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mercredi, 27 avril 2022

Pierre Pinatel, caricaturiste célèbre de la droite nationale, est décédé

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Pierre Pinatel, dessinateur et caricaturiste renommé de la presse nationale, vient de décéder à l'âge de 92 ans.

Depuis le début des années 1960, Pinatel a été de tous les combats nationaux. De Minute à National hebdo, en passant par un grand nombre de cabarets et de scènes de théâtres, avec son crayon militant, son oeil critique et son style bien à lui, il disséquait avec sagacité, clairvoyance et talent, en particulier dans ses fameux "Pinatélescopes", l'actualité politique (et surtout ses acteurs) du moment.

Pierre était un homme charmant et toujours bienveillant. À plusieurs reprises, pour le plus grand bonheur de l'assistance, il nous fit l'amitié de participer à l'animation de nos journées annuelles de Synthèse nationale.

À Colette son épouse, à sa famille, la rédaction de Synthèse nationale présente ses condoléances attristées. 

Roland Hélie

Animation de Pinatel lors de la journée

de Synthèse nationale en octobre 2016 cliquez ici :

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mardi, 26 avril 2022

Triste nouvelle : notre ami Bruno Laplace est décédé

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Bruno Laplace était un militant fidèle et discret de la cause. Il était toujours présent à nos journées nationales et identitaires et, à chaque fois que nous lui demandions, il n'hésitait pas à donner un coup de main. Mathématicien, chercheur au CNRS, d'une belle culture, il avait été membre du GRECE à la grande époque de celui-ci. Bon compagnon, le retrouver était toujours un plaisir.

Bruno s'en est allé rejoindre le soleil hier. Nous ne l'oublierons jamais. Ayons aussi une pensée pour sa famille. Qu'il repose en paix...

Roland Hélie

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jeudi, 14 avril 2022

Jean-Marie Molitor, dernier directeur de Minute, vient de nous quitter

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Notre confrère et ami Jean-Marie Molitor est subitement décédé mardi après-midi à l'âge de 66 ans.

Issu des rangs de l'Action française, il participa à tous les combats nationalistes, ainsi qu'à ceux de la Tradition catholique, depuis son plus jeune âge. Dans les années 1990, il participa à l'éphémère aventure du Choc du Mois, un mensuel non-conformiste qui marqua indiscutablement son époque.

Au début des années 2000, il racheta l'hebdomadaire Minute alors en perdition mais dont la notoriété et le passé glorieux laissaient espérer un renouveau... Vingt ans durant, Jean-Marie fit survivre Minute et c'est tout à son honneur.

Il était aussi le directeur du bi-mensuel catholique de qualité Monde et vie.

Jean-Marie était un garçon sympathique et travailleur (faire vivre simultanément un hebdo et un bi-mensuel n'est pas une mince affaire qui se règlerait en claquant les doigts, croyez-moi). De plus, il n'hésitait jamais à rendre service aux militants de la cause nationaliste et identitaire qui le sollicitaient.

En ces pénibles moments, je pense à son épouse Dominique et à leurs enfants. Je pense aussi aux sympathiques soirées passées ensemble avec nos amis de toujours.

Adieu Jean-Marie... RIP.

Roland Hélie 

 

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samedi, 09 avril 2022

Il y a dix ans, disparition de François Brigneau

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François Brigneau (1919-2012), Emmanuel Allot de son vrai nom, était l'un des journalistes les plus engagés et, par conséquent, les plus respectés ou détestés, de son époque. Il fut à la fois écrivain, polémiste (à Minute et National hebdo entre autres) et militant (il participa à tous les combats nationalistes de la seconde moitié du siècle dernier). Aux côtés de Jean-Marie Le Pen, il contribua à la création du Front national au début des années 1970. Il est décédé le 9 avril 2012. Ayons une pensée pour lui...

R H

Sur l'enterrement de François Brigneau lire

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mercredi, 06 avril 2022

Disparition de Michel Paulin, une figure du MNR

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La réaction de Bruno Mégret, président du MNR, et de Bernard Bres, directeur du Chêne :

Notre ami et compagnon de combat, Michel Paulin, nous a quitté le 2 mars suite à une lourde intervention chirurgicale. Il était dans sa 82e année, mais avait gardé fière allure et son amour de la vie. Il était membre et cadre du MNR depuis sa création, de son Bureau Politique, délégué national responsable du siège du parti depuis dix ans, organisateur de maintes réunions conviviales, missions qu’il assumait avec beaucoup de compétence et de diplomatie ; par ailleurs, il avait été élu durant douze ans conseiller municipal MNR à Noisy-le-Grand. C’est peu de dire que sa disparition constitue une perte considérable pour nous tous car il était une pièce essentielle de notre dispositif.

Il était entré très tôt en politique à l’époque héroïque du FN et avait effectué un travail considérable d’implantation dans le 93 aux côtés des Milliau et Timmermans, se présentant avec succès à différentes élections car il était respecté de tous, y compris ses adversaires. Parallèlement, il avait mené une vie professionnelle riche comme dirigeant au sein d’une société de transport internationale, dans l’import-export et le négoce de l’automobile.

Jusqu’à son dernier souffle, il fut d’une fidélité à ses idées jamais démentie : il assumait avec humilité et bienveillance sa tâche au service de la France éternelle et de la Tradition. Personnalité ô combien sympathique, au charme discret, toujours souriant et ouvert à la discussion, maniant un humour de bon aloi et une joie de vivre communicative, pratiquant l’art de recevoir et de cultiver l’amitié ; il aimait « bien-vivre ». Jamais, il ne se départit de son espérance chevillée au corps, de son panache et de son élégance proverbiale tant vestimentaire que physique et morale. C’était un être profondément attachant, apprécié de tous, authentique, droit, courageux, dévoué, chaleureux et spirituel, ayant le sens de l’honneur ; un de ces militants dans l’âme désintéressés et loyaux grâce auxquels le MNR a pu subsister durant plus de vingt ans contre vents et marées. Grâces lui en soient rendues ! (...)

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lundi, 04 avril 2022

Comme chaque année, le C9M organise une marche en mémoire de Sébastien Deyzieu

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Sébastien Deyzieu était un jeune militant nationaliste. Il est mort à Paris le 9 mai 1994 suite à une charge de police contre une manifestation organisée par le Groupe Union Défense et les Jeunesses nationalistes-révolutionnaires afin de dénoncer l'impérialisme américain.

Depuis cette date, chaque année, ses camarades appellent à une marche en sa mémoire.

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vendredi, 18 mars 2022

Il y a 44 ans : assassinat de François Duprat

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Alexandre Simonnot

Membre du Bureau politique du Parti de la France

N’oublions jamais notre camarade de combat François DUPRAT assassiné il y a aujourd’hui 44 années, le 18 mars 1978.

Frontiste de la première heure, grand et irremplaçable ami de Jean-Marie LE PEN, militant exemplaire, François DUPRAT était un brillant intellectuel, libre et éclairé, passionné d’histoire et de politique. Ecrivain hors-pair, travailleur infatigable, il possédait une véritable plume d’acier qui le fit collaborer à la plupart des rédactions des journaux de la Droite Nationale. Il ne cessera pas d’y dénoncer les risques que faisait peser l’immigration sur l’identité des peuples européens.

François DUPRAT était un amoureux de la Liberté d’expression, cette liberté qui lui a coûté la vie. Car c’est bien pour avoir osé écrire tant et tant de vérités interdites à exprimer qu’il a été éliminé.

François DUPRAT gênait, dérangeait, bousculait avec talent le politiquement correct, le terrorisme intellectuel et le prêt-à-penser. Il écrivait et proclamait tout haut ce que beaucoup pensait tout bas. Il n’avait peur de rien. Il est mort au devoir, au combat, sur la route qui le menait à une école pour accomplir simplement ce qu’il aimait par-dessus tout : enseigner la simple et pure vérité historique.

Plutôt que d’oser l’affronter sur le terrain des idées et du débat, les misérables lâches, anonymes et vagabonds, qui l’ont exécuté ont placé une bombe dans sa voiture...

Esprit ouvert, fidèle défenseur de notre identité, François DUPRAT aurait exécré la liberticide Loi GAYSSOT qui interdit en France toute véritable Liberté d’expression qui est pourtant un Droit fondamental de notre Pays.

Que François DUPRAT repose en paix auprès de tous ces grands intellectuels honnêtes et courageux qui ne faisaient que proclamer, à temps et à contre temps, la Vérité qui seule nous rendra libres.

Pour mieux connaître la vie et le combat de François Duprat :

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Pour le commander cliquez ici

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mardi, 15 mars 2022

† JEAN-PIERRE RONDEAU, FRANÇAIS D’ALGÉRIE

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Philippe Randa

L’engagement politique nuit souvent à une belle carrière professionnelle, entend-on souvent : « Ah ! s’il n’avait pas de telles idées ! »… Enfin, pas les idées de la « bien-pensance », bien sûr, qui, pour certains, sont plutôt gage de « coup de pouce citoyen » pour « faire de bons coups » surtout entre coquins.

Oui, mais… le talent, la droiture, la conviction, l’engagement, la fidélité, la camaraderie, toutes ces sortes de choses démentent parfois de telles affirmations…

La preuve par Jean-Pierre Rondeau que les suites d’une longue maladie, comme on dit pudiquement, ont fini par emporter à 79 ans.

Président, puis président d’honneur des Anciens du lycée Lamoricière d’Oran, il a été de ces pieds-noirs qui s’étranglaient d’une juste indignation depuis qu’ils avaient appris, législation française oblige, qu’ils seraient « nés à l’étranger ». On le serait à moins quand on a témoigné comme lui qu’« aujourd’hui, notre histoire est de plus en plus trafiquée. Demain, nos enfants oublieront, si ce n’est déjà fait ou s’ils l’ont jamais su, pourquoi et comment nous sommes partis, victimes d’un nettoyage ethnique non reconnu pour nous ».

Ces mots sont extraits de la préface d’Aspects véritables de la rébellion algérienne suivi d’Algérie médicale, livre de documents sur les crimes et horreurs du FLN, véritable outil de réinformation quant aux risques à venir, en provenance de certains mouvements islamistes, qu’il a bien voulu présenter pour l’édition que j’en fis, à sa demande, aux éditions Dualpha, il y a… 21 ans : « Publie ces documents, c’est important », m’avait-il dit alors.

Je l’avais fait autant par intérêt historique que pour lui faire plaisir : une bonne action étant parfois récompensée, ce livre lancera ma collection « Vérités pour l’Histoire » où des dizaines d’autres livres sur l’Algérie française et l’OAS suivront. Merci, Jean-Pierre !

Oui, Jean-Pierre Rondeau ne renia jamais ses origines, son passé militant, ses convictions, ses engagements comme administrateur de plusieurs associations pieds-noirs… et n’en fit pas moins une brillante carrière, politique comme maire adjoint des Pavillons-sous-Bois (93) et surtout professionnelle dans la gestion de patrimoine ; rappelons qu’il fut (entre autres) PDG fondateur en 1994 de MEGARA Finance SA, président fondateur en 2005 de La Compagnie des CGPI (ex-CIF-CGPC) et l’administrateur de la Chambre des propriétaires…

Jusqu’à ses derniers mois, il publiait une lettre de réflexions sur le patrimoine et j’avais été particulièrement frappé par cet avis sur la crise économique : « La Covid n’est qu’un révélateur et un accélérateur de la débauche des Etats (endettement), des banques centrales, de la dérégulation des marchés, de l’inversion des critères d’appréciation et de la création des bulles »… et plus encore par cette (funeste) prédiction : « Oui, la fiscalité va s’alourdir, de même que les prélèvements sociaux, alors que les contreparties sociales et de santé et les services de proximité vont continuer à être réduits. Les retraites et pensions de réversion vont être rognées au nom de slogans démagogiques (partage entre générations, par ex.), alors qu’il s’agit de combler les gaspillages de l’Etat. »

Funeste présage sur une France que, malgré toutes les épreuves qu’elle imposa au natif d’Oran qu’il resta jusqu’à son dernier souffle, malgré toutes les trahisons politiques successives de nos dirigeants, malgré la rage qui était la sienne et l’écœurement, qui prenait chez lui la place de la révolte, pour nos élites politico-médiatico-moralistes, Jean-Pierre Rondeau aima toujours. Passionnément. 

Publié dans Présent cliquez ici

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jeudi, 10 février 2022

Il y a 45 ans, le 10 février 1977, Alain Escoffier s'immolait à Paris afin de dénoncer les crimes communistes

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Il y a 45 ans, le 10 février 1977, Alain Escoffier, militant solidariste, s'immolait par le feu sur l'avenue des Champs-Élysées à Paris, devant l'antenne locale de l'Aeroflot, pour protester contre l'impérialisme communiste qui, à cette époque, faisait des ravages dans le monde.  Son dernier cri fut  : " Communistes assassins !"

Conséquence imprévue de cet acte désespéré d'Alain Escoffier : c'est à l'issue d'une cérémonie en sa mémoire que, quelques jours plus tard, Jean-Marie Le Pen et Jean-Pierre Stirbois se retrouvèrent et que ce dernier adhéra au Front national. La suite, vous la connaissez... 

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dimanche, 06 février 2022

6 FÉVRIER 1945 : ASSASSINAT DE ROBERT BRASILLACH

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Site des Amis de Robert Brasillach cliquez là

Le numéro Hors-série de Présent

consacré à Robert Brasillach cliquez là

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lundi, 31 janvier 2022

Nous perdons un camarade : Claude Itzkovitz est décédé aujourd'hui

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C’est avec une grande tristesse que nous venons d’apprendre le décès de Claude Itzkovitz, militant identitaire et patriote. Suite à une longue maladie, il nous a quitté en nous laissant les traces d’une douce camaraderie et de souvenirs de moments amicaux partagés sur les chemins de nos espérances mutuelles.

Toujours prêt à nous aider et à nous encourager dans nos aventures militantes et engagées pour notre France, nous garderons en mémoire son sourire de complicité et d’humour face aux intolérances de nos adversaires. Il savait tourner en dérision leurs bêtises et leurs méchancetés, au point de pouvoir les désarmer.

Claude participait aussi régulièrement aux activités des Amis franciliens de Synthèse nationale, en particulier en réalisant des films lors de nos conférences afin de pouvoir en faire profiter un maximum  de camarades. Bien que très fatigué, il était présent le samedi 9 octobre dernier lors de notre banquet annuel à Paris.

Merci encore à toi, notre ami Claude.

Hugues Bouchu

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dimanche, 16 janvier 2022

Samedi 29 janvier 2022 : le Parti de la France saluera la mémoire de Roger Holeindre

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Sur Roger Holeindre, lire le livre C'est Roger cliquez là

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jeudi, 13 janvier 2022

PIERRE DUPUCH, RÉSISTANT DE LA CAUSE NATIONALE, NOUS A QUITTÉS !

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La triste nouvelle a été connue tardivement : Pierre Dupuch, ancien trésorier national du FN (avant Jean-Pierre Reveau) et aussi l’un des fondateurs, avec le docteur David, de la fédération des Hauts-de-Seine, est décédé le dernier jour de l’année 2021, le destin l’ayant voulu ainsi, hélas, en frappant notre ami des foudres du virus chinois.

Pierre était un ancien combattant de la cause « Algérie française » qu’il avait servie dans les rangs d’une héroïque « armée secrète »… Il avait défendu là-bas sa terre natale, le payant chèrement de quelques mois de prison à Marseille. Ce qui ne l’a pas empêché par la suite de faire une brillante carrière dans le secteur bancaire.

Il avait ensuite rejoint le MNR de Bruno Mégret qu’il conseillait activement pour les questions économiques et financières. Bon compagnon, toujours jovial, sportif, - à 85 ans de longs moments à nager en mer ne lui faisaient pas peur ! -, très cultivé, gros lecteur, il avait une imposante bibliothèque. Le président du Mouvement National Républicain a dit de lui avec justesse que « c’était un homme droit, fier et fort qui mariait souvent avec humour une intelligence acérée, et un talent d’observation et d’analyse peu commun. Il était de surcroit un camarade fidèle, amical… ».

Pour avoir connu Pierre qui m’a pratiquement recruté dans les rangs du Front National dans les années 1981/1982, je ne peux que confirmer les propos de Bruno Mégret. Repose en paix cher camarade, tu fus l’un des patriotes de ce pays qui font honneur à la France.

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mercredi, 12 janvier 2022

En hommage à Stéphane Blet

J’ai toujours affirmé une position de tradition : ce prétendu « droit » d’asile, c’était l’accueil en France de l’artiste libre persécuté par la police du Tsar. L’affreux suicide de Stéphane BLET, pianiste majeur, un ami, relève de la pente inverse et perverse : l’exil d’un grand artiste poussé hors de France par une implacable police de la pensée. Je salue douloureusement son courage, la grandeur de son art ; je prie pour le salut de son âme.
Jean-Marie LE PEN

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jeudi, 09 décembre 2021

Robert Dunoyer ne sera plus là.

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Quand Robert était là, je savais que nous pouvions être tranquille...

Robert Dunoyer faisait parti de ces hommes qui inspirent naturellement le respect. Son calme, sa discrétion et sa détermination suffisaient à stopper les ardeurs provocatrices éventuelles de nos opposants lors de nos réunions. Avec lui, et Les Mousquetaires du président (cette élite militante destinée à la protection de Jean-Marie Le Pen et des réunions auxquelles il participe - comme ce fut le cas à plusieurs reprises lors des Journées annuelles de Synthèse nationale), la bonne tenue et la bienséance étaient garanties.

Hélas, Robert ne sera plus là, il est décédé suite à une crise cardiaque hier... Merci Robert pour ton aide et pour ta fidélité. Nous ne l'oublierons pas...

A son épouse, à sa famille, aux Mousquetaires, toute la rédaction de Synthèse nationale présente ses condoléances attristées.

Roland Hélie

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vendredi, 05 novembre 2021

5 novembre : anniversaire du décès de Jean-Pierre Stirbois

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Communiqué d’Alexandre Simonnot :
 
N’oublions jamais notre ami et camarade de combat Jean-Pierre Stirbois, disparu il y a aujourd’hui 33 années dans un tragique accident de la route.
 
Des « Jeunes Tixier-Vignancour » à la Présidentielle de 1988, en passant par le célèbre « Tonnerre de Dreux », Jean-Pierre Stirbois aura été un extraordinaire fédérateur, un militant infatigable, un Secrétaire général exceptionnel, un travailleur acharné. Son unique combat était de servir Jean-Marie Le Pen et le Front national pour le salut de la France.
 
Suivons sans cesse l’exemple de cet homme admirable et unique à qui nous devons tant.
 
Qu’il intercède pour nous auprès de notre Sainte Patronne Jeanne d’Arc afin qu’elle nous aide à persévérer, jour après jour, à temps et à contre temps.
 
Que Jean-Pierre Stirbois repose en paix, au Paradis des héros de la Patrie.
 
Lire aussi cliquez là

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Le 5 novembre 1988, Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national, nous quittait... Ne l'oublions jamais.

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Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur la vie

et le combat de Jean-Pierre Stirbois cliquez ici

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mardi, 26 octobre 2021

"Pablo" est décédé

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À nouveau, une triste nouvelle vient de frapper notre communauté militante. Jean-Paul Pellet, connu sous le pseudo de "Pablo", est décédé vendredi dernier d'une crise cardiaque. Retraité depuis quelques années, il avait quitté les Yvelines pour s'installer à Moulins dans l'Allier. 

"Pablo", je le connaissais depuis la fin des années 1970. C'était à l'époque un pilier de l'équipe militante parisienne du Parti des Forces nouvelles. Un gars solide qui parlait peu mais agissait bien... Nous sommes toujours plus ou moins restés en contact depuis ces années tumultueuses. Resté fidèle à la cause, il répondait presque toujours présent lors des manifs ou des meetings nationalistes... 

Le hasard fit que, il y a une dizaine d'années, nous nous sommes retrouvés presque voisins, ce qui nous donna quelques occasions de passer de bons moments ensemble. "Pablo" était resté le même... Il l'est resté jusqu'à vendredi dernier.

Il y a quelques semaines, il m'avait adressé un message très sympathique de soutien à notre revue Synthèse nationale et au combat que nous menons. Je n'avais pas eu le temps de le remercier... le temps passe toujours trop vite.

Merci "Pablo"... Tu étais notre camarade, on ne t'oubliera pas.

Roland Hélie

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mercredi, 06 octobre 2021

RIP Gilles

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Nous avons reçu de Georges, libraire de la Librairie nationale 2000 - 2009, ce très beau témoignage suite à la disparition de notre Ami et Camarade Gilles Soulas la semaine dernière.

Chers amis, chers camarades

L’annonce subite du décès de Gilles Soulas, le soir même, m’a laissé sans voix. J’ai peine encore à réaliser que cela ait pu être possible tant je le voyais comme un de ces rochers marins qui, bien qu’usés par l’érosion, ne changent jamais de place. Toujours souriant, toujours optimiste, sans jamais perdre sa boulimie de mouvement, Gilles savait avoir des peines discrètes mais rire aussi du quotidien morbide qui agite depuis si longtemps notre pays en plein désarroi.

J’étais un jeune étudiant en Histoire quand j’ai fait la rencontre de Gilles, en novembre 2000. Oh, ce n’était pas une rencontre fortuite. Un militant lillois m’avait parlé d’une place de libraire disponible à Paris. Pour moi, passionné de lecture et d’histoire depuis l’adolescence, j’y voyais là une opportunité à ne pas rater. J’ignorais alors à quel point cette démarche allait alors changer ma vie.

Rendez-vous pris rapidement, j’eus un entretien avec celui qui allait devenir mon « patron » pour de longues années. Cette rencontre en elle-même résume tout le personnage. Après quelques questions-réponses dans un style de quizz, Gilles me demanda sèchement « quand est-ce que tu peux commencer « ? Je répondais… « euh, quand vous voulez »…  Et lui enfin : « Bon, tu commences lundi ». Nous étions vendredi.

Dès lors, j’appris à connaître Gilles. Je ne parlerai pas des circonstances difficiles de ce métier de libraire que je ne pouvais pas encore percevoir dans sa réalité mais de savoureuses anecdotes parsèment toute cette expérience dont je ne suis pas encore sorti. Peut-on d’ailleurs renier ce que l’on est destiné à faire ? Ni lui, ni moi ne le pensions.

Je le vois encore se pencher sur moi, au bureau, découvrant que je ne savais pas me servir du minitel afin de me brancher sur le logiciel adapté aux libraires. En deux mots, rigolard, voyant ma gêne devant cet ustensile électronique, il me dit : « Tu ne sais pas te servir d’un minitel ? Il ne faut pas avoir honte ! Demande ! » Pour sûr, en la matière, Gilles s’y connaissait bien plus que moi.

Ces moments, passés en sa compagnie, m’avaient fait changer mon regard sur le monde de l’entreprise. Là où le gauchiste ou le gugusse de droite molle voient, en la personne d’un patron, un autocrate sans forme qui gueule sur ses esclaves, je découvrais un chef d’orchestre tentant d’harmoniser les différences entre les personnalités dans cette micro société qu’était alors la librairie, la maison d’édition et sa succursale de vente par correspondance sans compter bien sûr les clientèles exigeantes. Lorsque, dérouté par telle ou telle tracasserie, je lui demandais conseil, Gilles me répondait, souriant et bienveillant : « Tu gères ».

Le soldat, en sa présence, devenait général. Ainsi fut le quotidien au cœur de la librairie. Bien des gens pensaient, jaloux, que cette expérience ne durerait pas. Que les procès qui se succédaient, les querelles de chefs de sectes, le harcèlement fiscal, les permanentes et douloureuses grèves de la Poste et, cerise sur le gâteau, la crise financière mondiale qui achevait toutes les petites entreprises françaises auraient raison de notre entreprise. Il n’en fut rien.

Gilles m’avait montré que seule la ténacité paye dans l’entreprise comme en politique et que les lendemains ne sont jamais comme on les imagine.

Mon expérience à la librairie, en dehors des commandes, du suivi des commandes, de l’achalandage en rayons, ce furent bien sûr l’incroyable 11 septembre 2001 qu’on ne présente plus et le fabuleux 21 avril 2002. A cette époque, nous croyions dur comme fer, Gilles et moi et tous nos camarades, que l’avenir était pour nous.

Cette époque émulante avait vu la naissance du RIF, des deux gigantesques fêtes de l’Identité et des Libertés (Salle Wagram, à Paris et Palais des Congrès de Versailles), de camaraderies inébranlables, d’un espoir fécond en un avenir pour la renaissance de la France. Et n’oublions pas Guillaume Faye, Jean Claude Valla, qui tous deux, avec des visions différentes, remettaient les pendules à l’heure sur la doxa bienpensante du système dans lequel notre pays et ses pseudo élites pataugent depuis longtemps.

Lorsqu’en 2005, la société fut mise en redressement, bien nombreux furent ceux qui pensèrent, parmi nos ennemis comme parmi certains ex-amis. « Ça y est, on a eu la peau à ces saligauds ».

Lorsque Gilles me proposa de rester dans l’aventure pour le suivre encore, environ 45 secondes m’amenèrent à cette réponse : « J’en suis ».

Mon départ de la librairie, quelques années plus tard, devait amener quelques changements dans l’entreprise et pourtant, nous sommes restés en contact. Mon ancien patron était devenu mon client lorsque, sur les pas de la Librairie nationale, le club du livre national était créé.

Nous nous sommes revus très fréquemment, à l’occasion de marchés ou d’achat de stocks de livres. Nous avions toujours cette franche poignée de main et ces sourires si complices d’hommes qui se connaissent. Toujours serviable, Gilles restait pour m’aider à charger des livres dans mon camion alors qu’il n’avait rien trouvé pour lui.

Venu un jour à la maison, je lui réitérais mon invitation à déjeuner, avec nos familles respectives. Bientôt en retraite, il me promit d’avoir du temps pour lui-même. Il est parti avant, quelle tristesse.

Je pense souvent à ce que Gilles m’a dit un jour sur le parking d’une réunion de Synthèse nationale. « Dans ce métier, c’est un peu moi qui t’ai fait ». Il n’avait pas tort. Merci, Gilles de m’avoir mis le pied à l’étrier.

Merci Gilles.

Salut !

Georges.

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mardi, 28 septembre 2021

Paris : Gilles Soulas présent !

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lundi, 27 septembre 2021

Le site de la revue Eléments rend un bel hommage à Gilles Soulas

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François Bousquet cliquez ici

Éditeur, libraire, militant de toutes les causes, Gilles Soulas (1955-2021) nous a brutalement quittés au petit matin, en ce dimanche 26 septembre. À près de 70 ans, rien n’avait pourtant vieilli en lui. Au contraire, tout était clair, le regard, l’attitude, le visage. On n’est pas prêt de l’oublier.

Il était solide comme une poutre maîtresse. Il semblait indestructible. Les épaules taillées dans du chêne. Si quelqu’un n’avait pas besoin de rouler les siennes, c’était lui. Jamais il ne la ramenait, toujours taiseux sur ses nombreux faits d’arme. Mis bout à bout, ils étaient pourtant aussi épais que ceux d’un baroudeur, depuis le Liban, où il combattit en 1976 (Photo) aux côtés des Forces chrétiennes. Pas un mot plus haut que l’autre, sauf quand il fallait lever les poings pour s’interposer.

Sa démarche, lourde, puissante, athlétique, valait toutes les cartes de visite ; il fallait le voir arriver à la Nouvelle Librairie, au 11 de la rue de Médicis, toujours chargé, un carton de livres dans les bras, un rayonnage démonté dans son SUV, où il raccompagna, un soir mémorable de l’automne 2020, Jean Raspail chez lui, Louise, son épouse, littéralement ensevelie sous les livres qui débordaient de partout.

De la Librairie nationale à la Nouvelle Librairie

Jamais la Nouvelle Librairie n’aurait été ce qu’elle est devenue sans lui. Je crois qu’elle le rajeunissait et le ramenait un quart de siècle en arrière, en 1997, quand il a repris la librairie de L’Æncre, rue de la Sourdière, au cœur de Paris. C’est à ce moment que nous nous sommes rencontrés. Avant d’en faire la future Librairie nationale, maison éditrice de Jean-Claude Valla et de Guillaume Faye, ancêtre de la Nouvelle Librairie, L’Æncre était en quasi-faillite, avec des ardoises un peu partout, dont une très, très grosse aux éditions de l’Âge d’Homme, des paquets de livres impayés, du général Gallois, de Julius Evola, de Vladimir Volkoff et j’en passe. Pas de quoi entamer une relation du bon pied. Eh bien, celui qui était encore Soulas pour moi a d’emblée réglé cette dette comme on règle une dette d’honneur, histoire de remettre les compteurs à zéro et de repartir sur de bonnes bases. Ni lui ni moi n’avons eu à nous en plaindre.

La hure de Gilles

On s’est retrouvé en 2018, quand notre bande a lancé la Nouvelle Librairie. Il lui a apporté son soutien inconditionnel, son expérience, son imagination, sa prodigieuse activité, ses contacts sans nombre, son amitié. La hure de sanglier – celle qui trône dans la boutique de la rue de Médicis, tout Gilles Soulas – c’est lui qui l’a déposée (et posée).

Il était entrepreneur dans l’âme, homme lige de quantité de structures, ici cheville ouvrière, là maître d’œuvre. Joignable H24, dès qu’il s’agissait de la cause. Il appartenait à la classe d’élite du militantisme, les prétoriens, les preux, le dernier carré – ou le premier. Le militantisme ainsi conçu, c’est la dernière chevalerie – ou les prémices de sa renaissance. Toujours en première ligne, non pas seulement pour aller au combat, mais aussi, mais plus encore pour descendre dans la salle des machines, où d’ordinaire on ne se presse pas. Toujours servir, quoi qu’il en coûte, quoi qu’il advienne : il n’y a que l’esprit d’adolescence, que l’esprit de jeunesse susceptible de porter tout au long de l’existence cet idéal. Les nés vieux, les secs au berceau, les avares au rabais ne pourront jamais comprendre.

Les livres dans la peau

Il aimait passionnément les livres, en bibliomane et en soldeur, j’allais dire presque en chiffonnier d’antan (qu’on me pardonne l’expression, elle vaut éloge sous ma plume – les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître ce qu’a été l’économie du livre dans les âges antérieurs : une affaire de bricoleurs, de fous, de risque-tout). Je n’ai connu une telle passion du livre que chez Vladimir Dimitrijević, le patron de l’Âge d’Homme. Tous les deux étaient toujours fourrés chez Emmaüs, filaient un jour en province récupérer une bibliothèque, achetaient le lendemain dix cartons chez un grossiste. Le collectionneur faisait relier les livres, le soldeur ne voulait pas qu’ils meurent au pilon.

Servir sans compter, la seule devise qui vaille

Combien de fois a-t-il assuré le SO de nos événements ? SO, service d’ordre : ces deux mots le résument à merveille. Je crois qu’on peut dire qu’on était avec lui en sécurité, dans toute la force du mot. La dernière fois que j’ai vu cette force à l’œuvre, c’était à Toulouse, le 12 février 2020, lors d’une conférence organisée par le cercle des Capitouls attaquée par les antifas. Pas trop de dégâts, mais des images impressionnantes. Comme j’intervenais soir-là, mon attention était tournée ailleurs. Mais au vu des vidéos qui ont ensuite circulé, Sixtine Jeay, la codirectrice de la librairie et de ses éditions, qui en connaît un rayon en matière d’autodéfense, elle qui a été championne de France de box thaï, m’a dit avoir été impressionnée par le sang-froid de Gilles. Je veux bien la croire. Il nous aura tous impressionné. Lui, son sang-froid, son inébranlable solidité.

On s’était promis une chose que tu ne verras malheureusement pas, Gilles ! Une deuxième dédicace Zemmour, quatre ans après la première, qui a tenu lieu pour nous d’inauguration en grande pompe de la Nouvelle Librairie, où tu aurais assuré la sécurité et fait la nique aux journalistes, en particulier à ces corniauds de Quotidien. Je ne sais pas si on la fera, cette dédicace, mais si tel devait être le cas, je te promets qu’on ne les loupera pas.

Toute notre affection, notre peine et notre amitié à ton épouse, Louise et aux tiens. Adieu, camarade !

Sur la disparition de Gilles cliquez là

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dimanche, 26 septembre 2021

GILLES SOULAS EST PARTI...

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Gilles Soulas (1955-2021)

C'est avec une peine immense que je viens d'apprendre le décès, en fin de matinée ce dimanche, de notre camarade, notre Ami, mon Ami, Gilles Soulas. Inutile de vous préciser que cette épouvantable nouvelle m'a complètement bouleversé.  

Gilles faisait parti de ces rocs invincibles, toujours debout face à l'adversité, sachant s'élever au-dessus des querelles, souvent futiles, qui traversent de manière récurrente notre camp ; c'était à la fois un esprit libre et un exemple de courage et fidélité. Il n'hésita pas à mettre sa peau au bout de ses idées, comme ce fut le cas au Liban en 1976 au moment où la guerre faisait rage, en s'engageant avec quelques autres jeunes nationalistes français aux côtés des combattants chrétiens. Cela faisait plus de quarante ans que nous nous connaissions, que nous nous battions pour la même cause et jamais, ô grand jamais, il ne sombra dans le désespoir, ni dans le reniement. Que de souvenirs...

Toute sa vie, il s'est dépensé sans compter pour épauler les nombreuses initiatives militantes qui lui semblaient justes. Toute sa vie, en particulier grâce à ses multiples responsabilités professionnelles, il a donné du travail à des camarades dans le besoin. C'était ce que l'on appelle un Homme de Qualités.

Je pense à Louise, son épouse, à leurs enfants... je pense aussi à toutes celles et tous ceux qui formaient autour de lui cette phalange soudée de camarades toujours volontaires pour continuer, quelle qu'en soit la forme, le combat pour la France française et pour l'Europe européenne, cet idéal qui lui était si cher.

Gilles, tu viens de partir, tu nous manques déjà...

Roland Hélie

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mercredi, 11 août 2021

Décès du colonel Luciani, ancien d'Indochine et militant actif de la cause nationale

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Nous venons d'apprendre avec tristesse le décès du colonel Jean Luciani.
 
Officier para de la légion, Grand Croix de la Légion d’honneur, 4 fois blessé à Diên-Biên-Phu, dix citations au feu, prisonnier des Viets, il fut aussi un actif responsable du Front national de Jean-Marie Le Pen, un temps secrétaire départemental du Val-de-Marne. Il siégea aussi au conseil régional d'Ile-de-France dans les années 1980, 1990 et 2000.
 
Honneur à lui, combattant infatigable de la France française, de ses valeurs et de ses libertés. RIP
 

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lundi, 31 mai 2021

Décès de Marc Aurand, ancien responsable francilien du FNJ

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Nous venons d'apprendre la disparition, à l'âge de 60 ans, de Marc Aurand. Dans les années 1980 et 1990, au moment de la percée historique du Front national, il était l'un des responsables franciliens du FNJ. Il travaillait aux côtés du regretté Jean-Pierre Schenardi. Je n'avais plus de nouvelles de lui depuis cette époque, mais j'ai le souvenir d'un garçon sincère, déterminé et courageux. Je sais qu'il était resté fidèle à l'idéal nationaliste. Ayons une pensée pour lui.

Roland Hélie

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vendredi, 21 mai 2021

Pierre Génie, militant historique de la cause nationale, est décédé cette nuit

2311741179.jpgC'est avec une grande tristesse que j'apprends ce matin le décès de Pierre Génie. Agé de 90 ans, il était depuis quelques temps très fatigué.

Militant de la cause nationale depuis toujours, il s'était engagé, dès la création du FN au début des années 1970, aux côtés de Jean-Marie Le Pen qu'il a toujours soutenu. Il occupa pendant longtemps des responsabilités au sein de la fédération des Côtes d'Armor du Front. Il était aussi très attaché à la Tradition catholique.

Homme discret, sage et cultivé, il recevait toujours chez lui avec gentillesse et bienveillance les militants de passage dans le Trégor, bout de terre bretonne qu'il aimait tant.  

La vie lui avait réservé aussi son lot d'épreuves douloureuses. Il y a un an, Catherine, sa fille ainée, nous avait quittée suite à une longue maladie.

À Marie-Claude, son épouse, à Manoue, Brigitte, ses filles, et à toute sa famille, je tiens à faire part, au nom de la communauté militante, de notre peine et notre affection.

R H

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dimanche, 09 mai 2021

In memorian : Sébastien Deyzieu

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lundi, 26 avril 2021

Décès de Didier Vial, fils de notre ami Pierre Vial

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Nous venons d'apprendre la disparition, à l'âge de 57 ans, de Didier Vial, fils de notre ami Pierre Vial, président de Terre et peuple, et de son épouse Dany.

Homme d'action, Didier s'était engagé dans plusieurs conflits à travers le monde. Il était ce que l'on appelle, au sens noble du terme, un "soldat de fortune". Homme d'idées, il accompagnait souvent, lorsqu'il était en France, son père dans les réunions, en particulier aux Tables-rondes de TP.

Toutes nos pensées vont aujourd'hui vers ses parents que nous apprécions tant. Quel que soit l'âge, la perte d'un fils est une épreuve épouvantable. Toute la rédaction de Synthèse nationale se joint à moi pour assurer Pierre et Dany de notre fidèle amitié dans ces pénibles moments.

Roland Hélie 

Terre & peuple cliquez ici

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jeudi, 18 mars 2021

18 mars 1978 : assassinat de François Duprat

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Pour mieux connaître les idées

de François Duprat cliquez ici

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lundi, 08 mars 2021

Décès de Francis Van Den Eynde, figure historique du mouvement flamand

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Je viens d'apprendre la disparition de Francis Van Den Eynde, militant historique du mouvement identitaire flamand. J'ai régulièrement eu l'occasion, lors de diverses réunions européennes, de rencontrer Francis, personnage éminemment sympathique aux idées solidement ancrées et à l'enthousiasme débordant. C'est une perte pour tous ceux qui l'ont connu et apprécié. Qu'il repose en Paix.

Le site Terre et peuple cliquez ici vient de publier un hommage magnifique de son camarade Luc Pauwels à ce militant exemplaire. Nous le reproduisons ici.

R H  

IN MEMORIAM

FRANCIS VAN DEN EYNDE

(1946-2021)

Entre Francis le turbulent garçon des Marolles, le plus vieux quartier populaire de Bruxelles, et Francis l’orateur enthousiaste, député et vice-président du parlement belge, il se déploie plus d'un demi-siècle d'engagement ininterrompu pour la Flandre, pour l'ensemble des Pays-Bas et pour l'Europe. Pas l’Union européenne, mais ce qu’il aimait appeler l’Empire des peuples européens.

J'ai rencontré Francis à cette première époque et au fil des ans je l'ai vu évoluer - et rester le même. Nous étions rarement membres des mêmes associations. Cela a abouti très régulièrement à des discussions animées autour d’une pinte. Pintes, au pluriel, pour être juste !

La Flandre est devenue plus pauvre

Parce que la bonne Flandre a un champion en moins, quelqu'un qui prêchait l’engagement et le vivait lui-même. L'engagement d'un Till Ulespiègle, toujours frais et spontané, avec le visage découvert et plus d'humour que ses adversaires ne pouvaient souvent en supporter. Se battant pour ses principes, avec un sourire aux lèvres, tenace, mais jamais aigre ou cassant. Et cela aussi bien en néerlandais qu’en français et d’autres langues encore.

Quant au Conseil municipal de la ville de Gand il fut confronté pour la énième fois aux « heures les plus sombres de notre histoire » et la collaboration de certains nationalistes flamands, il demanda d'abord pourquoi la mairie maintenait un nom de rue et une statue pour Lieven Bauwens (1769-1822). Des points d'interrogation sur de nombreux visages. Eh bien, a rappelé Francis aux conseillers municipaux, Bauwens était un collaborateur de l'occupant sans-culotte français, maire de guerre de Gand, à la fois jacobin et chouchou de Napoléon...

De plus, Francis - lui-même issu d'une famille « blanche comme neige » - s'est émerveillé de la mémoire misérablement courte d'un certain nombre de collègues verts, libéraux et rouges qui auraient mieux fait de se rappeler leur propre passé familial dans la guerre. Après la réunion du conseil, au moins un membre de chaque groupe mentionné est sorti dans les couloirs pour le remercier de ne pas avoir mentionné son nom.

De cette façon, Francis s'est fait des amis ou du moins des adversaires respectueux - en donnant lui-même l'exemple. Cela ressemble à l'école, mais cela a fonctionné. Il a été aidé par sa mémoire phénoménale et son trésor d'anecdotes historiques. Et ses nombreux voyages, littéralement à travers le monde. J'aurais aimé l'entendre parler du Myanmar, où il avait bien sûr été et fouiné, mais ça n'a plus été possible.

Puis il y avait ses histoires irlandaises. Je ne pense pas que la Flandre ait eu un meilleur connaisseur d'Irlande. D'ailleurs, son fils aîné y habite, marié à une Irlandaise : « Le seul pays étranger à qui j'ai voulu céder un enfant »...

Quand en 2010 il ne s’est plus porté candidat pour l’Assemblée nationale, il a tenu un discours remarquable sur « ce qui nous sépare », prônant que ce n’était guère le clivage droite-gauche, mais beaucoup plus l’antagonisme entre le populisme ethno-culturel de Herder, le boulangisme ou encore Barrès d’un côté et l’étatisme, allant des jacobins à Maurras et de Jean Bodin à Marx du côté opposé. Silence sur tous les bancs.

La Flandre est devenue plus riche

Francis faisait partie de ces personnes uniques qui quittent le monde en le laissant plus beau qu’elles ne l'ont trouvé. Que cela ait été possible est la pensée éminemment réconfortante que Francis nous laisse.

Chaque mort soulève des questions dont on se demande s'il faut les poser : Ne sommes-nous pas, les vivants, des morts en vacances dans ce monde ? Quoi qu'il en soit, la Flandre est devenue plus riche d’un exemple concret, nous sommes tous devenus plus riche d'un souvenir d’une personnalité unique, dont la chaleur honnête et l'inspiration profonde nous aident tous à continuer à vivre et à nous engager.

Francis a littéralement vécu ce que les dieux, par l'intermédiaire de Walter Flex, l’auteur des Oies sauvages, lui avaient ordonné :

Ce que personne n’ose, tu l’oseras,

Ce que personne n’exprime, dis-le,

Ce que personne ne pense, tu l’argueras,

Ce que personne n’ose, fais-le.

 

Si personne ne dit oui, toi tu le diras,

Si personne ne dit non, à toi de nier,

Si tous doutent, confiance tu feras,

Si tous s’emballent, tu seras le dernier.

 

Quand tous acclament, prends ton temps,

Quand tous se moquent, silence salutaire,

Quand tous refusent le partage, soit clément,

Quand tout est sombre, allume la lumière !

 

Écrit spécifiquement pour lui, on dirait.

Nous offrons nos condoléances à sa chère épouse et à ses quatre enfants, avec ce conseil de Francis lui-même : « Chérissez vos souvenirs, ils sont la seule chose que personne ne pourra jamais vous enlever. »

Au revoir Francis, cher ami d'une honnêteté désarmante, au revoir.

Et un grand merci pour tout.

 Luc Pauwels

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samedi, 06 février 2021

6 février 1945 : assassinat de Robert Brasillach

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