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lundi, 05 février 2024

Notre Ami Daniel nous a quitté...

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Depuis des années, Daniel était devenu une figure incontournable de nos Journées Bleu-Blanc-Rouge de Synthèse nationale. Il était en effet l'un des piliers du comité d'organisation, chargé en particulier de superviser la "partie restauration" (poste hautement stratégique s'il en est). Et, en plus, il maitrisait parfaitement l'utilisation du Système d'exploitation Apple, ce qui le rendait encore plus indispensable dans notre organisation. 

Toujours aimable, toujours attentif, toujours efficace, répondant toujours "présent", il faisait parti de ces gens sur lesquels je pouvais m'appuyer sans souci aucun. Hélas, à la prochaine journée BBR, Daniel ne sera plus là. Il est subitement décédé, chez lui à Versailles, à la fin de la semaine dernière... 

Personnage attachant, des années durant, il avait tenu une librairie au coeur de la capitale royale. Fin gourmet, il connaissait parfaitement toutes les bonnes tables de cette ville qu'il aimait tant. Observateur avisé, il avait toujours un avis intéressant sur l'actualité. C'était toujours un plaisir de passer un moment avec lui. 

Repose en paix Ami Daniel, nous ne t'oublierons jamais.

Roland Hélie

 

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lundi, 22 janvier 2024

Décès de Grégoire Dupont-Tingaud, militant de la cause nationale

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C'est avec une très grande tristesse que nous apprenons le départ vers l'au-delà de Grégoire Dupont-Tingaud.

Grégoire avait 54 ans, il était, depuis sa jeunesse, un militant actif de la cause nationaliste. Il participa avec enthousiasme à toutes les campagnes menées pour tenter de sauver notre nation et notre civilisation. La dernière en date étant celle d'Eric Zemmour en 2022.

Il faut dire qu'il avait de qui tenir puisqu'il était le fils de notre Chère Claudine Dupont-Tingaud, elle-même infatigable et exemplaire combattante depuis le soulèvement Algérie française de 1961.

Toutes nos pensées affectueuses vont aujourd'hui vers Claudine, vers son épouse et ses enfants.

R H

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mardi, 09 janvier 2024

Samedi 3 février, à Vaucresson (92) : hommage du Parti de la France à Roger Holeindre

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Samedi 3 février à 16h30, le Parti de la France organise son traditionnel hommage à Roger Holeindre au cimetière de Vaucresson (10 rue de Cazes).

La commémoration sera suivie, à partir de 19h30, d'un repas au restaurant (45 € par personne tout compris) où diverses personnalités de la droite nationale évoqueront, comme chaque année, le souvenir de Roger Holeindre.

Ne tardez pas à réserver pour le dîner, les places sont limitées : 

07.66.51.27.24 ou partidelafrancesomme@gmail.com

A propos de Roger Holeindre, lire le livre C'est Roger : cliquez ici

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mardi, 26 décembre 2023

Patrick Buisson est décédé aux Sables d’Olonne : l’hommage de ses proches

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Au lendemain de la Nativité, la France perd l’un de ses penseurs les plus éminents. Tout au long de son existence, l’auteur de La Cause du Peuple a mobilisé ses immenses talents au service d’une action politique fondée sur un patrimoine intellectuel incandescent. 

Homme de lettres et d’action, Patrick Buisson n’a jamais reculé devant les défis de son époque, offrant à ses contemporains une leçon de courage contre tous les tremblements de son siècle. Au rebours de ceux qui veulent brader un héritage qui irrigua toute son existence, le sage de Vendée porta la conviction que la droite française n’avait pas d’autre ambition estimable que celle d’être la patrie de l’intelligence. Souvent déçu, jamais abattu, Buisson aura conseillé certaines des personnalités publiques qui façonnent notre époque.

Nous ne pouvons qu’espérer ardemment que son héritage soit fécond et invitons tous ceux qui connurent sa personne comme son œuvre à s’incliner devant la mémoire d’un phare de notre époque. Puissent les prières monter pour le Salut de son âme et ses héritiers agir pour celui de notre pays.

Dans ces heures douloureuses, nous appelons chacun à témoigner pudiquement des trésors que recela une vie qui ne fut pas dénuée de fracas.

Patrick Buisson, présent !

Alexis Chevalier, fondateur du Pélican noir,

Charles de Meyer, président de SOS Chrétiens d’Orient,

François Bousquet, rédacteur en chef d’« Éléments »

 

Source Eléments cliquez ici

Lire aussi Polémia cliquez là

NDLR SN : Tout est dit, rien à rajouter. C'est une perte pour la droite de conviction. Qu'il repose en paix.

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dimanche, 17 décembre 2023

Décès de Jacques Le Morvan, figure du combat national et catholique

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Communiqué de Chrétienté Solidarité :

« Gaudete in Domino semper »

A la veille du dimanche de Gaudete, ce samedi 16 décembre 2023, à l’heure où l’on chante les complies, Jacques Le Morvan a été rappelé à Dieu.

Militant fondateur du Centre Charlier, Jacques a été de tous les combats pour la France et la Chrétienté. De Saint Nicolas du Chardonnet à Saint Louis de Port Marly, sur les routes de Chartres ou dans les rues de Paris, il a toujours été aux avant-postes de la résistance catholique et française.

Par son talent, il a su offrir au Centre Charlier et à Chrétienté-Solidarité l’écrin qui enveloppe chacune de nos initiatives et de nos luttes. Les bannières et les drapeaux qu’il a dessinés et confectionnés, avec son épouse Colette, continuent de guider nos pas.

A la manière de Jacques Perret, qu’il affectionnait tant, Jacques était, tout simplement, un défenseur du Trône et de l’Autel, un chouan poursuivant la lutte au XXe siècle finissant et en ce début de XXIe siècle si menaçant.

Les portes du Paradis sont grandes ouvertes pour ceux qui ont aimé et servi Jésus Christ ici-bas. Nul besoin d’en crocheter les serrures, ni de les enfoncer avec un bélier. Pas de policier irascible, ni de méchants évêques pour en empêcher l’accès à ceux qui ont combattu sous les bannières du Christ-Roi.

Que Notre Dame de France accueille Jacques, dans la Paix qui ne finit jamais.

A Dieu Jacques, au revoir mon cher ami.

Yann Baly

Président du Centre Charlier

NDLR SN : Jacques est décédé presque un an après son frère Pierre cliquez ici. Depuis les années 1970, à Angers puis à Paris, il était devenu un militant incontournable de la cause nationale. Sachant passer au-dessus des clivages qui traversent régulièrement notre camp, il faisait de l'intérêt de la France une priorité absolue. C'est un valeureux camarade que nous venons de perdre. 

R H

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jeudi, 30 novembre 2023

Notre Ami Albéric est inhumé aujourd'hui en Bretagne. Ayez une pensée pour lui...

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Nous avions un camarade.

Albéric d'Herbais est décédé vendredi dernier cliquez ici

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vendredi, 24 novembre 2023

Adieu l'ami...

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Notre camarade, notre ami, mon ami Albéric d’Herbais est décédé subitement vendredi matin suite à un arrêt cardiaque. Il avait fêté ses 43 ans il y a quelques mois. C’est une terrible nouvelle pour ses proches et pour la communauté militante nationale.

Albéric, depuis son plus jeune âge, a été de tous les combats. Qui plus est, c’était un formidable convive, un garçon drôle et cultivé. Il nous manquera.

Nous pensons à Alexia, son épouse, à ses fils et à toute sa famille engagée elle aussi pour que la France reste la France.

Il reposera en terre bretonne, là où il vivait depuis des années.

Adieu, camarade, adieu Bébert

Roland Hélie

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samedi, 11 novembre 2023

Il y a 40 ans, le 10 novembre 1983 : décès de Maurice Gaït

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cliquez ici

Maurice Gaït est né en 1909 à Marseille.

Élève de l’École normale supérieure, en 1928, il y est le condisciple de Maurice Bardèche, de Robert Brasillach, de Thierry Maulnier, de Jean Nocher et de René Château. Il en sort agrégé de philosophie.

Il collabore à La Flèche de Gaston Bergery qui, en été 1940, est membre du Comité d’organisation chargé de définir les bases d’un Parti national unique. Bergery rédige une partie du message radiodiffusé du maréchal le 11 octobre 1940 où ce dernier propose aux Français d’adhérer à un ordre nouveau et à une collaboration réciproque avec l’Allemagne.

Il rédige aussi, avec Emmanuel Berl, « l’appel aux travailleurs » du maréchal Pétain.

En 1942 et 1943, Maurice Gaït est directeur du cabinet d’Abel Bonnard, ministre de l’Éducation nationale, puis commissaire général à la Jeunesse à partir de 1944.

Il est une des rares personnes à avoir le courage de rester auprès de Pierre Laval  jusqu’à la dernière heure avant son départ pour l’Allemagne le 17 Août 1944.

Incarcéré et poursuivi pour son implication dans l’État Français, il bénéficie d’un non-lieu le 18 novembre 1947.

Il publie en 1948, aux éditions des Gazettes Le manifeste des inégaux sous le pseudonyme de Fabricius Dupont.

Après avoir dirigé La Fronde, il se joint à l’équipe de l’hebdomadaire Rivarol fondé en janvier 1951 par René Malliavin. Maurice Gaït en est le rédacteur en chef et l’éditorialiste à partir de 1973 jusqu’à sa mort en 1983.

Il décède le 10 novembre 1983.

 

NDLR - SN : Jeune militant nationaliste, j'ai eu plusieurs fois l'occasion de rencontrer Maurice Gaït. C'était un homme impressionnant par sa culture et sa fidélité à l'idéal qui nous anime. Il était, d'une certaine manière, un "homme de synthèse". Hélas, aujourd'hui, il est tombé dans l'oubli. Remercions le site Jeune Nation d'avoir rappelé, en ce quarantième anniversaire de sa disparition, qui était Maurice Gaït.

R H

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dimanche, 05 novembre 2023

JEAN-PIERRE STIRBOIS, DÉCÉDÉ UN 5 NOVEMBRE... C'ÉTAIT EN 1988, IL Y A 35 ANS

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Il était le secrétaire général du Front national, beaucoup hélas l'ont oublié.

Pour ceux qui veulent mieux connaître la vie et le combat de Jean-Pierre Stirbois cliquez ici

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mercredi, 01 novembre 2023

1er et 2 novembre : Souvenir et fidélité

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vendredi, 27 octobre 2023

Décès de Marie-José Peiffer, directrice des Éditions Art et Histoire d’Europe

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Nous apprenons la disparition de Marie-José Peiffer : Directrice d’une société de sécurité, elle avait créé dans les années 80 les Éditions Art et Histoire d’Europe pour publier Léon Degrelle, chef du mouvement belge REX en exil en Espagne depuis la fin de la IIe Guerre mondiale (notamment ses livres sur « Le siècle de Hitler »)… Elle avait ouvert ensuite sa politique éditoriale non seulement à des historiens reconnus comme Jacques de Launay, David Irving et Jean Mabire (celui-ci avait même dirigé la collection, « Action ») mais également à des auteurs grands publics tel Jean de La Varende (Guillaume le bâtard conquérant), Guy des Cars (L’Officier sans nom), Saint-Loup (Face nord, Les partisans, Götterdammerung,…) ou encore Philippe Randa pour son roman de science-fiction Rendez-vous dans l’avenir (récemment réédité aux éditions Dutan).

On se rappellera tout particulièrement du magnifique album richement illustré Léon Degrelle et la Légion Wallonie, 1941-1945 de Jean Mabire et Éric Lefèvre dont les exemplaires d’occasion sont très recherchés par les amateurs.

Depuis des années, elle s'était retirée en Bretagne, terre de légendes qu'elle appréciait particulièrement. RIP.

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mardi, 24 octobre 2023

Ne jamais les oublier...

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jeudi, 19 octobre 2023

Décès de Laurence Maugest, une militante exemplaire

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Notre amie et compagnon de route Laurence Maugest vient de nous quitter subitement. C'était un personnage toujours engagé pour la défense de nos valeurs civilisationelles qu'elle défendait au nom de nos origines Celtes, Gréco-latines et Chrétiennes. 

Au travers d'un de ses livres "Ballade avec Saint-Matthieu" (parut aux éditions Apopsix), Laurence s'attaquera à la suprématie de la raison et de la toute puissance donnée aux sciences. Elle savait nous manifester son tempérament de rigueur et d'exigence, parce que justement elle était sensible au fait que nos sociétés modernes se retirent du monde réel pour se laisser berner et bercer par des idéologies incertaines tel que le féminisme, l'écologisme, le matérialisme, le nihilisme. 
 
Toujours pleine de volonté , elle s'engagera avec énergie et espoirs tant auprès d'associations que de partis politiques en particulier dans les Yvelines, là où elle résidait. Laurence se présentera à différentes élections pour soutenir le parti de Florent Philippot, mais aussi et plus tard pour la dernière présidentielle, aux côtés de Zemmour. Sans oublier ses soutiens pour TVLibertés qu'elle chérissait au nom d'une certaine métapolitique.
 
Pour ma part, je garderai toujours en mémoire ces moments de confidences et de partage d'une grande amitié qui se plaçait davantage dans les interrogations de nos vies au quotidien et moins dans les déceptions philosophiques de nos existences idéologiques...
 
Laurence, était une sacrée personne, symbiose d'énergie, de sensibilité et de combat.
 
Hugues Bouchu
Les Amis franciliens de Synthèse nationale

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jeudi, 14 septembre 2023

Disparition d'un grand Espagnol

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Je viens s’apprendre avec tristesse le décès d’Alberto Torresano. Militant historique de la Phalange espagnole, il avait des années durant assuré les relations internationales de ce mouvement. A ce titre, il participa à plusieurs reprises aux journées annuelles de Synthèse nationale. Grand ami de la France, il fut l’un des piliers du cercle Franco-Hispanique. Alberto est parti mais pour ceux qui l’ont connu, il sera toujours présent.

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

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jeudi, 31 août 2023

SAMEDI 2 SEPTEMBRE : HOMMAGE À PIERRE SIDOS DÉCÉDÉ LE 4 SEPTEMBRE 2020

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Sur la disparition de Pierre Sidos cliquez ici

Un CHN sur Pierre Sidos cliquez là

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mardi, 08 août 2023

Nous avions une camarade... VÉRONIQUE BOUCHER, née BOYER (1938 - 2023)

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Albéric d'Avine

Comme dit si bien son fils, Véronique, des premiers aux derniers jours, a eu un engagement total et fidèle, en parallèle d'une vie professionnelle intégralement consacrée aux Belles Lettres, à l'Edition et à sa passion pour les livres et la langue française : Engagement patriotique de toujours.

OAS (Fidèle soutien de son fiancé Jean-Luc, embastillé OAS pendant 4 ans dans les geôles gaullistes, à la Santé, puis à Saint-Martin de Ré), Comité Tixier-Vignancour, Front National évidemment (rue du général Clergerie), Présent, Bénévole de Radio Courtoisie pendant 30 ans, Secrétaire de l'Association Nationale Pétain-Verdun, ces organisations purent se flatter d'avoir eu une collaboratrice, une amie, une camarade engagée, volontaire et efficace !

Véronique était une bretonne à la tête dure et bien faite, ayant élevé ses 3 fils comme de vrais militants, qui sont, grâce à elle, d'excellents pères, et de francs soutiens de notre cause nationale.

Outre ses combats, rien de ce qui est national ne lui était étranger, et nombreux sont ceux qui, comme moi, purent, jeunes étudiants, avoir droit à un toit, une oreille attentive, et parfois une juste remise en place, pour la cause !

Notre camarade est partie. Elle a marié sa petite-fille, puis s'en est allée, discrètement, après la Messe, petite main fidèle, comme de nombreux lecteurs de SN s'en souviendront, entourée de ses fils, des ses petits-enfants et assistée des secours de la Religion, grâce au Père Jean-Baptiste, de l'Abbaye de Lagrasse.

Véronique sera inhumée en ses terres bigoudènes, le vendredi 11 août 2023, à 14h30, en l'église Saint Tugdual de Combrit (29).

Chère Véronique, Kénavo Avech'al !

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vendredi, 16 juin 2023

Doudou ne chantera plus...

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Philippe Dounaïev, Doudou pour les camarades, était un combattant infatigable et un ami fidèle. Après avoir milité dans sa jeunesse au Parti des forces nouvelles puis au Front national, il s'était surtout fait connaître comme étant l'un des piliers du Choeur Montjoie Saint-Denis si apprécié dans les milieux nationalistes et identitaires.

Toujours de bonne humeur, ce sympathique Russe orthodoxe était aussi repérable grâce à sa fameuse roulante dans laquelle il mijotait des plats roboratifs qui faisaient la joie des affamés lors des pèlerinages catholiques de tradition et des fêtes des BBR d'antan.

Hélas, Philippe ne chantera plus et ne rincera plus, il est décédé cette semaine à l'âge de 66 ans. RIP camarade.

R.H.

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vendredi, 26 mai 2023

"J'avais un camarade", le bel hommage de Pierre Vial à son Ami, le professeur Jean Haudry décédé mardi dernier

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Pierre Vial, président de Terre et Peuple

Eminent spécialiste des études indo-européennes, reconnu comme tel sur le plan international, Jean Haudry était, comme tous les vrais savants, d'une grande modestie. Son « Que Sais-Je » sur les Indo-Européens (réédité par Terre & Peuple) avait été un beau succès de librairie. Jean était un bourreau de travail et avait accumulé les ouvrages érudits sur le monde indo-européen. Nous pouvons fournir à ceux qui le demanderaient une Bibliographie.

Jean avait joué un rôle déterminant dans la création de l'Université Jean-Moulin. Il avait été le doyen de la Faculté des Lettres. Dès que cela avait été possible il avait fait en sorte que me soit proposé un poste au sein du département d'Histoire et j'avais donc rejoint l'équipe de nos amis implantés dans cette université, vite dénoncée, évidemment, par les gardiens du politiquement correct, comme un repaire de mal-pensants.

Mais, plus important, pour moi, que le côté universitaire, Jean était un homme fidèle à notre conception du monde : son Honneur s'appelait Fidélité. A la différence de certains il ne se cachait pas derrière son petit doigt et avait immédiatement donné son accord pour être le vice-président (avec Jean Mabire) de Terre & Peuple. Nous avons partagé bien des aventures, y compris dans le travail de pénétration de certains milieux a priori bien éloignés de notre façon de voir les choses mais dont nous avons soigneusement tiré un parti fort intéressant, sur lequel je resterai discret.

Jean était un combattant. Toujours prêt à donner le meilleur de lui-même lorsque je lui proposais un de ces coups tordus dont nous avions le secret.

Je sais, mon camarade, que tu seras encore à mes côtés pour les dernières étapes. Et que je te retrouverai là où sont nos Grands Anciens.

Source cliquez ici

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mercredi, 24 mai 2023

Disparition du Professeur Jean Haudry

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Le professeur Jean Haudry est décédé mardi matin à l'âge de 88 ans. Chercheur de renom, il a consacré sa vie et ses études à la civilisation indo-européenne. Il enseigna des années durant à l'université de Lyon III (1966-1998). Il a été aussi l'auteur de nombreux ouvrages de références sur les origines de notre civilisation.

Membre du GRECE, il participa aux lancements des revues Nouvelle école et Éléments. Ami de Pierre Vial, il est intervenu régulièrement aux Tables-rondes de Terre et peuple. Il participa aussi, dans les années 1990, au Conseil scientifique du Front national. À plusieurs reprise, il nous fit l'honneur d'assister à nos journées annuelles de Synthèse nationale.

Roland Hélie

Le site de l'Institut Iliade a publié un bel article sur la vie et la carrière de Jean Haudry  cliquez ici

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lundi, 22 mai 2023

22 mai 1988 : disparition de Giorgio Almirante

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Source Jeune nation cliquez ici

Giorgio Almirante nait le 27 juin 1914 à  Salsomaggiore en Émilie-Romagne. Il vient d’une famille d’acteurs et de patriotes.

A Turin, il  passe sa maîtrise de lettres en 1937, avec un mémoire sur la lecture de Dante au XVIIe siècle. Parallèlement à ses études, il commence une carrière de journaliste, collaborant au quotidien fasciste Il Tevere (Le Tibre), où il travaille jusqu’en 1943, date à laquelle il en est le rédacteur en chef.

Il est signataire en 1938 du Manifeste sur la race, il est secrétaire de rédaction jusqu’en 1942 de la revue La défense de la race.

Après avoir pris part à la Campagne d’Afrique du Nord, Almirante adhère à la République sociale, créée au lendemain de l’armistice du 8 septembre 1943. Il passe à Salò et s’engage dans la Garde nationale républicaine avec le grade de capomanipolo. D’abord chef de cabinet du ministre de la Culture populaire de Mussolini, il devient lieutenant de la brigade noire dépendant de ce même ministre. C’est dans les rangs de cette entité qu’il va lutter contre les résistants, notamment en Val d’Ossola et dans la région de Grosseto.

Giorgio Almirante passe dans la clandestinité, du 25 avril 1945, date de l’armistice définitif, jusqu’en septembre 1946.

Le 26 décembre 1946, il participe à Rome à la création du MSI, qu’il dirige jusqu’en 1950, puis à nouveau de 1969 à 1987.

Il entre à la Chambre des députés dès la première législature en 1948 et est systématiquement réélu jusqu’à sa mort.

Pendant sa longue permanence à la tête du MSI, Almirante sut faire valoir sa personnalité posée et consensuelle, indispensable dans un parti au sein duquel, surtout après la fusion avec les royalistes en 1971, militent des personnalités aux origines politiques extrêmement diverses et aux caractères tout aussi variés. Il est l’artisan de ce qui a été défini comme la « politique du costume croisé », à mi-chemin entre l’héritage fasciste et l’ouverture sur le système.

Au début des années 1970, par respect pour la discipline de parti, il s’exprime contre l’introduction du divorce. Sa position d’ouverture avait en effet été mise en minorité au sein du MSI pendant les discussions. Lui-même bénéficiera des possibilités offertes par la loi Fortuna-Baslini pour divorcer de Gabriella Magnatti, sa première femme, et se remarier avec Assunta Stramandinoli, veuve du marquis de Médicis mais qu’il a connue à l’époque où ils étaient encore mariés.

En 1972, grâce notamment à la fusion avec le parti royaliste (PDIUM), le MSI obtint son meilleur score aux élections législatives sous l’étiquette MSI-Droite Nationale, avec 56 députés et 26 sénateurs.

Devenu le principal symbole de la droite anti-communiste, Almirante est souvent attaqué par les forces de gauche, et notamment celles d’extrême-gauche, qui l’accusent entre autres d’avoir été un « fusilleur » sous la République de Salò. Almirante répondit à ces accusations par procès et par la publication d’un livre, Autobiographie d’un fusilleur : « Un titre doublement menteur puisque ce n’est pas une autobiographie et que je ne suis pas un fusilleur ».

Le Procureur général de Milan de l’époque décide alors de demander à la Chambre l’autorisation d’engager une procédure contre lui pour tentative de reconstitution du Parti Fasciste. Celle-ci est accordée le 24 mai 1973 mais l’enquête ne débouche sur rien et l’affaire est classée.

Vers la fin des années 1970, en pleine crise du terrorisme, les fameuses Années de plomb, Almirante prend parti pour le rétablissement de la peine de mort pour les terroristes reconnus coupables d’assassinat.  Il s’oppose aussi à la légalisation de l’avortement en Italie.

Son état de santé le contraint en 1987 à abandonner la direction du parti à son dauphin Gianfranco Fini, alors secrétaire du Front de la Jeunesse du MSI. Ce choix revenant à couper les ponts avec le passé, car « personne ne pourra traiter de fasciste quelqu’un né après-guerre. » Fini dira de lui qu’il était « un grand Italien » et « le leader de la génération qui a refusé de se rendre. »

Il meurt à Rome, le 22 mai 1988, après une opération subie à Paris.

La cérémonie de ses obsèques se tient à Rome, dans l’église de la piazza Navona. Il est inhumé au cimetière communal de Campo Verano de Rome.

Sur Giorgio Almirante et le MSI :

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Pour le commander cliquez ici

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lundi, 15 mai 2023

Dimanche 21 mai, à Paris : 10 ans après la mort de Dominique Venner

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À propos de Dominique Venner :

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Il y a dix ans, Synthèse nationale et l'acte ultime de Dominique Venner cliquez ici et cliquez là

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vendredi, 05 mai 2023

Jean Picollec a été inhumé jeudi en Terre bretonne

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Jean Picollec, décédé la semaine dernière cliquez ici, a été enterré hier en Bretagne. La cérémonie s'est déroulée, selon le voeu de sa famille, dans la plus stricte intimité. Son ami le journaliste Jean Bothorel lui a consacré un article qui est paru dans l'édition d'hier du quotidien breton Le Télégramme (ci-dessus).

D'autre part, ce vendredi matin, sur Radio Courtoisie, s'est déroulée une émission spéciale consacrée à Jean Picollec cliquez là en présence de Nicolas Stoquer, patron d'émission, David Miège et Jacky Redon, dessinateurs de presse, Gérard Letailleur, écrivain, et Philippe Randa, éditeur et auteur du livre Jean Picollec l'atypique (Synthèse nationale, 2022).

Vous êtes nombreux à nous demander comment se procurer ce livre. Vous pouvez le commander en cliquant ici  

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jeudi, 27 avril 2023

IMMENSE TRISTESSE : NOUS VENONS D'APPRENDRE LE DÉCÈS DE NOTRE AMI JEAN PICOLLEC

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Jean Picollec et Roland Hélie, en novembre 2021, devant les dolmens de l'Ile Grande dans le Trégor

Philippe Randa vient de m'appeler pour m'apprendre la triste nouvelle, notre Ami de toujours, l'éditeur Jean Picollec, vient de mourir. Certes, nous savions qu'il avait été hospitalisé il y a quelques jours mais, comme il n'hésitait jamais à le rappeler, "le Breton est solide" et, comme nous avions confiance en lui, nous étions donc tous persuadés qu'il serait bientôt à nouveau d'aplomb. Hélas, même ce qui est le plus solide finit un jour par se casser. Jean avait 85 ans, il n'a pas échappé à son destin.

L'an dernier, Synthèse nationale a publié un livre de Philippe Randa, Jean Picollec l'atypique. Ce livre contient, entre autre, un grand entretien avec Jean. Avec la modestie qui le caractérisait, il nous raconte sa (très brillante) carrière d'éditeur, les personnalités qu'il a rencontrées et parfois éditées, ses engagements pour la Bretagne, pour la France, pour notre civilisation européenne... et aussi ses espérances.

Jean était un personnage attachant et haut en couleurs. Il était sans doute le plus breton des parisiens. À chaque fois qu'il m'appelait et que le hasard faisait que j'étais en route vers la Bretagne (ce qui m'arrive souvent), il me lançait avec un brin de malice et sur un ton un tantinet inquisiteur : "Mais, tu n'es pas passé prendre ton visa avant de partir". Une chose est sûre, c'est que Jean ira au paradis des non-conformistes et pour cela, lui, il n'aura pas besoin de visa... 

Kénavo l'Ami...

Roland Hélie

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Jean  Picollec avec Philippe Randa sur le stand de Dualpha lors des journées de Synthèse nationale en octobre 2019.

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mardi, 25 avril 2023

Il y a bientôt 10 ans : le geste ultime de Dominique Venner

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Sur Dominique Venner :

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Pour commander ce livre cliquez ici

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mardi, 21 mars 2023

Décès du Dr Jean-Claude Pérez (1928-2023) : combattant de l’Algérie Française

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Jean-Claude Pérez (1928-2023)

combattant de l’Algérie Française

Nous apprenons avec peine la disparition de Jean Claude Pérez. Né le 17 janvier 1928 à Bougie, en Petite Kabylie, il devint Docteur en médecine en mai 1954. Il termina sa carrière de médecin généraliste à Paris en 1995.

Il fut confronté à la subversion anti-française, dès le déclenchement des attentats en Algérie, le 1er novembre 1954. Il connut la prison, par épisodes, de 1957 à 1965 en Algérie, en France métro­politaine et à l’étranger. Il fut condamné à mort par contumace pour sa participation au combat de l’OAS, à un poste de responsabilité nationale.

Depuis cette période tumultueuse, Jean-Claude Pérez s'est investi sans compter pour défendre la mémoire de ceux qui se sont battus pour la cause de l'Algérie française. Il est l'auteur de plusieurs livres édités par l'Atelier Fol'fer cliquez ici

À plusieurs reprises, Jean-Claude Pérez nous a manifesté sa sympathie pour notre revue Synthèse nationale. Il a aussi participé, à l'automne dernier, à la rédaction du Cahier d'Histoire du nationalisme (n°23) consacré à l'Algérie française cliquez ici

Tout comme EuroLibertés cliquez ici et le Nouveau Présent hebdo cliquez ici, nous relayons ci-dessous l’hommage que lui a rendu son cousin, Manuel Gomez.

« Mon cousin, le docteur Jean-Claude Pérez, vient de nous quitter et c’est une partie de ma jeunesse qui est partie avec lui. Pas un seul homme ne fut un aussi grand défenseur de l’Algérie Française que Jean-Claude. Est-il nécessaire de rappeler qu’il fut le “patron” des commandos Delta et eu sous ses ordres le lieutenant Degueldre après avoir été l’organisateur des “Barricades” en janvier 1960 avec Pierre Lagaillarde ? J’étais alors à ses côtés.

Jean Claude était LE docteur de Bab-el-Oued, de tout ce petit peuple qui un jour du mois de mars 1962, s’éleva contre l’abandon de la France et fut bombardé et assiégé par l’armée française, sous les ordres de De Gaulle et du général Ailleret.

Je me souviens d’une anecdote qui m’a beaucoup marqué : Une bombe avait éclaté boulevard de Provence, à l’arrêt du tram. Il était dix-neuf heures. Je me précipite et tombe sur mon cousin, le docteur Jean-Claude Pérez, dont le cabinet se situait juste sur la place, au premier étage. Il est occupé à secourir un homme allongé sur le sol, le ventre ouvert, d’où s’échappe une bouillie sanglante faite de boyaux et de graisse, c’était horrible.

– « Passe-moi ce journal, là, par terre, allez dépêche-toi. »

Je le ramasse et le lui tends. Il enfonce, avec ses mains, tous les boyaux à l’intérieur de l’abdomen, place le journal plié sur la plaie béante et, à l’aide du pantalon et de la ceinture, referme le tout.

– « Reste à côté de lui jusqu’à l’arrivée de l’ambulance. »

Jean-Claude est déjà reparti vers un autre blessé. Deux personnes s’éloignent en bavardant, l’une boite, le docteur se précipite.

– « Monsieur, monsieur, asseyez-vous par terre, vite ».

L’homme le regarde, surpris.

– « Vite, allongez-vous, vous êtes blessé au pied ».

L’homme baisse les yeux et s’aperçoit qu’il marche sur un moignon, il n’a plus de pied droit. Il tombe comme une masse.

Les ambulances arrivent, avec la police. Les blessés sont emportés, les morts restent là; toujours bronzés, sous les réverbères, ils n’ont pas encore ce teint blanc de pâte à modeler sale, qu’ils auront demain matin, allongés sur le carrelage de la morgue de l’hôpital de Mustapha.

Quelques semaines plus tard, lors d’une visite à l’hôpital Maillot, j’apprends avec joie que notre blessé, avec son journal en guise de pansement, est bien vivant. Il vient me saluer, plié en deux et compressant de la main une cicatrice de quarante centimètres.

J’admirais Jean-Claude Pérez. Peu d’hommes ont le courage de passer des paroles aux actes, surtout quand ces actes peuvent vous coûter la vie. Il était fait de cette matière, de ce courage physique, dont sont construits les “braves”.

C’est lui qui, en mai 1958, m’a ouvert les yeux sur le « machiavélisme » de De Gaulle. Alors que j’étais journaliste à La Dépêche d’Algérie, il me dit, au cours d’une discussion : « Vous vous trompez tous sur de Gaulle, ce n’est pas l’homme que vous croyez, vous verrez c’est lui qui nous coulera, à cause de lui nous perdrons l’Algérie ».

J’étais de nouveau à ses côtés lors du « Procès des Barricades », cette manifestation qui fit trembler le pouvoir parisien. Si les Français d’Algérie ne réagissaient pas l’Algérie française était morte.

Mon journal, L’Aurore, m’avait demandé de couvrir ce procès des barricades où, parmi les accusés, se trouvait, outre mon cousin, un ami de longue date de ma famille, Marcel Ronda, fils de commerçants de la rue Bab-el-oued.

Jean-Claude Pérez fut ensuite emprisonné à la prison de la Santé. Il bénéficiait d’un régime réservé aux politiques, ce qui me permit de lui rendre souvent visite.

Le soir même de sa remise en liberté, et avant son retour à Alger, j’organisai une soirée, en compagnie de Jean-Claude et de son épouse. Tout d’abord un monstrueux plateau de fruits de mer, à « l’Auberge alsacienne » du faubourg Montmartre, que Jean-Claude dévora presque à lui tout seul, puis, ensuite, des crêpes arrosées de cidre à la Brasserie Maxeville, sur les grands boulevards.

Il m’informa qu’il rentrait à Alger pour reprendre la lutte, jusqu’à la mort s’il le fallait, et ce n’était pas une parole en l’air.

A ma question : « Qu’est-ce que je peux faire pour vous ? »

Il me répondit : « Reste à Paris, rends-toi utile ici, grâce à ton métier, chaque fois que tu en auras l’occasion, et attends ».

En Algérie, l’O.A.S. s’organisait sous le commandement du Colonel Godard et Jean-Claude Pérez se voyait confier l’O.R.O., branche dure, avec comme adjoint le lieutenant Degueldre, ancien officier du 1er REP, responsable de la formation et de la direction opérationnelle des futurs commandos Delta.

Il m’avait fait part de sa fierté de savoir que j’avais représenté Georges Bideault lors de la création officielle de l’OAS à Madrid, auprès du général Salan et de Pierre Lagaillarde.

Fin mars 62, tous les responsables militaires de l’OAS avaient quitté le pays et il ne restait, pour le dernier baroud d’honneur, que le Dr Jean-Claude Pérez, le lieutenant Degueldre, et les Delta de Bab-el-Oued.

Après avoir échappé à deux attentats, mitraillage par une voiture et bombe placée dans sa Mercedes, Jean-Claude Pérez dut quitter à son tour Alger le 15 juin. Il était accompagné par plusieurs membres de ses commandos et ils ont embarqué à bord d’un bateau espagnol. Il s’installa provisoirement à Salou où il apprit en 1965 sa condamnation à mort par contumace, avant de bénéficier de l’amnistie de 1968.

Adieu, Jean-Claude, tu resteras à jamais l’un des plus ardents et des plus brillants défenseurs de Algérie Française. Repose en paix. »

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samedi, 18 mars 2023

18 mars 1978 : assassinat de François Duprat

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Communiqué d'Alexandre Simonot :
 
N’oublions jamais notre camarade de combat François Duprat assassiné il y a aujourd’hui 45 années, le 18 mars 1978.
 
Frontiste de la première heure, grand et irremplaçable ami de Jean-Marie Le Pen, militant exemplaire, François Duprat était un brillant intellectuel, libre et éclairé, passionné d’histoire et de politique. Ecrivain hors-pair, travailleur infatigable, il possédait une véritable plume d’acier qui le fit collaborer à la plupart des rédactions des journaux de la Droite Nationale. Il ne cessera pas d’y dénoncer les risques que faisait peser l’immigration sur l’identité des peuples européens.
 
François Duprat était un amoureux de la Liberté d’expression, cette liberté qui lui a coûté la vie. Car c’est bien pour avoir osé écrire tant et tant de vérités interdites à exprimer qu’il a été éliminé.
 
François Duprat gênait, dérangeait, bousculait avec talent le politiquement correct, le terrorisme intellectuel et le prêt-à-penser. Il écrivait et proclamait tout haut ce que beaucoup pensait tout bas. Il n’avait peur de rien. Il est mort au devoir, au combat, sur la route qui le menait à une école pour accomplir simplement ce qu’il aimait par-dessus tout : enseigner la simple et pure vérité historique.
 
Plutôt que d’oser l’affronter sur le terrain des idées et du débat, les misérables lâches, anonymes et vagabonds, qui l’ont exécuté ont placé une bombe dans sa voiture...
 
Esprit ouvert, fidèle défenseur de notre identité, François Duprat aurait exécré la liberticide Loi Gayssot qui interdit en France toute véritable Liberté d’expression qui est pourtant un Droit fondamental de notre Pays.
 
Que François Duprat repose en paix auprès de tous ces grands intellectuels honnêtes et courageux qui ne faisaient que proclamer, à temps et à contre temps, la Vérité qui seule nous rendra libres.
 

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Sur François Duprat, lire le CHN 2 qui lui est consacré cliquez ici

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samedi, 11 mars 2023

Hommage au colonel Jean-Marie Bastien-Thiry

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Alexandre Simonnot, membre du Bureau politique du Parti de la France
 
Rendons un hommage tout particulier au Colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, héros et martyr de la Patrie, fusillé il y a aujourd’hui 60 années, le 11 Mars 1963.
 
Jean-Marie Bastien-Thiry était Lorrain, polytechnicien, Lieutenant-colonel dans l’Armée de l’air et l’inventeur de deux missiles antichars, les SS-10 et SS-11. Il avait 36 ans et laissait une veuve et trois petites orphelines.
 
Organisateur de l’opération du Petit-Clamart, le Colonel Jean-Marie Bastien-Thiry aura tout sacrifié, sa famille et sa vie, pour l'honneur de la France. Il nous a laissé, en versant son sang, un message, un exemple à méditer, à admirer et à suivre.
 
Alors que les tireurs du Petit-Clamart seront graciés par De Gaulle, celui-ci refusera d’accorder sa grâce au Colonel Bastien-Thiry.
 
Jean-Marie Bastien-Thiry est l’exemple parfait du dévouement, du courage, de l’abnégation, du don de soi et du sacrifice de sa vie pour la Patrie. Il est l’honneur de l’Armée Française.
 
Homme de Foi, grand Catholique, il mourra comme un saint, marchant vers le peloton d’exécution son chapelet à la main, après avoir entendu la Messe. Refusant d’avoir les yeux bandés, il regardera la mort droit dans les yeux avant de pouvoir contempler ensuite la Vie éternelle. Il sera le dernier condamné à mort à avoir été fusillé en France.
 
Assassiné sur ordre de celui qui aura trahi l’Algérie Française et livré des dizaines de milliers de Harkis et Pieds-noirs aux tortures les plus innommables des bouchers fellouzes du FLN, le Colonel Jean-Marie Bastien-Thiry demeure un Français modèle, un héroïque soldat dont le nom restera pour toujours inscrit sur le Martyrologe de notre pays.
 
Que Jean-Marie Bastien-Thiry repose en paix, aux côtés de tous les Morts pour la France, dans le Paradis des Héros, des Martyrs et des Soldats.
 

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vendredi, 10 mars 2023

En souvenir de Jean-Marie Bastien-Thiry

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« Le danger que court actuellement ce pays ne vient pas d’un risque de destruction physique ou matérielle : il est plus subtil et plus profond car il peut aboutir à la destruction de valeurs humaines, morales et spirituelles qui constituent le patrimoine français. Ce patrimoine provient d’un héritage qui est à la fois grec, latin, occidental et chrétien et repose sur une conception précise de la liberté et de la dignité de l’homme et des collectivités humaines et sur la mise en application de principes fondamentaux qui sont la recherche et le souci de la justice, le respect de la vérité et de la parole donnée et la solidarité fraternelle entre tous ceux qui appartiennent à la même collectivité nationale. Nous croyons qu’on ne viole pas impunément et cyniquement ces différents principes sans mettre en péril de mort, dans son esprit et dans son âme, la nation tout entière. » (Jean-Marie Bastien-Thiry)

Le Cercle Bastien-Thiry organise du 10 au 12 mars à Paris divers événements en mémoire du dernier des fusillés, Jean-Marie-Bastien-Thiry :

  • 10 mars : messe
  • 11 mars : journée souvenir
  • 12 mars : cérémonie au cimetière

Programme et renseignements sur Bastien-Thiry.fr

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mercredi, 01 mars 2023

Marylou Mary est décédée

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Marylou Mary, compagne de notre ami Bernard Bres - militant bien connu de la cause qui a collaboré à plusieurs numéros de la revue Synthèse nationale ainsi qu'à Rivarol - avait adhéré au début des années 1980 au Front national, puis avait suivi Bruno Mégret en 1999.

« Pied Noire » de naissance, elle était une active participante aux activités du Cercle algérianiste de Paris/Neuilly.

Elle nous a quittés courant février.

Que son compagnon, Bernard, trouve ici nos condoléances attristées.

Jean-Claude Rolinat

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mardi, 07 février 2023

Didier Patte, fondateur du Mouvement normand, s’en est allé

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Source Breizh info cliquez ici

Didier Patte, fondateur du Mouvement normand, s’en est allé en ce début février 2023, à l’âge de 82 ans.

Né le  à Rouen, Didier Patte était professeur d’histoire et de géographie dans un lycée de Rouen. Il s’engage en politique dans les années 60 après avoir fréquenté les groupements pro-Algérie française sous le nom de « Guillaume Lenoir » : il crée alors en compagnie de Pierre Godefroy et Jean Mabire, l’Union pour la région normande. Pendant ce temps, il fréquente l’université de Rouen, où il est président de la Fédération des étudiants de Rouen, adhérant à la Fédération nationale des étudiants de France (FNEF) et s’opposant à l’Union nationale des étudiants de France (UNEF).

À la suite du référendum de 1969 sur la régionalisation, il transforme la FER en Mouvement de la jeunesse de Normandie. En 1971, celui-ci prendra le nom définitif de Mouvement normand, dont il reste le président. Il veut faire de la Normandie « le lien entre le monde franco-latin […] et les mondes nordique et britannique ».

En 1976, il est arrêté sur un mandat d’un juge de Rennes au sujet d’un transit d’armes par le port du Havre ; le Mouvement normand est accusé de servir de base d’approvisionnement au Front de libération de la Bretagne.

Il est aussi un proche du Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne (GRECE). En , il participe au 34e colloque du GRECE consacré « L’Europe et les régions », où il fait une conférence sur le Mouvement normand et participe à la table ronde « Souverainisme ou fédéralisme » aux côtés de Luc Pauwels  et Pierre Pujo.

Président de l’Association des amis de Jean Mabire de 2001 à , il est également directeur de la revue L’Unité normande. En 2010, il est à l’initiative avec Gilles Arnaud du lancement de la télévision régionaliste par internet TVNormanChannel.

Une interview récente de lui est disponible ici. Toute sa vie, il aura lutté pour la défense de  nos patries charnelles et de sa Normandie, dont il aura vécu, de son vivant, la réunification pour laquelle il combattait.

Il avait d’ailleurs accordé, sur le sujet, un entretien à Breizh-info à redécouvrir ici

Toute la rédaction salue ici la mémoire d’un soldat des patries charnelles et de l’enracinement.

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