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dimanche, 05 novembre 2017

5 NOVEMBRE 1988 : DÉCÉS DE JEAN-PIERRE STIRBOIS, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU FRONT NATIONAL

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mercredi, 25 octobre 2017

Ne jamais oublier...

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vendredi, 29 septembre 2017

29 septembre 1989 : décès de Jean-Louis Tixier-Vignancour

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Sur Jean-Louis Tixier-Vignancour cliquez ici

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dimanche, 10 septembre 2017

10 septembre 1993 : disparition à Strasbourg de Julien Freund

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vendredi, 18 août 2017

Le libraire de Tréguier nous a quitté

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Trois ans durant Pierre a lutté contre la maladie. Celle-ci, dans la nuit de samedi à dimanche dernier, a fini par l'emporter. 

Pierre, pour beaucoup, c'était "le libraire de Tréguier". Depuis dix ans en effet il tenait une librairie à l'ombre du clocher de la cathédrale de la petite "capitale" du Trégor. Les esprits libres qui y entraient étaient vite frappés par le choix non conformiste de livres proposés. Voilà pourquoi il était devenu notre ami.

Maintenant, ce Corse installé en Bretagne, deux terres où le mot "identité" a un sens, ne sera plus là pour nous éclairer de son immense savoir et nous offrir sa gentillesse. Adieu l'Ami, repose en paix...  

R. H.

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vendredi, 28 juillet 2017

Roland Gaucher, le forcené de l’anti-communisme… décédé il y a dix ans.

110136156.jpgIl y a dix ans, décédait Roland Gaucher. Nous reproduisons ici l'article paru dans le n°5 de la revue Synthèse nationale (automne 2007) :

Roland Hélie

Le 26 juillet, nous avons appris avec tristesse la disparition de Roland Gaucher.

Agé de 88 ans, Roland était né en 1919 à Paris. Il était prédestiné au journalisme puisque son père exerçait déjà cette profession. En revanche, rien, dans sa jeunesse, n’indiquait qu’il deviendrait plus tard l’un des piliers du combat pour la cause nationale. Son premier engagement politique, dans les années 30, l’avait en effet conduit dans les rangs de l’extrême gauche. Trotskiste d’abord, il milita à la Fédération des étudiants révolutionnaires et aux Jeunesses socialistes ouvrières. Il se rapprocha en 1937 du courant animé par Marceau Pivert qui donnera naissance à l’éphémère Parti socialiste ouvrier et paysan. C’est à cette époque que Roland Gaucher, de son vrai nom Roland Goguillot, rencontra Marcel Déat qui, par esprit pacifiste, se rangera dans le camp de la Révolution nationale. En 1939, il fut mobilisé dans l’infanterie et il sera fait prisonnier par les Allemands à Rennes. Un an plus tard, il s’évadera lors de son transfert en Allemagne. Marcel Déat créa en 1941 le Rassemblement national populaire qui regroupait de nombreux militants issus de la SFIO et des différents partis de gauche. Roland Gaucher, qui était revenu à la vie civile, fut de ceux-ci, c’est à ce moment là qu’il rompit définitivement avec sa famille d’origine. De son voyage initiatique à la politique au sein de la gauche révolutionnaire, Roland Gaucher gardera une solide formation qui fera de lui plus tard l’un des spécialistes les plus avisés du marxisme. Il conservera aussi un formidable sens de l’agit-prop qu’il mettra, le moment venu, au service de la droite nationale.

Après la guerre, il connut des moments difficiles. Il fut condamné à cinq années de prison, mais il fut libéré en 1948. Devenu journaliste professionnel, il collabora à plusieurs revues spécialisées parmi lesquelles l’Auto-journal. Mais le sens du devoir conduisit Roland Gaucher à reprendre le combat. Il travailla un temps pour l’Institut d’histoire sociale et pour la revue Est et Ouest, deux émanations de ce que l’on appelait alors pudiquement « les réseaux Albertini » (1). Il participa à la lutte en faveur de la défense de l’Algérie française. Après l’échec de ce « baroud pour l’honneur », il devint grand reporter à l’hebdomadaire Minute où il restera plus de vingt ans. Parallèlement à son engagement journalistique, il prit une part active, au cours des année 70, à l’action sur le terrain contre le Parti communiste qui représentait un véritable danger pour notre liberté. Il participa en 1972 à la création du Front national et, en 1974, il rejoignit le Parti des forces nouvelles dont il devint l’un des principaux dirigeants. La même année, il publia une monumentale Histoire secrète du Parti communiste français (chez Albin Michel) qui fit grand bruit et contribua, à n’en pas douter, à la déstabilisation et à la marginalisation de ce parti alors encore tout puissant.

C’est à l’occasion de la sortie de ce livre que je le rencontrai pour la première fois, lors d’une conférence organisée à La Rochelle par la section locale du PFN. Participaient aussi à cette réunion François Brigneau, autre pilier de Minute, et Henry Charbonneau, l’auteur des Mémoire de Porthos (2). C’est dire que, ce soir-là, le jeune militant que j’étais fut comblé.

Chaque mois, Roland Gaucher menait dans les pages de la revue Initiative nationale, le magazine du PFN, une véritable croisade épistolaire contre le communisme. Croisade épistolaire dûment accompagnée de campagnes militantes au cours desquelles un grand nombre de camarades toujours en activité aujourd’hui ont acquis un savoir-faire inégalé. Toujours prêt à en découdre, ce combattant infatigable n'hésitait jamais à foncer en première ligne face à nos adversaires. Il n’hésitait pas non plus à faire le coup de poing si cela s’avérait nécessaire. Ceux qui étaient présents à Paris en juin 1977 lors de la venue du bourreau soviétique Léonid Brejnev gardent en mémoire la formidable riposte organisée par les nationalistes et en grande partie suscitée par ce « vieux  forcené de l’anti-communisme » (l’essentiel des militants avait moins de 25 ans et lui en avait déjà plus de 50, c’est pour dire) que nous suivions avec entrain et confiance.

Roland était devenu la bête noire des communistes. Dans Minute, chaque semaine, il ne manquait jamais une occasion de mener la vie dure au parti de Moscou. C’est ainsi qu’il fut le premier à rappeler l’engagement volontaire, alors que la France était occupée, de Georges Marchais dans les ateliers de la firme Messerschmitt, principal constructeur d’avions de l’Allemagne nationale-socialiste. Marchais fondit en larmes lorsqu’il perdit le procès qu’il avait engagé contre Gaucher. Ce fut le début de la fin de sa carrière. Dans un hommage publié dans le quotidien Présent du 11 août dernier, le journaliste Jean Cochet nous rappelle ce que Roland lui avait alors confié : « Ces larmes de Marchais, c’est ma Légion d’honneur à moi ».

Sa devise face aux communistes était la suivante : « Ne reculez jamais ! ». Elle raisonne encore dans les tympans de ceux qui le suivirent. Dix ans plus tard, le rideau de fer s’effondrait lamentablement lui donnant ainsi, d’une certaine manière, raison.

Mais Roland Gaucher n’avait pas, c’est le moins que l’on puisse dire, un caractère facile. Quelques divergences de vue avec les autres dirigeants du PFN l’amenèrent, en 1979, à s’éloigner du Parti. Il se rapprocha alors à nouveau du Front national qui, organisé d’une main de maître par un autre militant exemplaire, Jean-Pierre Stirbois, commençait son ascension historique. Au milieu des années 80, il devint l'une des figures du FN. Il fut élu député européen de 1986 à 1989. Il créa en même temps National hebdo dont il assura la direction, avec Lionel Payet, jusqu’en 1992.

On se souvient de ses prises de bec avec les responsables du Front (y compris avec son président) lorsqu’il n’était pas d’accord avec telle ou telle décision du Bureau politique. Cette attitude, somme toute assez rare au sein des instances dirigeantes du FN, mérite d’être rappelée.

Fort de sa popularité en tant que directeur de NH, Roland n’hésita pas à défier la direction du FN lorsqu’il estimait que cela en valait la peine. Ainsi, quinze jours après la disparition tragique de Jean-Pierre Stirbois, le 8 novembre 1988, scandalisé par l’inertie d’une partie de la dite direction, il prit l’initiative d’organiser, au Palais de la Mutualité à Paris, une grande soirée en hommage au défunt. Ce fut un immense succès, la grande salle de la Mutu était pleine à craquer. Ce soir-là Roland Gaucher avait réussi à rassembler tout ce que Paris et la Région parisienne comptaient de militants nationaux et nationalistes. Il s’était aussi attiré les foudres de certains hauts dirigeants du Front, et non les moindres, qui ne lui pardonnèrent jamais.

Toujours soucieux de voir un jour se réaliser le véritable rassemblement des forces nationales, Roland Gaucher fut aussi, ne l’oublions pas, au début des années 90, l’instigateur des Journées culturelles de National Hebdo qui rassemblèrent tout ce que le camp national comptait alors de mouvements, associations, journaux…

En 1993, arriva ce qui devait bien finir par arriver : il s'éloigna du Front, dans lequel il ne se reconnaissait plus vraiment. Il prit la direction pendant quelques années du mensuel (non conformiste) Le Crapouillot. Il se consacra simultanément à la rédaction de nouveaux livres, dont certains en collaboration avec Philippe Randa. Il écrivit aussi une Histoire des nationalistes en France (3).

Nous nous voyions plusieurs fois par an et c'était toujours un plaisir de l'écouter raconter (certes parfois pour la Xième fois, mais qu'importe... c'était Roland) les grandes heures de la presse et du mouvement national. En bon vieux grognard toujours un peu grincheux qu'il était, Roland Gaucher gardait toujours une vision assez réaliste des choses. Surtout, il ne perdait jamais l'espoir de voir un jour notre idéal triompher. Aujourd'hui, Roland n'est plus, mais l'idéal survit.

Notes

(1) Du nom de Georges Albertini, ancien chef de cabinet de Marcel Déat, fondateur de ces organisations qui prirent une part active dans la lutte contre le communisme entre 1945 et 1989.

(2) Les Mémoire de Porthos, le roman noir de la droite française (1920-1946) par Henry Charbonneau, 2 tomes, Editions du Clan, 1969. Rééditées en 2001 par les Editions de Chiré (DPF, BP n°1, 86190 Chiré-en-Montreuil).

(3) Histoire des nationalistes en France (1943-1997) par Roland Gaucher, 2 tomes, Editions Jean Picollec 1997.

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Ecoutez l'émission de Radio Libertés

réalisée en hommage à Roland Gaucher cliquez ici

Radio Libertés cliquez ici

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mardi, 04 juillet 2017

Jean-Jacques Susini est décédé

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Jean-Jacques Susini, cofondateur de l'Organisation Armée Secrète avec Pierre Lagaillarde. est mort hier, le 3 juillet.

Né à Alger le 30 juillet 1933, Jean-Jacques Susini obtient son baccalauréat en 1948 après des études au collège Notre Dame d’Afrique. Il quitte l’Algérie à 18 ans pour mener ses études de médecine à Strasbourg, puis à Lyon où il est inscrit aux Jeunes du R.P.F.. Militant activement en faveur de l’Algérie Française, il retourne en Algérie à la fin de 1958 et y prend les responsabilités de la propagande et de l’action politique au sein du Front National Français. Elu président de l’Association Générale des Etudiants d’Algérie en 1959, il est l’un des principaux acteurs (avec Pierre Lagaillarde et Joseph Ortiz) de l’insurrection des « Barricades » de janvier 1960 à Alger.

En détention préventive pendant 9 mois à la maison d’arrêt de la Santé, il fait, en novembre 1960, une déclaration à son procès sous forme de manifeste révolutionnaire. Condamné à deux ans de prison avec sursis en dépit d’un réquisitoire sévère, bénéficiant d’une liberté provisoire, il s'enfuit et trouve asile en Espagne.

Il s’installe en Espagne et participe à la création de l’O.A.S. avec Pierre Lagaillarde au début de 1961.

Jean-Jacques Susini est reçu par le général Salan le 19 décembre 1960 à l’hôtel Princesa à Madrid. C’est la première fois que les deux hommes se rencontrent. Jean-Jacques Susini a 27 ans, Raoul Salan a 60 ans et il est conquis par l’agilité d’esprit et les analyses de son interlocuteur. Il dirigera l’Action psychologique et la propagande (A.P.P) de l'organisation.

S’étant mis à la disposition du général Salan à Madrid, il rejoint Alger en avion privé avec ce dernier et le capitaine Ferrandi, le dimanche 23 avril 1961.

Après l’échec du « Putsch d’Alger », il s’enfonce dans la clandestinité et prend à Alger les responsabilités de l’action psychologique et politique de l’O.A.S. sous les pseudonymes de Boumendjel, Jeannette, Janine ou R19.

Jean-Jacques Susini est très actif auprès du chef de l’O.A.S. Il prend fréquemment des initiatives personnelles et rédige en particulier la lettre du général Salan publiée par « Le Monde » en septembre 1961 et l’instruction O.A.S. n° 29 du 23 février 1962 ayant pour objectif de créer une situation insurrectionnelle en Algérie dès la signature du cessez-le-feu avec le F.L.N.(qui interviendra le 19 mars 1962)

Après l’arrestation de Raoul Salan en avril 1962, il devient responsable de l’O.A.S. pour Alger et Constantine.

Il engage et mène les négociations O.A.S.- F.L.N. en juin 1962 qui aboutissent aux accords « Susini-Mostefaï », lesquels ne seront pas appliqués en raison de l’effondrement du G.P.R.A. et de la prise de pouvoir par Ben Bella à l’été 1962.

Il quitte l’Algérie pour l’Italie à la fin de juillet 1962. Il est soupçonné d’y avoir préparé, en particulier, l’attentat dit « du Mont Faron » du 15 août 1964 contre le général De Gaulle à Toulon, attentat qui échoue au mémorial du Mont Faron dominant Toulon. Une bombe placée dans une jarre n'explosa pas et fut découverte quelques jours plus tard. D'après Jacques Delarue (L'OAS contre de Gaulle, Fayard, 1994), cet attentat avait été organisé par Jean-Jacques Susini et Gilles Buscia.

Condamné à mort par deux fois par la Cour de sûreté de l’Etat, il revient en France après l’amnistie de 1968. Amnistié sur décision du général de Gaulle en 1968, avec les autres dirigeants de l'O.A.S. encore incarcérés, il revient en France, mais, soupçonné d’avoir commandité un hold-up, il est à nouveau arrêté en mars 1970 et placé seize mois en détention provisoire avant d’être acquitté.

En octobre 1972, il est à nouveau arrêté et placé en détention provisoire pendant deux ans pour avoir organisé l’enlèvement et la disparition du colonel Raymond-Jean Gorel ex-trésorier de l’O.A.S (amnistié avant son jugement par une loi votée, suite à l'élection de François Mitterrand).

Il y termine ses études de médecine et obtient un D.E.A. de sciences économiques. Propriétaire et dirigeant d’une entreprise de sécurité, il se présente sous l’étiquette du Front National aux élections législatives à Marseille en 1997 et obtient 45% des suffrages au deuxième tour.

Jean-Jacques Susini est l’auteur d’une « Histoire de l’O.A.S. » dont seul le premier tome, couvrant la période de mai à juillet 1961, a été publié dans la collection « Taglaïts » aux Editions de La Table Ronde en 1963.

RIP

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lundi, 22 mai 2017

22 mai 1988 : décès de Giorgio Almirante, Secrétaire national du Mouvement social italien

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En savoir plus :

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Connaître l'histoire du MSI cliquez ici

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dimanche, 21 mai 2017

21 mai 2013 : Dominique Venner...

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mercredi, 03 mai 2017

Calais : Simonne Héricourt est décédée...

Les patriotes qui étaient présents le 6 février 2016 aux assises de Riposte laïque cliquez ici se souviennent de l'émouvante intervention de Simonne Héricourt, une habitante de Calais fatiguée de voir sa ville sombrer dans le désordre et la faillite en raison du camp de "migrants" installé à ses portes.

Hélas, Simone Héricourt ne verra pas triompher la formidable révolution identitaire qui se prépare. Elle est décédée ces jours derniers. Mais son cri de détresse doit continuer à résonner, voilà pourquoi nous le remettons en ligne aujourd'hui.

Simonne n'est plus là, mais le combat pour rendre la France aux Français continue... 

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mardi, 02 mai 2017

Mardi 9 mai : marche annuelle en souvenir de Sébastien Deyzieu (militant décédé lors d'une manif en 1994)

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vendredi, 10 février 2017

10 février 1977, 10 février 2017 : souvenez-vous d'Alain Ecoffier

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Le vendredi 10 février1977, une manifestation devant l’Aéroflot sur les Champs-Élysées à Paris, lieu symbolique de la recherche de respectabilité de l'URSS en France, était organisée par les Groupes d'action solidaristes. En présence d’un important service d’ordre de la Préfecture de police, quelques centaines de militants se rassemblèrent dans le calme, peu avant 15 heures.

Tout à coup, au milieu des slogans hostiles à l’URSS et au communisme en général, un homme jeune, en veste et cravate, se détacha de la foule. Il portait à la main deux jerricans en plastique. Profitant de l’inattention de la police, il entra dans le hall de l’agence soviétique, eut juste le temps de s’asperger de l’essence contenue dans les jerricans, lança un dernier « communistes assassins », puis s’enflamma.

Aussitôt, quelques employés russes de l’Aéroflot tentèrent de le secourir en utilisant un extincteur à poudre, en vain. Gravement brûlé, il fut transporté d’urgence à l’hôpital Foch de Suresnes, où il décéda de ses blessures.

Ce geste, peut être discutable, visait à attirer l'attention des Français sur les crimes communistes dans le monde. 12 ans plus tard, en novembre 1989, le Mur de Berlin s'écroulait.

Le suicide d'Escoffier eut un retentissement dans toute l'Europe. A l'instar de celui de Yann Pallach à Prague en 1968, il marqua toute une génération de militants nationalistes. Une chanson a même été composée quelques jours plus tard par des militants du MSI à la gloire d'Alain Escoffier.

 

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dimanche, 05 février 2017

6 FEVRIER 1945 : ASSASSINAT DE ROBERT BRASILLACH

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jeudi, 26 janvier 2017

Alex Chabanis ne boxera plus

celtic-cross.jpgDans les années 60 et 70, Alexandre Chabanis était une figure incontournable du milieu nationaliste parisien. Il vient de décéder à l'âge de 77 ans. Notre Ami Claude Jaffres lui rend ici un hommage militant :

C'était à la fin des années 50, au temps du Mouvement Jeune Nation des frères Sidos, de Jean Malardier et bien sûr de Dominique Venner, son jeune frère militait avec nous puis, un jour, Alex nous a rejoint.

Il avait déjà une très honorable carrière pugilistique et sa compagnie était appréciée lors de nos expéditions aventureuses. Comme moi, il avait servi dans un commando de chasse, il en avait ramené une blessure au ventre, cela n'avait en rien édulcoré son soutien à l'Algérie terre française.

La trahison du Régime gaulliste l'emporta et la répression fut féroce, Alex continua le combat durant ces dures années. Le calme revint un peu mais il ne posa pas pour autant son sac. Beaucoup se souviennent de la salle de boxe qu'il animait et de son engagement militant. La vie ne l'épargna pas et il fut marqué par de dures épreuves qu'il affronta avec courage.

Ainsi était Alex combatif, courageux, rigoureux, un fort caractère parfois difficile... Mais un homme de chez nous quoi...

Au fond, selon la formule de Dominique Venner, il n'avait pas voulu guérir de sa jeunesse.

L'éloignement, les obligations m'empêchent de participer à l'hommage qui lui sera rendu à Saint-Nicolas-du-Chardonnet, alors qu' il me soit permis ici d'apporter mon soutien à sa famille et ses proches.

Adieu Alex, adieu mon camarade, repose en paix parmi les nôtres.

Claude Jaffrès

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samedi, 05 novembre 2016

Jean-Pierre Stirbois, décédé il y a 28 ans, le 5 novembre 1988...

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Communiqué d’Alexandre SIMONNOT :

N’oublions jamais notre ami et camarade de combat Jean-Pierre STIRBOIS, disparu il y a aujourd’hui 28 années dans un tragique accident de la route.

Des « Jeunes Tixier-Vignancour » à la Présidentielle de 1988, en passant par le célèbre « Tonnerre de Dreux », Jean-Pierre STIRBOIS aura été un extraordinaire fédérateur, un militant infatigable, un Secrétaire Général exceptionnel, un travailleur acharné. Son unique combat était de servir Jean-Marie LE PEN et le Front National pour le salut de la France.

Suivons sans cesse l’exemple de cet homme admirable et unique à qui nous devons tant.Qu’il intercède pour nous auprès de notre Sainte Patronne Jeanne d’Arc afin qu’elle nous aide à persévérer, jour après jour, à temps et à contre temps.

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vendredi, 04 novembre 2016

Jean-Pierre Stirbois, décédé le 5 novembre 1988...

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Jean-Pierre Stirbois, né le 30 janvier 1945 à Paris, est mort accidentellement le 5 novembre 1988 à Ponchartrain (Yvelines). Politiquement engagé, il était le mari de Marie-France Stirbois, également engagée en politique.

Après avoir participé en 1965 à la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour, il milite au Mouvement jeune révolution (MJR - solidariste). En 1975, il crée avec Michel Collinot l'Union Solidariste.

En 1977, il rejoint le Front national et il en devient Secrétaire général en 1981. En septembre 1983, il est élu adjoint au maire de Dreux. Ce qui provoqua un véritable coup de tonnerre dans la vie politique de l'époque... Il est élu député européen en 1984 et député à l'Assemblée nationale en 1986.

Après avoir effectué un voyage en Nouvelle-Calédonie pour défendre les liens entre celle-ci et la France, il trouve la mort dans un accident de voiture en revenant d'une réunion publique à Dreux.

Il est enterré au cimetière Montparnasse à Paris.

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vendredi, 21 octobre 2016

Décès de Gérald Vivot, militant historique de la cause...

ob_6fe58b_gerald-vivot.jpgAU REVOIR, GÉRALD

Nous publions ici le très beau texte de Gérome paru sur ForumSI cliquez ici

A ceux qui me liront, certains se souviendront de cet homme qui a passé la Porte dimanche soir, après de longues années de souffrance sans se plaindre.

Gérald Vivot, c'était ce genre de personnage qui ne pouvait pas vous laisser indifférent. Il avait été de beaucoup de combats.

Ceux menés sur cette "putain de terre africaine" aux côtés de ceux qui s'étaient eux-mêmes nommé "les affreux". Il y connaîtra ses plus fidèles compagnons qui le visitaient encore toutes les semaines sur son lit de douleur sourde.

En Afrique, il avait connu le feu et vu la mort de près et reçu quelques morceaux de plomb qui l'avait écorché dans sa carcasse.

Et puis les combats des années 60 et 70 sur le pavé parisien et dans les provinces encore françaises.

Gérald ne parlait pas beaucoup, c'était sa nature et cette force simple de ceux qui n'ont pas besoin de trop s'exprimer pour dire qui ils sont.

Gérald, c'était une force de la nature, jusqu'à cette maladie sournoise qui le faisait décliner ces dernières années.
Une force de la nature rassurante dans les bousculades et autres cavalcades qui occupaient le plus clair et le plus noble de notre temps.

À sa place et par sa façon d’être, il nous aura transmis l'exemple de celui qui ne recule pas face au danger et qui ne laisse jamais un camarade blessé derrière quand il faut se replier.

Ceux qui l'ont connu, ne l'oublieront pas.

Gérald était discret, aimait la vie et se retrouver avec sa cohorte de camarades. Il aimait rire, boire et chanter les chants qui parlent de l'idéal indestructible qui animent nos âmes.

Gérald n'avait pratiquement pas ou plus de famille. La seule qui lui restait, c'était sa poignée d'amis fidèles, sa cohorte de camarades, qui lui auront adouci un peu, chaque semaine, son chemin caillouteux.

Gérald a fermé les yeux ce dimanche soir, à Nanterre avec auprès de lui, jusqu'au bout, une petite Soeur des pauvres.

Celle qui avertira de sa fin ceux qui s'occupent maintenant de ses obsèques dans la dignité qu'il mérite.

Les "petites sœurs des pauvres", qu'on soit catholique, païen ou rien du tout, ont ce grand mérite d'accompagner les mourants avec cette générosité d'âme qui appartient à celles ou ceux qui consacrent leur vie aux autres.

Gérald n'était pas ce qu'on appelle un "enfant de Chœur", et cette présence lui a sûrement fait du bien.

Voilà, Gérald, tu as rejoint d'autres camarades qui t'ont précédé et à qui tu avais donné ton amitié et ta fidélité indéfectibles dans les combats.

Que ta dernière nuit soit belle et douce, Gérald.

Nos pensées t'accompagnent. Tu nous laisses un bel exemple de loyauté aux combats perdus comme à ceux qui devraient être victorieux dans " ce monde vétuste et sans joie ".

Comme le dit ce chant - les lansquenets - que tu connaissais bien et qui te ressemble.

Adieu Gérald. 

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jeudi, 08 septembre 2016

Disparition d'un camarade : Guillaume Debonne

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Nous avons appris hier soir avec stupéfaction et tristesse la disparition subite, survenue dans l'après-midi, de Guillaume Débonne, militant actif de la cause nationaliste en Normandie. Apprécié de tous pour sa gentillesse et sa grande connaissance du mouvement nationaliste, Guillaume était depuis des années un pilier du combat contre l'islamisation de sa région de Dieppe. RIP Camarade.

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mercredi, 31 août 2016

J’ai croisé un chevalier

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Alain Fragny Nice Provence info cliquez ici

Le 6 décembre 1972, en fac de lettres, ils étaient près de 140, au début nous n’étions que 17 jeunes nationalistes. Près de 60 gauchistes étaient casqués et armés de barres de fer, environ 80 lançaient des galets. Une pluie de galets. Je regarde sur ma gauche, sur ma droite, tous mes camarades étaient à terre.

Nous n’étions que deux debout, Jean-Marc et moi. Il était seul, devant, à deux mètres à peine de la première ligne gauchiste. J’étais juste derrière lui. Avec sa grande stature il semblait immense, imposant. D’un calme olympien. Aucun des galets ne semblait pouvoir l’atteindre.

Très athlétique, une véritable force de la nature, Jean-Marc était un concentré de courage, de conviction et de rigueur éthique. Il n’était que droiture, fidélité. La parole donnée était sacrée. Il faut dire qu’il était aussi d’une grande culture et très fin dans ses analyses.

Sa vie sera celle d’un aventurier

En 1976 au Liban il se bat aux côtés des miliciens chrétiens de Camille Chamoun. Il restera toujours très discret sur ce sujet. Il a fait le coup de feu dans d’autres parties du monde. Catholique et solidariste de conviction, il débutera son engagement politique dans les pas de Pierre Sergent et militera au mouvement Jeune Révolution avant de rejoindre Ordre Nouveau. Il sera très proche de Sixte de Bourbon Parme avec lequel il se lie d’une profonde amitié.

Stefano Delle Chiaie Aigle CondorIl était en contact étroit avec des militants italiens. Dans un livre de souvenirs, « L’Aigle et le Condor », le leader d’Ordine Nuevo, Stefano Delle Chiaie cite à plusieurs reprises Jean-Marc Teisseire, notamment comme étant celui qui l’avait prévenu que deux commandos de mercenaires français étaient chargés de l’assassiner.

En 1980 il partira en Bolivie. Grâce à ses contacts dans l’armée bolivienne, il obtiendra une concession pour exploiter une mine d’or dans la région de Santa Rosa de Mapiri, canton de Sorata. Dans la jungle. Il n’y avait rien. Parti avec lui, son ami Pierre Ricci recrute une quarantaine d’Indiens et met en place l’exploitation. La présence dangereuse de bandes trafiquants de drogues brésiliens ne facilite pas les choses.

L’aventure est sa première nature. Dans des conditions rocambolesques dignes d’un album de Hergé, se met en place une chasse au trésor. Il part dans une région dont il n’existe alors aucune carte, seulement des photos aériennes. Les tombes se trouvent en territoire Aymara, une tribu isolée et redoutable. Ses guerriers sont armés de Mauser. L’expédition devait durer une grosse dizaine de jours, le temps d’une longue et difficile marche dans la jungle. Elle durera plus d’un mois. Défection de l’escouade de militaires et de policiers chargés de la protection. Disparition du guide. Apparition d’un ours brun particulièrement imposant … tous les ingrédients d’un roman d’aventure sont là.

De son lit de gisant, dernière étape avant la mort, je retiendrai son regard grave et profond. Celui qu’il portait sur son petit-fils, un adorable blondinet nommé Léone. « Tu seras un homme mon fils », le fameux poème de Kipling était là dans les yeux de Jean-Marc.

Mort à Nice il y a quelques jours, Jean-Marc Teisseire reste très présent dans nos mémoires.

N.B.: notre photo à la une : Jean-Marc Teisseire devant la faculté de lettres de Nice, en novembre 1972, précédant le doyen Weiss.

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lundi, 22 août 2016

Il y a un an, Emmanuel Ratier nous quittait...

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A Emmanuel…

Patrick Parment

Article publié après la disparition d'Emmanuel Ratier dans le n°41 de la revue Synthèse nationale.

La disparition d’Emmanuel Ratier est une perte immense pour l’ensemble du mouvement national étendu à toutes ses composantes. Mais, c’est aussi, pour moi, la perte cruelle d’un ami de longue date auprès duquel je caracolais depuis plus de trente ans, tant à titre personnel qu’éditorial quand il faisait appel à mes maigres talents.

Outre les idées, ce qui nous avait réuni, c’était notre passion pour la tauromachie. Dans les années 1990, j’avais un copain à la mairie de Nîmes qui nous procurait de bonnes places dans les arènes. Et nous nous retrouvions souvent au milieu du « beau linge » comme l’on dit, passionné comme nous de la bête à cornes. Notre plus grand souvenir demeurait évidemment le mano à mano de Nimeno 2 en 1989 après l’éviction de Victor Mendes sur blessure. Mais passons.

Comme il a été noté dans les hommages qui lui ont été rendus, Emmanuel avait le goût des autres, la fidélité de l’amitié, une grande culture et aimait par-dessous tout son travail et sa famille. Sur le fond, il avait su garder les idées de sa jeunesse auxquelles il ne dérogeait guère même si elles avaient (peu) évolué. Ce qui ne l’empêchait nullement d’être ouvert aux autres comme en atteste l’étendue de ses relations.

Cet esprit brillant qui avait avalé Sciences-po, ne pouvait que se destiner au journalisme. Ce qu’il fit avec ce qui était encore la prestigieuse école de la rue du Louvre. A l’époque l’offre n’était pas très grande pour les gens de droite et il fit un parcours assez classique de Valeurs actuelles (époque Bourgine) à Minute (époque Patrick Buisson) avant de lancer sa propre aventure avec sa lettre confidentielle, Faits & Documents.

Tôt, et dans le sillage de Henry Coston, Emmanuel avait compris que pour combattre un adversaire, il est utile d’en connaître le pedigree. Si Coston lui montra la voie, l’élève ne tarda pas à dépasser le maître. Il faut bien avouer qu’Emmanuel était poussé dans cette voie par un atavisme familial : la collectionnite. Emmanuel collectionnait tout, du porte-clé à la boule de neige, les affiches politiques de 1940 à nos jours, les livres, les journaux. Mais, plus que les romans, Emmanuel préférait les livres politiques, les guides, les dictionnaires, les annuaires tels le Who’s Who, le Bottin mondain, etc. Ce « fouille-merde » devint ainsi l’un des plus grands journalistes d’investigation de la place de Paris, sachant où il fallait chercher pour débusquer l’information. Quand bien sa source principale demeurait cette presse qu’il savait « lire » mieux que personne.

Faits & Documents est un média unique dans le paysage médiatique français où il nous livrait tous les quinze jours les dessous, pas toujours très avouables, de la vie politique française et étrangère, agrémenté d’un portrait particulièrement fouillé d’un personnage, acteur influent de la vie politique ou économique, national ou international. C’était souvent une mine de renseignements pour la presse « officielle » qui se gardait bien, évidemment, de citer ses sources quand elle le « pompait ».

Alors que le Front national était sorti de sa confidentialité, Jean-Marie Le Pen l’accueillit et lui offrit une tribune dans National hebdo où, chaque semaine, il passait à la moulinette, façon Jean-Claude Averty, un ténor ou non de la politique nationale. Une rubrique suivie et attendue, avec le portait littéraire de Jean Mabire.

De sa lettre, Emmanuel ne tarda pas à passer à l’édition. Mais toujours dans le même esprit : dévoiler ce qu’on nous cache. Le navire amiral demeure sa première Encyclopédie politique française en 1992. Un ouvrage unique en son genre et qui fera date. Le second tome paraîtra dix ans plus tard. Mais entre temps, livres et brochures se sont succédés : Mystères et secrets du B’nai B’rith sur la franc-maçonnerie juive, des brochures sur Patrick Gaubert, président de la Licra et marionnette de Charles Pasqua, un hilarant Jacques Chirac. Puis viendront Les Guerriers d’Israël, une enquête très fouillée sur les milices juives ; Enquête au cœur du pouvoir (1996), avec les noms et pedigree des membres de ce club très fermé qu’est Le Siècle où se retrouve toute la nomenklatura politique, économique et médiatique française, ouvrage qu’il refondera entièrement en 2015. Et, cette même année, une brochure sur Manuel Valls – Le vrai visage de Manuel Valls - qui n’a pas manqué de faire du bruit.

Une œuvre unique en son genre et qui a cette qualité fondamentale de toujours privilégier les faits et jamais l’humeur ou le jugement de valeur. Pour cette raison, Emmanuel ne sera jamais attaqué pour fausse information, diffamation, etc. Il s’en tenait aux faits, et c’est bien ce qui fait la qualité de ses ouvrages et celle de sa lettre confidentielle.

Emmanuel avait des projets plein la tête. Il avait eu des accidents de santé mais passant outre, n’arrivait pas à ménager sa peine. Et il nous a quitté alors qu’il mettait sur pied un centre de documentation ouvert aux chercheurs issus de notre famille de pensée. Militant toujours.

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mardi, 02 août 2016

Une pensée pour Maurice Bardèche

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jeudi, 28 juillet 2016

Triste nouvelle : nous venons d'apprendre le décès de Gérard Marin

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Gérard Marin, journaliste de renom (il fut un temps rédacteur en chef du Figaro), animateur d'une émission sur Radio Courtoisie depuis 1993 et combattant patriote infatigable est décédé hier à l'âge de 90 ans. Nous venons de l'apprendre avec tristesse. RIP. 

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mardi, 19 juillet 2016

DEVOIR DE MEMOIRE : Stéphane ZANETACCI (19 juillet 1976)

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Pour mieux connaître l'histoire

des volontaires français au Liban cliquez ici

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samedi, 21 mai 2016

Dominique Venner : il y a 3 ans...

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Pour mieux connaitre la vie et

l'engagement politique de Dominique Venner :

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Plus d'informations cliquez ici

Le commander en ligne cliquez là

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vendredi, 18 mars 2016

18 mars 1978 : assassinat de François Duprat, théoricien du nationalisme-révolutionnaire

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François Duprat (1940 - 1978)*

C’est le 26 octobre 1940 que François Duprat naît à Ajaccio dans une famille que l’on pourrait plutôt classer « à gauche ».

Dans les années 50, il suit une scolarité normale, d’abord à Bayonne puis à Toulouse. C’est à cette époque qu’il commence à s’intéresser à la politique. Dans un premier temps, peut-être par atavisme familial, il fricote un moment avec les trotskistes. La raison finissant toujours par l’emporter, en 1958, il commence à fréquenter les « milieux nationalistes ». En 1959, il intègre le Lycée Louis-le-Grand à Paris. Sur les bancs de celui-ci, il y côtoie entre autre Régis Debray ainsi que le fils du dirigeant communiste Maurice Thorez. Mais pour lui l’essentiel est ailleurs. En dehors de ses cours il fréquente assidument le mouvement Jeune Nation, alors animé par les frères Sidos et par Dominique Venner, qui mène campagne tambour battant pour la défense de l’Algérie française. Devenu étudiant, il continue à partager son temps entre la politique et les amphis de la Faculté. Récompense de ses brillantes études, il obtient un diplôme supérieur en Histoire en 1963.

Après la fin de la guerre d’Algérie et l’échec de l’OAS, en 1962, le mouvement nationaliste était à la recherche d’une nouvelle orientation. C’est à ce moment-là que Dominique Venner publie son fameux opuscule intitulé « Pour une critique positive ». Duprat milite alors à la Fédération des étudiants nationaliste qui donnera naissance à la revue Europe Action. Très vite, à la suite de discordes avec les autres responsables de la FEN, proches d’Europe Action, Duprat sera exclu de ce mouvement.

Après une année passée au Congo comme coopérant, année au cours de laquelle il fera quelques déplacements au Nigéria alors confronté à « la sécession biafraise », il reviendra à Paris en 1965 où il rejoindra le tout nouveau Mouvement Occident qui rassemble les militants de la FEN qui ne se reconnaissaient plus dans la ligne proposée par Europe Action.

Dès le milieu des années 60, Duprat commence à collaborer à la revue de Maurice Bardèche, Défense de l’Occident. En 1967, au moment de « la Guerre des 6 jours », conflit opposant Israël à ses voisins arabes, il rédigea un numéro de la revue condamnant « l’agression sioniste ». Position qui tranchait singulièrement avec celles communément adoptées par l’extrême droite d’alors.

Durant les événements de mai 1968 il s’intéresse de très près aux mouvements gauchistes qui tiennent le haut du pavé. Il fera d’ailleurs sensation en publiant quelques mois plus tard Les journées de mai 68, les dessous d’une révolution (préfacé par Maurice Bardèche), le premier ouvrage consacré à ces événements qui ont secoué un instant le régime gaulliste.

Décembre 1969, c’est la création du mouvement Ordre nouveau. Très vite, François Duprat prendra des responsabilités au sein de cette jeune organisation. Il y retrouve un grand nombre d’anciens du Mouvement Occident et de la FEN. Ordre nouveau deviendra en quelques mois la principale force de la Droite nationale. Mais son image activiste, liée à sa lutte salutaire contre les gauchistes, lui empêche de s’affirmer comme un véritable parti politique. D’où la création, à son initiative en juin 1972, du Front national destiné à rassembler les chapelles éparpillées de la famille droitière en vue des élections législatives de mars 1973. En novembre 1972, Jean-Marie Le Pen deviendra Président du FN naissant. Mais, pour Duprat, depuis quelques mois les relations n’étaient plus au beau fixe avec les autres responsables d’Ordre nouveau et, au lendemain des élections, il doit s’éloigner du mouvement.

Ordre nouveau sera dissout par le gouvernement le 28 juin 1973 après avoir tenu au Palais de la Mutualité à Paris le premier meeting nationaliste contre l’immigration sauvage une semaine auparavant. Meeting qui fut marqué par de graves affrontements dans le Quartier latin entre les gauchistes, qui avaient la prétention de l’empêcher de se dérouler, et les forces de police.

En octobre 1973, les militants de l’ex-Ordre nouveau qui, il faut bien le dire, constituaient l’essentiel de l’armature du FN font scission pour protester contre leur marginalisation par Le Pen au sein de l’appareil du FN. Ils créent les Comités Faire front qui donneront naissance, un an plus tard, au Parti des Forces nouvelles. Mais ça, c’est une autre histoire…

Parallèlement, c’est donc à l’automne 1974 que Duprat et ses amis, qui entre temps avaient créé Les Cahiers européens, font leur retour au FN. La manœuvre était habile puisque celui-ci se retrouvait démuni de la plupart de ses militants. Il y avait, comme on dit, "des places à prendre". Duprat a su profiter de l’opportunité. Il deviendra l’idéologue du Front.

En réalité, François Duprat à une stratégie bien précise qui ressemble à s’y méprendre à celle préconisée par Ordre nouveau au moment du lancement du Front : constituer un noyau nationaliste révolutionnaire influent et homogène au sein de ce qui devrait être (et qui allait le devenir quelques années plus tard…) « un parti de masse », à savoir le Front national.

Pour réussir son projet, il ne lésine pas sur les moyens. Côté force de frappe, il organise donc une structure militante : ce furent les Groupes nationalistes révolutionnaires (GNR). Certes, ceux-ci resteront très squelettiques mais ils ne demandaient qu’à s’étoffer. Côté presse, outre Les Cahiers européens dont la parution devint vite hebdomadaire, il lança plusieurs bulletins de combat : Salut public et Année zéro. Enfin, et afin d’assurer la formation politique et historique des militants, il crée La Revue d’Histoire du fascisme, outil indispensable qui ne manquera pas, bien plus tard, de faire des émules.

Au milieu des années 70, on commence à observer les premiers symptômes d’un rejet grandissant au sein de la population de l’immigration. Duprat comprend qu’il y a là, pour le Front national, un thème original à développer. Mis à part la campagne d’Ordre nouveau en juin 73 sur le thème « Halte à l’immigration sauvage ! », l’extrême droite se contentait depuis des décennies de slogans anti-communistes et anti-gaullistes. En identifiant le Front à la lutte contre l’immigration, Duprat met d’emblée celui-ci sur une vague porteuse. Certes, il faudra un certain temps, mais le message finira bien par passer. On connaît la suite…

Hélas pour lui, François Duprat ne verra pas les résultats de la tactique qu’il avait imaginée. Le 18 mars 1978, à la veille du second tour des élections législatives, un terrible attentat à la voiture piégée mettra fin à ses jours et blessera très grièvement son épouse qui était à ses côtés. On ne connaît toujours pas, ou on nous les cache, les véritables raisons de ce crime. Toutes les hypothèses possibles ou imaginables ont été avancées par les uns et par les autres, et toutes sont discutables. Certes, Duprat n’avait pas que des amis et, dans sa vie tumultueuse, il a dut croiser les chemins de multiples officines qui n’étaient pas vraiment composées d’enfants de chœur, mais est-ce suffisant pour finir assassiné avec des moyens aussi sophistiqués que ceux qui furent utilisés ?

Pour le moment, la mort de François Duprat demeure un mystère. Un jour peut être…

* Introduction du n°2 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à François Duprat

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vendredi, 11 mars 2016

HOMMAGE AU COLONEL BASTIEN-THIRY

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Alexandre Simonot

Rendons un hommage tout particulier au Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY, héros et martyr de la Patrie, fusillé il y a aujourd’hui 53 années, le 11 Mars 1963.

Jean-Marie BASTIEN-THIRY était Lorrain, Polytechnicien, Lieutenant-colonel dans l’Armée de l’air et l’inventeur de deux missiles antichars, les SS-10 et SS-11. Il avait 36 ans et laissait une veuve et trois petites orphelines.

Organisateur de l’opération du Petit-Clamart, le Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY aura tout sacrifié, sa famille et sa vie, pour que vive la France. Il nous a laissé, en versant son sang, un message, un exemple à méditer, à admirer et à suivre.

Alors que les tireurs du Petit-Clamart seront graciés par De Gaulle, celui-ci refusera d’accorder sa grâce au Colonel BASTIEN-THIRY.

Jean-Marie BASTIEN-THIRY est l’exemple parfait du dévouement, du courage, de l’abnégation, du don de soi et du sacrifice de sa vie envers la Patrie. Il est l’honneur de l’Armée Française.

Homme de foi, grand Catholique, il mourra comme un saint, marchant vers le peloton d’exécution son chapelet à la main, après avoir entendu la Messe. Refusant d’avoir les yeux bandés, il regardera la mort droit dans les yeux avant de pouvoir contempler ensuite la Vie Eternelle. Il sera le dernier condamné à mort à avoir été fusillé en France.

Assassiné sur ordre de celui qui aura trahi l’Algérie Française et livré des dizaines de milliers de Harkis et Pieds-noirs aux tortures les plus innommables des bouchers fellouzes du FLN, le Colonel Jean-Marie BASTIEN-THIRY demeure un Français modèle, un héroïque soldat dont le nom restera pour toujours inscrit sur le Martyrologe de notre pays.

Que Jean-Marie BASTIEN-THIRY repose en paix, aux côtés de tous les Morts pour la France, dans le Paradis des Héros, des Martyrs et des Soldats.

Source cliquez ici

 

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samedi, 06 février 2016

6 février 1945 : assassinat de Robert Brasillach

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mercredi, 30 décembre 2015

Triste nouvelle : Philippe Pierson nous a quittés

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Depuis son premier engagement dans les rangs du mouvement nationaliste à la fin des années 60, il avait été de tous les combats. Le seul qu'il a perdu, c'est celui contre la maladie qui depuis deux ans le rongeait.

Philippe Pierson nous a quitté ce 30 décembre... un peu avant que le jour se lève.

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lundi, 07 décembre 2015

Disparition d'un camarade et d'un ami : Patrick Bourne

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Nous venons d'apprendre le décès, à la suite d'une rupture d'anévrisme survenue dans la nuit de vendredi à samedi dernier, de Patrick Bourne. Il avait eu 60 ans le 15 juillet.

Depuis qu'il avait rejoint le camp nationaliste, au tout début des années 90, Patrick était de toutes les épopées militantes. Fort d'une solide culture politique et historique, en particulier sur le XIXe siècle et le Second Empire, il était passionnant lorsqu'il abordait ces sujets. Grand ami de l'Espagne phalangiste, il était aussi l'un des piliers du Cercle Franco-Hispanique et, à ce titre, il était toujours présent aux journées annuelles de Synthèse nationale. Il avait collaboré à plusieurs reprises à notre revue.

Patrick n'était pas de ceux qui cherchent à se mettre en avant, mais son dévouement à la cause était tel qu'il était apprécié de tous. De plus, d'une extrême gentillesse, il ne manquait jamais de s'enquérir des nouvelles des autres. 

Là où il est, Patrick a sans doute retrouvé Olivier cliquez ici et ceux qui nous ont quittés prématurément. Mais, ici bas, il restera toujours présent dans nos coeurs. Il était notre camarade et notre ami.

Il sera enterré vendredi prochain à Valence dans la Drôme. Ayons une pensée pour son épouse et pour sa famille.

Roland Hélie

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lundi, 09 novembre 2015

L'Hommage rendu samedi à Me Joseph Scipiliti en l'Eglise Ste Rita à Paris

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