samedi, 27 octobre 2012
Disparition de Jean-Claude Jacquard...
Nous venons d'apprendre avec tristesse le décés, à l'age de 70 ans, ce vendredi, de Jean-Claude Jacquard. Depuis quelques mois, Jean-Claude souffrait d'un cancer, celui-ci a fini par l'emporter.
Jean-Claude Jacquard, depuis le début des années 60, avait été de tous les combats du camp nationaliste. D'Europe-Action à la présidence du GRECE, qu'il assumait depuis plusieurs années, en passant par le Parti des Forces nouvelles dans les années 70, il avait toujours répondu "présent" lorsqu'il s'agissait de défendre les idées qui lui étaient chères.
Apprécié de tous pour sa courtoisie et sa grande connaissance de l'histoire du mouvement nationaliste, Jean-Claude était toujours prêt à aider les initiatives militantes de notre famille politique.
Nous ne l'oublierons pas.
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mardi, 18 septembre 2012
Le commandant Louis Réssicaud est décédé...
Nous savions qu'il était gravement malade, mais pas à ce point. Les 22 juillet et 30 août derniers, nous avions échangé des courriers dans lesquels, notamment, il nous faisait part de son désarroi face à la situation de la France. Il venait d'adhérer à la Nouvelle Droite Populaire. Le Commandant Ressicaud était un grand Français, un soldat et un militant de la première heure de la cause nationale, plus particulièrement à la tête du FN dans l'Essonne pendant de longues années. Nous saluons la mémoire d'un combattant courageux face à l'adversité et à la cruauté d'une longue maladie.
Jean-Claude Rolinat
11:29 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) |
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samedi, 04 février 2012
Jean Castrillo est décédé...
Nous venons d’apprendre avec tristesse la disparition, le 24 janvier dernier, de Jean Castrillo à l’âge de 89 ans.
Depuis plusieurs mois, il luttait contre la maladie qui le rongeait et il avait dû subir plusieurs opérations.
Dès l’age de 14 ans, Jean Castrillo s’était engagé dans les rangs des organisations de jeunesses du Parti populaire français créé par Jacques Doriot.
Pendant la seconde guerre mondiale, il s’est battu héroïquement, aux côtés de ses camarades européens, dans la grande croisade contre le bolchevisme. Ce qui lui valut 4 ans d’emprisonnement par la suite.
N’abandonnant jamais le combat, 40 ans durant, il anima le journal Militant, le mensuel nationaliste dirigé aujourd’hui par André Gandillon. Au-delà de cet engagement politique, Castrillo nous laisse aussi plusieurs livres qui témoignent de son érudition exceptionnelle.
A ses proches, à la rédaction de Militant, nous présentons nos fraternelles condoléances. Le combat continue.
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mercredi, 08 août 2007
Roland Gaucher a été enterré aujourd'hui
Roland Gaucher, décédé à l'âge de 88 ans le 26 juillet dernier (voir note du 27 juillet sur ce blog), a été inhumé ce mercredi 8 août. Une émouvante cérémonie religieuse a été célébrée en présence de sa famille et de ses amis, à Maisons-Laffitte. Plusieurs collaborateurs de National hebdo autour de son directeur, Jean-Claude Varanne, étaient présents, ainsi que Jean-François Touzé, conseiller régional d'Ile-de-France.
19:45 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Nous avions un camarade... | Tags : politique, paris, presse, jean-marie le pen, jean-françois touzé, droite, identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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vendredi, 27 juillet 2007
Roland Gaucher nous a quitté...
Je viens d'apprendre avec tristesse la disparition, hier, de Roland Gaucher.
Agé de 88 ans, il avait été, depuis la fin des années 30, de tous les combats pour la cause nationale. Ancien reporter au journal Minute, puis, directeur de National hebdo, et enfin du Crapouillot, Roland Gaucher mit toujours sa plume au service de ses idées. En 1974, il publia une remarquable Histoire secrète du Parti communiste français (chez Albin Michel) qui fit grand bruit à l'époque et contribua à la déstabilisation et à la marginalisation de ce parti alors encore tout puissant.
Combattant infatigable, Roland Gaucher n'hésitait jamais à foncer en première ligne face à nos adversaires. J'ai eu l'occasion personnellement de le constater à plusieurs reprises dans les années 70, alors que j'étais jeune militant du Parti des forces nouvelles dont il était l'un des dirigeants.
Au milieu des années 80, Roland Gaucher devint l'une des figures du Front national. Il fut élu député européen de 1986 à 1989. Il assurait en même temps, comme je l'ai indiqué, la direction de National hebdo avec Lionel Payet. A cette époque, NH avait aussi dans son équipe rédactionnelle François Brigneau, Jean Bourdier, Jean-François Touzé, Serge de Beketch, Pinatel et bien d'autres... Mais, en 1995, il s'éloigna du Front et se consacra à la rédaction de nouveaux livres, dont certains en collaboration avec Philippe Randa.
Nous nous voyions plusieurs fois par an et c'était toujours un plaisir de l'écouter raconter (parfois pour la xième fois, mais qu'importe... c'était Roland) les grandes heures de la presse et du mouvement national. En bon vieux grognard toujours un peu grincheux qu'il était, Roland Gaucher gardait toujours une vision assez réaliste des choses. Surtout, il ne perdait jamais l'espoir de voir un jour notre idéal triompher. Aujourd'hui Roland n'est plus, mais l'idéal survit.
Roland Hélie
Les obsèques auront lieu à Maisons-Laffitte (Yvelines) mercredi 8 août à 11 h. 00 en l'église Notre Dame de la Croix.
18:00 Publié dans Editoriaux, Nous avions un camarade... | Tags : politique, jean-marie le pen, droite, france, presse, paris, identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) |
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lundi, 12 juin 2006
ADIEU ET MERCI, CHER MAITRE...
Hier, dimanche, j’ai appris avec une grande tristesse le décès de Georges-Paul Wagner.
Pendant trois ans, d’octobre 1985 à juin 1988, j’ai eu l’honneur et le plaisir de travailler à ses côtés. D’abord en tant que responsable du Front national dans les Yvelines, puis comme attaché parlementaire. J’approchais alors de mes trente ans, l’âge où l’on essaye de devenir raisonnable. Et je dois dire que Maître Wagner m’a alors beaucoup aidé, si ce n’est à atteindre cet objectif, tout du moins à essayer de m'en approcher. Car cet avocat réputé, chroniqueur de talent (*), maurrassien fidèle et député reconnu par tous (y compris par nombre de nos adversaires) pour sa compétence, était avant tout un sage. Une anecdote à laquelle je pense souvent résume à elle seule le tempérament de Maître Wagner. Un soir, pendant la campagne électorale des législatives de 1986, alors que nous partions ensemble tenir une réunion dans un canton aux fins fonds des Yvelines, nous nous retrouvions bloqués dans un embouteillage à la Porte de Saint-Cloud. Il était 20 h.20, notre réunion était prévue à 20 h. 30, je commençais à pester au volant de la voiture et Georges-Paul me dit de sa voix calme : Roland, nous ne sommes pas encore en retard…
Georges-Paul Wagner était de ceux qui pensent que ce qui ne se construit pas avec le temps ne résiste jamais à l’épreuve du temps. C’est sans doute ce qu’il m’a enseigné de plus précieux. Hélas, le temps a fini par le rattraper… Adieu et Merci, Cher Maître.
Roland Hélie
(*) Le quotidien Présent daté de mardi consacre sa "une" à la disparition de Georges-Paul Wagner.
13:20 Publié dans Editoriaux, Nous avions un camarade... | Tags : politique | Lien permanent | Commentaires (0) |
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