lundi, 04 mars 2019
En souvenir de Janpier Dutrieux
Le 18 février dernier disparaissait d’une très longue maladie Janpier Dutrieux né en 1952. Ses obsèques se déroulaient quatre jours plus tard à l’église Saint-Denis d’Athis-Mons. C’est un non-conformiste du début du XXIe siècle qui nous quitte à l’heure où les « Gilets Jaunes » révèlent un puissant et réel mécontentement social. Ils devraient lire les très nombreux textes de Janpier Dutrieux comme ils devraient parler des travaux d’Ivan Blot lui-même décédé en octobre 2018 sur le « référendum d’initiative citoyenne » pour pouvoir ensuite en discuter sur de coûteux ronds-points payés par les contribuables. Janpier Dutrieux était en effet l’un des très rares penseurs anti-conformistes français à maîtriser avec brio, pédagogie et pertinence l’économie politique, les implications sociales et leurs dimensions monétaires et financières.
À la fin du XXe siècle et au début du XXIe, il avait commencé à se faire connaître avec Fragments Diffusion, la « Lettre associative bimestrielle d’Alternative personnaliste ». Cet ancien élève à l’Institut régionale d’administration de Lille et cadre supérieur à la Poste affichait un véritable personnalisme comme il ne cachait pas son fédéralisme intégral ainsi que son créditisme social en référence au Britannique Clifford Hugh Douglas. Ce contributeur épisodique à L’Unité Normande s’inspirait aussi d’Alexandre Marc, d’Arnaud Dandieu et de Robert Aron. Il tenait un site Prospérité et Partage, titre général éponyme d’une série d’ouvrages parue en 2015 et 2016. Étienne Chouard a déclaré en 2012 que « le site de Janpier Dutrieux — Prospérité et partage — est un des meilleurs sites que je connaisse sur la monnaie et sur la justice sociale que l’on peut attendre d’un bon système monétaire. À connaître et à étudier soigneusement ». En 2016, les Éditions de la Délivrance ont publié un belopuscule, L’Argent. Connaissance de la doctrine sociale de l’Église.
Janpier Dutrieux ne cantonnait pas son catholicisme à la seule « sphère privée ». Il travaillait en faveur de la Cité chrétienne. Il milita plusieurs années aux côtés de Benjamin Guillemaind (décédé en 2012) dans l’Alliance sociale des peuples et des pays de France. Tout en se distinguant du néo-corporatisme promu le fondateur et patron du « Libre-Journal des Artisans » à Radio Courtoisie, il a proposé des interprétations novatrices et actualisées de la riche pensée proudhonienne. Favorable au MSG (Minimum social garanti) cher à L’Ordre Nouveau et aux monnaies locales complémentaires, il a produit bien des analyses tangibles très « troisième voie » dans Pourquoi aurons-nous besoin de dividendes nationaux et comment le crédit social les financera (The BookEdition, 2016).
La grande Toile numérique foisonne de ses très nombreux articles qui constituent un solide corpussocio-économique anti-libéral et une franche opposition au bankstérisme anglo-saxon. En 1998, son essai, Les ouvriers de la onzième heure (Éditions des écrivains associés), ouvrait déjà bien des pistes économiques alternatives. Il estimait par ailleurs L’Esprit européen et avait accordé un entretien en 2002 dans lequel il rappelât que « la réflexion amorcée autour de l’économie créditrice suppose un dépassement des concepts matérialistes développés par les écoles libérales et dirigistes. Par exemple, il s’agit d’opposer aux notions de valeur d’échange, valeur rareté et valeur travail, chères aux marginalistes et aux marxistes, la notion de valeur d’usage qui sous-entend l’idée d’un bien commun, d’un corps intermédiaire usager. Occultés dès la Renaissance, la valeur d’usage est au fédéralisme ce que la valeur rareté est à l’individualisme libéral et la valeur travail au productivisme, les deux faces d’un même matérialisme. Par exemple, il s’agit de concevoir une monnaie interne non thésaurisable, ancrée dans la sphère de souveraineté qu’elle représente ».
À l’occasion d’un colloque organisé tout un samedi par l’Alliance sociale à la Faco (Faculté libre de Droit et d’Économie – Gestion) de Paris, son président, Alexis Arette, lança sur un ton mi-sérieux mi-badin que Janpier Dutrieux ferait un excellent ministre de l’Économie et des Finances dans le cadre d’un gouvernement de redressement nationale. Très juste ! Ce défenseur de la subsidiarité politique, sociale et économique prônait le Bien commun et les biens communs qui en découlent.
Considérant dans Les ouvriers de la onzième heure que « dans le cadre d’accords de libre échange, il est souhaitable que les principes de mutualité sociale puissent se développer. En effet, nous estimons que l’échange qu’il soit interne ou externe, n’a pas vocation à donner plus qu’il ne prend, mais doit permettre d’offrir aux deux parties contractantes plus qu’il ne demande. À cette fin, il doit être équilibré (p. 97) », il n’adhérait pas aux thèses décroissantes, de développement volontariste autocentré ou d’autarcie grande-continentale. Janpier Dutrieux soutenait au contraire une autretroisième voie. Cet esprit libre recherchait la concorde sociale et nationale. Son décès est une immense perte non seulement pour tous ses proches à qui la rédaction d’Europe Maxima présente ses plus sincères condoléances, mais aussi pour les théories économiques hétérodoxes. Les meilleurs sont bien souvent des éclaireurs; c’est la raison pour laquelle ils partent toujours les premiers.
NDLR SN : J'ai connu Janpier Dutrieux il y a une trentaine d'années. Il essayait alors de développer en France la doctrine créditiste venue du Canada. Je n'étais pas totalement en accord avec lui, mais c'était un militant sincère et actif. Il diffusait une pensée non conformiste au sein du Mouvement national. C'est en lisant ce texte que Georges lui a consacré que j'apprend sa disparition. Qu'il repose en paix. RH.
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mardi, 26 février 2019
Une bien triste nouvelle : notre camarade et ami Daniel Gazzola est décédé
Daniel Gazzola était militant depuis le début des années 1970. Il a participé à toutes les grandes aventures de la famille nationaliste. Toujours enthousiaste, toujours prêt à s'engager pour la cause, il avait aussi toujours le mot pour rire car il savait prendre le recul qui s'impose parfois... souvent même. Il faisait ainsi parti de ces Lansquenets inaccessibles au doute et au découragement.
Il y a à peine un mois, nous dînions ensemble avec quelques jeunes camarades passionnés par l'histoire du mouvement nationaliste. Il leur racontait, ils l'écoutaient, j'étais à cent lieues d'imaginer que je le voyais pour la dernière fois.
En ce dimanche presque printanier, à l'âge de 63 ans, une crise cardiaque l'a subitement emporté. Cela arrive toujours trop tôt... Adieu Daniel.
Roland Hélie
Une cérémonie religieuse aura lieu vendredi prochain, 1er mars à 11 heures, en l'église St-Jean Baptiste de Sceaux, 1 rue du docteur Berger à Sceaux dans les Hauts-de-Seine. Daniel sera ensuite enterré en Italie, dans son village qu'il aimait tant. A Annick son épouse, à toute sa famille, l'équipe de Synthèse nationale présente ses condoléances.
La réaction de Gabriele Adinolfi :
Je suis foudroyé par la mauvaise nouvelle. Mon cher ami de toujours, Daniel Gazzola, vient de passer l'arme à gauche : une crise cardiovasculaire l'a fauché.
Il sera enterré dans son village d'origine, en Italie. Depuis mon arrivée en France, fin 1980, je l'ai touours frequenté. On a partagé ensemble des bons moments, non seulement militants mais aussi d'amitié et de foot ball.
Le grand problème de l'âge, ce n'est pas qu'en vieillissant on s'approche de la mort, c'est aussi qu'on voit disparaitre ses amis. Dans mon carnet de de téléphone, je garde déjà une douzaine de numéros qui ne repondront plus jamais. Et les cons, eux, généralement vivent longtemps !
Honneur à Daniel, à son allegresse, à sa philosophie naturelle, à son enthousiasme jamais éteint malgré la déception de chaque jour due à la lâcheté et à la venalité des hommes.
On n'oubliera jamais son parcours militant qui débuta au GAJ et à Jeune nation solidariste, puis au MNR (celui de Jean-Gilles Malliarakis transformé au milieu des années 80 en Troisième Voie) et par la suite au Front national auquel il donna beaucoup... sans rien recevoir en retour si ce n'est de l'ingratitude de la part de certains. (...)
Daniel, ce fut un privilège de t'avoir connu et d'avoir partagé ensemble tant d'émotions !
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mercredi, 06 février 2019
6 février 1945 : ASSASSINAT DE ROBERT BRASILLACH
Les Amis de Robert Brasillach CLIQUEZ ICI
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dimanche, 11 novembre 2018
Dimanche 11 novembre, Bourg-la-Reine : hommage au Colonel Jean Bastien-Thiry
L'INVITATION À LA CÉRÉMONIE CLIQUEZ ICI
11:02 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 06 novembre 2018
Jean-Marie Le Pen s'est rendu lundi sur la tombe de Jean-Pierre Stirbois
30e anniversaire du décès de Jean-Pierre STIRBOIS, ancien secrétaire général du Front National : l’hommage de Jean-Marie LE PEN, entouré de Jany LE PEN, Alexandre SIMONNOT et Patrick HAYS.
L'hommage du Parti de la France cliquez là
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dimanche, 04 novembre 2018
SAMEDI APRÈS-MIDI, LA DROITE NATIONALE A RENDU HOMMAGE À JEAN-PIERRE STIRBOIS
A l'initiative du Parti de la France, une forte délégation de responsables et militants nationaux et nationalistes s'est rendue samedi après-midi au cimetière Montparnasse à Paris sur la tombe de Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national, prématurément décédé il y a 30 ans, dans la nuit du samedi 5 novembre 1988 à Pontchartrain dans les Yvelines, en revenant de Dreux où il venait de tenir un ultime meeting pour la défense de la Calédonie française.
Au cours de cette émouvante cérémonie, Carl Lang, Président du Parti de la France, qui, rappelons-le, lui succéda au secrétariat général du FN, souligna le rôle éminent joué par Jean-Pierre Stirbois, aux côtés de Jean-Marie Le Pen, dans l'émergence au début des années 80 du Front national. Il rappela aussi que Jean-Pierre fut l'un des premiers à dénoncer ce danger grandissant que représente pour notre peuple l'immigration incontrôlée et à réaliser, lors de l'élection municipale partielle de Dreux en septembre 1983, l'union victorieuse de la droite contre la liste socialo-communiste.
Notons la présence de nombreux anciens proches collaborateurs et amis de Jean-Pierre à cet acte hautement symbolique ce qui prouve, s'il en était encore besoin, que dans notre camp la fidélité n'est pas un vain mot...
S.N.
Pour information, sachez que dans quelques semaines, pour marquer le trentième anniversaire de sa disparition, sortira le n°15 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Jean-Pierre Stirbois.
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vendredi, 02 novembre 2018
SAMEDI 3 NOVEMBRE (15 H), 30 ANS APRÉS SA MORT : VENEZ NOMBREUX ASSISTER À L'HOMMAGE DES PATRIOTES À JEAN-PIERRE STIRBOIS ORGANISÉ PAR LE PARTI DE LA FRANCE
Boulevard Voltaire rend hommage
à Jean-Pierre Stirbois :
In memoriam : Jean-Pierre Stirbois, grand précurseur de la lutte contre l’immigration
Il y a trente ans, Jean-Pierre Stirbois, alors secrétaire général du Front national, trouvait la mort à Ponchartrain, dans un accident de voiture, en revenant d’une réunion électorale. Il y a les morts qu’on déplore et celles dont on se réjouit : dans son ensemble, la presse salit la mémoire du défunt et trouva l’accident plutôt bienvenu. À l’image de Charlie Hebdo, qui titra « Les arbres sont sympas » pour évoquer l’obstacle meurtrier rencontré. Vingt ans plus tard, Benjamin Biolay fit le tour des médias avec son opus Vengeance : « La vengeance est un plat que certains mangent froid comme Stirbois s’est mangé son cèdre. »
Difficile à excuser. Mais facile à comprendre. Maire adjoint, conseiller régional, député européen, député national, Jean-Pierre Stirbois exerça beaucoup de mandats. Mais ce n’était pas un homme politique ordinaire. Son action a eu une dimension historique.
1) C’est l’un des premiers hommes politiques français (avec Jean-Marie Le Pen) à avoir discerné l’ampleur des problèmes migratoires et avoir eu l’audace d’en faire un thème électoral.
2) Grâce à un travail de terrain exemplaire (tractages, boîtages, marchés, cages d’escalier, réunions d’appartement), il a montré qu’il était possible de construire un électorat autour de la défense de l’identité française et de la lutte contre l’immigration. Ses propos paraissaient vifs ; ils sont, hélas, en deçà de la situation que nous subissons aujourd’hui.
3) « Le tonnerre de Dreux » – 16 % aux élections municipales de 1983 – fut une étape décisive dans l’émergence du Front national, son succès électoral aux élections européennes de 1984 (11 % des suffrages) et l’implantation durable de ce parti.
4) Enfin, beaucoup l’ont oublié, tant l’affaire peut paraître étrange aujourd’hui, mais Jean-Pierre Stirbois fut un promoteur de l’union des droites. Il réussit à s’allier au RPR Jean Hieaux pour chasser de la mairie de Dreux l’immigrationniste Françoise Gaspard.
5) Ce bel édifice se heurta à une puissante campagne de diabolisation menée par les lobbies de l’immigration : le CRIF, les chrétiens progressistes, la LICRA, des obédiences maçonniques, les associations subventionnées et SOS Racisme firent tout pour obtenir du RPR le refus de tout accord avec le FN. Les Français le payent aujourd’hui de trente ans d’immigration incontrôlée.
6) Pourtant, trente ans après, le modèle de Jean-Pierre Stirbois à Dreux (la lutte contre l’immigration et l’alliance des droites) reste une nécessité pour la survie du peuple français et des peuples européens.
Voilà pourquoi Jean-Pierre Stirbois, trente ans après sa mort, doit rester présent dans la mémoire des combattants identitaires. Comme précurseur à honorer.
Une cérémonie d’hommage aura lieu, samedi 3 novembre à 15 heures, au cimetière de Montparnasse à Paris.
Source Boulevard Voltaire cliquez ici
Hommage du samedi 3 novembre cliquez là
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dimanche, 28 octobre 2018
Samedi prochain, 3 novembre, 30 ans après sa mort, le Parti de la France rendra hommage à Jean-Pierre Stirbois
12:22 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 11 octobre 2018
Triste nouvelle : YVAN BLOT EST DÉCÉDÉ
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vendredi, 06 juillet 2018
Lieutenant Roger Degueldre, fusillé a 37 ans le 6 juillet 1962
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jeudi, 07 juin 2018
7 juin 1962 : souvenez-vous d'Albert Dovecar et de Claude Piegts
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samedi, 26 mai 2018
LA VILLE DE BEZIERS REND HOMMAGE A UN VRAI REBELLE DE MAI 1968 : JAN PALACH
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lundi, 21 mai 2018
22 MAI 1988, GIORGIO ALMIRANTE, FONDATEUR DU MSI, S'EN ALLAIT
Souvenez vous !
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La veille, décès de Pino Romualdi cliquez là
Lu dans le Cahier d'Histoire du nationalisme n°11 consacré au MSI :
22 mai 1988. Rome. Giorgio Almirante meurt à 10h20. Il a 74 ans. Avec Romualdi, il avait été l’édificateur du MSI, jusqu’au point d’identifier sa propre vie avec celle du parti et d’identifier le parti avec sa personne et son leadership. Deux fois secrétaire national (1947 – 1950 et 1969 – 1987), il avait porté, grâce à son charisme et à la cohérence de ses idées, le peuple du MSI à l’acceptation des règles démocratiques en faisant conquérir au MSI, dans les années 70 et 80, les plus grands succès électoraux de son histoire cinquantenaire et en imposant pour ce faire à la classe dirigeante issue de l’antifascisme, l’acceptation d’une communauté humaine qui, sans lui et son action, ne se serait pas retrouvée unie pour affronter les grandes difficultés politiques et civiles, imposées par le fait d’être héritiers de la double défaite, de la Seconde Guerre Mondiale et de la guerre civile. Journaliste, il avait dirigé le quotidien du MSI Secolo d’Italia et, auparavant, le premier hebdomadaire du MSI, Lotta Politica (Lutte Politique).
Il laisse une histoire du MSI écrite avec Francesco Palamenghi Crispi, deux volumes de critique à la démocratie parlementaire (Processo alla Repubblica [Procès à la République] et Processo al Parlamento [Procès au Parlement]), la célèbre Autobiografia di un fucilatore (Autobiographie d’un fusilleur - 11 fois réédité) et les essais Robert Brasillach, Josè Antonio primo de Rivera et Carlo Borsani.
Dans 200 villes italiennes, des rues, places, boulevards, parcs publics, jardins, ronds-points et constructions urbaines, jusqu’à un pont, sont potent aujourd'hui le nom de Giorgio Almirante.
Le premier à rendre hommage à Almirante, quelques minutes après sa mort, est le président de la République, Francesco Cossiga.
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IL Y A 30 ANS, LA VEILLE DU DÉCÉS DE GIORGIO ALMIRANTE, DISPARAISSAIT PINO ROMUALDI
Souvenez vous !
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Giorgio Almirante cliquez ici
Lu dans le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au MSI :
21 mai 1988. Rome. Mort de Pino Romualdi à 4h30. Il a 75 ans. Il avait été le principal artisan de la naissance du Mouvement Social Italien.
Il avait traité, avec le premier Gouvernement antifasciste, l’amnistie pour les prisonniers fascistes, en jouant un rôle important au cours du référendum sur la forme institutionnelle du nouvel État italien. Il avait occupé à plusieurs reprises les fonctions de président du MSI-DN, mais également de vice-secrétaire national et de président du Comité central. Dans le monde de la droite italienne, il était le phare de la fidélité aux contenus plus qu’à la forme du Fascisme. Droite oui, nostalgies non. Une leçon adressée surtout aux jeunes générations.
Brillant journaliste, il avait dirigé les quotidiens Gazzetta di Parma (Gazette de Parme) et Il Popolo Italiano (Le Peuple Italien), l’hebdomadaire Il Popolo di Romagna (Le Peuple de Romagne) et le mensuel L’Italiano, l’une des plus importantes revues du MSI. Il laisse, entres autres, un livre fondamental d’analyse historique du Fascisme et de mémoires personnelles intitulé Fascismo republicano (Fascisme républicain).
Au cours de la RSI, il avait été vice-secrétaire du Parti Fasciste Républicain. Pour cette raison, durant l’après-guerre, il avait vécu plusieurs mois en cavale.
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DOMINIQUE VENNER, 21 MAI 2013
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vendredi, 11 mai 2018
Décès de Guy Macary, ancien élu du FN en PACA
Notre ami Guy Macary est mort. Officier para-commando, militant OAS, élu Front National, il fut bâtonnier du Vaucluse et président du groupe FN en PACA. Pour avoir été son directeur de campagne aux Régionales il y a quinze ans, je peux témoigner qu'il était l'incarnation de l'honneur, du courage, de la rectitude et de la fidélité. Salut Guy !
10:47 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 09 mai 2018
En mémoire de Sébastien tombé lors d'une manifestation le 7 mai 1994 à Paris
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lundi, 30 avril 2018
Milan a célébré dimanche la mémoire de Sergio Ramelli, militant du MSI assassiné le 29 avril 1975
Des milliers de jeunes milanais se sont rendus dimanche à l'endroit où a été assassiné Sergio Ramelli le 29 avril 1975. Un acte impressionnant qui symbolise la fidélité de la jeunesse néo fasciste italienne a ses héros morts pour la patrie et pour la liberté.
Sur le MSI lire le CHN 11 cliquez ici
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mardi, 24 avril 2018
Nous apprenons la disparition d'Annie Fouet-Pittet
Un communiqué de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :
C'est avec une très grande tristesse que je viens d'apprendre la disparition, des suites d'une longue maladie, d'Annie Fouet-Pittet, militante exemplaire de la cause nationale depuis des décennies. Conseillère régionale de Picardie à mes côtés, d'une intégrité et d'une abnégation sans failles, elle a rejoint le Parti de la France dès sa création et a largement contribué, avec son mari Paul, à l'essor du PdF dans l'Oise et en Picardie. Prenons exemple sur cette nationaliste courageuse qui a œuvré toute sa vie à la sauvegarde de notre civilisation et de notre identité. Repose en paix Annie.
NDLR SN : Nous nous associons bien sûr à la peine qui est celle de notre ami Paul Pittet, de sa famille et aussi celle de ses nombreux amis du Parti de la France. Annie était toujours présente à nos Journées nationales et identitaires annuelles ainsi qu'à nos diverses manifestations et nous nous souviendrons longtemps de sa gentillesse et de son dévouement à la cause.
19:11 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 26 mars 2018
Bruno Ligonie, un cadre exemplaire de la cause nationale, nous a quitté...
Bruno Ligonie était un cadre actif et apprécié du FN dans les Alpes-Maritimes. Dans son livre Autopsie d'un crash annoncé, notre ami Hubert de Mesmay souligne sa fidélité aux principes fondamentaux du Front national. Il se consacrait sans compter pour la cause qui nous est si chère. Hélas, une courte et douloureuse maladie l'a emporté dimanche matin. Nous saluons ici ce combattant valeureux.
Voici la réaction de Jean-Marie Le Pen : J’apprends avec tristesse le décès de notre camarade Bruno Ligonie, ancien responsable FN en PACA et élu de La Colle-sur-Loup. Je rends hommage au militant fidèle et à l’ami.
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lundi, 19 mars 2018
Sous la neige, Jean-Marie Le Pen a rendu un émouvant hommage à François Duprat
Source Paris Vox cliquez ici
Il y a 40 ans décédait François Duprat. Alors qu’il se faisait conduire par sa femme en voiture, une bombe explose dans celle-ci et lui coûte la vie, c’était le 18 mars 1978. Les auteurs de cet attentat n’ont jamais été identifiés. La liste des accusés est longue, certains pointaient du doigt l’extrême gauche, d’autres des services secrets (le Mossad ou les services français notamment) alors que d’autres dénonçaient un règlement de compte interne à la droite nationale. 40 ans après, si les questions demeurent, l’heure est au recueillement, pas à la vengeance.
Afin de lui rendre hommage, Jean Marie le Pen a prononcé un discours et déposé une gerbe. Une petite trentaine de personnes étaient présentes autour du “Menhir”. Les “mousquetaires du président” (ancien DPS FN) étaient présents en nombre.
Rendant hommage à son ancien numéro deux, Jean-Marie le Pen a déclaré que le fait de mourir jeune lui (à François Duprat) avait “évité les affres de la vieillesse“. Revenant rapidement sur la vie de son ancien numéro 2 au FN, Jean-Marie le Pen a conclu par “Notre devise 40 ans après demeure Honneur et Fidélité.”
Qui était François Duprat ?
François Duprat était un théoricien nationaliste révolutionnaire, il faisait partie des pionniers du Front national et d’Ordre nouveau. Il fut également un compagnon de route et relais de Dominique Venner dans sa jeunesse. Auteur prolifique, il fut le père des Cahiers européens et de la Revue d’histoire du fascisme. Volonté de lui nuire ou réalité, certains ont avancé que François Duprat travaillait pour les services secrets. (L’émission “Rendez-vous avec X” de France Inter défendait notamment cette théorie).
Pour mieux connaitre son oeuvre, une réédition récente de ses écrits vient de paraître chez Ars Magna, une biographie complète de François Duprat était également sortie dans les Cahiers d’histoire du Nationalisme.
12:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 11 mars 2018
11 mars 1963
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jeudi, 01 mars 2018
Michel Golliard, un militant nous a quitté
C’est avec tristesse que nous avons appris la disparition, à l’âge de 58 ans, de notre ami et camarade Michel Golliard.
Militant du FN-92 au début des années 1980, tout d’abord responsable des jeunes de cette structure, il participa à toutes les actions militantes de cette fédération, secondant activement Jean-Yves Le Gallou dans ses campagnes électorales à Colombes. Après la crise des années 1998/1999, il était resté fidèle au parti de Jean-Marie Le Pen, rejoignant le Parti de la France après la mainmise de Marine, sur le Front National. Toujours souriant, gentil et fidèle à ses idées, il était de toutes les manifestations jusqu’à ce que ses ennuis de santé l’éloignent de la politique active.
Nous garderons le souvenir d’une personne de qualité, disparue trop vite du monde des vivants. Adieu Michel, nous pensons à toi, en souvenir des heures magnifiques passées ensemble.
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lundi, 05 février 2018
Samedi 10 février : HOMMAGE PARISIEN À ROBERT BRASILLACH ET À MAURICE BARDÈCHE
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jeudi, 11 janvier 2018
Témoignage : Pierre Vial a raison, Johny était bien à Jeune Nation...
Claude Jaffres, militant historique de la cause nationaliste :
"J'ai lu avec intérêt l'article de Pierre Vial concernant la jeunesse de Johny Halliday cliquez ici et cela m'incite à apporter mon témoignage.
A cette époque je militais, moi aussi, au Mouvement Jeune Nation. Mon premier chef de section avait été Gérard Renard. A son départ pour l'Algérie, j'avais pris la responsabilité de notre groupe dont les activités couvraient les XIIe et XXe arrondissements de Paris et leur proche banlieue. Nous étions très jeunes mais d'une fougue qui aurait déplacé les montagnes, ou pour le moins les bolchos et autres léche-babouches de l'époque.
Il y avait Roland Collet, Braconnay, les frères Talbotier, les frères Chabanis cliquez ici, Aldo Lotti etc... A la permanence du mouvement et dans les actions, je retrouvais François Duprat, Amory de Chaunac, P'tit Luc, Hubert Koller, Christian Lefevre et tant d'autres camarades qu'il serait trop long d'énumérer. Beaucoup eurent leur vie broyée par le combat et la répression, d'autres s'en sortir, certains firent de brillantes carrières, parfois en cachant leur passé mais très peu, selon la formule de Dominique Venner, "guérirent de leur jeunesse"...
Parmi ces militants, j'avais un camarade qui s'appelait Berthomier. Il avait la particularité de porter un blouson de cuir noir, mode lancée chez nous par Dominique Venner (mais lui avait un col officier et un liseré rouge du meilleur effet). Il habitait vers le square de la Trinité et fréquentait donc la "bande de la Trinité"... comme notre Johny national. Je n'ai jamais rencontré Johny mais Berthomier nous racontait qu'il avait fait des sorties nocturnes avec lui et qu'ils avaient collé des affiches de Jeune Nation. C'était ses débuts et il était bien loin de la notoriété qui allait être la sienne peu de temps après.
Au-delà de l'intérêt de cette anecdote en raison de la personnalité de ce jeune militant, cela montre combien l'image répandue par les médias et l'intelligentsia d'une jeunesse obligatoirement "de gauche" était fausse hier comme aujourd'hui. Simplement ces privilégiés ont les micros, les caisses de résonance, les relais et moyens de pression et qu'ils donnent ainsi le ton.
Imaginez juste un instant que Johny, au lieu de coller les affiches du Mouvement Jeune Nation aurait collé celles de la Ligue communiste révolutionnaire...
Depuis longtemps ces mêmes médias auraient signalé le courage et la générosité de sa jeunesse "engagée" et bien évidement à son décès, nous aurions eu droit à une grande leçon sur les "valeurs" avec la participation et les souvenirs de Krivine.
Au fond, Johny était un jeune garçon bien de son époque, loin des clichés propagés par la propagande des fossoyeurs de notre civilisation et c'est en cela qu'il mérite notre sympathie."
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dimanche, 05 novembre 2017
5 NOVEMBRE 1988 : DÉCÉS DE JEAN-PIERRE STIRBOIS, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU FRONT NATIONAL
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mercredi, 25 octobre 2017
Ne jamais oublier...
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vendredi, 29 septembre 2017
29 septembre 1989 : décès de Jean-Louis Tixier-Vignancour
Sur Jean-Louis Tixier-Vignancour cliquez ici
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dimanche, 10 septembre 2017
10 septembre 1993 : disparition à Strasbourg de Julien Freund
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vendredi, 18 août 2017
Le libraire de Tréguier nous a quitté
Trois ans durant Pierre a lutté contre la maladie. Celle-ci, dans la nuit de samedi à dimanche dernier, a fini par l'emporter.
Pierre, pour beaucoup, c'était "le libraire de Tréguier". Depuis dix ans en effet il tenait une librairie à l'ombre du clocher de la cathédrale de la petite "capitale" du Trégor. Les esprits libres qui y entraient étaient vite frappés par le choix non conformiste de livres proposés. Voilà pourquoi il était devenu notre ami.
Maintenant, ce Corse installé en Bretagne, deux terres où le mot "identité" a un sens, ne sera plus là pour nous éclairer de son immense savoir et nous offrir sa gentillesse. Adieu l'Ami, repose en paix...
R. H.
11:08 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |