Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 05 novembre 2015

Jean-Pierre Stirbois, militant nationaliste exemplaire...

10632601_1495352457392960_8697187750476067410_n.jpgPar Robert Spieler

Article publié dans Rivarol

(n°3010, août 2011)

Après avoir consacré, il y a quelques semaines, un long article à François Duprat, Le Monde Magazine du 16 juillet réserve sa « une » à « Jean-Pierre Stirbois, l’apparatchik ». C’est le 11 septembre 1983 qu’une liste de rassemblement qui compte des chiraquiens, des centristes et des frontistes, dont le numéro deux du Front national, emporte la mairie de Dreux. La foule scande : « Stirbois, fasciste, assassin ! Stirbois, salaud, le peuple aura ta peau ! ». Une semaine auparavant, avait eu lieu le « coup de tonnerre de Dreux », où la liste Stirbois obtenait près de 17% des suffrages au premier tour, obligeant les droites à fusionner avec le FN. L’aventure débuta à Dreux. Le Pen ne s’était pas déplacé pour soutenir Stirbois. Il était en vacances. Cette victoire fut celle de Stirbois…

Jean-Pierre Stirbois est un fils d’ouvrier, né en 1945. Adolescent, il est proche de l’OAS-Métro-Jeunes et participe en 1965 à la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour, dont Jean-Marie Le Pen est l’animateur. L’échec de Tixier va entraîner une lutte fratricide entre ce dernier et Le Pen. Stirbois choisit Tixier et va contribuer à créer le mouvement Jeune Révolution, mouvement « solidariste », dont l’idole est Pierre Sergent. L’Union solidariste adhérera en bloc, en 1977, au Front national, dont Stirbois prendra rapidement et efficacement la charge du secrétariat général. Près de 35 ans plus tard, cela suscite encore des rancoeurs chez ceux qui avaient été mis en touche, rancoeurs qui s’expriment aujourd’hui, dans un récent courrier des lecteurs à Rivarol, où Stirbois est accusé d’être un agent sioniste, son vrai nom étant Stirnbaum ! Notre ami David Veyssere m’a envoyé ce commentaire :« Voir dans le patronyme de Stirbois une origine juive, c’est de la billevesée pure. Cet anthroponyme est authentiquement un patronyme du Nord des Gaules, mélange de franc et de gallo-romain, qui signifie « taureau des bois », stir signifiant taureau dans les langues franques et germaniques. Le Monde reprend quelques assertions tout à fait mensongères et hautement fantaisistes en prétendant que Stirbois était pro-israélien et récusait toute connotation fascisante. Ayant été très proche de Jean-Pierre Stirbois, quand nous siégeâmes ensemble sur les bancs de l’Assemblée nationale, et ayant passé maintes soirées avec lui, je puis témoigner que ces accusations sont totalement absurdes. Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, qui fut l'un de ses plus proches amis, en une période difficile de la vie privée de Stirbois, peut en témoigner amplement. Non, Jean-Pierre Stirbois n’était ni sioniste, ni au demeurant pro-arabe, il était nationaliste français, entouré de cadres radicaux, issus pour beaucoup du PFN (Parti des Forces Nouvelles), du GRECE, et bien sûr du mouvement solidariste. Voilà la vérité.

Stirbois, nationaliste populaire

Stirbois exécrait le bourgeoisisme et l’esprit de collaboration. Aux élections cantonales de 1985, il avait défendu l’idée que le Front n’appelle pas à voter pour la droite au second tour. En 1988, au second tour de l’élection présidentielle, où Le Pen avait obtenu 14% des voix, il prône le vote Mitterrand, suivant l’adage : « National au premier tour, socialiste au second ». Le Pen, qui voulait appeler à voter Chirac, finit par prôner l’abstention ou…le vote Chirac.

Une anecdote : Au lendemain de notre élection, en 1986, à l’Assemblée nationale, Le Pen a une riche idée. Celle d’organiser une réception au pavillon d’Ermenonville, au Bois de Boulogne. Dans le registre somptueux, feux d’artifice, et tout le reste. Toutes les personnalités, tous les ambassadeurs y sont invités. Tenue de soirée, c'est-à-dire smoking, de rigueur. Cela nous scandalisa. Quoi ? Nous qui affirmions représenter la droite sociale et populaire auprès de nos électeurs, nous plier aux simagrées de la bourgeoisie bling-bling ? De ces parvenus ? Pas question ! Aucun ambassadeur, au demeurant, sauf celui d’Uruguay, proche de la secte Moon, ne fit une apparition. Il est vrai que Le Pen avait établi d’étroites relations avec la secte Moon, dont il fit élire le dirigeant français, Ceyrac, le neveu de l’ancien patron du patronat, à l’Assemblée nationale. Comme seule personnalité, le Bao Daï, l’antique empereur du Vietnam… Jean-Pierre Stirbois, ainsi que les députés de la sensibilité nationale et sociale refusèrent de s’y rendre. Pour ma part, jamais avare d’une provocation, je m’y rendis … en costume et non en smoking. J’étais le seul. Fureur de Le Pen qui m’envoya le lendemain un mot manuscrit : « Tu aurais du m’en parler ; il existe au groupe (parlementaire) une petite caisse pour députés nécessiteux ». Je lui répondis derechef : « Je suis désolé, mais ayant été élevé à la bière et à la choucroute en Alsace, je ne connais pas les mœurs de la bourgeoisie parisienne. »Ambiance…

Mégret et Stirbois

Le Pen ne pouvait pas tolérer un Etat dans l’Etat, un militant pur et dur, insensible au découragement, qui ralliait une grande partie des militants du FN. Stirbois était un remarquable organisateur, qui savait galvaniser ses fidèles, des fidèles prêts à le suivre jusqu’au bout. Ce n’était sans doute pas un chef de peuple, mais nous n’en étions pas là… Le Pen, qui voyait d’un mauvais œil son influence grandissante (Stirbois était sans doute le seul que Le Pen craignait), eut l’idée de créer la grande zizanie en nommant Bruno Mégret, délégué général chargé de sa campagne présidentielle. Bruno Mégret est un homme de grande valeur, excellent organisateur, avec une capacité conceptuelle que n’avait sans doute pas Stirbois. Les deux étaient faits pour se compléter. Ce ne fut pas le cas. Sous l’œil attendri de Le Pen, qui ne faisait évidemment rien pour arranger la situation, les tensions prirent de l’ampleur. Le Pen régnait, ou du moins voulait régner en maître… J’avais essayé, très naïvement, de rapprocher les deux hommes. Peine perdue. Stirbois m’en avait même tenu grief.

La mort de Stirbois

Stirbois s’était lancé à corps perdu dans la campagne pour le « non » au référendum sur le statut de la Nouvelle-Calédonie. A peine de retour d’un voyage éreintant, début novembre 1988, il tient un meeting à Dreux. Il déclare être prêt à retourner en Nouvelle-Calédonie « mettre sa peau au bout de ses idées. » Tard dans la nuit, il reprend la route dans sa Golf GTI et, s’étant sans doute endormi au volant, percute un arbre. Les complotistes y verront bien sûr un assassinat. Absurde. En tout cas, le lecteur me pardonnera de ne pas donner de détails, ce fut un honteux soulagement chez certains proches de Le Pen, qui sablèrent le champagne. Restait à décider rapidement qui serait le secrétaire général qui remplacerait Jean-Pierre Stirbois. Deux candidats étaient en lice : Bruno Gollnisch et Carl Lang. C’est dans les toilettes du funérarium que Le Pen annonça aux deux candidats potentiels son choix. C’était Carl Lang, qui était plus jeune, et dans son esprit plus malléable (la suite prouvera le contraire), Bruno Gollnisch étant considéré comme trop proche de Stirbois. Le Pen voulait tourner la page et éviter que se constitue au sein du FN un groupe de pression des amis de Stirbois…

Les obsèques eurent lieu à l’église Saint Augustin, en présence de tous ses fidèles, et de ceux qui ne l’étaient pas. Et de ceux et surtout celle qui trahirent honteusement sa mémoire. Mais ceci est une autre histoire… Les amis de Jean-Pierre Stirbois, dont Christian Baeckeroot, Jean-Pierre Revaud, Bernard Antony, voulaient porter son cercueil. Le Pen s’y opposa. Marie-France Stirbois se jeta en larmes aux pieds de le Pen pour le supplier d’accepter. Il finit par y consentir…

Le 27 novembre 1988, 20 jours après le décès de Stirbois, National Hebdo organisa une grande réunion en hommage à Jean-Pierre Stirbois, à la Mutualité. Les organisateurs en étaient Roland Gaucher, directeur de NH et Roland Hélie. Le Pen y était totalement opposé, et fit tout pour empêcher les militants de s’y rendre, interdisant aux permanents du FN de participer à cette manifestation. Roland Gaucher ne plia pas, de même qu’un nombre considérable de militants. La Mutualité était bondée. Une émotion indescriptible… Roger Holeindre salua celui qui a« chassé du FN les incapables et les voyous pour bâtir un parti pur et dur ». Le Pen n’y vint pas… Et les incapables et les voyous revinrent au Parti…

Et si Stirbois avait vécu ?

L’uchronie, c'est-à-dire la tentation de refaire l’histoire, est évidemment une tentation absurde. Mais tellement tentante…Que se serait-il passé si Stirbois avait vécu ? Je fais le pari qu’il y aurait eu une guerre, instrumentalisée par Le Pen, entre lui et Mégret. Quel que soit celui qui l’aurait emporté, les conséquences auraient été les mêmes. Si Stirbois l’avait emporté, il aurait fini par subir les mêmes humiliations, les mêmes avanies que celles que Bruno Mégret eut à subir. Et il aurait réagi de la même façon. Jacques Doriot avait écrit un livre dont le titre est Nous ne sommes pas un peuple d’esclaves. Stirbois n’avait pas un tempérament d’esclave. Et ceux qui le suivaient, pas davantage. Jamais Stirbois n’aurait accepté cet épouvantable népotisme, cette ambiance monégasque, décadente, orientale dans laquelle se complait Le Pen. Et pourtant, quel talent d’orateur, quel charisme, quel courage ! Quel dommage ! Il est vrai qu’il est rare qu’un chef de peuple apparaisse. Peut-être tous les siècles, ou tous les deux siècles ? Un chef de peuple milliardaire, cela n’existe au demeurant pas. Lorsqu’il fut officiellement l’héritier de Lambert, qui lui léguait sa fortune pour poursuivre et amplifier le combat nationaliste, des cadres de son mouvement, heureux, lui proposèrent diverses actions de propagande et de militantisme. Un des dirigeants présents me l’a raconté. Le Pen répondit, pointant les index de ses deux mains sur sa poitrine : « Cet argent est à moi, à moi… »

J’avais suivi avec une grande attention la révolte des militants qui suivaient Bruno Mégret. Pouvait-il réussir ? Avait-il raison de se lancer dans cette aventure ? Jean-Pierre Stirbois, si cela avait été lui, aurait sans doute subi les mêmes conséquences. Première étape : Elimination des fidèles au sein du Mouvement. Les salariés fidèles au futur « traître » sont virés. Que faire ? L’accepter, c’est passer pour un salaud et un lâche qui ne défend pas ses hommes. Alors ? Tenter de prendre le contrôle d’un parti statutairement ultra verrouillé ? Cà ne marche pas. Et puis, se soumettre, et se retrouver en douzième place, celle de Judas, sur la liste européenne ? Ridicule. Seconde solution : quitter avec les meilleurs, les plus déterminés, les plus combatifs, les plus nombreux le mouvement, mais, l’expérience l’a prouvé, cela ne marche pas davantage, car la marque prime le talent. Bruno Mégret n’avait le choix qu’entre deux décisions désastreuses. Ce fut le talent de Le Pen de le pousser ainsi à une faute impossible à éviter. Jean-Pierre Stirbois, nonobstant son talent, se fût retrouvé dans la même nasse…

13:09 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Pierre Stirbois, 5 novembre 1988 :

10632601_1495352457392960_8697187750476067410_n.jpg

06:10 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 02 novembre 2015

Un hommage parisien, samedi prochain, à Maître Scipiletti...

JosephScipilliti15-3.jpgDe nombreux lecteurs nous ont contactés pour nous demander s’il y avait une cérémonie de prévue en hommage à Maître Joseph Scipiletti cliquez ici. Voici le communiqué publié ce jour par Pierre Cassen et Christine Tasin sur le site de Riposte laïque :

Les obsèques de Joseph Scipilliti auront lieu dans la plus stricte intimité en province selon sa volonté et celle de sa famille, mais nous lui rendrons l’hommage qu’il mérite à Paris, en l’Eglise Sainte Rita, samedi 7 novembre, à 17 h 30 (27, Rue François Bonvin, 75015 Paris)

Nous avons choisi ce lieu très symbolique car il convient parfaitement à l’idée de Résistance que portait Joseph. L’Eglise Sainte Rita, qui doit être démolie et remplacée par des logements sociaux est en effet occupée jour et nuit par des citoyens qui n’acceptent pas de voir notre patrimoine disparaître.  De plus, l’association de défense de l’Eglise, « Les Arches Sainte-Rita », se bat en tout premier pour la liberté d’expression et prépare d’ailleurs  pour le 8 novembre une messe dédiée aux avocats.

Nous les remercions tous d’avoir accepté de bien vouloir nous accueillir pour un hommage citoyen et amical de tous, croyants ou athées, à l’homme qui a disparu le 29 octobre dernier et qui sera inhumé dans le caveau de sa famille. L’évêque de Sainte-Rita  honorera cet hommage de sa présence.

Il nous a semblé important que tous les amis de Résistance républicaine et de Riposte laïque qui le pourront puissent se retrouver ensemble, pour évoquer le souvenir de notre avocat, son humanisme, son humour et les bons moments partagés avec lui.

14:49 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 18 septembre 2015

RAPPEL : hommage public à Emmanuel Ratier le 19 septembre à Paris (salle Equinoxe, à partir de 14 h 30)

flyer-ratier-diffusion-web.jpg

20:21 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 22 août 2015

Disparition d'Emmanuel Ratier

manu_ratier_2.jpgCommuniqué de la famille d'Emmanuel Ratier

En hommage à la disparition de notre père et époux, Emmanuel Ratier, sa famille et ses amis proches l'accompagneront dans son dernier voyage au cours d'une cérémonie intime mardi 25 août.

Un hommage public lui sera rendu à Paris courant septembre. La date vous en sera communiquée ultérieurement.

Pour toute marque d'affection, plus que de l'accompagner avec des fleurs, nous souhaitons poursuivre l'œuvre d'Emmanuel en aidant ses successeurs par des dons à l'association “Les archives associatives du Vexin” qu'il venait de créer et qui lui donnait tant d'enthousiasme. C'est elle qui perpétuer a son action.

Une urne sera disposée à cet effet le jour de l'hommage public. Vous pouvez également écrire à cette adresse : “Les archives associatives du Vexin, BP 19, 60240 Chaumont-en-Vexin”

La famille d'Emmanuel

Un communiqué de Henry de Lesquen

Nous pleurons Emmanuel Ratier, combattant indomptable de la cause identitaire. C'est une terrible perte. Il est mort le mercredi 19 août 2015, le jour même de son émission à Radio Courtoisie, qu'il avait préenregistrée. C'était un ami. Sa disparition nous serre le cœur. Et elle renforce notre volonté d'agir ensemble pour la patrie. Nous avons une pensée affectueuse pour sa femme Véronique et ses trois filles.

Henry de Lesquen
Président de Radio Courtoisie

18:50 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 19 août 2015

Emmanuel Ratier est décédé mercredi

Croix_celtique_sur_Inisheer,_îles_d'Aran,_Irlande.jpgC'est avec une très grande tristesse que nous venons d'apprendre le décès, cet après-midi à la suite d'une crise cardiaque, d'Emmanuel Ratier. Il était âgé de 57 ans.

Ecrivain, journaliste, éditeur, militant, Emmanuel avait été de tous les combats du mouvement national depuis son premier engagement, à Rouen au milieu des années 70, au Parti des Forces nouvelles. Depuis 1996, il dirigeait la lettre d'informations Faits et Documents. Il avait aussi créé, en 2005, la librairie Facta à Paris. 

Nous reviendrons dans les jours qui viennent sur l'oeuvre d'Emmanuel Ratier et nous tenons à assurer son épouse, sa famille et ses proches de notre amitié la plus sincère.

Synthèse nationale

22:12 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 19 juin 2015

Dimanche prochain, 21 juin, : 30e anniversaire de la disparition du Général Aryana

aryana2015w0.jpg

"Le général ARYANA, le plus paganiste, le plus nationaliste et le plus ARYAnisant des grands généraux du Shahinshah ARYAmehr (Lumière des Aryens)".

Intervention de Roland Hélie,

Directeur de Synthèse nationale

11:19 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 06 juin 2015

Tarek Aziz, mort en prison le 5 juin 2015 pour avoir voulu sauver la Paix

2015 Tarek Aziz.jpg

12:45 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 21 mai 2015

21 mai 2013 :

DV 2015.jpg

12:31 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 18 mars 2015

François Duprat, assassiné le 18 mars 1978

F DUPRAT 1978.jpg

Mieux connaître le combat de François Duprat :

2638390_orig.jpg

Bulletin de commande

Le commander en ligne cliquez ici

20:34 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 06 mars 2015

Des milliers de flammes pour Bert...

Présentation1.jpgUne suggestion de Gabriele Adinolfi :

Bert Van den Brande a rejoint les cieux des braves. Ce volontaire flamand de la Grande Armée a servi sur le Front de l'Est et il a continué de le faire durant toute sa vie.

Une cérémonie aura lieu samedi à 12 heures et ses cendres seront rendues à ses enfants.

Je propose qu'à cette même heure, nous allumions un peu partout une flamme en sa mémoire.

Sur la disparition de Bert Van den Brande cliquez ici

10:22 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 05 mars 2015

Stéphane, militant des JNR, est décédé. Un message de Serge Ayoub :

11011456_621572697976327_6149419783810668824_n.jpg

00:13 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 03 mars 2015

Notre Camarade Bert Van den Brande nous a quitté.

Présentation1.jpg

Nous venons d'apprendre avec tristesse la mort de notre camarade et ami Bert Van den Brande.

Militant depuis toujours de la cause flamande et européenne, il s'était engagé, au début des années 40, dans la grande croisade contre le bolchevisme. Depuis, il est toujours resté fidèle à cette vision révolutionnaire de l'Europe.

Bert venait souvent nous rendre visite à Paris, en particulier lors des journées nationale et identitaire de Synthèse nationale ou des Tables-rondes de Terre et peuple. Il aimait aussi l'Alsace où il séjournait parfois. A chaque fois que des militants se rendaient à Anvers, ils avaient la joie de le retrouver. Pour beaucoup d'entre nous Bert était une référence. Nous ne l'oublierons pas.

Aujourd'hui, nous pensons à sa famille restée unie autour de lui, à notre Chère Hilde De Lobel, à Marcel son époux, à Francis Van den Eynde et à tous ses camarades du mouvement nationaliste flamand qu'il aimait tant.

Les funérailles de Bert auront lieux samedi prochain à Anvers. Robert Spieler, Roland Hélie et plusieurs amis de notre revue y assisteront.

La rédaction

de Synthèse nationale

12:48 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 14 février 2015

Geneviève Dormann à propos de la repentance

PHO7cd339e4-b38e-11e4-a1f6-3c0e47aa3d8a-805x453.jpg

« Les Juifs m'emmerdent, je le dis tout net. Lorsque, à la moindre occasion, ils me balancent dans les gencives ce qu'on leur a fait, lorsque j'étais petite, prenant un sadique plaisir à tenter de faire surgir chez moi un sentiment de culpabilité ou de mauvaise conscience, je leur en veux comme j'en voudrais à des Vendéens qui, aujourd'hui, m'accuseraient d'avoir ravagé leurs villages et sauvagement assassiné leurs ancêtres... Je revendique le droit d'aimer les bons Juifs et d'envoyer paître les autres. »

Le Crapouillot (n°80)

16:07 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 11 février 2015

Décés du dessinateur Stéphane Le Brieuc (Stéphane Le Tirant)

Stéphane-Le-Tirant-258x200.jpgPassé un certain âge, on commence à additionner avec amertume les croix dans son carnet d’adresse. Certaines sont plus pénibles à tracer que d’autres… et celle de Stéphane est lourde de près de trois décennies d’amitié sur fond de complicité professionnelle à National Hebdo, au Crapouillot, à Paris scandale, Pas d’Panique à bord et plus récemment à Flash

Je savais qu’il travaillait pour le Front national – mais ignorais comme d’ailleurs beaucoup de ses plus proches amis – qu’il en avait tant et tant fait en tant que directeur artistique, presque « tout fait » depuis tant d’années serait-on tenté de croire… et sans compter ses dessins de presse si drôles, si incisifs et souvent si émouvants. Beaucoup de lecteurs se les rappellent encore avec nostalgie sans toutefois savoir qui en était l’auteur, puisque signés des seules initiales « SLB » pour Stéphane Le Brieuc… C’est que l’animal était breton ! Un sacré Breton, même… tout comme un sacré ami !

Philippe Randa

18:33 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 06 février 2015

6 FEVRIER 1945 : ASSASSINAT DE ROBERT BRASILLACH

Robert Brasillach 2015.jpg

02:48 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 05 novembre 2014

Jean-Pierre Stirbois, solidariste, secrétaire général du Front national, décédé le 5 novembre 1988

JPS.jpg

Lire ou relire cliquez ici

00:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 01 septembre 2014

In memoriam Jacques Marlaud

marlaud.jpgGeorges Feltin-Tracol

Europe Maxima cliquez ici

Après Jean Mabire, Dominique Venner, Jean-Claude Valla, Ferdinand Ferrand, Jean-Claude Jacquard ou, plus récemment, Jacques Bruyas, Bernard Petitjean et Maurice Rollet, c’est au tour de Jacques Marlaud de nous quitter. Il s’est éteint dans la soirée du 15 août 2014 à Roanne (Loire), victime d’un malaise cardiaque.

Bien que né à Alger un 4 décembre 1944, il n’était pas issu d’une famille « pied-noire ». C’est cependant la guerre d’Algérie qui le saisit lycéen. Il envoie des lettres de soutien aux détenus pro-Algérie française, dont le général Faure, avant de rejoindre la F.E.N. (Fédération des étudiants nationalistes). Une fois les événements algériens terminés, si certains abandonnent l’activisme pour leurs études ou la vie professionnelle, le jeune Jacques continue en militant convaincu à diffuser des exemplaires d’Europe-Action. Contournant les interdictions parentales, le jeune Jacques n’hésite pas à tracter et à participer aux tumultueuses opérations de peinture nocturnes. Il passe souvent des nuits entières au poste de police en compagnie d’autres camarades interpellés. Dans l’attente d’être interrogé par le commissaire, placés en cellule, ils lèchent en toute discrétion leurs mains et effacent ainsi toute trace de peinture si bien que, les preuves matérielles enlevées, il faut les relâcher le matin venu…

De l’agitation militante à l’exil

À cette époque, Jacques Marlaud fait la connaissance au local parisien de la F.E.N. de Maurice Rollet, Jean-Claude Valla, François d’Orcival, Alain de Benoist, etc. L’année 1965 est cruciale pour lui : il effectue son service militaire dans une unité du génie parachutiste cantonnée dans le Sud-Ouest. Guère militariste depuis la déception de 1961, agacé par la vie quotidienne de l’appelé et toujours militant actif, il applique pour lui-même le mot d’ordre détonnant d’Europe-Action, « Pas un soldat pour le Régime ! ». Il déserte, traverse les Pyrénées voisines et passe en Espagne qui lui accorde le statut de réfugié politique. Des visites fréquentes de sa famille agrémentent sa vie d’exilé. Or, un soir d’été, alors qu’il travaille dans un camping, il se rapproche d’un groupe de Français et y rencontre une vieille connaissance de la F.E.N. qui lui apprend le retrait politique de Dominique Venner, l’option d’occuper le champ culturel et l’ascension de « Fabrice » avec qui il entamera bientôt des échanges épistolaires.

Au début des années 1970, Jacques Marlaud, excellent germanophone, s’installe plus ou moins légalement en Allemagne de l’Ouest. Pour y aller, il fut contraint de passer par l’Italie et l’Autriche où, transporté par des chauffeurs routiers jusqu’à sa destination finale, il fut pris par certains d’entre eux pour un agent du Bloc de l’Est ! C’est à Hambourg qu’il rencontre sa future épouse Ursula. La vie en Europe occidentale ne l’attirant guère, il choisit de s’installer en Afrique du Sud. Au cours de son entretien avec le responsable des services d’immigration de la République sud-africaine, suspicieux devant cet étrange candidat, il lui présente sa vieille carte d’adhérent d’Europe-Action qui, une fois traduite, lui assure le permis tant convoité.

C’est en Afrique australe que naîtront six de ses huit enfants. Journaliste au service francophone de la Voix de l’Afrique du Sud, la radio sud-africaine, Jacques Marlaud entreprend des études universitaires anglophones en philosophie et en sciences politiques tandis que chez lui, l’expression demeure allemande ! Suite aux demandes répétées de son épouse, il régularise en 1979 sa situation auprès des autorités militaires françaises. Ce problème résolu et après quelques jours de détention préventive, il profite de ce séjour pour revoir ses camarades de la F.E.N. dont la plupart animent désormais le G.R.E.C.E.

Dégoûté par le militantisme politique, il s’enthousiasme en revanche pour l’action métapolitique. Rentré en Afrique du Sud, il s’investit dans l’European Renaissance Association, devient le correspondant de Nouvelle École, participe à compter de 1982 à la revue bilingue anglais – afrikaans Ideas/Idees et reçoit chez lui quelques amis venus de l’hémisphère Nord (Alain de Benoist, Guillaume Faye, Saint-Loup). La même année, il publie sa thèse de philosophie sur Nietzsche : decadence and superhumanism (1). Il poursuit dans la foulée un doctorat de littérature française à l’Université de Port-Elizabeth sous la direction du professeur Jan de Vynck. Cette thèse de doctorat devient en 1986 un ouvrage, Le renouveau païen dans la pensée française (2) préfacé par Jean Cau.

Lire la suite

09:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 21 août 2014

Disparition de Pierre Lagaillarde

lagaillarde-286x300.jpgPierre LAGAILLARDE est né le 15 mai 1931 à Courbevoie.

En 1932, alors qu’il n’a qu’un an, ses parents, tous deux avocats, s’installent à Alger.

Il fait ses études au lycée Duveyrier de Blida qu’il quitte avec un baccalauréat de philosophie en 1948. Il suit des études de droit à l’université d’Alger jusqu’en 1950, puis Paris où il obtient sa licence en 1951. 

En novembre de la même année il s’inscrit au barreau de Blida

Après avoir résilié son sursis, il est affecté au 66e Régiment d’Artillerie à Oran, au G.A.O.A. n°3 à Sétif, puis à l’école d’artillerie de Châlons-sur-Marne en avril 1956 dont il sort 34e sur 226. Il effectue un stage à la B.E.T.A.P. à Pau en septembre-octobre 1956, y obtient son brevet parachutiste et rejoint le 20e Groupe d’Artillerie Parachutiste en Algérie.

Démobilisé en 1957 avec le grade de sous-lieutenant (parachutiste au 3e RPIMA), 2 citations et la Croix de la valeur militaire

Le 2 décembre 1957, il devient président de l'Association Générale des Étudiants (Européens) d'Algérie (A.G.E.A.).

Le 26 avril 1958, M. Delbecque, chef de cabinet du ministre de la Défense nationale M. Chaban-Delmas et membre de l’USRAF, organise à Alger une manifestation encadrée par des hommes du DPU : Lagaillarde rassemble 2 000 étudiants.

Le 12 mai 1958, à 21 heures, une réunion se tient chez le Dr Lefèvre à Hydra : Martel, Crespin, Me Baille, Goutailler, Ortiz, Kerdavid, Lagaillarde

Le 13 mai 1958, les partisans de l'Algérie française s’empare, notamment grâce à Martel et Lagaillarde, du Gouvernement Général (GG) d’Alger. C'est derrière un drapeau marqué des lettres U.F.F (Union et Fraternité Française) que les troupes de Lagaillarde donnèrent le 13 mai l'assaut au Gouvernement Général

Le comité des « Sept » précède les Comités de Salut Public du 22 mai 1958 : Lagaillarde, Martel, Dr Lefebvre, Goutailler, Crespin, Maître Baille.

Le 30 novembre 1958, il devient député sans étiquette d’Alger-ville (1ère circonscription), élu sur une liste Algérie française

Le 24 janvier 1960, un millier d’hommes du Mouvement populaire du 13 mai (MP 13 cliquez ici) fait jonction avec les Unités territoriales (UT) en armes de Sapin-Lignières (Kerdavid, Ronda) au pied de la statue de Jeanne d’Arc.

Vers 16 heures, des groupes de manifestants vont rejoindre Lagaillarde, qui s’est installé avec ses hommes du commando Alcazar dans les locaux déserts de la Faculté d’Alger dans la nuit du 23 au 24 janvier.

Le général Challe avait refusé d'envoyer des paras pour enlever le réduit de Lagaillarde, en déclarant : « C'est deux compagnies de paras au tapis. » Lagaillarde était surtout très populaire parmi les paras.

Le 1er février 1960, Lagaillarde, Crespin, de Galbert se rendent.

Le 3 novembre 1960 s’ouvre le procès des Barricades : Lagaillarde (dont l’avocat est Jean Gaillot), Ronda et Susini, à qui le tribunal accorde la liberté provisoire, en profitent pour gagner l’Espagne.

Le 9 janvier 1961, Lagaillarde lance de Madrid un appel aux armées : « Européens et musulmans, hommes et femmes, soldats, hommes des villages et des campagnes, unissez-vous, car nous allons nous battre. »

Le 10 février 1961, à Madrid, 3 hommes entourent le général Salan : Lagaillarde, Susini et Ronda.

En mars 1961, il est condamné par contumace à 10 ans de réclusion criminelle pour attentat contre la sûreté de l’Etat et la loi du 24 mai 1834 sur les détenteurs d’armes, et déchu de son mandat de député le 18 juillet 1961 (et non le 5 mai 1961 comme il est indiqué parfois).

Fin 1961 paraît On a triché avec l'Honneur : Texte intégral de l'interrogatoire et de la plaidoirie des audiences du 15 et 16 Novembre 1960, par Pierre Lagaillarde, préface de Jean Gallot (éditions de la table Ronde)

Fin 1966, il est responsable de l’économat puis surveillant général du Lycée Français d’Alicante, où son épouse est professeur.

En 1968, il bénéficie de la loi d'amnistie, rentre en France et reprend son métier d’avocat : il ouvre un cabinet à Auch où son fils Pierre-Jean lui succède.

Il est décédé le 17 août 2014.

17:18 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 25 juin 2014

Le Cercle Franco-hispanique vient de publier une belle brochure en hommage à son Président, Olivier Grimaldi, qui nous a prématurément quitté en mars dernier...

CCI24062014-721x1024.jpg

Olivier nous a quitté le 9 mars dernier, ne l'oublions pas cliquez ici.

Cette brochure sort simultanément avec le nouveau numéro (n°91) de La Lettre du Cercle. Elle comprend un très beau texte d'Hélène, son épouse, ainsi que le texte du sermon prononcé par Monsieur l'abbé Beauvais lors de la messe de funérailles.

Pour se la procurer : écrire au Cercle Franco-hispanique, 4 bis, rue Caillaux 75013 Paris.

07:03 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 13 mai 2014

Pierre Descaves a rejoint sa dernière demeure

2mm5zcp.jpg

Les obsèques de Pierre Descaves se sont déroulées mardi 13 mai au cimetière du Père Lachaise. Un certain nombre de cadres et de militants du Parti de la France étaient présents pour lui rendre un dernier hommage : Carl Lang, Roger Holeindre, Martine Lehideux, Jean-Pierre Reveau, Christian Baeckeroot, Thomas Joly, Annie Fouet, Michel Bayvet, Fabrice Lengelé,... A noter également les présences de Roland Hélie, de Claudine Dupont-Tingaut, de Bruno Gollnisch et de Michel Guiniot.

Source Le blog de Thomas Joly cliquez ici

Lire aussi cliquez là

21:04 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 12 mai 2014

Pierre Descaves sera enterré mardi au Père Lachaise à Paris

forum_grenelle_008[1].JPG

Pierre Descaves intervenant lors d'une journée de Synthèse nationale en novembre 2008

Mardi 13 mai 2014 à 10h15

en la Chapelle de l'Est du Cimetière du Père Lachaise

Division 55 - côté du monument d'Adolphe Thiers.

16 rue Repos - Paris 20e (Métro Philippe Auguste)

La messe sera célébrée par le père Jean-Claude ARGOUACH

07:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 07 mai 2014

Pierre Descaves est décédé

0e82d233.png

Je viens d'apprendre, par l'intermédiaire de Carl Lang, la disparition d'un grand patriote : Pierre Descaves.

Pierre fut de tous les combats du mouvement national. Le communiqué du Parti de la France ci-dessous résume parfaitement sa vie militante au service de l'idéal qui est le nôtre.

Nous nous sommes rencontrés pour la première fois, Pierre et moi, en 1980... dans un "panier à salade". Nous venions d'être arrêtés sur les Champs Elysées lors d'une manif, assez agitée, contre la FNACA, la courroie de transmission du PCF, qui prétendait commémorer le 19 mars 1962. Nous n'étions pas très nombreux et, mes camarades du PFN et moi (nous avions alors tous autour de 20 ans), nous avions vite remarqué cet homme distingué qui semblait aussi déterminé que nous. Nous ne le connaissions pas encore, mais nous savions déjà qu'il était notre camarade. Cette manifestation avait d'ailleurs eu un certain retentissement puisque le lendemain nous faisions la "une" de France Soir et de Libération. Depuis, pas une manif, pas un meeting sans que Pierre soit là et, bien souvent, nous nous retrouvions après dans un restaurant pour "refaire le monde".

Depuis la création de Synthèse nationale, en 2006, il n'a jamais manqué une de nos réunions et, à maintes reprises, il nous donna des articles pour la revue.

Lors de notre première rencontre, nous avions découvert un camarade... aujourd'hui, nous perdons un ami.

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Communiqué du Parti de la France :

Carl Lang et Le Parti de la France ont appris avec une grande tristesse le décès ce jour de Pierre DESCAVES.

Patriote farouche et sans concessions, homme de courage et d’engagements, Pierre DESCAVES faisait partie des membres fondateurs du Parti de la France après avoir été député national du Front National de 1986 à 1988 puis conseiller général de l’Oise et conseiller régional de Picardie.

Né en Algérie française et fier de ses racines, docteur en sciences économiques, licencié en droit, diplômé de l’Institut du droit des Affaires et expert-comptable, il combattit en 1944 et 1945 au sein de la première armée française libre.

Combattant pour la défense de l’Algérie française, il passa 6 ans dans la clandestinité après son évasion du camp de Saint Maurice l’Ardoise en février 1961. Auteur de plusieurs ouvrages de résistance nationale dénonçant la désintégration de la France, Pierre DESCAVES a été jusqu’à son dernier souffle un militant de la cause nationale et un combattant politique exemplaire.

Pierre était un grand patriote: nous sommes fiers d’avoir été de ses amis et transmettons nos condoléances attristées à sa famille et à ses proches.

21:58 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 29 mars 2014

Disparition de Diego Marques, fondateur des Cercles José Antonio et Chef historique de la Phalange (FE de las JONS)

EN BEJAR -SALAMANCA- CONSEJO TERRITORIAL.jpg

Diego Marques (au centre), dans les années 70, entouré de responsables phalangistes à Madrid.

12:15 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 18 mars 2014

18 mars 1978 : assassinat de François Duprat...

F DUPRAT 1978.jpg

12:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 11 mars 2014

Les obsèques d'Olivier Grimaldi auront lieu jeudi prochain à Paris

olivier grimaldi.jpg

Les obsèques d'Olivier Grimaldi seront célébrés en l'église Saint Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins à Paris (Ve arrt), jeudi 13 mars à 10 h 30. Cliquez ici

23:34 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 10 mars 2014

OLIVIER GRIMALDI, PRESENT !

2548982724.2.jpgC'est avec une immense peine que nous vous annonçons le rappel à Dieu ce dimanche après-midi de notre Camarade et Ami Olivier Grimaldi.

Militant de la cause nationaliste depuis le début des années 1970, il avait participé à tous les combats historiques du mouvement. Catholique sincère, il a toujours défendu la Tradition. Au milieu des années 80, avec Hélène son épouse et quelques amis, il créa le Cercle Franco-hispanique qui s'attache à faire connaitre l'Espagne nationaliste et le national syndicalisme de José Antonio Primo de Rivera dans notre pays.

Depuis près de deux ans, Olivier luttait avec un courage exemplaire contre la terrible maladie qui le rongeait. Celle-ci, hélas, a eu raison de lui dimanche après-midi.

Olivier nous a quittés entouré des siens. Il était notre Camarade, il était mon Ami. Nous nous sommes connus en 1978. C'était au siège du PFN, boulevard Sébastopol. Depuis, il s'est rarement passé plus d'une semaine sans que nous nous retrouvions pour passer un bon moment ensemble. J'ai toujours été impressionné par sa culture politique et historique et aussi par son humilité et son désintéressement. Toute sa vie il est resté fidèle à l'idéal nationaliste et jamais il n'a cherché à en tirer un quelconque avantage. Son honneur était d'être l'un des rares, si ce n'est peut-être le seul, Français décoré de la médaille de la Vieja Guardia.

Il venait d'avoir 61 ans vendredi dernier. Pour nous, Olivier sera toujours présent parmi nous.

Roland Hélie

Les obsèques d'Olivier Grimaldi seront célébrés en l'église Saint Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins à Paris (Ve arrt), jeudi 13 mars à 10 h 30.

00:29 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 19 février 2014

Messe pour le repos de l'âme de Don Blas Pinar vendredi soir à Paris

CCI17022014.jpg

NDLR :

Pre-sence de Jose- Antonio.jpgLe Cercle franco-hispanique et Olivier Grimaldi présentent : Présence de José Antonio

En savoir plus cliquez ici

Bulletin de commande cliquez là

Le commander en ligne cliquez ici

 

11:35 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 12 février 2014

Une messe sera célébrée à Paris pour le repos de l'âme de Don Blas Pinar

BLAS-PIÑAR-3.jpg

A la demande du Cercle Franco-hispanique, une messe sera célébrée à Paris, en l'église St Nicolas du Chardonnet (Ve arrondissement, métro Maubert Mutualité), vendredi 21 février à 19 h 30 pour le repos de l'âme de Don Blas Pinar, fondateur de la revue Fuerza Nueva et l'un des chefs historiques de la Droite nationale espagnole, décédé à Madrid le 27 janvier dernier (cliquez ici).

18:14 Publié dans En Europe et ailleurs..., Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 11 février 2014

Notre camarade Daniel Tallet est décédé...

BgL4jHxCAAAX5Lw.jpgDaniel Tallet, très souvent affectueusement surnommé "Daniel Taxi", est décédé lundi 10 février.

Toujours présent lorsque les activités militantes l'appelaient, Daniel s'investissait beaucoup avec la bannière francilienne de Terre et peuple. Lors de nos journées annuelles de Synthèse nationale il venait nous donner un coup de main appréciable. Nous nous souviendrons aussi de sa bonne humeur qu'il savait faire partager autour de lui.

Daniel n'est plus là. Il s'en est allé rejoindre Barbara au Paradis des Guerriers...

Ses obsèques auront lieux jeudi 13 février à 14 h au funérarium de Lagny-sur-Marne (77).

19:34 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |