dimanche, 04 novembre 2018
SAMEDI APRÈS-MIDI, LA DROITE NATIONALE A RENDU HOMMAGE À JEAN-PIERRE STIRBOIS
A l'initiative du Parti de la France, une forte délégation de responsables et militants nationaux et nationalistes s'est rendue samedi après-midi au cimetière Montparnasse à Paris sur la tombe de Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national, prématurément décédé il y a 30 ans, dans la nuit du samedi 5 novembre 1988 à Pontchartrain dans les Yvelines, en revenant de Dreux où il venait de tenir un ultime meeting pour la défense de la Calédonie française.
Au cours de cette émouvante cérémonie, Carl Lang, Président du Parti de la France, qui, rappelons-le, lui succéda au secrétariat général du FN, souligna le rôle éminent joué par Jean-Pierre Stirbois, aux côtés de Jean-Marie Le Pen, dans l'émergence au début des années 80 du Front national. Il rappela aussi que Jean-Pierre fut l'un des premiers à dénoncer ce danger grandissant que représente pour notre peuple l'immigration incontrôlée et à réaliser, lors de l'élection municipale partielle de Dreux en septembre 1983, l'union victorieuse de la droite contre la liste socialo-communiste.
Notons la présence de nombreux anciens proches collaborateurs et amis de Jean-Pierre à cet acte hautement symbolique ce qui prouve, s'il en était encore besoin, que dans notre camp la fidélité n'est pas un vain mot...
S.N.
Pour information, sachez que dans quelques semaines, pour marquer le trentième anniversaire de sa disparition, sortira le n°15 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Jean-Pierre Stirbois.
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vendredi, 02 novembre 2018
SAMEDI 3 NOVEMBRE (15 H), 30 ANS APRÉS SA MORT : VENEZ NOMBREUX ASSISTER À L'HOMMAGE DES PATRIOTES À JEAN-PIERRE STIRBOIS ORGANISÉ PAR LE PARTI DE LA FRANCE
Boulevard Voltaire rend hommage
à Jean-Pierre Stirbois :
In memoriam : Jean-Pierre Stirbois, grand précurseur de la lutte contre l’immigration
Il y a trente ans, Jean-Pierre Stirbois, alors secrétaire général du Front national, trouvait la mort à Ponchartrain, dans un accident de voiture, en revenant d’une réunion électorale. Il y a les morts qu’on déplore et celles dont on se réjouit : dans son ensemble, la presse salit la mémoire du défunt et trouva l’accident plutôt bienvenu. À l’image de Charlie Hebdo, qui titra « Les arbres sont sympas » pour évoquer l’obstacle meurtrier rencontré. Vingt ans plus tard, Benjamin Biolay fit le tour des médias avec son opus Vengeance : « La vengeance est un plat que certains mangent froid comme Stirbois s’est mangé son cèdre. »
Difficile à excuser. Mais facile à comprendre. Maire adjoint, conseiller régional, député européen, député national, Jean-Pierre Stirbois exerça beaucoup de mandats. Mais ce n’était pas un homme politique ordinaire. Son action a eu une dimension historique.
1) C’est l’un des premiers hommes politiques français (avec Jean-Marie Le Pen) à avoir discerné l’ampleur des problèmes migratoires et avoir eu l’audace d’en faire un thème électoral.
2) Grâce à un travail de terrain exemplaire (tractages, boîtages, marchés, cages d’escalier, réunions d’appartement), il a montré qu’il était possible de construire un électorat autour de la défense de l’identité française et de la lutte contre l’immigration. Ses propos paraissaient vifs ; ils sont, hélas, en deçà de la situation que nous subissons aujourd’hui.
3) « Le tonnerre de Dreux » – 16 % aux élections municipales de 1983 – fut une étape décisive dans l’émergence du Front national, son succès électoral aux élections européennes de 1984 (11 % des suffrages) et l’implantation durable de ce parti.
4) Enfin, beaucoup l’ont oublié, tant l’affaire peut paraître étrange aujourd’hui, mais Jean-Pierre Stirbois fut un promoteur de l’union des droites. Il réussit à s’allier au RPR Jean Hieaux pour chasser de la mairie de Dreux l’immigrationniste Françoise Gaspard.
5) Ce bel édifice se heurta à une puissante campagne de diabolisation menée par les lobbies de l’immigration : le CRIF, les chrétiens progressistes, la LICRA, des obédiences maçonniques, les associations subventionnées et SOS Racisme firent tout pour obtenir du RPR le refus de tout accord avec le FN. Les Français le payent aujourd’hui de trente ans d’immigration incontrôlée.
6) Pourtant, trente ans après, le modèle de Jean-Pierre Stirbois à Dreux (la lutte contre l’immigration et l’alliance des droites) reste une nécessité pour la survie du peuple français et des peuples européens.
Voilà pourquoi Jean-Pierre Stirbois, trente ans après sa mort, doit rester présent dans la mémoire des combattants identitaires. Comme précurseur à honorer.
Une cérémonie d’hommage aura lieu, samedi 3 novembre à 15 heures, au cimetière de Montparnasse à Paris.
Source Boulevard Voltaire cliquez ici
Hommage du samedi 3 novembre cliquez là
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dimanche, 28 octobre 2018
Samedi prochain, 3 novembre, 30 ans après sa mort, le Parti de la France rendra hommage à Jean-Pierre Stirbois
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jeudi, 11 octobre 2018
Triste nouvelle : YVAN BLOT EST DÉCÉDÉ
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vendredi, 06 juillet 2018
Lieutenant Roger Degueldre, fusillé a 37 ans le 6 juillet 1962
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jeudi, 07 juin 2018
7 juin 1962 : souvenez-vous d'Albert Dovecar et de Claude Piegts
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samedi, 26 mai 2018
LA VILLE DE BEZIERS REND HOMMAGE A UN VRAI REBELLE DE MAI 1968 : JAN PALACH
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lundi, 21 mai 2018
22 MAI 1988, GIORGIO ALMIRANTE, FONDATEUR DU MSI, S'EN ALLAIT
Souvenez vous !
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La veille, décès de Pino Romualdi cliquez là
Lu dans le Cahier d'Histoire du nationalisme n°11 consacré au MSI :
22 mai 1988. Rome. Giorgio Almirante meurt à 10h20. Il a 74 ans. Avec Romualdi, il avait été l’édificateur du MSI, jusqu’au point d’identifier sa propre vie avec celle du parti et d’identifier le parti avec sa personne et son leadership. Deux fois secrétaire national (1947 – 1950 et 1969 – 1987), il avait porté, grâce à son charisme et à la cohérence de ses idées, le peuple du MSI à l’acceptation des règles démocratiques en faisant conquérir au MSI, dans les années 70 et 80, les plus grands succès électoraux de son histoire cinquantenaire et en imposant pour ce faire à la classe dirigeante issue de l’antifascisme, l’acceptation d’une communauté humaine qui, sans lui et son action, ne se serait pas retrouvée unie pour affronter les grandes difficultés politiques et civiles, imposées par le fait d’être héritiers de la double défaite, de la Seconde Guerre Mondiale et de la guerre civile. Journaliste, il avait dirigé le quotidien du MSI Secolo d’Italia et, auparavant, le premier hebdomadaire du MSI, Lotta Politica (Lutte Politique).
Il laisse une histoire du MSI écrite avec Francesco Palamenghi Crispi, deux volumes de critique à la démocratie parlementaire (Processo alla Repubblica [Procès à la République] et Processo al Parlamento [Procès au Parlement]), la célèbre Autobiografia di un fucilatore (Autobiographie d’un fusilleur - 11 fois réédité) et les essais Robert Brasillach, Josè Antonio primo de Rivera et Carlo Borsani.
Dans 200 villes italiennes, des rues, places, boulevards, parcs publics, jardins, ronds-points et constructions urbaines, jusqu’à un pont, sont potent aujourd'hui le nom de Giorgio Almirante.
Le premier à rendre hommage à Almirante, quelques minutes après sa mort, est le président de la République, Francesco Cossiga.
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IL Y A 30 ANS, LA VEILLE DU DÉCÉS DE GIORGIO ALMIRANTE, DISPARAISSAIT PINO ROMUALDI
Souvenez vous !
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Giorgio Almirante cliquez ici
Lu dans le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au MSI :
21 mai 1988. Rome. Mort de Pino Romualdi à 4h30. Il a 75 ans. Il avait été le principal artisan de la naissance du Mouvement Social Italien.
Il avait traité, avec le premier Gouvernement antifasciste, l’amnistie pour les prisonniers fascistes, en jouant un rôle important au cours du référendum sur la forme institutionnelle du nouvel État italien. Il avait occupé à plusieurs reprises les fonctions de président du MSI-DN, mais également de vice-secrétaire national et de président du Comité central. Dans le monde de la droite italienne, il était le phare de la fidélité aux contenus plus qu’à la forme du Fascisme. Droite oui, nostalgies non. Une leçon adressée surtout aux jeunes générations.
Brillant journaliste, il avait dirigé les quotidiens Gazzetta di Parma (Gazette de Parme) et Il Popolo Italiano (Le Peuple Italien), l’hebdomadaire Il Popolo di Romagna (Le Peuple de Romagne) et le mensuel L’Italiano, l’une des plus importantes revues du MSI. Il laisse, entres autres, un livre fondamental d’analyse historique du Fascisme et de mémoires personnelles intitulé Fascismo republicano (Fascisme républicain).
Au cours de la RSI, il avait été vice-secrétaire du Parti Fasciste Républicain. Pour cette raison, durant l’après-guerre, il avait vécu plusieurs mois en cavale.
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DOMINIQUE VENNER, 21 MAI 2013
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vendredi, 11 mai 2018
Décès de Guy Macary, ancien élu du FN en PACA
Notre ami Guy Macary est mort. Officier para-commando, militant OAS, élu Front National, il fut bâtonnier du Vaucluse et président du groupe FN en PACA. Pour avoir été son directeur de campagne aux Régionales il y a quinze ans, je peux témoigner qu'il était l'incarnation de l'honneur, du courage, de la rectitude et de la fidélité. Salut Guy !
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mercredi, 09 mai 2018
En mémoire de Sébastien tombé lors d'une manifestation le 7 mai 1994 à Paris
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lundi, 30 avril 2018
Milan a célébré dimanche la mémoire de Sergio Ramelli, militant du MSI assassiné le 29 avril 1975
Des milliers de jeunes milanais se sont rendus dimanche à l'endroit où a été assassiné Sergio Ramelli le 29 avril 1975. Un acte impressionnant qui symbolise la fidélité de la jeunesse néo fasciste italienne a ses héros morts pour la patrie et pour la liberté.
Sur le MSI lire le CHN 11 cliquez ici
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mardi, 24 avril 2018
Nous apprenons la disparition d'Annie Fouet-Pittet
Un communiqué de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :
C'est avec une très grande tristesse que je viens d'apprendre la disparition, des suites d'une longue maladie, d'Annie Fouet-Pittet, militante exemplaire de la cause nationale depuis des décennies. Conseillère régionale de Picardie à mes côtés, d'une intégrité et d'une abnégation sans failles, elle a rejoint le Parti de la France dès sa création et a largement contribué, avec son mari Paul, à l'essor du PdF dans l'Oise et en Picardie. Prenons exemple sur cette nationaliste courageuse qui a œuvré toute sa vie à la sauvegarde de notre civilisation et de notre identité. Repose en paix Annie.
NDLR SN : Nous nous associons bien sûr à la peine qui est celle de notre ami Paul Pittet, de sa famille et aussi celle de ses nombreux amis du Parti de la France. Annie était toujours présente à nos Journées nationales et identitaires annuelles ainsi qu'à nos diverses manifestations et nous nous souviendrons longtemps de sa gentillesse et de son dévouement à la cause.
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lundi, 26 mars 2018
Bruno Ligonie, un cadre exemplaire de la cause nationale, nous a quitté...
Bruno Ligonie était un cadre actif et apprécié du FN dans les Alpes-Maritimes. Dans son livre Autopsie d'un crash annoncé, notre ami Hubert de Mesmay souligne sa fidélité aux principes fondamentaux du Front national. Il se consacrait sans compter pour la cause qui nous est si chère. Hélas, une courte et douloureuse maladie l'a emporté dimanche matin. Nous saluons ici ce combattant valeureux.
Voici la réaction de Jean-Marie Le Pen : J’apprends avec tristesse le décès de notre camarade Bruno Ligonie, ancien responsable FN en PACA et élu de La Colle-sur-Loup. Je rends hommage au militant fidèle et à l’ami.
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lundi, 19 mars 2018
Sous la neige, Jean-Marie Le Pen a rendu un émouvant hommage à François Duprat
Source Paris Vox cliquez ici
Il y a 40 ans décédait François Duprat. Alors qu’il se faisait conduire par sa femme en voiture, une bombe explose dans celle-ci et lui coûte la vie, c’était le 18 mars 1978. Les auteurs de cet attentat n’ont jamais été identifiés. La liste des accusés est longue, certains pointaient du doigt l’extrême gauche, d’autres des services secrets (le Mossad ou les services français notamment) alors que d’autres dénonçaient un règlement de compte interne à la droite nationale. 40 ans après, si les questions demeurent, l’heure est au recueillement, pas à la vengeance.
Afin de lui rendre hommage, Jean Marie le Pen a prononcé un discours et déposé une gerbe. Une petite trentaine de personnes étaient présentes autour du “Menhir”. Les “mousquetaires du président” (ancien DPS FN) étaient présents en nombre.
Rendant hommage à son ancien numéro deux, Jean-Marie le Pen a déclaré que le fait de mourir jeune lui (à François Duprat) avait “évité les affres de la vieillesse“. Revenant rapidement sur la vie de son ancien numéro 2 au FN, Jean-Marie le Pen a conclu par “Notre devise 40 ans après demeure Honneur et Fidélité.”
Qui était François Duprat ?
François Duprat était un théoricien nationaliste révolutionnaire, il faisait partie des pionniers du Front national et d’Ordre nouveau. Il fut également un compagnon de route et relais de Dominique Venner dans sa jeunesse. Auteur prolifique, il fut le père des Cahiers européens et de la Revue d’histoire du fascisme. Volonté de lui nuire ou réalité, certains ont avancé que François Duprat travaillait pour les services secrets. (L’émission “Rendez-vous avec X” de France Inter défendait notamment cette théorie).
Pour mieux connaitre son oeuvre, une réédition récente de ses écrits vient de paraître chez Ars Magna, une biographie complète de François Duprat était également sortie dans les Cahiers d’histoire du Nationalisme.
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dimanche, 11 mars 2018
11 mars 1963
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jeudi, 01 mars 2018
Michel Golliard, un militant nous a quitté
C’est avec tristesse que nous avons appris la disparition, à l’âge de 58 ans, de notre ami et camarade Michel Golliard.
Militant du FN-92 au début des années 1980, tout d’abord responsable des jeunes de cette structure, il participa à toutes les actions militantes de cette fédération, secondant activement Jean-Yves Le Gallou dans ses campagnes électorales à Colombes. Après la crise des années 1998/1999, il était resté fidèle au parti de Jean-Marie Le Pen, rejoignant le Parti de la France après la mainmise de Marine, sur le Front National. Toujours souriant, gentil et fidèle à ses idées, il était de toutes les manifestations jusqu’à ce que ses ennuis de santé l’éloignent de la politique active.
Nous garderons le souvenir d’une personne de qualité, disparue trop vite du monde des vivants. Adieu Michel, nous pensons à toi, en souvenir des heures magnifiques passées ensemble.
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lundi, 05 février 2018
Samedi 10 février : HOMMAGE PARISIEN À ROBERT BRASILLACH ET À MAURICE BARDÈCHE
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jeudi, 11 janvier 2018
Témoignage : Pierre Vial a raison, Johny était bien à Jeune Nation...
Claude Jaffres, militant historique de la cause nationaliste :
"J'ai lu avec intérêt l'article de Pierre Vial concernant la jeunesse de Johny Halliday cliquez ici et cela m'incite à apporter mon témoignage.
A cette époque je militais, moi aussi, au Mouvement Jeune Nation. Mon premier chef de section avait été Gérard Renard. A son départ pour l'Algérie, j'avais pris la responsabilité de notre groupe dont les activités couvraient les XIIe et XXe arrondissements de Paris et leur proche banlieue. Nous étions très jeunes mais d'une fougue qui aurait déplacé les montagnes, ou pour le moins les bolchos et autres léche-babouches de l'époque.
Il y avait Roland Collet, Braconnay, les frères Talbotier, les frères Chabanis cliquez ici, Aldo Lotti etc... A la permanence du mouvement et dans les actions, je retrouvais François Duprat, Amory de Chaunac, P'tit Luc, Hubert Koller, Christian Lefevre et tant d'autres camarades qu'il serait trop long d'énumérer. Beaucoup eurent leur vie broyée par le combat et la répression, d'autres s'en sortir, certains firent de brillantes carrières, parfois en cachant leur passé mais très peu, selon la formule de Dominique Venner, "guérirent de leur jeunesse"...
Parmi ces militants, j'avais un camarade qui s'appelait Berthomier. Il avait la particularité de porter un blouson de cuir noir, mode lancée chez nous par Dominique Venner (mais lui avait un col officier et un liseré rouge du meilleur effet). Il habitait vers le square de la Trinité et fréquentait donc la "bande de la Trinité"... comme notre Johny national. Je n'ai jamais rencontré Johny mais Berthomier nous racontait qu'il avait fait des sorties nocturnes avec lui et qu'ils avaient collé des affiches de Jeune Nation. C'était ses débuts et il était bien loin de la notoriété qui allait être la sienne peu de temps après.
Au-delà de l'intérêt de cette anecdote en raison de la personnalité de ce jeune militant, cela montre combien l'image répandue par les médias et l'intelligentsia d'une jeunesse obligatoirement "de gauche" était fausse hier comme aujourd'hui. Simplement ces privilégiés ont les micros, les caisses de résonance, les relais et moyens de pression et qu'ils donnent ainsi le ton.
Imaginez juste un instant que Johny, au lieu de coller les affiches du Mouvement Jeune Nation aurait collé celles de la Ligue communiste révolutionnaire...
Depuis longtemps ces mêmes médias auraient signalé le courage et la générosité de sa jeunesse "engagée" et bien évidement à son décès, nous aurions eu droit à une grande leçon sur les "valeurs" avec la participation et les souvenirs de Krivine.
Au fond, Johny était un jeune garçon bien de son époque, loin des clichés propagés par la propagande des fossoyeurs de notre civilisation et c'est en cela qu'il mérite notre sympathie."
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dimanche, 05 novembre 2017
5 NOVEMBRE 1988 : DÉCÉS DE JEAN-PIERRE STIRBOIS, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU FRONT NATIONAL
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mercredi, 25 octobre 2017
Ne jamais oublier...
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vendredi, 29 septembre 2017
29 septembre 1989 : décès de Jean-Louis Tixier-Vignancour
Sur Jean-Louis Tixier-Vignancour cliquez ici
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dimanche, 10 septembre 2017
10 septembre 1993 : disparition à Strasbourg de Julien Freund
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vendredi, 18 août 2017
Le libraire de Tréguier nous a quitté
Trois ans durant Pierre a lutté contre la maladie. Celle-ci, dans la nuit de samedi à dimanche dernier, a fini par l'emporter.
Pierre, pour beaucoup, c'était "le libraire de Tréguier". Depuis dix ans en effet il tenait une librairie à l'ombre du clocher de la cathédrale de la petite "capitale" du Trégor. Les esprits libres qui y entraient étaient vite frappés par le choix non conformiste de livres proposés. Voilà pourquoi il était devenu notre ami.
Maintenant, ce Corse installé en Bretagne, deux terres où le mot "identité" a un sens, ne sera plus là pour nous éclairer de son immense savoir et nous offrir sa gentillesse. Adieu l'Ami, repose en paix...
R. H.
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vendredi, 28 juillet 2017
Roland Gaucher, le forcené de l’anti-communisme… décédé il y a dix ans.
Il y a dix ans, décédait Roland Gaucher. Nous reproduisons ici l'article paru dans le n°5 de la revue Synthèse nationale (automne 2007) :
Roland Hélie
Le 26 juillet, nous avons appris avec tristesse la disparition de Roland Gaucher.
Agé de 88 ans, Roland était né en 1919 à Paris. Il était prédestiné au journalisme puisque son père exerçait déjà cette profession. En revanche, rien, dans sa jeunesse, n’indiquait qu’il deviendrait plus tard l’un des piliers du combat pour la cause nationale. Son premier engagement politique, dans les années 30, l’avait en effet conduit dans les rangs de l’extrême gauche. Trotskiste d’abord, il milita à la Fédération des étudiants révolutionnaires et aux Jeunesses socialistes ouvrières. Il se rapprocha en 1937 du courant animé par Marceau Pivert qui donnera naissance à l’éphémère Parti socialiste ouvrier et paysan. C’est à cette époque que Roland Gaucher, de son vrai nom Roland Goguillot, rencontra Marcel Déat qui, par esprit pacifiste, se rangera dans le camp de la Révolution nationale. En 1939, il fut mobilisé dans l’infanterie et il sera fait prisonnier par les Allemands à Rennes. Un an plus tard, il s’évadera lors de son transfert en Allemagne. Marcel Déat créa en 1941 le Rassemblement national populaire qui regroupait de nombreux militants issus de la SFIO et des différents partis de gauche. Roland Gaucher, qui était revenu à la vie civile, fut de ceux-ci, c’est à ce moment là qu’il rompit définitivement avec sa famille d’origine. De son voyage initiatique à la politique au sein de la gauche révolutionnaire, Roland Gaucher gardera une solide formation qui fera de lui plus tard l’un des spécialistes les plus avisés du marxisme. Il conservera aussi un formidable sens de l’agit-prop qu’il mettra, le moment venu, au service de la droite nationale.
Après la guerre, il connut des moments difficiles. Il fut condamné à cinq années de prison, mais il fut libéré en 1948. Devenu journaliste professionnel, il collabora à plusieurs revues spécialisées parmi lesquelles l’Auto-journal. Mais le sens du devoir conduisit Roland Gaucher à reprendre le combat. Il travailla un temps pour l’Institut d’histoire sociale et pour la revue Est et Ouest, deux émanations de ce que l’on appelait alors pudiquement « les réseaux Albertini » (1). Il participa à la lutte en faveur de la défense de l’Algérie française. Après l’échec de ce « baroud pour l’honneur », il devint grand reporter à l’hebdomadaire Minute où il restera plus de vingt ans. Parallèlement à son engagement journalistique, il prit une part active, au cours des année 70, à l’action sur le terrain contre le Parti communiste qui représentait un véritable danger pour notre liberté. Il participa en 1972 à la création du Front national et, en 1974, il rejoignit le Parti des forces nouvelles dont il devint l’un des principaux dirigeants. La même année, il publia une monumentale Histoire secrète du Parti communiste français (chez Albin Michel) qui fit grand bruit et contribua, à n’en pas douter, à la déstabilisation et à la marginalisation de ce parti alors encore tout puissant.
C’est à l’occasion de la sortie de ce livre que je le rencontrai pour la première fois, lors d’une conférence organisée à La Rochelle par la section locale du PFN. Participaient aussi à cette réunion François Brigneau, autre pilier de Minute, et Henry Charbonneau, l’auteur des Mémoire de Porthos (2). C’est dire que, ce soir-là, le jeune militant que j’étais fut comblé.
Chaque mois, Roland Gaucher menait dans les pages de la revue Initiative nationale, le magazine du PFN, une véritable croisade épistolaire contre le communisme. Croisade épistolaire dûment accompagnée de campagnes militantes au cours desquelles un grand nombre de camarades toujours en activité aujourd’hui ont acquis un savoir-faire inégalé. Toujours prêt à en découdre, ce combattant infatigable n'hésitait jamais à foncer en première ligne face à nos adversaires. Il n’hésitait pas non plus à faire le coup de poing si cela s’avérait nécessaire. Ceux qui étaient présents à Paris en juin 1977 lors de la venue du bourreau soviétique Léonid Brejnev gardent en mémoire la formidable riposte organisée par les nationalistes et en grande partie suscitée par ce « vieux forcené de l’anti-communisme » (l’essentiel des militants avait moins de 25 ans et lui en avait déjà plus de 50, c’est pour dire) que nous suivions avec entrain et confiance.
Roland était devenu la bête noire des communistes. Dans Minute, chaque semaine, il ne manquait jamais une occasion de mener la vie dure au parti de Moscou. C’est ainsi qu’il fut le premier à rappeler l’engagement volontaire, alors que la France était occupée, de Georges Marchais dans les ateliers de la firme Messerschmitt, principal constructeur d’avions de l’Allemagne nationale-socialiste. Marchais fondit en larmes lorsqu’il perdit le procès qu’il avait engagé contre Gaucher. Ce fut le début de la fin de sa carrière. Dans un hommage publié dans le quotidien Présent du 11 août dernier, le journaliste Jean Cochet nous rappelle ce que Roland lui avait alors confié : « Ces larmes de Marchais, c’est ma Légion d’honneur à moi ».
Sa devise face aux communistes était la suivante : « Ne reculez jamais ! ». Elle raisonne encore dans les tympans de ceux qui le suivirent. Dix ans plus tard, le rideau de fer s’effondrait lamentablement lui donnant ainsi, d’une certaine manière, raison.
Mais Roland Gaucher n’avait pas, c’est le moins que l’on puisse dire, un caractère facile. Quelques divergences de vue avec les autres dirigeants du PFN l’amenèrent, en 1979, à s’éloigner du Parti. Il se rapprocha alors à nouveau du Front national qui, organisé d’une main de maître par un autre militant exemplaire, Jean-Pierre Stirbois, commençait son ascension historique. Au milieu des années 80, il devint l'une des figures du FN. Il fut élu député européen de 1986 à 1989. Il créa en même temps National hebdo dont il assura la direction, avec Lionel Payet, jusqu’en 1992.
On se souvient de ses prises de bec avec les responsables du Front (y compris avec son président) lorsqu’il n’était pas d’accord avec telle ou telle décision du Bureau politique. Cette attitude, somme toute assez rare au sein des instances dirigeantes du FN, mérite d’être rappelée.
Fort de sa popularité en tant que directeur de NH, Roland n’hésita pas à défier la direction du FN lorsqu’il estimait que cela en valait la peine. Ainsi, quinze jours après la disparition tragique de Jean-Pierre Stirbois, le 8 novembre 1988, scandalisé par l’inertie d’une partie de la dite direction, il prit l’initiative d’organiser, au Palais de la Mutualité à Paris, une grande soirée en hommage au défunt. Ce fut un immense succès, la grande salle de la Mutu était pleine à craquer. Ce soir-là Roland Gaucher avait réussi à rassembler tout ce que Paris et la Région parisienne comptaient de militants nationaux et nationalistes. Il s’était aussi attiré les foudres de certains hauts dirigeants du Front, et non les moindres, qui ne lui pardonnèrent jamais.
Toujours soucieux de voir un jour se réaliser le véritable rassemblement des forces nationales, Roland Gaucher fut aussi, ne l’oublions pas, au début des années 90, l’instigateur des Journées culturelles de National Hebdo qui rassemblèrent tout ce que le camp national comptait alors de mouvements, associations, journaux…
En 1993, arriva ce qui devait bien finir par arriver : il s'éloigna du Front, dans lequel il ne se reconnaissait plus vraiment. Il prit la direction pendant quelques années du mensuel (non conformiste) Le Crapouillot. Il se consacra simultanément à la rédaction de nouveaux livres, dont certains en collaboration avec Philippe Randa. Il écrivit aussi une Histoire des nationalistes en France (3).
Nous nous voyions plusieurs fois par an et c'était toujours un plaisir de l'écouter raconter (certes parfois pour la Xième fois, mais qu'importe... c'était Roland) les grandes heures de la presse et du mouvement national. En bon vieux grognard toujours un peu grincheux qu'il était, Roland Gaucher gardait toujours une vision assez réaliste des choses. Surtout, il ne perdait jamais l'espoir de voir un jour notre idéal triompher. Aujourd'hui, Roland n'est plus, mais l'idéal survit.
Notes
(1) Du nom de Georges Albertini, ancien chef de cabinet de Marcel Déat, fondateur de ces organisations qui prirent une part active dans la lutte contre le communisme entre 1945 et 1989.
(2) Les Mémoire de Porthos, le roman noir de la droite française (1920-1946) par Henry Charbonneau, 2 tomes, Editions du Clan, 1969. Rééditées en 2001 par les Editions de Chiré (DPF, BP n°1, 86190 Chiré-en-Montreuil).
(3) Histoire des nationalistes en France (1943-1997) par Roland Gaucher, 2 tomes, Editions Jean Picollec 1997.
Ecoutez l'émission de Radio Libertés
réalisée en hommage à Roland Gaucher cliquez ici
Radio Libertés cliquez ici
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mardi, 04 juillet 2017
Jean-Jacques Susini est décédé
Jean-Jacques Susini, cofondateur de l'Organisation Armée Secrète avec Pierre Lagaillarde. est mort hier, le 3 juillet.
Né à Alger le 30 juillet 1933, Jean-Jacques Susini obtient son baccalauréat en 1948 après des études au collège Notre Dame d’Afrique. Il quitte l’Algérie à 18 ans pour mener ses études de médecine à Strasbourg, puis à Lyon où il est inscrit aux Jeunes du R.P.F.. Militant activement en faveur de l’Algérie Française, il retourne en Algérie à la fin de 1958 et y prend les responsabilités de la propagande et de l’action politique au sein du Front National Français. Elu président de l’Association Générale des Etudiants d’Algérie en 1959, il est l’un des principaux acteurs (avec Pierre Lagaillarde et Joseph Ortiz) de l’insurrection des « Barricades » de janvier 1960 à Alger.
En détention préventive pendant 9 mois à la maison d’arrêt de la Santé, il fait, en novembre 1960, une déclaration à son procès sous forme de manifeste révolutionnaire. Condamné à deux ans de prison avec sursis en dépit d’un réquisitoire sévère, bénéficiant d’une liberté provisoire, il s'enfuit et trouve asile en Espagne.
Il s’installe en Espagne et participe à la création de l’O.A.S. avec Pierre Lagaillarde au début de 1961.
Jean-Jacques Susini est reçu par le général Salan le 19 décembre 1960 à l’hôtel Princesa à Madrid. C’est la première fois que les deux hommes se rencontrent. Jean-Jacques Susini a 27 ans, Raoul Salan a 60 ans et il est conquis par l’agilité d’esprit et les analyses de son interlocuteur. Il dirigera l’Action psychologique et la propagande (A.P.P) de l'organisation.
S’étant mis à la disposition du général Salan à Madrid, il rejoint Alger en avion privé avec ce dernier et le capitaine Ferrandi, le dimanche 23 avril 1961.
Après l’échec du « Putsch d’Alger », il s’enfonce dans la clandestinité et prend à Alger les responsabilités de l’action psychologique et politique de l’O.A.S. sous les pseudonymes de Boumendjel, Jeannette, Janine ou R19.
Jean-Jacques Susini est très actif auprès du chef de l’O.A.S. Il prend fréquemment des initiatives personnelles et rédige en particulier la lettre du général Salan publiée par « Le Monde » en septembre 1961 et l’instruction O.A.S. n° 29 du 23 février 1962 ayant pour objectif de créer une situation insurrectionnelle en Algérie dès la signature du cessez-le-feu avec le F.L.N.(qui interviendra le 19 mars 1962)
Après l’arrestation de Raoul Salan en avril 1962, il devient responsable de l’O.A.S. pour Alger et Constantine.
Il engage et mène les négociations O.A.S.- F.L.N. en juin 1962 qui aboutissent aux accords « Susini-Mostefaï », lesquels ne seront pas appliqués en raison de l’effondrement du G.P.R.A. et de la prise de pouvoir par Ben Bella à l’été 1962.
Il quitte l’Algérie pour l’Italie à la fin de juillet 1962. Il est soupçonné d’y avoir préparé, en particulier, l’attentat dit « du Mont Faron » du 15 août 1964 contre le général De Gaulle à Toulon, attentat qui échoue au mémorial du Mont Faron dominant Toulon. Une bombe placée dans une jarre n'explosa pas et fut découverte quelques jours plus tard. D'après Jacques Delarue (L'OAS contre de Gaulle, Fayard, 1994), cet attentat avait été organisé par Jean-Jacques Susini et Gilles Buscia.
Condamné à mort par deux fois par la Cour de sûreté de l’Etat, il revient en France après l’amnistie de 1968. Amnistié sur décision du général de Gaulle en 1968, avec les autres dirigeants de l'O.A.S. encore incarcérés, il revient en France, mais, soupçonné d’avoir commandité un hold-up, il est à nouveau arrêté en mars 1970 et placé seize mois en détention provisoire avant d’être acquitté.
En octobre 1972, il est à nouveau arrêté et placé en détention provisoire pendant deux ans pour avoir organisé l’enlèvement et la disparition du colonel Raymond-Jean Gorel ex-trésorier de l’O.A.S (amnistié avant son jugement par une loi votée, suite à l'élection de François Mitterrand).
Il y termine ses études de médecine et obtient un D.E.A. de sciences économiques. Propriétaire et dirigeant d’une entreprise de sécurité, il se présente sous l’étiquette du Front National aux élections législatives à Marseille en 1997 et obtient 45% des suffrages au deuxième tour.
Jean-Jacques Susini est l’auteur d’une « Histoire de l’O.A.S. » dont seul le premier tome, couvrant la période de mai à juillet 1961, a été publié dans la collection « Taglaïts » aux Editions de La Table Ronde en 1963.
RIP
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lundi, 22 mai 2017
22 mai 1988 : décès de Giorgio Almirante, Secrétaire national du Mouvement social italien
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dimanche, 21 mai 2017
21 mai 2013 : Dominique Venner...
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mercredi, 03 mai 2017
Calais : Simonne Héricourt est décédée...
Les patriotes qui étaient présents le 6 février 2016 aux assises de Riposte laïque cliquez ici se souviennent de l'émouvante intervention de Simonne Héricourt, une habitante de Calais fatiguée de voir sa ville sombrer dans le désordre et la faillite en raison du camp de "migrants" installé à ses portes.
Hélas, Simone Héricourt ne verra pas triompher la formidable révolution identitaire qui se prépare. Elle est décédée ces jours derniers. Mais son cri de détresse doit continuer à résonner, voilà pourquoi nous le remettons en ligne aujourd'hui.
Simonne n'est plus là, mais le combat pour rendre la France aux Français continue...
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