Une fois les événements algériens terminés, si certains abandonnent l’activisme pour leurs études ou la vie professionnelle, le jeune Jacques continue en militant convaincu à diffuser des exemplaires d’Europe-Action. Contournant les interdictions parentales, le jeune Jacques n’hésite pas à tracter et à participer aux tumultueuses opérations de peinture nocturnes. Il passe souvent des nuits entières au poste de police en compagnie d’autres camarades interpellés. Dans l’attente d’être interrogé par le commissaire, placés en cellule, ils lèchent en toute discrétion leurs mains et effacent ainsi toute trace de peinture si bien que, les preuves matérielles enlevées, il faut les relâcher le matin venu…
De l’agitation militante à l’exil
À cette époque, Jacques Marlaud fait la connaissance au local parisien de la F.E.N. de Maurice Rollet, Jean-Claude Valla, François d’Orcival, Alain de Benoist, etc. L’année 1965 est cruciale pour lui : il effectue son service militaire dans une unité du génie parachutiste cantonnée dans le Sud-Ouest. Guère militariste depuis la déception de 1961, agacé par la vie quotidienne de l’appelé et toujours militant actif, il applique pour lui-même le mot d’ordre détonnant d’Europe-Action, « Pas un soldat pour le Régime ! ». Il déserte, traverse les Pyrénées voisines et passe en Espagne qui lui accorde le statut de réfugié politique. Des visites fréquentes de sa famille agrémentent sa vie d’exilé. Or, un soir d’été, alors qu’il travaille dans un camping, il se rapproche d’un groupe de Français et y rencontre une vieille connaissance de la F.E.N. qui lui apprend le retrait politique de Dominique Venner, l’option d’occuper le champ culturel et l’ascension de « Fabrice » avec qui il entamera bientôt des échanges épistolaires.
Au début des années 1970, Jacques Marlaud, excellent germanophone, s’installe plus ou moins légalement en Allemagne de l’Ouest. Pour y aller, il fut contraint de passer par l’Italie et l’Autriche où, transporté par des chauffeurs routiers jusqu’à sa destination finale, il fut pris par certains d’entre eux pour un agent du Bloc de l’Est ! C’est à Hambourg qu’il rencontre sa future épouse Ursula. La vie en Europe occidentale ne l’attirant guère, il choisit de s’installer en Afrique du Sud. Au cours de son entretien avec le responsable des services d’immigration de la République sud-africaine, suspicieux devant cet étrange candidat, il lui présente sa vieille carte d’adhérent d’Europe-Action qui, une fois traduite, lui assure le permis tant convoité.
C’est en Afrique australe que naîtront six de ses huit enfants. Journaliste au service francophone de la Voix de l’Afrique du Sud, la radio sud-africaine, Jacques Marlaud entreprend des études universitaires anglophones en philosophie et en sciences politiques tandis que chez lui, l’expression demeure allemande ! Suite aux demandes répétées de son épouse, il régularise en 1979 sa situation auprès des autorités militaires françaises. Ce problème résolu et après quelques jours de détention préventive, il profite de ce séjour pour revoir ses camarades de la F.E.N. dont la plupart animent désormais le G.R.E.C.E.
Dégoûté par le militantisme politique, il s’enthousiasme en revanche pour l’action métapolitique. Rentré en Afrique du Sud, il s’investit dans l’European Renaissance Association, devient le correspondant de Nouvelle École, participe à compter de 1982 à la revue bilingue anglais – afrikaans Ideas/Idees et reçoit chez lui quelques amis venus de l’hémisphère Nord (Alain de Benoist, Guillaume Faye, Saint-Loup). La même année, il publie sa thèse de philosophie sur Nietzsche : decadence and superhumanism (1). Il poursuit dans la foulée un doctorat de littérature française à l’Université de Port-Elizabeth sous la direction du professeur Jan de Vynck. Cette thèse de doctorat devient en 1986 un ouvrage, Le renouveau païen dans la pensée française (2) préfacé par Jean Cau.
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jeudi, 21 août 2014
Disparition de Pierre Lagaillarde
Pierre LAGAILLARDE est né le 15 mai 1931 à Courbevoie.
En 1932, alors qu’il n’a qu’un an, ses parents, tous deux avocats, s’installent à Alger.
Il fait ses études au lycée Duveyrier de Blida qu’il quitte avec un baccalauréat de philosophie en 1948. Il suit des études de droit à l’université d’Alger jusqu’en 1950, puis Paris où il obtient sa licence en 1951.
En novembre de la même année il s’inscrit au barreau de Blida
Après avoir résilié son sursis, il est affecté au 66e Régiment d’Artillerie à Oran, au G.A.O.A. n°3 à Sétif, puis à l’école d’artillerie de Châlons-sur-Marne en avril 1956 dont il sort 34e sur 226. Il effectue un stage à la B.E.T.A.P. à Pau en septembre-octobre 1956, y obtient son brevet parachutiste et rejoint le 20e Groupe d’Artillerie Parachutiste en Algérie.
Démobilisé en 1957 avec le grade de sous-lieutenant (parachutiste au 3e RPIMA), 2 citations et la Croix de la valeur militaire
Le 2 décembre 1957, il devient président de l'Association Générale des Étudiants (Européens) d'Algérie (A.G.E.A.).
Le 26 avril 1958, M. Delbecque, chef de cabinet du ministre de la Défense nationale M. Chaban-Delmas et membre de l’USRAF, organise à Alger une manifestation encadrée par des hommes du DPU : Lagaillarde rassemble 2 000 étudiants.
Le 12 mai 1958, à 21 heures, une réunion se tient chez le Dr Lefèvre à Hydra : Martel, Crespin, Me Baille, Goutailler, Ortiz, Kerdavid, Lagaillarde
Le 13 mai 1958, les partisans de l'Algérie française s’empare, notamment grâce à Martel et Lagaillarde, du Gouvernement Général (GG) d’Alger. C'est derrière un drapeau marqué des lettres U.F.F (Union et Fraternité Française) que les troupes de Lagaillarde donnèrent le 13 mai l'assaut au Gouvernement Général
Le comité des « Sept » précède les Comités de Salut Public du 22 mai 1958 : Lagaillarde, Martel, Dr Lefebvre, Goutailler, Crespin, Maître Baille.
Le 30 novembre 1958, il devient député sans étiquette d’Alger-ville (1ère circonscription), élu sur une liste Algérie française
Le 24 janvier 1960, un millier d’hommes du Mouvement populaire du 13 mai (MP 13 cliquez ici) fait jonction avec les Unités territoriales (UT) en armes de Sapin-Lignières (Kerdavid, Ronda) au pied de la statue de Jeanne d’Arc.
Vers 16 heures, des groupes de manifestants vont rejoindre Lagaillarde, qui s’est installé avec ses hommes du commando Alcazar dans les locaux déserts de la Faculté d’Alger dans la nuit du 23 au 24 janvier.
Le général Challe avait refusé d'envoyer des paras pour enlever le réduit de Lagaillarde, en déclarant : « C'est deux compagnies de paras au tapis. » Lagaillarde était surtout très populaire parmi les paras.
Le 1er février 1960, Lagaillarde, Crespin, de Galbert se rendent.
Le 3 novembre 1960 s’ouvre le procès des Barricades : Lagaillarde (dont l’avocat est Jean Gaillot), Ronda et Susini, à qui le tribunal accorde la liberté provisoire, en profitent pour gagner l’Espagne.
Le 9 janvier 1961, Lagaillarde lance de Madrid un appel aux armées : « Européens et musulmans, hommes et femmes, soldats, hommes des villages et des campagnes, unissez-vous, car nous allons nous battre. »
Le 10 février 1961, à Madrid, 3 hommes entourent le général Salan : Lagaillarde, Susini et Ronda.
En mars 1961, il est condamné par contumace à 10 ans de réclusion criminelle pour attentat contre la sûreté de l’Etat et la loi du 24 mai 1834 sur les détenteurs d’armes, et déchu de son mandat de député le 18 juillet 1961 (et non le 5 mai 1961 comme il est indiqué parfois).
Fin 1961 paraît On a triché avec l'Honneur : Texte intégral de l'interrogatoire et de la plaidoirie des audiences du 15 et 16 Novembre 1960, par Pierre Lagaillarde, préface de Jean Gallot (éditions de la table Ronde)
Fin 1966, il est responsable de l’économat puis surveillant général du Lycée Français d’Alicante, où son épouse est professeur.
En 1968, il bénéficie de la loi d'amnistie, rentre en France et reprend son métier d’avocat : il ouvre un cabinet à Auch où son fils Pierre-Jean lui succède.
Il est décédé le 17 août 2014.
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mercredi, 25 juin 2014
Le Cercle Franco-hispanique vient de publier une belle brochure en hommage à son Président, Olivier Grimaldi, qui nous a prématurément quitté en mars dernier...
Olivier nous a quitté le 9 mars dernier, ne l'oublions pas cliquez ici.
Cette brochure sort simultanément avec le nouveau numéro (n°91) de La Lettre du Cercle. Elle comprend un très beau texte d'Hélène, son épouse, ainsi que le texte du sermon prononcé par Monsieur l'abbé Beauvais lors de la messe de funérailles.
Pour se la procurer : écrire au Cercle Franco-hispanique, 4 bis, rue Caillaux 75013 Paris.
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mardi, 13 mai 2014
Pierre Descaves a rejoint sa dernière demeure
Les obsèques de Pierre Descaves se sont déroulées mardi 13 mai au cimetière du Père Lachaise. Un certain nombre de cadres et de militants du Parti de la France étaient présents pour lui rendre un dernier hommage : Carl Lang, Roger Holeindre, Martine Lehideux, Jean-Pierre Reveau, Christian Baeckeroot, Thomas Joly, Annie Fouet, Michel Bayvet, Fabrice Lengelé,... A noter également les présences de Roland Hélie, de Claudine Dupont-Tingaut, de Bruno Gollnisch et de Michel Guiniot.
Source Le blog de Thomas Joly cliquez ici
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lundi, 12 mai 2014
Pierre Descaves sera enterré mardi au Père Lachaise à Paris
Pierre Descaves intervenant lors d'une journée de Synthèse nationale en novembre 2008
Mardi 13 mai 2014 à 10h15
en la Chapelle de l'Est du Cimetière du Père Lachaise
Division 55 - côté du monument d'Adolphe Thiers.
16 rue Repos - Paris 20e (Métro Philippe Auguste)
La messe sera célébrée par le père Jean-Claude ARGOUACH
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mercredi, 07 mai 2014
Pierre Descaves est décédé
Je viens d'apprendre, par l'intermédiaire de Carl Lang, la disparition d'un grand patriote : Pierre Descaves.
Pierre fut de tous les combats du mouvement national. Le communiqué du Parti de la France ci-dessous résume parfaitement sa vie militante au service de l'idéal qui est le nôtre.
Nous nous sommes rencontrés pour la première fois, Pierre et moi, en 1980... dans un "panier à salade". Nous venions d'être arrêtés sur les Champs Elysées lors d'une manif, assez agitée, contre la FNACA, la courroie de transmission du PCF, qui prétendait commémorer le 19 mars 1962. Nous n'étions pas très nombreux et, mes camarades du PFN et moi (nous avions alors tous autour de 20 ans), nous avions vite remarqué cet homme distingué qui semblait aussi déterminé que nous. Nous ne le connaissions pas encore, mais nous savions déjà qu'il était notre camarade. Cette manifestation avait d'ailleurs eu un certain retentissement puisque le lendemain nous faisions la "une" de France Soir et de Libération. Depuis, pas une manif, pas un meeting sans que Pierre soit là et, bien souvent, nous nous retrouvions après dans un restaurant pour "refaire le monde".
Depuis la création de Synthèse nationale, en 2006, il n'a jamais manqué une de nos réunions et, à maintes reprises, il nous donna des articles pour la revue.
Lors de notre première rencontre, nous avions découvert un camarade... aujourd'hui, nous perdons un ami.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Communiqué du Parti de la France :
Carl Lang et Le Parti de la France ont appris avec une grande tristesse le décès ce jour de Pierre DESCAVES.
Patriote farouche et sans concessions, homme de courage et d’engagements, Pierre DESCAVES faisait partie des membres fondateurs du Parti de la France après avoir été député national du Front National de 1986 à 1988 puis conseiller général de l’Oise et conseiller régional de Picardie.
Né en Algérie française et fier de ses racines, docteur en sciences économiques, licencié en droit, diplômé de l’Institut du droit des Affaires et expert-comptable, il combattit en 1944 et 1945 au sein de la première armée française libre.
Combattant pour la défense de l’Algérie française, il passa 6 ans dans la clandestinité après son évasion du camp de Saint Maurice l’Ardoise en février 1961. Auteur de plusieurs ouvrages de résistance nationale dénonçant la désintégration de la France, Pierre DESCAVES a été jusqu’à son dernier souffle un militant de la cause nationale et un combattant politique exemplaire.
Pierre était un grand patriote: nous sommes fiers d’avoir été de ses amis et transmettons nos condoléances attristées à sa famille et à ses proches.
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samedi, 29 mars 2014
Disparition de Diego Marques, fondateur des Cercles José Antonio et Chef historique de la Phalange (FE de las JONS)
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mardi, 18 mars 2014
18 mars 1978 : assassinat de François Duprat...
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mardi, 11 mars 2014
Les obsèques d'Olivier Grimaldi auront lieu jeudi prochain à Paris
Les obsèques d'Olivier Grimaldi seront célébrés en l'église Saint Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins à Paris (Ve arrt), jeudi 13 mars à 10 h 30. Cliquez ici
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lundi, 10 mars 2014
OLIVIER GRIMALDI, PRESENT !
C'est avec une immense peine que nous vous annonçons le rappel à Dieu ce dimanche après-midi de notre Camarade et Ami Olivier Grimaldi.
Militant de la cause nationaliste depuis le début des années 1970, il avait participé à tous les combats historiques du mouvement. Catholique sincère, il a toujours défendu la Tradition. Au milieu des années 80, avec Hélène son épouse et quelques amis, il créa le Cercle Franco-hispanique qui s'attache à faire connaitre l'Espagne nationaliste et le national syndicalisme de José Antonio Primo de Rivera dans notre pays.
Depuis près de deux ans, Olivier luttait avec un courage exemplaire contre la terrible maladie qui le rongeait. Celle-ci, hélas, a eu raison de lui dimanche après-midi.
Olivier nous a quittés entouré des siens. Il était notre Camarade, il était mon Ami. Nous nous sommes connus en 1978. C'était au siège du PFN, boulevard Sébastopol. Depuis, il s'est rarement passé plus d'une semaine sans que nous nous retrouvions pour passer un bon moment ensemble. J'ai toujours été impressionné par sa culture politique et historique et aussi par son humilité et son désintéressement. Toute sa vie il est resté fidèle à l'idéal nationaliste et jamais il n'a cherché à en tirer un quelconque avantage. Son honneur était d'être l'un des rares, si ce n'est peut-être le seul, Français décoré de la médaille de la Vieja Guardia.
Il venait d'avoir 61 ans vendredi dernier. Pour nous, Olivier sera toujours présent parmi nous.
Roland Hélie
Les obsèques d'Olivier Grimaldi seront célébrés en l'église Saint Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins à Paris (Ve arrt), jeudi 13 mars à 10 h 30.
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mercredi, 19 février 2014
Messe pour le repos de l'âme de Don Blas Pinar vendredi soir à Paris
NDLR :
Le Cercle franco-hispanique et Olivier Grimaldi présentent : Présence de José Antonio
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Bulletin de commande cliquez là
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mercredi, 12 février 2014
Une messe sera célébrée à Paris pour le repos de l'âme de Don Blas Pinar
A la demande du Cercle Franco-hispanique, une messe sera célébrée à Paris, en l'église St Nicolas du Chardonnet (Ve arrondissement, métro Maubert Mutualité), vendredi 21 février à 19 h 30 pour le repos de l'âme de Don Blas Pinar, fondateur de la revue Fuerza Nueva et l'un des chefs historiques de la Droite nationale espagnole, décédé à Madrid le 27 janvier dernier (cliquez ici).
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mardi, 11 février 2014
Notre camarade Daniel Tallet est décédé...
Daniel Tallet, très souvent affectueusement surnommé "Daniel Taxi", est décédé lundi 10 février.
Toujours présent lorsque les activités militantes l'appelaient, Daniel s'investissait beaucoup avec la bannière francilienne de Terre et peuple. Lors de nos journées annuelles de Synthèse nationale il venait nous donner un coup de main appréciable. Nous nous souviendrons aussi de sa bonne humeur qu'il savait faire partager autour de lui.
Daniel n'est plus là. Il s'en est allé rejoindre Barbara au Paradis des Guerriers...
Ses obsèques auront lieux jeudi 13 février à 14 h au funérarium de Lagny-sur-Marne (77).
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dimanche, 09 février 2014
Décès de notre Ami Gilbert Sincyr
Nous venons d'apprendre avec tristesse le décès, à la suite d'une douloureuse maladie, de Gilbert Sincyr le 6 février dernier.
Fidèle Ami de Synthèse nationale, Gilbert Sincyr avait été de toutes les aventures de la Droite nationaliste depuis sa jeunesse, au moment du combat pour l'Algérie française. Ingénieur de formation, ce Toulousain passionné a été successivement vice Président du Front national à la fin des années 70 puis Secrétaire général du GRECE dans les années 80. Il fut l'auteur de plusieurs ouvrages consacrés entre autres au paganisme, à l'islamisation de notre pays ou à l'Histoire de la civilisation européenne édités chez Dualpha cliquez là.
Toujours enthousiaste à chaque fois que nous le sollicitions, Gilbert Sincyr a apporté, à plusieurs reprises, des contributions à nos publications. En particulier dans l'ouvrage collectif que nous avons consacré, en novembre 2012, à l'Europe face à la crise cliquez ici ainsi qu'au livre édité en août 2013 en hommage à Dominique Venner cliquez là.
Il sera incinéré le 14 février prochain.
Roland Hélie
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mardi, 28 janvier 2014
DON BLAS PINAR, CHEF HISTORIQUE DE LA DROITE NATIONALISTE ESPAGNOLE, RAPPELE A DIEU
Don Blas Pinar, fondateur et Président de Fuerza Nueva, la revue et le mouvement franquiste espagnol, est décédé hier à l'age de 95 ans.
Né en 1918 à Tolède, fils de militaire, il était docteur en droit et a commencé sa carrière politique à l’époque où le Général Franco transformait l’Espagne en une grande nation moderne. Il fut alors directeur de l'Institut de culture hispanique entre 1957 et 1962, organisme qui devint par la suite, à la fin des années 70, l'Institut de coopération ibéro-américaine.
En 1976, il fonde le mouvement Fuerza nueva, avec le slogan "Dieu, Patrie et Justice", devenu la formation emblématique de l'extrême droite au cours de "la transition". Orateur exceptionnel, en juin 1978 il participa à Paris aux côtés de Giorgio Almirante (Mouvement social italien) et de Jean-Louis Tixier-Vignancour (PFN) au grand meeting de lancement de l’Eurodroite. Lors des élections législatives de 1979, après l'adoption de la Constitution de l'année précédente, il a été élu député de la coalition de l'Union nationale dont son parti était membre. Il s'opposa alors à la création de régions autonomes et fut témoin de la tentative de coup d'Etat du 23 février 1981, soutenue par la suite dans un manifeste par son fils.
En 1982, Fuerza nueva se dissoudra et renaîtra, quatre ans plus tard, sous le nom de Frente nacional, mais ne gagnera aucun siège au parlement. Après des pactes successifs avec d'autres formations il participera en 2004 à la création de Alternative espagnole cliquez ici, dont il était président d'honneur et avec laquelle il participera à ses dernières élections municipales en 2011.
Blas Pinar était malade depuis plusieurs années, mais il est resté actif jusqu'à peu de temps avant sa mort en écrivant et en publiant plusieurs livres et articles dans des revues nationalistes. Très ami de la France, il était aussi l’un des soutiens actifs en Espagne du Cercle Franco-hispanique présidé par notre ami Olivier Grimaldi.
Synthèse nationale
NDLR :
Le Cercle franco-hispanique et Olivier Grimaldi présentent : Présence de José Antonio
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jeudi, 23 janvier 2014
HOMMAGE A MAURICE ROLLET...
Maurice Rollet, sauf erreur de ma part, n’a jamais écrit dans Éléments, mais il était une figure historique de la mouvance qui fut à l’origine de notre revue. Né à Joigny, en Bourgogne, le 30 janvier 1933, il était devenu médecin en Algérie, à l’hôpital de Bône, à l’issue de son service militaire. La fin de la guerre d’Algérie marqua profondément ses jeunes années. Emprisonné en 1962 avec Dominique Venner, pour cause d’activisme, il s’installa ensuite à Marseille et y poursuivit sa carrière médicale. En 1967, il fut l’un des membres fondateurs du Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne (GRECE), dont il allait bientôt devenir le chancelier. Il fut surtout le principal animateur de la Domus Europa de Roquefavour, près d’Aix-en-Provence, un grand mas provençal qui devint à son initiative le lieu d’innombrables fêtes, réunions et Universités d’été.
Maurice était un homme tout d’une pièce, qui ne fonctionnait qu’à l’amitié. Les mots « clan », « communauté », « amis » étaient ceux qui le faisaient vibrer. Tous ceux qui l’ont connu se souviennent, non seulement de son incroyable dynamisme, de son extraordinaire générosité, de ses coups de cœur et de ses coups de gueule, de la façon qui n’appartenait qu’à lui qu’entonner les chants traditionnels face au Soleil de Pierre. Il était l’auteur de nombreux poèmes, les premiers publiés sous le pseudonyme de François Le Cap, puis sous son nom, dans lesquels il aimait à chanter les femmes et le vin qui ruisselle en l’honneur des anciens dieux (Des runes et des rimes, Pyrène, Saint-Avit-Rivière 1991). On lui doit encore des chansons, dont celle du film de Gérard Blain Pierre et Djemila (1987). Au cinéma, il fut aussi l’un des principaux acteurs du Rebelle (1980), autre film de Gérard Blain, dont le titre lui convenait si bien.
Maurice Rollet est mort à Aix-en-Provence le 21 janvier dernier, à l’âge de 80 ans. L’annonce de sa mort n’a pas surpris ses amis, qui le savaient depuis longtemps malade, mais les a frappés comme la foudre. Profonde tristesse. Grand Soleil, Coupo santo !
Alain de Benoist
Extrait d'Éléments n°150
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dimanche, 19 janvier 2014
Il y a 5 ans disparaissait le Professeur Pierre Maurer.
Pieter Kerstens
Il y a 5 ans, le 19 janvier 2009, il a plu au Seigneur de rappeler à Lui son Fils
Pierre MAURER
Né le 22 mai 1924 à 75006 Paris
Externe des Hôpitaux de Paris en 1944
Interne des Hôpitaux de Paris en 1950
Chirurgien des Hôpitaux de Paris CHU en 1964
Membre de diverses sociétés savantes.
Il fut l’auteur de nombreux travaux cliniques sur les membres inférieurs et supérieurs.
Docteur en médecine à Paris en 1954
Chef de clinique de Chirurgie Orthopédique et Réparatrice en 1955
Maître de conférences, Agrégé en Orthopédie et Traumatologie en 1963
Assesseur de l’U.E.R de Cochin-Port Royal en 1968
Doyen de la Faculté de Médecine de Cochin-Port Royal en 1976.
Début 1973, il signe en compagnie de 600 personnalités, une adresse à S.M Elisabeth II contre les trafics des avortements vers la Grande-Bretagne, suite à la visite de la reine en France. Ceci, à l’initiative de « Laissez-les vivre. SOS futures mères ».
Il s’était éteint sereinement dans la certitude de sa Foi et la justesse de ses convictions.
Engagé volontaire dans la Brigade FRANKREICH en août 1944 (peu avant la Libération de Paris) et après une période de formation à l’Ausbildunsglager de Sennheim, il prêta serment de fidélité au Chancelier élu, Adolf Hitler, avec l’aide de Dieu, comme l’atteste une photo figurant au-dessus du texte de ce serment dans l’ouvrage de Jean MABIRE « La Brigade Frankreich » paru aux éditions FAYARD.
Après de durs combats en Poméranie, où sa compagnie fut décimée, il est décoré de l’E.K II pour sa bravoure et son comportement au feu. Il n’intégrera pas la Division Charlemagne et sera arrêté en 1945 et interné à la prison de FRESNE où il rencontra aussi d’autres « réprouvés ».
Le 26 mars 1979 il descend dans l’amphithéâtre de la Faculté de Cochin où se déroule une Assemblée Générale d’étudiants grévistes et déclenche une tempête médiatique en déclarant :
« J’ai été fasciste et je reste fasciste », ce qu’il confirmera le soir même devant les caméras de télévision et en précisant ses propos dans l’édition du 28/03/79 du journal « Le Monde » :
« Je ne reviens absolument pas sur ce que j’ai dit hier. J’avais pris une option politique qui consistait à considérer, d’abord, que lorsqu’on a des idées il faut aller jusqu’au bout et se battre.
J’ai risqué ma peau. Je me suis engagé dans la Brigade Frankreich et je me suis battu sur le front russe dans l’armée allemande. A la Libération, j’ai été arrêté. J’ai passé un an et demi à la prison de Fresnes. J’étais un soldat, pas un tueur. Je n’ai appris les horreurs qu’en 1945 ; je ne suis pas partisan d’une idéologie de destruction ou de massacre des populations. Quand je dis que je suis raciste, je veux dire que je suis pour l’élite, pour le petit nombre. Il m’est totalement indifférent que les gens qui travaillent avec moi soient d’une certaine race, s’ils font leur travail. Les arabes, les juifs, les jaunes, je les soigne, je suis très gentil avec eux. D’ailleurs, si on me demande mon opinion sur les affaires du Proche-Orient, actuellement je suis totalement pour les israéliens, parce qu’ils représentent ce que j’admire le plus : ce sont des hommes qui se battent et qui sont prêts à mourir pour leur cause. Pourquoi j’ai fait ces déclarations hier ? Parce qu’il y a trois ans, au moment de mon élection comme doyen, des tracts ont circulé sur mon passé. Il vaut mieux que tout se sache clairement. J’ai fait pour cette faculté le maximum et si j’ai pu le faire, c’est grâce à mes idées ».
Dans une édition ultérieure du Monde (29 ou 30 mars), une tribune « Libres Opinions » du Professeur MERLE d’AUBIGNE confirme la carrière exemplaire du Professeur Pierre MAURER et rend hommage à l’excellence de son enseignement ainsi qu’à ses talents exceptionnels d’organisateur au sein de la Faculté de Cochin-Port Royal
Un éditorial de François BRIGNEAU, paru dans MINUTE, rend fort justement hommage à ce qui fut le parcours politique d’un homme de convictions -mon beau-père- qui pour moi, fut un exemple.
Inutile de décrire ce que furent les suites de cette profession de foi, douloureuses durant les années suivantes, tant pour sa famille que pour ses proches mais pendant lesquelles JAMAIS il ne déclara que ce fut « une connerie ». Ses amis lui furent d’un soutien précieux et qu’ils en soient encore ici remerciés.
Poursuivi par les cloportes du « politiquement correct » et les hyènes du « devoir de mémoire », il fut acquitté par la Justice … à la stupeur générale !
Il consacra les 25 dernières années de sa vie à la cause des Alcooliques Anonymes en visitant régulièrement les hôpitaux et les prisons de la région parisienne afin d’aider les personnes désireuses de sortir du fléau de l’alcoolisme, sans compter et avec abnégation, jusqu’à son dernier souffle.
Homme de Foi, il pratiquait la religion et s’intéressait en permanence à l’évolution de l’Eglise Catholique en France et dans le monde, s’astreignant à des retraites dans divers couvents où il put trouver la sérénité.
« Quand était noire la nuit, quand la Nation était à l’agonie, tu as défié l’Histoire et dicté ta volonté au destin. Hier nous avons suivi tes pas ; aujourd’hui nous reprenons la route et tu marches avec nous ! »
Que le soldat de Poméranie reste vivant dans notre esprit et que le flambeau de son combat nous éclaire dans la lutte contre le Nouvel Ordre Mondial !
IN MEMORIAM !
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jeudi, 19 décembre 2013
Décés de Jean-Pierre Dellac, responsable du Service de sécurité du Parti de la France
Carl Lang et Le Parti de la France ont la tristesse de vous informer du décès de Jean-Pierre Dellac, fondateur et directeur national du Service d'Encadrement et de Protection (SEP).
Longtemps responsable du DPS du grand Est Jean-Pierre Dellac était une figure de notre combat de résistance nationale et une personnalité exceptionnelle, toujours au service de la sécurité des militants patriotes.
Ses obsèques auront lieu en présence des dirigeants du Parti de la France le lundi 23 décembre à Auxerre à 10h30 (cliquez ici).
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samedi, 10 août 2013
Disparition de l'abbé Bruno Schaeffer
C'est avec tristesse que nous venons d'apprendre le décès, au cours de la nuit de jeudi à vendredi, de l'abbé Bruno Scheaffer. Homme d'Eglise, mais aussi homme de conviction nationale et fin connaisseur de la Droite nationaliste, l'abbé Schaeffer était toujours aux côtés de ceux qui se battent pour que vive la France française.
Depuis quelques années il était atteint d'une grave maladie qui l'affaiblissait considérablement. Néanmoins il continuait à suivre de prêt le combat national et bien sûr le combat traditionaliste. Nous l'avions d'ailleurs rencontré pour la dernière fois, il y a quelques mois, à Villepreux lors du congrès du Renouveau français.
Nous nous souviendrons de lui comme étant un homme d'une grande culture et d'une grande amabilité. Saluons sa mémoire.
Pour information : les funérailles de Monsieur l’abbé Bruno Schaeffer seront célébrées mardi 13 août 2013 à 10 H 30 en l’abbaye de Bellaigue (63) par M. l’abbé Régis de Cacqueray, Supérieur du District de France.
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jeudi, 01 août 2013
Jean Madiran vient de nous quitter...
Jean Madiran était, avec François Brigneau, Barnard Antony, Georges-Paul Wagner et quelques autres, l'un des fondateurs du quotidien Présent. Nous ne partagions pas, loin s'en faut, toutes ses options. Cependant, il y avait aussi beaucoup de choses qui pouvaient nous rapprocher. Suffisament de choses en tout cas pour considérer que nous appartenions à la même famille politique.
En novembre 1981, dans le contexte qui était celui de cette année-là, la petite équipe qui entourait Madiran fit preuve d'un certain courage et d'une grande témérité en lançant Présent. Ce journal joua en effet un rôle important dans le retour de la Droite nationale dans la vie politique de notre pays.
Jean Madiran vient de nous quitter à l'age de 93 ans. Saluons sa mémoire.
Roland Hélie
Lire dans Présent d'aujourd'hui cliquez ici
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mardi, 30 juillet 2013
Il y a 15 ans, le 30 juillet 1998 : Maurice Bardèche nous quittait
Maurice Bardèche est né le 1er octobre 1907 à Dun-sur-Auron.
Son intelligence et son travail lui permettent d’obtenir une bourse grâce à laquelle il poursuit de brillantes études. Il est admis en hypokhâgne au lycée Louis le Grand où il rencontre celui qui deviendra son meilleur ami : Robert Brasillach. Ils intègrent tous deux, en 1928, le célèbre établissement de la rue d’Ulm, l’Ecole normale supérieure, dans une promotion qui regroupe notamment Jacques Soustelle, Thierry Maulnier et Roger Vaillant.
Ses études se terminent avec l’agrégation de lettres qu’il obtient en 1932. Il est désormais professeur. Il assurera des cours à la Sorbonne avant d’être titularisé à l’Université de Lille en 1942.
Il se mari en juillet 1934 avec Suzanne, la sœur de Robert Brasillach. Les époux partent en voyage de noce pour l’Espagne en compagnie de Robert qui vivra avec eux jusqu’en 1944 ! Au cours de ce voyage, Maurice Bardèche faillit mourir dans un accident de la route. Bardèche fut trépané et conserva sur le front un « enfoncement dans le crâne ».
Dans les années 1930, il collabore aux revues qu’animent Brasillach et Maulnier, où il assure la chronique picturale et littéraire. De 1936 à 1939, il se rend plusieurs fois en Espagne et écrit avec Brasillach une Histoire de la guerre d’Espagne. Séduit par la Phalange espagnole de José Antonio Primo de Rivera, il prend parti pour le fascisme.
Durant la guerre, hormis quelques articles sur l’art dans Je suis partout, il se consacre essentiellement à son œuvre littéraire, étant spécialiste des écrivains du XIXe siècle. À la Libération, arrêté car proche de Brasillach, il est vite relâché.
Radié de l’enseignement national, il ne peut plus donner de cours que dans des écoles privées, jusqu’à l’intervention de Georges Pompidou dès son élection en 1969.
Il ne se remettra jamais de l’exécution de l’homme auquel il voue une admiration sans bornes. Son seul regret sera de ne s’être pas engagé d’avantage à ses côtés. Il le fera en se proscrivant d’un monde qui avait voulu la mort d’un «être aussi pur». Désormais, il s’attachera à réhabiliter l’œuvre et diffuser les écrits de Brasillach.
Dans sa Lettre à François Mauriac(1947), pamphlet vendu à 80 000 exemplaires, s’il défend l’idée de « collaboration» et les fonctionnaires nommés par Vichy, remet en cause la légalité de la Résistance et critique les excès de l’épuration permanente.
Dans Nuremberg ou la Terre promise, publié en octobre 1948 et tiré à 25 000 exemplaires, il plaide en faveur de l’Allemagne, contestant aux Alliés le droit légal et moral de juger les dirigeants du IIIe Reich pour des actes qu’ils avaient « peut-être » commis, et exprime le premier les thèses révisionnistes.
Ce livre lui vaut saisie et procès : Bardèche est condamné à un an de prison ferme et 50 000 francs d’amende pour « apologie de crimes de guerre », et le livre est interdit à la vente. Il récidive dès 1950 avec Nuremberg II ou les Faux-Monnayeurs, où il s’appuie sur les thèses de Paul Rassinier. Incarcéré à Fresnes pendant trois semaines en juillet 1954, il est amnistié par le président de la République René Coty.
Il racontera les difficultés de sa famille et son incarcération (ainsi que celle de sa femme, Suzanne Brasillach, avec qui il aura cinq enfants dont l’avocat Bruno Bardèche), sur un ton mi-humoristique, mi-dramatique, dans Suzanne et le taudis (1957).
Il participe au Mouvement social européen. A Malmö, en mai 1951, au congrès de ce mouvement, qui réunit entre autres, à l’initiative des Suédois et notamment de Per Engdahl, l’Anglais Oswald Mosley, l’Italien Ernesto Massi, l’Allemand (ancien Waffen) Karl Ernst Priester et le Français René Binet, il conduit la délégation française et reçoit pour tâche de fédérer les divers groupes français.
Après avoir fondé Les Sept Couleurs, maison d’édition publiant ses livres et ceux d’autres auteurs, il fonde Défense de l’Occident, qui sera un « lieu de rencontre » des nationalistes de 1952 à 1982.
Il meurt à Paris, le 30 juillet 1998.
Le 12 septembre 1998, une messe est célébrée à sa mémoire selon le rite tridentin en l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris, messe qui réunit les figures du nationalisme français : Pierre Sidos et Henry Coston.
Jean-Marie Le Pen salue, dans Français d’abord, le journal du front National, le « prophète d’une renaissance européenne qu’il espéra longtemps », « un grand écrivain et un historien d’avant-garde ».
Source La Flamme cliquez là
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dimanche, 16 juin 2013
Barbara ne sera plus là
Barbara était une militante nationaliste. Toujours souriante, elle participait à toutes les réunions que nous organisons. Elle était toujours prête à aider la cause... Hélas, elle ne sera plus là, elle nous a quittés, emportée par une maladie, le 13 juin.
Enterrement : lundi 17 juin à 10 heures à Saint Nicolas du Chardonnet à Paris.
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samedi, 01 juin 2013
Paris a rendu hommage à Dominique Venner...
La gigantesque salle Equinoxe de Paris était à peine assez grande pour contenir le public nombreux venu assister à la magnifique cérémonie organisée ce vendredi après-midi en hommage à Dominique Venner qui a donné sa vie le mardi 21 mai dernier en la Cathédrale Notre-Dame pour réveiller les consciences européennes.
Les interventions, toutes aussi émouvantes les unes que les autres, rappelèrent le sens réel du geste ultime de celui qui fut, au début des années 60, l’un des principaux artisans du renouveau idéologique du mouvement nationaliste français et européen. En premier, Bernard Lugan qui, avec le talent que nous lui connaissons, lu le dernier message de Venner. Ce message est un terrible constat, mais c’est aussi un message d’espoir, un appel à la résistance. Puis ce fut le tour de l’historien Philippe Conrad qui animait avec Dominique Venner une émission régulière consacrée à l’histoire sur Radio Courtoisie. Jean-Yves Le Gallou qui insista sur la dimension hautement politique du message de l’ancien fondateur d’Europe Action. Henry de Lesquen, Président de Radio Courtoisie, puis un ami espagnol du défunt qui, selon la coutume des phalangistes, ponctua son évocation par un vibrant « Dominique Venner Présent ! », puis Gianluca Lanonne, le responsable de la Casapound romaine, se succédèrent pour saluer, chacun avec ses mots, le combattant qui vient de nous quitter. Enfin, bien sûr, Alain de Benoist, l’ami de 50 ans, fit une intervention émouvante, remplie de références et chargée d’espoir… Ce fut l’abbé Guillaume de Tanouärn qui conclue ce bel hommage en saluant celui qui, bien que fort éloigné de la religion catholique, a choisi de partir dans ce haut-lieu de la chrétienté construit sur l’emplacement d’un lieu de culte ancestral.
Après une longue ovation debout, tous se sont quittés, en cette fin d’après-midi, avec une certitude : le message de Dominique Venner doit être entendu. A nous de le propager. Le combat continue…
Lire aussi cliquez là
Le message de Jean-Yves Le Gallou :
En accomplissant son geste sacrificiel, mardi 21 mai à Notre-Dame de Paris, Dominique Venner a laissé deux messages (cliquez ici) : un message politique et un message mémoriel.
Un message politique : dans le dernier texte paru sur son blog le matin même de sa mort volontaire, il y combattait « la détestable loi Taubira »et, plus grave encore, « le grand remplacement de population » dénoncé par l’écrivain Renaud Camus. Il invitait ici les manifestants à joindre la défense de la famille et des lois naturelles et la défense du peuple. Il liait la filiation individuelle et la filiation collective. Il rappelait que la famille et la nation (natio, c’est naissance) sont intimement liées. Il nous conviait à un retour aux sources et à une « renaissance intellectuelle et morale ».
Un message mémoriel : raison pour laquelle (cliquez là) il a choisi pour son « suicide-avertissement » la cathédrale Notre-Dame de Paris, « lieu hautement symbolique […] édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens rappelant nos origines immémoriales ». Il nous invitait – nous les Européens, nous les Européens d’expression française – à nous amarrer à notre « mémoire propre » que « nous avons en partage depuis Homère ». Dans un monde déraciné et dévitalisé, Dominique Venner nous a proposé un retour aux humanités et au De viris illustribus.
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