Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 06 février 2023

6 FÉVRIER 1945 : ASSASSINAT DE ROBERT BRASILLACH

2023 02 06 BRASILLACH.jpg

Dans la dernière livraison de la revue Synthèse nationale, nous avons publié un article de notre ami Jean Leclerc consacré à l'association et au bulletin des Amis de Robert Barasillach :

Bulletin  de l'Association des Amis de Robert Brasillach
N° 153 Eté-Automne 2022

Comme toujours, grâce au Bulletin des ARB, suivre les pas de Robert Brasillach nous conduit à découvrir d'autres personnages qui l'on connu ou qui entretiennent sa mémoire. Ce dernier numéro ne vous décevra pas. Deux figures retiendront plus particulièrement notre attention : Philippe d'Hugues et Maurice Bardèche, bien sûr.

Il faut remarquer que cette livraison n'hésite pas à replonger dans les archives du défunt quotidien Présent qui prouve ainsi qu'il restera encore longtemps une belle source de documentation…

Dans une rubrique Présence de Maurice Bardèche, sous le titre Un flambeau dans la nuit, un bel article ancien (2013) est repris de la revue Réfléchir&Agir. Les œuvres politiques et littéraires de Maurice Bardèche y sont analysées avec pertinence, mettant ainsi à disposition des plus jeunes des références doctrinales qui risqueraient d'être oubliées en fond de bibliothèques : l'irremplaçable Histoire du cinéma écrite avec Robert Brasillach, son beau-frère ; Stendhal romancier  par lequel Bardèche assoit sa position d'expert stendhalien ; Nuremberg et la terre promise qui fit grand bruit ; sans oublier son Qu'est-ce que la Fascisme ? et la  revue Défense de l'Occident qu'il anima avec persévérance pendant ses trente ans d'existence (1952-1982).

La revue de presse, elle, est roborative. Sont rappelées les relations houleuses de Robert Brasillach et Louis-Ferdinand Céline. Nous le savons, les deux hommes ne s'appréciaient pas. Deux pages issues de Rivarol (janvier et mars 2022) permettent à Robert Spieler de présenter Pierre-Antoine Cousteau, le pamphlétaire et son œuvre. Et plusieurs articles et échos tirés de Présent, La Nef, Le Point, sans oublier quelques pépites trouvées sur Internet…

Réminiscences, c'est le titre donné par Philippe d'Hugues à un texte de présentation des deux volumes de ses Mémoires intempestifs (1931-1981 et 1981-2021) bourrés d'anecdotes, de Ma vie et le cinéma. Nous le savons, Philippe d'Hugues fut un critique de cinéma si pointu qu'il en fut récompensé en devenant, en 1970, l'animateur de l'émission de télévision à succès, "Monsieur Cinéma".

Un événement important doit être relevé : la parution, en Pologne, d'une traduction du Brasillach, Qui suis-je ? de Philippe d'Hugues, publié initialement en 2005 aux Éditions Pardès. A cette occasion, l'hebdomadaire polonais Do Rzeczy propose un article titré Brasillach victime du mensonge de Katyn. Cet article évoque plus qu'une hypothèse, une certitude : Robert Brasillach fut assassiné légalement pour calmer les ardeurs meurtrières du Parti communiste de 1945. Il avait dénoncé les vrais coupables du massacre de Katyn : les Soviétiques. Il devait mourir !

Je ne peux manquer de faire le rapprochement avec l'assassinat, le 12 décembre 1943, de l'abbé Yann-Vari Perrot, recteur  de la petite commune "rouge" de Scrignac, en centre Bretagne. Lui aussi, en juin 1943, dans sa revue Feiz ha Breiz, Foi et Bretagne, avait dénoncé les Soviétiques comme les vrais responsables du massacre de Katyn. Le charnier de Katyn, Karnel Katyn, tel était le titre de l'article. Les communistes ne pouvaient le supporter. Cela lui valut d'être assassiné au détour d'un chemin creux, en revenant de célébrer la messe.

Le 12 décembre prochain, cela fera 80 ans…

Adresse en France : Monique Delcroix BP 19 60240  Chaumont-en-Vexin

11:59 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 30 janvier 2023

Hommage du Parti de la France samedi à Roger Holeindre

328139596_1634683793647602_5215824679287128823_n.jpg

Samedi 28 janvier 2023, le Parti de la France a rendu son traditionnel hommage à son Président d'honneur, Roger Holeindre, disparu depuis désormais 3 ans.

À l'issue de la cérémonie au cimetière qui a réuni une centaine de personne, un dîner, présidé par Jean-Marie Le Pen, s'est tenu à Versailles et différentes personnalités de la droite nationale (Bruno Gollnisch, Thomas Joly, Didier Rochart, Lorrain de Saint-Affrique, Pierre-Nicolas Nups) ont évoqué le souvenir de Roger Holeindre.

Plus de photos cliquez là

16:10 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 29 janvier 2023

Samedi 4 février : Hommage parisien à Robert Brasillach

326442518_1090885542307581_6552588323195906107_n.jpg

12:32 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 27 janvier 2023

Joël Provansal, militant historique de la cause, est décédé

-6777765226743541444.jpg

Depuis la Fédération des étudiants nationalistes, au début des années 1960, Joël Provansal (au premier plan sur la photo ci-dessus, lors d'une vente à la criée d'Europe Action à Paris) était une figure connue dans les milieux nationalistes et identitaires. Après la FEN, ce fut Occident, puis le GRECE...

Toute sa vie Joël a aussi voyagé à travers le monde... souvent de façon originale dans les endroits les plus insolites. Un jour, dans les années 1980, il s'est installé en Afrique du Sud. A cette époque,  cela signifiait encore quelque chose... 

Malgré son éloignement, il est resté fidèle à ses engagements de jeunesse et intéressé par tout ce qui se passait dans notre famille politique. Lors de ses séjours dans la Mère-Patrie, il assistait parfois à nos journées annuelles de Synthèse nationale, ou à nos conférences parisiennes. C'était toujours un plaisir de le retrouver.

L'an dernier, il est revenu définitivement en France. Hélas, ce fut pour une courte durée car il vient de nous quitter, entouré des siens, le 21 janvier dernier, terrassé par la maladie.

Toute la communauté militante le regrettera.

R H

18:50 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 24 janvier 2023

Michel Viot, ancien conseiller régional francilien, est décédé

IMG-20230122-WA0001.jpg

Notre camarade Michel Viot ancien conseiller régional du FN puis du MNR, nous a quitté.

Il laisse le souvenir d’un militant opiniâtre, ayant son franc parler hérité des milieux anarchistes qu’il avait un temps fréquenté, avant de « flirter » avec le cercle Saint-Michel. Doté d’une forte personnalité, et parfois d’un fort mauvais caractère, il n’était pas toujours facile à vivre, même pour ses amis et ses proches !

Architecte d’intérieur, ancien élève de l’école Boule, il exprimait une grande sensibilité dans ses dessins et ses tableaux.

C’était un homme qui gardait de son enfance paysanne un attachement profond à sa Franche-Comté d’origine, terroir qu’il aimait à faire découvrir.

A son épouse, nous présentons nos très amicales condoléances.

Nous l’accompagnerons au crématorium de Champigny-sur-Marne, lundi 30 janvier à 10h.

Dr M.

11:56 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 17 janvier 2023

Alexis Arette, le paysan poète, militant infatigable de la cause nationale, est décédé

artworks-000168411170-evd0a2-t500x500.jpg

Béarnais, agriculteur engagé, écrivain talentueux, poète, militant infatigable de la cause nationale, homme de qualité, Alexis Arette, né en 1923, vient de nous quitter. 

Après être parti se battre en Indochine en 1949, d'où il revint blessé (et aussi décoré de la Légion d'honneur et de quelques autres médailles), Alexis fut de tous les combats, socio-professionnels et politiques, de ces 70 dernières années.

Syndicaliste agricole, il défendit sans cesse l'enracinement et le travail de la Terre. Il fut en 1957 élu "Premier paysan de France" par le Conseil national des jeunes agriculteurs (CNJA) et finit par accéder, en 1982, à la présidence de la Fédération française de l'agriculture (FFA). Alexis Arette inscrivait son combat dans la continuité de celui du leader paysan des années 1930, Henri Dorgères. Il fut aussi l'un des promoteurs de l'agriculture biologique. 

Il en allait de même en politique. Après s'être engagé dans le combat pour l'Algérie française au début des années 1960 (ce qui lui valut de la prison pour militantisme pro-OAS), et avoir participé à tous les combats nationalistes, il devint, de 1986 à 1998, conseiller régional d'Aquitaine sous l'étiquette du Front national alors présidé par Jean-Marie Le Pen.

Alexis Arette témoigna à de nombreuses reprises son intérêt pour Synthèse nationale. Il intervint lors de notre première Journée nationale et identitaire en 2007 à Paris.

Depuis quelques années, il vivait retiré dans son Béarn qu'il aimait tant. RIP.

Roland Hélie

68f998dd364367ed049f41fa5cad7aea.jpg

Alexis Arette, premier à partir de la gauche, à côté de Jack Marchal, en octobre 2007 lors d'une Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale.

Les obsèques d'Alexis Arette se dérouleront ce mercredi 18 janvier, à 15 h. 00, en l'église de son village natal de Momas, près de Pau (64).

13:17 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 10 janvier 2023

Samedi 28 janvier : Hommage à Roger Holeindre

324743284_693620582438614_4002063111924650235_n.jpg

Sur Roger Holeindre cliquez ici

10:24 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 07 janvier 2023

Décès d'Hubert Fayard, militant de toujours de la cause nationale

324396460_703391921462564_6686247757368271527_n.jpg

Une fois de plus, une triste nouvelle frappe le camp national. Nous venons d'apprendre le décès, suite à une longue maladie, de notre ami Hubert Fayard, ancien conseiller régional d'Auvergne et militant assidu du combat nationaliste.

Hubert avait rejoint le FN au milieu des années 1980. Il vivait alors au Puy-en-Velay. Il devint responsable départemental de la Haute-Loire du Front en 1988 suite à une rencontre, à Montluçon, avec Jean-Pierre Stirbois. Plus tard, à la fin des années 1990, il participa à l'aventure du MNR et occupa de lourdes responsabilités dans la municipalité de Vitrolles (13) un moment dirigée par Catherine Mégret. Il s'installa alors définitivement en PACA.

Depuis quelques années, Hubert s'est aussi consacré sans relâche à la cause de la République du Donbass dont il était le représentant officiel à Marseille. Cette activité lui permit d'être reçu à plusieurs reprises par les dirigeants russes.

En janvier dernier, il m'avait contacté pour me faire part de son soutien à la candidature d'Eric Zemmour à la présidentielle.

Hubert, veuf depuis une vingtaine d'années, était père de quatre enfants. Sa dernière fille vient  d'obtenir son diplôme d'avocat, ce dont il était très fier. 

A toute sa famille, Synthèse nationale présente ses condoléances attristées.

R H

15:22 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 05 janvier 2023

Décès de Pierre Le Morvan, militant historique du combat national et catholique

photo-2023-01-04-14-25-30-516x600.jpeg

Cadre historique du MJCF, membre fondateur et premier secrétaire général du Centre Charlier et de Chrétienté-Solidarité, soutien depuis l’origine du pèlerinage de Chrétienté, voix inimitable du Choeur Montjoie Saint Denis, Pierre Le Morvan a été rappelé à Dieu hier. 

Source Le Salon beige cliquez ici

Homme de convictions, combattant infatigable, Pierre faisait parti de ces militants exemplaires qui ont contribué au retour sur la scène politique, au début des années 1980, de la droite nationale. Humble, il n'a jamais cherché à tirer un quelconque profit de cette qualité. Il connaissait l'histoire de notre famille politique et il avait la foi chevillée au corps. C'était toujours un plaisir de le retrouver. 

Synthèse nationale s'associe à la peine de sa famille et de ses camarades de Chrétienté solidarité.

Roland Hélie

10:00 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 16 décembre 2022

François Ferré, militant fidèle de la cause nationale, nous a quitté...

photo François Ferré.JPG

Quiconque a milité durant ces quarante dernières années pour la cause nationale a forcément croisé, à un moment ou à un autre, un des frères Ferré. En effet, la famille Ferré, ce n'est pas seulement une famille, c'est aussi (et surtout, diront certains) une fratrie militante. Ils ont été de tous les combats ; ils ont toujours répondu présents à l'appel ; ils ont, à eux quatre, chacun avec sa personnalité, marqué le mouvement nationaliste.

Hélas, à nouveau, l'un d'entre eux vient de nous quitter. Après Bernard, le plus jeune, décédé il y a une quinzaine d'années, c'est François qui est parti dimanche dernier.

François était, comme ses frères, un fidèle militant qui n'hésitait pas à s'engager. Il  avait une autre qualité : celle de savoir se servir de ses mains. Dès qu'il y avait un souci technique au local, c'est lui qu'on appelait et, très vite, le souci devenait un souvenir... et tout rentrait dans l'ordre.

Adieu et Merci à toi, bon camarade. Amitiés à Philippe, à Jean-Benoit et à toute la famille. Le combat continue...

Roland Hélie

01:08 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 05 novembre 2022

5 novembre 1988, disparition de Jean-Pierre Stirbois...

313270641_6193025604052607_714974352889076163_n.jpg

Communiqué d’Alexandre Simonnot :
 
N’oublions jamais notre ami et camarade de combat Jean-Pierre STIRBOIS, disparu il y a aujourd’hui 34 années dans un tragique accident de la route.
 
Des « Jeunes Tixier-Vignancour » à la Présidentielle de 1988, en passant par le célèbre « Tonnerre de Dreux », Jean-Pierre STIRBOIS aura été un extraordinaire fédérateur, un militant infatigable, un Secrétaire Général exceptionnel, un travailleur acharné. Son unique combat était de servir Jean-Marie LE PEN et le Front National pour le salut de la France.
 
Suivons sans cesse l’exemple de cet homme admirable et unique à qui nous devons tant.
 
Qu’il intercède pour nous auprès de notre Sainte Patronne Jeanne d’Arc afin qu’elle nous aide à persévérer, jour après jour, à temps et à contre temps.
 
Que Jean-Pierre STIRBOIS repose en paix, au Paradis des héros de la Patrie.

10:59 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 28 octobre 2022

La famille nationaliste est en deuil : Georges Condet nous a quitté

Georges_CONDET_2.jpeg

C'est avec une très grande peine que j'apprends le décès ce jeudi après-midi à Toulon de notre camarade et ami Georges Condet, militant historique de la cause nationaliste.

Georges est né en 1940 à Oran et, lorsque les événements se précipitèrent au début des années 1960, il s'engagea dans les commandos "Delta" de l'OAS pour tenter de sauver l'Algérie française. Pour avoir voulu défendre l'honneur de la Patrie, il fut, à vingt et un ans, condamné à trois années de prisons. Cela forge le caractère... 

Puis ce fut la campagne Tixier en 1965, Ordre nouveau et le Parti des forces nouvelles dans les années 1970 et au début des années 1980. Installé à Toulon, il monta dans cette ville, avec une poignée de camarades déterminés, une section exemplaire du PFN. A cette époque, notre courant politique faisait sa "traversée du désert", mais dans le Var le PFN était devenu une force conséquente. Le travail militant de Georges nous prouvait chaque jour qu'il ne fallait en aucun cas se laisser atteindre par le découragement. Avec lui, il n'y avait pas de temps à perdre dans des tergiversations stériles, seul le combat militant permanent comptait.

Depuis le PFN, nous nous sommes revus régulièrement à l'occasion de réunions et de congrès. Il gardait toujours cet enthousiasme communicatif que nous admirions tant lorsque nous avions vingt ans.

Il y a peu de temps, je pensais justement à lui. Alors que nous bouclions avec Philippe Randa le Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à l'Algérie française, je me souvenais du jour où il m'avait emmené voir, chez lui près de Toulon, Joseph Ortiz, l'homme qui souleva Alger en 1958 et qui resta toujours fidèle à l'idéal nationaliste. Un monument de l'Histoire que j'ai eu la chance de rencontrer grâce à Georges...

Qu'il repose en paix et qu'il soit remercié pour son engagement indéfectible pour la seule cause qui compte vraiment : celle de la France.

Roland Hélie

01:00 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 06 septembre 2022

Décès de François-Bernard Huygue

Huygue-Francois-Bernard.jpg

Notre ami François-Bernard Huyghe est mort à l’âge de 71 ans mardi 6 septembre 2022. Docteur d’État en sciences politiques, le médiologue était l’auteur d’une œuvre considérable dans les domaines de la communication, de la désinformation et de la cyberstratégie. Son père le grand historien d’art, René Huygue de l’Académie française était membre du comité de parrainage de la revue Nouvelle Ecole d’Alain de Benoist. Après avoir milité à Ordre nouveau, au GUD et chez les solidaristes, François-Bernard ne tardera pas à devenir un « compagnon fidèle d’Éléments, lui qui avait signé, en 1999, la pétition « Les Européens veulent la paix », s’opposant au bombardement de la Serbie par l’OTAN ». Plus que tout ces derniers temps, il appréciait se ressourcer à la Nouvelle Librairie, rue de Médicis, entre deux passages… sur BFM TV ! Il s’était fait connaître dès son premier ouvrage, dans les années 1980, La Soft idéologie. Trente-cinq ans avant l’avènement du macronisme, il dévoilait la supercherie libérale. En 1991, avec son génial essai La langue de coton (Robert Laffont), il livrait une analyse hilarante et prémonitoire sur « la langue des temps nouveaux qui a le triple mérite de penser pour vous, de paralyser toute contradiction et de garantir un pouvoir insoupçonné sur le lecteur ou l’auditeur ». Toujours en avance sur les maux de son temps, les décrivant pour les combattre, jovial et plein de malice comme il était dans la vie.

Adieu l’ami, tu vas nous manquer.

18:28 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 05 septembre 2022

Pierre Vial rend hommage à Jack Marchal décédé jeudi dernier

topi.jpg

Pierre Vial

Président de Terre & peuple cliquez ici

Homme aux multiples talents, épris avant tout de liberté, parfois insaisissable, (le camarade Gabriele Adinolfi lui a donné un surnom qui lui va comme un gant, « Peter Pan »), Jack Marchal a laissé à ses amis ce symbole qui fait hurler les bourgeois : les Rats Noirs.

Je le considère comme un aristocrate, sachant prendre ses distances avec les laideurs de la vie quotidienne (pour moi il est à jamais le frère jumeau du Baron, ce personnage du film « Les Bas-Fonds » incarné par le grand Louis Jouvet, qui accueille les aléas de l’existence avec une ironique désinvolture).

Il a mis sa passion de la musique au service d’un idéal que partagent tous ceux pour qui les Faisceaux de la Rome éternelle restent toujours la promesse d’une Ere nouvelle, imposant aux exploiteurs le respect des travailleurs. Et, quand il s’agissait de passer à des travaux pratiques pour convaincre nos ennemis de passer leur chemin, Jack n’était jamais le dernier à relever ses manches. Les Anciens de nos mouvements si peu respectueux des convenances d’un « monde vétuste et sans joie » savent de quoi je parle.

Alors, mon Camarade, ton souvenir nous accompagne pour nous encourager à continuer la longue route.

14:25 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 01 septembre 2022

Jack Marchal, militant historique de la cause nationaliste, artiste européen, notre ami à tous est décédé

téléchargement (2).jpeg

Je viens d'apprendre la triste nouvelle. Jack Marchal est décédé subitement ce matin à l'âge de 76 ans. 

Pour ceux qui ont plus de 50 ans, Jack Marchal était plus qu'un camarade de combat, c'était celui qui a donné une nouvelle identité, au début des années 70, au combat nationaliste-révolutionnaire. D'Ordre nouveau au PFN en passant par le GUD, il a façonné une image totalement adaptée aux nouvelles réalités de cette époque tumultueuse pour la jeunesse nationaliste. Qu'on le veuille ou non, Mai 1968 est aussi passé par notre famille d'idées.

Artiste aux multiples talents (aussi bien dessinateur que musicien), il a créé le style qui allait être le notre pendant plusieurs décennies. De la police d'écriture "Ordre nouveau" aux petits rats noirs du GUD, en passant par un grand nombre de concepts novateurs, dont les deux volumes du livre "Ordre nouveau" (publiés en 1972 et 1973) résument parfaitement l'esprit, tout cela, nous le devons à Jack.

Je ne l'avais pas revu depuis quelques années, mais c'était toujours un plaisir d'échanger avec lui. Lors de l'une de nos premières Journées nationales et identitaires, Jack est venu et il nous fit un exposé remarquable sur la situation politique du moment. Inoubliable...

Je n'oublierai pas non plus les nuits passées chez lui, alors qu'il habitait dans le XVIe arrondissement de Paris, à concevoir les tracts et programmes pour telle ou telle campagne des années 1980. Moment de réflexions intenses entrecoupés de vibrantes interprétations aux synthétiseurs de nos vieux chants de combats...

Ayons une pensé pour Clara, son épouse, et pour sa famille.

Jack, tu étais notre camarade et tu resteras toujours présent dans notre mémoire...

Roland Hélie

Unknown.jpg

Affiche du GUD en 1994.

68f998dd364367ed049f41fa5cad7aea.jpeg

Jack Marchal lors de la première Journée de Synthèse nationale à Paris en octobre 2007.

 

17:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 21 août 2022

Assassinat de Daria Douguine

300500516_5274668489308033_7670748479982226882_n.jpg

Réaction de Christian Bouchet :
 
J'apprends au réveil l'assassinat de Daria Douguine, fille de mon ami Alexandre Douguine, dans un attentat à la voiture piégée.
 
L'attentat visait vraisemblablement son père qui aurait du monter dans ce véhicule.
 
Depuis 2014, Alexandre Douguine est inscrit sur la liste des sanctions de l'Union européenne, et depuis 2015, sur la liste des sanctions des États-Unis et du Canada. Daria figurait sur la liste des sanctions britanniques.La valeur des idées se mesure à la haine qu'elles suscitent.Les héros ne meurent jamais.
 
Je partage la douleur de son père et je prie pour que notre Seigneur accueille l'âme de Daria.
 
Christian Bouchet est le directeur des éditions Ars Magna qui publient les oeuvres d'Alexandre Douguine en France cliquez ici.

12:09 Publié dans En Europe et ailleurs..., Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 11 juillet 2022

Décès de Michel Dufresne, actif militant de la cause nationale en Auvergne

11953345_10153633057843395_853380540539641697_o.jpg

Michel Dufresne, décédé le 4 juillet 2022

Claude Jaffres

Michel Dufresne nous a quitté lundi 4 juillet, avec courage, lucidité et sérénité.

C’est en 1990 qu’il a rejoint le FN d’Auvergne, il venait de Beauvais où son père fut un militant de l’Algérie française et l’un de ses frères militant et candidat FN et depuis cette date nous ne nous sommes plus quittés dans nos combats. Militant très actif, il prit rapidement des responsabilités au sein du bureau du Puy-de-Dôme. A chaque élection on pouvait compter sur Michel, il n’avait pas peur de s’afficher malgré les difficultés de l’époque. Il était de tous les déplacements, manifestations et actions de toutes sortes.

Il deviendra conseiller régional sous la présidence de Giscard d’Estaing avec l’étiquette FN puis MNR.

Il restera fidèle à ses convictions jusqu’à la fin et nous l’avons vu toujours aussi dynamique dans nos luttes patriotiques et identitaires. Son enthousiasme le faisait apprécier de nos jeunes dont lui-même appréciait les qualités de jeunesse.

Il était passionné de photo et video et sa couverture médiatique nous fut précieuse. L’une de ses videos eut un énorme succès : lors d’une manif de nos amis "exotiques" devant la préfecture de Clermont, il réussit à se placer avec les organisateurs sur les marches et filmer tout ce rassemblement, notamment lors des invocations musulmanes… Très instructif et pédagogique !

Son militantisme l’emmena parfois loin de l’Auvergne, c’est ainsi qu’il participa à des convois humanitaires, lors des tragiques événements de l’ex-Yougoslavie et plus récemment il parti en mission avec les Chrétiens d’Orient.

Il attachait une grande importance à sa famille, ses trois filles et son fils auxquels il se consacra beaucoup. Là aussi il était en cohérence avec nos idées, c’était un trait de son caractère que j’appréciais particulièrement.

Michel était l’archétype du militant dévoué, sincère et efficace, nous mettions alors ces gens-là au premier rang et ils entraînaient tout le monde dans le militantisme, pas d’arrivisme ni de plan de carrière.

Ce sont les « Michel » qui tracèrent la voie et au-delà de la peine, cela nous permet de réfléchir à nos méthodes de combat devant les épreuves à venir.  Ils sont nos modèles à retrouver.

Alors Michel, nous ne poserons pas le sac et tu peux reposer en Paix.

01:39 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 12 juin 2022

Décès de Michel Dor, militant historique de la cause nationale

200102202335369_low.jpeg

Michel Dor dans les années 1990,

alors conseiller régional de Bretagne.

Agé de 92 ans, Michel Dor vient de définitivement tirer sa révérence. Il s'en est allé vendredi soir rejoindre le paradis de ceux qui se sont toujours battus pour que l'idéal national finisse par triompher.

Depuis sa jeunesse, Michel a été de tous les combats pour la France française. En particulier en étant candidat (et parfois élu) à maintes reprises depuis le début des années 1980 en Bretagne, sa patrie d'adoption. Natif de Marseille, d'où il avait gardé (pour le plus grand plaisir de ses hôtes) une parfaite maitrise de la cuisine méridionale, il s'était en effet installé en Cornouaille. Chef d'entreprise, il fut longtemps président de l'Union interprofessionnelle patronale du Finistère.

Au-delà de ses engagements, Michel Dor était un homme cultivé, aimable et pittoresque, fort apprécié de tous ceux qui le côtoyait. C'était toujours un immense plaisir de le retrouver, en particulier lors des réunions et banquets de l'association quimpéroise "Agir et réagir" dirigée par notre Chère Claudine Dupont-Tingaud, son épouse, elle aussi militante exemplaire de la cause, à qui nous pensons tous affectueusement aujourd'hui ainsi qu'à toute sa famille.

Fidèle lecteur de Synthèse nationale, Michel m'écrivait régulièrement pour me donner son avis sur nos engagements politiques. Avis qui, d'ailleurs, rejoignait finalement toujours le nôtre. La dernière fois que nous nous sommes vus, c'était en janvier dernier à l'occasion de la Galette des Rois organisée par la section quimpéroise de Reconquête ! cliquez ici, mouvement dans lequel il avait placé toutes ses dernières espérances, car Michel, bien que très fatigué, n'était pas homme à baisser les bras comme cela.

Alors, là où tu es désormais, ne soit pas inquiet Michel, tes amis continuent le combat ! RIP.

Roland Hélie

 

16:30 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 21 mai 2022

21 mai 2013 : acte ultime de Dominique Venner

282992065_2850150958463410_8268265613608664467_n.jpg

Avant de se donner la mort, le mardi 21 mai 2013 à 16 heures, devant l’autel de la cathédrale de Notre-Dame de Paris, l’écrivain et historien Dominique Venner a fait parvenir une lettre d’explication à ses amis.
 
La dernière lettre de Dominique Venner.
 
Je suis sain de corps et d’esprit, et suis comblé d’amour par ma femme et mes enfants. J’aime la vie et n’attend rien au-delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit. Pourtant, au soir de cette vie, devant des périls immenses pour ma patrie française et européenne, je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation. Je choisis un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre-Dame de Paris que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.
 
Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m’insurge contre la fatalité. Je m’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire. Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge aussi contre le crime visant au remplacement de nos populations.
 
Le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences. À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes.
 
Je demande pardon par avance à tous ceux que ma mort fera souffrir, et d’abord à ma femme, à mes enfants et petits-enfants, ainsi qu’à mes amis et fidèles. Mais, une fois estompé le choc de la douleur, je ne doute pas que les uns et les autres comprendront le sens de mon geste et transcenderont leur peine en fierté. Je souhaite que ceux-là se concertent pour durer. Ils trouveront dans mes écrits récents la préfiguration et l’explication de mon geste. »
 
Sur la mort de Dominique Venner cliquez ici et cliquez là

09:45 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 10 mai 2022

Disparition d'un camarade : Gérard Guyon

Gerard-Guyon.jpeg

Nous avons appris avec peine, en fin de semaine dernière, le décès de Gérard Guyon. À peine âgé de 60 ans, fidèle soutien depuis de nombreuses années de la cause nationale et identitaire, Gérard était un homme cultivé et toujours affable. Il participait régulièrement à nos réunions de Synthèse nationale, en particulier aux journées annuelles "Bleu-Blanc-Rouge". Il nous a quitté suite à un pénible cancer contre lequel il luttait courageusement depuis un an.

Ironie du sort, Gérard était le beau-frère de notre ami Bruno Laplace lui-aussi décédé il y a quelques jours cliquez ici.

N'oublions pas Gérard et ayons une amicale pensée pour Agnès, son épouse, ainsi que pour toute sa famille doublement endeuillée ces derniers jours. RIP.

Roland Hélie

09:05 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 27 avril 2022

Pierre Pinatel, caricaturiste célèbre de la droite nationale, est décédé

bienvenue-18-10-2015.jpg

Pierre Pinatel, dessinateur et caricaturiste renommé de la presse nationale, vient de décéder à l'âge de 92 ans.

Depuis le début des années 1960, Pinatel a été de tous les combats nationaux. De Minute à National hebdo, en passant par un grand nombre de cabarets et de scènes de théâtres, avec son crayon militant, son oeil critique et son style bien à lui, il disséquait avec sagacité, clairvoyance et talent, en particulier dans ses fameux "Pinatélescopes", l'actualité politique (et surtout ses acteurs) du moment.

Pierre était un homme charmant et toujours bienveillant. À plusieurs reprises, pour le plus grand bonheur de l'assistance, il nous fit l'amitié de participer à l'animation de nos journées annuelles de Synthèse nationale.

À Colette son épouse, à sa famille, la rédaction de Synthèse nationale présente ses condoléances attristées. 

Roland Hélie

Animation de Pinatel lors de la journée

de Synthèse nationale en octobre 2016 cliquez ici :

17:34 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 26 avril 2022

Triste nouvelle : notre ami Bruno Laplace est décédé

PHOTO-2022-04-26-10-37-39.jpg

Bruno Laplace était un militant fidèle et discret de la cause. Il était toujours présent à nos journées nationales et identitaires et, à chaque fois que nous lui demandions, il n'hésitait pas à donner un coup de main. Mathématicien, chercheur au CNRS, d'une belle culture, il avait été membre du GRECE à la grande époque de celui-ci. Bon compagnon, le retrouver était toujours un plaisir.

Bruno s'en est allé rejoindre le soleil hier. Nous ne l'oublierons jamais. Ayons aussi une pensée pour sa famille. Qu'il repose en paix...

Roland Hélie

16:25 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 14 avril 2022

Jean-Marie Molitor, dernier directeur de Minute, vient de nous quitter

jm-molitor.jpg

Notre confrère et ami Jean-Marie Molitor est subitement décédé mardi après-midi à l'âge de 66 ans.

Issu des rangs de l'Action française, il participa à tous les combats nationalistes, ainsi qu'à ceux de la Tradition catholique, depuis son plus jeune âge. Dans les années 1990, il participa à l'éphémère aventure du Choc du Mois, un mensuel non-conformiste qui marqua indiscutablement son époque.

Au début des années 2000, il racheta l'hebdomadaire Minute alors en perdition mais dont la notoriété et le passé glorieux laissaient espérer un renouveau... Vingt ans durant, Jean-Marie fit survivre Minute et c'est tout à son honneur.

Il était aussi le directeur du bi-mensuel catholique de qualité Monde et vie.

Jean-Marie était un garçon sympathique et travailleur (faire vivre simultanément un hebdo et un bi-mensuel n'est pas une mince affaire qui se règlerait en claquant les doigts, croyez-moi). De plus, il n'hésitait jamais à rendre service aux militants de la cause nationaliste et identitaire qui le sollicitaient.

En ces pénibles moments, je pense à son épouse Dominique et à leurs enfants. Je pense aussi aux sympathiques soirées passées ensemble avec nos amis de toujours.

Adieu Jean-Marie... RIP.

Roland Hélie 

 

10:09 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 09 avril 2022

Il y a dix ans, disparition de François Brigneau

277781949_10216913367066791_4444740187433563431_n.jpg

François Brigneau (1919-2012), Emmanuel Allot de son vrai nom, était l'un des journalistes les plus engagés et, par conséquent, les plus respectés ou détestés, de son époque. Il fut à la fois écrivain, polémiste (à Minute et National hebdo entre autres) et militant (il participa à tous les combats nationalistes de la seconde moitié du siècle dernier). Aux côtés de Jean-Marie Le Pen, il contribua à la création du Front national au début des années 1970. Il est décédé le 9 avril 2012. Ayons une pensée pour lui...

R H

Sur l'enterrement de François Brigneau lire

13:38 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 06 avril 2022

Disparition de Michel Paulin, une figure du MNR

téléchargement (2).jpeg

La réaction de Bruno Mégret, président du MNR, et de Bernard Bres, directeur du Chêne :

Notre ami et compagnon de combat, Michel Paulin, nous a quitté le 2 mars suite à une lourde intervention chirurgicale. Il était dans sa 82e année, mais avait gardé fière allure et son amour de la vie. Il était membre et cadre du MNR depuis sa création, de son Bureau Politique, délégué national responsable du siège du parti depuis dix ans, organisateur de maintes réunions conviviales, missions qu’il assumait avec beaucoup de compétence et de diplomatie ; par ailleurs, il avait été élu durant douze ans conseiller municipal MNR à Noisy-le-Grand. C’est peu de dire que sa disparition constitue une perte considérable pour nous tous car il était une pièce essentielle de notre dispositif.

Il était entré très tôt en politique à l’époque héroïque du FN et avait effectué un travail considérable d’implantation dans le 93 aux côtés des Milliau et Timmermans, se présentant avec succès à différentes élections car il était respecté de tous, y compris ses adversaires. Parallèlement, il avait mené une vie professionnelle riche comme dirigeant au sein d’une société de transport internationale, dans l’import-export et le négoce de l’automobile.

Jusqu’à son dernier souffle, il fut d’une fidélité à ses idées jamais démentie : il assumait avec humilité et bienveillance sa tâche au service de la France éternelle et de la Tradition. Personnalité ô combien sympathique, au charme discret, toujours souriant et ouvert à la discussion, maniant un humour de bon aloi et une joie de vivre communicative, pratiquant l’art de recevoir et de cultiver l’amitié ; il aimait « bien-vivre ». Jamais, il ne se départit de son espérance chevillée au corps, de son panache et de son élégance proverbiale tant vestimentaire que physique et morale. C’était un être profondément attachant, apprécié de tous, authentique, droit, courageux, dévoué, chaleureux et spirituel, ayant le sens de l’honneur ; un de ces militants dans l’âme désintéressés et loyaux grâce auxquels le MNR a pu subsister durant plus de vingt ans contre vents et marées. Grâces lui en soient rendues ! (...)

17:55 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 04 avril 2022

Comme chaque année, le C9M organise une marche en mémoire de Sébastien Deyzieu

277736308_497366891976459_1178188430609457246_n.jpg

Sébastien Deyzieu était un jeune militant nationaliste. Il est mort à Paris le 9 mai 1994 suite à une charge de police contre une manifestation organisée par le Groupe Union Défense et les Jeunesses nationalistes-révolutionnaires afin de dénoncer l'impérialisme américain.

Depuis cette date, chaque année, ses camarades appellent à une marche en sa mémoire.

13:35 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 18 mars 2022

Il y a 44 ans : assassinat de François Duprat

safe_image.php.jpg

Alexandre Simonnot

Membre du Bureau politique du Parti de la France

N’oublions jamais notre camarade de combat François DUPRAT assassiné il y a aujourd’hui 44 années, le 18 mars 1978.

Frontiste de la première heure, grand et irremplaçable ami de Jean-Marie LE PEN, militant exemplaire, François DUPRAT était un brillant intellectuel, libre et éclairé, passionné d’histoire et de politique. Ecrivain hors-pair, travailleur infatigable, il possédait une véritable plume d’acier qui le fit collaborer à la plupart des rédactions des journaux de la Droite Nationale. Il ne cessera pas d’y dénoncer les risques que faisait peser l’immigration sur l’identité des peuples européens.

François DUPRAT était un amoureux de la Liberté d’expression, cette liberté qui lui a coûté la vie. Car c’est bien pour avoir osé écrire tant et tant de vérités interdites à exprimer qu’il a été éliminé.

François DUPRAT gênait, dérangeait, bousculait avec talent le politiquement correct, le terrorisme intellectuel et le prêt-à-penser. Il écrivait et proclamait tout haut ce que beaucoup pensait tout bas. Il n’avait peur de rien. Il est mort au devoir, au combat, sur la route qui le menait à une école pour accomplir simplement ce qu’il aimait par-dessus tout : enseigner la simple et pure vérité historique.

Plutôt que d’oser l’affronter sur le terrain des idées et du débat, les misérables lâches, anonymes et vagabonds, qui l’ont exécuté ont placé une bombe dans sa voiture...

Esprit ouvert, fidèle défenseur de notre identité, François DUPRAT aurait exécré la liberticide Loi GAYSSOT qui interdit en France toute véritable Liberté d’expression qui est pourtant un Droit fondamental de notre Pays.

Que François DUPRAT repose en paix auprès de tous ces grands intellectuels honnêtes et courageux qui ne faisaient que proclamer, à temps et à contre temps, la Vérité qui seule nous rendra libres.

Pour mieux connaître la vie et le combat de François Duprat :

COUV 2014 2.jpg

Pour le commander cliquez ici

11:33 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 15 mars 2022

† JEAN-PIERRE RONDEAU, FRANÇAIS D’ALGÉRIE

jpr.png

Philippe Randa

L’engagement politique nuit souvent à une belle carrière professionnelle, entend-on souvent : « Ah ! s’il n’avait pas de telles idées ! »… Enfin, pas les idées de la « bien-pensance », bien sûr, qui, pour certains, sont plutôt gage de « coup de pouce citoyen » pour « faire de bons coups » surtout entre coquins.

Oui, mais… le talent, la droiture, la conviction, l’engagement, la fidélité, la camaraderie, toutes ces sortes de choses démentent parfois de telles affirmations…

La preuve par Jean-Pierre Rondeau que les suites d’une longue maladie, comme on dit pudiquement, ont fini par emporter à 79 ans.

Président, puis président d’honneur des Anciens du lycée Lamoricière d’Oran, il a été de ces pieds-noirs qui s’étranglaient d’une juste indignation depuis qu’ils avaient appris, législation française oblige, qu’ils seraient « nés à l’étranger ». On le serait à moins quand on a témoigné comme lui qu’« aujourd’hui, notre histoire est de plus en plus trafiquée. Demain, nos enfants oublieront, si ce n’est déjà fait ou s’ils l’ont jamais su, pourquoi et comment nous sommes partis, victimes d’un nettoyage ethnique non reconnu pour nous ».

Ces mots sont extraits de la préface d’Aspects véritables de la rébellion algérienne suivi d’Algérie médicale, livre de documents sur les crimes et horreurs du FLN, véritable outil de réinformation quant aux risques à venir, en provenance de certains mouvements islamistes, qu’il a bien voulu présenter pour l’édition que j’en fis, à sa demande, aux éditions Dualpha, il y a… 21 ans : « Publie ces documents, c’est important », m’avait-il dit alors.

Je l’avais fait autant par intérêt historique que pour lui faire plaisir : une bonne action étant parfois récompensée, ce livre lancera ma collection « Vérités pour l’Histoire » où des dizaines d’autres livres sur l’Algérie française et l’OAS suivront. Merci, Jean-Pierre !

Oui, Jean-Pierre Rondeau ne renia jamais ses origines, son passé militant, ses convictions, ses engagements comme administrateur de plusieurs associations pieds-noirs… et n’en fit pas moins une brillante carrière, politique comme maire adjoint des Pavillons-sous-Bois (93) et surtout professionnelle dans la gestion de patrimoine ; rappelons qu’il fut (entre autres) PDG fondateur en 1994 de MEGARA Finance SA, président fondateur en 2005 de La Compagnie des CGPI (ex-CIF-CGPC) et l’administrateur de la Chambre des propriétaires…

Jusqu’à ses derniers mois, il publiait une lettre de réflexions sur le patrimoine et j’avais été particulièrement frappé par cet avis sur la crise économique : « La Covid n’est qu’un révélateur et un accélérateur de la débauche des Etats (endettement), des banques centrales, de la dérégulation des marchés, de l’inversion des critères d’appréciation et de la création des bulles »… et plus encore par cette (funeste) prédiction : « Oui, la fiscalité va s’alourdir, de même que les prélèvements sociaux, alors que les contreparties sociales et de santé et les services de proximité vont continuer à être réduits. Les retraites et pensions de réversion vont être rognées au nom de slogans démagogiques (partage entre générations, par ex.), alors qu’il s’agit de combler les gaspillages de l’Etat. »

Funeste présage sur une France que, malgré toutes les épreuves qu’elle imposa au natif d’Oran qu’il resta jusqu’à son dernier souffle, malgré toutes les trahisons politiques successives de nos dirigeants, malgré la rage qui était la sienne et l’écœurement, qui prenait chez lui la place de la révolte, pour nos élites politico-médiatico-moralistes, Jean-Pierre Rondeau aima toujours. Passionnément. 

Publié dans Présent cliquez ici

10:51 Publié dans Nous avions un camarade..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 10 février 2022

Il y a 45 ans, le 10 février 1977, Alain Escoffier s'immolait à Paris afin de dénoncer les crimes communistes

273296248_4887269754725868_5495810566459638724_n.jpg

Il y a 45 ans, le 10 février 1977, Alain Escoffier, militant solidariste, s'immolait par le feu sur l'avenue des Champs-Élysées à Paris, devant l'antenne locale de l'Aeroflot, pour protester contre l'impérialisme communiste qui, à cette époque, faisait des ravages dans le monde.  Son dernier cri fut  : " Communistes assassins !"

Conséquence imprévue de cet acte désespéré d'Alain Escoffier : c'est à l'issue d'une cérémonie en sa mémoire que, quelques jours plus tard, Jean-Marie Le Pen et Jean-Pierre Stirbois se retrouvèrent et que ce dernier adhéra au Front national. La suite, vous la connaissez... 

12:15 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 06 février 2022

6 FÉVRIER 1945 : ASSASSINAT DE ROBERT BRASILLACH

2022 02 06 BRASILLACH.jpg

Site des Amis de Robert Brasillach cliquez là

Le numéro Hors-série de Présent

consacré à Robert Brasillach cliquez là

hhhh.jpg

02:03 Publié dans Nous avions un camarade..., Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |